Portail de la ville
de Rochefort

CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT

Entreprise
Informations de l'établissement :
Date de création : 24/10/1988
Siège de l'unité légale : oui
Siret : 77617933500026 / Siren : 776179335 / NIC : 00026
N° de TVA : FR 55 776179335
Effectif en 2021 : 500 à 999 salariés
Date du dernier traitement de l'établissement dans le répertoire Sirene : 17/05/2024
   
Activité détaillée de l'établissement : (NAFRev2)
Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D’ASSURANCE
Cette section comprend les activités des services financiers, y compris les activités d’assurance, de réassurance et des caisses de retraite, ainsi que les services financiers de soutien.
Cette section comprend également les activités de détention d’actifs telles que les activités des sociétés holding et des fonds de placement et autres instruments financiers.
64 : Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite
Cette division comprend les activités de collecte et de redistribution de fonds à des fins autres que le financement de la sécurité sociale obligatoire ou des caisses d’assurance ou de retraite. Les dispositions institutionnelles nationales jouent un rôle important dans le classement interne à cette division.
64.1 : Intermédiation monétaire
Ce groupe comprend la collecte de fonds sous la forme de dépôts transférables, c’est-à-dire des fonds fixes en termes monétaires obtenus au jour le jour, qui proviennent, en dehors des banques centrales, de sources non financières.
64.19 : Autres intermédiations monétaires
64.19Z : Autres intermédiations monétaires
Cette sous-classe comprend :
- la réception de dépôts et/ou de proches substituts de dépôts et l’octroi de crédits ou le prêt de fonds. L’octroi de crédit peut prendre différentes formes (prêts, hypothèques, cartes de crédit, etc.). Ces activités sont généralement effectuées par des institutions monétaires autres que les banques centrales, comme les : • établissements bancaires • caisses d’épargne • caisses de crédit mutuel

Cette sous-classe comprend aussi :
- les activités de virements postaux et des caisses d’épargne postales
- l’octroi de prêts au logement par des institutions spécialisées recevant des dépôts
- les activités se rattachant à l’émission et au paiement de mandats

Cette sous-classe ne comprend pas :
- l’octroi de prêts au logement par des institutions spécialisées ne recevant pas de dépôts (cf. 64.92Z)
- les activités de traitement et de règlement des transactions effectuées par carte de crédit (cf. 66.19B) Produits associés : 64.19.11, 64.19.12, 64.19.21, 64.19.22, 64.19.23, 64.19.24, 64.19.25, 64.19.26, 64.19.29, 64.19.30
Coordonnées de l'établissement :
CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT
Adresse :
30 Rue PIERRE BRETONNEAU
66100 PERPIGNAN
Historique de l'établissement :
01/01/2008 : activité principale
Activité principale : Autres intermédiations monétaires (NAFRev2 : 64.19Z)
25/12/1997 : caractère employeur
Caractère employeur : Oui
25/12/1991 : activité principale
Activité principale : Banques mutualistes (NAF1993 : 65.1D)
Liens de succession de l'établissement :
24/10/1988 : Succession
Prédécesseur : CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT
Continuité économique
Accords d'entreprise :
17/05/2023 : Accord d'entreprise relatif aux conditions d'indemnisation des astreintes et des interventions professionnelles hors des jours habituels de travail
Origine : ACCO
Nature : ACCORD
Numéro : T06623003247
Code de l'unité signataire : 05
Date de mise à jour : 09/06/2023
Date de dépôt : 08/06/2023
Date du texte : 17/05/2023
Date d'effet : 01/04/2023
Date de fin : 31/03/2026
Date de diffusion : 12/06/2023
Convention collective : Convention collective nationale des caisses régionales du crédit agricole (7501)
Texte conforme à la version intégrale : texte conforme

Raison sociale de l'entreprise : CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT
Siret : 77617933500026
Code APE : 6419Z
Secteur : Autres intermédiations monétaires

Thèmes de l'accord :
  • 047 - Indemnités (dont kilométrique)
  • 060 - Autres dispositions durée et aménagement du temps de travail

Syndicats :
  • 3 - CFDT
  • 5 - CGT-FO
  • 6 - Autre

Signataires :
  • 91
21/04/2022 : Avenant n°15 à notre accord du 24/11/2006 relatif à la rémunération extra conventionnelle
Origine : ACCO
Nature : AVENANT
Numéro : T06622002618
Code de l'unité signataire : 05
Date de mise à jour : 02/05/2022
Date de dépôt : 26/04/2022
Date du texte : 21/04/2022
Date d'effet : 01/01/2022
Date de fin : 01/01/2999
Date de diffusion : 02/05/2022
Convention collective : Convention collective nationale des caisses régionales du crédit agricole (7501)
Texte conforme à la version intégrale : texte conforme

Raison sociale de l'entreprise : CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT
Siret : 77617933500026
Code APE : 6419Z
Secteur : Autres intermédiations monétaires

Thèmes de l'accord :
  • 043 - Evolution des primes

Syndicats :
  • 3 - CFDT
  • 6 - Autre

Signataires :
  • 91
21/04/2022 : Accord sur l’Enveloppe Locale 2022 consacrée à la valorisation de la rémunération conventionnelle
Origine : ACCO
Nature : ACCORD
Numéro : T06622002619
Code de l'unité signataire : 05
Date de mise à jour : 27/04/2022
Date de dépôt : 26/04/2022
Date du texte : 21/04/2022
Date d'effet : 21/04/2022
Date de fin : 01/01/2999
Date de diffusion : 02/05/2022
Convention collective : Convention collective nationale des caisses régionales du crédit agricole (7501)
Texte conforme à la version intégrale : texte conforme

Raison sociale de l'entreprise : CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT
Siret : 77617933500026
Code APE : 6419Z
Secteur : Autres intermédiations monétaires

Thèmes de l'accord :
  • 044 - Système de prime (autre qu'évolution)

Syndicats :
  • 3 - CFDT
  • 6 - Autre

Signataires :
  • 91
Informations de l'unité légale :
Date de création : 01/01/1900
Dénomination : CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT
Activité principale : Autres intermédiations monétaires (NAFRev2 : 64.19Z)
Sigle : CRCAM
Catégorie juridique : Caisse de crédit agricole mutuel
Catégorie d'entreprise en 2021 : grande entreprise
Caractère employeur : Non
Effectif en 2021 : 500 à 999 salariés
Economie sociale et solidaire : Oui
Liste des établissements :
CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Perpignan (siège)CENTRE D'AFFAIRES DES ENTREPRISES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES 09 - PamiersAGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE - PerpignanAGENCE DE BAIXAS - BaixasAGENCE DE PIA - PiaCENTRE D'AFFAIRES - PamiersCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - La Bastide-de-SérouAGENCE DE SAILLAGOUSE - SaillagouseCREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE - PradesAGENCE DE SAINT CYPRIEN - Saint-CyprienAGENCE DE SAINTE MARIE - Sainte-MarieCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - PerpignanCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - CabestanyCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - OsséjaCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - PerpignanCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - PerpignanCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - VinçaAGENCE KENNEDY - PerpignanCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - LavelanetCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Canet-en-RoussillonCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - MassatCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Mont-LouisCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Castillon-en-CouseransCAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Perpignan (fermé)CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Saillagouse (fermé)CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Foix (fermé)AGENCE DE PRADES - Prades (fermé)CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Castelnau-Durban (fermé)CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Saint-Arnac (fermé)CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Laroque-des-Albères (fermé)CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT - Saint-Martin (fermé)
Marques françaises :
02/10/1989 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE
N° national/d'enregistrement : 1553296
Date de dépôt : 02/10/1989
Lieu de dépôt : INPI PARIS
Date d'expiration : 02/10/2019
Statut : Marque expirée
Type de marque : individuelle
Typologie : marque verbale

Classes de produits et services :
Classification : Nice
  • N° de la classe : 00
    Liste des Produits & Services pour cette classe : Papier, carton et produits en ces matières, non compris dans d'autres classes;produits de l'imprimerie;articles pour reliures;photographies;papeterie;adhésifs (matières collantes) pour la papeterie ou le ménage;matériel pour les artistes;pinceaux;machines à écrire et articles de bureau (à l'exception des meubles);matériel d'instruction ou d'enseignement (à l'exception des appareils);matière plastiques pour l'emballage (non comprises dans d'autres classes);cartes à jouer;caractères d'imprimerie;clichés.Publicité, distribution de prospectus, d'échantillons.Location de matériel publicitaire.Aide aux entreprises industrielles ou commerciales dans la conduite de leurs affaires.Conseils, informations ou renseignements d'affaires.Enreprises à faÇon de travaux statistiques, mécanographiques, de sténotypie.Comptabilité.Reproduction de documents.Bureaux de placement.Location de machines à écrire et de matériel de bureau.Assurances et finances, et notamment prise de participation financière dans des entreprises.Caisses de prévoyance.Services de souscription d'assurance.Banques.Agences de change.Gérance de portefeuille.Prêts sur gage.Recouvrement des créances.Loteries.Emission de chèques de voyages et de lettres de crédit.Produits financiers, et notamment OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières).Agences immobilières (vente et location de fonds de commerces et d'immeubles).Expertise immobilière.Gérance d'immeubles.Communications par tous moyens et notamment radiophoniques, télégraphiques ou téléphoniques.Télescription.Transmission de messages, télégrammes, de dépêche. Services télex
  • N° de la classe : 16
  • N° de la classe : 28
  • N° de la classe : 35
  • N° de la classe : 36
  • N° de la classe : 38
  • N° de la classe : 41

Déposant 1 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES), Société Civile Coopérative Constituée de Personnes et à Capital Variable
Numéro de SIREN : 776179335
Adresse :
30, rue Pierre Bretonneau
66000 PERPIGNAN
FR

Mandataire 1 : LEGI-MARK
Adresse :
102 rue du Faubourg Saint Honoré
75008 PARIS
FR

Evènement 1 :
Type d'évènement : Inscription
Type d'inscription : Acte modifiant le droit attaché à une marque
Référence associée à l'événement : 286774
Date de demande : 18/10/1999

Evènement 2 :
Type d'évènement : Enregistrement ancienne loi
N° de BOPI : 1990-11

Evènement 3 :
Type d'évènement : Renouvellement sans limitation
Référence associée à l'événement : 2154175
Date de demande : 01/10/1999
N° de BOPI : 1999-49

Evènement 4 :
Type d'évènement : Renouvellement sans limitation
Référence associée à l'événement : 2418096
Date de demande : 15/09/2009
N° de BOPI : 2009-45
Date du BOPI : 06/11/2009

Publications au Bodacc :
20/07/2023 : Comptes annuels et rapports

Annonce N°5002
NOJO : 660100002444940
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Type de dépot : Comptes annuels et rapports
Date de clôture : 31/12/2022

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
04/05/2023 : Modifications générales

Annonce N°1196
NOJO : 066010000238793
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
BAILS Jean-Pierre Francis Roger nom d'usage : BAILS n'est plus administrateur.
ASSENS Georges Dominique Eugene nom d'usage : ASSENS n'est plus administrateur.
VIDAL Eric Georges André nom d'usage : VIDAL devient administrateur.
LLOBET Jordi Jacques nom d'usage : LLOBET devient administrateur
27/05/2022 : Modifications générales

Annonce N°1897
NOJO : 066010000213819
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
PLANCHAND Sylvie nom d'usage : BADRE n'est plus administrateur.
AMADE Anne Marie Françoise nom d'usage : CAVAILLE devient administrateur
19/05/2022 : Comptes annuels et rapports

Annonce N°3100
NOJO : 660100002120380
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Type de dépot : Comptes annuels et rapports
Date de clôture : 31/12/2021

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
18/11/2021 : Modifications générales

Annonce N°3024
NOJO : 066010000202189
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'activité.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
21/10/2021 : Modifications générales

Annonce N°2697
NOJO : 066010000200129
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'activité. Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
PUJOL Bernard nom d'usage : PUJOL n'est plus vice-président.
MAUDET Marie Christine Dominique nom d'usage : PAGNON MAUDET n'est plus vice-président
21/10/2021 : Modifications générales

Annonce N°2698
NOJO : 066010000200130
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
BERTHELET Patricia nom d'usage : AVEROUS devient Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société
07/10/2021 : Modifications générales

Annonce N°2203
NOJO : 066010000198307
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
HABERMACHER Olivier Daniel Joël nom d'usage : HABERMACHER devient vice-président.
HABERMACHER Olivier Daniel Joël nom d'usage : HABERMACHER n'est plus secrétaire.
HABERMACHER Olivier Daniel Joël nom d'usage : HABERMACHER n'est plus trésorier.
BASCOU Ghislaine nom d'usage : BASCOU n'est plus administrateur.
PELOFFI Hervé Pierre nom d'usage : PELOFFI devient administrateur.
GONCALVES Olga Christine nom d'usage : VERGES devient administrateur.
BONADEI Fanny nom d'usage : MASCARENC devient administrateur.
PLANAS Michel Jean Firmin nom d'usage : PLANAS devient administrateur.
BALMIGERE Valérie Denise Etiennette nom d'usage : BALMIGERE devient administrateur
03/06/2021 : Comptes annuels et rapports

Annonce N°7010
NOJO : 660100001879540
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Type de dépot : Comptes annuels et rapports
Date de clôture : 31/12/2020

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
29/12/2020 : Modifications générales

Annonce N°2048
NOJO : 066010000178799
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
TAVERNIER Nicolas René Robert nom d'usage : TAVERNIER devient directeur général.
CARITE Paul Alexandre Marie nom d'usage : CARITE n'est plus directeur général
10/12/2020 : Modifications générales

Annonce N°2953
NOJO : 066010000177131
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
MUNOZ Pierre-Eric Bernard nom d'usage : MUNOZ devient vice-président.
SEGUELAS Philippe Georges nom d'usage : SEGUELAS n'est plus vice-président.
CORCOLES Theodore nom d'usage : CORCOLES n'est plus vice-président.
MAUDET Marie Christine Dominique nom d'usage : PAGNON MAUDET devient vice-président.
HABERMACHER Olivier Daniel Joël nom d'usage : HABERMACHER devient secrétaire.
MAUDET Marie Christine Dominique nom d'usage : PAGNON MAUDET n'est plus secrétaire.
HABERMACHER Olivier Daniel Joël nom d'usage : HABERMACHER devient trésorier.
MAUDET Marie Christine Dominique nom d'usage : PAGNON MAUDET n'est plus trésorier.
MUNOZ Pierre-Eric Bernard nom d'usage : MUNOZ n'est plus administrateur.
HABERMACHER Olivier Daniel Joël nom d'usage : HABERMACHER n'est plus administrateur.
SICARD Michel Jean nom d'usage : SICARD n'est plus administrateur.
PEYRATO Jean nom d'usage : PEYRATO n'est plus administrateur.
PICARLE & ASSOCIES n'est plus commissaire aux comptes suppléant.
KPMG AUDIT FS II n'est plus commissaire aux comptes suppléant.
PLANCHAND Sylvie nom d'usage : BADRE devient administrateur.
VILLENEUVE Marie-Noelle nom d'usage : IMBERN devient administrateur.
DOUSSAT Maryline Zelie nom d'usage : VITAL devient administrateur.
ASSENS Georges Dominique Eugene nom d'usage : ASSENS devient administrateur
11/10/2020 : Comptes annuels et rapports

Annonce N°6277
NOJO : 660100001719120
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Type de dépot : Comptes annuels et rapports
Date de clôture : 31/12/2019

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
07/08/2020 : Autre achat, apport, attribution (immatriculation d'une personne morale, uniquement)

Annonce N°922
NOJO : 066010000168622
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Catégorie de vente : Autre achat, apport, attribution (immatriculation d'une personne morale, uniquement)
Oppositions : Art. L.236-14 du code de commerce
Descriptif : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative de banque à forme anonyme et à capital variable Siège social : 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN RCS PERPIGNAN 776 179 335 CHATEAU DE CASTELNOU Société civile immobilière à associé unique Au capital de 850.420,84 € Siège social : 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN RCS PERPIGNAN 342 262 649 AVIS D'UN PROJET DE FUSION PAR VOIE D'ABSORPTION DE LA SOCIETE CHATEAU DE CASTELNOU PAR LA SOCIETE CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES) 1. L'évaluation de l'actif et du passif de la société CHATEAU DE CASTELNOU qui doit être transmis à la société CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES) est de : - Montant de l'actif : 65.524 euros - Montant du passif : 228.674 euros 2. La société CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES), Société Absorbante, détenant la totalité des parts sociales composant le capital de la société CHATEAU DE CASTELNOU, Société Absorbée, il ne sera procédé à aucune augmentation du capital. De même, les apports effectués par la société absorbée n'étant pas rémunérés par l'attribution de parts sociales émises par la Société Absorbante, il n'a pas été établi de rapport d'échange 3. Il est prévu un mali de fusion de 1.365.578,07 euros. 4. Dépôt du traité de fusion : le traité de fusion établi le 24 juillet 2020 a été déposé au Greffe du tribunal de PERPIGNAN, le 05 août 2020, pour le compte de la société CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES), Société Absorbante, et pour le compte de la société CHATEAU DE CASTELNOU, Société Absorbée. Pour avis. Le Directeur Général de la société CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES) Le gérant de la société CHATEAU DE CASTELNOU.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Montant du capital : 22474064.61 EUR
04/07/2019 : Modifications générales

Annonce N°2664
NOJO : 066010000144148
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
PALLURE Jean Marcel nom d'usage : PALLURE devient président.
SEGUELAS Philippe Georges nom d'usage : SEGUELAS devient vice-président.
PUJOL Bernard nom d'usage : PUJOL devient vice-président.
MAUDET Marie Christine Dominique nom d'usage : PAGNON MAUDET devient secrétaire.
MAUDET Marie Christine Dominique nom d'usage : PAGNON MAUDET devient trésorier.
BENASSIS Michel Jean Mary nom d'usage : BENASSIS n'est plus président.
PUJOL Jean Luc Félix Roger nom d'usage : PUJOL n'est plus vice-président.
PALLURE Jean Marcel nom d'usage : PALLURE n'est plus vice-président.
SCHMUTZ René nom d'usage : SCHMUTZ n'est plus vice-président.
REYMOND André nom d'usage : REYMOND n'est plus vice-président.
MUNOZ Pierre-Eric Bernard nom d'usage : MUNOZ devient administrateur.
RAYE Marie Anne Blanche Leonie nom d'usage : DE BRUYNE n'est plus vice-président.
ROGER Jean Marie nom d'usage : ROGER n'est plus secrétaire.
CORCOLES Theodore nom d'usage : CORCOLES n'est plus trésorier.
CORCOLES Theodore nom d'usage : CORCOLES devient vice président.
PUJOL Bernard nom d'usage : PUJOL n'est plus administrateur.
SEGUELAS Philippe Georges nom d'usage : SEGUELAS n'est plus administrateur.
PRATX Michel Jean Max nom d'usage : PRATX n'est plus administrateur.
ABRIBACHT Annie Rose Paule nom d'usage : CONTE devient administrateur.
MAUDET Marie Christine Dominique nom d'usage : PAGNON MAUDET n'est plus administrateur.
CAZES Jean-Paul Pierre Léon nom d'usage : CAZES n'est plus administrateur.
SOREL Nathalie Anne Georgette nom d'usage : AURIAC devient administrateur
20/06/2019 : Comptes annuels et rapports

Annonce N°9590
NOJO : 660100001433460
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Type de dépot : Comptes annuels et rapports
Date de clôture : 31/12/2018

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
09/08/2018 : Modifications générales

Annonce N°1688
NOJO : 066010000123994
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
PUJOL Jean Luc Félix Roger nom d'usage : PUJOL devient vice-président.
FERRE Robert nom d'usage : FERRE n'est plus vice-président.
ROGER Jean Marie nom d'usage : ROGER devient secrétaire.
PUJOL Jean Luc Félix Roger nom d'usage : PUJOL n'est plus secrétaire.
ROGER Jean Marie nom d'usage : ROGER n'est plus administrateur.
SALIES Jean-louis nom d'usage : SALIES n'est plus administrateur
05/05/2017 : Modifications générales

Annonce N°920
NOJO : 066010000095112
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
CAVAILLE Louis Henri Pierre nom d'usage : CAVAILLE n'est plus administrateur
13/05/2016 : Modifications générales

Annonce N°1560
NOJO : BXB16132003037F
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
AVELINE Philippe Jean Christian nom d'usage : AVELINE n'est plus Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société.
CARITE Paul Alexandre Marie nom d'usage : CARITE devient directeur général.
AVELINE Philippe Jean Christian nom d'usage : AVELINE n'est plus directeur.
BOUDOURESQUES Fanny Brika nom d'usage : BOUDOURESQUES n'est plus administrateur.
MAUDET Marie Christine Dominique nom d'usage : MAUDET devient administrateur.

21/10/2015 : Modifications générales

Annonce N°1658
NOJO : BXB15287002784P
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
Sté par actions simplifiée SGADG n'est plus commissaire aux comptes titulaire.
SA à conseil d'administration KPMG SA devient commissaire aux comptes titulaire.
Modification de la désignation d'un dirigeant : commissaire aux comptes titulaire ERNST & YOUNG et Autres Sté par actions simplifiée.

03/06/2015 : Modifications générales

Annonce N°1464
NOJO : BXB15147002957O
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
RUMEAU Daniel nom d'usage : RUMEAU n'est plus administrateur.
SICARD Michel Jean nom d'usage : SICARD devient administrateur.

30/04/2014 : Modifications générales

Annonce N°461
NOJO : BXB14113000593A
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
COSTE Danielle Michelle Rosette nom d'usage : GUICHET n'est plus administrateur.
MAGALHAES Jean nom d'usage : MAGALHAES n'est plus administrateur.
TERRE Guy nom d'usage : TERRE n'est plus administrateur.
BOUDOURESQUES Fanny Brika nom d'usage : BOUDOURESQUES devient administrateur.
CAZES Jean-Paul Pierre Léon nom d'usage : CAZES devient administrateur.
SICRE Jean-Pierre Maurice nom d'usage : SICRE devient administrateur.

13/07/2012 : Modifications générales

Annonce N°1465
NOJO : BXB12188003595E
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Descriptif : Modification de l'administration.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable

Administration :
GALIAY Françoise nom d'usage : GALIAY HOF devient administrateur.
SALVAT Jean Philippe nom d'usage : SALVAT n'est plus administrateur.
HABERMACHER Olivier Daniel Joël nom d'usage : HABERMACHER devient administrateur.
BELLES Francis Honoré nom d'usage : BELLES n'est plus administrateur.
SEGUELAS Philippe Georges nom d'usage : SEGUELAS devient administrateur.
FACHETTI Armand nom d'usage : FACHETTI n'est plus administrateur.

05/07/2011 : Modifications générales

Annonce N°1276
NOJO : BXB111800012121
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Date d'effet : 2011-03-24
Descriptif : Changement d'administrateur/nomination commissaire comptes

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative à capital variable

Administration :
Personne pouvant engager a titre habituel l'assujetti : AVELINE Philippe Jean Christian Président de la société : BENASSIS Michel Jean Mary Vice-président : FERRE Robert Vice-président : REYMOND André Vice-président : PALLURE Jean Marcel Vice-président : ARNAUDIES Alexandre Andre Vice-président : SCHMUTZ René Vice-président : RAYE Marie Anne Blanche Leonie Directeur : AVELINE Philippe Jean Christian Administrateur : COSTE Danielle Michelle Rosette Administrateur : BASCOU Ghislaine Administrateur : SALIES Jean-louis Administrateur : SALVAT Jean Philippe Administrateur : BELLES Francis Honoré Administrateur : FACHETTI Armand Administrateur : BAILS Jean-Pierre Francis Roger Administrateur : PUJOL Bernard Administrateur : RUMEAU Daniel Administrateur : TERRE Guy Administrateur : PEYRATO Jean Administrateur : CAVAILLE Louis Henri Pierre Administrateur : PRATX Michel Jean Max Administrateur : ROGER Jean Marie Administrateur : MAGALHAES Jean Trésorier : CORCOLES Theodore Secrétaire : PUJOL Jean Luc Félix Roger Commissaire aux comptes titulaire : ERNST & YOUNG AUDIT Commissaire aux comptes titulaire : SGADG Commissaire aux comptes suppléant : PICARLE & ASSOCIES Commissaire aux comptes suppléant : KPM AUDIT FSI
Montant du capital : 22474064.61 EUR

Siège social :
Adresse :
30 rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan

Etablissement principal :
Adresse :
30 rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
14/09/2010 : Modifications générales

Annonce N°1620
NOJO : BXB102510012939
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Date d'effet : 2010-05-07
Descriptif : Changement de directeur général:partant:BRECHET Gérard

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative à capital variable

Administration :
Personne pouvant engager a titre habituel l'assujetti : AVELINE Philippe Jean Christian Président de la société : BENASSIS Michel Jean Mary Vice-président : FERRE Robert Vice-président : REYMOND André Vice-président : PALLURE Jean Marcel Vice-président : ARNAUDIES Alexandre Andre Vice-président : SAINT-GERMES Pierre Vice-président : SCHMUTZ René Directeur : AVELINE Philippe Jean Christian Administrateur : COSTE Danielle Michelle Rosette Administrateur : PASSAMA Hervé Henri Marie Administrateur : SALIES Jean-louis Administrateur : SALVAT Jean Philippe Administrateur : BELLES Francis Honoré Administrateur : FACHETTI Armand Administrateur : BAILS Jean-Pierre Francis Roger Administrateur : PUJOL Bernard Administrateur : RUMEAU Daniel Administrateur : TERRE Guy Administrateur : RAYE Marie Anne Blanche Leonie Administrateur : PEYRATO Jean Administrateur : CAVAILLE Louis Henri Pierre Administrateur : PRATX Michel Jean Max Administrateur : ROGER Jean Marie Trésorier : CORCOLES Theodore Secrétaire : PUJOL Jean Luc Félix Roger Commissaire aux comptes titulaire : ERNST & YOUNG AUDIT
Montant du capital : 22474064.61 EUR

Siège social :
Adresse :
30 rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan

Etablissement principal :
Adresse :
30 rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
10/06/2008 : Modifications générales

Annonce N°719
NOJO : BXB081560008132
Déposée au GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE PERPIGNAN (66)
Date d'effet : 2008-04-29
Descriptif : Changement composition conseil d'admin.

Numéro d'identification : RCS Perpignan 776 179 335
Dénomination : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Forme juridique : Société coopérative à capital variable

Administration :
Président de la société : BENASSIS Michel Jean MaryVice-président : FERRE Robert.
Vice-président : REYMOND André.
Vice-président : PALLURE Jean Marcel.
Vice-président : ARNAUDIES Alexandre Andre.
Vice-président : SAINT-GERMES Pierre.
Vice-président : SCHMUTZ René.
Directeur : BRECHET Gérard Jean François.
Administrateur : COSTE Danielle Michelle Rosette.
Administrateur : PASSAMA Hervé Henri Marie.
Administrateur : SALIES Jean-louis.
Administrateur : SALVAT Jean Philippe.
Administrateur : BELLES Francis Honoré.
Administrateur : FACHETTI Armand.
Administrateur : BAILS Jean-Pierre Francis Roger.
Administrateur : PUJOL Bernard.
Administrateur : RUMEAU Daniel.
Administrateur : TERRE Guy.
Administrateur : RAYE Marie Anne Blanche Leonie.
Administrateur : PEYRATO Jean.
Administrateur : CAVAILLE Louis Henri Pierre.
Administrateur : PRATX Michel Jean Max.
Administrateur : ROGER Jean Marie.
Trésorier : CORCOLES Theodore.
Secrétaire : PUJOL Jean Luc Félix Roger.
Commissaire aux comptes titulaire : ERNST & YOUNG AUDIT.

Montant du capital : 22474064.61 EUR

Siège social :
Adresse :
30 rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan

Etablissement principal :
Adresse :
30 rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
Historique de l'unité légale :
29/03/2023 : caractère employeur
Caractère employeur : Non
01/01/2016 : économie sociale et solidaire
Economie sociale et solidaire : Oui
01/01/2008 : activité principale
Activité principale : Autres intermédiations monétaires (NAFRev2 : 64.19Z)
25/12/1993 : activité principale
Activité principale : Banques mutualistes (NAF1993 : 65.1D)
01/01/1990 : dénomination
Dénomination : CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUT SUD MEDIT
01/01/1988 : dénomination
Dénomination : CAISSE REG CREDIT AGRICOLE MUTUEL DES PO
Représentants légaux :
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : TAVERNIER Nicolas René Robert
Né le 20/11/1968 à Toulon (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
9 Impasse des Huppes
66700 Argelès-sur-Mer
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VILLENEUVE (IMBERN) Marie-Noelle
Né le 19/12/1955 à La (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1 Place Saint Genis
66800 Err
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : DOUSSAT (VITAL) Maryline Zelie
Né le 09/06/1979 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Avenue du 9ème RCP
09100 Pamiers
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ASSENS Georges Dominique Eugene
Né le 05/05/1952 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
25 Chemin De Neguebous
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PELOFFI Hervé Pierre
Né le 27/02/1961 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
36 Chemin De la Graousse
09000 Foix
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GONCALVES (VERGES) Olga Christine
Né le 04/03/1986 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
11 Rue des Rouges Gorges
66200 Montescot
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BONADEI (MASCARENC) Fanny
Né le 15/07/1977 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
21 Route de Bogues
09700 Saverdun
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANAS Michel Jean Firmin
Né le 05/05/1958 à Prades (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
45 Route de Prades
66500 Eus
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BALMIGERE Valérie Denise Etiennette
Né le 28/07/1969 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
4 Rue des Albères
66600 Calce
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : AMADE (CAVAILLE) Anne Marie Françoise
Né le 09/09/1955 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
5 Rue de la Sardane
66690 Sorède
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BERTHELET (AVEROUS) Patricia
Né le 31/03/1963 à Montluçon (France)
Nationalité : Française
Qualité : Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société

Adresse :
29 Allée Brice Fleutiaux
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : TAVERNIER Nicolas René Robert
Né le 20/11/1968 à Toulon (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
9 Impasse des Huppes
66700 Argelès-sur-Mer
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VILLENEUVE (IMBERN) Marie-Noelle
Né le 19/12/1955 à La (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1 Place Saint Genis
66800 Err
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : DOUSSAT (VITAL) Maryline Zelie
Né le 09/06/1979 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Avenue du 9ème RCP
09100 Pamiers
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ASSENS Georges Dominique Eugene
Né le 05/05/1952 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
25 Chemin De Neguebous
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PELOFFI Hervé Pierre
Né le 27/02/1961 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
36 Chemin De la Graousse
09000 Foix
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GONCALVES (VERGES) Olga Christine
Né le 04/03/1986 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
11 Rue des Rouges Gorges
66200 Montescot
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BONADEI (MASCARENC) Fanny
Né le 15/07/1977 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
21 Route de Bogues
09700 Saverdun
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANAS Michel Jean Firmin
Né le 05/05/1958 à Prades (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
45 Route de Prades
66500 Eus
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BALMIGERE Valérie Denise Etiennette
Né le 28/07/1969 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
4 Rue des Albères
66600 Calce
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : AMADE (CAVAILLE) Anne Marie Françoise
Né le 09/09/1955 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
5 Rue de la Sardane
66690 Sorède
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BERTHELET (AVEROUS) Patricia
Né le 31/03/1963 à Montluçon (France)
Nationalité : Française
Qualité : Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société

Adresse :
29 Allée Brice Fleutiaux
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : TAVERNIER Nicolas René Robert
Né le 20/11/1968 à Toulon (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
9 Impasse des Huppes
66700 Argelès-sur-Mer
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VILLENEUVE (IMBERN) Marie-Noelle
Né le 19/12/1955 à La (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1 Place Saint Genis
66800 Err
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : DOUSSAT (VITAL) Maryline Zelie
Né le 09/06/1979 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Avenue du 9ème RCP
09100 Pamiers
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ASSENS Georges Dominique Eugene
Né le 05/05/1952 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
25 Chemin De Neguebous
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PELOFFI Hervé Pierre
Né le 27/02/1961 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
36 Chemin De la Graousse
09000 Foix
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GONCALVES (VERGES) Olga Christine
Né le 04/03/1986 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
11 Rue des Rouges Gorges
66200 Montescot
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BONADEI (MASCARENC) Fanny
Né le 15/07/1977 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
21 Route de Bogues
09700 Saverdun
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANAS Michel Jean Firmin
Né le 05/05/1958 à Prades (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
45 Route de Prades
66500 Eus
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BALMIGERE Valérie Denise Etiennette
Né le 28/07/1969 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
4 Rue des Albères
66600 Calce
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : AMADE (CAVAILLE) Anne Marie Françoise
Né le 09/09/1955 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
5 Rue de la Sardane
66690 Sorède
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BERTHELET (AVEROUS) Patricia
Né le 31/03/1963 à Montluçon (France)
Nationalité : Française
Qualité : Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société

Adresse :
29 Allée Brice Fleutiaux
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : TAVERNIER Nicolas René Robert
Né le 20/11/1968 à Toulon (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
9 Impasse des Huppes
66700 Argelès-sur-Mer
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VILLENEUVE (IMBERN) Marie-Noelle
Né le 19/12/1955 à La (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1 Place Saint Genis
66800 Err
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : DOUSSAT (VITAL) Maryline Zelie
Né le 09/06/1979 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Avenue du 9ème RCP
09100 Pamiers
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PELOFFI Hervé Pierre
Né le 27/02/1961 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
36 Chemin De la Graousse
09000 Foix
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GONCALVES (VERGES) Olga Christine
Né le 04/03/1986 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
11 Rue des Rouges Gorges
66200 Montescot
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BONADEI (MASCARENC) Fanny
Né le 15/07/1977 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
21 Route de Bogues
09700 Saverdun
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANAS Michel Jean Firmin
Né le 05/05/1958 à Prades (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
45 Route de Prades
66500 Eus
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BALMIGERE Valérie Denise Etiennette
Né le 28/07/1969 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
4 Rue des Albères
66600 Calce
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : AMADE (CAVAILLE) Anne Marie Françoise
Né le 09/09/1955 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
5 Rue de la Sardane
66690 Sorède
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VIDAL Eric Georges André
Né le 05/11/1972 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1636 Chemin de la Rivière
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : LLOBET Jordi Jacques
Né le 10/02/1977 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Domaine Saint Joseph
66300 Thuir
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BERTHELET (AVEROUS) Patricia
Né le 31/03/1963 à Montluçon (France)
Nationalité : Française
Qualité : Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société

Adresse :
29 Allée Brice Fleutiaux
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
05/05/2022 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : TAVERNIER Nicolas René Robert
Né le 20/11/1968 à Toulon (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
9 Impasse des Huppes
66700 Argelès-sur-Mer
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANCHAND (BADRE) Sylvie
Né le 17/10/1968 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
911 Chemin De la Basse
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VILLENEUVE (IMBERN) Marie-Noelle
Né le 19/12/1955 à La (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1 Place Saint Genis
66800 Err
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : DOUSSAT (VITAL) Maryline Zelie
Né le 09/06/1979 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Avenue du 9ème RCP
09100 Pamiers
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ASSENS Georges Dominique Eugene
Né le 05/05/1952 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
25 Chemin De Neguebous
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PELOFFI Hervé Pierre
Né le 27/02/1961 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
36 Chemin De la Graousse
09000 Foix
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GONCALVES (VERGES) Olga Christine
Né le 04/03/1986 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
11 Rue des Rouges Gorges
66200 Montescot
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BONADEI (MASCARENC) Fanny
Né le 15/07/1977 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
21 Route de Bogues
09700 Saverdun
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANAS Michel Jean Firmin
Né le 05/05/1958 à Prades (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
45 Route de Prades
66500 Eus
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BALMIGERE Valérie Denise Etiennette
Né le 28/07/1969 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
4 Rue des Albères
66600 Calce
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BERTHELET (AVEROUS) Patricia
Né le 31/03/1963 à Montluçon (France)
Nationalité : Française
Qualité : Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société

Adresse :
29 Allée Brice Fleutiaux
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : TAVERNIER Nicolas René Robert
Né le 20/11/1968 à Toulon (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
9 Impasse des Huppes
ARGELES SUR MER
66700 Argelès-sur-Mer
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANCHAND (BADRE) Sylvie
Né le 17/10/1968 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
911 Chemin De la Basse
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VILLENEUVE (IMBERN) Marie-Noelle
Né le 19/12/1955 à La (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1 Place Saint Genis
66800 Err
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : DOUSSAT (VITAL) Maryline Zelie
Né le 09/06/1979 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Avenue du 9ème RCP
09100 Pamiers
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ASSENS Georges Dominique Eugene
Né le 05/05/1952 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
25 Chemin De Neguebous
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : TAVERNIER Nicolas René Robert
Né le 20/11/1968 à Toulon (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
9 Impasse des Huppes
66700 Argelès-sur-Mer
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANCHAND (BADRE) Sylvie
Né le 17/10/1968 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
911 Chemin De la Basse
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VILLENEUVE (IMBERN) Marie-Noelle
Né le 19/12/1955 à La (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1 Place Saint Genis
66800 Err
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : DOUSSAT (VITAL) Maryline Zelie
Né le 09/06/1979 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Avenue du 9ème RCP
09100 Pamiers
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ASSENS Georges Dominique Eugene
Né le 05/05/1952 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
25 Chemin De Neguebous
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PELOFFI Hervé Pierre
Né le 27/02/1961 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
36 Chemin De la Graousse
09000 Foix
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GONCALVES (VERGES) Olga Christine
Né le 04/03/1986 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
11 Rue des Rouges Gorges
66200 Montescot
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BONADEI (MASCARENC) Fanny
Né le 15/07/1977 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
21 Route de Bogues
09700 Saverdun
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANAS Michel Jean Firmin
Né le 05/05/1958 à Prades (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
45 Route de Prades
66500 Eus
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BALMIGERE Valérie Denise Etiennette
Né le 28/07/1969 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
4 Rue des Albères
66600 Calce
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BERTHELET (AVEROUS) Patricia
Né le 31/03/1963 à Montluçon (France)
Nationalité : Française
Qualité : Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société

Adresse :
29 Allée Brice Fleutiaux
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : TAVERNIER Nicolas René Robert
Né le 20/11/1968 à Toulon (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
9 Impasse des Huppes
66700 Argelès-sur-Mer
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANCHAND (BADRE) Sylvie
Né le 17/10/1968 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
911 Chemin De la Basse
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : VILLENEUVE (IMBERN) Marie-Noelle
Né le 19/12/1955 à La (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
1 Place Saint Genis
66800 Err
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : DOUSSAT (VITAL) Maryline Zelie
Né le 09/06/1979 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Avenue du 9ème RCP
09100 Pamiers
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ASSENS Georges Dominique Eugene
Né le 05/05/1952 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
25 Chemin De Neguebous
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PELOFFI Hervé Pierre
Né le 27/02/1961 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
36 Chemin De la Graousse
09000 Foix
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GONCALVES (VERGES) Olga Christine
Né le 04/03/1986 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
11 Rue des Rouges Gorges
66200 Montescot
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BONADEI (MASCARENC) Fanny
Né le 15/07/1977 à Toulouse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
21 Route de Bogues
09700 Saverdun
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PLANAS Michel Jean Firmin
Né le 05/05/1958 à Prades (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
45 Route de Prades
66500 Eus
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BALMIGERE Valérie Denise Etiennette
Né le 28/07/1969 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
4 Rue des Albères
66600 Calce
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BERTHELET (AVEROUS) Patricia
Né le 31/03/1963 à Montluçon (France)
Nationalité : Française
Qualité : Personne ayant le pouvoir d'engager à titre habituel la société

Adresse :
29 Allée Brice Fleutiaux
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
20/05/2021 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
Villa N°6
66000 Perpignan Cedex 9
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Chemin De la Basse
66350 Toulouges
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
Villa N°6
66000 Perpignan Cedex 9
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Chemin De la Basse
66350 Toulouges
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
Villa N°6
66000 Perpignan Cedex 9
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Chemin De la Basse
66350 Toulouges
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
Villa N°6
66000 Perpignan Cedex 9
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Chemin De la Basse
66350 Toulouges
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
Villa N°6
66000 Perpignan Cedex 9
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Chemin De la Basse
66350 Toulouges
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
Villa N°6
66000 Perpignan Cedex 9
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Chemin De la Basse
66350 Toulouges
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MUNOZ Pierre-Eric Bernard
Né le 02/04/1962 à Tlemcen (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Cubayne
09210 Lézat-sur-Lèze
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ABRIBACHT (CONTE) Annie Rose Paule
Né le 31/10/1963 à Rodez (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas les Tuileries D900
La Ferme Saint Roch
66300 Villemolaque
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SOREL (AURIAC) Nathalie Anne Georgette
Né le 18/06/1956 à Gruchet-le-Valasse (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin des Vignes
09190 Gajan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
11/06/2019 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BENASSIS Michel Jean Mary
Né le 13/05/1948 à Canet-en-Roussillon (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
18 Rue de l'Aire
66140 Canet-en-Roussillon
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Jean Luc Félix Roger
Né le 26/10/1957 à Fourques (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
3 Rue De la Rourede
66300 Fourques
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SCHMUTZ René
Né le 06/03/1949 à Pamiers (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Tambouret
09100 Escosse
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : REYMOND André
Né le 29/10/1948 à Lyon (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
09240 Montseron
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : RAYE (DE BRUYNE) Marie Anne Blanche Leonie
Né le 30/03/1948 à Ham (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
BON REPOS
09600 Régat
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
Villa N°6
66000 Perpignan Cedex 9
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ROGER Jean Marie
Né le 19/02/1970 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
69 Avenue du Canigou
66370 Pézilla-la-Rivière
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
Chemin De la Basse
66350 Toulouges
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PRATX Michel Jean Max
Né le 05/02/1949 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quai des Mouettes
66600 Rivesaltes
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CAZES Jean-Paul Pierre Léon
Né le 30/06/1948 à Montaut-les-Créneaux (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
3 Place Pablo Picasso
Les Hauts de Montjoie
09200 Montjoie-en-Couserans
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BENASSIS Michel Jean Mary
Né le 13/05/1948 à Canet-en-Roussillon (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
18 Rue de l'Aire
66140 Canet-en-Roussillon
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Jean Luc Félix Roger
Né le 26/10/1957 à Fourques (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
3 Rue De la Rourede
66300 Fourques
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SCHMUTZ René
Né le 06/03/1949 à Pamiers (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Tambouret
09100 Escosse
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : REYMOND André
Né le 29/10/1948 à Lyon (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
09240 Montseron
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : RAYE (DE BRUYNE) Marie Anne Blanche Leonie
Né le 30/03/1948 à Ham (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
BON REPOS
09600 Régat
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Mas Bellevue
66400 Céret
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
892 Chemin du Parc Ducup
Villa N°6
66000 Perpignan Cedex 9
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ROGER Jean Marie
Né le 19/02/1970 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
69 Avenue du Canigou
66370 Pézilla-la-Rivière
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
Chemin De la Basse
66350 Toulouges
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
20 Avenue Torre d'en Sorra
Le Racou
66700 Argelès-sur-Mer
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bail
66130 Corbère
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PRATX Michel Jean Max
Né le 05/02/1949 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quai des Mouettes
66600 Rivesaltes
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
24 Rue du Grenache
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CAZES Jean-Paul Pierre Léon
Né le 30/06/1948 à Montaut-les-Créneaux (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
3 Place Pablo Picasso
Les Hauts de Montjoie
09200 Montjoie-en-Couserans
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
27/07/2018 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BENASSIS Michel Jean Mary
Né le 13/05/1948 à Canet-en-Roussillon (France)
Nationalité : Française
Qualité : président

Adresse :
18 Rue de l'Aire
66140 Canet-en-Roussillon
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : FERRE Robert
Né le 08/06/1947 à Baixas (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Rue de l'Alma
66390 Baixas
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PALLURE Jean Marcel
Né le 05/10/1956 à Villelongue-de-la-Salanque (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
43 Boulevard des Corbières
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SCHMUTZ René
Né le 06/03/1949 à Pamiers (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
Tambouret
09100 Escosse
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : REYMOND André
Né le 29/10/1948 à Lyon (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
09240 Montseron
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : RAYE (DE BRUYNE) Marie Anne Blanche Leonie
Né le 30/03/1948 à Ham (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
BON REPOS
09600 Régat
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ARNAUDIES Alexandre Andre
Né le 18/02/1969 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : vice-président

Adresse :
5 Rue des Tuileries
66400 Céret
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CARITE Paul Alexandre Marie
Né le 15/10/1961 à Tarbes (France)
Nationalité : Française
Qualité : directeur général

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66832 Perpignan Cedex 9
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Jean Luc Félix Roger
Né le 26/10/1957 à Fourques (France)
Nationalité : Française
Qualité : secrétaire

Adresse :
Domaine La Rourede
66300 Fourques
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CORCOLES Theodore
Né le 02/03/1950 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : trésorier

Adresse :
19 Rue Colonel Cayrol
66270 Le Soler
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : GALIAY (GALIAY HOF) Françoise
Né le 30/08/1961 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue Pablo Picasso
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BASCOU Ghislaine
Né le 24/03/1964 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
57 Grand Rue
66720 Caramany
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : HABERMACHER Olivier Daniel Joël
Né le 06/04/1965 à Chaumont (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
7 Rue des Verdiers
66700 Argelès-sur-Mer
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PUJOL Bernard
Né le 22/02/1951 à Saverdun (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
LAPEYRE
09700 Saverdun
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : BAILS Jean-Pierre Francis Roger
Né le 19/09/1965 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Mas Bails
rue de l'alma
66130 Corbère-les-Cabanes
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICARD Michel Jean
Né le 24/06/1949 à Er (Algérie)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
12 Allée des Cordeliers
09500 Mirepoix
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PEYRATO Jean
Né le 01/01/1950 à Llivia (Espagne)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Rue DU CADI
66800 Sainte-Léocadie
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : ROGER Jean Marie
Né le 19/02/1970 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
29 Avenue de la République
66370 Pézilla-la-Rivière
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SALIES Jean-louis
Né le 01/02/1948 à Prades (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Place Bernard Alart
66320 Vinça
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SEGUELAS Philippe Georges
Né le 14/09/1962 à Dakar (Sénégal)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
2 Chemin Du Cussol
09000 Foix
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : PRATX Michel Jean Max
Né le 05/02/1949 à Perpignan (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quai des Mouettes
66600 Rivesaltes
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : MAUDET (PAGNON MAUDET) Marie Christine Dominique
Né le 22/01/1951 à Paris (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
18 Rue Général de Lattre
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : CAZES Jean-Paul Pierre Léon
Né le 30/06/1948 à Montaut-les-Créneaux (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
3 Place Pablo Picasso
Les Hauts de Montjoie
09200 Montjoie-en-Couserans
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Physique

Nom : SICRE Jean-Pierre Maurice
Né le 29/10/1959 à Ax-les-Thermes (France)
Nationalité : Française
Qualité : administrateur

Adresse :
Quartier Le Couillet
09110 Mérens-les-Vals
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG SA
Siren : 775726417
Forme juridique : Société anonyme à conseil d'administration
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
28 Avenue Général Guillaut
Cs 70014
66026 Perpignan
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : ERNST & YOUNG et Autres
Siren : 438476913
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Qualité : commissaire aux comptes titulaire

Adresse :
1 Place Alfonse Jourdain
BP 98536 Le Compans-Immeuble B
31685 Toulouse Cedex 06
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : PICARLE & ASSOCIES
Siren : 410105894
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
1-2 Place Des Saisons
Paris la Defense 1
92400 Courbevoie
France
27/04/2017 : Nouveau dirigeant
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Personne Morale

Nom : KPMG AUDIT FS II
Siren : 512802539
Qualité : commissaire aux comptes suppléant

Adresse :
Tour Eqho
2 Avenue Gambetta
Paris la Défense Cedex
92066 Nanterre
France
Dépôts des actes :
23/03/2023 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003047 déposé le 26/04/2023
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2022 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003796 déposé le 16/05/2022
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
24/03/2022 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003796 déposé le 16/05/2022
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
24/03/2022 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003796 déposé le 16/05/2022
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
24/03/2022 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003796 déposé le 16/05/2022
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
07/06/2021 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
07/06/2021 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
07/06/2021 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
07/06/2021 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
07/06/2021 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
07/06/2021 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
07/06/2021 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/05/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/05/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/05/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/05/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/05/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/05/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/05/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007580 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007085 déposé le 28/09/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2021 : Statuts mis à jour
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal d'assemblée générale mixte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007085 déposé le 28/09/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2021 : Statuts mis à jour
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal d'assemblée générale mixte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007085 déposé le 28/09/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2021 : Statuts mis à jour
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal d'assemblée générale mixte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007085 déposé le 28/09/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2021 : Statuts mis à jour
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal d'assemblée générale mixte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007085 déposé le 28/09/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2021 : Statuts mis à jour
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal d'assemblée générale mixte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007085 déposé le 28/09/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2021 : Statuts mis à jour
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal d'assemblée générale mixte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007085 déposé le 28/09/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2021 : Statuts mis à jour
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
25/03/2021 : Procès-verbal d'assemblée générale mixte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007578 déposé le 14/10/2021
Etat : Déposé
Décision : Modification des principales activités Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des statuts
24/11/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale extraordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Déclaration de conformité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale extraordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Déclaration de conformité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale extraordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Déclaration de conformité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale extraordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Déclaration de conformité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale extraordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Déclaration de conformité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale extraordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Déclaration de conformité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale extraordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Déclaration de conformité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale extraordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
24/11/2020 : Déclaration de conformité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000272 déposé le 14/01/2021
Etat : Déposé
Décision : fusion absorption
30/10/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007524 déposé le 18/12/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
30/10/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007524 déposé le 18/12/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
30/10/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007524 déposé le 18/12/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
30/10/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007524 déposé le 18/12/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
30/10/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007524 déposé le 18/12/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
30/10/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007524 déposé le 18/12/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
30/10/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007524 déposé le 18/12/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
30/10/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007524 déposé le 18/12/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
24/07/2020 : Projet
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004128 déposé le 05/08/2020
Etat : Déposé
Décision : Projet de fusion
24/07/2020 : Projet
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004128 déposé le 05/08/2020
Etat : Déposé
Décision : Projet de fusion
24/07/2020 : Projet
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004128 déposé le 05/08/2020
Etat : Déposé
Décision : Projet de fusion
24/07/2020 : Projet
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004128 déposé le 05/08/2020
Etat : Déposé
Décision : Projet de fusion
24/07/2020 : Projet
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004128 déposé le 05/08/2020
Etat : Déposé
Décision : Projet de fusion
24/07/2020 : Projet
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004128 déposé le 05/08/2020
Etat : Déposé
Décision : Projet de fusion
24/07/2020 : Projet
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004128 déposé le 05/08/2020
Etat : Déposé
Décision : Projet de fusion
24/07/2020 : Projet
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004128 déposé le 05/08/2020
Etat : Déposé
Décision : Projet de fusion
23/06/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
23/06/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
23/06/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
23/06/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
23/06/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
23/06/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
23/06/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
23/06/2020 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
05/06/2020 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
05/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
05/06/2020 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
05/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
05/06/2020 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
05/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
05/06/2020 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
05/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
05/06/2020 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
05/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
05/06/2020 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
05/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
05/06/2020 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
05/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
05/06/2020 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
05/06/2020 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°006856 déposé le 30/11/2020
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société Modification des commissaires aux comptes
06/03/2020 : Rapport du commissaire aux comptes
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
06/03/2020 : Rapport du commissaire aux comptes
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
06/03/2020 : Rapport du commissaire aux comptes
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
06/03/2020 : Rapport du commissaire aux comptes
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
06/03/2020 : Rapport du commissaire aux comptes
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
06/03/2020 : Rapport du commissaire aux comptes
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
06/03/2020 : Rapport du commissaire aux comptes
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
06/03/2020 : Rapport du commissaire aux comptes
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003996 déposé le 31/07/2020
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
18/06/2019 : Document relatif au bénéficiaire effectif
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004370 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Régularisation bénéficiaire effectif
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
26/04/2019 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2019 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003898 déposé le 21/06/2019
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
30/03/2018 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004517 déposé le 27/07/2018
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2017 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002552 déposé le 27/04/2017
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
24/03/2016 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
18/03/2016 : Extrait de procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002540 déposé le 29/04/2016
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société de personnes
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
27/03/2015 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002834 déposé le 20/05/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
08/04/2014 : Attestation
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002214 déposé le 16/04/2014
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
25/03/2014 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005298 déposé le 06/10/2015
Etat : Déposé
Décision : Modification des commissaires aux comptes
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
26/03/2013 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002135 déposé le 16/04/2013
Etat : Déposé
Décision : Divers
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
28/03/2012 : Extrait de procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003018 déposé le 07/06/2012
Etat : Déposé
Décision : Modification relative aux dirigeants d'une société
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
09/06/2011 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003168 déposé le 09/06/2011
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement de commisaires aux comptes Changement de commissaire aux comptes titulaire et suppléant Changement d'administrateur (s
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
19/08/2010 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004129 déposé le 19/08/2010
Etat : Déposé
Décision : Changement de directeur général
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
16/04/2009 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001850 déposé le 16/04/2009
Etat : Déposé
Décision : Divers
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Procès-verbal du conseil d'administration
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
23/05/2008 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002760 déposé le 23/05/2008
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Changement d'administrateur (s Nomination de président
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
12/11/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°005681 déposé le 12/11/2007
Etat : Déposé
Décision : Démission de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
14/09/2007 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004605 déposé le 14/09/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat de commissaire aux comptes Nomination de directeur général
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
30/03/2007 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001794 déposé le 30/03/2007
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
23/05/2006 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002610 déposé le 23/05/2006
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
06/05/2005 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002203 déposé le 06/05/2005
Etat : Déposé
Décision : Renouvellement de mandat d'administrateur (s) Nomination d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
07/05/2003 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002058 déposé le 07/05/2003
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s Renouvellement de mandat d'administrateur (s)
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
26/02/2003 : Acte
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001032 déposé le 26/02/2003
Etat : Déposé
Décision : Cession de parts
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
23/04/2002 : Expédition d'un acte authentique
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°001972 déposé le 23/04/2002
Etat : Déposé
Décision : Changement d'administrateur (s
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
26/06/2001 : Procès-verbal d'assemblée générale ordinaire
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002542 déposé le 26/06/2001
Etat : Déposé
Décision : Nomination d'administrateur (s) Démission d'administrateur (s)
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
13/03/1995 : Ordonnance
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000911 déposé le 13/03/1995
Etat : Déposé
Décision : Divers
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
09/03/1995 : Traité
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°000880 déposé le 09/03/1995
Etat : Déposé
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
18/10/1991 : Statuts constitutifs
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003546 déposé le 09/12/1991
Etat : Déposé
Décision : Constitution d'une personne morale
Etablissements :
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce, de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances .Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Route de la Caserne
66690 Sorède
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE SOREDE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit, de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance de commission d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur immeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Cordiers
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/06/2021
Activité : Banque et assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transaction sur immeubles et fonds de commerce et gestion immobilière, assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 97
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2147 Avenue du Languedoc
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/07/2021
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 98
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Crédit Agricole Zone Commerciale les Arses
66760 Ur
France
Nom commercial : AGENCE D'UR
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 07/09/2021
Activité : Banque et assurences
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 99
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
Crédit Agricole Sud Méditeranée
66100 Perpignan
France
Nom commercial : CENTRE D'AFFAIRES DES ENTREPRISES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES 66
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/05/2022
Activité : Banques et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce, de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances .Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Route de la Caserne
66690 Sorède
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE SOREDE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit, de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance de commission d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur immeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Cordiers
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/06/2021
Activité : Banque et assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transaction sur immeubles et fonds de commerce et gestion immobilière, assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 97
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2147 Avenue du Languedoc
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/07/2021
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 98
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Crédit Agricole Zone Commerciale les Arses
66760 Ur
France
Nom commercial : AGENCE D'UR
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 07/09/2021
Activité : Banque et assurences
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 99
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
Crédit Agricole Sud Méditeranée
66100 Perpignan
France
Nom commercial : CENTRE D'AFFAIRES DES ENTREPRISES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES 66
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/05/2022
Activité : Banques et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 100
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
21 Avenue du Marechal Koenig
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN SUD UNIVERSITE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 09/09/2022
Activité : Banque-assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce, de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances .Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Route de la Caserne
66690 Sorède
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE SOREDE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit, de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance de commission d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur immeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Cordiers
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/06/2021
Activité : Banque et assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transaction sur immeubles et fonds de commerce et gestion immobilière, assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 97
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2147 Avenue du Languedoc
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/07/2021
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 98
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Crédit Agricole Zone Commerciale les Arses
66760 Ur
France
Nom commercial : AGENCE D'UR
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 07/09/2021
Activité : Banque et assurences
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 99
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
Crédit Agricole Sud Méditeranée
66100 Perpignan
France
Nom commercial : CENTRE D'AFFAIRES DES ENTREPRISES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES 66
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/05/2022
Activité : Banques et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 100
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
21 Avenue du Marechal Koenig
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN SUD UNIVERSITE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 09/09/2022
Activité : Banque-assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce, de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances .Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Route de la Caserne
66690 Sorède
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE SOREDE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit, de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance de commission d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur immeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Résidence Dumayne
66122 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Cordiers
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/06/2021
Activité : Banque et assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transaction sur immeubles et fonds de commerce et gestion immobilière, assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 97
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2147 Avenue du Languedoc
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/07/2021
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 98
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Crédit Agricole Zone Commerciale les Arses
66760 Ur
France
Nom commercial : AGENCE D'UR
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 07/09/2021
Activité : Banque et assurences
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 99
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
Crédit Agricole Sud Méditeranée
66100 Perpignan
France
Nom commercial : CENTRE D'AFFAIRES DES ENTREPRISES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES 66
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/05/2022
Activité : Banques et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
05/05/2022 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 100
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
21 Avenue du Marechal Koenig
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN SUD UNIVERSITE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 09/09/2022
Activité : Banque-assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Route de la Caserne
66690 Sorède
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE SOREDE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Cordiers
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/06/2021
Activité : Banque et assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 97
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2147 Avenue du Languedoc
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/07/2021
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 98
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Crédit Agricole Zone Commerciale les Arses
66760 Ur
France
Nom commercial : AGENCE D'UR
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 07/09/2021
Activité : Banque et assurences
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce, de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances .Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Route de la Caserne
66690 Sorède
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE SOREDE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit, de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance de commission d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur immeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Cordiers
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/06/2021
Activité : Banque et assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 97
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2147 Avenue du Languedoc
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/07/2021
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 98
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Crédit Agricole Zone Commerciale les Arses
66760 Ur
France
Nom commercial : AGENCE D'UR
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 07/09/2021
Activité : Banque et assurences
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce, de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances .Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Route de la Caserne
66690 Sorède
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE SOREDE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit, de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance de commission d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur immeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Cordiers
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/06/2021
Activité : Banque et assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 97
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2147 Avenue du Languedoc
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/07/2021
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 98
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Crédit Agricole Zone Commerciale les Arses
66760 Ur
France
Nom commercial : AGENCE D'UR
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 07/09/2021
Activité : Banque et assurences
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 99
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
Crédit Agricole Sud Méditeranée
66100 Perpignan
France
Nom commercial : CENTRE D'AFFAIRES DES ENTREPRISES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES 66
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/05/2022
Activité : Banques et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce, de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances .Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Route de la Caserne
66690 Sorède
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE SOREDE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit, de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance de commission d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances, activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur immeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Cordiers
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/06/2021
Activité : Banque et assurance
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 97
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2147 Avenue du Languedoc
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN POLYGONE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/07/2021
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
20/05/2021 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 98
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Crédit Agricole Zone Commerciale les Arses
66760 Ur
France
Nom commercial : AGENCE D'UR
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 07/09/2021
Activité : Banque et assurences
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue de la Caserne
66690 Sorède
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 47
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
90 Avenue Louis Torcatis
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 48
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
51 Avenue Victor Dalbiez
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
14 Boulevard Sadi Carnot
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurance
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 88
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
42 Avenue Paul Alduy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN UNIVERSITE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 08/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 92
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Ecoles
66440 Torreilles
France
Nom commercial : AGENCE DE TORREILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue de la Caserne
66690 Sorède
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue De Rivesaltes
66380 Pia
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 47
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
90 Avenue Louis Torcatis
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 48
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
51 Avenue Victor Dalbiez
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
14 Boulevard Sadi Carnot
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurance
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 88
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
42 Avenue Paul Alduy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN UNIVERSITE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 08/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 92
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Ecoles
66440 Torreilles
France
Nom commercial : AGENCE DE TORREILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue de la Caserne
66690 Sorède
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Rue Sainte-Anne
66380 Pia
France
Nom commercial : AGENCE DE PIA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 28/08/2019
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 47
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
90 Avenue Louis Torcatis
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 48
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
51 Avenue Victor Dalbiez
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
14 Boulevard Sadi Carnot
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurance
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 88
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
42 Avenue Paul Alduy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN UNIVERSITE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 08/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 92
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Ecoles
66440 Torreilles
France
Nom commercial : AGENCE DE TORREILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
11/06/2019 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Nom commercial : AGENCE D'ARGELES SUR MER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Nom commercial : AGENCE DE BOURG MADAME
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Nom commercial : AGENCE DE CERET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue de la Caserne
66690 Sorède
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard KENNEDY
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE KENNEDY
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : Banque et assurances
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Avenue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Nom commercial : AGENCE DE FONT ROMEU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Nom commercial : AGENCE DE SALEILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Avenue du Stade
66350 Toulouges
France
Nom commercial : AGENCE DE TOULOUGES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT ASSISCLE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue Des Comtes De Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
25 Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Nom commercial : AGENCE D'AMELIE LES BAINS PALALDA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Pierre Fabre
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue De Rivesaltes
66380 Pia
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Nom commercial : AGENCE DE RIVESALTES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 47
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
90 Avenue Louis Torcatis
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 48
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
51 Avenue Victor Dalbiez
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
14 Boulevard Sadi Carnot
66390 Baixas
France
Nom commercial : AGENCE DE BAIXAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurance
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Avenue Pasteur
66430 Bompas
France
Nom commercial : AGENCE DE BOMPAS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Avenue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Nom commercial : AGENCE D'ILLE SUR TET
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 88
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
42 Avenue Paul Alduy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN UNIVERSITE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 08/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 90
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place de la République
66510 Saint-Hippolyte
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT HIPPOLYTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 91
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
9 Avenue de l'Agly
66530 Claira
France
Nom commercial : AGENCE DE CLAIRA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 92
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Ecoles
66440 Torreilles
France
Nom commercial : AGENCE DE TORREILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/07/2018 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 1
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Siège

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement principal

Adresse :
30 Rue Pierre Bretonneau
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 18/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
16/18 Rue DES TROIS CONSULS
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 4
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue Dagobert
66330 Cabestany
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Route de Collioure
66700 Argelès-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : .
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 83
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
111 Boulevard du Port
66420 Le Barcarès
France
Nom commercial : AGENCE DU BARCARES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 7
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Porte de France
66760 Bourg-Madame
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 74
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue De la Pourtalade
66680 Canohès
France
Nom commercial : AGENCE DE CANOHES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Georges Clémenceau
66400 Céret
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
39 Route NATIONALE
66690 Saint-André
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue Georges Pezieres
66220 Saint-Paul-de-Fenouillet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue de la Caserne
66690 Sorède
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
5 Rue DE VENDOME
66300 Thuir
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 84
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
13 Avenue des Pervenches
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE RUSCINO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 85
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place Jean Payra
66000 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE CATALOGNE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard KENNEDY
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/11/1992
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLES MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Rue du 14 Juillet
66670 Bages
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Boulevard DE LA MEDITERRANEE
66140 Canet-en-Roussillon
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
28 Avenue PASTEUR
66190 Collioure
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 24
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Dumayne
Immeuble Dumayne
66120 Font-Romeu-Odeillo-Via
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 25
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
83 Rue DE LA REPUBLIQUE
66370 Pézilla-la-Rivière
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 26
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Avenue du Roussillon
66450 Pollestres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 27
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Du Clair Soleil
66280 Saleilles
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 78
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Rue de la Libération
66270 Le Soler
France
Nom commercial : AGENCE DU SOLER
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 29
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Jean Jaurès
66350 Toulouges
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 30
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
27 Avenue de Perpignan
66410 Villelongue-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECTS DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 31
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Yves du Manoir
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 32
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Boulevard Anatole France
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 34
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2000 Avenue d'Espagne
Centre Commercial Auchan
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 02/03/1995
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 35
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
10 Rue BECQUEREL
66330 Cabestany
France
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MAS GUERIDO
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 86
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de Cerdagne
66800 Saillagouse
France
Nom commercial : AGENCE DE SAILLAGOUSE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/03/2005
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 87
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Place de la République
66600 Salses-le-Château
France
Nom commercial : AGENCE DE SALSES LE CHATEAU
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 38
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue du Vallespir
66110 Amélie-les-Bains-Palalda
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 39
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Du Fontaule
66650 Banyuls-sur-Mer
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 40
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 Boulevard Voltaire
66200 Elne
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 42
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
19 Boulevard Jean Jaurès
66310 Estagel
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCES, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 43
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue De Rivesaltes
66380 Pia
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 44
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
3 Quai Pierre Forgas
66660 Port-Vendres
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 45
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue Ledru-Rollin
66600 Rivesaltes
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 46
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Place Joseph Cavaille
66740 Saint-Génis-des-Fontaines
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 47
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
90 Avenue Louis Torcatis
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 48
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
51 Avenue Victor Dalbiez
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 49
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Place Jean Jaurès
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 51
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Place de la Liberté
66320 Vinça
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 05/10/1993
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, DE COURTAGE NOTAMMENT D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LE LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 76
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
45 Barri d'Avall
66150 Arles-sur-Tech
France
Nom commercial : AGENCE D'ARLES SUR TECH
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 53
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Boulevard Sadi Carnot
66390 Baixas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 55
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
11 Rue PASTEUR
66430 Bompas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 56
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Avenue DU GENERAL DE GAULLE
66160 Le Boulou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 57
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
8 Rue Jean Jaurès
66130 Ille-sur-Têt
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION, DE FINANCE, D'ASSURANCE, DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 59
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
114 Avenue Jean Jaurès
66170 Millas
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 81
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
168 Avenue Général de Gaulle
66500 Prades
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE DE PRADES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 79
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
53 Avenue du Roussillon
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN VILLAGE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 80
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
15 Boulevard Aristide Maillol
66750 Saint-Cyprien
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT CYPRIEN
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 63
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
4 Avenue Du Mas Del Rey
66240 Saint-Estève
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 64
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
6 Avenue Urbain Paret
66250 Saint-Laurent-de-la-Salanque
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 73
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Des Deux Catalognes
66180 Villeneuve-de-la-Raho
France
Nom commercial : AGENCE DE VILLENEUVE DE LA RAHO
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 12/12/2013
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 67
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
152 Avenue Maréchal Joffre
66000 Perpignan
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : TOUTES OPERATIONS DE CREDIT, DE BANQUES, DE CAUTION, DE PRISES DE PARTICIPATION DE FINANCE, D'ASSURANCE DE COMMISSION D'ARBITRAGE, SOIT POUR SON PROPRE COMPTE, SOIT POUR LE COMPTE DE TIERS, DANS LE RESPECT DES COMPETENCES DES CAISSES REGIONALES DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL DEFINIES PAR LES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR.
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 82
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
7 et 9 Place de la Sardane
66000 Perpignan
France
Nom commercial : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Enseigne : AGENCE PERPIGNAN MOULIN A VENT
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 01/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 69
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Pierre Curie
Centre d'Affaires
66000 Perpignan
France
Enseigne : CENTRE D'AFFAIRES
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 10/05/2007
Activité : Banque
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 71
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Rue Alfred Nobel
66470 Sainte-Marie
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINTE MARIE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 24/06/2013
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 88
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
42 Avenue Paul Alduy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DE PERPIGNAN UNIVERSITE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 08/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 89
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Boulevard John Fitzgerald Kennedy
66100 Perpignan
France
Nom commercial : AGENCE DES PROFESSIONNELS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 90
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place de la République
66510 Saint-Hippolyte
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT HIPPOLYTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 91
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
9 Avenue de l'Agly
66530 Claira
France
Nom commercial : AGENCE DE CLAIRA
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 92
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
1 Rue des Ecoles
66440 Torreilles
France
Nom commercial : AGENCE DE TORREILLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 93
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Avenue De Balcere
66210 Les Angles
France
Nom commercial : AGENCE DES ANGLES
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 94
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
2 Place de France
66170 Saint-Féliu-d'Avall
France
Nom commercial : AGENCE DE SAINT FELIU D'AVALL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 95
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
12 Place du Foiral
66230 Prats-de-Mollo-la-Preste
France
Nom commercial : AGENCE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
27/04/2017 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 96
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Type : Etablissement secondaire

Adresse :
Place Gabriel Péri
66260 Saint-Laurent-de-Cerdans
France
Nom commercial : AGENCE DE ST LAURENT DE CERDANS
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 26/08/2014
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 2
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
8 Avenue René Plaisant
09200 Saint-Girons
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 3
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Peysales
BP 2
09000 Foix
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finances, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 5
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
29 Rue Delcassé
09110 Ax-les-Thermes
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 6
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Chemin du Roy
09240 La Bastide-de-Sérou
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 8
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
51 Avenue Jacques Carrier
09120 Varilhes
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 9
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Quartier de l'Ayroule
09400 Tarascon-sur-Ariège
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 10
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Allée de Ballouard
09700 Saverdun
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 11
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
1 Place Vaillant-Couturier
09200 Saint-Girons
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 12
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
LES COUVERTS SAINT ANTONIN
09100 Pamiers
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 13
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
18 Place de la République
09100 Pamiers
France
Nom commercial : AGENCE DE PAMIERS REPUBLIQUE
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Banques et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 14
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
38 Cours Colonel Petitpied
09500 Mirepoix
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 15
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Rue Martimor
09270 Mazères
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 16
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Rue du Mouret
09290 Le Mas-d'Azil
France
Nom commercial : AGENCE DU MAS D'AZIL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 17
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Avenue des Pyrénées
09210 Lézat-sur-Lèze
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 18
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Place de l'Europe
09300 Lavelanet
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 19
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Avenue du 11 Novembre
09600 Laroque-d'Olmes
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 20
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Place Monument aux Morts
09130 Le Fossat
France
Nom commercial : AGENCE DU FOSSAT
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Banques et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 21
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
33 Cours Gabriel Faure
09000 Foix
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 22
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Route de Toulouse
09350 Daumazan-sur-Arize
France
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/12/1991
Activité : Toutes opérations de crédit de banques, de caution, de prises de participation de finance, d'assurance, de commission d'arbitrage...
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
01/08/2016 : Etablissement ouvert
Numéro unique d’identification : 23
Greffe : Foix (0901)
Numéro de gestion : 1991D00147
Type : Etablissement secondaire
Pays où se situe le siège : France
RCS ou registre étranger : Perpignan

Adresse :
Route de Mirepoix
Centre Commercial
09100 Pamiers
France
Nom commercial : AGENCE DE PAMIERS PYREVAL
Enseigne : CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE
Activité ambulante : non
Activité saisonnière : non
Activité non sédentaire : non
Date début d’activité : 23/04/2015
Activité : Banque et assurances
Origine du fonds : Création
Type d’exploitation : Exploitation directe
Observations :
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 101
Numéro unique d’observation : F21/000704
Date d’ajout de l’observation : 14/01/2021
Texte de l'observation : Fusion : sociétés ayant participé à l'opération : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable société civile immobilière - CHATEAU DE CASTELNOU 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN, 342 262 649 RCS GTC Perpignan, société apporteuse avec date d'effet au 24/11/2020
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 101
Numéro unique d’observation : F21/000704
Date d’ajout de l’observation : 14/01/2021
Texte de l'observation : Fusion : sociétés ayant participé à l'opération : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable société civile immobilière - CHATEAU DE CASTELNOU 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN, 342 262 649 RCS GTC Perpignan, société apporteuse avec date d'effet au 24/11/2020
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 101
Numéro unique d’observation : F21/000704
Date d’ajout de l’observation : 14/01/2021
Texte de l'observation : Fusion : sociétés ayant participé à l'opération : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable société civile immobilière - CHATEAU DE CASTELNOU 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN, 342 262 649 RCS GTC Perpignan, société apporteuse avec date d'effet au 24/11/2020
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
05/05/2022 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 101
Numéro unique d’observation : F21/000704
Date d’ajout de l’observation : 14/01/2021
Texte de l'observation : Fusion : sociétés ayant participé à l'opération : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable société civile immobilière - CHATEAU DE CASTELNOU 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN, 342 262 649 RCS GTC Perpignan, société apporteuse avec date d'effet au 24/11/2020
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 101
Numéro unique d’observation : F21/000704
Date d’ajout de l’observation : 14/01/2021
Texte de l'observation : Fusion : sociétés ayant participé à l'opération : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable société civile immobilière - CHATEAU DE CASTELNOU 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN, 342 262 649 RCS GTC Perpignan, société apporteuse avec date d'effet au 24/11/2020
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 101
Numéro unique d’observation : F21/000704
Date d’ajout de l’observation : 14/01/2021
Texte de l'observation : Fusion : sociétés ayant participé à l'opération : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable société civile immobilière - CHATEAU DE CASTELNOU 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN, 342 262 649 RCS GTC Perpignan, société apporteuse avec date d'effet au 24/11/2020
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 101
Numéro unique d’observation : F21/000704
Date d’ajout de l’observation : 14/01/2021
Texte de l'observation : Fusion : sociétés ayant participé à l'opération : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable société civile immobilière - CHATEAU DE CASTELNOU 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN, 342 262 649 RCS GTC Perpignan, société apporteuse avec date d'effet au 24/11/2020
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
20/05/2021 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 101
Numéro unique d’observation : F21/000704
Date d’ajout de l’observation : 14/01/2021
Texte de l'observation : Fusion : sociétés ayant participé à l'opération : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable société civile immobilière - CHATEAU DE CASTELNOU 30 Rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN, 342 262 649 RCS GTC Perpignan, société apporteuse avec date d'effet au 24/11/2020
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
11/06/2019 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 94
Numéro unique d’observation : F19/008427
Date d’ajout de l’observation : 26/06/2019
Texte de l'observation : corcoles théodore est vice président et non administrateur
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
27/07/2018 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 01/01/2002
Texte de l'observation : Conversion du capital social en EUROS : Conversion du capital social en EUROS effectuée d'office par le Greffier du Tribunal de Commerce en application du décret n° 2001-474 du 30/05/2001
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 23
Numéro unique d’observation : F13/012914
Date d’ajout de l’observation : 27/12/2013
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 3 Rue des Pensées 66690 PALAU-DEL-VIDRE à compter du 12/12/2013
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 48
Numéro unique d’observation : F14/001009
Date d’ajout de l’observation : 30/01/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 85 Boulevard DESNOYER RESIDENCE MALLARDEA 66750 SAINT-CYPRIEN à compter du 17/01/2014
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 50
Numéro unique d’observation : F14/007919
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 7 Rambla du Vallespir 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 51
Numéro unique d’observation : F14/007920
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 106 Rue Paul Rubens LAS COBAS 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 52
Numéro unique d’observation : F14/007921
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 2 Place DE LA REPUBLIQUE 66600 ESPIRA-DE-L'AGLY à compter du 08/08/2014
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 53
Numéro unique d’observation : F14/007922
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 9 Avenue de l'Aérodrome 66000 PERPIGNAN à compter du 08/08/2014
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 54
Numéro unique d’observation : F14/007925
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis AIRE AUTOROUTE 66300 BANYULS-DELS-ASPRES à compter du 08/08/2014
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 55
Numéro unique d’observation : F14/007928
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 1 Route Nationale 66480 MAUREILLAS-LAS-ILLAS à compter du 08/08/2014
27/04/2017 : Ajout
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro unique d’identification d’une observation : 56
Numéro unique d’observation : F14/007930
Date d’ajout de l’observation : 14/08/2014
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis 13 Avenue CLEMENCEAU 66820 VERNET-LES-BAINS à compter du 08/08/2014
01/08/2016 : Ajout
Greffe : Foix (0901)
Numéro unique d’identification d’une observation : 1
Date d’ajout de l’observation : 23/12/1991
Texte de l'observation : Historique des observations RCS : SOCIETE IMMATRICULEE A TITRE PRINCIPAL AU RCS DE PERPIGNAN SOUS LE N° DE GESTION 91 D 482 A COMPTER DU 05.01.93 : SUPPRESSION DU FONDS SIS A PAMIERS (09100), BD ALSACE LORRAINE
01/08/2016 : Ajout
Greffe : Foix (0901)
Numéro unique d’identification d’une observation : 2
Numéro unique d’observation : F15/001157
Date d’ajout de l’observation : 29/04/2015
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis Place Rhin et Danube 09300 BELESTA à compter du 23/04/2015
01/08/2016 : Ajout
Greffe : Foix (0901)
Numéro unique d’identification d’une observation : 8
Numéro unique d’observation : F16/002001
Date d’ajout de l’observation : 01/08/2016
Texte de l'observation : Fermeture d'un établissement secondaire sis Cité Administrative 09230 SAINTE-CROIX-VOLVESTRE à compter du 25/07/2016
Personnes morales :
05/05/2022 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Oui
05/05/2022 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Oui
05/05/2022 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Oui
05/05/2022 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Oui
20/05/2021 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Non
20/05/2021 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Non
20/05/2021 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Oui
20/05/2021 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : Toutes opérations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur. Activités immobilières au sens de la loi Hoguet de transactions sur imeubles et fonds de commerce et de gestion immobilière.

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Oui
11/06/2019 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Non
11/06/2019 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Non
11/06/2019 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Non
27/07/2018 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Non
27/04/2017 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Perpignan (6601)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Principale
Forme juridique : Société coopérative de banque à forme anonyme et capital variable
Activité principale : toutes operations de credit de banques, de caution, de prises de participation de finance, de courtage notamment d'assurance, de commission, d'arbitrage, soit pour son propre compte, soit pour le compte de tiers, dans le respect des compétences des caisses régionales de crédit agricole mutuel définies par les lois et réglements en vigueur

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 18/12/1991

Type de capital : Fixe
Capital : 22474064.61
Devise : Euros
Economie sociale et solidaire : Non
01/08/2016 : CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANNEE (ARIEGE ET PYRENEES ORIENTALES)
Greffe : Foix (0901)
Libellé de l'événement : Création
Type d’inscription : Secondaire
Forme juridique : Société coopérative de crédit

Date à laquelle la personne s'est enregistrée au greffe : 23/12/1991
Date à laquelle la personne a commencé une activité pour la première fois : 23/12/1991

Economie sociale et solidaire : Non
Dépôts des comptes annuels :
31/12/2021 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002828 déposé le 05/05/2022
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2021 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002828 déposé le 05/05/2022
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2021 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002828 déposé le 05/05/2022
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2021 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°002828 déposé le 05/05/2022
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2020 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004254 déposé le 20/05/2021
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2020 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004254 déposé le 20/05/2021
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2020 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004254 déposé le 20/05/2021
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2020 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004254 déposé le 20/05/2021
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2020 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004254 déposé le 20/05/2021
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2020 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004254 déposé le 20/05/2021
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2020 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004254 déposé le 20/05/2021
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2020 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°004254 déposé le 20/05/2021
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2019 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007184 déposé le 29/09/2020
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2019 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007184 déposé le 29/09/2020
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2019 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007184 déposé le 29/09/2020
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2019 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007184 déposé le 29/09/2020
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2019 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007184 déposé le 29/09/2020
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2019 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007184 déposé le 29/09/2020
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2019 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007184 déposé le 29/09/2020
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2019 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°007184 déposé le 29/09/2020
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
31/12/2018 : Clôture de l'exercice comptable
Greffe : Perpignan (6601)
Numéro de gestion : 1991D00482
Dépôt : N°003921 déposé le 11/06/2019
Durée de l'exercice : 12
Type de remise : Comptes simplifiés ou sociaux
Confidentialité totale du compte annuel : Non
Confidentialité partielle (compte de résultat) du compte annuel : Non
Etat : Bilan déposé au greffe
Comptes annuels :
31/12/2021 : Compte annuel banque
Greffe : PERPIGNAN (6601)
Numéro de dépôt : B2022/002828 du 05/05/2022
Numéro de gestion : 1991D00482
Code activité : 6419Z : Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite (NAFRev2 : 64)
Clôture de l'exercice : le 31/12/2021, durée : 12 mois
Clôture de l'exercice précédent : le 31/12/2020
Conditions de saisie : Comptes annuels saisis sans anomalie (00)
Code devise/unité monétaire : EUR (devise d'origine)
Confidentialité de saisie : comptes annuels non confidentiels (0)
CodeLibellé du posteMontant année NMontant année N-1
A1ACTIF - Créances sur les Ets de crédit20 114 00010 054 000
A2ACTIF - Créances sur la clientèle2 147 483 6472 147 483 647
A3TOTAL ACTIF2 147 483 6472 147 483 647
P1PASSIF - Dettes envers les Ets de crédit15 755 0008 365 000
P2PASSIF - Comptes créditeurs à la clientèle2 147 483 6472 061 094 000
P3PASSIF - Capital souscrit28 057 00028 057 000
P4PASSIF - Primes d’émission129 625 000129 625 000
P5PASSIF - Réserves575 557 000551 326 000
P7PASSIF - Report à nouveau-48 000
P8PASSIF - Résultat de l’exercice30 124 00026 480 000
P9TOTAL PASSIF2 147 483 6472 147 483 647
R1Compte de résultat - Intérêts et produits assimilés138 069 000151 113 000
R2Compte de résultat - Intérêts et charges assimilées-60 478 000-79 922 000
R3Compte de résultat - Résultat de l’exercice30 124 00026 480 000
31/12/2020 : Compte annuel banque
Greffe : PERPIGNAN (6601)
Numéro de dépôt : B2021/004254 du 20/05/2021
Numéro de gestion : 1991D00482
Code activité : 6419Z : Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite (NAFRev2 : 64)
Clôture de l'exercice : le 31/12/2020, durée : 12 mois
Clôture de l'exercice précédent : le 31/12/2019
Conditions de saisie : Comptes annuels saisis avec des incohérences comptables à la source du document (01)
Code devise/unité monétaire : EUR (devise d'origine)
Confidentialité de saisie : comptes annuels non confidentiels (0)
CodeLibellé du posteMontant année NMontant année N-1
A1ACTIF - Créances sur les Ets de crédit20 114 00010 054 000
A2ACTIF - Créances sur la clientèle2 147 483 6472 147 483 647
A3TOTAL ACTIF2 147 483 6472 147 483 647
P1PASSIF - Dettes envers les Ets de crédit15 755 0008 365 000
P2PASSIF - Comptes créditeurs à la clientèle2 147 483 6472 061 094 000
P3PASSIF - Capital souscrit28 057 00028 057 000
P4PASSIF - Primes d’émission129 625 000129 625 000
P5PASSIF - Réserves575 557 000551 326 000
P7PASSIF - Report à nouveau-48 000
P8PASSIF - Résultat de l’exercice30 124 00026 480 000
P9TOTAL PASSIF2 147 483 6472 147 483 647
R1Compte de résultat - Intérêts et produits assimilés138 069 000151 113 000
R2Compte de résultat - Intérêts et charges assimilées-60 478 000-79 922 000
R3Compte de résultat - Résultat de l’exercice30 124 00026 480 000
31/12/2019 : Compte annuel banque
Greffe : PERPIGNAN (6601)
Numéro de dépôt : B2020/007184 du 29/09/2020
Numéro de gestion : 1991D00482
Code activité : 6419Z : Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite (NAFRev2 : 64)
Clôture de l'exercice : le 31/12/2019, durée : 12 mois
Clôture de l'exercice précédent : le 31/12/2018
Conditions de saisie : Comptes annuels saisis avec des incohérences comptables à la source du document (01)
Code devise/unité monétaire : EUR (devise d'origine)
Confidentialité de saisie : comptes annuels non confidentiels (0)
CodeLibellé du posteMontant année NMontant année N-1
A1ACTIF - Créances sur les Ets de crédit20 114 00010 054 000
A2ACTIF - Créances sur la clientèle2 147 483 6472 147 483 647
A3TOTAL ACTIF2 147 483 6472 147 483 647
P1PASSIF - Dettes envers les Ets de crédit15 755 0008 365 000
P2PASSIF - Comptes créditeurs à la clientèle2 147 483 6472 061 094 000
P3PASSIF - Capital souscrit28 057 00028 057 000
P4PASSIF - Primes d’émission129 625 000129 625 000
P5PASSIF - Réserves575 557 000551 326 000
P7PASSIF - Report à nouveau-48 000
P8PASSIF - Résultat de l’exercice30 124 00026 480 000
P9TOTAL PASSIF2 147 483 6472 147 483 647
R1Compte de résultat - Intérêts et produits assimilés138 069 000151 113 000
R2Compte de résultat - Intérêts et charges assimilées-60 478 000-79 922 000
R3Compte de résultat - Résultat de l’exercice30 124 00026 480 000
31/12/2018 : Compte annuel banque
Greffe : PERPIGNAN (6601)
Numéro de dépôt : B2019/003921 du 11/06/2019
Numéro de gestion : 1991D00482
Code activité : 6419Z : Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite (NAFRev2 : 64)
Clôture de l'exercice : le 31/12/2018, durée : 12 mois
Clôture de l'exercice précédent : le 31/12/2017
Conditions de saisie : Comptes annuels saisis avec des données manquantes à la source du document (1A)
Code devise/unité monétaire : EUR (devise d'origine)
Confidentialité de saisie : comptes annuels non confidentiels (0)
CodeLibellé du posteMontant année NMontant année N-1
A1ACTIF - Créances sur les Ets de crédit20 114 00010 054 000
A2ACTIF - Créances sur la clientèle2 147 483 6472 147 483 647
A3TOTAL ACTIF2 147 483 6472 147 483 647
P1PASSIF - Dettes envers les Ets de crédit15 755 0008 365 000
P2PASSIF - Comptes créditeurs à la clientèle2 147 483 6472 061 094 000
P3PASSIF - Capital souscrit28 057 00028 057 000
P4PASSIF - Primes d’émission129 625 000129 625 000
P5PASSIF - Réserves575 557 000551 326 000
P7PASSIF - Report à nouveau-48 000
P8PASSIF - Résultat de l’exercice30 124 00026 480 000
P9TOTAL PASSIF2 147 483 6472 147 483 647
R1Compte de résultat - Intérêts et produits assimilés138 069 000151 113 000
R2Compte de résultat - Intérêts et charges assimilées-60 478 000-79 922 000
R3Compte de résultat - Résultat de l’exercice30 124 00026 480 000
Bulletin des annonces légales et obligtoires (BALO) :
15/09/2023 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2303880
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 3 0 juin 202 3 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D. Situation au 30/06/2023 (en milliers d'Euros) ACTIF MONTANT Caisse, banques centrales 3 5 119 Effets publics et valeurs assimilées 93 368 Créances sur les établissements de crédit 84 073 Opérations internes au Crédit Agricole 1 276 182 Opérations avec la clientèle 6 011 415 Obligations et autres titres à revenu fixe 245 747 Actions et autres titres à revenu variable 60 330 Participations et autres titres détenus à long terme 5 24 966 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 3 7   801 Autres actifs 62 991 Comptes de régularisation 59 343 Total Actif 8   491 335 PASSIF MONTANT Banques centrales   Dettes envers les établissements de crédit 72 504 Opérations internes au Crédit Agricole 4 339 635 Opérations avec la clientèle 2   7 58 803 Dettes représentées par un titre Autres passifs 1 82 869 Comptes de régularisation 83 542 Provisions pour risques et charges 68 208 Dettes subordonnées 27 602 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 64 5 08 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 8 93   6 64 Capital souscrit 28 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 71 4 05 8 Ecarts de réévaluation  0 Provisions réglementées et subventions d'investissement  0 Report à nouveau (+/-)   0 Résultat de l'exercice 21 924 Total Passif 8 491 335 HORS-BILAN MONTANT Engagements donnés 692 126 Engagements de financement 475 623 Engagements de garantie 2 1 1 66 0 Engagements sur titres 4 843 Engagements reçus 1   963 48 3 Engagements de financement 5 638 Engagements de garantie 1   9 53 0 02 Engagements sur titres 4 843

