ECOFILIA

Objet : puiser dans l’arsenal des formations, des compétences et des vocations disponibles afin de répondre, en quantité et qualité, à l’ampleur croissante des problèmes concernant la qualité des écosystèmes aquatiques actuels et futurs; de ce fait le caractère international et mobilisateur, de même que le soutien à toutes les organisations gouvernementales ou non gouvernementales, institutions, entreprises publiques ou privées concernées de près ou de loin par ces problèmes est indispensable pour conduire ainsi à la création d’emplois sans frontière pour la sauvegarde des milieux aquatiques, en effet nous admettons que : les problème environnementaux aquatiques sont la cause directe ou indirecte de nombreuses maladies et en conséquence des mortalités surtout des enfants : déversement dans l’eau de bactéries, de virus, de substances toxiques cancérigènes multiples qui individuellement sont en général à des doses inoffensives mais associées à de nombreuses autres agressions deviennent dangereuses avec un risque inconnu de mortalité (qui s’ajoutent aux maladies nouvelles causées par des populations microbiennes et virales en mutation); les problèmes de la surexploitation des ressources aquatiques à but lucratif sont la cause de conflits, de pauvreté, d’injustices par leur partage qui n’est pas équitable et par leur gaspillage qui ne respecte pas l’environnement. A long terme les conséquences de l’effet de Serre, vont encore accroître tous ces problèmes; les gouvernements, les organisations internationales, les grands groupes industriels, les banques, les ONG et toutes les associations, les bureaux d’études, les organismes de recherche et de formations, les organisations religieuses et caritatives, les individus ont la préoccupation de trouver des solutions à ces problèmes de santé, d’environnement, de pauvreté, d’injustice, de conflit dont les causes (voir supra) sont bien connues; beaucoup de moyens, et d’énergie le plus souvent dispersés et ponctuels, sont mis en eouvre depuis de nombreuses années pour tenter de traiter ces problèmes qui ne cessent pourtant d’augmenter; ils seront toujours insuffisants si on réalise que d’après l’ONU, en 2050 le monde comptera environ 2,5 milliards d’habitants en plus, soit un chiffre égal à l’ensemble de la population mondiale de 1950. La croissance démographique se situera pour 96% dans les pays actuellement les plus pauvres et les plus peuplés.