17/05/2023 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Comptes annuels (4.1)
Numéro d'affaire : 2301762
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code monétaire et financier au capital social de 28 057 377 Euros. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex. Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D. Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2022. A. — Comptes individuels au 31/12/2022. Arrêtés par le Conseil d'administration de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée en date du 27 janvier 2023 et soumis à l'approbation de l'Assemblée générale ordinaire en date du 23 mars 2023. I. — Bilan au 31 décembre 2022. (En milliers d'Euros.) Actif Notes 31/12/2022 31/12/2021 Op é rations interbancaires et assimilées 319 252 165 928 Caisse, banques centrales 38 084 35 705 Effets publics et valeurs assimilées 5 93 522 98 830 Créances sur les établissements de crédit 3 187 646 31 393 Op é rations internes au Crédit agricole 3 1 337 350 1 088 416 Op é rations avec la clientèle 4 5 919 261 5 836 966 Op é rations sur titres 297 886 264 444 Obligations et autres titres à revenu fixe 5 238 149 205 178 Actions et autres titres à revenu variable 5 59 737 59 266 Valeurs immobilisées 560 313 541 109 Participations et autres titres détenus à long terme 6-7 527 752 513 158 Parts dans les entreprises liées 6-7 Immobilisations incorporelles 7 903 907 Immobilisations corporelles 7 31 658 27 044 Capital souscrit non verse Actions propres Comptes de régularisation et actifs divers 104 754 160 389 Autres actifs 8 57 031 122 740 Comptes de régularisation 8 47 723 37 649 Total actif 8 538 816 8 057 252 Passif Notes 31/12/2022 31/12/2021 Op é rations interbancaires et assimilées 81 286 37 222 Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 10 81 286 37 222 Op é rations internes au Crédit agricole 10 4 180 940 3 817 874 Comptes créditeurs de la clientèle 11 2 945 491 2 952 346 Dettes représentées par un titre 12 150 241 Comptes de régularisation et passifs divers 309 112 114 508 Autres passifs 13 202 555 45 218 Comptes de régularisation 13 106 557 69 290 Provisions et dettes subordonnées 94 253 89 726 Provisions 14-15-16 66 635 67 193 Dettes subordonnées 17 27 618 22 533 Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG) 53 008 50 057 Capitaux propres hors FRBG 18 874 726 845 278 Capital souscrit 28 057 28 057 Primes d'émission 129 625 129 625 Réserves 684 748 655 676 Ecarts de réévaluation Provisions réglementées et subventions d'investissement Report à nouveau 204 Résultat de l'exercice 32 296 31 716 Total passif 8 538 816 8 057 252 Hors-bilan Notes 31/12/2022 31/12/2021 Engagements donnés 737 735 720 691 Engagements de financement 24 513 641 509 700 Engagements de garantie 24 221 787 210 795 Engagements sur titres 24 2 307 196 Engagements reçus 1 906 268 1 819 351 Engagements de financement 24 5 638 7 154 Engagements de garantie 24 1 898 323 1 812 001 Engagements sur titres 24 2 307 196 Les opérations de change Hors-bilan et les opérations sur instruments financiers à terme sont présentées respectivement en note 21 et 22. II. — Compte de résultat au 31 décembre 2022. (En milliers d'euros) Notes 31/12/2022 31/12/2021 Intérêts et produits assimilés 26 139 115 144 039 Intérêts et charges assimilées 26 -52 028 -58 153 Revenus des titres à revenu variable 27 22 181 14 929 Commissions (produits) 28 91 302 83 116 Commissions (charges) 28 -28 685 -26 661 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation 29 197 182 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés 30 -618 -264 Autres produits d'exploitation bancaire 31 2 418 3 195 Autres charges d'exploitation bancaire 31 -1 180 -1 276 Produit net bancaire 172 702 159 107 Charges générales d'exploitation 32 -107 786 -99 628 Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles -3 724 -5 292 Résultat brut d'exploitation 61 192 54 187 Coût du risque 33 -17 637 -3 141 Résultat d'exploitation 43 555 51 046 Résultat net sur actifs immobilisés 34 -112 -982 Résultat courant avant impôt 43 443 50 064 Résultat exceptionnel Impôts sur les bénéfices 36 -8 195 -10 848 Dotations / reprises de FRBG et provisions réglementées -2 952 -7 500 Résultat net de l'exercice 32 296 31 716 Annexes. Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice. 1.1. Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Sont affiliées à la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée, 32 Caisses locales qui constituent des sociétés coopératives ayant une personnalité juridique propre. Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l'entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est agréée, avec l'ensemble des Caisses locales qui lui sont affiliées, en qualité de banque mutualiste ou coopérative, avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est de ce fait soumise à la réglementation applicable aux établissements de crédit. Au 31 décembre 2022, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, en application de l'article L.511-30 du Code monétaire et financier, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même, 56,80 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001. Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,2 %. Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par ailleurs, en 1988, les Caisses régionales ont consenti une garantie au bénéfice des tiers créanciers de Crédit Agricole S.A., solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. 1.2. Relations internes au Crédit Agricole. Mécanismes financiers internes. — L'appartenance de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée au réseau du Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes : — Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole CIB, qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. — Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable et solidaire, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ». — Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne non réglementées (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d'épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances miroirs » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d'avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l'utilisation de modèles de replacement et l'application de taux de marché. Par ailleurs, les Caisses régionales peuvent être refinancées sous forme d'avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ». — Opérations en devises : Le refinancement des activités en devises des Caisses régionales est réalisé auprès de Crédit Agricole S.A. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ». — Mécanisme TLTRO III : Une troisième série d’opérations de refinancement de long terme a été décidée en mars 2019 par la BCE dont les modalités ont été revues en septembre 2019 puis en mars, avril et décembre 2020 en lien avec la situation de la COVID-19. Le mécanisme de TLTRO III vise à proposer un refinancement de long terme avec une bonification en cas d’atteinte d’un taux de croissance cible des crédits octroyés aux entreprises et aux ménages, appliquée sur la maturité de 3 ans de l’opération TLTRO à laquelle s’ajoute une sur-bonification rémunérant une première incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2020 à juin 2021 puis une seconde incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2021 à juin 2022. Pour rappel, le traitement comptable retenu par le Groupe depuis 2020, consiste à comptabiliser les bonifications dès que le Groupe estime avoir une assurance raisonnable que le niveau des encours éligibles permettra de remplir les conditions nécessaires à l'obtention de ces bonifications lors de leur exigibilité vis-à-vis de la BCE, c'est-à-dire au terme de l'opération de TLTRO III, et à rattacher cette bonification à la période à laquelle elle se rapporte prorata temporis. Ce traitement est maintenu pour l'arrêté comptable du 31 décembre 2022. Le Groupe ayant atteint les conditions de performance nécessaires à la bonification et sur-bonification du TLTRO, le Groupe bénéficiera de l'obtention de l'ensemble des bonifications et sur-bonifications à l'échéance de ce financement. Ainsi, le Groupe a évalué les intérêts courus au taux de la Facilité de Dépôts - 50 bps « flooré » à -100 bps sur la période spéciale de taux d’intérêt (1er janvier 2021 – 23 juin 2021 pour la période afférente à l’exercice 2021), compte tenu de l’atteinte des seuils propres à la première incitation pendant la période spéciale de référence. Sur la période spéciale de taux d’intérêt additionnelle (24 juin 2021 – 23 juin 2022), le taux d’intérêt retenu est également le taux de la Facilité de Dépôts - 50 bps « flooré » à -100 bps, compte tenu de l’atteinte des critères du niveau de crédits éligibles propres à la seconde incitation pendant la période spéciale de référence additionnelle. Le Conseil des gouverneurs de la BCE, lors de sa réunion du 27 octobre 2022, a décidé d'une modification des conditions de rémunération applicables à ces opérations de refinancement à compter du 23 novembre 2022 (Décision 2022-2128 de la BCE). La Décision (UE) 2022/2128 de la Banque Centrale Européenne du 27 octobre 2022 a défini deux nouvelles périodes comme suit : la « période de taux d'intérêt postérieure à la période spéciale de taux d'intérêt additionnelle » ou “post-additional interest rate period (post-ASIRP)” du 24 juin au 22 novembre 2022 (ou la date de remboursement anticipé si elle intervient avant cette date) ; au cours de cette période, la rémunération du TLTRO III est calculée sur la base d'une moyenne des Taux de Facilités des Dépôts à compter de la date de tirage jusqu'à la fin de la fin de cette période. la « dernière période de taux d'intérêt » ou “last interest rate period (LIRP)” : du 23 novembre 2022 jusqu'à la date de maturité attendue des tirages. Au cours de la LIRP, la rémunération du TLTRO III est calculée sur la base d'une moyenne des Taux de Facilités des Dépôts à compter du 23 novembre jusqu'à la date de remboursement attendue. Le groupe a ré-estimé les flux de trésorerie attendus afin de refléter (i) les fluctuations des intérêts des différents tirages en fonction de la maturité attendue et (ii) les modifications des conditions de rémunération décidées par la BCE, ce qui est venu modifier le taux d'intérêt effectif des différents tirages de TLTRO III et le coût amorti de chaque tranche. Les nouveaux taux d'intérêt effectif ainsi déterminés sont proches du dernier taux de Facilité des Dépôts connu à la date de l'arrêté comptable. Crédit Agricole S.A. a souscrit à des emprunts TLTRO III auprès de la BCE. Compte tenu des mécanismes de refinancement interne, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée se refinance auprès de Crédit Agricole S.A. et bénéficie ainsi de ces bonifications. Couverture des risques de liquidité et de solvabilité, et résolution bancaire. — Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du Code monétaire et financier (CMF), Crédit Agricole S.A., en sa qualité d'organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l'ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du CMF ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l'introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au réseau Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d'un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d'assurer son rôle d'organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. Le dispositif européen de résolution des crises bancaires a été adopté au cours de l'année 2014 par la directive (UE) 2014/59 (dite « BRRD »), transposée en droit français par l'ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français aux dispositions du Règlement européen 806/2014 du 15 juillet 2014 ayant établi les règles et une procédure uniforme pour la résolution des établissements de crédit dans le cadre d'un mécanisme de résolution unique et d'un Fonds de résolution bancaire unique. La directive (UE) 201 /879 du 20 mai 2019 dite « BRRD2 » est venue modifier la BRRD et a été transposée par Ordonnance 2020-1636 du 21 décembre 2020. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d'assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l'économie, de protéger les déposants, et d'éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d'un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Pour les groupes bancaires coopératifs, c'est la stratégie de résolution de « point d'entrée unique élargi » (« extended SPE ») qui est privilégiée par les autorités de résolution, par laquelle l'outil de résolution serait appliqué simultanément au niveau de Crédit Agricole S.A. et des entités affiliées. A ce titre et dans l'hypothèse d'une mise en résolution du groupe Crédit Agricole, c'est le périmètre composé de Crédit Agricole S.A. (en sa qualité d'organe central) et des entités affiliées qui serait considéré dans son ensemble comme le point d'entrée unique élargi. Compte tenu de ce qui précède et des mécanismes de solidarité existant au sein du réseau, un membre du réseau Crédit Agricole ne peut pas être mis en résolution de manière individuelle. Les autorités de résolution peuvent ouvrir une procédure de résolution à l'encontre d'un établissement de crédit lorsqu'elle considère que : la défaillance de l'établissement est avérée ou prévisible, il n'existe aucune perspective raisonnable qu'une autre mesure de nature privée empêche la défaillance dans des délais raisonnables, une mesure de résolution est nécessaire et une procédure de liquidation serait insuffisante pour atteindre les objectifs recherchés de la résolution ci-dessus rappelés. Les autorités de résolution peuvent utiliser un ou plusieurs instruments de résolution, tels que décrits ci-dessous avec pour objectif de recapitaliser ou restaurer la viabilité de l'établissement. Les instruments de résolution devraient être mis en œuvre de telle manière à ce que les porteurs de titres de capital (actions, parts sociales, CCI, CCA) supportent en premier les pertes, puis les autres créanciers sous réserve qu'ils ne soient pas exclus du renflouement interne par la réglementation ou sur décision des autorités de résolution. La loi française prévoit également une mesure de protection lorsque certains instruments ou mesures de résolution sont mis en œuvre, tel le principe selon lequel les porteurs de titres de capital et les créanciers d'un établissement en résolution ne peuvent pas supporter des pertes plus lourdes que celles qu'ils auraient subies si l'établissement avait été liquidé dans le cadre d'une procédure de liquidation judiciaire régie par le code de commerce (principe NCWOL visé à l'article L. 613-57.I du CMF). Ainsi, les investisseurs ont le droit de réclamer des indemnités si le traitement qu'ils subissent en résolution est moins favorable que le traitement qu'ils auraient subi si l'établissement avait fait l'objet d'une procédure normale d'insolvabilité. Dans l'hypothèse où les autorités de résolution décideraient d'une mise en résolution sur le groupe Crédit Agricole, elles procèderaient au préalable à la réduction de la valeur nominale des instruments de Fonds propres du compartiment CET1 (actions, parts sociales, CCI et CCA), instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2, afin d'absorber les pertes puis éventuellement à la conversion en titres de capital des instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2 [ ] . Ensuite, si les autorités de résolution décidaient d'utiliser l'outil de résolution qu'est le renflouement interne, elles pourraient mettre en œuvre cet outil de renflouement interne sur les instruments de dette [ ] , c'est-à-dire décider de leur dépréciation totale ou partielle ou de leur conversion en capital afin également d'absorber les pertes. Les autorités de résolution pourraient décider de mettre en œuvre de façon coordonnée, à l'égard de l'organe central et de l'ensemble des entités affiliées, des mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant de renflouement interne. Dans ce cas, ces mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant ces mesures de renflouement interne s'appliqueraient à toutes les entités du réseau du Crédit Agricole et ce, quelle que soit l'entité considérée et quelle que soit l'origine des pertes. La hiérarchie des créanciers en résolution est définie par les dispositions de l'article L 613-55-5 du CMF en vigueur à la date de mise en œuvre de la résolution. Les détenteurs de titres de capital et les créanciers de même rang ou jouissant de droits identiques en liquidation seraient alors traités de manière égale quelle que soit l'entité du Groupe dont ils sont créanciers. L'étendue de ce renflouement interne, qui vise aussi à recapitaliser le groupe Crédit Agricole, s'appuie sur les besoins de fonds propres au niveau consolidé. L'investisseur doit donc être conscient qu'il existe donc un risque significatif pour les porteurs d'actions, de parts sociales, CCI et CCA et les titulaires d'instruments de dette d'un membre du réseau de perdre tout ou partie de leur investissement en cas de mise en œuvre d'une procédure de résolution bancaire sur le Groupe quelle que soit l'entité dont il est créancier. Les autres outils de résolution bancaire dont disposent les autorités de résolution sont pour l'essentiel la cession totale ou partielle des activités de l'établissement à un tiers ou à un établissement relais et la séparation des actifs de cet établissement. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du CMF, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l'article R 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu'en pratique, ce mécanisme devrait s'exercer préalablement à toute mesure de résolution. L'application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n'aurait pas permis de remédier à la défaillance d'une ou plusieurs entités du réseau, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l'ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. 1.3. Evénements significatifs relatifs à l'exercice 2022. Contexte économique. — Cette année s’est inscrite dans un environnement géopolitique particulier, marqué par la crise en Ukraine et les tensions sur les matières premières et l’énergie. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a dû s’adapter au contexte macro-économique, inédit depuis plusieurs années, qui s’est traduit notamment par le retour de l’inflation, la hausse des taux et la baisse du marché actions. Ces différents éléments ont pu avoir un impact sur les principales estimations comptables au 31 décembre 2022. — Fonds Commun de Titrisation Crédit Agricole Habitat 2022 : Le 09 mars 2022, une nouvelle opération de titrisation (FCT Crédit Agricole Habitat 2022) a été réalisée au sein du groupe Crédit Agricole. Cette transaction est un RMBS français placé sur le marché. Elle s'est traduite par une cession de crédits à l'habitat originés par les 39 Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2022 » pour un montant de 1 milliard d'euros. Les titres seniors adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès d'investisseurs (établissements de crédit (50%), fonds d'investissement (25%), banques centrales (25%)). Dans le cadre de cette titrisation, la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a cédé, à l'origine, des crédits habitat pour un montant de 10,2 millions d'euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2022. Elle a souscrit pour 1,4 millions d'euros de titres subordonnés. Par ailleurs, l'entité FCT Crédit Agricole Habitat 2017 est sortie du périmètre, l'opération de titrisation émise sur le marché ayant été débouclée le 28 mars 2022. Au 31 décembre 2022, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée ayant participé aux opérations de titrisation Crédit Agricole Habitat a consolidé ses quotes-parts (analyse par silo) de chacun des FCT, le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’elle a cédées au FCT. — Impacts liés aux opérations militaires en Ukraine : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est exposée au risque pays, c’est-à-dire au risque que les conditions économiques, financières, politiques ou sociales d’un pays dans lequel elle exerce ses activités, affectent ses intérêts financiers. Un changement significatif de l’environnement politique ou macroéconomique pourrait la contraindre à enregistrer des charges additionnelles ou à subir des pertes plus importantes que les montants déjà inscrits dans ses états financiers. L’exposition directe de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée sur ce risque pays reste peu significative au 31 décembre 2022. — Remboursement du TLTRO : Conformément aux préconisations du Groupe, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a appliqué la modification des conditions de rémunération applicables à ses opérations de refinancement à compter du 23 novembre 2022. Dans ce contexte, les tranches de TLTRO mises en place en juin 2020 et décembre 2020 ont été remboursées par anticipation en décembre 2022 pour un montant de 348 millions d'euros sans paiement d'indemnités de remboursement anticipé tandis que 38 millions d'euros sont arrivés à échéance. Le montant des intérêts enregistrés sur 2022 est de 3,4 millions d'euros contre 7,8 millions d'euros l’année passée. — Avance en compte courant SAS Rue La Boétie : Dans le cadre de l'annonce de la prise de participation complémentaire de la SAS Rue La Boétie dans CA.S.A dans la limite de 65%, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a souscrit des titres de la SAS Rue La Boétie sous forme avance en compte courant d'associés à hauteur de 13 millions d'euros. Les sommes tirées dans le cadre de l'avance consentie par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée porteront intérêt au taux annuel de l'Euribor un (1) mois. — Soulte sur Avances Globales : La Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a remboursé par anticipation des Avances Globales de groupe 2 pour 46 millions d'euros, générant le paiement d’une soulte de -5,6 million d'euros comptabilisée flat en normes françaises. Pour rappel, la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée avait remboursé par anticipation des Avances Globales de groupe 1 pour 12,3 millions d'euros en 2021, entrainant une soulte de -3,9 millions d'euros, enregistrée flat. 1.4. Evénements postérieurs à l'exercice 2022. — Néant. Note 2. – Principes et méthodes comptables. Les états financiers de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole. Compte tenu de l'intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés. La présentation des états financiers de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement ANC 2014-07 qui regroupe dans un règlement unique l'ensemble des normes comptables applicables aux établissements de crédit. Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent le point suivant : Règlements / recommandations Date de 1ère application : opérations ou exercices ouverts à compter du Recommandation 2022-02 portant sur les modalités de première application du règlement ANC n° 2020-01 relatif aux comptes consolidés établis selon les normes comptables françaises Immédiate à partir du 13/05/2022 (prospectif) 2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement ANC 2014-07. Elles sont ventilées selon leur durée résiduelle ou la nature des concours : Les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ; Les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ; Les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle. La rubrique clientèle inclut les opérations réalisées avec la clientèle financière. Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, opérations internes au Crédit Agricole, clientèle). Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale. En application du règlement ANC 2014-07, les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l'encours de crédit concerné. Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds. Le traitement comptable du risque de crédit est défini ci-après. L'utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes permet d'apprécier le niveau d'un risque de crédit. Les créances et les engagements par signature sont répartis entre les encours sains et douteux. Créances saines. — Tant que les créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles sont qualifiées de saines ou dégradées; elles demeurent dans leur poste d'origine. — Provisions au titre du risque de crédit sur les encours sains et dégradés : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate au titre des expositions de crédits des provisions au passif de son bilan pour couvrir les risques de crédit attendus sur les douze mois à venir (expositions qualifiées de saines) et / ou sur la durée de vie de l'encours dès lors que la qualité de crédit de l'exposition s'est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions sont déterminées dans le cadre d'un processus de suivi particulier et reposent sur des estimations traduisant le niveau de perte de crédit attendue. — La notion de perte de crédit attendue « Expected Credit Loss » ou "ECL" : L'ECL se définit comme la valeur probable attendue pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L'approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. — Gouvernance et mesure des ECL : La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres de provisionnement s'appuie sur l'organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe Crédit Agricole est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de dépréciation des encours. Le groupe Crédit Agricole s'appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres nécessaires au calcul des ECL. L'appréciation de l'évolution du risque de crédit s'appuie sur un modèle d'anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, sont retenues. L’estimation des ECL intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d'exposition au moment du défaut. Son appréciation s'appuie largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu'ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. L'approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut ( "Loss Given Default" ou "LGD"). Les modalités de détermination de l'ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : prêts et créances sur la clientèle et engagements par signature. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie ; et représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d'une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l'exposition est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu'il y ait défaillance dans les douze mois. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l'encours. Les paramètres de provisionnement sont mesurés et mis à jour selon les méthodologies définies par le groupe Crédit Agricole et permettent ainsi d'établir un premier niveau de référence, ou socle partagé, de provisionnement. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima annuellement. Les données macro-économiques prospectives ( « Forward Looking ») sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : Au niveau du groupe Crédit Agricole dans la détermination d'un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l'horizon d'amortissement des opérations ; Au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique des paramètres complémentaires pour le Forward Looking sur des portefeuilles de prêts et créances sur la clientèle et d'engagement de financement sains et dégradés pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l'exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe. La Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a pris en compte le contexte d’environnement géopolitique particulier de 2022, marqué par la crise en Ukraine et les tensions sur les matières premières et l’énergie, ainsi que le retour de l’inflation et la hausse des taux. En particulier, le Groupe a revu ses prévisions macro-économiques prospectives (forward looking) pour la détermination de l'estimation du risque de crédit et la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a procédé à une revue de son portefeuille de crédits, qui l’a conduite à la mise à jour du forward looking local sur un certain nombre de filières considérées à risques. — Dégradation significative du risque de crédit : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée apprécie, pour chaque encours, la dégradation du risque de crédit depuis l'origine à chaque date d'arrêté. Cette appréciation de l'évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque (expositions qualifiées de saines / expositions qualifiées de dégradées / expositions douteuses). Afin d'apprécier la dégradation significative, le groupe Crédit Agricole prévoit un processus basé sur deux niveaux d'analyse : un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s'imposent aux entités du Groupe ; un second niveau propre à chaque entité lié à l'appréciation, à dire d'expert au titre des paramètres complémentaires pour le Forward Looking pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l'exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement d'encours sains à encours dégradés (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque encours. Aucune contagion n'est requise pour le passage de sain à dégradé des encours d'une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l'évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d'une garantie de l'actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l'étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la « probabilité de défaut » ou (« PD ») à l'origine. L'origine s'entend comme la date de négociation, lorsque l'entité devient partie aux dispositions contractuelles du crédit. Pour les engagements de financement et de garantie, l'origine s'entend comme la date d'engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d'impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en encours dégradé. Pour les encours évalués à partir d'un dispositif de notations internes (en particulier les expositions suivies en méthodes avancées), le groupe Crédit Agricole considère que l'ensemble des informations intégrées dans ce dispositif permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d'impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l'origine cesse d'être constatée, les encours sont reclassés en encours sains (« stage 1 »), et, la dépréciation est ramenée à des pertes attendues à 12 mois. Afin de suppléer le fait que certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne soient pas identifiables au niveau d'un instrument financier pris isolément, la norme autorise l’appréciation de la dégradation significative pour des portefeuilles, des groupes de portefeuilles ou des portions de portefeuille d’instruments financiers. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : Le type d'encours ; La note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d'un système de notation interne) ; Le type de garantie ; La date de comptabilisation initiale ; La durée à courir jusqu'à l'échéance ; Le secteur d'activité ; L'emplacement géographique de l'emprunteur ; La valeur du bien affecté en garantie par rapport à l'actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; Le circuit de distribution, l'objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d’instruments financiers aux fins de l'appréciation des variations du risque de crédit sur base collective peut changer au fil du temps, au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles. Les dotations et reprises des provisions au titre du risque du crédit sur les encours sains et dégradés sont inscrites en coût du risque. Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l'une des situations suivantes : un arriéré de paiement significatif généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l'arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; l'entité estime improbable que le débiteur s'acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu'elle ait recours à d'éventuelles mesures telles que la réalisation d'une sûreté. Un encours est dit douteux lorsque se sont produits un ou plusieurs évènements qui ont un effet néfaste sur ses flux de trésorerie futurs estimés. Les évènements qui suivent sont des données observables, indicatives d'un encours douteux : des difficultés financières importantes de l'émetteur ou de l'emprunteur ; un manquement à un contrat, tel qu'une défaillance ou un paiement en souffrance ; l'octroi, par le ou les prêteurs à l'emprunteur, pour des raisons économiques ou contractuelles liées aux difficultés financières de l'emprunteur, d'une ou de plusieurs faveurs que le ou les prêteurs n'auraient pas envisagées dans d'autres circonstances ; la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière de l'emprunteur ; la disparition d'un marché actif pour l'actif financier en raison de difficultés financières ; l'achat ou la création d'un actif financier avec une forte décote, qui reflète les pertes de crédit subies. Le caractère douteux d'un encours peut résulter de l'effet combiné de plusieurs évènements. Une contrepartie en défaut ne revient en situation saine qu'après une période d'observation qui permet de valider que le débiteur n'est plus en situation douteuse. Parmi les encours douteux, La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis. — Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises. — Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé. Pour les créances douteuses, l'enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise. Le classement en encours douteux peut être abandonné et l'encours est porté à nouveau en encours sain. — Dépréciations au titre du risque de crédit sur les encours douteux : Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l’actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d’intérêt effectif, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. Les pertes probables relatives aux engagements hors-bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. — Traitement comptable des dépréciations : Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non-recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque. Conformément au règlement ANC 2014-07 le Groupe a fait le choix d'enregistrer en coût du risque les effets de désactualisations des dépréciations. Passage en perte. — L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d'experts, La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu'elle a de son activité. Les créances devenues irrécouvrables sont inscrites en pertes et les dépréciations correspondantes font l'objet d'une reprise. Risques-pays. — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays. Créances restructurées. — Les créances restructurées pour difficultés financières sont des créances pour lesquelles l'entité a modifié les conditions contractuelles initiales (taux d'intérêt, maturité etc.) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l'emprunteur, selon des modalités qui n'auraient pas été envisagées dans d'autres circonstances. La définition des créances restructurées pour cause de difficultés financières répond donc à deux critères cumulatifs : Des modifications de contrat ou des refinancements de créance (concessions) ; Un client en situation financière difficile (débiteur rencontrant, ou sur le point de rencontrer des difficultés pour honorer ses engagements financiers). Cette notion de restructuration doit s'apprécier au niveau du contrat et non au niveau du client (pas de contagion). Elles concernent les créances classées en douteuses et les créances saines, au moment de la restructuration. Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d'insolvabilité. La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l'enregistrement d'une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d'origine. Elle est égale à l'écart constaté entre : La valeur nominale du prêt ; Et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d'intérêt effectif d'origine (défini à la date de l'engagement de financement). La décote constatée lors d'une restructuration de créance est dotée en coût du risque Les crédits restructurés du fait de la situation financière du débiteur font l'objet d'une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Dès lors que l'opération de restructuration a été réalisée, l'exposition conserve ce statut de « restructurée » pendant une période d'observation à minima de 2 ans si l'exposition était saine au moment de la restructuration, ou de 3 ans si l'exposition était en défaut au moment de la restructuration. Ces périodes sont prolongées en cas de survenance de certains évènements (nouveaux incidents par exemple). 2.2. Portefeuille Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe sont définies par les articles 2311-1 à 2391-1 ainsi que par les articles 2211-1 à 2251-13 du règlement ANC 2014-07 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe. Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable. Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, investissement, placement, activité de portefeuille, valeurs immobilisées, autres titres détenus à long terme, participation, parts dans les entreprises liées) en fonction de l'intention de gestion de l'entité et des caractéristiques de l'instrument au moment de la souscription du produit. Titres de placement. — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres. Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus . — Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, coupon couru à l'achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre. Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ». — Actions et autres titres à revenu variable : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ». Les revenus des Organismes de Placements Collectifs sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique. A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d'acquisition et la valeur de marché. Ainsi, lorsque la valeur d'inventaire d'une ligne ou d'un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens du règlement ANC 2014-07, prenant la forme d'achats ou de ventes d'instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées. En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres : S'il s'agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose d'informations particulières sur la situation financière de l'émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ; S'il s'agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (Cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit sur les encours douteux). Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne. Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat. Titres d'investissement. — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d'une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu'à leur échéance et n'est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu'à leur échéance. Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d'acquisition et coupons inclus. La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre. Il n'est pas constitué de dépréciation des titres d'investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l'émetteur du titre, une dépréciation est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ». En cas de cession de titres d'investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l'établissement n'est plus autorisé, pendant l'exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d'investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément au règlement ANC 2014-07. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme. Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable. Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu'elle permet d'exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d'en assurer le contrôle. Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l'intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l'entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus. Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition frais inclus. A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d'utilité. Celle-ci représente ce que l'établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention. L'estimation de la valeur d'utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l'entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre. Lorsque la valeur d'utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l'objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes. Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ». Prix de marché . — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante : Les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent, Si le marché sur lequel le titre est négocié n'est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n'est pas coté, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu'il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel. Dates d'enregistrement. — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée enregistre les titres classés en titres d'investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation. Pensions livrées. — Les titres donnés en pension livrée sont maintenus au bilan et le montant encaissé, représentatif de la dette à l'égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan. Les titres reçus en pension livrée ne sont pas inscrits au bilan mais le montant décaissé, représentatif de la créance sur le cédant, est enregistré à l'actif du bilan. Les titres donnés en pension livrée font l'objet des traitements comptables correspondant à la catégorie de portefeuille dont ils sont issus. Reclassement de titres. — Conformément au règlement ANC 2014-07, il est autorisé d'opérer les reclassements de titres suivants : Du portefeuille de transaction vers le portefeuille d'investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l'établissement a l'intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu'à l'échéance, Du portefeuille de placement vers le portefeuille d'investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas opéré, en 2022, de reclassement au titre du règlement ANC 2014-07. 2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 par rapport à l'amortissement et à la dépréciation des actifs. Il applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l'ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte, la base amortissable tient compte de l'éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Le coût d'acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d'achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l'acquisition pour la mise en état d'utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ». Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition. Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constituées depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constituées depuis leur date d'acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constituées depuis leur date d'achèvement. A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation. Le mali technique de fusion est comptabilisé au bilan selon les rubriques d'actifs auxquelles il est affecté, en « Autres immobilisations corporelles, incorporelles, financières… ». Le mali est amorti, déprécié, sorti du bilan selon les mêmes modalités que l'actif sous-jacent. Les immobilisations sont amorties en fonction de leur durée estimée d'utilisation. Les composants et durées d'amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée , suite à l'application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d'amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d'amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 25 ans Second œuvre 8 à 20 ans Installations techniques 5 à 15 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans (linéaire) Matériel spécialisé 4 à 5 ans (linéaire) Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante. 2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée résiduelle ou la nature de ces dettes : dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit, comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole, comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière). Les comptes d'épargne à régime spécial sont présentés après compensation avec la créance sur le fonds d'épargne (au titre de l'épargne réglementée et centralisée par la Caisse des dépôts et consignations). Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie. Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. 2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire, titres de créances négociables, emprunts obligataires et autres titres de dettes, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ». Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ». Les primes de remboursement et les primes d'émission des dettes représentées par des titres sont amorties selon la méthode de l'amortissement actuariel. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique également la méthode d'étalement des frais d'emprunts dans ses comptes individuels. Les commissions de services financiers versées aux Caisses régionales sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ». 2.6. Provisions. — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 pour la comptabilisation et l'évaluation des provisions. Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers. Les provisions incluent également les risques-pays. L'ensemble de ces risques fait l'objet d'un examen trimestriel. Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d'opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement. La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d'une part, à l'obligation de rémunérer l'épargne dans le futur à un taux fixé à l'ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d'autre part, à l'octroi d'un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d'épargne-logement à un taux déterminé fixé à l'ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l'ensemble des comptes d'épargne-logement, sachant qu'il n'y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : le comportement des souscripteurs, ainsi que l'estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d'observations historiques de longue période. la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07. Provision pour risques sur GIE d'investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net. 2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — Les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire. Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a constitué une provision dont le stock s'élève à 53 millions d'euros au 31/12/2022 contre 50,1 millions d'euros au 31/12/2021 soit une variation de 5.8%. 2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions du règlement ANC 2014-07. Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours. Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie : — Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable. Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont inscrits prorata temporis dans la rubrique « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés. — Opérations de marché : Les opérations de marché regroupent : Les positions ouvertes isolées (catégorie « a » de l'article 2522-1 du règlement ANC 2014-07), La gestion spécialisée d'un portefeuille de transaction (catégorie « d » de l'article 2522 du règlement ANC 2014-07). Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture. Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s'il existe un marché actif, ou à l'aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l'absence de marché actif. Pour les instruments : En position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé ; En position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, les charges et produits sont inscrits en résultat prorata temporis. De plus, seules les pertes latentes éventuelles sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement ; Faisant partie d'un portefeuille de transaction, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé. Risque de contrepartie sur les dérivés. — Conformément au règlement ANC 2014-07, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée intègre l'évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories a et d de l'article 2522-1. du règlement précité) font l'objet d'un calcul de risque de contrepartie sur les dérivés actifs. (CVA - Credit Valuation Adjustment ). Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l'utilisation de données d'entrée observables. Elle repose : Prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels ; En l'absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d'une approximation fondée sur la base d'un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. Opérations complexes. — Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d'instruments (de types, natures et modes d'évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d'une réglementation explicite et qui implique, de la part de l'établissement, un choix de principe. 2.9. Opérations en devises. — A chaque arrêté, les créances et les dettes ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors-bilan libellés en devises sont convertis au cours de change en vigueur à la date d'arrêté. Les produits perçus et les charges payées sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture. 2.10. Intégration des succursales à l'étranger. — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées. Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques. Les règles de conversion en euros sont les suivantes : Les postes de bilan sont convertis au cours de clôture, Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture. Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ». 2.11. Engagements hors-bilan. — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus. Le cas échéant, les engagements donnés font l'objet d'une provision lorsqu'il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie. 2.12. Participation des salariés aux fruits de l'expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l'expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né. L'intéressement est couvert par l'accord du 04 juin 2020. La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ». 2.13. Avantages au personnel postérieurs à l'emploi. Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d'indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies. — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a appliqué la recommandation 2013-02 de l'Autorité des normes comptables relative aux règles de comptabilisation et d'évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans le règlement ANC 2014-03. Cette recommandation a été modifiée par l'ANC le 5 novembre 2021. Elle permet, pour les régimes à prestations définies conditionnant l'octroi d'une prestation à la fois en fonction de l'ancienneté, pour un montant maximal plafonné et au fait qu'un membre du personnel soit employé par l'entité lorsqu'il atteint l'âge de la retraite, de déterminer la répartition des droits à prestation de manière linéaire à partir de : soit la date de prise de service du membre du personnel soit la date à partir de laquelle chaque année de service est retenue pour l'acquisition des droits à prestation. En application de ce règlement, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Ces engagements sont évalués en fonction d'un ensemble d'hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. Depuis 2021, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique la détermination de la répartition des droits à prestation de manière linéaire à partir de la date à laquelle chaque année de service est retenue pour l’acquisition des droits à prestation (i.e. convergence avec la décision IFRS IC d’avril 2021 portant sur IAS 19). Pour l'exercice 2022, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée maintient sa méthode historique de détermination de la répartition des droits à prestation de manière linéaire à partir de la date de prise de service du membre du personnel. Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l'exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime (méthode du corridor), par conséquent le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l'obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement, majorée des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler, diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d'assurance éligible. Dans le cas où l'obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l'obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Plans de retraite – régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n'ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n'ont pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l'exercice écoulé. Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « Frais de personnel ». 2.14. Souscription d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise. Souscriptions d'actions dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise. — Les souscriptions d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 30 %, ne comportent pas de période d'acquisition des droits mais sont grevées d'une période d'incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d'actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital. 2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée. 2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D'une façon générale, seul l'impôt exigible est constaté dans les comptes individuels. La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre la contribution sociale sur les bénéfices. Les revenus de créances et de portefeuilles titres sont comptabilisés nets de crédits d'impôts. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d'intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate dans ses comptes la dette d'impôt dont elle est redevable au titre de cette convention fiscale. Note 3. – Créances sur les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Établissements de crédit : Comptes et prêts : A vue 160 564 160 564 165 160 729 10 059 A terme (1) 26 884 26 884 33 26 917 21 177 Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 157 Total 160 564 26 884 187 448 198 187 646 31 393 Dépréciations Valeur nette au bilan 187 646 31 393 Opérations internes au Crédit Agricole : Comptes ordinaires 391 187 391 187 391 187 821 202 Comptes et avances à terme 3 725 40 174 658 373 237 601 939 873 6 290 946 163 267 214 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Total 394 912 40 174 658 373 237 601 1 331 060 6 290 1 337 350 1 088 416 Dépréciations Valeur nette au bilan 1 337 350 1 088 416 Total 1 524 996 1 119 809 Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 157 milliers d'euros. Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n'est éligible au refinancement de la banque centrale. Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes. Note 4. – Op é rations avec la clientèle. Au 31 décembre 2022, dans le cadre des mesures de soutien à l'économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19, le montant des encours de prêts garantis par l'Etat (PGE) accordés par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée s'élève à 221 576 milliers d'euros contre 222 313 milliers d’euros au 31 décembre 2021. 4.1. Opérations avec la clientèle - analyse par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Créances commerciales 1 684 321 693 718 3 416 3 416 4 406 Autres concours à la clientèle 284 171 527 298 1 953 440 3 240 105 6 005 014 25 414 6 030 428 5 932 506 Valeurs reçues en pension livrée Comptes ordinaires débiteurs 15 230 15 230 104 15 334 20 896 Dépréciations -129 917 -120 842 Valeur nette au bilan 5 919 261 5 836 966 Les prêts subordonnés et participatifs consentis à la clientèle s'élèvent à 419 milliers d'euros. Parmi les créances sur la clientèle 2 018 515 milliers d'euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2022 contre 2 204 081 milliers d'euros au 31 décembre 2021. Le montant des créances restructurées pour difficultés financières inscrites en encours douteux au moment de la restructuration s'élève à 26 564 milliers au 31 décembre 2022 d'euros contre 27 958 milliers d'euros au 31 décembre 2021. Elles conservent la qualification de « créances restructurées » jusqu'à la fin de leur vie. 4.2. Opérations avec la clientèle - Analyse par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 France (y compris DOM-TOM) 5 828 026 5 714 348 Autres pays de l'U.E. 189 192 212 720 Autres pays d'Europe 4 469 3 421 Amérique du Nord 1 204 1 470 Amérique Centrale et du Sud 1 Afrique et Moyen-Orient 723 686 Asie et Océanie (hors Japon) 4 16 Japon 41 Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 6 023 660 5 932 661 Créances rattachées 25 518 25 147 Dépréciations -129 917 -120 842 Valeur nette au bilan 5 919 261 5 836 966 4.3. Opérations avec la clientèle - Encours douteux et dépréciations par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis France (y compris DOM-TOM) 5 848 024 127 122 66 931 -80 757 -53 463 5 730 581 106 961 68 487 -69 819 -52 544 Autres pays de l'U.E. 194 696 73 959 70 751 -49 154 -48 358 217 986 78 361 74 500 -51 011 -50 556 Autres pays d'Europe 4 472 1 7 067 14 6 -7 Amérique du Nord 1 216 1 471 Amérique Centrale et du Sud 1 Afrique et Moyen-Orient 724 6 6 -6 687 5 5 -5 Asie et Océanie (hors Japon) 4 16 Japon 41 Non ventilés et organismes internationaux Total 6 049 178 201 088 137 688 -129 917 -101 821 5 957 808 185 341 142 998 -120 842 -103 100 4.4. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Particuliers 2 936 088 87 247 68 138 -51 467 -45 724 2 919 915 91 294 73 618 -53 443 -48 365 Agriculteurs 426 420 21 337 11 443 -12 871 -9 191 424 917 17 245 10 957 -10 864 -8 721 Autres professionnels 940 059 45 155 30 721 -29 533 -23 075 933 693 39 450 31 463 -26 373 -23 103 Clientèle financière 182 898 1 904 963 -1 478 -849 157 939 1 383 1 159 -1 017 -792 Entreprises 1 004 985 39 980 20 984 -29 188 -17 619 948 443 30 430 20 268 -23 611 -16 587 Collectivités publiques 533 553 5 435 5 435 -5 359 -5 359 548 566 5 527 5 527 -5 527 -5 527 Autres agents économiques 25 175 30 4 -21 -4 24 335 12 6 -7 -5 Total 6 049 178 201 088 137 688 -129 917 -101 821 5 957 808 185 341 142 998 -120 842 -103 100 Note 5. – Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Transaction Placement Titres de l'activité de portefeuille Investissement Total Total Effets publics et valeurs assimilées : 92 350 92 350 97 553 Dont surcote restant à amortir 1 282 1 282 1 371 Dont décote restant à amortir -38 -38 -38 Créances rattachées 1 172 1 172 1 277 Dépréciations Valeur nette au bilan 93 522 93 522 98 830 Obligations et autres titres à revenu fixe : Emis par organismes publics 14 969 14 969 15 420 Autres émetteurs 1 081 222 900 223 981 190 802 Dont surcote restant à amortir 358 358 224 Dont décote restant à amortir -224 -224 -29 Créances rattachées 3 1 412 1 415 1 144 Dépréciations -42 -2 174 -2 216 -2 188 Valeur nette au bilan 1 042 237 107 238 149 205 178 Actions et autres titres à revenu variable 60 486 60 486 59 427 Créances rattachées Dépréciations -749 -749 -161 Valeur nette au bilan 59 737 59 737 59 266 Total 60 779 330 629 391 408 363 274 Valeurs estimatives 60 777 304 833 365 610 376 945 Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement est nulle au 31 décembre 2022, contre 702 milliers d'euros au 31 décembre 2021. La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse. La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à 261 milliers d'euros au 31 décembre 2022, contre 15 605 milliers d'euros au 31 décembre 2021. La valeur estimée des moins-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à -25 646 milliers d'euros au 31 décembre 2022, contre -2 393 milliers d'euros au 31 décembre 2021. 5.1. Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie : (En milliers d'euros) 31/12/2022 31/12/2021 Administration et banques centrales (y compris Etats) 10 483 15 420 Etablissements de crédit 40 801 35 980 Clientèle financière 175 979 169 727 Collectivités locales 4 484 Entreprises, assurances et autres clientèles 67 689 44 522 Divers et non ventilés Total en principal 299 436 265 649 Créances rattachées 1 415 1 144 Dépréciations -2 965 -2 349 Valeur nette au bilan 297 886 264 444 5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Titres à revenu fixe ou variable 238 950 92 350 60 486 391 786 206 222 97 553 59 427 363 202 Dont titres cotés 126 684 92 350 219 034 94 195 97 553 191 748 Dont titres non cotés (1) 112 266 60 486 172 752 112 027 59 427 171 454 Créances rattachées 1 415 1 172 2 587 1 144 1 277 2 421 Dépréciations -2 216 -749 -2 965 -2 188 -161 -2 349 Valeur nette au bilan 238 149 93 522 59 737 391 408 205 178 98 830 59 266 363 274 (1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante : – OPCVM français 59 737 milliers d'euros (dont OPCVM français de capitalisation 59 737 milliers d'euros) Les OPCVM figurent à l'actif du bilan pour 59 737 d'euros. Leur valeur estimative au 31 décembre 2022 s'élève à 59 737 d'euros. La répartition de l'ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2022 : (En milliers d'Euros) Valeur d'inventaire Valeur liquidative OPCVM monétaires OPCVM obligataires 58 313 58 313 OPCVM actions 1 424 1 424 OPCVM autres Total 59 737 59 737 5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Obligations et autres titres à revenu fixe Valeur brute 1 354 47 246 190 350 238 950 1 415 240 365 207 366 Dépréciations -2 216 -2 188 Valeur nette au bilan 1 354 47 246 190 350 238 950 1 415 238 149 205 178 Effets publics et valeurs assimilées Valeur brute 8 625 41 947 41 778 92 350 1 172 93 522 98 830 Dépréciations Valeur nette au bilan 8 625 41 947 41 778 92 350 1 172 93 522 98 830 5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Encours bruts Dont Encours douteux Encours bruts Dont Encours douteux France (y compris DOM-TOM) 308 651 285 795 Autres pays de l'U.E. 21 294 16 624 Autres pays d'Europe Amérique du Nord 1 355 1 354 1 356 1 356 Amérique Centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total en principal 331 300 1 354 303 775 1 356 Créances rattachées 2 587 821 2 421 821 Dépréciations -2 216 -2 174 -2 188 -2 176 Valeur nette au bilan 331 671 1 304 008 1 Note 6. – Titres de participation et de filiales. Sauf mention spécifique, les données présentées sont des informations au 31 décembre 2022. 3175 232410 0 0 — Valeur estimative des titres de participation : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Parts dans les entreprises liées Titres non cotés 4 005 3 299 Titres cotés Avances consolidables 660 963 Créances rattachées Dépréciations -4 665 -4 262 Valeur nette au bilan Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Titres non cotés 506 783 750 114 501 298 719 574 Titres cotés Avances consolidables 21 960 21 900 14 333 14 273 Créances rattachées 74 74 65 65 Dépréciations -7 824 -7 868 Sous-total titres de participation 520 993 772 088 507 828 733 912 Autres titres détenus à long terme Titres non cotés 6 847 7 150 5 376 5 376 Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations -88 -46 Sous-total autres titres détenus à long terme 6 759 7 150 5 330 5 376 Valeur nette au bilan 527 752 779 238 513 158 739 288 Total des titres de participation 527 752 779 238 513 158 739 288 (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Total valeurs brutes Titres non cotés 517 635 509 973 Titres cotés Total 517 635 509 973 Les valeurs estimatives sont déterminées d'après la valeur d'utilité des titres ; celle-ci n'est pas nécessairement la valeur de marché. Note 7. – Variation de l'actif immobilis é — Immobilisations financières : (En milliers d'Euros) 01/01/2022 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements (1) 31/12/2022 Parts dans les entreprises liées Valeurs brutes 3 299 706 4 005 Avances consolidables 963 -303 660 Créances rattachées Dépréciations -4 262 -706 303 -4 665 Valeur nette au bilan Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Valeurs brutes 501 298 5 485 506 783 Avances consolidables 14 333 13 119 -5 492 21 960 Créances rattachées 65 9 74 Dépréciations -7 868 -182 226 -7 824 Sous-total titres de participation 507 828 18 431 -5 266 520 993 Autres titres détenus à long terme Valeurs brutes 5 376 1 474 -3 6 847 Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations -46 -46 4 -88 Sous-total autres titres détenus à long terme 5 330 1 428 1 6 759 Valeur nette au bilan 513 158 19 859 -5 265 527 752 Total 513 158 19 859 -5 265 527 752 (1) La rubrique "autres mouvements" présente notamment l'effet des variations de cours de change sur la valeur des actifs immobilisés en devises. — Immobilisations corporelles et incorporelles : (En milliers d'Euros) 01/01/2022 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements (1) 31/12/2022 Immobilisations corporelles Valeurs brutes 137 554 8 922 -4 789 141 687 Amortissements et dépréciations -110 510 -3 982 4 463 -110 029 Mali technique de fusion sur immobilisations corporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 27 044 4 940 -326 31 658 Immobilisations incorporelles Valeurs brutes 1 478 58 1 536 Amortissements et dépréciations -571 -62 -633 Mali technique de fusion sur immobilisations incorporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 907 -4 903 Total 27 951 4 936 -326 32 561 Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Autres actifs (1) : Instruments conditionnels achetés Comptes de stock et emplois divers 8 239 9 902 Débiteurs divers (2) 48 781 112 821 Gestion collective des titres Livret de développement durable Comptes de règlement 11 17 Valeur nette au bilan 57 031 122 740 Comptes de régularisation : Comptes d'encaissement et de transfert 16 952 7 292 Comptes d'ajustement et comptes d'écart 3 10 Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers 29 41 Charges constatées d'avance 251 1 803 Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme 5 220 5 677 Autres produits à recevoir 24 025 20 913 Charges à répartir Autres comptes de régularisation 1 243 1 913 Valeur nette au bilan 47 723 37 649 Total 104 754 160 389 (1) Les montants incluent les créances rattachées. (2) dont 1 450 milliers d'euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d'un dépôt de garantie contre 1 143 milliers d’euros au 31 décembre 2021. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l'actif. (En milliers d'euros) Solde au 01/01/2022 Dotations Reprises et utilisations Désactualisation Autres mouvements Solde au 31/12/2022 Sur opérations interbancaires et assimilées Sur créances clientèle 120 842 28 074 -18 522 -477 129 917 Sur opérations sur titres 2 349 618 -2 2 965 Sur valeurs immobilisées 15 910 1 129 -854 16 185 Sur autres actifs 14 699 1 920 -3 201 13 418 Total 153 800 31 741 -22 579 -477 162 485 Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Établissements de crédit : Comptes et emprunts : A vue 46 46 46 195 A terme 2 000 12 700 28 300 43 000 138 43 138 37 027 Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée 38 102 38 102 38 102 Valeur au bilan 46 40 102 12 700 28 300 81 148 138 81 286 37 222 Opérations internes au Crédit Agricole : Comptes ordinaires 3 447 3 447 3 447 2 781 Comptes et avances à terme 319 747 913 849 2 058 553 881 370 4 173 519 3 974 4 177 493 3 815 093 Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 323 194 913 849 2 058 553 881 370 4 176 966 3 974 4 180 940 3 817 874 Total 323 240 953 951 2 071 253 909 670 4 258 114 4 112 4 262 226 3 855 096 Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale. Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle. 11.1. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Comptes ordinaires créditeurs 2 581 770 2 581 770 146 2 581 916 2 568 582 Comptes d'épargne à régime spécial : 20 491 20 491 20 491 20 931 A vue 20 491 20 491 20 491 20 931 A terme Autres dettes envers la clientèle : 32 379 41 493 216 608 51 517 341 997 1 087 343 084 362 833 A vue 2 353 2 353 5 2 358 1 016 A terme 30 026 41 493 216 608 51 517 339 644 1 082 340 726 361 817 Valeurs données en pension livrée Valeur au bilan 2 634 640 41 493 216 608 51 517 2 944 258 1 233 2 945 491 2 952 346 11.2. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par agents économiques : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Particuliers 1 238 564 1 251 209 Agriculteurs 197 718 200 476 Autres professionnels 197 411 207 811 Clientèle financière 200 217 162 133 Entreprises 986 180 1 001 422 Collectivités publiques 15 060 16 772 Autres agents économiques 109 108 110 907 Total en principal 2 944 258 2 950 730 Dettes rattachées 1 233 1 616 Valeur au bilan 2 945 491 2 952 346 Note 12. – Dettes représentées par un titre. 12.1. Dettes représentées par un titre - analyse par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Bons de caisse 6 Titres du marché interbancaire Titres de créances négociables (1) 150 235 Emprunts obligataires Autres dettes représentées par un titre Valeur nette au bilan 150 241 (1) Dont aucun émis à l'étranger. Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Autres passifs (1) Opérations de contrepartie (titres de transaction) Dettes représentatives de titres empruntés Instruments conditionnels vendus Comptes de règlement et de négociation Créditeurs divers 196 941 42 066 Versements restant à effectuer sur titres 5 614 3 152 Valeur au bilan 202 555 45 218 Comptes de régularisation Comptes d'encaissement et de transfert 15 259 7 349 Comptes d'ajustement et comptes d'écart Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers 283 399 Produits constatés d'avance 24 499 25 978 Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme 3 335 3 986 Autres charges à payer 50 522 30 894 Autres comptes de régularisation 12 659 684 Valeur au bilan 106 557 69 290 Total 309 112 114 508 (1) Les montants incluent les dettes rattachées. Note 14. – Provisions. (En milliers d'Euros) Solde au 01/01/2022 Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements Solde au 31/12/2022 Provisions pour engagements de retraite et assimilés Provisions pour autres engagements sociaux 632 -165 467 Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature 5 793 15 684 -250 -13 875 7 352 Provisions pour litiges fiscaux (1) 276 -229 -47 Provisions pour autres litiges 442 603 1 045 Provisions pour risques pays (2) Provisions pour risques de crédit (3) 48 052 98 507 -97 559 49 000 Provisions pour restructurations (4) Provisions pour impôts (5) Provisions sur participations (6) Provisions pour risques opérationnels (7) 1 412 2 128 -1 043 -457 2 040 Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (8) 7 273 -3 701 3 572 Autres provisions (9) 3 313 1 416 -1 359 -211 3 159 Valeur au bilan 67 193 118 338 -2 881 -116 015 66 635 (1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés. (2) La provision pour risques pays couvre le risque de contrepartie sur des débiteurs privés ou publics, lié à la situation économique des pays dont ils dépendent (nationalité et /ou résidence). (3) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles bâlois. (4) Notamment provisions relatives aux fusions, regroupement de moyens …(5) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale(6) Y compris sociétés en participation, GIE, risques immobiliers de participations …(7) Cette provision est destinée à couvrir les risques d'insuffisance de conception, d'organisation et de mise en œuvre des procédures d'enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d'information de l'ensemble des événements relatifs aux opérations de l'établissement.(8) Cf note 15 ci-après(9) Y compris les provisions pour risques sur GIE d'investissement. — Litige image chèque : LCL et Crédit Agricole S.A., ainsi que 10 autres banques, ont reçu en mars 2008 une notification de griefs du Conseil de la concurrence (devenu l'Autorité de la concurrence). Il leur est reproché d'avoir, de façon concertée, mis en place et appliqué des commissions interbancaires dans le cadre de l'encaissement des chèques, depuis le passage à l'échange image chèques, soit depuis 2002 jusqu'en 2007. Selon l'Autorité de la concurrence, ces commissions seraient constitutives d'ententes anticoncurrentielles sur les prix au sens des articles 81, paragraphe 1, du traité instituant la Communauté européenne et de l'article L. 420-1 du Code de commerce, et auraient causé un dommage à l'économie. En défense, les banques ont réfuté catégoriquement le caractère anticoncurrentiel des commissions et contesté la régularité de la procédure suivie. Par décision du 20 septembre 2010, l'Autorité de la concurrence a jugé que la Commission d'Échange Image Chèques (CEIC) était anticoncurrentielle par son objet et qu'elle a eu pour conséquence d'augmenter artificiellement les coûts supportés par les banques remettantes, ce qui a eu un impact défavorable sur le prix des services bancaires. Pour ce qui concerne l'une des commissions pour services connexes dite AOCT (Annulation d'Opérations Compensées à Tort), l'Autorité de la concurrence a enjoint les banques de procéder à la révision de leur montant dans les six mois de la notification de la décision. Les banques mises en cause ont été sanctionnées pour un montant global de 384,92 millions d'euros. LCL et le Crédit Agricole ont été condamnés à payer respectivement 20,7 millions d'euros et 82,1 millions d'euros pour la CEIC et 0,2 million d'euros et 0,8 million d'euros pour l'AOCT. L'ensemble des banques a fait appel de la décision devant la Cour d'appel de Paris. Cette dernière a, par un arrêt du 23 février 2012, annulé la décision estimant que l'Autorité de la concurrence n'avait pas démontré l'existence de restrictions de concurrence constitutives d'une entente par objet. L'Autorité de la concurrence s'est pourvue en cassation le 23 mars 2012.La Cour de cassation a cassé, le 14 avril 2015, la décision de la Cour d'appel de Paris du 23 février 2012 et renvoyé l'affaire devant cette même Cour, autrement composée, au seul motif que les interventions volontaires des associations UFC – Que Choisir et l'ADUMPE devant la Cour d'appel ont été déclarées sans objet, sans que les moyens de ces parties ne soient examinés par la Cour. La Cour de cassation n'a pas tranché l'affaire sur le fond et le Crédit Agricole a saisi la juridiction de renvoi. La Cour d'Appel de Paris a rendu sa décision le 21 décembre 2017. Elle a confirmé la décision de l'Autorité de la concurrence du 20 septembre 2010 tout en réduisant de 82 940 000 euros à 76 560 000 euros les sanctions pécuniaires infligées au Crédit Agricole. La sanction pour LCL est demeurée inchangée à 20 930 000 euros. Comme les autres banques parties à cette procédure, LCL et le Crédit Agricole se sont pourvus en cassation. Par une décision du 29 janvier 2020, la Cour de cassation a cassé l'arrêt de la Cour d'appel de Paris du 21 décembre 2017 au motif que la Cour d'appel n'avait pas caractérisé l'existence de restrictions de concurrence par objet et renvoyé l'affaire devant la Cour d'appel de Paris autrement composée. La Cour d'appel de Paris a rendu un arrêt le 2 décembre 2021 reformant la quasi-intégralité de la décision de l'Autorité de la Concurrence de 2010, condamnant cette dernière aux dépens et ouvrant droit au remboursement des sommes versées par les banques en application de la décision reformée assorties des intérêts au taux légal à compter du 2 décembre 2021. Le 31 décembre 2021, l'Autorité de la concurrence s'est pourvue en cassation contre l'arrêt de la Cour d'appel de Paris du 2 décembre 2021. Du fait du caractère exécutoire de l'arrêt de la Cour d'appel de Paris, un produit de 442 milliers d'euros a été constaté. Néanmoins, compte tenu du pourvoi formé en cassation, une provision de celui-ci a été constatée dans les comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée au 31 décembre 2021. L'Autorité de la concurrence a déposé le 2 mai 2022 un mémoire à l'appui du pourvoi formé contre l'arrêt rendu par la Cour d'appel de Paris le 2 décembre 2021 (soit à l'issue du délai imparti de 4 mois à compter du 31 décembre 2021 pour ce dépôt). Les banques ont déposé en retour un mémoire de défense le 4 juillet 2022, en réponse duquel l'Autorité de la concurrence a déposé un nouveau mémoire le 30 septembre 2022. Les travaux d'analyse de ce document sont en cours, en vue d'un dépôt de réponse courant novembre. Les dates de l'audience et du rendu de la décision de la Cour de cassation ne sont pas encore connues. Dans ce contexte, la provision comptabilisée au 31 décembre 2021 est maintenue dans les comptes du 31 décembre 2022. Note 15. – Epargne logement. — Encours collectés au titre des comptes et plans d'épargne-logement sur la phase d'épargne : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 78 368 68 318 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 121 534 121 977 Ancienneté de plus de 10 ans 734 427 751 468 Total plans d'épargne-logement 934 329 941 763 Total comptes épargne-logement 93 338 85 362 Total encours collectes au titre des contrats épargne-logement 1 027 667 1 027 125 L'ancienneté est déterminée conformément au règlement ANC 2014-07. Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état. — Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d'épargne-logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Plans d'épargne-logement 128 222 Comptes épargne-logement 462 739 Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement 590 961 — Provision au titre des comptes et plans d'épargne-logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 0 110 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 289 3 751 Ancienneté de plus de 10 ans 3 283 3 412 Total plans d'épargne-logement 3 572 7 273 Total comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne-logement 3 572 7 273 La mise à jour selon les modèles actuels du calcul de la provision Epargne Logement, qui démontrent une forte sensibilité aux paramètres de taux et de liquidité et à la projection des encours en risque, aurait entraîné une reprise mécanique de provision sur le S2 2022 du montant provisionné au 30 juin 2022 de 66,4%. Dans un contexte de volatilité des taux, et notamment de hausse rapide depuis un an, à des niveaux inconnus depuis 10 ans, il est apparu pertinent de ne pas comptabiliser une telle reprise de provision afin d'évaluer les impacts de ce nouvel environnement, notamment sur les modèles comportementaux de calcul de la provision, qui a donc été figée à son niveau du 30 juin 2022 (après une reprise de 3 702 milliers d'euros au cours du premier semestre) et nous semble représenter au mieux la réalité des risques à la fin de l'année. Des travaux seront menés en 2023 sur ces modèles pour évaluer leur robustesse dans ce nouveau contexte. Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs à l'emploi, régimes à prestations définies. Les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l'emploi à un ou plusieurs membres de son personnel. Les régimes à prestations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi autres que les régimes à cotisations définies. Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n'aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n'a pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. D’autre part, la recommandation 2013-02, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03, reprend les dispositions de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel, à l’exception de celles relatives aux avantages à court terme et à ceux payés sous forme d’instrument de capitaux propres. — Variations de la dette actuarielle : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Dette actuarielle à l'ouverture 19 840 20 045 Coût des services rendus sur l'exercice 1 844 1 887 Coût financier 129 73 Cotisations employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre 50 -38 Indemnités de cessation d'activité Prestations versées (obligatoire) -1 058 -1 169 (Gains) / pertes actuariels -2 224 -777 Autres mouvements (1) -181 Dette actuarielle à la clôture 18 581 19 840 (1) Les autres mouvements incluent l’alignement du traitement comptable dans les comptes individuels de la modification de la recommandation 2013-02 portant sur le calcul des engagements de retraite et avantages similaires pour un montant de 204 milliers d’euros en 2021. — Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat : (En milliers d'euros) 31/12/2022 31/12/2021 Coût des services rendus 1 844 1 887 Coût financier 129 73 Rendement attendu des actifs -150 -82 Coût des services passés Amortissement des (Gains) / pertes actuariels net 191 270 (Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes (Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif -411 -292 Charge nette comptabilisée au compte de résultat 1 603 1 856 — Variations de juste valeur des actifs des régimes : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Juste valeur des actifs / droits à remboursement à l'ouverture 18 943 18 201 Rendement attendu des actifs 150 82 Gains / (pertes) actuariels 166 61 Cotisations payées par l'employeur 1 537 1 807 Cotisations payées par les employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre 50 -38 Indemnités de cessation d'activité Prestations payées par le fonds -1 058 -1 169 Autres mouvements Juste valeur des actifs / droits à remboursement à la clôture 19 788 18 943 — Composition des actifs des régimes : Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de : 76,8% d'obligations 14,3% d'actions 8,9% d'autres produits — Variations de la provision : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Dette actuarielle à la clôture -18 581 -19 840 Impact de la limitation d'actifs -565 -977 Gains et (pertes) actuariels restant à étaler -598 1 984 Juste valeur des actifs fin de période 19 787 18 943 Position nette (passif) / actifs à la clôture 43 109 613 — Rendement des actifs des régimes : Le rendement attendu des actifs de régime est de 0.86%. — Hypothèses actuarielles utilisées : Le taux d'actualisation utilisé est le taux iBox au 31 décembre 2022. Au 31 décembre 2022, les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : une variation de plus 50bp des taux d'actualisation conduirait à une baisse de l'engagement de 4.79 % ; une variation de moins 50bp des taux d'actualisation conduirait à une hausse de l'engagement de 5.22 %. Note 17. – Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Dettes subordonnées à terme Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Titres et emprunts participatifs Autres emprunts subordonnés à terme Dettes subordonnées à durée indéterminée (1) Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Placement des fonds propres des Caisses Locales 27 607 27 607 11 27 618 22 533 Dépôts de garantie à caractère mutuel Valeur au bilan 27 607 27 607 11 27 618 22 533 (1) durée résiduelle des dettes subordonnées à durée indéterminée positionnées par défaut en > 5 ans. Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 464 milliers d'euros au 31 décembre 2022 contre 238 milliers d'euros au 31 décembre 2021. Note 18. – Variation des capitaux propres (avant répartition) — Variation des capitaux propres : (En milliers d'Euros) Capitaux propres Capital Réserve légale Réserve statutaire Primes, autres réserves et report à nouveau (1) Ecarts conversion / réévaluation Provisions réglementées & subventions d'investissement Résultat Total des capitaux propres Solde au 31/12/2020 28 057 455 663 22 884 282 539 26 475 815 618 Dividendes versés au titre de N-2 -2 260 -2 260 Variation de capital(5) Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-2 18 161 6 054 -24 215 Report à nouveau 204 204 Résultat de l’exercice N-1 31 716 31 716 Autres variations Solde au 31/12/2021 28 057 473 824 22 884 288 797 31 716 845 278 Dividendes versés au titre de N-1 -2 847 -2 847 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-1 21 804 7 268 -29 073 -1 Report à nouveau -204 204 Résultat de l’exercice N 32 296 32 296 Autres variations Solde au 31/12/2022 28 057 495 628 22 884 295 861 32 296 874 726 (1) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros de primes de fusion. Note 19. – Composition des capitaux propres. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Capitaux propres hors FRBG 874 726 845 278 Fonds pour risques bancaires généraux 53 008 50 057 Total des capitaux propres 927 734 895 335 Par ailleurs, les dettes subordonnées et titres participatifs s'élèvent à 27 618 milliers d'euros au 31 décembre 2022 contre 22 533 milliers d'euros au 31 décembre 2021. Note 20. – Op é rations effectuées en devises. — Contributions par devise au bilan : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Actif Passif Actif Passif Euro 8 615 658 8 423 652 8 133 541 7 982 503 Autres devises de l’Union Europ 23 23 18 18 Franc suisse 267 267 245 245 Dollar 2 047 2 047 2 060 2 060 Yen Autres devises 915 915 206 206 Valeur brute 8 618 910 8 426 904 8 136 070 7 985 032 Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation 82 390 111 912 74 982 72 220 Dépréciations -162 484 -153 800 Total 8 538 816 8 538 816 8 057 252 8 057 252 Note 21. – Op é rations de change, prêts et emprunts en devises. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 A recevoir A livrer A recevoir A livrer Opérations de change au comptant Devises Euros Opérations de change à terme 2 773 2 770 6 919 6 910 Devises 1 372 1 372 3 507 3 507 Euros 1 401 1 398 3 412 3 403 Prêts et emprunts en devises Total 2 773 2 770 6 919 6 910 Note 22. – Op é rations sur instruments financiers à terme. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Opérations de couverture Opérations autres que de couverture Total Total Opérations fermes 2 040 592 1 304 2 041 896 1 861 151 Opérations sur marchés organisés (1) Contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations de gré à gré (1) 2 040 592 1 304 2 041 896 1 861 151 Swaps de taux d'intérêt 2 040 592 979 2 041 571 1 860 826 Autres contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change FRA Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers 325 325 325 Autres contrats à terme Opérations conditionnelles Opérations sur marchés organisés Instruments de taux d'intérêt à terme Achetés Vendus Instruments sur action et indices boursiers à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Opérations de gré à gré Options de swaps de taux Achetées Vendues Instruments de taux d'intérêts à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés Vendus Instruments sur actions et indices boursiers à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Dérivés de crédit Contrats de dérivés de crédit Achetés Vendus Total 2 040 592 1 304 2 041 896 1 861 151 [(1) Les montants indiqués sur les opérations fermes correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats).] 22.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) Total 31/12/2022 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 291 423 668 251 1 081 897 291 423 668 251 1 081 897 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices 325 325 Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 291 423 668 576 1 081 897 291 423 668 576 1 081 897 Swaps de devises Opérations de change à terme 5 543 5 543 Sous total 5 543 5 543 Total 296 966 668 576 1 081 897 296 966 668 576 1 081 897 (En milliers d'Euros) Total 31/12/2021 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 316 614 669 336 874 876 316 614 669 336 874 876 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices 325 325 Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 316 614 669 661 874 876 316 614 669 661 874 876 Swaps de devises Opérations de change à terme 13 830 13 830 Sous total 13 830 13 830 Total 330 444 669 661 874 876 330 444 669 661 874 876 22.2. Instruments financiers à terme : juste valeur : (En milliers d'Euros) Juste Valeur Positive au 31/12/2022 Juste Valeur Négative au 31/12/2022 Encours Notionnel au 31/12/2022 Juste Valeur Positive au 31/12/2021 Juste Valeur Négative au 31/12/2021 Encours Notionnel au 31/12/2021 Futures Options de change Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 164 239 15 550 2 041 571 20 784 82 614 1 860 826 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices 325 325 325 325 Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 164 564 15 550 2 041 896 21 109 82 614 1 861 151 Swaps de devises Opérations de change à terme 2 773 2 770 5 543 6 919 6 911 13 830 Sous total 2 773 2 770 5 543 6 919 6 911 13 830 Total 167 337 18 320 2 047 439 28 028 89 525 1 874 981 22.3. Information sur les Swaps : — Ventilation des swaps de taux d'intérêt : (En milliers d'Euros) Position ouverte isolée Micro-couverture Macro-couverture Portefeuille de transaction Swaps de taux 979 239 302 1 801 290 Contrats assimilés (1) Note 23. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits dérivés. L'évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l'établissement mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l'application de facteurs de majoration (add-on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante : — Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur de marché Risque de crédit potentiel (*) Total risque de contrepartie Valeur de marché Risque de crédit potentiel Total risque de contrepartie Risques sur les gouvernements et banques centrales de l’OCDE et organismes assimilés Risques sur les établissements financiers de l’OCDE et organismes assimilés 150 669 8 748 176 089 26 001 7 709 33 710 Risques sur les autres contreparties -6 3 3 170 30 200 Total avant effet des accords de compensation 150 663 8 751 176 092 26 171 7 739 33 910 Dont risques sur contrats de : - Taux d'intérêt, change et matières premières 150 663 8 751 176 092 26 171 7 739 33 910 - Dérivés actions et sur indices Total avant effet des accords de compensation 150 663 8 751 176 092 26 171 7 739 33 910 Incidences des accords de compensation et de collatérisation Total après effet des accords de compensation et de collatérisation 150 663 8 751 176 092 26 171 7 739 33 910 (*) Calculé selon les normes prudentielles CRR2 / CRD5 Note 24. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Engagements donnés : Engagements de financement 513 641 509 700 Engagements en faveur d'établissements de crédit Engagements en faveur de la clientèle 513 641 509 700 Ouverture de crédits confirmés 175 028 190 371 Ouverture de crédits documentaires 200 1 321 Autres ouvertures de crédits confirmés 174 828 189 050 Autres engagements en faveur de la clientèle 338 613 319 329 Engagements de garantie 221 787 210 795 Engagements d'ordre d'établissement de crédit 4 646 6 429 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires Autres garanties 4 646 6 429 Engagements d'ordre de la clientèle 217 141 204 366 Cautions immobilières 12 268 15 223 Autres garanties d'ordre de la clientèle 204 873 189 143 Engagements sur titres 2 307 196 Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements à donner 2 307 196 Engagements reçus : Engagements de financement 5 638 7 154 Engagements reçus d'établissements de crédit 5 638 7 154 Engagements reçus de la clientèle Engagements de garantie 1 898 323 1 812 001 Engagements reçus d'établissements de crédit 232 573 228 055 Engagements reçus de la clientèle 1 665 750 1 583 946 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées 504 465 508 232 Autres garanties reçues 1 161 285 1 075 714 Engagements sur titres 2 307 196 Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements reçus 2 307 196 Dans le cadre des mesures de soutien à l'économie à la suite de la crise sanitaire liée à la COVID-19, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a accordé des prêts pour lesquels elle a reçu des engagements de garantie de l'Etat français (PGE). Au 31 décembre 2022, le montant de ces engagements de garantie reçus s'élève à 168 985 milliers d'euros contre 193 439 milliers d’euros au 31 décembre 2021. Note 25. – Actifs donnes et reçus en garantie. — Créances apportées en garantie : Au cours de l'année 2022, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a apporté 2 513 877 milliers d'euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 2 657 323 milliers d'euros en 2021. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a apporté : 1 994 929 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 2 176 753 milliers d'euros en 2021 ; 71 986 milliers d'euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 90 523 milliers d'euros en 2021 ; 446 961 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 390 047 milliers d'euros en 2021 . Note 26. – Produits nets d'intérêts et revenus assimilés. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Sur opérations avec les établissements de crédit 2 178 4 185 Sur opérations internes au Crédit Agricole 16 542 17 880 Sur opérations avec la clientèle 114 149 114 432 Sur obligations et autres titres à revenu fixe 3 363 3 050 Produit net sur opérations de macro-couverture Sur dettes représentées par un titre 2 862 4 343 Autres intérêts et produits assimilés 21 149 Intérêts et produits assimilés 139 115 144 039 Sur opérations avec les établissements de crédit -2 048 -4 263 Sur opérations internes au Crédit Agricole -28 415 -20 442 Sur opérations avec la clientèle -11 285 -14 592 Charge nette sur opérations de macro-couverture -1 837 -9 194 Sur obligations et autres titres à revenu fixe Sur dettes représentées par un titre -8 437 -9 662 Autres intérêts et charges assimilées -6 Intérêts et charges assimilées -52 028 -58 153 Total produits nets d'intérêts et revenus assimiles (1) 87 087 85 886 (1) Le montant des charges nettes d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2022 est de 464 milliers d'euros, contre 238 milliers d'euros au 31 décembre 2021. Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d'opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques. Note 27. – Revenus des titres à revenus variables. (En milliers d'euros) 31/12/2022 31/12/2021 Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme 22 181 14 929 Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille Opérations diverses sur titres Total des revenus des titres à revenus variables 22 181 14 929 Note 28. – Produit net des commissions. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 272 -31 241 146 -26 120 Sur opérations internes au crédit agricole 6 661 -20 472 -13 811 4 514 -19 114 -14 600 Sur opérations avec la clientèle 22 166 -100 22 066 20 917 -138 20 779 Sur opérations sur titres Sur opérations de change 26 26 24 24 Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan Sur prestations de services financiers (1) 61 921 -7 823 54 098 57 298 -7 144 50 154 Provision pour risques sur commissions 256 -259 -3 217 -239 -22 Total produit net des commissions 91 302 -28 685 62 617 83 116 -26 661 56 455 (1) Dont prestations assurance-vie : 13 684 milliers d'euros. Note 29. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Solde des opérations sur titres de transaction Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés 168 153 Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme 29 29 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation 197 182 Note 30. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Titres de placement Dotations aux dépréciations -618 -25 Reprises de dépréciations 20 Dotations ou reprises nettes aux dépréciations -618 -5 Plus-values de cession réalisées 1 Moins-values de cession réalisées -1 -259 Solde des plus et moins-values de cession réalisées -259 Solde des opérations sur titres de placement -618 -264 Titres de l'activité de portefeuille Dotations aux dépréciations Reprises de dépréciations Dotations ou reprises nettes aux dépréciations Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées Solde des plus et moins-values de cession réalisées Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimiles -618 -264 Note 31. – Autres produits et charges d'exploitation bancaire. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Produits divers 2 304 2 706 Quote-part des opérations faites en commun Refacturation et transfert de charges 1 7 Reprises provisions 113 482 Autres produits d'exploitation bancaire 2 418 3 195 Charges diverses -195 -334 Quote-part des opérations faites en commun -350 -324 Refacturation et transfert de charges Dotations provisions -635 -618 Autres charges d'exploitation bancaire -1 180 -1 276 Total autres produits et charges d'exploitation bancaire 1 238 1 919 Charges générales d'exploitation (En milliers d'euros) 31/12/2022 31/12/2021 Frais de personnel : Salaires et traitements -38 340 -35 204 Charges sociales -18 370 -18 527 Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies -4 183 -3 940 Intéressement et participation -5 348 -5 041 Impôts et taxes sur rémunérations -5 639 -5 345 Total des charges de personnel -67 697 -64 117 Refacturation et transferts de charges de personnel 3 045 3 084 Frais de personnel nets -64 652 -61 033 Frais administratifs : Impôts et taxes -2 125 -2 419 Services extérieurs, autres frais administratifs et contributions règlementaires (1) -41 474 -36 770 Total des charges administratives -43 599 -39 189 Refacturation et transferts de charges administratives 465 594 Frais administratifs nets -43 134 -38 595 Charges générales d'exploitation -107 786 -99 628 (1) Dont 1 502 milliers d'euros au titre du fonds de résolution unique au titre de l'exercice — Effectif moyen : Effectif par catégorie : (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) : Catégories de personnel 31/12/2022 31/12/2021 Cadres 175 165 Non cadres 732 734 Total de l'effectif moyen 907 899 Dont : - France 893 886 - Etranger 14 13 Dont : Personnel mis à disposition Le montant global des rémunérations des organes d'administration et de direction s'élève à 1 981 milliers d'euros. Note 33. – Co û t du risque. (En milliers d'euros) 31/12/2022 31/12/2021 Dotations aux provisions et dépréciations -145 410 -127 443 Dépréciations de créances douteuses -26 664 -18 657 Autres provisions et dépréciations -118 746 -108 786 Reprises de provisions et dépréciations 134 293 128 758 Reprises de dépréciations de créances douteuses (1) 17 836 19 016 Autres reprises de provisions et dépréciations (2) 116 457 109 742 Variation des provisions et dépréciations -11 117 1 315 Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3) -532 -163 Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4) -5 503 -4 495 Décote sur prêts restructurés Récupérations sur créances amorties 660 415 Autres pertes -1 145 -213 Autres produits Co û t du risque -17 637 -3 141 (1) Dont 3 233 milliers d'euros utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses non compromises et 477 milliers d'euros liés à l'effet de désactualisation des dépréciations sur créances douteuses. (2) dont 1 272 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif (3) dont 18 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises (4) dont 2 271 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises. Note 34. – Résultat net sur actifs immobilisés. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Immobilisations financières Dotations aux dépréciations -934 -1 182 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -934 -1 182 Reprises de dépréciations 533 185 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 533 185 Dotation ou reprise nette aux dépréciations -401 -997 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -401 -997 Plus-values de cessions réalisées 60 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 60 Moins-values de cessions réalisées -63 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -63 Pertes sur créances liées à des titres de participation Solde des plus et moins-values de cessions -3 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -3 Solde en perte ou en bénéfice -401 -1 000 Immobilisations corporelles et incorporelles Plus-values de cessions 485 205 Moins-values de cessions -196 -187 Solde en perte ou en bénéfice 289 18 Résultat net sur actifs immobilises -112 -982 Note 35. – Charges et produits exceptionnels. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l'exercice 2022. Note 36. – Impôt sur les bénéfices. Cet agrégat comprend la charge relative à l'impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risque fiscaux. La charge fiscale de l'exercice s'élève à 8 195 milliers d'euros. — Ventilation de l’impôt : Base du taux d'imposition 28 469 Taux 25% (1) 7 117 Abattement contribution sociale sur les bénéfices -763 Taux 3,3% contribution sociale 210 IS avant imputation des crédits d'impôt 7 327 Crédit impôt -87 IS après imputation des crédits d'impôt 7 240 Produits d'IS Intégration fiscale Caisse Régionale + Sud Med Immobilier 1 023 Ecart d'IS 19 Produit CI PTZ -212 Divers -1 786 Total retraitements -956 Charge fiscale 8 195 (1) Dont 1,8 M€ au titre de la réévaluation, au taux d’impôt sur les sociétés en vigueur, des créances d’impôt relatives aux prêts à taux zéro. — Intégration fiscale : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d'impôt résultant de la réallocation de l'économie d'IS liées aux dividendes intragroupe pour 1 023 milliers d'euros. Note 37. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur "banque de proximité en France", toutefois il convient de noter l'activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédit). 37.1. Résultat courant par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 171 263 105 683 3 791 61 789 17 869 43 920 84 44 004 Autres pays de l'U.E. 1 438 1 977 58 -598 -232 -365 -196 -561 Résultat courant avant impôt 172 701 107 660 3 849 61 191 17 637 43 555 -112 43 443 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 157 584 -97 966 -5 224 54 395 5 142 49 252 -852 48 400 Autres pays de l'U.E. 1 523 -1 662 -68 -208 -2 001 1 794 -130 1 664 Résultat courant avant impôt 159 107 -99 628 -5 292 54 187 3 141 51 046 -982 50 064 Note 38. – Evènements postérieurs à la clôture susceptibles de remettre en cause la continuité de l'exploitation. Néant. Note 39. – Affectation des résultats. Résultat des comptes individuels 2022 32 295 558,17 € Report à nouveau Résultat de l'exercice à affecter 32 295 558,17 € Résultat distribué 2 985 822,36 € Intérêts parts sociales Caisse Régionale (2,67%) 561 848,97 € Rémunération des CCA 2 423 973,39 € Résultat conservé 29 309 735,81 € Réserves légales (75% du disponible) 21 982 301,86 € Autres réserves 7 327 433,95 € Note 40. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un Etat ou un territoire non coopératif au sens de l'article 238-0 A du Code général des impôts. Note 41. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes. Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée. (En milliers d'euros hors taxes) Ernst & Young % KPMG % Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels (*) 93 54,1 59 34,3 Services autres que la certification des comptes 5 2,9 15 8,7 Total 98 57 74 43 (*) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes. Note 42. – Attestation des commissaires aux comptes et publicité. Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan. Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels. (Exercice clos le 31 décembre 2022.) À l'Assemblée générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, Opinion En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée générale, nous avons effectué l’audit des comptes annuels de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2022, tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la Caisse régionale à la fin de cet exercice. L'opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au Comité d’audit. Fondement de l’opinion  Référentiel d'audit  Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie "Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l'audit des comptes annuels" du présent rapport. Indépendance  Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance prévues par le Code de commerce et par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes sur la période du 1er janvier 2022 à la date d’émission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014. Justification des appréciations - Points clés de l'audit. En application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d'anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le contexte de l'audit des comptes annuels pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n'exprimons pas d'opinion sur des éléments de ces comptes annuels pris isolément. Dépréciation des crédits sur une base individuelle  Risque identifié  Du fait de son activité, votre Caisse régionale est exposée à un risque significatif de crédits sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture. Comme indiqué dans la note 2.1 « Créances et engagements par signature » de l’annexe aux comptes annuels, les créances présentant un risque de crédit avéré donnent lieu à la comptabilisation d’une dépréciation correspondant à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d’intérêt effectif, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la Direction de votre Caisse régionale est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations des crédits portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture comme un point clé de l’audit des comptes annuels en raison de leur importance dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés actualisés dans le contexte macro-économique de l’exercice 2022 tel qu’indiqué en note 2.1 de l’annexe aux comptes annuels. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles présentées dans la note 4.4 de l’annexe aux comptes annuels, qui s’élève à 129,9 M€. Notre réponse Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la direction, dans le contexte macroéconomique particulier de l’exercice 2022, pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : mené des entretiens au cours de l’exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de votre Caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte comptabilisation ; testé l’efficacité des contrôles jugés clés mis en œuvre par votre Caisse régionale relatifs à ces procédures ; analysé les hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit en prenant en compte, le cas échéant, l’impact du contexte macro-économique sur ces flux ou les garanties spécifiques liées aux plans de soutien à l’économie ; mis en œuvre des procédures analytiques sur la couverture des encours douteux. Provisions sur encours sains et dégradés : Risque identifié  Comme indiqué dans la note 2.1 de l’annexe aux comptes annuels, votre Caisse régionale constate au titre des expositions de crédits au passif de son bilan des provisions pour couvrir les risques de crédit attendus sur les douze mois à venir (expositions qualifiées de saines) ou sur la durée de vie de l’encours dès lors que la qualité de crédit de l’exposition s’est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions reposent sur des estimations qui intègrent des paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut selon des modèles internes de risque de crédit, en tenant compte de données macro-économiques prospectives (Forward Looking) appréciées au niveau de votre groupe et au regard de paramètres propres au portefeuille de crédits de votre Caisse régionale sur la base d’éléments conjoncturels et/ou structurels locaux. Le cumul de ces provisions sur les prêts et créances représente 49 M€ au 31 décembre 2022 comme détaillé dans la note 14 de l’annexe aux comptes annuels. Nous avons considéré qu’il s’agissait d’un point clé de l’audit des comptes annuels en raison de : l’importance des hypothèses prises, en particulier dans le contexte macro-économique de l’exercice 2022 tel qu’indiqué en note 2.1 de l’annexe aux comptes annuels ; l’importance de ces provisions dans le bilan de votre Caisse régionale et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédits à la consommation, etc.), dont par exemple des informations prospectives (Forward Looking central et local). Notre réponse Nos travaux ont notamment consisté à : prendre connaissance, lors d’un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation de votre groupe, avec l’aide de leurs experts sur les modèles de dépréciations. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : les principes méthodologiques suivis pour la construction des modèles ; le processus d’élaboration des paramètres utilisés dans les modèles (probabilité de défaut PD, perte en cas de défaut Loss Given Default ou LGD ) en prenant en compte notamment le contexte macro-économique particulier de l’exercice 2022 et les mesures de soutien à l’économie ; la gouvernance des modèles et le changement des paramètres y compris l’analyse des scénarios et des paramètres économiques projetés ainsi que le processus de validation indépendante ; la réalisation de tests ciblés sur les fonctions calculatoires de l’outil utilisé pour déterminer les corrections de valeur ; tester les données relatives aux expositions entrant dans le modèle de provisionnement sur la base d’un échantillon de dossiers; contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des dépréciations et des provisions dans l’outil de provisionnement ; apprécier les hypothèses et la documentation fournie par votre Caisse régionale sur l’identification de dégradations significatives notamment dans le contexte macro-économique particulier pour des portefeuilles d’encours et la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l’application du Forward Looking local ; analyser l’évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l’exercice 2022 ; examiner les informations données au titre de la couverture du risque de crédit dans l’annexe aux comptes annuels. Vérifications spécifiques Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du Conseil d'administration et dans les autres documents sur la situation financière et les comptes annuels adressés aux sociétaires, à l'exception du point ci-dessous. La sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations relatives aux délais de paiement mentionnées à l'article D. 441-6 du Code de commerce appellent de notre part l’observation suivante : comme indiqué dans le rapport de gestion, ces informations n'incluent pas les opérations bancaires et les opérations connexes, votre Caisse régionale considérant qu'elles n'entrent pas dans le périmètre des informations à produire. Autres vérifications ou informations prévues par les textes légaux et réglementaires Désignation des commissaires aux comptes Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre Assemblée générale du 27 mars 2008. Au 31 décembre 2022, nos cabinets étaient dans la quinzième année de leur mission sans interruption. Antérieurement, le cabinet Ernst & Young Audit était commissaire aux comptes depuis 1989. Responsabilités de la Direction et des personnes constituant le gouvernement d'entreprise relatives aux comptes annuels Il appartient à la Direction d’établir des comptes annuels présentant une image fidèle conformément aux règles et principes comptables français ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes annuels ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs. Lors de l’établissement des comptes annuels, il incombe à la Direction d’évaluer la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la Caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au Comité d’audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l'efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l'audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Les comptes annuels ont été arrêtés par le Conseil d'administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels Objectif et démarche d'audit Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes annuels. Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l’article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre Caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : il identifie et évalue les risques que les comptes annuels comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la Direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes annuels ; il apprécie le caractère approprié de l’application par la Direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes annuels au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; il apprécie la présentation d’ensemble des comptes annuels et évalue si les comptes annuels reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle. Rapport au Comité d'audit  Nous remettons au Comité d’audit un rapport qui présente notamment l’étendue des travaux d'audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au Comité d’audit figurent les risques d’anomalies significatives que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport Nous fournissons également au Comité d’audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537/2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 à L. 822-14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le Comité d'audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège et Toulouse, le 8 mars 2023. Les Commissaires aux comptes : KPMG S.A. : Ernst & Young et Autres : Pierre SUBREVILLE ; Frank ASTOUX, Associé, Associé. B. — Comptes consolid é s au 31 décembre 2022 . Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 27/01 /2023 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 23/03 /2023 Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers I. — Cadre général . Présentation juridique de l’entité . La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est une société coopérative à capital et personnel variables régie par les dispositions du Livre V du Code monétaire et financier au capital de 28 057 377,00 euros. Son siège social est situé au 30 rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN. Elle est inscrite au Registre du Commerce et des Sociétés de Perpignan sous la référence 776 179 335, code NAF : 6419Z. Un Groupe bancaire d’essence mutualiste . — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par plus de 11 millions de sociétaires. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie. La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales. Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R. 512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L. 511-31 et article L. 511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole, au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. peut prendre toute mesure nécessaire, notamment pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés. Relations internes au Crédit Agricole . Mécanismes f in anciers internes . — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe. — Comptes ordinaires des Caisses régionales  : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole CIB, qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan sur la ligne "Prêts et créances sur les établissements de crédit" ou "Dettes envers les établissements de crédit". — Comptes d'épargne à régime spécial  : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable et solidaire, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en "Dettes envers la clientèle". — Comptes et avances à terme  : Les ressources d'épargne non réglementée (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les "avances" (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites "avances miroirs" (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché. Par ailleurs, les Caisses régionales peuvent être refinancées sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales  : Les ressources d'origine "monétaire" des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques "Opérations internes au Crédit Agricole". — Opérations en devises  : Le refinancement des activités en devises des Caisses régionales est réalisé auprès de Crédit Agricole SA. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A.  : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en "Dettes représentées par un titre" ou "Dettes subordonnées". — Mécanisme TLTRO III  : Crédit Agricole S.A. a souscrit à des emprunts TLTRO III auprès de la BCE. Compte tenu des mécanismes de refinancement interne, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée se refinance auprès de Crédit Agricole S.A. et bénéficie ainsi de ces bonifications. La comptabilisation du TLTRO III est précisée en paragraphe 1.1. Couverture des risques de Liquidité et de Solvabilité, et résolution bancaire . — Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier (CMF), Crédit Agricole S.A., en sa qualité d’organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l’ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du CMF ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au réseau Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. Le dispositif européen de résolution des crises bancaires a été adopté au cours de l’année 2014 par la directive (UE) 2014/59 (dite « BRRD »), transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français aux dispositions du Règlement européen 806/2014 du 15 juillet 2014 ayant établi les règles et une procédure uniforme pour la résolution des établissements de crédit dans le cadre d’un mécanisme de résolution unique et d’un Fonds de résolution bancaire unique. La directive (UE) 201 /879 du 20 mai 2019 dite « BRRD2 » est venue modifier la BRRD et a été transposée par Ordonnance 2020-1636 du 21 décembre 2020. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Pour les groupes bancaires coopératifs, c’est la stratégie de résolution de « point d’entrée unique élargi » (« extended SPE ») qui est privilégiée par les autorités de résolution, par laquelle l’outil de résolution serait appliqué simultanément au niveau de Crédit Agricole S.A. et des entités affiliées. A ce titre et dans l’hypothèse d’une mise en résolution du groupe Crédit Agricole, c’est le périmètre composé de Crédit Agricole S.A. (en sa qualité d’organe central) et des entités affiliées qui serait considéré dans son ensemble comme le point d’entrée unique élargi. Compte tenu de ce qui précède et des mécanismes de solidarité existant au sein du réseau, un membre du réseau Crédit Agricole ne peut pas être mis en résolution de manière individuelle. Les autorités de résolution peuvent ouvrir une procédure de résolution à l’encontre d’un établissement de crédit lorsqu’elle considère que : la défaillance de l’établissement est avérée ou prévisible, il n’existe aucune perspective raisonnable qu’une autre mesure de nature privée empêche la défaillance dans des délais raisonnables, une mesure de résolution est nécessaire et une procédure de liquidation serait insuffisante pour atteindre les objectifs recherchés de la résolution ci-dessus rappelés. Les autorités de résolution peuvent utiliser un ou plusieurs instruments de résolution, tels que décrits ci-dessous avec pour objectif de recapitaliser ou restaurer la viabilité de l’établissement. Les instruments de résolution devraient être mis en œuvre de telle manière à ce que les porteurs de titres de capital (actions, parts sociales, CCI, CCA) supportent en premier les pertes, puis les autres créanciers sous réserve qu’ils ne soient pas exclus du renflouement interne par la réglementation ou sur décision des autorités de résolution. La loi française prévoit également une mesure de protection lorsque certains instruments ou mesures de résolution sont mis en œuvre, tel le principe selon lequel les porteurs de titres de capital et les créanciers d’un établissement en résolution ne peuvent pas supporter des pertes plus lourdes que celles qu’ils auraient subies si l’établissement avait été liquidé dans le cadre d’une procédure de liquidation judiciaire régie par le code de commerce (principe NCWOL visé à l’article L. 613-57.I du CMF). Ainsi, les investisseurs ont le droit de réclamer des indemnités si le traitement qu’ils subissent en résolution est moins favorable que le traitement qu’ils auraient subi si l’établissement avait fait l’objet d’une procédure normale d’insolvabilité. Dans l’hypothèse où les autorités de résolution décideraient d’une mise en résolution sur le groupe Crédit Agricole, elles procèderaient au préalable à la réduction de la valeur nominale des instruments de Fonds propres du compartiment CET1 (actions, parts sociales, CCI et CCA), instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2, afin d’absorber les pertes puis éventuellement à la conversion en titres de capital des instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2 [1] . Ensuite, si les autorités de résolution décidaient d’utiliser l’outil de résolution qu’est le renflouement interne, elles pourraient mettre en œuvre cet outil de renflouement interne sur les instruments de dette [2] , c’est-à-dire décider de leur dépréciation totale ou partielle ou de leur conversion en capital afin également d’absorber les pertes. Les autorités de résolution pourraient décider de mettre en œuvre de façon coordonnée, à l’égard de l’organe central et de l’ensemble des entités affiliées, des mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant de renflouement interne. Dans ce cas, ces mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant ces mesures de renflouement interne s’appliqueraient à toutes les entités du réseau du Crédit Agricole et ce, quelle que soit l’entité considérée et quelle que soit l’origine des pertes. La hiérarchie des créanciers en résolution est définie par les dispositions de l’article L 613-55-5 du CMF en vigueur à la date de mise en œuvre de la résolution. Les détenteurs de titres de capital et les créanciers de même rang ou jouissant de droits identiques en liquidation seraient alors traités de manière égale quelle que soit l’entité du Groupe dont ils sont créanciers. L’étendue de ce renflouement interne, qui vise aussi à recapitaliser le groupe Crédit Agricole, s’appuie sur les besoins de fonds propres au niveau consolidé. L’investisseur doit donc être conscient qu’il existe donc un risque significatif pour les porteurs d’actions, de parts sociales, CCI et CCA et les titulaires d’instruments de dette d’un membre du réseau de perdre tout ou partie de leur investissement en cas de mise en œuvre d’une procédure de résolution bancaire sur le Groupe quelle que soit l’entité dont il est créancier. Les autres outils de résolution bancaire dont disposent les autorités de résolution sont pour l’essentiel la cession totale ou partielle des activités de l’établissement à un tiers ou à un établissement relais et la séparation des actifs de cet établissement. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du CMF, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution. L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités du réseau, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Informations relatives aux parties liées . — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2022 et aux dirigeants dont la rémunération est précisée au paragraphe 7.6. Le périmètre consolidé est composé de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, de 100% des parts des Sociétés Techniques de Titrisation et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales. » Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 milliers d’euros, les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 395 milliers d’euros et les titres négociables à moyen terme à 24 745 milliers d’euros. II. — Etats financiers consolidés . 1. — Compte de résultat . (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2022 31/12/2021 Intérêts et produits assimilés 4.1 155 110 160 529 Intérêts et charges assimilées 4.1 -63 981 -65 518 Commissions (produits) 4.2 91 167 82 986 Commissions (charges) 4.2 -28 698 -26 677 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat 4.3 796 -1 257 Gains ou pertes nets sur actifs/passifs de transaction 22 39 Gains ou pertes nets sur autres actifs/passifs à la juste valeur par résultat 774 -1 296 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 4.4 21 928 14 692 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 21 928 14 692 Gains ou pertes nets résultant de la décomptabilisation d'actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers au coût amorti en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ Produits des autres activités 4.5 735 1 837 Charges des autres activités 4.5 -1 797 -1 843 Produit net bancaire 175 260 164 749 Charges générales d'exploitation 4.6 -107 206 -98 900 Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4.7 -4 170 -5 868 Résultat brut d'exploitation 63 884 59 981 Coût du risque 4.8 -17 838 -4 784 Résultat d'exploitation 46 046 55 197 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs 4.9 485 153 Variations de valeur des écarts d'acquisition ‐ ‐ Résultat avant impôt 46 531 55 350 Impôts sur les bénéfices 4.10 -5 807 -11 967 Résultat net d'impôts des activités abandonnées ‐ ‐ Résultat net 40 724 43 383 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Résultat net part du groupe 40 724 43 383 (1) Correspond au résultat y compris Résultat net des activités abandonnées. 2. — Résultat net et gains et pertes comptabilis é s directement en ca pitaux propres . (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2022 31/12/2021 Résultat net 40 724 43 383 Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi 2 391 837 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre (1) ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (1) -71 628 112 128 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence -69 237 112 965 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 1 613 -3 636 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -67 624 109 329 Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 241 251 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 241 251 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -63 -64 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 178 187 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres -67 446 109 516 Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres -26 722 152 899 Dont part du Groupe -26 722 152 899 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ (1) Montant du transfert en réserves d'éléments non recyclables ‐ -17 3. — Bilan. (En milliers d'Euros) Actif Notes 31/12/2022 31/12/2021 Caisse, banques centrales 6.1 38 085 35 704 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 70 049 65 315 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 4 651 868 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 65 398 64 447 Instruments dérivés de couverture 6.3 167 334 26 001 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 6.4 632 983 697 741 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 632 983 697 741 Actifs financiers au coût amorti 6.5 7 732 161 7 257 152 Prêts et créances sur les établissements de crédit 1 499 505 1 099 670 Prêts et créances sur la clientèle 6 012 625 5 964 924 Titres de dettes 220 031 192 558 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux -136 476 46 884 Actifs d'impôts courants et différés 6.9 22 105 17 130 Comptes de régularisation et actifs divers 6.10 88 699 142 560 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Participation aux bénéfices différée ‐ ‐ Participation dans les entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Immeubles de placement 6.11 3 704 4 266 Immobilisations corporelles 6.12 30 091 25 273 Immobilisations incorporelles 6.12 25 30 Ecarts d'acquisition ‐ ‐ Total de l'actif 8 648 760 8 318 056 Passif Notes 31/12/2022 31/12/2021 Banques centrales ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 4 634 907 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 4 634 907 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 6.3 16 671 86 139 Passifs financiers au coût amorti 6.7 7 196 882 6 951 442 Dettes envers les établissements de crédit 4 223 529 3 826 385 Dettes envers la clientèle 2 945 785 2 951 530 Dettes représentées par un titre 27 568 173 527 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux -7 240 8 796 Passifs d'impôts courants et différés 6.9 67 349 Comptes de régularisation et passifs divers 6.10 305 063 109 462 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Provisions techniques des contrats d'assurance ‐ ‐ Provisions 6.13 17 573 20 959 Dettes subordonnées ‐ ‐ Total dettes 7 533 650 7 178 054 Capitaux propres 1 115 110 1 140 002 Capitaux propres part du Groupe 1 115 110 1 140 002 Capital et réserves liées 178 643 174 050 Réserves consolidées 767 261 726 641 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 128 482 195 928 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur activités abandonnées ‐ ‐ Résultat de l'exercice 40 724 43 383 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Total du passif 8 648 760 8 318 056 4. — Tableau de variation des capitaux propre s . (En milliers d'Euros) Part du Groupe Participations ne donnant pas le contrôle Capitaux propres consolidés Capital et réserves liées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capital, réserves liées et résultat Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres Capital Primes et réserves consolidées liées au capital (1) Elimination des titres autodétenus Autres instruments de capitaux propres Total Capital et réserves consolidées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net Capitaux propres Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres au 1er janvier 2021 Publié 39 857 859 305 ‐ ‐ 899 162 -362 86 774 86 412 ‐ 985 574 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 985 574 Impacts nouvelles normes, décisions / interprétations IFRIC (2) ‐ 151 ‐ ‐ 151 ‐ ‐ ‐ ‐ 151 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 151 Capitaux propres au 1er janvier 2021 39 857 859 456 ‐ ‐ 899 313 -362 86 774 86 412 ‐ 985 725 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 985 725 Augmentation de capital 4 568 ‐ ‐ ‐ 4 568 ‐ ‐ ‐ ‐ 4 568 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 4 568 Variation des titres autodétenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions / remboursements d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2021 ‐ -2 379 ‐ ‐ -2 379 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 379 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 379 Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 35 ‐ ‐ 35 ‐ ‐ ‐ ‐ 35 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 35 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 4 568 -2 344 ‐ ‐ 2 224 ‐ ‐ ‐ ‐ 2 224 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 224 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ 17 ‐ ‐ 17 187 109 329 109 516 ‐ 109 533 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 109 533 Dont gains et pertes sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables transférés en réserves ‐ 17 ‐ ‐ 17 ‐ -17 -17 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont gains et pertes sur variation du risque de crédit propre transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2021 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 43 383 43 383 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 43 383 Autres variations ‐ -863 ‐ ‐ -863 ‐ ‐ ‐ ‐ -863 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -863 Capitaux propres au 31 décembre 2021 44 425 856 266 ‐ ‐ 900 691 -175 196 103 195 928 43 383 1 140 002 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 140 002 Affectation du résultat 2021 ‐ 43 383 ‐ ‐ 43 383 ‐ ‐ ‐ -43 383 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2022 44 425 899 649 ‐ ‐ 944 074 -175 196 103 195 928 ‐ 1 140 002 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 140 002 Impacts nouvelles normes, décisions / interprétations IFRIC (3) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2022 retraité 44 425 899 649 ‐ ‐ 944 074 -175 196 103 195 928 ‐ 1 140 002 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 140 002 Augmentation de capital 4 593 ‐ ‐ ‐ 4 593 ‐ ‐ ‐ ‐ 4 593 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 4 593 Variation des titres autodétenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions / remboursements d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2022 ‐ -2 834 ‐ ‐ -2 834 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 834 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 834 Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 71 ‐ ‐ 71 ‐ ‐ ‐ ‐ 71 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 71 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 4 593 -2 763 ‐ ‐ 1 830 ‐ ‐ ‐ ‐ 1 830 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 830 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 178 -67 624 -67 446 ‐ -67 446 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -67 446 Dont gains et pertes sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont gains et pertes sur variation du risque de crédit propre transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2022 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 40 724 40 724 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 40 724 Autres variations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 31 décembre 2022 49 018 896 886 ‐ ‐ 945 904 3 128 479 128 482 40 724 1 115 110 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 115 110 (1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'autocontrôle 6. — Tableau des flux de trésorerie. Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte. Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée . Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles. Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans les rubriques "Juste valeur par résultat" ou "Juste valeur par capitaux propres non recyclables" sont compris dans cette rubrique. Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme. La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit. (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2022 31/12/2021 Résultat avant impôt 46 531 55 350 Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4 170 5 868 Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations 6.16 ‐ ‐ Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions 10 055 -866 Quote-part de résultat liée aux entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Résultat net des activités d'investissement -485 -153 Résultat net des activités de financement 206 26 Autres mouvements 16 764 -8 344 Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôt et des autres ajustements 30 710 -3 469 Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit -285 052 226 389 Flux liés aux opérations avec la clientèle -107 947 20 268 Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers -180 047 47 851 Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers 233 603 43 578 Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence (1) ‐ ‐ Impôts versés -9 563 -11 842 Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles -349 006 326 244 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A) -271 765 378 125 Flux liés aux participations (2) -3 815 -2 332 Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles -8 338 -2 866 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissement (B) -12 153 -5 198 Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (3) 1 759 2 189 Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (4) 5 417 -1 322 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement (C) 7 176 867 Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D) ‐ ‐ Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie ( A + B + C + D) -276 742 373 794 Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture 868 003 494 211 Solde net des comptes de caisse et banques centrales ( * ) 35 704 39 328 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit ( ** ) 832 299 454 883 Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture 591 262 868 003 Solde net des comptes de caisse et banques centrales ( * ) 38 085 35 704 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit ( ** ) 553 177 832 299 Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie -276 741 373 792 (*) Composé du solde net du poste "Caisse, banques centrales", hors intérêts courus et y compris trésorerie des entités reclassées en activités abandonnées. ** Composé du solde des postes "Comptes ordinaires débiteurs non douteux" et "Comptes et prêts au jour le jour non douteux" tels que détaillés en note 6.5 et des postes "Comptes ordinaires créditeurs" et "Comptes et emprunts au jour le jour" tels que détaillés en note 6.8 (hors intérêts courus) (1) Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence : Au 31 décembre 2022, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a pas reçu de dividende de société mise en équivalence. (2) Flux liés aux participations : Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période". Au cours de l’année 2022, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée s’élève à 1 627 milliers d’euros, portant notamment sur les opérations suivantes : - La Foncière Agricole d’Occitanie, acquisition de titres à hauteur de 30 milliers d’euros - SAS Sud Méditerranée Immobilier, acquisition de titres à hauteur de 706 milliers d’euros (dont 303 milliers d’opération non monétaire) ( * ) - SACAM Fireca, acquisition de titres à hauteur de 139 milliers d’euros - SACAM Neopro, acquisition de titres à hauteur de 486 milliers d’euros - CA E-Développement, acquisition de titres à hauteur de 22 milliers d’euros - Fireca Portage de Projet, acquisition de titres à hauteur de 198 milliers d’euros - Compagnie d’aménagement des Coteaux de Gascogne, acquisition de titres à hauteur de 46 milliers d’euros - SOFILARO, acquisition de titres à hauteur de 2 616 milliers d’euros (3) Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires : il comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 422 milliers d’euros pour l'année 2022. (4) Autres flux nets de trésorerie provenant des flux liés aux opérations de financement : Au 31 décembre 2022, il n’y a pas eu d’émission ni de remboursement de dettes subordonnées et obligataires. Ce poste recense également les flux liés aux versements d’intérêts sur les dettes subordonnées et obligataires. (*) La recapitalisation intervient dans un contexte de résultat comptable négatif, obligeant dans un premier temps une reconstitution des fonds propres pour SMI, avec un impact financier pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée, qu’elle est en capacité d’assumer. Cette opération est cohérente avec la stratégie que s’est fixée la Caisse Régionale Sud Méditerranée, de développement de la filière immobilière. La crise sanitaire a fortement impacté l’activité de la filiale sur l’exercice 2020. Dans ces conditions, le soutien de la filiale semble nécessaire. III. — Notes annexes aux états financiers . 1. – Principes et méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés. 1.1. Normes applicables et comparabilité . — En application du règlement CE n°1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2022 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out ), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture. Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/company-reporting-and-auditing/company-reporting/financial-reporting_en Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2021 . Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2022 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2022 . Celles-ci portent sur : Normes, Amendements ou Interprétations Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du Effet significatif dans le Groupe Amendement à IAS 16 Immobilisations corporelles - Produits antérieurs à l'utilisation prévue 1er janvier 2022 Non Améliorations des IFRS cycle 2018-2020 - IFRS 1 Filiale devenant un nouvel adoptant, - IFRS 9 Décomptabilisation d'un passif financier : frais et commissions à intégrer dans le test des 10 %, - IAS 41 Impôts dans les évaluations de la juste valeur - IFRS 16 Avantages incitatifs à la location 1er janvier 2022 Non Amendement à IFRS 3 Références au cadre conceptuel 1er janvier 2022 Non Amendement à IAS 37 Contrats déficitaires - coût d'exécution du contrat 1er janvier 2022 Non Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique. Normes IFRS 17 : Contrats d’assurance . Compte tenu de l’absence d’activité d’assurance au sein de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée , la norme IFRS 17 n’aura pas d’impact attendu au niveau des comptes consolidés de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au 1er janvier 2023. Normes et interprétations non encore adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2022 . Les normes et interprétations publiées par l’IASB au 31 décembre 2022 mais non encore adoptées par l’Union européenne ne sont pas applicables par le Groupe. Elles n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de la date prévue par l’Union européenne et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2022. Décisions IFRS IC, finalisées et approuvées par l’IASB, pouvant affecter le Groupe . Concerne en particulier, la décision IFRS IC IFRS 9 / IAS 20 publiée en mars 2022 relative à la comptabilisation du TLTRO III. Une troisième série d’opérations de refinancement de long terme a été décidée en mars 2019 par la BCE dont les modalités ont été revues en septembre 2019 puis en mars, avril et décembre 2020 en lien avec la situation de la Covid-19. Le mécanisme de TLTRO III vise à proposer un refinancement de long terme avec une bonification en cas d’atteinte d’un taux de croissance cible des crédits octroyés aux entreprises et aux ménages, appliquée sur la maturité de trois ans de l’opération TLTRO à laquelle s’ajoute une sur-bonification rémunérant une première incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2020 à juin 2021, puis une seconde incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2021 à juin 2022. Pour rappel, le traitement comptable retenu par le Groupe depuis 2020 consiste à comptabiliser les bonifications dès que le Groupe estime avoir une assurance raisonnable que le niveau des encours éligibles permettra de remplir les conditions nécessaires à l’obtention de ces bonifications lors de leur exigibilité vis-à-vis de la BCE, c’est-à-dire au terme de l’opération de TLTRO III, et à rattacher cette bonification à la période à laquelle elle se rapporte prorata temporis. Ce traitement est maintenu pour l’arrêté comptable du 31 décembre 2022. Le Groupe ayant atteint les conditions de performance nécessaires à la bonification et sur-bonification du TLTRO, le Groupe bénéficiera de l’obtention de l’ensemble des bonifications et sur-bonifications à l’échéance de ce financement. Ainsi, le Groupe a évalué les intérêts courus au taux de la Facilité de Dépôts - 50 bps flooré à - 100 bps sur la période spéciale de taux d’intérêt (1er janvier 2021 – 23 juin 2021 pour la période afférente à l’exercice 2021), compte tenu de l’atteinte des seuils propres à la première incitation pendant la période spéciale de référence. Sur la période spéciale de taux d’intérêt additionnelle (24 juin 2021 – 23 juin 2022)), le taux d’intérêt retenu est également le taux de la Facilité de Dépôts - 50 bps flooré à - 100 bps, compte tenu de l’atteinte des critères du niveau de crédits éligibles propres à la seconde incitation pendant la période spéciale de référence additionnelle. La décision IFRS IC n’a pas eu d’impact sur la manière dont le Groupe comptabilise ses intérêts au titre du TLTRO III. Le Conseil des gouverneurs de la BCE, lors de sa réunion du 27 octobre 2022, a décidé d’une modification des conditions de rémunération applicables à ces opérations de refinancement à compter du 23 novembre 2022 (Décision 2022-2128 de la BCE). La Décision (UE) 2022/2128 de la Banque Centrale Européenne du 27 octobre 2022 a défini deux nouvelles périodes comme suit : la « période de taux d’intérêt postérieure à la période spéciale de taux d’intérêt additionnelle » ou “post-additional interest rate period (post-ASIRP)” du 24 juin au 22 novembre 2022 (ou la date de remboursement anticipé si elle intervient avant cette date) ; au cours de cette période, la rémunération du TLTRO III est calculée sur la base d’une moyenne des Taux de Facilités des Dépôts à compter de la date de tirage jusqu’à la fin de la fin de cette période. la « dernière période de taux d’intérêt » ou “last interest rate period (LIRP) ” : du 23 novembre 2022 jusqu’à la date de maturité attendue des tirages. Au cours de la LIRP, la rémunération du TLTRO III est calculée sur la base d’une moyenne des Taux de Facilités des Dépôts à compter du 23 novembre jusqu’à la date de remboursement attendue. Le groupe a ré-estimé les flux de trésorerie attendus afin de refléter (i) les fluctuations des intérêts des différents tirages en fonction de la maturité attendue et (ii) les modifications des conditions de rémunération décidées par la BCE, ce qui est venu modifier le taux d’intérêt effectif des différents tirages de TLTRO III et le coût amorti de chaque tranche. Les nouveaux taux d’intérêt effectif ainsi déterminés sont proches du dernier taux de Facilité des Dépôts connu à la date de l’arrêté comptable. 1.2. Principes et méthodes comptables . Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers . — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur. Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés nationaux et internationaux ; les fluctuations des taux d’intérêt et de change ; la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ; les modifications de la réglementation ou de la législation. Cette liste n’est pas exhaustive. Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes : les instruments financiers évalués à la juste valeur (y compris les participations non consolidées) ; les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ; les plans de stock options ; les dépréciations d’instruments de dette au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables ; les provisions ; les dépréciations des écarts d’acquisition ; les actifs d’impôts différés ; la valorisation des entreprises mises en équivalence ; Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après. Instruments financiers (IFRS 9, IFRS 13, IAS 32 et 39) . Définitions . — La norme IAS 32 définit un instrument financier comme tout contrat qui donne lieu à un actif financier d’une entité et à un passif financier ou à un instrument de capitaux propres d’une autre entité, c'est-à-dire tout contrat représentant les droits ou obligations contractuels de recevoir ou de payer des liquidités ou d'autres actifs financiers. Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IFRS 9 telle qu’adoptée par l’Union européenne y compris pour les actifs financiers détenus par les entités d’assurance du Groupe. Les instruments dérivés sont des actifs ou passifs financiers dont la valeur évolue en fonction de celle d’un sous-jacent (à condition que, dans le cas d'une variable non financière, celle-ci ne soit pas spécifique à l'une des parties au contrat), qui requièrent un investissement initial faible ou nul, et dont le règlement intervient à une date future. La norme IFRS 9 définit les principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation / provisionnement du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture. Il est toutefois précisé que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise l’option de ne pas appliquer le modèle général de couverture d’IFRS 9. L’ensemble des relations de couverture reste en conséquence dans le champ d’IAS 39 en attendant les futures dispositions relatives à la macro-couverture. Les actifs financiers dits « verts » ou « ESG » et les passifs financiers dits « green bonds » comprennent des instruments variés ; ils portent notamment sur des emprunts permettant de financer des projets environnementaux. Il est rappelé que l’ensemble des instruments financiers portant ces qualifications ne présentent pas nécessairement une rémunération variant en fonction de critères ESG. Cette terminologie est susceptible d’évoluer en fonction de la règlementation européenne relative à la finance durable. Ces instruments sont comptabilisés conformément à IFRS 9 selon les principes énoncés ci-après. Conventions d’évaluation des actifs et passifs financiers  : — Evaluation initiale  : Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. La juste valeur telle que définie par IFRS 13 correspond au prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. — Evaluation ultérieure  : Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classement soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE) pour les instruments de dette, soit à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. Les instruments dérivés sont toujours évalués à leur juste valeur. Le coût amorti correspond au montant auquel est évalué l’actif financier ou le passif financier lors de sa comptabilisation initiale, en intégrant les coûts de transaction directement attribuables à leur acquisition ou à leur émission, diminué des remboursements en principal, majoré ou diminué de l’amortissement cumulé calculé par la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE) de toute différence (décote ou prime) entre le montant initial et le montant à l’échéance. Dans le cas d’un actif financier au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, le montant peut être ajusté si nécessaire au titre de la correction pour pertes de valeur (Cf. paragraphe "Provisionnement pour risque de crédit"). Le taux d’intérêt effectif (TIE) est le taux qui actualise les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs prévus sur la durée de vie attendue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier. Actifs financiers  : — Classement et évaluation des actifs financiers  : Les actifs financiers non dérivés (instruments de dette ou de capitaux propres) sont classés au bilan dans des catégories comptables qui déterminent leur traitement comptable et leur mode d’évaluation ultérieur. Les critères de classement et d’évaluation des actifs financiers dépendent de la nature de l’actif financier, selon qu’il est qualifié : d’instruments de dette (par exemple des prêts et titres à revenu fixe ou déterminable) ; ou d’instruments de capitaux propres (par exemple des actions). Ces actifs financiers sont classés dans l’une des trois catégories suivantes : actifs financiers à la juste valeur par résultat ; actifs financiers au coût amorti (instruments de dette uniquement) ; actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres (recyclables pour les instruments de dette, non recyclables pour les instruments de capitaux propres). – Instruments de dette  : Le classement et l’évaluation d’un instrument de dette dépendent de deux critères réunis : le modèle de gestion défini au niveau portefeuille et l’analyse des caractéristiques contractuelles déterminée par instrument de dette sauf utilisation de l'option à la juste valeur. Les trois modèles de gestion : Le modèle de gestion est représentatif de la stratégie que suit le management de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée pour la gestion de ses actifs financiers, dans l’atteinte de ses objectifs. Le modèle de gestion est spécifié pour un portefeuille d’actifs et ne constitue pas une intention au cas par cas pour un actif financier isolé. On distingue trois modèles de gestion : Le modèle collecte dont l’objectif est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie des actifs ; ce modèle n’implique pas systématiquement de détenir la totalité des actifs jusqu’à leur échéance contractuelle ; toutefois, les ventes d’actifs sont strictement encadrées ; Le modèle collecte et vente dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie sur la durée de vie et de céder les actifs ; dans ce modèle, la vente d’actifs financiers et la perception de flux de trésorerie sont toutes les deux essentielles ; et Le modèle autre / vente dont l’objectif principal est de céder les actifs. Il concerne notamment les portefeuilles dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie via les cessions, les portefeuilles dont la performance est appréciée sur la base de sa juste valeur, les portefeuilles d’actifs financiers détenus à des fins de transaction. Lorsque la stratégie que suit le management pour la gestion d’actifs financiers ne correspond ni au modèle collecte, ni au modèle collecte et vente, ces actifs financiers sont classés dans un portefeuille dont le modèle de gestion est autre / vente. Les caractéristiques contractuelles (test « Solely Payments of Principal & Interests » ou test « SPPI ») : Le test « SPPI » regroupe un ensemble de critères, examinés cumulativement, permettant d’établir si les flux de trésorerie contractuels respectent les caractéristiques d’un financement simple (remboursements de nominal et versements d’intérêts sur le nominal restant dû). Le test est satisfait lorsque le financement donne droit seulement au remboursement du principal et lorsque le versement des intérêts perçus reflète la valeur temps de l'argent, le risque de crédit associé à l'instrument, les autres coûts et risques d'un contrat de prêt classique ainsi qu’une marge raisonnable, que le taux d’intérêt soit fixe ou variable. Dans un financement simple, l’intérêt représente le coût du passage du temps, le prix du risque de crédit et de liquidité sur la période, et d’autres composantes liées au coût du portage de l’actif (ex : coûts administratifs…). Dans certains cas, cette analyse qualitative ne permettant pas de conclure, une analyse quantitative (ou Benchmark test) est effectuée. Cette analyse complémentaire consiste à comparer les flux de trésorerie contractuels de l’actif étudié et les flux de trésorerie d’un actif de référence. Si la différence entre les flux de trésorerie de l’actif financier et celui de référence est jugée non significative, l’actif est considéré comme un financement simple. Par ailleurs, une analyse spécifique sera menée dans le cas où l’actif financier est émis par des entités ad hoc établissant un ordre de priorité de paiement entre les porteurs des actifs financiers en liant de multiples instruments entre eux par contrat et créant des concentrations de risque de crédit (des « tranches »). Chaque tranche se voit attribuer un rang de subordination qui précise l’ordre de distribution des flux de trésorerie générés par l’entité structurée. Dans ce cas le test « SPPI » nécessite une analyse des caractéristiques des flux de trésorerie contractuels de l’actif concerné et des actifs sous-jacents selon l’approche "look-through" et du risque de crédit supporté par les tranches souscrites comparé au risque de crédit des actifs sous-jacents. Le mode de comptabilisation des instruments de dette résultant de la qualification du modèle de gestion couplée au test « SPPI » peut être présenté sous la forme du diagramme ci-après : Instruments de dette Modèles de gestion Collecte Collecte et vente Autre / Vente Test SPPI Satisfait Coût amorti Juste valeur par capitaux propres recyclables Juste valeur par résultat (Test SPPI N/A) Non satisfait Juste valeur par résultat Juste valeur par résultat — Instruments de dette au coût amorti  : Les instruments de dette sont évalués au coût amorti s’ils sont éligibles au modèle collecte et s’ils respectent le test « SPPI ». Ils sont enregistrés à la date de règlement-livraison et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes et des frais de transaction des prêts et créances, et des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Cette catégorie d’instruments financiers fait l’objet d'ajustements au titre des pertes attendues (ECL) dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique « Dépréciation / Provisionnement pour risque de crédit ». — Instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables  : Les instruments de dette sont évalués à la juste valeur par capitaux propres recyclables s’ils sont éligibles au modèle collecte et vente et s’ils respectent le test « SPPI ». Ils sont enregistrés à la date de négociation et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Ces actifs financiers sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables en contrepartie du compte d’encours (hors intérêts courus comptabilisés en résultat selon la méthode du TIE). En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat. Cette catégorie d’instruments financiers fait l’objet d'ajustements au titre des pertes attendues (ECL) dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique « Dépréciation / Provisionnement pour risque de crédit » (sans que cela n’affecte la juste valeur au bilan). — Instruments de dette à la juste valeur par résultat  : Les instruments de dette sont évalués en juste valeur par résultat dans les cas suivants : Les instruments sont classés dans des portefeuilles constitués d’actifs financiers détenus à des fins de transaction ou dont l'objectif principal est la cession ; Les actifs financiers détenus à des fins de transaction sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste. Bien que les flux de trésorerie contractuels soient perçus pendant le temps durant lequel la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée détient les actifs, la perception de ces flux de trésorerie contractuels n’est pas essentielle mais accessoire. Les instruments de dette qui ne respectent pas les critères du test « SPPI ». C’est notamment le cas des OPC (Organismes de Placement Collectif) ; Les instruments financiers classés dans des portefeuilles pour lesquels la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée choisit la valorisation à la juste valeur afin de réduire une différence de traitement comptable au compte de résultat. Dans ce cas, il s'agit d'un classement sur option à la juste valeur par résultat. Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en « Produit Net Bancaire », en contrepartie du compte d’encours. Les intérêts de ces instruments sont comptabilisés dans la rubrique « gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat ». Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation au titre du risque de crédit. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat par nature dont le modèle de gestion est « Autre / vente » sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat sur option sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat par nature, par échec au test SPPI, sont enregistrés à la date de règlement-livraison. — Instruments de capitaux propres  : Les instruments de capitaux propres sont par défaut comptabilisés à la juste valeur par résultat, sauf option irrévocable pour un classement et une évaluation à la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sous réserve que ces instruments ne soient pas détenus à des fins de transaction. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat  : Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat). Les instruments de capitaux propres détenus à des fins de transaction sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de capitaux propres évalués à la juste valeur par résultat et non détenus à des fins de transaction sont enregistrés en date règlement-livraison. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en « Produit Net Bancaire », en contrepartie du compte d’encours. Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (sur option irrévocable)  : L’option irrévocable de comptabiliser les instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables est retenue au niveau transactionnel (ligne par ligne) et s’applique à la date de comptabilisation initiale. Ces titres sont enregistrés à la date de négociation. La juste valeur initiale intègre les coûts de transaction. Lors des évaluations ultérieures, les variations de juste valeur sont comptabilisées en capitaux propres non recyclables. En cas de cession, ces variations ne sont pas recyclées en résultat, le résultat de cession est comptabilisé en capitaux propres. Seuls les dividendes sont reconnus en résultat si : le droit de l’entité d’en percevoir le paiement est établi ; il est probable que les avantages économiques associés aux dividendes iront à l’entité ; le montant des dividendes peut être évalué de façon fiable. Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. – Reclassement d’actifs financiers  : En cas de changement important de modèle économique dans la gestion des actifs financiers (nouvelle activité, acquisition d’entités, cession ou abandon d’une activité significative), un reclassement de ces actifs financiers est nécessaire. Le reclassement s’applique à la totalité des actifs financiers du portefeuille à partir de la date de reclassement. Dans les autres cas, le modèle de gestion reste inchangé pour les actifs financiers existants. Si un nouveau modèle de gestion est identifié, il s’applique de manière prospective, aux nouveaux actifs financiers, regroupés dans un nouveau portefeuille de gestion. – Acquisition et cession temporaire de titres  : Les cessions temporaires de titres (prêts de titres, titres donnés en pension livrée) ne remplissent généralement pas les conditions de décomptabilisation. Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Dans le cas de titres mis en pension, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant. Les titres empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire. Dans le cas de titres pris en pension, une créance à l’égard du cédant est enregistrée au bilan du cessionnaire en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension. Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement des actifs et passifs à la juste valeur par résultat. – Décomptabilisation des actifs financiers  : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie : lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ; ou sont transférés, ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée. Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs. Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif. Les actifs financiers renégociés pour raisons commerciales en l’absence de difficultés financières de la contrepartie et dans le but de développer ou conserver une relation commerciale sont décomptabilisés en date de renégociation. Les nouveaux prêts accordés aux clients sont enregistrés à leur juste valeur à la date de renégociation. La comptabilisation ultérieure dépend du modèle de gestion et du test « SPPI ». – Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20)  : Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. Ainsi, les prêts qui bénéficient de ces bonifications sont accordés au taux de marché. Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat. Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées en résultat sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20. Passifs financiers  : — Classement et évaluation des passifs financiers  : Les passifs financiers sont classés au bilan dans les deux catégories comptables suivantes : passifs financiers à la juste valeur par résultat, par nature ou sur option ; passifs financiers au coût amorti. — Passifs financiers à la juste valeur par résultat par nature  : Les instruments financiers émis principalement en vue d’être rachetés à court terme, les instruments faisant partie d’un portefeuille d’instruments financiers identifiés qui sont gérés ensemble et qui présentent des indications d’un profil récent de prise de bénéfice à court terme, et les dérivés (à l’exception de certains dérivés de couverture) sont évalués à la juste valeur par nature. Les variations de juste valeur de ce portefeuille sont constatées en contrepartie du compte de résultat. — Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option  : Les passifs financiers répondant à l’un des trois cas prévus par la norme ci-après, peuvent être évalués à la juste valeur par résultat sur option : émissions hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés séparables, réduction ou élimination de distorsion de traitement comptable ou groupes de passifs financiers gérés et dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette option est irrévocable et s’applique obligatoirement à la date de comptabilisation initiale de l’instrument. Lors des évaluations ultérieures, ces passifs financiers sont évalués à la juste valeur en contrepartie du résultat pour les variations de juste valeur non liées au risque de crédit propre et en contrepartie des capitaux propres non recyclables pour les variations de valeur liées au risque de crédit propre sauf si cela aggrave la non-concordance comptable (auquel cas les variations de valeur liées au risque de crédit propre sont enregistrées en résultat, comme prévu par la norme). — Passifs financiers évalués au coût amorti  : Tous les autres passifs répondant à la définition d’un passif financier (hors dérivés) sont évalués au coût amorti. Ces passifs sont enregistrés en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. — Produits de la collecte  : Les produits de la collecte sont comptabilisés dans la catégorie des « Passifs financiers au coût amorti – Dettes envers la clientèle » malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle. L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti. Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché. Les plans d’épargne-logement et les comptes d’épargne-logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.13 « Provisions ». – Reclassement de passifs financiers  : Le classement initial des passifs financiers est irrévocable. Aucun reclassement ultérieur n’est autorisé. – Distinction dettes – capitaux propres  : La distinction entre instruments de dette et instruments de capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance des dispositifs contractuels. Un passif financier est un instrument de dette s’il inclut une obligation contractuelle : de remettre à une autre entité de la trésorerie, un autre actif financier ou un nombre variable d’instruments de capitaux propres ; ou d’échanger des actifs et des passifs financiers avec une autre entité à des conditions potentiellement défavorables. Un instrument de capitaux propres est un instrument financier non remboursable qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette. – Décomptabilisation et modification des passifs financiers  : Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie : lorsqu’il arrive à extinction ; ou lorsque les analyses quantitative ou qualitative concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration. Une modification substantielle d’un passif financier existant doit être enregistré comme une extinction du passif financier initial et la comptabilisation d’un nouveau passif financier (la novation). Tout différentiel entre la valeur comptable du passif éteint et du nouveau passif sera enregistré immédiatement au compte de résultat. Si le passif financier n’est pas décomptabilisé, le TIE d’origine est maintenu. Une décote / surcote est constatée immédiatement au compte de résultat en date de modification puis fait l’objet d’un étalement au TIE d’origine sur la durée de vie résiduelle de l’instrument. Intérêts négatifs sur actifs et passifs financiers . — Conformément à la décision de l’IFRS IC de janvier 2015, les produits d'intérêt négatifs (charges) sur actifs financiers ne répondant pas à la définition d’un revenu au sens d’IFRS 15 sont comptabilisés en charges d’intérêts en compte de résultat, et non en réduction du produit d’intérêts. Il en est de même pour les charges d’intérêts négatives (produits) sur passifs financiers. Dépréciation / provisionnement pour risque de crédit  : — Champ d’application  : Conformément à IFRS 9, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise une correction de valeur au titre des pertes de crédit attendues (" Expected Credit Losses " ou " ECL" ) sur les encours suivants : les actifs financiers d’instruments de dette au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables (prêts et créances, titres de dette) ; les engagements de financement qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat ; les engagements de garantie relevant d’IFRS 9 et qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat ; les créances locatives relevant de la norme IFRS 16 ; et les créances commerciales générées par des transactions de la norme IFRS 15. Les instruments de capitaux propres (à la juste valeur par résultat ou à la juste valeur par OCI non recyclables) ne sont pas concernés par les dispositions en matière de dépréciation. Les instruments dérivés et les autres instruments financiers évalués à la juste valeur par résultat font l’objet d’un calcul de risque de contrepartie qui n’est pas visé par le modèle ECL. Ce calcul est décrit dans le chapitre 5 « Risques et Pilier 3 » du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. — Risque de crédit et étapes de dépréciation / provisionnement  : Le risque de crédit se définit comme le risque de pertes lié au défaut d’une contrepartie entraînant son incapacité à faire face à ses engagements vis-à-vis du Groupe. Le processus de provisionnement du risque de crédit distingue trois étapes ( Stages ) : 1 ère étape ( Stage 1) : dès la comptabilisation initiale de l’instrument financier (crédit, titre de dette, garantie …), la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise les pertes de crédit attendues sur 12 mois ; 2 ème étape ( Stage 2) : si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise les pertes attendues à maturité ; 3 ème étape ( Stage 3) : dès lors qu’un ou plusieurs événements de défaut sont intervenus sur la transaction ou sur la contrepartie en ayant un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise une perte de crédit avérée à maturité. Par la suite, si les conditions de classement des instruments financiers en stage 3 ne sont plus respectées, les instruments financiers sont reclassés en stage 2, puis en stage 1 en fonction de l'amélioration ultérieure de la qualité de risque de crédit. – Définition du défaut  : La définition du défaut pour les besoins du provisionnement ECL est identique à celle utilisée en gestion et pour les calculs de ratios réglementaires. Ainsi, un débiteur est considéré en situation de défaut, lorsqu’au moins une des deux conditions suivantes est satisfaite  : un arriéré de paiement significatif généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l’arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée estime improbable que le débiteur s’acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu’elle ait recours à d’éventuelles mesures telles que la réalisation d’une sûreté. Un encours en défaut ( Stage 3) est dit déprécié lorsque se sont produits un ou plusieurs événements qui ont un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de cet actif financier. Les indications de dépréciation d’un actif financier englobent les données observables au sujet des événements suivants : des difficultés financières importantes de l’émetteur ou de l’emprunteur ; un manquement à un contrat, tel qu’une défaillance ou un paiement en souffrance ; l’octroi, par le ou les prêteurs à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou contractuelles liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une ou de plusieurs faveurs que le ou les prêteurs n’auraient pas envisagées dans d’autres circonstances ; la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière de l’emprunteur ; la disparition d’un marché actif pour l’actif financier en raison de difficultés financières ; l’achat ou la création d’un actif financier avec une forte décote, qui reflète les pertes de crédit subies. Il n’est pas nécessairement possible d’isoler un événement en particulier, la dépréciation de l’actif financier pouvant résulter de l’effet combiné de plusieurs événements. La contrepartie en défaut ne revient en situation saine qu’après une période d’observation (90 jours) qui permet de valider que le débiteur n’est plus en situation de défaut (appréciation par la Direction des Risques). — La notion de perte de crédit attendue « ECL »  : L’ECL se définit comme la valeur probable espérée pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L’approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. — Gouvernance et mesure des ECL  : La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres IFRS 9 s’appuie sur l’organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le Groupe s’appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres IFRS 9 nécessaires au calcul des ECL. L’appréciation de l’évolution du risque de crédit s’appuie sur un modèle d’anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, doivent être retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut. Ces calculs s’appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu’ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. La norme IFRS 9 préconise une analyse en date d’arrêté ( Point in Time ) tout en tenant compte de données de pertes historiques et des données prospectives macro-économiques ( Forward Looking ), alors que la vue prudentielle s’analyse à travers le cycle ( Through The Cycle ) pour la probabilité de défaut et en bas de cycle ( Downturn ) pour la perte en cas de défaut. L’approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut (« Loss Given Default" »ou « LGD »). Les modalités de calcul de l’ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : instruments financiers et instruments hors bilan. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir (Stage 1) sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie (Stage 2 et 3), et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d’une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l’instrument financier est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu’il y ait défaillance dans les douze mois. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l’instrument financier. Les modalités de mesure des ECL tiennent compte des biens affectés en garantie et des autres rehaussements de crédit qui font partie des modalités contractuelles et que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée ne comptabilise pas séparément. L’estimation des insuffisances de flux de trésorerie attendues d’un instrument financier garanti reflète le montant et le calendrier de recouvrement des garanties. Conformément à la norme IFRS 9, la prise en compte des garanties et sûretés n’influe pas sur l’appréciation de la dégradation significative du risque de crédit : celle-ci s’appuie sur l’évolution du risque de crédit sur le débiteur sans tenir compte des garanties. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives ( Forward Looking ) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : au niveau du Groupe dans la détermination d’un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l’horizon d’amortissement des opérations; au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. — Dégradation significative du risque de crédit  : Toutes les entités du Groupe doivent apprécier, pour chaque instrument financier, la dégradation du risque de crédit depuis l’origine à chaque date d’arrêté. Cette appréciation de l’évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque ( Stages ). Afin d’apprécier la dégradation significative, le Groupe prévoit un processus basé sur deux niveaux d’analyse : un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s’imposent aux entités du Groupe ; un second niveau lié à l’appréciation, à dire d’expert au titre du Forward Looking local, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement en Stage 2 (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque instrument financier. Aucune contagion n’est requise pour le passage de Stage 1 à Stage 2 des instruments financiers d’une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l’évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d’une garantie de l’actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L’origine s’entend comme la date de négociation, lorsque la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée devient partie aux dispositions contractuelles de l’instrument financier. Pour les engagements de financement et de garantie, l’origine s’entend comme la date d’engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d’impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en Stage 2. Pour les encours (à l'exception des titres) pour lesquels des dispositifs de notation internes ont été construits (en particulier les expositions suivies en méthodes autorisées), le groupe Crédit Agricole considère que l’ensemble des informations intégrées dans les dispositifs de notation permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d’impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l’origine cesse d’être constatée, les encours sont reclassés en Stage 1 (encours sains), et, la dépréciation est ramenée à des pertes attendues à 12 mois. Afin de suppléer le fait que certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne soient pas identifiables au niveau d’un instrument financier pris isolément, la norme autorise l’appréciation de la dégradation significative pour des portefeuilles, des groupes de portefeuilles ou des portions de portefeuille d’instruments financiers. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : le type d’instrument ; la note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d’un système de notation interne) ; le type de garantie ; la date de comptabilisation initiale ; la durée à courir jusqu’à l’échéance ; le secteur d’activité ; l’emplacement géographique de l’emprunteur ; la valeur du bien affecté en garantie par rapport à l’actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; le circuit de distribution, l’objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d’instruments financiers aux fins de l’appréciation des variations du risque de crédit sur une base collective peut changer au fil du temps, au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles. Pour les titres, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise l'approche qui consiste à appliquer un niveau absolu de risque de crédit, conformément à IFRS 9, en-deçà duquel les expositions seront classées en Stage 1 et dépréciées sur la base d’un ECL à 12 mois. Ainsi, les règles suivantes s’appliqueront pour le suivi de la dégradation significative des titres : les titres notés « Investment Grade », en date d’arrêté, seront classés en Stage 1 et provisionnés sur la base d’un ECL à 12 mois ; les titres notés « Non-Investment Grade » (NIG), en date d’arrêté, devront faire l’objet d’un suivi de la dégradation significative, depuis l’origine, et être classés en Stage 2 (ECL à maturité) en cas de dégradation significative du risque de crédit. La détérioration relative doit être appréciée en amont de la survenance d’une défaillance avérée ( Stage 3). — Restructurations pour cause de difficultés financières  : Les instruments de dette restructurés pour difficultés financières sont ceux pour lesquels la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, maturité, etc.) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi, ils concernent tous les instruments de dette, quelle que soit la catégorie de classement de l’instrument de dette en fonction de la dégradation du risque de crédit observée depuis la comptabilisation initiale. Conformément à la définition de l’ABE (Autorité Bancaire Européenne) précisée dans le chapitre « Facteurs de risque » du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A., les restructurations de créances pour difficultés financières du débiteur correspondent à l’ensemble des modifications apportées à un ou à des contrats de crédit à ce titre, ainsi qu’aux refinancements accordés en raison des difficultés financières rencontrées par le client. Cette notion de restructuration doit s’apprécier au niveau du contrat et non au niveau du client (pas de contagion). La définition des créances restructurées pour cause de difficultés financières répond donc à deux critères cumulatifs : des modifications de contrat ou des refinancements de créance (concessions) ; un client en situation financière difficile (débiteur rencontrant, ou sur le point de rencontrer des difficultés pour honorer ses engagements financiers). Par « modification de contrat », sont visées par exemple les situations dans lesquelles : il existe une différence en faveur de l’emprunteur entre le contrat modifié et les conditions antérieures au contrat ; les modifications apportées au contrat conduisent à des conditions plus favorables pour l’emprunteur concerné que ce qu’auraient pu obtenir, au même moment, d’autres emprunteurs de la banque ayant un profil de risque similaire. Par « refinancement », sont visées les situations dans lesquelles une dette nouvelle est accordée au client pour lui permettre de rembourser totalement ou partiellement une autre dette dont il ne peut assumer les conditions contractuelles en raison de sa situation financière. Une restructuration de prêt (sain ou en défaut) indique une présomption d’existence d’un risque de perte avérée ( Stage 3). La nécessité de constituer une dépréciation sur l’exposition restructurée doit donc être analysée en conséquence (une restructuration n’entraîne pas systématiquement la constitution de dépréciation pour perte avérée et un classement en défaut). La qualification de « créance restructurée » est temporaire. Dès lors que l’opération de restructuration au sens de l’ABE a été réalisée, l’exposition conserve ce statut de « restructurée » pendant une période a minima de 2 ans si l’exposition était saine au moment de la restructuration, ou de 3 ans si l’exposition était en défaut au moment de la restructuration. Ces périodes sont prolongées en cas de survenance de certains événements (nouveaux incidents par exemple). En l’absence de décomptabilisation liée à ce type d’événement, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote en coût du risque. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisé au taux effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre  : la valeur comptable de la créance ; et la somme des flux futurs de trésorerie théoriques du prêt « restructuré », actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement). En cas d’abandon d’une partie du capital, ce montant constitue une perte à enregistrer immédiatement en coût du risque. La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Lors de la reprise de la décote, la part due à l’effet de l’écoulement du temps est enregistrée en « Produit Net Bancaire ». — Irrécouvrabilité  : Lorsqu’une créance est jugée irrécouvrable, c'est-à-dire qu’il n’y a plus d’espoir de la récupérer en tout ou partie, il convient de décomptabiliser du bilan et de passer en perte le montant jugé irrécouvrable. L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert. Chaque entité doit donc le fixer, avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité. Avant tout passage en perte, une dépréciation en Stage 3 aura dû être constituée (à l’exception des actifs à la juste valeur par résultat). Pour les crédits au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, le montant passé en perte est enregistré en coût du risque pour le nominal, en Produit Net bancaire (PNB) pour les intérêts. Instruments financiers dérivés  : — Classement et évaluation  : Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers classés par défaut en instruments dérivés détenus à des fins de transaction sauf à pouvoir être qualifiés d’instruments dérivés de couverture. Ils sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur initiale à la date de négociation. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur. A chaque arrêté comptable, la contrepartie des variations de juste valeur des dérivés au bilan est enregistrée : En résultat s’il s’agit d’instruments dérivés détenus à des fins de transaction ou de couverture de juste valeur ; En capitaux propres recyclables s’il s’agit d’instruments dérivés de couverture de flux de trésorerie ou d’un investissement net dans une activité à l’étranger, pour la part efficace de la couverture. — La comptabilité de couverture  : – Cadre général  : Conformément à la décision du Groupe, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’applique pas le volet "comptabilité de couverture" d’IFRS 9 suivant l’option offerte par la norme. L’ensemble des relations de couverture reste documenté selon les règles de la norme IAS 39, et ce au plus tard jusqu’à la date d’application du texte sur la macro-couverture lorsqu’il sera adopté par l’Union européenne. Néanmoins, l’éligibilité des instruments financiers à la comptabilité de couverture selon IAS 39 prend en compte les principes de classement et d’évaluation des instruments financiers de la norme IFRS 9. Sous IFRS 9, et compte-tenu des principes de couverture d’IAS 39, sont éligibles à la couverture de juste valeur et à la couverture de flux de trésorerie, les instruments de dette au coût amorti et à la juste valeur par capitaux propres recyclables. – Documentation  : Les relations de couverture doivent respecter les principes suivants : La couverture de juste valeur a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut affecter le résultat (par exemple, couverture de tout ou partie des variations de juste valeur dues au risque de taux d’intérêt d’une dette à taux fixe) ; La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de flux de trésorerie futurs d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’une transaction prévue hautement probable, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut ou pourrait (dans le cas d’une transaction prévue mais non réalisée) affecter le résultat (par exemple, couverture des variations de tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ; La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se prémunir contre le risque de variation défavorable de la juste valeur liée au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro, monnaie de présentation de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée . Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent également être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture : Éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ; Documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ; Démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté. Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite carve out ). Notamment : Le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts ; La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers. – Evaluation  : L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé à sa juste valeur se fait de la façon suivante : couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ; couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé, hors intérêts courus et échus, est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite recyclés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ; couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres recyclables et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat. Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement, sauf en cas de disparition de l’élément couvert : couverture de juste valeur : seul l'instrument dérivé continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à son classement. Pour les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres en totalité. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; couverture de flux de trésorerie : l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que les flux couverts de l'élément couvert affectent le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est en pratique amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; couverture d'investissement net à l'étranger : Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation. — Dérivés incorporés  : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Cette désignation s’applique uniquement aux passifs financiers et aux contrats non financiers. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies : le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ; séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ; les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celles du contrat hôte. Détermination de la juste valeur des instruments financiers . — La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permet et fait l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques d’évaluation qui maximisent l’utilisation des données observables pertinentes et minimisent celle des données non observables. Lorsqu'une dette est évaluée à la juste valeur par résultat (par nature ou sur option), la juste valeur tient compte du risque de crédit propre de l’émetteur. — Hiérarchie de la juste valeur  : La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation. Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif, des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures. Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale. Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs. Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1 Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée , qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché. Sont présentés en niveau 2 : les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes ) et fondée sur des données de marché observables ; les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marché observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté. Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation. Niveau 3 : justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3. Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de produits structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché. Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée. La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent "observables", la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat. Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie. Compensation des actifs et passifs financiers . — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément. Les instruments dérivés et les opérations de pension traités avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan. Gains ou pertes nets sur instruments financiers  : — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : Pour les instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par résultat, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ; les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ; les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ; les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie. Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture. — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres  : Pour les actifs financiers comptabilisés à la juste valeur en capitaux propres, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : les dividendes provenant d'instruments de capitaux propres classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres non recyclables ; les plus et moins-values de cession ainsi que les résultats liés à la rupture de la relation de couverture sur les instruments de dette classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ; les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres lorsque l'élément couvert est cédé. Engagements de financement et garanties financières donnés . — Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IFRS 9 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions pour risque de crédit conformément aux dispositions de la norme IFRS 9. Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser son titulaire d’une perte qu’il subit en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié qui n’effectue pas un paiement à l’échéance selon les conditions initiales ou modifiées d’un instrument de dette. Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre : le montant de la correction de valeur pour pertes déterminée selon les dispositions de la norme IFRS 9, chapitre "Dépréciation" ; ou le montant initialement comptabilisé diminué, s’il y a lieu, du cumul des produits comptabilisés selon les principes d’IFRS 15 "Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients". Provisions (IAS 37) . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif. Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment : les risques opérationnels ; les avantages au personnel ; les risques d’exécution des engagements par signature ; les litiges et garanties de passif ; les risques fiscaux (hors impôt sur le résultat) ; les risques liés à l’épargne-logement. Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ; l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ; la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations : la provision pour risques opérationnels, pour lesquels un recensement des risques avérés, et une appréciation par la Direction de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel sont pris en compte. les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes. Des informations détaillées sont fournies en note 6.13 " Provisions " . Avantages au personnel (IAS 19) . Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories : les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participations et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus ; les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies ; les autres avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ; les indemnités de cessation d’emploi. Avantages postérieurs à l’emploi  : — Régimes à prestations définies  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. (cf. note 7.4 " Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies " ). Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turnover. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice iBoxx AA. Conformément à la norme IAS 19, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables. Les écarts actuariels sont constitués des ajustements liés à l’expérience (différence entre ce qui a été estimé et ce qui s’est produit) et de l’effet des changements apportées aux hypothèses actuarielles. Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies. La différence entre le rendement attendu et le rendement réel des actifs de régimes est constaté en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables. Le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ; diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. — Régimes à cotisations définies  : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé. Autres avantages à long terme . — Les autres avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus. Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différées versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions. La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies. Impôts courants et différés (IAS 12) . — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le résultat comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés. La norme IAS 12 définit l’impôt exigible comme "le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice". Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou la perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par les administrations fiscales et sur la base desquelles l’impôt sur le résultat doit être payé (recouvré). Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe. L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices. L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif. Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique "Impôts sur les bénéfices" du compte de résultat. Par ailleurs, certaines opérations réalisées par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles. La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants : un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par : la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ; la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction. un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible. un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés. Le calcul des impôts différés tient compte des taux d’impôts de chaque pays et ne doit pas faire l’objet d’une actualisation. Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi par symétrie, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction des capitaux propres. En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées d’impôt sur les sociétés (à l’exception d’une quote-part de frais, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent une différence temporelle donnant lieu à la constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part de frais. Dans le cadre des contrats de location IFRS 16, un impôt différé passif est comptabilisé sur le droit d'utilisation et un impôt différé actif sur la dette locative pour les contrats de location dont le Groupe est preneur. Les impôts exigibles et différés sont comptabilisés dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré : soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ; soit par un regroupement d'entreprises. Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale, soit sur la même entité imposable, soit sur les entités imposables différentes, qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés. Les risques fiscaux portant sur l’impôt sur le résultat donnent lieu à la comptabilisation d’une créance ou d’une dette d’impôt courant lorsque la probabilité de recevoir l’actif ou de payer le passif est jugée plus probable qu’improbable. Ces risques sont par ailleurs pris en compte dans l’évaluation des actifs et passifs d’impôts courants et différés. L’interprétation IFRIC 23 portant sur l’évaluation des positions fiscales incertaines s’applique dès lors qu’une entité a identifié une ou des incertitudes à propos de positions fiscales prises concernant ses impôts. Elle apporte également des précisions sur leurs estimations : l’analyse doit être fondée sur une détection à 100 % de l’administration fiscale ; le risque fiscal doit être comptabilisé au passif dès lors qu’il est plus probable qu’improbable que les autorités fiscales remettent en cause le traitement retenu, pour un montant reflétant la meilleure estimation de la Direction ; en cas de probabilité supérieure à 50 % de remboursement par l’administration fiscale, une créance doit être comptabilisée. Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40) . — Le groupe Crédit Agricole applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles. Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement. Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus. Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation. Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d’amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 30 à 80 ans Second œuvre 8 à 40 ans Installations techniques 5 à 25 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans Matériel spécialisé 4 à 5 ans Opérations en devises (IAS 21) . — En date d’arrêté, les actifs et passifs libellés en monnaie étrangère sont convertis en euros, monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole. En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires (ex : instruments de dette) et non monétaires (ex : instruments de capitaux propres). Les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de change de clôture. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte trois exceptions : sur les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres recyclables ; sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère, les écarts de change sont comptabilisés en capitaux propres recyclables pour la part efficace ; sur les passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, les écarts de change liés aux variations de juste de valeur du risque de crédit propre sont enregistrés en capitaux propres non recyclables. Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon le traitement comptable de ces éléments avant conversion : les éléments au coût historique restent évalués au cours de change du jour de la transaction (cours historique) ; les éléments à la juste valeur sont convertis au cours de change à la date de clôture. Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés : en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ; en capitaux propres non recyclables si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres non recyclables. Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec les clients (IFRS 15) . — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent. Les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif (en application d’IFRS 9). Concernant les autres natures de commissions, leur comptabilisation au compte de résultat doit refléter le rythme de transfert au client du contrôle du bien ou du service vendu : le résultat d'une transaction associée à une prestation de services est comptabilisé dans la rubrique Commissions, lors du transfert du contrôle de la prestation de service au client s’il peut être estimé de façon fiable. Ce transfert peut intervenir au fur et à mesure que le service est rendu (service continu) ou à une date donnée (service ponctuel). Les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont enregistrées en résultat en fonction du degré d'avancement de la prestation rendue. Les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont, quant à elles, intégralement enregistrées en résultat lorsque la prestation est rendue. Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées à hauteur du montant pour lequel il est hautement probable que le revenu ainsi comptabilisé ne fera pas ultérieurement l'objet d'un ajustement significatif à la baisse lors de la résolution de l'incertitude. Cette estimation est mise à jour à chaque clôture. En pratique, cette condition a pour effet de différer l'enregistrement de certaines commissions de performance jusqu'à l'expiration de la période d'évaluation de performance et jusqu'à ce qu'elles soient acquises de façon définitive. Contrats d’assurance (IFRS 4) . — Les passifs d’assurance restent pour partie évalués selon les normes françaises conformément aux dispositions réglementaires IFRS 4, en attendant la 1 ère application d’IFRS 17 attendue le 1 er janvier 2023 qui remplacera IFRS 4 et viendra compléter le dispositif actuel. Les actifs financiers des sociétés d’assurance du groupe Crédit Agricole sont quant à eux reclassés au sein des catégories d’actifs financiers définis par la norme IFRS 9. Les provisions techniques des contrats d’assurance non-vie comportent : les provisions de sinistres, permettant de couvrir le coût total des sinistres survenus et restant à régler, et les provisions relatives à l’acquisition des primes (principalement les provisions pour primes non acquises), permettant de reconnaître dans le résultat d’un exercice les primes relatives aux risques réellement couverts au cours de cet exercice et donc de reporter la part des primes émises au cours de l’exercice qui concerne une période de couverture des risques postérieure à l’exercice en cours. La provision pour risques croissants peut être exigée pour les opérations d’assurance contre le risque de maladie et d’invalidité lorsque les primes sont constantes. Elle est égale à la différence des valeurs actuelles des engagements pris par l’assureur et par les assurés. Son calcul repose sur une démarche continue de mise à jour des bases biométriques (probabilité d’entrée en dépendance, durée de maintien…). Un complément à la provision pour risques croissants a été constitué pour le produit Assurance Dépendance. Il prend la forme d’une provision globale, distincte de la provision pour risques croissants réglementaire, permettant de faire face dès aujourd’hui à une éventuelle insuffisance de la production financière future, laquelle ne pourrait être compensée rapidement par des revalorisations tarifaires, limitées contractuellement à 5 % par an. En complément, une provision est constituée pour couvrir un risque de dérive technique. Les provisions mathématiques des contrats d’assurance vie ou des contrats financiers avec participation discrétionnaire correspondent à la différence de valeur actuelle des engagements de l’assureur et de l’assuré. Les provisions sont calculées en utilisant des méthodes actuarielles qui incluent des hypothèses portant sur les primes, la performance des actifs financiers, les taux de rachat des contrats et l’évolution des frais généraux. Les contrats avec participation discrétionnaire sont classés dans leur ensemble comme un passif en provisions techniques des sociétés d’assurance. Les méthodes de comptabilisation sont identiques à celles des contrats d'assurance. Les primes relatives à ces contrats sont comptabilisées en produit et l’augmentation des engagements vis-à-vis des assurés constitue une charge. Les provisions d’assurance vie sont estimées prudemment sur la base des taux techniques définis aux contrats. Les passifs des contrats avec participation bénéficiaire discrétionnaire, sans participation bénéficiaire ou garantie plancher sont comptabilisés par référence aux actifs servant de support à ces contrats à la valeur de marché ou son équivalent à la date d’arrêté et sont classés en passif financier. La marge financière de ces contrats est portée au compte de résultat, après extourne des éléments techniques (primes, prestations…), suivant le principe de comptabilité de dépôt. Les passifs des contrats d’assurance dommages sont estimés à la date de clôture, sans prise en compte de facteur d’actualisation. Les frais de gestion de sinistres liés aux provisions techniques enregistrées à la clôture sont provisionnés dans les comptes. Pour les contrats d’assurance non-vie, les frais d’acquisition sont reportés suivant le rythme d’acquisition des primes. Pour les contrats d’assurance vie, les frais d’acquisition précisément identifiables sont reportés sur le rythme d’émergence des profits. Le montant total des charges relatives à l’activité d’assurance est présenté dans la note 4.5 « Produits (charges) nets des autres activités ». Les contrats d’assurance ou d’investissement avec participation aux bénéfices discrétionnaire font l’objet d’une « comptabilité reflet » ("shadow accounting") conformément à l’option offerte par IFRS 4. Cette comptabilité reflet consiste à enregistrer dans un poste de participation aux bénéfices différée la part des revalorisations positives ou négatives des actifs financiers adossés à ces contrats et de certains retraitements de consolidation (par exemple l’élimination de la provision pour risque d’exigibilité) qui, potentiellement, reviennent aux assurés. Par ailleurs, le règlement ANC 2020-01 prévoit la comptabilisation de participations différées, obligatoirement dans le cas des participations différées passives et pour leur montant recouvrable dans le cas de participations différées actives. Cette participation aux bénéfices différée est comptabilisée au passif (Provisions techniques des contrats d’assurance) ou à l'actif, en contrepartie du résultat ou des autres éléments du résultat global de manière similaire aux plus et moins-values latentes des actifs sur laquelle elle porte. En ce qui concerne les contrats d’épargne, le taux de participation aux bénéfices différée est évalué de manière prospective sur la base de scenarios étudiés cohérents avec les orientations de gestion de la compagnie d’assurance ; il n’est mis à jour que s’il varie significativement. En cas de moins-value latente nette, une participation différée active n’est enregistrée que si son imputation, par entité, sur des participations futures est fortement probable. C’est notamment le cas si cette participation différée active peut venir en déduction des participations futures, soit directement en s’imputant sur la participation différée passive constatée au titre de profits de cession futurs, soit indirectement en étant récupérable sur les sommes futures versées aux assurés. Les tests de recouvrabilité mis en œuvre en cas de participation différée active sont conformes à la recommandation du CNC du 19 décembre 2008. Ils s’appuient : en premier lieu, sur des analyses de liquidité de la compagnie ; ces dernières illustrent la capacité de l’entreprise à mobiliser des ressources pour faire face à ses engagements et sa capacité de détention des actifs en moins-values latentes même en cas d’une détérioration de la production nouvelle. Les tests sont réalisés avec et sans production nouvelle ; en second lieu, sur une comparaison entre la valeur moyenne des prestations futures évaluées par le modèle interne répliquant les décisions de gestion de la compagnie et la valeur de l’actif en représentation des engagements en valeur de marché ; elle illustre la capacité de celle-ci à honorer ses engagements. Enfin, des tests de sensibilité sur la capacité d’activer la participation aux bénéfices différée sont également réalisés, reposant notamment sur une hausse uniforme des rachats s’appliquant à des taux de rachats issus de scénarios proches de ceux établis par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, ou sur une baisse supplémentaire des marchés actions et de l’immobilier. Par ailleurs, en application des dispositions de la norme IFRS 4, le Groupe s’assure à chaque arrêté que les passifs des contrats d’assurance et des contrats d’investissement avec participation discrétionnaire comptabilisés (nets des frais d’acquisition reportés correspondants et des immobilisations incorporelles liées) sont suffisants au regard de leurs flux de trésorerie futurs estimés. Le test de suffisance des passifs à appliquer pour cette vérification doit respecter au minimum les critères suivants définis par la norme : prise en compte de l’ensemble des flux de trésorerie futurs contractuels y compris les frais de gestion associés, les commissions ainsi que les options et garanties implicites de ces contrats ; si le test fait apparaître une insuffisance, celle-ci est intégralement provisionnée avec incidence en résultat. Contrats de location (IFRS 16) Le Groupe peut être bailleur ou preneur d’un contrat de location. — Contrats de location dont le Groupe est bailleur  : Les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location-financement, soit en opérations de location simple. S’agissant d’opérations de location-financement, elles sont assimilées à une vente d’immobilisation au locataire financée par un crédit accordé par le bailleur. L’analyse de la substance économique des opérations de location-financement conduit le bailleur à : Sortir du bilan l’immobilisation louée ; Constater une créance financière sur le client parmi les « actifs financiers au coût amorti » pour une valeur égale à la valeur actualisée au taux implicite du contrat des paiements de location à recevoir par le bailleur au titre du contrat de location, majorée de toute valeur résiduelle non garantie revenant au bailleur ; Comptabiliser des impôts différés au titre des différences temporelles portant sur la créance financière et la valeur nette comptable de l’immobilisation louée ; Décomposer les produits correspondant aux loyers entre d’une part les intérêts d’autre part l’amortissement du capital. S’agissant d’opérations de location simple, le bailleur comptabilise les biens loués parmi les « immobilisations corporelles » à l’actif de son bilan et enregistre les produits de location de manière linéaire parmi les « produits des autres activités » au compte de résultat. Contrats de location dont le Groupe est preneur . — Les opérations de location sont comptabilisées dans le bilan à la date de mise à disposition de l’actif loué. Le preneur constate un actif représentatif du droit d’utilisation de l’actif loué parmi les immobilisations corporelles pendant la durée estimée du contrat et une dette au titre de l’obligation de paiement des loyers parmi les passifs divers sur cette même durée. La durée de location d’un contrat correspond à la durée non résiliable du contrat de location ajustée des options de prolongation du contrat que le preneur est raisonnablement certain d’exercer et option de résiliation que le preneur est raisonnablement certain de ne pas exercer. En France, le principe Groupe applicable aux contrats à durée indéterminée ou renouvelables par tacite prolongation est de retenir la première option de sortie post 5 ans. La durée retenue pour les baux commerciaux dits « 3/6/9 » est généralement de 9 ans avec une période initiale non résiliable de 3 ans. Lorsque le preneur estime qu’il est raisonnablement certain ne pas exercer l’option de sortie au bout de 3 ans, le principe Groupe sera appliqué aux baux commerciaux français dans la majeure partie des cas, à la date de début du contrat de location. Ainsi, la durée sera estimée à 6 ans. Le principe Groupe (première option de sortie post 5 ans) peut ne pas être appliqué dans certains cas spécifiques, comme pour un bail dans lequel les options de sortie intermédiaires ont été abandonnées (par exemple en contrepartie d’une réduction de loyers). Dans ce cas, il conviendra de retenir une durée de location initiale de 9 ans (sauf anticipation d’une tacite prolongation de 3 ans maximum dans le cas général). La dette locative est comptabilisée pour un montant égal à la valeur actualisée des paiements de loyers sur la durée du contrat. Les paiements de loyers comprennent les loyers fixes, les loyers variables basés sur un taux ou un indice et les paiements que le preneur s’attend à payer au titre des garanties de valeur résiduelle, d’option d’achat ou de pénalité de résiliation anticipée. Les loyers variables qui ne dépendent pas d’un indice ou d’un taux et la TVA non déductible sur les loyers sont exclus du calcul de la dette et sont comptabilisés en charges générales d’exploitation. Le taux d’actualisation applicable pour le calcul du droit d'utilisation et du passif de location est par défaut le taux d'endettement marginal du preneur sur la durée du contrat à la date de signature du contrat, lorsque le taux implicite n’est pas aisément déterminable. Le taux d’endettement marginal tient compte de la structure de paiement des loyers. Il reflète les conditions du bail (durée, garantie, environnement économique…). La charge au titre des contrats de location est décomposée entre d’une part les intérêts et d’autre part l’amortissement du capital Le droit d’utilisation de l’actif est évalué à la valeur initiale de la dette locative augmentée des coûts directs initiaux, des paiements d’avance, des coûts de remise en état et diminuée des avantages incitatifs à la location. Il est amorti sur la durée estimée du contrat. La dette locative et le droit d’utilisation peuvent être ajustés en cas de modification du contrat de location, de réestimation de la durée de location ou de révision des loyers liée à l’application d’indices ou de taux. Des impôts différés sont comptabilisés au titre des différences temporelles des droits d’utilisation et des passifs de location chez le preneur. Conformément à l’exception prévue par la norme, les contrats de location à court terme (durée initiale inférieure à douze mois) et les contrats de location dont la valeur à neuf du bien loué est de faible valeur ne sont pas comptabilisés au bilan. Les charges de location correspondantes sont enregistrées de manière linéaire dans le compte de résultat parmi les charges générales d’exploitation. Selon les dispositions prévues par la norme, le Groupe n’applique pas la norme IFRS 16 aux contrats de location d’immobilisations incorporelles. Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées (IFRS 5) . — Un actif non courant (ou un groupe destiné à être cédé) est considéré comme détenu en vue de la vente si sa valeur comptable est recouvrée principalement par le biais d'une vente plutôt que par l'utilisation continue. Pour que tel soit le cas, l'actif (ou le groupe destiné à être cédé) doit être disponible en vue de la vente immédiate dans son état actuel et sa vente doit être hautement probable. Les actifs et passifs concernés sont isolés au bilan sur les postes "Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées" et "Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées". Ces actifs non courants (ou un groupe destiné à être cédé) classés comme détenus en vue de la vente sont évalués au montant le plus bas entre leur valeur comptable et leur juste valeur diminuée des coûts de la vente. En cas de moins-value latente, une dépréciation est enregistrée en résultat. Par ailleurs, ceux-ci cessent d’être amortis à compter de leur déclassement. Si la juste valeur du groupe d’actifs destiné à être cédé diminuée des coûts de la vente est inférieure à sa valeur comptable après dépréciation des actifs non courants, la différence est allouée aux autres actifs du groupe d’actifs destinés à être cédés y compris les actifs financiers et est comptabilisé en résultat net des actifs destinés à être cédés. Est considérée comme activité abandonnée toute composante dont le Groupe s'est séparée ou qui est classée comme détenue en vue de la vente, et qui est dans une des situations suivantes : elle représente une ligne d'activité ou une région géographique principale et distincte ; elle fait partie d'un plan unique et coordonné pour se séparer d'une ligne d'activité ou d'une région géographique principale et distincte ; ou elle est une filiale acquise exclusivement en vue de la revente. Sont présentés sur une ligne distincte du compte de résultat : le résultat net après impôt des activités abandonnées jusqu’à la date de cession ; le profit ou la perte après impôt résultant de la cession ou de l’évaluation à la juste valeur diminuée des coûts de la vente des actifs et passifs constituant les activités abandonnées. 1.3. Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28) . Périmètre de consolidation . — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, d’un contrôle conjoint ou d’une influence notable , hormis ceux présentant un caractère non significatif par rapport à l’ensemble des sociétés incluses dans le périmètre de consolidation. — Consolidation des Caisses régionales  : Les normes de consolidation existantes dans le référentiel international sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales. Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée. Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A. , dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier. Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existe, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A. , les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole. Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politiques commerciales communes, histoire partagée. C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional. Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international. La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques. — Notions de contrôle  : Conformément aux normes comptables internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après. Le contrôle sur une entité est présumé exister lorsque la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité. Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent à la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seule les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances. Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée lors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée , des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, l’étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant ainsi que les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels sont analysées afin de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir délégué) ou principal (pour son propre compte). Ainsi, au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affecter la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité. Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle. Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité. Méthodes de consolidation . — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale : l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée ; la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et les co-entreprises (hors activités conjointes). L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés. Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe. Les participations dans des entreprises associées ou contrôlées conjointement sont comptabilisées comme un élément distinct au bilan dans la rubrique « Participations dans les entreprises mises en équivalence ». La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote - part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées. La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition. Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée constate : en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un écart d’acquisition complémentaire ; en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession/dilution en résultat. Retraitements et éliminations . — Conformément à IFRS 10, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée effectue les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées. L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement. Les plus ou moins-values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées. Conversion des états financiers des activités à l’étranger (IAS 21) . — Les états financiers des entités représentant une « activité à l’étranger » (filiale, succursale, entreprise associée ou une coentreprise) sont convertis en euros en deux étapes : conversion, le cas échéant, de la monnaie locale de tenue de compte en monnaie fonctionnelle (monnaie de l’environnement économique principal dans lequel opère l’entité). La conversion se fait comme si les éléments avaient été comptabilisés initialement dans la monnaie fonctionnelle (mêmes principes de conversion que pour les transactions en monnaie étrangère ci-avant) ; conversion de la monnaie fonctionnelle en euros, monnaie de présentation des comptes consolidés du Groupe. Les actifs et les passifs, y compris les écarts d’acquisition, sont convertis au cours de clôture. Les éléments de capitaux propres, tels que le capital social ou les réserves, sont convertis à leur cours de change historique. Les produits et les charges du compte de résultat sont convertis au cours moyen de la période. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en tant que composante distincte des capitaux propres. Ces écarts de conversion sont comptabilisés en résultat en cas de sortie de l’activité à l'étranger (cession, remboursement de capital, liquidation, abandon d'activité) ou en cas de déconsolidation due à une perte de contrôle (même sans cession) lors de la comptabilisation du résultat de sortie ou de perte de contrôle. 2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période . Conformément à IFRS 3, la juste valeur provisoire des actifs et passifs acquis peut être ajustée afin de refléter les informations nouvelles obtenues à propos des faits et des circonstances qui prévalaient à la date d’acquisition pendant la période d’évaluation qui ne doit pas excéder un an à compter de la date d’acquisition. Par conséquent les écarts d’acquisition présentés dans ce paragraphe peuvent faire l'objet d’ajustements ultérieurs dans ce délai. Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2022 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 11 " Périmètre de consolidation au 31 décembre 2022 " . Contexte économique . — Cette année s’est inscrite dans un environnement géopolitique particulier, marqué par la crise en Ukraine et les tensions sur les matières premières et l’énergie. La Caisse Régionale a dû s’adapter au contexte macro-économique, inédit depuis plusieurs années, qui s’est traduit notamment par le retour de l’inflation, la hausse des taux et la baisse du marché actions. Ces différents éléments ont pu avoir un impact sur les principales estimations comptables au 31 décembre 2022. Restructuration du passif . — Avances globales : la Caisse régionale a remboursé par anticipation des Avances Globales de groupe 2 pour 46 M€, générant le paiement d’une soulte de -5,6 M€ comptabilisée flat en normes françaises et étalée dans les comptes consolidés en IFRS. Pour rappel, la Caisse régionale avait remboursé par anticipation des Avances Globales de groupe 1 pour 12,3 M€ en 2021, entrainant une soulte de -3,9 M€, enregistrée flat dans les deux référentiels. Swaps : aucune résiliation de swaps de macro-couverture réalisée au cours l’exercice 2022. Pour rappel, l’impact des résiliations opérées en 2021 avait entrainé une soulte globale de -6,5 M€ enregistrée flat en normes françaises et étalée sur la durée de vie résiduelle des swaps résiliés en IFRS, correspondant à la résiliation de 4 swaps pour un encours de 70 M€ Impacts liés aux opérations militaires en Ukraine . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est exposée au risque pays, c’est-à-dire au risque que les conditions économiques, financières, politiques ou sociales d’un pays dans lequel elle exerce ses activités, affectent ses intérêts financiers. Un changement significatif de l’environnement politique ou macroéconomique pourrait la contraindre à enregistrer des charges additionnelles ou à subir des pertes plus importantes que les montants déjà inscrits dans ses états financiers. L’exposition directe de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée sur ce risque pays reste peu significative au 31 décembre 2022. FCT Crédit Agricole Habitat 2022 . — Au 31/12/2022, une nouvelle entité (FCT Crédit Agricole Habitat 2022) a été consolidée au sein du groupe Crédit Agricole, née d’une opération de titrisation réalisée par les 39 Caisses régionales, le 9 mars 2022. Cette transaction est un RMBS français placé sur le marché. Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales au FCT Crédit Agricole Habitat 2022 pour un montant de 1 milliard d’euros. Les titres seniors adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès d’investisseurs (établissements de crédit (50%), fonds d’investissement (25%), banques centrales (25%)). Dans le cadre de cette titrisation, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 10 250 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2022 . Elle a souscrit pour 1,4 millions d’euros de titres subordonnés. Par ailleurs, l’entité FCT Crédit Agricole Habitat 2017 est sortie du périmètre, l’opération de titrisation émise sur le marché ayant été débouclée le 28 mars 2022. Au 31 décembre 2022 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée ayant participé aux opérations de titrisation Crédit Agricole Habitat a consolidé ses quotes-parts (analyse par silo) de chacun des FCT, le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’elle a cédées au FCT. SAS Rue La Boétie . — Versement d’un acompte sur dividende de 0,95 € par titre, soit 18,4 M€ contre un montant perçu de 11,6 M€ au 31 décembre 2021. Dans le cadre de l’annonce de la prise de participation complémentaire de la SAS Rue La Boétie dans CA.S.A . dans la limite de 65%, la Caisse Régionale a mis en place une avance en compte courant d’associés de 13,1 M€ au 31 décembre 2022 qui a vocation à être capitalisée sur le premier semestre 2023. Cette opération a été approuvée par le conseil d’administration du 16 décembre 2022. TLTRO . — Conformément aux préconisations du Groupe, la Caisse Régionale a appliqué la modification des conditions de rémunération applicables à ces opérations de refinancement à compter du 23 novembre 2022. Dans ce contexte, les tranches de TLTRO mises en place en juin 2020 et décembre 2020 ont été remboursées par anticipation en décembre 2022 pour un montant de 348 M€ sans paiement d’indemnité de remboursement anticipé tandis que 38 M€ sont arrivés à échéance. Le montant des intérêts enregistrés sur 2022 est de 3,4 M€ contre 7,8 M€ l’année passée. 3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture . Le pilotage des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est assuré par la Direction des Risques. Cette direction est rattachée au Directeur général et a pour mission d’assurer la maîtrise et le contrôle permanent des risques de crédit, financiers et opérationnels. La description de ces dispositifs ainsi que les informations narratives figurent dans le rapport de gestion, chapitre "Facteurs de risque", comme le permet la norme IFRS 7 Instruments financiers : informations à fournir. Les tableaux de ventilations comptables figurent dans les états financiers. 3.1. Risque de crédit . — La Caisse régionale a pris en compte le contexte d’environnement géopolitique particulier de 2022, marqué par la crise en Ukraine et les tensions sur les matières premières et l’énergie, ainsi que le retour de l’inflation et la hausse des taux. En particulier, le Groupe a revu ses prévisions macro-économiques prospectives (forward looking) pour la détermination de l'estimation du risque de crédit et la Caisse Régionale a procédé à une revue de son portefeuille de crédits, qui l’a conduite à la mise à jour du forward looking local sur un certain nombre de filières considérées à risques. (Cf. chapitre "Facteurs de risque – Risques de crédit" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A.) 3.1.1. Variation des valeurs comptables et des corrections de valeur pour pertes sur la période . — Les corrections de valeur pour pertes correspondent aux dépréciations sur actifs et aux provisions sur engagement hors bilan comptabilisées en résultat net (Coût du risque) au titre du risque de crédit. Les tableaux suivants présentent un rapprochement des soldes d’ouverture et de clôture des corrections de valeur pour perte comptabilisées en Coût du risque et des valeurs comptables associées, par catégorie comptable et type d’instruments. — Actifs financiers au coût amorti : Titres de dettes  : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2021 192 629 -71 ‐ ‐ 2 177 -2 177 194 806 -2 248 192 558 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Stage à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de Stage 1 vers Stage 2 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Stage 2 vers Stage 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers Stage 3 (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 192 629 -71 ‐ ‐ 2 177 -2 177 194 806 -2 248 192 558 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes 27 326 -17 ‐ ‐ -2 2 27 324 -15 Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) 42 990 -21 ‐ ‐ 42 990 -21 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -15 664 1 ‐ ‐ -2 2 -15 666 3 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période 3 ‐ ‐ 3 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 219 955 -88 ‐ ‐ 2 175 -2 175 222 130 -2 263 219 867 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) 164 ‐ ‐ 164 Au 31 décembre 2022 220 119 -88 ‐ ‐ 2 175 -2 175 222 294 -2 263 220 031 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des encours classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les originations en Stage 2 peuvent inclure des encours originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif) — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2021 11 401 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 11 401 ‐ 11 401 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Stage à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de Stage 1 vers Stage 2 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Stage 2 vers Stage 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers Stage 3 (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 11 401 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 11 401 ‐ 11 401 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période ‐ ‐ ‐ ‐ Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 11 401 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 11 401 ‐ 11 401 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) 150 754 ‐ ‐ 150 754 Au 31 décembre 2022 162 155 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 162 155 ‐ 162 155 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des encours classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les originations en Stage 2 peuvent inclure des encours originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les variations des créances rattachées — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur la clientèle  : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2021 5 197 984 -11 224 750 197 -36 829 186 831 -122 035 6 135 012 -170 088 5 964 924 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Stage à l'autre -27 055 -2 669 -4 230 6 753 31 285 -13 227 ‐ -9 143 Transferts de Stage 1 vers Stage 2 -235 794 708 235 794 -3 237 ‐ -2 529 Retour de Stage 2 vers Stage 1 219 041 -3 488 -219 041 8 175 ‐ 4 687 Transferts vers Stage 3 (1) -11 549 125 -26 298 1 988 37 847 -14 135 ‐ -12 022 Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 1 247 -14 5 315 -173 -6 562 908 ‐ 721 Total après transferts 5 170 929 -13 893 745 967 -30 076 218 116 -135 262 6 135 012 -179 231 5 955 781 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes 163 219 -2 537 -36 631 -2 494 -16 387 4 482 110 201 -549 Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) 954 879 -4 177 88 033 -3 989 1 042 912 -8 166 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -791 660 2 952 -124 664 4 692 -13 127 11 717 -929 451 19 361 Passages à perte -2 957 2 756 -2 957 2 756 Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ -661 ‐ 145 ‐ -516 Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période -1 312 -2 536 -10 618 -14 466 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ -303 482 -303 482 Total 5 334 148 -16 430 709 336 -32 570 201 729 -130 780 6 245 213 -179 780 6 065 433 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) -53 592 164 620 -52 808 Au 31 décembre 2022 5 280 556 -16 430 709 500 -32 570 202 349 -130 780 6 192 405 -179 780 6 012 625 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des encours classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les originations en Stage 2 peuvent inclure des encours originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les variations des créances rattachées — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements provisionnés (Stage 3) Total Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 31 décembre 2021 462 940 -1 047 45 680 -1 588 1 080 -635 509 700 -3 270 506 430 Transferts d'engagements en cours de vie d'un Stage à l'autre -7 856 338 7 337 237 519 -519 ‐ 56 Transferts de Stage 1 vers Stage 2 -10 726 24 10 726 -81 ‐ -57 Retour de Stage 2 vers Stage 1 3 252 -68 -3 252 181 ‐ 113 Transferts vers Stage 3 (1) -433 433 -224 224 657 -657 ‐ ‐ Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 51 -51 87 -87 -138 138 ‐ ‐ Total après transferts 455 084 -709 53 017 -1 351 1 599 -1 154 509 700 -3 214 506 486 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes 7 470 -1 280 -3 476 -672 -53 237 3 941 -1 715 Nouveaux engagements donnés (2) 239 342 -1 121 18 107 -1 270 257 449 -2 391 Extinction des engagements -231 917 662 -21 538 835 ‐ ‐ -253 455 1 497 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période -821 -237 237 -821 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres 45 ‐ -45 ‐ -53 ‐ -53 ‐ Au 31 décembre 2022 462 554 -1 989 49 541 -2 023 1 546 -917 513 641 -4 929 508 712 (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des engagements classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les nouveaux engagements donnés en Stage 2 peuvent inclure des engagements originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 31 décembre 2021 192 247 -386 10 678 -1 181 1 441 -957 204 366 -2 524 201 842 Transferts d'engagements en cours de vie d'un Stage à l'autre -1 354 -1 1 287 48 67 -67 ‐ -20 Transferts de Stage 1 vers Stage 2 -1 658 8 1 658 -60 ‐ -52 Retour de Stage 2 vers Stage 1 321 -26 -321 58 ‐ 32 Transferts vers Stage 3 (1) -17 17 -56 56 73 -73 ‐ ‐ Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 ‐ ‐ 6 -6 -6 6 ‐ ‐ Total après transferts 190 893 -387 11 965 -1 133 1 508 -1 024 204 366 -2 544 201 822 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes 12 728 154 -935 -462 983 429 12 776 121 Nouveaux engagements donnés (2) 26 255 -106 2 108 -531 28 363 -637 Extinction des engagements -13 527 35 -3 043 115 -67 1 -16 637 151 Passages à perte -250 250 -250 250 Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période 225 -46 178 357 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ 1 300 ‐ 1 300 ‐ Au 31 décembre 2022 203 621 -233 11 030 -1 595 2 491 -595 217 142 -2 423 214 719 (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des engagements classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les nouveaux engagements donnés en Stage 2 peuvent inclure des engagements originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période 3.1.2. Exposition maximale au risque de crédit . — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur comptable, nette de toute perte de valeur comptabilisée et compte non tenu des actifs détenus en garantie ou des autres rehaussements de crédit (par exemple les accords de compensation qui ne remplissent pas les conditions de compensation selon IAS 32). Les tableaux ci-dessous présentent les expositions maximales ainsi que le montant des actifs détenus en garantie et autres techniques de rehaussements de crédit permettant de réduire cette exposition. Les actifs dépréciés en date de clôture correspondent aux actifs dépréciés (Stage 3). — Actifs financiers non soumis aux exigences de dépréciation (comptabilisés à la juste valeur par résultat)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2022 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 10 783 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 4 651 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 6 132 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 167 334 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 178 117 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 5 011 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 868 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 4 143 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 26 001 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 31 012 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ — Actifs financiers soumis aux exigences de dépréciation  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2022 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 6 394 811 ‐ 2 251 961 213 239 1 988 689 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 569 ‐ 39 539 1 843 20 525 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) 162 155 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 6 012 625 ‐ 2 251 961 213 239 1 988 689 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 569 ‐ 39 539 1 843 20 525 ‐ Titres de dettes 220 031 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 6 394 811 ‐ 2 251 961 213 239 1 988 689 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 569 ‐ 39 539 1 843 20 525 ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 6 168 883 ‐ 2 197 644 196 368 1 952 968 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 64 796 ‐ 37 762 1 345 16 485 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) 11 401 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 964 924 ‐ 2 197 644 196 368 1 952 968 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 64 796 ‐ 37 762 1 345 16 485 ‐ Titres de dettes 192 558 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 6 168 883 ‐ 2 197 644 196 368 1 952 968 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 64 796 ‐ 37 762 1 345 16 485 ‐ — Engagements hors bilan soumis aux exigences de provisionnement  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2022 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) 214 719 586 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 1 896 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole) 508 712 ‐ 56 057 15 069 69 304 ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 629 ‐ 67 15 195 ‐ Total 723 431 586 56 057 15 069 69 304 ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 2 525 ‐ 67 15 195 ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) 201 842 521 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 484 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole) 506 430 ‐ 58 272 11 462 52 479 ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 445 ‐ 5 19 106 ‐ Total 708 272 521 58 272 11 462 52 479 ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 929 ‐ 5 19 106 ‐ Une description des actifs détenus en garantie est présentée dans la note 9 "Engagements de financement et de garantie et autres garanties". 3.1.3. Actifs financiers modifiés . — Les actifs financiers modifiés correspondent aux actifs restructurés pour difficultés financières. Il s’agit de créances pour lesquelles la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et les créances saines, au moment de la restructuration. (Une définition plus détaillée des encours restructurés et leur traitement comptable est détaillée dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”). Pour les actifs ayant fait l’objet d’une restructuration au cours de la période, la valeur comptable établie à l’issue de la restructuration est de : (En milliers d'Euros) 2022 Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gains ou pertes nets de la modification ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 9 293 3 965 Valeur comptable brute avant modification 9 293 3 965 Gains ou pertes nets de la modification ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gains ou pertes nets de la modification ‐ ‐ ‐ Selon les principes établis dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”, les actifs restructurés dont le stade de dépréciation correspond à celui du Stage 2 (actifs sains) ou Stage 3 (actifs dépréciés) peuvent faire l’objet d’un retour en Stage 1 (actifs sains). La valeur comptable des actifs modifiés concernés par ce reclassement au cours de la période est de : (En milliers d'euros) Valeur comptable brute Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs restructurés antérieurement classés en Stage 2 ou en Stage 3 et reclassés en Stage 1 au cours de la période Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ Titres de dettes ‐ Total ‐ 3.1.4. Concentrations du risque de crédit . — Les valeurs comptables et montants des engagements sont présentés nets de dépréciations et de provisions. — Exposition au risque de crédit par catégories de risque de crédit  : Les catégories de risques de crédit sont présentées par intervalles de probabilité de défaut. La correspondance entre les notations internes et les intervalles de probabilité de défaut est détaillée dans le chapitre "Risques et pilier 3 – Gestion du risque de crédit" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. — Actifs financiers au coût amorti (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 3 173 880 95 062 3 268 942 3 126 088 116 081 3 242 169 0,5% < PD ≤ 2% 456 447 165 636 622 083 451 817 167 539 619 356 2% < PD ≤ 20% 169 251 209 709 378 960 177 004 200 265 377 269 20% < PD < 100% 48 954 48 954 52 919 52 919 PD = 100% 154 633 154 633 148 491 148 491 Total Clientèle de détail 3 799 578 519 361 154 633 4 473 572 3 754 909 536 804 148 491 4 440 204 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 1 280 325 57 047 1 337 372 1 161 501 62 852 1 224 353 0,6% < PD < 12% 582 927 119 251 702 178 485 604 124 436 610 040 12% ≤ PD < 100% 13 841 13 841 26 105 26 105 PD = 100% 49 891 49 891 40 517 40 517 Total Hors clientèle de détail 1 863 252 190 139 49 891 2 103 282 1 647 105 213 393 40 517 1 901 015 Dépréciations -16 518 -32 570 -132 955 -182 043 -11 295 -36 829 -124 212 -172 336 Total 5 646 312 676 930 71 569 6 394 811 5 390 719 713 368 64 796 6 168 883 — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 211 925 8 649 ‐ 220 574 206 174 7 068 ‐ 213 242 0,5% < PD ≤ 2% 41 842 4 630 ‐ 46 472 39 168 4 590 ‐ 43 758 2% < PD ≤ 20% 17 531 7 021 ‐ 24 552 22 934 6 309 ‐ 29 243 20% < PD < 100% ‐ 1 302 ‐ 1 302 ‐ 382 ‐ 382 PD = 100% ‐ ‐ 945 945 ‐ ‐ 933 933 Total Clientèle de détail 271 298 21 602 945 293 845 268 276 18 349 933 287 558 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 131 539 6 565 ‐ 138 104 133 253 3 163 ‐ 136 416 0,6% < PD < 12% 59 717 20 263 ‐ 79 980 61 411 20 327 ‐ 81 738 12% ≤ PD < 100% ‐ 1 111 ‐ 1 111 ‐ 3 841 ‐ 3 841 PD = 100% ‐ ‐ 601 601 ‐ ‐ 147 147 Total Hors clientèle de détail 191 256 27 939 601 219 796 194 664 27 331 147 222 142 Provisions (1) -1 989 -2 023 -917 -4 929 -1 047 -1 588 -635 -3 270 Total 460 565 47 518 629 508 712 461 893 44 092 445 506 430 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 5 131 3 075 ‐ 8 206 4 698 2 855 ‐ 7 553 0,5% < PD ≤ 2% 1 501 833 ‐ 2 334 973 1 960 ‐ 2 933 2% < PD ≤ 20% 25 265 1 509 ‐ 26 774 22 566 1 903 ‐ 24 469 20% < PD < 100% ‐ 1 292 ‐ 1 292 ‐ 793 ‐ 793 PD = 100% ‐ ‐ 732 732 ‐ ‐ 349 349 Total Clientèle de détail 31 897 6 709 732 39 338 28 237 7 511 349 36 097 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 21 266 1 254 ‐ 22 520 21 060 1 247 ‐ 22 307 0,6% < PD < 12% 150 458 3 051 ‐ 153 509 142 950 1 826 ‐ 144 776 12% ≤ PD < 100% ‐ 16 ‐ 16 ‐ 94 ‐ 94 PD = 100% ‐ ‐ 1 759 1 759 ‐ ‐ 1 092 1 092 Total Hors clientèle de détail 171 724 4 321 1 759 177 804 164 010 3 167 1 092 168 269 Provisions (1) -233 -1 595 -595 -2 423 -386 -1 181 -957 -2 524 Total 203 388 9 435 1 896 214 719 191 861 9 497 484 201 842 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Concentrations du risque de crédit par agent économique  : — Actifs financiers au coût amorti par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Dépréciation des actifs au coût amorti – ( Stage 3 ) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Dépréciation des actifs au coût amorti – ( Stage 3 ) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Dépréciation des actifs au coût amorti – ( Stage 1 ) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Dépréciation des actifs au coût amorti – ( Stage 2 ) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Dépréciation des actifs au coût amorti – ( Stage 1 ) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Dépréciation des actifs au coût amorti – ( Stage 2 ) Administration générale 577 500 -612 44 210 -457 5 436 -5 360 627 146 636 550 -294 52 286 -513 5 551 -5 551 694 387 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit 206 756 -29 ‐ ‐ 2 175 -2 175 208 931 46 177 -26 ‐ ‐ 2 177 -2 177 48 354 Grandes entreprises 1 078 996 -7 880 145 929 -6 342 42 280 -31 196 1 267 205 964 378 -4 982 161 107 -7 510 32 789 -25 609 1 158 274 Clientèle de détail 3 799 578 -7 997 519 361 -25 771 154 633 -94 224 4 473 572 3 754 909 -5 993 536 804 -28 806 148 491 -90 875 4 440 204 Total 5 662 830 -16 518 709 500 -32 570 204 524 -132 955 6 576 854 5 402 014 -11 295 750 197 -36 829 189 008 -124 212 6 341 219 — Dettes envers la clientèle par agent économique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Administration générale 15 133 16 777 Grandes entreprises 1 180 603 1 159 299 Clientèle de détail 1 750 049 1 775 454 Total Dettes envers la clientèle 2 945 785 2 951 530 — Engagements de financement par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 1) (1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 2) (1) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 1) (1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 2) (1) Administration générale 33 081 -30 2 363 -22 ‐ ‐ 35 444 65 525 -26 705 -2 ‐ ‐ 66 230 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 158 175 -1 170 25 576 -879 601 -917 184 352 129 139 -535 26 626 -988 147 -380 155 912 Clientèle de détail 271 298 -789 21 602 -1 122 945 ‐ 293 845 268 276 -486 18 349 -598 933 -255 287 558 Total 462 554 -1 989 49 541 -2 023 1 546 -917 513 641 462 940 -1 047 45 680 -1 588 1 080 -635 509 700 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'euros) Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 1) (1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 2) (1) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 1) (1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Provisions sur engagements soumis à une ECL 12 Mois (Stage 2) (1) Administration générale 2 990 -2 ‐ ‐ ‐ ‐ 2 990 2 990 -1 ‐ ‐ ‐ ‐ 2 990 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 168 734 -180 4 321 -584 1 759 -589 174 814 161 020 -359 3 167 -389 1 092 -953 165 279 Clientèle de détail 31 897 -51 6 709 -1 011 732 -6 39 338 28 237 -26 7 511 -792 349 -4 36 097 Total 203 621 -233 11 030 -1 595 2 491 -595 217 142 192 247 -386 10 678 -1 181 1 441 -957 204 366 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Concentrations du risque de crédit par zone géographique  : — Actifs financiers au coût amorti par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) France (y compris DOM-TOM) 5 546 948 672 455 128 383 6 347 786 5 277 749 706 974 108 453 6 093 176 Autres pays de l'Union européenne 110 269 36 192 73 960 220 421 119 546 42 277 78 366 240 189 Autres pays d'Europe 4 092 381 ‐ 4 473 3 108 309 7 3 424 Amérique du Nord 805 410 2 175 3 390 984 501 2 177 3 662 Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ 45 ‐ ‐ 45 Afrique et Moyen-Orient 654 62 6 722 545 136 5 686 Asie et Océanie (hors Japon) 21 ‐ ‐ 21 37 ‐ ‐ 37 Japon 41 ‐ ‐ 41 ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépréciations -16 518 -32 570 -132 955 -182 043 -11 295 -36 829 -124 212 -172 336 Total 5 646 312 676 930 71 569 6 394 811 5 390 719 713 368 64 796 6 168 883 — Dettes envers la clientèle par zone géographique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 France (y compris DOM-TOM) 2 866 292 2 869 445 Autres pays de l'Union européenne 61 528 64 859 Autres pays d'Europe 12 034 12 276 Amérique du Nord 2 448 2 202 Amériques centrale et du Sud 66 216 Afrique et Moyen-Orient 2 639 1 964 Asie et Océanie (hors Japon) 778 568 Japon ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ Total Dettes envers la clientèle 2 945 785 2 951 530 — Engagements de financement par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) France (y compris DOM-TOM) 460 840 49 534 1 544 511 918 461 668 45 621 1 080 508 369 Autres pays de l'Union européenne 498 2 2 502 898 47 ‐ 945 Autres pays d'Europe 1 157 4 ‐ 1 161 316 11 ‐ 327 Amérique du Nord 22 1 ‐ 23 21 1 ‐ 22 Amériques centrale et du Sud 3 ‐ ‐ 3 3 ‐ ‐ 3 Afrique et Moyen-Orient 22 ‐ ‐ 22 23 ‐ ‐ 23 Asie et Océanie (hors Japon) 11 ‐ ‐ 11 11 ‐ ‐ 11 Japon 1 ‐ ‐ 1 ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -1 989 -2 023 -917 -4 929 -1 047 -1 588 -635 -3 270 Total 460 565 47 518 629 508 712 461 893 44 092 445 506 430 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2022 Au 31 décembre 2021 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) France (y compris DOM-TOM) 203 621 11 030 2 491 217 142 192 247 10 678 1 441 204 366 Autres pays de l'Union européenne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -233 -1 595 -595 -2 423 -386 -1 181 -957 -2 524 Total 203 388 9 435 1 896 214 719 191 861 9 497 484 201 842 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan 3.1.5. Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement . — Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique  : (En milliers d'Euros) Valeur comptable au 31 décembre 2022 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Stage 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Stage 2) Actifs dépréciés (Stage 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Administration générale ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Clientèle de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 59 953 379 ‐ 21 131 5 141 476 2 997 3 741 39 274 Administration générale 52 008 ‐ ‐ 11 229 ‐ ‐ ‐ ‐ 76 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 2 741 194 ‐ 1 352 188 ‐ 433 703 5 407 Clientèle de détail 5 204 185 ‐ 8 550 4 953 476 2 564 3 038 33 791 Total 59 953 379 ‐ 21 131 5 141 476 2 997 3 741 39 274 (En milliers d'Euros) Valeur comptable au 31 décembre 2021 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Stage 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Stage 2) Actifs dépréciés (Stage 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Administration générale ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Clientèle de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 28 251 536 ‐ 12 589 5 125 2 1 900 4 639 38 613 Administration générale 17 913 7 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 3 312 ‐ ‐ 4 407 152 ‐ 178 1 102 2 850 Clientèle de détail 7 026 529 ‐ 8 182 4 973 2 1 722 3 537 35 763 Total 28 251 536 ‐ 12 589 5 125 2 1 900 4 639 38 613 3.2. Expositions au risque souverain . — Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement. L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture. Les expositions de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au risque souverain sont les suivantes : — Activité bancaire  : 31/12/2022 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Allemagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Arabie saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Argentine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Egypte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etats-Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 93 500 93 500 ‐ 93 500 Hong -K ong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Liban ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Maroc ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume-Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays souverains ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ 93 500 93 500 ‐ 93 500 31/12/2021 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Allemagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Arabie saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Argentine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Egypte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etats-Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 98 808 98 808 ‐ 98 808 Hong-Kong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Liban ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Maroc ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume-Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays souverains ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ 98 808 98 808 ‐ 98 808 3.3. Risque de marché . — (Cf. Rapport de gestion) Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle . — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. — Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 4 581 27 480 135 273 167 334 Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total 4 581 27 480 135 273 167 334 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif 4 581 27 480 135 273 167 334 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 8 426 10 400 7 175 26 001 Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total 8 426 10 400 7 175 26 001 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif 8 426 10 400 7 175 26 001 — Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 455 7 809 8 407 16 671 Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total 455 7 809 8 407 16 671 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif 455 7 809 8 407 16 671 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 1 930 7 382 76 827 86 139 Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total 1 930 7 382 76 827 86 139 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif 1 930 7 382 76 827 86 139 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ 6 4 566 4 572 Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ 37 37 Sous-total ‐ 6 4 603 4 609 Opérations de change à terme 42 ‐ ‐ 42 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif 42 6 4 603 4 651 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 1 24 833 858 Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments 1 ‐ ‐ 1 Sous-total 2 24 833 859 Opérations de change à terme 9 ‐ ‐ 9 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif 11 24 833 868 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ 6 4 589 4 595 Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ 6 4 589 4 595 Opérations de change à terme 39 ‐ ‐ 39 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif 39 6 4 589 4 634 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 1 24 853 878 Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ 29 29 Sous-total 1 24 882 907 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif 1 24 882 907 — Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Total encours notionnel Total encours notionnel Instruments de taux d'intérêt 2 095 912 1 903 494 Instruments de devises et or ‐ ‐ Autres instruments 325 325 Sous-total 2 096 237 1 903 819 Opérations de change à terme 5 543 13 830 Total notionnels 2 101 780 1 917 649 Risque de change . — (Cf. Rapport de gestion) 3.4. Risque de liquidité et de financement . — (Cf. Rapport de gestion) — Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 559 302 44 229 658 373 237 601 ‐ 1 499 505 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 327 454 535 169 1 991 602 3 315 559 22 621 6 192 405 Total 886 756 579 398 2 649 975 3 553 160 22 621 7 691 910 Dépréciations -179 780 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle 7 512 130 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 833 063 100 807 151 848 13 952 ‐ 1 099 670 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 334 220 526 191 1 954 904 3 304 401 15 296 6 135 012 Total 1 167 283 626 998 2 106 752 3 318 353 15 296 7 234 682 Dépréciations -170 088 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle 7 064 594 — Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 315 319 954 456 2 071 253 882 501 ‐ 4 223 529 Dettes envers la clientèle 2 635 847 41 290 216 760 51 888 ‐ 2 945 785 Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 2 951 166 995 746 2 288 013 934 389 ‐ 7 169 314 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 511 578 866 336 1 764 143 684 328 ‐ 3 826 385 Dettes envers la clientèle 2 604 828 28 607 229 012 89 083 ‐ 2 951 530 Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 3 116 406 894 943 1 993 155 773 411 ‐ 6 777 915 — Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre Bons de caisse ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emprunts obligataires 112 ‐ ‐ 27 456 ‐ 27 568 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes représentées par un titre 112 ‐ ‐ 27 456 ‐ 27 568 Dettes subordonnées Dettes subordonnées à durée déterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes subordonnées à durée indéterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépôts de garantie à caractère mutuel ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres et emprunts participatifs ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre  : Bons de caisse ‐ 6 ‐ ‐ ‐ 6 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 93 152 013 ‐ ‐ ‐ 152 106 Emprunts obligataires 3 ‐ ‐ 21 412 ‐ 21 415 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes représentées par un titre 96 152 019 ‐ 21 412 ‐ 173 527 Dettes subordonnées  : Dettes subordonnées à durée déterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes subordonnées à durée indéterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépôts de garantie à caractère mutuel ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres et emprunts participatifs ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Garanties financières en risque données par maturité attendue . — Les montants présentés correspondent au montant attendu d’appel des garanties financières en risque, c'est-à-dire qui ont fait l’objet de provisions ou qui sont sous surveillance. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Les échéances contractuelles des instruments dérivés sont présentées dans la note 3.3 " Risque de marché " . 3.5. Comptabilité de couverture . — (Cf. Note 3.3 "Risque de marché" et Chapitre "Gestion des risques – Gestion du bilan" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A.) — Couverture de juste valeur  : Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variable. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe. — Couverture de flux de trésorerie  : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable. Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable. — Couverture d’un investissement net en devise  : Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères. — Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur de marché Montant notionnel Valeur de marché Montant notionnel Positive Négative Positive Négative Couverture de juste valeur 167 334 16 671 2 040 592 26 001 85 890 1 830 587 Taux d'intérêt 167 334 16 671 2 040 592 26 001 85 890 1 830 587 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ 249 25 000 Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 249 25 000 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Instruments dérivés de couverture 167 334 16 671 2 040 592 26 001 86 139 1 855 587 — Opérations sur instruments dérivés de couverture : analyse par durée résiduelle (notionnels)  : La ventilation des notionnels des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 291 423 667 271 1 081 898 2 040 592 Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total 291 423 667 271 1 081 898 2 040 592 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ Total Notionnel des instruments dérivés de couverture 291 423 667 271 1 081 898 2 040 592 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés et de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 316 072 668 201 871 314 1 855 587 Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total 316 072 668 201 871 314 1 855 587 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ Total Notionnel des instruments dérivés de couverture 316 072 668 201 871 314 1 855 587 La note 3.3 "Risque de marché - Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle" présente la ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés de couverture par maturité contractuelle résiduelle. Couverture de juste valeur  : — Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Actif Passif Couverture de juste valeur Marchés organisés et de gré à gré 19 887 6 167 44 582 239 302 4 329 35 829 11 869 308 659 Taux d'intérêt 19 887 6 167 44 582 239 302 4 329 35 829 11 869 308 659 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de juste valeur 19 887 6 167 44 582 239 302 4 329 35 829 11 869 308 659 Couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 147 447 10 504 165 785 1 801 290 21 672 50 061 40 201 1 521 928 Total couverture de juste valeur 167 334 16 671 210 367 2 040 592 26 001 85 890 52 070 1 830 587 Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Eléments couverts  : Micro-couvertures (en milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liées à la couverture (y compris cessations de couvertures au cours de la période) Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liées à la couverture (y compris cessations de couvertures au cours de la période) Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 224 637 -14 665 ‐ -47 484 286 478 32 819 ‐ -16 326 Taux d'intérêt 224 637 -14 665 ‐ -47 484 286 478 32 819 ‐ -16 326 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments d'actif 224 637 -14 665 ‐ -47 484 286 478 32 819 ‐ -16 326 Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti ‐ ‐ ‐ -3 278 56 871 1 871 ‐ -3 061 Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ -3 278 56 871 1 871 ‐ -3 061 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments de passif ‐ ‐ ‐ -3 278 56 871 1 871 ‐ -3 061 La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste du bilan auquel elle se rattache. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. Macro-couvertures (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 1 267 452 -2 638 1 200 403 -6 591 Total - actifs 1 267 452 -2 638 1 200 403 -6 591 Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 392 760 ‐ 383 796 ‐ Total - passifs 392 760 ‐ 383 796 ‐ La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste « Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux » au bilan. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Résultat de la comptabilité de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y compris cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y compris cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y compris cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y compris cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Taux d'intérêt 210 367 -208 892 1 475 52 070 -53 268 -1 198 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 210 367 -208 892 1 475 52 070 -53 268 -1 198 Couverture de flux de trésorerie et d’investissements nets à l’étranger  : — Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Actif Passif Couverture de flux de trésorerie Marchés organisés et de gré à gré ‐ ‐ 241 ‐ ‐ 249 251 25 000 Taux d'intérêt ‐ ‐ 241 ‐ ‐ 249 251 25 000 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de flux de trésorerie ‐ ‐ 241 ‐ ‐ 249 251 25 000 Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des macro-couvertures de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ 241 ‐ ‐ 249 251 25 000 Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres » à l’exception de la part inefficace de la relation de couverture qui est comptabilisée au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Impacts de la comptabilité de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisé sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisé sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt 241 ‐ ‐ 251 ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie 241 ‐ ‐ 251 ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie et d'investissement net dans une activité à l'étranger 241 ‐ ‐ 251 ‐ ‐ 3.6. Risques opérationnels . — (Cf. Rapport de gestion) 3.7. Gestion du capital et ratios réglementaires . — Conformément au règlement européen 575/2013 (CRR), la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité, de levier et de liquidité. La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013, applicables depuis le 1er janvier 2014, et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne (BCE) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché. Ce dispositif prudentiel consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de fonds propres et des exigences supplémentaires en matière de la liquidité et du levier. Les fonds propres sont répartis en trois catégories : les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), déterminés à partir des capitaux propres retraités, notamment de certains instruments de capital qui sont classés en Additional Tier 1 (AT1), et de déductions des immobilisations incorporelles ; les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1 , constitués du Common Equity Tier 1 et des instruments de fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 perpétuels ; les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans. Pour être reconnus en fonds propres, les instruments de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion exigeants. Si d’anciens instruments ne sont pas ou plus éligibles, ils font l’objet d’une clause de "grand-père" permettant de les éliminer des fonds propres de façon progressive. Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier 1 (AT1) et du Tier 2 . Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances, quand l’établissement ne bénéficie pas de la dérogation conglomérat financier". En 2022 comme en 2021 et selon la règlementation en vigueur, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a respecté les exigences réglementaires. 4. – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . 4.1. Produits et charges d’intérêts  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Sur les actifs financiers au coût amorti 136 853 141 534 Opérations avec les établissements de crédit 1 890 3 944 Opérations internes au Crédit Agricole 16 542 17 880 Opérations avec la clientèle 115 430 117 038 Opérations de location-financement ‐ ‐ Titres de dettes 2 991 2 672 Sur les actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ Opérations avec les établissements de crédit ‐ ‐ Opérations avec la clientèle ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ Intérêts courus et échus des instruments de couverture 18 257 18 995 Autres intérêts et produits assimilés ‐ ‐ Produits d'intérêts (1) (2) 155 110 160 529 Sur les passifs financiers au coût amorti -38 893 -38 886 Opérations avec les établissements de crédit -1 821 -4 267 Opérations internes au Crédit Agricole -24 575 -22 012 Opérations avec la clientèle -6 778 -5 622 Opérations de location-financement ‐ ‐ Dettes représentées par un titre -5 719 -6 985 Dettes subordonnées ‐ ‐ Intérêts courus et échus des instruments de couverture -25 082 -26 626 Autres intérêts et charges assimilées -6 -6 Charges d'intérêts -63 981 -65 518 (1) Dont 2 085 milliers d'euros sur créances dépréciées (Stage 3) au 31 décembre 2022 contre 1 848 milliers d'euros au 31 décembre 2021 (2) Dont 80 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2022 contre 136 milliers d'euros au 31 décembre 2021 Les montants d’intérêts négatifs enregistrés en produits d’intérêts pour les passifs financiers et charges d'intérêts pour les actifs financiers sont respectivement de 148 milliers d'euros et 8 116 milliers d'euros. Les produits d’intérêts incluent les effets de la catch-up résultant de la prorogation des PGE pour un montant de 274 milliers d’euros. 4.2. Produits et charges de commissions  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 272 -31 241 146 -26 120 Sur opérations internes au Crédit Agricole 6 662 -20 472 -13 810 4 514 -19 114 -14 600 Sur opérations avec la clientèle 3 469 -359 3 110 3 176 -377 2 799 Sur opérations sur titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur opérations de change 26 ‐ 26 24 ‐ 24 Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers 80 215 -7 787 72 428 74 164 -7 135 67 029 Gestion d' OPCVM , fiducie et activités analogues 523 -49 474 962 -25 937 Total Produits et charges de commissions 91 167 -28 698 62 469 82 986 -26 677 56 309 4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Dividendes reçus 17 15 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif détenus à des fins de transaction 52 30 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 117 54 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur instruments de dette ne remplissant pas les critères SPPI -1 009 -311 Gains ou pertes nets sur actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option (1) ‐ ‐ Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger) 144 153 Résultat de la comptabilité de couverture 1 475 -1 198 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat 796 -1 257 (1) Hors spread de crédit émetteur pour les passifs à la juste valeur par résultat sur option (sauf exception permise par la norme pour éliminer ou réduire une non-concordance en compte de résultat) Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Profits Pertes Net Profits Pertes Net Couverture de juste valeur 64 106 -63 729 377 95 451 -96 847 -1 396 Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts 9 950 -54 156 -44 206 41 809 -55 074 -13 265 Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couverture) 54 156 -9 573 44 583 53 642 -41 773 11 869 Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 219 900 -218 802 1 098 181 341 -181 143 198 Variations de juste valeur des éléments couverts 27 607 -192 293 -164 686 70 669 -110 672 -40 003 Variations de juste valeur des dérivés de couverture 192 293 -26 509 165 784 110 672 -70 471 40 201 Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Résultat de la comptabilité de couverture 284 006 -282 531 1 475 276 792 -277 990 -1 198 Le détail du résultat de la comptabilité de couverture par type de relation (Couverture de juste valeur, Couverture de flux de trésorerie,…) est présenté dans la note 3.5 "Comptabilité de couverture". 4.4. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables (1) ‐ ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 21 928 14 692 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 21 928 14 692 (1) Hors résultat de cession sur instruments de dettes dépréciés (Stage 3) mentionné en note 4.8 « Coût du risque ». 4.5. Produits (charges) nets des autres activités  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation ‐ ‐ Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d’assurance ‐ ‐ Autres produits nets de l’activité d’assurance ‐ ‐ Variation des provisions techniques des contrats d’assurance ‐ ‐ Produits nets des immeubles de placement -207 8 Autres produits (charges) nets -855 -14 Produits (charges) des autres activités -1 062 -6 4.6. Charges générales d’exploitation  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Charges de personnel -64 609 -60 873 Impôts, taxes et contributions réglementaires (1) -4 661 -3 793 Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation -37 936 -34 234 Charges générales d'exploitation -107 206 -98 900 (1) Dont 1 502 milliers d’euros comptabilisés au titre du Fonds de Résolution Unique au 31 décembre 2022 contre 657 milliers d’euros au 31 décembre 2021 Honoraires des commissaires aux comptes La répartition par cabinet et par type de mission des honoraires des Commissaires aux comptes des sociétés de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée intégrées globalement est la suivante au titre de 2022 : Collège des Commissaires aux comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée (En milliers d'Euros hors taxes) EY KPMG TOTAL 2022 2022 2021 2022 2021 Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés 97 96 59 45 156 Emetteur 97 96 59 45 156 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Services autres que la certification des comptes 10 3 14 30 24 Emetteur 10 3 14 30 24 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 107 99 73 75 180 Le montant total des honoraires de Ernst & Young et Autres commissaire aux comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 107 milliers d’euros, dont 97 milliers d’euros au titre de la mission de certification des comptes de Caisse Régionale Crédit Agricole Sud Méditerranée et ses filiales, et 10 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes. Le montant total des honoraires de KPMG Commissaire aux comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 73 milliers d’euros, dont 59 milliers d’euros au titre la mission de certification des comptes de Caisse Régionale Crédit Agricole Sud Méditerranée et ses filiales, et 14 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes. 4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Dotations aux amortissements -4 170 -4 074 Immobilisations corporelles (1) -4 108 -4 010 Immobilisations incorporelles -62 -64 Dotations (reprises) aux dépréciations ‐ -1 794 Immobilisations corporelles ‐ -1 794 Immobilisations incorporelles ‐ ‐ Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles -4 170 -5 868 (1) Dont 1 761 milliers d’euros comptabilisés au titre de l'amortissement du droit d'utilisation (IFRS 16) au 31 décembre 2022 4.8. Coût du risque  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs et provisions sur engagements hors bilan sains (Stage 1 et Stage 2) (A) -2 602 101 Stage 1 : Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir -6 012 1 126 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -5 223 883 Engagements par signature -789 243 Stage 2 : Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour la durée de vie 3 410 -1 025 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 4 259 -727 Engagements par signature -849 -298 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs et provisions sur engagements hors bilan dépréciés (Stage 3) (B) -11 838 -3 562 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -11 668 -2 693 Engagements par signature -170 -869 Autres actifs (C) -1 350 -1 160 Risques et charges (D) -2 053 -243 Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions (E)= (A)+ (B)+ (C)+ (D) -17 843 -4 864 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables dépréciés ‐ ‐ Gains ou pertes réalisés sur instruments de dettes comptabilisés au coût amorti dépréciés ‐ ‐ Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés -218 -160 Récupérations sur prêts et créances 660 415 Comptabilisés au coût amorti 660 415 Comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Décotes sur crédits restructurés ‐ ‐ Pertes sur engagements par signature ‐ ‐ Autres pertes -437 -175 Autres produits ‐ ‐ Coût du risque -17 838 -4 784 4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Immobilisations corporelles et incorporelles d’exploitation 485 153 Plus-values de cession 485 168 Moins-values de cession ‐ -15 Titres de capitaux propres consolidés ‐ ‐ Plus-values de cession ‐ ‐ Moins-values de cession ‐ ‐ Produits (charges) nets sur opérations de regroupement ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs 485 153 4.10. Impôts  : — Charge d’impôt  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2022 31/12/2021 Charge d'impôt courant -6 270 -11 023 Charge d'impôt différé 463 -944 Total Charge d'impôt -5 807 -11 967 — Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté  : – Au 31 décembre 2022  : (En milliers d' E uros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 46 531 25,83% -12 019 Effet des différences permanentes -0,74 % 5 996 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères 0,00% ‐ Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires -0,34 % 159 Effet de l’imposition à taux réduit 0,14% -67 Changement de taux 0,04% -19 Effet des autres éléments -0,31 % 143 Taux et charge effectifs d'impôt 12,48% -5 807 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2022 . – Au 31 décembre 2021  : (En milliers d' E uros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 55 350 28,41% -15 725 Effet des différences permanentes -1,54 % 5 015 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères -0,05 % 29 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires 0,40% -221 Effet de l’imposition à taux réduit 0,17% -92 Changement de taux 0,00% ‐ Effet des autres éléments 1,76% -973 Taux et charge effectifs d'impôt 21,62% -11 967 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2021 . 4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période : — Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 241 251 Ecart de réévaluation de la période 241 251 Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -63 -64 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 178 187 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi 2 391 837 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en réserves ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables -71 628 112 128 Ecart de réévaluation de la période -71 628 112 145 Transferts en réserves ‐ -17 Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 1 613 -3 636 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -67 624 109 329 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres -67 446 109 516 Dont part du Groupe -67 446 109 516 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ 5. – Information sectorielle . 5.1 . Information sectorielle par zone géographique . — L’analyse géographique des actifs et des résultats sectoriels repose sur le lieu d’enregistrement comptable des activités. (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Résultat net part Groupe dont Produit net bancaire Actifs sectoriels dont écarts d'acquisition Résultat net part Groupe dont Produit net bancaire Actifs sectoriels dont écarts d'acquisition France (y compris DOM-TOM) 40 903 173 687 ‐ ‐ 41 680 163 104 ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays de l'Union européenne -179 1 573 ‐ ‐ 1 703 1 645 ‐ ‐ Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 40 724 175 260 ‐ ‐ 43 383 164 749 ‐ ‐ 6. – Notes relatives au bilan . 6.1. Caisse, banques centrales  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Actif Passif Actif Passif Caisse 29 053 ‐ 34 009 ‐ Banques centrales 9 032 ‐ 1 695 ‐ Valeur au bilan 38 085 ‐ 35 704 ‐ 6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat  : — Actifs financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 4 651 868 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 65 398 64 447 Instruments de capitaux propres 953 836 Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI (1) 64 445 63 611 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 70 049 65 315 Dont Titres prêtés ‐ ‐ Dont 63 403 milliers d’euros d’ OPCVM au 31 décembre 2022 contre 62 539 milliers d’euros au 31 décembre 2021 — Passifs financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 4 634 907 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 4 634 907 Une information détaillée sur les instruments dérivés de transaction est fournie dans la note 3.3 relative au risque de marché, notamment sur taux d’intérêt. 6.3. Instruments dérivés de couverture . — L’information détaillée est fournie à la note 3.5 "Comptabilité de couverture". 6.4. Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 632 983 143 070 -8 878 697 741 215 072 -9 252 Total 632 983 143 070 -8 878 697 741 215 072 -9 252 Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables  : — Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres non recyclables  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Actions et autres titres à revenu variable 3 485 ‐ ‐ 2 806 ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 629 498 143 070 -8 878 694 935 215 072 -9 252 Total Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 632 983 143 070 -8 878 697 741 215 072 -9 252 Impôts sur les bénéfices -3 974 ‐ -6 205 ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (nets d'impôt) 139 096 -8 878 208 867 -9 252 — Instruments de capitaux propres ayant été décomptabilisés au cours de la période  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Juste Valeur à la date de décomptabilisation Gains cumulés réalisés (1) Pertes cumulées réalisées (1) Juste Valeur à la date de décomptabilisation Gains cumulés réalisés (1) Pertes cumulées réalisées (1) Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés ‐ ‐ ‐ 276 60 -43 Total Placements dans des instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ 276 60 -43 Impôts sur les bénéfices ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (nets d'impôt) ‐ ‐ 60 -43 (1) Les profits et pertes réalisés sont transférés en réserves consolidées au moment de la décomptabilisation de l'instrument concerné 6.5. Actifs financiers au coût amorti  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Prêts et créances sur les établissements de crédit 1 499 505 1 099 670 Prêts et créances sur la clientèle (1) 6 012 625 5 964 924 Titres de dettes 220 031 192 558 Valeur au bilan 7 732 161 7 257 152 (1) Au 31 décembre 2022, l’encours des prêts garantis par l’Etat (PGE) accordés à la clientèle par Caisse Régionale Crédit Agricole Sud Méditerranée dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19 s’élève à 221 576 milliers d’euros. — Prêts et créances sur les établissements de crédit  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Etablissements de crédit  : Comptes et prêts 162 155 11 244 Dont comptes ordinaires débiteurs non douteux (1) 162 155 11 244 Dont comptes et prêts au jour le jour non douteux (1) ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ 157 Autres prêts et créances ‐ ‐ Valeur brute 162 155 11 401 Dépréciations ‐ ‐ Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit 162 155 11 401 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 391 187 821 055 Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Comptes et avances à terme 946 163 267 214 Prêts subordonnés ‐ ‐ Total Prêts et créances internes au Crédit Agricole 1 337 350 1 088 269 Valeur au bilan 1 499 505 1 099 670 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique "Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit" du Tableau des flux de trésorerie — Prêts et créances sur la clientèle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Opérations avec la clientèle  : Créances commerciales 3 416 4 406 Autres concours à la clientèle 6 150 541 6 094 043 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Prêts subordonnés 419 159 Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 22 695 15 361 Comptes ordinaires débiteurs 15 334 21 043 Valeur brute 6 192 405 6 135 012 Dépréciations -179 780 -170 088 Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle 6 012 625 5 964 924 Opérations de location-financement  : Location-financement immobilier ‐ ‐ Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées ‐ ‐ Valeur brute ‐ ‐ Dépréciations ‐ ‐ Valeur nette des opérations de location-financement ‐ ‐ Valeur au bilan (1) 6 012 625 5 964 924 (1) Au 31 décembre, l’encours des prêts garantis par l’Etat (PGE) accordés à la clientèle par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19 s’élève à 221 576 milliers d’euros — Titres de dettes  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Effets publics et valeurs assimilées 93 521 98 831 Obligations et autres titres à revenu fixe 128 773 95 975 Total 222 294 194 806 Dépréciations -2 263 -2 248 Valeur au bilan 220 031 192 558 6.6. Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue  : — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2022  : Nature des actifs transférés (En milliers d'Euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passif associés Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) dont pensions livrées dont autres Juste valeur (1) Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) dont pensions livrées dont autres Juste valeur (1) Juste valeur nette (1) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 30 446 30 446 ‐ ‐ 30 446 27 568 27 568 ‐ ‐ 27 566 2 880 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 2 ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 30 446 30 446 ‐ ‐ 30 446 27 568 27 568 ‐ ‐ 27 568 2 878 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 30 446 30 446 ‐ ‐ 30 446 27 568 27 568 ‐ ‐ 27 566 2 880 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 30 446 30 446 ‐ ‐ 30 446 27 568 27 568 ‐ ‐ 27 566 2 880 ‐ ‐ ‐ (1) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2021  : Nature des actifs transférés (En milliers d'euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passif associés Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) dont pensions livrées dont autres Juste valeur (1) Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) Dont pensions livrées Dont autres Juste valeur (1) Juste valeur nette (1) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 23 818 23 818 ‐ ‐ 23 818 21 415 21 415 ‐ ‐ 21 415 2 403 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 23 818 23 818 ‐ ‐ 23 818 21 415 21 415 ‐ ‐ 21 415 2 403 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 23 818 23 818 ‐ ‐ 23 818 21 415 21 415 ‐ ‐ 21 415 2 403 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 23 818 23 818 ‐ ‐ 23 818 21 415 21 415 ‐ ‐ 21 415 2 403 ‐ ‐ ‐ (1) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). Titrisations . — Les titrisations consolidées avec investisseurs externes constituent un transfert d’actifs au sens de l’amendement à IFRS 7. En effet la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a une obligation contractuelle indirecte de remettre aux investisseurs externes les flux de trésorerie des actifs cédés au fonds de titrisation (bien que ces actifs figurent au bilan de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée via la consolidation du fonds). Les créances cédées au fonds de titrisation servent de garantie aux investisseurs. Les titrisations consolidées intégralement autosouscrites ne constituent pas un transfert d’actif au sens de la norme IFRS 7. Engagements encourus relatifs aux actifs transférés décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2022 . — Au titre de l’exercice, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a constaté aucun engagement encouru relatif aux actifs transférés décomptabilisés intégralement. 6.7. Passifs financiers au coût amorti  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Dettes envers les établissements de crédit 4 223 529 3 826 385 Dettes envers la clientèle 2 945 785 2 951 530 Dettes représentées par un titre 27 568 173 527 Valeur au bilan 7 196 882 6 951 442 — Dettes envers les établissements de crédit  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Etablissements de crédit  : Comptes et emprunts 15 902 15 885 Dont comptes ordinaires créditeurs ‐ 2 Dont comptes et emprunts au jour le jour ‐ ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée 38 102 ‐ Total 54 004 15 885 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires créditeurs ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Comptes et avances à terme 4 169 525 3 810 500 Total 4 169 525 3 810 500 Valeur au bilan 4 223 529 3 826 385 — Dettes envers la clientèle  : (En milliers d'euros) 31/12/2022 31/12/2021 Comptes ordinaires créditeurs 2 582 967 2 568 583 Comptes d'épargne à régime spécial 20 492 20 931 Autres dettes envers la clientèle 342 326 362 016 Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ Valeur au bilan 2 945 785 2 951 530 — Dettes représentées par un titre   : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Bons de caisse ‐ 6 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ Titres de créances négociables ‐ 152 106 Emprunts obligataires 27 568 21 415 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ Valeur au bilan 27 568 173 527 6.8. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers  : — Compensation – Actifs financiers  : Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2022 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 171 985 ‐ 171 985 16 682 150 663 4 640 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 171 985 ‐ 171 985 16 682 150 663 4 640 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 26 868 ‐ 26 868 26 001 ‐ 867 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 26 868 ‐ 26 868 26 001 ‐ 867 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % de dérivés à l'actif à la date d'arrêté — Compensation – Passifs financiers  : Nature des instruments financiers (En milliers d'euros) 31/12/2022 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 21 305 ‐ 21 305 16 682 ‐ 4 623 Mises en pension de titres (2) 38 102 ‐ 38 102 ‐ 38 102 ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 59 407 ‐ 59 407 16 682 38 102 4 623 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés au passif à la date d'arrêté (2) Le montant des mises en pension de titres soumis à compensation représente 100 % des mises en pension de titres au passif à la date d'arrêté Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 87 017 ‐ 87 017 26 001 61 016 ‐ Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 87 017 ‐ 87 017 26 001 61 016 ‐ (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés au passif à la date d'arrêté 6.9. Actifs et passifs d’impôts courants et différés  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Impôts courants 4 724 1 713 Impôts différés 17 381 15 417 Total Actifs d'impôts courants et différés 22 105 17 130 Impôts courants 67 349 Impôts différés ‐ ‐ Total Passifs d'impôts courants et différés 67 349 Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Impôts différés Actif Impôts différés Passif Impôts différés Actif Impôts différés Passif Décalages temporaires comptables-fiscaux 23 739 ‐ 26 577 ‐ Charges à payer non déductibles 2 295 ‐ 2 061 ‐ Provisions pour risques et charges non déductibles 15 204 ‐ 15 249 ‐ Autres différences temporaires (1) 6 240 ‐ 9 270 ‐ Impôts différés sur réserves latentes -4 128 ‐ -5 630 ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres -4 128 -154 -6 205 ‐ Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ 62 ‐ Gains et pertes sur écarts actuariels ‐ 154 512 ‐ Gains et pertes sur variation du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ Impôts différés sur résultat -2 230 ‐ -5 530 ‐ Total Impôts différés 17 381 ‐ 15 417 ‐ (1) la part d'impôts différés relative aux déficits reportables est de 5 468 milliers d'euros pour 2022 contre 7 510 milliers d'euros en 2021" Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale. 6.10. Comptes de régularisation actif, passif et divers  : — Comptes de régularisation et actifs divers  : (En milliers d'euros) 31/12/2022 31/12/2021 Autres actifs 47 182 113 502 Comptes de stocks et emplois divers 8 240 9 902 Gestion collective des titres Livret de développement durable et solidaire ‐ ‐ Débiteurs divers (1) 38 931 103 583 Comptes de règlements 11 17 Capital souscrit non versé ‐ ‐ Autres actifs d'assurance ‐ ‐ Parts des réassureurs dans les provisions techniques ‐ ‐ Comptes de régularisation 41 517 29 058 Comptes d'encaissement et de transfert 16 952 7 293 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts ‐ ‐ Produits à recevoir 22 349 19 558 Charges constatées d'avance 849 290 Autres comptes de régularisation 1 367 1 917 Valeur au bilan 88 699 142 560 (1) dont 1 449 milliers d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution Unique, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. — Comptes de régularisation et passifs divers  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Autres passifs (1) 202 524 44 867 Comptes de règlements ‐ ‐ Créditeurs divers 195 659 40 113 Versements restant à effectuer sur titres 5 614 3 152 Autres passifs d'assurance ‐ ‐ Dettes locatives 1 251 1 602 Autres ‐ ‐ Comptes de régularisation 102 539 64 595 Comptes d'encaissement et de transfert (2) 15 259 7 349 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts ‐ ‐ Produits constatés d’avance 24 498 25 978 Charges à payer 50 129 30 588 Autres comptes de régularisation 12 653 680 Valeur au bilan 305 063 109 462 (1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées (2) Les montants sont indiqués en net 6.11. Immeubles de placement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2022 Valeur brute 7 342 ‐ 21 -601 ‐ 19 6 781 Amortissements et dépréciations -3 076 ‐ -414 413 ‐ ‐ -3 077 Valeur au bilan (1) 4 266 ‐ -393 -188 ‐ 19 3 704 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple (En milliers d'euros) 31/12/2020 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2021 Valeur brute 7 500 ‐ 15 -925 ‐ 752 7 342 Amortissements et dépréciations -3 237 ‐ -393 554 ‐ ‐ -3 076 Valeur au bilan (1) 4 263 ‐ -378 -371 ‐ 752 4 266 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple Juste valeur des immeubles de placement . — La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût, établie "à dire d’expert", s’élève à 5 358 milliers d’euros au 31 décembre 2022 contre 5 793 milliers d’euros au 31 décembre 2021 . (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 5 039 ‐ Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 319 5 793 Valeur de marché des immeubles de placement 5 358 5 793 Tous les immeubles de placement font l’objet d’une comptabilisation au coût au bilan. 6.12. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) . — Les immobilisations corporelles d’exploitation incluent les droits d’utilisation des immobilisations prises en location en tant que preneur. Les amortissements et dépréciations des immobilisations corporelles d’exploitation sont présentés y compris amortissements sur immobilisations données en location simple. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2022 Immobilisations corporelles d'exploitation  : Valeur brute 134 254 ‐ 9 130 -4 254 ‐ -19 139 111 Amortissements et dépréciations -108 981 ‐ -4 108 4 069 ‐ ‐ -109 020 Valeur au bilan 25 273 ‐ 5 022 -185 ‐ -19 30 091 Immobilisations incorporelles  : Valeur brute 601 ‐ 58 ‐ ‐ ‐ 659 Amortissements et dépréciations -571 ‐ -62 -1 ‐ ‐ -634 Valeur au bilan 30 ‐ -4 -1 ‐ ‐ 25 (En milliers d' E uros) 31/12/2020 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2021 Immobilisations corporelles d'exploitation Valeur brute 135 294 ‐ 4 841 -5 753 ‐ -129 134 254 Amortissements et dépréciations -107 501 ‐ -5 804 4 324 ‐ ‐ -108 981 Valeur au bilan 27 793 ‐ -963 -1 429 ‐ -129 25 273 Immobilisations incorporelles Valeur brute 524 ‐ 77 ‐ ‐ ‐ 601 Amortissements et dépréciations -507 ‐ -64 ‐ ‐ ‐ -571 Valeur au bilan 17 ‐ 13 ‐ ‐ ‐ 30 6.13. Provisions  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2022 Risques sur les produits épargne-logement 7 273 ‐ ‐ ‐ -3 701 ‐ ‐ 3 572 Risques d’exécution des engagements par signature 5 794 ‐ 15 684 -250 -13 876 ‐ ‐ 7 352 Risques opérationnels 1 412 ‐ 2 128 -1 043 -456 ‐ ‐ 2 041 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 2 506 ‐ ‐ ‐ -165 ‐ -1 874 467 Litiges divers 717 ‐ 603 -228 -47 ‐ ‐ 1 045 Participations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 3 257 ‐ 1 280 -1 359 -82 ‐ ‐ 3 096 Total 20 959 ‐ 19 695 -2 880 -18 327 ‐ -1 874 17 573 (1) Dont 641 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 467 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 01/01/2021 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2021 Risques sur les produits épargne-logement 8 115 ‐ ‐ 178 ‐ -1 020 ‐ ‐ 7 273 Risques d’exécution des engagements par signature 4 870 ‐ ‐ 13 819 ‐ -12 895 ‐ ‐ 5 794 Risques opérationnels 989 ‐ ‐ 779 -41 -315 ‐ ‐ 1 412 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 2 517 ‐ ‐ ‐ ‐ -41 ‐ 30 2 506 Litiges divers 744 ‐ ‐ 268 -181 -114 ‐ ‐ 717 Participations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 4 770 ‐ ‐ 454 -1 961 -6 ‐ ‐ 3 257 Total 22 005 ‐ ‐ 15 498 -2 183 -14 391 ‐ 30 20 959 (1) Dont 1 874 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 632 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. Litige image chèque . — LCL et Crédit Agricole S.A., ainsi que 10 autres banques, ont reçu en mars 2008 une notification de griefs du Conseil de la concurrence (devenu l’Autorité de la concurrence). Il leur est reproché d’avoir, de façon concertée, mis en place et appliqué des commissions interbancaires dans le cadre de l’encaissement des chèques, depuis le passage à l’échange image chèques, soit depuis 2002 jusqu’en 2007. Selon l’Autorité de la concurrence, ces commissions seraient constitutives d’ententes anticoncurrentielles sur les prix au sens des articles 81, paragraphe 1, du traité instituant la Communauté européenne et de l’article L. 420-1 du Code de commerce, et auraient causé un dommage à l’économie. En défense, les banques ont réfuté catégoriquement le caractère anticoncurrentiel des commissions et contesté la régularité de la procédure suivie. Par décision du 20 septembre 2010, l’Autorité de la concurrence a jugé que la Commission d’Échange Image Chèques (CEIC) était anticoncurrentielle par son objet et qu’elle a eu pour conséquence d’augmenter artificiellement les coûts supportés par les banques remettantes, ce qui a eu un impact défavorable sur le prix des services bancaires. Pour ce qui concerne l’une des commissions pour services connexes dite AOCT (Annulation d’Opérations Compensées à Tort), l’Autorité de la concurrence a enjoint les banques de procéder à la révision de leur montant dans les six mois de la notification de la décision. Les banques mises en cause ont été sanctionnées pour un montant global de 384,92 millions d’euros. LCL et le Crédit Agricole ont été condamnés à payer respectivement 20,7 millions d’euros et 82,1 millions d’euros pour la CEIC et 0,2 million d’euros et 0,8 million d’euros pour l’AOCT. L’ensemble des banques a fait appel de la décision devant la Cour d’appel de Paris. Cette dernière a, par un arrêt du 23 février 2012, annulé la décision estimant que l’Autorité de la concurrence n’avait pas démontré l’existence de restrictions de concurrence constitutives d’une entente par objet. L’Autorité de la concurrence s’est pourvue en cassation le 23 mars 2012.La Cour de cassation a cassé, le 14 avril 2015, la décision de la Cour d’appel de Paris du 23 février 2012 et renvoyé l’affaire devant cette même Cour, autrement composée, au seul motif que les interventions volontaires des associations UFC – Que Choisir et l’ADUMPE devant la Cour d’appel ont été déclarées sans objet, sans que les moyens de ces parties ne soient examinés par la Cour. La Cour de cassation n’a pas tranché l’affaire sur le fond et le Crédit Agricole a saisi la juridiction de renvoi. La Cour d’Appel de Paris a rendu sa décision le 21 décembre 2017. Elle a confirmé la décision de l’Autorité de la concurrence du 20 septembre 2010 tout en réduisant de 82 940 000 euros à 76 560 000 euros les sanctions pécuniaires infligées au Crédit Agricole. La sanction pour LCL est demeurée inchangée à 20 930 000 euros. Comme les autres banques parties à cette procédure, LCL et le Crédit Agricole se sont pourvus en cassation. Par une décision du 29 janvier 2020, la Cour de cassation a cassé l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 21 décembre 2017 au motif que la Cour d’appel n’avait pas caractérisé l’existence de restrictions de concurrence par objet et renvoyé l’affaire devant la Cour d’appel de Paris autrement composée. La Cour d’appel de Paris a rendu un arrêt le 2 décembre 2021 reformant la quasi-intégralité de la décision de l’Autorité de la Concurrence de 2010, condamnant cette dernière aux dépens et ouvrant droit au remboursement des sommes versées par les banques en application de la décision reformée assorties des intérêts au taux légal à compter du 2 décembre 2021. Le 31 décembre 2021, l’Autorité de la concurrence s’est pourvue en cassation contre l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 2 décembre 2021. Du fait du caractère exécutoire de l’arrêt de la Cour d’appel de Paris, un produit de 442 milliers d’euros a été constaté. Néanmoins, compte tenu du pourvoi formé en cassation, une provision de celui-ci a été constatée dans les comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au 31 décembre 2021. L’Autorité de la concurrence a déposé le 2 mai 2022 un mémoire à l’appui du pourvoi formé contre l’arrêt rendu par la Cour d’appel de Paris le 2 décembre 2021 (soit à l’issue du délai imparti de 4 mois à compter du 31 décembre 2021 pour ce dépôt). Les banques ont déposé en retour un mémoire de défense le 4 juillet 2022, en réponse duquel l’Autorité de la concurrence a déposé un nouveau mémoire le 30 septembre 2022. Les travaux d’analyse de ce document sont en cours, en vue d’un dépôt de réponse courant novembre. Les dates de l’audience et du rendu de la décision de la Cour de cassation ne sont pas encore connues. Dans ce contexte, la provision comptabilisée au 31 décembre 2021 est maintenue dans les comptes du 31 décembre 2022 . Provision épargne-logement : — Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 76 368 68 318 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 121 534 121 977 Ancienneté de plus de 10 ans 734 427 751 468 Total plans d'épargne-logement 934 329 941 763 Total comptes épargne-logement 93 338 85 362 Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement 1 027 667 1 027 125 Les encours de collecte, hors prime de l'Etat, sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2022 pour les données au 31 décembre 2022 et à fin novembre 2021 pour les données au 31 décembre 2021 . La mise à jour selon les modèles actuels du calcul de la provision Epargne Logement, qui démontrent une forte sensibilité aux paramètres de taux et de liquidité et à la projection des encours en risque, aurait entraîné une reprise mécanique de provision sur le S2 2022 du montant provisionné au 30 juin 2022 de 66,4%. Dans un contexte de volatilité des taux, et notamment de hausse rapide depuis un an, à des niveaux inconnus depuis 10 ans, il est apparu pertinent de ne pas comptabiliser une telle reprise de provision afin d’évaluer les impacts de ce nouvel environnement, notamment sur les modèles comportementaux de calcul de la provision, qui a donc été figée à son niveau du 30 juin 2022 (après une reprise 3 079 milliers d’euros au cours du premier semestre) et nous semble représenter au mieux la réalité des risques à la fin de l’année. Des travaux seront menés en 2023 sur ces modèles pour évaluer leur robustesse dans ce nouveau contexte. — Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Plans d'épargne-logement 128 222 Comptes épargne-logement 462 739 Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement 590 961 — Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans ‐ 110 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 289 3 751 Ancienneté de plus de 10 ans 3 283 3 412 Total plans d'épargne-logement 3 572 7 273 Total comptes épargne-logement ‐ ‐ Total Provision au titre des contrats épargne-logement 3 572 7 273 L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe "Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes" de la partie "Cadre général". 6.14. Capitaux propres . — Composition du capital au 31 décembre 2022  : La Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 modifié portant statut de la coopération. Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement (CCI) et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA). Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts. La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS. Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947. A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent. Les CCI sont émis au profit de titulaires n’ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables. Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées. Répartition du capital de la Caisse Régionale Nombre de titres au 31/12/2021 Nombre de titres émis Nombre de titres remboursés Nombre de titres au 31/12/2022 % Du capital % Des droits de vote Certificats Coopératifs d'investissements (CCI) ‐ ‐ ‐ ‐ 0,00% 0,00% Dont part du Public ‐ ‐ ‐ ‐ 0,00% 0,00% Dont part SACAM Mutualisation ‐ ‐ ‐ ‐ 0,00% 0,00% Dont part autodétenue ‐ ‐ ‐ ‐ 0,00% 0,00% Certificats Coopératifs d'associés (CCA) 459 957 ‐ ‐ 459 957 1,65% 0,00% Dont part du Public ‐ ‐ ‐ ‐ 0,00% 0,00% Dont part Crédit Agricole S.A. ‐ ‐ ‐ ‐ 0,00% 0,00% Dont part SACAM Mutualisation 459 957 ‐ ‐ 459 957 1,65% 0,00% Parts sociales 24 300 880 5 303 105 2 150 763 27 453 223 98,35% 0,00% Dont 32 C aisses locales 24 300 862 5 303 104 2 150 763 27 453 204 98,35% 0,00% Dont 18 administrateurs de la Caisse régionale 17 1 ‐ 18 0,00% 0,00% Dont C rédit agricole S.A. ‐ ‐ ‐ ‐ 0,00% 0,00% Dont SACAM mutualisation 1 ‐ ‐ 1 0,00% 0,00% Dont autres ‐ ‐ ‐ ‐ 0,00% 0,00% Total 24 760 837 5 303 105 2 150 763 27 913 180 100,00% 0,00% La valeur nominale des titres est de : 15,25 € pour les CCA 15,25 € pour les parts sociales émises par la Caisse Régionale 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses locales Au 31 décembre 2022, le montant du capital est de 49 018 milliers d’euros. Rémunération par titre de capital . — Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation. Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée sont composés de parts sociales et de CCA. Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 modifié relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale à la moyenne, sur les trois années civiles précédant la date de l'assemblée générale, du taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées, majorée de deux points, publié par le ministre chargé de l’économie. La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’Assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales. Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action ne sont pas applicables. Dividendes Au titre de l’exercice 2022 , le Conseil d’administration de la Caisse Régionale Crédit Agricole Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 23/03/2023 le paiement d’un dividende par part sociale de 0,02 euros, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale. Année de rattachement du dividende Par CCI Par CCA Par part sociale Montant Net Montant Net Montant Net 2019 ‐ 5,06 0,02 2020 ‐ 4,32 0,02 2021 ‐ 5,17 0,02 Prévu 2022 5,27 0,02 Dividendes payés au cours de l’exercice . — Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 2 422 milliers d’euros en 2022 . Affectations du résultat et fixation du dividende 2022 . — L’affectation du résultat la fixation et la mise en paiement du dividende 2022 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée du 23 mars 2023. Le texte de la résolution est le suivant : Résultat des comptes individuels 2022 32 295 558,17 € Report à nouveau Résultat de l’exercice à effectuer 32 295 558,17 € Résultat distribué 2 985 822,36 € Intérêts parts sociales Caisse régionale (2,67%) 561 848,97 € Rémunération des CCA 2 423 973,39 Résultat conservé 29 309 735,81 € Réserves légales (75% du disponible) 21 982 301,86 Autres réserves 7 327 433,95 € 6.15. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle . — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle. L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle. Les instruments de capitaux propres sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en "Indéterminée". (En milliers d'Euros) 31/12/2022 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 38 085 ‐ ‐ ‐ ‐ 38 085 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 28 17 6 5 642 64 356 70 049 Instruments dérivés de couverture 805 3 776 27 480 135 273 ‐ 167 334 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 632 983 632 983 Actifs financiers au coût amorti 813 683 575 641 2 705 790 3 615 147 21 900 7 732 161 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux -136 476 -136 476 Total Actifs financiers par échéance 716 125 579 434 2 733 276 3 756 062 719 239 8 504 136 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 26 13 6 4 589 ‐ 4 634 Instruments dérivés de couverture 365 90 7 809 8 407 ‐ 16 671 Passifs financiers au coût amorti 2 951 278 995 746 2 288 013 961 845 ‐ 7 196 882 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux -7 240 -7 240 Total Passifs financiers par échéance 2 944 429 995 849 2 295 828 974 841 ‐ 7 210 947 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 35 704 ‐ ‐ ‐ ‐ 35 704 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 4 10 24 1 902 63 375 65 315 Instruments dérivés de couverture 694 7 732 10 400 7 175 ‐ 26 001 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 697 741 697 741 Actifs financiers au coût amorti 1 095 213 632 902 2 128 925 3 385 839 14 273 7 257 152 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 46 884 46 884 Total Actifs financiers par échéance 1 178 499 640 644 2 139 349 3 394 916 775 389 8 128 797 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 1 ‐ 24 882 ‐ 907 Instruments dérivés de couverture 107 1 823 7 382 76 827 ‐ 86 139 Passifs financiers au coût amorti 3 116 502 1 046 962 1 993 155 794 823 ‐ 6 951 442 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 8 796 8 796 Total Passifs financiers par échéance 3 125 406 1 048 785 2 000 561 872 532 ‐ 7 047 284 7. – Avantages au personnel et autres rémunérations . 7.1. Détail des charges de personnel  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Salaires et traitements (1) (2) -35 444 -32 229 Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies) -4 183 -3 940 Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies) -1 643 -2 356 Autres charges sociales -12 352 -11 962 Intéressement et participation -5 348 -5 041 Impôts et taxes sur rémunération -5 639 -5 345 Total Charges de personnel -64 609 -60 873 (1) Dont indemnités liées à la retraite pour 269 milliers d'euros au 31 décembre 2022 contre 258 milliers d'euros au 31 décembre 2021. (2) Dont médailles du travail pour 165 milliers d’euros au 31 décembre 2022 contre 41 milliers d’euros au 31 décembre 2021. 7.2. Effectif moyen de la période  : Effectif moyen 31/12/2022 31/12/2021 France 893 886 Étranger 14 13 Total 907 899 7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies . — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés de Crédit Agricole S.A n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer. 7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies  : — Variation dette actuarielle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle au 31/12/N-1 19 840 ‐ 19 840 20 045 Impact IFRIC IAS 19 à l'ouverture (2) ‐ ‐ ‐ -204 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Coût des services rendus sur l'exercice 1 844 ‐ 1 844 1 887 Coût financier 129 ‐ 129 73 Cotisations employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime (2) ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre 50 ‐ 50 -38 Prestations versées (obligatoire) -1 058 ‐ -1 058 -1 169 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) 755 ‐ 755 -79 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) -2 979 ‐ -2 979 -698 Dette actuarielle à la clôture 18 581 ‐ 18 581 19 840 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience. (2) Concernent l'impact de la 1ère application de la décision IFRS IC du 21 avril 2021 portant sur le calcul des engagements relatifs à certains régimes à prestations définies pour un montant de 204 milliers d’euros au 1er janvier 2021 — Détail de la charge comptabilisée au résultat  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Coût des services 1 844 ‐ 1 844 1 887 Charge/produit d'intérêt net -433 ‐ -433 -301 Impact en compte de résultat à la clôture 1 411 ‐ 1 411 1 586 — Détail des gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Réévaluation du passif (de l'actif) net Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables à l'ouverture 4 735 ‐ 4 735 5 573 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels sur l'actif -166 ‐ -166 -61 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) 755 ‐ 755 -79 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) -2 979 ‐ -2 979 -698 Ajustement de la limitation d'actifs ‐ ‐ ‐ ‐ Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables à la clôture 2 345 ‐ 2 345 -838 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience — Variation de juste valeur des actifs  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Juste valeur des actifs à l'ouverture 18 943 ‐ 18 943 18 200 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Intérêt sur l'actif (produit) 150 ‐ 150 82 Gains/(pertes) actuariels 166 ‐ 166 61 Cotisations payées par l'employeur 1 537 ‐ 1 537 1 807 Cotisations payées par les employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre 50 ‐ 50 -38 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Prestations payées par le fonds -1 058 ‐ -1 058 -1 169 Juste valeur des actifs à la clôture 19 788 ‐ 19 788 18 943 — Position nette  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle à la clôture 18 581 ‐ 18 581 19 840 Impact de la limitation d'actifs ‐ ‐ ‐ 977 Autres ‐ ‐ ‐ ‐ Juste valeur des actifs fin de période -19 788 ‐ -19 788 -18 943 Position nette (passif) / actif à la clôture 642 ‐ 642 -1 874 — Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 31/12/2021 Zone Euro Hors zone Euro Zone Euro Hors zone Euro Taux d'actualisation (1) 3,77% 0,00% 0,86% 0,00% Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement 2,60% 0,00% 1,28% 0,00% Taux attendus d'augmentation des salaires 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% Taux d'évolution des coûts médicaux 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% Autres (à détailler) 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% (1) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de rotation du personnel. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice iboxx AA. — Information sur les actifs des régimes - Allocations d'actifs (1)  : (En milliers d'Euros) Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones En % En montant Dont coté En % En montant Dont coté En % En montant Dont coté Actions 14,30% 2 830 ‐ 0,00% ‐ ‐ 14,30% 2 830 ‐ Obligations 76,80% 15 197 ‐ 0,00% ‐ ‐ 76,80% 15 197 ‐ Immobilier 8,90% 1 761 0,00% ‐ 8,90% 1 761 Autres actifs 0,00% ‐ 0,00% ‐ 0,00% ‐ (1) Dont juste valeur des droits à remboursement Au 31 décembre 2022 , les taux de sensibilité démontrent que : une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de 2,25% ; une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de 2,19%. 7.5. Autres avantages sociaux . — Les provisions constituées par Caisse Régionale Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre de ces autres engagements sociaux s’élèvent à 467 milliers d’euros à la fin de l’exercice 2022 . 7.6. Rémunérations de dirigeants . — La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 981 milliers d’euros. 8. – Contrats de location . 8.1. Contrats de location dont le Groupe est preneur . — Le poste « Immobilisations corporelles d’exploitation » au bilan est composé d'actifs détenus en propre et d'actifs loués qui ne remplissent pas la définition d'immeubles de placement. (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Immobilisations corporelles détenues en propre 27 975 22 805 Droits d'utilisation des contrats de location 2 116 2 468 Total Immobilisations corporelles d'exploitation 30 091 25 273 La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est également preneur dans des contrats de location de matériel informatique (photocopieurs, ordinateurs, …) pour des durées de 1 à 3 ans. Ces contrats sont de faible valeur et/ou de courte durée. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a choisi d’appliquer les exemptions prévues par IFRS 16 et de ne pas comptabiliser au bilan de droit d’utilisation et de dette locative sur ces contrats. Variation des actifs au titre du droit d’utilisation . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est preneuse de nombreux actifs dont des véhicules, des agences et du matériel informatique. Les informations relatives aux contrats dont la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est preneuse sont présentés ci-dessous : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements (1) 31/12/2022 Immobilier  : Valeur brute 3 703 ‐ 228 -54 ‐ ‐ 3 877 Amortissements et dépréciations -1 235 ‐ -531 5 ‐ ‐ -1 761 Total immobilier 2 468 ‐ -303 -49 ‐ ‐ 2 116 Mobilier  : Valeur brute ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amortissements et dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total mobilier ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Droits d'utilisation 2 468 ‐ -303 -49 ‐ ‐ 2 116 (En milliers d ’E uros) 31/12/2020 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2021 Immobilier  : Valeur brute 3 261 ‐ 554 -112 ‐ ‐ 3 703 Amortissements et dépréciations -748 ‐ -516 29 ‐ ‐ -1 235 Total immobilier 2 513 ‐ 38 -83 ‐ ‐ 2 468 Mobilier  : Valeur brute ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amortissements et dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total mobilier ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Droits d'utilisation 2 513 ‐ 38 -83 ‐ ‐ 2 468 — Echéancier des dettes locatives  : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Total Dettes locatives Dettes locatives 511 717 23 1 251 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Total Dettes locatives Dettes locatives 492 1 079 31 1 602 Détail des charges et produits de contrats de location (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Charges d'intérêts sur dettes locatives -6 -6 Total Intérêts et charges assimilées (PNB) -6 -6 Charges relatives aux contrats de location court terme 74 -43 Charges relatives aux contrats de location de faible valeur -1 183 -895 Charges relatives aux paiements de loyers variables exclus de l'évaluation de la dette ‐ ‐ Produits de sous-location tirés d'actifs au titre de droits d'utilisation ‐ ‐ Profits ou pertes résultant de transactions de cession-bail ‐ ‐ Profits ou pertes résultant de modifications de contrats de location ‐ ‐ Total Charges générales d'exploitation -1 109 -938 Dotations aux amortissements sur droits d'utilisation -531 -516 Total Dotations aux amortissements des immobilisations corporelles -531 -516 Total Charges et produits de contrats de location -1 646 -1 460 — Montants des flux de trésorerie de la période  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Total des sorties de trésorerie relatives aux contrats de location -1 645 -1 456 8.2. Contrats de location dont le Groupe est bailleur . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée propose à ses clients des activités de location qui prennent la forme de contrats de crédit-bail, de location avec option d’achat, de location financière, ou de location longue durée. Les contrats de location sont classés en contrats de location financement lorsque les termes du contrat de location transfèrent en substance la quasi-totalité des risques et avantages inhérents à la propriété au preneur. Les autres contrats de location sont classés en location simple. — Produits de contrats de location  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Location-financement ‐ ‐ Profits ou pertes réalisés sur la vente ‐ ‐ Produits financiers tirés des créances locatives ‐ ‐ Produits des paiements de loyers variables ‐ ‐ Location simple 199 221 Produits locatifs 199 221 9. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties . 9.1. Engagements donnés et reçus  : (En milliers d'euros) 31/12/2022 31/12/2021 Engagements donnés 735 429 720 495 Engagements de financement 513 641 509 700 Engagements en faveur des établissements de crédit ‐ ‐ Engagements en faveur de la clientèle 513 641 509 700 Engagements de garantie 221 788 210 795 Engagements d'ordre des établissements de crédit 4 646 6 429 Engagements d'ordre de la clientèle 217 142 204 366 Engagements sur titres ‐ ‐ Titres à livrer ‐ ‐ Engagements reçus 1 994 545 1 850 142 Engagements de financement 5 638 7 154 Engagements reçus des établissements de crédit 5 638 7 154 Engagements reçus de la clientèle ‐ ‐ Engagements de garantie 1 988 907 1 842 988 Engagements reçus des établissements de crédit 237 194 232 766 Engagements reçus de la clientèle 1 751 713 1 610 222 Engagements sur titres ‐ ‐ Titres à recevoir ‐ ‐ (1) Dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a accordé des prêts pour lesquels elle a reçu des engagements de garantie de l’Etat français (PGE). Au 31 décembre 2022, le montant de ces engagements de garantie reçus s’élève à 168 985 milliers d’euros. — Instruments financiers remis et reçus en garantie  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés) Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (Banque de France, CRH …) 2 513 877 2 657 323 Titres prêtés ‐ ‐ Dépôts de garantie sur opérations de marché ‐ ‐ Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Titres et valeurs donnés en pension 38 102 ‐ Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie 2 551 979 2 657 323 Valeur comptable des actifs financiers reçus en garantie Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés Titres empruntés ‐ ‐ Titres et valeurs reçus en pension ‐ ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés ‐ ‐ Au 31 décembre 2022 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a pas utilisé les titres souscrits auprès des "FCT Crédit Agricole Habitat" comme dispositif de refinancement. Créances apportées en garantie . — Au cours de l’année 2022 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 2 513 877 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 2 657 323 milliers d’euros en 2021 . La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté : 1 949 929 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France contre 2 176 753 milliers d’euros en 2021 ; 71 986 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 90 523 milliers d’euros en 202 1 ; 446 961 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 390 047 milliers d’euros en 2021 . Garanties détenues et actifs reçus en garantie . — La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis. La politique de l'établissement consiste à céder dès que possible les actifs obtenus par prise de possession de garanties. Au cours de la période, les actifs que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a obtenus par prise de possession de garantie et détenus à la date de clôture s’élèvent à 1 197 milliers d’euros, selon la répartition suivante : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 31/12/2021 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Immobilisations corporelles ‐ ‐ Immeubles de placement ‐ ‐ Instruments de capitaux propres et de dettes ‐ ‐ Autres 1 197 2 249 Total Actifs obtenus par prise de possession de garantie 1 197 2 249 10. – Juste valeur des instruments financiers . La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation. La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion “d’exit price”). Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des données de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs. Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés. La hiérarchie de juste valeur des actifs et passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13. Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers cotés sur un marché actif. Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données et reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs et passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté. Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé. Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment : des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux du marché ; des actifs ou passifs à court terme pour lesquels il est considéré que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ; des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ; des actifs ou passifs exigibles à vue ; des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables. 10.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût amorti . — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont, pour les actifs, nets de dépréciation. — Actifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur  : (En milliers d' E uros) Valeur au bilan au 31/12/2022 Juste valeur au 31/12/2022 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 7 512 130 7 506 210 ‐ 1 525 091 5 981 119 Prêts et créances sur les établissements de crédit 1 499 505 1 493 050 ‐ 1 493 050 ‐ Prêts et créances sur la clientèle 6 012 625 6 013 160 ‐ 32 041 5 981 119 Titres de dettes 220 031 197 389 196 705 ‐ 684 Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 7 732 161 7 703 599 196 705 1 525 091 5 981 803 (En milliers d' E uros) Valeur au bilan au 31/12/2021 Juste valeur au 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 7 064 594 7 066 455 ‐ 1 122 450 5 944 005 Prêts et créances sur les établissements de crédit 1 099 670 1 092 716 ‐ 1 092 716 ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 964 924 5 973 739 ‐ 29 734 5 944 005 Titres de dettes 192 558 205 343 204 697 ‐ 646 Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 7 257 152 7 271 798 204 697 1 122 450 5 944 651 — Passifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur (En milliers d' E uros) Valeur au bilan au 31/12/2022 Juste valeur au 31/12/2022 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 4 223 529 3 782 725 ‐ 3 782 725 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptes et emprunts à terme 4 185 427 3 744 623 ‐ 3 744 623 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée 38 102 38 102 ‐ 38 102 ‐ Dettes envers la clientèle 2 945 785 2 945 785 ‐ 2 925 293 20 492 Comptes ordinaires créditeurs 2 582 967 2 582 967 ‐ 2 582 967 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 20 492 20 492 ‐ ‐ 20 492 Autres dettes envers la clientèle 342 326 342 326 ‐ 342 326 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 27 568 27 527 27 527 ‐ ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 7 196 882 6 756 037 27 527 6 708 018 20 492 (En milliers d' E uros) Valeur au bilan au 31/12/2021 Juste valeur au 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 3 826 385 3 915 577 ‐ 3 915 577 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ 2 2 718 ‐ 2 718 ‐ Comptes et emprunts à terme 3 826 383 3 912 859 ‐ 3 912 859 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 951 530 2 948 416 ‐ 2 927 485 20 931 Comptes ordinaires créditeurs 2 568 583 2 568 554 ‐ 2 568 554 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 20 931 20 931 ‐ ‐ 20 931 Autres dettes envers la clientèle 362 016 358 931 ‐ 358 931 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 173 527 177 572 21 384 156 188 ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 6 951 442 7 041 565 21 384 6 999 250 20 931 10.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur . Evaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) du risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debit Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie (CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers. L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement (DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. La probabilité de défaut est en priorité directement déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides. Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation . Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers valorisés à la juste valeur  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 4 651 ‐ 4 651 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 4 651 ‐ 4 651 ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 65 398 58 313 4 987 2 098 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 953 ‐ 953 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 64 445 58 313 4 034 2 098 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 64 445 58 313 4 034 2 098 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 632 983 ‐ 632 983 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 632 983 ‐ 632 983 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 167 334 ‐ 167 334 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 870 366 58 313 809 955 2 098 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ (En milliers d' E uros) 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 868 ‐ 868 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 868 ‐ 868 ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 64 447 59 468 3 112 1 867 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 836 ‐ 836 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 63 611 59 468 2 276 1 867 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 63 611 59 468 2 276 1 867 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 697 741 ‐ 697 741 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 697 741 ‐ 697 741 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 26 001 ‐ 26 001 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 789 057 59 468 727 722 1 867 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques -532 532 Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ -532 532 — Passifs financiers valorisés à la juste valeur  : (En milliers d' E uros) 31/12/2022 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 4 634 ‐ 4 634 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 4 634 ‐ 4 634 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 16 671 ‐ 16 671 ‐ Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 21 305 ‐ 21 305 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ (En milliers d' E uros) 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 907 ‐ 907 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 907 ‐ 907 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 86 139 ‐ 86 139 ‐ Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 87 046 ‐ 87 046 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ — Variation du solde des instruments financiers valorisés à la juste valeur selon le N iveau 3  : Actifs financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3  : Tableau 1 sur 3 Total Actifs financiers valorisés à la juste Valeur selon le Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres détenus à des fins de transaction Instruments dérivés Solde de clôture (31/12/2021) 1 867 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) 231 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat 231 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2022) 2 098 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Tableau 2 sur 3 (En milliers d'Euros) Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Actions et autres titres à revenu variable et Titres de participation non consolidés Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable OPCVM Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres de dettes Solde de clôture (31/12/2021) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 867 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 231 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 231 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2022) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 098 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Tableau 3 sur 3 (En milliers d'Euros) Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres Instruments dérivés de couverture Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables Instruments de dettes comptabilisés en à la juste valeur par capitaux propres recyclables Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres de dettes Solde de clôture (31/12/2021) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2022) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) ce solde inclut les gains et pertes de la période provenant des actifs détenus au bilan à la date de la clôture pour les montants suivants : Gains/ pertes de la période provenant des actifs de niveau 3 détenus au bilan en date de clôture 231 Comptabilisés en résultat 231 Comptabilisés en capitaux propres ‐ 10.3. Rappels sur la réforme des indices de taux et implications pour le Groupe Crédit Agricole . — La réforme des indices de taux IBOR (InterBank Offered Rates) initiée par le Conseil de Stabilité Financière en 2014, vise à remplacer ces indices par des taux alternatifs et plus particulièrement par des Risk Free Rates (RFR). Cette réforme s’est accélérée le 5 mars 2021 lorsque l’IBA – l’administrateur du LIBOR – a confirmé le jalon important de fin 2021 pour l’arrêt de la publication ou la non-représentativité des LIBOR, sauf sur les tenors les plus utilisés du LIBOR USD (échéances au jour le jour, un, trois, six et douze mois) pour lesquels la date est fixée au 30 juin 2023. Depuis cette date, d’autres annonces sont intervenues : La cessation de la publication de plusieurs indices calculés sur la base des swaps référençant le LIBOR USD prévue pour fin juin 2023 : ICE SWAP RATE USD, MIFOR (Inde), SOR (Singapour) et THBFIX (Thaïlande) ; La cessation du CDOR (Canada) après le 28 juin 2024 sur les ténors non encore arrêtés (un, deux et trois mois) ; Et plus récemment, l’arrêt du WIBOR – indice de référence polonais, classifié critique par la Commission Européenne - à horizon fin 2024. Depuis début 2019, le Groupe Crédit Agricole s’est organisé pour préparer et encadrer la transition des indices de taux pour l’ensemble de ses activités. Ces transitions s’inscrivent dans les calendriers et standards définis par les travaux de place - dont certains auxquels le Crédit Agricole participe - et le cadre réglementaire européen (BMR). Conformément aux recommandations des groupes de travail nationaux et des autorités, le Groupe Crédit Agricole préconise et privilégie des bascules vers les indices alternatifs par anticipation de la disparition des indices de référence tout en visant le respect des échéances fixées par la place voire imposées par les autorités. De manière générale, la réalisation ordonnée et maitrisée des transitions est aujourd’hui garantie par les efforts menés par le Groupe pour mettre à niveau ses outils et ses processus ainsi que par la forte mobilisation des équipes support et des métiers pour absorber la charge de travail induite par les transitions, notamment pour la renégociation des contrats. L’ensemble des actions entreprises depuis 2019 permet ainsi aux entités du Groupe d’assurer la continuité de leur activité après la disparition des IBOR et d’être en capacité de gérer les nouvelles offres de produits référençant des RFR ou certains RFR à terme. — Transition LIBOR GBP, CHF et JPY  : Suite aux actions menées en 2021 pour renégocier les transactions indexées sur les indices qui n’étaient plus publiés ou qui ont cessé d’être représentatifs le 31 décembre 2021, le Groupe a finalisé la migration opérationnelle de ces contrats au premier semestre 2022. Sur le second semestre, le Groupe a focalisé ses efforts sur la renégociation des quelques transactions résiduelles utilisant des LIBOR synthétiques. — Transition LIBOR USD : A l’échelle du Groupe Crédit Agricole, les travaux au S2 2022 se sont concentrés en grande partie sur la préparation de la transition du LIBOR USD. L’identification des contrats et la définition de la stratégie pour leur migration sont finalisées : Les prêts, les lignes de crédit ainsi que les instruments de couverture associés seront prioritairement basculés vers un indice alternatif à travers une renégociation bilatérale ; Il est anticipé que l’essentiel des dérivés non compensés couverts par le protocole ISDA seront transitionnés par activation de la clause de fallback à la disparition du LIBOR USD et les clients non adhérents au protocole ont été contactés afin d’initier une renégociation bilatérale. Les chambres de compensation ont quant à elles confirmé que les dérivés compensés seraient transitionnés au S1 2023 ; Les comptes à vue et autres produits assimilés seront migrés par une mise à jour de leurs conditions générales ; Pour les autres classes d’actifs, les contrats seront migrés pro-activement ou par activation de la clause de fallback. Cette transition impacte en tout premier lieu la banque d’investissement CACIB, entité du Groupe la plus exposée au LIBOR USD et pour laquelle la transition des stocks de contrats a déjà débuté. La migration opérationnelle des contrats s’appuie sur l’ensemble des processus et outils préalablement développés pour la transition des contrats indexés sur les taux IBOR dont la publication ou la non-représentativité a cessé fin 2021. La Financial Conduct Authority (FCA) britannique a lancé le 23 novembre une consultation visant à proposer la mise en œuvre d’un LIBOR USD synthétique pour les tenors un, trois et six mois jusqu’à fin septembre 2024 sachant que les autorités américaines ont pour leur part déjà validé la désignation de taux de remplacement statutaires du LIBOR USD pour les contrats de droit américain. — Transition des autres indices (ICE SWAP RATE USD, MIFOR, SOR, THBFIX, CDOR, WIBOR) : Hors WIBOR, les transitions concernent presque exclusivement la banque d’investissement qui a finalisé l’identification des clients et des transactions. Le stock à transitionner est très marginal par rapport au LIBOR USD et concerne très majoritairement les dérivés compensés. Au dernier trimestre 2022, l’autorité polonaise KNF a communiqué sa feuille de route pour le remplacement des deux indices de référence WIBOR et WIBID par l’indice WIRON et une première version de ses recommandations sur les transactions OIS et les émissions. Les principales entités du Groupe Crédit Agricole utilisant le WIBOR sont CA Pologne (banque de détail) et CAL&F au travers de l’entité EFL (leasing). — Gestion des risques associés à la réforme des taux : Les risques liés à la réforme des taux interbancaires se limitent essentiellement au LIBOR USD pour la période courant jusqu’en juin 2023. Outre la préparation et la mise en œuvre du remplacement des indices de référence, les travaux menés par le Groupe portent également sur la gestion et le contrôle des risques inhérents aux transitions des indices de référence, notamment sur les volets financiers, opérationnels, juridiques et conformité en particulier sur le volet protection des clients (prévention du « conduct risk »). Afin que les relations de couvertures comptables affectées par cette réforme des indices de référence puissent être maintenues malgré les incertitudes sur le calendrier et les modalités de transition entre les indices de taux actuels et les nouveaux indices, l’IASB a publié des amendements à IAS 39, IFRS 9 et IFRS 7 en septembre 2019 qui ont été adoptés par l’Union européenne le 15 janvier 2020. Le Groupe applique ces amendements tant que les incertitudes sur le devenir des indices auront des conséquences sur les montants et les échéances des flux d’intérêt et considère, à ce titre, que tous ses contrats de couverture sur les indices concernés, peuvent en bénéficier. D’autres amendements, publiés par l’IASB en août 2020, complètent ceux publiés en 2019 et se concentrent sur les conséquences comptables du remplacement des anciens taux d'intérêt de référence par d’autres taux de référence à la suite des réformes. Ces modifications, dites « Phase 2 », concernent principalement les modifications des flux de trésorerie contractuels. Elles permettent aux entités de ne pas dé-comptabiliser ou ajuster la valeur comptable des instruments financiers pour tenir compte des changements requis par la réforme, mais plutôt de mettre à jour le taux d'intérêt effectif pour refléter le changement du taux de référence alternatif. En ce qui concerne la comptabilité de couverture, les entités n'auront pas à déqualifier leurs relations de couverture lorsqu'elles procèdent aux changements requis par la réforme et sous réserve d’équivalence économique. Au 31 décembre 2022 , les instruments basés sur les anciens taux de référence ont tous transité vers les nouveaux taux. 11. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2022 . Date de clôture . — Les états financiers utilisés pour la préparation des états financiers consolidés sont établis à la même date que celle des états financiers du Groupe . 11.1. Information sur les filiales . 11.1.1. Restrictions sur les entités contrôlées . — Néant. 11.1.2. Soutiens aux entités structurées contrôlées . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a accordé aucun soutien financier aux entités structurées consolidées au 31 décembre 2022 et au 31 décembre 2021 . 11.1.3. Opérations de titrisation et fonds dédiés . — Pour plus de détails sur ces opérations de titrisation et sur l’indication de la valeur comptable des actifs concernés et des passifs associés, il est possible de se reporter à la note 6.6 " Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue " . Les Caisses régionales depuis 2015 ont participé à plusieurs titrisations True Sale. Ces titrisations sont des RMBS français soit autosouscrits, soit placés dans le marché par le Groupe. Ces opérations se traduisent par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales et éventuellement LCL pour certains FCT, à un FCT (un par titrisation). Les FCT sont consolidés au sein du groupe Crédit Agricole. Dans le cadre de ces titrisations, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 238,9 millions d’euros aux FCT. 11.2. Composition du périmètre  : Périmètre de consolidation du Crédit Agricole de Méthode de consolidation Modification de périmètre (1) Implantation Siège social (si différent de l'implantation) Type d'entité et nature du contrôle % De contrôle % D'intérêt 31/12/2022 31/12/2021 31/12/2022 31/12/2021 Banque de proximité en France 32 Caisses locales Cl S ud méditerranée Globale France France Filiale 100% 100% 100% 100% Établissement bancaire et financier Caisse régionale sud méditerranée Globale France France Filiale 100% 100% 100% 100% CRCAM Sud Med. Suc Globale Espagne France Succursale 100% 100% 100% 100% Divers FCT CAH 2017 COMPARTIMENT CR871 SUD MEDITERRANEE (Sortante au T2/2022) Globale S1 France France Entité structurée contrôlée 100% 100% FCT CAH 2018 COMPARTIMENT CR871 SUD MEDITERRANEE GLOBALE FRANCE FRANCE ENTITE STRUCTUREE CONTROLEE 100% 100% 100% 100% FCT CAH 2019 COMPARTIMENT CR871 SUD MEDITERRANEE GLOBALE FRANCE FRANCE ENTITE STRUCTUREE CONTROLEE 100% 100% 100% 100% FCT CAH 2020 COMPARTIMENT CR871 SUD MEDITERRANEE Globale France France Entité structurée contrôlée 100% 100% 100% 100% FCT CAH 2022 COMPARTIMENT CR871 SUD MEDITERRANEE Globale France France Entité structurée contrôlée 100% 100% S1 : Cessation d’activité (dont dissolution, liquidation) Au 31 décembre 2022 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée ayant participé aux opérations de titrisation Crédit Agricole Habitat a consolidé ses quotes-parts (analyse par silo) de chacun des FCT, le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’il a cédées aux FCT. 12. – Participations et entités structurées non consolidées . 12.1. Participations non consolidées . — Ces titres enregistrés à la juste valeur par résultat ou la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement. Ce poste s’élève à 7 723 milliers d’euros au 31 décembre 2022 contre 7 532 milliers d’euros au 31 décembre 2021 . 12.1.1. Entités non intégrées dans le périmètre de consolidation . — Les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint et sous influence notable non intégrées dans le périmètre de consolidation, sont présentées dans le tableau ci-dessous : Entités non consolidées Siège social % D'intérêt Motif d'exclusion du périmètre de consolidation 31/12/2022 31/12/2021 SCI CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE France 99,59% 99,59% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques STE IMMOBILIERE DU CREDIT ET DE LA MUTUALITE AGRICOLE France 50,00% 50,00% Seuils de siginificativité non atteints SAS SUD MED IMMOBILIER France 100,00% 100,00% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques SAS SUD MED ROUSSILLON France 100,00% 100,00% Seuils de siginificativité non atteints SCI BLEU RESIDENCE PERPIGNAN France 35,00% 35,00% Impacts non significatifs SAS PL IMMOBILIER France 70,00% 70,00% Seuils de siginificativité non atteints 12.2. Informations sur les entités structurées non consolidées . — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels. Informations sur la nature et l’étendue des intérêts détenus — Fonds de placement  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée investit dans des sociétés créées afin de répondre à la demande des investisseurs dans le cadre de la gestion de sa trésorerie, d’une part, et dans le cadre du placement des primes d’assurance reçues des clients des sociétés d’assurance conformément aux dispositions réglementaires prévues par le Code des assurances d’autre part. Les placements des sociétés d’assurance permettent de garantir les engagements pris vis-à-vis des assurés tout au long de la vie des contrats d’assurance. Leur valeur et leur rendement sont corrélés à ces engagements. Informations sur les risques associés aux intérêts détenus  : — Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités  : Au 31 décembre 2022 et au 31 décembre 2021, l’implication de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dans les tableaux ci-dessous : (En milliers d'Euros) 31/12/2022 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 58 313 58 313 ‐ 58 313 ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 58 313 58 313 ‐ 58 313 ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 392 726 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.3 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 59 468 59 468 ‐ 59 468 ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 59 468 59 468 ‐ 59 468 ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 606 715 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.3 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. Exposition maximale au risque de perte . — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de credit default swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to-market . L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspond au montant du notionnel et la provision sur engagements donnés au montant comptabilisé au bilan. 13. – Événements postérieurs au 31 décembre 2022 . Néant . IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés . ( Exercice clos le 31 décembre 2022 .) À l'Assemblée générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, Opinion En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée générale, nous avons effectué l’audit des comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2022, tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard du référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine, à la fin de l'exercice, de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation. L'opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au Comité d'audit. Fondement de l'opinion : Référentiel d'audit   Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie "Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l'audit des comptes consolidés" du présent rapport. Indépendance Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance prévues par le Code de commerce et par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes sur la période du 1er janvier 2022 à la date d’émission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014. Justification des appréciations - Points clés de l'audit En application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d'anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le contexte de l'audit des comptes consolidés pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n'exprimons pas d'opinion sur des éléments de ces comptes consolidés pris isolément. Dépréciation des risques de crédits sur une base individuelle  : Risque identifié Du fait de son activité, votre Caisse régionale est exposée à un risque significatif de crédits sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l'agriculture. Comme indiqué dans la note 1.2 « Dépréciation / provisionnement pour risque de crédit » de l'annexe aux comptes consolidés, les encours en défaut (Stage 3) sont dépréciés lorsqu’un ou plusieurs événements ayant un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de ces actifs financiers se sont produits. Le montant de ces dépréciations correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus à maturité (incluant le principal et les intérêts). S'agissant de la détermination d'éventuelles dépréciations, la Direction est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations des crédits portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l'agriculture comme un point clé de l'audit des comptes consolidés en raison de leur importance dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés actualisés dans le contexte macro-économique de l’exercice 2022 tel qu’indiqué en note 3.1 de l’annexe aux comptes consolidés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles présentées dans la note 3.1.1 de l'annexe aux comptes consolidés qui s'élève à 130,8 M€. Notre réponse   Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la direction, dans le contexte macroéconomique particulier de l'exercice 2022, pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : mené des entretiens au cours de l'exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de votre Caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte comptabilisation ; testé l'efficacité des contrôles jugés clés mis en œuvre par votre Caisse régionale relatifs à ces procédures ; analysé les hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit en prenant en compte, le cas échéant, l'impact du contexte macro-économique sur ces flux ou les garanties spécifiques liées aux plans de soutien à l'économie ; mis en œuvre des procédures analytiques sur la couverture des encours douteux. Risque de crédit et estimation des pertes attendues sur les expositions n'étant pas en défaut Risque identifié   Comme indiqué dans la note 1.2 « Dépréciation / provisionnement pour risque de crédit » de l'annexe aux comptes consolidés, votre Caisse régionale comptabilise des corrections de valeur au titre des pertes de crédit attendues (Expected Credit Losses ou « ECL ») dès la comptabilisation initiale d'un instrument financier (crédit, titre de dette, garantie, etc.), au titre des pertes de crédit attendues sur douze mois (Stage 1) ; et si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, à maturité (Stage 2). Les corrections de valeurs reposent sur des estimations qui intègrent des paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d'exposition au moment du défaut tenant compte de données macro-économiques prospectives (Forward Looking) appréciées au niveau de votre groupe et au niveau de votre Caisse régionale au regard des caractéristiques propres à ses portefeuilles de crédits. Ces corrections de valeur représentent en cumul sur les prêts et créances sur la clientèle et sur les engagements par signature au 31 décembre 2022, un montant de 54,8 M€ comme détaillé dans la note 3.1.1 de l'annexe aux comptes consolidés. Nous avons considéré qu'il s'agissait d'un point clé de l'audit des comptes consolidés en raison de : l'importance des hypothèses prises, en particulier dans le contexte macro-économique de l'exercice 2022 tel qu’indiqué en note 3.1 de l’annexe aux comptes consolidés ; l'importance des crédits à la clientèle dans le bilan, et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit à la consommation, etc.), dont par exemple des informations prospectives (Forward Looking central et local) ou des critères de transfert parmi les catégories d'expositions homogènes de risques (Stage 1 et Stage 2). Notre réponse   Dans le cadre de notre audit des comptes consolidés, nos travaux ont notamment consisté à : prendre connaissance, lors d'un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation de votre groupe, avec l'aide de leurs experts sur les modèles de détermination des corrections de valeur au titre des pertes de crédit attendues. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : les principes méthodologiques suivis pour la construction des modèles ; le processus d'élaboration des paramètres utilisés dans les modèles (probabilité de défaut « PD », perte en cas de défaut Loss Given Default ou « LGD ») en prenant en compte notamment le contexte macro-économique particulier de l'exercice 2022 et les mesures de soutien à l'économie ; la gouvernance des modèles et le changement des paramètres y compris l'analyse des scénarios et paramètres économiques projetés ainsi que le processus de validation indépendante ; la réalisation de tests ciblés sur les fonctions calculatoires de l'outil utilisé pour déterminer les corrections de valeurs. tester les données relatives aux expositions entrant dans le modèle de détermination des corrections de valeur sur la base d'un échantillon de dossiers ; contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des corrections de valeur dans l'outil de provisionnement ; apprécier les hypothèses et la documentation fournie par votre Caisse régionale sur l'identification de dégradations significatives notamment dans le contexte macro-économique particulier pour des portefeuilles d'encours et la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l'application du Forward Looking local ; analyser l'évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l'exercice 2022 ; examiner les informations données au titre de la couverture du risque de crédit dans l'annexe aux comptes consolidés. Vérifications spécifiques Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion du conseil d'administration. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés. Nous attestons que la déclaration consolidée de performance extra-financière prévue par l’article L. 225-102-1 du Code de commerce figure dans les informations relatives au groupe données dans le rapport de gestion, étant précisé que, conformément aux dispositions de l’article L. 823-10 de ce Code, les informations contenues dans cette déclaration n’ont pas fait l’objet de notre part de vérifications de sincérité ou de concordance avec les comptes consolidés et doivent faire l’objet d’un rapport par un organisme tiers indépendant. Autres vérifications ou informations prévues par les textes légaux et réglementaires Désignation des commissaires aux comptes   Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par l'Assemblée générale du 27 mars 2008. Au 31 décembre 2022, nos cabinets étaient dans la quinzième année de leur mission sans interruption. Antérieurement, le cabinet Ernst & Young et Audit était commissaire aux comptes depuis 1989. Responsabilités de la Direction et des personnes constituant le gouvernement d'entreprise relatives aux comptes consolidés Il appartient à la Direction d’établir des comptes consolidés présentant une image fidèle conformément au référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes consolidés ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs. Lors de l’établissement des comptes consolidés, il incombe à la Direction d’évaluer la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la Caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au comité d’audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l'efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l'audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Les comptes consolidés ont été arrêtés par le Conseil d'administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés Objectif et démarche d'audit   Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes consolidés. Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l’article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre Caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : il identifie et évalue les risques que les comptes consolidés comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la Direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes consolidés ; il apprécie le caractère approprié de l’application par la Direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes consolidés au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; il apprécie la présentation d’ensemble des comptes consolidés et évalue si les comptes consolidés reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle ; concernant l'information financière des personnes ou entités comprises dans le périmètre de consolidation, il collecte des éléments qu'il estime suffisants et appropriés pour exprimer une opinion sur les comptes consolidés. Il est responsable de la direction, de la supervision et de la réalisation de l'audit des comptes consolidés ainsi que de l'opinion exprimée sur ces comptes. Rapport au Comité d'audit   Nous remettons au Comité d’audit un rapport qui présente notamment l’étendue des travaux d'audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au Comité d’audit figurent les risques d’anomalies significatives que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au comité d’audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537/2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 à L. 822-14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le Comité d'audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège et Toulouse, le 8 mars 2023. Les Commissaires aux comptes : KPMG S.A. : Ernst & Young et Autres : Pierre SUBREVILLE ; Frank ASTOUX, Associé, Associé. V. — Rapport de gestion . En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

12/05/2023 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2301558
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le capital social au 31 mars 2023 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D Situation trimestrielle au 31 mars 2023 (en milliers d'Euros) A CTIF MONTANT Caisse, banques centrales 37 267 Effets publics et valeurs assimilées 9 4 035 Créances sur les établissements de crédit 86 278 Opérations internes au Crédit Agricole 1 378 959 Opérations avec la clientèle 5 967 592 Obligations et autres titres à revenu fixe 238 310 Actions et autres titres à revenu variable 6 0 204 Participations et autres titres détenus à long terme 527 761 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 3 5 479 Autres actifs 6 6 079 Comptes de régularisation 3 5 951 Total Actif 8 527 915 P ASS IF MONTANT Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 81 482 Opérations internes au Crédit Agricole 4 359 327 Opérations avec la clientèle 2 784 728 Dettes représentées par un titre Autres passifs 190 305 Comptes de régularisation 8 4 551 Provisions pour risques et charges 6 6 612 Dettes subordonnées 27 711 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 57 508 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 875 691 Capital souscrit 2 8 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 714 058 Écarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Repo r t à nouveau ( + /-) 0 Résultat de l'exercice 3 951 Total Pa ssif 8 527 915 HORS BILAN MONTANT Engagements donnés 728 061 Engagements de financement 512 797 Engagements de garantie 211 880 Engagements sur titres 3 384 Engagements reçus 1 939 083 Engagements de financement 5 638 Engagements de garantie 1 930 061 Engagements sur titres 3 384

13/03/2023 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2300517
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le capital social au 31 décembre 2022 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D Situation trimestrielle au 31 décembre 2022 (en milliers d'Euros) ACTIF MONTANT Caisse, banques centrales 38 084 Effets publics et valeurs assimilées 93 522 Créances sur les établissements de crédit 187 646 Opérations internes au Crédit Agricole 1 337 350 Opérations avec la clientèle 5 919 261 Obligations et autres titres à revenu fixe 238 149 Actions et autres titres à revenu variable 59 737 Participations et autres titres détenus à long terme 527 752 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 32 561 Autres actifs 57 031 Comptes de régularisation 47 723 Total Actif 8 538 816 PASSIF MONTANT Banques centrales   Dettes envers les établissements de crédit 81 286 Opérations internes au Crédit Agricole 4 180 940 Opérations avec la clientèle 2 945 491 Dettes représentées par un titre Autres passifs 202 555 Comptes de régularisation 106 557 Provisions pour risques et charges 66 635 Dettes subordonnées 27 618 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 53 008 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 874 726 Capital souscrit 28 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 684 748 Écarts de réévaluation  0 Provisions réglementées et subventions d'investissement  0 Report à nouveau (+/-)  0 Résultat de l'exercice 32 296 Total Passif 8 538 816 HORS-BILAN MONTANT Engagements donnés 737 535 Engagements de financement 513 641 Engagements de garantie 221 787 Engagements sur titres 2 307 Engagements reçus 1 906 268 Engagements de financement 5 638 Engagements de garantie 1 898 323 Engagements sur titres 2307

30/11/2022 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2204566
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le capital social au 3 0 septembre 202 2 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex Numéro Siren : 776 179 335 - code APE 651 D Situation trimestrielle au 30 septembre 2022 (en milliers d'Euros) ACTIF MONTANT Caisse, banques centrales 48 177 Effets publics et valeurs assimilées 94 655 Créances sur les établissements de crédit 125 231 Opérations internes au Crédit Agricole 1  390 8 05 Opérations avec la clientèle 5  8 89 11 6 Obligations et autres titres à revenu fixe 2 3 8 142 Actions et autres titres à revenu variable 59 93 6 Participations et autres titres détenus à long terme 508 315 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 31   344 Autres actifs 6 5 424 Comptes de régularisation 3 0 902 Total Actif 8   48 2 047 PASSIF MONTANT Banques centrales   Dettes envers les établissements de crédit 43 2 29 Opérations internes au Crédit Agricole 3   983 358 Opérations avec la clientèle 2   976 929 Dettes représentées par un titre 15 2 363 Autres passifs 200 022 Comptes de régularisation 102 174 Provisions pour risques et charges 6 9 434 Dettes subordonnées 2 7 308 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 5 4 5 57 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 8 72   6 73 Capital souscrit 28 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 6 84 748 Ecarts de réévaluation  0 Provisions réglementées et subventions d'investissement  0 Report à nouveau (+/-)   0 Résultat de l'exercice 30 2 43 Total Passif 8   48 2 047 HORS-BILAN MONTANT Engagements donnés 7 35 505 Engagements de financement 5 20 346 Engagements de garantie 2 14 169 Engagements sur titres 9 90 Engagements reçus 1   8 82 434 Engagements de financement 5 638 Engagements de garantie 1  8 75 80 6 Engagements sur titres 9 90

14/09/2022 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2203942
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 30 juin 2022 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex. Siren : 776 179 335 code APE 651 D. Situation trimestrielle au 30 juin 2022 (en milliers d'Euros) A CTIF MONTANT Caisse, banques centrales 40 107 Effets publics et valeurs assimilées 9 4 144 Créances sur les établissements de crédit 33 064 Opérations internes au Crédit Agricole 1 237 818 Opérations avec la clientèle 5 897 896 Obligations et autres titres à revenu fixe 228 281 Actions et autres titres à revenu variable 5 9 126 Participations et autres titres détenus à long terme 508 280 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 2 9 315 Autres actifs 6 3 002 Comptes de régularisation 3 1 153 Total Actif 8 222 186 P ASS IF MONTANT Banques centrales 4 3 2 7 6 Dettes envers les établissements de crédit Opérations internes au Crédit Agricole 3 897 892 Opérations avec la clientèle 2 885 276 Dettes représentées par un titre 151 628 Autres passifs 141 757 Comptes de régularisation 8 5 839 Provisions pour risques et charges 6 8 701 Dettes subordonnées 26 110 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 55 057 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 866 650 Capital souscrit 2 8 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 684 748 Ecarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Repo r t à nouveau ( + /-) 0 Résultat de l'exercice 2 4 220 Total Passif 8 222 186 HORS-BILAN MONTANT Engagements donnés : 771 98 1 Engagements de financement 555 671 Engagements de garantie 215 334 Engagements sur titres 976 Engagements reçus : 1 875 460 Engagements de financement 5 838 Engagements de garantie 1 868 646 Engagements sur titres 976

01/06/2022 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Comptes annuels (4.1)
Numéro d'affaire : 2202395
Texte de l'annonce :

CAISSE RÉGIONALE DU CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital et personnel variables régie par les dispositions du Livre V du Code monétaire et financier au capital de 28 057 377,00 euros Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau 66000 Perpignan 776 179 335 R.C.S Perpignan A. — Comptes individuels au 31/12/2021. Arrêtés par le Conseil d'administration de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 28 janvier 2022 et soumis à l'approbation de l'Assemblée générale mixte en date du 24 mars 2022 I. — Bilan au 31 décembre 2021. (En milliers d' E uros . ) Actif Notes 31/12/2021 31/12/2020 Op é rations interbancaires et assimilées 165 928 175 966 Caisse, banques centrales 35 705 39 328 Effets publics et valeurs assimilées 5 98 830 105 690 Créances sur les établissements de crédit 3 31 393 30 948 Op é rations internes au Crédit Agricole 3 1 088 416 631 415 Op é rations avec la clientèle 4 5 836 966 5 636 241 Op é rations sur titres 264 444 308 173 Obligations et autres titres à revenu fixe 5 205 178 173 152 Actions et autres titres à revenu variable 5 59 266 135 021 Valeurs immobilis é es 541 109 529 197 Participations et autres titres détenus à long terme 6-7 513 158 497 844 Parts dans les entreprises liées 6-7 963 Immobilisations incorporelles 7 907 894 Immobilisations corporelles 7 27 044 29 496 Capital souscrit non vers é Actions propres Comptes de régularisation et actifs divers 160 389 218 122 Autres actifs 8 122 740 175 930 Comptes de régularisation 8 37 649 42 192 Total actif 8 057 252 7 499 114 Passif Notes 31/12/2021 31/12/2020 Op é rations interbancaires et assimilées 37 222 22 557 Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 10 37 222 22 557 Operations internes au Crédit Agricole 10 3 817 874 3 528 994 Comptes créditeurs de la clientèle 11 2 952 346 2 721 741 Dettes représentées par un titre 12 150 241 150 381 Comptes de régularisation et passifs divers 114 508 130 478 Autres passifs 13 45 218 40 278 Comptes de régularisation 13 69 290 90 200 Provisions et dettes subordonnées 89 726 86 788 Provisions 14-15-16 67 193 68 511 Dettes subordonnées 18 22 533 18 277 Fonds pour risques bancaires généraux ( FRBG ) 17 50 057 42 557 Capitaux propres hors FRBG 19 845 278 815 618 Capital souscrit 28 057 28 057 Primes d'émission 129 625 129 625 Réserves 655 676 631 461 Ecarts de réévaluation Provisions réglementées et subventions d'investissement Report à nouveau 204 Résultat de l'exercice 31 716 26 475 Total passif 8 057 252 7 499 114 Hors-bilan Notes 31/12/2021 31/12/2020 Engagements donn é s 720 691 748 494 Engagements de financement 24 509 700 481 013 Engagements de garantie 24 210 795 266 936 Engagements sur titres 24 196 545 Engagements reçus 1 819 351 1 762 506 Engagements de financement 24 7 154 11 038 Engagements de garantie 24 1 812 001 1 750 923 Engagements sur titres 24 196 545 Les opérations de change Hors-bilan et les opérations sur instruments financiers à terme sont présentées respectivement dans les notes 21 et 22. II. — Compte de résultat au 31 décembre 2021. (En milliers d' E uros) Notes 31/12/2021 31/12/2020 Intérêts et produits assimilés 27 144 039 130 475 Intérêts et charges assimilées 27 -58 153 -53 944 Revenus des titres à revenu variable 28 14 929 18 691 Commissions produits 29 83 116 78 838 Commissions charges 29 -26 661 -22 106 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation 30 182 139 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés 31 -264 -284 Autres produits d'exploitation bancaire 32 3 195 3 763 Autres charges d'exploitation bancaire 32 -1 276 -1 124 Produit net bancaire 159 107 154 448 Charges générales d'exploitation 33 -99 628 -100 443 Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles -5 292 -3 672 Résultat brut d'exploitation 54 187 50 333 Coût du risque 34 -3 141 -7 734 Résultat d'exploitation 51 046 42 599 Résultat net sur actifs immobilisés 35 -982 -1 970 Résultat courant avant impôt 50 064 40 629 Résultat exceptionnel 36 Impôts sur les bénéfices 37 -10 848 -11 154 Dotations / reprises de FRBG et provisions réglementées -7 500 -3 000 Résultat net de l'exercice 31 716 26 475 III. — Annexes. Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice. 1.1. Cadre juridique et financier . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Sont affiliées à la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, 32 Caisses locales qui constituent des sociétés coopératives ayant une personnalité juridique propre. Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse Régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l'entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est agréée, avec l'ensemble des Caisses locales qui lui sont affiliées, en qualité de banque mutualiste ou coopérative, avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est de ce fait soumise à la réglementation applicable aux établissements de crédit. Au 31 décembre 2021, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, en application de l'article L.511-30 du Code monétaire et financier, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même, 55,5 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001. Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 44,5 %. Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par ailleurs, en 1988, les Caisses régionales ont consenti une garantie au bénéfice des tiers créanciers de Crédit Agricole S.A., solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. 1.2. Relations internes au Crédit Agricole . Mécanismes financiers internes . — L'appartenance de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au réseau du Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes : — Comptes ordinaires des Caisses régionales  : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ». — Comptes d'épargne à régime spécial  : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable et solidaire, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ». — Comptes et avances à terme  : Les ressources d'épargne non réglementées (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d'épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroirs » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d'avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l'utilisation de modèles de replacement et l'application de taux de marché. Par ailleurs, les Caisses régionales peuvent être refinancées sous forme d'avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales  : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ». — Opérations en devises  : Le refinancement des activités en devises des Caisses régionales est réalisé auprès de Crédit Agricole SA. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A.  : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ». — Mécanisme TLTRO III  : Une troisième série d’opérations de refinancement de long terme a été décidée en mars 2019 par la BCE dont les modalités ont été revues en septembre 2019 puis en mars, avril et décembre 2020 en lien avec la situation de la COVID-19. Le mécanisme de TLTRO III vise à proposer un refinancement de long terme avec une bonification en cas d’atteinte d’un taux de croissance cible des crédits octroyés aux entreprises et aux ménages, appliquée sur la maturité de 3 ans de l’opération TLTRO à laquelle s’ajoute une sur-bonification rémunérant une première incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2020 à juin 2021 puis une seconde incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2021 à juin 2022. Le traitement comptable retenu par le Groupe, sans changement par rapport à celui appliqué en 2020, consiste à comptabiliser les bonifications dès que le Groupe estime avoir une assurance raisonnable que le niveau des encours éligibles permettra de remplir les conditions nécessaires à l’obtention de ces bonifications lors de leur exigibilité vis-à-vis de la BCE, i.e. au terme de l’opération de TLTRO III, et à rattacher cette bonification à la période à laquelle elle se rapporte prorata temporis. Le Groupe a évalué les intérêts courus au taux de la Facilité de Dépôts - 50 bps flooré à -100 bps sur la période spéciale de taux d’intérêt (1er janvier 2021 – 23 juin 2021 pour la période afférente à l’exercice 2021), compte tenu de l’atteinte des seuils propres à la première incitation pendant la période spéciale de référence. Sur la période spéciale de taux d’intérêt additionnelle (24 juin 2021 – 31 décembre 2021 pour la période afférente à l’exercice 2021), le taux d’intérêt retenu est également le taux de la Facilité de Dépôts - 50 bps flooré à -100 bps, compte tenu de l’atteinte des critères du niveau de crédits éligibles propres à la seconde incitation pendant la période spéciale de référence additionnelle. Ainsi, le Groupe estime bénéficier de l’obtention de l’ensemble des bonifications à l’échéance de ce financement du fait de la réalisation des conditions pour en bénéficier au 31 décembre 2021. Crédit Agricole S.A. a souscrit à ces emprunts TLTRO III auprès de la BCE. Compte tenu des mécanismes de refinancement interne, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée se refinance auprès de Crédit Agricole S.A. (702 446 milliers d’euros en 2021) et bénéficie ainsi de ces bonifications (6 710 milliers d’euros en 2021). Couverture des risques de liquidité et de solvabilité, et résolution bancaire . — Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du Code monétaire et financier (CMF), Crédit Agricole S.A., en sa qualité d'organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l'ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du CMF ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l'introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au réseau Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d'un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d'assurer son rôle d'organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. Le dispositif européen de résolution des crises bancaires a été adopté au cours de l'année 2014 par la directive (UE) 2014/59 (dite « BRRD »), transposée en droit français par l'ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français aux dispositions du Règlement européen 806/2014 du 15 juillet 2014 ayant établi les règles et une procédure uniforme pour la résolution des établissements de crédit dans le cadre d'un mécanisme de résolution unique et d'un Fonds de résolution bancaire unique. La directive (UE) 201 /879 du 20 mai 2019 dite « BRRD2 » est venue modifier la BRRD et a été transposée par Ordonnance 2020-1636 du 21 décembre 2020. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d'assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l'économie, de protéger les déposants, et d'éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d'un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Pour les groupes bancaires coopératifs, c'est la stratégie de résolution de « point d'entrée unique élargi » (« extended SPE ») qui est privilégiée par les autorités de résolution, par laquelle l'outil de résolution serait appliqué simultanément au niveau de Crédit Agricole S.A. et des entités affiliées. A ce titre et dans l'hypothèse d'une mise en résolution du groupe Crédit Agricole, c'est le périmètre composé de Crédit Agricole S.A. (en sa qualité d'organe central) et des entités affiliées qui serait considéré dans son ensemble comme le point d'entrée unique élargi. Compte tenu de ce qui précède et des mécanismes de solidarité existant au sein du réseau, un membre du réseau Crédit Agricole ne peut pas être mis en résolution de manière individuelle. Les autorités de résolution peuvent ouvrir une procédure de résolution à l'encontre d'un établissement de crédit lorsqu'elle considère que : la défaillance de l'établissement est avérée ou prévisible, il n'existe aucune perspective raisonnable qu'une autre mesure de nature privée empêche la défaillance dans des délais raisonnables, une mesure de résolution est nécessaire et une procédure de liquidation serait insuffisante pour atteindre les objectifs recherchés de la résolution ci-dessus rappelés. Les autorités de résolution peuvent utiliser un ou plusieurs instruments de résolution, tels que décrits ci-dessous avec pour objectif de recapitaliser ou restaurer la viabilité de l'établissement. Les instruments de résolution devraient être mis en œuvre de telle manière à ce que les porteurs de titres de capital (actions, parts sociales, CCI, CCA) supportent en premier les pertes, puis les autres créanciers sous réserve qu'ils ne soient pas exclus du renflouement interne par la réglementation ou sur décision des autorités de résolution. La loi française prévoit également une mesure de protection lorsque certains instruments ou mesures de résolution sont mis en œuvre, tel le principe selon lequel les porteurs de titres de capital et les créanciers d'un établissement en résolution ne peuvent pas supporter des pertes plus lourdes que celles qu'ils auraient subies si l'établissement avait été liquidé dans le cadre d'une procédure de liquidation judiciaire régie par le code de commerce (principe NCWOL visé à l'article L. 613-57.I du CMF). Ainsi, les investisseurs ont le droit de réclamer des indemnités si le traitement qu'ils subissent en résolution est moins favorable que le traitement qu'ils auraient subi si l'établissement avait fait l'objet d'une procédure normale d'insolvabilité. Dans l'hypothèse où les autorités de résolution décideraient d'une mise en résolution sur le groupe Crédit Agricole, elles procèderaient au préalable à la réduction de la valeur nominale des instruments de Fonds propres du compartiment CET1 (actions, parts sociales, CCI et CCA), instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2, afin d'absorber les pertes puis éventuellement à la conversion en titres de capital des instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2 [ ] . Ensuite, si les autorités de résolution décidaient d'utiliser l'outil de résolution qu'est le renflouement interne, elles pourraient mettre en œuvre cet outil de renflouement interne sur les instruments de dette [ ] , c'est-à-dire décider de leur dépréciation totale ou partielle ou de leur conversion en capital afin également d'absorber les pertes. Les autorités de résolution pourraient décider de mettre en œuvre de façon coordonnée, à l'égard de l'organe central et de l'ensemble des entités affiliées, des mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant de renflouement interne. Dans ce cas, ces mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant ces mesures de renflouement interne s'appliqueraient à toutes les entités du réseau du Crédit Agricole et ce, quelle que soit l'entité considérée et quelle que soit l'origine des pertes. La hiérarchie des créanciers en résolution est définie par les dispositions de l'article L 613-55-5 du CMF en vigueur à la date de mise en œuvre de la résolution. Les détenteurs de titres de capital et les créanciers de même rang ou jouissant de droits identiques en liquidation seraient alors traités de manière égale quelle que soit l'entité du Groupe dont ils sont créanciers. L'étendue de ce renflouement interne, qui vise aussi à recapitaliser le groupe Crédit Agricole, s'appuie sur les besoins de fonds propres au niveau consolidé. L'investisseur doit donc être conscient qu'il existe donc un risque significatif pour les porteurs d'actions, de parts sociales, CCI et CCA et les titulaires d'instruments de dette d'un membre du réseau de perdre tout ou partie de leur investissement en cas de mise en œuvre d'une procédure de résolution bancaire sur le Groupe quelle que soit l'entité dont il est créancier. Les autres outils de résolution bancaire dont disposent les autorités de résolution sont pour l'essentiel la cession totale ou partielle des activités de l'établissement à un tiers ou à un établissement relais et la séparation des actifs de cet établissement. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du CMF, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l'article R 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu'en pratique, ce mécanisme devrait s'exercer préalablement à toute mesure de résolution. L'application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n'aurait pas permis de remédier à la défaillance d'une ou plusieurs entités du réseau, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l'ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) . — Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 complété par un premier avenant en 2013 et amendé par deux avenants en 2016, s'inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A, en qualité d'organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les derniers amendements de ces garanties ont pris effet rétroactivement le 1er juillet 2016, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée totale ou partielle ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat. Une première résiliation partielle correspondant à 35% du dispositif des garanties Switch a eu lieu le 2 mars 2020, une deuxième correspondant à 15% du dispositif a eu lieu le 1er mars 2021 et une dernière correspondant à la partie résiduelle de 50% du dispositif a eu lieu le 16 novembre 2021. 1.3. Evénements significatifs relatifs à l'exercice 2021 . Crise sanitaire liée à la COVID-19 . — Dans le contexte de la crise sanitaire liée à la COVID-19, le groupe Crédit Agricole s'est mobilisé pour faire face à cette situation inédite. Afin d'accompagner ses clients dont l'activité serait impactée par la crise sanitaire, le Groupe a participé activement aux mesures de soutien à l'économie. — Prêts Garantis par l'Etat (PGE)  : Dans le cadre de la crise sanitaire liée à la COVID-19, le groupe Crédit Agricole a proposé à compter du 25 mars 2020 à tous ses clients entrepreneurs, quelle que soit leur taille et leur statut (exploitants agricoles, professionnels, commerçants, artisans, entreprises, …), en complément des mesures déjà annoncées (report d'échéances, procédures accélérées d'examen des dossiers, etc.), de recourir au dispositif massif et inédit de Prêts Garantis par l'Etat. Au 31 décembre 2021, le solde des encours de prêts garantis par l'Etat octroyés à la clientèle par Crédit Agricole Sud Méditerranée s'élève à 222 313 milliers d'euros. — Risque de crédit  : Le calcul du montant des pertes attendues doit s'effectuer en prenant en considération les circonstances spécifiques et les mesures de soutien mises en œuvre par les pouvoirs publics. Dans le contexte de crise sanitaire liée à la COVID-19, le Groupe a aussi revu ses prévisions macro-économiques prospectives ( forward looking ) pour la détermination de l'estimation du risque de crédit. Garantie spécifique apportée par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) . — Crédit Agricole S.A a démantelé le 1er mars 2021 et le 16 novembre 2021 respectivement 15% complémentaires et la totalité de la part résiduelle de 50% du mécanisme de garantie « Switch » mis en place entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. Le mécanisme de garantie « Switch » correspond à un transfert vers les Caisses régionales d'une partie des exigences prudentielles s'appliquant à Crédit Agricole S.A. au titre de ses activités d'assurances contre une rémunération fixe des Caisses régionales. Litige image chèque . — LCL et Crédit Agricole S.A., ainsi que 10 autres banques, ont reçu en mars 2008 une notification de griefs du Conseil de la concurrence (devenu l’Autorité de la concurrence). Il leur est reproché d’avoir, de façon concertée, mis en place et appliqué des commissions interbancaires dans le cadre de l’encaissement des chèques, depuis le passage à l’échange image chèques, soit depuis 2002 jusqu’en 2007. Selon l’Autorité de la concurrence, ces commissions seraient constitutives d’ententes anticoncurrentielles sur les prix au sens des articles 81, paragraphe 1, du traité instituant la Communauté européenne et de l’article L. 420-1 du Code de commerce, et auraient causé un dommage à l’économie. En défense, les banques ont réfuté catégoriquement le caractère anticoncurrentiel des commissions et contesté la régularité de la procédure suivie. Par décision du 20 septembre 2010, l’Autorité de la concurrence a jugé que la Commission d’Échange Image Chèques (CEIC) était anticoncurrentielle par son objet et qu’elle a eu pour conséquence d’augmenter artificiellement les coûts supportés par les banques remettantes, ce qui a eu un impact défavorable sur le prix des services bancaires. Pour ce qui concerne l’une des commissions pour services connexes dite AOCT (Annulation d’Opérations Compensées à Tort), l’Autorité de la concurrence a enjoint les banques de procéder à la révision de leur montant dans les six mois de la notification de la décision. Les banques mises en cause ont été sanctionnées pour un montant global de 384,92 millions d’euros. LCL et le Crédit Agricole ont été condamnés à payer respectivement 20,7 millions d’euros et 82,1 millions d’euros pour la CEIC et 0,2 million d’euros et 0,8 million d’euros pour l’AOCT. L’ensemble des banques a fait appel de la décision devant la Cour d’appel de Paris. Cette dernière a, par un arrêt du 23 février 2012, annulé la décision estimant que l’Autorité de la concurrence n’avait pas démontré l’existence de restrictions de concurrence constitutives d’une entente par objet. L’Autorité de la concurrence s’est pourvue en cassation le 23 mars 2012.La Cour de cassation a cassé, le 14 avril 2015, la décision de la Cour d’appel de Paris du 23 février 2012 et renvoyé l’affaire devant cette même Cour, autrement composée, au seul motif que les interventions volontaires des associations UFC – Que Choisir et l’ADUMPE devant la Cour d’appel ont été déclarées sans objet, sans que les moyens de ces parties ne soient examinés par la Cour. La Cour de cassation n’a pas tranché l’affaire sur le fond et le Crédit Agricole a saisi la juridiction de renvoi. La Cour d’Appel de Paris a rendu sa décision le 21 décembre 2017. Elle a confirmé la décision de l’Autorité de la concurrence du 20 septembre 2010 tout en réduisant de 82 940 000 euros à 76 560 000 euros les sanctions pécuniaires infligées au Crédit Agricole. La sanction pour LCL est demeurée inchangée à 20 930 000 euros. Comme les autres banques parties à cette procédure, LCL et le Crédit Agricole se sont pourvus en cassation. Par une décision du 29 janvier 2020, la Cour de cassation a cassé l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 21 décembre 2017 au motif que la Cour d’appel n’avait pas caractérisé l’existence de restrictions de concurrence par objet et renvoyé l’affaire devant la Cour d’appel de Paris autrement composée. La Cour d’appel de Paris a rendu un arrêt le 2 décembre 2021 reformant la quasi-intégralité de la décision de l’Autorité de la Concurrence de 2010, condamnant cette dernière aux dépens et ouvrant droit au remboursement des sommes versées par les banques en application de la décision reformée assorties des intérêts au taux légal à compter du 2 décembre 2021. Le 31 décembre 2021, l’Autorité de la concurrence s’est pourvue en cassation contre l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 2 décembre 2021. Du fait du caractère exécutoire de l’arrêt de la Cour d’appel de Paris, un produit de 442 milliers d’euros a été constaté. Néanmoins, compte tenu du pourvoi formé en cassation, une provision de celui-ci a été constatée dans les comptes de la Caisse Régional du Crédit Agricole Sud Méditerranée au 31 décembre 2021. Netting swap . — Suite au changement de modèle d’écoulement des DAV (rallongement du profil d’écoulement de la part stable des DAV d’un profil linéaire 15 ans à un profil 17 ans linéaire), la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a effectué un netting de 4 swaps de macrocouverture emprunteur à hauteur de 70M€ avec soulte à payer de 6,5M€. La soulte a été comptabilisée flat en Norme Française et étalée en Norme Internationale (sur la durée de vie des swaps résiliés). Soulte d’avance globales . — Dans le cadre de la campagne de résiliation ouverte par CASA, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a remboursé par anticipation des Avances Globales Groupe 1 pour 12,3 M€ (dont 8,1 M€ sur le T4 2021), générant le paiement d’une soulte de -3,9 M€ (dont 2,3 M€ sur le T4 2021) comptabilisée flat dans les deux référentiels comptables. 1.4. Evénements postérieurs à l'exercice 2021 . — Néant . Note 2. – Principes et méthodes comptables. Les états financiers de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole. Compte tenu de l'intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés. La présentation des états financiers de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement ANC 2014-07 qui regroupe dans un règlement unique l'ensemble des normes comptables applicables aux établissements de crédit. Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l'exercice précédent concernent les points suivants  : Règlements / recommandations Date de 1ère application : opérations ou exercices ouverts à compter du Règlement n°2020-11 modifiant le règlement ANC N° 2015-11 du 26 novembre 2015 relatif aux comptes annuels des entreprises d’assurance concernant le traitement comptable de la contribution instaurée par les articles 3 et 13 de la LFSS 2021 et les taux d’actualisation des rentes pour les opérations non vie 1er janvier 2020 (article 3) 1er janvier 2021 (article 1 et 2) Mise à jour Recommandation n° 2013-02 du 7 novembre 2013 relative aux règles d'évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires pour les comptes annuels et les comptes consolidés établis selon les normes comptables françaises Immédiate 2.1. Créances et engagements par signature . — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement ANC 2014-07. Elles sont ventilées selon leur durée résiduelle ou la nature des concours : Les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ; Les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ; Les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle. Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière. Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle). Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale. En application du règlement ANC 2014-07, les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l'encours de crédit concerné. Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds. L'application du règlement ANC 2014-07 conduit l'entité à comptabiliser les créances présentant un risque de crédit conformément aux règles définies dans les paragraphes suivants. L'utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d'apprécier le niveau d'un risque de crédit. Les créances et les engagements par signature sont répartis entre les encours réputés sains et les encours jugés douteux. Créances saines . — Tant que les créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles sont qualifiées de saines ou dégradées et elles demeurent dans leur poste d'origine. — Provisions au titre du risque de crédit sur les encours sains et dégradés  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée constate au titre des expositions de crédits des provisions au passif de son bilan pour couvrir les risques de crédit attendus sur les douze mois à venir (expositions qualifiées de saines) et / ou sur la durée de vie de l'encours dès lors que la qualité de crédit de l'exposition s'est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions sont déterminées dans le cadre d'un processus de suivi particulier et reposent sur des estimations traduisant le niveau de perte de crédit attendue. — La notion de perte de crédit attendue "ECL"  : L'ECL se définit comme la valeur probable attendue pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L'approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. — Gouvernance et mesure des ECL  : La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres de provisionnement s'appuie sur l'organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe Crédit Agricole est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le groupe Crédit Agricole s'appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres nécessaires au calcul des ECL. L'appréciation de l'évolution du risque de crédit s'appuie sur un modèle d'anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, sont retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d'exposition au moment du défaut. Ces calculs s'appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu'ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. L'approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut ("Loss Given Default" ou "LGD"). Les modalités de calcul de l'ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : prêts et créances sur la clientèle et engagements par signature. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie, et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d'une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l'exposition est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu'il y ait défaillance dans les douze mois. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l'encours. Les paramètres de provisionnement sont mesurés et mis à jour selon les méthodologies définies par le groupe Crédit Agricole et permettent ainsi d'établir un premier niveau de référence, ou socle partagé, de provisionnement. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives (Forward Looking) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : Au niveau du groupe Crédit Agricole dans la détermination d'un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l'horizon d'amortissement des opérations ; Au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée applique des paramètres complémentaires pour le Forward Looking sur des portefeuilles de prêts et créances sur la clientèle et d'engagement de financement sains et dégradés pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l'exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe. — Dégradation significative du risque de crédit  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée doit apprécier, pour chaque encours, la dégradation du risque de crédit depuis l'origine à chaque date d'arrêté. Cette appréciation de l'évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque (expositions qualifiées de saines / expositions qualifiées de dégradées / expositions douteuses). Afin d'apprécier la dégradation significative, le groupe Crédit Agricole prévoit un processus basé sur deux niveaux d'analyse : un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s'imposent aux entités du Groupe ; un second niveau propre à chaque entité lié à l'appréciation, à dire d'expert au titre des paramètres complémentaires pour le Forward Looking pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l'exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement d'encours sains à encours dégradés (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque encours. Aucune contagion n'est requise pour le passage de sain à dégradé des encours d'une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l'évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d'une garantie de l'actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l'étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L'origine s'entend comme la date de négociation, lorsque l'entité devient partie aux dispositions contractuelles du crédit. Pour les engagements de financement et de garantie, l'origine s'entend comme la date d'engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d'impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en encours dégradé. Pour les encours évalués à partir d'un dispositif de notations internes (en particulier les expositions suivies en méthodes avancées), le groupe Crédit Agricole considère que l'ensemble des informations intégrées dans ce dispositif permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d'impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l'origine cesse d'être constatée, la provision peut être ramenée à des pertes attendues à 12 mois (reclassement en encours sains). Lorsque certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne sont pas identifiables au niveau d'un encours pris isolément, une appréciation est faite de la dégradation significative pour des portefeuilles, des ensembles de portefeuilles ou des portions de portefeuille d'encours. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : Le type d'encours ; La note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d'un système de notation interne) ; Le type de garantie La date de comptabilisation initiale ; La durée à courir jusqu'à l'échéance ; Le secteur d'activité ; L'emplacement géographique de l'emprunteur ; La valeur du bien affecté en garantie par rapport à l'actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; Le circuit de distribution, l'objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d'encours aux fins de l'appréciation des variations du risque de crédit sur base collective peut changer au fil du temps, au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles. Les dotations et reprises des provisions au titre du risque du crédit sur les encours sains et dégradés sont inscrites en coût du risque. — Créances douteuses  : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l'une des situations suivantes : un arriéré de paiement significatif généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l'arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; l'entité estime improbable que le débiteur s'acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu'elle ait recours à d'éventuelles mesures telles que la réalisation d'une sûreté. Un encours est dit douteux lorsque se sont produits un ou plusieurs évènements qui ont un effet néfaste sur ses flux de trésorerie futurs estimés. Les évènements qui suivent sont des données observables, indicatives d'un encours douteux : des difficultés financières importantes de l'émetteur ou de l'emprunteur ; un manquement à un contrat, tel qu'une défaillance ou un paiement en souffrance ; l'octroi, par le ou les prêteurs à l'emprunteur, pour des raisons économiques ou contractuelles liées aux difficultés financières de l'emprunteur, d'une ou de plusieurs faveurs que le ou les prêteurs n'auraient pas envisagées dans d'autres circonstances ; la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière de l'emprunteur ; la disparition d'un marché actif pour l'actif financier en raison de difficultés financières ; l'achat ou la création d'un actif financier avec une forte décote, qui reflète les pertes de crédit subies. Il n'est pas nécessairement possible d'isoler un évènement en particulier, le caractère douteux d'un encours peut résulter de l'effet combiné de plusieurs évènements. Une contrepartie en défaut ne revient en situation saine qu'après une période d'observation qui permet de valider que le débiteur n'est plus en situation douteuse (appréciation par la Direction des Risques). Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis. — Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises. — Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé. Pour les créances douteuses, l'enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise. Le classement en encours douteux peut être abandonné et l'encours est porté à nouveau en encours sain. — Dépréciations au titre du risque de crédit sur les encours douteux  : Dès lors qu'un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l'actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d'intérêt effectif, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. — Traitement comptable des dépréciations  : Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque. Conformément au règlement ANC 2014-07 le Groupe a fait le choix d'enregistrer en coût du risque l'augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de la dépréciation du fait du passage du temps. Passage en perte . — L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d'experts, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu'elle a de son activité. Les créances devenues irrécouvrables sont inscrites en pertes et les dépréciations correspondantes font l'objet d'une reprise. Risques-pays . — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays. Créances restructurées . — Les créances restructurées pour difficultés financières sont des créances pour lesquelles l'entité a modifié les conditions contractuelles initiales (taux d'intérêt, maturité etc.) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l'emprunteur, selon des modalités qui n'auraient pas été envisagées dans d'autres circonstances. La définition des créances restructurées pour cause de difficultés financières répond donc à deux critères cumulatifs : Des modifications de contrat ou des refinancements de créance (concessions) ; Un client en situation financière difficile (débiteur rencontrant, ou sur le point de rencontrer des difficultés pour honorer ses engagements financiers). Cette notion de restructuration doit s'apprécier au niveau du contrat et non au niveau du client (pas de contagion). Elles concernent les créances classées en douteuses et les créances saines, au moment de la restructuration. Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d'insolvabilité. La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l'enregistrement d'une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d'origine. Elle est égale à l'écart constaté entre La valeur nominale du prêt ; Et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d'intérêt effectif d'origine (défini à la date de l'engagement de financement). La décote constatée lors d'une restructuration de créance est dotée en coût du risque Les crédits restructurés du fait de la situation financière du débiteur font l'objet d'une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Dès lors que l'opération de restructuration a été réalisée, l'exposition conserve ce statut de « restructurée » pendant une période d'observation à minima de 2 ans si l'exposition était saine au moment de la restructuration, ou de 3 ans si l'exposition était en défaut au moment de la restructuration. Ces périodes sont prolongées en cas de survenance de certains évènements (nouveaux incidents par exemple). 2.2. Portefeuille Titres . — Les règles relatives à la comptabilisation du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe sont définies par les articles 2311-1 à 2391-1 ainsi que par les articles 2211-1 à 2251-13 du règlement ANC 2014-07. Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable. Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, investissement, placement, activité de portefeuille, valeurs immobilisées, autres titres détenus à long terme, participation, parts dans les entreprises liées) en fonction de l'intention de gestion de l'entité et des caractéristiques de l'instrument au moment de la souscription du produit. Titres de placement . — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres. Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus. — Obligations et autres titres à revenu fixe  : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, coupon couru à l'achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre. Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ». — Actions et autres titres à revenu variable  : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ». Les revenus des Organismes de Placements Collectifs sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique. A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d'acquisition et la valeur de marché. Ainsi, lorsque la valeur d'inventaire d'une ligne ou d'un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens du règlement ANC 2014-07, prenant la forme d'achats ou de ventes d'instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées. En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres : S'il s'agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d'informations particulières sur la situation financière de l'émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ; S'il s'agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (Cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré). Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne. Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat. Titres d'investissement . — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d'une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu'à leur échéance et n'est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu'à leur échéance. Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d'acquisition et coupons inclus. La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre. Il n'est pas constitué de dépréciation des titres d'investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l'émetteur du titre, une dépréciation est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ». En cas de cession de titres d'investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l'établissement n'est plus autorisé, pendant l'exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d'investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément au règlement ANC 2014-07. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme  : Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable. Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu'elle permet d'exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d'en assurer le contrôle. Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l'intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l'entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus. Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition frais inclus. A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d'utilité. Celle-ci représente ce que l'établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention. L'estimation de la valeur d'utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l'entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre. Lorsque la valeur d'utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l'objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes. Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ». Prix de marché . — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante : Les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent, Si le marché sur lequel le titre est négocié n'est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n'est pas coté, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu'il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel. Dates d'enregistrement . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d'investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation. Pensions livrées . — Les titres donnés en pension livrée sont maintenus au bilan et le montant encaissé, représentatif de la dette à l'égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan. Les titres reçus en pension livrée ne sont pas inscrits au bilan mais le montant décaissé, représentatif de la créance sur le cédant, est enregistré à l'actif du bilan. Les titres donnés en pension livrée font l'objet des traitements comptables correspondant à la catégorie de portefeuille dont ils sont issus. Reclassement de titres . — Conformément au règlement ANC 2014-07, il est autorisé d'opérer les reclassements de titres suivants : Du portefeuille de transaction vers le portefeuille d'investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l'établissement a l'intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu'à l'échéance, Du portefeuille de placement vers le portefeuille d'investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas opéré, en 2021, de reclassement au titre du règlement ANC 2014-07. 2.3. Immobilisations . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 par rapport à l'amortissement et à la dépréciation des actifs. Il applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l'ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte, la base amortissable tient compte de l'éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Le coût d'acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d'achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l'acquisition pour la mise en état d'utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ». Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition. Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'achèvement. A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation. Le mali technique de fusion est comptabilisé au bilan selon les rubriques d'actifs auxquelles il est affecté, en « Autres immobilisations corporelles, incorporelles, financières… ». Le mali est amorti, déprécié, sorti du bilan selon les mêmes modalités que l'actif sous-jacent. Les immobilisations sont amorties en fonction de leur durée estimée d'utilisation. Les composants et durées d'amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, à la suite de l'application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d'amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d'amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 25 ans Second œuvre 8 à 20 ans Installations techniques 5 à 15 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans (linéaire) Matériel spécialisé 4 à 5 ans (linéaire) Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante. 2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle . — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée résiduelle ou la nature de ces dettes : dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit, comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole, comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière). Les comptes d'épargne à régime spécial sont présentés après compensation avec la créance sur le fonds d'épargne (au titre de l'épargne réglementée et centralisée par la Caisse des dépôts et consignations). Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie. Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. 2.5. Dettes représentées par un titre . — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire, titres de créances négociables, emprunts obligataires et autres titres de dettes, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ». Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ». Les primes de remboursement et les primes d'émission des dettes représentées par des titres sont amorties selon la méthode de l'amortissement actuariel. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée applique également la méthode d'étalement des frais d'emprunts dans ses comptes individuels. Les commissions de services financiers versées aux Caisses régionales sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ». 2.6. Provisions . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 pour la comptabilisation et l'évaluation des provisions. Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers. Les provisions incluent également les risques-pays. L'ensemble de ces risques fait l'objet d'un examen trimestriel. Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d'opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement. La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d'une part, à l'obligation de rémunérer l'épargne dans le futur à un taux fixé à l'ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d'autre part, à l'octroi d'un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d'épargne-logement à un taux déterminé fixé à l'ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l'ensemble des comptes d'épargne-logement, sachant qu'il n'y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : le comportement des souscripteurs, ainsi que l'estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d'observations historiques de longue période. la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07. Provision pour risques sur GIE d'investissement . — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net. 2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.) . — Les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire. Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a constitué une provision dont le stock s'élève à 50,1 millions d'euros au 31/12/2021. 2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels . — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions du règlement ANC 2014-07. Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours. Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie : — Opérations de couverture  : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable. Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont inscrits prorata temporis dans la rubrique « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés. — Opérations de marché  : Les opérations de marché regroupent : Les positions ouvertes isolées (catégorie « a » de l'article 2522-1 du règlement ANC 2014-07), La gestion spécialisée d'un portefeuille de transaction (catégorie « d » de l'article 2522 du règlement ANC 2014-07). Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture. Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s'il existe un marché actif, ou à l'aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l'absence de marché actif. Pour les instruments : En position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé ; En position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, les charges et produits sont inscrits en résultat prorata temporis. De plus, seules les pertes latentes éventuelles sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement ; Faisant partie d'un portefeuille de transaction, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé. — Risque de contrepartie sur les dérivés  : Conformément au règlement ANC 2014-07, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée intègre l'évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories a et d de l'article 2522-1. du règlement précité) font l'objet d'un calcul de risque de contrepartie sur les dérivés actifs. (CVA - Credit Valuation Adjustment ). Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée. Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l'utilisation de données d'entrée observables. Elle repose : Prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels ; En l'absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d'une approximation fondée sur la base d'un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. — Opérations complexes  : Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d'instruments (de types, natures et modes d'évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d'une réglementation explicite et qui implique, de la part de l'établissement, un choix de principe. 2.9. Opérations en devises . — A chaque arrêté, les créances et les dettes ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors-bilan libellés en devises sont convertis au cours de change en vigueur à la date d'arrêté. Les produits perçus et les charges payées sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture. 2.10. Intégration des succursales à l'étranger . — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées. Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques. Les règles de conversion en euros sont les suivantes : Les postes de bilan sont convertis au cours de clôture, Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture. Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ». 2.11. Engagements hors-bilan . — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus. Le cas échéant, les engagements donnés font l'objet d'une provision lorsqu'il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée. Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie. 2.12. Participation des salariés aux fruits de l'expansion et intéressement . — La participation des salariés aux fruits de l'expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né. L'intéressement est couvert par l'accord du 4 juin 2020. La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ». 2.13. Avantages au personnel postérieurs à l'emploi  : — Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d'indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a appliqué la recommandation 2013-02 de l'Autorité des normes comptables relative aux règles de comptabilisation et d'évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans le règlement ANC 2014-03. Cette recommandation a été modifiée par l'ANC le 5 novembre 2021. Elle permet, pour les régimes à prestations définies conditionnant l'octroi d'une prestation à la fois en fonction de l'ancienneté, pour un montant maximal plafonné et au fait qu'un membre du personnel soit employé par l'entité lorsqu'il atteint l'âge de la retraite, de déterminer la répartition des droits à prestation de manière linéaire à partir de : soit la date de prise de service du membre du personnel soit la date à partir de laquelle chaque année de service est retenue pour l'acquisition des droits à prestation. En application de ce règlement, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Ces engagements sont évalués en fonction d'un ensemble d'hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. A compter de l’exercice 2021, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée applique la détermination de la répartition des droits à prestation de manière linéaire à partir de la date à laquelle chaque année de service est retenue pour l’acquisition des droits à prestation (i.e. convergence avec la décision IFRS IC d’avril 2021 portant sur IAS 19). Les impacts sur le niveau de la dette actuarielle s’élèvent à 204 milliers d’euros (comme présenté en Note 16 des états financiers). L’impact de première application est comptabilisé en contrepartie du Report à Nouveau (Cf. Note 19 portant sur les capitaux propres) : il s’élève à 204 milliers d’euros en contrepartie de 23 milliers d’euros en termes de provisions pour engagements de retraite (Cf. Note 14 Provisions) et de 181 milliers d’euros au titre des excédent d’actif de régime (Cf. Note 8 Comptes de régularisation et actifs divers). » La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a opté pour la méthode 2 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatés au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation. Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l'exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime (méthode du corridor), par conséquent le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l'obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement, majorée des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler, diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d'assurance éligible. Dans le cas où l'obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l'obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). — Plans de retraite – régimes à cotisations définies  : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n'ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n'ont pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l'exercice écoulé. Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « Frais de personnel ». 2.14. Souscription d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise . — Les souscriptions d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 30 %, ne comportent pas de période d'acquisition des droits mais sont grevées d'une période d'incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d'actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital. 2.15. Charges et produits exceptionnels . — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée. 2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale) . — D'une façon générale, seul l'impôt exigible est constaté dans les comptes individuels. La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %. Les revenus de créances et de portefeuilles titres sont comptabilisés nets de crédits d'impôts. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d'intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée constate dans ses comptes la dette d'impôt dont elle est redevable au titre de cette convention fiscale. Note 3. – Créances sur les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Établissements de crédit  : Comptes et prêts : A vue 10 059 10 059 10 059 8 794 A terme (1) 21 149 21 149 28 21 177 21 997 Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 157 157 157 157 Total 10 059 21 306 31 365 28 31 393 30 948 Dépréciations Valeur nette au bilan 31 393 30 948 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 821 202 821 202 821 202 444 666 Comptes et avances à terme 215 91 684 151 848 13 795 257 542 9 672 267 214 186 749 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Total 821 417 91 684 151 848 13 795 1 078 744 9 672 1 088 416 631 415 Dépréciations Valeur nette au bilan 1 088 416 631 415 Total 1 119 809 662 363 Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 157 milliers d'euros. Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n'est éligible au refinancement de la banque centrale. Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse Régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes. Note 4. – Op é rations avec la clientèle. Au 31 décembre 2021, dans le cadre des mesures de soutien à l'économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19, le montant des encours de prêts garantis par l'Etat (PGE) accordés par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée s'élève à 222 313 milliers d'euros. 4.1. Opérations avec la clientèle - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Créances commerciales 1 879 326 675 1 526 4 406 4 406 4 318 Autres concours à la clientèle 284 127 519 012 1 920 108 3 184 188 5 907 435 25 071 5 932 506 5 732 835 Valeurs reçues en pension livrée Comptes ordinaires débiteurs 20 820 20 820 76 20 896 20 380 Dépréciations -120 842 -121 292 Valeur nette au bilan 5 836 966 5 636 241 Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis à la clientèle s'élèvent à 159 milliers d'euros. Parmi les créances sur la clientèle 2 204 081 milliers d'euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2021 contre 2 061 546 milliers d'euros au 31 décembre 2020. Le montant des créances restructurées pour difficultés financières inscrites en encours douteux au moment de la restructuration s'élève à 27 958 milliers au 31 décembre 2021 d'euros contre 34 013 milliers d'euros au 31 décembre 2020. Elles conservent la qualification de « créances restructurées » jusqu'à la fin de leur vie. 4.2. Opérations avec la clientèle - Analyse par zone géographique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 France (y compris DOM-TOM) 5 714 348 5 492 998 Autres pays de l' U .E. 212 720 234 984 Autres pays d'Europe (1) 3 421 2 235 Amérique du Nord 1 470 1 715 Amérique Centrale et du Sud 1 Afrique et Moyen-Orient 686 599 Asie et Océanie (hors Japon) 16 81 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 5 932 661 5 732 613 Créances rattachées 25 147 24 920 Dépréciations -120 842 -121 292 Valeur nette au bilan 5 836 966 636 241 (1) Dont opérations réalisées en Grande Bretagne et/ou en Livre Sterling –GBP 4.3. Opérations avec la clientèle - Encours douteux et dépréciations par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis France (y compris DOM-TOM) 5 734 209 106 963 68 487 -69 819 -52 544 5 512 558 106 302 69 253 -67 047 -52 711 Autres pays de l'U.E. 217 986 78 361 74 500 -51 011 -50 556 240 340 88 796 76 795 -54 235 -52 489 Autres pays d'Europe (1) 3 439 14 6 -7 2 238 17 -6 Amérique du Nord 1 471 1 716 Amérique Centrale et du Sud 1 Afrique et Moyen-Orient 687 5 5 -5 599 4 4 -4 -4 Asie et Océanie (hors Japon) 16 81 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total 5 957 808 185 341 142 998 -120 842 -103 100 5 757 533 195 119 146 052 -121 292 -105 204 (1) Dont opérations réalisées en Grande Bretagne et/ou en Livre Sterling –GBP 4.4. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Particuliers 2 919 915 91 294 73 618 -53 443 -48 365 2 829 115 97 811 76 544 -55 813 -50 603 Agriculteurs 424 917 17 245 10 957 -10 864 -8 721 415 107 13 665 9 485 -9 816 -7 757 Autres professionnels 933 693 39 450 31 463 -26 373 -23 103 896 863 38 637 32 039 -24 654 -22 659 Clientèle financière 157 939 1 383 1 159 -1 017 -792 133 787 1 384 1 383 -1 011 -1 011 Entreprises 948 443 30 430 20 268 -23 611 -16 587 904 121 29 076 20 960 -22 446 -17 533 Collectivités publiques 548 566 5 527 5 527 -5 527 -5 527 547 662 14 538 5 634 -7 544 -5 634 Autres agents économiques 24 335 12 6 -7 -5 30 878 8 7 -8 -7 Total 5 957 808 185 341 142 998 -120 842 -103 100 5 757 533 195 119 146 052 -121 292 -105 204 Note 5. – Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l' activité de portefeuille. (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Transaction Placement Titres de l'activité de portefeuille Investissement Total Total Effets publics et valeurs assimilées : 97 553 97 553 104 386 Dont surcote restant à amortir 1 371 1 371 1 358 Dont décote restant à amortir -38 -38 -37 Créances rattachées 1 277 1 277 1 304 Dépréciations Valeur nette au bilan 98 830 98 830 105 690 Obligations et autres titres à revenu fixe : Emis par organismes publics 15 420 15 420 10 411 Autres émetteurs 1 081 189 721 190 802 163 859 Dont surcote restant à amortir 224 224 267 Dont décote restant à amortir -29 -29 -18 Créances rattachées 3 1 141 1 144 1 078 Dépréciations -12 -2 176 -2 188 -2 196 Valeur nette au bilan 1 072 204 106 205 178 173 152 Actions et autres titres à revenu variable 59 427 59 427 135 182 Créances rattachées Dépréciations -161 -161 -161 Valeur nette au bilan 59 266 59 266 135 020 Total 60 338 302 936 363 274 413 862 Valeurs estimatives 61 038 315 907 376 945 435 373 Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 702 milliers d'euros au 31 décembre 2021, contre 819 milliers d'euros au 31 décembre 2020. La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse. La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à 15 605 milliers d'euros au 31 décembre 2021, contre 22 391 milliers d'euros au 31 décembre 2020. La valeur estimée des moins-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à -2 393 milliers d'euros au 31 décembre 2021, contre -1 508 milliers d'euros au 31 décembre 2020. 5.1. Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie . (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Administration et banques centrales (y compris Etats) 15 420 10 411 Etablissements de crédit 35 980 51 074 Clientèle financière 169 727 245 483 Collectivités locales Entreprises, assurances et autres clientèles 44 522 2 484 Divers et non ventilés Total en principal 265 649 309 452 Créances rattachées 1 144 1 078 Dépréciations -2 349 -2 357 Valeur nette au bilan 264 444 308 173 5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Titres à revenu fixe ou variable 206 222 97 553 59 427 363 202 174 270 104 386 135 182 413 838 Dont titres cotés 94 195 97 553 191 748 62 276 104 386 166 662 Dont titres non cotés (1) 112 027 59 427 171 454 111 994 135 182 247 176 Créances rattachées 1 144 1 277 2 421 1 078 1 304 2 382 Dépréciations -2 188 -161 -2 349 -2 196 -161 -2 357 Valeur nette au bilan 205 178 98 830 59 266 363 274 173 152 105 690 135 021 413 863 (1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante : OPCVM français 59 266 milliers d'euros Dont OPCVM français de capitalisation 59 266 milliers d'euros Les OPCVM figurent à l'actif du bilan pour 59 266 milliers d'euros. Leur valeur estimative au 31 décembre 2021 s'élève à 59 5968 milliers d'euros. La répartition de l'ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2021 : (En milliers d' E uros) Valeur d'inventaire Valeur liquidative OPCVM monétaires OPCVM obligataires 58 766 59 468 OPCVM actions 500 500 OPCVM autres Total 59 266 59 968 5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Obligations et autres titres à revenu fixe Valeur brute 1 356 4 995 22 496 177 375 206 222 1 144 207 366 175 348 Dépréciations -2 188 -2 196 Valeur nette au bilan 1 356 4 995 22 496 177 375 206 222 1 144 205 178 173 152 Effets publics et valeurs assimilées Valeur brute 9 055 29 333 59 165 97 553 1 277 98 830 105 690 Dépréciations Valeur nette au bilan 9 055 29 333 59 165 97 553 1 277 98 830 105 690 5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Encours bruts Dont Encours douteux Encours bruts Dont Encours douteux France (y compris DOM-TOM) 285 795 246 097 Autres pays de l' U .E. 16 624 31 190 Autres pays d'Europe Amérique du Nord 1 356 1 356 1 369 1 369 Amérique Centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total en principal 303 775 1 356 278 656 1 369 Créances rattachées 2 421 821 2 382 821 Dépréciations -2 188 -2 176 -2 196 -2 189 Valeur nette au bilan 304 008 1 278 842 1 Note 6. – Titres de participation et de filiales. Sauf mention spécifique, les données présentées sont des informations au 31 décembre 2021. Valeur estimative des titres de participation  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Parts dans les entreprises liées Titres non cotés 3 299 3 299 Titres cotés Avances consolidables 963 963 963 Créances rattachées Dépréciations -4 262 -3 299 Valeur nette au bilan 963 963 Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Titres non cotés 501 298 719 574 481 938 688 579 Titres cotés Avances consolidables 14 333 14 273 19 869 19 808 Créances rattachées 65 65 65 65 Dépréciations -7 868 -7 812 Sous-total titres de participation 507 828 733 912 494 060 708 452 Autres titres détenus à long terme Titres non cotés 5 376 5 376 3 853 3 798 Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations -46 -69 Sous-total autres titres détenus à long terme 5 330 5 376 3 784 3 798 Valeur nette au bilan 513 158 739 288 497 844 712 250 Total des titres de participation 513 158 739 288 498 807 713 213 (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Total valeurs brutes Titres non cotés 509 973 489 090 Titres cotés Total 509 973 489 090 Les valeurs estimatives sont déterminées d'après la valeur d'utilité des titres ; celle-ci n'est pas nécessairement la valeur de marché. Note 7. – Variation de l'actif immobilise. — Immobilisations financières  : (En milliers d' E uros) 01/01/2021 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements (1) 31/12/2021 Parts dans les entreprises liées Valeurs brutes 3 299 3 299 Avances consolidables 963 963 Créances rattachées Dépréciations -3 299 -963 -4 262 Valeur nette au bilan 963 -963 Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Valeurs brutes 481 938 19 679 -319 501 298 Avances consolidables 19 869 11 719 -17 255 14 333 Créances rattachées 65 65 Dépréciations -7 812 -177 121 -7 868 Sous-total titres de participation 494 060 31 221 -17 453 507 828 Autres titres détenus à long terme Valeurs brutes 3 853 1 529 -6 5 376 Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations -69 -42 65 -46 Sous-total autres titres détenus à long terme 3 784 1 487 59 5 330 Valeur nette au bilan 497 844 32 708 -17 394 513 158 Total 498 807 31 745 -17 394 513 158 (1) La rubrique "autres mouvements" présente notamment l'effet des variations de cours de change sur la valeur des actifs immobilisés en devises. — Immobilisations corporelles et incorporelles  : (En milliers d' E uros) 01/01/2021 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements (1) 31/12/2021 Immobilisations corporelles  : Valeurs brutes 139 198 4 299 -6 566 623 137 554 Amortissements et dépréciations -109 702 -5 658 4 850 -110 510 Mali technique de fusion sur immobilisations corporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 29 496 -1 359 -1 716 623 27 044 Immobilisations incorporelles  : Valeurs brutes 1 401 77 1 478 Amortissements et dépréciations -507 -64 -571 Mali technique de fusion sur immobilisations incorporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 894 13 907 Total 30 390 -1 346 -1 716 623 27 951 Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Autres actifs (1) Instruments conditionnels achetés Comptes de stock et emplois divers 9 902 11 101 Débiteurs divers (2) 112 821 164 815 Gestion collective des titres Livret de développement durable Comptes de règlement 17 14 Valeur nette au bilan 122 740 175 930 Comptes de régularisation Comptes d'encaissement et de transfert 7 292 8 604 Comptes d'ajustement et comptes d'écart 10 Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers 41 54 Charges constatées d'avance (3) 1 803 3 103 Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme 5 677 6 486 Autres produits à recevoir 20 913 21 698 Charges à répartir Autres comptes de régularisation 1 913 2 247 Valeur nette au bilan 37 649 42 192 Total 160 389 218 122 (1) Les montants incluent les créances rattachées. (2) dont 1 143 milliers d'euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d'un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. (3) La modification de la recommandation ANC 2013-02 portant sur le calcul des engagements de retraite et avantages similaires permet l’alignement du traitement comptable dans les comptes individuels sur celui appliqué dans les comptes consolidés consécutivement à la décision de l’IFRS IC du 21 avril 2021 portant sur le calcul des engagements relatifs à certains régimes à prestations définies. Ce choix d’alignement a été retenu par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée et a pour conséquence d’augmenter le niveau des comptes de régularisation et actifs divers de 109 milliers d’euros correspondant aux 181 milliers d’euros relatifs à l'excédent de régime diminués des 72 milliers d’euros relatifs à la charge de retraite. Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l'actif. (En milliers d' E uros) Solde au 01/01/2021 Dotations Reprises et utilisations Désactualisation Autres mouvements Solde au 31/12/2021 Sur opérations interbancaires et assimilées Sur créances clientèle 121 292 19 801 -19 640 -611 120 842 Sur opérations sur titres 2 357 25 -33 2 349 Sur valeurs immobilisées 13 384 3 142 -616 15 910 Sur autres actifs 16 495 2 240 -4 036 14 699 Total 153 528 25 208 -24 325 -611 153 800 Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Établissements de crédit  : Comptes et emprunts : A vue 193 193 2 195 167 A terme 10 947 3 500 22 464 36 911 116 37 027 22 390 Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 193 10 947 3 500 22 464 37 104 118 37 222 22 557 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 2 781 2 781 2 781 3 100 Comptes et avances à terme 514 911 855 389 1 760 642 683 198 3 814 140 953 3 815 093 3 525 894 Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 517 692 855 389 1 760 642 683 198 3 816 921 953 3 817 874 3 528 994 Total 517 885 866 336 1 764 142 705 662 3 854 025 1 071 3 855 096 3 551 551 Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse Régionale . Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle . 11.1. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Comptes ordinaires créditeurs 2 568 554 2 568 554 28 2 568 582 2 255 163 Comptes d'épargne à régime spécial (1) : 20 931 20 931 20 931 17 387 A vue 20 931 20 931 20 931 17 387 A terme Autres dettes envers la clientèle : 14 543 28 607 229 012 89 083 361 245 1 588 362 833 449 191 A vue 1 016 1 016 1 016 1 616 A terme 13 527 28 607 229 012 89 083 360 229 1 588 361 817 447 575 Valeurs données en pension livrée Valeur au bilan 2 604 028 28 607 229 012 89 083 2 950 730 1 616 2 952 346 2 721 741 11.2. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par agents économiques  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Particuliers 1 251 209 1 142 424 Agriculteurs 200 476 182 447 Autres professionnels 207 811 190 099 Clientèle financière 162 133 75 496 Entreprises 1 001 422 1 016 731 Collectivités publiques 16 772 4 668 Autres agents économiques 110 907 107 267 Total en principal 2 950 730 2 719 132 Dettes rattachées 1 616 2 609 Valeur au bilan 2 952 346 2 721 741 Note 12. – Dettes représentées par un titre. 12.1. Dettes représentées par un titre - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Bons de caisse 6 6 6 96 Titres du marché interbancaire Titres de créances négociables (1) 150 000 150 000 235 150 235 150 285 Emprunts obligataires Autres dettes représentées par un titre Valeur nette au bilan 150 006 150 006 235 150 241 150 381 (1) Dont aucun émis à l'étranger. Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Autres passifs (1) Opérations de contrepartie (titres de transaction) Dettes représentatives de titres empruntés (2) Instruments conditionnels vendus Comptes de règlement et de négociation Créditeurs divers 42 066 38 194 Versements restant à effectuer sur titres 3 152 2 084 Valeur au bilan 45 218 40 278 Comptes de régularisation Comptes d'encaissement et de transfert 7 349 14 189 Comptes d'ajustement et comptes d'écart Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers 399 515 Produits constatés d'avance 25 978 28 406 Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme 3 986 5 981 Autres charges à payer 30 894 30 922 Autres comptes de régularisation 684 10 187 Valeur au bilan 69 290 90 200 Total 114 508 130 478 (1) Les montants incluent les dettes rattachées. (2) Les dettes représentatives de titres empruntés sont présentées sous déduction des titres de transaction empruntés (y compris le cas échéant les titres empruntés ayant fait l'objet d’un prêt reclassé en « titres de transaction prêtés ») (Cf. note 33.1 Emprunts de titres). Note 14. – Provisions. (En milliers d' E uros) Solde au 01/01/2021 Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements Solde au 31/12/2021 Provisions pour engagements de retraite et assimilés (1) 23 -23 Provisions pour autres engagements sociaux 673 -41 632 Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature 4 867 13 821 -12 895 5 793 Provisions pour litiges fiscaux (2) 306 -30 276 Provisions pour autres litiges 438 268 -181 -83 442 Provisions pour risques pays (3) Provisions pour risques de crédit (4) 48 263 92 449 -92 660 48 052 Provisions pour restructurations (5) Provisions pour impôts (6) Provisions sur participations (7) Provisions pour risques opérationnels (8) 989 779 -41 -315 1 412 Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (9) 8 115 178 -1 020 7 273 Autres provisions (10) 4 837 487 -1 961 -50 3 313 Valeur au bilan 68 511 107 982 -2 183 -107 094 -23 67 193 (1) Impact estimé de la modification de la recommandation 2013-02 portant sur le calcul des engagements relatifs à certains régimes à prestations définies. (2) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés. (3) La provision pour risques pays couvre le risque de contrepartie sur des débiteurs privés ou publics, lié à la situation économique des pays dont ils dépendent (nationalité et /ou résidence).(4) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles bâlois. (5) Notamment provisions relatives aux fusions, regroupement de moyens …(6) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale(7) Y compris sociétés en participation, GIE, risques immobiliers de participations …(8) Cette provision est destinée à couvrir les risques d'insuffisance de conception, d'organisation et de mise en œuvre des procédures d'enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d'information de l'ensemble des événements relatifs aux opérations de l'établissement.(9) Cf note 15 ci-après(10) Y compris les provisions pour risques sur GIE d'investissement. La modification de la recommandation 2013-02 portant sur le calcul des engagements de retraite et avantages similaires a pour conséquence de réduire de 23 milliers d’euros le niveau des provisions pour engagements de retraite et assimilés présentés et d’augmenter les capitaux propres au 1er janvier 2021 par le biais du report à nouveau de 204 milliers d’euros. Note 15. – Epargne logement. — Encours collectés au titre des comptes et plans d'épargne-logement sur la phase d'épargne  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 68 318 160 781 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 121 977 357 184 Ancienneté de plus de 10 ans 751 468 407 560 Total plans d'épargne-logement 941 763 925 525 Total comptes épargne-logement 85 362 81 785 Total encours collectes au titre des contrats épargne -logement 1 027 125 1 007 310 L'ancienneté est déterminée conformément au règlement ANC 2014-07. Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état. — Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d'épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Plans d'épargne-logement 222 316 Comptes épargne-logement 739 1 081 Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne -logement 961 1 397 — Provision au titre des comptes et plans d'épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 110 495 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 3 751 4 088 Ancienneté de plus de 10 ans 3 412 3 532 Total plans d'épargne-logement 7 273 8 115 Total comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne -logement 7 273 8 115 (En milliers d' E uros) 01/01/ N Dotations Reprises 31/12/N Plans d'épargne-logement 8 115 178 -1 020 7 273 Comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne -logement 8 115 178 -1 020 7 273 La dotation de la provision épargne logement au 31 décembre 2021 est liée à l'actualisation des paramètres de calcul et notamment à la baisse de la marge collecte. Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs a l'emploi, régimes a prestations définies . Les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l'emploi à un ou plusieurs membres de son personnel. Les régimes à prestations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi autres que les régimes à cotisations définies. Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n'aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n'a pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. D'autre part, la recommandation 2013-02, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03, reprend les dispositions de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel, à l'exception de celles relatives aux avantages à court terme et à ceux payés sous forme d'instrument de capitaux propres. — Variations de la dette actuarielle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Dette actuarielle à l'ouverture 20 045 20 494 Coût des services rendus sur l'exercice 1 887 1 066 Coût financier 73 198 Cotisations employés Modifications, réductions et liquidations de régime -1 305 Variation de périmètre -38 -108 Indemnités de cessation d'activité Prestations versées (obligatoire) -1 169 -714 (Gains) / pertes actuariels -777 415 Autres mouvements -181 Dette actuarielle a la clôture 19 840 20 045 La modification de la recommandation 2013-02 portant sur le calcul des engagements de retraite et avantages similaires a pour conséquence de réduire de 204 milliers d'euros le niveau des engagements sociaux présentés et d'augmenter les capitaux propres au 1er janvier 2021 par le biais du report à nouveau de 204 milliers d'euros. Si cette modification avait été prise en compte en 2020, le niveau des engagements sociaux aurait été estimé à 19 841 milliers d’euros au 31 décembre 2020 contre 20 045 milliers d’euros présenté dans le tableau ci-dessus. — Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Coût des services rendus 1 887 1 066 Coût financier 73 197 Rendement attendu des actifs -82 -10 Coût des services passés -1 305 (Gains) / pertes actuariels net 270 267 (Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes (Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif -292 942 Charge nette comptabilisée au compte de résultat 1 856 1 158 — Variations de juste valeur des actifs des régimes  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Juste valeur des actifs / droits à remboursement à l'ouverture 18 201 17 824 Rendement attendu des actifs 82 10 Gains / (pertes) actuariels 61 39 Cotisations payées par l'employeur 1 807 1 150 Cotisations payées par les employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -38 -108 Indemnités de cessation d'activité Prestations payées par le fonds -1 169 -714 Autres mouvements Juste valeur des actifs / droits a remboursement a la clôture 18 943 18 201 — Composition des actifs des régimes  : Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de : 80,2% d'obligations 11,1% d'actions 7,7 d'autres produits — Variations de la provision  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Dette actuarielle à la clôture -19 840 -20 045 Impact de la limitation d'actifs (Gains) / pertes actuariels restant à étaler -9 771 984 -12 693 091 Juste valeur des actifs fin de période 18 943 18 201 Position nette (passif) / actifs a la clôture 109 613 -22 819 — Rendement des actifs des régimes  : Le rendement attendu des actifs de régime est de 0,36%. — Hypothèses actuarielles utilisées  : Le taux d'actualisation utilisé est le taux iBoxx au 31 décembre 2021. Au 31 décembre 2021, les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : une variation de plus 50bp des taux d'actualisation conduirait à une baisse de l'engagement de 6,01 % ; une variation de moins 50bp des taux d'actualisation conduirait à une hausse de l'engagement de 6,63 %. Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Fonds pour risques bancaires généraux 50 057 42 557 Valeur au bilan 50 057 42 557 Note 18. – Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Dettes subordonnées à terme Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Titres et emprunts participatifs Autres emprunts subordonnés à terme Dettes subordonnées à durée indéterminée (1) Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Placement des fonds propres des Caisses Locales 22 526 22 526 7 22 533 18 277 Dépôts de garantie à caractère mutuel Valeur au bilan 22 526 22 526 7 22 533 277 (1) Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 238 milliers d'euros au 31 décembre 2021 contre 208 milliers d'euros au 31 décembre 2020. Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition) — Variation des capitaux propres  : (En milliers d'Euros) Capitaux propres Capital Réserve légale Réserve statutaire Primes, autres réserves et report à nouveau (1) Ecarts conversion / réévaluation Provisions réglementées & subventions d'investissement Résultat Total des capitaux propres Solde au 31/12/2019 28 057 434 361 22 884 275 438 31 046 791 786 Dividendes versés au titre de N-2 -2 643 -2 643 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-2 21 302 7 101 -28 403 Report à nouveau Résultat de l’exercice N-1 26 475 26 475 Autres variations Solde au 31/12/2020 28 057 455 663 22 884 282 539 26 475 815 618 Dividendes versés au titre de N-1 -2 260 -2 260 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-1 18 161 6 054 -24 215 Report à nouveau (2) 204 204 Résultat de l’exercice N 31 716 31 716 Autres variations Solde au 31/12/2021 28 057 473 824 22 884 288 797 31 716 845 278 1) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros de primes de fusion. 2) Dont 204 milliers d’euros relatif à l'impact de l’application de la recommandation 2013-02 du 05 novembre 2021 portant sur le calcul des engagements de retraite et avantages similaires. Note 20. – Composition des capitaux propres. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Capitaux propres hors FRBG 845 278 815 618 Fonds pour risques bancaires généraux 50 057 42 557 Total des capitaux propres 895 335 858 175 Par ailleurs, les dettes subordonnées et titres participatifs s'élèvent à 22 533 milliers d'euros au 31 décembre 2021 contre 18 277 milliers d'euros au 31 décembre 2020. Note 21. – Op é rations effectuées en devises. — Contributions par devise au bilan  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Actif Passif Actif Passif Euro 8 133 541 7 982 503 7 578 004 7 402 319 Autres devises de l’Union Europ 18 18 47 47 Franc suisse 245 245 234 234 Dollar 2 060 2 060 1 744 1 744 Yen Autres devises (1) 206 206 263 263 Valeur brute 8 136 070 7 985 032 7 580 292 7 404 607 Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation 74 982 72 220 72 351 94 507 Dépréciations -153 800 -153 529 Total 8 057 252 8 057 252 7 499 114 7 499 114 (1) Dont opérations réalisées en Grande Bretagne et/ou en Livre Sterling –GBP Note 22. – Operations de change, prêts et emprunts en devises. (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 A recevoir A livrer A recevoir A livrer Opérations de change au comptant Devises Euros Opérations de change à terme 6 919 6 910 2 362 2 361 - Devises 3 507 3 507 1 177 1 177 Euros 3 412 3 403 1 185 1 184 Prêts et emprunts en devises Total 6 919 6 910 2 362 2 361 Note 23. – Op é rations sur instruments financiers à terme. (En milliers d'euros) 31/12/2021 31/12/2020 Opérations de couverture Opérations autres que de couverture Total Total Opérations fermes 1 855 587 5 564 1 861 151 2 104 698 Opérations sur marchés organisés (1) Contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations de gré à gré (1) 1 855 587 5 564 1 861 151 2 104 698 Swaps de taux d'intérêt 1 855 587 5 239 1 860 826 2 104 698 Autres contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change Fra Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers 325 325 Autres contrats à terme Opérations conditionnelles Opérations sur marchés organisés Instruments de taux d'intérêt à terme Achetés Vendus Instruments sur action et indices boursiers à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Opérations de gré à gré Options de swaps de taux Achetées Vendues Instruments de taux d'intérêts à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés Vendus Instruments sur actions et indices boursiers à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Dérivés de crédit Contrats de dérivés de crédit Achetés Vendus Total 1 855 587 5 564 1 861 151 2 104 698 (1) Les montants indiqués sur les opérations fermes correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats). 23.3. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) Total 31/12/2021 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 316 614 669 336 874 876 316 614 669 336 874 876 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices 325 325 Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 316 614 669 661 874 876 316 614 669 661 874 876 Swaps de devises Opérations de change à terme 13 830 13 830 Sous total 13 830 13 830 Total 330 444 669 661 874 876 330 444 669 661 874 876 (En milliers d'Euros) Total 31/12/2020 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 295 092 901 063 908 543 295 092 901 063 908 543 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 295 092 901 063 908 543 295 092 901 063 908 543 Swaps de devises Opérations de change à terme 4 724 4 724 Sous total 4 724 4 724 Total 299 816 901 063 908 543 299 816 901 063 908 543 23.3. Instruments financiers à terme : juste valeur  : (En milliers d' E uros) Juste Valeur Positive au 31/12/2021 Juste Valeur Négative au 31/12/2021 Encours Notionnel au 31/12/2021 Juste Valeur Positive au 31/12/2020 Juste Valeur Négative au 31/12/2020 Encours Notionnel au 31/12/2020 Futures Options de change Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 20 784 82 614 1 860 826 30 370 144 796 2 104 698 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices 325 325 Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 21 109 82 614 1 861 151 30 370 144 796 2 104 698 Swaps de devises Opérations de change à terme 6 919 6 911 13 830 2 363 2 362 4 724 Sous total 6 919 6 911 13 830 2 363 2 362 4 724 Total 28 028 89 525 1 874 981 32 733 147 158 2 109 422 23.4. Information sur les Swaps  : — Ventilation des contrats d'échange de taux d'intérêt  : (En milliers d' E uros) Position ouverte isolée Micro-couverture Macro-couverture Swaps de transaction Contrats d'échange de taux 5 239 333 659 1 521 928 Contrats assimilés Note 24. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits dérivés . L'évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l'établissement mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l'application de facteurs de majoration (add-on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante : — Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme  : (En milliers d'Euros) 31/12/21 31/12/20 Valeur de marché Risque de crédit potentiel (*) Total risque de contrepartie Valeur de marché Risque de crédit potentiel Total risque de contrepartie Risques sur les gouvernements et banques centrales de l’OCDE et organismes assimilés Risques sur les établissements financiers de l’OCDE et organismes assimilés 26 001 7 709 33 710 36 259 9 033 45 292 Risques sur les autres contreparties 170 30 200 274 35 309 Total avant effet des accords de compensation 26 171 7 739 33 910 36 533 9 068 45 601 Dont risques sur contrats de : - Taux d'intérêt, change et matières premières 26 171 7 739 33 910 36 533 9 068 45 601 - Dérivés actions et sur indices Total avant effet des accords de compensation 26 171 7 739 33 910 36 533 9 068 45 601 Incidences des accords de compensation et de collatérisation Total après effet des accords de compensation et de collaterisation 26 171 7 739 33 910 36 533 9 068 45 601 (*) Calculé selon les normes prudentielles CRR2 / CRD5. Note 25. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Engagements donnés Engagements de financement 509 700 481 013 Engagements en faveur d'établissements de crédit Engagements en faveur de la clientèle 509 700 481 013 Ouverture de crédits confirmés 190 371 181 144 Ouverture de crédits documentaires 1 321 1 100 Autres ouvertures de crédits confirmés 189 050 180 044 Autres engagements en faveur de la clientèle 319 329 299 869 Engagements de garantie 210 795 266 936 Engagements d'ordre d'établissement de crédit 6 429 87 723 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires Autres garanties 6 429 87 723 Engagements d'ordre de la clientèle 204 366 179 213 Cautions immobilières 15 223 11 418 Autres garanties d'ordre de la clientèle 189 143 167 795 Engagements sur titres 196 545 Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements à donner 196 545 Engagements reçus Engagements de financement 7 154 11 038 Engagements reçus d'établissements de crédit 7 154 11 038 Engagements reçus de la clientèle Engagements de garantie 1 812 001 1 750 923 Engagements reçus d'établissements de crédit 228 055 208 529 Engagements reçus de la clientèle 1 583 946 1 542 394 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées (1) 508 232 496 196 Autres garanties reçues 1 075 714 1 046 198 Engagements sur titres 196 545 Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements reçus 196 545 (1) Dans le cadre des mesures de soutien à l'économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a accordé des prêts pour lesquels elle a reçu des engagements de garantie de l'Etat français (PGE). AU 31 décembre 2021, le montant de ces engagements de garantie reçus s'élève à 193 439 milliers d'euros. Note 26. – Actifs donn é s et reçus en garantie. Créances apportées en garantie : Au cours de l'année 2021, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 2 657 323 milliers d'euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 2 545 147 milliers d'euros en 2020. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté : 2 176 753 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 2 022 058 milliers d'euros en 2020; 90 523 milliers d'euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 100 025 milliers d'euros en 2020; 390 047 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 423 064 milliers d'euros en 2020 . Note 27. – Produits nets d' intérêts et revenus assimil é s. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Sur opérations avec les établissements de crédit 4 185 1 854 Sur opérations internes au Crédit Agricole 17 880 10 614 Sur opérations avec la clientèle 114 432 110 141 Sur obligations et autres titres à revenu fixe 3 050 3 551 Produit net sur opérations de macro-couverture Sur dettes représentées par un titre 4 343 4 225 Autres intérêts et produits assimilés 149 90 Intérêts et produits assimilés 144 039 130 475 Sur opérations avec les établissements de crédit -4 263 -1 963 Sur opérations internes au Crédit Agricole -20 442 -19 585 Sur opérations avec la clientèle -14 592 -19 200 Charge nette sur opérations de macro-couverture -9 194 -3 559 Sur obligations et autres titres à revenu fixe Sur dettes représentées par un titre -9 662 -9 631 Autres intérêts et charges assimilées -6 Intérêts et charges assimilées -58 153 -53 944 Total produits nets d' intérêts et revenus assimiles (1) 85 886 76 531 (1) Le montant des charges nettes d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2021 est de 238 milliers d'euros, contre 208 milliers d'euros au 31 décembre 2020. Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d'opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques. Note 28. – Revenus des titres à revenus variables. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme 14 929 18 691 Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille Opérations diverses sur titres Total des revenus des titres a revenus variables 14 929 18 691 Note 29. – Produit net des commissions. (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 146 -26 120 95 -28 67 Sur opérations internes au crédit agricole 4 514 -19 114 -14 600 4 075 -15 272 -11 197 Sur opérations avec la clientèle 20 917 -138 20 779 20 159 -149 20 010 Sur opérations sur titres Sur opérations de change 24 24 21 21 Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan Sur prestations de services financiers (1) 57 298 -7 144 50 154 54 284 -6 455 47 829 Provision pour risques sur commissions 217 -239 -22 204 -202 2 Total produit net des commissions 83 116 -26 661 56 455 78 838 -22 106 56 732 (1) dont prestations assurance-vie : 12 993 milliers d'euros. Note 30. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation . (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Solde des opérations sur titres de transaction Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés 153 116 Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme 29 23 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation 182 139 Note 31. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimil é s. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Titres de placement Dotations aux dépréciations -25 -17 Reprises de dépréciations 20 7 Dotations ou reprises nettes aux dépréciations -5 -10 Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées -259 -274 Solde des plus et moins-values de cession réalisées -259 -274 Solde des opérations sur titres de placement -264 -284 Titres de l'activité de portefeuille Dotations aux dépréciations Reprises de dépréciations Dotations ou reprises nettes aux dépréciations Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées Solde des plus et moins-values de cession réalisées Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimiles -264 -284 Note 32. – Autres produits et charges d'exploitation bancaire. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Produits divers 2 706 3 676 Quote - part des opérations faites en commun Refacturation et transfert de charges 7 11 Reprises provisions 482 76 Autres produits d'exploitation bancaire 3 195 3 763 Charges diverses -334 -169 Quote - part des opérations faites en commun -324 -290 Refacturation et transfert de charges Dotations provisions -618 -665 Autres charges d'exploitation bancaire -1 276 -1 124 Total autres produits et charges d'exploitation bancaire 1 919 2 639 Note 33. – Charges générales d'exploitation. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Frais de personnel Salaires et traitements -35 204 -34 324 Charges sociales -18 527 -17 167 Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies -3 940 -3 851 Intéressement et participation -5 041 -5 071 Impôts et taxes sur rémunérations -5 345 -5 192 Total des charges de personnel -64 117 -61 754 Refacturation et transferts de charges de personnel 3 084 2 996 Frais de personnel nets -61 033 -58 758 Frais administratifs  : Impôts et taxes -2 419 -3 439 Services extérieurs, autres frais administratifs et contributions règlementaires (1) (2) -36 770 -38 585 Total des charges administratives -39 189 -42 024 Refacturation et transferts de charges administratives 594 339 Frais administratifs nets -38 595 -41 685 Charges générales d'exploitation 628) -100 443 (1) dont 657 milliers d'euros au titre du fonds de résolution unique au titre de l'exercice 2021 (2) L’information sur les honoraires des commissaires aux comptes est indiquée dans l’annexe aux comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée Effectif moyen  : Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) Catégories de personnel 31/12/2021 31/12/2020 Cadres 165 160 Non cadres 734 708 Total de l'effectif moyen 899 868 Dont : France 886 855 Etranger 13 13 Dont : personnel mis à disposition Le montant global des rémunérations des organes d'administration et de direction s'élève à 1 894 milliers d'euros. Note 34. – Co û t du risque. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Dotations aux provisions et dépréciations -127 443 -115 318 Dépréciations de créances douteuses -18 657 -13 783 Autres provisions et dépréciations -108 786 -101 535 Reprises de provisions et dépréciations 128 758 112 147 Reprises de dépréciations de créances douteuses (1) 19 016 19 317 Autres reprises de provisions et dépréciations (2) 109 742 92 830 Variation des provisions et dépréciations 1 315 -3 171 Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3)(4) -163 -630 Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (5) -4 495 -5 051 Décote sur prêts restructurés -7 Récupérations sur créances amorties 415 806 Autres pertes -213 -198 Autres produits (6) 517 Co û t du risque -3 141 -7 734 (1) dont 3 782 milliers d'euros utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses non compromises et 611 milliers d'euros liés à l'effet de désactualisation des dépréciations sur créances douteuses. (2) dont 125 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif (3) dont 1 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises (4) dont 517 milliers d'euros relatifs à l’appel de la garantie Switch Assurance, versés à Crédit Agricole S.A. en septembre 2020 pour combler la baisse de la valeur de mise en équivalence des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels (5) dont 714 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises (6) dont 517 milliers d'euros relatifs au retour à meilleure fortune de la garantie (Switch Assurance), à recevoir de Crédit Agricole S.A. au 31 décembre 2020 suite à la hausse de la valeur de mise en équivalence des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels. Note 35. – Résultat net sur actifs immobilis é s. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Immobilisations financières Dotations aux dépréciations -1 182 -2 894 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -1 182 -2 894 Reprises de dépréciations 185 1 775 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 185 1 775 Dotation ou reprise nette aux dépréciations -997 -1 119 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -997 -1 119 Plus-values de cessions réalisées 60 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 60 Moins-values de cessions réalisées -63 -1 366 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -63 -1 366 Pertes sur créances liées à des titres de participation Solde des plus et moins-values de cessions -3 -1 366 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -3 -1 366 Solde en perte ou en bénéfice -1 000 -2 485 Immobilisations corporelles et incorporelles  : Plus-values de cessions 205 593 Moins-values de cessions -187 -78 Solde en perte ou en bénéfice 18 515 Résultat net sur actifs immobilis é s -982 -1 970 Note 36. – Charges et produits exceptionnels. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l'exercice 2021. Note 37. – Impôt sur les bénéfices. Cet agrégat comprend la charge relative à l'impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risque fiscaux. La charge fiscale de l'exercice s'élève à 10 848 milliers d'euros. Intégration fiscale : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d'impôt résultant de la réallocation de l'économie d'IS liées aux dividendes intragroupe pour 838 milliers d'euros. Note 38. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur "banque de proximité en France", toutefois il convient de noter l'activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédit). 38.1. Résultat courant par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 157 584 -97 966 -5 224 54 395 5 142 49 252 -852 48 400 Autres pays de l' U .E. 1 523 -1 662 -68 -208 -2 001 1 794 -130 1 664 Résultat courant avant impôt 159 107 -99 628 -5 292 54 187 3 141 51 046 -982 50 064 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 153 218 -98 495 -3 731 50 992 -7 921 43 071 -1 892 41 179 Autres pays de l'U. E. 1 230 -1 822 -67 -659 187 -472 -78 -550 Résultat courant avant impôt 154 448 -100 317 -3 798 50 333 -7 734 42 599 -1 970 40 629 Note 39. – Evènements postérieurs a la clôture susceptibles de remettre en cause la continuité de l’exploitation. Néant . Note 40. – Affectation des résultats. Résultat des comptes individuels 2021 31 715 644,50 € Report à nouveau 204 112,23 € Résultat de l’exercice à affecter 31 919 756,73 € Résultat distribué 2 847 237,32 € Intérêts parts sociales Caisse Régionales (2,23%) 469 259,63 € Rémunération des CCA 2 377 977,69 Résultat Conservé 29 072 519,41 € Réserve légales (75% du disponible) 21 804 389,56 € Autres réserves 7 268 129,85 € Note 41. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs . La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un Etat ou un territoire non coopératif au sens de l'article 238-0 A du Code général des impôts. Note 42. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes. Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée  : (En milliers d' E uros hors taxes) Ernst & Young % KPMG % Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels (*) 91 53,2 45 26,3 Services autres que la certification des comptes 5 2,9 30 17,6 Total 96 56,1 75 43,9 (*) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes. IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels . ( Exercice clos le 31 décembre 2021 .) A l'attention de l'Assemblée générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, Opinion . — En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée générale, nous avons effectué l’audit des comptes annuels de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2021 tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la Caisse régionale à la fin de cet exercice. L’opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit. Fondement de l’opinion  : — Référentiel d’audit  : Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels » du présent rapport. — Indépendance  : Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance prévues par le Code de commerce et par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes, sur la période du 1er janvier 2021 à la date d’émission de notre rapport, et, notamment, nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n°537/2014. Observation . — Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 2.13 « Avantages au personnel postérieurs à l’emploi » de l’annexe aux comptes annuels qui expose l’impact du changement de méthode comptable relatif aux règles d’évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires sur les comptes au 31 décembre 2021. Justification des appréciations - Points clés de l’audit . — La crise mondiale liée à la pandémie de Covid-19 crée des conditions particulières pour la préparation et l'audit des comptes de cet exercice. En effet, cette crise et les mesures exceptionnelles prises dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire induisent de multiples conséquences pour les entreprises, particulièrement sur leur activité et leur financement, ainsi que des incertitudes accrues sur leurs perspectives d'avenir. Certaines de ces mesures, telles que les restrictions de déplacement et le travail à distance, ont également eu une incidence sur l’organisation interne des entreprises et sur les modalités de mise en œuvre des audits. C’est dans ce contexte complexe et évolutif que, en application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d'anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le contexte de l’audit des comptes annuels pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n'exprimons pas d'opinion sur des éléments de ces comptes annuels pris isolément. — Dépréciation des crédits sur une base individuelle  : – Risque identifié  : Du fait de son activité, la Caisse régionale est exposée à un risque significatif de crédit sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture. Comme indiqué dans l’annexe aux comptes annuels (note 2.1), les créances présentant un risque de crédit avéré donnent lieu à la comptabilisation d’une dépréciation correspondant à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d’intérêt effectif, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la Direction de la Caisse régionale est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations des crédits portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture comme un point clé de l’audit des comptes annuels en raison de leur importance dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés actualisés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles présentées dans la note 4.4 de l’annexe aux comptes annuels qui s’élève à 120,8 M€. – Notre réponse face au risque identifié  : Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la Direction, dans le contexte de crise de la Covid-19, pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser Nous avons en particulier : mené des entretiens au cours de l’exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la Caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte comptabilisation ; testé l’efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la Caisse régionale relatifs à ces procédures ; analysé les hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit en prenant en compte, le cas échéant, l’impact de la crise sanitaire sur ces flux ou les garanties spécifiques liées aux plans de soutien à l’économie ; mis en œuvre des procédures analytiques sur la couverture des encours douteux. — Provisions sur encours sains et dégradés  : – Risque identifié  : Comme indiqué dans l’annexe aux comptes annuels (note 2.1), la Caisse régionale constate au titre des expositions de crédits au passif de son bilan des provisions pour couvrir les risques de crédit attendus sur les douze mois à venir (expositions qualifiées de saines) ou sur la durée de vie de l’encours dès lors que la qualité de crédit de l’exposition s’est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions reposent sur des estimations qui intègrent des paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut selon des modèles internes de risque de crédit, en tenant compte de données macroéconomiques prospectives (Forward Looking) appréciées au niveau du Groupe Crédit Agricole et au regard de paramètres propres au portefeuille de crédit de la Caisse régionale sur la base d’éléments conjoncturels et/ou structurels locaux. Le cumul de ces provisions sur les prêts et créances représente 48,1 M€ au 31 décembre 2021 comme détaillé dans la note 14 de l’annexe aux comptes annuels. Nous avons considéré, qu’il s’agissait d’un point clé de l’audit des comptes annuels en raison de : l’importance des hypothèses prises, en particulier dans le contexte de crise sanitaire en vigueur sur l’exercice et au 31 décembre 2021 ; l’importance de ces provisions dans le bilan de la Caisse régionale et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit à la consommation….), dont par exemple des informations prospectives (Forward Looking central et local). Notre réponse face au risque identifié Nos travaux ont consisté à : prendre connaissance, lors d’un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation du groupe Crédit Agricole, avec l’aide de leurs experts sur les modèles de provisions. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : les principes m é thodologiques suivis pour la construction des mod è les, le processus d’élaboration des paramètres utilisés dans les modèles (probabilité de défaut « PD », perte en cas de défaut « Loss Given Default » ou « LGD ») en prenant en compte notamment le contexte de la crise sanitaire de la Covid-19 et les mesures de soutien à l’économie la gouvernance des mod è les et le changement des param è tres y compris l ’ analyse des scenarios et paramètres économiques projetés ainsi que le processus de validation indépendante, la r é alisation de tests cibl é s sur les fonctions calculatoires de l ’ outil utilis é pour d é terminer les corrections de valeur ; tester des données relatives aux expositions entrant dans le modèle de provisionnement sur la base d’un échantillon de dossiers ; contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des dépréciations et provisions dans l’outil de provisionnement ; apprécier les hypothèses et la documentation fournie par la Caisse régionale sur l’identification de dégradations significatives notamment dans le contexte de la crise sanitaire pour des portefeuilles d’encours et la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l’application du Forward Looking ; analyser l’évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l’exercice 2021 ; examiner les informations données au titre de la couverture du risque de crédit dans l’annexe aux comptes annuels. Vérifications spécifiques . — Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires. Informations données dans le rapport de gestion et dans les autres documents sur la situation financière et les comptes annuels adressés aux sociétaires. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d’administration et dans les autres documents sur la situation financière et les comptes annuels adressés aux sociétaires à l’exception du point ci-dessous. La sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations relatives aux délais de paiement mentionnées à l'article D. 441-6 du Code de commerce appellent de notre part l’observation suivante : comme indiqué dans le rapport de gestion, ces informations n'incluent pas les opérations bancaires et les opérations connexes, votre Caisse régionale considérant qu'elles n'entrent pas dans le périmètre des informations à produire. Autres vérifications ou informations prévues par les textes légaux et réglementaires . — Désignation des commissaires aux comptes  : Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre assemblée générale du 27 mars 2008. Au 31 décembre 2021, nos cabinets étaient dans la quatorzième année de leur mission sans interruption. Antérieurement, le cabinet Ernst & Young Audit était commissaire aux comptes depuis 1989 Responsabilités de la Direction et des personnes constituant le gouvernement d’entreprise relatives aux comptes annuels . Il appartient à la Direction d’établir des comptes annuels présentant une image fidèle conformément aux règles et principes comptables français ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes annuels ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs. Lors de l’établissement des comptes annuels, il incombe à la Direction d’évaluer la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la Caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l'efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l'audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Les comptes annuels ont été arrêtés par le Conseil d’administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels . — Objectif et démarche d’audit  : Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes annuels. Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l’article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre Caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : il identifie et évalue les risques que les comptes annuels comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la Direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes annuels ; il apprécie le caractère approprié de l’application par la Direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes annuels au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier; il apprécie la présentation d’ensemble des comptes annuels et évalue si les comptes annuels reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle. Rapport au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit Nous remettons au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit un rapport qui présente notamment l’étendue des travaux d'audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit figurent les risques d’anomalies significatives que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537-2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 à L. 822-14 du Code de commerce et dans le code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Les Commissaires aux comptes  : Labège, le 8 mars 2022 Toulouse, le 8 mars 2022 KPMG S.A. Ernst & Young et Autres Pierre SUBREVILLE Frank ASTOUX Associé Associé V. — Rapport de gestion . En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX. B. — Comptes consolides au 31 décembre 2021 . Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 28 janvier 2022 et s oumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 24 mars 2022 Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers I. — Cadre général . Présentation juridique de l’entité . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est une société coopérative à capital et personnel variables régie par les dispositions du Livre V du Code monétaire et financier au capital de 28 057 377,00 euros. Son siège social est situé au 30 rue Pierre Bretonneau 66000 PERPIGNAN. Elle est inscrite au Registre du Commerce et des Sociétés de Perpignan sous la référence 776 179 335, code NAF : 6419Z. Un Groupe bancaire d’essence mutualiste . — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 11,2 millions de sociétaires qui élisent quelques 26 869 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie. La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales. Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R. 512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L. 511-31 et article L. 511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole, au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. peut prendre toute mesure nécessaire, notamment pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés. Relations internes au Crédit Agricole  : Mécanismes f in anciers internes . — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe. — Comptes ordinaires des Caisses régionales  : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en "Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires" et intégré sur la ligne "Prêts et créances sur les établissements de crédit" ou "Dettes envers les établissements de crédit". — Comptes d'épargne à régime spécial  : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable et solidaire, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en "Dettes envers la clientèle". — Comptes et avances à terme  : Les ressources d'épargne non réglementée (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les "avances" (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites "avances miroirs" (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché. Par ailleurs, les Caisses régionales peuvent être refinancées sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales  : Les ressources d'origine "monétaire" des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques "Opérations internes au Crédit Agricole". — Opérations en devises  : Le refinancement des activités en devises des Caisses régionales est réalisé auprès de Crédit Agricole SA. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A.  : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en "Dettes représentées par un titre" ou "Dettes subordonnées". — Mécanisme TLTRO III  : Une troisième série d’opérations de refinancement de long terme a été décidée en mars 2019 par la BCE dont les modalités ont été revues en septembre 2019 puis en mars, avril et décembre 2020 en lien avec la situation de la COVID-19. Le mécanisme de TLTRO III vise à proposer un refinancement de long terme avec une bonification en cas d’atteinte d’un taux de croissance cible des crédits octroyés aux entreprises et aux ménages, appliquée sur la maturité de 3 ans de l’opération TLTRO à laquelle s’ajoute une sur-bonification rémunérant une première incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2020 à juin 2021 puis une seconde incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2021 à juin 2022. Le Groupe a évalué les intérêts courus au taux de la Facilité de Dépôts - 50 bps flooré à -100 bps sur la période spéciale de taux d’intérêt (1er janvier 2021 – 23 juin 2021 pour la période afférente à l’exercice 2021), compte tenu de l’atteinte des seuils propres à la première incitation pendant la période spéciale de référence. Sur la période spéciale de taux d’intérêt additionnelle (24 juin 2021 – 31 décembre 2021 pour la période afférente à l’exercice 2021), le taux d’intérêt retenu est également le taux de la Facilité de Dépôts - 50 bps flooré à -100 bps, compte tenu de l’atteinte des critères du niveau de crédits éligibles propres à la seconde incitation pendant la période spéciale de référence additionnelle. Ainsi, le Groupe estime bénéficier de l’obtention de l’ensemble des bonifications à l’échéance de ce financement du fait de la réalisation des conditions pour en bénéficier au 31 décembre 2021. Pour rappel, au 30 juin 2021, le taux d’intérêt retenu était le minimum entre le taux de Facilité des Dépôts et le MRO - 50 bps compte tenu des incertitudes que le Groupe avait à cette date, quant à l’atteinte des critères de variation de crédits éligibles pendant la période spéciale de référence additionnelle. Crédit Agricole S.A. a souscrit à ces emprunts TLTRO III auprès de la BCE. Compte tenu des mécanismes de refinancement interne, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée se refinance auprès de Crédit Agricole S.A. et bénéficie ainsi de ces bonifications. Couverture des risques de Liquidité et de Solvabilité, et résolution bancaire . — Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier (CMF), Crédit Agricole S.A., en sa qualité d’organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l’ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du CMF ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au réseau Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. Le dispositif européen de résolution des crises bancaires a été adopté au cours de l’année 2014 par la directive (UE) 2014/59 (dite « BRRD »), transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français aux dispositions du Règlement européen 806/2014 du 15 juillet 2014 ayant établi les règles et une procédure uniforme pour la résolution des établissements de crédit dans le cadre d’un mécanisme de résolution unique et d’un Fonds de résolution bancaire unique. La directive (UE) 201 /879 du 20 mai 2019 dite « BRRD2 » est venue modifier la BRRD et a été transposée par Ordonnance 2020-1636 du 21 décembre 2020. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Pour les groupes bancaires coopératifs, c’est la stratégie de résolution de « point d’entrée unique élargi » (« extended SPE ») qui est privilégiée par les autorités de résolution, par laquelle l’outil de résolution serait appliqué simultanément au niveau de Crédit Agricole S.A. et des entités affiliées. A ce titre et dans l’hypothèse d’une mise en résolution du groupe Crédit Agricole, c’est le périmètre composé de Crédit Agricole S.A. (en sa qualité d’organe central) et des entités affiliées qui serait considéré dans son ensemble comme le point d’entrée unique élargi. Compte tenu de ce qui précède et des mécanismes de solidarité existant au sein du réseau, un membre du réseau Crédit Agricole ne peut pas être mis en résolution de manière individuelle. Les autorités de résolution peuvent ouvrir une procédure de résolution à l’encontre d’un établissement de crédit lorsqu’elle considère que : la défaillance de l’établissement est avérée ou prévisible, il n’existe aucune perspective raisonnable qu’une autre mesure de nature privée empêche la défaillance dans des délais raisonnables, une mesure de résolution est nécessaire et une procédure de liquidation serait insuffisante pour atteindre les objectifs recherchés de la résolution ci-dessus rappelés. Les autorités de résolution peuvent utiliser un ou plusieurs instruments de résolution, tels que décrits ci-dessous avec pour objectif de recapitaliser ou restaurer la viabilité de l’établissement. Les instruments de résolution devraient être mis en œuvre de telle manière à ce que les porteurs de titres de capital (actions, parts sociales, CCI, CCA) supportent en premier les pertes, puis les autres créanciers sous réserve qu’ils ne soient pas exclus du renflouement interne par la réglementation ou sur décision des autorités de résolution. La loi française prévoit également une mesure de protection lorsque certains instruments ou mesures de résolution sont mis en œuvre, tel le principe selon lequel les porteurs de titres de capital et les créanciers d’un établissement en résolution ne peuvent pas supporter des pertes plus lourdes que celles qu’ils auraient subies si l’établissement avait été liquidé dans le cadre d’une procédure de liquidation judiciaire régie par le code de commerce (principe NCWOL visé à l’article L. 613-57.I du CMF). Ainsi, les investisseurs ont le droit de réclamer des indemnités si le traitement qu’ils subissent en résolution est moins favorable que le traitement qu’ils auraient subi si l’établissement avait fait l’objet d’une procédure normale d’insolvabilité. Dans l’hypothèse où les autorités de résolution décideraient d’une mise en résolution sur le groupe Crédit Agricole, elles procèderaient au préalable à la réduction de la valeur nominale des instruments de Fonds propres du compartiment CET1 (actions, parts sociales, CCI et CCA), instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2, afin d’absorber les pertes puis éventuellement à la conversion en titres de capital des instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2 [1] . Ensuite, si les autorités de résolution décidaient d’utiliser l’outil de résolution qu’est le renflouement interne, elles pourraient mettre en œuvre cet outil de renflouement interne sur les instruments de dette [2] , c’est-à-dire décider de leur dépréciation totale ou partielle ou de leur conversion en capital afin également d’absorber les pertes. Les autorités de résolution pourraient décider de mettre en œuvre de façon coordonnée, à l’égard de l’organe central et de l’ensemble des entités affiliées, des mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant de renflouement interne. Dans ce cas, ces mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant ces mesures de renflouement interne s’appliqueraient à toutes les entités du réseau du Crédit Agricole et ce, quelle que soit l’entité considérée et quelle que soit l’origine des pertes. La hiérarchie des créanciers en résolution est définie par les dispositions de l’article L 613-55-5 du CMF en vigueur à la date de mise en œuvre de la résolution. Les détenteurs de titres de capital et les créanciers de même rang ou jouissant de droits identiques en liquidation seraient alors traités de manière égale quelle que soit l’entité du Groupe dont ils sont créanciers. L’étendue de ce renflouement interne, qui vise aussi à recapitaliser le groupe Crédit Agricole, s’appuie sur les besoins de fonds propres au niveau consolidé. L’investisseur doit donc être conscient qu’il existe donc un risque significatif pour les porteurs d’actions, de parts sociales, CCI et CCA et les titulaires d’instruments de dette d’un membre du réseau de perdre tout ou partie de leur investissement en cas de mise en œuvre d’une procédure de résolution bancaire sur le Groupe quelle que soit l’entité dont il est créancier. Les autres outils de résolution bancaire dont disposent les autorités de résolution sont pour l’essentiel la cession totale ou partielle des activités de l’établissement à un tiers ou à un établissement relais et la séparation des actifs de cet établissement. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du CMF, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution. L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités du réseau, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Garantie spécifique apportée par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) . — Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 complété par un premier avenant en 2013 et amendé par deux avenants en 2016, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les derniers amendements de ces garanties ont pris effet rétroactivement le 1 er juillet 2016, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1 er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée totale ou partielle ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat. Une première résiliation partielle correspondant à 35 % du dispositif des garanties Switch a eu lieu le 2 mars 2020, une deuxième correspondant à 15% du dispositif a eu lieu le 1 er mars 2021 et une dernière correspondant à la partie résiduelle de 50% du dispositif a eu lieu le 16 novembre 2021. Informations relatives aux parties liées . — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2021 et aux dirigeants dont la rémunération est précisée au paragraphe 7.6. Le périmètre consolidé est composé de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, de 100% des parts des Sociétés Techniques de Titrisation et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales. » Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 milliers d’euros, les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 781 milliers d’euros et les titres négociables à moyen terme à 19 745 milliers d’euros. II. — Etats financiers consolid é s . 1. — Compte de résultat . (En milliers d'euros) Notes 31/12/2021 31/12/2020 Intérêts et produits assimilés 4.1 160 529 149 797 Intérêts et charges assimilées 4.1 -65 518 -69 468 Commissions (produits) 4.2 82 986 78 635 Commissions (charges) 4.2 -26 677 -22 128 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat 4.3 -1 257 -1 041 Gains ou pertes nets sur actifs/passifs de transaction 39 2 Gains ou pertes nets sur autres actifs/passifs à la juste valeur par résultat -1 296 -1 043 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 4.4 14 692 3 573 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 14 692 3 573 Gains ou pertes nets résultant de la dé comptabilisation d'actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers au coût amorti en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ Produits des autres activités 4.5 1 837 746 Charges des autres activités 4.5 -1 843 -1 437 Produit net bancaire 164 749 138 677 Charges générales d'exploitation 4.6 -98 900 -98 806 Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4.7 -5 868 -4 317 Résultat brut d'exploitation 59 981 35 554 Coût du risque 4.8 -4 784 -8 529 Résultat d'exploitation 55 197 27 025 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs 4.9 153 546 Variations de valeur des écarts d'acquisition ‐ ‐ Résultat avant impôt 55 350 27 571 Impôts sur les bénéfices 4.10 -11 967 -7 467 Résultat net d'impôts des activités abandonnées ‐ ‐ Résultat net 43 383 20 104 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Résultat net part du groupe 43 383 20 104 2. — Résultat net et gains et pertes comptabilis é s directement en ca pitaux propres . (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Résultat net 43 383 20 104 Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi 837 -375 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre (1) ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (1) 112 128 -31 202 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 112 965 -31 577 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence -3 636 1 484 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 109 329 -30 093 Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 251 252 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 251 252 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -64 -65 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 187 187 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 109 516 -29 906 Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 152 899 -9 802 Dont part du Groupe 152 899 -9 802 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ (1) Montant du transfert en réserves d'éléments non recyclables -17 1 202 3. — Bilan . (En milliers d'Euros.) Actif Notes 31/12/2021 31/12/2020 Caisse, banques centrales 6.1 35 704 39 328 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 65 315 139 939 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 868 669 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 64 447 139 270 Instruments dérivés de couverture 6.3 26 001 36 259 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 6.4 697 741 565 655 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 697 741 565 655 Actifs financiers au coût amorti 6.5 7 257 152 6 597 008 Prêts et créances sur les établissements de crédit 1 099 670 641 788 Prêts et créances sur la clientèle 5 964 924 5 787 778 Titres de dettes 192 558 167 442 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 46 884 93 902 Actifs d'impôts courants et différés 6.10 17 130 20 859 Comptes de régularisation et actifs divers 6.11 142 560 198 785 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Participation aux bénéfices différée ‐ ‐ Participation dans les entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Immeubles de placement 6.12 4 266 4 263 Immobilisations corporelles 6.13 25 273 27 793 Immobilisations incorporelles 6.13 30 17 Ecarts d'acquisition ‐ ‐ Total de l'actif 8 318 056 7 723 808 Passif Notes 31/12/2021 31/12/2020 Banques centrales ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 907 756 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 907 756 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 6.3 86 139 149 903 Passifs financiers au coût amorti 6.8 6 951 442 6 418 360 Dettes envers les établissements de crédit 3 826 385 3 519 817 Dettes envers la clientèle 2 951 530 2 721 031 Dettes représentées par un titre 173 527 177 512 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 8 796 22 268 Passifs d'impôts courants et différés 6.10 349 537 Comptes de régularisation et passifs divers 6.11 109 462 124 405 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Provisions techniques des contrats d'assurance ‐ ‐ Provisions 6.14 20 959 22 005 Dettes subordonnées ‐ ‐ Total dettes 7 178 054 6 738 234 Capitaux propres 1 140 002 985 574 Capitaux propres part du Groupe 1 140 002 985 574 Capital et réserves liées 174 050 169 482 Réserves consolidées 726 641 709 576 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 195 928 86 412 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur activités abandonnées ‐ ‐ Résultat de l'exercice 43 383 20 104 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Total du passif 8 318 056 7 723 808 4. — Tableau de variation des capitaux propres. (En milliers d'Euros) Part du Groupe Participations ne donnant pas le contrôle Capital et réserves liées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net Capitaux propres Capital, réserves liées et résultat Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres Capitaux propres consolidés Capital Primes et réserves consolidées liées au capital (1) Elimination des titres autodétenus Autres instruments de capitaux propres Total Capital et réserves consolidées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres au 1er janvier 2020 Publié 35 526 843 253 ‐ ‐ 878 779 -549 116 867 116 318 ‐ 995 097 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 995 097 Impacts nouvelles normes, décisions / interprétations IFRIC ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2020 35 526 843 253 ‐ ‐ 878 779 -549 116 867 116 318 ‐ 995 097 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 995 097 Augmentation de capital 4 331 ‐ ‐ ‐ 4 331 ‐ ‐ ‐ ‐ 4 331 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 4 331 Variation des titres autodétenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions / remboursements d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2020 ‐ -2 732 ‐ ‐ -2 732 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 732 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 732 Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 210 ‐ ‐ 210 ‐ ‐ ‐ ‐ 210 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 210 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 4 331 -2 522 ‐ ‐ 1 809 ‐ ‐ ‐ ‐ 1 809 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 809 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ -1 202 ‐ ‐ -1 202 187 -30 093 -29 906 ‐ -31 108 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -31 108 Dont gains et pertes sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables transférés en réserves ‐ -1 202 ‐ ‐ -1 202 ‐ 1 202 1 202 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont gains et pertes sur variation du risque de crédit propre transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2020 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 20 104 20 104 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 20 104 Autres variations ‐ -328 ‐ ‐ -328 ‐ ‐ ‐ ‐ -328 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -328 Capitaux propres au 31 décembre 2020 39 857 839 201 ‐ ‐ 879 058 -362 86 774 86 412 20 104 985 574 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 985 574 Affectation du résultat 2020 ‐ 20 104 ‐ ‐ 20 104 ‐ ‐ ‐ -20 104 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2021 39 857 859 305 ‐ ‐ 899 162 -362 86 774 86 412 ‐ 985 574 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 985 574 Impacts nouvelles normes, décisions / interprétations IFRIC ‐ 151 ‐ ‐ 151 ‐ ‐ ‐ ‐ 151 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 151 Capitaux propres au 1er janvier 2021 retraité 39 857 859 456 ‐ ‐ 899 313 -362 86 774 86 412 ‐ 985 725 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 985 725 Augmentation de capital 4 568 ‐ ‐ ‐ 4 568 ‐ ‐ ‐ ‐ 4 568 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 4 568 Variation des titres autodétenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions / remboursements d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2021 ‐ -2 379 ‐ ‐ -2 379 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 379 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 379 Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 35 ‐ ‐ 35 ‐ ‐ ‐ ‐ 35 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 35 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 4 568 -2 344 ‐ ‐ 2 224 ‐ ‐ ‐ ‐ 2 224 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 224 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ 17 ‐ ‐ 17 187 109 329 109 516 ‐ 109 533 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 109 533 Dont gains et pertes sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables transférés en réserves ‐ 17 ‐ ‐ 17 ‐ -17 -17 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont gains et pertes sur variation du risque de crédit propre transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2021 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 43 383 43 383 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 43 383 Autres variations (2) ‐ -863 ‐ ‐ -863 ‐ ‐ ‐ ‐ -863 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -863 Capitaux propres au 31 décembre 2021 44 425 856 266 ‐ ‐ 900 691 -175 196 103 195 928 43 383 1 140 002 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 140 002 (1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'autocontrôle. (2) Le régime de retraite répondant aux conditions de l’article 137-11, maintenu en sus de la création d’un nouveau régime défini selon les prérogatives de l’article 137-11-2, a nécessité une régularisation de 977 milliers d’euros au titre des exercices antérieurs, ayant vocation à progressivement se retourner jusqu’au 31 décembre 2024. 5. — Tableau des flux de trésorerie . Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte. Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale du Crédit Agricole de Sud-Méditerranée. Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles. Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans les rubriques "Juste valeur par résultat" ou "Juste valeur par capitaux propres non recyclables" sont compris dans cette rubrique. Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme. La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit. (En milliers d' E uros) Notes 31/12/2021 31/12/2020 Résultat avant impôt 55 350 27 571 Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 5 868 4 056 Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations ‐ ‐ Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions -866 6 178 Quote-part de résultat liée aux entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Résultat net des activités d'investissement -153 -546 Résultat net des activités de financement 26 48 Autres mouvements -8 344 520 Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôt et des autres ajustements -3 469 10 256 Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit 226 389 347 259 Flux liés aux opérations avec la clientèle 20 268 -104 020 Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers 47 851 -33 601 Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers 43 578 546 Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts versés -11 842 -14 802 Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles 326 244 195 382 Total Flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A) 378 125 233 209 Flux liés aux participations (1) -2 332 14 362 Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles -2 866 -3 339 Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissement (B) -5 198 11 023 Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2) 2 189 1 599 Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (3) -1 322 8 200 Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement (C) 867 9 799 Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D) ‐ ‐ Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie ( A + B + C + D ) 373 794 254 031 Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture 494 211 240 179 Solde net des comptes de caisse et banques centrales ( * ) 39 328 46 807 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit ( ** ) 454 883 193 372 Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture 868 003 494 211 Solde net des comptes de caisse et banques centrales ( * ) 35 704 39 328 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit ( ** ) 832 299 454 883 Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie 373 792 254 032 (*) Composé du solde net du poste "Caisse, banques centrales", hors intérêts courus et y compris trésorerie des entités reclassées en activités abandonnées (**) Composé du solde des postes "Comptes ordinaires débiteurs non douteux" et "Comptes et prêts au jour le jour non douteux" tels que détaillés en note 6.5 et des postes "Comptes ordinaires créditeurs" et "Comptes et emprunts au jour le jour" tels que détaillés en note 6.8 (hors intérêts courus) (1) Flux liés aux participations : Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période". Au cours de l’année 2021, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée s’élève à 1 041 milliers d’euros, portant notamment sur les opérations suivantes : - C2MS, acquisition de titres à hauteur de 132 milliers d’euros ; - Sacam Avenir, acquisition de titres à hauteur de 1 853 milliers d’euros (dont 203 milliers d’euros d’opération non monétaire et 1 388 milliers d’euros restant à verser) ; - Arec Innovation, acquisition de titres à hauteur de 18 milliers d’euros ; - Arec Efficacité Energétique, acquisition de titres à hauteur de 50 milliers d’euros ; - Edokial, acquisition de titres à hauteur de 499 milliers d’euros ; - Cofilmo, acquisition de titres à hauteur de 80 milliers d’euros. (2) Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires : il comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 379 milliers d’euros pour l'année 2021 (3) Autres flux nets de trésorerie provenant des flux liés aux opérations de financement : Au 31 décembre 2021, il n’y a pas eu d’émission ni de remboursement de dettes subordonnées et obligataires. Ce poste recense également les flux liés aux versements d’intérêts sur les dettes subordonnées et obligataires. III. — Notes annexes aux états financiers . 1. – Principes et méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés. 1.1. Normes applicables et comparabilité . — En application du règlement CE n°1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2021 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out ), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture. Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/company-reporting-and-auditing/company-reporting/financial-reporting_en Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2020 . Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2021 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2021 . Celles-ci portent sur : Normes, Amendements ou Interprétations Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du Applicable dans le Groupe Amendement à IFRS 9, IAS 39, IFRS 7, IFRS 4 et IFRS 16 Réforme des taux d'intérêt de référence – Phase 2 1er janvier 2021 (1) Oui Amendement à IFRS 4 Report facultatif de l’application de la norme IFRS 9 pour les entités qui exercent principalement des activités d’assurance, y compris les entités du secteur de l’assurance appartenant à un conglomérat financier au 1er janvier 2023 1er janvier 2021 Non Amendement à IFRS 16 2 Seco nd amendement sur les concessions de loyers liées à la COVID-19 1er avril 2021 Non (1) Le Groupe a décidé d'appliquer de manière anticipée l'amendement à IFRS 9, IAS 39, IFRS 7, IFRS 4 et IFRS 16 sur la réforme des taux d’intérêt de référence – Phase 2 dès le 1er janvier 2020. Réformes des indices de référence. — Le Groupe Crédit Agricole a mis en œuvre début 2019 un programme pour préparer et encadrer la transition des indices de référence pour l’ensemble de ses activités, avec une déclinaison en projets dédiés dans chaque entité impactée. Ce programme s’est inscrit dans les calendriers et standards définis par les travaux de place - dont certains auxquels le Crédit Agricole a activement participé - et le cadre réglementaire européen (BMR). Conformément aux recommandations des groupes de travail nationaux et des autorités, le Groupe a privilégié autant que possible des bascules vers les indices alternatifs par anticipation de la disparition des indices de référence tout en visant le respect des échéances fixées par la place voire imposées par les autorités et autant que possible les jalons incitatifs. D’importants investissements et une forte mobilisation des équipes opérationnelles et des métiers ont été mis en œuvre pour adapter les outils et absorber la charge de travail induite par les transitions, y compris pour la modification des contrats. Il est à noter que les développements informatiques ont été très dépendants du calendrier de détermination des indices alternatifs cibles aux LIBOR et de l’émergence de standards de marché. La réalisation ordonnée et maitrisée de ces transitions a été assurée par l’ensemble des actions entreprises depuis 2019. Au second semestre 2021 , les entités ont notamment concentré leurs efforts sur la finalisation de l’ensemble des développements informatiques et l’intensification de l’information et des interactions avec les clients pour leur expliquer plus en détail les modalités de transition et poursuivre les efforts engagés pour prévenir les risques de conduite. Les travaux menés ont également permis de mettre les entités du Groupe en capacité de gérer les nouvelles offres de produits RFR tout en préservant l'expérience et la satisfaction client. — Bilan des transitions au 31/12/ 2021 : Pour la plupart des entités et activités concernées, les plans de transition proactifs ont été activés dès que possible en 2021 avec une intensification au deuxième semestre : prêts / emprunts de cash entre entités du Groupe, émissions obligataires du Crédit Agricole SA, comptes de dépôts clientèle, dérivés de taux compensés transitionnés en masse via les cycles de conversion des chambres de compensation en octobre (EONIA) et en décembre (LIBOR hors USD). L’activation à partir du 1er janvier 2022 des clauses de fallback - considérées comme un « filet de sécurité » - a concerné une faible part du stock de contrats impactés par les modifications d’indice de référence. Toutefois, pour les dérivés non compensés et couverts par le protocole fallbacks ISDA, les acteurs de marché ont largement privilégié l’activation des fallbacks. A l’échelle du Groupe Crédit Agricole, peu de contrats référençant l’EONIA ou les LIBOR CHF, EUR, GBP et JPY n’ont pas pu faire l’objet d’une renégociation avant le 31 décembre 2021 ou être basculés sur un indice alternatif par activation de la clause de fallback. Ce stock résiduel de contrats concerne soit des négociations non finalisées au 31 décembre qui devraient aboutir début 2022, soit des contrats qui bénéficient ou bénéficieront des dispositifs législatifs en vigueur. — Gestion des risques : Outre la préparation et la mise en œuvre du remplacement des indices de référence disparaissant ou devenant non représentatifs au 31 décembre 2021 et la mise en conformité avec la réglementation BMR, les travaux du projet ont également porté sur la gestion et le contrôle des risques inhérents aux transitions des indices de référence, notamment sur les volets financiers, opérationnels, juridiques et conformité en particulier sur le volet protection des clients (prévention du « conduct risk »). Pour exemple, sur le volet financier, le risque de fragmentation du marché induit par l’utilisation de types de taux différents (calcul de taux prédéterminé en début de période d’intérêt dit « forward looking » ou calcul de taux post-déterminé dit « backward looking ») et de conventions différentes selon les classes d'actifs / devises peut conduire à des risques financiers pour les acteurs du secteur. Il est néanmoins anticipé que ces risques, clairement identifiés au sein du Groupe, devraient tendre à s’amoindrir au fur et à mesure que les standards de marché émergeront et que le secteur privé - avec le soutien des banques - sera en capacité de gérer cette fragmentation. — LIBOR USD : En 2022, les travaux du programme de transition se poursuivent, notamment pour préparer la cessation de la publication du LIBOR USD ou sa non représentativité en juin 2023. Ce volet concerne en premier lieu la banque d’investissement CACIB, entité du Groupe la plus exposée à cet indice. Pour la transition du LIBOR USD, la mise en œuvre d’un dispositif législatif sera confirmé ultérieurement par les autorités britanniques, les autorités américaines ayant pour leur part déjà validé la désignation de taux de remplacement statutaires pour les contrats de droit New-Yorkais. Afin que les relations de couvertures comptables affectées par cette réforme des indices de référence puissent être maintenues malgré les incertitudes sur le calendrier et les modalités de transition entre les indices de taux actuels et les nouveaux indices, l’IASB a publié des amendements à IAS 39, IFRS 9 et IFRS 7 en septembre 2019 qui ont été adoptés par l’Union européenne le 15 janvier 2020. Le Groupe applique ces amendements tant que les incertitudes sur le devenir des indices auront des conséquences sur les montants et les échéances des flux d’intérêt et considère, à ce titre, que tous ses contrats de couverture sur les indices concernés, peuvent en bénéficier au 31 décembre 2021. D’autres amendements, publiés par l’IASB en août 2020, complètent ceux publiés en 2019 et se concentrent sur les conséquences comptables du remplacement des anciens taux d'intérêt de référence par d’autres taux de référence à la suite des réformes. Ces modifications, dites « Phase 2 », concernent principalement les modifications des flux de trésorerie contractuels. Elles permettent aux entités de ne pas dé-comptabiliser ou ajuster la valeur comptable des instruments financiers pour tenir compte des changements requis par la réforme, mais plutôt de mettre à jour le taux d'intérêt effectif pour refléter le changement du taux de référence alternatif. En ce qui concerne la comptabilité de couverture, les entités n'auront pas à déqualifier leurs relations de couverture lorsqu'elles procèdent aux changements requis par la réforme et sous réserve d’équivalence économique. Au 31 décembre 2021, les instruments basés sur les anciens taux de référence ont tous transité vers les nouveaux taux. En l’absence d’annonces relatives à un remplacement prochain des indices EURIBOR, WIBOR et STIBOR, ceux-ci ont été exclus des données quantitatives fournies. Les encours en LIBOR USD reportés sont ceux dont la date d’échéance est ultérieure au 30/06/2023, date de disparition ou de non représentativité des « tenors » JJ, 1 mois, 3 mois, 6 mois et 12 mois. Pour les autres indices, les contrats basculés vers le taux alternatif par activation de la clause de fallback ont été exclus du recensement. Par conséquent, les encours en EONIA et LIBOR CHF correspondent aux contrats dont la renégociation contractuelle n’était pas totalement finalisée au 31 décembre 2021 et pour lesquels il n’est pas prévu de recours aux dispositifs législatifs en vigueur. Les encours en LIBOR GBP et JPY correspondent au stock résiduel de contrats pour lesquels les renégociations avec les clients n’ont pas abouti et qui devraient être couverts par le dispositif de la Commission Européenne en cours de mise en place . S’agissant des instruments financiers non dérivés, les expositions correspondent aux nominaux des titres et au capital restant dû des instruments amortissables. Conséquences comptables de la décision IFRS IC d’avril 2021 sur l’attribution d’avantages postérieurs à l’emploi aux périodes de services pour les régimes à prestations définies En décembre 2020, l’IFRS IC a été saisi d’une question portant sur la méthodologie de calcul des dettes actuarielles des régimes à prestations définies et sur la période d’acquisition des droits à retenir pour lesquels le nombre d’années d’ancienneté donnant lieu à attribution de droits est plafonné. Parmi plusieurs approches analysées, l’IFRS IC a retenu l’approche consistant à linéariser sur la période plafonnée précédant l’âge de retraite permettant d’obtenir les droits. Les plans concernés par la décision IFRS IC IAS 19 sont ceux pour lesquels : L’attribution de droits est conditionnée par la présence dans l’entreprise au moment du départ en retraite (avec perte de tout droit en cas de départ anticipé) ; Les droits dépendent de l’ancienneté, mais sont plafonnés à partir d’un certain nombre d’années d’ancienneté. Cette décision constitue un changement de méthode dans les approches retenues par le Groupe. L’impact de cette décision, qui a été enregistré au 1er janvier 2021 sans comparatif, s’élève à 204 milliers d’euros en termes de dettes actuarielles (Cf. note 7 – Avantages au personnel et autres rémunérations). Les impacts sur les états financiers s’élèvent à 204 milliers d’euros en termes de provision sur engagements sociaux (Cf. notes 6.14 – Provisions) en contrepartie des capitaux propres (effet de 151 milliers d’euros après prise en compte des effets fiscaux – Cf. Tableau de variation des capitaux propres). Ces impacts ne sont pas jugés significatifs. Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier : Normes, Amendements ou Interprétations Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du Applicable dans le Groupe Améliorations des IFRS cycle 2018-2020 - IFRS 1 Première adoption des normes internationales d'information financière, - IFRS 9 Instruments financiers, et - IAS 41 Agriculture 1er janvier 2022 Oui Amendement à IFRS 3 Références au cadre conceptuel 1er janvier 2022 Oui Amendement à IAS 16 Produits de la vente avant l’utilisation prévue 1er janvier 2022 Oui Amendement à IAS 37 Coûts à prendre en compte pour déterminer si un contrat est déficitaire 1er janvier 2022 Oui IFRS 17 Contrats d’assurance 1er janvier 2023 Non Normes IFRS 17 : Contrats d’assurance . La norme IFRS 17 Contrats d’assurance publiée en mai 2017 remplacera la norme IFRS 4. Elle sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1 er janvier 2023. La norme IFRS 17 définit de nouveaux principes en matière de valorisation, de comptabilisation des passifs des contrats d’assurance et d’appréciation de leur profitabilité, ainsi qu’en matière de présentation. De 2017 à 2020, un cadrage du projet de mise en œuvre a été réalisé afin d’identifier les enjeux et les impacts de la norme pour les filiales assurance du Groupe. Les travaux d’analyse et de préparation de mise en œuvre se sont poursuivis en 2021. La version applicable dans le Groupe, i.e. celle de la norme IFRS 17 telle qu’adoptée par l’Union européenne permet pour les entreprises d’assurance de l’UE d’exempter les contrats mutualisés intergénérationnels et avec compensation des flux de trésorerie de l’exigence de cohorte annuelle imposée par la norme telle qu’adoptée par l’IASB. Normes et interprétations non encore adoptées par l’Union européennes au 31 décembre 2021 . Les normes et interprétations publiées par l’IASB au 31 décembre 2021 mais non encore adoptées par l’Union européenne ne sont pas applicables par le Groupe. Elles n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de la date prévue par l’Union européenne et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2021 . 1.2. Principes et méthodes comptables . Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers . — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur. Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés nationaux et internationaux ; les fluctuations des taux d’intérêt et de change ; la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ; les modifications de la réglementation ou de la législation. Cette liste n’est pas exhaustive. Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes : les instruments financiers évalués à la juste valeur ; les participations non consolidées ; les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ; les plans de stock options ; les dépréciations d’instruments de dette au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables ; les provisions ; les dépréciations des écarts d’acquisition ; les actifs d’impôts différés ; la valorisation des entreprises mises en équivalence ; Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après. Instruments financiers (IFRS 9, IAS 32 et 39) Définitions . — La norme IAS 32 définit un instrument financier comme tout contrat qui donne lieu à un actif financier d’une entité et à un passif financier ou à un instrument de capitaux propres d’une autre entité , c'est-à-dire tout contrat représentant les droits ou obligations contractuels de recevoir ou de payer des liquidités ou d'autres actifs financiers. Les instruments dérivés sont des actifs ou passifs financiers dont la valeur évolue en fonction de celle d’un sous-jacent, qui requièrent un investissement initial faible ou nul, et dont le règlement intervient à une date future. Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IFRS 9 telle qu’adoptée par l’Union européenne y compris pour les actifs financiers détenus par les entités d’assurance du Groupe. La norme IFRS 9 définit les principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation / provisionnement du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture. Il est toutefois précisé que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée utilise l’option de ne pas appliquer le modèle général de couverture d’IFRS 9. L’ensemble des relations de couverture reste en conséquence dans le champ d’IAS 39 en attendant les futures dispositions relatives à la macro-couverture. Conventions d’évaluation des actifs et passifs financiers . — Evaluation initiale  : Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. La juste valeur telle que définie par IFRS 13 correspond au prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. — Evaluation ultérieure  : Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classement soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE) pour les instruments de dette, soit à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. Les instruments dérivés sont toujours évalués à leur juste valeur. Le coût amorti correspond au montant auquel est évalué l’actif financier ou le passif financier lors de sa comptabilisation initiale, en intégrant les coûts de transaction directement attribuables à leur acquisition ou à leur émission, diminué des remboursements en principal, majoré ou diminué de l’amortissement cumulé calculé par la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE) de toute différence (décote ou prime) entre le montant initial et le montant à l’échéance. Dans le cas d’un actif financier au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, le montant peut être ajusté si nécessaire au titre de la correction pour pertes de valeur (Cf. paragraphe "Provisionnement pour risque de crédit"). Le taux d’intérêt effectif (TIE) est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs prévus sur la durée de vie attendue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier. Actifs financiers . — Classement et évaluation des actifs financiers  : Les actifs financiers non dérivés (instruments de dette ou de capitaux propres) sont classés au bilan dans des catégories comptables qui déterminent leur traitement comptable et leur mode d’évaluation ultérieur. Les critères de classement et d’évaluation des actifs financiers dépendent de la nature de l’actif financier, selon qu’il est qualifié : d’instruments de dette (par exemple des prêts et titres à revenu fixe ou déterminable) ; ou d’instruments de capitaux propres (par exemple des actions). Ces actifs financiers sont classés dans l’une des trois catégories suivantes : actifs financiers à la juste valeur par résultat ; actifs financiers au coût amorti (instruments de dette uniquement) ; actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres (recyclables pour les instruments de dette, non recyclables pour les instruments de capitaux propres). — Instruments de dette  : Le classement et l’évaluation d’un instrument de dette dépendent de deux critères réunis : le modèle de gestion défini au niveau portefeuille et l’analyse des caractéristiques contractuelles déterminée par instrument de dette sauf utilisation de l'option à la juste valeur. Les trois modèles de gestion : Le modèle de gestion est représentatif de la stratégie que suit le management de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée pour la gestion de ses actifs financiers, dans l’atteinte de ses objectifs. Le modèle de gestion est spécifié pour un portefeuille d’actifs et ne constitue pas une intention au cas par cas pour un actif financier isolé. On distingue trois modèles de gestion : Le modèle collecte dont l’objectif est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie des actifs ; ce modèle n’implique pas systématiquement de détenir la totalité des actifs jusqu’à leur échéance contractuelle ; toutefois, les ventes d’actifs sont strictement encadrées ; Le modèle collecte et vente dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie sur la durée de vie et de céder les actifs ; dans ce modèle, la vente d’actifs financiers et la perception de flux de trésorerie sont toutes les deux essentielles ; et Le modèle autre / vente dont l’objectif principal est de céder les actifs. Il concerne notamment les portefeuilles dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie via les cessions, les portefeuilles dont la performance est appréciée sur la base de sa juste valeur, les portefeuilles d’actifs financiers détenus à des fins de transaction. Lorsque la stratégie que suit le management pour la gestion d’actifs financiers ne correspond ni au modèle collecte, ni au modèle collecte et vente, ces actifs financiers sont classés dans un portefeuille dont le modèle de gestion est autre / vente. Les caractéristiques contractuelles (test " Solely Payments of Principal & Interests " ou test "SPPI") : Le test "SPPI" regroupe un ensemble de critères, examinés cumulativement, permettant d’établir si les flux de trésorerie contractuels respectent les caractéristiques d’un financement simple (remboursements de nominal et versements d’intérêts sur le nominal restant dû). Le test est satisfait lorsque le financement donne droit seulement au remboursement du principal et lorsque le versement des intérêts perçus reflète la valeur temps de l'argent, le risque de crédit associé à l'instrument, les autres coûts et risques d'un contrat de prêt classique ainsi qu’une marge raisonnable, que le taux d’intérêt soit fixe ou variable. Dans un financement simple, l’intérêt représente le coût du passage du temps, le prix du risque de crédit et de liquidité sur la période, et d’autres composantes liées au coût du portage de l’actif (ex : coûts administratifs…). Dans certains cas, cette analyse qualitative ne permettant pas de conclure, une analyse quantitative (ou Benchmark test) est effectuée. Cette analyse complémentaire consiste à comparer les flux de trésorerie contractuels de l’actif étudié et les flux de trésorerie d’un actif de référence. Si la différence entre les flux de trésorerie de l’actif financier et celui de référence est jugée non significative, l’actif est considéré comme un financement simple. Par ailleurs, une analyse spécifique sera menée dans le cas où l’actif financier est émis par des entités ad hoc établissant un ordre de priorité de paiement entre les porteurs des actifs financiers en liant de multiples instruments entre eux par contrat et créant des concentrations de risque de crédit (des "tranches"). Chaque tranche se voit attribuer un rang de subordination qui précise l’ordre de distribution des flux de trésorerie générés par l’entité structurée. Dans ce cas, le test "SPPI" nécessite une analyse des caractéristiques des flux de trésorerie contractuels de l’actif concerné et des actifs sous-jacents selon l’approche " look-through " et du risque de crédit supporté par les tranches souscrites comparé au risque de crédit des actifs sous-jacents. Le mode de comptabilisation des instruments de dette résultant de la qualification du modèle de gestion couplée au test "SPPI" peut être présenté sous la forme du diagramme ci-après : Instruments de dette Modèles de gestion Collecte Collecte et vente Autre / Vente Test SPPI Satisfait Coût amorti Juste valeur par capitaux propres recyclables Juste valeur par résultat (Test SPPI N/A) Non satisfait Juste valeur par résultat Juste valeur par résultat — Instruments de dette au coût amorti  : Les instruments de dette sont évalués au coût amorti s’ils sont éligibles au modèle collecte et s’ils respectent le test "SPPI". Ils sont enregistrés à la date de règlement-livraison et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes et des frais de transaction des prêts et créances, et des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Cette catégorie d’instruments financiers fait l’objet d'ajustements au titre des pertes attendues (ECL) dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique « Dépréciation / provisionnement pour risque de crédit ». — Instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables  : Les instruments de dette sont évalués à la juste valeur par capitaux propres recyclables s’ils sont éligibles au modèle collecte et vente et s’ils respectent le test "SPPI". Ils sont enregistrés à la date de négociation et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Ces actifs financiers sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables en contrepartie du compte d’encours (hors intérêts courus comptabilisés en résultat selon la méthode du TIE). En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat. Cette catégorie d’instruments financiers fait l’objet d'ajustements au titre des pertes attendues (ECL) dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique "Dépréciation / provisionnement pour risque de crédit" (sans que cela n’affecte la juste valeur au bilan). — Instruments de dette à la juste valeur par résultat  : Les instruments de dette sont évalués en juste valeur par résultat dans les cas suivants : Les instruments sont classés dans des portefeuilles constitués d’actifs financiers détenus à des fins de transaction ou dont l'objectif principal est la cession ; Les actifs financiers détenus à des fins de transaction sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste. Bien que les flux de trésorerie contractuels soient perçus pendant le temps durant lequel la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée détient les actifs, la perception de ces flux de trésorerie contractuels n’est pas essentielle mais accessoire. Les instruments de dette qui ne respectent pas les critères du test "SPPI". C’est notamment le cas des OPC (Organismes de Placement Collectif) ; Les instruments financiers classés dans des portefeuilles pour lesquels la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée choisit la valorisation à la juste valeur afin de réduire une différence de traitement comptable au compte de résultat. Dans ce cas, il s'agit d'un classement sur option à la juste valeur par résultat. Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en Produit Net Bancaire (PNB), en contrepartie du compte d’encours. Les intérêts de ces instruments sont comptabilisés dans la rubrique « gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat ». Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation au titre du risque de crédit. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat par nature dont le modèle de gestion est « Autre / vente » sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat sur option sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat par nature, par échec au test SPPI, sont enregistrés à la date de règlement-livraison. — Instruments de capitaux propres  : Les instruments de capitaux propres sont par défaut comptabilisés à la juste valeur par résultat, sauf option irrévocable pour un classement et une évaluation à la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sous réserve que ces instruments ne soient pas détenus à des fins de transaction. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat  : Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat). Les instruments de capitaux propres détenus à des fins de transaction sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de capitaux propres évalués à la juste valeur par résultat et non détenus à des fins de transaction sont enregistrés en date règlement-livraison. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en Produit Net Bancaire (PNB), en contrepartie du compte d’encours. Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. — Instrument de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (sur option irrévocable)  : L’option irrévocable de comptabiliser les instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables est retenue au niveau transactionnel (ligne par ligne) et s’applique à la date de comptabilisation initiale. Ces titres sont enregistrés à la date de négociation. La juste valeur initiale intègre les coûts de transaction. Lors des évaluations ultérieures, les variations de juste valeur sont comptabilisées en capitaux propres non recyclables. En cas de cession, ces variations ne sont pas recyclées en résultat, le résultat de cession est comptabilisé en capitaux propres. Seuls les dividendes sont reconnus en résultat si : le droit de l’entité d’en percevoir le paiement est établi ; il est probable que les avantages économiques associés aux dividendes iront à l’entité ; le montant des dividendes peut être évalué de façon fiable. Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. — Reclassement d’actifs financiers  : En cas de changement important de modèle économique dans la gestion des actifs financiers (nouvelle activité, acquisition d’entités, cession ou abandon d’une activité significative), un reclassement de ces actifs financiers est nécessaire. Le reclassement s’applique à la totalité des actifs financiers du portefeuille à partir de la date de reclassement. Dans les autres cas, le modèle de gestion reste inchangé pour les actifs financiers existants. Si un nouveau modèle de gestion est identifié, il s’applique de manière prospective, aux nouveaux actifs financiers, regroupés dans un nouveau portefeuille de gestion. — Acquisition et cession temporaire de titres  : Les cessions temporaires de titres (prêts de titres, titres donnés en pension livrée) ne remplissent généralement pas les conditions de dé comptabilisation . Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Dans le cas de titres mis en pension, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant. Les titres empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire. Dans le cas de titres pris en pension, une créance à l’égard du cédant est enregistrée au bilan du cessionnaire en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension. Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement des actifs et passifs à la juste valeur par résultat. — Décomptabilisation des actifs financiers  : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie : lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ; ou sont transférés, ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée. Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs. Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif. Les actifs financiers renégociés pour raisons commerciales en l’absence de difficultés financières de la contrepartie et dans le but de développer ou conserver une relation commerciale sont décomptabilisés en date de renégociation. Les nouveaux prêts accordés aux clients sont enregistrés à leur juste valeur à la date de renégociation. La comptabilisation ultérieure dépend du modèle de gestion et du test "SPPI". — Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20)  : Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. Ainsi, les prêts qui bénéficient de ces bonifications sont accordés au taux de marché. Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat. Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées en résultat sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20. Passifs financiers — Classement et évaluation des passifs financiers  : Les passifs financiers sont classés au bilan dans les deux catégories comptables suivantes : passifs financiers à la juste valeur par résultat, par nature ou sur option ; passifs financiers au coût amorti. — Passifs financiers à la juste valeur par résultat par nature  : Les instruments financiers émis principalement en vue d’être rachetés à court terme, les instruments faisant partie d’un portefeuille d’instruments financiers identifiés qui sont gérés ensemble et qui présentent des indications d’un profil récent de prise de bénéfice à court terme, et les dérivés (à l’exception de certains dérivés de couverture) sont évalués à la juste valeur par nature. Les variations de juste valeur de ce portefeuille sont constatées en contrepartie du compte de résultat. — Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option  : Les passifs financiers répondant à l’un des trois cas prévus par la norme ci-après, peuvent être évalués à la juste valeur par résultat sur option : émissions hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés séparables, réduction ou élimination de distorsion de traitement comptable ou groupes de passifs financiers gérés et dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette option est irrévocable et s’applique obligatoirement à la date de comptabilisation initiale de l’instrument. Lors des évaluations ultérieures, ces passifs financiers sont évalués à la juste valeur en contrepartie du résultat pour les variations de juste valeur non liées au risque de crédit propre et en contrepartie des capitaux propres non recyclables pour les variations de valeur liées au risque de crédit propre sauf si cela aggrave la non-concordance comptable (auquel cas les variations de valeur liées au risque de crédit propre sont enregistrées en résultat, comme prévu par la norme). — Passifs financiers évalués au coût amorti  : Tous les autres passifs répondant à la définition d’un passif financier (hors dérivés) sont évalués au coût amorti. Ces passifs sont enregistrés en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. — Produits de la collecte  : Les produits de la collecte sont comptabilisés dans la catégorie des "Passifs financiers au coût amorti – Dettes envers la clientèle" malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle. L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti. Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché. Les plans d’épargne-logement et les comptes d’épargne-logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.14 "Provisions". — Reclassement de passifs financiers  : Le classement initial des passifs financiers est irrévocable. Aucun reclassement ultérieur n’est autorisé. — Distinction dettes – capitaux propres  : La distinction entre instruments de dette et instruments de capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance économique des dispositifs contractuels. Un passif financier est un instrument de dette s’il inclut une obligation contractuelle : de remettre à une autre entité de la trésorerie, un autre actif financier ou un nombre variable d’instruments de capitaux propres ; ou d’échanger des actifs et des passifs financiers avec une autre entité à des conditions potentiellement défavorables. Un instrument de capitaux propres est un instrument financier non remboursable qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette. — Décomptabilisation et modification des passifs financiers  : Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie : lorsqu’il arrive à extinction ; ou lorsque les analyses quantitative ou qualitative concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration. Une modification substantielle d’un passif financier existant doit être enregistrée comme une extinction du passif financier initial et la comptabilisation d’un nouveau passif financier (la novation). Tout différentiel entre la valeur comptable du passif éteint et du nouveau passif sera enregistré immédiatement au compte de résultat. Si le passif financier n’est pas décomptabilisé, le TIE d’origine est maintenu. Une décote / surcote est constatée immédiatement au compte de résultat en date de modification puis fait l’objet d’un étalement au TIE d’origine sur la durée de vie résiduelle de l’instrument. Intérêts négatifs sur actifs et passifs financiers . — Conformément à la décision de l’IFRS IC de janvier 2015, les produits d'intérêt négatifs (charges) sur actifs financiers ne répondant pas à la définition d’un revenu au sens d’IFRS 15 sont comptabilisés en charges d’intérêts en compte de résultat, et non en réduction du produit d’intérêts. Il en est de même pour les charges d’intérêts négatives (produits) sur passifs financiers. Dépréciation / provisionnement pour risque de crédit  : — Champ d’application  : Conformément à IFRS 9, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise une correction de valeur au titre des pertes de crédit attendues (" Expected Credit Losses " ou " ECL" ) sur les encours suivants : les actifs financiers d’instruments de dette au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables (prêts et créances, titres de dette) ; les engagements de financement qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat ; les engagements de garantie relevant d’IFRS 9 et qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat ; les créances locatives relevant de la norme IFRS 16 ; et les créances commerciales générées par des transactions de la norme IFRS 15. Les instruments de capitaux propres (à la juste valeur par résultat ou à la juste valeur par OCI non recyclables) ne sont pas concernés par les dispositions en matière de dépréciation. Les instruments dérivés et les autres instruments financiers évalués à la juste valeur par résultat font l’objet d’un calcul de risque de contrepartie qui n’est pas visé par le modèle ECL. Ce calcul est décrit dans le chapitre 5 "Risques et Pilier 3" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. — Risque de crédit et étapes de dépréciation / provisionnement  : Le risque de crédit se définit comme le risque de pertes lié au défaut d’une contrepartie entraînant son incapacité à faire face à ses engagements vis-à-vis du Groupe. Le processus de provisionnement du risque de crédit distingue trois étapes ( Stages ) : 1 ère étape ( Stage 1) : dès la comptabilisation initiale de l’instrument financier (crédit, titre de dette, garantie …), la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise les pertes de crédit attendues sur 12 mois ; 2 ème étape ( Stage 2) : si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise les pertes attendues à maturité ; 3 ème étape ( Stage 3) : dès lors qu’un ou plusieurs événements de défaut sont intervenus sur la transaction ou sur la contrepartie en ayant un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise une perte de crédit avérée à maturité. Par la suite, si les conditions de classement des instruments financiers en S tage 3 ne sont plus respectées, les instruments financiers sont reclassés en S tage 2, puis en S tage 1 en fonction de l'amélioration ultérieure de la qualité de risque de crédit. A compter de l'arrêté du 31 décembre 2021 , le terme « Bucket » qui était utilisé depuis le passage à IFRS 9 est remplacé par le terme « Stage » dans l’ensemble des états financiers. N.B. Il s’agit uniquement d’un changement de terminologie, sans impact sur la comptabilisation des ajustements pour pertes de crédit (ECL). – Définition du défaut  : La définition du défaut pour les besoins du provisionnement ECL est identique à celle utilisée en gestion et pour les calculs de ratios réglementaires. Ainsi, un débiteur est considéré en situation de défaut, lorsqu’au moins une des deux conditions suivantes est satisfaite : un arriéré de paiement significatif généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l’arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée estime improbable que le débiteur s’acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu’elle ait recours à d’éventuelles mesures telles que la réalisation d’une sûreté. Un encours en défaut ( Stage 3) est dit déprécié lorsque se sont produits un ou plusieurs événements qui ont un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de cet actif financier. Les indications de dépréciation d’un actif financier englobent les données observables au sujet des événements suivants : des difficultés financières importantes de l’émetteur ou de l’emprunteur ; un manquement à un contrat, tel qu’une défaillance ou un paiement en souffrance ; l’octroi, par le ou les prêteurs à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou contractuelles liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une ou de plusieurs faveurs que le ou les prêteurs n’auraient pas envisagées dans d’autres circonstances ; la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière de l’emprunteur ; la disparition d’un marché actif pour l’actif financier en raison de difficultés financières ; l’achat ou la création d’un actif financier avec une forte décote, qui reflète les pertes de crédit subies. Il n’est pas nécessairement possible d’isoler un événement en particulier, la dépréciation de l’actif financier pouvant résulter de l’effet combiné de plusieurs événements. La contrepartie en défaut ne revient en situation saine qu’après une période d’observation qui permet de valider que le débiteur n’est plus en situation de défaut (appréciation par la Direction des Risques). – La notion de perte de crédit attendue "ECL"  : L’ECL se définit comme la valeur probable espérée pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L’approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. – Gouvernance et mesure des ECL  : La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres IFRS 9 s’appuie sur l’organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le Groupe s’appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres IFRS 9 nécessaires au calcul des ECL. L’appréciation de l’évolution du risque de crédit s’appuie sur un modèle d’anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, doivent être retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut. Ces calculs s’appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu’ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. La norme IFRS 9 préconise une analyse en date d’arrêté ( Point in Time ) tout en tenant compte de données de pertes historiques et des données prospectives macro-économiques ( Forward Looking ), alors que la vue prudentielle s’analyse à travers le cycle ( Through The Cycle ) pour la probabilité de défaut et en bas de cycle ( Downturn ) pour la perte en cas de défaut. L’approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut (" Loss Given Default" ou " LGD "). Les modalités de calcul de l’ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : instruments financiers et instruments hors bilan. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie, et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d’une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l’instrument financier est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu’il y ait défaillance dans les douze mois. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l’instrument financier. Les modalités de mesure des ECL tiennent compte des biens affectés en garantie et des autres rehaussements de crédit qui font partie des modalités contractuelles et que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée ne comptabilise pas séparément. L’estimation des insuffisances de flux de trésorerie attendues d’un instrument financier garanti reflète le montant et le calendrier de recouvrement des garanties. Conformément à la norme IFRS 9, la prise en compte des garanties et sûretés n’influe pas sur l’appréciation de la dégradation significative du risque de crédit : celle-ci s’appuie sur l’évolution du risque de crédit sur le débiteur sans tenir compte des garanties. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives ( Forward Looking ) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : au niveau du Groupe dans la détermination d’un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l’horizon d’amortissement des opérations; au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. — Dégradation significative du risque de crédit  : Toutes les entités du Groupe doivent apprécier, pour chaque instrument financier, la dégradation du risque de crédit depuis l’origine à chaque date d’arrêté. Cette appréciation de l’évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque ( Stages ). Afin d’apprécier la dégradation significative, le Groupe prévoit un processus basé sur deux niveaux d’analyse : un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s’imposent aux entités du Groupe ; un second niveau lié à l’appréciation, à dire d’expert au titre du Forward Looking local, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement en Stage 2 (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque instrument financier. Aucune contagion n’est requise pour le passage de Stage 1 à Stage 2 des instruments financiers d’une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l’évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d’une garantie de l’actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L’origine s’entend comme la date de négociation, lorsque la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée devient partie aux dispositions contractuelles de l’instrument financier. Pour les engagements de financement et de garantie, l’origine s’entend comme la date d’engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d’impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en Stage 2. Pour les encours (à l'exception des titres) pour lesquels des dispositifs de notation internes ont été construits (en particulier les expositions suivies en méthodes autorisées), le groupe Crédit Agricole considère que l’ensemble des informations intégrées dans les dispositifs de notation permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d’impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l’origine cesse d’être constatée, la dépréciation peut être ramenée à des pertes attendues à 12 mois ( Stage 1). Afin de suppléer le fait que certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne soient pas identifiables au niveau d’un instrument financier pris isolément, la norme autorise l’appréciation de la dégradation significative pour des portefeuilles, des groupes de portefeuilles ou des portions de portefeuille d’instruments financiers. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : le type d’instrument ; la note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d’un système de notation interne) ; le type de garantie ; la date de comptabilisation initiale ; la durée à courir jusqu’à l’échéance ; le secteur d’activité ; l’emplacement géographique de l’emprunteur ; la valeur du bien affecté en garantie par rapport à l’actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; le circuit de distribution, l’objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d’instruments financiers aux fins de l’appréciation des variations du risque de crédit sur une base collective peut changer au fil du temps, au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles. Pour les titres, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise l'approche qui consiste à appliquer un niveau absolu de risque de crédit, conformément à IFRS 9, en-deçà duquel les expositions seront classées en Stage 1 et dépréciées sur la base d’un ECL à 12 mois. Ainsi, les règles suivantes s’appliqueront pour le suivi de la dégradation significative des titres : les titres notés " Investment Grade" , en date d’arrêté, seront classés en Stage 1 et provisionnés sur la base d’un ECL à 12 mois ; les titres notés " Non-Investment Grade" (NIG), en date d’arrêté, devront faire l’objet d’un suivi de la dégradation significative, depuis l’origine, et être classés en Stage 2 (ECL à maturité) en cas de dégradation significative du risque de crédit. La détérioration relative doit être appréciée en amont de la survenance d’une défaillance avérée ( Stage 3). — Restructurations pour cause de difficultés financières  : Les instruments de dette restructurés pour difficultés financières sont ceux pour lesquels la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, maturité, etc.) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi, ils concernent tous les instruments de dette, quelle que soit la catégorie de classement de l’instrument de dette en fonction de la dégradation du risque de crédit observée depuis la comptabilisation initiale. Conformément à la définition de l’ABE (Autorité Bancaire Européenne) précisée dans le chapitre "Facteurs de risque" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A., les restructurations de créances pour difficultés financières du débiteur correspondent à l’ensemble des modifications apportées à un ou à des contrats de crédit à ce titre, ainsi qu’aux refinancements accordés en raison des difficultés financières rencontrées par le client. Cette notion de restructuration doit s’apprécier au niveau du contrat et non au niveau du client (pas de contagion). La définition des créances restructurées pour cause de difficultés financières répond donc à deux critères cumulatifs : Des modifications de contrat ou des refinancements de créance (concessions) ; Un client en situation financière difficile (débiteur rencontrant, ou sur le point de rencontrer des difficultés pour honorer ses engagements financiers). Par "modification de contrat", sont visées par exemple les situations dans lesquelles : Il existe une différence en faveur de l’emprunteur entre le contrat modifié et les conditions antérieures au contrat ; Les modifications apportées au contrat conduisent à des conditions plus favorables pour l’emprunteur concerné que ce qu’auraient pu obtenir, au même moment, d’autres emprunteurs de la banque ayant un profil de risque similaire. Par "refinancement", sont visées les situations dans lesquelles une dette nouvelle est accordée au client pour lui permettre de rembourser totalement ou partiellement une autre dette dont il ne peut assumer les conditions contractuelles en raison de sa situation financière. Une restructuration de prêt (sain ou en défaut) indique une présomption d’existence d’un risque de perte avérée ( Stage 3). La nécessité de constituer une dépréciation sur l’exposition restructurée doit donc être analysée en conséquence (une restructuration n’entraîne pas systématiquement la constitution de dépréciation pour perte avérée et un classement en défaut). La qualification de "créance restructurée" est temporaire. Dès lors que l’opération de restructuration au sens de l’ABE a été réalisée, l’exposition conserve ce statut de “restructurée” pendant une période a minima de 2 ans si l’exposition était saine au moment de la restructuration, ou de 3 ans si l’exposition était en défaut au moment de la restructuration. Ces périodes sont prolongées en cas de survenance de certains événements (nouveaux incidents par exemple). En l’absence de dé comptabilisation liée à ce type d’événement, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote en coût du risque. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisé au taux effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre : La valeur comptable de la créance ; Et la somme des flux futurs de trésorerie théoriques du prêt "restructuré", actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement). En cas d’abandon d’une partie du capital, ce montant constitue une perte à enregistrer immédiatement en coût du risque. La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Lors de la reprise de la décote, la part due à l’effet de l’écoulement du temps est enregistrée en "Produit Net Bancaire". — Irrécouvrabilité  : Lorsqu’une créance est jugée irrécouvrable, c'est-à-dire qu’il n’y a plus d’espoir de la récupérer en tout ou partie, il convient de décomptabiliser du bilan et de passer en perte le montant jugé irrécouvrable. L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert. Chaque entité doit donc le fixer, avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité. Avant tout passage en perte, une dépréciation en Stage 3 aura dû être constitué (à l’exception des actifs à la juste valeur par résultat). Pour les crédits au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, le montant passé en perte est enregistré en coût du risque pour le nominal, en "Produit net bancaire" pour les intérêts. Instruments financiers dérivés — Classement et évaluation  : Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers classés par défaut en instruments dérivés détenus à des fins de transaction sauf à pouvoir être qualifiés d’instruments dérivés de couverture. Ils sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur initiale à la date de négociation. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur. A chaque arrêté comptable, la contrepartie des variations de juste valeur des dérivés au bilan est enregistrée : En résultat s’il s’agit d’instruments dérivés détenus à des fins de transaction ou de couverture de juste valeur ; En capitaux propres recyclables s’il s’agit d’instruments dérivés de couverture de flux de trésorerie ou d’un investissement net dans une activité à l’étranger, pour la part efficace de la couverture. La comptabilité de couverture  : – Cadre général  : Conformément à la décision du Groupe, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’applique pas le volet "comptabilité de couverture" d’IFRS 9 suivant l’option offerte par la norme. L’ensemble des relations de couverture reste documenté selon les règles de la norme IAS 39, et ce au plus tard jusqu’à la date d’application du texte sur la macro-couverture lorsqu’il sera adopté par l’Union européenne. Néanmoins, l’éligibilité des instruments financiers à la comptabilité de couverture selon IAS 39 prend en compte les principes de classement et d’évaluation des instruments financiers de la norme IFRS 9. Sous IFRS 9, et compte-tenu des principes de couverture d’IAS 39, sont éligibles à la couverture de juste valeur et à la couverture de flux de trésorerie, les instruments de dette au coût amorti et à la juste valeur par capitaux propres recyclables. – Documentation  : Les relations de couverture doivent respecter les principes suivants : La couverture de juste valeur a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut affecter le résultat (par exemple, couverture de tout ou partie des variations de juste valeur dues au risque de taux d’intérêt d’une dette à taux fixe) ; La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de flux de trésorerie futurs d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’une transaction prévue hautement probable, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut ou pourrait (dans le cas d’une transaction prévue mais non réalisée) affecter le résultat (par exemple, couverture des variations de tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ; La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se prémunir contre le risque de variation défavorable de la juste valeur liée au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro, monnaie de présentation de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée. Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent également être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture  : Éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ; Documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ; Démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté. Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite carve out ). Notamment : Le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts ; La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers. Des précisions sur la stratégie de gestion des risques du Groupe et son application sont apportées dans le chapitre 5 "Risques et Pilier 3 du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. – Evaluation  : L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé à sa juste valeur se fait de la façon suivante : couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ; couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite recyclés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ; couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres recyclables et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat. Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement, sauf en cas de disparition de l’élément couvert : couverture de juste valeur : seul l'instrument dérivé continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à son classement. Pour les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres en totalité. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; couverture de flux de trésorerie : l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que les flux couverts de l'élément couvert affectent le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est en pratique amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; couverture d'investissement net à l'étranger : Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation. — Dérivés incorporés  : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Cette désignation s’applique uniquement aux passifs financiers et aux contrats non financiers. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies : le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ; séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ; les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celles du contrat hôte. Détermination de la juste valeur des instruments financiers . — La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permet et fait l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. La Caisse Régionale Crédit Agricole Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques d’évaluation qui maximisent l’utilisation des données observables pertinentes et minimisent celle des données non observables. Lorsqu'une dette est évaluée à la juste valeur par résultat (par nature ou sur option), la juste valeur tient compte du risque de crédit propre de l’émetteur. — Risque de contrepartie sur les dérivés  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debit Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. Elle repose prioritairement sur des paramètres de marché tels que les Credit default Swaps (CDS) nominatifs cotés (ou CDS Single Name ) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. — Hiérarchie de la juste valeur  : La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation. Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange , le New York Stock Exchange …), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures. Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale. Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs. Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1 Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché. Sont présentés en niveau 2 : les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes ) et fondée sur des données de marché observables ; les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marché observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté. Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation. Niveau 3 : justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3. Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de produits structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché. Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée. La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent "observables", la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat. Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie. Compensation des actifs et passifs financiers . — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément. Les instruments dérivés et les opérations de pension traités avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan. Gains ou pertes nets sur instruments financiers  : — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : Pour les instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par résultat, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : Les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie. Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture. — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres  : Pour les actifs financiers comptabilisés à la juste valeur en capitaux propres, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : Les dividendes provenant d'instruments de capitaux propres classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres non recyclables ; Les plus et moins-values de cession ainsi que les résultats liés à la rupture de la relation de couverture sur les instruments de dette classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ; Les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres lorsque l'élément couvert est cédé. Engagements de financement et garanties financières donnés . — Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IFRS 9 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IFRS 9. Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser son titulaire d’une perte qu’il subit en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié qui n’effectue pas un paiement à l’échéance selon les conditions initiales ou modifiées d’un instrument de dette. Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre : le montant de la correction de valeur pour pertes déterminée selon les dispositions de la norme IFRS 9, chapitre "Dépréciation" ; ou le montant initialement comptabilisé diminué, s’il y a lieu, du cumul des produits comptabilisés selon les principes d’IFRS 15 "Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients". Provisions (IAS 37 et 19) . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif. Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment : les risques opérationnels ; les avantages au personnel ; les risques d’exécution des engagements par signature ; les litiges et garanties de passif ; les risques fiscaux (hors impôt sur le résultat) ; les risques liés à l’épargne-logement. Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ; l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ; la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations : la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ; les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes. Des informations détaillées sont fournies en note 6.14 " Provisions " . Avantages au personnel (IAS 19)  : Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories : les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participations et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus ; les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies ; les autres avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ; les indemnités de cessation d’emploi. Avantages postérieurs à l’emploi  : — Régimes à prestations définies  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. (cf. note 7.4 " Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies " ). Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turnover. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice iBoxx AA. Conformément à la norme IAS 19, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables. Les écarts actuariels sont constitués des ajustements liés à l’expérience (différence entre ce qui a été estimé et ce qui s’est produit) et de l’effet des changements apportés aux hypothèses actuarielles. Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies. La différence entre le rendement attendu et le rendement réel des actifs de régimes est constaté en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables. Le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ; diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Afin de couvrir ses engagements, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. — Régimes à cotisations définies  : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé. Autres avantages à long terme . — Les autres avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus. Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différées versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions. La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies. Impôts courants et différés (IAS 12) . — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés. Celle-ci définit l’impôt exigible comme "le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice". Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou la perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale. Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe. L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices. L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif. Par ailleurs, certaines opérations réalisées par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles. La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants : un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par : la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ; la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction. un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible. un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés. Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas. Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation. Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction de ceux-ci. En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées d’impôt sur les sociétés (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part. Dans le cadre des contrats de location IFRS 16, un impôt différé passif est comptabilisé sur le droit d'utilisation et un impôt différé actif sur la dette locative pour les contrats de location dont le Groupe est preneur. L'impôt exigible et différé sont comptabilisés dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré : soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ; soit par un regroupement d'entreprises. Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale : soit sur la même entité imposable, soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés. Les risques fiscaux portant sur l’impôt sur le résultat donnent lieu à la comptabilisation d’une créance ou d’une dette d’impôt courant lorsque la probabilité de recevoir l’actif ou de payer le passif est jugée plus probable qu’improbable. Ces risques sont par ailleurs pris en compte dans l’évaluation des actifs et passifs d’impôts courants et différés. L’interprétation IFRIC 23 portant sur l’évaluation des positions fiscales incertaines s’applique dès lors qu’une entité a identifié une ou des incertitudes à propos de positions fiscales prises concernant ses impôts. Elle apporte également des précisions sur leurs estimations : l’analyse doit être fondée sur une détection à 100 % de l’administration fiscale ; le risque fiscal doit être comptabilisé au passif dès lors qu’il est plus probable qu’improbable que les autorités fiscales remettent en cause le traitement retenu, pour un montant reflétant la meilleure estimation de la Direction ; en cas de probabilité supérieure à 50 % de remboursement par l’administration fiscale, une créance doit être comptabilisée. Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique "Impôts sur les bénéfices" du compte de résultat. Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40) . — Le groupe Crédit Agricole applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles. Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement. Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus. Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation. Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d’amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 30 à 80 ans Second œuvre 8 à 40 ans Installations techniques 5 à 25 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans Matériel spécialisé 4 à 5 ans Opérations en devises (IAS 21) . — En date d’arrêté, les actifs et passifs libellés en monnaie étrangère sont convertis en euros, monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole. En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires (ex : instruments de dette) et non monétaires (ex : instruments de capitaux propres). Les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de change de clôture. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte trois exceptions : sur les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres recyclables ; sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère, les écarts de change sont comptabilisés en capitaux propres recyclables pour la part efficace ; sur les passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, les écarts de change liés aux variations de juste de valeur du risque de crédit propre sont enregistrés en capitaux propres non recyclables. Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon le traitement comptable de ces éléments avant conversion : les éléments au coût historique restent évalués au cours de change du jour de la transaction (cours historique) ; les éléments à la juste valeur sont convertis au cours de change à la date de clôture. Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés : en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ; en capitaux propres non recyclables si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres non recyclables. Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec les clients (IFRS 15) . Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent. Les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif (en application d’IFRS 9). Concernant les autres natures de commissions, leur comptabilisation au compte de résultat doit refléter le rythme de transfert au client du contrôle du bien ou du service vendu : le résultat d'une transaction associée à une prestation de services est comptabilisé dans la rubrique Commissions, lors du transfert du contrôle de la prestation de service au client s’il peut être estimé de façon fiable. Ce transfert peut intervenir au fur et à mesure que le service est rendu (service continu) ou à une date donnée (service ponctuel). Les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont enregistrées en résultat en fonction du degré d'avancement de la prestation rendue. Les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont, quant à elles, intégralement enregistrées en résultat lorsque la prestation est rendue. Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées à hauteur du montant pour lequel il est hautement probable que le revenu ainsi comptabilisé ne fera pas ultérieurement l'objet d'un ajustement significatif à la baisse lors de la résolution de l'incertitude. Cette estimation est mise à jour à chaque clôture. En pratique, cette condition a pour effet de différer l'enregistrement de certaines commissions de performance jusqu'à l'expiration de la période d'évaluation de performance et jusqu'à ce qu'elles soient acquises de façon définitive. Contrats d’assurance (IFRS 4) . — Les passifs d’assurance restent pour partie évalués selon les normes françaises conformément aux dispositions réglementaires d’IFRS 4, en attendant la 1 ère application d’IFRS 17 attendue le 1 er janvier 2023 qui remplacera IFRS 4 et viendra compléter le dispositif actuel. Les actifs financiers des sociétés d’assurance du groupe Crédit Agricole sont quant à eux reclassés au sein des catégories d’actifs financiers définis par la norme IFRS 9. Les provisions techniques des contrats d’assurance non-vie comportent : les provisions de sinistres, permettant de couvrir le coût total des sinistres survenus et restant à régler, et les provisions relatives à l’acquisition des primes (principalement les provisions pour primes non acquises), permettant de reconnaître dans le résultat d’un exercice les primes relatives aux risques réellement couverts au cours de cet exercice et donc de reporter la part des primes émises au cours de l’exercice qui concerne une période de couverture des risques postérieure à l’exercice en cours. La provision pour risques croissants peut être exigée pour les opérations d’assurance contre le risque de maladie et d’invalidité lorsque les primes sont constantes. Elle est égale à la différence des valeurs actuelles des engagements pris par l’assureur et par les assurés. Son calcul repose sur une démarche continue de mise à jour des bases biométriques (probabilité d’entrée en dépendance, durée de maintien…). Un complément à la provision pour risques croissants a été constitué pour le produit Assurance Dépendance. Il prend la forme d’une provision globale, distincte de la provision pour risques croissants réglementaire, permettant de faire face dès aujourd’hui à une éventuelle insuffisance de la production financière future, laquelle ne pourrait être compensée rapidement par des revalorisations tarifaires, limitées contractuellement à 5 % par an. En complément, une provision est constituée pour couvrir un risque de dérive technique. Les provisions mathématiques des contrats d’assurance vie ou des contrats financiers avec participation discrétionnaire correspondent à la différence de valeur actuelle des engagements de l’assureur et de l’assuré. Les provisions sont calculées en utilisant des méthodes actuarielles qui incluent des hypothèses portant sur les primes, la performance des actifs financiers, les taux de rachat des contrats et l’évolution des frais généraux. Les contrats avec participation discrétionnaire sont classés dans leur ensemble comme un passif en provisions techniques des sociétés d’assurance. Les méthodes de comptabilisation sont identiques à celles des contrats d'assurance. Les primes relatives à ces contrats sont comptabilisées en produit et l’augmentation des engagements vis-à-vis des assurés constitue une charge. Les provisions d’assurance vie sont estimées prudemment sur la base des taux techniques définis aux contrats. Les passifs des contrats avec participation bénéficiaire discrétionnaire, sans participation bénéficiaire ou garantie plancher sont comptabilisés par référence aux actifs servant de support à ces contrats à la valeur de marché ou son équivalent à la date d’arrêté et sont classés en passif financier. La marge financière de ces contrats est portée au compte de résultat, après extourne des éléments techniques (primes, prestations…), suivant le principe de comptabilité de dépôt. Les passifs des contrats d’assurance dommages sont estimés à la date de clôture, sans prise en compte de facteur d’actualisation. Les frais de gestion de sinistres liés aux provisions techniques enregistrées à la clôture sont provisionnés dans les comptes. Pour les contrats d’assurance non-vie, les frais d’acquisition sont reportés suivant le rythme d’acquisition des primes. Pour les contrats d’assurance vie, les frais d’acquisition précisément identifiables sont reportés sur le rythme d’émergence des profits. Le montant total des charges relatives à l’activité d’assurance est présenté dans la note 4.7 " Produits (charges) nets des autres activités " . Les contrats d’assurance ou d’investissement avec participation aux bénéfices discrétionnaire font l’objet d’une "comptabilité reflet" ("shadow accounting") conformément à l’option offerte par IFRS 4. Cette comptabilité reflet consiste à enregistrer dans un poste de participation aux bénéfices différée la part des revalorisations positives ou négatives des actifs financiers adossés à ces contrats et de certains retraitements de consolidation (par exemple l’élimination de la provision pour risque d’exigibilité) qui, potentiellement, reviennent aux assurés. Par ailleurs, le règlement CRC n°2000-05 prévoit la comptabilisation de participations différées, obligatoirement dans le cas des participations différées passives et pour leur montant recouvrable dans le cas de participations différées actives. Cette participation aux bénéfices différée est comptabilisée au passif (Provisions techniques des contrats d’assurance) ou à l'actif, en contrepartie du résultat ou des autres éléments du résultat global de manière similaire aux plus et moins-values latentes des actifs sur laquelle elle porte. En ce qui concerne les contrats d’épargne, le taux de participation aux bénéfices différée est évalué de manière prospective sur la base de scenarios étudiés cohérents avec les orientations de gestion de la compagnie d’assurance ; il n’est mis à jour que s’il varie significativement. En cas de moins-value latente nette, une participation différée active n’est enregistrée que si son imputation, par entité, sur des participations futures est fortement probable. C’est notamment le cas si cette participation différée active peut venir en déduction des participations futures, soit directement en s’imputant sur la participation différée passive constatée au titre de profits de cession futurs, soit indirectement en étant récupérable sur les sommes futures versées aux assurés. Les tests de recouvrabilité mis en œuvre en cas de participation différée active sont conformes à la recommandation du CNC du 19 décembre 2008. Ils s’appuient : en premier lieu, sur des analyses de liquidité de la compagnie ; ces dernières illustrent la capacité de l’entreprise à mobiliser des ressources pour faire face à ses engagements et sa capacité de détention des actifs en moins-values latentes même en cas d’une détérioration de la production nouvelle. Les tests sont réalisés avec et sans production nouvelle ; en second lieu, sur une comparaison entre la valeur moyenne des prestations futures évaluées par le modèle interne répliquant les décisions de gestion de la compagnie et la valeur de l’actif en représentation des engagements en valeur de marché ; elle illustre la capacité de celle-ci à honorer ses engagements. Enfin, des tests de sensibilité sur la capacité d’activer la participation aux bénéfices différée sont également réalisés, reposant notamment sur une hausse uniforme des rachats s’appliquant à des taux de rachats issus de scénarios proches de ceux établis par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, ou sur une baisse supplémentaire des marchés actions et de l’immobilier. Par ailleurs, en application des dispositions de la norme IFRS 4, le Groupe s’assure à chaque arrêté que les passifs des contrats d’assurance et des contrats d’investissement avec participation discrétionnaire comptabilisés (nets des frais d’acquisition reportés correspondants et des immobilisations incorporelles liées) sont suffisants au regard de leurs flux de trésorerie futurs estimés. Le test de suffisance des passifs à appliquer pour cette vérification doit respecter au minimum les critères suivants définis par la norme : prise en compte de l’ensemble des flux de trésorerie futurs contractuels y compris les frais de gestion associés, les commissions ainsi que les options et garanties implicites de ces contrats ; si le test fait apparaître une insuffisance, celle-ci est intégralement provisionnée avec incidence en résultat. Contrats de location (IFRS 16) Le Groupe peut être bailleur ou preneur d’un contrat de location. — Contrats de location dont le Groupe est bailleur  : Les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location-financement, soit en opérations de location simple. S’agissant d’opérations de location-financement, elles sont assimilées à une vente d’immobilisation au locataire financée par un crédit accordé par le bailleur. L’analyse de la substance économique des opérations de location-financement conduit le bailleur à : Sortir du bilan l’immobilisation louée ; Constater une créance financière sur le client parmi les « actifs financiers au coût amorti » pour une valeur égale à la valeur actualisée au taux implicite du contrat des paiements de location à recevoir par le bailleur au titre du contrat de location, majorée de toute valeur résiduelle non garantie revenant au bailleur ; Comptabiliser des impôts différés au titre des différences temporelles portant sur la créance financière et la valeur nette comptable de l’immobilisation louée ; Décomposer les produits correspondant aux loyers entre d’une part les intérêts d’autre part l’amortissement du capital. S’agissant d’opérations de location simple, le bailleur comptabilise les biens loués parmi les « immobilisations corporelles » à l’actif de son bilan et enregistre les produits de location de manière linéaire parmi les « produits des autres activités » au compte de résultat. Contrats de location dont le Groupe est preneur . — Les opérations de location sont comptabilisées dans le bilan à la date de mise à disposition de l’actif loué. Le preneur constate un actif représentatif du droit d’utilisation de l’actif loué parmi les immobilisations corporelles pendant la durée estimée du contrat et une dette au titre de l’obligation de paiement des loyers parmi les passifs divers sur cette même durée. La durée de location d’un contrat correspond à la durée non résiliable du contrat de location ajustée des options de prolongation du contrat que le preneur est raisonnablement certain d’exercer et option de résiliation que le preneur est raisonnablement certain de ne pas exercer. En France, la durée retenue pour les baux commerciaux dits « 3/6/9 » est généralement de 9 ans avec une période initiale non résiliable de 3 ans. Lorsque le preneur estime qu’il est raisonnablement certain ne pas exercer l’option de sortie au bout de 3 ans, le principe Groupe applicable aux contrats à durée indéterminée ou renouvelables par tacite prolongation (i.e. première option de sortie post 5 ans) sera appliqué aux baux commerciaux français dans la majeure partie des cas, à la date de début du contrat de location. Ainsi, la durée sera estimée à 6 ans. Le principe Groupe (première option de sortie post 5 ans) peut ne pas être appliqué dans certains cas spécifiques, par exemple pour un bail dans lequel les options de sortie intermédiaires ont été abandonnées (par exemple en contrepartie d’une réduction de loyers) ; dans ce cas, il conviendra de retenir une durée de location initiale de 9 ans (sauf anticipation d’une tacite prolongation de 3 ans maximum dans le cas général). La dette locative est comptabilisée pour un montant égal à la valeur actualisée des paiements de loyers sur la durée du contrat. Les paiements de loyers comprennent les loyers fixes, les loyers variables basés sur un taux ou un indice et les paiements que le preneur s’attend à payer au titre des garanties de valeur résiduelle, d’option d’achat ou de pénalité de résiliation anticipée. Les loyers variables qui ne dépendent pas d’un indice ou d’un taux et la TVA non déductible sur les loyers sont exclus du calcul de la dette et sont comptabilisés en charges générales d’exploitation. Le taux d’actualisation applicable pour le calcul du droit d'utilisation et du passif de location est par défaut le taux d'endettement marginal du preneur sur la durée du contrat à la date de signature du contrat, lorsque le taux implicite n’est pas aisément déterminable. Le taux d’endettement marginal tient compte de la structure de paiement des loyers. Il reflète les conditions du bail (durée, garantie, environnement économique…) – le Groupe applique sur ce point la décision de l’IFRS IC du 17 septembre 2019 depuis la mise en œuvre d’FRS 16. La charge au titre des contrats de location est décomposée entre d’une part les intérêts et d’autre part l’amortissement du capital Le droit d’utilisation de l’actif est évalué à la valeur initiale de la dette locative augmentée des coûts directs initiaux, des paiements d’avance, des coûts de remise en état et diminuée des avantages incitatifs à la location. Il est amorti sur la durée estimée du contrat. La dette locative et le droit d’utilisation peuvent être ajustés en cas de modification du contrat de location, de réestimation de la durée de location ou de révision des loyers liée à l’application d’indices ou de taux. Des impôts différés sont comptabilisés au titre des différences temporelles des droits d’utilisation et des passifs de location chez le preneur. Conformément à l’exception prévue par la norme, les contrats de location à court terme (durée initiale inférieure à douze mois) et les contrats de location dont la valeur à neuf du bien loué est de faible valeur ne sont pas comptabilisés au bilan. Les charges de location correspondantes sont enregistrées de manière linéaire dans le compte de résultat parmi les charges générales d’exploitation. Conformément aux dispositions prévues par la norme, le Groupe n’applique pas la norme IFRS 16 aux contrats de location d’immobilisations incorporelles. Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées (IFRS 5) . — Un actif non courant (ou un groupe destiné à être cédé) est considéré comme détenu en vue de la vente si sa valeur comptable est recouvrée principalement par le biais d'une vente plutôt que par l'utilisation continue. Pour que tel soit le cas, l'actif (ou le groupe destiné à être cédé) doit être disponible en vue de la vente immédiate dans son état actuel et sa vente doit être hautement probable. Les actifs et passifs concernés sont isolés au bilan sur les postes "Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées" et "Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées". Ces actifs non courants (ou un groupe destiné à être cédé) classés comme détenus en vue de la vente sont évalués au montant le plus bas entre leur valeur comptable et leur juste valeur diminuée des coûts de la vente. En cas de moins-value latente, une dépréciation est enregistrée en résultat. Par ailleurs, ceux-ci cessent d’être amortis à compter de leur déclassement. Si la juste valeur du groupe d’actifs destiné à être cédé diminuée des coûts de la vente est inférieure à sa valeur comptable après dépréciation des actifs non courants, la différence est allouée aux autres actifs du groupe d’actifs destinés à être cédés y compris les actifs financiers et est comptabilisé en résultat net des actifs destinés à être cédés. Est considérée comme activité abandonnée toute composante dont le Groupe s'est séparée ou qui est classée comme détenue en vue de la vente, et qui est dans une des situations suivantes : elle représente une ligne d'activité ou une région géographique principale et distincte ; elle fait partie d'un plan unique et coordonné pour se séparer d'une ligne d'activité ou d'une région géographique principale et distincte ; ou elle est une filiale acquise exclusivement en vue de la revente. Sont présentés sur une ligne distincte du compte de résultat : le résultat net après impôt des activités abandonnées jusqu’à la date de cession ; le profit ou la perte après impôt résultant de la cession ou de l’évaluation à la juste valeur diminuée des coûts de la vente des actifs et passifs constituant les activités abandonnées. 1.3. Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28) . Périmètre de consolidation . — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, d’un contrôle conjoint ou d’une influence notable , hormis ceux présentant un caractère non significatif par rapport à l’ensemble des sociétés incluses dans le périmètre de consolidation. — Consolidation des Caisses régionales  : Les normes de consolidation existantes dans le référentiel international sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales. Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée. Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A. , dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier. Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existe, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A. , les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole. Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politiques commerciales communes, histoire partagée. C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional. Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international. La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques. — Notions de contrôle  : Conformément aux normes comptables internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après. Le contrôle exclusif sur une entité est présumé exister lorsque la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité. Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent à la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seul(e) les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances. Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée lors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, l’étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant ainsi que les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels sont analysées afin de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir délégué) ou principal (pour son propre compte). Ainsi, au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affecter la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité. Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle. Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité. Méthodes de consolidation . — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10 et IAS 28. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale : l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée; la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et sous contrôle conjoint. L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés. Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe. La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées. La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition. Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate : en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un écart d’acquisition complémentaire ; en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession/dilution en résultat. Retraitements et éliminations . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée effectue les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées. L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement. Les plus ou moins values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées. Conversion des états financiers des activités à l’étranger (IAS 21) Les états financiers des entités représentant une « activité à l’étranger » (filiale, succursale, entreprise associée ou une coentreprise) sont convertis en euros en deux étapes : conversion, le cas échéant, de la monnaie locale de tenue de compte en monnaie fonctionnelle (monnaie de l’environnement économique principal dans lequel opère l’entité). La conversion se fait comme si les éléments avaient été comptabilisés initialement dans la monnaie fonctionnelle (mêmes principes de conversion que pour les transactions en monnaie étrangère ci-avant) ; conversion de la monnaie fonctionnelle en euros, monnaie de présentation des comptes consolidés du Groupe. Les actifs et les passifs, y compris les écarts d’acquisition, sont convertis au cours de clôture. Les éléments de capitaux propres, tels que le capital social ou les réserves, sont convertis à leur cours de change historique. Les produits et les charges du compte de résultat sont convertis au cours moyen de la période. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en tant que composante distincte des capitaux propres. Ces écarts de conversion sont comptabilisés en résultat en cas de sortie de l’activité à l'étranger (cession, remboursement de capital, liquidation, abandon d'activité) ou en cas de déconsolidation due à une perte de contrôle (même sans cession) lors de la comptabilisation du résultat de sortie ou de perte de contrôle. 2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période . Conformément à IFRS 3, la juste valeur provisoire des actifs et passifs acquis peut être ajustée afin de refléter les informations nouvelles obtenues à propos des faits et des circonstances qui prévalaient à la date d’acquisition pendant la période d’évaluation qui ne doit pas excéder un an à compter de la date d’acquisition. Par conséquent les écarts d’acquisition présentés dans ce paragraphe peuvent faire l'objet d’ajustements ultérieurs dans ce délai. Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2021 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 13 " Périmètre de consolidation au 31 décembre 2021 " . Crise sanitaire liée à la COVID-19 . — Dans le contexte de la crise sanitaire liée à la COVID-19, le groupe Crédit Agricole s’est mobilisé pour faire face à cette situation inédite. Afin d’accompagner ses clients dont l’activité serait impactée par la crise liée au Coronavirus, le Groupe a participé activement aux mesures de soutien à l’économie. — Prêts Garantis par l’Etat (PGE)  : Dans le cadre de la crise sanitaire liée à la COVID-19, le groupe Crédit Agricole a proposé à compter du 25 mars 2020 à tous ses clients entrepreneurs, quelle que soit leur taille et leur statut (exploitants agricoles, professionnels, commerçants, artisans, entreprises, …), en complément des mesures déjà annoncées (report d’échéances, procédures accélérées d’examen des dossiers, etc.), de recourir au dispositif de Prêts Garantis par l’État. Ces prêts appartiennent à un modèle de gestion « Collecte » et satisfont au test des caractéristiques contractuelles. Ils sont donc enregistrés au coût amorti. Au 31 décembre 2021 , le solde des encours des prêts garantis par l’Etat octroyés à la clientèle par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée s’élève à 222 313 milliers d’euros. — Risque de crédit  : Conformément à la communication de l’IASB du 27 mars 2020 relative à la comptabilisation des pertes de crédit attendues en application de la norme IFRS 9 sur les instruments financiers dans les circonstances exceptionnelles actuelles, il a été rappelé l’importance de l’exercice du jugement dans l’application des principes d’IFRS 9 du risque de crédit et le classement des instruments financiers qui en résulte. Le calcul du montant des pertes attendues doit s’effectuer en prenant en considération les circonstances spécifiques et les mesures de soutien mises en œuvre par les pouvoirs publics. Dans le contexte de crise sanitaire liée à la COVID-19, le Groupe a aussi revu ses prévisions macro-économiques prospectives ( forward looking ) pour la détermination de l’estimation du risque de crédit. Garantie spécifique apportée par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) . — Crédit Agricole S.A. a démantelé le 1 er mars 2021 et le 16 novembre 2021 respectivement 15% complémentaires et la totalité de la part résiduelle de 50% du mécanisme de garantie « Switch » mis en place entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. Le mécanisme de garantie « Switch » correspond à un transfert vers les Caisses régionales d’une partie des exigences prudentielles s’appliquant à Crédit Agricole S.A. au titre de ses activités d’assurances contre une rémunération fixe des Caisses régionales. Pour la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, cette opération s’est traduite par le solde des engagements donnés de 81,4 millions d’euros et un remboursement total du dépôt de garantie apporté à Crédit Agricole S.A. de 27,6 millions d’euros. Litige image chèque . — LCL et Crédit Agricole S.A., ainsi que 10 autres banques, ont reçu en mars 2008 une notification de griefs du Conseil de la concurrence (devenu l’Autorité de la concurrence). Il leur est reproché d’avoir, de façon concertée, mis en place et appliqué des commissions interbancaires dans le cadre de l’encaissement des chèques, depuis le passage à l’échange image chèques, soit depuis 2002 jusqu’en 2007. Selon l’Autorité de la concurrence, ces commissions seraient constitutives d’ententes anticoncurrentielles sur les prix au sens des articles 81, paragraphe 1, du traité instituant la Communauté européenne et de l’article L. 420-1 du Code de commerce, et auraient causé un dommage à l’économie. En défense, les banques ont réfuté catégoriquement le caractère anticoncurrentiel des commissions et contesté la régularité de la procédure suivie. Par décision du 20 septembre 2010, l’Autorité de la concurrence a jugé que la Commission d’Échange Image Chèques (CEIC) était anticoncurrentielle par son objet et qu’elle a eu pour conséquence d’augmenter artificiellement les coûts supportés par les banques remettantes, ce qui a eu un impact défavorable sur le prix des services bancaires. Pour ce qui concerne l’une des commissions pour services connexes dite AOCT (Annulation d’Opérations Compensées à Tort), l’Autorité de la concurrence a enjoint les banques de procéder à la révision de leur montant dans les six mois de la notification de la décision. Les banques mises en cause ont été sanctionnées pour un montant global de 384,92 millions d’euros. LCL et le Crédit Agricole ont été condamnés à payer respectivement 20,7 millions d’euros et 82,1 millions d’euros pour la CEIC et 0,2 million d’euros et 0,8 million d’euros pour l’AOCT. L’ensemble des banques a fait appel de la décision devant la Cour d’appel de Paris. Cette dernière a, par un arrêt du 23 février 2012, annulé la décision estimant que l’Autorité de la concurrence n’avait pas démontré l’existence de restrictions de concurrence constitutives d’une entente par objet. L’Autorité de la concurrence s’est pourvue en cassation le 23 mars 2012.La Cour de cassation a cassé, le 14 avril 2015, la décision de la Cour d’appel de Paris du 23 février 2012 et renvoyé l’affaire devant cette même Cour, autrement composée, au seul motif que les interventions volontaires des associations UFC – Que Choisir et l’ADUMPE devant la Cour d’appel ont été déclarées sans objet, sans que les moyens de ces parties ne soient examinés par la Cour. La Cour de cassation n’a pas tranché l’affaire sur le fond et le Crédit Agricole a saisi la juridiction de renvoi. La Cour d’Appel de Paris a rendu sa décision le 21 décembre 2017. Elle a confirmé la décision de l’Autorité de la concurrence du 20 septembre 2010 tout en réduisant de 82 940 000 euros à 76 560 000 euros les sanctions pécuniaires infligées au Crédit Agricole. La sanction pour LCL est demeurée inchangée à 20 930 000 euros. Comme les autres banques parties à cette procédure, LCL et le Crédit Agricole se sont pourvus en cassation. Par une décision du 29 janvier 2020, la Cour de cassation a cassé l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 21 décembre 2017 au motif que la Cour d’appel n’avait pas caractérisé l’existence de restrictions de concurrence par objet et renvoyé l’affaire devant la Cour d’appel de Paris autrement composée. La Cour d’appel de Paris a rendu un arrêt le 2 décembre 2021 reformant la quasi-intégralité de la décision de l’Autorité de la Concurrence de 2010, condamnant cette dernière aux dépens et ouvrant droit au remboursement des sommes versées par les banques en application de la décision reformée assorties des intérêts au taux légal à compter du 2 décembre 2021. Le 31 décembre 2021, l’Autorité de la concurrence s’est pourvue en cassation contre l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 2 décembre 2021. Du fait du caractère exécutoire de l’arrêt de la Cour d’appel de Paris, un produit de 442 milliers d’euros a été constaté. Néanmoins, compte tenu du pourvoi formé en cassation, une provision de celui-ci a été constatée dans les comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au 31 décembre 2021. Netting swap . — Suite au changement de modèle d’écoulement des DAV (rallongement du profil d’écoulement de la part stable des DAV d’un profil linéaire 15 ans à un profil 17 ans linéaire), la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a effectué un netting de 4 swaps de macrocouverture emprunteur à hauteur de 70M€ avec soulte à payer de 6,5M€. La soulte a été comptabilisée flat en Norme Française et étalée en Norme Internationale (sur la durée de vie des swaps résiliés). Soulte d’avance globales . — Dans le cadre de la campagne de résiliation ouverte par CASA, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a remboursé par anticipation des Avances Globales Groupe 1 pour 12,3 M€ (dont 8,1 M€ sur le T4 2021), générant le paiement d’une soulte de -3,9 M€ (dont 2,3 M€ sur le T4 2021) comptabilisée flat dans les deux référentiels comptables. 3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture . Le pilotage des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est assurée par la Direction des Risques. Cette direction est rattachée au Directeur général et a pour mission d’assurer la maîtrise et le contrôle permanent des risques de crédit, financiers et opérationnels. La description de ces dispositifs ainsi que les informations narratives figurent dans le rapport de gestion, chapitre "Facteurs de risque", comme le permet la norme IFRS 7 Instruments financiers : informations à fournir. Les tableaux de ventilations comptables figurent dans les états financiers. 3.1. Risque de crédit . — (Cf. chapitre "Facteurs de risque – Risques de crédit" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A.) 3.1.1. Variation des valeurs comptables et des corrections de valeur pour pertes sur la période . — Les corrections de valeur pour pertes correspondent aux dépréciations sur actifs et aux provisions sur engagement hors bilan comptabilisées en résultat net (Coût du risque) au titre du risque de crédit. Les tableaux suivants présentent un rapprochement des soldes d’ouverture et de clôture des corrections de valeur pour perte comptabilisées en Coût du risque et des valeurs comptables associées, par catégorie comptable et type d’instruments. — Actifs financiers au coût amorti : Titres de dettes  : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2020 167 457 -15 ‐ ‐ 2 190 -2 190 169 647 -2 205 167 442 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Stage à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de Stage 1 vers Stage 2 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Stage 2 vers Stage 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers Stage 3 (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 167 457 -15 ‐ ‐ 2 190 -2 190 169 647 -2 205 167 442 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes 25 132 -56 ‐ ‐ -13 13 25 119 -43 Nouvelle production : achat, octroi, origination,…(2) 57 139 -36 ‐ ‐ 57 139 -36 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -32 007 ‐ ‐ ‐ -13 13 -32 020 13 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période -20 ‐ ‐ -20 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 192 589 -71 ‐ ‐ 2 177 -2 177 194 766 -2 248 192 518 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) 40 ‐ ‐ 40 Au 31 décembre 2021 192 629 -71 ‐ ‐ 2 177 -2 177 194 806 -2 248 192 558 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des encours classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les originations en Stage 2 peuvent inclure des encours originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif) — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2020 10 374 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 10 374 ‐ 10 374 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Stage à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de Stage 1 vers Stage 2 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Stage 2 vers Stage 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers Stage 3 (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 10 374 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 10 374 ‐ 10 374 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période ‐ ‐ ‐ ‐ Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 10 374 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 10 374 ‐ 10 374 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) 1 027 ‐ ‐ 1 027 Au 31 décembre 2021 11 401 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 11 401 ‐ 11 401 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des encours classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les originations en Stage 2 peuvent inclure des encours originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les variations des créances rattachées — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur la clientèle  : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2020 5 211 234 -12 162 549 792 -36 101 196 511 -121 496 5 957 537 -169 759 5 787 778 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Stage à l'autre -213 827 -1 506 205 723 3 851 8 104 -7 622 ‐ -5 277 Transferts de Stage 1 vers Stage 2 -324 056 971 324 056 -3 835 ‐ -2 864 Retour de Stage 2 vers Stage 1 112 539 -2 622 -112 539 5 709 ‐ 3 087 Transferts vers Stage 3 (1) -12 331 153 -14 097 2 085 26 428 -10 032 ‐ -7 794 Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 10 021 -8 8 303 -108 -18 324 2 410 ‐ 2 294 Total après transferts 4 997 407 -13 668 755 515 -32 250 204 615 -129 118 5 957 537 -175 036 5 782 501 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes 215 455 2 444 -6 734 -4 579 -16 715 7 083 192 006 4 948 Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) 1 037 831 -3 139 115 169 -5 956 1 153 000 -9 095 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -805 128 1 864 -121 903 4 719 -15 035 10 949 -942 066 17 532 Passages à perte -1 680 1 519 -1 680 1 519 Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ 14 ‐ 222 ‐ 236 Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période 3 719 -3 356 -6 222 -5 859 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres -17 248 ‐ ‐ ‐ ‐ 615 -17 248 615 Total 5 212 862 -11 224 748 781 -36 829 187 900 -122 035 6 149 543 -170 088 5 979 455 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) -14 878 1 416 -1 069 -14 531 Au 31 décembre 2021 (4) 5 197 984 -11 224 750 197 -36 829 186 831 -122 035 6 135 012 -170 088 5 964 924 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des encours classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les originations en Stage 2 peuvent inclure des encours originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les variations des créances rattachées (4) Au 31 décembre 2021, l'encours des prêts garantis par l’Etat (PGE) accordés à la clientèle par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19 s’élève à 222 313 milliers d’euros — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements provisionnés (Stage 3) Total Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 31 décembre 2020 444 225 -1 252 35 831 -2 061 957 ‐ 481 013 -3 313 477 700 Transferts d'engagements en cours de vie d'un Stage à l'autre -22 329 151 22 131 -26 198 -198 ‐ -73 Transferts de Stage 1 vers Stage 2 -25 472 111 25 472 -216 ‐ -105 Retour de Stage 2 vers Stage 1 3 254 -71 -3 254 103 ‐ 32 Transferts vers Stage 3 (1) -146 146 -140 140 286 -286 ‐ ‐ Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 35 -35 53 -53 -88 88 ‐ ‐ Total après transferts 421 896 -1 101 57 962 -2 087 1 155 -198 481 013 -3 386 477 627 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes 41 044 54 -12 282 499 -75 -437 28 687 116 Nouveaux engagements donnés (2) 263 320 -692 10 936 -722 274 256 -1 414 Extinction des engagements -222 276 717 -23 218 989 ‐ ‐ -245 494 1 706 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période 29 232 -437 -176 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ -75 ‐ -75 ‐ Au 31 décembre 2021 462 940 -1 047 45 680 -1 588 1 080 -635 509 700 -3 270 506 430 (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des engagements classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les nouveaux engagements donnés en Stage 2 peuvent inclure des engagements originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 31 décembre 2020 169 034 -424 8 895 -410 1 284 -723 179 213 -1 557 177 656 Transferts d'engagements en cours de vie d'un Stage à l'autre -1 651 12 1 608 -54 43 -43 ‐ -85 Transferts de Stage 1 vers Stage 2 -2 136 20 2 136 -121 ‐ -101 Retour de Stage 2 vers Stage 1 484 -7 -484 23 ‐ 16 Transferts vers Stage 3 (1) ‐ ‐ -51 51 51 -51 ‐ ‐ Retour de Stage 3 vers Stage 2 / Stage 1 1 -1 7 -7 -8 8 ‐ ‐ Total après transferts 167 383 -412 10 503 -464 1 327 -766 179 213 -1 642 177 571 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes 24 864 26 175 -717 114 -191 25 153 -882 Nouveaux engagements donnés (2) 37 780 -62 1 410 -258 39 190 -320 Extinction des engagements -12 916 62 -1 235 68 -7 1 -14 158 131 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période 26 -527 -192 -693 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ 121 ‐ 121 ‐ Au 31 décembre 2021 192 247 -386 10 678 -1 181 1 441 -957 204 366 -2 524 201 842 (1) Les transferts vers le Stage 3 correspondent à des engagements classés initialement en Stage 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Stage 3, ou en Stage 2 puis en Stage 3 (2) Les nouveaux engagements donnés en Stage 2 peuvent inclure des engagements originés en Stage 1 reclassés en Stage 2 au cours de la période 3.1.2. Exposition maximale au risque de crédit . — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur comptable, nette de toute perte de valeur comptabilisée et compte non tenu des actifs détenus en garantie ou des autres rehaussements de crédit (par exemple les accords de compensation qui ne remplissent pas les conditions de compensation selon IAS 32). Les tableaux ci-dessous présentent les expositions maximales ainsi que le montant des actifs détenus en garantie et autres techniques de rehaussements de crédit permettant de réduire cette exposition. Les actifs dépréciés en date de clôture correspondent aux actifs dépréciés (Stage 3). — Actifs financiers non soumis aux exigences de dépréciation (comptabilisés à la juste valeur par résultat)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 5 011 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 868 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 4 143 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 26 001 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 31 012 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 3 312 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 669 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 2 643 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 36 259 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 39 571 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ — Actifs financiers soumis aux exigences de dépréciation  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 6 168 883 ‐ 2 197 644 196 368 1 952 968 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 64 796 ‐ 37 762 1 345 16 485 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) 11 401 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 964 924 ‐ 2 197 644 196 368 1 952 968 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 64 796 ‐ 37 762 1 345 16 485 ‐ Titres de dettes 192 558 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 6 168 883 ‐ 2 197 644 196 368 1 952 968 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 64 796 ‐ 37 762 1 345 16 485 ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 5 965 594 ‐ 2 091 031 177 276 1 909 903 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 75 015 ‐ 44 131 1 278 14 572 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) 10 374 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 787 778 ‐ 2 091 031 177 276 1 909 903 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 75 015 ‐ 44 131 1 278 14 572 ‐ Titres de dettes 167 442 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 5 965 594 ‐ 2 091 031 177 276 1 909 903 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 75 015 ‐ 44 131 1 278 14 572 ‐ — Engagements hors bilan soumis aux exigences de provisionnement  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) 201 842 521 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 484 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole) 506 430 ‐ 58 272 11 462 52 479 ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 445 ‐ 5 19 106 ‐ Total 708 272 521 58 272 11 462 52 479 ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 929 ‐ 5 19 106 ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) 177 656 639 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 561 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole) 477 700 ‐ 55 420 12 504 56 653 ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 957 ‐ 74 3 95 ‐ Total 655 356 639 55 420 12 504 56 653 ‐ Dont : engagements provisionnés en date de clôture 1 518 ‐ 74 3 95 ‐ Une description des actifs détenus en garantie est présentée dans la note 9 "Engagements de financement et de garantie et autres garanties". 3.1.3. Actifs financiers modifiés . — Les actifs financiers modifiés correspondent aux actifs restructurés pour difficultés financières. Il s’agit de créances pour lesquelles la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et les créances saines, au moment de la restructuration. (Une définition plus détaillée des encours restructurés et leur traitement comptable est détaillée dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”). Pour les actifs ayant fait l’objet d’une restructuration au cours de la période, la valeur comptable établie à l’issue de la restructuration est de : (En milliers d'Euros) 2021 Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gains ou pertes nets de la modification ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ 972 4 638 Valeur comptable brute avant modification ‐ 972 4 638 Gains ou pertes nets de la modification ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gains ou pertes nets de la modification ‐ ‐ ‐ Selon les principes établis dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”, les actifs restructurés dont le stade de dépréciation correspond à celui du Stage 2 (actifs sains) ou Stage 3 (actifs dépréciés) peuvent faire l’objet d’un retour en Stage 1 (actifs sains). La valeur comptable des actifs modifiés concernés par ce reclassement au cours de la période est de : (En milliers d'Euros) Valeur comptable brute Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs restructurés antérieurement classés en Stage 2 ou en Stage 3 et reclassés en Stage 1 au cours de la période Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ Titres de dettes ‐ Total ‐ 3.1.4. Concentrations du risque de crédit . — Les valeurs comptables et montants des engagements sont présentés nets de dépréciations et de provisions. — Exposition au risque de crédit par catégories de risque de crédit  : Les catégories de risques de crédit sont présentées par intervalles de probabilité de défaut. La correspondance entre les notations internes et les intervalles de probabilité de défaut est détaillée dans le chapitre "Risques et pilier 3 – Gestion du risque de crédit" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. — Actifs financiers au coût amorti (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2020 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 3 126 088 116 081 3 242 169 2 651 878 51 977 2 703 855 0,5% < PD ≤ 2% 451 817 167 539 619 356 768 298 57 172 825 470 2% < PD ≤ 20% 177 004 200 265 377 269 330 306 210 914 541 220 20% < PD < 100% 52 919 52 919 86 386 86 386 PD = 100% 148 491 148 491 150 471 150 471 Total Clientèle de détail 3 754 909 536 804 148 491 4 440 204 3 750 482 406 449 150 471 4 307 402 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 1 161 501 62 852 1 224 353 1 122 899 45 136 1 168 035 0,6% < PD < 12% 485 604 124 436 610 040 515 684 68 854 584 538 12% ≤ PD < 100% 26 105 26 105 29 353 29 353 PD = 100% 40 517 40 517 48 230 48 230 Total Hors clientèle de détail 1 647 105 213 393 40 517 1 901 015 1 638 583 143 343 48 230 1 830 156 Dépréciations -11 295 -36 829 -124 212 -172 336 -12 177 -36 101 -123 686 -171 964 Total 5 390 719 713 368 64 796 6 168 883 5 376 888 513 691 75 015 5 965 594 — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2020 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 206 174 7 068 ‐ 213 242 206 349 4 410 ‐ 210 759 0,5% < PD ≤ 2% 39 168 4 590 ‐ 43 758 52 135 3 403 ‐ 55 538 2% < PD ≤ 20% 22 934 6 309 ‐ 29 243 21 621 9 270 ‐ 30 891 20% < PD < 100% ‐ 382 ‐ 382 ‐ 4 463 ‐ 4 463 PD = 100% ‐ ‐ 933 933 ‐ ‐ 771 771 Total Clientèle de détail 268 276 18 349 933 287 558 280 105 21 546 771 302 422 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 133 253 3 163 ‐ 136 416 97 809 5 617 ‐ 103 426 0,6% < PD < 12% 61 411 20 327 ‐ 81 738 66 311 5 330 ‐ 71 641 12% ≤ PD < 100% ‐ 3 841 ‐ 3 841 ‐ 3 338 ‐ 3 338 PD = 100% ‐ ‐ 147 147 ‐ ‐ 186 186 Total Hors clientèle de détail 194 664 27 331 147 222 142 164 120 14 285 186 178 591 Provisions (1) -1 047 -1 588 -635 -3 270 -1 252 -2 061 ‐ -3 313 Total 461 893 44 092 445 506 430 442 973 33 770 957 477 700 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 4 698 2 855 ‐ 7 553 2 679 2 312 ‐ 4 991 0,5% < PD ≤ 2% 973 1 960 ‐ 2 933 2 615 1 905 ‐ 4 520 2% < PD ≤ 20% 22 566 1 903 ‐ 24 469 22 197 2 367 ‐ 24 564 20% < PD < 100% ‐ 793 ‐ 793 ‐ 232 ‐ 232 PD = 100% ‐ ‐ 349 349 ‐ ‐ 164 164 Total Clientèle de détail 28 237 7 511 349 36 097 27 491 6 816 164 34 471 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 21 060 1 247 ‐ 22 307 13 687 462 ‐ 14 149 0,6% < PD < 12% 142 950 1 826 ‐ 144 776 127 856 795 ‐ 128 651 12% ≤ PD < 100% ‐ 94 ‐ 94 ‐ 822 ‐ 822 PD = 100% ‐ ‐ 1 092 1 092 ‐ ‐ 1 120 1 120 Total Hors clientèle de détail 164 010 3 167 1 092 168 269 141 543 2 079 1 120 144 742 Provisions (1) -386 -1 181 -957 -2 524 -424 -410 -723 -1 557 Total 191 861 9 497 484 201 842 168 610 8 485 561 177 656 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Concentrations du risque de crédit par agent économique  : — Actifs financiers au coût amorti par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2020 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Administration générale 636 550 52 286 5 551 694 387 664 006 32 734 14 534 711 274 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit 46 177 ‐ 2 177 48 354 60 255 ‐ 2 190 62 445 Grandes entreprises 964 378 161 107 32 789 1 158 274 914 322 110 609 31 506 1 056 437 Clientèle de détail 3 754 909 536 804 148 491 4 440 204 3 750 482 406 449 150 471 4 307 402 Dépréciations -11 295 -36 829 -124 212 -172 336 -12 177 -36 101 -123 686 -171 964 Total 5 390 719 713 368 64 796 6 168 883 5 376 888 513 691 75 015 5 965 594 — Dettes envers la clientèle par agent économique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Administration générale 16 777 4 672 Grandes entreprises 1 159 299 1 089 703 Clientèle de détail 1 775 454 1 626 656 Total Dettes envers la clientèle 2 951 530 2 721 031 — Engagements de financement par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2020 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Administration générale 65 525 705 ‐ 66 230 43 672 865 ‐ 44 537 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 129 139 26 626 147 155 912 120 448 13 420 186 134 054 Clientèle de détail 268 276 18 349 933 287 558 280 105 21 546 771 302 422 Provisions (1) -1 047 -1 588 -635 -3 270 -1 252 -2 061 ‐ -3 313 Total 461 893 44 092 445 506 430 442 973 33 770 957 477 700 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2020 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Administration générale 2 990 ‐ ‐ 2 990 2 990 ‐ ‐ 2 990 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 161 020 3 167 1 092 165 279 138 553 2 079 1 120 141 752 Clientèle de détail 28 237 7 511 349 36 097 27 491 6 816 164 34 471 Provisions (1) -386 -1 181 -957 -2 524 -424 -410 -723 -1 557 Total 191 861 9 497 484 201 842 168 610 8 485 561 177 656 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Concentrations du risque de crédit par zone géographique  : — Actifs financiers au coût amorti par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2020 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Stage 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Stage 2) France (y compris DOM-TOM) 5 277 749 706 974 108 453 6 093 176 5 239 547 507 712 107 695 5 854 954 Autres pays de l'Union européenne 119 546 42 277 78 366 240 189 144 774 41 263 88 796 274 828 Autres pays d'Europe (1) 3 108 309 7 3 424 3 094 11 21 3 126 Amérique du Nord 984 501 2 177 3 662 1 143 588 2 190 3 921 Amériques centrale et du Sud 45 ‐ ‐ 45 50 ‐ ‐ 50 Afrique et Moyen-Orient 545 136 5 686 377 218 4 599 Asie et Océanie (hors Japon) 37 ‐ ‐ 37 80 ‐ ‐ 80 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépréciations -11 295 -36 829 -124 212 -172 336 -12 177 -36 101 -123 686 -171 964 Total 5 390 719 713 368 64 796 6 168 883 5 376 888 513 691 75 015 5 965 594 (1) Dont opérations réalisées en Grande Bretagne et/ou en Livre Sterling –GBP — Dettes envers la clientèle par zone géographique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 France (y compris DOM-TOM) 2 869 445 2 629 196 Autres pays de l'Union européenne 64 859 77 055 Autres pays d'Europe (1) 12 276 9 510 Amérique du Nord 2 202 2 538 Amériques centrale et du Sud 216 280 Afrique et Moyen-Orient 1 964 1 912 Asie et Océanie (hors Japon) 568 539 Japon ‐ 1 Organismes supra-nationaux ‐ ‐ Total Dettes envers la clientèle 2 951 530 2 721 031 (1) dont opérations réalisées en Grande Bretagne et/ou en Livre Sterling –GBP — Engagements de financement par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2020 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) France (y compris DOM-TOM) 461 668 45 621 1 080 508 369 442 911 35 823 957 479 691 Autres pays de l'Union européenne 898 47 ‐ 945 727 4 ‐ 731 Autres pays d'Europe (1) 316 11 ‐ 327 525 2 ‐ 527 Amérique du Nord 21 1 ‐ 22 20 ‐ ‐ 20 Amériques centrale et du Sud 3 ‐ ‐ 3 5 ‐ ‐ 5 Afrique et Moyen-Orient 23 ‐ ‐ 23 27 2 ‐ 29 Asie et Océanie (hors Japon) 11 ‐ ‐ 11 10 ‐ ‐ 10 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (2) -1 047 -1 588 -635 -3 270 -1 252 -2 061 ‐ -3 313 Total 461 893 44 092 445 506 430 442 973 33 770 957 477 700 (1) dont opérations réalisées en Grande Bretagne et/ou en Livre Sterling –GBP (2) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2021 Au 31 décembre 2020 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements sains Engagements provisionnés (Stage 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Stage 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Stage 2) France (y compris DOM-TOM) 192 247 10 678 1 441 204 366 169 034 8 895 1 284 179 213 Autres pays de l'Union européenne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -386 -1 181 -957 -2 524 -424 -410 -723 -1 557 Total 191 861 9 497 484 201 842 168 610 8 485 561 177 656 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan 3.1.5. Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement  : — Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique  : (En milliers d'Euros) Valeur comptable au 31 décembre 2021 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Stage 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Stage 2) Actifs dépréciés (Stage 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Administration générale ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Clientèle de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 28 251 536 ‐ 12 589 5 125 2 1 900 4 639 38 613 Administration générale 17 913 7 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 3 312 ‐ ‐ 4 407 152 ‐ 178 1 102 2 850 Clientèle de détail 7 026 529 ‐ 8 182 4 973 2 1 722 3 537 35 763 Total 28 251 536 ‐ 12 589 5 125 2 1 900 4 639 38 613 (En milliers d'Euros) Valeur comptable au 31 décembre 2020 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Stage 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Stage 2) Actifs dépréciés (Stage 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Administration générale ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Clientèle de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 11 813 5 376 ‐ 11 943 5 682 15 2 350 6 396 45 161 Administration générale 2 639 185 ‐ 924 ‐ ‐ ‐ 843 915 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 2 245 39 ‐ 2 048 -100 ‐ 845 249 1 997 Clientèle de détail 6 929 5 152 ‐ 8 971 5 782 15 1 505 5 304 42 249 Total 11 813 5 376 ‐ 11 943 5 682 15 2 350 6 396 45 161 3.2. Risque de marché . — (Cf. Rapport de gestion) Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle . — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. — Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 8 426 10 400 7 175 26 001 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 8 426 10 400 7 175 26 001 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 8 426 10 400 7 175 26 001 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif ‐ ‐ ‐ 8 426 10 400 7 175 26 001 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 4 981 31 278 ‐ 36 259 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 4 981 31 278 ‐ 36 259 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 4 981 31 278 ‐ 36 259 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif ‐ ‐ ‐ 4 981 31 278 ‐ 36 259 — Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 930 7 382 76 827 86 139 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 930 7 382 76 827 86 139 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 930 7 382 76 827 86 139 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif ‐ ‐ ‐ 1 930 7 382 76 827 86 139 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 942 22 004 125 957 149 903 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 942 22 004 125 957 149 903 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 942 22 004 125 957 149 903 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif ‐ ‐ ‐ 1 942 22 004 125 957 149 903 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 24 833 858 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 24 833 858 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ 1 ‐ ‐ 1 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ 1 ‐ ‐ 1 Sous-total ‐ ‐ ‐ 2 24 833 859 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ 9 ‐ ‐ 9 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif ‐ ‐ ‐ 11 24 833 868 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 50 588 638 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 50 588 638 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ 1 ‐ ‐ 1 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ 1 ‐ ‐ 1 Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 50 588 639 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ 30 ‐ ‐ 30 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif ‐ ‐ ‐ 31 50 588 669 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 24 853 878 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 24 853 878 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 29 29 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 29 29 Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 24 882 907 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif ‐ ‐ ‐ 1 24 882 907 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 8 42 618 668 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 8 42 618 668 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ 1 57 58 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ 1 57 58 Sous-total ‐ ‐ ‐ 8 43 675 726 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ 30 ‐ ‐ 30 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif ‐ ‐ ‐ 38 43 675 756 — Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements  : (En milliers d'euros) 31/12/2021 31/12/2020 Total encours notionnel Total encours notionnel Instruments de taux d'intérêt 1 903 494 2 149 156 Futures ‐ ‐ FRA ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts 1 903 494 2 149 156 Options de taux ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ Autres instruments 325 ‐ Dérivés sur actions et indices boursiers 325 ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ Autres ‐ ‐ Sous-total 1 903 819 2 149 156 Opérations de change à terme 13 830 4 725 Total notionnels 1 917 649 2 153 881 Risque de change . — (Cf. Rapport de gestion) 3.3. Risque de liquidité et de financement . — (Cf. Rapport de gestion) — Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 833 063 100 807 151 848 13 952 ‐ 1 099 670 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 334 220 526 191 1 954 904 3 304 401 15 296 6 135 012 Total 1 167 283 626 998 2 106 752 3 318 353 15 296 7 234 682 Dépréciations -170 088 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle 7 064 594 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 456 575 1 233 136 347 47 633 ‐ 641 788 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 296 476 706 624 1 774 894 3 158 712 20 831 5 957 537 Total 753 051 707 857 1 911 241 3 206 345 20 831 6 599 325 Dépréciations -169 759 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle 6 429 566 — Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 511 578 866 336 1 764 143 684 328 ‐ 3 826 385 Dettes envers la clientèle 2 604 828 28 607 229 012 89 083 ‐ 2 951 530 Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 3 116 406 894 943 1 993 155 773 411 ‐ 6 777 915 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 506 489 876 914 1 495 266 641 148 ‐ 3 519 817 Dettes envers la clientèle 2 319 922 171 532 183 697 45 880 ‐ 2 721 031 Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 2 826 411 1 048 446 1 678 963 687 028 ‐ 6 240 848 — Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre  : Bons de caisse ‐ 6 ‐ ‐ ‐ 6 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 93 152 013 ‐ ‐ ‐ 152 106 Emprunts obligataires 3 ‐ ‐ 21 412 ‐ 21 415 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes représentées par un titre 96 152 019 ‐ 21 412 ‐ 173 527 Dettes subordonnées  : Dettes subordonnées à durée déterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes subordonnées à durée indéterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépôts de garantie à caractère mutuel ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres et emprunts participatifs ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre Bons de caisse 36 60 ‐ ‐ ‐ 96 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 85 200 154 932 ‐ ‐ 155 217 Emprunts obligataires 4 ‐ ‐ 22 195 ‐ 22 199 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes représentées par un titre 125 260 154 932 22 195 ‐ 177 512 Dettes subordonnées Dettes subordonnées à durée déterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes subordonnées à durée indéterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépôts de garantie à caractère mutuel ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres et emprunts participatifs ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ — Garanties financières en risque données par maturité attendue  : Les montants présentés correspondent au montant attendu d’appel des garanties financières en risque, c'est-à-dire qui ont fait l’objet de provisions ou qui sont sous surveillance. (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données 14 ‐ ‐ ‐ ‐ 14 Les échéances contractuelles des instruments dérivés sont présentées dans la note 3.2 " Risque de marché " . 3.4. Comptabilité de couverture . — (Cf. Note 3.2 "Risque de marché" et Chapitre "Gestion des risques – Gestion du bilan" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A.) — Couverture de juste valeur  : Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variable. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe. — Couverture de flux de trésorerie  : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable. Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable. — Couverture d’un investissement net en devise  : Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères. — Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur de marché Montant notionnel Valeur de marché Montant notionnel Positive Négative Positive Négative Couverture de juste valeur 26 001 85 890 1 830 587 36 259 149 404 2 073 596 Taux d'intérêt 26 001 85 890 1 830 587 36 259 149 404 2 073 596 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de flux de trésorerie ‐ 249 25 000 ‐ 499 25 000 Taux d'intérêt ‐ 249 25 000 ‐ 499 25 000 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Instruments dérivés de couverture 26 001 86 139 1 855 587 36 259 149 903 2 098 596 — Opérations sur instruments dérivés de couverture : analyse par durée résiduelle (notionnels) La ventilation des notionnels des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 316 072 668 201 871 314 1 855 587 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 316 072 668 201 871 314 1 855 587 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 316 072 668 201 871 314 1 855 587 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Notionnel des instruments dérivés de couverture ‐ ‐ ‐ 316 072 668 201 871 314 1 855 587 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 485 092 708 969 904 535 2 098 596 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 485 092 708 969 904 535 2 098 596 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 485 092 708 969 904 535 2 098 596 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Notionnel des instruments dérivés de couverture ‐ ‐ ‐ 485 092 708 969 904 535 2 098 596 La note 3.2 "Risque de marché - Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle" présente la ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés de couverture par maturité contractuelle résiduelle. Couverture de juste valeur  : — Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Actif Passif Couverture de juste valeur Marchés organisés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Marchés de gré à gré 4 329 35 829 11 869 308 659 7 938 51 410 -5 095 306 057 Taux d'intérêt 4 329 35 829 11 869 308 659 7 938 51 410 -5 095 306 057 Instruments fermes 4 329 35 829 11 869 308 659 7 938 51 410 -5 095 306 057 Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de juste valeur 4 329 35 829 11 869 308 659 7 938 51 410 -5 095 306 057 Couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 21 672 50 061 40 201 1 521 928 28 321 97 994 -29 396 1 767 539 Total couverture de juste valeur 26 001 85 890 52 070 1 830 587 36 259 149 404 -34 491 2 073 596 Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Eléments couverts  : Micro-couvertures (en milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liée à la couverture (y compris cessations de couvertures au cours de la période) Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liées à la couverture (y compris cessations de couvertures au cours de la période) Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 286 478 32 819 ‐ -16 326 300 178 49 145 ‐ 2 441 Taux d'intérêt 286 478 32 819 ‐ -16 326 300 178 49 145 ‐ 2 441 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments d'actif 286 478 32 819 ‐ -16 326 300 178 49 145 ‐ 2 441 Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 56 871 1 871 ‐ -3 061 59 932 4 932 ‐ -1 392 Taux d'intérêt 56 871 1 871 ‐ -3 061 59 932 4 932 ‐ -1 392 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments de passif 56 871 1 871 ‐ -3 061 59 932 4 932 ‐ -1 392 La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste du bilan auquel elle se rattache. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. Macro-couvertures (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 1 200 403 -6 591 1 414 931 ‐ Total - actifs 1 200 403 -6 591 1 414 931 ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 383 796 ‐ 457 268 ‐ Total - passifs 383 796 ‐ 457 268 ‐ La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste « Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux » au bilan. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Résultat de la comptabilité de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y compris cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y compris cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y compris cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y compris cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Taux d'intérêt 52 070 -53 268 -1 198 -34 491 33 367 -1 124 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 52 070 -53 268 -1 198 -34 491 33 367 -1 124 — Couverture de flux de trésorerie et d’investissements nets à l’étranger  : – Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Actif Passif Couverture de flux de trésorerie Marchés organisés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Marchés de gré à gré ‐ 249 251 25 000 ‐ 499 251 25 000 Taux d'intérêt ‐ 249 251 25 000 ‐ 499 251 25 000 Instruments fermes ‐ 249 251 25 000 ‐ 499 251 25 000 Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de flux de trésorerie ‐ 249 251 25 000 ‐ 499 251 25 000 Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des macro-couvertures de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie ‐ 249 251 25 000 ‐ 499 251 25 000 Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres » à l’exception de la part inefficace de la relation de couverture qui est comptabilisée au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. – Impacts de la comptabilité de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisé sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisé sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt 251 ‐ ‐ 251 ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie 251 ‐ ‐ 251 ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie et d'investissement net dans une activité à l'étranger 251 ‐ ‐ 251 ‐ ‐ 3.5. Risques opérationnels . — (Cf. Rapport de gestion) 3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires . — Conformément au règlement européen 575/2013 (CRR), la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité, de levier et de liquidité. La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013, applicables depuis le 1er janvier 2014, et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne (BCE) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché. Ce dispositif prudentiel consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de fonds propres et des exigences supplémentaires en matière de la liquidité et du levier. Les fonds propres sont répartis en trois catégories : les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), déterminés à partir des capitaux propres retraités, notamment de certains instruments de capital qui sont classés en Additional Tier 1 (AT1), et de déductions des immobilisations incorporelles ; les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1 , constitués du Common Equity Tier 1 et des instruments de fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 perpétuels ; les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans. Pour être reconnus en fonds propres, les instruments de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion exigeants. Si d’anciens instruments ne sont pas ou plus éligibles, ils font l’objet d’une clause de "grand-père" permettant de les éliminer des fonds propres de façon progressive. Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier 1 (AT1) et du Tier 2 . Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances, quand l’établissement ne bénéficie pas de la dérogation conglomérat financier". 4. – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . 4.1. Produits et charges d’intérêts  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Sur les actifs financiers au coût amorti 141 534 129 488 Opérations avec les établissements de crédit 3 944 1 624 Opérations internes au Crédit Agricole 17 880 10 614 Opérations avec la clientèle 117 038 114 536 Opérations de location-financement ‐ ‐ Titres de dettes 2 672 2 714 Sur les actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ Opérations avec les établissements de crédit ‐ ‐ Opérations avec la clientèle ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ Intérêts courus et échus des instruments de couverture 18 995 20 309 Autres intérêts et produits assimilés ‐ ‐ Produits d'intérêts (1) (2) 160 529 149 797 Sur les passifs financiers au coût amorti -38 886 -41 032 Opérations avec les établissements de crédit -4 267 -1 961 Opérations internes au Crédit Agricole -22 012 -21 712 Opérations avec la clientèle -5 622 -10 405 Opérations de location-financement ‐ ‐ Dettes représentées par un titre -6 985 -6 954 Dettes subordonnées ‐ ‐ Intérêts courus et échus des instruments de couverture -26 626 -28 421 Autres intérêts et charges assimilées -6 -15 Charges d'intérêts -65 518 -69 468 (1) Dont 1 848 milliers d'euros sur créances dépréciées (Stage 3) au 31 décembre 2021 contre 1 910 milliers d'euros au 31 décembre 2020 (2) Dont 136 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2021 contre 230 milliers d'euros au 31 décembre 2020 Les montants d’intérêts négatifs enregistrés en produits d’intérêts pour les passifs financiers et charges d'intérêts pour les actifs financiers sont respectivement de 14 532 milliers d'euros et 541 milliers d'euros. Les produits d’intérêts incluent les effets de la catch-up résultant de la prorogation des PGE pour un montant de 294 milliers d’euros. 4.2. Produits et charges de commissions  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 146 -26 120 95 -28 67 Sur opérations internes au Crédit Agricole 4 514 -19 114 -14 600 4 075 -15 272 -11 197 Sur opérations avec la clientèle 3 176 -377 2 799 2 660 -351 2 309 Sur opérations sur titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur opérations de change 24 ‐ 24 21 ‐ 21 Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers 74 164 -7 135 67 029 70 730 -6 431 64 299 Gestion d'opcvm, fiducie et activités analogues 962 -25 937 1 054 -46 1 008 Total Produits et charges de commissions 82 986 -26 677 56 309 78 635 -22 128 56 507 4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Dividendes reçus 15 13 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif détenus à des fins de transaction 30 2 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 54 95 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur instruments de dette ne remplissant pas les critères SPPI -311 -142 Gains ou pertes nets sur actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option (1) ‐ ‐ Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger) 153 116 Résultat de la comptabilité de couverture -1 198 -1 125 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat -1 257 -1 041 (1) Hors spread de crédit émetteur pour les passifs à la juste valeur par résultat sur option (sauf exception permise par la norme pour élimnier ou réduire une non-concordance en compte de résultat) Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Profits Pertes Net Profits Pertes Net Couverture de juste valeur 95 451 -96 847 -1 396 114 954 -116 216 -1 262 Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts 41 809 -55 074 -13 265 60 017 -56 185 3 832 Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couverture) 53 642 -41 773 11 869 54 937 -60 031 -5 094 Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 181 341 -181 143 198 228 681 -228 544 137 Variations de juste valeur des éléments couverts 70 669 -110 672 -40 003 129 016 -99 482 29 534 Variations de juste valeur des dérivés de couverture 110 672 -70 471 40 201 99 665 -129 062 -29 397 Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Résultat de la comptabilité de couverture 276 792 -277 990 -1 198 343 635 -344 760 -1 125 Le détail du résultat de la comptabilité de couverture par type de relation (Couverture de juste valeur, Couverture de flux de trésorerie,…) est présenté dans la note 3.4 "Comptabilité de couverture". 4.4. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables (1) ‐ ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 14 692 3 573 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 14 692 3 573 (1) Hors résultat de cession sur instruments de dettes dépréciés (Stage 3) mentionné en note 4.8 « Coût du risque ». 4.5. Produits (charges) nets des autres activités  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation ‐ ‐ Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d’assurance ‐ ‐ Autres produits nets de l’activité d’assurance ‐ ‐ Variation des provisions techniques des contrats d’assurance ‐ ‐ Produits nets des immeubles de placement 8 -33 Autres produits (charges) nets -14 -658 Produits (charges) des autres activités -6 -691 4.6. Charges générales d’exploitation  : (En milliers d'euros) 31/12/2021 31/12/2020 Charges de personnel -60 873 -57 830 Impôts, taxes et contributions réglementaires (1) -3 793 -5 618 Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation -34 234 -35 358 Charges générales d'exploitation -98 900 -98 806 (1) Dont 657 milliers d’euros comptabilisés au titre du Fonds de Résolution Unique au 31 décembre 2021 Honoraires des commissaires aux comptes . — La répartition par cabinet et par type de mission des honoraires des Commissaires aux comptes des sociétés de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée intégrées globalement est la suivante au titre de 2021 : Collège des Commissaires aux comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée (En milliers d'euros hors taxes) EY KPMG TOTAL 2021 2021 2020 2021 2020 Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés 60 94 45 57 105 Emetteur 60 94 45 57 105 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Services autres que la certification des comptes 3 5 30 15 33 Emetteur 3 5 30 15 33 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 63 99 75 72 138 Le montant total des honoraires de Ernst & Young et Autres, commissaire aux comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 63 milliers d’euros, dont 60 milliers d’euros au titre de la mission de certification des comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée et ses filiales, et 3 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes. Le montant total des honoraires de KPMG, commissaire aux comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée, figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 75 milliers d’euros, dont 45 milliers d’euros au titre la mission de certification des comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée et ses filiales, et 30 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes; 4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Dotations aux amortissements -4 074 -4 317 Immobilisations corporelles (1) -4 010 -4 258 Immobilisations incorporelles -64 -59 Dotations (reprises) aux dépréciations -1 794 ‐ Immobilisations corporelles -1 794 ‐ Immobilisations incorporelles ‐ ‐ Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles -5 868 -4 317 (1) Dont 1 235 milliers d’euros comptabilisés au titre de l'amortissement du droit d'utilisation (IFRS 16) au 31 décembre 2021 4.8. Coût du risque  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs et provisions sur engagements hors bilan sains (Stage 1 et Stage 2) (A) 101 -12 134 Stage 1 : Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir 1 126 -4 818 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 883 -4 132 Engagements par signature 243 -686 Stage 2 : Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour la durée de vie -1 025 -7 316 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -727 -5 476 Engagements par signature -298 -1 840 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs et provisions sur engagements hors bilan dépréciés (Stage 3) (B) -3 562 2 699 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -2 693 1 370 Engagements par signature -869 1 329 Autres actifs (C) -1 160 261 Risques et charges (D) -243 100 Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions (E)= (A)+ (B)+ (C)+ (D) -4 864 -9 074 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables dépréciés ‐ ‐ Gains ou pertes réalisés sur instruments de dettes comptabilisés au coût amorti dépréciés ‐ ‐ Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés -160 -113 Récupérations sur prêts et créances 415 808 Comptabilisés au coût amorti 415 808 Comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Décotes sur crédits restructurés ‐ -7 Pertes sur engagements par signature ‐ ‐ Autres pertes -175 -660 Autres produits ‐ 517 Coût du risque -4 784 -8 529 4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs  : (En milliers d'euros) 31/12/2021 31/12/2020 Immobilisations corporelles et incorporelles d’exploitation 153 546 Plus-values de cession 168 550 Moins-values de cession -15 -4 Titres de capitaux propres consolidés ‐ ‐ Plus-values de cession ‐ ‐ Moins-values de cession ‐ ‐ Produits (charges) nets sur opérations de regroupement ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs 153 546 4.10. Impôts . — Charge d’impôt  : En milliers d' E uros 31/12/2021 31/12/2020 Charge d'impôt courant -11 023 -11 756 Charge d'impôt différé -944 4 289 Total Charge d'impôt -11 967 -7 467 — Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté  : Au 31 décembre 2021  : (En milliers d' E uros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 55 350 28,41% -15 725 Effet des différences permanentes -1,54% 852 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères -0,05% 29 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires 0,40% -221 Effet de l’imposition à taux réduit 0,17% -92 Changement de taux ‐ Effet des autres éléments 1,76% -973 Taux et charge effectifs d'impôt 21,62% -11 967 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2021 . Au 31 décembre 2020  : (En milliers d' E uros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 27 571 32,02% -8 828 Effet des différences permanentes 1 251 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères 3 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires 627 Effet de l’imposition à taux réduit -28 Changement de taux ‐ Effet des autres éléments -1 637 Taux et charge effectifs d'impôt -27,08 % -7 467 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2020 . 4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période : — Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 251 252 Ecart de réévaluation de la période 251 252 Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -64 -65 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 187 187 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi 837 -375 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en réserves ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 112 128 -31 202 Ecart de réévaluation de la période 112 145 -32 404 Transferts en réserves -17 1 202 Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence -3 636 1 484 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 109 329 -30 093 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 109 516 -29 906 Dont part du Groupe 109 516 -29 906 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ — Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et effets d’impôt  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Variation 31/12/2021 Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture -491 129 -362 -362 251 -64 187 187 -240 65 -175 -175 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -491 129 -362 -362 251 -64 187 187 -240 65 -175 -175 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables -491 129 -362 -362 251 -64 187 187 -240 65 -175 -175 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -5 572 1 439 -4 133 -4 133 837 -216 621 621 -4 735 1 223 -3 512 -3 512 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 93 692 -2 785 90 907 90 907 112 128 -3 420 108 708 108 708 205 820 -6 205 199 615 199 615 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 88 120 -1 346 86 774 86 774 112 965 -3 636 109 329 109 329 201 085 -4 982 196 103 196 103 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 88 120 -1 346 86 774 86 774 112 965 -3 636 109 329 109 329 201 085 -4 982 196 103 196 103 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 87 629 -1 217 86 412 86 412 113 216 -3 700 109 516 109 516 200 845 -4 917 195 928 195 928 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Variation 31/12/2020 Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ 1 ‐ ‐ ‐ -1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture -743 194 -549 -549 252 -65 187 187 -491 129 -362 -362 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -743 194 -548 -549 252 -65 186 187 -491 129 -362 -362 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence  : ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables -743 194 -548 -549 252 -65 186 187 -491 129 -362 -362 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -5 197 1 342 -3 855 -3 855 -375 97 -278 -278 -5 572 1 439 -4 133 -4 133 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 124 894 -4 172 120 722 120 722 -31 202 1 387 -29 815 -29 815 93 692 -2 785 90 907 90 907 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 119 697 -2 830 116 867 116 867 -31 577 1 484 -30 093 -30 093 88 120 -1 346 86 774 86 774 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 119 697 -2 830 116 867 116 867 -31 577 1 484 -30 093 -30 093 88 120 -1 346 86 774 86 774 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 118 954 -2 636 116 319 116 318 -31 325 1 419 -29 907 -29 906 87 629 -1 217 86 412 86 412 5. – Informations sectorielles . Définition des secteurs opérationnels . — La Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois, concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf. note 3.1) Information sectorielle par zone géographique . — L’analyse géographique des actifs et des résultats sectoriels repose sur le lieu d’enregistrement comptable des activités. (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Résultat net part Groupe dont Produit net bancaire Actifs sectoriels dont écarts d'acquisition Résultat net part Groupe dont Produit net bancaire Actifs sectoriels dont écarts d'acquisition France (y compris DOM-TOM) 41 680 163 104 ‐ ‐ 20 654 137 526 ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays de l'Union européenne 1 703 1 645 ‐ ‐ -550 1 151 ‐ ‐ Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 43 383 164 749 ‐ ‐ 20 104 138 677 ‐ ‐ 6. – Notes relatives au bilan . 6.1. Caisse, banques centrales  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Actif Passif Actif Passif Caisse 34 009 ‐ 38 936 ‐ Banques centrales 1 695 ‐ 392 ‐ Valeur au bilan 35 704 ‐ 39 328 ‐ 6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat  : — Actifs financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 868 669 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 64 447 139 270 Instruments de capitaux propres 836 792 Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 63 611 138 478 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 65 315 139 939 Dont Titres prêtés ‐ ‐ — Actifs financiers détenus à des fins de transaction  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Instruments de capitaux propres ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Instruments dérivés 868 669 Valeur au bilan 868 669 Les montants relatifs aux titres reçus en pension livrée comprennent ceux que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est autorisée à redonner en garantie. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 836 792 Total Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 836 792 — Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Titres de dettes 63 611 138 478 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 1 072 1 082 OPCVM 62 539 137 396 Prêts et créances ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Total Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI à la juste valeur par résultat 63 611 138 478 — Passifs financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 907 756 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 907 756 — Passifs financiers détenus à des fins de transaction  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Titres vendus à découvert ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ Instruments dérivés 907 756 Valeur au bilan 907 756 Une information détaillée sur les instruments dérivés de transaction est fournie dans la note 3.2 relative au risque de marché, notamment sur taux d’intérêt. 6.3. Instruments dérivés de couverture . — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 "Comptabilité de couverture". 6.4. Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 697 741 215 072 -9 252 565 655 104 713 -11 021 Total 697 741 215 072 -9 252 565 655 104 713 -11 021 Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables  : — Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres non recyclables  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Actions et autres titres à revenu variable 2 806 ‐ ‐ 2 237 ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 694 935 215 072 -9 252 563 418 104 713 -11 021 Total Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 697 741 215 072 -9 252 565 655 104 713 -11 021 Impôts sur les bénéfices -6 205 ‐ -2 785 ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (nets d'impôt) 208 867 -9 252 101 928 -11 021 — Instruments de capitaux propres ayant été décomptabilisés au cours de la période  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Juste Valeur à la date de dé comptabilisation Gains cumulés réalisés (1) Pertes cumulées réalisées (1) Juste Valeur à la date de dé comptabilisation Gains cumulés réalisés (1) Pertes cumulées réalisées (1) Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 276 60 -43 -1 202 ‐ -1 202 Total Placements dans des instruments de capitaux propres 276 60 -43 -1 202 ‐ -1 202 Impôts sur les bénéfices ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (nets d'impôt) 60 -43 ‐ -1 202 (1) Les profits et pertes réalisés sont transférés en réserves consolidées au moment de la dé comptabilisation de l'instrument concerné Au cours de l'exercice, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a procédé à la cession des titres SA Château de Castelnou, SA Roussillon Habitat. 6.5. Actifs financiers au coût amorti  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Prêts et créances sur les établissements de crédit 1 099 670 641 788 Prêts et créances sur la clientèle (1) 5 964 924 5 787 778 Titres de dettes 192 558 167 442 Valeur au bilan 7 257 152 6 597 008 (1) Au 31 décembre 2021 , dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID 19, le montant des encours de prêts garantis par l’Etat (PGE) accordés par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée s’élève à 222 313 milliers d’euros. — Prêts et créances sur les établissements de crédit  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Etablissements de crédit  : Comptes et prêts 11 244 10 217 Dont comptes ordinaires débiteurs non douteux (1) 11 244 10 217 Dont comptes et prêts au jour le jour non douteux (1) ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Prêts subordonnés 157 157 Autres prêts et créances ‐ ‐ Valeur brute 11 401 10 374 Dépréciations ‐ ‐ Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit 11 401 10 374 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 821 055 444 666 Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Comptes et avances à terme 267 214 186 748 Prêts subordonnés ‐ ‐ Total Prêts et créances internes au Crédit Agricole 1 088 269 631 414 Valeur au bilan 1 099 670 641 788 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique "Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit" du Tableau des flux de trésorerie — Prêts et créances sur la clientèle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Opérations avec la clientèle Créances commerciales 4 406 4 318 Autres concours à la clientèle 6 094 043 5 911 943 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Prêts subordonnés 159 ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 15 361 20 896 Comptes ordinaires débiteurs 21 043 20 380 Valeur brute 6 135 012 5 957 537 Dépréciations -170 088 -169 759 Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle 5 964 924 5 787 778 Opérations de location-financement  : Location-financement immobilier ‐ ‐ Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées ‐ ‐ Valeur brute ‐ ‐ Dépréciations ‐ ‐ Valeur nette des opérations de location-financement ‐ ‐ Valeur au bilan 5 964 924 5 787 778 — Titres de dettes  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Effets publics et valeurs assimilées 98 831 105 690 Obligations et autres titres à revenu fixe 95 975 63 957 Total 194 806 169 647 Dépréciations -2 248 -2 205 Valeur au bilan 192 558 167 442 6.6. Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue  : — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2021  : Nature des actifs transférés (En milliers d'euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passif associés Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) dont pensions livrées dont autres Juste valeur (1) Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) dont pensions livrées dont autres Juste valeur (1) Juste valeur nette (1) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 23 818 23 818 ‐ ‐ 23 818 21 415 21 415 ‐ ‐ 21 415 2 403 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 23 818 23 818 ‐ ‐ 23 818 21 415 21 415 ‐ ‐ 21 415 2 403 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 23 818 23 818 ‐ ‐ 23 818 21 415 21 415 ‐ ‐ 21 415 2 403 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 23 818 23 818 ‐ ‐ 23 818 21 415 21 415 ‐ ‐ 21 415 2 403 ‐ ‐ ‐ (1) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2020 Nature des actifs transférés (En milliers d'Euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passif associés Valeur comptable Dont titrisations (non déconsolidantes) Dont pensions livrées Dont autres Juste valeur (1) Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) Dont pensions livrées Dont autres Juste valeur (1) Juste valeur nette (1) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 24 831 24 831 ‐ ‐ 24 831 22 199 22 199 ‐ ‐ 22 199 2 632 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 24 831 24 831 ‐ ‐ 24 831 22 199 22 199 ‐ ‐ 22 199 2 632 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 24 831 24 831 ‐ ‐ 24 831 22 199 22 199 ‐ ‐ 22 199 2 632 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 24 831 24 831 ‐ ‐ 24 831 22 199 22 199 ‐ ‐ 22 199 2 632 ‐ ‐ ‐ (2) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). — Titrisations  : Les titrisations consolidées avec investisseurs externes constituent un transfert d’actifs au sens de l’amendement à IFRS 7. En effet, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a une obligation contractuelle indirecte de remettre aux investisseurs externes les flux de trésorerie des actifs cédés au fonds de titrisation (bien que ces actifs figurent au bilan de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée via la consolidation du fonds). Les créances cédées au fonds de titrisation servent de garantie aux investisseurs. Les titrisations consolidées intégralement autosouscrites ne constituent pas un transfert d’actif au sens de la norme IFRS 7. — Engagements encourus relatifs aux actifs transférés décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2021  : Au titre de l’exercice, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a constaté aucun engagement encouru relatif aux actifs transférés décomptabilisés intégralement. 6.7. Expositions au risque souverain . — Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement. L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture. Les expositions de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au risque souverain sont les suivantes : — Activité bancaire  : 31/12/2021 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Allemagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Arabie -Saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Argentine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Egypte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etats- Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 98 808 98 808 ‐ 98 808 Hong -Kong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Liban ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Maroc ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume- Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Turquie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays souverains ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ 98 808 98 808 ‐ 98 808 31/12/2020 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Allemagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Arabie saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Argentine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Egypte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etats- Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 105 684 105 684 ‐ 105 684 Hong -Kong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Liban ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Maroc ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume- Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Turquie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays souverains ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ 105 684 105 684 ‐ 105 684 6.8. Passifs financiers au coût amorti  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Dettes envers les établissements de crédit 3 826 385 3 519 817 Dettes envers la clientèle 2 951 530 2 721 031 Dettes représentées par un titre 173 527 177 512 Valeur au bilan 6 951 442 6 418 360 — Dettes envers les établissements de crédit  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Etablissements de crédit Comptes et emprunts 15 885 323 Dont comptes ordinaires créditeurs (1) 2 ‐ Dont comptes et emprunts au jour le jour (1) ‐ ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Total 15 885 323 Opérations internes au Crédit Agricole Comptes ordinaires créditeurs ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Comptes et avances à terme 3 810 500 3 519 494 Total 3 810 500 3 519 494 Valeur au bilan 3 826 385 3 519 817 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique ”Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit” du Tableau des flux de trésorerie — Dettes envers la clientèle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Comptes ordinaires créditeurs 2 568 583 2 255 373 Comptes d'épargne à régime spécial 20 931 17 387 Autres dettes envers la clientèle 362 016 448 271 Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ Valeur au bilan 2 951 530 2 721 031 — Dettes représentées par un titre   : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Bons de caisse 6 96 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ Titres de créances négociables 152 106 155 217 Emprunts obligataires 21 415 22 199 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ Valeur au bilan 173 527 177 512 6.9. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers . — Compensation – Actifs financiers  : Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 26 868 ‐ 26 868 26 001 ‐ 867 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 26 868 ‐ 26 868 26 001 ‐ 867 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 36 927 ‐ 36 927 36 391 ‐ 536 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 36 927 ‐ 36 927 36 391 ‐ 536 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % de dérivés à l'actif à la date d'arrêté — Compensation – Passifs financiers  : Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 87 017 ‐ 87 017 26 001 61 016 ‐ Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 87 017 ‐ 87 017 26 001 61 016 ‐ (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés au passif à la date d'arrêté Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 150 601 ‐ 150 601 36 391 114 180 30 Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 150 601 ‐ 150 601 36 391 114 180 30 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés au passif à la date d'arrêté 6.10. Actifs et passifs d’impôts courants et différés  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Impôts courants 1 713 1 082 Impôts différés 15 417 19 777 Total Actifs d'impôts courants et différés 17 130 20 859 Impôts courants 349 537 Impôts différés ‐ ‐ Total Passifs d'impôts courants et différés 349 537 Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Impôts différés Actif Impôts différés Passif Impôts différés Actif Impôts différés Passif Décalages temporaires comptables-fiscaux 26 577 ‐ 26 562 ‐ Charges à payer non déductibles 2 061 ‐ 1 866 ‐ Provisions pour risques et charges non déductibles 15 249 ‐ 15 386 ‐ Autres différences temporaires 9 270 ‐ 9 310 ‐ Impôts différés sur réserves latentes -5 630 ‐ -1 860 ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres -6 205 ‐ -2 785 ‐ Couverture de flux de trésorerie 62 ‐ 127 ‐ Gains et pertes sur écarts actuariels 512 ‐ 798 ‐ Gains et pertes sur variation du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ Impôts différés sur résultat -5 530 ‐ -4 925 ‐ Total Impôts différés 15 417 ‐ 19 777 ‐ Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale. 6.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers  : — Comptes de régularisation et actifs divers  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Autres actifs 113 502 167 619 Comptes de stocks et emplois divers 9 902 11 101 Gestion collective des titres Livret de développement durable et solidaire ‐ ‐ Débiteurs divers (1) 103 583 156 504 Comptes de règlements 17 14 Capital souscrit non versé ‐ ‐ Autres actifs d'assurance ‐ ‐ Parts des réassureurs dans les provisions techniques ‐ ‐ Comptes de régularisation 29 058 31 166 Comptes d'encaissement et de transfert 7 293 8 605 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts ‐ ‐ Produits à recevoir 19 558 20 046 Charges constatées d'avance 290 268 Autres comptes de régularisation 1 917 2 247 Valeur au bilan 142 560 198 785 (1) dont 1 143 milliers d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution Unique, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. — Comptes de régularisation et passifs divers  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Autres passifs (1) 44 867 41 128 Comptes de règlements ‐ ‐ Créditeurs divers 40 113 37 401 Versements restant à effectuer sur titres 3 152 2 083 Autres passifs d'assurance ‐ ‐ Dettes locatives 1 602 1 644 Autres ‐ ‐ Comptes de régularisation 64 595 83 277 Comptes d'encaissement et de transfert (2) 7 349 14 189 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts ‐ ‐ Produits constatés d’avance 25 978 28 406 Charges à payer 30 588 30 499 Autres comptes de régularisation 680 10 183 Valeur au bilan 109 462 124 405 (1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées (2) Les montants sont indiqués en net 6.12. Immeubles de placement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2021 Valeur brute 7 500 ‐ 15 -925 ‐ 752 7 342 Amortissements et dépréciations -3 237 ‐ -393 554 ‐ ‐ -3 076 Valeur au bilan (1) 4 263 ‐ -378 -371 ‐ 752 4 266 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple (En milliers d' EU ros) 31/12/2019 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2020 Valeur brute 7 619 ‐ 962 -1 193 ‐ 112 7 500 Amortissements et dépréciations -3 577 ‐ -235 575 ‐ ‐ -3 237 Valeur au bilan (1) 4 042 ‐ 727 -618 ‐ 112 4 263 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple Juste valeur des immeubles de placement . — La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût, établie "à dire d’expert", s’élève à 5 793 milliers d’euros au 31 décembre 2021 contre 5 686 milliers d’euros au 31 décembre 2020 . (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 5 793 5 686 Valeur de marché des immeubles de placement 5 793 5 686 Tous les immeubles de placement font l’objet d’une comptabilisation au coût au bilan. 6.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) . — Les immobilisations corporelles d’exploitation incluent les droits d’utilisation des immobilisations prises en location en tant que preneur. Les amortissements et dépréciations des immobilisations corporelles d’exploitation sont présentés y compris amortissements sur immobilisations données en location simple. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2021 Immobilisations corporelles d'exploitation  : Valeur brute 135 294 ‐ 4 841 -5 753 ‐ -129 134 254 Amortissements et dépréciations -107 501 ‐ -5 804 4 324 ‐ ‐ -108 981 Valeur au bilan 27 793 ‐ -963 -1 429 ‐ -129 25 273 Immobilisations incorporelles  : Valeur brute 524 ‐ 77 ‐ ‐ ‐ 601 Amortissements et dépréciations -507 ‐ -64 ‐ ‐ ‐ -571 Valeur au bilan 17 ‐ 13 ‐ ‐ ‐ 30 (En milliers d' E uros) 31/12/2019 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements (1) 31/12/2020 Immobilisations corporelles d'exploitation Valeur brute 131 556 ‐ 4 027 -1 735 ‐ 1 446 135 294 Amortissements et dépréciations -104 424 ‐ -3 997 1 180 ‐ -260 -107 501 Valeur au bilan 27 132 ‐ 30 -555 ‐ 1 186 27 793 Immobilisations incorporelles Valeur brute 482 ‐ 42 ‐ ‐ ‐ 524 Amortissements et dépréciations -448 ‐ -59 ‐ ‐ ‐ -507 Valeur au bilan 34 ‐ -17 ‐ ‐ ‐ 17 (1) Tenant compte des effets de première application de la décision de l’ifrs IC du 26 novembre 2019 sur la durée des contrats de location IFRS 16, le solde des droits d’utilisation au bilan aurait été de 2 456 milliers d’euros au 31/12/2019 (contre 899 milliers d’euros avant application de la décision IFRS IC) 6.14. Provisions  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 01/01/2021 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2021 Risques sur les produits épargne-logement 8 115 ‐ ‐ 178 ‐ -1 020 ‐ ‐ 7 273 Risques d’exécution des engagements par signature 4 870 ‐ ‐ 13 819 ‐ -12 895 ‐ ‐ 5 794 Risques opérationnels 989 ‐ ‐ 779 -41 -315 ‐ ‐ 1 412 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 2 517 ‐ ‐ ‐ -41 ‐ 30 2 506 Litiges divers 744 ‐ ‐ 268 -181 -114 ‐ ‐ 717 Participations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 4 770 ‐ ‐ 454 -1 961 -6 ‐ ‐ 3 257 Total 22 005 ‐ 15 498 -2 183 -14 391 ‐ 30 20 959 (1) Dont 1 874 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 632 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. (En milliers d' E uros) 31/12/2019 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2020 Risques sur les produits épargne-logement 7 474 ‐ 1 154 ‐ -513 ‐ ‐ 8 115 Risques d’exécution des engagements par signature 3 671 ‐ 11 095 ‐ -9 896 ‐ ‐ 4 870 Risques opérationnels 1 094 ‐ 170 -56 -219 ‐ ‐ 989 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 3 309 ‐ 57 ‐ -956 ‐ 107 2 517 Litiges divers 410 ‐ 446 -3 -109 ‐ ‐ 744 Participations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 5 763 ‐ 1 105 -1 958 -140 ‐ ‐ 4 770 Total 21 721 ‐ 14 027 -2 017 -11 833 ‐ 107 22 005 (1) Dont 1 844 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 673 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. — Provision épargne-logement : Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 68 319 160 781 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 121 977 357 184 Ancienneté de plus de 10 ans 751 468 407 560 Total plans d'épargne-logement 941 763 925 525 Total comptes épargne-logement 85 362 81 785 Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement 1 027 125 1 007 310 Les encours de collecte, hors prime de l'Etat, sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2021 pour les données au 31 décembre 2021 et à fin novembre 2020 pour les données au 31 décembre 2020 . Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Plans d'épargne-logement 222 316 Comptes épargne-logement 739 1 081 Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement 961 1 397 Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 110 495 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 3 751 4 088 Ancienneté de plus de 10 ans 3 412 3 532 Total plans d'épargne-logement 7 273 8 115 Total comptes épargne-logement ‐ ‐ Total Provision au titre des contrats épargne-logement 7 273 8 115 (En milliers d' E uros) 31/12/2020 Dotations Reprises Autres mouvements 31/12/2021 Plans d'épargne-logement 8 115 178 -1 020 ‐ 7 273 Comptes épargne-logement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Provision au titre des contrats épargne-logement 8 115 178 -1 020 ‐ 7 273 L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe "Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes" de la partie "Cadre général". 6.15. Capitaux propres  : — Composition du capital au 31 décembre 2021  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 modifié portant statut de la coopération. Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement (CCI) et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA). Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts. La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS. Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947. A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent. Les CCI sont émis au profit de titulaires n’ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables. Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées. Répartition du capital de la Caisse Régionale Nombre de titres au 31/12/2020 Nombre de titres émis Nombre de titres remboursés Nombre de titres au 31/12/2021 Certificats Coopératifs d'investissements (CCI) ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part du Public ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part Sacam Mutualisation ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part Autodétenue ‐ ‐ ‐ ‐ Certificats Coopératifs d'associés (CCA) 459 957 ‐ ‐ 459 957 Dont part du Public ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part Crédit Agricole S.A. ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part Sacam Mutualisation 459 957 ‐ ‐ 459 957 Parts sociales 21 315 695 4 301 711 1 316 526 24 300 880 Dont 32 caisses locales 21 315 678 4 301 707 1 316 523 24 300 862 Dont 17 Administrateurs de la Caisse régionale 16 4 3 17 Dont Crédit Agricole S.A. ‐ ‐ ‐ ‐ Dont Sacam Mutualisation 1 ‐ ‐ 1 Dont autres ‐ ‐ ‐ ‐ Total 21 775 652 4 301 711 1 316 526 24 760 837 La valeur nominale des titres est de 15,25 € pour les CCA 15,25 € pour les parts sociales émises par la Caisse régionale 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses locales Au 31 décembre 2021, le montant total du capital est de 44 425 milliers d’euros. — Rémunération par titre de capital  : Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation. Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée sont composés de parts sociales et de CCA. Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 modifié relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale à la moyenne, sur les trois années civiles précédant la date de l'assemblée générale, du taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées, majorée de deux points, publié par le ministre chargé de l’économie. La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’Assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales. Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action ne sont pas applicables. — Dividendes  : Au titre de l’exercice 2021 , le Conseil d’administration de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 24/03/2022 le paiement d’un dividende par part sociale de 0,03 euros, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale. Année de rattachement du dividende Par CCI Par CCA Par part sociale Montant Net Montant Net Montant Net 2017 ‐ 4,32 0.02 2018 ‐ 4,91 0.02 2019 ‐ 5,06 0.02 2020 ‐ 4,32 0.02 Prévu 2021 5,17 0.03 — Dividendes payés au cours de l’exercice  : Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 2 379 milliers d’euros en 2021 . Affectations du résultat et fixation du dividende 202 1 . — L’affectation du résultat la fixation et la mise en paiement du dividende 20 21 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée du 24 mars 2022. Le texte de la résolution est le suivant : L’Assemblée Générale accepte l’affectation du résultat de l’exercice 2021 proposée par le Conseil d’Administration et approuvée par Crédit Agricole SA  : Résultat des comptes individuels 2021 31 715 644,50 € Report à nouveau 204 112,23 € Résultat de l’exercice à affecter 31 919 756,73 € Résultat distribué 2 847 237,32 € Intérêts parts sociales Caisse Régionales (2,23%) 469 259,63 € Rémunération des CCA 2 377 977,69 Résultat Conservé 29 072 519,41 € Réserve légales (75% du disponible) 21 804 389,56 € Autres réserves 7 268 129,85 € 6.16. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle . — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle. L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle. Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en "Indéterminée". (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 35 704 ‐ ‐ ‐ ‐ 35 704 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 4 10 24 1 902 63 375 65 315 Instruments dérivés de couverture 694 7 732 10 400 7 175 ‐ 26 001 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 697 741 697 741 Actifs financiers au coût amorti 1 095 213 632 902 2 128 925 3 385 839 14 273 7 257 152 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 46 884 46 884 Total Actifs financiers par échéance 1 178 499 640 644 2 139 349 3 394 916 775 389 8 128 797 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 1 ‐ 24 882 ‐ 907 Instruments dérivés de couverture 107 1 823 7 382 76 827 ‐ 86 139 Passifs financiers au coût amorti 3 116 502 1 046 962 1 993 155 794 823 ‐ 6 951 442 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 8 796 8 796 Total Passifs financiers par échéance 3 125 406 1 048 785 2 000 561 872 532 ‐ 7 047 284 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 39 328 ‐ ‐ ‐ ‐ 39 328 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 20 14 50 588 139 267 139 939 Instruments dérivés de couverture 262 4 719 31 278 ‐ ‐ 36 259 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 565 655 565 655 Actifs financiers au coût amorti 703 343 708 453 1 932 645 3 231 797 20 770 6 597 008 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 93 902 93 902 Total Actifs financiers par échéance 836 855 713 186 1 963 973 3 232 385 725 692 7 472 091 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 19 19 43 675 ‐ 756 Instruments dérivés de couverture 36 1 906 22 004 125 957 ‐ 149 903 Passifs financiers au coût amorti 2 826 536 1 048 706 1 833 895 709 223 ‐ 6 418 360 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 22 268 22 268 Total Passifs financiers par échéance 2 848 859 1 050 631 1 855 942 835 855 ‐ 6 591 287 7. – Avantages au personnel et autres rémunérations . 7.1. Détail des charges de personnel  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Salaires et traitements (1) (2) -32 229 -30 669 Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies) -3 940 -3 851 Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies) -2 356 -1 330 Autres charges sociales -11 962 -11 718 Intéressement et participation -5 041 -5 071 Impôts et taxes sur rémunération -5 345 -5 191 Total Charges de personnel -60 873 -57 830 (1) Dont indemnités liées à la retraite pour 258 milliers d'euros au 31 décembre 2021 contre 222 milliers d'euros au 31 décembre 2020 (2) Dont médailles du travail pour 41 milliers d’euros au 31 décembre 2021 contre 14 milliers d’euros au 31 décembre 2020 7.2. Effectif moyen de la période  : Effectif moyen 31/12/2021 31/12/2020 France 886 855 Étranger 13 13 Total 899 868 7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies . — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés de Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer. 7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies  : — Variation dette actuarielle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle au 31/12/N-1 20 045 ‐ 20 045 20 495 Impact IFRIC IAS 19 à l'ouverture (2) -204 ‐ -204 ‐ Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Coût des services rendus sur l'exercice 1 887 ‐ 1 887 1 066 Coût financier 73 ‐ 73 197 Cotisations employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime ‐ ‐ ‐ -1 305 Variations de périmètre -15 ‐ -15 -108 Prestations versées (obligatoire) -1 169 ‐ -1 169 -714 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) -79 ‐ -79 -434 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) -698 ‐ -698 848 Dette actuarielle à la clôture 19 840 ‐ 19 840 20 045 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience (2) Concernent l'impact de la 1ère application de la décision IFRS IC du 21 avril 2021 portant sur le calcul des engagements relatifs à certains régimes à prestations définies pour un montant de 204 milliers d’euros au 1er janvier 2021 (Cf. Note 1.1 Normes applicables et comparabilité). — Détail de la charge comptabilisée au résultat  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Coût des services 1 887 ‐ 1 887 -239 Charge/produit d'intérêt net -301 ‐ -301 188 Impact en compte de résultat à la clôture 1 586 ‐ 1 586 -51 — Détail des gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Réévaluation du passif (de l'actif) net Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables à l'ouverture 5 573 ‐ 5 573 5 198 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels sur l'actif -61 ‐ -61 -39 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) -79 ‐ -79 -434 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) -698 ‐ -698 848 Ajustement de la limitation d'actifs ‐ ‐ ‐ ‐ Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables à la clôture -838 ‐ -838 375 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience — Variation de juste valeur des actifs  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Juste valeur des actifs à l'ouverture 18 200 ‐ 18 200 17 824 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Intérêt sur l'actif (produit) 82 ‐ 82 9 Gains/(pertes) actuariels 61 ‐ 61 39 Cotisations payées par l'employeur 1 807 ‐ 1 807 1 150 Cotisations payées par les employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre -38 ‐ -38 -108 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Prestations payées par le fonds -1 169 ‐ -1 169 -714 Juste valeur des actifs à la clôture 18 943 ‐ 18 943 18 200 — Position nette  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle à la clôture 19 840 ‐ 19 840 20 045 Impact de la limitation d'actifs ‐ ‐ Juste valeur des actifs fin de période -18 943 ‐ -18 943 -18 200 Autres (1) 977 ‐ 977 ‐ Position nette (passif) / actif à la clôture -1 874 ‐ -1 874 -1 845 (1)Suite à la régularisation de 1 269 milliers d’euros constatée au 01/01/2021 au titre du régime de retraite article 137-11, l’engagement restant à étaler s’élève à 977 milliers d’euros au 31 décembre 2021, un étalement de 292 milliers d’euros ayant été constaté au titre de l’exercice 2021. — Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 31/12/2020 Zone euro Hors zone euro Zone euro Hors zone euro Taux d'actualisation (1) 0,86% 0,00% 0,36% 0,00% Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement 1,28% 0,00% 1,25% 0,00% Taux attendus d'augmentation des salaires 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% Taux d'évolution des coûts médicaux 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% Autres (à détailler) 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% (1) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de rotation du personnel. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice iboxx AA. — Information sur les actifs des régimes - Allocations d'actifs (1)  : (En milliers d'Euros) Zone euro Hors zone euro Toutes zones En % En montant Dont coté En % En montant Dont coté En % En montant Dont coté Actions 12,10% 2 290 ‐ 0,00% ‐ ‐ 12,10% 2 290 ‐ Obligations 80,20% 15 193 ‐ 0,00% ‐ ‐ 80,20% 15 193 ‐ Immobilier 7,70% 1 460 0,00% ‐ 7,70% 1 460 Autres actifs 0,00% ‐ 0,00% ‐ 0,00% ‐ (1) Dont juste valeur des droits à remboursement Le taux d’actualisation utilisé est le taux iBoxx au 31 décembre 2021. Au 31 décembre 2021 , les taux de sensibilité démontrent que : une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de 1,08 % ; une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de 3,72 %. 7.5. Autres avantages sociaux . — Les provisions constituées par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre de ces autres engagements sociaux s’élèvent à 632 milliers d’euros à la fin de l’exercice 2021 . 7.6. Rémunérations de dirigeants . — La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 894 milliers d’euros 8. – Contrats de location . 8.1. Contrats de location dont le Groupe est preneur . — Le poste « Immobilisations corporelles d’exploitation » au bilan est composé d'actifs détenus en propre et d'actifs loués qui ne remplissent pas la définition d'immeubles de placement. (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Immobilisations corporelles détenues en propre 22 805 25 280 Droits d'utilisation des contrats de location 2 468 2 513 Total Immobilisations corporelles d'exploitation 25 273 27 793 La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est également preneuse dans des contrats de location de matériel informatique (photocopieurs, ordinateurs, …) pour des durées de 1 à 3 ans. Ces contrats sont de faible valeur et/ou de courte durée. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a choisi d’appliquer les exemptions prévues par IFRS 16 et de ne pas comptabiliser au bilan de droit d’utilisation et de dette locative sur ces contrats. Variation des actifs au titre du droit d’utilisation . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est preneuse de nombreux actifs dont des véhicules, des agences et du matériel informatique. Les informations relatives aux contrats dont la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est preneuse sont présentés ci-dessous : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements (1) 31/12/2021 Immobilier  : Valeur brute 3 261 ‐ 554 -112 ‐ ‐ 3 703 Amortissements et dépréciations -748 ‐ -516 29 ‐ ‐ -1 235 Total immobilier 2 513 ‐ 38 -83 ‐ ‐ 2 468 Mobilier  : Valeur brute ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amortissements et dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total mobilier ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Droits d'utilisation 2 513 ‐ 38 -83 ‐ ‐ 2 468 (En milliers d' E uros) 31/12/2019 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2020 Immobilier  : Valeur brute 1 776 ‐ 446 -519 ‐ 1 558 3 261 Amortissements et dépréciations -186 ‐ -452 150 ‐ -260 -748 Total immobilier 1 590 ‐ -6 -369 ‐ 1 298 2 513 Mobilier  : Valeur brute ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amortissements et dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total mobilier ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Droits d'utilisation 1 590 ‐ -6 -369 ‐ 1 298 2 513 (1) Tenant compte des effets de première application de la décision de l’ifrs IC du 26 novembre 2019 sur la durée des contrats de location IFRS 16, le solde des droits d’utilisation au bilan aurait été de 2 456 milliers d’euros au 31/12/2019 — Echéancier des dettes locatives  : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Total Dettes locatives Dettes locatives 492 1 079 31 1 602 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Total Dettes locatives Dettes locatives 419 1 165 60 1 644 — Détail des charges et produits de contrats de location (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Charges d'intérêts sur dettes locatives -6 -15 Total Intérêts et charges assimilées (PNB) -6 -15 Charges relatives aux contrats de location court terme -43 -31 Charges relatives aux contrats de location de faible valeur -895 -584 Charges relatives aux paiements de loyers variables exclus de l'évaluation de la dette ‐ ‐ Produits de sous-location tirés d'actifs au titre de droits d'utilisation ‐ ‐ Profits ou pertes résultant de transactions de cession-bail ‐ ‐ Profits ou pertes résultant de modifications de contrats de location ‐ ‐ Total Charges générales d'exploitation -938 -615 Dotations aux amortissements sur droits d'utilisation -516 -712 Total Dotations aux amortissements des immobilisations corporelles -516 -712 Total Charges et produits de contrats de location -1 460 -1 342 — Montants des flux de trésorerie de la période  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Total des sorties de trésorerie relatives aux contrats de location -1 456 -630 8.2. Contrats de location dont le Groupe est bailleur . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée propose à ses clients des activités de location qui prennent la forme de contrats de crédit-bail, de location avec option d’achat, de location financière, ou de location longue durée. Les contrats de location sont classés en contrats de location financement lorsque les termes du contrat de location transfèrent en substance la quasi-totalité des risques et avantages inhérents à la propriété au preneur. Les autres contrats de location sont classés en location simple. — Produits de contrats de location  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Location-financement ‐ ‐ Profits ou pertes réalisés sur la vente ‐ ‐ Produits financiers tirés des créances locatives ‐ ‐ Produits des paiements de loyers variables ‐ ‐ Location simple 221 212 Produits locatifs 221 212 9. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties . — Engagements donnés et reçus  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Engagements donnés 720 495 747 949 Engagements de financement 509 700 481 013 Engagements en faveur des établissements de crédit ‐ ‐ Engagements en faveur de la clientèle 509 700 481 013 Ouverture de crédits confirmés 190 371 181 144 Ouverture de crédits documentaires 1 321 1 100 Autres ouvertures de crédits confirmés 189 050 180 044 Autres engagements en faveur de la clientèle 319 329 299 869 Engagements de garantie 210 795 266 936 Engagements d'ordre des établissements de crédit 6 429 87 723 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires ‐ ‐ Autres garanties 6 429 87 723 Engagements d'ordre de la clientèle 204 366 179 213 Cautions immobilières 15 223 11 418 Autres garanties d'ordre de la clientèle 189 143 167 795 Engagements sur titres ‐ ‐ Titres à livrer ‐ ‐ Engagements reçus 1 850 142 1 788 784 Engagements de financement 7 154 11 038 Engagements reçus des établissements de crédit 7 154 11 038 Engagements reçus de la clientèle ‐ ‐ Engagements de garantie 1 842 988 1 777 746 Engagements reçus des établissements de crédit 232 766 214 132 Engagements reçus de la clientèle 1 610 222 1 563 614 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées (1) 508 232 496 195 Autres garanties reçues 1 101 990 1 067 419 Engagements sur titres ‐ ‐ Titres à recevoir ‐ ‐ (1) Dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a accordé des prêts pour lesquels elle a reçu des engagements de garantie de l’Etat français (PGE). Au 31 décembre 2021, le montant de ces engagements de garantie reçus s’élève à 193 439 milliers d’euros. — Instruments financiers remis et reçus en garantie  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés) Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (Banque de France, CRH …) 2 657 323 2 545 147 Titres prêtés ‐ ‐ Dépôts de garantie sur opérations de marché ‐ ‐ Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Titres et valeurs donnés en pension ‐ ‐ Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie 2 657 323 2 545 147 Valeur comptable des actifs financiers reçus en garantie Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés Titres empruntés ‐ ‐ Titres et valeurs reçus en pension ‐ ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés ‐ ‐ Au 31 décembre 2021 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a pas utilisé les titres souscrits auprès des "FCT Crédit Agricole Habitat" comme dispositif de refinancement. Créances apportées en garantie . — Au cours de l’année 2021 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 2 657 323 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 2 545 147 milliers d’euros en 2020 . La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté : 2 176 753 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 2 022 058 milliers d’euros en 2020 ; 90 523 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 100 025 milliers d’euros en 2020 ; 390 047 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 423 064 milliers d’euros en 2020 . Garanties détenues et actifs reçus en garantie . — La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis. La politique de l'établissement consiste à céder dès que possible les actifs obtenus par prise de possession de garanties. Au cours de la période, les actifs que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a obtenus par prise de possession de garantie et détenus à la date de clôture s’élèvent à 2 249 milliers d’euros, selon la répartition suivante : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 31/12/2020 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Immobilisations corporelles ‐ ‐ Immeubles de placement ‐ ‐ Instruments de capitaux propres et de dettes ‐ ‐ Autres 2 249 252 Total Actifs obtenus par prise de possession de garantie 2 249 252 10. – Juste valeur des instruments financiers . La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation. La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion “d’exit price”). Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des données de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs. Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés. La hiérarchie de juste valeur des actifs et passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13. Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers cotés sur un marché actif. Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données et reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs et passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté. Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé. Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment : des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux du marché ; des actifs ou passifs à court terme pour lesquels il est considéré que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ; des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ; des actifs ou passifs exigibles à vue ; des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables. 10.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût amorti . — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont, pour les actifs, nets de dépréciation. — Actifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur  : (En milliers d' E uros) Valeur au bilan au 31/12/2021 Juste valeur au 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 7 064 594 7 066 455 ‐ 1 122 450 5 944 005 Prêts et créances sur les établissements de crédit 1 099 670 1 092 716 ‐ 1 092 716 ‐ Comptes ordinaires et prêts JJ 832 299 835 017 ‐ 835 017 ‐ Comptes et prêts à terme 267 214 257 542 ‐ 257 542 ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 157 157 ‐ 157 ‐ Autres prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 964 924 5 973 739 ‐ 29 734 5 944 005 Créances commerciales 4 319 4 319 ‐ ‐ 4 319 Autres concours à la clientèle 5 930 871 5 939 686 ‐ ‐ 5 939 686 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 159 159 ‐ 159 ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 14 338 14 338 ‐ 14 338 ‐ Comptes ordinaires débiteurs 15 237 15 237 ‐ 15 237 ‐ Titres de dettes 192 558 205 343 204 697 ‐ 646 Effets publics et valeurs assimilées 98 808 111 357 111 357 ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 93 750 93 986 93 340 ‐ 646 Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 7 257 152 7 271 798 204 697 1 122 450 5 944 651 (En milliers d'euros) Valeur au bilan au 31/12/2020 Juste valeur au 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 6 429 566 6 426 953 ‐ 803 096 5 623 857 Prêts et créances sur les établissements de crédit 641 788 639 025 ‐ 639 025 ‐ Comptes ordinaires et prêts JJ 454 883 454 883 ‐ 454 883 ‐ Comptes et prêts à terme 186 748 183 985 ‐ 183 985 ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 157 157 ‐ 157 ‐ Autres prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 787 778 5 787 928 ‐ 164 071 5 623 857 Créances commerciales 4 225 4 225 ‐ ‐ 4 225 Autres concours à la clientèle 5 749 260 5 749 475 ‐ 129 843 5 619 632 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 20 836 20 771 ‐ 20 771 ‐ Comptes ordinaires débiteurs 13 457 13 457 ‐ 13 457 ‐ Titres de dettes 167 442 187 213 186 601 612 ‐ Effets publics et valeurs assimilées 105 684 123 412 123 412 ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 61 758 63 801 63 189 612 ‐ Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 6 597 008 6 614 166 186 601 803 708 5 623 857 — Passifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur  : (En milliers d' E uros) Valeur au bilan au 31/12/2021 Juste valeur au 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 3 826 385 3 915 577 ‐ 3 915 577 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ 2 2 718 ‐ 2 718 ‐ Comptes et emprunts à terme 3 826 383 3 912 859 ‐ 3 912 859 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 951 530 2 948 416 ‐ 2 927 485 20 931 Comptes ordinaires créditeurs 2 568 583 2 568 554 ‐ 2 568 554 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 20 931 20 931 ‐ ‐ 20 931 Autres dettes envers la clientèle 362 016 358 931 ‐ 358 931 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 173 527 177 572 21 384 156 188 ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 6 951 442 7 041 565 21 384 6 999 250 20 931 (En milliers d'euros) Valeur au bilan au 31/12/2020 Juste valeur au 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 3 519 817 3 617 505 ‐ 3 617 505 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptes et emprunts à terme 3 519 817 3 617 505 ‐ 3 617 505 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 721 031 2 721 031 ‐ 2 703 644 17 387 Comptes ordinaires créditeurs 2 255 373 2 255 373 ‐ 2 255 373 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 17 387 17 387 ‐ ‐ 17 387 Autres dettes envers la clientèle 448 271 448 271 ‐ 448 271 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 177 512 187 161 22 488 164 673 ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 6 418 360 6 525 697 22 488 6 485 822 17 387 10.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur . Evaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) du risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debit Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie (CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers. L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement (DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. La probabilité de défaut est en priorité directement déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides. Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation . Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers valorisés à la juste valeur  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 868 ‐ 868 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 868 ‐ 868 ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 64 447 59 468 3 112 1 867 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 836 ‐ 836 ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 836 ‐ 836 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 63 611 59 468 2 276 1 867 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 63 611 59 468 2 276 1 867 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 1 072 ‐ ‐ 1 072 OPCVM 62 539 59 468 2 276 795 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 697 741 ‐ 697 741 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 697 741 ‐ 697 741 ‐ Actions et autres titres à revenu variable 2 806 ‐ 2 806 ‐ Titres de participation non consolidés 694 935 ‐ 694 935 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 26 001 ‐ 26 001 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 789 057 59 468 727 722 1 867 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques -532 532 Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ -532 532 (En milliers d' E uros) 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 669 ‐ 669 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 669 ‐ 669 ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 139 270 135 835 2 353 1 082 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 792 ‐ 792 ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 792 ‐ 792 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 138 478 135 835 1 561 1 082 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 138 478 135 835 1 561 1 082 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 1 082 ‐ ‐ 1 082 OPCVM 137 396 135 835 1 561 ‐ Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 565 655 ‐ 565 655 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 565 655 ‐ 565 655 ‐ Actions et autres titres à revenu variable 2 237 ‐ 2 237 ‐ Titres de participation non consolidés 563 418 ‐ 563 418 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 36 259 ‐ 36 259 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 741 853 135 835 604 936 1 082 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ — Passifs financiers valorisés à la juste valeur  : (En milliers d' E uros) 31/12/2021 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 907 ‐ 907 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 907 ‐ 907 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 86 139 ‐ 86 139 ‐ Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 87 046 ‐ 87 046 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ (En milliers d' E uros) 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 756 ‐ 756 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 756 ‐ 756 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 149 903 ‐ 149 903 ‐ Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 150 659 ‐ 150 659 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ Variation du solde des instruments financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3  : — Actifs financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3  : Tableau 1 sur 3 (En milliers d'Euros) Total Actifs financiers valorisés à la juste Valeur selon le niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres détenus à des fins de transaction Instruments dérivés Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe OPCVM Actions et autres titres à revenu variable Titres détenus à des fins de transaction Solde de clôture (31/12/2020) 1 082 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) 53 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat 53 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période 200 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts 532 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 532 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2021) 1 867 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Tableau 2 sur 3 (En milliers d'euros) Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Actions et autres titres à revenu variable Titres de participation non consolidés Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable OPCVM Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe OPCVM Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Titres de dettes Solde de clôture (31/12/2020) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 082 ‐ 1 082 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -10 63 53 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -10 63 53 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 200 200 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 532 532 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 532 532 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2021) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 072 795 1 867 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Tableau 3 sur 3 (En milliers d'Euros) Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables Instruments de dettes comptabilisés en à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actions et autres titres à revenu variable Titres de participation non consolidés Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres de dettes Instruments dérivés de couverture Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Titres de dettes Solde de clôture (31/12/2020) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2021) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) ce solde inclut les gains et pertes de la période provenant des actifs détenus au bilan à la date de la clôture pour les montants suivants : Gains/ pertes de la période provenant des actifs de niveau 3 détenus au bilan en date de clôture 53 Comptabilisés en résultat 53 Comptabilisés en capitaux propres ‐ 11. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2021 . Date de clôture . — Les états financiers utilisés pour la préparation des états financiers consolidés sont établis à la même date que celle des états financiers du Groupe. 11.1. Information sur les filiales . 11.1.1. Restrictions sur les entités contrôlées . — Néant. 11.1.2. Soutiens aux entités structurées contrôlées . — La Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a accordé aucun soutien financier à une ou plusieurs entités structurées consolidées au 31 décembre 202 1 et au 31 décembre 20 20. 11.1.3. Opérations de titrisation et fonds dédiés . — Pour plus de détails sur ces opérations de titrisation et sur l’indication de la valeur comptable des actifs concernés et des passifs associés, il est possible de se reporter à la note 6.6 " Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue " . Les Caisses régionales depuis 2015 ont participé à plusieurs titrisations True Sale. Ces titrisations sont des RMBS français soit autosouscrits, soit placés dans le marché par le Groupe. Ces opérations se traduisent par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales et éventuellement LCL pour certains FCT, à un FCT (un par titrisation). Les FCT sont consolidés au sein du groupe Crédit Agricole. Dans le cadre de ces titrisations, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 228,6 millions d’euros aux FCT. 11.2. Composition du périmètre  : Périmètre de consolidation du Crédit Agricole de Méthode de consolidation Implantation % De contrôle et d'intérêt 31/12/2021 31/12/2020 Établissement bancaire et financier  : Caisse Régionale Sud Méditerranée Intégration Globale France 100% 100% Caisse Régionale Sud Méditerranée - succursale Intégration Globale Espagne 100% 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2017 Intégration Globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2018 Intégration Globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2019 Intégration Globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2020 Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale à vocation départementale des P.O Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de ARGELES - ST ANDRE Intégration Globale France 100% 100% Caisse locale la CANTERRANE - SUD REART Intégration Globale France 100% 100% Caisse locale COTE VERMEILLE Intégration Globale France 100% 100% Caisse locale PORTE DE LA SALANQUE Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de LA FOSSEILLE Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de CANET - STE MARIE Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de TET - FENOUILLEDES Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de PLAINE DU TECH Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de L'AGLY - FENOUILLDES - VERDOUBLE Intégration Globale France 100% 100% Caisse locale FORCA - REAL Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de PERPIGNAN Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de THUIR Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de CONFLENT - FENOUILLEDES Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de RIVESALTAIS Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale du RIBERAL Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale des ALBERES Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale d'agly SALANQUE Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale les RIVES DE LA BASSE Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale d'arles S/TECH Intégration Globale France 100% 100% Caisse Local à vocation départementale de l'Ariège Intégration Globale France 100% 100% Caisse locale Pays De Foix Et Du Ceronais Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de LAVELANET - QUERIGUT Intégration Globale France 100% 100% Caisse locale ARIZE - LEZE Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de MIREPOIX Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de PAMIERS Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de COUSERANS Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de SAVERDUN Intégration Globale France 100% 100% Caisse Locale de AX - TARASCON SUR ARIEGE Intégration Globale France 100% 100% Au 31 décembre 2021 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée ayant participé aux opérations de titrisation Crédit Agricole Habitat a consolidé ses quotes-parts (analyse par silo) de chacun des FCT, le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’il a cédées aux FCT. 12. – Participations et entités structurées non consolidées . 12.1. Participations non consolidées . — Ces titres enregistrés à la juste valeur par résultat ou la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement. Ce poste s’élève à 7 532 milliers d’euros au 31 décembre 2021 contre 7 074 milliers d’euros au 31 décembre 2020 . — Entités non intégrées dans le périmètre de consolidation  : Les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint et sous influence notable non intégrées dans le périmètre de consolidation, sont présentées dans le tableau ci-dessous : Entités non consolidées Siège social % D'intérêt Motif d'exclusion du périmètre de consolidation 31/12/2021 31/12/2020 SCI CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE France 99,59% 99,59% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques STE IMMOBILIERE DU CREDIT ET DE LA MUTUALITE AGRICOLE France 50,00% 50,00% Seuils de siginificativité non atteints SAS SUD MED IMMOBILIER France 100,00% 100,00% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques SAS SUD MED ROUSSILLON France 100,00% 100,00% Seuils de siginificativité non atteints SCI BLEU RESIDENCE PERPIGNAN France 35,00% 35,00% Impacts de la consolidation peu significatifs. SAS PL IMMOBILIER France 70,00% 70,00% Seuils de siginificativité non atteints OCEAN'IC France 73,89% 12.2. Informations sur les entités structurées non consolidées . — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels. Informations sur la nature et l’étendue des intérêts détenus  : — Fonds de placement  : La Caisse Régionale du Crédit Agricole SudMéditerranée investit dans des sociétés créées afin de répondre à la demande des investisseurs dans le cadre de la gestion de sa trésorerie, d’une part, et dans le cadre du placement des primes d’assurance reçues des clients des sociétés d’assurance conformément aux dispositions réglementaires prévues par le Code des assurances d’autre part. Les placements des sociétés d’assurance permettent de garantir les engagements pris vis-à-vis des assurés tout au long de la vie des contrats d’assurance. Leur valeur et leur rendement sont corrélés à ces engagements. Informations sur les risques associés aux intérêts détenus  : — Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités  : Au 31 décembre 2021 et au 31 décembre 2020, l’implication de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dans les tableaux ci-dessous : (En milliers d'Euros) 31/12/2021 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 59 468 59 468 ‐ 59 468 ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 59 468 59 468 ‐ 59 468 ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 606 715 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 135 835 135 835 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 135 835 135 835 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 7 606 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. Exposition maximale au risque de perte . — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de credit default swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to-market . L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspond au montant du notionnel et la provision sur engagements donnés au montant comptabilisé au bilan. IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés. (Exercice clos le 31 décembre 2021.) A l'attention de l'Assemblée générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, Opinion . — En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée générale, nous avons effectué l’audit des comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2021, tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine, à la fin de l’exercice, de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation. L’opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit. Fondement de l’opinion  : — Référentiel d’audit  : Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés » du présent rapport. — Indépendance  : Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance prévues par le Code de commerce et par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes, sur la période du 1er janvier 2021 à la date d’émission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n°537/2014 Justification des appréciations - Points clés de l’audit . — La crise mondiale liée à la pandémie de Covid-19 crée des conditions particulières pour la préparation et l'audit des comptes de cet exercice. En effet, cette crise et les mesures exceptionnelles prises dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire induisent de multiples conséquences pour les entreprises, particulièrement sur leur activité et leur financement, ainsi que des incertitudes accrues sur leurs perspectives d'avenir. Certaines de ces mesures, telles que les restrictions de déplacement et le travail à distance, ont également eu une incidence sur l’organisation interne des entreprises et sur les modalités de mise en œuvre des audits. C’est dans ce contexte complexe et évolutif que, en application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d'anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le contexte de l’audit des comptes consolidés pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n'exprimons pas d'opinion sur des éléments de ces comptes consolidés pris isolément. Dépréciation des crédits sur une base individuelle  : — Risque identifié  : Du fait de son activité, la Caisse régionale est exposée à un risque significatif de crédit sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture. Comme indiqué dans la note 1.2 de l’annexe aux comptes consolidés, les encours en défaut (Stage 3) sont dits dépréciés lorsque se sont produits un ou plusieurs événements qui ont un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de ces actifs financiers. Le montant de ces dépréciations correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus à maturité (incluant le principal et les intérêts). S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la Direction de la Caisse régionale est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations des crédits portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture comme un point clé de l’audit des comptes consolidés en raison de leur importance dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés actualisés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles présentées dans la note 3.1.1. de l’annexe aux comptes consolidés qui s’élève à 122,0 M€. — Notre réponse face au risque identifié  : Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la direction dans le contexte de crise de la Covid-19 pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : mené des entretiens au cours de l’exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la Caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte comptabilisation ; testé l’efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la Caisse régionale relatifs à ces procédures ; analysé les hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit en prenant en compte, le cas échéant, l’impact de la crise sanitaire sur ces flux ou les garanties spécifiques liées aux plans de soutien à l’économie ; mis en œuvre des procédures analytiques sur la couverture des encours douteux. Risque de crédit et estimation des pertes attendues sur les expositions n’étant pas en défaut — Risque identifié  : Comme indiqué dans la note 1.2 de l’annexe aux comptes consolidés, la Caisse régionale comptabilise des corrections de valeur au titre des pertes de crédit attendues (« Expected Credit Losses » ou « ECL ») dès la comptabilisation initiale d’un instrument financier (crédit, titre de dette, garantie …), au titre des pertes de crédit attendues sur 12 mois (stage 1), et, si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, à maturité (stage 2). Les corrections de valeurs reposent sur des estimations qui intègrent des paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut tenant compte de données macro-économiques prospectives (Forward Looking) appréciées au niveau du Groupe Crédit Agricole et au niveau de la Caisse régionale au regard des caractéristiques propres à ses portefeuilles de crédits. Ces corrections de valeur représentent en cumul sur les prêts et créances sur la clientèle et sur les engagements par signature au 31 décembre 2021, un montant de 52,3 M€ comme détaillé dans la note 3.1.1 de l’annexe aux comptes consolidés. Nous avons considéré qu’il s’agissait d’un point clé de l’audit des comptes consolidés, en raison de : l’importance des hypothèses prises en particulier dans le contexte de crise sanitaire en vigueur sur l’exercice et au 31 décembre 2021 ; l’importance des crédits à la clientèle dans le bilan, et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit à la consommation….), dont par exemple des informations prospectives (Forward Looking central et local) ou des critères de transfert parmi les catégories d’expositions homogènes de risques (Stage 1 et Stage 2). Notre réponse face aux risques identifiés Dans le cadre de notre audit des comptes consolidés, nos travaux ont consisté à : prendre connaissance, lors d’un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation du groupe Crédit Agricole, avec l’aide de leurs experts sur les modèles de détermination des corrections de valeur au titre des pertes de crédit attendues. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : les principes m é thodologiques suivis pour la construction des mod è les, le processus d ’é laboration des param è tres utilisés dans les modèles (probabilité de défaut « PD », perte en cas de défaut « Loss Given Default » ou « LGD ») en prenant en compte notamment le contexte de la crise sanitaire de la Covid-19 et les mesures de soutien à l’économie, la gouvernance des modèles et le changement des paramètres y compris l’analyse des scenarios et paramètres économiques projetés ainsi que le processus de validation indépendante, la r é alisation de tests cibl é s sur les fonctions calculatoires de l ’ outil utilis é pour déterminer les corrections de valeur ; tester des données relatives aux expositions entrant dans le modèle de détermination des corrections de valeur sur la base d’un échantillon de dossiers ; contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des corrections de valeur dans l’outil de provisionnement ; apprécier les hypothèses et la documentation fournie par la Caisse régionale sur l’identification de dégradations significatives notamment dans le contexte de la crise sanitaire pour des portefeuilles d’encours et la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l’application du Forward Looking ; analyser l’évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l’exercice 2021 ; examiner les informations données au titre de la couverture du risque de crédit dans l’annexe aux comptes consolidés. Vérifications spécifiques . — Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion du Conseil d’administration. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés. Nous attestons que la déclaration consolidée de performance extra-financière prévue par l’article L. 225-102-1 du Code de commerce figure dans le rapport de gestion du groupe, étant précisé que, conformément aux dispositions de l’article L. 823-10 de ce Code, les informations contenues dans cette déclaration n’ont pas fait l’objet de notre part de vérifications de sincérité ou de concordance avec les comptes consolidés et doivent faire l’objet d’un rapport par un organisme tiers indépendant. Autres vérifications ou informations prévues par les textes légaux et réglementaires . — Désignation des commissaires aux comptes  : Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre Assemblée générale du 27 mars 2008. Au 31 décembre 2021, le cabinet KPMG était dans la quatorzième année de sa mission sans interruption. Le cabinet Ernst & Young et Autres était commissaire aux comptes depuis 1989. Responsabilités de la Direction et des personnes constituant le gouvernement d’entreprise relatives aux comptes consolidés . Il appartient à la Direction d’établir des comptes consolidés présentant une image fidèle conformément au référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes consolidés ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs. Lors de l’établissement des comptes consolidés, il incombe à la Direction d’évaluer la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la Caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au Conseil d’administration remplissant les fonctions de Comité d’audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l'efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l'audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Les comptes consolidés ont été arrêtés par le Conseil d’administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés . — Objectif et démarche d’audit  : Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes consolidés. Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l’article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre Caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : il identifie et évalue les risques que les comptes consolidés comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la Direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes consolidés ; il apprécie le caractère approprié de l’application par la Direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes consolidés au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; il apprécie la présentation d’ensemble des comptes consolidés et évalue si les comptes consolidés reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle ; concernant l’information financière des personnes ou entités comprises dans le périmètre de consolidation, il collecte des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour exprimer une opinion sur les comptes consolidés. Il est responsable de la direction, de la supervision et de la réalisation de l’audit des comptes consolidés ainsi que de l’opinion exprimée sur ces comptes. Rapport au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit Nous remettons au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit un rapport qui présente notamment l’étendue des travaux d'audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit, figurent les risques d’anomalies significatives que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l'audit qu'il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n°537-2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 à L. 822-14 du Code de commerce et dans le code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le Conseil d’administration remplissant les fonctions du Comité d’audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Les commissaires aux comptes  : Labège, le 8 mars 2022 Toulouse, le 8 mars 2022 KPMG S.A. Ernst & Young et Autres Pierre SUBREVILLE Frank ASTOUX Associé Associé VI. — Rapport de gestion . En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

11/05/2022 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2201575
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le capital social au 31 mars 2022 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D. Situation trimestrielle au 31 mars 2022 (en milliers d'Euros) ACTIF MONTANT Caisse, banques centrales 38 899 Effets publics et valeurs assimilées 99 347 Créances sur les établissements de crédit 34 238 Opérations internes au Crédit Agricole 1 182 717 Opérations avec la clientèle 5 856 721 Obligations et autres titres à revenu fixe 215 069 Actions et autres titres à revenu variable 59 265 Participations et autres titres détenus à long terme 513 659 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 28 274 Autres actifs 65 338 Comptes de régularisation 28 910 Total Actif 8 122 437 PASSIF MONTANT Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 43 270 Opérations internes au Crédit Agricole 3 855 022 Opérations avec la clientèle 2 928 741 Dettes représentées par un titre 151 167 Autres passifs 69 861 Comptes de régularisation 80 840 Provisions pour risques et charges 65 202 Dettes subordonnées 24 939 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 56 557 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 846 838 Capital souscrit 28 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 684 748 Écarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Report à nouveau (+/-) 0 Résultat de l'exercice 4 408 Total Passif 8 122 437 HORS-BILAN MONTANT Engagements donnés : 711 920 Engagements de financement 501 625 Engagements de garantie 209 321 Engagements sur titres 974 Engagements reçus : 1 847 154 Engagements de financement 5 695 Engagements de garantie 1 840 485 Engagements sur titres 974

14/03/2022 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2200503
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le capital social au 30 septembre 2021 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D Situation trimestrielle au 3 1 déc embre 2021 (en milliers d'Euros) A CTIF MONTANT Caisse, banques centrales 35 705 Effets publics et valeurs assimilées 98 830 Créances sur les établissements de crédit 31 393 Opérations internes au Crédit Agricole 1 088 416 Opérations avec la clientèle 5 836 966 Obligations et autres titres à revenu fixe 205 178 Actions et autres titres à revenu variable 59 266 Participations et autres titres détenus à long terme 513 158 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 27 951 Autres actifs 122 740 Comptes de régularisation 37 649 Total Actif 8 057 252 P ASS IF MONTANT Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 37 222 Opérations internes au Crédit Agricole 3 817 874 Opérations avec la clientèle 2 952 346 Dettes représentées par un titre 150 241 Autres passifs 45 218 Comptes de régularisation 69 290 Provisions pour risques et charges 67 193 Dettes subordonnées 22 533 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 50 057 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 845 278 Capital souscrit 2 8 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 655 676 Écarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Repo r t à nouveau ( + /-) 204 Résultat de l'exercice 31 716 Total Pa ssif 8 057 252 HORS-BILAN MONTANT Engagements donnés : 720 691 Engagements de financement 509 700 Engagements de garantie 210 795 Engagements sur titres 196 Engagements reçus : 1 819 351 Engagements de financement 7 154 Engagements de garantie 1 812 001 Engagements sur titres 196

10/12/2021 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2104511
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le capital social au 30 septembre 2021 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D Situation trimestrielle au 30 septembre 2021 (en milliers d'Euros) A CTIF MONTANT Caisse, banques centrales 41 209 Effets publics et valeurs assimilées 106 041 Créances sur les établissements de crédit 26 323 Opérations internes au Crédit Agricole 1 038 594 Opérations avec la clientèle 5 828 491 Obligations et autres titres à revenu fixe 195 215 Actions et autres titres à revenu variable 3 8 769 Participations et autres titres détenus à long terme 511 742 Parts dans les entreprises liées 626 Immobilisations corporelles et incorporelles 2 8 415 Autres actifs 145 158 Comptes de régularisation 3 9 394 Total Actif 7 999 977 P ASS IF MONTANT Banques centrales 3 7 5 3 2 Dettes envers les établissements de crédit Opérations internes au Crédit Agricole 3 708 598 Opérations avec la clientèle 2 968 753 Dettes représentées par un titre 152 893 Autres passifs 3 8 057 Comptes de régularisation 110 165 Provisions pour risques et charges 6 6 934 Dettes subordonnées 21 751 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 52 057 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 843 237 Capital souscrit 2 8 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 655 676 Écarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Repo r t à nouveau ( + /-) 0 Résultat de l'exercice 2 9 879 Total Pa ssif 7 999 977 HORS-BILAN MONTANT Engagements donnés : 764 593 Engagements de financement 500 369 Engagements de garantie 263 959 Engagements sur titres 265 Engagements reçus : 1 809 818 Engagements de financement 6 154 Engagements de garantie 1 803 399 Engagements sur titres 265

03/09/2021 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2103851
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 30 juin 2021 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D. Situation au 30/06/202 1. ( E n milliers d'Euros . ) Actif Montant Caisse, banques centrales 35 214 Effets publics et valeurs assimilées 105 482 Créances sur les établissements de crédit 26 393 Opérations internes au Crédit Agricole 895 900 Opérations avec la clientèle 5 797 642 Obligations et autres titres à revenu fixe 178 638 Actions et autres titres à revenu variable 95 706 Participations et autres titres détenus à long terme 511 835 Parts dans les entreprises liées 963 Immobilisations corporelles et incorporelles 28 142 Autres actifs 148 408 Comptes de régularisation 38 664 Total actif 7 862 987 Passif Montant Banques centrales 38 891 Dettes envers les établissements de crédit Opérations internes au Crédit Agricole 3 766 377 Opérations avec la clientèle 2 795 762 Dettes représentées par un titre 152 048 Autres passifs 41 871 Comptes de régularisation 92 363 Provisions pour risques et charges 67 934 Dettes subordonnées 20 932 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 50 557 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 836 252 Capital souscrit 28 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 655 676 Ecarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Report à nouveau (+/-) 0 Résultat de l'exercice 22 894 Total passif 7 862 987 Hors-bilan Montant Engagements donnés : 742 579 Engagements de financement 482 638 Engagements de garantie 259 721 Engagements sur titres 220 Engagements reçus : 1 805 166 Engagements de financement 4 961 Engagements de garantie 1 799 985 Engagements sur titres 220

11/06/2021 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2102649
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le capital social au 31 mars 2021 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D Situation au 31 mars 2021 (en milliers d'Euros) A CTIF MONTANT Caisse, banques centrales 33 754 Effets publics et valeurs assimilées 106 240 Créances sur les établissements de crédit 25 917 Opérations internes au Crédit Agricole 800 568 Opérations avec la clientèle 5 746 676 Obligations et autres titres à revenu fixe 168 701 Actions et autres titres à revenu variable 134 733 Participations et autres titres détenus à long terme 497 781 Parts dans les entreprises liées 963 Immobilisations corporelles et incorporelles 2 8 429 Autres actifs 160 006 Comptes de régularisation 4 6 809 Total Actif 7 750 577 P ASS IF MONTANT Banques centrales 3 8 1 3 4 Dettes envers les établissements de crédit Opérations internes au Crédit Agricole 3 760 002 Opérations avec la clientèle 2 723 792 Dettes représentées par un titre 151 177 Autres passifs 4 1 185 Comptes de régularisation 8 3 805 Provisions pour risques et charges 6 8 480 Dettes subordonnées 19 458 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 47 357 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 817 187 Capital souscrit 2 8 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 655 676 Ecarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Repo r t à nouveau ( + /-) 0 Résultat de l'exercice 3 829 Total Pa ssif 7 750 577 HORS BILAN MONTANT Engagements donnés 732 618 Engagements de financement 468 870 Engagements de garantie 263 317 Engagements sur titres 431 Engagements reçus 1 809 226 Engagements de financement 6 154 Engagements de garantie 1 802 641 Engagements sur titres 431

07/05/2021 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Comptes annuels (4.1)
Numéro d'affaire : 2101317
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code monétaire et financier au capital social de 28 057 377 Euros. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D. Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2020 Comptes annuels approuvés par l'assemblée générale mixte du 25 mars 2021 A. — Comptes individuels au 31/12/2020. Arrêtés par le Conseil d'administration de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée En date du 29 janvier 2021 et soumis à l'approbation de l'Assemblée générale ordinaire en date du 25 mars 2021 I. — Bilan au 31 décembre 2020. (En milliers d'Euros.) Actif Notes 31/12/2020 31/12/2019 Op é rations interbancaires et assimilées 175 966 173 170 Caisse, banques centrales 39 328 46 807 Effets publics et valeurs assimilées 5 105 690 107 018 Créances sur les établissements de crédit 3 30 948 19 345 Operations internes au credit agricole 3 631 415 396 167 Operations avec la clientèle 4 5 636 241 5 023 786 Operations sur titres 308 173 368 955 Obligations et autres titres à revenu fixe 5 173 152 273 104 Actions et autres titres à revenu variable 5 135 021 95 851 Valeurs immobilisées 529 197 514 274 Participations et autres titres détenus à long terme 6-7 497 844 482 885 Parts dans les entreprises liées 6-7 963 963 Immobilisations incorporelles 7 894 910 Immobilisations corporelles 7 29 496 29 516 Capital souscrit non verse Actions propres Comptes de régularisation et actifs divers 218 122 205 919 Autres actifs 8 175 930 153 494 Comptes de régularisation 8 42 192 52 425 Total actif 7 499 114 6 682 271 Passif Notes 31/12/2020 31/12/2019 Op é rations interbancaires et assimilées 22 557 14 297 Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 10 22 557 14 297 Op é rations internes au credit agricole 10 3 528 994 3 205 843 Comptes créditeurs de la clientèle 11 2 721 741 2 286 936 Dettes représentées par un titre 12 150 381 150 338 Comptes de régularisation et passifs divers 130 478 121 568 Autres passifs 13 40 278 42 960 Comptes de régularisation 13 90 200 78 608 Provisions et dettes subordonnées 86 788 71 946 Provisions 14-15-16 68 511 57 741 Dettes subordonnées 18 18 277 14 205 Fonds pour risques bancaires généraux ( FRBG ) 17 42 557 39 557 Capitaux propres hors FRBG 19 815 618 791 786 Capital souscrit 28 057 28 057 Primes d'émission 129 625 129 625 Réserves 631 461 603 058 Ecarts de réévaluation Provisions réglementées et subventions d'investissement Report à nouveau Résultat de l'exercice 26 475 31 046 Total passif 7 499 114 6 682 271 Hors-bilan Notes 31/12/2020 31/12/2019 Engagements donn é s 748 494 761 484 Engagements de financement 25 481 013 441 250 Engagements de garantie 25 266 936 319 940 Engagements sur titres 25 545 294 Engagements reçus 1 762 506 1 376 726 Engagements de financement 25 11 038 12 882 Engagements de garantie 25 1 750 923 1 363 550 Engagements sur titres 25 545 294 Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) : Opérations de change au comptant et à terme : note 22 Opérations sur instruments financiers à terme : note 23 II. — Compte de résultat au 31 décembre 2020. (En milliers d' E uros) Notes 31/12/2020 31/12/2019 Intérêts et produits assimilés 33 130 475 134 151 Intérêts et charges assimilées 33 -53 944 -60 769 Revenus des titres à revenu variable 34 18 691 18 441 Commissions produits 35 78 838 74 565 Commissions charges 35 -22 106 -19 148 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation 36 139 144 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés 37 -284 -176 Autres produits d'exploitation bancaire 38 3 763 3 926 Autres charges d'exploitation bancaire 38 -1 124 -601 Produit net bancaire 154 448 150 533 Charges générales d'exploitation 39 -100 443 -100 523 Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles -3 672 -4 239 Résultat brut d'exploitation 50 333 45 771 Coût du risque 40 -7 734 -2 256 Résultat d'exploitation 42 599 43 515 Résultat net sur actifs immobilisés 41 -1 970 -2 180 Résultat courant avant impôt 40 629 41 335 Résultat exceptionnel 42 Impôts sur les bénéfices 43 -11 154 -11 289 Dotations / reprises de FRBG et provisions réglementées -3 000 1 000 Résultat net de l'exercice 26 475 31 046 III. — Annexes. Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice. 1.1. Cadre juridique et financier . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Sont affiliées à la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée, 32 Caisses locales qui constituent des sociétés coopératives ayant une personnalité juridique propre. Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l'entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est agréée, avec l'ensemble des Caisses locales qui lui sont affiliées, en qualité de banque mutualiste ou coopérative, avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est de ce fait soumise à la réglementation applicable aux établissements de crédit. Au 31 décembre 2020, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, en application de l'article L.511-30 du Code monétaire et financier, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même, 55,30 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001. Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 44,70 %. Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par ailleurs, en 1988, les Caisses régionales ont consenti une garantie au bénéfice des tiers créanciers de Crédit Agricole S.A., solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. 1.2. Relations internes au Crédit Agricole  : Mécanismes financiers internes . — L'appartenance de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée au réseau du Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes : — Comptes ordinaires des Caisses régionales  : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ». — Comptes d'épargne à régime spécial  : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ». — Comptes et avances à terme  : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.…) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d'épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroirs » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d'avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l'utilisation de modèles de replacement et l'application de taux de marché. Par ailleurs, les Caisses régionales peuvent être refinancées sous forme d'avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales  : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ». — Opérations en devises  : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A.  : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ». — Mécanisme TLTRO III  : Une troisième série d'opérations de refinancement de long terme a été décidée en mars 2019 par la BCE dont les modalités ont été revues en septembre 2019 puis en mars et avril 2020 en lien avec la situation COVID-19. Le mécanisme de TLTRO III vise à proposer un refinancement de long terme avec une bonification en cas d'atteinte d'un taux de croissance cible des crédits octroyés aux entreprises et aux ménages, appliquée sur la maturité de 3 ans de l'opération TLTRO à laquelle s'ajoute une sur-bonification rémunérant une incitation supplémentaire et temporaire sur la période d'une année de juin 2020 à juin 2021. Tant que le niveau des encours donnant droit à ces bonifications permet de considérer comme d'ores et déjà acquis les bonifications accordées par la BCE au titre du soutien à l'économie aussi bien tant sur la première année que sur les années suivantes, les intérêts courus calculés avec un taux d'intérêt négatif tiennent compte de cette bonification. L'ensemble des bonifications fait l'objet d'un étalement sur la durée attendue du refinancement à compter de la date de tirage du TLTRO III. Les encours donnant droit à la bonification ont d'ores et déjà cru plus que le niveau requis pour bénéficier des niveaux de bonifications prévues. La sur-bonification au titre de la première année fait l'objet d'un étalement linéaire sur un an à compter de juin 2020. Pour la nouvelle bonification annoncée par la BCE suite à la réunion du 10 décembre 2020 qui porte sur la période de juin 2021 à juin 2022, ces principes resteront appliqués tant qu'il existe une assurance raisonnable que le niveau des encours éligibles permettra de remplir les conditions nécessaires à l'obtention de ces bonifications lors de leur exigibilité vis-à-vis de la BCE. Crédit Agricole S.A. a souscrit à ces emprunts TLTRO III auprès de la BCE. Compte tenu des mécanismes de refinancement interne, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée se refinance auprès de Crédit Agricole S.A. (423 199 milliers d'euros en 2020) et bénéficie ainsi de ces bonifications (1 263 milliers d'euros en 2020). Couverture des risques de liquidité et de solvabilité, et résolution bancaire . — Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du Code monétaire et financier (CMF), Crédit Agricole S.A., en sa qualité d'organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l'ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du CMF ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l'introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au réseau Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d'un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d'assurer son rôle d'organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. Le dispositif européen de résolution des crises bancaires a été adopté au cours de l'année 2014 par la directive (UE) 2014/59 (dite « BRRD »), transposée en droit français par l'ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français aux dispositions du Règlement européen 806/2014 du 15 juillet 2014 ayant établi les règles et une procédure uniforme pour la résolution des établissements de crédit dans le cadre d'un mécanisme de résolution unique et d'un Fonds de résolution bancaire unique. La directive (UE) 201 /879 du 20 mai 2019 dite « BRRD2 » est venue modifier la BRRD et a été transposée par Ordonnance 2020-1636 du 21 décembre 2020. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d'assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l'économie, de protéger les déposants, et d'éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d'un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Pour les groupes bancaires coopératifs, c'est la stratégie de résolution de « point d'entrée unique élargi » (« extended SPE ») qui est privilégiée par les autorités de résolution, par laquelle l'outil de résolution serait appliqué simultanément au niveau de Crédit Agricole S.A. et des entités affiliées. A ce titre et dans l'hypothèse d'une mise en résolution du groupe Crédit Agricole, c'est le périmètre composé de Crédit Agricole S.A. (en sa qualité d'organe central) et des entités affiliées qui serait considéré dans son ensemble comme le point d'entrée unique élargi. Compte tenu de ce qui précède et des mécanismes de solidarité existant au sein du réseau, un membre du réseau Crédit Agricole ne peut pas être mis en résolution de manière individuelle. Les autorités de résolution peuvent ouvrir une procédure de résolution à l'encontre d'un établissement de crédit lorsqu'elle considère que : la défaillance de l'établissement est avérée ou prévisible, il n'existe aucune perspective raisonnable qu'une autre mesure de nature privée empêche la défaillance dans des délais raisonnables, une mesure de résolution est nécessaire et une procédure de liquidation serait insuffisante pour atteindre les objectifs recherchés de la résolution ci-dessus rappelés. Les autorités de résolution peuvent utiliser un ou plusieurs instruments de résolution, tels que décrits ci-dessous avec pour objectif de recapitaliser ou restaurer la viabilité de l'établissement. Les instruments de résolution devraient être mis en œuvre de telle manière à ce que les porteurs de titres de capital (actions, parts sociales, CCI, CCA) supportent en premier les pertes, puis les autres créanciers sous réserve qu'ils ne soient pas exclus du renflouement interne par la réglementation ou sur décision des autorités de résolution. La loi française prévoit également une mesure de protection lorsque certains instruments ou mesures de résolution sont mis en œuvre, tel le principe selon lequel les porteurs de titres de capital et les créanciers d'un établissement en résolution ne peuvent pas supporter des pertes plus lourdes que celles qu'ils auraient subies si l'établissement avait été liquidé dans le cadre d'une procédure de liquidation judiciaire régie par le code de commerce (principe NCWOL visé à l'article L. 613-57.I du CMF). Ainsi, les investisseurs ont le droit de réclamer des indemnités si le traitement qu'ils subissent en résolution est moins favorable que le traitement qu'ils auraient subi si l'établissement avait fait l'objet d'une procédure normale d'insolvabilité. Dans l'hypothèse où les autorités de résolution décideraient d'une mise en résolution sur le groupe Crédit Agricole, elles procèderaient au préalable à la réduction de la valeur nominale des instruments de Fonds propres du compartiment CET1 (actions, parts sociales, CCI et CCA), instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2, afin d'absorber les pertes puis éventuellement à la conversion en titres de capital des instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2 [ ]. Ensuite, si les autorités de résolution décidaient d'utiliser l'outil de résolution qu'est le renflouement interne, elles pourraient mettre en œuvre cet outil de renflouement interne sur les instruments de dette [ ], c'est-à-dire décider de leur dépréciation totale ou partielle ou de leur conversion en capital afin également d'absorber les pertes. Les autorités de résolution pourraient décider de mettre en œuvre de façon coordonnée, à l'égard de l'organe central et de l'ensemble des entités affiliées, des mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant de renflouement interne. Dans ce cas, ces mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant ces mesures de renflouement interne s'appliqueraient à toutes les entités du réseau du Crédit Agricole et ce, quelle que soit l'entité considérée et quelle que soit l'origine des pertes. La hiérarchie des créanciers en résolution est définie par les dispositions de l'article L 613-55-5 du CMF en vigueur à la date de mise en œuvre de la résolution. Les détenteurs de titres de capital et les créanciers de même rang ou jouissant de droits identiques en liquidation seraient alors traités de manière égale quelle que soit l'entité du Groupe dont ils sont créanciers. L'étendue de ce renflouement interne, qui vise aussi à recapitaliser le groupe Crédit Agricole, s'appuie sur les besoins de fonds propres au niveau consolidé. L'investisseur doit donc être conscient qu'il existe donc un risque significatif pour les porteurs d'actions, de parts sociales, CCI et CCA et les titulaires d'instruments de dette d'un membre du réseau de perdre tout ou partie de leur investissement en cas de mise en œuvre d'une procédure de résolution bancaire sur le Groupe quelle que soit l'entité dont il est créancier. Les autres outils de résolution bancaire dont disposent les autorités de résolution sont pour l'essentiel la cession totale ou partielle des activités de l'établissement à un tiers ou à un établissement relais et la séparation des actifs de cet établissement. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du CMF, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l'article R 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu'en pratique, ce mécanisme devrait s'exercer préalablement à toute mesure de résolution. L'application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n'aurait pas permis de remédier à la défaillance d'une ou plusieurs entités du réseau, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l'ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) . — Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 complété par un premier avenant signé le 19 décembre 2013 et amendé par deux avenants en 2016 respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3), s'inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A, en qualité d'organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les derniers amendements de ces garanties ont pris effet rétroactivement le 1er juillet 2016, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée totale ou partielle ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat. Une première résiliation partielle correspondant à 35% du dispositif des garanties Switch a eu lieu le 2 mars 2020. La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l'économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. Ainsi, les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées, moyennant le versement par les Caisses régionales d'une indemnité compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l'application d'une clause de retour à meilleure fortune, peut restituer les indemnisations préalablement perçues. Comptablement, les garanties sont des engagements de hors-bilan assimilables à des garanties données à première demande. Leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d'intérêt en Produit net bancaire. En cas d'appel des garanties, ou le cas échéant lors d'un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d'indemnisation ou le produit de remboursement sont respectivement reconnus en Coût du risque. Il convient de noter que l'activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s'apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Equivalence des participations CAA. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d'estimer s'il existe un risque d'indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n'étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l'activation des garanties sous forme d'appel ou de retour à meilleure fortune. 1.3. Evénements significatifs relatifs à l'exercice 2020  : Crise sanitaire liée à la Covid-19 . — Dans le contexte de la crise sanitaire liée à la Covid-19, le groupe Crédit Agricole s'est mobilisé pour faire face à cette situation inédite. Afin d'accompagner ses clients dont l'activité serait impactée par le Coronavirus, le Groupe a participé activement aux mesures de soutien à l'économie. — Prêts Garantis par l'Etat (PGE)  : Dans le cadre de la crise sanitaire liée à la COVID-19, le groupe Crédit Agricole a proposé à compter du 25 mars 2020 à tous ses clients entrepreneurs, quelle que soit leur taille et leur statut (exploitants agricoles, professionnels, commerçants, artisans, entreprises, …), en complément des mesures déjà annoncées (report d'échéances, procédures accélérées d'examen des dossiers, etc.), de recourir au dispositif massif et inédit de Prêts Garantis par l'Etat. Les entreprises peuvent demander à bénéficier de ces prêts jusqu'au 30 juin 2021. Ces financements prennent la forme d'un prêt sur 12 mois, avec la faculté pour l'emprunteur de l'amortir sur une période supplémentaire de 1 à 5 ans. Sur cette période supplémentaire, le prêt pourra avoir durant la phase d'amortissement, une nouvelle période d'un an au cours de laquelle seuls les intérêts et le coût de la garantie d'Etat seront payés. La durée totale du prêt ne pourra jamais excéder 6 ans. L'offre groupe pour la première année se présente sous la forme d'un prêt à taux zéro ; seul le coût de la garantie est refacturé (via une commission payée par le client) conformément aux conditions d'éligibilité définies par l'Etat pour bénéficier de la garantie. Ces prêts peuvent atteindre jusqu'à 3 mois de chiffre d'affaires, permettant ainsi aux entrepreneurs d'avoir accès au financement nécessaire pour traverser la période actuelle très perturbée. Au 31 décembre 2020, le montant des prêts garantis par l'Etat octroyés à la clientèle par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée s'élève à 244 892 milliers d'euros. — Report d'échéance sur concours octroyés aux clients  : Le Groupe s'est associé à l'initiative de place des banques françaises, avec la coordination de la Fédération des Banques Françaises (FBF), pour offrir un report des échéances des prêts en cours jusqu'à 6 mois pour la clientèle des Entreprises et des Professionnels, sans coûts additionnels. La mise en œuvre d'un tel report des échéances sans pénalité ni frais additionnels et avec maintien du taux contractuel sur une durée maximale de 6 mois implique que seuls les intérêts intercalaires seront perçus après le report sur la durée restante du crédit et hors frais de garantie éventuels de la Banque Publique d'Investissement. Tel que proposé par le Groupe, le report des échéances implique : Soit un allongement de durée du prêt si le client souhaite conserver ses échéances initiales de prêt ; Soit une augmentation de ses échéances après la pause si le client souhaite garder sa durée initiale. Ce report d'échéance se traduit par un décalage dans le temps des échéances initiales à percevoir. Au 31 décembre 2020, l'encours de prêts à la clientèle ayant bénéficié de report d'échéance s'élève à 741 531 milliers d'euros (dont 55 419 milliers d'euros d'échéances d'encours de prêts reportées). — Impacts de ces mesures sur le risque de crédit  : Le report d'échéance sur concours octroyés aux clients n'a pas systématiquement comme conséquence une remise en cause de la situation financière des clients : il n'y a pas automatiquement d'augmentation du risque de contrepartie. Les modifications du contrat ne peuvent généralement pas être considérées comme des évolutions liées à des cas de restructurations pour difficultés financières. Ce report n'a donc pour conséquence ni le basculement mécanique de l'encours dont la dépréciation est fondée sur les pertes attendues de crédits sur 12 mois (expositions qualifiées de saines) vers une comptabilisation de la dépréciation des pertes attendues à maturité (expositions qualifiées de dégradées), ni le passage automatique des encours vers la catégorie douteux. De même, le calcul du montant des pertes attendues doit s'effectuer en prenant en considération les circonstances spécifiques et les mesures de soutien mises en œuvre par les pouvoirs publics. Dans ce contexte de crise sanitaire liée à la COVID-19, le Groupe a revu ses prévisions macro-économiques prospectives ( forward looking ) pour la détermination de l'estimation du risque de crédit. Face à cette situation, la Caisse Régionale a également procédé à une revue de son portefeuille de crédits, qui l’a conduite à la mise à jour du forward looking local sur un certain nombre de filières considérées à risques. Le montant des provisions B1 au 31/12/2020 est de 12 162 milliers d'euros, il était de 7 957 milliers d'euros au 31/12/2019 soit une variation de 53%; le montant des provisions B2 au 31/12/2020 est de 36 101 milliers d'euros, il était de 30 625 milliers d'euros au 31/12/2019 soit une variation de 18% Nouvelle définition du défaut . — Au 31 décembre 2020, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a mis en place les nouvelles règles liées à l'application de la définition du défaut (orientations de l'EBA (EBA/GL/2016/7) et seuils définis par l'Union européenne (Article 1 du règlement (UE) 2018/1845 BCE du 21 novembre 2018). Cette évolution sur le défaut est qualifiée de changement d'estimation comptable. Son impact est comptabilisé en compte de résultat dans la rubrique « Coût du risque ». Il est estimé à 196 milliers d’euros sur des encours de 2 693 milliers d’euros et se caractérise notamment par une évolution du coût de risque peu significative du B ucket 2 vers le Bucket 3. FCT Crédit Agricole Habitat 2020 . — Le 12 mars 2020, une nouvelle opération de titrisation (FCT Crédit Agricole Habitat 2020) a été réalisée au sein du groupe Crédit Agricole, portant sur les créances habitat des 39 Caisses régionales. Cette transaction est un RMBS français placé sur le marché. Cette opération s'est traduite par une cession de crédits à l'habitat originés par les 39 Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2020 » pour un montant de 1 milliard d'euros. Les titres seniors adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès d'investisseurs (établissements de crédit (43%), fonds d'investissement (32%), banques centrales (25%)). Dans le cadre de cette titrisation, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a cédé, à l'origine, des crédits habitat pour un montant de 10,3 millions d'euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2020. Elle a souscrit pour 1,5 millions d'euros de titres subordonnés. Démontage FCT Crédit Agricole Habitat 2015 . — Fin septembre 2020, est intervenu le démontage du « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 ». Il s'agit du premier RMBS réalisé en France par le Groupe né d'une opération de titrisation réalisée par les Caisses régionales. Cette opération de titrisation interne au Groupe s'était traduite par une cession de crédits à l'habitat originés par les Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 » pour un montant de 10 milliards d'euros. Le débouclage du FCT a donné lieu au rachat des crédits par les Caisses régionales le 23 septembre 2020 et au remboursement des titres le 28 septembre 2020, soit un montant de 93,3 millions d'euros pour la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Garantie spécifique apportée par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) . — Crédit Agricole S.A a démantelé le 2 mars 2020 35% du mécanisme de garantie « Switch » mis en place entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. Le mécanisme de garantie « Switch » correspond à un transfert vers les Caisses régionales d'une partie des exigences prudentielles s'appliquant à Crédit Agricole S.A. au titre de ses activités d'assurances contre une rémunération fixe des Caisses régionales. Pour la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée, cette opération s'est traduite par une baisse des engagements donnés de 44,6 millions d'euros et une baisse du dépôt de garantie apporté à Crédit Agricole S.A de 15,1 millions d'euros. 1.4. Evénements postérieurs à l'exercice 2020 . — Néant . Note 2. – Principes et méthodes comptables. Les états financiers de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole. Compte tenu de l'intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés. La présentation des états financiers de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement ANC 2014-07 qui, à partir des exercices ouverts au 1er janvier 2015, regroupe à droit constant dans un règlement unique l'ensemble des normes comptables applicables aux établissements de crédit. Il n’y a pas de changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l'exercice précédent. 2.1. Créances et engagements par signature . — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement ANC 2014-07. Elles sont ventilées selon leur durée résiduelle ou la nature des concours : Les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ; Les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ; Les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle. Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière. Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle). Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale. En application de l'article 2131-1 du règlement ANC 2014-07, les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l'encours de crédit concerné. Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds. L'application du règlement ANC 2014-07 conduit l'entité à comptabiliser les créances présentant un risque de crédit conformément aux règles définies dans les paragraphes suivants. L'utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d'apprécier le niveau d'un risque de crédit. Les créances et les engagements par signature sont répartis entre les encours réputés sains et les encours jugés douteux. Créances saines . — Tant que les créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles sont qualifiées de saines ou dégradées et elles demeurent dans leur poste d'origine. — Provisions au titre du risque de crédit sur les encours sains et dégradés  : La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate au titre des expositions de crédits des provisions au passif de son bilan pour couvrir les risques de crédit attendus sur les douze mois à venir (expositions qualifiées de saines) et / ou sur la durée de vie de l'encours dès lors que la qualité de crédit de l'exposition s'est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions sont déterminées dans le cadre d'un processus de suivi particulier et reposent sur des estimations traduisant le niveau de perte de crédit attendue. — La notion de perte de crédit attendue "ECL"  : L'ECL se définit comme la valeur probable attendue pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L'approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. — Gouvernance et mesure des ECL  : La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres de provisionnement s'appuie sur l'organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe Crédit Agricole est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le groupe Crédit Agricole s'appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres nécessaires au calcul des ECL. L'appréciation de l'évolution du risque de crédit s'appuie sur un modèle d'anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, sont retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d'exposition au moment du défaut. Ces calculs s'appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu'ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. L'approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut ( "Loss Given Default" ou "LGD"). Les modalités de calcul de l'ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : prêts et créances sur la clientèle et engagements par signature. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie, et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d'une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l'exposition est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu'il y ait défaillance dans les douze mois. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l'encours. Les paramètres de provisionnement sont mesurés et mis à jour selon les méthodologies définies par le groupe Crédit Agricole et permettent ainsi d'établir un premier niveau de référence, ou socle partagé, de provisionnement. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives (Forward Looking) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : Au niveau du groupe Crédit Agricole dans la détermination d'un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l'horizon d'amortissement des opérations ; Au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique des paramètres complémentaires pour le Forward Looking sur des portefeuilles de prêts et créances sur la clientèle et d'engagement de financement sains et dégradés pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l'exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe. Dégradation significative du risque de crédit . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée doit apprécier, pour chaque encours, la dégradation du risque de crédit depuis l'origine à chaque date d'arrêté. Cette appréciation de l'évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque (expositions qualifiées de saines / expositions qualifiées de dégradées / expositions douteuses). Afin d'apprécier la dégradation significative, le groupe Crédit Agricole prévoit un processus basé sur deux niveaux d'analyse : un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s'imposent aux entités du Groupe ; un second niveau propre à chaque entité lié à l'appréciation, à dire d'expert au titre des paramètres complémentaires pour le Forward Looking pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l'exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement d'encours sains à encours dégradés (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque encours. Aucune contagion n'est requise pour le passage de sain à dégradé des encours d'une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l'évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d'une garantie de l'actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l'étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L'origine s'entend comme la date de négociation, lorsque l'entité devient partie aux dispositions contractuelles du crédit. Pour les engagements de financement et de garantie, l'origine s'entend comme la date d'engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d'impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en encours dégradé. Pour les encours évalués à partir d'un dispositif de notations internes (en particulier les expositions suivies en méthodes avancées), le groupe Crédit Agricole considère que l'ensemble des informations intégrées dans ce dispositif permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d'impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l'origine cesse d'être constatée, la provision peut être ramenée à des pertes attendues à 12 mois (reclassement en encours sains). Lorsque certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne sont pas identifiables au niveau d'un encours pris isolément, une appréciation est faite de la dégradation significative pour des portefeuilles, des ensembles de portefeuilles ou des portions de portefeuille d'encours. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : Le type d'encours ; La note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d'un système de notation interne) ; Le type de garantie La date de comptabilisation initiale ; La durée à courir jusqu'à l'échéance ; Le secteur d'activité ; L'emplacement géographique de l'emprunteur ; La valeur du bien affecté en garantie par rapport à l'actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; Le circuit de distribution, l'objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d'encours aux fins de l'appréciation des variations du risque de crédit sur base collective peut changer au fil du temps, au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles. Les dotations et reprises des provisions au titre du risque du crédit sur les encours sains et dégradés sont inscrites en coût du risque. Créances douteuses . — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l'une des situations suivantes : un arriéré de paiement significatif généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l'arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; l'entité estime improbable que le débiteur s'acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu'elle ait recours à d'éventuelles mesures telles que la réalisation d'une sûreté. Un encours est dit douteux lorsque se sont produits un ou plusieurs évènements qui ont un effet néfaste sur ses flux de trésorerie futurs estimés. Les évènements qui suivent sont des données observables, indicatives d'un encours douteux : des difficultés financières importantes de l'émetteur ou de l'emprunteur ; un manquement à un contrat, tel qu'une défaillance ou un paiement en souffrance ; l'octroi, par le ou les prêteurs à l'emprunteur, pour des raisons économiques ou contractuelles liées aux difficultés financières de l'emprunteur, d'une ou de plusieurs faveurs que le ou les prêteurs n'auraient pas envisagées dans d'autres circonstances ; la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière de l'emprunteur ; la disparition d'un marché actif pour l'actif financier en raison de difficultés financières ; l'achat ou la création d'un actif financier avec une forte décote, qui reflète les pertes de crédit subies. Il n'est pas nécessairement possible d'isoler un évènement en particulier, le caractère douteux d'un encours peut résulter de l'effet combiné de plusieurs évènements. Une contrepartie en défaut ne revient en situation saine qu'après une période d'observation qui permet de valider que le débiteur n'est plus en situation douteuse (appréciation par la Direction des Risques). Parmi les encours douteux, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis. — Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises. — Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé. Pour les créances douteuses, l'enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise. Le classement en encours douteux peut être abandonné et l'encours est porté à nouveau en encours sain. — Dépréciations au titre du risque de crédit sur les encours douteux  : Dès lors qu'un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l'actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d'intérêt effectif, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. — Traitement comptable des dépréciations  : Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non-recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque. Conformément à l'article 2231-3 du règlement ANC 2014-07 le Groupe a fait le choix d'enregistrer en coût du risque l'augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de la dépréciation du fait du passage du temps. Passage en perte . — L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d'experts, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu'elle a de son activité. Les créances devenues irrécouvrables sont inscrites en pertes et les dépréciations correspondantes font l'objet d'une reprise. Risques-pays . — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays. Créances restructurées . — Les créances restructurées pour difficultés financières sont des créances pour lesquelles l'entité a modifié les conditions contractuelles initiales (taux d'intérêt, maturité etc.) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l'emprunteur, selon des modalités qui n'auraient pas été envisagées dans d'autres circonstances. La définition des créances restructurées pour cause de difficultés financières répond donc à deux critères cumulatifs : Des modifications de contrat ou des refinancements de créance (concessions) ; Un client en situation financière difficile (débiteur rencontrant, ou sur le point de rencontrer des difficultés pour honorer ses engagements financiers). Cette notion de restructuration doit s'apprécier au niveau du contrat et non au niveau du client (pas de contagion). Elles concernent les créances classées en douteuses et les créances saines, au moment de la restructuration. Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d'insolvabilité. La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l'enregistrement d'une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d'origine. Elle est égale à l'écart constaté entre La valeur nominale du prêt ; Et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d'intérêt effectif d'origine (défini à la date de l'engagement de financement). La décote constatée lors d'une restructuration de créance est dotée en coût du risque Les crédits restructurés du fait de la situation financière du débiteur font l'objet d'une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Dès lors que l'opération de restructuration a été réalisée, l'exposition conserve ce statut de « restructurée » pendant une période d'observation à minima de 2 ans si l'exposition était saine au moment de la restructuration, ou de 3 ans si l'exposition était en défaut au moment de la restructuration. Ces périodes sont prolongées en cas de survenance de certains évènements (nouveaux incidents par exemple). 2.2. Portefeuille Titres . — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par les articles 2311-1 à 2391-1 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) ainsi que par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe. Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable. Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, investissement, placement, activité de portefeuille, valeurs immobilisées, autres titres détenus à long terme, participation, parts dans les entreprises liées) en fonction de l'intention de gestion de l'entité et des caractéristiques de l'instrument au moment de la souscription du produit. Titres de placement . — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres. Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus. — Obligations et autres titres à revenu fixe  : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, coupon couru à l'achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre. Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ». — Actions et autres titres à revenu variable  : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ». Les revenus des Organismes de placements collectifs sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique. A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d'acquisition et la valeur de marché. Ainsi, lorsque la valeur d'inventaire d'une ligne ou d'un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l'article 2514-1 du règlement ANC 2014-07, prenant la forme d'achats ou de ventes d'instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées. En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres : S'il s'agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose d'informations particulières sur la situation financière de l'émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ; S'il s'agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré). Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne. Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat. Titres d'investissement . — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d'une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu'à leur échéance et n'est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu'à leur échéance. Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d'acquisition et coupons inclus. La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre. Il n'est pas constitué de dépréciation des titres d'investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l'émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières, du règlement ANC 2014-07 ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ». En cas de cession de titres d'investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l'établissement n'est plus autorisé, pendant l'exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d'investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément à l'article 2341-2 du règlement ANC 2014-07. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable. Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu'elle permet d'exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d'en assurer le contrôle. Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l'intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l'entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus. Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition frais inclus. A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d'utilité. Celle-ci représente ce que l'établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention. L'estimation de la valeur d'utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l'entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre. Lorsque la valeur d'utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l'objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes. Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ». Prix de marché . — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante : Les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent, Si le marché sur lequel le titre est négocié n'est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n'est pas coté, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu'il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel. Dates d'enregistrement . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée enregistre les titres classés en titres d'investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation. Pensions livrées . — Les titres donnés en pension livrée sont maintenus au bilan et le montant encaissé, représentatif de la dette à l'égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan. Les titres reçus en pension livrée ne sont pas inscrits au bilan mais le montant décaissé, représentatif de la créance sur le cédant, est enregistré à l'actif du bilan. Les titres donnés en pension livrée font l'objet des traitements comptables correspondant à la catégorie de portefeuille dont ils sont issus. Reclassement de titres . — Conformément aux articles 2381-1 à 2381-5 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07, il est autorisé d'opérer les reclassements de titres suivants : Du portefeuille de transaction vers le portefeuille d'investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l'établissement a l'intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu'à l'échéance, Du portefeuille de placement vers le portefeuille d'investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas opéré, en 2020, de reclassement au titre du règlement ANC 2014-07. 2.3. Immobilisations . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 par rapport à l'amortissement et à la dépréciation des actifs. Il applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l'ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte, la base amortissable tient compte de l'éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Le règlement de l'ANC n° 2015-06 modifie la comptabilisation au bilan du mali technique de fusion ainsi que son suivi dans les comptes sociaux. Le mali ne doit plus être comptabilisé globalement et systématiquement au poste « Fonds commercial » ; il doit être comptabilisé au bilan selon les rubriques d'actifs auxquelles il est affecté en « Autres immobilisations corporelles, incorporelles, financières… ». Le mali est amorti, déprécié, sorti du bilan selon les mêmes modalités que l'actif sous-jacent. Le coût d'acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d'achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l'acquisition pour la mise en état d'utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ». Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition. Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'achèvement. A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation. Les immobilisations sont amorties en fonction de leur durée estimée d'utilisation. Les composants et durées d'amortissement suivants ont été retenus par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée , suite à l'application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d'amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d'amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 25 ans Second œuvre 8 à 20 ans Installations techniques 5 à 15 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans (linéaire) Matériel spécialisé 4 à 5 ans (linéaire) Enfin, les éléments dont dispose la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante. 2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle . — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée résiduelle ou la nature de ces dettes : dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit, comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole, comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière). Les comptes d'épargne à régime spécial sont présentés après compensation avec la créance sur le fonds d'épargne (au titre de l'épargne réglementée et centralisée par la Caisse des dépôts et consignations). Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie. Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. 2.5. Dettes représentées par un titre . — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire, titres de créances négociables, emprunts obligataires et autres titres de dettes, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ». Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ». Les primes de remboursement et les primes d'émission des dettes représentées par des titres sont amorties selon la méthode de l'amortissement actuariel. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique également la méthode d'étalement des frais d'emprunts dans ses comptes individuels. Les commissions de services financiers versées aux Caisses régionales sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ». 2.6. Provisions . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 pour la comptabilisation et l'évaluation des provisions. Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers. Les provisions incluent également les risques-pays. L'ensemble de ces risques fait l'objet d'un examen trimestriel. Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d'opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement. La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d'une part, à l'obligation de rémunérer l'épargne dans le futur à un taux fixé à l'ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d'autre part, à l'octroi d'un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d'épargne-logement à un taux déterminé fixé à l'ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l'ensemble des comptes d'épargne-logement, sachant qu'il n'y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : le comportement des souscripteurs, ainsi que l'estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d'observations historiques de longue période. la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07. Provision pour risques sur GIE d'investissement . — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net. 2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.) . — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire. Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a constitué une provision dont le stock s'élève à 42,6 millions d'euros au 31/12/2020. 2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels . — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions du Titre 5 Les instruments financiers à terme du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07. Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours. Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie : — Opérations de couverture  : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable. Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont inscrits prorata temporis dans la rubrique « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés. — Opérations de marché  : Les opérations de marché regroupent : Les positions ouvertes isolées (catégorie « a » de l'article 2522-1 du règlement ANC 2014-07), La gestion spécialisée d'un portefeuille de transaction (catégorie « d » de l'article 2522 du règlement ANC 2014-07). Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture. Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s'il existe un marché actif, ou à l'aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l'absence de marché actif. Pour les instruments : En position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé ; En position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, les charges et produits sont inscrits en résultat prorata temporis. De plus, seules les pertes latentes éventuelles sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement ; - Faisant partie d'un portefeuille de transaction, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé. — Risque de contrepartie sur les dérivés  : Conformément à l'article 2525-3 du règlement ANC 2014-07, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée intègre l'évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories a et d de l'article 2522-1. du règlement précité) font l'objet d'un calcul de risque de contrepartie sur les dérivés actifs. (CVA - Credit Valuation Adjustment ). Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l'utilisation de données d'entrée observables. Elle repose : Prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels  ; En l'absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d'une approximation fondée sur la base d'un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. — Opérations complexes  : Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d'instruments (de types, natures et modes d'évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d'une réglementation explicite et qui implique, de la part de l'établissement, un choix de principe. 2.9. Opérations en devises . — A chaque arrêté, les créances et les dettes ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan libellés en devises sont convertis au cours de change en vigueur à la date d'arrêté. Les produits perçus et les charges payées sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture. 2.10. Intégration des succursales à l'étranger . — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées. Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques. Les règles de conversion en euros sont les suivantes : Les postes de bilan sont convertis au cours de clôture, Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture. Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ». 2.11. Engagements hors-bilan . — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus. Le cas échéant, les engagements donnés font l'objet d'une provision lorsqu'il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie. Ces éléments sont toutefois détaillés dans l'annexe aux notes 25 et 26. 2.12. Participation des salariés aux fruits de l'expansion et intéressement . — La participation des salariés aux fruits de l'expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né. L'intéressement est couvert par l'accord du 4 juin 2020. La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ». 2.13. Avantages au personnel postérieurs à l'emploi  : — Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d'indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies  : La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a appliqué, à compter du 1er janvier 2013, la recommandation 2013-02 de l'Autorité des normes comptables du 07 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d'évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014. En application de ce règlement, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Ces engagements sont évalués en fonction d'un ensemble d'hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d'activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l'exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a opté pour la méthode 2 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatés au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation. Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l'exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime (méthode du corridor), par conséquent le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l'obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement, majorée des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler, diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d'assurance éligible. Dans le cas où l'obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l'obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). — Plans de retraite – régimes à cotisations définies  : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n'ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n'ont pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l'exercice écoulé. Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « Frais de personnel ». 2.14. Souscription d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise . — Les souscriptions d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 30 %, ne comportent pas de période d'acquisition des droits mais sont grevées d'une période d'incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d'actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital. 2.15. Charges et produits exceptionnels . — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. 2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale) . — D'une façon générale, seul l'impôt exigible est constaté dans les comptes individuels. La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %. Les revenus de créances et de portefeuilles titres sont comptabilisés nets de crédits d'impôts. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d'intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate dans ses comptes la dette d'impôt dont elle est redevable au titre de cette convention fiscale. Note 3. – Créances sur les établissements de credit - Analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Établissements de crédit Comptes et prêts : A vue 8 794 8 794 8 794 5 309 A terme 21 969 21 969 28 21 997 13 879 Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 157 157 157 157 Total 8 794 22 126 30 920 28 30 948 19 345 Dépréciations Valeur nette au bilan 30 948 19 345 Opérations internes au Crédit Agricole Comptes ordinaires 444 666 444 666 444 666 186 715 Comptes et avances à terme 237 1 189 135 084 47 476 183 986 2 763 186 749 209 452 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Total 444 903 1 189 135 084 47 476 628 652 2 763 631 415 396 167 Dépréciations Valeur nette au bilan 631 415 396 167 Total 662 363 415 512 Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 157 milliers d'euros. Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n'est éligible au refinancement de la banque centrale. Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes. Note 4. – Operations avec la clientèle . Au 31 décembre 2020, dans le cadre des mesures de soutien à l'économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19, le montant des encours de prêts garantis par l'Etat (PGE) accordés par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée s'élève à 244 892 milliers d'euros et celui des reports d'échéances d'encours de prêts à la clientèle à 741 531 milliers d'euros (dont 55 419 milliers d'euros d'échéances d'encours de prêts reportées). 4.1. Opérations avec la clientèle - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Créances commerciales 1 114 126 562 2 516 4 318 4 318 9 687 Autres concours à la clientèle 248 739 699 812 1 740 674 3 018 794 5 708 019 24 816 5 732 835 5 123 131 Valeurs reçues en pension livrée Comptes ordinaires débiteurs 20 276 20 276 104 20 380 17 658 Dépréciations -121 292 -126 690 Valeur nette au bilan 5 636 241 5 023 786 Commentaires : Aucun prêt subordonné et participatif ne sont consentis à la clientèle. Parmi les créances sur la clientèle 2 061 546 milliers d'euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2020 contre 719 316 milliers d'euros au 31 décembre 2019. Le montant des créances restructurées pour difficultés financières inscrites en encours douteux au moment de la restructuration s'élève à 34 013 milliers au 31 décembre 2020 d'euros contre 31 392 milliers d'euros au 31 décembre 2019. Elles conservent la qualification de « créances restructurées » jusqu'à la fin de leur vie. 4.2. Opérations avec la clientèle - Analyse par zone géographique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 France (y compris DOM-TOM) 5 492 998 4 873 248 Autres pays de l' U .E. 234 984 248 861 Autres pays d'Europe 2 235 1 944 Amérique du Nord 1 715 1 885 Amérique Centrale et du Sud 1 8 Afrique et Moyen-Orient 599 638 Asie et Océanie (hors Japon) 81 111 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 5 732 613 5 126 695 Créances rattachées 24 920 23 781 Dépréciations -121 292 -126 690 Valeur nette au bilan 5 636 241 5 023 786 4.3. Opérations avec la clientèle - Encours douteux et dépréciations par zone géographique  : (En milliers d'euros) 31/12/2020 31/12/2019 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis France (y compris DOM-TOM) 5 512 558 106 302 69 253 -67 047 -52 711 4 892 170 104 304 74 169 -73 118 -58 026 Autres pays de l'U.E. 240 340 88 796 76 795 -54 235 -52 489 253 695 83 900 76 185 -53 553 -51 756 Autres pays d'Europe 2 238 17 -6 1 946 Amérique du Nord 1 716 1 907 Amérique Centrale et du Sud 1 8 Afrique et Moyen-Orient 599 4 4 -4 -4 639 3 3 -3 -3 Asie et Océanie (hors Japon) 81 111 16 16 -16 -16 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total 5 757 533 195 119 146 052 -121 292 -105 204 5 150 476 188 223 150 373 -126 690 -109 801 4.4. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques  : (En milliers d'euros) 31/12/2020 31/12/2019 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Particuliers 2 829 115 97 811 76 544 -55 813 -50 603 2 598 668 94 237 78 709 -57 193 -51 910 Agriculteurs 415 107 13 665 9 485 -9 816 -7 757 382 133 12 435 10 908 -9 604 -8 759 Autres professionnels 896 863 38 637 32 039 -24 654 -22 659 730 958 39 658 32 538 -26 890 -23 868 Clientèle financière 133 787 1 384 1 383 -1 011 -1 011 103 177 1 342 1 064 -961 -901 Entreprises 904 121 29 076 20 960 -22 446 -17 533 738 410 34 659 21 264 -26 149 -18 473 Collectivités publiques 547 662 14 538 5 634 -7 544 -5 634 571 112 5 860 5 861 -5 861 -5 861 Autres agents économiques 30 878 8 7 -8 -7 26 018 32 29 -32 -29 Total 5 757 533 195 119 146 052 -121 292 -105 204 5 150 476 188 223 150 373 -126 690 -109 801 5. – Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l' activité de portefeuille. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Transaction Placement Titres de l'activité de portefeuille Investissement Total Total Effets publics et valeurs assimilées : 104 386 104 386 105 708 Dont surcote restant à amortir 1 358 1 358 1 409 Dont décote restant à amortir -37 -37 -37 Créances rattachées 1 304 1 304 1 310 Dépréciations Valeur nette au bilan 105 690 105 690 107 019 Obligations et autres titres à revenu fixe (1): Emis par organismes publics 10 411 10 411 14 739 Autres émetteurs 1 081 162 778 163 859 259 453 Dont surcote restant à amortir 267 267 359 Dont décote restant à amortir -18 -18 -16 Créances rattachées 3 1 075 1 078 1 114 Dépréciations -7 -2 189 -2 196 -2 202 Valeur nette au bilan 1 077 172 075 173 152 273 104 Actions et autres titres à revenu variable 135 182 135 182 96 001 Créances rattachées Dépréciations -161 -161 -150 Valeur nette au bilan 135 021 135 021 95 851 Total 136 098 277 765 413 863 475 974 Valeurs estimatives 136 915 298 458 435 373 495 952 (1) dont 20 581 milliers d'euros de titres subordonnés (hors créances rattachées) au 31 décembre 2020 et 32 115 milliers d'euros au 31 décembre 2019. — Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 819 milliers d'euros au 31 décembre 2020, contre 719 milliers d'euros au 31 décembre 2019. La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse. La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à 22 391 milliers d'euros au 31 décembre 2020, contre 20 916 milliers d'euros au 31 décembre 2019. La valeur estimée des moins-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à -1 508 milliers d'euros au 31 décembre 2020, contre -1 426 milliers d'euros au 31 décembre 2019. 5.1. Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Administration et banques centrales (y compris Etats) 10 411 14 739 Etablissements de crédit 51 074 50 209 Clientèle financière 245 483 302 826 Collectivités locales Entreprises, assurances et autres clientèles 2 484 2 419 Divers et non ventilés Total en principal 309 452 370 193 Créances rattachées 1 078 1 114 Dépréciations -2 357 -2 352 Valeur nette au bilan 308 173 368 955 5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Titres à revenu fixe ou variable 174 270 104 386 135 182 413 838 274 192 105 708 96 001 475 901 Dont titres cotés 62 276 104 386 166 662 70 455 105 708 176 163 Dont titres non cotés (1) 111 994 135 182 247 176 203 737 96 001 299 738 Créances rattachées 1 078 1 304 2 382 1 114 1 310 2 424 Dépréciations -2 196 -161 -2 357 -2 202 -150 -2 352 Valeur nette au bilan 173 152 105 690 135 021 413 863 273 104 107 018 95 851 475 973 (1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante : OPCVM français 135 021 milliers d'euros Dont OPCVM français de capitalisation 135 021 milliers d'euros La répartition de l'ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2020 : (En milliers d'euros) Valeur d'inventaire Valeur liquidative OPCVM monétaires 96 229 96 229 OPCVM obligataires 38 792 39 606 OPCVM actions OPCVM autres Total 135 021 135 835 5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Obligations et autres titres à revenu fixe Valeur brute 21 374 4 805 26 534 121 557 174 270 1 078 175 348 275 306 Dépréciations -2 196 -2 202 Valeur nette au bilan 21 374 4 805 26 534 121 557 174 270 1 078 173 152 273 104 Effets publics et valeurs assimilées Valeur brute 5 556 22 870 75 960 104 386 1 304 105 690 107 018 Dépréciations Valeur nette au bilan 5 556 22 870 75 960 104 386 1 304 105 690 107 018 5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Encours bruts Dont Encours douteux Encours bruts Dont Encours douteux France (y compris DOM-TOM) 246 097 343 527 Autres pays de l' U. E. 31 190 34 999 Autres pays d'Europe Amérique du Nord 1 369 1 369 1 374 1 374 Amérique Centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total en principal 278 656 1 369 379 900 1 374 Créances rattachées 2 382 821 2 424 821 Dépréciations -2 196 -2 189 -2 202 -2 195 Valeur nette au bilan 278 842 1 380 122 0 Note 6. – Titres de participation et de filiales. Informations financières filiales et participations (En milliers d'Euros) Devise Capital Capitaux propres autres que le capital Quote-part de capital détenue (en %) Valeurs comptables des titres détenus Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés Montant des cautions et avals donnés par la société PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice Brutes Nettes Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital Parts dans les entreprises liées détenues dans des Ets de crédit Participations dans des établissements de crédit Autres parts dans les entreprises liées SAS Sud Med Immobilier EUR 197 100,00% 3 299 0 963 221 -136 Autres titres de participations SAS Rue de la Boétie EUR 2 744 903 10 117 280 1,32% 252 774 252 774 14 870 1 112 639 1 107 163 14 870 SNC Sacam Mutualisation EUR 18 556 677 1,02% 189 883 189 883 279 098 276 581 2 780 SAS Sacam International EUR 522 023 1,32% 11 893 6 240 0 35 880 167 SAS Sacam Développement EUR 725 471 1,35% 9 883 9 883 4 622 0 9 696 126 SAS Sofilaro EUR 25 796 6 647 12,42% 4 781 4 531 0 2 706 319 SAS Sacam Immobilier EUR 139 588 1,59% 2 930 2 930 0 4 071 62 SAS Sacam Avenir EUR 217 698 1,10% 2 400 1 173 203 0 -28 SAS Sacam Participations EUR 62 558 3 224 1,63% 1 184 1 184 336 6 794 105 SAS Delta EUR 79 550 1,26% 1 000 1 000 0 -31 SAS C2MS EUR 53 053 1,15% 637 637 0 4 024 SAS Sacam Fireca EUR 55 053 1,03% 937 545 0 -2 885 SAS CA Protection et Sécurité EUR 511 14 595 0,81% 503 503 8 298 118 SAS Sacam Assurance Caution EUR 13 713 20 359 0,88% 422 422 0 1 512 13 SAS CA Payment Services EUR 49 027 0,68% 331 331 335 702 13 422 SNC CA Titres EUR 15 245 15 989 0,57% 330 330 148 943 250 Edissimo SNC CA Titres Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital du Crédit Agricole de Sud Méditerranée  : Parts dans les entreprises liées dans les établissements de crédit Participations dans des établissements de crédit Autres parts dans les entreprises liées Autres titres de participations 5 903 5 673 1 540 13 Total parts dans les entreprises liées et participations 489 090 478 039 22 198 18 455 6.1. Valeur estimative des titres de participation  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Parts dans les entreprises liées Titres non cotés 3 299 4 502 Titres cotés Avances consolidables 963 963 1 192 963 Créances rattachées Dépréciations -3 299 -4 731 Valeur nette au bilan 963 963 963 963 Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Titres non cotés 481 938 688 579 481 223 667 085 Titres cotés Avances consolidables 19 869 19 808 4 785 4 725 Créances rattachées 65 65 65 65 Dépréciations -7 812 -5 297 Sous-total titres de participation 494 060 708 452 480 776 671 875 Autres titres détenus à long terme  : Titres non cotés 3 853 3 798 2 142 2 111 Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations -69 -33 Sous-total autres titres détenus à long terme 3 784 3 798 2 109 2 111 Valeur nette au bilan 497 844 712 250 482 885 673 986 Total des titres de participation 498 807 713 213 483 848 674 949 (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Total valeurs brutes Titres non cotés 489 090 487 867 Titres cotés Total 489 090 487 867 Les valeurs estimatives sont déterminées d'après la valeur d'utilité des titres ; celle-ci n'est pas nécessairement la valeur de marché. Note 7. – Variation de l'actif immobilisé. — Immobilisations financières  : (En milliers d' E uros) 01/01/2020 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements 31/12/2020 Parts dans les entreprises liées Valeurs brutes 4 502 -1 203 3 299 Avances consolidables 1 192 -229 963 Créances rattachées Dépréciations -4 731 1 432 -3 299 Valeur nette au bilan 963 963 Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Valeurs brutes 481 223 715 481 938 Avances consolidables 4 785 15 084 19 869 Créances rattachées 65 65 Dépréciations -5 297 -2 827 312 -7 812 Sous-total titres de participation 480 776 12 972 312 494 060 Autres titres détenus à long terme Valeurs brutes 2 142 1 711 3 853 Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations -33 -66 30 -69 Sous-total autres titres détenus à long terme 2 109 1 645 30 3 784 Valeur nette au bilan 482 885 14 617 342 497 844 Total 483 848 14 617 342 498 807 — Immobilisations corporelles et incorporelles  : (En milliers d' E uros) 01/01/2020 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements 31/12/2020 Immobilisations corporelles  : Valeurs brutes 137 065 4 544 -2 411 139 198 Amortissements et dépréciations -107 549 -3 758 1 605 -109 702 Mali technique de fusion sur immobilisations corporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 29 516 786 -806 29 496 Immobilisations incorporelles  : Valeurs brutes 1 358 43 1 401 Amortissements et dépréciations -448 -59 -507 Mali technique de fusion sur immobilisations incorporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 910 -16 894 Total 30 426 770 -806 30 390 Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Autres actifs (1) Instruments conditionnels achetés Comptes de stock et emplois divers 11 101 13 243 Débiteurs divers (2) 164 815 140 246 Gestion collective des titres Livret de développement durable Comptes de règlement 14 5 Valeur nette au bilan 175 930 153 494 Comptes de régularisation  : Comptes d'encaissement et de transfert 8 604 18 140 Comptes d'ajustement et comptes d'écart Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers 54 Charges constatées d'avance 3 103 4 568 Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme 6 486 6 744 Autres produits à recevoir 21 698 22 344 Charges à répartir Autres comptes de régularisation 2 247 629 Valeur nette au bilan 42 192 52 425 Total 218 122 205 919 (1) Les montants incluent les créances rattachées. (2) Dont 1 011 milliers d'euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d'un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l'actif. (En milliers d'euros) Solde au 01/01/2020 Dotations Reprises et utilisations Dés actualisation Autres mouvements Solde au 31/12/2020 Sur opérations interbancaires et assimilées Sur créances clientèle 126 690 15 191 -19 753 -836 121 292 Sur opérations sur titres 2 352 18 -13 2 357 Sur valeurs immobilisées 12 391 2 912 -1 919 13 384 Sur autres actifs 18 374 1 018 -2 897 16 495 Total 159 807 19 139 -24 582 -836 153 528 Note 10. – Dettes envers les établissements de credit - Analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Établissements de crédit  : Comptes et emprunts : A vue 167 167 167 184 A terme 22 386 22 386 4 22 390 14 113 Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 167 22 386 22 553 4 22 557 14 297 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 3 100 3 100 3 100 1 991 Comptes et avances à terme 511 323 876 914 1 495 266 640 991 3 524 494 1 400 3 525 894 3 203 852 Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 514 423 876 914 1 495 266 640 991 3 527 594 1 400 3 528 994 3 205 843 Total 514 590 876 914 1 495 266 663 377 3 550 147 1 404 3 551 551 3 220 140 Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale. Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle . 11.1. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Comptes ordinaires créditeurs 2 255 145 2 255 145 18 2 255 163 1 779 277 Comptes d'épargne à régime spécial : 17 387 17 387 17 387 18 133 A vue 17 387 17 387 17 387 18 133 A terme Autres dettes envers la clientèle : 45 491 171 532 183 696 45 881 446 600 2 591 449 191 489 526 A vue 1 616 1 616 1 616 2 502 A terme 43 875 171 532 183 696 45 881 444 984 2 591 447 575 487 024 Valeurs données en pension livrée Valeur au bilan 2 318 023 171 532 183 696 45 881 2 719 132 2 609 2 721 741 2 286 936 11.2. Comptes créditeurs de la clientèle - Analyse par agents économiques  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Particuliers 1 142 424 1 020 930 Agriculteurs 182 447 160 010 Autres professionnels 190 099 162 194 Clientèle financière 75 496 45 348 Entreprises 1 016 731 795 199 Collectivités publiques 4 668 7 273 Autres agents économiques 107 267 91 400 Total en principal 2 719 132 2 282 354 Dettes rattachées 2 609 4 582 Valeur au bilan 2 721 741 2 286 936 Note 12. – Dettes représentées par un titre. 12.1. Dettes représentées par un titre - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'euros) 31/12/2020 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Bons de caisse 34 60 94 2 96 36 Titres du marché interbancaire Titres de créances négociables (1) 150 000 150 000 285 150 285 150 302 Emprunts obligataires Autres dettes représentées par un titre Valeur nette au bilan 34 60 150 000 150 094 287 150 381 150 338 (1) Dont aucun émis à l'étranger. Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Autres passifs (1)  : Opérations de contrepartie (titres de transaction) Dettes représentatives de titres empruntés Instruments conditionnels vendus Comptes de règlement et de négociation Créditeurs divers 38 194 41 546 Versements restant à effectuer sur titres 2 084 1 414 Valeur au bilan 40 278 42 960 Comptes de régularisation  : Comptes d'encaissement et de transfert 14 189 7 469 Comptes d'ajustement et comptes d'écart Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers 515 Produits constatés d'avance 28 406 30 817 Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme 5 981 7 483 Autres charges à payer 30 922 28 485 Autres comptes de régularisation 10 187 4 354 Valeur au bilan 90 200 78 608 Total 130 478 121 568 (1) Les montants incluent les dettes rattachées. Note 14. – Provisions. (En milliers d' E uros) Solde au 01/01/2020 Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements Solde au 31/12/2020 Provisions pour engagements de retraite et assimilés 14 9 23 Provisions pour autres engagements sociaux 639 48 -14 673 Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature 3 670 11 093 -9 896 4 867 Provisions pour litiges fiscaux (1) 306 306 Provisions pour autres litiges 410 140 -3 -109 438 Provisions pour risques pays Provisions pour risques de crédit (2) 38 582 89 055 -79 374 48 263 Provisions pour restructurations Provisions pour impôts Provisions sur participations Provisions pour risques opérationnels (3) 1 094 170 -56 -219 989 Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (4) 7 474 1 154 -513 8 115 Autres provisions 5 858 1 283 -1 957 -347 4 837 Valeur au bilan 57 741 103 258 -2 016 -90 472 68 511 (1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés. (2) Un montant de provisions "Forward Looking Central" est calculé selon un paramétrage établi en central prenant en compte des informations prospectives. Un complément de provisions "Forward Looking Local" est ensuite calculé en Caisse régionale sur un périmètre de filières établi également par la Caisse régionale. Le stock au 31/12/2020 est composé de 12 162 Milliers d'Euros sur créances saines et 36 101 Milliers d'euros sur créances dégradées. (3) Cette provision est destinée à couvrir les risques d'insuffisance de conception, d'organisation et de mise en œuvre des procédures d'enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d'information de l'ensemble des événements relatifs aux opérations de l'établissement. (4) Cf. note 15 ci-après Note 15. – Epargne Logement — Encours collectés au titre des comptes et plans d'épargne-logement sur la phase d'épargne  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 160 781 141 345 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 357 184 343 516 Ancienneté de plus de 10 ans 407 560 415 966 Total plans d'épargne-logement 925 525 900 827 Total comptes épargne-logement 81 785 76 520 Total encours collectes au titre des contrats épargne -logement 1 007 310 977 347 L'ancienneté est déterminée conformément au Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07. Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état. — Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d'épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Plans d'épargne-logement 316 460 Comptes épargne-logement 1 081 1 538 Total encours de credit en vie octroyés au titre des contrats épargne -logement 1 397 1 998 — Provision au titre des comptes et plans d'épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 495 373 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 4 088 4 374 Ancienneté de plus de 10 ans 3 532 2 727 Total plans d'épargne-logement 8 115 7 474 Total comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne -logement 8 115 7 474 (En milliers d' E uros) 01/01/2020 Dotations Reprises 31/12/2020 Plans d'épargne-logement 7 474 1 154 513 8 115 Comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne -logement 7 474 1 154 513 8 115 La dotation de la provision épargne logement au 31 décembre 2020 est liée à l'actualisation des paramètres de calcul et notamment à la baisse de la marge collecte. Note 16. – Engagements sociaux: avantages postérieurs à l'emploi, régimes à prestations définies . Les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l'emploi à un ou plusieurs membres de son personnel. Les régimes à prestations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi autres que les régimes à cotisations définies. Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n'aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n'a pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. D'autre part, la recommandation 2013-02 du 07 novembre 2013, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014, reprend les dispositions de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel, à l'exception de celles relatives aux avantages à court terme et à ceux payés sous forme d'instrument de capitaux propres. — Variations de la dette actuarielle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Dette actuarielle au 31/12/N-1 20 494 20 230 Coût des services rendus sur l'exercice 1 066 1 431 Coût financier 198 285 Cotisations employés Modifications, réductions et liquidations de régime -1 305 -1 484 Variation de périmètre -108 -68 Indemnités de cessation d'activité Prestations versées (obligatoire) -714 -655 (Gains) / pertes actuariels 415 705 Dette actuarielle au 31/12/n 20 045 20 494 — Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat  : (En milliers d'euros) 31/12/2020 31/12/2019 Coût des services rendus 1 066 1 431 Coût financier 197 285 Rendement attendu des actifs -10 -283 Coût des services passés -1 305 -1 434 (Gains) / pertes actuariels net 267 221 (Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes (Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif 942 Charge nette comptabilisée au compte de résultat 1 158 220 — Variations de juste valeur des actifs des régimes  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/N-1 17 824 17 739 Rendement attendu des actifs 10 283 Gains / (pertes) actuariels 39 -42 Cotisations payées par l'employeur 1 150 567 Cotisations payées par les employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -108 -68 Indemnités de cessation d'activité Prestations payées par le fonds -714 -655 Juste valeur des actifs / droits a remboursement au 31/12/n 18 201 17 824 — Composition des actifs des régimes  : Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de : 81,5 % d'obligations 10,8 % d'actions 7,7 d'autres produits — Variations de la provision  : (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Dette actuarielle au 31/12/N -20 045 -20 494 Impact de la limitation d'actifs -1 269 Gains et (pertes) actuariels restant à étaler 3 091 2 983 Juste valeur des actifs fin de période 18 201 17 824 Position nette (passif) / actifs au 31/12/n -22 819 313 — Rendement des actifs des régimes  : Le rendement attendu des actifs de régime est de 0,929 %. — Hypothèses actuarielles utilisées : Le taux d’actualisation utilisé est le taux iBoxx au 31 décembre 2020. Au 31 décembre 2020, les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : une variation de plus 50bp des taux d'actualisation conduirait à une baisse de l'engagement de 6,08 % ; une variation de moins 50bp des taux d'actualisation conduirait à une hausse de l'engagement de 6,73 %. La cotisation exceptionnelle au titre de l’ancien régime des retraites complémentaires des cadres de direction s’élève à 413 milliers d’euros au 31/12/2020. Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Fonds pour risques bancaires généraux 42 557 39 557 Valeur au bilan 42 557 39 557 Note 18. – Dettes subordonnées : Analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Dettes subordonnées à terme Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Titres et emprunts participatifs Autres emprunts subordonnés à terme Dettes subordonnées à durée indéterminée Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Placement des fonds propres des Caisses Locales 18 270 18 270 7 18 277 14 205 Dépôts de garantie à caractère mutuel Valeur au bilan 18 270 18 270 7 18 277 14 205 Commentaires : Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 208 milliers d'euros au 31 décembre 2020 contre 173 milliers d'euros au 31 décembre 2019. Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition) — Variation des capitaux propres  : (En milliers d'Euros) Capitaux propres Capital Réserve légale Réserve statutaire Primes, autres réserves et report à nouveau (1) Ecarts conversion / réévaluation Provisions réglementées & subventions d'investissement Résultat Total des capitaux propres Solde au 31/12/2018 28 057 413 735 22 884 268 515 30 124 763 315 Dividendes versés au titre de N-2 -2 575 -2 575 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-2 20 626 6 923 -27 549 Report à nouveau Résultat de l’exercice N-1 31 046 31 046 Autres variations Solde au 31/12/2019 28 057 434 361 22 884 275 438 31 046 791 786 Dividendes versés au titre de N-1 -2 643 -2 643 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-1 21 302 7 101 -28 403 Report à nouveau Résultat de l’exercice N 26 475 26 475 Autres variations Solde au 31/12/2020 28 057 455 663 22 884 282 539 26 475 815 618 1) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros de primes de fusion. Note 20. – Composition des fonds propres. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Capitaux propres 815 618 791 786 Fonds pour risques bancaires généraux 42 557 39 557 Dettes subordonnées et titres participatifs 18 277 14 205 Dépôts de garantie à caractère mutuel Total des fonds propres 876 452 845 548 Note 21. – Operations effectuées en devises. — Contributions par devise au bilan  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Actif Passif Actif Passif Euro 7 578 004 7 402 319 6 759 396 6 594 607 Autres devises de l’Union Europ 47 47 16 16 Franc suisse 234 234 Dollar 1 744 1 744 2 149 2 149 Yen Autres devises 263 263 288 288 Valeur brute 7 580 292 7 404 607 6 761 849 6 597 060 Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation 72 351 94 507 80 230 85 211 Dépréciations -153 529 -159 808 Total 7 499 114 7 499 114 6 682 271 6 682 271 Note 22. – Op é rations de change, prêts et emprunts en devises. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 A recevoir A livrer A recevoir A livrer Opérations de change au comptant Devises Euros Opérations de change à terme 2 362 2 361 2 489 2 483 Devises 1 177 1 177 1 252 1 252 Euros 1 185 1 184 1 237 1 231 Prêts et emprunts en devises Total 2 362 2 361 2 489 2 483 Note 23. – Op é rations sur instruments financiers à terme. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Opérations de couverture Opérations autres que de couverture Total Total Opérations fermes 2 098 596 6 102 2 104 698 2 159 126 Opérations sur marchés organisés (1) Contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations de gré à gré (1) 2 098 596 6 102 2 104 698 2 159 126 Swaps de taux d'intérêt 2 098 596 6 102 2 104 698 2 159 126 Autres contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change FRA Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations conditionnelles 14 494 Opérations sur marchés organisés Instruments de taux d'intérêt à terme Achetés Vendus Instruments sur action et indices boursiers à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Opérations de gré à gré 14 494 Options de swaps de taux Achetées Vendues Instruments de taux d'intérêts à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés 7 247 Vendus 7 247 Instruments sur actions et indices boursiers à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Dérivés de crédit Contrats de dérivés de crédit Achetés Vendus Total 2 098 596 6 102 2 104 698 2 173 620 (1) Les montants indiqués sur les opérations fermes correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats). 23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : Encours notionnels par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) Total 31/12/2020 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F .R.A. Swaps de taux d’intérêt 295 092 901 063 908 543 295 092 901 063 908 543 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 295 092 901 063 908 543 295 092 901 063 908 543 Swaps de devises Opérations de change à terme 4 724 4 724 Sous total 4 724 4 724 Total 299 816 901 063 908 543 299 816 901 063 908 543 (En milliers d'Euros) Total 31/12/2019 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change 14 494 14 494 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F. R.A. Swaps de taux d’intérêt 255 363 1 062 451 841 312 255 363 1 062 451 841 312 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 269 857 1 062 451 841 312 269 857 1 062 451 841 312 Swaps de devises Opérations de change à terme 4 971 4 971 Sous total 4 971 4 971 Total 274 828 1 062 451 841 312 274 828 1 062 451 841 312 23.2. Instruments financiers à terme : Juste valeur  : (En milliers d' E uros) Juste Valeur Positive au 31/12/2020 Juste Valeur Négative au 31/12/2020 Encours Notionnel au 31/12/2020 Juste Valeur Positive au 31/12/2019 Juste Valeur Négative au 31/12/2019 Encours Notionnel au 31/12/2019 Futures Options de change 7 247 7 247 14 494 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F .R.A. Swaps de taux d’intérêt 30 370 144 796 2 104 698 45 683 125 034 2 159 126 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 30 370 144 796 2 104 698 52 930 132 281 2 173 620 Swaps de devises Opérations de change à terme 2 363 2 362 4 724 2 488 2 483 4 971 Sous total 2 363 2 362 4 724 2 488 2 483 4 971 Total 32 733 147 158 2 109 422 55 418 134 764 2 178 591 23.3. Information sur les Swaps  : — Ventilation des contrats d'échange de taux d'intérêt  : (En milliers d' E uros) Position ouverte isolée Micro-couverture Macro-couverture Swaps de transaction Contrats d'échange de taux 6 102 331 057 1 767 539 Contrats assimilés Note 24. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits dérivés . L'évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l'établissement mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l'application de facteurs de majoration (add-on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante : — Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur de marché Risque de crédit potentiel ( * ) Total risque de contrepartie Valeur de marché Risque de crédit potentiel Total risque de contrepartie Risques sur les gouvernements et banques centrales de l’OCDE et organismes assimilés Risques sur les établissements financiers de l’OCDE et organismes assimilés 36 259 9 033 45 292 51 769 9 503 61 272 Risques sur les autres contreparties 274 35 309 308 40 348 Total avant effet des accords de compensation 36 533 9 068 45 601 52 077 9 543 61 620 Dont risques sur contrats de : - Taux d'intérêt, change et matières premières 36 533 9 068 45 601 52 077 9 543 61 620 - Dérivés actions et sur indices Total avant effet des accords de compensation 36 533 9 068 45 601 52 077 9 543 61 620 Incidences des accords de compensation et de collatérisation Total après effet des accords de compensation et de collat é risation 36 533 9 068 45 601 52 077 9 543 61 620 (*) calculé selon les normes prudentielles CRR / CRD4 Note 25. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Engagements donnés : Engagements de financement 481 013 441 250 Engagements en faveur d'établissements de crédit Engagements en faveur de la clientèle 481 013 441 250 Ouverture de crédits confirmés 181 144 174 931 Ouverture de crédits documentaires 1 100 29 Autres ouvertures de crédits confirmés 180 044 174 902 Autres engagements en faveur de la clientèle 299 869 266 319 Engagements de garantie 266 936 319 940 Engagements d'ordre d'établissement de crédit 87 723 128 696 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires Autres garanties (1) 87 723 128 696 Engagements d'ordre de la clientèle 179 213 191 244 Cautions immobilières 11 418 12 815 Autres garanties d'ordre de la clientèle 167 795 178 429 Engagements sur titres 545 294 Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements à donner 545 294 Engagements reçus : Engagements de financement 11 038 12 882 Engagements reçus d'établissements de crédit 11 038 12 882 Engagements reçus de la clientèle Engagements de garantie 1 750 923 1 363 550 Engagements reçus d'établissements de crédit 208 529 188 206 Engagements reçus de la clientèle 1 542 394 1 175 344 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées (2) 496 196 261 834 Autres garanties reçues 1 046 198 913 510 Engagements sur titres 545 294 Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements reçus 545 294 (1) Dont 81 389 milliers d'euros relatifs à la garantie (Switch Assurance) suite à la résiliation anticipée partielle du 2 mars 2020. (2) Dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la Covid-19, la Caisse Régionale Sud-Méditerranée a accordé des prêts pour lesquels elle a reçu des engagements de garantie de l’Etat français (PGE). Au 31 décembre 2020, le montant de ces engagements de garantie reçus s’élève à 220 388 milliers d’euros. Note 26. – Actifs donn é s et reçus en garantie. — Créances apportées en garantie : Au cours de l'année 2020, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a apporté 2 545 147 milliers d'euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 265 143 milliers d'euros en 2019. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a apporté : 2 022 058 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 719 471 milliers d'euros en 2019 ; 100 025 milliers d'euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 106 543 milliers d'euros en 2019 ; 423 064 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 439 129 milliers d'euros en 2019 . Note 27. – Op é rations de désendettement de fait et de titrisation. 27.1. Titrisation . — En 2020, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a participé à la titrisation du FCT Crédit Agricole Habitat 2020, titrisation décrite au niveau de la note 1.3 Principales opérations de structure et événements significatifs de la période. Note 28. – Produits nets d' intérêts et revenus assimil é s. (En milliers d'euros) 31/12/2020 31/12/2019 Sur opérations avec les établissements de crédit 1 854 2 064 Sur opérations internes au Crédit Agricole 10 614 10 039 Sur opérations avec la clientèle 110 141 115 293 Sur obligations et autres titres à revenu fixe 3 551 3 771 Produit net sur opérations de macro-couverture Sur dettes représentées par un titre 4 225 2 984 Autres intérêts et produits assimilés 90 Intérêts et produits assimilés 130 475 134 151 Sur opérations avec les établissements de crédit -1 963 -1 286 Sur opérations internes au Crédit Agricole -19 585 -22 021 Sur opérations avec la clientèle -19 200 -25 047 Charge nette sur opérations de macro-couverture -3 559 -3 982 Sur obligations et autres titres à revenu fixe Sur dettes représentées par un titre -9 631 -8 423 Autres intérêts et charges assimilées -6 -10 Intérêts et charges assimilées -53 944 -60 769 Total produits nets d' intérêts et revenus assimiles (1) (2) 76 531 382 (1) Le montant des charges nettes d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2020 est de 208 milliers d'euros, il était de 173 milliers d'euros au 31 décembre 2019. (2) Le montant des intérêts négatifs perçus s’élève à 6 261 milliers d’euros dont 2 997 milliers d’euros sur les emprunts (dont 599 milliers d’euros pour le TLTRO II et 1 263 milliers d’euros pour le TLTRO III en 2020), 1 170 milliers d’euros sur les avances et 2 085 milliers d’euros sur les avances miroir) ; Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d'opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques. Note 29. – Revenus des titres à revenus variables. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme 18 691 18 441 Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille Opérations diverses sur titres Total des revenus des titres a revenus variables 18 691 18 441 Note 30. – Produit net des commissions. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 95 -28 67 64 -31 33 Sur opérations internes au crédit agricole 4 075 -15 272 -11 197 4 753 -12 638 -7 885 Sur opérations avec la clientèle 20 159 -149 20 010 20 124 -161 19 963 Sur opérations sur titres Sur opérations de change 21 21 27 27 Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan Sur prestations de services financiers (1) 54 284 -6 455 47 829 49 404 -6 112 43 292 Provision pour risques sur commissions 204 -202 2 193 -206 -13 Total produit net des commissions 78 838 -22 106 56 732 74 565 -19 148 55 417 (1) dont prestations assurance-vie : 12 291 milliers d'euros. Note 31. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation . (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Solde des opérations sur titres de transaction Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés 116 152 Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme 23 -8 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation 139 144 Note 32. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Titres de placement Dotations aux dépréciations -17 -29 Reprises de dépréciations 7 13 Dotations ou reprises nettes aux dépréciations -10 -16 Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées -274 -160 Solde des plus et moins-values de cession réalisées -274 -160 Solde des opérations sur titres de placement -284 -176 Titres de l'activité de portefeuille Dotations aux dépréciations Reprises de dépréciations Dotations ou reprises nettes aux dépréciations Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées Solde des plus et moins-values de cession réalisées Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimiles -284 -176 Note 33. – Autres produits et charges d'exploitation bancaire. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Produits divers 3 676 3 538 Quote - part des opérations faites en commun Refacturation et transfert de charges 11 31 Reprises provisions 76 357 Autres produits d'exploitation bancaire 3 763 3 926 Charges diverses -169 -301 Quote - part des opérations faites en commun -290 -300 Refacturation et transfert de charges Dotations provisions -665 Autres charges d'exploitation bancaire -1 124 -601 Total autres produits et charges d'exploitation bancaire 2 639 3 325 Note 34. – Charges générales d'exploitation. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Frais de personnel : Salaires et traitements -34 324 -34 663 Charges sociales -17 167 -16 961 Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies -3 851 -3 833 Intéressement et participation -5 071 -4 829 Impôts et taxes sur rémunérations -5 192 -5 036 Total des charges de personnel -61 754 -61 489 Refacturation et transferts de charges de personnel 2 996 2 753 Frais de personnel nets -58 758 -58 736 Frais administratifs : Impôts et taxes -3 439 -3 037 Services extérieurs, autres frais administratifs et contributions règlementaires (1) -38 585 -39 325 Total des charges administratives -42 024 -42 362 Refacturation et transferts de charges administratives 339 575 Frais administratifs nets -41 685 -41 787 Charges générales d'exploitation -100 443 -100 523 (1) Dont 1 385 milliers d'euros au titre du fonds de résolution unique Effectif moyen  : Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité)  : Catégories de personnel 31/12/2020 31/12/2019 Cadres 160 157 Non cadres 708 718 Total de l'effectif moyen 868 875 Dont : France 855 861 Etranger 13 14 Dont : Personnel mis à disposition 1 La rémunération des organes de direction et d'administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l'institution. Le montant global des rémunérations des organes d'administration et de direction s'élève à 1 665 milliers d'euros. Note 35. – Co û t du risque. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Dotations aux provisions et dépréciations -115 318 -97 962 Dépréciations de créances douteuses -13 783 -18 902 Autres provisions et dépréciations -101 535 -79 060 Reprises de provisions et dépréciations 112 147 113 578 Reprises de dépréciations de créances douteuses (1) 19 317 39 987 Autres reprises de provisions et dépréciations (2) 92 830 73 591 Variation des provisions et dépréciations -3 171 15 616 Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3)(4) -630 -245 Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (5) -5 051 -18 352 Décote sur prêts restructurés -7 -79 Récupérations sur créances amorties 806 899 Autres pertes -198 -95 Autres produits (6) 517 Cout du risque -7 734 -2 256 (1) dont 2 657 milliers d'euros utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses non compromises et 836 milliers d'euros liés à l'effet de désactualisation des dépréciations sur créances douteuses. (2) dont 173 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif (3) dont 517 milliers d'euros relatifs à l’appel de la garantie Switch Assurance, versés à Crédit Agricole S.A. en septembre 2020 pour combler la baisse de la valeur de mise en équivalence des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels (4) dont 33 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises (5) dont 2 393 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises (6) dont 517 milliers d'euros relatifs au retour à meilleure fortune de la garantie (Switch Assurance), à recevoir de Crédit Agricole S.A. suite à la hausse de la valeur de mise en équivalence des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels. Le montant sera versé en date du 1er mars 2021. Note 36. – Résultat net sur actifs immobilis é s. (En milliers d' E uros) 31/12/2020 31/12/2019 Immobilisations financières  : Dotations aux dépréciations -2 894 -3 012 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -2 894 -3 012 Reprises de dépréciations 1 775 1 867 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 1 775 1 867 Dotation ou reprise nette aux dépréciations -1 119 -1 145 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -1 119 -1 145 Plus-values de cessions réalisées Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme Moins-values de cessions réalisées -1 366 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -1 366 Pertes sur créances liées à des titres de participation Solde des plus et moins-values de cessions -1 366 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -1 366 Solde en perte ou en bénéfice -2 485 -1 145 Immobilisations corporelles et incorporelles  : Plus-values de cessions 593 136 Moins-values de cessions -78 -1 171 Solde en perte ou en bénéfice 515 -1 035 Résultat net sur actifs immobilises -1 970 -2 180 Note 37. – Charges et produits exceptionnels. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l'exercice 2020. Note 38. – Impôt sur les bénéfices. Cet agrégat comprend la charge relative à l'impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risque fiscaux. La charge fiscale de l'exercice s'élève à 11 154 milliers d'euros. — Intégration fiscale : La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d'impôt résultant de la réallocation de l'économie d'IS liées aux dividendes intragroupe pour 1 078 milliers d'euros. Note 39. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur "banque de proximité en France", toutefois il convient de noter l'activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédit). 39.1. Résultat courant par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 153 218 -98 495 -3 731 50 992 -7 921 43 071 -1 892 41 179 Autres pays de l' U .E. 1 230 -1 822 -67 -659 187 -472 -78 -550 Résultat courant avant impôt 154 448 -100 317 -3 798 50 333 -7 734 42 599 -1 970 40 629 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 148 829 -98 360 -4 677 45 793 -2 188 43 605 -1 768 41 836 Autres pays de l' U .E. 1 703 -1 636 -89 -23 -68 -91 -412 -502 Résultat courant avant impôt 150 532 -99 996 -4 766 45 770 -2 256 43 514 -2 180 41 334 Note 40. – Projet d’affectation des résultats . Résultat de l'exercice à affecter 26 475 145,11 € Distribué 2 260 573,67 € Intérêts aux parts au taux de 1,30% 273 559,43 € Aux Caisses locales 273 556,06 € À S acam mutualisation 0,20 € Aux autres souscripteurs 3,17 € Rémunération des CCA 1 987 014,24 € Conservé 24 214 571,44 € Réserve légale 18 160 928,58 € Autres réserves 6 053 642,86 € Note 41. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs . La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un Etat ou un territoire non coopératif au sens de l'article 238-0 A du Code général des impôts. Note 42. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes. Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée  : (En milliers d'euros hors taxes) Ernst & Young % KPMG % Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels (*) 91 54,6 57 33,9 Services autres que la certification des comptes 5 2,9 15 8,6 Total 96 57,5 72 42,5 (*) y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes. IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels . A I ‘Assemblée Gën4rale de la Caisse régionale de Cr é dit Agricole Mutuel Sud M4diterranëe, Opinion . — En exécution de la mission qui nous a 4t4 confiée par votre assemblée g4n4rale, nous avons effectué l’audit des comptes annuels de la Caisse régionale de Cr é dit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2020, tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice é coul é ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la caisse régionale à la fin de cet exercice. L’opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comit4 d’audit. Fondement de l’opinion : — Référentiel d’audit : Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les ël4ments que nous avons collectes sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels » du présent rapport. — Indépendance  : Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance prévues par le Code de commerce et par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes sur la période du 1e’ janvier 2020 à la date d’omission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014. Justification des appréciations - Points clés de l’audit. — La crise mondiale liée à la pandémie de Covid-1 9 crée des conditions particulières pour la préparation et l’audit des comptes de cet exercice. En effet, cette crise et les mesures exceptionnelles prises dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire induisent de multiples conséquences pour les entreprises, particulièrement sur leur activité et leur financement, ainsi que des incertitudes accrues sur leurs perspectives d’avenir. Certaines de ces mesures, telles que les restrictions de déplacement et le travail à distance, ont également eu une incidence sur l’organisation interne des entreprises et sur les modalités de mise en œuvre des audits. C’est dans ce contexte complexe et évolutif que, en application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives ä la justification de nos appréciations, nous portons a votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d’anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le contexte de l’audit des comptes annuels pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n’exprimons pas d’opinion sur des éléments de ces comptes annuels pris isolément. — Dépréciation des crédits sur une base individuelle : Risque identifié Notre réponse Du fait de son activité, votre caisse régionale est exposée à un risque significatif de crédits sur les marches des entreprises, des professionnels et de l’agriculture. Comme indiqué dans la note 2.1 de l’annexe aux comptes annuels, les créances présentant un risque de crédits avéré donnent lieu ä la comptabilisation d'une d8präciation correspondant à la différence entre la valeur com ptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d’intérêt effectif, en prenant en con sidération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives Economiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la direction est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations des crédits portant sur les marches des entreprises, des professionnels et de l’agriculture comme un point clé de l’audit des comptes annuels en raison de Ieur importance dans le bilan et de Ieur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés actualisés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles présentées dans la note 4.4 de l’annexe aux comptes annuels qui s’élève ä M€ 121,3. Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la direction dans le contexte de la crise sanitaire liée ä la Covid-19 pour Evaluer le montant des dépréciations à co mptabiliser. Nous avons en particulier : mené des entretiens au cours de l’exercice écoulé avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de votre caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer le s dépréciations et d’assurer Ieur correcte co mptabilisation ; testé l’efficacité des contr6les clés mis en œuvre par votre caisse régionale relatifs à ces procédures ; Analysé les hypothèses utilisées par la direction pour l a détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de cr é dit en prenant en compte, le cas échéant, l’impact de la crise sanitaire liée ä la Covid-19 sur ces flux ou les garanties spî2cifiques liées aux plans de soutien ä l’économie ; mis en œuvre des procédures analytiques sur la couverture des encours douteux par marche et par strate d’encours. — Provisions sur encours sains et dégradés  : Risque identifié Notre réponse Comme indiqué dans la note 2.1 de l'annexe aux comptes annuels, votre caisse régionale constate au titre des expositions de crédits au passif de son bilan des provisions pour co uvrir les risques de crédits attendus sur les douze mois ä venir (expositions qualifiées de saines) et/ou sur la durée de vie de l’encours dès Iors q ue la qualité de cr é dit de l’exposition s’est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions reposent sur des estimations qui intègrent des paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut selon des modèles internes de risque de crédit, en tenant compte de données macro- économiques prospectives (Forward booking) appréciées au niveau du groupe Crédit Agricole et au regard de paramètres propres au portefeuille de crédit de votre caisse régionale sur la base d’ éléments conjoncturels et/ou structurels locaux. Le cumul de ces provisions sur les pr ê ts et créances représente 48,3 M€ au 31 décembre 2020 comme détaillé dans la note 14 de l’annexe aux comptes annuels. Nous avons considéré qu’il s’agissait d’un point clé de l’audit des comptes annuels en raison de : l’importance des zones de jugement, en particulier dans le contexte de la crise sanitaire liée ä la Covid-19 en vigueur sur l'exercice et au 31 décembre 2020, entrant dans la détermination des modèles, des risques lits a la qualité des données qui les alimentent et des risques liés à Ieur insertion opérationnelle ; l'importance de ces provisions dans le bilan de votre caisse régionale et du recours ä de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit ä la consommation, etc.), dont par exemple des informations prospectives (Forward Looking central et local). Nos travaux ont consisté à : prendre connaissance, lors d’un examen critique, des conclusions des travaux réalisés ä notre demande par les auditeurs de la consolidation du Groupe Crédit Agricole, avec l’aide de Ieurs experts sur les modèles de dépréciations. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : les principes méthodologiques suivis pour la construction des modèles ; la qualité des données utilisées pour calibrer les paramètres utilisés dans les modèles (probabilité de défaut « PD », perte en cas de défaut « Loss Given D efault » ou « LGD ») en prenant en co mpte notamment le contexte de la crise sanitaire liée à la Covid-19 et les mesures de soutien à l’économie ; la gouvernance des modèles et le changement des paramètres y compris la revue des scenarios et paramètres économiques projetés ainsi que le processus de validation indépendante et les modalités de back-testing central ; la réalisation de tests ciblés sur les fonctions calculatoires de l’outil utilisé pour déterminer les corrections de valeur ; tester, par sondages, la qualité des données des expositions entrant dans le modèle de provisionnement sur la base d’un échantillon de dossiers ; contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des dépréciations et provisions dans l’outil de provisionnement ; apprécier les hypothèses et la documentation fournie par votre caisse régionale sur l'identification de dégradations significatives notamment dans le contexte de la crise sanitaire lire à la Covid-19 pour des portefeuilles d’encours et la justification des paramètres co njoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l’application du Forward booking, ; analyser l’évolution des expositions et des corrections de valeur par catégorie homogène de risque sur l’exercice 2020. examiner les informations données au titre du risque de cr é dit dans l’annexe aux comptes annuels. Vérifications spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires. Nous n’avons pas d’observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d'administration et dans les autres documents sur la situation financière et les comptes annuels adressés aux sociétaires, à l’exception du point ci-dessous. La sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations relatives aux délais de paiement mentionnées à l'article D. 441-6 du Code de commerce appellent de notre part l’observation suivante : comme indiqué dans le rapport de gestion, ces informations n’incluent pas les opérations bancaires et les opérations connexes, votre caisse régionale considérant qu’elles n’entrent pas dans le périmètre des informations ä produire. Autres vérifications ou informations prévues par les textes légaux et réglementaires. — Désignation des commissaires aux comptes : Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre assemblée générale du 27 mars 2008. Au 31 décembre 2020, nos cabinets étaient dans la treizième année de Ieur mission sans interruption. Antérieurement, le cabinet ERNST & YOUNG Audit était commissaire aux comptes depuis 1989. Responsabilités de la direction et des personnes constituant le gouvernement d’entreprise relatives aux comptes annuels. Il appartient à la direction d’établir des comptes annuels présentant une image fidèle conformément aux règles et principes comptables français ainsi que de mettre en place le contr6le interne qu’elle estime nécessaire à l’établissement de comptes annuels ne comportant pas d’anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs. Lors de l’établissement des comptes annuels, il incombe ä la direction d’évaluer la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives ä la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l’efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l’audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d'administration. Responsabilité des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels. — Objectif et démarche d’audit  : Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes annuels. Notre o bj ectif est d’obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels pris dans Ieur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond b un niveau élevé d'assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre ä ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l’article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas ä garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre  : il identifie et évalue les risques que les comptes annuels comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face ä ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contr6le interne ; il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l'audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d'exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes annuels ; il apprécie le caractère approprié de l’application par la direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée ä des événements ou ä des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’ä la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut ä l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes annuels au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; il apprécie la présentation d’ensemble des comptes annuels et évalue si les comptes annuels reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière ä en donner une image fidèle. — Rapport au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d’audit  : Nous remettons au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit un rapport qui présente notamment l’étendue des travaux d’audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives ä l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les Eléments communiqués dans le rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit figurent les risques d’anomalies significatives, que nous jugeons avoir été les plus importants pour l'audit des comptes annuels de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537/2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 a L. 822-14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège et Toulouse, le 10 mars 2021. Les Commissaires aux Comptes : KPMG Audit Département de KPMG S.A. : ERNST & YOUNG et Autres : Pierre SUBREVILLE Frank ASTOUX V. — Rapport de gestion. Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan. B. — Comptes consolid é s au 31 décembre 2020 . Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée en date du 29 janvier 2021 et s oumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 25 mars 2021 Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers I. — Cadre général. Présentation juridique de l’entité . — La Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable. Son siège social est situé à Perpignan, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de Perpignan sous la référence 776179335, code NAF 6419 Z, et fait partie du groupe Crédit Agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après. Un Groupe bancaire d’essence mutualiste . — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 10,9 millions de sociétaires qui élisent quelques 29 271 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie. La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales. Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R. 512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L. 511-31 et article L. 511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole, au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. peut prendre toute mesure nécessaire, notamment pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés. Relations internes au Crédit Agricole  : Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe. — Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en "Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires" et intégré sur la ligne "Prêts et créances sur les établissements de crédit" ou "Dettes envers les établissements de crédit". — Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en "Dettes envers la clientèle". — Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les "avances" (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites "avances miroirs" (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché. Par ailleurs, les Caisses régionales peuvent être refinancées sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine "monétaire" des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques "Opérations internes au Crédit Agricole". — Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en "Dettes représentées par un titre" ou "Dettes subordonnées". — Mécanisme TLTRO III : Une troisième série d’opérations de refinancement de long terme a été décidée en mars 2019 par la BCE dont les modalités ont été revues en septembre 2019 puis en mars et avril 2020 en lien avec la situation COVID-19. Le mécanisme de TLTRO III vise à proposer un refinancement de long terme avec une bonification en cas d’atteinte d’un taux de croissance cible des crédits octroyés aux entreprises et aux ménages, appliquée sur la maturité de 3 ans de l’opération TLTRO à laquelle s’ajoute une sur-bonification rémunérant une incitation supplémentaire et temporaire sur la période d’une année de juin 2020 à juin 2021. Tant que le niveau des encours donnant droit à ces bonifications permet de considérer comme d’ores et déjà acquis les bonifications accordées par la BCE au titre du soutien à l’économie aussi bien tant sur la première année que sur les années suivantes, les intérêts courus calculés avec un taux d’intérêt négatif tiennent compte de cette bonification. L’ensemble des bonifications fait l’objet d’un étalement sur la durée attendue du refinancement à compter de la date de tirage du TLTRO III. Les encours donnant droit à la bonification ont d’ores et déjà cru plus que le niveau requis pour bénéficier des niveaux de bonifications prévues. La sur-bonification au titre de la première année fait l’objet d’un étalement linéaire sur un an à compter de juin 2020. Pour la nouvelle bonification annoncée par la BCE suite à la réunion du 10 décembre 2020 qui porte sur la période de juin 2021 à juin 2022, ces principes resteront appliqués tant qu'il existe une assurance raisonnable que le niveau des encours éligibles permettra de remplir les conditions nécessaires à l’obtention de ces bonifications lors de leur exigibilité vis-à-vis de la BCE. Crédit Agricole S.A. a souscrit à ces emprunts TLTRO III auprès de la BCE. Compte tenu des mécanismes de refinancement interne, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée se refinance auprès de Crédit Agricole S.A. (423 199 milliers d'euros en 2020) et bénéficie ainsi de ces bonifications (1 263 milliers d'euros en 2020). Couverture des risques de liquidité et de solvabilité, et résolution bancaire. — Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier (CMF), Crédit Agricole S.A., en sa qualité d’organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l’ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du CMF ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au réseau Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. Le dispositif européen de résolution des crises bancaires a été adopté au cours de l’année 2014 par la directive (UE) 2014/59 (dite « BRRD »), transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français aux dispositions du Règlement européen 806/2014 du 15 juillet 2014 ayant établi les règles et une procédure uniforme pour la résolution des établissements de crédit dans le cadre d’un mécanisme de résolution unique et d’un Fonds de résolution bancaire unique. La directive (UE) 201 /879 du 20 mai 2019 dite « BRRD2 » est venue modifier la BRRD et a été transposée par Ordonnance 2020-1636 du 21 décembre 2020. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Pour les groupes bancaires coopératifs, c’est la stratégie de résolution de « point d’entrée unique élargi » (« extended SPE ») qui est privilégiée par les autorités de résolution, par laquelle l’outil de résolution serait appliqué simultanément au niveau de Crédit Agricole S.A. et des entités affiliées. A ce titre et dans l’hypothèse d’une mise en résolution du groupe Crédit Agricole, c’est le périmètre composé de Crédit Agricole S.A. (en sa qualité d’organe central) et des entités affiliées qui serait considéré dans son ensemble comme le point d’entrée unique élargi. Compte tenu de ce qui précède et des mécanismes de solidarité existant au sein du réseau, un membre du réseau Crédit Agricole ne peut pas être mis en résolution de manière individuelle. Les autorités de résolution peuvent ouvrir une procédure de résolution à l’encontre d’un établissement de crédit lorsqu’elle considère que : la défaillance de l’établissement est avérée ou prévisible, il n’existe aucune perspective raisonnable qu’une autre mesure de nature privée empêche la défaillance dans des délais raisonnables, une mesure de résolution est nécessaire et une procédure de liquidation serait insuffisante pour atteindre les objectifs recherchés de la résolution ci-dessus rappelés. Les autorités de résolution peuvent utiliser un ou plusieurs instruments de résolution, tels que décrits ci-dessous avec pour objectif de recapitaliser ou restaurer la viabilité de l’établissement. Les instruments de résolution devraient être mis en œuvre de telle manière à ce que les porteurs de titres de capital (actions, parts sociales, CCI, CCA) supportent en premier les pertes, puis les autres créanciers sous réserve qu’ils ne soient pas exclus du renflouement interne par la réglementation ou sur décision des autorités de résolution. La loi française prévoit également une mesure de protection lorsque certains instruments ou mesures de résolution sont mis en œuvre, tel le principe selon lequel les porteurs de titres de capital et les créanciers d’un établissement en résolution ne peuvent pas supporter des pertes plus lourdes que celles qu’ils auraient subies si l’établissement avait été liquidé dans le cadre d’une procédure de liquidation judiciaire régie par le code de commerce (principe NCWOL visé à l’article L. 613-57.I du CMF). Ainsi, les investisseurs ont le droit de réclamer des indemnités si le traitement qu’ils subissent en résolution est moins favorable que le traitement qu’ils auraient subi si l’établissement avait fait l’objet d’une procédure normale d’insolvabilité. Dans l’hypothèse où les autorités de résolution décideraient d’une mise en résolution sur le groupe Crédit Agricole, elles procèderaient au préalable à la réduction de la valeur nominale des instruments de Fonds propres du compartiment CET1 (actions, parts sociales, CCI et CCA), instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2, afin d’absorber les pertes puis éventuellement à la conversion en titres de capital des instruments de Fonds propres additionnels de catégorie 1 et instruments de Fonds propres de catégorie 2 [1]. Ensuite, si les autorités de résolution décidaient d’utiliser l’outil de résolution qu’est le renflouement interne, elles pourraient mettre en œuvre cet outil de renflouement interne sur les instruments de dette [2], c’est-à-dire décider de leur dépréciation totale ou partielle ou de leur conversion en capital afin également d’absorber les pertes. Les autorités de résolution pourraient décider de mettre en œuvre de façon coordonnée, à l’égard de l’organe central et de l’ensemble des entités affiliées, des mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant de renflouement interne. Dans ce cas, ces mesures de réduction de valeur ou de conversion et le cas échéant ces mesures de renflouement interne s’appliqueraient à toutes les entités du réseau du Crédit Agricole et ce, quelle que soit l’entité considérée et quelle que soit l’origine des pertes. La hiérarchie des créanciers en résolution est définie par les dispositions de l’article L 613-55-5 du CMF en vigueur à la date de mise en œuvre de la résolution. Les détenteurs de titres de capital et les créanciers de même rang ou jouissant de droits identiques en liquidation seraient alors traités de manière égale quelle que soit l’entité du Groupe dont ils sont créanciers. L’étendue de ce renflouement interne, qui vise aussi à recapitaliser le groupe Crédit Agricole, s’appuie sur les besoins de fonds propres au niveau consolidé. L’investisseur doit donc être conscient qu’il existe donc un risque significatif pour les porteurs d’actions, de parts sociales, CCI et CCA et les titulaires d’instruments de dette d’un membre du réseau de perdre tout ou partie de leur investissement en cas de mise en œuvre d’une procédure de résolution bancaire sur le Groupe quelle que soit l’entité dont il est créancier. Les autres outils de résolution bancaire dont disposent les autorités de résolution sont pour l’essentiel la cession totale ou partielle des activités de l’établissement à un tiers ou à un établissement relais et la séparation des actifs de cet établissement. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du CMF, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution. L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités du réseau, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch). — Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 complété par un premier avenant signé le 19 décembre 2013 et amendé par deux avenants en 2016 respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3), s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les derniers amendements de ces garanties ont pris effet rétroactivement le 1er juillet 2016, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée totale ou partielle ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat. Une première résiliation partielle correspondant à 35 % du dispositif des garanties Switch a eu lieu le 2 mars 2020. A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant. Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant aux participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), celles-ci étant mises en équivalence pour les besoins prudentiels : on parle des garanties Switch Assurance. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales. La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. Ainsi les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement, en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, pourrait restituer les indemnisations préalablement perçues. Sur le plan prudentiel : Crédit Agricole S.A. réduit ses exigences de fonds propres à proportion du montant de la garantie accordée par les Caisses régionales ; Les Caisses régionales constatent symétriquement des exigences de fonds propres égales à celles économisées par Crédit Agricole S.A. Ce dispositif, qui est neutre au niveau du groupe Crédit Agricole, permet de rééquilibrer l’allocation en fonds propres entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales. Sur le plan comptable : Les garanties s’analysent en substance comme des contrats d’assurance du fait de l’existence d’un risque d’assurance au sens de la norme IFRS 4. La norme IFRS 4 permet à l’émetteur d’un contrat d’assurance, de recourir aux principes comptables déjà appliqués pour des garanties données similaires, sous réserve d’effectuer un test de suffisance du passif selon les modalités visées par le paragraphe 14(b) de la norme. Par conséquent, le traitement comptable des garanties est assimilable à celui d’une garantie donnée à première demande et leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. Dans le cas où il existerait des perspectives de perte nette à l'échéance après prise en compte d’hypothèses raisonnables de retour à meilleure fortune, une provision serait à doter, en Coût du risque, conformément aux exigences du test de suffisance du passif. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seraient respectivement reconnus en Coût du risque. Il convient de noter que l’activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s’apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Equivalence des participations détenues dans Crédit Agricole Assurances. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d’estimer s’il existe un risque d’indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n’étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l’activation des garanties sous forme d’appel ou de retour à meilleure fortune. Informations relatives aux parties liées . — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2020 et aux dirigeants dont la rémunération est précisée au paragraphe 7.6. Le périmètre consolidé est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée, de 100% des parts des Sociétés Techniques de Titrisation et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales. » Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 milliers d’euros, les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 625 milliers d’euros et les titres négociables à moyen terme à 15 645 milliers d’euros. II. — Etats financiers consolidés . I. — Compte de résultat . (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2020 31/12/2019 Intérêts et produits assimilés 4.1 149 797 154 229 Intérêts et charges assimilées 4.1 -69 468 -77 773 Commissions (produits) 4.2 78 635 74 398 Commissions (charges) 4.2 -22 128 -19 162 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat 4.3 -1 041 -1 562 Gains ou pertes nets sur actifs/passifs de transaction 2 -12 Gains ou pertes nets sur autres actifs/passifs à la juste valeur par résultat -1 043 -1 550 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 4.4 3 573 18 168 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 3 573 18 168 Gains ou pertes nets résultant de la décomptabilisation d'actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers au coût amorti en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ Produits des autres activités 4.5 746 1 633 Charges des autres activités 4.5 -1 437 -1 351 Produit net bancaire 138 677 148 580 Charges générales d'exploitation 4.6 -98 806 -99 997 Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4.7 -4 317 -4 715 Résultat brut d'exploitation 35 554 43 868 Coût du risque 4.8 -8 529 -1 472 Résultat d'exploitation 27 025 42 396 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs 4.9 546 -643 Variations de valeur des écarts d'acquisition ‐ ‐ Résultat avant impôt 27 571 41 753 Impôts sur les bénéfices 4.10 -7 467 -10 416 Résultat net d'impôts des activités abandonnées ‐ ‐ Résultat net 20 104 31 337 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Résultat net part du Groupe 20 104 31 337 2. — Résultat net et gains et pertes comptabilis é s directement en ca pitaux propres . (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2020 31/12/2019 Résultat net 20 104 31 337 Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi 4.11 -375 -747 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (1) 4.11 -31 202 27 726 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 -31 577 26 979 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 1 484 -758 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 4.11 -30 093 26 221 Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 4.11 252 248 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 252 248 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 -65 -64 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 4.11 187 184 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 4.11 -29 906 26 405 Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres -9 802 57 742 Dont part du Groupe -9 802 57 742 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ (1) Montant du transfert en réserves d'éléments non recyclables 4.11 1 202 ‐ 3. — Bilan. (En milliers d'Euros.) Actif Notes 31/12/2020 31/12/2019 Caisse, banques centrales 6.1 39 328 46 807 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 139 939 99 272 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 669 369 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 139 270 98 903 Instruments dérivés de couverture 3.1-3.2-3.4 36 259 51 769 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 6.4 565 655 611 466 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 565 655 611 466 Actifs financiers au coût amorti 3.3-6.5-6.6 6 597 008 5 831 973 Prêts et créances sur les établissements de crédit 641 788 402 981 Prêts et créances sur la clientèle 5 787 778 5 252 082 Titres de dettes 167 442 176 910 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 93 902 77 052 Actifs d'impôts courants et différés 6.10 20 859 15 471 Comptes de régularisation et actifs divers 6.11 198 785 183 173 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Participation aux bénéfices différée ‐ ‐ Participation dans les entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Immeubles de placement 6.12 4 263 4 042 Immobilisations corporelles 6.13 27 793 27 132 Immobilisations incorporelles 6.13 17 34 Ecarts d'acquisition ‐ ‐ Total de l'Actif 7 723 808 6 948 191 Passif Notes 31/12/2020 31/12/2019 Banques centrales ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 756 466 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 756 466 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 3.1-3.2-3.4 149 903 131 901 Passifs financiers au coût amorti 6 418 360 5 652 020 Dettes envers les établissements de crédit 3.3-6.8 3 519 817 3 195 459 Dettes envers la clientèle 3.1-3.3-6.8 2 721 031 2 285 948 Dettes représentées par un titre 3.3-6.8 177 512 170 613 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 22 268 34 726 Passifs d'impôts courants et différés 6.10 537 3 947 Comptes de régularisation et passifs divers 6.11 124 405 108 313 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Provisions techniques des contrats d'assurance ‐ ‐ Provisions 6.14 22 005 21 721 Dettes subordonnées ‐ ‐ Total dettes 6 738 234 5 953 094 Capitaux propres 985 574 995 097 Capitaux propres part du Groupe 985 574 995 097 Capital et réserves liées 169 482 165 151 Réserves consolidées 709 576 682 291 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 86 412 116 318 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur activités abandonnées ‐ ‐ Résultat de l'exercice 20 104 31 337 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Total du passif 7 723 808 6 948 191 4. — Tableau de variation des capitaux propre s . (En milliers d'Euros) Part du Groupe Participations ne donnant pas le contrôle Capital et réserves liées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net Capitaux propres Capital, réserves liées et résultat Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres Capitaux propres consolidés Capital Primes et réserves consolidées liées au capital (1) Elimination des titres autodétenus Autres instruments de capitaux propres Total Capital et réserves consolidées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres au 1er janvier 2019 Publié 33 308 814 565 ‐ ‐ 847 873 -733 90 646 89 913 ‐ 937 786 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 937 786 Impacts nouvelles normes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2019 33 308 814 565 ‐ ‐ 847 873 -733 90 646 89 913 ‐ 937 786 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 937 786 Augmentation de capital 2 218 ‐ ‐ ‐ 2 218 ‐ ‐ ‐ ‐ 2 218 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 218 Variation des titres autodétenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions / remboursements d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2019 ‐ -2 641 ‐ ‐ -2 641 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 641 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 641 Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 8 ‐ ‐ 8 ‐ ‐ ‐ ‐ 8 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 8 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 2 218 -2 633 ‐ ‐ -415 ‐ ‐ ‐ ‐ -415 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -415 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 184 26 221 26 405 ‐ 26 405 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 26 405 Dont gains et pertes sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont gains et pertes sur variation du risque de crédit propre transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2019 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 31 337 31 337 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 31 337 Autres variations ‐ -16 ‐ ‐ -16 ‐ ‐ ‐ ‐ -16 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -16 Capitaux propres au 31 décembre 2019 35 526 811 916 ‐ ‐ 847 442 -549 116 867 116 318 31 337 995 097 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 995 097 Affectation du résultat 2019 ‐ 31 337 ‐ ‐ 31 337 ‐ ‐ ‐ -31 337 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2020 35 526 843 253 ‐ ‐ 878 779 -549 116 867 116 318 ‐ 995 097 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 995 097 Impacts nouvelles normes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2020 retraité 35 526 843 253 ‐ ‐ 878 779 -549 116 867 116 318 ‐ 995 097 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 995 097 Augmentation de capital 4 331 ‐ ‐ ‐ 4 331 ‐ ‐ ‐ ‐ 4 331 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 4 331 Variation des titres autodétenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions / remboursements d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2020 ‐ -2 732 ‐ ‐ -2 732 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 732 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 732 Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 210 ‐ ‐ 210 ‐ ‐ ‐ ‐ 210 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 210 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 4 331 -2 522 ‐ ‐ 1 809 ‐ ‐ ‐ ‐ 1 809 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 809 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ -1 202 ‐ ‐ -1 202 187 -30 093 -29 906 ‐ -31 108 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -31 108 Dont gains et pertes sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables transférés en réserves ‐ -1 202 ‐ ‐ -1 202 ‐ 1 202 1 202 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont gains et pertes sur variation du risque de crédit propre transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2020 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 20 104 20 104 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 20 104 Autres variations ‐ -328 ‐ ‐ -328 ‐ ‐ ‐ ‐ -328 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -328 Capitaux propres au 31 décembre 2020 39 857 839 201 ‐ ‐ 879 058 -362 86 774 86 412 20 104 985 574 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 985 574 (1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'autocontrôle. 5. — Tableau des flux de trésorerie. Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte. Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale du Crédit Agricole de Sud-Méditerranée. Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles. Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans les rubriques "Juste valeur par résultat" ou "Juste valeur par capitaux propres non recyclables" sont compris dans cette rubrique. Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme. La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit. (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2020 31/12/2019 Résultat avant impôt 27 571 41 753 Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4 056 4 715 Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations ‐ ‐ Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions 6 178 -2 138 Quote-part de résultat liée aux entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Résultat net des activités d'investissement -546 643 Résultat net des activités de financement 48 19 Autres mouvements 520 3 160 Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôt et des autres ajustements 10 256 6 399 Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit 347 259 251 509 Flux liés aux opérations avec la clientèle -104 020 -183 442 Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers -33 601 16 773 Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers 546 -50 753 Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts versés -14 802 -11 499 Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles 195 382 22 588 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A) 233 209 70 740 Flux liés aux participations (1) 14 362 -2 766 Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles -3 339 -3 544 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissement (B) 11 023 -6 310 Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2) 1 599 -423 Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (3) 8 200 -1 591 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement (C) 9 799 -2 014 Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D) ‐ ‐ Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D) 254 031 62 416 Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture 240 179 177 763 Solde net des comptes de caisse et banques centrales * 46 807 44 341 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit ** 193 372 133 422 Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture 494 211 240 179 Solde net des comptes de caisse et banques centrales * 39 328 46 807 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit ** 454 883 193 372 Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie 254 032 62 416 (*) Composé du solde net du poste "Caisse, banques centrales", hors intérêts courus et y compris trésorerie des entités reclassées en activités abandonnées. (**) Composé du solde des postes "Comptes ordinaires débiteurs non douteux" et "Comptes et prêts au jour le jour non douteux" tels que détaillés en note 6.5 et des postes "Comptes ordinaires créditeurs" et "Comptes et emprunts au jour le jour" tels que détaillés en note 6.8 (hors intérêts courus) ; (1) Flux liés aux participations : Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période". Au cours de l’année 2020 , l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de l’entité s’élève à 508 milliers d’euros, portant l’acquisition de titres Sacam Immobilier pour 714 milliers d’euros (dont 206 milliers d’euros restant à verser). (2) Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires : il comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse régionale de Crédit Agricole de Sud-Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 732 milliers d’euros pour l’année 2020 . (3) Autres flux nets de trésorerie provenant des flux liés aux opérations de financement : Au 31 décembre, les émissions de dettes obligataires s’élèvent à 9,5 millions d’euros. Ce poste recense également les flux liés aux versements d’intérêts sur les dettes subordonnées et obligataires. III. — Notes annexes aux états financiers . 1. – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés. 1.1. Normes applicables et comparabilité . — En application du règlement CE n°1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2020 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out ), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture. Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/company-reporting-and-auditing/company-reporting/financial-reporting_en Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2019 . Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2020 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2020 . Celles-ci portent sur : Normes, Amendements ou Interprétations Applicable dans le Groupe Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du Amendement aux références au Cadre Conceptuel dans les normes IFRS Oui 1er janvier 2020 IAS 1/IAS 8 Présentation des états financiers Définition de la matérialité Oui 1er janvier 2020 Amendement à IFRS 9, IAS 39 et IFRS 7 Instruments financiers Réforme des taux d'intérêt de référence – Phase 1 Oui 1er janvier 2020 (1) Amendement à IFRS 3 Regroupements d’entreprises Définition d’une activité Oui 1er janvier 2020 Amendement à IFRS 16 Contrats de location Concessions de loyers liées à la COVID-19 Oui 1er juin 2020 (1) Le Groupe a décidé d'appliquer de manière anticipée l'amendement à IFRS 9, IAS 39 et IFRS 7 Instruments financiers sur la réforme des taux d’intérêt de référence à compter du 1er janvier 2019. Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier : Normes, Amendements ou Interprétations Applicable dans le Groupe Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du Amendement à IFRS 9, IAS 39, IFRS 7, IFRS 4 et IFRS 16 Réforme des taux d'intérêt de référence – Phase 2 Oui 1er janvier 2021 (1) Amendement à IFRS 4 Report facultatif de l’application de la norme IFRS 9 pour les entités qui exercent principalement des activités d’assurance, y compris les entités du secteur de l’assurance appartenant à un conglomérat financier au 1er janvier 2023 Non 1er janvier 2021 (1) Le Groupe a décidé d'appliquer de manière anticipée l'amendement à IFRS 9, IAS 39, IFRS 7, IFRS 4 et IFRS 16 sur la réforme des taux d’intérêt de référence – Phase 2 à compter du 1er janvier 2020 Réformes des indices de référence . — Les réformes des indices de référence, souvent appelées « réformes des IBOR », sont entrées dans une nouvelle phase avec le développement très progressif de l’utilisation des indices de taux sans risque (RFR : Risk Free Rates) dans les nouveaux contrats. La situation reste hétérogène selon les devises et les classes d’actifs. A ce stade, une progression plus importante des volumes de transactions a été observée sur les marchés des dérivés et tout particulièrement avec l’utilisation du SONIA. A l’inverse, la liquidité sur les marchés €STR est moins développée. Pour une majeure partie des contrats existants référençant des indices de taux qui doivent être remplacés, il est maintenant considéré que les taux de remplacement seront la combinaison de taux à terme (pré-determiné ou post-déterminé) calculés à partir des RFR et d’un spread d’ajustement, ce dernier visant à assurer une équivalence économique avec l’indice remplacé. Malgré cette orientation forte, à ce stade, l’adoption des RFR et le nombre limité de contrats renégociés pour mettre à jour des clauses de fallback ou pour remplacer pro-activement le taux de référence traduisent des niveaux hétérogènes de maturité dans la définition détaillée des modalités de transition - y compris des conventions- selon les devises et classes d’actifs. Les développements des systèmes d’information, dépendant des définitions précises des taux de remplacement cibles pour être finalisés, sont toujours en cours. Le secteur privé reste en première ligne de ces transitions, toutefois des annonces récentes laissent entrevoir une possible intervention des autorités visant à supporter les transitions pour des périmètres de contrats qui ne pourraient pas être renégociés à temps, qu’il s’agisse de remplacer le taux de référence par anticipation de la disparition d’indices ou d’insérer des clauses de fallback robustes qui permettent une transition à la disparition d’indices. Néanmoins, en l’absence d’une définition ex-ante de périmètres de contrats qui pourraient bénéficier d’un tel support, la préparation des plans de transition se poursuit. De surcroît, les transitions proactives par anticipation restent vivement encouragées par certaines autorités, telles que l’autorité britannique (FCA : Financial Conduct Authority). Spécifiquement pour le périmètre des contrats dérivés et par extension aux contrats de Repo et prêts / emprunts de titres, l’ISDA a finalisé la mise en œuvre d’un protocole qui permettra d’intégrer automatiquement au contrat les nouvelles clauses de fallback. Ce protocole est de nature à simplifier la transition des contrats dérivés entre les parties qui y auront adhéré. Pour les autres instruments non dérivés, un tel dispositif n’existe pas et de nombreuses renégociations bilatérales seront nécessaires. Au travers du projet Benchmarks, le Crédit Agricole continue à piloter les transitions des indices de référence en intégrant les préconisations des groupes de travail nationaux et les jalons définis par les autorités, en premier lieu par la FCA. Ainsi, le projet vise à s’inscrire dans les standards définis par les travaux de place. Le calendrier du projet de transition s’articule autour des phases d’adoption et d’offres de taux alternatifs et des dates d’arrêt formel de l’utilisation des indices dont la disparition est annoncée. Les plans de transition finalisés par entité du groupe Crédit Agricole, intégrant les dernières conclusions des groupes de travail et associations de marché et le cas échéant les précisions relatives aux possibles interventions des autorités, seront activés courant 2021. S’agissant de la transition de l’EONIA vers l’€STR (transition au plus tard le 3 janvier 2022), les travaux sont initiés. Les chambres de compensation ont basculé la rémunération du collatéral de l’EONIA vers l’€STR. Les flux référençant l’€STR n’augmentent que très progressivement. Par ailleurs, l’EURIBOR -comme tout indice de référence- est susceptible de voir sa méthodologie évoluer ou d’être à terme remplacé. Toutefois, le scénario de remplacement à court terme de l’EURIBOR, suivant un calendrier qui serait similaire à celui des transitions LIBOR, n’est pas envisagé à ce stade. En l’état, la liste des principaux indices de référence à l’échelle du groupe Crédit Agricole et/ou définis comme critiques par l’ESMA qui sont concernés par une transition certaine ou potentielle reste inchangée : L’EONIA qui disparaitra le 3 janvier 2022 ; Les LIBOR (USD, GBP, CHF, JPY et EUR) dont la cessation pourrait se produire fin 2021 mais n’est pas encore annoncée officiellement ; L’EURIBOR, WIBOR, STIBOR, dont la disparition est possible mais n’est pas anticipée à court terme. L’EURIBOR, les LIBOR (notamment USD) et l’EONIA représentent -par ordre décroissant- les expositions les plus importantes du Groupe aux indices de référence. Outre la préparation des transitions anticipées et à minima la mise en conformité avec la BMR, les travaux du projet visent également à identifier et gérer les risques inhérents aux transitions des indices de référence, notamment sur les volets financiers, opérationnels et protection des clients. Afin que les relations de couvertures comptables affectées par cette réforme des taux d’intérêt de référence puissent se poursuivre malgré les incertitudes sur le calendrier et les modalités de transition entre les indices actuels et les nouveaux indices, l’IASB a publié des amendements à IAS 39, IFRS 9 et IFRS 7 en septembre 2019 qui ont été adoptés par l’Union européenne le 15 janvier 2020. Le Groupe appliquera ces amendements tant que les incertitudes sur le devenir des indices auront des conséquences sur les montants et les échéances des flux d’intérêt et considère, à ce titre, que tous ses contrats de couverture, principalement ceux liés à l’EONIA, l’EURIBOR et les taux LIBOR (USD, GBP, CHF, JPY), peuvent en bénéficier au 31 décembre 2020 . Au 31 décembre 2020 , le recensement des instruments de couverture impactés par la réforme et sur lesquels subsistent des incertitudes fait apparaitre un montant nominal de 2 035 milliards d’euros. L’incidence de la mise en œuvre de cette réforme n’est pas significative dans les comptes de la Caisse Régionale. D’autres amendements, publiés par l’IASB en août 2020, complètent ceux publiés en 2019 et se concentrent sur les conséquences comptables du remplacement des anciens taux d'intérêt de référence par d’autres taux de référence à la suite des réformes. Ces modifications, dites « Phase 2 », concernent principalement les modifications des flux de trésorerie contractuels. Elles permettent aux entités de ne pas décomptabiliser ou ajuster la valeur comptable des instruments financiers pour tenir compte des changements requis par la réforme, mais plutôt de mettre à jour le taux d'intérêt effectif pour refléter le changement du taux de référence alternatif. En ce qui concerne la comptabilité de couverture, les entités n'auront pas à déqualifier leurs relations de couverture lorsqu'elles procèdent aux changements requis par la réforme. Le Groupe a décidé d’appliquer ces amendements par anticipation à compter du 1er janvier 2020. Au 31/12/ 2020 , la ventilation par indice de référence significatif des instruments basés sur les anciens taux de référence et qui doivent transiter vers les nouveaux taux avant leur maturité est la suivante : (En milliers d'Euros) EONIA EURIBOR LIBOR USD LIBOR GBP LIBOR JPY LIBOR CHF LIBOR EUR WIBOR STIBOR Total des actifs financiers hors dérivés 100 392 467 492 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers hors dérivés ‐ 1 668 034 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des notionnels des dérivés 251 790 1 827 306 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ S’agissant des expositions portant sur l’indice EONIA, les encours reportés sont ceux dont la date d’échéance est ultérieure au 3 janvier 2022, date de transition. S’agissant des instruments financiers non dérivés, les expositions correspondent aux nominaux des titres et au capital restant dû des instruments amortissables Durée des contrats de location IFRS 16 - Décision de l’IFRS IC du 26 novembre 2019. L’IFRS IC a été saisi lors du premier semestre 2019 d’une question relative à la détermination de la durée exécutoire pour la comptabilisation des contrats de location sous IFRS 16, notamment pour deux types de contrats de location : Les contrats de location sans échéance contractuelle, résiliables par chacune des parties sous réserve d’un préavis ; Les contrats renouvelables par tacite reconduction (sauf résiliation par l’une des parties), et sans aucune pénalité contractuelle due en cas de résiliation. Lors de sa réunion du 26 novembre 2019, l’IFRS IC a rappelé qu’en application d’IFRS 16 et de manière générale, un contrat de location n'est plus exécutoire lorsque le preneur et le bailleur ont chacun le droit de le résilier sans la permission de l'autre partie et en s'exposant tout au plus à une pénalité négligeable, et a clarifié que pour déterminer la durée exécutoire, tous les aspects économiques du contrat doivent être pris en compte et que la notion de pénalité s’entend au-delà des indemnités de résiliation contractuelles et inclut toute incitation économique à ne pas résilier le contrat. Cette décision constitue un changement de méthode dans les approches retenues par le Groupe dans la détermination de la durée des contrats de location, et va au ‐ del à des cas particuliers sur lesquels l ’ IFRS IC a é t é interrog é , comme rappel é par l ’ AMF dans ses recommandations au 31 d é cembre 2019. En effet, la détermination de la durée du contrat à retenir pour l'évaluation du droit d'utilisation et de la dette de loyers s’effectue en application d’IFRS 16 au sein de cette période exécutoire. Dès la publication de cette décision définitive de l’IFRS IC, le groupe Crédit Agricole a établi un projet intégrant les fonctions comptables, finances, risques et informatiques afin de se mettre en conformité pour la clôture du 31 décembre 2020 . Le Groupe a retenu une durée correspondant à la première option de sortie post 5 ans, comme étant la durée raisonnablement certaine d’un bail. Cette durée, à l’initiation des baux commerciaux français sera appliquée dans la majeure partie des cas. La principale exception sera le cas d’un bail dans lequel le Groupe a renoncé à ses options de sorties triennales intermédiaires (par exemple en contrepartie d’une réduction de loyers) ; dans ce cas, la durée du bail restera sur 9 ans. L’incidence de la mise en œuvre de la décision de l’IFRS IC n’est pas significative dans les comptes de la Caisse Régionale. Normes et interprétations non encore adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2020. — Les normes et interprétations publiées par l’IASB au 31 décembre 2020 mais non encore adoptées par l’Union européenne ne sont pas applicables par le Groupe. Elles n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de la date prévue par l’Union européenne et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2020 . Cela concerne en particulier la norme IFRS 17. La norme IFRS 17 Contrats d’assurance publiée en mai 2017 remplacera la norme IFRS 4. Elle sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2023 sous réserve de son adoption par l’Union européenne. La norme IFRS 17 définit de nouveaux principes en matière de valorisation, de comptabilisation des passifs des contrats d’assurance et d’appréciation de leur profitabilité, ainsi qu’en matière de présentation. De 2017 à 2019, un cadrage du projet de mise en œuvre a été réalisé afin d’identifier les enjeux et les impacts de la norme pour les filiales assurance du Groupe. Les travaux d’analyse et de préparation de mise en œuvre se sont poursuivis en 2020 . 1.2. Principes et méthodes comptables . — Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers. De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur. Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés nationaux et internationaux ; les fluctuations des taux d’intérêt et de change ; la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ; les modifications de la réglementation ou de la législation. Cette liste n’est pas exhaustive. Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes : les instruments financiers évalués à la juste valeur ; les participations non consolidées ; les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ; les plans de stock-options ; les dépréciations d’instruments de dette au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables ; les provisions ; les dépréciations des écarts d’acquisition ; les actifs d’impôts différés ; la valorisation des entreprises mises en équivalence ; Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après. Instruments financiers (IFRS 9, IAS 32 et 39) : — Définitions : La norme IAS 32 définit un instrument financier comme tout contrat qui donne lieu à un actif financier d’une entité et à un passif financier ou à un instrument de capitaux propres d’une autre entité , c'est-à-dire tout contrat représentant les droits ou obligations contractuels de recevoir ou de payer des liquidités ou d'autres actifs financiers. Les instruments dérivés sont des actifs ou passifs financiers dont la valeur évolue en fonction de celle d’un sous-jacent, qui requièrent un investissement initial faible ou nul, et dont le règlement intervient à une date future. Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IFRS 9 telle qu’adoptée par l’Union européenne y compris pour les actifs financiers détenus par les entités d’assurance du Groupe. La norme IFRS 9 définit les principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture. Il est toutefois précisé que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée utilise l’option de ne pas appliquer le modèle général de couverture d’IFRS 9. L’ensemble des relations de couverture reste en conséquence dans le champ d’IAS 39 en attendant les futures dispositions relatives à la macro-couverture. Conventions d’évaluation des actifs et passifs financiers : — Evaluation initiale : Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. La juste valeur telle que définie par IFRS 13 correspond au prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. — Evaluation ultérieure : Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classement soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE) pour les instruments de dette, soit à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. Les instruments dérivés sont toujours évalués à leur juste valeur. Le coût amorti correspond au montant auquel est évalué l’actif financier ou le passif financier lors de sa comptabilisation initiale, en intégrant les coûts de transaction directement attribuables à leur acquisition ou à leur émission, diminué des remboursements en principal, majoré ou diminué de l’amortissement cumulé calculé par la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE) de toute différence (décote ou prime) entre le montant initial et le montant à l’échéance. Dans le cas d’un actif financier au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, le montant peut être ajusté si nécessaire au titre de la correction pour pertes de valeur (cf. paragraphe "Provisionnement pour risque de crédit"). Le taux d’intérêt effectif (TIE) est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs prévus sur la durée de vie attendue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier. Actifs financiers : — Classement et évaluation des actifs financiers : Les actifs financiers non dérivés (instruments de dette ou de capitaux propres) sont classés au bilan dans des catégories comptables qui déterminent leur traitement comptable et leur mode d’évaluation ultérieur. Les critères de classement et d’évaluation des actifs financiers dépendent de la nature de l’actif financier, selon qu’il est qualifié : d’instruments de dette (par exemple des prêts et titres à revenu fixe ou déterminable) ; ou d’instruments de capitaux propres (par exemple des actions). Ces actifs financiers sont classés dans l’une des trois catégories suivantes : actifs financiers à la juste valeur par résultat ; actifs financiers au coût amorti (instruments de dette uniquement) ; actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres (recyclables pour les instruments de dette, non recyclables pour les instruments de capitaux propres). — Instruments de dette : Le classement et l’évaluation d’un instrument de dette dépendent de deux critères réunis : le modèle de gestion défini au niveau portefeuille et l’analyse des caractéristiques contractuelles déterminée par instrument de dette sauf utilisation de l'option à la juste valeur. Les trois modèles de gestion : Le modèle de gestion est représentatif de la stratégie que suit le management de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée pour la gestion de ses actifs financiers, dans l’atteinte de ses objectifs. Le modèle de gestion est spécifié pour un portefeuille d’actifs et ne constitue pas une intention au cas par cas pour un actif financier isolé. On distingue trois modèles de gestion : Le modèle collecte dont l’objectif est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie des actifs ; ce modèle n’implique pas systématiquement de détenir la totalité des actifs jusqu’à leur échéance contractuelle ; toutefois, les ventes d’actifs sont strictement encadrées ; Le modèle collecte et vente dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie sur la durée de vie et de céder les actifs ; dans ce modèle, la vente d’actifs financiers et la perception de flux de trésorerie sont toutes les deux essentielles ; et Le modèle autre / vente dont l’objectif principal est de céder les actifs. Il concerne notamment les portefeuilles dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie via les cessions, les portefeuilles dont la performance est appréciée sur la base de sa juste valeur, les portefeuilles d’actifs financiers détenus à des fins de transaction. Lorsque la stratégie que suit le management pour la gestion d’actifs financiers ne correspond ni au modèle collecte, ni au modèle collecte et vente, ces actifs financiers sont classés dans un portefeuille dont le modèle de gestion est autre / vente. Les caractéristiques contractuelles (test " Solely Payments of Principal & Interests " ou test "SPPI") : Le test "SPPI" regroupe un ensemble de critères, examinés cumulativement, permettant d’établir si les flux de trésorerie contractuels respectent les caractéristiques d’un financement simple (remboursements de nominal et versements d’intérêts sur le nominal restant dû). Le test est satisfait lorsque le financement donne droit seulement au remboursement du principal et lorsque le versement des intérêts perçus reflète la valeur temps de l'argent, le risque de crédit associé à l'instrument, les autres coûts et risques d'un contrat de prêt classique ainsi qu’une marge raisonnable, que le taux d’intérêt soit fixe ou variable. Dans un financement simple, l’intérêt représente le coût du passage du temps, le prix du risque de crédit et de liquidité sur la période, et d’autres composantes liées au coût du portage de l’actif (ex : coûts administratifs…). Dans certains cas, cette analyse qualitative ne permettant pas de conclure, une analyse quantitative (ou Benchmark test) est effectuée. Cette analyse complémentaire consiste à comparer les flux de trésorerie contractuels de l’actif étudié et les flux de trésorerie d’un actif de référence. Si la différence entre les flux de trésorerie de l’actif financier et celui de référence est jugée non significative, l’actif est considéré comme un financement simple. Par ailleurs, une analyse spécifique sera menée dans le cas où l’actif financier est émis par des entités ad hoc établissant un ordre de priorité de paiement entre les porteurs des actifs financiers en liant de multiples instruments entre eux par contrat et créant des concentrations de risque de crédit (des "tranches"). Chaque tranche se voit attribuer un rang de subordination qui précise l’ordre de distribution des flux de trésorerie générés par l’entité structurée. Dans ce cas, le test "SPPI" nécessite une analyse des caractéristiques des flux de trésorerie contractuels de l’actif concerné et des actifs sous-jacents selon l’approche " look-through " et du risque de crédit supporté par les tranches souscrites comparé au risque de crédit des actifs sous-jacents. Le mode de comptabilisation des instruments de dette résultant de la qualification du modèle de gestion couplée au test "SPPI" peut être présenté sous la forme du diagramme ci-après : Instruments de dette Modèles de gestion Collecte Collecte et vente Autre / Vente Test SPPI Satisfait Coût amorti Juste valeur par capitaux propres recyclables Juste valeur par résultat (Test SPPI N/A) Non satisfait Juste valeur par résultat Juste valeur par résultat — Instruments de dette au coût amorti : Les instruments de dette sont évalués au coût amorti s’ils sont éligibles au modèle collecte et s’ils respectent le test "SPPI". Ils sont enregistrés à la date de règlement-livraison et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes et des frais de transaction des prêts et créances, et des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Cette catégorie d’actifs financiers fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique "Provisionnement pour risque de crédit". — Instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables : Les instruments de dette sont évalués à la juste valeur par capitaux propres recyclables s’ils sont éligibles au modèle collecte et vente et s’ils respectent le test "SPPI". Ils sont enregistrés à la date de négociation et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Ces actifs financiers sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables en contrepartie du compte d’encours (hors intérêts courus comptabilisés en résultat selon la méthode du TIE). En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat. Cette catégorie d’instruments financiers fait l’objet d’ajustements au titre des pertes attendues (ECL) dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique "Provisionnement pour risque de crédit" (sans que cela n’affecte la juste valeur à l’actif du bilan). — Instruments de dette à la juste valeur par résultat : Les instruments de dette sont évalués en juste valeur par résultat dans les cas suivants : Les instruments sont classés dans des portefeuilles constitués d’actifs financiers détenus à des fins de transaction ou dont l'objectif principal est la cession ; Les actifs financiers détenus à des fins de transaction sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste. Bien que les flux de trésorerie contractuels soient perçus pendant le temps durant lequel la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée détient les actifs, la perception de ces flux de trésorerie contractuels n’est pas essentielle mais accessoire. Les instruments de dette qui ne respectent pas les critères du test "SPPI". C’est notamment le cas des OPC ; Les instruments financiers classés dans des portefeuilles pour lesquels l’entité choisit la valorisation à la juste valeur afin de réduire une différence de traitement comptable au compte de résultat. Dans ce cas, il s'agit d'un classement sur option à la juste valeur par résultat. Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en Produit Net Bancaire (PNB), en contrepartie du compte d’encours. Les intérêts de ces instruments sont comptabilisés dans la rubrique « gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat ». Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat par nature dont le modèle de gestion est « Autre / vente » sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat sur option sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat par nature, par échec au test SPPI, sont enregistrés à la date de règlement-livraison. – Instruments de capitaux propres : Les instruments de capitaux propres sont par défaut comptabilisés à la juste valeur par résultat, sauf option irrévocable pour un classement à la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sous réserve que ces instruments ne soient pas détenus à des fins de transaction. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat : Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat). Les instruments de capitaux propres détenus à des fins de transaction sont enregistrés à la date de négociation. Les instruments de capitaux propres évalués à la juste valeur par résultat et non détenus à des fins de transaction sont enregistrés en date règlement-livraison. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en Produit Net Bancaire (PNB), en contrepartie du compte d’encours. Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. — Instrument de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (sur option irrévocable) : L’option irrévocable de comptabiliser les instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables est retenue au niveau transactionnel (ligne par ligne) et s’applique dès la date de comptabilisation initiale. Ces titres sont enregistrés à la date de négociation. La juste valeur initiale intègre les coûts de transaction. Lors des évaluations ultérieures, les variations de juste valeur sont comptabilisées en capitaux propres non recyclables. En cas de cession, ces variations ne sont pas recyclées en résultat, le résultat de cession est comptabilisé en capitaux propres. Seuls les dividendes sont reconnus en résultat si : le droit de l’entité d’en percevoir le paiement est établi ; il est probable que les avantages économiques associés aux dividendes iront à l’entité ; le montant des dividendes peut être évalué de façon fiable. Reclassement d’actifs financiers. — En cas de changement important de modèle économique dans la gestion des actifs financiers (nouvelle activité, acquisition d’entités, cession ou abandon d’une activité significative), un reclassement de ces actifs financiers est nécessaire. Le reclassement s’applique à la totalité des actifs financiers du portefeuille à partir de la date de reclassement. Dans les autres cas, le modèle de gestion reste inchangé pour les actifs financiers existants. Si un nouveau modèle de gestion est identifié, il s’applique de manière prospective, aux nouveaux actifs financiers, regroupés dans un nouveau portefeuille de gestion. Acquisition et cession temporaire de titres. — Les cessions temporaires de titres (prêts de titres, titres donnés en pension livrée) ne remplissent généralement pas les conditions de décomptabilisation. Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Dans le cas de titres mis en pension, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant. Les titres empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire. Dans le cas de titres pris en pension, une créance à l’égard du cédant est enregistrée au bilan du cessionnaire en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension. Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement des actifs et passifs à la juste valeur par résultat. Décomptabilisation des actifs financiers. — Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie : lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ; ou sont transférés, ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée. Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs. Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif. Les actifs financiers renégociés pour raisons commerciales en l’absence de difficultés financières de la contrepartie et dans le but de développer ou conserver une relation commerciale sont décomptabilisés en date de renégociation. Les nouveaux prêts accordés aux clients sont enregistrés à cette date à leur juste valeur à la date de renégociation. La comptabilisation ultérieure dépend du modèle de gestion et du test "SPPI". Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. Ainsi, les prêts qui bénéficient de ces bonifications sont accordés au taux de marché. Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat. Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées en résultat sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20. Passifs financiers : — Classement et évaluation des passifs financiers : Les passifs financiers sont classés au bilan dans les deux catégories comptables suivantes : passifs financiers à la juste valeur par résultat, par nature ou sur option ; passifs financiers au coût amorti. – Passifs financiers à la juste valeur par résultat par nature : Les instruments financiers émis principalement en vue d’être rachetés à court terme, les instruments faisant partie d’un portefeuille d’instruments financiers identifiés qui sont gérés ensemble et qui présentent des indications d’un profil récent de prise de bénéfice à court terme, et les dérivés (à l’exception de certains dérivés de couverture) sont évalués à la juste valeur par nature. Les variations de juste valeur de ce portefeuille sont constatées en contrepartie du compte de résultat. – Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option : Les passifs financiers répondant à l’un des trois cas prévus par la norme ci-après, peuvent être évalués à la juste valeur par résultat sur option : émissions hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés séparables, réduction ou élimination de distorsion de traitement comptable ou groupes de passifs financiers gérés et dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette option est irrévocable et s’applique obligatoirement à la date de comptabilisation initiale de l’instrument. Lors des évaluations ultérieures, ces passifs financiers sont évalués à la juste valeur en contrepartie du résultat pour les variations de juste valeur non liées au risque de crédit propre et en contrepartie des capitaux propres non recyclables pour les variations de valeur liées au risque de crédit propre sauf si cela aggrave la non-concordance comptable (auquel cas les variations de valeur liées au risque de crédit propre sont enregistrées en résultat, comme prévu par la norme). – Passifs financiers évalués au coût amorti : Tous les autres passifs répondant à la définition d’un passif financier (hors dérivés) sont évalués au coût amorti. Ces passifs sont enregistrés en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. – Produits de la collecte : Les produits de la collecte sont comptabilisés dans la catégorie des "Passifs financiers au coût amorti – Dettes envers la clientèle" malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle. L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti. Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché. Les plans d’épargne-logement et les comptes d’épargne-logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.14 "Provisions". — Reclassement de passifs financiers : Le classement initial des passifs financiers est irrévocable. Aucun reclassement ultérieur n’est autorisé. — Distinction dettes – capitaux propres : La distinction entre instruments de dette et instruments de capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance économique des dispositifs contractuels. Un passif financier est un instrument de dette s’il inclut une obligation contractuelle : de remettre à une autre entité de la trésorerie, un autre actif financier ou un nombre variable d’instruments de capitaux propres ; ou d’échanger des actifs et des passifs financiers avec une autre entité à des conditions potentiellement défavorables. Un instrument de capitaux propres est un instrument financier non remboursable qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette. — Décomptabilisation et modification des passifs financiers : Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie : lorsqu’il arrive à extinction ; ou lorsque les analyses quantitative ou qualitative concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration. Une modification substantielle d’un passif financier existant doit être enregistré comme une extinction du passif financier initial et la comptabilisation d’un nouveau passif financier (la novation). Tout différentiel entre la valeur comptable du passif éteint et du nouveau passif sera enregistré immédiatement au compte de résultat. Si le passif financier n’est pas décomptabilisé, le TIE d’origine est maintenu. Une décote / surcote est constatée immédiatement au compte de résultat en date de modification puis fait l’objet d’un étalement au TIE d’origine sur la durée de vie résiduelle de l’instrument. Intérêts négatifs sur actifs et passifs financiers. — Conformément à la décision de l’IFRS IC de janvier 2015, les produits d'intérêt négatifs (charges) sur actifs financiers ne répondant pas à la définition d’un revenu au sens d’IFRS 15 sont comptabilisés en charges d’intérêts en compte de résultat, et non en réduction du produit d’intérêts. Il en est de même pour les charges d’intérêts négatives (produits) sur passifs financiers. Dépréciation / provisionnement pour risque de crédit : — Champ d’application : Conformément à IFRS 9, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée comptabilise une correction de valeur au titre des pertes de crédit attendues (" Expected Credit Losses " ou " ECL" ) sur les encours suivants : les actifs financiers d’instruments de dette comptabilisés au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables (prêts et créances, titres de dette) ; les engagements de financement qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat ; les engagements de garantie relevant d’IFRS 9 et qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat ; les créances locatives relevant de la norme IFRS 16 ; et les créances commerciales générées par des transactions de la norme IFRS 15. Les instruments de capitaux propres (à la juste valeur par résultat ou à la juste valeur par OCI non recyclables) ne sont pas concernés par les dispositions en matière de dépréciation. Les instruments dérivés et les autres instruments en juste valeur par contrepartie résultat font l’objet d’un calcul de risque de contrepartie qui n’est pas visé par le modèle ECL. Ce calcul est décrit dans le chapitre 5 "Risques et Pilier 3" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. — Risque de crédit et étapes de dépréciation / provisionnement : Le risque de crédit se définit comme le risque de pertes lié au défaut d’une contrepartie entraînant son incapacité à faire face à ses engagements vis-à-vis du Groupe. Le processus de provisionnement du risque de crédit distingue trois étapes ( Buckets ) : 1ère étape ( Bucket 1) : dès la comptabilisation initiale de l’instrument financier (crédit, titre de dette, garantie …), l’entité comptabilise les pertes de crédit attendues sur 12 mois ; 2ème étape ( Bucket 2) : si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, l’entité comptabilise les pertes attendues à maturité ; 3ème étape ( Bucket 3) : dès lors qu’un ou plusieurs événements de défaut sont intervenus sur la transaction ou sur la contrepartie en ayant un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés, l’entité comptabilise une perte de crédit avérée à maturité. Par la suite, si les conditions de classement des instruments financiers en Bucket 3 ne sont plus respectées, les instruments financiers sont reclassés en Bucket 2, puis en Bucket 1 en fonction de l'amélioration ultérieure de la qualité de risque de crédit. — Définition du défaut : La définition du défaut pour les besoins du provisionnement ECL est identique à celle utilisée en gestion et pour les calculs de ratios réglementaires. Ainsi, un débiteur est considéré en situation de défaut, lorsqu’au moins une des deux conditions suivantes est satisfaite : un arriéré de paiement significatif généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l’arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; l’entité estime improbable que le débiteur s’acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu’elle ait recours à d’éventuelles mesures telles que la réalisation d’une sûreté. Un encours en défaut ( Bucket 3) est dit déprécié lorsque se sont produits un ou plusieurs événements qui ont un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de cet actif financier. Les indications de dépréciation d’un actif financier englobent les données observables au sujet des événements suivants: des difficultés financières importantes de l’émetteur ou de l’emprunteur ; un manquement à un contrat, tel qu’une défaillance ou un paiement en souffrance ; l’octroi, par le ou les prêteurs à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou contractuelles liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une ou de plusieurs faveurs que le ou les prêteurs n’auraient pas envisagées dans d’autres circonstances ; la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière de l’emprunteur ; la disparition d’un marché actif pour l’actif financier en raison de difficultés financières ; l’achat ou la création d’un actif financier avec une forte décote, qui reflète les pertes de crédit subies. Il n’est pas nécessairement possible d’isoler un événement en particulier, la dépréciation de l’actif financier pouvant résulter de l’effet combiné de plusieurs événements. La contrepartie en défaut ne revient en situation saine qu’après une période d’observation qui permet de valider que le débiteur n’est plus en situation de défaut (appréciation par la Direction des Risques). – La notion de perte de crédit attendue "ECL" : L’ECL se définit comme la valeur probable espérée pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L’approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. — Gouvernance et mesure des ECL : La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres IFRS 9 s’appuie sur l’organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le Groupe s’appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres IFRS 9 nécessaires au calcul des ECL. L’appréciation de l’évolution du risque de crédit s’appuie sur un modèle d’anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, doivent être retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut. Ces calculs s’appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu’ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. La norme IFRS 9 préconise une analyse en date d’arrêté ( Point in Time ) tout en tenant compte de données de pertes historiques et des données prospectives macro-économiques ( Forward Looking ), alors que la vue prudentielle s’analyse à travers le cycle ( Through The Cycle ) pour la probabilité de défaut et en bas de cycle ( Downturn ) pour la perte en cas de défaut. L’approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut (" Loss Given Default" ou " LGD "). Les modalités de calcul de l’ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : instruments financiers et instruments hors bilan. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie, et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d’une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l’instrument financier est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu’il y ait défaillance dans les douze mois. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l’instrument financier. Les modalités de mesure des ECL tiennent compte des biens affectés en garantie et des autres rehaussements de crédit qui font partie des modalités contractuelles et que l’entité ne comptabilise pas séparément. L’estimation des insuffisances de flux de trésorerie attendues d’un instrument financier garanti reflète le montant et le calendrier de recouvrement des garanties. Conformément à la norme IFRS 9, la prise en compte des garanties et sûretés n’influe pas sur l’appréciation de la dégradation significative du risque de crédit : celle-ci s’appuie sur l’évolution du risque de crédit sur le débiteur sans tenir compte des garanties. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives ( Forward Looking ) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : au niveau du Groupe dans la détermination d’un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l’horizon d’amortissement des opérations; au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. — Dégradation significative du risque de crédit : Toutes les entités du Groupe doivent apprécier, pour chaque instrument financier, la dégradation du risque de crédit depuis l’origine à chaque date d’arrêté. Cette appréciation de l’évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque ( Buckets ). Afin d’apprécier la dégradation significative, le Groupe prévoit un processus basé sur deux niveaux d’analyse : un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s’imposent aux entités du Groupe ; un second niveau lié à l’appréciation, à dire d’expert au titre du Forward Looking local, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement en Bucket 2 (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque instrument financier. Aucune contagion n’est requise pour le passage de Bucket 1 à Bucket 2 des instruments financiers d’une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l’évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d’une garantie de l’actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L’origine s’entend comme la date de négociation, lorsque l’entité devient partie aux dispositions contractuelles de l’instrument financier. Pour les engagements de financement et de garantie, l’origine s’entend comme la date d’engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d’impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en Bucket 2. Pour les encours (à l'exception des titres) pour lesquels des dispositifs de notation internes ont été construits (en particulier les expositions suivies en méthodes autorisées), le groupe Crédit Agricole considère que l’ensemble des informations intégrées dans les dispositifs de notation permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d’impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l’origine cesse d’être constatée, la dépréciation peut être ramenée à des pertes attendues à 12 mois ( Bucket 1). Afin de suppléer le fait que certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne soient pas identifiables au niveau d’un instrument financier pris isolément, la norme autorise l’appréciation de la dégradation significative pour des portefeuilles, des groupes de portefeuilles ou des portions de portefeuille d’instruments financiers. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : le type d’instrument ; la note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d’un système de notation interne) ; le type de garantie ; la date de comptabilisation initiale ; la durée à courir jusqu’à l’échéance ; le secteur d’activité ; l’emplacement géographique de l’emprunteur ; la valeur du bien affecté en garantie par rapport à l’actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; le circuit de distribution, l’objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d’instruments financiers aux fins de l’appréciation des variations du risque de crédit sur une base collective peut changer au fil du temps, au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles. Pour les titres, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée utilise l'approche qui consiste à appliquer un niveau absolu de risque de crédit, conformément à IFRS 9, en-deçà duquel les expositions seront classées en Bucket 1 et dépréciées sur la base d’un ECL à 12 mois. Ainsi, les règles suivantes s’appliqueront pour le suivi de la dégradation significative des titres : les titres notés " Investment Grade" , en date d’arrêté, seront classés en Bucket 1 et provisionnés sur la base d’un ECL à 12 mois ; les titres notés " Non-Investment Grade" (NIG), en date d’arrêté, devront faire l’objet d’un suivi de la dégradation significative, depuis l’origine, et être classés en Bucket 2 (ECL à maturité) en cas de dégradation significative du risque de crédit. La détérioration relative doit être appréciée en amont de la survenance d’une défaillance avérée ( Bucket 3). — Restructurations pour cause de difficultés financières : Les instruments de dette restructurés pour difficultés financières sont ceux pour lesquels l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, maturité, etc.) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi, ils concernent tous les instruments de dette, quelle que soit la catégorie de classement de l’instrument de dette en fonction de la dégradation du risque de crédit observée depuis la comptabilisation initiale. Conformément à la définition de l’ABE (Autorité Bancaire Européenne) précisée dans le chapitre "Facteurs de risque" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A., les restructurations de créances pour difficultés financières du débiteur correspondent à l’ensemble des modifications apportées à un ou à des contrats de crédit à ce titre, ainsi qu’aux refinancements accordés en raison des difficultés financières rencontrées par le client. Cette notion de restructuration doit s’apprécier au niveau du contrat et non au niveau du client (pas de contagion). La définition des créances restructurées pour cause de difficultés financières répond donc à deux critères cumulatifs : Des modifications de contrat ou des refinancements de créance (concessions) ; Un client en situation financière difficile (débiteur rencontrant, ou sur le point de rencontrer des difficultés pour honorer ses engagements financiers). Par "modification de contrat", sont visées par exemple les situations dans lesquelles : Il existe une différence en faveur de l’emprunteur entre le contrat modifié et les conditions antérieures au contrat ; Les modifications apportées au contrat conduisent à des conditions plus favorables pour l’emprunteur concerné que ce qu’auraient pu obtenir, au même moment, d’autres emprunteurs de la banque ayant un profil de risque similaire. Par "refinancement", sont visées les situations dans lesquelles une dette nouvelle est accordée au client pour lui permettre de rembourser totalement ou partiellement une autre dette dont il ne peut assumer les conditions contractuelles en raison de sa situation financière. Une restructuration de prêt (sain ou en défaut) indique une présomption d’existence d’un risque de perte avérée ( Bucket 3). La nécessité de constituer une dépréciation sur l’exposition restructurée doit donc être analysée en conséquence (une restructuration n’entraîne pas systématiquement la constitution de dépréciation pour perte avérée et un classement en défaut). La qualification de "créance restructurée" est temporaire. Dès lors que l’opération de restructuration au sens de l’ABE a été réalisée, l’exposition conserve ce statut de “restructurée” pendant une période a minima de 2 ans si l’exposition était saine au moment de la restructuration, ou de 3 ans si l’exposition était en défaut au moment de la restructuration. Ces périodes sont prolongées en cas de survenance de certains événements (nouveaux incidents par exemple). En l’absence de décomptabilisation liée à ce type d’événement, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote en coût du risque. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisé au taux effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre : La valeur comptable de la créance ; Et la somme des flux futurs de trésorerie théoriques du prêt "restructuré", actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement). En cas d’abandon d’une partie du capital, ce montant constitue une perte à enregistrer immédiatement en coût du risque. La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Lors de la reprise de la décote, la part due à l’effet de l’écoulement du temps est enregistrée en "Produit Net Bancaire". — Irrécouvrabilité : Lorsqu’une créance est jugée irrécouvrable, c'est-à-dire qu’il n’y a plus d’espoir de la récupérer en tout ou partie, il convient de décomptabiliser du bilan et de passer en perte le montant jugé irrécouvrable. L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert. Chaque entité doit donc le fixer, avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité. Avant tout passage en perte, un provisionnement en Bucket 3 aura dû être constitué (à l’exception des actifs à la juste valeur par résultat). Pour les crédits au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, le montant passé en perte est enregistré en coût du risque pour le nominal, en "Produit net bancaire" pour les intérêts. Instruments financiers dérivés : — Classement et évaluation : Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers classés par défaut en instruments dérivés détenus à des fins de transaction sauf à pouvoir être qualifiés d’instruments dérivés de couverture. Ils sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur initiale à la date de négociation. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur. A chaque arrêté comptable, la contrepartie des variations de juste valeur des dérivés au bilan est enregistrée : En résultat s’il s’agit d’instruments dérivés détenus à des fins de transaction ou de couverture de juste valeur ; En capitaux propres s’il s’agit d’instruments dérivés de couverture de flux de trésorerie ou d’un investissement net dans une activité à l’étranger, pour la part efficace de la couverture. — La comptabilité de couverture : – Cadre général : Conformément à la décision du Groupe, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée n’applique pas le volet "comptabilité de couverture" d’IFRS 9 suivant l’option offerte par la norme. L’ensemble des relations de couverture reste documenté selon les règles de la norme IAS 39, et ce au plus tard jusqu’à la date d’application du texte sur la macro-couverture lorsqu’il sera adopté par l’Union européenne. Néanmoins, l’éligibilité des instruments financiers à la comptabilité de couverture selon IAS 39 prend en compte les principes de classement et d’évaluation des instruments financiers de la norme IFRS 9. Sous IFRS 9, et compte-tenu des principes de couverture d’IAS 39, sont éligibles à la couverture de juste valeur et à la couverture de flux de trésorerie, les instruments de dette au coût amorti et à la juste valeur par capitaux propres recyclables. Documentation Les relations de couverture doivent respecter les principes suivants : La couverture de juste valeur a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut affecter le résultat (par exemple, couverture de tout ou partie des variations de juste valeur dues au risque de taux d’intérêt d’une dette à taux fixe) ; La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de flux de trésorerie futurs d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’une transaction prévue hautement probable, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut ou pourrait (dans le cas d’une transaction prévue mais non réalisée) affecter le résultat (par exemple, couverture des variations de tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ; La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se prémunir contre le risque de variation défavorable de la juste valeur liée au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro, monnaie de présentation de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent également être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture : Éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ; Documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ; Démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté. Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite carve out ). Notamment : Le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts ; La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers. Des précisions sur la stratégie de gestion des risques du Groupe et son application sont apportées dans le chapitre 5 "Risques et Pilier 3" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. – Evaluation : L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé à sa juste valeur se fait de la façon suivante : couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ; couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite recyclés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ; couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres recyclables et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat. Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement, sauf en cas de disparition de l’élément couvert : couverture de juste valeur : seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à son classement. Pour les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres en totalité. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; couverture de flux de trésorerie : l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; couverture d'investissement net à l'étranger : Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation. — Dérivés incorporés : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Cette désignation s’applique uniquement aux passifs financiers et aux contrats non financiers. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies : le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ; séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ; les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celles du contrat hôte. Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permet et fait l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C’est notamment le cas du calcul de CVA / DVA décrit dans le chapitre 5 "Risques et Pilier 3" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques d’évaluation qui maximisent l’utilisation des données observables pertinentes et minimisent celle des données non observables. Lorsqu'une dette est évaluée à la juste valeur par résultat (par nature ou sur option), la juste valeur tient compte du risque de crédit propre de l’émetteur. — Risque de contrepartie sur les dérivés : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debit Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie. Le calcul du CVA / DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. Elle repose prioritairement sur des paramètres de marché tels que les Credit default Swaps (CDS) nominatifs cotés (ou CDS Single Name ) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. — Hiérarchie de la juste valeur : La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation. Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels l’entité peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange , le New York Stock Exchange …), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures. Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale. Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs. Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1 Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché. Sont présentés en niveau 2 : les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes ) et fondée sur des données de marché observables ; les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marché observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté. Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation. Niveau 3 : justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3. Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de produits structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché. Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée. La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent "observables", la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat. Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie. Compensation des actifs et passifs financiers. — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément. Les instruments dérivés et les opérations de pension traités avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan. Gains ou pertes nets sur instruments financiers : — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par résultat, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : Les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie. Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture. — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres : Pour les actifs financiers comptabilisés à la juste valeur en capitaux propres, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : Les dividendes provenant d'instruments de capitaux propres classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres non recyclables ; Les plus et moins-values de cession ainsi que les résultats liés à la rupture de la relation de couverture sur les instruments de dette classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ; Les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres lorsque l'élément couvert est cédé. Engagements de financement et garanties financières donnés. — Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IFRS 9 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IFRS 9. Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser son titulaire d’une perte qu’il subit en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié qui n’effectue pas un paiement à l’échéance selon les conditions initiales ou modifiées d’un instrument de dette. Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre : le montant de la correction de valeur pour pertes déterminée selon les dispositions de la norme IFRS 9, chapitre "Dépréciation" ; ou le montant initialement comptabilisé diminué, s’il y a lieu, du cumul des produits comptabilisés selon les principes d’IFRS 15 "Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients". Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif. Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment : les risques opérationnels ; les avantages au personnel ; les risques d’exécution des engagements par signature ; les litiges et garanties de passif ; les risques fiscaux (hors impôt sur le résultat) ; les risques liés à l’épargne-logement. Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ; l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ; la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations : la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ; les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes. Des informations détaillées sont fournies en note 6.14 " Provisions " . Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories : les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participations et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus ; les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies ; les autres avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ; les indemnités de cessation d’emploi. Avantages postérieurs à l’emploi : — Régimes à prestations définies : La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. (cf. note 7.4 " Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies " ). Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turnover. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice iBoxx AA. Conformément à la norme IAS 19, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables. Les écarts actuariels sont constitués des ajustements liés à l’expérience (différence entre ce qui a été estimé et ce qui s’est produit) et de l’effet des changements apportées aux hypothèses actuarielles. Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies. La différence entre le rendement attendu et le rendement réel des actifs de régimes est constaté en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables. Le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ; diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Afin de couvrir ses engagements, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. — Régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé. Autres avantages à long terme. — Les autres avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus. Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différées versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions. La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies. Paiements fondés sur des actions (IFRS 2). — La norme IFRS 2 Paiements en actions et assimilés impose l’évaluation des transactions rémunérées par paiements en actions et assimilés dans les résultats et au bilan de l’entreprise. Cette norme s’applique aux transactions effectuées avec les salariés et plus précisément : aux transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en instruments de capitaux propres ; aux transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en trésorerie. Les plans de paiements fondés sur des actions initiés par le groupe Crédit Agricole éligibles à la norme IFRS 2 sont principalement du type de ceux dont le dénouement est réalisé par attribution d’instruments de capitaux propres ( stock-options , attribution d’actions gratuites, rémunérations variables versées en cash indexé ou en actions, etc.). Les options octroyées sont évaluées à l’attribution à leur juste valeur majoritairement selon le modèle Black & Scholes . Celles-ci sont comptabilisées en charges dans la rubrique Frais de personnel en contrepartie d’un compte de capitaux propres au fur et à mesure sur la période d’acquisition des droits. Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du plan d’épargne entreprise relèvent également des dispositions de la norme IFRS 2. Les actions sont proposées avec une décote maximum de 30%. Ces plans ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevés d’une période d’incessibilité de cinq ans. L’avantage consenti aux salariés se mesure comme étant la différence entre la juste valeur de l’action acquise en tenant compte de la condition d’incessibilité et le prix d’acquisition payé par le salarié à la date de souscription multipliée par le nombre d’actions souscrites. La charge relative aux souscriptions d’actions sont comptabilisées dans les comptes des entités employeur des bénéficiaires de plans. L’impact s’inscrit en charge de personnel en contrepartie d’une augmentation des Réserves consolidées part du Groupe. Impôts courants et différés (IAS 12). — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés. Celle-ci définit l’impôt exigible comme "le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice". Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou la perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale. Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe. L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices. L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif. Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles. La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants : un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par : la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ; la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction. un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible. un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés. Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas. Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation. Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction de ceux-ci. En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées d’impôt sur les sociétés (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part. Dans le cadre des contrats de location IFRS 16, un impôt différé passif est comptabilisé sur le droit d'utilisation et un impôt différé actif sur la dette locative pour les contrats de location dont le Groupe est preneur. L'impôt exigible et différé sont comptabilisés dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré : soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ; soit par un regroupement d'entreprises. Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si : l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale : soit sur la même entité imposable, soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés. Les risques fiscaux portant sur l’impôt sur le résultat donnent lieu à la comptabilisation d’une créance ou d’une dette d’impôt courant lorsque la probabilité de recevoir l’actif ou de payer le passif est jugée plus probable qu’improbable. Ces risques sont par ailleurs pris en compte dans l’évaluation des actifs et passifs d’impôts courants et différés. L’interprétation IFRIC 23 portant sur l’évaluation des positions fiscales incertaines s’applique dès lors qu’une entité a identifié une ou des incertitudes à propos de positions fiscales prises concernant ses impôts. Elle apporte également des précisions sur leurs estimations : l’analyse doit être fondée sur une détection à 100 % de l’administration fiscale ; le risque fiscal doit être comptabilisé au passif dès lors qu’il est plus probable qu’improbable que les autorités fiscales remettent en cause le traitement retenu, pour un montant reflétant la meilleure estimation de la Direction ; en cas de probabilité supérieure à 50 % de remboursement par l’administration fiscale, une créance doit être comptabilisée. Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique "Impôts sur les bénéfices" du compte de résultat. Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles. Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement. Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus. Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation. Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d’amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 30 à 80 ans Second œuvre 8 à 40 ans Installations techniques 5 à 25 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans Matériel spécialisé 4 à 5 ans Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés. Opérations en devises (IAS 21). — En date d’arrêté, les actifs et passifs libellés en monnaie étrangère sont convertis en euros, monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole. En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires (ex : instruments de dette) et non monétaires (ex : instruments de capitaux propres). Les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de change de clôture. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte trois exceptions : sur les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres recyclables ; sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère, les écarts de change sont comptabilisés en capitaux propres recyclables pour la part efficace ; sur les passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, les écarts de change liés aux variations de juste de valeur du risque de crédit propre sont enregistrés en capitaux propres non recyclables. Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon le traitement comptable de ces éléments avant conversion : les éléments au coût historique restent évalués au cours de change du jour de la transaction (cours historique) ; les éléments à la juste valeur sont convertis au cours de change à la date de clôture. Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés : en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ; en capitaux propres non recyclables si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres non recyclables. Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec les clients (IFRS 15). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent. Les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif. Concernant les autres natures de commissions, leur comptabilisation au compte de résultat doit refléter le rythme de transfert au client du contrôle du bien ou du service vendu : le résultat d'une transaction associée à une prestation de services est comptabilisé dans la rubrique Commissions, lors du transfert du contrôle de la prestation de service au client s’il peut être estimé de façon fiable. Ce transfert peut intervenir au fur et à mesure que le service est rendu (service continu) ou à une date donnée (service ponctuel). Les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont enregistrées en résultat en fonction du degré d'avancement de la prestation rendue. Les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont, quant à elles, intégralement enregistrées en résultat lorsque la prestation est rendue. Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées à hauteur du montant pour lequel il est hautement probable que le revenu ainsi comptabilisé ne fera pas ultérieurement l'objet d'un ajustement significatif à la baisse lors de la résolution de l'incertitude. Cette estimation est mise à jour à chaque clôture. En pratique, cette condition a pour effet de différer l'enregistrement de certaines commissions de performance jusqu'à l'expiration de la période d'évaluation de performance et jusqu'à ce qu'elles soient acquises de façon définitive. Contrats de location (IFRS 16). — Le Groupe peut être bailleur ou preneur d’un contrat de location. — Contrats de location dont le Groupe est bailleur : Les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location-financement, soit en opérations de location simple. S’agissant d’opérations de location-financement, elles sont assimilées à une vente d’immobilisation au locataire financée par un crédit accordé par le bailleur. L’analyse de la substance économique des opérations de location-financement conduit le bailleur à : Sortir du bilan l’immobilisation louée ; Constater une créance financière sur le client parmi les « actifs financiers au coût amorti » pour une valeur égale à la valeur actualisée au taux implicite du contrat des paiements de location à recevoir par le bailleur au titre du contrat de location, majorée de toute valeur résiduelle non garantie revenant au bailleur ; Comptabiliser des impôts différés au titre des différences temporelles portant sur la créance financière et la valeur nette comptable de l’immobilisation louée. Décomposer les produits correspondant aux loyers entre d’une part les intérêts d’autre part l’amortissement du capital. S’agissant d’opérations de location simple, le bailleur comptabilise les biens loués parmi les « immobilisations corporelles » à l’actif de son bilan et enregistre les produits de location de manière linéaire parmi les « produits des autres activités » au compte de résultat. — Contrats de location dont le Groupe est preneur : Les opérations de location sont comptabilisées dans le bilan à la date de mise à disposition de l’actif loué. Le preneur constate un actif représentatif du droit d’utilisation de l’actif loué parmi les immobilisations corporelles pendant la durée estimée du contrat et une dette au titre de l’obligation de paiement des loyers parmi les passifs divers sur cette même durée. La durée de location d’un contrat correspond à la durée non résiliable du contrat de location ajustée des options de prolongation du contrat que le preneur est raisonnablement certain d’exercer et option de résiliation que le preneur est raisonnablement certain de ne pas exercer. En France, la durée retenue pour les baux commerciaux dits « 3/6/9 » est généralement de 9 ans avec une période initiale non résiliable de 3 ans. Le Groupe a retenu une durée correspondant à la première option de sortie post 5 ans comme étant la durée raisonnablement certaine d’un bail. Cette durée, à l’initiation des baux commerciaux français, est appliquée dans la majeure partie des cas. La principale exception est le cas d’un bail dans lequel les options de sortie intermédiaires ont été abandonnées (par exemple en contrepartie d’une réduction de loyers) ; dans ce cas, la durée du bail reste sur 9 ans. Cette durée de 5 ans est également appliquée aux baux en tacite prolongation. La dette locative est comptabilisée pour un montant égal à la valeur actualisée des paiements de loyers sur la durée du contrat. Les paiements de loyers comprennent les loyers fixes, les loyers variables basés sur un taux ou un indice et les paiements que le preneur s’attend à payer au titre des garanties de valeur résiduelle, d’option d’achat ou de pénalité de résiliation anticipée. Les loyers variables qui ne dépendent pas d’un indice ou d’un taux et la TVA non déductible sur les loyers sont exclus du calcul de la dette et sont comptabilisés en charges générales d’exploitation. Le taux d’actualisation applicable pour le calcul du droit d'utilisation et du passif de location est par défaut le taux d'endettement marginal du preneur sur la durée du contrat à la date de signature du contrat, lorsque le taux implicite n’est pas aisément déterminable. Le taux d’endettement marginal tient compte de la structure de paiement des loyers. Il reflète les conditions du bail (durée, garantie, environnement économique…) – le Groupe applique sur ce point la décision de l’IFRS IC du 17 septembre 2019 depuis la mise en œuvre d’FRS 16 (pas d’impact de cette décision). La charge au titre des contrats de location est décomposée entre d’une part les intérêts et d’autre part l’amortissement du capital Le droit d’utilisation de l’actif est évalué à la valeur initiale de la dette locative augmentée des coûts directs initiaux, des paiements d’avance, des coûts de remise en état et diminuée des avantages incitatifs à la location. Il est amorti sur la durée estimée du contrat. La dette locative et le droit d’utilisation peuvent être ajustés en cas de modification du contrat de location, de réestimation de la durée de location ou de révision des loyers liée à l’application d’indices ou de taux. Des impôts différés sont comptabilisés au titre des différences temporelles des droits d’utilisation et des passifs de location chez le preneur. Conformément à l’exception prévue par la norme, les contrats de location à court terme (durée initiale inférieure à douze mois) et les contrats de location dont la valeur à neuf du bien loué est de faible valeur ne sont pas comptabilisés au bilan, les charges de location correspondantes sont enregistrées de manière linéaire dans le compte de résultat parmi les charges générales d’exploitation. Conformément aux dispositions prévues par la norme, le Groupe n’applique pas la norme IFRS 16 aux contrats de location d’immobilisations incorporelles. Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées (IFRS 5). — Un actif non courant (ou un groupe destiné à être cédé) est considéré comme détenu en vue de la vente si sa valeur comptable est recouvrée principalement par le biais d'une vente plutôt que par l'utilisation continue. Pour que tel soit le cas, l'actif (ou le groupe destiné à être cédé) doit être disponible en vue de la vente immédiate dans son état actuel et sa vente doit être hautement probable. Les actifs et passifs concernés sont isolés au bilan sur les postes "Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées" et "Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées". Ces actifs non courants (ou un groupe destiné à être cédé) classés comme détenus en vue de la vente sont évalués au montant le plus bas entre leur valeur comptable et leur juste valeur diminuée des coûts de la vente. En cas de moins-value latente, une dépréciation est enregistrée en résultat. Par ailleurs, ceux-ci cessent d’être amortis à compter de leur déclassement. Si la juste valeur du groupe d’actifs destiné à être cédé diminuée des coûts de la vente est inférieure à sa valeur comptable après dépréciation des actifs non courants, la différence est allouée aux autres actifs du groupe d’actifs destinés à être cédés y compris les actifs financiers et est comptabilisé en résultat net d’impôts des activités abandonnées. Est considérée comme activité abandonnée toute composante dont le Groupe s'est séparée ou qui est classée comme détenue en vue de la vente, et qui est dans une des situations suivantes : elle représente une ligne d'activité ou une région géographique principale et distincte ; elle fait partie d'un plan unique et coordonné pour se séparer d'une ligne d'activité ou d'une région géographique principale et distincte ; ou elle est une filiale acquise exclusivement en vue de la revente. Sont présentés sur une ligne distincte du compte de résultat : le résultat net après impôt des activités abandonnées jusqu’à la date de cession ; le profit ou la perte après impôt résultant de la cession ou de l’évaluation à la juste valeur diminuée des coûts de la vente des actifs et passifs constituant les activités abandonnées. 1.3. Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28)  : Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, de contrôle conjoint ou d’une influence notable. — Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales. Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée. Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier. Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole. Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Mutuel Sud-Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée. C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional. Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international. La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques. — Notions de contrôle : Conformément aux normes comptables internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après. Le contrôle exclusif sur une entité est présumé exister lorsque la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité. Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent à la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seul(e) les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances. Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée lors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée, des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, l’étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant ainsi que les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels sont analysées afin de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir délégué) ou principal (pour son propre compte). Ainsi, au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affecter la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité. Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle. Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité. — Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par la norme IAS 28, les participations minoritaires détenues par les entités pour lesquelles l’option prévue par l’article 18 de cette norme a été retenue, sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature. Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10 et IAS 28. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale : l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée; la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et sous contrôle conjoint. L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés. Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe. La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées. La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition. Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate : en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un écart d’acquisition complémentaire ; en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession/dilution en résultat. Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués. L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement. Les plus ou moins values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées. 2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période . Conformément à IFRS 3, la juste valeur provisoire des actifs et passifs acquis peut être ajustée afin de refléter les informations nouvelles obtenues à propos des faits et des circonstances qui prévalaient à la date d’acquisition pendant la période d’évaluation qui ne doit pas excéder un an à compter de la date d’acquisition. Par conséquent les écarts d’acquisition présentés dans ce paragraphe peuvent faire l'objet d’ajustements ultérieurs dans ce délai. Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2020 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 13 " Périmètre de consolidation au 31 décembre 2020 " . Crise sanitaire liée à la COVID-19. — Dans le contexte de la crise sanitaire liée à la COVID-19, le groupe Crédit Agricole s’est mobilisé pour faire face à cette situation inédite. Afin d’accompagner ses clients dont l’activité serait impactée par la crise liée au Coronavirus, le Groupe a participé activement aux mesures de soutien à l’économie. — Prêts Garantis par l’Etat (PGE) : Dans le cadre de la crise sanitaire liée à la COVID-19, le groupe Crédit Agricole a proposé à compter du 25 mars 2020 à tous ses clients entrepreneurs, quelle que soit leur taille et leur statut (exploitants agricoles, professionnels, commerçants, artisans, entreprises, …), en complément des mesures déjà annoncées (report d’échéances, procédures accélérées d’examen des dossiers, etc.), de recourir au dispositif massif et inédit de Prêts Garantis par l’État. Les entreprises peuvent demander à bénéficier de ces prêts jusqu’au 30 juin 2021. Ces financements prennent la forme d’un prêt sur 12 mois, avec la faculté pour l’emprunteur de l’amortir sur une période supplémentaire de 1 à 5 ans. Sur cette période supplémentaire, le prêt pourra avoir durant la phase d’amortissement, une nouvelle période d’un an au cours de laquelle seuls les intérêts et le coût de la garantie d’Etat seront payés. La durée totale du prêt ne pourra jamais excéder 6 ans. L’offre Groupe pour la première année se présente sous la forme d’un prêt à taux zéro ; seul le coût de la garantie est refacturé (via une commission payée par le client) conformément aux conditions d’éligibilité définies par l’Etat pour bénéficier de la garantie. Ces prêts peuvent atteindre jusqu’à 3 mois de chiffre d’affaires, permettant ainsi aux entrepreneurs d’avoir accès au financement nécessaire pour traverser la période actuelle très perturbée. Ces prêts, pour une grande majorité, appartiennent à un modèle de gestion « Collecte » et satisfont au test des caractéristiques contractuelles. Ils sont donc pour l’essentiel enregistrés au coût amorti. Au 31 décembre 2020, le solde des encours des prêts garantis par l’Etat octroyés à la clientèle par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée s’élève à 244 892 milliers d’euros. — Report d’échéance sur concours octroyés aux clients : Le Groupe s’est associé à l’initiative de place des banques françaises, avec la coordination de la Fédération des Banques Françaises (FBF), pour offrir un report des échéances des prêts en cours jusqu’à 6 mois pour la clientèle des Entreprises et des Professionnels, sans coûts additionnels. La mise en œuvre d'un tel report des échéances sans pénalité ni frais additionnels et avec maintien du taux contractuel sur une durée maximale de 6 mois implique que seuls les intérêts intercalaires seront perçus après le report sur la durée restante du crédit et hors frais de garantie éventuels de la Banque Publique d'Investissement. Tel que proposé par le Groupe, le report des échéances implique : Soit un allongement de durée du prêt si le client souhaite conserver ses échéances initiales de prêt ; Soit une augmentation de ses échéances après la pause si le client souhaite garder sa durée initiale. Ce report d’échéance se traduit par un décalage dans le temps des échéances initiales à percevoir. Au 31 décembre 2020, l’encours de prêts à la clientèle ayant bénéficié de report d’échéance s’élève à 741 531 milliers d'euros (dont 55 419 milliers d’euros d’échéances d’encours de prêts reportées). — Impacts de ces mesures sur le risque de crédit : Conformément à la communication de l’IASB du 27 mars 2020 relative à la comptabilisation des pertes de crédit attendues en application de la norme IFRS 9 sur les instruments financiers dans les circonstances exceptionnelles actuelles, il a été rappelé l’importance de l’exercice du jugement dans l’application des principes d’IFRS 9 du risque de crédit et le classement des instruments financiers qui en résulte. Le report d’échéance sur concours octroyés aux clients n’a pas systématiquement comme conséquence une remise en cause de la situation financière des clients : il n’y a pas automatiquement d’augmentation du risque de contrepartie. Les modifications du contrat ne peuvent généralement pas être considérées comme des évolutions liées à des cas de restructurations pour difficultés financières. Ce report n’a donc pour conséquence ni le basculement mécanique de l’encours dont la dépréciation est fondée sur les pertes attendues de crédits sur 12 mois ( Bucket 1) vers une comptabilisation de la dépréciation des pertes attendues à maturité ( Bucket 2), ni le passage automatique des encours vers la catégorie douteux ( Bucket 3). De même, le calcul du montant des pertes attendues doit s’effectuer en prenant en considération les circonstances spécifiques et les mesures de soutien mises en œuvre par les pouvoirs publics. Dans ce contexte de crise sanitaire liée à la COVID-19, le Groupe a revu ses prévisions macro-économiques prospectives (forward looking) pour la détermination de l’estimation du risque de crédit. Face à cette situation, la Caisse Régionale a également procédé à une revue de son portefeuille de crédits, qui l’a conduite à la mise à jour du forward looking local sur un certain nombre de filières considérées à risques. » Le montant des provisions B1 au 31/12/2020 est de 12 162 milliers d'euros, il était de 7 957 milliers d'euros au 31/12/2019 soit une variation de 53% ; le montant des provisions B2 au 31/12/2020 est de 36 101 milliers d'euros, il était de 30 625 milliers d'euros au 31/12/2019 soit une variation de 18% Nouvelle définition du défaut. — Au 31 décembre 2020, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a mis en place les nouvelles règles liées à l’application de la définition du défaut (orientations de l’EBA (EBA/GL/2016/7) et seuils définis par l’Union européenne (Article 1 du règlement (UE) 2018/1845 BCE du 21 novembre 2018). Cette évolution sur le défaut est qualifiée de changement d’estimation comptable. Son impact est comptabilisé en compte de résultat dans la rubrique « Coût du risque ». Il est estimé à 196 milliers d’euros sur des encours de 1 692 milliers d’euros et se caractérise notamment par une évolution du coût de risque peu significative du Bucket 2 vers le Bucket 3. FCT Crédit Agricole Habitat 2020. — Au 31/12/ 2020 , une nouvelle entité (FCT Crédit Agricole Habitat 2020 ) a été consolidée au sein du groupe Crédit Agricole, née d’une opération de titrisation réalisée par les 39 Caisses régionales le 12 mars 2020 . Cette transaction est un RMBS français placé sur le marché. Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales au FCT Crédit Agricole Habitat 2020 pour un montant de 1 milliard d’euros. Les titres seniors adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès d’investisseurs (établissements de crédit (43%), fonds d’investissement (32%), banques centrales (25%)). Dans le cadre de cette titrisation non décomptabilisante, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 10,3 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2020. Elle a souscrit pour 1,5 millions d’euros de titres subordonnés. Garantie spécifique apportée par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch). — Crédit Agricole S.A. a démantelé le 2 mars 2020 35% du mécanisme de garantie « Switch » mis en place entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. Le mécanisme de garantie « Switch » correspond à un transfert vers les Caisses régionales d’une partie des exigences prudentielles s’appliquant à Crédit Agricole S.A. au titre de ses activités d’assurances contre une rémunération fixe des Caisses régionales. Pour la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée, cette opération s’est traduite par une baisse des engagements donnés de 44,6 millions d’euros et une baisse du dépôt de garantie apporté à Crédit Agricole S.A. de 15,1 millions d’euros. 3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture . Le pilotage des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est assurée par la Directions des Risques. Cette direction est rattachée au Directeur général et a pour mission d’assurer la maîtrise et le contrôle permanent des risques de crédit, financiers et opérationnels. La description de ces dispositifs ainsi que les informations narratives figurent dans le rapport de gestion, chapitre "Facteurs de risque", comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilations comptables figurent dans les états financiers. 3.1. Risque de crédit . (Cf. chapitre "Facteurs de risque – Risques de crédit" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A.) 3.1.1. Variation des valeurs comptables et des corrections de valeur pour pertes sur la période. — Les corrections de valeur pour pertes correspondent aux dépréciations sur actifs et aux provisions sur engagement hors bilan comptabilisées en résultat net (Coût du risque) au titre du risque de crédit. Les tableaux suivants présentent un rapprochement des soldes d’ouverture et de clôture des corrections de valeur pour perte comptabilisées en Coût du risque et des valeurs comptables associées, par catégorie comptable et type d’instruments. — Actifs financiers au coût amorti : Titres de dettes : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2019 177 000 -90 ‐ ‐ 2 195 -2 195 179 195 -2 285 176 910 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Bucket à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers Bucket 3 (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 177 000 -90 ‐ ‐ 2 195 -2 195 179 195 -2 285 176 910 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes -9 504 75 ‐ ‐ -5 5 -9 509 80 Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) 1 060 -81 ‐ ‐ 1 060 -81 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -10 564 156 ‐ ‐ -5 5 -10 569 161 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période ‐ ‐ ‐ ‐ Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 167 496 -15 ‐ ‐ 2 190 -2 190 169 686 -2 205 167 481 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) -39 ‐ ‐ -39 Au 31 décembre 2020 167 457 -15 ‐ ‐ 2 190 -2 190 169 647 -2 205 167 442 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Bucket 3 correspondent à des encours classés initialement en Bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Bucket 3, ou en Bucket 2 puis en Bucket 3 (2) Les originations en Bucket 2 peuvent inclure des encours originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif) — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2019 7 215 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 7 215 ‐ 7 215 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Bucket à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers Bucket 3 (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 7 215 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 7 215 ‐ 7 215 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période ‐ ‐ ‐ ‐ Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 7 215 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 7 215 ‐ 7 215 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) 3 159 ‐ ‐ 3 159 Au 31 décembre 2020 10 374 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 10 374 ‐ 10 374 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Bucket 3 correspondent à des encours classés initialement en Bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Bucket 3, ou en Bucket 2 puis en Bucket 3 (2) Les originations en Bucket 2 peuvent inclure des encours originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les variations des créances rattachées — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur la clientèle : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2019 4 877 212 -7 956 350 317 -30 625 190 092 -126 958 5 417 621 -165 539 5 252 082 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Bucket à l'autre -162 991 -1 300 149 158 1 642 13 833 -2 795 ‐ -2 453 Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 -275 175 778 275 175 -3 671 ‐ -2 893 Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 124 956 -2 103 -124 956 5 567 ‐ 3 464 Transferts vers Bucket 3 (1) -13 465 29 -7 987 696 21 452 -6 309 ‐ -5 584 Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 693 -4 6 926 -950 -7 619 3 514 ‐ 2 560 Total après transferts 4 714 221 -9 256 499 475 -28 983 203 925 -129 753 5 417 621 -167 992 5 249 629 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes 490 260 -2 906 49 768 -7 118 -6 823 8 257 533 205 -1 767 Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) (4) 1 171 837 -3 407 122 357 -5 053 1 294 194 -8 460 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -681 360 1 452 -72 584 3 942 -3 214 8 661 -757 158 14 055 Passages à perte -3 609 3 495 -3 609 3 495 Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières -2 ‐ -5 1 272 ‐ 143 -7 1 415 Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période -951 -7 279 -4 894 -13 124 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres -215 ‐ ‐ ‐ ‐ 852 -215 852 Total 5 204 481 -12 162 549 243 -36 101 197 102 -121 496 5 950 826 -169 759 5 781 067 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) 6 753 549 -591 6 711 Au 31 décembre 2020 (5) 5 211 234 -12 162 549 792 -36 101 196 511 -121 496 5 957 537 -169 759 5 787 778 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Bucket 3 correspondent à des encours classés initialement en Bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Bucket 3, ou en Bucket 2 puis en Bucket 3 (2) Les originations en Bucket 2 peuvent inclure des encours originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les variations des créances rattachées (4) Au 31 décembre 2020, le montant des prêts garantis par l’Etat (PGE) accordés à la clientèle par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19 s’élève à 244 892 milliers d’euros (5) Au 31 décembre 2020, l’encours de prêts à la clientèle ayant fait l’objet de reports d’échéances accordés par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19 s’élève à 741 531 milliers d’euros (dont 55 419 milliers d’euros d’échéances d’encours de prêts reportées) — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 31 décembre 2019 428 497 -855 12 140 -490 613 ‐ 441 250 -1 345 439 905 Transferts d'engagements en cours de vie d'un Bucket à l'autre -18 858 138 18 700 -157 158 -158 ‐ -177 Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 -21 976 64 21 976 -275 ‐ -211 Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 3 248 -56 -3 248 90 ‐ 34 Transferts vers Bucket 3 (1) -153 153 -42 42 195 -195 ‐ ‐ Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 23 -23 14 -14 -37 37 ‐ ‐ Total après transferts 409 639 -717 30 840 -647 771 -158 441 250 -1 522 439 728 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes 34 586 -535 4 991 -1 414 186 158 39 763 -1 791 Nouveaux engagements donnés (2) 246 074 -769 15 309 -1 438 261 383 -2 207 Extinction des engagements -211 488 589 -10 318 378 ‐ ‐ -221 806 967 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ -35 ‐ ‐ ‐ -35 Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période -355 -319 158 -516 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ 186 ‐ 186 ‐ Au 31 décembre 2020 444 225 -1 252 35 831 -2 061 957 ‐ 481 013 -3 313 477 700 (1) Les transferts vers le Bucket 3 correspondent à des engagements classés initialement en Bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Bucket 3, ou en Bucket 2 puis en Bucket 3 (2) Les nouveaux engagements donnés en Bucket 2 peuvent inclure des engagements originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 31 décembre 2019 187 644 -134 2 204 -140 1 397 -2 052 191 245 -2 326 188 919 Transferts d'engagements en cours de vie d'un Bucket à l'autre -7 670 33 7 626 -287 44 -44 ‐ -298 Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 -7 799 21 7 799 -332 ‐ -311 Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 143 -2 -143 15 ‐ 13 Transferts vers Bucket 3 (1) -14 14 -30 30 44 -44 ‐ ‐ Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 179 974 -101 9 830 -427 1 441 -2 096 191 245 -2 624 188 621 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes -10 940 -323 -935 17 -157 1 373 -12 032 1 067 Nouveaux engagements donnés (2) 16 748 -66 227 -11 16 975 -77 Extinction des engagements -27 688 50 -1 162 92 -971 9 -29 821 151 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période -307 -64 1 364 993 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ 814 ‐ 814 ‐ Au 31 décembre 2020 169 034 -424 8 895 -410 1 284 -723 179 213 -1 557 177 656 (1) Les transferts vers le Bucket 3 correspondent à des engagements classés initialement en Bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Bucket 3, ou en Bucket 2 puis en Bucket 3 (2) Les nouveaux engagements donnés en Bucket 2 peuvent inclure des engagements originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période 3.1.2. Exposition maximale au risque de crédit. — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur comptable, nette de toute perte de valeur comptabilisée et compte non tenu des actifs détenus en garantie ou des autres rehaussements de crédit (par exemple les accords de compensation qui ne remplissent pas les conditions de compensation selon IAS 32). Les tableaux ci-dessous présentent les expositions maximales ainsi que le montant des actifs détenus en garantie et autres techniques de rehaussements de crédit permettant de réduire cette exposition. Les actifs dépréciés en date de clôture correspondent aux actifs dépréciés (Bucket 3). — Actifs financiers non soumis aux exigences de dépréciation (comptabilisés à la juste valeur par résultat) : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 3 312 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 669 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 2 643 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 36 259 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 39 571 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2019 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 2 015 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 369 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 1 646 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 51 769 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 53 784 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ — Actifs financiers soumis aux exigences de dépréciation : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 5 965 594 ‐ 2 091 031 177 276 1 909 903 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 75 015 ‐ 44 131 1 278 14 572 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) 10 374 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 787 778 ‐ 2 091 031 177 276 1 909 903 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 75 015 ‐ 44 131 1 278 14 572 ‐ Titres de dettes 167 442 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 5 965 594 ‐ 2 091 031 177 276 1 909 903 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 75 015 ‐ 44 131 1 278 14 572 ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2019 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 5 436 207 ‐ 1 959 768 159 475 1 603 275 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 63 134 ‐ 39 343 1 096 13 502 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) 7 215 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 252 082 ‐ 1 959 768 159 475 1 603 275 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 63 134 ‐ 39 343 1 096 13 502 ‐ Titres de dettes 176 910 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 5 436 207 ‐ 1 959 768 159 475 1 603 275 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 63 134 ‐ 39 343 1 096 13 502 ‐ — Engagements hors bilan soumis aux exigences de dépréciation : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) 177 656 639 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 561 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole) 477 700 ‐ 55 420 12 504 56 653 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 957 ‐ 74 3 95 ‐ Total 655 356 639 55 420 12 504 56 653 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 1 518 ‐ 74 3 95 ‐ (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2019 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) 188 919 650 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture -655 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole) 439 905 ‐ 60 474 8 819 58 021 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 613 ‐ ‐ ‐ 25 ‐ Total 628 824 650 60 474 8 819 58 021 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture -42 ‐ ‐ ‐ 25 ‐ Une description des actifs détenus en garantie est présentée dans la note 9 "Engagements de financement et de garantie et autres garanties". 3.1.3. Actifs financiers modifiés. — Les actifs financiers modifiés correspondent aux actifs restructurés pour difficultés financières. Il s’agit de créances pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et les créances saines, au moment de la restructuration. (Une définition plus détaillée des encours restructurés et leur traitement comptable est détaillée dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”). Pour les actifs ayant fait l’objet d’une restructuration au cours de la période, la valeur comptable établie à l’issue de la restructuration est de : (En milliers d'Euros) 2020 Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gains ou pertes nets de la modification ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 14 3 784 5 577 Valeur comptable brute avant modification 16 3 789 5 577 Gains ou pertes nets de la modification -2 -5 ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gains ou pertes nets de la modification ‐ ‐ ‐ Selon les principes établis dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”, les actifs restructurés dont le stade de dépréciation correspond à celui du Bucket 2 (actifs sains) ou Bucket 3 (actifs dépréciés) peuvent faire l’objet d’un retour en Bucket 1 (actifs sains). La valeur comptable des actifs modifiés concernés par ce reclassement au cours de la période est de : (En milliers d'Euros) Valeur comptable brute Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs restructurés antérieurement classés en Bucket 2 ou en Bucket 3 et reclassés en Bucket 1 au cours de la période : Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ Titres de dettes ‐ Total ‐ 3.1.4. Concentrations du risque de crédit. — Les valeurs comptables et montants des engagements sont présentés nets de dépréciations et de provisions. — Exposition au risque de crédit par catégories de risque de crédit : Les catégories de risques de crédit sont présentées par intervalles de probabilité de défaut. La correspondance entre les notations internes et les intervalles de probabilité de défaut est détaillée dans le chapitre "Risques et pilier 3 – Gestion du risque de crédit" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. — Actifs financiers au coût amorti (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 2 651 878 51 977 2 703 855 2 371 055 1 874 2 372 929 0,5% < PD ≤ 2% 768 298 57 172 825 470 767 715 4 013 771 728 2% < PD ≤ 20% 330 306 210 914 541 220 377 715 180 674 558 389 20% < PD < 100% 86 386 86 386 108 665 109 050 PD = 100% 150 471 150 471 147 207 147 207 Total Clientèle de détail 3 750 482 406 449 150 471 4 307 402 3 516 870 295 226 147 207 3 959 303 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 1 122 899 45 136 1 168 035 1 119 099 1 079 1 120 178 0,6% < PD < 12% 515 684 68 854 584 538 425 458 36 320 461 778 12% ≤ PD < 100% 29 353 29 353 17 692 17 692 PD = 100% 48 230 48 230 45 080 45 080 Total Hors clientèle de détail 1 638 583 143 343 48 230 1 830 156 1 544 557 55 091 45 080 1 644 728 Dépréciations -12 177 -36 101 -123 686 -171 964 -8 046 -30 625 -129 153 -167 824 Total 5 376 888 513 691 75 015 5 965 594 5 053 381 319 692 63 134 5 436 207 — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 206 349 4 410 ‐ 210 759 195 203 20 ‐ 195 223 0,5% < PD ≤ 2% 52 135 3 403 ‐ 55 538 52 284 247 ‐ 52 531 2% < PD ≤ 20% 21 621 9 270 ‐ 30 891 24 963 4 380 ‐ 29 343 20% < PD < 100% ‐ 4 463 ‐ 4 463 307 1 735 ‐ 2 042 PD = 100% ‐ ‐ 771 771 ‐ ‐ 494 494 Total Clientèle de détail 280 105 21 546 771 302 422 272 757 6 382 494 279 633 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 97 809 5 617 ‐ 103 426 91 181 207 ‐ 91 388 0,6% < PD < 12% 66 311 5 330 ‐ 71 641 64 559 3 487 ‐ 68 046 12% ≤ PD < 100% ‐ 3 338 ‐ 3 338 ‐ 2 064 ‐ 2 064 PD = 100% ‐ ‐ 186 186 ‐ ‐ 119 119 Total Hors clientèle de détail 164 120 14 285 186 178 591 155 740 5 758 119 161 617 Provisions (1) -1 252 -2 061 ‐ -3 313 -855 -490 ‐ -1 345 Total 442 973 33 770 957 477 700 427 642 11 650 613 439 905 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 2 679 2 312 ‐ 4 991 5 195 ‐ ‐ 5 195 0,5% < PD ≤ 2% 2 615 1 905 ‐ 4 520 5 136 ‐ ‐ 5 136 2% < PD ≤ 20% 22 197 2 367 ‐ 24 564 21 372 490 ‐ 21 862 20% < PD < 100% ‐ 232 ‐ 232 ‐ 309 ‐ 309 PD = 100% ‐ ‐ 164 164 ‐ ‐ ‐ ‐ Total Clientèle de détail 27 491 6 816 164 34 471 31 703 799 ‐ 32 502 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 13 687 462 ‐ 14 149 17 680 ‐ ‐ 17 680 0,6% < PD < 12% 127 856 795 ‐ 128 651 138 261 857 ‐ 139 118 12% ≤ PD < 100% ‐ 822 ‐ 822 ‐ 548 ‐ 548 PD = 100% ‐ ‐ 1 120 1 120 ‐ ‐ 1 397 1 397 Total Hors clientèle de détail 141 543 2 079 1 120 144 742 155 941 1 405 1 397 158 743 Provisions (1) -424 -410 -723 -1 557 -134 -140 -2 052 -2 326 Total 168 610 8 485 561 177 656 187 510 2 064 -655 188 919 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Concentrations du risque de crédit par agent économique : — Actifs financiers au coût amorti par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 664 006 32 734 14 534 711 274 719 996 12 158 5 861 738 015 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit 60 255 ‐ 2 190 62 445 56 215 ‐ 2 195 58 410 Grandes entreprises 914 322 110 609 31 506 1 056 437 768 346 42 933 37 024 848 303 Clientèle de détail 3 750 482 406 449 150 471 4 307 402 3 516 870 295 226 147 207 3 959 303 Dépréciations -12 177 -36 101 -123 686 -171 964 -8 046 -30 625 -129 153 -167 824 Total 5 376 888 513 691 75 015 5 965 594 5 053 381 319 692 63 134 5 436 207 — Dettes envers la clientèle par agent économique : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Administration générale 4 672 7 321 Grandes entreprises 1 089 703 838 003 Clientèle de détail 1 626 656 1 440 624 Total Dettes envers la clientèle 2 721 031 2 285 948 — Engagements de financement par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 43 672 865 ‐ 44 537 42 761 ‐ ‐ 42 761 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 120 448 13 420 186 134 054 112 979 5 758 119 118 856 Clientèle de détail 280 105 21 546 771 302 422 272 757 6 382 494 279 633 Provisions (1) -1 252 -2 061 ‐ -3 313 -855 -490 ‐ -1 345 Total 442 973 33 770 957 477 700 427 642 11 650 613 439 905 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 2 990 ‐ ‐ 2 990 3 125 ‐ ‐ 3 125 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 138 553 2 079 1 120 141 752 152 816 1 405 1 397 155 618 Clientèle de détail 27 491 6 816 164 34 471 31 703 799 ‐ 32 502 Provisions (1) -424 -410 -723 -1 557 -134 -140 -2 052 -2 326 Total 168 610 8 485 561 177 656 187 510 2 064 -655 188 919 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Concentrations du risque de crédit par zone géographique — Actifs financiers au coût amorti par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 5 239 547 507 712 107 695 5 854 954 4 900 697 297 337 106 175 5 304 209 Autres pays de l'Union européenne 145 658 41 263 88 796 275 717 156 441 52 519 83 898 292 858 Autres pays d'Europe 2 210 11 16 2 237 1 929 17 ‐ 1 946 Amérique du Nord 1 143 588 2 190 3 921 1 764 147 2 195 4 106 Amériques centrale et du Sud 50 ‐ ‐ 50 62 ‐ ‐ 62 Afrique et Moyen-Orient 377 218 4 599 440 297 3 740 Asie et Océanie (hors Japon) 80 ‐ ‐ 80 94 ‐ 16 110 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépréciations -12 177 -36 101 -123 686 -171 964 -8 046 -30 625 -129 153 -167 824 Total 5 376 888 513 691 75 015 5 965 594 5 053 381 319 692 63 134 5 436 207 — Dettes envers la clientèle par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 France (y compris DOM-TOM) 2 629 196 2 194 292 Autres pays de l'Union européenne 83 049 83 129 Autres pays d'Europe 3 516 3 491 Amérique du Nord 2 538 2 486 Amériques centrale et du Sud 280 138 Afrique et Moyen-Orient 1 912 2 097 Asie et Océanie (hors Japon) 539 312 Japon 1 3 Organismes supra-nationaux ‐ ‐ Total Dettes envers la clientèle 2 721 031 2 285 948 — Engagements de financement par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 442 911 35 823 957 479 691 427 800 12 135 613 440 548 Autres pays de l'Union européenne 932 5 ‐ 937 558 4 ‐ 562 Autres pays d'Europe 320 1 ‐ 321 74 ‐ ‐ 74 Amérique du Nord 20 ‐ ‐ 20 21 1 ‐ 22 Amériques centrale et du Sud 5 ‐ ‐ 5 6 ‐ ‐ 6 Afrique et Moyen-Orient 27 2 ‐ 29 27 ‐ ‐ 27 Asie et Océanie (hors Japon) 10 ‐ ‐ 10 11 ‐ ‐ 11 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -1 252 -2 061 ‐ -3 313 -855 -490 ‐ -1 345 Total 442 973 33 770 957 477 700 427 642 11 650 613 439 905 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2020 Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 169 034 8 895 1 284 179 213 187 642 2 204 1 397 191 243 Autres pays de l'Union européenne ‐ ‐ ‐ ‐ 2 ‐ ‐ 2 Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -424 -410 -723 -1 557 -134 -140 -2 052 -2 326 Total 168 610 8 485 561 177 656 187 510 2 064 -655 188 919 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan 3.1.5. Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement : — Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique : (En milliers d'Euros) Valeur comptable au 31 décembre 2020 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Bucket 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Bucket 2) Actifs dépréciés (Bucket 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Administration générale ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Clientèle de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 11 813 5 376 ‐ 11 943 5 682 15 2 350 6 396 45 161 Administration générale 2 639 185 ‐ 924 ‐ ‐ ‐ 843 915 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 2 245 39 ‐ 2 048 -100 ‐ 845 249 1 997 Clientèle de détail 6 929 5 152 ‐ 8 971 5 782 15 1 505 5 304 42 249 Total 11 813 5 376 ‐ 11 943 5 682 15 2 350 6 396 45 161 (En milliers d'Euros) Valeur comptable au 31 décembre 2019 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Bucket 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Bucket 2) Actifs dépréciés (Bucket 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Administration générale ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Clientèle de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 21 096 1 745 ‐ 12 196 8 141 ‐ 3 186 4 325 41 572 Administration générale 3 194 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 8 217 499 ‐ 1 109 -93 ‐ 780 588 2 200 Clientèle de détail 9 685 1 246 ‐ 11 087 8 234 ‐ 2 406 3 737 39 372 Total 21 096 1 745 ‐ 12 196 8 141 ‐ 3 186 4 325 41 572 3.2. Risque de marché (cf. Rapport de gestion) Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle. — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. — Instruments dérivés de couverture – Juste valeur actif : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 4 981 31 278 ‐ 36 259 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 4 981 31 278 ‐ 36 259 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 4 981 31 278 ‐ 36 259 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif ‐ ‐ ‐ 4 981 31 278 ‐ 36 259 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 195 50 558 16 51 769 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 195 50 558 16 51 769 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 195 50 558 16 51 769 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif ‐ ‐ ‐ 1 195 50 558 16 51 769 — Instruments dérivés de couverture – Juste valeur passif : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 942 22 004 125 957 149 903 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 942 22 004 125 957 149 903 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 942 22 004 125 957 149 903 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif ‐ ‐ ‐ 1 942 22 004 125 957 149 903 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 3 842 22 178 105 881 131 901 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 3 842 22 178 105 881 131 901 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 3 842 22 178 105 881 131 901 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif ‐ ‐ ‐ 3 842 22 178 105 881 131 901 — Instruments dérivés de transaction – Juste valeur actif : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 50 588 638 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 50 588 638 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ 1 ‐ ‐ 1 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ 1 ‐ ‐ 1 Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 50 588 639 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ 30 ‐ ‐ 30 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif ‐ ‐ ‐ 31 50 588 669 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 71 278 349 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 71 278 349 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 1 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 1 Sous-total ‐ ‐ ‐ ‐ 71 279 350 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ 19 ‐ ‐ 19 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif ‐ ‐ ‐ 19 71 279 369 — Instruments dérivés de transaction – Juste valeur passif : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 8 42 618 668 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 8 42 618 668 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ 1 57 58 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ 1 57 58 Sous-total ‐ ‐ ‐ 8 43 675 726 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ 30 ‐ ‐ 30 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif ‐ ‐ ‐ 38 43 675 756 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 71 295 366 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 71 295 366 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 81 81 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 81 81 Sous-total ‐ ‐ ‐ ‐ 71 376 447 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ 19 ‐ ‐ 19 Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif ‐ ‐ ‐ 19 71 376 466 — Opérations sur instruments dérivés : Montant des engagements : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Total encours notionnel Total encours notionnel Instruments de taux d'intérêt 2 149 156 2 187 034 Futures ‐ ‐ FRA ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts 2 149 156 2 187 034 Options de taux ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ 14 496 Opérations fermes de change ‐ ‐ Options de change ‐ 14 496 Autres instruments ‐ ‐ Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ Autres ‐ ‐ Sous-total 2 149 156 2 201 530 Opérations de change à terme 4 725 4 971 Total notionnels 2 153 881 2 206 501 Risque de change (cf. Rapport de gestion page ) 3.3. Risque de liquidité et de financement (cf. Rapport de page ) — Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 456 575 1 233 136 347 47 633 ‐ 641 788 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 296 476 706 624 1 774 894 3 158 712 20 831 5 957 537 Total 753 051 707 857 1 911 241 3 206 345 20 831 6 599 325 Dépréciations -169 759 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle 6 429 566 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 194 595 1 899 128 076 78 411 ‐ 402 981 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 311 910 444 796 1 714 337 2 940 830 5 748 5 417 621 Total 506 505 446 695 1 842 413 3 019 241 5 748 5 820 602 Dépréciations -165 539 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle 5 655 063 — Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 506 489 876 914 1 495 266 641 148 ‐ 3 519 817 Dettes envers la clientèle 2 319 922 171 532 183 697 45 880 ‐ 2 721 031 Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 2 826 411 1 048 446 1 678 963 687 028 ‐ 6 240 848 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 437 228 935 197 1 157 999 665 035 ‐ 3 195 459 Dettes envers la clientèle 1 845 741 188 625 213 433 38 149 ‐ 2 285 948 Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 2 282 969 1 123 822 1 371 432 703 184 ‐ 5 481 407 — Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre : Bons de caisse 36 60 ‐ ‐ ‐ 96 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 85 200 154 932 ‐ ‐ 155 217 Emprunts obligataires 4 ‐ ‐ 22 195 ‐ 22 199 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes représentées par un titre 125 260 154 932 22 195 ‐ 177 512 Dettes subordonnées : Dettes subordonnées à durée déterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes subordonnées à durée indéterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépôts de garantie à caractère mutuel ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres et emprunts participatifs ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre : Bons de caisse 36 ‐ ‐ ‐ ‐ 36 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 93 209 156 324 ‐ ‐ 156 626 Emprunts obligataires 2 ‐ ‐ 13 949 ‐ 13 951 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes représentées par un titre 131 209 156 324 13 949 ‐ 170 613 Dettes subordonnées : Dettes subordonnées à durée déterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes subordonnées à durée indéterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépôts de garantie à caractère mutuel ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres et emprunts participatifs ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Garanties financières en risque données par maturité attendue. — Les montants présentés correspondent au montant attendu d’appel des garanties financières en risque, c'est-à-dire qui ont fait l’objet de provisions ou qui sont sous surveillance. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données 14 ‐ ‐ ‐ ‐ 14 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données 28 ‐ ‐ ‐ ‐ 28 Les échéances contractuelles des instruments dérivés sont présentées dans la note 3.2 " Risque de marché " . 3.4. Comptabilité de couverture . — (Cf. Note 3.2 "Risque de marché" et Chapitre "Gestion des risques – Gestion du bilan" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A.) — Couverture de juste valeur : Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variable. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe. — Couverture de flux de trésorerie : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable. Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable. — Couverture d’un investissement net en devise : Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères. — Instruments dérivés de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur de marché Montant notionnel Valeur de marché Montant notionnel Positive Négative Positive Négative Couverture de juste valeur 36 259 149 404 2 073 596 51 769 131 150 2 127 170 Taux d'intérêt 36 259 149 404 2 073 596 51 769 131 150 2 127 170 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de flux de trésorerie ‐ 499 25 000 ‐ 751 25 000 Taux d'intérêt ‐ 499 25 000 ‐ 751 25 000 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Instruments dérivés de couverture 36 259 149 903 2 098 596 51 769 131 901 2 152 170 — Opérations sur instruments dérivés de couverture : analyse par durée résiduelle (notionnels) La ventilation des notionnels des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 485 092 708 969 904 535 2 098 596 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 485 092 708 969 904 535 2 098 596 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 485 092 708 969 904 535 2 098 596 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Notionnel des instruments dérivés de couverture ‐ ‐ ‐ 485 092 708 969 904 535 2 098 596 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 255 364 1 059 940 836 866 2 152 170 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 255 364 1 059 940 836 866 2 152 170 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 255 364 1 059 940 836 866 2 152 170 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Notionnel des instruments dérivés de couverture ‐ ‐ ‐ 255 364 1 059 940 836 866 2 152 170 La note 3.2 "Risque de marché - Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle" présente la ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés de couverture par maturité contractuelle résiduelle. Couverture de juste valeur : — Instruments dérivés de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Actif Passif Couverture de juste valeur Marchés organisés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Marchés de gré à gré 7 938 51 410 -5 095 306 057 10 790 48 949 -9 020 294 045 Taux d'intérêt 7 938 51 410 -5 095 306 057 10 790 48 949 -9 020 294 045 Instruments fermes 7 938 51 410 -5 095 306 057 10 790 48 949 -9 020 294 045 Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de juste valeur 7 938 51 410 -5 095 306 057 10 790 48 949 -9 020 294 045 Couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 28 321 97 994 -29 396 1 767 539 40 979 82 201 -45 000 1 833 125 Total couverture de juste valeur 36 259 149 404 -34 491 2 073 596 51 769 131 150 -54 020 2 127 170 Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Eléments couverts : Micro-couvertures (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liées à la couverture (y compris cessations de couvertures au cours de la période) Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liées à la couverture (y compris cessations de couvertures au cours de la période) Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 300 178 49 145 ‐ 2 441 285 791 46 919 ‐ 6 696 Taux d'intérêt 300 178 49 145 ‐ 2 441 285 791 46 919 ‐ 6 696 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments d'actif 300 178 49 145 ‐ 2 441 285 791 46 919 ‐ 6 696 Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 59 932 4 932 ‐ -1 392 61 324 6 324 ‐ -892 Taux d'intérêt 59 932 4 932 ‐ -1 392 61 324 6 324 ‐ -892 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments de passif 59 932 4 932 ‐ -1 392 61 324 6 324 ‐ -892 La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste du bilan auquel elle se rattache. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. Macro-couvertures (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 1 414 931 ‐ 1 405 007 ‐ Total - actifs 1 414 931 ‐ 1 405 007 ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 457 268 ‐ 529 726 ‐ Total - passifs 457 268 ‐ 529 726 ‐ La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste « Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux » au bilan. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Résultat de la comptabilité de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y compris cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y compris cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y compris cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y compris cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Taux d'intérêt -34 491 33 367 -1 124 -54 020 52 588 -1 432 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total -34 491 33 367 -1 124 -54 020 52 588 -1 432 Couverture de flux de trésorerie et d’investissements nets à l’étranger — Instruments dérivés de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Actif Passif Couverture de flux de trésorerie Marchés organisés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Marchés de gré à gré ‐ 499 251 25 000 ‐ 751 248 25 000 Taux d'intérêt ‐ 499 251 25 000 ‐ 751 248 25 000 Instruments fermes ‐ 499 251 25 000 ‐ 751 248 25 000 Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de flux de trésorerie ‐ 499 251 25 000 ‐ 751 248 25 000 Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des macro-couvertures de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie ‐ 499 251 25 000 ‐ 751 248 25 000 Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres » à l’exception de la part inefficace de la relation de couverture qui est comptabilisée au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Résultat de la comptabilité de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisé sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisé sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt 251 ‐ ‐ 248 ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie 251 ‐ ‐ 248 ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie et d'investissement net dans une activité à l'étranger 251 ‐ ‐ 248 ‐ ‐ 3.5. Risques opérationnels . — (cf. Rapport de gestion page ) 3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires . — Conformément au règlement européen 575/2013 (CRR), la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité, de levier et de liquidité. La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013, applicables depuis le 1er janvier 2014, et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne (BCE) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché. Ce dispositif prudentiel consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de fonds propres et des exigences supplémentaires en matière de la liquidité et du levier. Les fonds propres sont répartis en trois catégories : les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), déterminés à partir des capitaux propres retraités, notamment de certains instruments de capital qui sont classés en Additional Tier 1 (AT1), et de déductions des immobilisations incorporelles ; les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1 , constitués du Common Equity Tier 1 et des instruments de fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 perpétuels ; les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans. Pour être reconnus en fonds propres, les instruments de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion exigeants. Si d’anciens instruments ne sont pas ou plus éligibles, ils font l’objet d’une clause de "grand-père" permettant de les éliminer des fonds propres de façon progressive. Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier 1 (AT1) et du Tier 2 . Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances, quand l’établissement ne bénéficie pas de la dérogation conglomérat financier". En 2020 comme en 2019 et selon la règlementation en vigueur, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a respecté les exigences réglementaires. 4. – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . 4.1. Produits et charges d’intérêts  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Sur les actifs financiers au coût amorti 129 488 135 070 Opérations avec les établissements de crédit 1 624 1 915 Opérations internes au Crédit Agricole 10 614 10 039 Opérations avec la clientèle 114 536 120 271 Opérations de location-financement ‐ ‐ Titres de dettes 2 714 2 845 Sur les actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ Opérations avec les établissements de crédit ‐ ‐ Opérations avec la clientèle ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ Intérêts courus et échus des instruments de couverture 20 309 19 159 Autres intérêts et produits assimilés ‐ ‐ Produits d'intérêts (1) (2) (3) 149 797 154 229 Sur les passifs financiers au coût amorti -41 032 -48 412 Opérations avec les établissements de crédit -1 961 -1 289 Opérations internes au Crédit Agricole -21 712 -24 691 Opérations avec la clientèle -10 405 -16 703 Opérations de location-financement ‐ ‐ Dettes représentées par un titre -6 954 -5 729 Dettes subordonnées ‐ ‐ Intérêts courus et échus des instruments de couverture -28 421 -29 356 Autres intérêts et charges assimilées -15 -5 Charges d'intérêts -69 468 -77 773 (1) Dont 1 910 milliers d'euros sur créances dépréciées (Bucket 3) au 31 décembre 2020 contre 2 418 milliers d'euros au 31 décembre 2019 (2) Dont 230 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2020 contre 341 milliers d'euros au 31 décembre 2019 . (3) Le montant des intérêts négatifs perçus s’élève à 6 261 milliers d’euros dont 2 997 milliers d’euros sur les emprunts (dont 599 milliers d’euros pour le TLTRO II et 1 263 milliers d’euros pour le TLTRO III en 2020), 1 170 milliers d’euros sur les avances et 2 085 milliers d’euros sur les avances miroir) ; 4.2. Produits et charges de commissions  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 95 -28 67 64 -31 33 Sur opérations internes au Crédit Agricole 4 075 -15 272 -11 197 4 753 -12 638 -7 885 Sur opérations avec la clientèle 2 660 -351 2 309 20 317 -367 19 950 Sur opérations sur titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur opérations de change 21 ‐ 21 27 ‐ 27 Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers 70 730 -6 431 64 299 48 427 -6 097 42 330 Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues 1 054 -46 1 008 810 -29 781 Total Produits et charges de commissions 78 635 -22 128 56 507 74 398 -19 162 55 236 4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Dividendes reçus 13 15 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif détenus à des fins de transaction 2 -10 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 95 5 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur instruments de dette ne remplissant pas les critères SPPI -142 -290 Gains ou pertes nets sur actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option (1) ‐ ‐ Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger) 116 150 Résultat de la comptabilité de couverture -1 125 -1 432 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat -1 041 -1 562 (1) Hors spread de crédit émetteur pour les passifs à la juste valeur par résultat sur option concernés Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Profits Pertes Net Profits Pertes Net Couverture de juste valeur 114 954 -116 216 -1 262 111 217 -112 649 -1 432 Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts 60 017 -56 185 3 832 60 118 -52 531 7 587 Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couverture) 54 937 -60 031 -5 094 51 099 -60 118 -9 019 Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 228 681 -228 544 137 197 764 -197 764 ‐ Variations de juste valeur des éléments couverts 129 016 -99 482 29 534 121 382 -76 382 45 000 Variations de juste valeur des dérivés de couverture 99 665 -129 062 -29 397 76 382 -121 382 -45 000 Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Résultat de la comptabilité de couverture 343 635 -344 760 -1 125 308 981 -310 413 -1 432 Le détail du résultat de la comptabilité de couverture par type de relation (Couverture de juste valeur, Couverture de flux de trésorerie,…) est présenté dans la note 3.4 "Comptabilité de couverture". 4.4. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables (1) ‐ ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 3 573 18 168 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 3 573 18 168 (1) Hors résultat de cession sur instruments de dettes dépréciés (Bucket 3) mentionné en note 4.8 « Coût du risque ». 4.5. Produits (charges) nets des autres activités  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation ‐ ‐ Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d’assurance ‐ ‐ Autres produits nets de l’activité d’assurance ‐ ‐ Variation des provisions techniques des contrats d’assurance ‐ ‐ Produits nets des immeubles de placement -33 12 Autres produits (charges) nets -658 270 Produits (charges) des autres activités -691 282 4.6. Charges générales d’exploitation  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Charges de personnel -57 830 -58 256 Impôts, taxes et contributions réglementaires (1) -5 618 -4 471 Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation -35 358 -37 270 Charges générales d'exploitation -98 806 -99 997 (1) Dont 1 385 milliers d’euros comptabilisés au titre du fonds de résolution au 31 décembre 2020 Honoraires des commissaires aux comptes. — La répartition par cabinet et par type de mission des honoraires des commissaires aux comptes des sociétés de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée intégrées globalement est la suivante au titre de 2020 : Collège des Commissaires aux comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée (En milliers d'Euros hors taxes) EY KPMG Total 2020 2020 2019 2020 2019 Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés 94 99 57 59 151 Emetteur 94 99 57 59 151 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Services autres que la certification des comptes 5 3 15 15 20 Emetteur 5 3 15 15 20 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 99 102 72 74 171 Le montant total des honoraires de Ernst & Young, commissaire aux comptes de la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée, figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 99 milliers d’euros, dont 94 milliers d’euros au titre de la mission de certification des comptes de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée et ses filiales, et 5 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes (lettres de confort, procédures convenues, attestations, consultations, etc.). Le montant total des honoraires de KPMG, commissaire aux comptes de la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée, figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 72 milliers d’euros, dont 57 milliers d’euros au titre la mission de certification des comptes de la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée et ses filiales, et 15 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes (lettres de confort, procédures convenues, attestations, revue de conformité de déclarations fiscales, consultations, etc.). 4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Dotations aux amortissements -4 317 -4 326 Immobilisations corporelles (1) -4 258 -4 292 Immobilisations incorporelles -59 -34 Dotations (reprises) aux dépréciations ‐ -389 Immobilisations corporelles ‐ -389 Immobilisations incorporelles ‐ ‐ Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles -4 317 -4 715 (1) Dont 748 milliers d’euros comptabilisés au titre de l'amortissement du droit d'utilisation au 31 décembre 2020 4.8. Coût du risque  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs et provisions sur engagements hors bilan sains (Bucket 1 et Bucket 2) (A) -12 134 -7 273 Bucket 1 : Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir -4 818 -442 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -4 132 -361 Engagements par signature -686 -81 Bucket 2 : Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour la durée de vie -7 316 -6 831 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -5 476 -6 924 Engagements par signature -1 840 93 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs et provisions sur engagements hors bilan dépréciés (Bucket 3) (B) 2 699 6 329 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 1 370 6 784 Engagements par signature 1 329 -455 Autres actifs (C) 261 -1 364 Risques et charges (D) 100 356 Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions (E)= (A)+ (B)+ (C)+ (D) -9 074 -1 952 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables dépréciés ‐ ‐ Gains ou pertes réalisés sur instruments de dettes comptabilisés au coût amorti dépréciés ‐ ‐ Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés -113 -243 Récupérations sur prêts et créances 808 899 Comptabilisés au coût amorti 808 899 Comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Décotes sur crédits restructurés -7 -79 Pertes sur engagements par signature ‐ ‐ Autres pertes (1) -660 -97 Autres produits (2) 517 ‐ Coût du risque -8 529 -1 472 (1) Dont 517 milliers d'euros relatifs à l’appel de la garantie Switch Assurance, versés à Crédit Agricole S.A. en septembre 2020 pour combler la baisse de la valeur de mise en équivalence des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels (2) Dont 517 milliers d'euros relatifs au retour à meilleure fortune de la garantie Switch Assurance, à recevoir de Crédit Agricole S.A. suite à la hausse de la valeur de mise en équivalence des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels. Le montant sera versé en date du 1er mars 2021. 4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Immobilisations corporelles et incorporelles d’exploitation 546 -643 Plus-values de cession 550 114 Moins-values de cession -4 -757 Titres de capitaux propres consolidés ‐ ‐ Plus-values de cession ‐ ‐ Moins-values de cession ‐ ‐ Produits (charges) nets sur opérations de regroupement ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs 546 -643 4.10 Impôts  : — Charge d’impôt : En milliers d'Euros 31/12/2020 31/12/2019 Charge d'impôt courant -11 756 -12 027 Charge d'impôt différé 4 289 1 611 Total Charge d'impôt -7 467 -10 416 — Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté: Au 31 décembre 2020  : (En milliers d'Euros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 27 571 32,02% -8 828 Effet des différences permanentes 1 251 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères 3 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires 627 Effet de l’imposition à taux réduit -28 Changement de taux ‐ Effet des autres éléments -1 637 Taux et charge effectifs d'impôt 27,08% -7 467 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2020 . Au 31 décembre 2019  : (En milliers d'Euros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 41 753 34,43% -14 376 Effet des différences permanentes 2 136 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères -9 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires -1 158 Effet de l’imposition à taux réduit -22 Changement de taux ‐ Effet des autres éléments 3 013 Taux et charge effectifs d'impôt 24,95% -10 416 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2019 . 4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période : — Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables : Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 252 248 Ecart de réévaluation de la période 252 248 Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -65 -64 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 187 184 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -375 -747 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en réserves ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables -31 202 27 726 Ecart de réévaluation de la période -32 404 27 706 Transferts en réserves 1 202 ‐ Autres variations ‐ 20 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 1 484 -758 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -30 093 26 221 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres -29 906 26 405 Dont part du Groupe -29 906 26 405 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ — Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et effets d’impôt : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Variation 31/12/2020 Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture -743 194 -549 -549 252 -65 187 187 -491 129 -362 -362 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -743 194 -548 -549 252 -65 187 187 -491 129 -362 -362 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables -743 194 -548 -549 252 -65 187 187 -491 129 -362 -362 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -5 197 1 342 -3 855 -3 855 -375 97 -278 -278 -5 572 1 439 -4 133 -4 133 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 124 894 -4 172 120 722 120 722 -31 202 1 387 -29 815 -29 815 93 692 -2 785 90 907 90 907 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 119 697 -2 830 116 867 116 867 -31 577 1 484 -30 093 -30 093 88 120 -1 346 86 774 86 774 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 119 697 -2 830 116 867 116 867 -31 577 1 484 -30 093 -30 093 88 120 -1 346 86 774 86 774 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 118 954 -2 636 116 319 116 318 -31 325 1 419 -29 907 -29 906 87 629 -1 217 86 412 86 412 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Variation 31/12/2019 Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture -991 258 -733 -733 248 -64 184 184 -743 194 -549 -549 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -991 258 -732 -733 248 -64 184 184 -743 194 -548 -549 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables -991 258 -732 -733 248 -64 184 184 -743 194 -548 -549 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -4 450 1 149 -3 301 -3 301 -747 193 -554 -554 -5 197 1 342 -3 855 -3 855 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 97 168 -3 221 93 947 93 947 27 726 -951 26 775 26 775 124 894 -4 172 120 722 120 722 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 92 718 -2 072 90 646 90 646 26 979 -758 26 221 26 221 119 697 -2 830 116 867 116 867 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 92 718 -2 072 90 646 90 646 26 979 -758 26 221 26 221 119 697 -2 830 116 867 116 867 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 91 727 -1 814 89 914 89 913 27 227 -822 26 405 26 405 118 954 -2 636 116 319 116 318 5. – Informations sectorielles . Définition des secteurs opérationnels. — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois, concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf. note 3.1) 5.1. Information sectorielle par zone géographique . — L’analyse géographique des actifs et des résultats sectoriels repose sur le lieu d’enregistrement comptable des activités. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Résultat net part Groupe Dont Produit net bancaire Actifs sectoriels Dont écarts d'acquisition Résultat net part Groupe Dont Produit net bancaire Actifs sectoriels Dont écarts d'acquisition France (y compris DOM-TOM) 20 654 137 526 ‐ ‐ 31 839 147 025 ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays de l'Union Européenne -550 1 151 ‐ ‐ -502 1 555 ‐ ‐ Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques Centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 20 104 138 677 ‐ ‐ 31 337 148 580 ‐ ‐ 6. – Notes relatives au bilan . 6.1. Caisse, banques centrales  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Actif Passif Actif Passif Caisse 38 936 ‐ 43 366 ‐ Banques centrales 392 ‐ 3 441 ‐ Valeur au bilan 39 328 ‐ 46 807 ‐ 6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat  : — Actifs financiers à la juste valeur par résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 669 369 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 139 270 98 903 Instruments de capitaux propres 792 697 Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 138 478 98 206 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 139 939 99 272 Dont Titres prêtés ‐ ‐ — Actifs financiers détenus à des fins de transaction : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Instruments de capitaux propres ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Instruments dérivés 669 369 Valeur au bilan 669 369 Les montants relatifs aux titres reçus en pension livrée comprennent ceux que l’entité est autorisée à redonner en garantie. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 792 697 Total Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 792 697 — Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Titres de dettes 138 478 98 206 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 1 082 1 023 OPCVM 137 396 97 183 Prêts et créances ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Total Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI à la juste valeur par résultat 138 478 98 206 — Passifs financiers à la juste valeur par résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 756 466 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 756 466 — Passifs financiers détenus à des fins de transaction : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Titres vendus à découvert ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ Instruments dérivés 756 466 Valeur au bilan 756 466 Une information détaillée sur les instruments dérivés de transaction est fournie dans la note 3.2 relative au risque de marché, notamment sur taux d’intérêt. 6.3. Instruments dérivés de couverture . — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 "Comptabilité de couverture". 6.4. Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 565 655 104 713 -11 021 611 466 134 603 -9 709 Total 565 655 104 713 -11 021 611 466 134 603 -9 709 — Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables : Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres non recyclables : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Actions et autres titres à revenu variable 2 237 ‐ ‐ 1 488 ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 563 418 104 713 -11 021 609 978 134 603 -9 709 Total Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 565 655 104 713 -11 021 611 466 134 603 -9 709 Impôts sur les bénéfices -2 785 ‐ -4 172 ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (nets d'impôt) 101 928 -11 021 130 431 -9 709 Instruments de capitaux propres ayant été décomptabilisés au cours de la période : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Juste Valeur à la date de décomptabilisation Gains cumulés réalisés (1) Pertes cumulées réalisées (1) Juste Valeur à la date de décomptabilisation Gains cumulés réalisés (1) Pertes cumulées réalisées (1) Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés -1 202 ‐ -1 202 23 ‐ ‐ Total Placements dans des instruments de capitaux propres -1 202 ‐ -1 202 23 ‐ ‐ Impôts sur les bénéfices ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (nets d'impôt) ‐ -1 202 ‐ ‐ Au cours de l'exercice, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a procédé à l’absorption et fusion de la SCI Château de Castelnou. 6.5. Actifs financiers au coût amorti  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Prêts et créances sur les établissements de crédit 641 788 402 981 Prêts et créances sur la clientèle (1) 5 787 778 5 252 082 Titres de dettes 167 442 176 910 Valeur au bilan 6 597 008 5 831 973 (1) Au 31 décembre 2020, dans le cadre des mesures de soutien à l'économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19, le montant des encours de prêts garantis par l'Etat (PGE) accordés par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée s'élève à 244 892 milliers d'euros et celui des reports d'échéances d'encours de prêts à la clientèle à 741 531 milliers d'euros (dont 55 419 milliers d'euros d'échéances d'encours de prêts reportées). — Prêts et créances sur les établissements de crédit : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Etablissements de crédit : Comptes et prêts 10 217 7 058 Dont comptes ordinaires débiteurs non douteux (1) 10 217 7 058 Dont comptes et prêts au jour le jour non douteux (1) ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Prêts subordonnés 157 157 Autres prêts et créances ‐ ‐ Valeur brute 10 374 7 215 Dépréciations ‐ ‐ Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit 10 374 7 215 Opérations internes au Crédit Agricole : Comptes ordinaires 444 666 186 314 Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Comptes et avances à terme 186 748 209 452 Prêts subordonnés ‐ ‐ Total Prêts et créances internes au Crédit Agricole 631 414 395 766 Valeur au bilan 641 788 402 981 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique "Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit" du Tableau des flux de trésorerie — Prêts et créances sur la clientèle : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Opérations avec la clientèle : Créances commerciales 4 318 9 687 Autres concours à la clientèle 5 911 943 5 384 061 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 20 896 5 813 Comptes ordinaires débiteurs 20 380 18 060 Valeur brute 5 957 537 5 417 621 Dépréciations -169 759 -165 539 Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle 5 787 778 5 252 082 Opérations de location-financement : Location-financement immobilier ‐ ‐ Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées ‐ ‐ Valeur brute ‐ ‐ Dépréciations ‐ ‐ Valeur nette des opérations de location-financement ‐ ‐ Valeur au bilan 5 787 778 5 252 082 — Titres de dettes : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Effets publics et valeurs assimilées 105 690 107 017 Obligations et autres titres à revenu fixe 63 957 72 178 Total 169 647 179 195 Dépréciations -2 205 -2 285 Valeur au bilan 167 442 176 910 6.6. Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue  : — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2020  : Nature des actifs transférés (En milliers d'Euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passif associés Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) dont pensions livrées dont autres Juste valeur (1) Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) dont pensions livrées dont autres (1) Juste valeur (2) Juste valeur nette (2) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 24 831 24 831 ‐ ‐ 24 831 22 199 22 199 ‐ ‐ 22 199 2 632 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 24 831 24 831 ‐ ‐ 24 831 22 199 22 199 ‐ ‐ 22 199 2 632 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 24 831 24 831 ‐ ‐ 24 831 22 199 22 199 ‐ ‐ 22 199 2 632 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 24 831 24 831 ‐ ‐ 24 831 22 199 22 199 ‐ ‐ 22 199 2 632 ‐ ‐ ‐ (1) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2019  : Nature des actifs transférés (En milliers d'euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passif associés Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) dont pensions livrées dont autres Juste valeur (1) Valeur comptable dont titrisations (non déconsolidantes) Dont pensions livrées Dont autres (1) Juste valeur (2) Juste valeur nette (2) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 16 048 16 048 ‐ ‐ 16 048 13 951 13 951 ‐ ‐ 13 951 2 097 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 16 048 16 048 ‐ ‐ 16 048 13 951 13 951 ‐ ‐ 13 951 2 097 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 16 048 16 048 ‐ ‐ 16 048 13 951 13 951 ‐ ‐ 13 951 2 097 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 16 048 16 048 ‐ ‐ 16 048 13 951 13 951 ‐ ‐ 13 951 2 097 ‐ ‐ ‐ (1) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). Titrisations. — Les titrisations consolidées avec investisseurs externes constituent un transfert d’actifs au sens de l’amendement à IFRS 7. En effet, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a une obligation contractuelle indirecte de remettre aux investisseurs externes les flux de trésorerie des actifs cédés au fonds de titrisation (bien que ces actifs figurent au bilan de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée via la consolidation du fonds). Les créances cédées au fonds de titrisation servent de garantie aux investisseurs. Les titrisations consolidées intégralement autosouscrites ne constituent pas un transfert d’actif au sens de la norme IFRS 7. Engagements encourus relatifs aux actifs transférés décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2020. — Au titre de l’exercice, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée n’a constaté aucun engagement encouru relatif aux actifs transférés décomptabilisés intégralement. 6.7. Expositions au risque souverain . — Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement. L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture. Les expositions de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée au risque souverain sont les suivantes : — Activité bancaire : 31/12/2020 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Arabie saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Argentine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Egypte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etats-Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 105 684 105 684 ‐ 105 684 Grèce ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Hong-Kong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Iran ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Irlande ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Liban ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Lituanie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Maroc ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume-Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Syrie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Turquie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Yémen ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays souverains ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ 105 684 105 684 ‐ 105 684 31/12/2019 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Arabie saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Argentine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Egypte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etats-Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 106 992 106 992 ‐ 106 992 Grèce ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Hong-Kong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Iran ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Irlande ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Liban ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Lituanie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Maroc ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume-Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Syrie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Turquie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Yémen ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays souverains ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ 106 992 106 992 ‐ 106 992 6.8. Passifs financiers au coût amorti  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Dettes envers les établissements de crédit 3 519 817 3 195 459 Dettes envers la clientèle 2 721 031 2 285 948 Dettes représentées par un titre 177 512 170 613 Valeur au bilan 6 418 360 5 652 020 — Dettes envers les établissements de crédit : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Etablissements de crédit : Comptes et emprunts 323 342 Dont comptes ordinaires créditeurs (1) ‐ ‐ Dont comptes et emprunts au jour le jour (1) ‐ ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Total 323 342 Opérations internes au Crédit Agricole : Comptes ordinaires créditeurs ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Comptes et avances à terme 3 519 494 3 195 117 Total 3 519 494 3 195 117 Valeur au bilan 3 519 817 3 195 459 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique ”Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit” du Tableau des flux de trésorerie — Dettes envers la clientèle : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Comptes ordinaires créditeurs 2 255 373 1 779 277 Comptes d'épargne à régime spécial 17 387 18 133 Autres dettes envers la clientèle 448 271 488 538 Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ Valeur au bilan 2 721 031 2 285 948 — Dettes représentées par un titre  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Bons de caisse 96 36 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ Titres de créances négociables 155 217 156 626 Emprunts obligataires 22 199 13 951 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ Valeur au bilan 177 512 170 613 6.9. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers  : — Compensation – Actifs financiers : Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 36 927 ‐ 36 927 36 391 ‐ 536 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 36 927 ‐ 36 927 36 391 ‐ 536 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 52 137 ‐ 52 137 51 829 ‐ 308 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 52 137 ‐ 52 137 51 829 ‐ 308 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % de dérivés à l'actif à la date d'arrêté — Compensation – Passifs financiers : Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 150 601 ‐ 150 601 36 391 114 180 30 Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emprunts de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 150 601 ‐ 150 601 36 391 114 180 30 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés au passif à la date d'arrêté Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 132 286 ‐ 132 286 51 829 ‐ 80 457 Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emprunts de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 132 286 ‐ 132 286 51 829 ‐ 80 457 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés au passif à la date d'arrêté 6.10. Actifs et passifs d’impôts courants et différés  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Impôts courants 1 082 1 446 Impôts différés 19 777 14 025 Total Actifs d'impôts courants et différés 20 859 15 471 Impôts courants 537 3 947 Impôts différés ‐ ‐ Total Passifs d'impôts courants et différés 537 3 947 Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Impôts différés Actif Impôts différés Passif Impôts différés Actif Impôts différés Passif Décalages temporaires comptables-fiscaux 26 562 ‐ 23 266 ‐ Charges à payer non déductibles 1 866 ‐ 1 682 ‐ Provisions pour risques et charges non déductibles 15 386 ‐ 12 595 ‐ Autres différences temporaires 9 310 ‐ 8 989 ‐ Impôts différés sur réserves latentes -1 860 ‐ -3 210 ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres -2 785 ‐ -4 172 ‐ Couverture de flux de trésorerie 127 ‐ 192 ‐ Gains et pertes sur écarts actuariels 798 ‐ 771 ‐ Gains et pertes sur variation du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ Impôts différés sur résultat -4 925 ‐ -6 031 ‐ Total Impôts différés 19 777 ‐ 14 025 ‐ Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale. 6.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers  : — Comptes de régularisation et actifs divers : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Autres actifs 167 619 143 955 Comptes de stocks et emplois divers 11 101 13 243 Gestion collective des titres Livret de développement durable ‐ ‐ Débiteurs divers (1) 156 504 130 707 Comptes de règlements 14 5 Capital souscrit non versé ‐ ‐ Autres actifs d'assurance ‐ ‐ Parts des réassureurs dans les provisions techniques ‐ ‐ Comptes de régularisation 31 166 39 218 Comptes d'encaissement et de transfert 8 605 18 140 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts ‐ ‐ Produits à recevoir 20 046 20 141 Charges constatées d'avance 268 310 Autres comptes de régularisation 2 247 627 Valeur au bilan 198 785 183 173 (1) dont 1011 milliers d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution Unique, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. — Comptes de régularisation et passifs divers : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Autres passifs (1) 41 128 37 627 Comptes de règlements ‐ ‐ Créditeurs divers 37 401 35 498 Versements restant à effectuer sur titres 2 083 1 414 Autres passifs d'assurance ‐ ‐ Dettes locatives (3) 1 644 715 Autres ‐ ‐ Comptes de régularisation 83 277 70 686 Comptes d'encaissement et de transfert (2) 14 189 7 469 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts ‐ ‐ Produits constatés d’avance 28 406 30 817 Charges à payer 30 499 28 052 Autres comptes de régularisation 10 183 4 348 Valeur au bilan 124 405 108 313 (1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées (2) Les montants sont indiqués en net (3) Tenant compte des effets de première application de la décision de l’IFRS IC du 26 novembre 2019 sur la durée des contrats de location IFRS 16, le solde des dettes locatives au bilan aurait été de 2 015 milliers d’euros au 31/12/2019 (Cf. Note 1.1 Normes applicables et comparabilité) 6.12. Immeubles de placement  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2020 Valeur brute 7 619 ‐ 962 -1 193 ‐ 112 7 500 Amortissements et dépréciations -3 577 ‐ -235 575 ‐ ‐ -3 237 Valeur au bilan (1) 4 042 ‐ 727 -618 ‐ 112 4 263 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2019 Valeur brute 8 472 ‐ 745 -1 834 ‐ 236 7 619 Amortissements et dépréciations -4 192 ‐ -326 941 ‐ ‐ -3 577 Valeur au bilan (1) 4 280 ‐ 419 -893 ‐ 236 4 042 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple Juste valeur des immeubles de placement. — La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût, établie "à dire d’expert", s’élève à 5 686 milliers d’euros au 31 décembre 2020 contre 5 678 milliers d’euros au 31 décembre 2019 . (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 5 686 5 678 Valeur de marché des immeubles de placement 5 686 5 678 Tous les immeubles de placement font l’objet d’une comptabilisation au coût au bilan. 6.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) . — Les immobilisations corporelles d’exploitation incluent les droits d’utilisation des immobilisations prises en location en tant que preneur. Les amortissements et dépréciations des immobilisations corporelles d’exploitation sont présentés y compris amortissements sur immobilisations données en location simple. (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements (1) 31/12/2020 Immobilisations corporelles d'exploitation: Valeur brute 131 556 ‐ 4 027 -1 735 ‐ 1 446 135 294 Amortissements et dépréciations -104 424 ‐ -3 997 1 180 ‐ -260 -107 501 Valeur au bilan 27 132 ‐ 30 -555 ‐ 1 186 27 793 Immobilisations incorporelles: Valeur brute 482 ‐ 42 ‐ ‐ ‐ 524 Amortissements et dépréciations -448 ‐ -59 ‐ ‐ ‐ -507 Valeur au bilan 34 ‐ -17 ‐ ‐ ‐ 17 (1) Tenant compte des effets de première application de la décision de l’IFRS IC du 26 novembre 2019 sur la durée des contrats de location IFRS 16, le solde des droits d’utilisation au bilan aurait été de 2 456 milliers d’euros au 31/12/2019 (contre 899 milliers d’euros avant application de la décision IFRS IC) (Cf. Note 1.1 Normes applicables et comparabilité). (En milliers d'Euros) 31/12/2018 01/01/2019 (1) Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2019 Immobilisations corporelles d'exploitation Valeur brute 131 018 7 890 ‐ 3 603 -4 785 ‐ -6 170 131 556 Amortissements et dépréciations -103 638 -357 ‐ -4 681 3 895 ‐ 357 -104 424 Valeur au bilan 27 380 7 533 ‐ -1 078 -890 ‐ -5 813 27 132 Immobilisations incorporelles Valeur brute 1 308 -3 170 ‐ 51 ‐ ‐ 2 293 482 Amortissements et dépréciations -414 357 ‐ -34 ‐ ‐ -357 -448 Valeur au bilan 894 -2 813 ‐ 17 ‐ ‐ 1 936 34 (1) Impact de la comptabilisation du droit d'utilisation dans le cadre de la première application de la norme IFRS 16 Contrats de location 6.14. Provisions  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2020 Risques sur les produits épargne-logement 7 474 ‐ 1 154 ‐ -513 ‐ ‐ 8 115 Risques d’exécution des engagements par signature 3 671 ‐ 11 095 ‐ -9 896 ‐ ‐ 4 870 Risques opérationnels 1 094 ‐ 170 -56 -219 ‐ ‐ 989 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 3 309 ‐ 57 ‐ -956 ‐ 107 2 517 Litiges divers 410 ‐ 446 -3 -109 ‐ ‐ 744 Participations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 5 763 ‐ 1 105 -1 958 -140 ‐ ‐ 4 770 Total 21 721 ‐ 14 027 -2 017 -11 833 ‐ 107 22 005 (1) Dont 1 844 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 673 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 01/01/2019 (2) Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2019 Risques sur les produits épargne-logement 4 923 4 923 ‐ 2 551 ‐ ‐ ‐ ‐ 7 474 Risques d’exécution des engagements par signature 3 229 3 229 ‐ 12 041 ‐ -11 599 ‐ ‐ 3 671 Risques opérationnels 1 190 1 190 ‐ 110 ‐ -206 ‐ ‐ 1 094 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 3 097 3 097 ‐ 68 ‐ -381 ‐ 525 3 309 Litiges divers 404 404 ‐ 56 ‐ -50 ‐ ‐ 410 Participations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 7 947 7 947 ‐ 1 043 -2 929 -298 ‐ ‐ 5 763 Total 20 790 20 790 ‐ 15 869 -2 929 -12 534 ‐ 525 21 721 (1) Dont 2 670 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 639 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. (2) Reclassement des provisions pour risques fiscaux portant sur l’impôt sur le résultat de la rubrique « Provisions » vers la rubrique « Passifs d’impôts courants et différés » au 1er janvier 2019 — Provision épargne-logement : Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 160 781 141 345 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 357 184 343 516 Ancienneté de plus de 10 ans 407 560 415 966 Total plans d'épargne-logement 925 525 900 827 Total comptes épargne-logement 81 785 76 520 Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement 1 007 310 977 347 Les encours de collecte, hors prime de l'Etat, sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2020 pour les données au 31 décembre 2020 et à fin novembre 2019 pour les données au 31 décembre 2019 . Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Plans d'épargne-logement 316 460 Comptes épargne-logement 1 081 1 538 Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement 1 397 1 998 Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 495 373 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 4 088 4 374 Ancienneté de plus de 10 ans 3 532 2 727 Total plans d'épargne-logement 8 115 7 474 Total comptes épargne-logement ‐ ‐ Total Provision au titre des contrats épargne-logement 8 115 7 474 (En milliers d'euros) 31/12/2019 Dotations Reprises Autres mouvements 31/12/2020 Plans d'épargne-logement 7 474 1 154 -513 ‐ 8 115 Comptes épargne-logement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Provision au titre des contrats épargne-logement 7 474 1 154 -513 ‐ 8 115 L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe "Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes" de la partie "Cadre général". 6.15. Capitaux propres  : Composition du capital au 31 décembre 2020 . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole de Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération. Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement (CCI) et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA). Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts. La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS. Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947. A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent. Les CCI sont émis au profit de titulaires n’ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables. Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées. Répartition du capital de la Caisse Régionale Nombre de titres au 31/12/2019 Nombre de titres émis Nombre de titres remboursés Nombre de titres au 31/12/2020 Certificats Coopératifs d'investissements (CCI) ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part du Public ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part Sacam Mutualisation ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part autodétenue ‐ ‐ ‐ ‐ Certificats Coopératifs d'associés (CCA) 459 957 ‐ ‐ 459 957 Dont part du Public ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part Crédit Agricole S.A. ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part Sacam Mutualisation 459 957 ‐ ‐ 459 957 Parts sociales 18 484 573 4 043 900 1 212 778 21 315 695 Dont 32 caisses locales 18 484 556 4 043 895 1 212 773 21 315 678 Dont 16 administrateurs de la Caisse régionale 16 5 5 16 Dont Crédit Agricole S.A. ‐ ‐ ‐ ‐ Dont Sacam mutualisation 1 ‐ ‐ 1 Dont autres ‐ ‐ ‐ ‐ Total 18 944 530 4 043 900 1 212 778 21 775 652 La valeur nominale des titres est de 15,25 € pour les CCA 15,25 € pour les parts sociales émises par la Caisse régionale 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses locales Au 31 décembre 2020, le montant total du capital est de 39 858 milliers d’euros. Rémunération par titre de capital. — Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation. Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA. Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale à la moyenne, sur les trois années civiles précédant la date de l'assemblée générale, du taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées, majorée de deux points, publié par le ministre chargé de l’économie. La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’Assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales. Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action ne sont pas applicables. Dividendes. — Au titre de l’exercice 2020 , le Conseil d’administration de la Caisse Régionale du Crédit Agricole de Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 25/03/2021 le paiement d’un dividende par parts sociales de 0,01 euro, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale. Année de rattachement du dividende Par CCI Par CCA Par part sociale Montant Net Montant Net Montant Net 2017 ‐ 4,32 0,02 2018 ‐ 4,91 0,02 2019 ‐ 5,06 0,02 Prévu 2020 ‐ 4,32 0,01 Dividendes payés au cours de l’exercice. — Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 2 261 milliers d’euros en 2020 . Affectations du résultat et fixation du dividende 2020 . — L’affectation du résultat la fixation et la mise en paiement du dividende 2020 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée du 25 mars 2021. Le texte de la résolution est le suivant : L’Assemblée Générale accepte l’affectation du résultat de l’exercice 2020 proposée par le Conseil d’Administration et approuvée par Crédit Agricole SA : Résultat des comptes individuels 2020 26 475 145,11€ Report à nouveau 0,00€ Résultat de l’exercice à affecter 26 475 145,11€ Résultat distribué 2 260 573,67€ Intérêts parts sociales Caisse Régionale (1,30%) 273 559,43€ Rémunération des CCA 1 987 014,24€ Résultat Conservé 24 214 571,44€ Réserves légales (75% du disponible) 18 160 928,58€ Autres réserves 6 053 642,86 6.16. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle . — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle. L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle. Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en "Indéterminée". (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 39 328 ‐ ‐ ‐ ‐ 39 328 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 20 14 50 588 139 267 139 939 Instruments dérivés de couverture 262 4 719 31 278 ‐ ‐ 36 259 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 565 655 565 655 Actifs financiers au coût amorti 703 343 708 453 1 932 645 3 231 797 20 770 6 597 008 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 93 902 93 902 Total Actifs financiers par échéance 836 855 713 186 1 963 973 3 232 385 725 692 7 472 091 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 19 19 43 675 ‐ 756 Instruments dérivés de couverture 36 1 906 22 004 125 957 ‐ 149 903 Passifs financiers au coût amorti 2 826 536 1 048 706 1 833 895 709 223 ‐ 6 418 360 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 22 268 22 268 Total Passifs financiers par échéance 2 848 859 1 050 631 1 855 942 835 855 ‐ 6 591 287 (En milliers d'euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 46 807 ‐ ‐ ‐ ‐ 46 807 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 11 13 71 1 297 97 880 99 272 Instruments dérivés de couverture ‐ 1 195 50 558 16 ‐ 51 769 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 611 466 611 466 Actifs financiers au coût amorti 432 276 449 583 1 888 395 3 056 031 5 688 5 831 973 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 77 052 77 052 Total Actifs financiers par échéance 556 146 450 791 1 939 024 3 057 344 715 034 6 718 339 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 19 ‐ 71 376 ‐ 466 Instruments dérivés de couverture 5 3 837 22 178 105 881 ‐ 131 901 Passifs financiers au coût amorti 2 283 100 1 124 031 1 527 756 717 133 ‐ 5 652 020 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 34 726 34 726 Total Passifs financiers par échéance 2 317 850 1 127 868 1 550 005 823 390 ‐ 5 819 113 7. – Avantages au personnel et autres rémunérations . 7.1. Détail des charges de personnel  : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Salaires et traitements (1) -30 669 -31 652 Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies) -3 851 -3 833 Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies) -1 330 -1 640 Autres charges sociales -11 718 -11 266 Intéressement et participation -5 071 -4 829 Impôts et taxes sur rémunération -5 191 -5 036 Total Charges de personnel -57 830 -58 256 (1) Dont indemnités liées à la retraite pour 222 milliers d'euros au 31 décembre 2020 contre 267 milliers d'euros au 31 décembre 2019 (2) Dont médailles du travail pour 14 milliers d’euros au 31 décembre 2020 contre 35 milliers d’euros au 31 décembre 2019 7.2. Effectif moyen de la période  : Effectif moyen 31/12/2020 31/12/2019 France 855 774 Étranger 13 14 Total 855 788 7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies . — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer. 7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies  : — Variation dette actuarielle : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle au 31/12/N-1 20 495 ‐ 20 495 20 231 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Coût des services rendus sur l'exercice 1 066 ‐ 1 066 1 431 Coût financier 197 ‐ 197 285 Cotisations employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime (2) -1 305 ‐ -1 305 -1 435 Variations de périmètre -108 ‐ -108 -68 Prestations versées (obligatoire) -714 ‐ -714 -655 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) -434 ‐ -434 -514 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) 848 ‐ 848 1 220 Dette actuarielle au 31/12/N 20 045 ‐ 20 045 20 495 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience — Détail de la charge comptabilisée au résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Coût des services -239 ‐ -239 -4 Charge/produit d'intérêt net 188 ‐ 188 3 Impact en compte de résultat de l'exercice -51 ‐ -51 -1 — Détail des gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Réévaluation du passif (de l'actif) net Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables au 31/12/N-1 5 198 ‐ 5 198 4 450 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels sur l'actif -39 ‐ -39 42 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) -434 ‐ -434 -514 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) 848 ‐ 848 1 220 Ajustement de la limitation d'actifs ‐ ‐ ‐ ‐ Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables au 31/12/N 375 ‐ 375 748 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience — Variation de juste valeur des actifs : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Juste valeur des actifs au 31/12/N-1 17 824 ‐ 17 824 17 740 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Intérêt sur l'actif (produit) 9 ‐ 9 282 Gains/(pertes) actuariels 39 ‐ 39 -42 Cotisations payées par l'employeur 1 150 ‐ 1 150 567 Cotisations payées par les employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime (1) ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre -108 ‐ -108 -68 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Prestations payées par le fonds -714 ‐ -714 -655 Juste valeur des actifs au 31/12/N 18 200 ‐ 18 200 17 824 — Position nette : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Zone Euro Hors zone Euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle fin de période 20 045 ‐ 20 045 20 495 Impact de la limitation d'actifs ‐ ‐ ‐ ‐ Juste valeur des actifs fin de période -18 200 ‐ -18 200 -17 824 Position nette (passif) / actif fin de période -1 845 ‐ -1 845 -2 671 — Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Zone Euro Hors zone Euro Zone Euro Hors zone Euro Taux d'actualisation (1) 0,36% 0,00% 1,42% 0,00% Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement 0,93% 0,00% 1,58% 0,00% Taux attendus d'augmentation des salaires 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% Taux d'évolution des coûts médicaux 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% Autres (à détailler) 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% (1) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de rotation du personnel. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice iboxx AA. La cotisation exceptionnelle au titre de l’ancien régime des retraites complémentaires des cadres de direction s’élève à 413 milliers d’euros au 31/12/2020. — Information sur les actifs des régimes - Allocations d'actifs (1) : (En milliers d'euros) Zone euro Hors zone euro Toutes zones En % En montant Dont cote En % En montant Dont cote En % En montant Dont cote Actions 10,61% 1 931 ‐ 0,00% ‐ ‐ 10,61% 1 931 ‐ Obligations 81,89% 14 904 ‐ 0,00% ‐ ‐ 81,89% 14 904 ‐ Immobilier 7,50% 1 365 0,00% ‐ 7,50% 1 365 Autres actifs 0,00% ‐ 0,00% ‐ 0,00% ‐ (1) Dont juste valeur des droits à remboursement Le taux d’actualisation utilisé est le taux iBoxx au 31 décembre 2020. Au 31 décembre 2020 , les taux de sensibilité démontrent que : une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de 3,33% ; une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de 3,62 %. 7.5. Autres avantages sociaux . — Les provisions constituées par la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre de ces autres engagements sociaux s’élèvent à 673 milliers d’euros à la fin de l’exercice 2020 . 7.6. Rémunérations de dirigeants . — La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 665 milliers d’euros. 8. – Contrats de location . 8.1. Contrats de location dont le Groupe est preneur . — Le poste « Immobilisations corporelles d’exploitation » au bilan est composé d'actifs détenus en propre et d'actifs loués qui ne remplissent pas la définition d'immeubles de placement. (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Immobilisations corporelles détenues en propre 25 280 25 542 Droits d'utilisation des contrats de location 2 513 1 590 Total Immobilisations corporelles d'exploitation 27 793 27 132 La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est également preneuse dans des contrats de location de matériel informatique (photocopieurs, ordinateurs, …) pour des durées de 1 à 3 ans. Ces contrats sont de faible valeur et/ou de courte durée. La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a choisi d’appliquer les exemptions prévues par IFRS 16 et de ne pas comptabiliser au bilan de droit d’utilisation et de dette locative sur ces contrats. Variation des actifs au titre du droit d’utilisation. — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est preneuse de nombreux actifs dont des véhicules, des agences et du matériel informatique. Les informations relatives aux contrats dont la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée est preneuse sont présentées ci-dessous : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements (1) 31/12/2020 Immobilier : Valeur brute 1 776 ‐ 446 -519 ‐ 1 558 3 261 Amortissements et dépréciations -186 ‐ -452 150 ‐ -260 -748 Total immobilier 1 590 ‐ -6 -369 ‐ 1 298 2 513 Mobilier : Valeur brute ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amortissements et dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total mobilier ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Droits d'utilisation 1 590 ‐ -6 -369 ‐ 1 298 2 513 (1) Tenant compte des effets de première application de la décision de l’ifrs IC du 26 novembre 2019 sur la durée des contrats de location IFRS 16, le solde des droits d’utilisation au bilan aurait été de 2 456 milliers d’euros au 31/12/2019 (Cf. Note 1.1 Normes applicables et comparabilité). (En milliers d'Euros) 01/01/2019 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2019 Immobilier : Valeur brute 1 729 ‐ 136 -89 ‐ 1 776 Amortissements et dépréciations ‐ -186 ‐ ‐ ‐ -186 Total immobilier 1 729 ‐ -50 -89 ‐ ‐ 1 590 Mobilier : Valeur brute ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amortissements et dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total mobilier ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Droits d'utilisation 1 729 ‐ -50 -89 ‐ ‐ 1 590 — Echéancier des dettes locatives : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Total Dettes locatives Dettes locatives 419 1 165 60 1 644 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Total Dettes locatives Dettes locatives 176 410 129 715 — Détail des charges et produits de contrats de location : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Charges d'intérêts sur dettes locatives -15 -5 Total Intérêts et charges assimilées (PNB) -15 -5 Charges relatives aux contrats de location court terme -31 -325 Charges relatives aux contrats de location de faible valeur -584 -1 014 Charges relatives aux paiements de loyers variables exclus de l'évaluation de la dette ‐ ‐ Produits de sous-location tirés d'actifs au titre de droits d'utilisation ‐ ‐ Profits ou pertes résultant de transactions de cession-bail ‐ ‐ Profits ou pertes résultant de modifications de contrats de location ‐ ‐ Total Charges générales d'exploitation -615 -1 339 Dotations aux amortissements sur droits d'utilisation -712 -186 Total Dotations aux amortissements des immobilisations corporelles -712 -186 Total Charges et produits de contrats de location -1 342 -1 530 — Montants des flux de trésorerie de la période : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Total des sorties de trésorerie relatives aux contrats de location -630 -1 344 8.2. Contrats de location dont le Groupe est bailleur . — La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée propose à ses clients des activités de location qui prennent la forme de contrats de crédit-bail, de location avec option d’achat, de location financière, ou de location longue durée. Les contrats de location sont classés en contrats de location financement lorsque les termes du contrat de location transfèrent en substance la quasi-totalité des risques et avantages inhérents à la propriété au preneur. Les autres contrats de location sont classés en location simple. — Produits de contrats de location : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Location-financement ‐ ‐ Profits ou pertes réalisés sur la vente ‐ ‐ Produits financiers tirés des créances locatives ‐ ‐ Produits des paiements de loyers variables ‐ ‐ Location simple 212 349 Produits locatifs 212 349 9. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties . — Engagements donnés et reçus : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Engagements donnés 747 949 761 191 Engagements de financement 481 013 441 250 Engagements en faveur des établissements de crédit ‐ ‐ Engagements en faveur de la clientèle 481 013 441 250 Ouverture de crédits confirmés 181 144 174 931 Ouverture de crédits documentaires 1 100 29 Autres ouvertures de crédits confirmés 180 044 174 902 Autres engagements en faveur de la clientèle 299 869 266 319 Engagements de garantie 266 936 319 941 Engagements d'ordre des établissements de crédit 87 723 128 696 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires ‐ ‐ Autres garanties (1) 87 723 128 696 Engagements d'ordre de la clientèle 179 213 191 245 Cautions immobilières 11 418 12 815 Autres garanties d'ordre de la clientèle 167 795 178 430 Engagements sur titres ‐ ‐ Titres à livrer ‐ ‐ Engagements reçus 1 788 784 1 462 149 Engagements de financement 11 038 12 882 Engagements reçus des établissements de crédit 11 038 12 882 Engagements reçus de la clientèle ‐ ‐ Engagements de garantie 1 777 746 1 449 267 Engagements reçus des établissements de crédit 214 132 195 383 Engagements reçus de la clientèle 1 563 614 1 253 884 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées (2) 496 195 261 834 Autres garanties reçues 1 067 419 992 050 Engagements sur titres ‐ ‐ Titres à recevoir ‐ ‐ (1) Dont 81 389 milliers d’euros relatifs à la garantie Switch Assurance suite à la résiliation anticipée partielle du 2 mars 2020 (2) Dans le cadre des mesures de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire liée à la COVID-19, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a accordé des prêts pour lesquels elle a reçu des engagements de garantie de l’Etat français (PGE). Au 31 décembre 2020, le montant de ces engagements de garantie reçus s’élève à 220 388 milliers d’euros. — Instruments financiers remis et reçus en garantie : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés) (1) Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (Banque de France, CRH …) 2 545 147 1 265 143 Titres prêtés ‐ ‐ Dépôts de garantie sur opérations de marché ‐ ‐ Autres dépôts de garantie (3) ‐ ‐ Titres et valeurs donnés en pension ‐ ‐ Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie 2 545 147 1 265 143 Valeur comptable des actifs financiers reçus en garantie Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés (2) Titres empruntés ‐ ‐ Titres et valeurs reçus en pension ‐ ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés ‐ ‐ Au 31 décembre 2020 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a pas utilisé les titres souscrits auprès des "FCT Crédit Agricole Habitat" comme dispositif de refinancement. Créances apportées en garantie. — Au cours de l’année 2020 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 2 545 147 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 265 143 milliers d’euros en 2019 . La Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté : 2 022 58 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 719 471 milliers d’euros en 2019 ; 100 025 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 106 543 milliers d’euros en 2019 ; 423 064 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 439 129 milliers d’euros en 2019 . Garanties détenues et actifs reçus en garantie. — La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis. La politique de l'établissement consiste à céder dès que possible les actifs obtenus par prise de possession de garanties. Au cours de la période, les actifs que la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud-Méditerranée a obtenus par prise de possession de garantie et détenus à la date de clôture s’élèvent à 252 milliers d’euros, selon la répartition suivante : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 31/12/2019 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Immobilisations corporelles ‐ ‐ Immeubles de placement ‐ ‐ Instruments de capitaux propres et de dettes ‐ ‐ Autres 252 ‐ Total Actifs obtenus par prise de possession de garantie 252 ‐ 10. – Juste valeur des instruments financiers . La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation. La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion “d’ exit price ”). Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des données de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs. Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés. La hiérarchie de juste valeur des actifs et passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13. Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers cotés sur un marché actif. Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données et reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs et passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté. Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé. Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment : des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux du marché ; des actifs ou passifs à court terme pour lesquels il est considéré que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ; des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ; des actifs ou passifs exigibles à vue ; des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables. 10.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût amorti . — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2020 Juste valeur au 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 6 429 566 6 426 953 ‐ 803 096 5 623 857 Prêts et créances sur les établissements de crédit 641 788 639 025 ‐ 639 025 ‐ Comptes ordinaires et prêts JJ 454 883 454 883 ‐ 454 883 ‐ Comptes et prêts à terme 186 748 183 985 ‐ 183 985 ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 157 157 ‐ 157 ‐ Autres prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 787 778 5 787 928 ‐ 164 071 5 623 857 Créances commerciales 4 225 4 225 ‐ ‐ 4 225 Autres concours à la clientèle 5 749 260 5 749 475 ‐ 129 843 5 619 632 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 20 836 20 771 ‐ 20 771 ‐ Comptes ordinaires débiteurs 13 457 13 457 ‐ 13 457 ‐ Titres de dettes 167 442 187 213 186 601 612 ‐ Effets publics et valeurs assimilées 105 684 123 412 123 412 ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 61 758 63 801 63 189 612 ‐ Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 6 597 008 6 614 166 186 601 803 708 5 623 857 (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2019 Juste valeur au 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 5 655 063 5 654 327 ‐ 630 517 5 023 810 Prêts et créances sur les établissements de crédit 402 981 401 461 ‐ 401 461 ‐ Comptes ordinaires et prêts JJ 193 372 193 372 ‐ 193 372 ‐ Comptes et prêts à terme 209 452 207 932 ‐ 207 932 ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 157 157 ‐ 157 ‐ Autres prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 252 082 5 252 866 ‐ 229 056 5 023 810 Créances commerciales 9 569 9 569 ‐ ‐ 9 569 Autres concours à la clientèle 5 226 967 5 227 816 ‐ 213 575 5 014 241 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 5 753 5 688 ‐ 5 688 ‐ Comptes ordinaires débiteurs 9 793 9 793 ‐ 9 793 ‐ Titres de dettes 176 910 195 229 194 607 622 ‐ Effets publics et valeurs assimilées 106 992 123 430 123 430 ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 69 918 71 799 71 177 622 ‐ Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 831 973 5 849 556 194 607 631 139 5 023 810 — Passifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2020 Juste valeur au 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 3 519 817 3 617 505 ‐ 3 617 505 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptes et emprunts à terme 3 519 817 3 617 505 ‐ 3 617 505 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 721 031 2 721 031 ‐ 2 703 644 17 387 Comptes ordinaires créditeurs 2 255 373 2 255 373 ‐ 2 255 373 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 17 387 17 387 ‐ ‐ 17 387 Autres dettes envers la clientèle 448 271 448 271 ‐ 448 271 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 177 512 187 161 22 488 164 673 ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 6 418 360 6 525 697 22 488 6 485 822 17 387 (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2019 Juste valeur au 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 3 195 459 3 299 142 ‐ 3 299 142 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptes et emprunts à terme 3 195 459 3 299 142 ‐ 3 299 142 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 285 948 2 285 948 ‐ 2 267 815 18 133 Comptes ordinaires créditeurs 1 779 277 1 779 277 ‐ 1 779 277 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 18 133 18 133 ‐ ‐ 18 133 Autres dettes envers la clientèle 488 538 488 538 ‐ 488 538 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 170 613 183 969 13 979 169 990 ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 652 020 5 769 059 13 979 5 736 947 18 133 10.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur  : Evaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) du risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debit Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie (CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers. L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement (DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. La probabilité de défaut est en priorité directement déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides. Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 669 ‐ 669 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 669 ‐ 669 ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 139 270 135 835 2 353 1 082 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 792 ‐ 792 ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 792 ‐ 792 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 138 478 135 835 1 561 1 082 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 138 478 135 835 1 561 1 082 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 1 082 ‐ ‐ 1 082 OPCVM 137 396 135 835 1 561 ‐ Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres 565 655 ‐ 565 655 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 565 655 ‐ 565 655 ‐ Actions et autres titres à revenu variable 2 237 ‐ 2 237 ‐ Titres de participation non consolidés 563 418 ‐ 563 418 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 36 259 ‐ 36 259 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 741 853 135 835 604 936 1 082 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 369 ‐ 369 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 369 ‐ 369 ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 98 903 96 560 1 320 1 023 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 697 ‐ 697 ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 697 ‐ 697 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 98 206 96 560 623 1 023 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 98 206 96 560 623 1 023 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 1 023 ‐ ‐ 1 023 OPCVM 97 183 96 560 623 ‐ Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres 611 466 ‐ 611 466 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 611 466 ‐ 611 466 ‐ Actions et autres titres à revenu variable 1 488 ‐ 1 488 ‐ Titres de participation non consolidés 609 978 ‐ 609 978 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 51 769 ‐ 51 769 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 762 507 96 560 664 924 1 023 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ — Passifs financiers valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 756 ‐ 756 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 756 ‐ 756 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 149 903 ‐ 149 903 ‐ Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 150 659 ‐ 150 659 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 466 ‐ 466 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 466 ‐ 466 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 131 901 ‐ 131 901 ‐ Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 132 367 ‐ 132 367 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ Changements de modèles de valorisation. — Aucun transfert en dehors ou vers le niveau 3 et aucun transfert entre les niveaux 1 et 2 n’a été effectué au cours de l’exercice 2020." — Variation du solde des instruments financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3 : Actifs financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3 : Tableau 1 sur 3 (En milliers d'Euros) Total Actifs financiers valorisés à la juste Valeur selon le niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres détenus à des fins de transaction Instruments dérivés Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe OPCVM Actions et autres titres à revenu variable Titres détenus à des fins de transaction Solde de clôture (31/12/2019) 1 023 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) 59 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat 59 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2020) 1 082 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Tableau 2 sur 3 (En milliers d'Euros) Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Actions et autres titres à revenu variable Titres de participation non consolidés Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable OPCVM Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe OPCVM Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Titres de dettes Solde de clôture (31/12/2019) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 023 ‐ 1 023 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 59 ‐ 59 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 59 ‐ 59 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2020) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 082 ‐ 1 082 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Tableau 3 sur 3 (En milliers d'Euros) Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables Instruments de dettes comptabilisés en à la juste valeur par capitaux propres recyclables Instruments dérivés de couverture Actions et autres titres à revenu variable Titres de participation non consolidés Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Titres de dettes Solde de clôture (31/12/2019) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2020) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) ce solde inclut les gains et pertes de la période provenant des actifs détenus au bilan à la date de la clôture pour les montants suivants : Gains/ pertes de la période provenant des actifs de niveau 3 détenus au bilan en date de clôture 61 Comptabilisés en résultat 61 Comptabilisés en capitaux propres ‐ 11. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2020 . Date de clôture. — Les états financiers utilisés pour la préparation des états financiers consolidés sont établis à la même date que celle des états financiers du Groupe. 11.1. Information sur les filiales  : 11.1.1. Restrictions sur les entités contrôlées. — Néant. 11.1.2. Soutiens aux entités structurées contrôlées. — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a accordé aucun soutien financier à une ou plusieurs entités structurées consolidées au 31 décembre 2020 et au 31 décembre 2019 . 11.1.3. Opérations de titrisation et fonds dédiés. — Pour plus de détails sur ces opérations de titrisation et sur l’indication de la valeur comptable des actifs concernés et des passifs associés, il est possible de se reporter à la note 6.6 " Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue " . Les Caisses régionales depuis 2015 ont participé à plusieurs titrisations True Sale. Ces titrisations sont des RMBS français soit autosouscrits, soit placés dans le marché par le Groupe. Ces opérations se traduisent par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales et éventuellement LCL pour certains FCT, à un FCT (un par titrisation). Les FCT sont consolidés au sein du groupe Crédit Agricole. Dans le cadre de ces titrisations, la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 228,6 millions d’euros aux FCT. 11.2. Composition du périmètre  : Périmètre de consolidation du Crédit Agricole de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée Méthode de consolidation Implantation % D'intérêt 31/12/2020 31/12/2019 Etablissement bancaire et financier Compartiment de la CRCAM Sud Méditerranée dans le FCT Crédit Agricole Habitat 2015 Intégration globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM Sud Méditerranée dans le FCT Crédit Agricole Habitat 2017 Intégration globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM Sud Méditerranée dans le FCT Crédit Agricole Habitat 2018 Intégration globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM Sud Méditerranée dans le FCT Crédit Agricole Habitat 2019 Intégration globale France Compartiment de la CRCAM Sud Méditerranée dans le FCT Crédit Agricole Habitat 2020 Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale à vocation départementale des P.O. Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Argeles St-André Intégration globale France Caisse Locale la Canterrane-Sud Reart Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale Côte Vermeille Intégration globale Caisse Locale Porte de la Salanque Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale Cerdagne Capcir Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de la Fosseille Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Canet – Ste Marie Intégration globale France 100% Caisse Locale de TET – Fenouillèdes Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Rivesaltais Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Saint-Cyprien Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale du Riberal Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale des Albères Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale d’Albères Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale d’Agly Salanque Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale les Rives de la Basse Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale d’Arles S/Tech Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale à vocation départementale de l’Ariège Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale Pays de Foix et du Ceronais Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Lavelanet – Quérigut Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale Arize – Leze Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Mirepoix Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Mirepoix Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Pamiers Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Couserans Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de Saverdun Intégration globale France 100% 100% Caisse Locale de AX – Tarascon sur Ariège Intégration globale France 100% 100% Au 31 décembre 2020 , la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée ayant participé aux opérations de titrisation Crédit Agricole Habitat a consolidé ses quotes-parts (analyse par silo) de chacun des FCT, le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’il a cédées aux FCT. 12. – Participations et entités structurées non consolidées . 12.1. Participations non consolidées . — Ces titres enregistrés à la juste valeur par résultat ou la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement. Ce poste s’élève à 7 074 milliers d’euros au 31 décembre 2020 contre 9 218 milliers d’euros au 31 décembre 2019 . Entités non intégrées dans le périmètre de consolidation. — Les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint et sous influence notable non intégrées dans le périmètre de consolidation, sont présentées dans le tableau ci-dessous : Entités non consolidées Siège social % D'intérêt Motif d'exclusion du périmètre de consolidation 31/12/2020 31/12/2019 SCI CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE France 99,59% 99,59% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques STE IMMOBILIERE DU CREDIT ET DE LA MUTUALITE AGRICOLE France 50,00% 50,00% Seuils de significativité non atteints SCI CHATEAU DE CASTELNOU France 0,00% 100,00% La société a fait l'objet d'une fusion de type Transmission Universelle de Patrimoine SAS SUD MED IMMOBILIER France 100,00% 100,00% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques SAS SUD MED ROUSSILLON France 100,00% 100,00% Seuils de significativité non atteints SCI BLEU RESIDENCE PERPIGNAN France 35,00% 35,00% Impacts de la consolidation peu significatifs. Par ailleurs holding non consolidée SAS PL IMMOBILIER France 70,00% 70,00% Seuils de significativité non atteints OCEAN'IC France 73,89% 73,89% Seuils de significativité non atteints 12.2. Informations sur les entités structurées non consolidées . — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels. Informations sur la nature et l’étendue des intérêts détenus : — Fonds de placement : La Caisse Régionale Sud-Méditerranée investit dans des sociétés créées afin de répondre à la demande des investisseurs dans le cadre de la gestion de sa trésorerie, d’une part, et dans le cadre du placement des primes d’assurance reçues des clients des sociétés d’assurance conformément aux dispositions réglementaires prévues par le Code des assurances d’autre part. Les placements des sociétés d’assurance permettent de garantir les engagements pris vis-à-vis des assurés tout au long de la vie des contrats d’assurance. Leur valeur et leur rendement sont corrélés à ces engagements. Informations sur les risques associés aux intérêts détenus : — Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités : Au 31 décembre 2020 et au 31 décembre 2019 , l’implication de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse Régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée dans les tableaux ci-dessous : (En milliers d'Euros) 31/12/2020 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 135 835 135 835 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 135 835 135 835 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 7 606 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 'Risque de crédit' et dans la note 3.2 'Risque de marché'. Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 560 96 560 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 560 96 560 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 6 117 357 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 'Risque de crédit' et dans la note 3.2 'Risque de marché'. Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. Exposition maximale au risque de perte. — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de credit default swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to-market . L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspond au montant du notionnel et la provision sur engagements donnés au montant comptabilisé au bilan. IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés A l’Assemblée Générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, Opinion. — En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons effectué l’audit des comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2020, tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine, à la fin de l’exercice, de l’ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation. L’opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit. Fondement de l’opinion : — Référentiel d’audit : Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés » du présent rapport. — Indépendance : Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance prévues par le Code de commerce et par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes sur la période du 1"janvier 2020 à la date d’émission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014. Justification des appréciations – Points clés de l’audit. — La crise mondiale liée à la pandémie de Covid-19 crée des conditions particulières pour la préparation et l’audit des comptes de cet exercice. En effet, cette crise et les mesures exceptionnelles prises dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire induisent de multiples conséquences pour les entreprises, particulièrement sur leur activité et leur financement, ainsi que des incertitudes accrues sur leurs perspectives d’avenir. Certaines de ces mesures, telles que les restrictions de déplacement et le travail à distance, ont également eu une incidence sur l’organisation interne des entreprises et sur les modalités de mise en œuvre des audits. C’est dans ce contexte complexe et évolutif que, en application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d’anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le contexte de l’audit des comptes consolidés pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n’exprimons pas d’opinion sur des éléments de ces comptes consolidés pris isolément. — Déprécation des crédits sur une base individuelle : Risque identifié Notre réponse Du fait de son activité, la caisse régionale est exposée à un risque significatif de credit sur les marches des entreprises, des professionnels et de l’agriculture. Comme indiqué dans la note 1.2 de l'annexe aux comptes consolidés, les encours en défaut (Bucket 3) sont dits dépréciés lorsque se sont produits un ou plusieurs événements qui ont un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de ces actifs financiers. Le montant de ces dépréciations correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus à maturité (incluant le principal et les intérêts). S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la direction de la caisse régionale est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture comme un point clé de l'audit en raison de leur importance dans le bilan et de Ieur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles qui s’élève à M€ 121,5 présentées dans la note 3.1.1 de l'annexe aux comptes consolidés. Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis place par la direction, dans le contexte de crise de la Covid 19, pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : mené des entretiens au cours de l’exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte comptabilisation ; teste l’efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la caisse régionale relatifs à ces procédures ; analysé les hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit en prenant en compte, le cas échéant, l'impact de la crise sanitaire sur ces flux ou les garanties spécifiques liées aux plans de soutien à l’économie; mis en œuvre des procédures analytiques sur la couverture des encours douteux par marché et par strate d’encours. — Risque de crédit et estimation des pertes attendues sur les expositions n’étant pas en défaut : Risque Identifié Notre réponse Comme indiqué dans la note 1.2 de l’annexe aux comptes consolidés, la caisse régionale comptabilise des corrections de valeur au titre des pertes de crédit attendues L‹ Expected Credit Losses » ou « ECL ») dès la comptabilisation initiale d’un instrument financier {crédit, titre de dette, garantie ...), au titre des pertes de crédit attendues sur 12 mois (Bucket J); et si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, à maturité Bucket 2). Les corrections de valeurs reposent sur des estimations qui intègrent des paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d'exposition au moment du défaut tenant compte de données macro-économiques prospectives Forward Loohing) appréciées au niveau du Groupe Crédit Agricole et au niveau de la caisse régionale au regard de ses propres portefeuilles de crédits. Ces corrections de valeur représentent en cumul sur les prêts et créances sur la clientèle et sur les engagements par signature au 31 décembre 2020, un montant de MC 52,4 comme détaillé dans la note 3.1.1 de l’annexe aux comptes consolidés. Nous avons considéré qu’il s'agissait d’un point clé de l’audit des comptes consolidés, en raison de : l’importance des zones de jugement en particulier dans le contexte de crise sanitaire en liqueur sur l’exercice et au 31 décembre 2020. entrant dans la détermination des modèles, des risques liés à la qualité des données qui les alimentent et des risques liés à Ieur insertion opérationnelle ; l’importance des crédits à la clientèle dans le bilan, et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit à la consommation.). dont par exemple des informations prospectives {Forward Lookinq central et local) ou des critères de transfert parmi les catégories d’expositions homogènes de risques (Bucket 1 et Bucket 2). Dans le cadre de notre audit des comptes consolidés, nos travaux ont consisté à : prendre connaissance, Iors d’un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation du groupe Crédit Agricole, avec l'aide de Ieurs experts sur les modèles de dépréciations. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : les principes méthodologiques suivis pour la construction des modèles, la qualité des données utilisées pour calibrer les paramètres utilisés 6ans les modèles (probabilité de défaut « PD », perte en cas de défaut « Loss Given Default » ou « LGD ») en prenant en compte notamment le contexte de la crise sanitaire de la Covid-19 et les mesures de soutien à l'économie, la gouvernance des modèles et le changement des paramètres y compris la revue des scenarios et paramètres économiques projetés ainsi que le processus de validation indépendante et les modalités de back-testinq central, la réalisation de tests ciblés sur les fonctions calculatoires de l'outil utilisé pour déterminer les corrections de valeur ; tester par sondaqes la qualité des données des expositions entrant dans le modèle de provisionnement sur la base d’un échantillon de dossiers ; tester la correcte application des principes retenus en matière de segmentation des expositions entre les catégories d'expositions homogènes de risques (Bucket 1 et Bucket 2) ; contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des dépréciations et provisions dans l’outil de provisionnement ; apprécier les hypothèses et la documentation fournie par la caisse régionale sur l'identification de dégradations significatives notamment dans le contexte de la crise sanitaire pour des portefeuilles d’encours et la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l’application du Forward Looking ; analyser l’évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l’exercice 2020. Nous avons par ailleurs examiné les informations données au titre de la couverture du risque crédit dans l'annexe aux comptes consolidés. Vérification spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion du conseil d’administration. Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et Ieur concordance avec les comptes consolidés. Nous attestons que la déclaration consolidée de performance extra-financière prévue par l’article L. 225-102-1 du Code de commerce figure dans les informations relatives au groupe données dans le rapport de gestion, étant précisé que, conformément aux dispositions de l’article L. 823-10 de ce Code, les informations contenues dans cette déclaration n’ont pas fait l’objet de notre part de vérifications de sincérité ou de concordance avec les comptes consolidés et doivent faire l’objet d'un rapport par un organisme tiers indépendant. Autres vérifications ou informations prévues par les textes légaux et réglementaires. — Désignation des commissaires aux comptes : Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre assemblée générale du 27 mars 2008. Au 31 décembre 2020, nos cabinets étaient dans la treizième année de leur mission sans interruption. Antérieurement, le cabinet ERNST & YOUNG Audit était commissaire aux comptes depuis 1989. Responsabilité de la direction et des personnes constituant le gouvernement d’entreprise relatives aux comptes consolidés. II appartient à la direction d’établir des comptes consolidés présentant une image fidèle conformément au référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu’eIIe estime nécessaire à l’établissement de comptes consolidés ne comportant pas d’anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs. Lors de l’établissement des comptes consolidés, il incombe à la direction d’évaluer la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la caisse régionale ou de cesser son activité. II incombe au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l’efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l’audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d’administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés. — Objectif et démarche d’audit : II nous appartient d’établir un rapport sur les comptes consolidés. Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’eIIes puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l’article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : il identifie et évalue les risques que les comptes consolidés comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes consolidés ; il apprécie le caractère approprié de l’application par la direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes consolidés au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; il apprécie la présentation d’ensemble des comptes consolidés et évalue si les comptes consolidés reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle ; concernant l’information financière des personnes ou entités comprises dans le périmètre de consolidation, il collecte des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour exprimer une opinion sur les comptes consolidés. Il est responsable de la direction, de la supervision et de la réalisation de l’audit des comptes consolidés ainsi que de l’opinion exprimée sur ces comptes. — Rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit : Nous remettons au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit un rapport qui présente notamment l’étendue des travaux d’audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance. le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit figurent les risques d’anomalies significatives, que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537/2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 à L. 822-14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège et Toulouse, le 10 mars 2021. Les Commissaires aux Comptes : KPMG Audit Département de KPMG S.A. : ERNST & YOUNG et Autres : Pierre SUBREVILLE Frank ASTOUX V. — Rapport de gestion. En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

17/03/2021 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2100550
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 3 1 déc embre 2020 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex . Numéro Siren : 776 179 335 Code APE 651 D. Situation au 3 1 déc embre 2020 (en milliers d'Euros) A ctif Montant Caisse, banques centrales 39 328 Effets publics et valeurs assimilées 105 690 Créances sur les établissements de crédit 30 948 Opérations internes au Crédit Agricole 631 415 Opérations avec la clientèle 5 636 241 Obligations et autres titres à revenu fixe 173 152 Actions et autres titres à revenu variable 135 021 Participations et autres titres détenus à long terme 497 844 Parts dans les entreprises liées 963 Immobilisations corporelles et incorporelles 30 390 Autres actifs 175 930 Comptes de régularisation 42 192 Total Actif 7 499 114 P ass if Montant Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 22 557 Opérations internes au Crédit Agricole 3 528 994 Opérations avec la clientèle 2 721 741 Dettes représentées par un titre 150 381 Autres passifs 40 278 Comptes de régularisation 90 200 Provisions pour risques et charges 68 511 Dettes subordonnées 18 277 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 42 557 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 815 618 Capital souscrit 2 8 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 631 461 Écarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Repo r t à nouveau ( + /-) 0 Résultat de l'exercice 26 475 Total Pa ssif 7 499 114 Hors Bilan Montant Engagements donnés 748 494 Engagements de financement 481 013 Engagements de garantie 266 936 Engagements sur titres 545 Engagements reçus 1 726 506 Engagements de financement 11 038 Engagements de garantie 1 750 923 Engagements sur titres 545

11/11/2020 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2004487
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 30 septembre 2020 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex . Numéro Siren : 776 179 335 Code APE 651 D. Situation au 30 septembre 2020 (en milliers d'Euros) A ctif Montant Caisse, banques centrales 36 848 Effets publics et valeurs assimilées 107 382 Créances sur les établissements de crédit 25 630 Opérations internes au Crédit Agricole 685 453 Opérations avec la clientèle 5 466 677 Obligations et autres titres à revenu fixe 182 302 Actions et autres titres à revenu variable 126 653 Participations et autres titres détenus à long terme 483 780 Parts dans les entreprises liées 963 Immobilisations corporelles et incorporelles 3 0 591 Autres actifs 183 643 Comptes de régularisation 3 9 409 Total Actif 7 369 331 P ass if Montant Banques centrales 2 3 0 5 6 Dettes envers les établissements de crédit Opérations internes au Crédit Agricole 3 433 712 Opérations avec la clientèle 2 703 325 Dettes représentées par un titre 153 454 Autres passifs 3 9 776 Comptes de régularisation 9 5 675 Provisions pour risques et charges 5 9 036 Dettes subordonnées 17 054 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 39 557 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 804 686 Capital souscrit 2 8 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 631 461 Écarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Repo r t à nouveau ( + /-) 0 Résultat de l'exercice 1 5 543 Total Pa ssif 7 369 331 Hors-Bilan Montant Engagements donnés 755 368 Engagements de financement 484 633 Engagements de garantie 270 269 Engagements sur titres 466 Engagements reçus 1 692 981 Engagements de financement 11 038 Engagements de garantie 1 681 477 Engagements sur titres 466

14/09/2020 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2004004
Texte de l'annonce :

C A I SS E REGIO NA LE DE CRE D IT A GRICOLE M U T U EL SUD ME D ITERR AN EE (A RIEGE / P Y RE N EE S ORIE N T A LE S) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le capital social au 30 juin 2020 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau , BP 39923 , 66832 Perpignan Cedex Numéro Siren : 776 179   335 - Code APE 651 D Situation trimestrielle au 30 juin 2020 (en milliers d'Euros) A ctif Montant Caisse, banques centrales 43 312 Effets publics et valeurs assimilées 106 817 Créances sur les établissements de crédit 28 823 Opérations internes au Crédit Agricole 859 685 Opérations avec la clientèle 5 294 345 Obligations et autres titres à revenu fixe 275 558 Actions et autres titres à revenu variable 8 5 099 Participations et autres titres détenus à long terme 484 123 Parts dans les entreprises liées 963 Immobilisations corporelles et incorporelles 3 0 761 Autres actifs 181 620 Comptes de régularisation 3 8 220 Total Actif 7 429 326 P ass if Montant Banques centrales 2 3 1 8 0 Dettes envers les établissements de crédit Opérations internes au Crédit Agricole 3 620 727 Opérations avec la clientèle 2 587 003 Dettes représentées par un titre 152 341 Autres passifs 4 1 624 Comptes de régularisation 8 9 760 Provisions pour risques et charges 6 1 018 Dettes subordonnées 16 144 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 39 557 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 797 972 Capital souscrit 2 8 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 631 461 Écarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Repo r t à nouveau ( + /-) 0 Résultat de l'exercice 8 829 Total Pa ssif 7 429 326 Hors-Bilan Montant Engagements donnés 729 025 Engagements de financement 449 586 Engagements de garantie 278 933 Engagements sur titres 506 Engagements reçus 1 580 409 Engagements de financement 11 038 Engagements de garantie 1 568 865 Engagements de garantie 506

26/06/2020 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Comptes annuels (4.1)
Numéro d'affaire : 2002844
Texte de l'annonce :

CAISSE RÉGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital et personnel variables régie par les dispositions du Livre V du Code monétaire et financier au capital de 28 057 377,00 euros Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau 66000 Perpignan 776 179 335 R.C.S Perpignan A. — Comptes individuels au 31/12/2019 . Arrêtés par le Conseil d'administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée en date du 31 janvier 2020 et soumis à l'approbation de l'Assemblée générale ordinaire en date du 5 juin 2020 . I. — Bilan au 31 décembre 2019 . (En milliers d' E uros . ) Actif Notes 31/12/2019 31/12/2018 Operations interbancaires et assimilées 173 170 177 280 Caisse, banques centrales 46 807 44 341 Effets publics et valeurs assimilées 5 107 018 112 825 Créances sur les établissements de crédit 3 19 345 20 114 Operations internes au Crédit agricole 3 396 167 339 208 Operations avec la clientèle 4 5 023 786 4 828 940 Operations sur titres 368 955 275 541 Obligations et autres titres à revenu fixe 5 273 104 179 832 Actions et autres titres à revenu variable 5 95 851 95 709 Valeurs immobilisées 514 274 515 647 Participations et autres titres détenus à long terme 6-7 482 885 482 209 Parts dans les entreprises liées 6-7 963 972 Immobilisations incorporelles 7 910 894 Immobilisations corporelles 7 29 516 31 572 Capital souscrit non verse Actions propres Comptes de régularisation et actifs divers 205 919 148 754 Autres actifs 8 153 494 98 057 Comptes de régularisation 8 52 425 50 697 Total actif 6 682 271 6 285 370 Passif Notes 31/12/2019 31/12/2018 Operations interbancaires et assimilées 14 297 15 755 Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 10 14 297 15 755 Operations internes au Crédit agricole 10 3 205 843 2 959 112 Comptes créditeurs de la clientèle 11 2 286 936 2 180 959 Dettes représentées par un titre 12 150 338 150 336 Comptes de régularisation et passifs divers 121 568 113 130 Autres passifs 13 42 960 38 975 Comptes de régularisation 13 78 608 74 155 Provisions et dettes subordonnées 71 946 62 206 Provisions 14-15-16 57 741 49 785 Dettes subordonnées 18 14 205 12 421 Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG ) 17 39 557 40 557 Capitaux propres hors FRBG 19 791 786 763 315 Capital souscrit 28 057 28 057 Primes d'émission 129 625 129 625 Réserves 603 058 575 557 Ecarts de réévaluation Provisions réglementées et subventions d'investissement Report à nouveau -48 Résultat de l'exercice 31 046 30 124 Total passif 6 682 271 6 285 370 Hors-bilan Notes 31/12/2019 31/12/2018 Engagements donn é s 761 484 712 537 Engagements de financement 25 441 250 429 978 Engagements de garantie 25 319 940 282 172 Engagements sur titres 25 294 387 Engagements reçus 1 376 726 1 283 659 Engagements de financement 25 12 882 12 882 Engagements de garantie 25 1 363 550 1 270 390 Engagements sur titres 25 294 387 Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) : Opérations de change au comptant et à terme : note 22 Opérations sur instruments financiers à terme : note 23 II. — Compte de résultat au 31 décembre 2019 . (En milliers d'euros) Notes 31/12/2019 31/12/2018 Intérêts et produits assimilés 28 134 151 138 069 Intérêts et charges assimilées 28 -60 769 -60 478 Revenus des titres à revenu variable 29 18 441 16 857 Commissions produits 30 74 565 74 812 Commissions charges 30 -19 148 -18 466 Gains ou pertes sur opérations du portefeuille de négociation 31 144 143 Gains ou pertes sur opérations du portefeuille de placement et assimilés 32 -176 -280 Autres produits d'exploitation bancaire 33 3 926 3 766 Autres charges d'exploitation bancaire 33 -601 -1 692 Produit net bancaire 150 533 152 731 Charges générales d'exploitation 34 -100 523 -99 549 Dotations aux amortissements et provisions sur immobilisations -4 239 -4 785 Résultat brut d'exploitation 45 771 48 397 Coût du risque 35 -2 256 -6 923 Résultat d'exploitation 43 515 41 474 Résultat net sur actifs immobilisés 36 -2 180 -779 Résultat courant avant impôt 41 335 40 695 Résultat exceptionnel Impôts sur les bénéfices 38 -11 289 -8 571 Dotations / reprises de FRBG et provisions réglementées 1 000 -2 000 Résultat net de l'exercice 31 046 30 124 III. — Annexes Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l ’ exercice. 1.1. Cadre juridique et financier . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Sont affiliées à la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée, 32 Caisses locales qui constituent des sociétés coopératives ayant une personnalité juridique propre. Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l'entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est agréée, avec l'ensemble des Caisses locales qui lui sont affiliées, en qualité de banque mutualiste ou coopérative, avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est de ce fait soumise à la réglementation applicable aux établissements de crédit. Au 31 décembre 2019, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, en application de l'article L.511-30 du Code monétaire et financier, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même, 55,90 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001. Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 44,10 %. Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par ailleurs, en 1988, les Caisses régionales ont consenti une garantie au bénéfice des tiers créanciers de Crédit Agricole S.A., solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. 1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole . — L'appartenance de La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée au réseau du Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes : — Comptes ordinaires des Caisses régionales  : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ». — Comptes d'épargne à régime spécial  : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ». — Comptes et avances à terme  : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d'épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d'avances miroir) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l'utilisation de modèles de replacement et l'application de taux de marché. Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d'application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d'avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d'avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles. Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales  : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ». — Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A.  : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire. — Opérations en devises  : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A.  : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ». — Couverture des risques de liquidité et de solvabilité  : Le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l'année 2014 (directive BRRD, transposée en droit français par l'ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français au règlement sur le mécanisme de résolution unique) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d'assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l'économie, de protéger les déposants, et d'éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d'un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. L'ACPR, autorité de résolution nationale, considère la stratégie de résolution « single point of entry » (point d'entrée unique ou SPE) comme la plus appropriée s'agissant du système bancaire français. Le Groupe Crédit Agricole a retenu le modèle du SPE. A ce titre, Crédit Agricole S.A., en sa qualité d'organe central, serait ce point d'entrée unique dans l'hypothèse d'une mise en résolution du Groupe Crédit Agricole. Compte tenu des mécanismes de solidarité existant au sein du Groupe, la Caisse régionale ne peut pas être mise en résolution de manière individuelle. Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du Code monétaire et financier (CMF), Crédit Agricole S.A., en sa qualité d'organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l'ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau et chaque établissement affilié bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du Code monétaire et financier ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l'introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d'un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d'assurer son rôle d'organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. L'Autorité de résolution peut ouvrir une procédure de résolution à l'encontre d'un établissement de crédit lorsqu'elle considère que : la défaillance de l'établissement est avérée ou prévisible, il n'existe aucune perspective raisonnable qu'une autre mesure de nature privée empêche la défaillance dans des délais raisonnables, une mesure de résolution est nécessaire et une procédure de liquidation serait insuffisante pour atteindre les objectifs recherchés de la résolution ci-dessus rappelés. L'Autorité de résolution peut utiliser un ou plusieurs instruments de résolution, tels que décrits ci-dessous avec pour objectif de recapitaliser ou restaurer la viabilité de l'établissement. Les instruments de résolution doivent être mis en œuvre de telle manière à ce que les porteurs de titres de capital (parts sociales, CCI, CCA) supportent en premier les pertes, puis les autres créanciers sous réserve de certaines exceptions. La loi française prévoit également une mesure de protection lorsque certains instruments ou mesure de résolution sont mis en œuvre tel le principe selon lequel les porteurs de titres de capital et les créanciers d'un établissement en résolution ne peuvent pas supporter des pertes plus lourdes que celles qu'ils auraient subies si l'établissement avait été liquidé dans le cadre d'une procédure normale d'insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation - NCWOL visé à l'article L 613-57.I du CMF). Ainsi les investisseurs ont le droit de réclamer des indemnités si le traitement qu'ils subissent en résolution est moins favorable que le traitement qu'ils auraient subi si l'établissement avait fait l'objet d'une procédure normale d'insolvabilité. L'Autorité de résolution peut mettre en œuvre les outils de renflouement interne (bail-in). En cas de résolution opérée sur le groupe Crédit Agricole, l'Autorité de résolution pourrait ainsi décider d'appliquer une mesure de « bail-in » aux parts sociales, CCI et CCA, c'est-à-dire déprécier leur valeur minimale afin d'absorber les pertes et aux instruments de dette, c'est-à-dire décider de leur dépréciation totale ou partielle ou de leur conversion en capital afin également d'absorber les pertes. Dans ce cas l'investisseur doit être conscient qu'il existe donc un risque significatif pour les porteurs de parts sociales, CCI et CCA et les titulaires d'instruments de dette de perdre tout ou partie de leur investissement en cas de mise en œuvre d'une procédure de résolution bancaire sur le Groupe. Les autres mesures de résolution que l'Autorité de résolution peut mettre en œuvre sont pour l'essentiel ; la cession totale ou partielle des activités de l'établissement à un tiers ou à un établissement relais et la séparation des actifs de cet établissement. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du CMF, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l'article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu'en pratique, ce mécanisme devrait s'exercer préalablement à toute mesure de résolution. L'application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n'aurait pas permis de remédier à la défaillance d'une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l'ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. — Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch)  : Suite à l'opération de simplification de la structure du Groupe qui s'est traduite par la cession des participations CCI/CCA détenues par Crédit Agricole S.A. à une société intégralement détenue par les Caisses régionales, SACAM Mutualisation, Crédit Agricole S.A. n'est plus au capital des Caisses régionales à l'issue de l'opération (à l'exception de 4 Caisses régionales pour lesquelles Crédit Agricole SA a conservé une partie marginale des CCA pour des raisons juridiques) ; celle-ci s'est donc accompagnée de la signature de deux avenants à la Convention Cadre de la garantie Switch respectivement signés le 17 février 2016 (avenant n°2) et le 21 juillet 2016 (avenant n°3) et mettant notamment fin à la garantie sur les CCI/CCA. Ce dispositif ainsi modifié a pris effet le 1er juillet 2016 et permet désormais de transférer aux Caisses régionales uniquement les exigences prudentielles des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA) dans la limite d'un plafond contractuel : on parle donc désormais des Switch Assurance. La bonne fin du dispositif reste sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l'économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. Ainsi, les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées, moyennant le versement par les Caisses régionales d'une indemnité compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l'application d'une clause de retour à meilleure fortune, peut restituer les indemnisations préalablement perçues. Comptablement, les garanties sont des engagements de hors-bilan assimilables à des garanties données à première demande. Leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d'intérêt en Produit net bancaire. En cas d'appel des garanties, ou le cas échéant lors d'un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d'indemnisation ou le produit de remboursement sont respectivement reconnus en Coût du risque. Il convient de noter que l'activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s'apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Equivalence des participations CAA. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d'estimer s'il existe un risque d'indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n'étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l'activation des garanties sous forme d'appel ou de retour à meilleure fortune. 1.3. Evénements significatifs relatifs à l'exercice 2019  : Opération de titrisation . — Le 23 mai 2019, une nouvelle opération de titrisation (FCT Crédit Agricole Habitat 2019) a été réalisée au sein du groupe Crédit Agricole, portant sur les créances habitat des 39 Caisses régionales. Cette transaction est le second RMBS français auto-souscrit du Groupe. Cette opération s'est traduite par une cession de crédits à l'habitat par les 39 Caisses régionales et LCL au « FCT Crédit Agricole Habitat 2019 » pour un montant de 15 milliards d'euros et une souscription le même jour par les établissements ayant cédé les crédits, des titres émis par le FCT. Dans le cadre de cette titrisation, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a cédé, à l'origine, des crédits habitat pour un montant de 106,2 millions d'euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2019. Elle a souscrit des obligations seniors pour 90,8 millions d'euros et pour 15,4 millions d'euros des titres subordonnés. Gestion du risque de crédit . — Le coût du risque global au 31 décembre 2019 est impacté par plusieurs éléments : les provisions au dossier sur l’activité France ont observées de fortes reprises de provisions individuelles pour 5,6 Millions d’€uros (à noter en 2018, une dotation complémentaire / actualisation des flux futurs pour 5,0 m€), les provisions au dossier sur l’activité Succursale ont également observé une reprise de l’ordre de 0,9 Millions d’€uros la provision IFRS 9 sur l’entité France est une dotation de 7,3 Millions d’€uros dont 7,5 liés à une provision filière convergence NPE / Défaut. la provision IFRS 9 sur l’entité Espagne est de l’ordre de 0,1 Millions d’€uros, une dotation nette sur provision / dépréciations des biens succursale s’élève à 1,0 Millions d’€uros. Autres : dotation nette de 0,5 Millions d’€uros, Au 31 décembre 2019, le taux de couverture en France est de 69,6 % en baisse de près d’1 point par rapport à l’année antérieure. Baisse notamment impactée par le passage à perte de créances douteuses provisionnées à 100% pour environ 16 Millions d’€uros. Opérations d’optimisation du coût du passif . — Face à un rendement du portefeuille crédits fortement pénalisé par les réaménagements, la Caisse régionale a continué à réaliser des opérations d’optimisation du coût de son passif. La Caisse régionale a remboursé par anticipation des avances globales consenties par Crédit Agricole S.A. pour 14,2 Millions d’€uros au cours de l’exercice 2019 ce qui a engendré le paiement d’une soulte de 3,2 Millions d’€uros, comptabilisée intégralement en résultat dans les comptes sociaux. En 2018, la Caisse régionale avait déjà procédé au remboursement par anticipation d’avances globales à hauteur de 4,8 Millions d’€uros avec paiement d’une soulte de 1,1 Millions d’€uros. Ces opérations ont pour conséquence d’alléger les charges futures et ainsi d’améliorer la trajectoire prévisionnelle du PNB. Reprise de FRBG . — En 2019, une reprise de 1 million d’€uros a été comptabilisée. 1.4. Evénements postérieurs à l'exercice 2019  : Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) . — Crédit Agricole S.A. démantèlera le 2 mars 2020 35% du mécanisme de garantie « Switch » mis en place entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. Pour la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée, cette opération se traduira par une baisse des engagements donnés de 44,1 millions d'euros et une baisse du dépôt de garantie apporté à Crédit Agricole S.A de 14,9 millions d'euros. COVID 19 . — L’épidémie de Covid-19 devrait avoir des impacts négatifs marqués sur l’économie mondiale, qui s’aggraveraient si l’épidémie n’était pas contenue rapidement. Elle entraîne des chocs d’offre et de demande, ayant pour conséquence un ralentissement prononcé de l’activité, en raison de l’impact des mesures de confinement sur la consommation et de la défiance des agents économiques, ainsi que des difficultés de production, des perturbations des chaînes d’approvisionnement dans certains secteurs, et un ralentissement de l’investissement. Il en résulterait une baisse sensible de la croissance, voire des récessions techniques dans plusieurs pays. Ces conséquences impacteraient l’activité des contreparties des banques et par ricochet des banques elles-mêmes. Le Groupe Crédit Agricole, qui a annoncé des mesures de soutien de ses clients entreprises et particuliers pendant la crise, et qui est engagé dans les mesures annoncées par les pouvoirs publics, s’attend à des impacts sur ses revenus, ainsi que sur son coût du risque, et donc sur son résultat. La Caisse Régionale Sud Méditerranée pourrait donc être impactée. L’ampleur et la durée de ces impacts sont impossibles à déterminer à ce stade. Note 2. – Principes et méthodes comptables . Les états financiers de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole. Compte tenu de l'intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés. La présentation des états financiers de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 qui, à partir des exercices ouverts au 1er janvier 2015, regroupe à droit constant dans un règlement unique l'ensemble des normes comptables applicables aux établissements de crédit. 2.1. Créances et engagements par signature . — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Elles sont ventilées selon leur durée résiduelle ou la nature des concours : Les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ; Les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ; Les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle. Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière. Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle). Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale. En application de l'article 2131-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l'encours de crédit concerné. Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds. L'application du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 conduit l'entité à comptabiliser les créances présentant un risque d'impayé conformément aux règles définies dans les paragraphes suivants. L'utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d'apprécier le niveau d'un risque de crédit. Les créances et les engagements par signature sont répartis entre les encours réputés sains et les encours jugés douteux. Créances saines . — Tant que les créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles sont qualifiées de saines ou dégradées et elles demeurent dans leur poste d'origine. Provisions au titre du risque de crédit sur les encours sains et dégradés . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate au titre des expositions de crédits au passif de son bilan des provisions pour couvrir les risques de crédit attendus sur les douze mois à venir (expositions qualifiées de saines) et / ou sur la durée de vie de l'encours dès lors que la qualité de crédit de l'exposition s'est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions sont déterminées dans le cadre d'un processus de suivi particulier et reposent sur des estimations traduisant le niveau de perte de crédit attendue. — La notion de perte de crédit attendue "ECL"  : L'ECL correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L'approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. — Gouvernance et mesure des ECL  : La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres de provisionnement s'appuie sur l'organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe Crédit Agricole est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le Groupe Crédit Agricole s'appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres nécessaires au calcul des ECL. L'appréciation de l'évolution du risque de crédit s'appuie sur un modèle d'anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, doivent être retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d'exposition au moment du défaut. Ces calculs s'appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu'ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. L'approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut ("Loss Given Default" ou "LGD"). Les modalités de calcul de l'ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : prêts et créances sur la clientèle et engagements de financement. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie, et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d'une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l'exposition est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu'il y ait défaillance. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l'encours. Les paramètres de provisionnement sont mesurés et mis à jour selon les méthodologies définies par le Groupe Crédit Agricole et permettent ainsi d'établir un premier niveau de référence, ou socle partagé, de provisionnement. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives (Forward Looking) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : Au niveau du Groupe Crédit Agricole dans la détermination d'un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l'horizon d'amortissement des opérations ; Au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique des paramètres complémentaires pour le Forward Looking sur des portefeuilles de prêts et créances sur la clientèle et d'engagement de financement sains et dégradés pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l'exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe. Dégradation significative du risque de crédit La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée apprécie, pour chaque encours, la dégradation du risque de crédit depuis l'origine à chaque date d'arrêté. Cette appréciation de l'évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque. La détérioration relative doit être appréciée en amont de la survenance d'une défaillance avérée (encours douteux). Afin d'apprécier la dégradation significative, le Groupe Crédit Agricole prévoit un processus basé sur 2 niveaux d'analyse : un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s'imposent aux entités du Groupe ; un second niveau propre à chaque entité lié à l'appréciation, à dire d'expert au titre des paramètres complémentaires pour le Forward Looking pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l'exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement d'encours sains à encours dégradés (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque encours. Aucune contagion n'est requise pour le passage de sain à dégradé des encours d'une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l'évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d'une garantie de l'actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l'étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L'origine s'entend comme la date de négociation, lorsque l'entité devient partie aux dispositions contractuelles du crédit. Pour les engagements de financement et de garantie, l'origine s'entend comme la date d'engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d'impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en encours dégradé. Pour les encours évalués à partir d'un dispositif de notations internes (en particulier les expositions suivies en méthodes avancées), le groupe Crédit Agricole considère que l'ensemble des informations intégrées dans ce dispositif permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d'impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l'origine cesse d'être constatée, la provision peut être ramenée à des pertes attendues à 12 mois (reclassement en encours sains). Lorsque certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne sont pas identifiables au niveau d'un encours pris isolément, une appréciation est faite de la dégradation significative pour des portefeuilles, des ensembles de portefeuilles ou des portions de portefeuille d'encours. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : Le type d'encours ; La note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d'un système de notation interne) ; Le type de garantie La date de comptabilisation initiale ; La durée à courir jusqu'à l'échéance ; Le secteur d'activité ; L'emplacement géographique de l'emprunteur ; La valeur du bien affecté en garantie par rapport à l'actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; Le circuit de distribution, l'objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d'encours pour apprécier sur base collective les variations du risque de crédit peut évoluer en présence de nouvelles informations. Les dotations et reprises des provisions au titre du risque du crédit sur les encours sains et dégradés sont inscrites en coût du risque. Créances douteuses . — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l'une des situations suivantes : Il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins, La situation d'une contrepartie présente des caractéristiques telles qu'indépendamment de l'existence de tout impayé, on peut conclure à l'existence d'un risque avéré, Il existe des procédures contentieuses entre l'établissement et sa contrepartie. Pour les découverts, l'ancienneté de l'impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l'établissement ou qu'il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l'établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu'il a tiré des montants sans autorisation de découvert. Sous conditions, en lieu et place des critères susvisés, l'établissement peut décompter l'ancienneté de l'impayé lorsque le découvert a fait l'objet de la part de l'établissement d'une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur. Parmi les encours douteux, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis. — Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises. — Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé. Pour les créances douteuses, l'enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise. Le classement en encours douteux peut être abandonné dès lors que le risque de crédit avéré est définitivement levé et lorsque les paiements ont repris de manière régulière pour les montants correspondant aux échéances contractuelles d'origine. Dans ce cas, l'encours est porté à nouveau en encours sain. Dépréciations au titre du risque de crédit sur les encours douteux . — Dès lors qu'un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l'actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d'intérêt effectif, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. Traitement comptable des dépréciations . — Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non-recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque. Conformément à l'article 2231-3 du règlement ANC 2014-07 le Groupe a fait le choix d'enregistrer en coût du risque l'augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de la dépréciation du fait du passage du temps. Passage en perte . — L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d'experts, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu'elle a de son activité. Les créances devenues irrécouvrables sont inscrites en pertes et les dépréciations correspondantes font l'objet d'une reprise. Risques-pays . — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays. Créances restructurées . — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l'établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.) afin de permettre aux contreparties d'honorer le paiement des échéances. Elles concernent les créances classées en douteuses et les créances saines, au moment de la restructuration. Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d'insolvabilité. La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l'enregistrement d'une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d'origine. Elle est égale à l'écart constaté entre La valeur nominale du prêt ; Et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d'intérêt effectif d'origine (défini à la date de l'engagement de financement). La décote constatée lors d'une restructuration de créance est dotée en coût du risque Les crédits restructurés du fait de la situation financière du débiteur font l'objet d'une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Lorsqu'après un retour en encours sain, le débiteur ne respecte pas les échéances fixées, les encours restructurés sont immédiatement déclassés en encours douteux. 2.2. Portefeuille Titres . — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par les articles 2311-1 à 2391-1 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) ainsi que par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe. Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable. Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, investissement, placement, activité de portefeuille, valeurs immobilisées, autres titres détenus à long terme, participation, parts dans les entreprises liées) en fonction de l'intention de gestion de l'entité et des caractéristiques de l'instrument au moment de la souscription du produit. Titres de placement . — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres. Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus. — Obligations et autres titres à revenu fixe  : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, coupon couru à l'achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre. Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ». — Actions et autres titres à revenu variable  : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ». Les revenus des Organismes de placements collectifs sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique. A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d'acquisition et la valeur de marché. Ainsi, lorsque la valeur d'inventaire d'une ligne ou d'un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l'article 2514-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, prenant la forme d'achats ou de ventes d'instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées. En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres : S'il s'agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose d'informations particulières sur la situation financière de l'émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ; S'il s'agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré). Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne. Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat. Titres d'investissement . — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d'une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu'à leur échéance et n'est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu'à leur échéance. Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d'acquisition et coupons inclus. La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre. Il n'est pas constitué de dépréciation des titres d'investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l'émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières, du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ». En cas de cession de titres d'investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l'établissement n'est plus autorisé, pendant l'exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d'investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément à l'article 2341-2 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme  : Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable. Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu'elle permet d'exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d'en assurer le contrôle. Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l'intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l'entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus. Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition frais inclus. A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d'utilité. Celle-ci représente ce que l'établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention. L'estimation de la valeur d'utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l'entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre. Lorsque la valeur d'utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l'objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes. Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ». Prix de marché . — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante : Les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent, Si le marché sur lequel le titre est négocié n'est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n'est pas côté , la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu'il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel. Dates d'enregistrement . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée enregistre les titres classés en titres d'investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation. Pensions livrées . — Les titres donnés en pension livrée sont maintenus au bilan et le montant encaissé, représentatif de la dette à l'égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan. Les titres reçus en pension livrée ne sont pas inscrits au bilan mais le montant décaissé, représentatif de la créance sur le cédant, est enregistré à l'actif du bilan. Les titres donnés en pension livrée font l'objet des traitements comptables correspondant à la catégorie de portefeuille dont ils sont issus. Reclassement de titres . — Conformément aux articles 2381-1 à 2381-5 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, il est autorisé d'opérer les reclassements de titres suivants : Du portefeuille de transaction vers le portefeuille d'investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l'établissement a l'intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu'à l'échéance, Du portefeuille de placement vers le portefeuille d'investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas opéré, en 2019, de reclassement au titre du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. 2.3. Immobilisations . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 par rapport à l'amortissement et à la dépréciation des actifs. Il applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l'ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte, la base amortissable tient compte de l'éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Le règlement de l'ANC n° 2015-06 modifie la comptabilisation au bilan du mali technique de fusion ainsi que son suivi dans les comptes sociaux. Le mali ne doit plus être comptabilisé globalement et systématiquement au poste « Fonds commercial » ; il doit être comptabilisé au bilan selon les rubriques d'actifs auxquelles il est affecté en « Autres immobilisations corporelles, incorporelles, financières… ». Le mali est amorti, déprécié, sorti du bilan selon les mêmes modalités que l'actif sous-jacent. Le coût d'acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d'achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l'acquisition pour la mise en état d'utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ». Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition. Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'achèvement. A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation. Les immobilisations sont amorties en fonction de leur durée estimée d'utilisation. Les composants et durées d'amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée , suite à l'application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d'amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d'amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 25 ans Second œuvre 8 à 20 ans Installations techniques 5 à 15 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans (linéaire) Matériel spécialisé 4 à 5 ans (linéaire) Enfin, les éléments dont dispose la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante. 2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle . — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée résiduelle ou la nature de ces dettes : dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit, comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole, comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière). Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie. Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. 2.5. Dettes représentées par un titre . — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire, titres de créances négociables, emprunts obligataires et autres titres de dettes, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ». Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ». Les primes de remboursement et les primes d'émission des dettes représentées par des titres sont amorties selon la méthode de l'amortissement actuariel. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique également la méthode d'étalement des frais d'emprunts dans ses comptes individuels. Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ». 2.6. Provisions . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 pour la comptabilisation et l'évaluation des provisions. Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers. Les provisions incluent également les risques-pays. L'ensemble de ces risques fait l'objet d'un examen trimestriel. Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d'opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement. La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d'une part, à l'obligation de rémunérer l'épargne dans le futur à un taux fixé à l'ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d'autre part, à l'octroi d'un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d'épargne-logement à un taux déterminé fixé à l'ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l'ensemble des comptes d'épargne-logement, sachant qu'il n'y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : le comportement des souscripteurs, ainsi que l'estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d'observations historiques de longue période. la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Provision pour risques sur GIE d'investissement . — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net. 2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.) . — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire. Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a constitué une provision dont le stock s'élève à 39,6 millions d'euros au 31/12/2019. 2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels . — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions du Titre 5 Les instruments financiers à terme du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours. Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie : Opérations de couverture . — Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable. Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont inscrits prorata temporis dans la rubrique « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés. Opérations de marché . — Les opérations de marché regroupent : Les positions ouvertes isolées (catégorie « a » de l'article 2522-1 du règlement ANC 2014-07), La gestion spécialisée d'un portefeuille de transaction (catégorie « d » de l'article 2522 du règlement ANC 2014-07). Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture. Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s'il existe un marché actif, ou à l'aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l'absence de marché actif. Pour les instruments : En position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé ; En position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, les charges et produits sont inscrits en résultat prorata temporis. De plus, seules les pertes latentes éventuelles sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement ; Faisant partie d'un portefeuille de transaction, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé. Risque de contrepartie sur les dérivés . — Conformément à l'article 2525-3 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée intègre l'évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories a et d de l'article 2522-1. du règlement précité) font l'objet d'un calcul de risque de contrepartie sur les dérivés actifs. (CVA - Crédit valuation Adjustment). Le CVA (Crédit Valuation Adjustement) permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l'utilisation de données d'entrée observables. Elle repose : Prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels ; En l'absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d'une approximation fondée sur la base d'un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. Opérations complexes . — Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d'instruments (de types, natures et modes d'évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d'une réglementation explicite et qui implique, de la part de l'établissement, un choix de principe. 2.9. Opérations en devises . — A chaque arrêté, les créances et les dettes ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan libellés en devises sont convertis au cours de change en vigueur à la date d'arrêté. Les produits perçus et les charges payées sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture. 2.10. Intégration des succursales à l'étranger . — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées. Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques. Les règles de conversion en euros sont les suivantes : Les postes de bilan sont convertis au cours de clôture, Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture. Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ». 2.11. Engagements hors-bilan . — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus. Le cas échéant, les engagements donnés font l'objet d'une provision lorsqu'il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie. Ces éléments sont toutefois détaillés dans l'annexe aux notes 25 et 26. 2.12. Participation des salariés aux fruits de l'expansion et intéressement . — La participation des salariés aux fruits de l'expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né. L'intéressement est couvert par l'accord du 21 juin 2017 . La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ». 2.13. Avantages au personnel postérieurs à l'emploi  : Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d'indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a appliqué, à compter du 1er janvier 2013, la recommandation 2013-02 de l'Autorité des normes comptables du 07 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d'évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014. En application de ce règlement, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Ces engagements sont évalués en fonction d'un ensemble d'hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d'activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l'exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a opté pour la méthode 2 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatés au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation. Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l'exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime (méthode du corridor), par conséquent le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l'obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement, majorée des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler, diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d'assurance éligible. Dans le cas où l'obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l'obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Plans de retraite – régimes à cotisations définies . — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n'ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n'ont pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l'exercice écoulé. Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « Frais de personnel ». 2.14. Souscription d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise . — Les souscriptions d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 20 %, ne comportent pas de période d'acquisition des droits mais sont grevées d'une période d'incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d'actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital. 2.15. Charges et produits exceptionnels . — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. 2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale) . — D'une façon générale, seul l'impôt exigible est constaté dans les comptes individuels. La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %. Les revenus de créances et de portefeuilles titres sont comptabilisés nets de crédits d'impôts. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d'intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate dans ses comptes la dette d'impôt dont elle est redevable au titre de cette convention fiscale. Note 3. – Créances sur les établissements de crédit - Analyse par durée résiduelle . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Établissements de crédit  : Comptes et prêts : A vue 5 309 5 309 5 309 4 802 A terme 13 863 13 863 16 13 879 15 099 Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 157 157 157 213 Total 5 309 14 020 19 329 16 19 345 20 114 Dépréciations Valeur nette au bilan : 19 345 20 114 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 186 715 186 715 186 715 127 075 Comptes et avances à terme 499 1 201 127 978 78 254 207 932 1 520 209 452 212 133 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Total 187 214 1 201 127 978 78 254 394 647 1 520 396 167 339 208 Dépréciations Valeur nette au bilan 396 167 339 208 Total 415 512 359 322 Commentaires  : Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 157 milliers d'euros. Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n'est éligible au refinancement de la banque centrale. Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes. Note 4. – Operations avec la clientèle . 4.1. Opérations avec la clientèle - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Créances commerciales 6 470 788 938 1 491 9 687 9 687 9 757 Autres concours à la clientèle 259 616 432 799 1 653 200 2 753 820 5 099 435 23 696 5 123 131 4 946 594 Valeurs reçues en pension livrée Comptes ordinaires débiteurs 17 573 17 573 85 17 658 22 685 Dépréciations -126 690 -150 096 Valeur nette au bilan 5 023 786 4 828 940 Commentaires : Aucun prêt subordonné et participatif ne sont consentis à la clientèle. Parmi les créances sur la clientèle 719 316 milliers d'euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2019 contre 740 158 milliers d'euros au 31 décembre 2018. Le montant des créances restructurées pour difficultés financières inscrites en encours douteux au moment de la restructuration s'élève à 31 392 milliers au 31 décembre 2019 d'euros contre 25 385 milliers d'euros au 31 décembre 2018. Elles conservent la qualification de « créances restructurées » jusqu'à la fin de leur vie. 4.2. Opérations avec la clientèle - Analyse par zone géographique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 France (y compris DOM-TOM) 4 873 248 4 678 190 Autres pays de L'U.E. 248 861 269 073 Autres pays d'Europe 1 944 2 036 Amérique du Nord 1 885 1 810 Amérique Centrale et du Sud 8 105 Afrique et Moyen-Orient 638 807 Asie et Océanie (hors Japon) 111 124 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 5 126 695 4 952 145 Créances rattachées 23 781 26 891 Dépréciations -126 690 -150 096 Valeur nette au bilan 5 023 786 4 828 940 4.3. Opérations avec la clientèle - Encours douteux et dépréciations par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis France (y compris DOM-TOM) 4 892 170 104 304 74 169 -73 118 -58 026 4 700 564 135 151 106 665 -95 829 -81 042 Autres pays de L'U.E. 253 695 83 900 76 185 -53 553 -51 756 273 563 85 629 76 756 -54 245 -52 058 Autres pays d'Europe 1 946 2 038 Amérique du Nord 1 907 1 835 4 4 -4 -4 Amérique Centrale et du Sud 8 105 Afrique et Moyen-Orient 639 3 3 -3 -3 807 1 1 -1 -1 Asie et Océanie (hors Japon) 111 16 16 -16 -16 124 17 -17 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total 5 150 476 188 223 150 373 -126 690 -109 801 4 979 036 220 802 183 426 -150 096 -133 105 4.4. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Particuliers 2 598 668 94 237 78 709 -57 193 -51 910 2 560 363 100 736 83 692 -60 966 -55 340 Agriculteurs 382 133 12 435 10 908 -9 604 -8 759 372 039 13 196 12 114 -10 156 -9 551 Autres professionnels 730 958 39 658 32 538 -26 890 -23 868 724 291 53 360 43 972 -37 945 -33 298 Clientèle financière 103 177 1 342 1 064 -961 -901 86 329 1 651 827 -1 284 -755 Entreprises 738 410 34 659 21 264 -26 149 -18 473 699 727 45 977 36 946 -33 863 -28 286 Collectivités publiques 571 112 5 860 5 861 -5 861 -5 861 510 658 5 846 5 846 -5 846 -5 846 Autres agents économiques 26 018 32 29 -32 -29 25 629 36 29 -36 -29 Total 5 150 476 188 223 150 373 -126 690 -109 801 4 979 036 220 802 183 426 -150 096 -133 105 Note 5. – Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l' activité de portefeuille . (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Transaction Placement Titres de l'activité de portefeuille Investissement Total Total Effets publics et valeurs assimilées : 105 708 105 708 111 480 Dont surcote restant à amortir 1 409 1 409 1 451 Dont décote restant à amortir -37 -37 -37 Créances rattachées 1 310 1 310 1 345 Dépréciations Valeur nette au bilan 107 018 107 018 112 825 Obligations et autres titres à revenu fixe (1): Emis par organismes publics 14 739 14 739 17 441 Autres émetteurs 1 015 258 438 259 453 163 330 Dont surcote restant à amortir 359 359 411 Dont décote restant à amortir -16 -16 -161 Créances rattachées 5 1 109 1 114 1 292 Dépréciations -7 -2 195 -2 202 -2 231 Valeur nette au bilan 1 013 272 091 273 104 179 832 Actions et autres titres à revenu variable 96 001 96 001 95 838 Créances rattachées Dépréciations -150 -150 -129 Valeur nette au bilan 95 851 95 851 95 709 Total 96 864 379 109 475 973 388 366 Valeurs estimatives 97 578 398 374 495 952 402 912 (1) Dont 32 115 milliers d'euros de titres subordonnés (hors créances rattachées) au 31 décembre 2019 et 16 715 milliers d'euros au 31 décembre 2018 Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 719 milliers d'euros au 31 décembre 2019, contre 728 milliers d'euros au 31 décembre 2018. La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse. La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à 20 916 milliers d'euros au 31 décembre 2019, contre 15 858 milliers d'euros au 31 décembre 2018. La valeur estimée des moins-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à -1 426 milliers d'euros au 31 décembre 2019, contre -1 622 milliers d'euros au 31 décembre 2018. Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Administration et banques centrales (y compris Etats) 14 739 17 441 Etablissements de crédit 50 209 55 352 Clientèle financière 302 826 201 396 Collectivités locales Entreprises, assurances et autres clientèles 2 419 2 420 Divers et non ventilés Total en principal 370 193 276 609 Créances rattachées 1 114 1 292 Dépréciations -2 352 -2 360 Valeur nette au bilan 368 955 275 541 5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Titres à revenu fixe ou variable 274 192 105 708 96 001 475 901 180 771 111 480 95 838 388 089 Dont titres cotés 70 455 105 708 176 163 78 223 111 480 189 703 Dont titres non cotés (1) 203 737 96 001 299 738 102 548 95 838 198 386 Créances rattachées 1 114 1 310 2 424 1 292 1 345 2 637 Dépréciations -2 202 -150 -2 352 -2 231 -129 -2 360 Valeur nette au bilan 273 104 107 018 95 851 475 973 179 832 112 825 95 709 388 366 Commentaires : (1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante : OPCVM français 95 851 milliers d'euros Dont OPCVM français de capitalisation 95 851 milliers d'euros. La répartition de l'ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2019 : (En milliers d' E uros) Valeur d'inventaire Valeur liquidative OPCVM monétaires 57 059 57 059 OPCVM obligataires 38 792 39 501 OPCVM actions OPCVM autres Total 95 851 96 560 5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Obligations et autres titres à revenu fixe Valeur brute 1 374 9 029 41 491 222 298 274 192 1 114 275 306 182 063 Dépréciations -2 202 -2 231 Valeur nette au bilan 1 374 9 029 41 491 222 298 274 192 1 114 273 104 179 832 Effets publics et valeurs assimilées Valeur brute 28 773 76 935 105 708 1 310 107 018 112 825 Dépréciations Valeur nette au bilan 28 773 76 935 105 708 1 310 107 018 112 825 5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Encours bruts Dont Encours douteux Encours bruts Dont Encours douteux France (y compris DOM-TOM) 343 527 250 847 Autres pays de l' U .E. 34 999 40 005 Autres pays d'Europe Amérique du Nord 1 374 1 374 1 399 1 399 Amérique Centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total en principal 379 900 1 374 292 251 1 399 Créances rattachées 2 424 821 2 637 821 Dépréciations -2 202 -2 195 -2 231 -2 220 Valeur nette au bilan 380 122 0 292 657 0 Note 6. – Titres de participation et de filiales . Sauf mention spécifique, les données présentées sont des informations au 31 décembre 2019. INFORMATIONS FINANCIERES (En milliers d'Euros) FILIALES ET PARTICIPATIONS Devise Capital Capitaux propres autres que le capital Quote-part de capital détenue (%) Valeurs comptables des titres détenus Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés Montant des cautions et avals donnés par la société PNB ch i ffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé R ésultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1) Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice Brutes Nettes Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital                     Parts dans les entreprises liées détenues dans des Ets de cr édit                     Participations dans des établissements de cré dit                     Autres parts dans les entreprises liées  :                     SAS Sud Med Immobilier EUR 197   100,00% 3 299 0 96 3   202 -1 866   SCI Château Castelnau EUR 850 1 100,00% 1 242 0 229     -37   Autres titres de participations  :                     SAS Rue de la Boétie EUR 2   744 903 1 0 117 28 0 1,32% 252 774 252 774     1 016 438 1 009 744 14 639 SN C Sacam Mutualisation EUR 18   556 677   1,02% 139 333 189 833     273 380 334 250 572 2 329 SAS Sacam International EUR 522423   1,32% 11 393 7 746       -65 599 174 SAS Sacam Développement EUR 725 471   1,35% 9 333 9 333 4622     22 936 294 SAS Sofilaro EUR 25793 6 647 12,42% 4 781 4 213       209 25 SAS Sacam Immobilier EUR 139 588   1,59% 2 216 2 216       5 313 80 SAS Sacam Avenir EUR 192 139   1,10% 2 440 2 400       -25   SAS Sacam Participations EUR 62 553 3 224 1,63% 1 134 1 134     197 9 315   SAS DELTA EUR 79 554   1,26% 1 000 1 444       -34   SAS C2P.1S EUR 53 453   1,15% 637 637     0 7 835 48 SAS Sacam Fireca EUR 22  514   1,03% 937 574     0 -6 668   SAS CA Protection et Sécurité EUR 511 14 595 0,31% 503 543     8 229 2 431 12 SAS Sacam Assura n ce Caution EUR 13 713 24 359 0,33% 422 422     0 2 037 17 SAS CA PAYMENT SERVICES EUR 49 427   0,63% 331 331     320 78123 5 727   SN C CA Titres EUR 15  245 15 989 0,57% 330 334     143 623 1 225   Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital Parts dans les entreprises liées détenues dans des Ets de crédit Participations dans des établissements de crédit Autres parts dans les entreprises liées Autres titres de participations       4 192 4 027 1 529       15 Total parts dans les entreprises liées et participations 487 867 478 128 7 343 18 183 6.1. Valeur estimative des titres de participation  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Parts dans les entreprises liées Titres non cotés 4 502 2 636 197 Titres cotés Avances consolidables 1 192 963 2 868 775 Créances rattachées Dépréciations -4 731 -4 532 Valeur nette au bilan 963 963 972 972 Titres de participation et autres titres détenus à long terme  : Titres de participation Titres non cotés 481 223 667 085 480 685 630 687 Titres cotés Avances consolidables 4 785 4 725 4 745 4 685 Créances rattachées 65 65 65 65 Dépréciations -5 297 -4 384 Sous-total titres de participation 480 776 671 875 481 111 635 437 Autres titres détenus à long terme  : Titres non cotés 2 142 2 111 1 098 1 098 Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations -33 Sous-total autres titres détenus à long terme 2 109 2 111 1 098 1 098 Valeur nette au bilan 482 885 673 986 482 209 636 535 Total des titres de participation 483 848 674 949 483 181 637 507 (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Total valeurs brutes Titres non cotés 487 867 484 419 Titres cotés Total 487 867 484 419 Les valeurs estimatives sont déterminées d'après la valeur d'utilité des titres ; celle-ci n'est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant la SAS Rue La Boétie, la valeur d'utilité est de 21,86€ au 31/12/2019, et concernant Sacam Mutualisation, la valeur d'utilité est de 1 203,23 au 31/12/2019. Note 7. – Variation de l'actif immobilis é. Immobilisations financières  : (En milliers d' E uros) 01/01/2019 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements (1) 31/12/2019 Parts dans les entreprises liées Valeurs brutes 2 636 1 866 4 502 Avances consolidables 2 868 189 -1 865 1 192 Créances rattachées Dépréciations -4 532 -2 063 1 864 -4 731 Valeur nette au bilan 972 -8 -1 963 Titres de participation et autres titres détenus à long terme  : Titres de participation Valeurs brutes 480 685 1 215 -23 -654 481 223 Avances consolidables 4 745 40 4 785 Créances rattachées 65 65 Dépréciations -4 384 -934 1 20 -5 297 Sous-total titres de participation 481 111 321 -22 -634 480 776 Autres titres détenus à long terme  : Valeurs brutes 1 098 390 654 2 142 Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations -15 2 -20 -33 Sous-total autres titres détenus à long terme 1 098 375 2 634 2 109 Valeur nette au bilan 482 209 696 -20 482 885 Total 483 181 688 -21 483 848 (1) La rubrique "autres mouvements" présente le transfert des titres de participations en autres immobilisations financières (F/I Venture, CA Innovation et territoire et CA Régions développement). Immobilisations corporelles et incorporelles  : (En milliers d' E uros) 01/01/2019 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements (1) 31/12/2019 Immobilisations corporelles Valeurs brutes 139 159 4 209 -6 530 227 137 065 Amortissements et dépréciations -107 587 -4 799 4 837 -107 549 Mali technique de fusion sur immobilisations corporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 31 572 -590 -1 693 227 29 516 Immobilisations incorporelles Valeurs brutes 1 307 51 1 358 Amortissements et dépréciations -413 -35 -448 Mali technique de fusion sur immobilisations incorporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 894 16 910 Total 32 466 -574 -1 693 227 30 426 (1) La rubrique "autres mouvements" présente notamment le transfert d'un bien de la succursale anciennement comptabilisé en compte de stock Marchands de biens et transféré en Immobilisations corporelles hors exploitation suite à sa mise en location pour 227 milliers d'euros. Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Autres actifs (1)  : Instruments conditionnels achetés Comptes de stock et emplois divers 13 243 16 879 Débiteurs divers (2) 140 246 81 170 Gestion collective des titres Livret de développement durable Comptes de règlement 5 8 Valeur nette au bilan 153 494 98 057 Comptes de régularisation  : Comptes d'encaissement et de transfert 18 140 14 497 Comptes d'ajustement et comptes d'écart Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers Charges constatées d'avance 4 568 5 944 Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme 6 744 6 827 Autres produits à recevoir 22 344 22 572 Charges à répartir Autres comptes de régularisation 629 857 Valeur nette au bilan 52 425 50 697 Total 205 919 148 754 (1) Les montants incluent les créances rattachées. (2) dont 704 milliers d'euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d'un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l'actif . (En milliers d' E uros) Solde au 01/01/2019 Dotations Reprises et utilisations Désactualisation Autres mouvements Solde au 31/12/2019 Sur opérations interbancaires et assimilées Sur créances clientèle 150 096 19 995 -42 343 -1 058 126 690 Sur opérations sur titres 2 360 29 -37 2 352 Sur valeurs immobilisées 11 385 3 468 -2 462 12 391 Sur autres actifs 20 207 2 606 -4 439 18 374 Total 184 048 26 098 -49 281 -1 058 159 807 Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Établissements de crédit  : Comptes et emprunts : A vue 184 184 184 416 A terme 14 111 14 111 2 14 113 15 339 Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 184 14 111 14 295 2 14 297 15 755 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 1 991 1 991 1 991 1 635 Comptes et avances à terme 444 068 935 197 1 157 999 664 878 3 202 142 1 710 3 203 852 2 957 477 Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 446 059 935 197 1 157 999 664 878 3 204 133 1 710 3 205 843 2 959 112 Total 446 243 935 197 1 157 999 678 989 3 218 428 1 712 3 220 140 2 974 867 Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale (Cf. Cadre Juridique et Financier). Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle . 11.1. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Comptes ordinaires créditeurs 1 779 262 1 779 262 15 1 779 277 1 628 369 Comptes d'épargne à régime spécial : 18 133 18 133 18 133 14 085 A vue 18 133 18 133 18 133 14 085 A terme Autres dettes envers la clientèle : 44 751 188 625 213 434 38 149 484 959 4 567 489 526 538 505 A vue 2 502 2 502 2 502 4 954 A terme 42 249 188 625 213 434 38 149 482 457 4 567 487 024 533 551 Valeurs données en pension livrée Valeur au bilan 1 842 146 188 625 213 434 38 149 2 282 354 4 582 2 286 936 2 180 959 11.2. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par zone géographique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 France (y compris DOM-TOM) 2 191 578 2 080 248 Autres pays de L'U.E. 82 305 86 545 Autres pays d'Europe 3 447 4 451 Amérique du Nord 2 484 2 096 Amérique Centrale et du Sud 137 128 Afrique et Moyen-Orient 2 090 1 781 Asie et Océanie (hors Japon) 310 597 Japon 3 44 Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 2 282 354 2 175 890 Dettes rattachées 4 582 5 069 Valeur au bilan 2 286 936 2 180 959 11.3. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par agents économiques (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Particuliers 1 020 930 961 087 Agriculteurs 160 010 157 178 Autres professionnels 162 194 143 218 Clientèle financière 45 348 66 531 Entreprises 795 199 758 746 Collectivités publiques 7 273 3 455 Autres agents économiques 91 400 85 675 Total en principal 2 282 354 2 175 890 Dettes rattachées 4 582 5 069 Valeur au bilan 2 286 936 2 180 959 Note 12. – Dettes représentées par un titre . Dettes représentées par un titre - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Bons de caisse 34 34 2 36 36 Titres du marché interbancaire Titres de créances négociables (1) 150 000 150 000 302 150 302 150 300 Emprunts obligataires Autres dettes représentées par un titre Valeur nette au bilan 34 150 000 150 034 304 150 338 150 336 (1) dont aucun émis à l'étranger Le solde non amorti correspondant à la différence entre le montant initialement reçu et le prix de remboursement des dettes représentées par un titre. Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Autres passifs (1) Opérations de contrepartie (titres de transaction) Dettes représentatives de titres empruntés Instruments conditionnels vendus Comptes de règlement et de négociation Créditeurs divers 41 546 37 833 Versements restant à effectuer sur titres 1 414 1 142 Valeur au bilan 42 960 38 975 Comptes de régularisation  : Comptes d'encaissement et de transfert 7 469 4 452 Comptes d'ajustement et comptes d'écart 1 Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers Produits constatés d'avance 30 817 30 473 Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme 7 483 7 837 Autres charges à payer 28 485 27 849 Autres comptes de régularisation 4 354 3 543 Valeur au bilan 78 608 74 155 Total 121 568 113 130 (1) Les montants incluent les dettes rattachées. Note 14. – Provisions . (En milliers d' E uros) Solde au 01/01/2019 Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements Solde au 31/12/2019 Provisions pour engagements de retraite et assimilés 33 -19 14 Provisions pour autres engagements sociaux 607 67 -35 639 Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature 3 228 12 041 -11 599 3 670 Provisions pour litiges fiscaux Provisions pour autres litiges 404 56 -50 410 Provision pour risques pays Provisions pour risques de crédit (1) 31 306 64 224 -56 948 38 582 Provisions pour restructurations Provisions pour impôts Provisions sur participations Provisions pour risques opérationnels (2) 1 190 110 -206 1 094 Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (3) 4 923 2 551 7 474 Autres provisions 8 094 1 145 -2 929 -452 5 858 Valeur au bilan 49 785 80 194 -2 929 -69 309 57 741 (1) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles CRR/CRD4. (2) Cette provision est destinée à couvrir les risques d'insuffisance de conception, d'organisation et de mise en œuvre des procédures d'enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d'information de l'ensemble des événements relatifs aux opérations de l'établissement. (3) Voir note 15 ci-après Note 15. – Epargne logement . Encours collectés au titre des comptes et plans d'épargne-logement sur la phase d'épargne  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Plans d'épargne-logement  : Ancienneté de moins de 4 ans 141 345 126 079 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 343 516 329 720 Ancienneté de plus de 10 ans 415 966 426 045 Total plans d'épargne-logement 900 827 881 844 Total comptes épargne-logement 76 520 72 478 Total encours collectes au titre des contrats épargne -logement 977 347 954 323 L'ancienneté est déterminée conformément au Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état. Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d'épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Plans d'épargne-logement 460 624 Comptes épargne-logement 1 538 2 158 Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne -logement 1 998 2 782 Provision au titre des comptes et plans d'épargne-logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 373 379 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 4 374 2 592 Ancienneté de plus de 10 ans 2 727 1 952 Total plans d'épargne-logement 7 474 4 923 Total comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne -logement 7 474 4 923 (En milliers d' E uros) 01/01/2019 Dotations Reprises 31/12/2019 Plans d'épargne-logement 4 923 2 551 7 474 Comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne -logement 4 923 2 551 7 474 La dotation de la provision épargne logement au 31 décembre 2019 est liée à l'actualisation des paramètres de calcul et notamment à la baisse de la marge collecte. Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs à l'emploi, régimes à prestations définies . Les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l'emploi à un ou plusieurs membres de son personnel. Les régimes à prestations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi autres que les régimes à cotisations définies. Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n'aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n'a pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. D'autre part, la recommandation 2013-02 du 07 novembre 2013, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014, reprend les dispositions de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel, à l'exception de celles relatives aux avantages à court terme et à ceux payés sous forme d'instrument de capitaux propres. Variations de la dette actuarielle  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Dette actuarielle au 31/12/2018 20 230 19 186 Coût des services rendus sur l'exercice 1 431 1 367 Coût financier 285 261 Cotisations employés Modifications, réductions et liquidations de régime -1 434 Variation de périmètre -68 -45 Indemnités de cessation d'activité Prestations versées (obligatoire) -655 -816 (Gains) / pertes actuariels 705 277 Dette actuarielle au 31/12/2019 20 494 20 230 Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Coût des services rendus 1 431 1 367 Coût financier 285 261 Rendement attendu des actifs -283 -221 Coût des services passés -1 434 Amortissement des (Gains) / pertes actuariels net 221 215 (Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes (Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif Charge nette comptabilisée au compte de résultat 220 1 622 Variations de juste valeur des actifs des régimes  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/2018 17 739 16 689 Rendement attendu des actifs 283 221 Gains / (pertes) actuariels -42 50 Cotisations payées par l'employeur 567 1 640 Cotisations payées par les employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -68 -45 Indemnités de cessation d'activité Prestations payées par le fonds -655 -816 Juste valeur des actifs / droits a remboursement au 31/12/2019 17 824 17 739 Composition des actifs des régimes  : Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de: 82,8% d'obligations 10,3% d'actions 6,9% d'autres produits Variations de la provision  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Dette actuarielle au 31/12/2019 -20 494 -20 230 Impact de la limitation d'actifs (Gains) / pertes actuariels restant à étaler 2 983 2 458 Juste valeur des actifs fin de période 17 824 17 739 Position nette (passif) / actifs au 31/12/2019 313 -33 — Rendement des actifs des régimes  : Le rendement attendu des actifs de régime est de 1,398 %. — Hypothèses actuarielles utilisées  : Au 31 décembre 2019, les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : une variation de plus 50bp des taux d'actualisation conduirait à une baisse de l'engagement de 5,63 % ; une variation de moins de 50bp des taux d'actualisation conduirait à une hausse de l'engagement de 6,21 %. Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux. (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Fonds pour risques bancaires généraux 39 557 40 557 Valeur au bilan 39 557 40 557 Note 18. – Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Dettes subordonnées à terme Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Titres et emprunts participatifs Autres emprunts subordonnés à terme Dettes subordonnées à durée indéterminée (1) Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Placement des fonds propres des Caisses Locales 14 198 14 198 7 14 205 12 421 Dépôts de Garantie à caractère mutuel Valeur au bilan 14 198 14 198 7 14 205 12 421 (1) Durée résiduelle des dettes subordonnées à durée indéterminée positionnées par défaut en > 5 ans. Commentaires : Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 173 milliers d'euros au 31 décembre 2019 contre 575 milliers d'euros au 31 décembre 2018. Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition) Variation des capitaux propres  : (En milliers d'Euros) Capitaux propres Capital Réserve légale Réserve statutaire Primes, autres réserves et report à nouveau (1) Ecarts conversion / réévaluation Provisions réglementées & subventions d'investissement Résultat Total des capitaux propres Solde au 31/12/2017 28 057 395 562 22 884 262 505 26 480 735 488 Dividendes versés au titre de N-2 -2 249 -2 249 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-2 18 173 6 058 -24 231 Report à nouveau -48 -48 Résultat de l’exercice N-1 30 124 30 124 Autres variations Solde au 31/12/2018 28 057 413 735 22 884 268 515 30 124 763 315 Dividendes versés au titre de N-1 -2 575 -2 575 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-1 20 626 6 923 -27 549 Report à nouveau Résultat de l’exercice N 31 046 31 046 Autres variations Solde au 31/12/2019 28 057 434 361 22 884 275 438 31 046 791 786 Commentaires : 1) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros de primes de fusion. Note 20. – Composition des fonds propres . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Capitaux propres 791 786 763 315 Fonds pour risques bancaires généraux 39 557 40 557 Dettes subordonnées et titres participatifs 14 205 12 421 Dépôts de garantie à caractère mutuel Total des fonds propres 845 548 816 293 Note 21. – Op é rations effectuées en devises . Contributions par devise au bilan  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Actif Passif Actif Passif Euro 6 759 396 6 594 607 6 384 645 6 201 541 Autres devises de l’Union Europ 16 16 260 260 Franc suisse Dollar 2 149 2 149 2 032 2 032 Yen Autres devises 288 288 288 288 Valeur brute 6 761 849 6 597 060 6 387 225 6 204 121 Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation 80 230 85 211 82 192 81 249 Dépréciations -159 808 -184 047 Total 6 682 271 6 682 271 6 285 370 6 285 370 Note 22. – Op é rations de change, prêts et emprunts en devises . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 A recevoir A livrer A recevoir A livrer Opérations de change au comptant Devises Euros Opérations de change à terme 2 489 2 483 14 264 14 253 Devises 1 252 1 252 7 430 7 430 Euros 1 237 1 231 6 834 6 823 Prêts et emprunts en devises Total 2 489 2 483 14 264 14 253 Note 23. – Op é rations sur instruments financiers à terme . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Opérations de couverture Opérations autres que de couverture Total Total Opérations fermes 2 152 170 6 956 2 159 126 2 033 556 Opérations sur marchés organisés (1) Contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations de gré à gré (1) 2 152 170 6 956 2 159 126 2 033 556 Swaps de taux d'intérêt 2 152 170 6 956 2 159 126 2 033 556 Autres contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change FRA Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations conditionnelles 14 494 14 494 55 762 Opérations sur marchés organisés Instruments de taux d'intérêt à terme Achetés Vendus Instruments sur action et indices boursiers à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Opérations de gré à gré 14 494 14 494 55 762 Options de swaps de taux Achetées Vendues Instruments de taux d'intérêts à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés 7 247 7 247 27 881 Vendus 7 247 7 247 27 881 Instruments sur actions et indices boursiers à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Dérivés de crédit Contrats de dérivés de crédit Achetés Vendus Total 2 152 170 21 450 2 173 620 2 089 318 (1) Les montants indiqués sur les opérations fermes correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats). Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) Total 31/12/2019 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change 14 494 14 494 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 255 363 1 062 451 841 312 255 363 1 062 451 841 312 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 269 857 1 062 451 841 312 269 857 1 062 451 841 312 Swaps de devises Opérations de change à terme 4 971 4 971 Sous total 4 971 4 971 Total 274 828 1 062 451 841 312 274 828 1 062 451 841 312 (En milliers d' E uros) Total 31/12/2018 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change 55 762 55 762 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 142 372 947 882 943 302 142 372 947 882 943 302 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 198 134 947 882 943 302 198 134 947 882 943 302 Swaps de devises Opérations de change à terme 28 167 349 28 167 349 Sous total 28 167 349 28 167 349 Total 226 301 948 231 943 302 226 301 948 231 943 302 23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur  : (En milliers d' E uros) Juste Valeur Positive au 31/12/2019 Juste Valeur Négative au 31/12/2019 Encours Notionnel au 31/12/2019 Juste Valeur Positive au 31/12/2018 Juste Valeur Négative au 31/12/2018 Encours Notionnel au 31/12/2018 Futures Options de change 7 247 7 247 14 494 27 881 27 881 55 762 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 45 683 125 034 2 159 126 57 811 83 815 2 033 556 Caps, floors, collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 52 930 132 281 2 173 620 85 692 111 696 2 089 318 Swaps de devises Opérations de change à terme 2 488 2 483 4 971 14 264 14 252 28 516 Sous total 2 488 2 483 4 971 14 264 14 252 28 516 Total 55 418 134 764 2 178 591 99 956 125 948 2 117 834 23.3. Information sur les Swaps  : Ventilation des contrats d'échange de taux d'intérêt  : (En milliers d' E uros) Position ouverte isolée Micro-couverture Macro-couverture Swaps de transaction Contrats d'échange de taux 6 956 319 045 1 833 125 Contrats assimilés (1) (1) Il s’agit des contrats assimilés au sens de l’article 2521-1 du règlement ANC 2014-07. Note 24. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits d é riv é s . L'évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l'établissement mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l'application de facteurs de majoration (add-on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante : Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme  : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur de marché Risque de crédit potentiel ( * ) Total risque de contrepartie Valeur de marché Risque de crédit potentiel Total risque de contrepartie Risques sur les gouvernements et banques centrales de l’OCDE et organismes assimilés Risques sur les établissements financiers de l’OCDE et organismes assimilés 51 769 9 503 61 272 63 998 9 436 73 434 Risques sur les autres contreparties 308 40 348 308 52 360 Total avant effet des accords de compensation 52 077 9 543 61 620 64 306 9 488 73 794 Dont risques sur contrats de : - Taux d'intérêt, change et matières premières 52 077 9 543 61 620 64 306 9 488 73 794 - Dérivés actions et sur indices Total avant effet des accords de compensation 52 077 9 543 61 620 64 306 9 488 73 794 Incidences des accords de compensation et de collatérisation Total après effet des accords de compensation et de collaterisation 52 077 9 543 61 620 64 306 9 488 73 794 (*) Calculé selon les normes prudentielles CRR / CRD4 Note 25. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Engagements donnés Engagements de financement 441 250 429 978 Engagements en faveur d'établissements de crédit Engagements en faveur de la clientèle 441 250 429 978 Ouverture de crédits confirmés 174 931 159 208 Ouverture de crédits documentaires 29 Autres ouvertures de crédits confirmés 174 902 159 208 Autres engagements en faveur de la clientèle 266 319 270 770 Engagements de garantie 319 940 282 172 Engagements d'ordre d'établissement de crédit 128 696 128 696 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires Autres garanties (1) 128 696 128 696 Engagements d'ordre de la clientèle 191 244 153 476 Cautions immobilières 12 815 17 077 Autres garanties d'ordre de la clientèle 178 429 136 399 Engagements sur titres 294 387 Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements à donner 294 387 Engagements reçus  : Engagements de financement 12 882 12 882 Engagements reçus d'établissements de crédit 12 882 12 882 Engagements reçus de la clientèle Engagements de garantie 1 363 550 1 270 390 Engagements reçus d'établissements de crédit 188 206 155 005 Engagements reçus de la clientèle 1 175 344 1 115 385 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées 261 834 249 808 Autres garanties reçues 913 510 865 577 Engagements sur titres 294 387 Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements reçus 294 387 (1) Dont 126 009 milliers d'euros relatifs à la garantie (Switch Assurance) mise en place le 1 er juillet 2016, en amendement de la garantie précédente octroyée le 2 janvier 2014 pour 327 349 milliers d'euros. Note 26. – Actifs donn é s et reçus en garantie . Créances apportées en garantie : Au cours de l'année 2019, la Caisse régionale Crédit Agricole Sud-Méditerranée a apporté 1 265 143 milliers d'euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 244 815 milliers d'euros en 2018. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a apporté : 719 471 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 740 081 milliers d'euros en 2018; 106 543 milliers d'euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 117 934 milliers d'euros en 2018; 439 129 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 386 799 milliers d'euros en 2018 . Note 27. – Op é rations de titrisation . En 2019 la Caisse Régionale Crédit Agricole Sud-Méditerranée a participé à la titrisation du FCT Crédit Agricole Habitat 2019, titrisation décrite au niveau de la note 1.3 Principales opérations de structure et événements significatifs de la période. Note 28. – Produits nets d'intérêts et revenus assimil é s . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Sur opérations avec les établissements de crédit 2 064 596 Sur opérations internes au Crédit Agricole 10 039 10 085 Sur opérations avec la clientèle 115 293 116 757 Sur obligations et autres titres à revenu fixe 3 771 4 100 Produit net sur opérations de macro-couverture Sur dettes représentées par un titre 2 984 6 496 Autres intérêts et produits assimilés 35 Intérêts et produits assimilés 134 151 138 069 Sur opérations avec les établissements de crédit -1 286 -1 198 Sur opérations internes au Crédit Agricole -22 021 -19 876 Sur opérations avec la clientèle -25 047 -23 459 Charge nette sur opérations de macro-couverture -3 982 -3 952 Sur obligations et autres titres à revenu fixe Sur dettes représentées par un titre -8 423 -11 941 Autres intérêts et charges assimilées -10 -52 Intérêts et charges assimilées -60 769 -60 478 Total produits nets d' intérêts et revenus assimiles (1) 73 382 77 591 (1) Le montant des charges nettes d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2019 est de 173 milliers d'euros, il était de 575 milliers d'euros au 31 décembre 2018. La baisse des intérêts est liée au TSR Radian qui est arrivé à échéance en juin 2018 Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d'opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques. Note 29. – Revenus des titres . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme 18 441 16 857 Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille Opérations diverses sur titres Total des revenus des titres a revenus variables 18 441 16 857 Note 30. – Produit net des commissions . (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 64 -31 33 108 -53 55 Sur opérations internes au crédit agricole 4 753 -12 638 -7 885 4 909 -11 505 -6 596 Sur opérations avec la clientèle 20 124 -161 19 963 18 209 -172 18 037 Sur opérations sur titres Sur opérations de change 27 27 14 14 Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan Sur prestations de services financiers (1) 49 404 -6 112 43 292 51 398 -6 554 44 844 Provision pour risques sur commissions 193 -206 -13 174 -182 -8 Total produit net des commissions 74 565 -19 148 55 417 74 812 -18 466 56 346 (1) Dont prestations assurance-vie : 11 152 milliers d'euros. Note 31. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Solde des opérations sur titres de transaction Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés 152 148 Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme -8 -5 Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations 144 143 Note 32. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimil é s . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Titres de placement Dotations aux dépréciations -29 -118 Reprises de dépréciations 13 3 Dotations ou reprises nettes aux dépréciations -16 -115 Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées -160 -165 Solde des plus et moins-values de cession réalisées -160 -165 Solde des opérations sur titres de placement -176 -280 Titres de l'activité de portefeuille Dotations aux dépréciations Reprises de dépréciations Dotations ou reprises nettes aux dépréciations Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées Solde des plus et moins-values de cession réalisées Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimil é s -176 -280 Note 33. – Autres produits et charges d'exploitation bancaire . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Produits divers 3 538 3 766 Quote - part des opérations faites en commun Refacturation et transfert de charges 31 Reprises provisions 357 Autres produits d'exploitation bancaire 3 926 3 766 Charges diverses -301 -168 Quote - part des opérations faites en commun -300 -278 Refacturation et transfert de charges Dotations provisions -1 246 Autres charges d'exploitation bancaire -601 -1 692 Total autres produits et charges d'exploitation bancaire 3 325 2 074 Note 34. – Charges générales d'exploitation . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Frais de personnel  : Salaires et traitements -34 663 -34 582 Charges sociales -16 961 -16 988 - Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies -3 833 -3 638 Intéressement et participation -4 829 -4 818 Impôts et taxes sur rémunérations -5 036 -5 157 Total des charges de personnel -61 489 -61 545 Refacturation et transferts de charges de personnel 2 753 2 556 Frais de personnel nets -58 736 -58 989 Frais administratifs  : Impôts et taxes -3 037 -2 768 Services extérieurs, autres frais administratifs et contributions règlementaires (1) -39 325 -38 177 Total des charges administratives -42 362 -40 945 Refacturation et transferts de charges administratives 575 385 Frais administratifs nets -41 787 -40 560 Charges générales d'exploitation -100 523 -99 549 (1) Dont 1 019 milliers d'euros au titre du fonds de résolution unique — Effectif moyen  : Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) : Catégories de personnel 31/12/2019 31/12/2018 Cadres 157 156 Non cadres 718 716 Total de l'effectif moyen 875 871 Dont : - France 861 856 - Etranger 14 15 Dont : personnel mis à disposition 1 1 La rémunération des organes de direction et d'administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l'institution. Le montant global des rémunérations des organes d'administration et de direction s'élève à 1 695 milliers d'euros. Note 35. – Co û t du risque . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Dotations aux provisions et dépréciations -97 962 -127 280 Dépréciations de créances douteuses -18 902 -27 213 Autres provisions et dépréciations -79 060 -100 067 Reprises de provisions et dépréciations 113 578 140 388 Reprises de dépréciations de créances douteuses (1) 39 987 33 009 Autres reprises de provisions et dépréciations 73 591 107 379 Variation des provisions et dépréciations 15 616 13 108 Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (2) -245 -1 370 Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (3) -18 352 -22 312 Décote sur prêts restructurés -79 -52 Récupérations sur créances amorties 899 3 852 Autres pertes -95 -149 Autres produits Cout du risque -2 256 -6 923 (1) Dont 4 682 milliers d'euros utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromis et 1 058 milliers d'euros liés à l'effet de désactualisation des dépréciations sur créances douteuses. (2) Dont 111 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises (3) Dont 13 669 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises. Note 36. – Résultat net sur actifs immobilis é s . (En milliers d' E uros) 31/12/2019 31/12/2018 Immobilisations financières Dotations aux dépréciations -3 012 -3 242 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -3 012 -3 242 Reprises de dépréciations 1 867 2 646 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 1 867 2 646 Dotation ou reprise nette aux dépréciations -1 145 -596 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -1 145 -596 Plus-values de cessions réalisées 59 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 59 Moins-values de cessions réalisées -11 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -11 Pertes sur créances liées à des titres de participation Solde des plus et moins-values de cessions 48 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 48 Solde en perte ou en bénéfice -1 145 -548 Immobilisations corporelles et incorporelles  : Plus-values de cessions 136 1 Moins-values de cessions -1 171 -232 Solde en perte ou en bénéfice -1 035 -231 Résultat net sur actifs immobilises -2 180 -779 Note 37. – Charges et produits exceptionnels . La Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée n'a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l'exercice 2019. Note 38. – Impôt sur les bénéfices. Cet agrégat comprend la charge relative à l'impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risque fiscaux. La charge fiscale de l'exercice s'élève à 11 289 milliers d'euros. Intégration fiscale : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d'impôt résultant de la réallocation de l'économie d'IS liées aux dividendes intragroupe pour 1 363 milliers d'euros. Note 38. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires . La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur "banque de proximité en France", toutefois il convient de noter l'activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédit). Résultat courant par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 148 829 -98 360 -4 677 45 793 -2 188 43 605 -1 768 41 836 Autres pays de l' U .E. 1 703 -1 636 -89 -23 -68 -91 -412 -502 Résultat courant avant impôt 150 532 -99 996 -4 766 45 770 -2 256 43 514 -2 180 41 334 (En milliers d' E uros) 31/12/2018 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 150 864 -97 377 -4 615 48 873 -6 679 42 194 -547 41 647 Autres pays de l 'U .E. 1 866 -2 245 -96 -476 -245 -721 -231 -952 Résultat courant avant impôt 152 730 -99 622 -4 711 48 397 -6 924 41 473 -778 40 695 Note 40. – Affectation des résultats. Résultat de l'exercice à affecter 31 046 355,13 € Distribué 2 643 027,97 € Intérêts aux parts au taux de 1,50% 315 645,49 € Aux Caisses locales 315 641,60 € A SACAM Mutualisation 0,23 € Aux autres souscripteurs 3,66 € Rémunération des CCA 2 327 382,42 € Conservé 28 403 327,22 € Réserve légale 21 302 495,42 € Autres réserves 7 100 831,81 € Note 41. – . Implantation dans des états ou territoires non coopératifs . La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un Etat ou un territoire non coopératif au sens de l'article 238-0 A du Code général des impôts. Note 42. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée  : (En milliers d'euros hors taxes) Ernst & Young % KPMG % Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels (*) 95 55,56 59 34,50 Services autres que la certification des comptes 3 1,75 14 8,19 Total 98 57,31 73 42,69 (*) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes. IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels . A l'Assemblée Générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, Opinion . — En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons effectué l'audit des comptes annuels de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l'exercice clos le 31 décembre 2019, tels qu'ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la caisse régionale à la fin de cet exercice. L'opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit. Fondement de l'opinion  : — Référentiel d'audit  : Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l'audit des comptes annuels » du présent rapport. — Indépendance  : Nous avons réalisé notre mission d'audit dans le respect des règles d'indépendance qui nous sont applicables, sur la période du P janvier 2019 à la date d'émission de notre rapport, et notamment nous n'avons pas fourni de services interdits par l'article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014 ou par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Justification des appréciations - Points clés de l'audit . — En application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l'audit relatifs aux risques d'anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l'audit des comptes annuels de l'exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le contexte de l'audit des comptes annuels pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n'exprimons pas d'opinion sur des éléments de ces comptes annuels pris isolément. — Dépréciations des crédits sur une base individuelle : Risque identifié Notre réponse Du fait de son activité, la caisse régionale est exposée à un risque significatif de crédit sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l'agriculture. Comme indiqué dans la note 2.1 de l'annexe aux comptes annuels, les créances présentant un risque de crédit avéré donnent lieu à la comptabilisation d'une dépréciation correspondant à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d'intérêt effectif, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. S'agissant de la détermination d'éventuelles dépréciations, la direction de la caisse régionale est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations des crédits portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l'agriculture comme un point clé de l'audit des comptes annuels en raison de leur importance dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés actualisés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles, présentées dans la note 9.1 de l'annexe aux comptes annuels, qui s'élève à 126,7 M€ . Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la direction pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : mené des entretiens au cours de l'exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte comptabilisation ; testé l'efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la caisse régionale relatifs à ces procédures ; analysé les hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit ; - effectué un examen de la couverture des encours douteux par marché et par strate d'encours. — Provisions sur encours sains et dégradés : Risque identifié Notre réponse Comme indiqué dans la note 2.1 de l'annexe aux comptes annuels, la caisse régionale constate au titre des expositions de crédits au passif de son bilan des provisions pour couvrir les risques de crédit attendus sur les douze mois à venir (expositions qualifiées de saines) et/ou sur la durée de vie de l'encours dès lors que la qualité de crédit de l'exposition s'est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions reposent sur des estimations qui intègrent des paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d'exposition au moment du défaut selon des modèles internes de risques de crédit, en tenant compte des données macro économiques prospectives (Forward Locking) appréciées au niveau du groupe Crédit Agricole et au regard des paramètres propres au portefeuille de crédit de la caisse régionale sur la base d'éléments conjoncturels et/ou structurels locaux. Le cumul de ces provisions sur les prêts et créances représente 38,6 M€ au 31 décembre 2019 comme détaillé dans la note 14 de l'annexe aux comptes annuels. Nous avons considéré qu'il s'agissait d'un point clé de l'audit des comptes annuels en raison de : l'importance des zones de jugement entrant dans la détermination des modèles, des risques liés à la qualité des données qui les alimentent et des risques liés à leur insertion opérationnelle l'importance relative de ces provisions dans le bilan de la caisse régionale et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit à la consommation, etc.), dont par exemple des informations prospectives (Forward locking central et local). Nos travaux ont consisté à : Prendre connaissance, lors d'un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation du groupe Crédit Agricole, avec l'aide de leurs experts sur les modèles de dépréciations. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : les principes méthodologiques suivis pour la construction des modèles, la qualité des données utilisées pour calibrer les paramètres utilisés dans les modèles (probabilité de défaut « PD », perte en cas de défaut « Loss Given Default» ou « 10,0 la gouvernante des modèles au regard des modalités de détermination et de changement des paramètres, du processus de validation indépendante et des modalités de back-testing, la réalisation de tests applicatifs ciblés sur les principales fonctionnalités de l'outil utilisé pour déterminer les corrections de valeur ; tester, par sondages, la qualité des données des expositions entrant dans le modèle de provisionnement sur la base d'un échantillon de dossiers ; contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des dépréciations et des provisions dans l'outil de provisionnement étudier les hypothèses et la documentation fournie par la caisse régionale sur l'identification de dégradations significatives pour des portefeuilles d'encours et la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l'application du Forward Locking; analyser l'évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l'exercice 2019 Vérifications spécifiques . — Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d'administration et dans les autres documents sur la situation financière et les comptes annuels adressés aux sociétaires à l'exception du point ci-dessous. La sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations relatives aux délais de paiement mentionnées à l'article 0. 441-4 du Code de commerce appellent de notre part l'observation suivante : comme indiqué dans le rapport de gestion, ces informations n'incluent pas les opérations bancaires et les opérations connexes, votre caisse régionale considérant qu'elles n'entrent pas dans le périmètre des informations à produire. Informations résultant d'autres obligations légales et réglementaires : — Désignation des commissaires aux comptes : Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre assemblée générale du 27 mars 2008. Au 31 décembre 2019, nos cabinets étaient dans la douzième année de leur mission sans interruption. Antérieurement, le cabinet ERNST Et YOUNG Audit était commissaire aux comptes depuis 1989. Responsabilités de la direction et des personnes constituant le gouvernement d'entreprise relatives aux comptes annuels . Il appartient à la direction d'établir des comptes annuels présentant une image fidèle conformément aux règles et principes comptables français ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes annuels ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs. Lors de l'établissement des comptes annuels, il incombe à la direction d'évaluer la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d'exploitation et d'appliquer la convention comptable de continuité d'exploitation, sauf s'il est prévu de liquider la caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit de suivre le processus d'élaboration de l'information financière et de suivre l'efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l'audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d'administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l'audit des comptes annuels . — Objectif et démarche d'audit  : Il nous appartient d'établir un rapport sur les comptes annuels. Notre objectif est d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels pris dans leur ensemble ne comportent pas d'anomalies significatives. L'assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d'assurance, sans toutefois garantir qu'un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d'erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l'on peut raisonnablement s'attendre à ce qu'elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l'article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre caisse régionale. Dans le cadre d'un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : il identifie et évalue les risques que les comptes annuels comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs, définit et met en œuvre des procédures d'audit face à ces risques, et recueille des éléments qu'il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d'une anomalie significative provenant d'une fraude est plus élevé que celui d'une anomalie significative résultant d'une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l'audit afin de définir des procédures d'audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d'exprimer une opinion sur l'efficacité du contrôle interne ; il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes annuels ; il apprécie le caractère approprié de l'application par la direction de la convention comptable de continuité d'exploitation et, selon les éléments collectés, l'existence ou non d'une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s'appuie sur les éléments collectés jusqu'à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d'exploitation. S'il conclut à l'existence d'une incertitude significative, il attire l'attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes annuels au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; il apprécie la présentation d'ensemble des comptes annuels et évalue si les comptes annuels reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle. — Rapport au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit  : Nous remettons au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit un rapport qui présente notamment l'étendue des travaux d'audit et le programme de travail mis en œuvre , ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit figurent les risques d'anomalies significatives, que nous jugeons avoir été les plus importants pour l'audit des comptes annuels de l'exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l'audit, qu'il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit la déclaration prévue par l'article 6 du règlement (UE) n° 537-2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu'elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 à L 822-14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labége et Paris-La Défense, le 6 mars 2020 . Les Commissaires aux Comptes : KPMG Audit Département e KPMG S.A. : ERNST Et YOUNG et Autres : Philippe SAINT-PIERRE Luc VALVERDE V. — Attestation des commissaires aux comptes et publicit é. Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan. B. — comptes consolides 31 décembre 2019 . Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 31 janvier 2020 et soumis à l’approbation de l’Assemblée Générale ordinaire en date du 5 juin 2020 Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers I. — Cadre général. Présentation juridique de l’entité . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable. Son siège social est situé à Perpignan, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de Perpignan sous la référence 776179335, code NAF 6419 Z, et fait partie du groupe Crédit Agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après. Organigramme simplifié du Crédit Agricole  : Un Groupe bancaire d’essence mutualiste . — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 10,5 millions de sociétaires qui élisent quelques 29 658 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie. La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales. Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R. 512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L. 511-31 et article L. 511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole, au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. peut prendre toute mesure nécessaire, notamment pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés. (1) via la SAS Rue La Boétie. La Caisse régionale de la Corse, détenue à 99,9 % par Crédit Agricole S.A., est actionnaire de Sacam Mutualisation. Relations internes au Crédit Agricole  : Mécanismes financiers internes . — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe. — Comptes ordinaires des Caisses régionales  : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en "Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires" et intégré sur la ligne "Prêts et créances sur les établissements de crédit" ou "Dettes envers les établissements de crédit". — Comptes d'épargne à régime spécial  : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en "Dettes envers la clientèle". — Comptes et avances à terme  : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les "avances" (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites "avances-miroir" (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché. Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles. Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales  : Les ressources d'origine "monétaire" des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques "Opérations internes au Crédit Agricole". — Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A.  : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous la forme de placements de trois à dix ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire. — Opérations en devises  : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A.  : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en "Dettes représentées par un titre" ou "Dettes subordonnées". Couverture des risques de Liquidité et de Solvabilité . — Le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l’année 2014 (directive BRRD, transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français au règlement sur le mécanisme de résolution unique) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. L’ACPR, autorité de résolution nationale, considère la stratégie de résolution « single point of entry » (point d’entrée unique ou SPE) comme la plus appropriée s’agissant du système bancaire français. Le groupe Crédit Agricole a retenu le modèle du SPE. A ce titre, Crédit Agricole S.A., en sa qualité d’organe central, serait ce point d’entrée unique dans l’hypothèse d’une mise en résolution du groupe Crédit Agricole. Compte tenu des mécanismes de solidarité existant au sein du Groupe, la Caisse régionale ne peut pas être mise en résolution de manière individuelle. Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier (CMF), Crédit Agricole S.A., en sa qualité d’organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l’ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau et chaque établissement affilié bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du Code monétaire et financier ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. L’Autorité de résolution peut ouvrir une procédure de résolution à l’encontre d’un établissement de crédit lorsqu’elle considère que : la défaillance de l’établissement est avérée ou prévisible, il n’existe aucune perspective raisonnable qu’une autre mesure de nature privée empêche la défaillance dans des délais raisonnables, une mesure de résolution est nécessaire et une procédure de liquidation serait insuffisante pour atteindre les objectifs recherchés de la résolution ci-dessus rappelés. L’Autorité de résolution peut utiliser un ou plusieurs instruments de résolution, tels que décrits ci-dessous avec pour objectif de recapitaliser ou restaurer la viabilité de l’établissement. Les instruments de résolution doivent être mis en œuvre de telle manière à ce que les porteurs de titres de capital (parts sociales, CCI, CCA) supportent en premier les pertes, puis les autres créanciers sous réserve de certaines exceptions. La loi française prévoit également une mesure de protection lorsque certains instruments ou mesure de résolution sont mis en œuvre tel le principe selon lequel les porteurs de titres de capital et les créanciers d’un établissement en résolution ne peuvent pas supporter des pertes plus lourdes que celles qu’ils auraient subies si l’établissement avait été liquidé dans le cadre d’une procédure normale d’insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation – NCWOL visé à l’article L 613-57.I du CMF). Ainsi les investisseurs ont le droit de réclamer des indemnités si le traitement qu’ils subissent en résolution est moins favorable que le traitement qu’ils auraient subi si l’établissement avait fait l’objet d’une procédure normale d’insolvabilité. L’Autorité de résolution peut mettre en œuvre les outils de renflouement interne (bail-in). En cas de résolution opérée sur le groupe Crédit Agricole, l’Autorité de résolution pourrait ainsi décider d’appliquer une mesure de « bail-in » aux parts sociales, CCI et CCA, c’est-à-dire déprécier leur valeur minimale afin d’absorber les pertes et aux instruments de dette, c’est-à-dire décider de leur dépréciation totale ou partielle ou de leur conversion en capital afin également d’absorber les pertes. Dans ce cas l’investisseur doit être conscient qu’il existe donc un risque significatif pour les porteurs de parts sociales, CCI et CCA et les titulaires d’instruments de dette de perdre tout ou partie de leur investissement en cas de mise en œuvre d’une procédure de résolution bancaire sur le Groupe. Les autres mesures de résolution que l’Autorité de résolution peut mettre en œuvre sont pour l’essentiel ; la cession totale ou partielle des activités de l’établissement à un tiers ou à un établissement relais et la séparation des actifs de cet établissement. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du CMF, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution. L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) . — Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 complété par un premier avenant signé le 19 décembre 2013 et amendé par deux avenants en 2016 respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3), s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les derniers amendements de ces garanties ont pris effet rétroactivement le 1er juillet 2016, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée totale ou partielle ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat. A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant. Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant désormais aux participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), celles-ci étant mises en équivalence pour les besoins prudentiels : on parle désormais des garanties Switch Assurance. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales. La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. Ainsi les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement, en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, pourrait restituer les indemnisations préalablement perçues. Sur le plan prudentiel : Crédit Agricole S.A. réduit ses exigences de capital à proportion du montant de la garantie accordée par les Caisses régionales ; les Caisses régionales constatent symétriquement des exigences de capital égales à celles économisées par Crédit Agricole S.A. Ce dispositif, qui est neutre au niveau du groupe Crédit Agricole, permet de rééquilibrer l’allocation en fonds propres entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales. Sur le plan comptable : Les garanties s’analysent en substance comme des contrats d’assurance du fait de l’existence d’un risque d’assurance au sens de la norme IFRS 4. La norme IFRS 4 permet à l’émetteur d’un contrat d’assurance, de recourir aux principes comptables déjà appliqués pour des garanties données similaires, sous réserve d’effectuer un test de suffisance du passif selon les modalités visées par le paragraphe 14(b) de la norme. Par conséquent, le traitement comptable des garanties est assimilable à celui d’une garantie donnée à première demande et leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. Dans le cas où il existerait des perspectives de perte nette à l'échéance après prise en compte d’hypothèse raisonnables de retour à meilleure fortune, une provision serait à doter, en Coût du risque, conformément aux exigences du test de suffisance du passif. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seraient respectivement reconnus en Coût du risque. Il convient de noter que l’activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s’apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Equivalence des participations détenues dans Crédit Agricole Assurances. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d’estimer s’il existe un risque d’indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n’étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l’activation des garanties sous forme d’appel ou de retour à meilleure fortune. Informations relatives aux parties liées . — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2019 et aux dirigeants dont la rémunération est précisée au paragraphe 7.6. Le périmètre consolidé est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée, de 100% des parts des Sociétés Techniques de Titrisation et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales.» Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 milliers d’euros, les comptes courants bloqués s’élèvent à 1 853 milliers d’euros et les titres négociables à moyen terme à 12 345 milliers d’euros. Etats financiers consolid é s II. — Compte de résultat . (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2019 31/12/2018 Intérêts et produits assimilés 4.1 154 229 156 577 Intérêts et charges assimilées 4.1 -77 773 -77 783 Commissions (produits) 4.2 74 398 74 703 Commissions (charges) 4.2 -19 162 -18 475 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat 4.3 -1 562 -1 841 Gains ou pertes nets sur actifs/passifs de transaction -12 -27 Gains ou pertes nets sur autres actifs/passifs à la juste valeur par résultat -1 550 -1 814 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 4.4 18 168 16 583 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 18 168 16 583 Gains ou pertes nets résultant de la décomptabilisation d'actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers au coût amorti en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ Produits des autres activités 4.5 1 633 1 088 Charges des autres activités 4.5 -1 351 -1 518 Produit net bancaire 148 580 149 334 Charges générales d'exploitation 4.6 -99 997 -99 613 Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4.7 -4 715 -4 458 Résultat brut d'exploitation 43 868 45 263 Coût du risque 4.8 -1 472 -7 274 Résultat d'exploitation 42 396 37 989 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs 4.9 -643 ‐ Variations de valeur des écarts d'acquisition 6.16 ‐ ‐ Résultat avant impôt 41 753 37 989 Impôts sur les bénéfices 4.10 -10 416 -6 879 Résultat net d'impôts des activités abandonnées ‐ ‐ Résultat net 31 337 31 110 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Résultat net part du Groupe 31 337 31 110 (1) Correspond au résultat y compris Résultat net des activités abandonnées. Résultat net et gains et pertes II. — Comptabilis é s directement en ca pitaux propres . (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2019 31/12/2018 Résultat net 31 337 31 110 Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi 4.11 -747 -227 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre (1) ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (1) 4.11 27 726 -43 103 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 26 979 -43 330 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 -758 1 759 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 4.11 26 221 -41 571 Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables 4.11 ‐ -1 Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 4.11 248 245 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 248 244 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 -64 -61 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 4.11 184 183 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 4.11 26 405 -41 388 Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 57 742 -10 278 Dont part du Groupe 57 742 -10 278 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ (1) Montant du transfert en réserves d'éléments non recyclables 4.11 -48 I. — Bilan . ( En milliers d' E uros .) Actif Notes 31/12/2019 31/12/2018 Caisse, banques centrales 6.1 46 807 44 341 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 99 272 104 120 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 369 653 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 98 903 103 467 Instruments dérivés de couverture 3.1-3.2-3.4 51 769 63 998 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 6.4 611 466 580 945 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 611 466 580 945 Actifs financiers au coût amorti 3.3-6.5-6.6 5 831 973 5 489 450 Prêts et créances sur les établissements de crédit 402 981 345 847 Prêts et créances sur la clientèle 5 252 082 4 953 096 Titres de dettes 176 910 190 507 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 77 052 41 555 Actifs d'impôts courants et différés 6.10 15 471 15 549 Comptes de régularisation et actifs divers 6.11 183 173 125 472 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Participations dans les entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Immeubles de placement 6.12 4 042 4 280 Immobilisations corporelles (1) 6.13 27 132 27 380 Immobilisations incorporelles 6.13 34 894 Ecarts d'acquisition ‐ ‐ Total de l'actif 6 948 191 6 497 984 (1) Cf. Note 11 Impacts des évolutions comptables ou autres évènements sur les impacts de première application de la norme IFRS 16 Contrats de location au 1er janvier 2019 Passif Notes 31/12/2019 31/12/2018 Banques centrales ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 466 747 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 466 747 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 3.1-3.2-3.4 131 901 90 630 Passifs financiers au coût amorti 5 652 020 5 299 530 Dettes envers les établissements de crédit 3.3-6.8 3 195 459 2 946 527 Dettes envers la clientèle 3.1-3.3-6.8 2 285 948 2 179 928 Dettes représentées par un titre 3.3-6.8 170 613 173 075 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 34 726 44 229 Passifs d'impôts courants et différés 6.10 3 947 4 228 Comptes de régularisation et passifs divers (1) 6.11 108 313 100 044 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Provisions 6.14 21 721 20 790 Dettes subordonnées ‐ ‐ Total dettes 5 953 094 5 560 198 Capitaux propres 995 097 937 786 Capitaux propres part du Groupe 995 097 937 786 Capital et réserves liées 165 151 162 933 Réserves consolidées 682 291 653 830 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 116 318 89 913 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur activités abandonnées ‐ ‐ Résultat de l'exercice 31 337 31 110 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Total du passif 6 948 191 6 497 984 (1) Cf. Note 11 Impacts des évolutions comptables ou autres évènements sur les impacts de première application de la norme IFRS 16 Contrats de location au 1er janvier 2019 II. — Tableau de variation des capitaux propre s . (En milliers d'Euros) Part du Groupe Participations ne donnant pas le contrôle Capitaux propres consolidés Capital et réserves liées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net Capitaux propres Capital, réserves liées et résultat Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres Capital Prime et réserves consolidées liées au capital (1) Elimination des titres auto-détenus Autres instruments de capitaux propres Total Capital et réserves consolidées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres au 1er janvier 2018 Publié 31 853 775 362 ‐ ‐ 807 215 20 105 -3 132 16 973 ‐ 824 188 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 824 188 Impacts nouvelles normes (2) ‐ 10 349 ‐ ‐ 10 349 -21 021 135 349 114 328 ‐ 124 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 124 677 Capitaux propres au 1er janvier 2018 31 845 785 711 ‐ ‐ 817 556 -916 132 217 131 301 ‐ 948 857 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 948 857 Augmentation de capital 1 463 ‐ ‐ ‐ 1 463 ‐ ‐ ‐ ‐ 1 463 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 463 Variation des titres auto détenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions / remboursements d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2018 ‐ -2 283 ‐ ‐ -2 283 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 283 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 283 Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 12 ‐ ‐ 12 ‐ ‐ ‐ ‐ 12 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 12 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 1 463 -2 271 ‐ ‐ -808 ‐ ‐ ‐ ‐ -808 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -808 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ 48 ‐ ‐ 48 183 -41 571 -41 388 ‐ -41 340 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -41 340 Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2018 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 31 110 31 110 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 31 110 Autres variations ‐ -33 ‐ ‐ -33 ‐ ‐ ‐ ‐ -33 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -33 Capitaux propres au 31 décembre 2018 33 308 783 455 ‐ ‐ 816 763 -733 90 646 89 913 31 110 937 786 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 937 786 Affectation du résultat 2018 ‐ 31 110 ‐ ‐ 31 110 ‐ ‐ ‐ -31 110 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2019 33 308 814 565 ‐ ‐ 847 873 -733 90 646 89 913 ‐ 937 786 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 937 786 Impacts nouvelles normes (3) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2019 Retraité 33 308 814 565 ‐ ‐ 847 873 -733 90 646 89 913 ‐ 937 786 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 937 786 Augmentation de capital 2 218 ‐ ‐ ‐ 2 218 ‐ ‐ ‐ ‐ 2 218 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 218 Variation des titres auto détenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions / remboursements d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2019 ‐ -2 641 ‐ ‐ -2 641 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 641 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 641 Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 8 ‐ ‐ 8 ‐ ‐ ‐ ‐ 8 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 8 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 2 218 -2 633 ‐ ‐ -415 ‐ ‐ ‐ ‐ -415 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -415 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 184 26 221 26 405 ‐ 26 405 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 26 405 Dont gains et pertes sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont gains et pertes sur variation du risque de crédit propre transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2019 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 31 337 31 337 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 31 337 Autres variations ‐ -16 ‐ ‐ -16 ‐ ‐ ‐ ‐ -16 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -16 Capitaux propres au 31 décembre 2019 35 526 811 916 ‐ ‐ 847 442 -549 116 867 116 318 31 337 995 097 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 995 097 (1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'autocontrôle. (2) Impact capitaux propres des normes d'application rétrospective (3) Impact capitaux propres des normes d'application prospective III. — Tableau des flux de trésorerie . Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte. Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée . Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles. Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans les rubriques "Juste valeur par résultat" ou "Juste valeur par capitaux propres non recyclables" sont compris dans cette rubrique. Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme. La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit. (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2019 31/12/2018 Résultat avant impôt 41 753 37 989 Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4 715 4 458 Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations ‐ ‐ Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions -2 138 2 093 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Résultat net des activités d'investissement 643 ‐ Résultat net des activités de financement 19 471 Autres mouvements 3 160 8 887 Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôt et des autres ajustements 6 399 15 909 Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit 251 509 -1 195 Flux liés aux opérations avec la clientèle -183 442 -82 178 Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers 16 773 25 995 Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers -50 753 -11 313 Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts versés -11 499 -640 Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles 22 588 -69 331 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A) 70 740 -15 433 Flux liés aux participations (1) -2 766 -3 870 Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles -3 544 -5 564 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissement (B) -6 310 -9 434 Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2) -423 -820 Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement -1 591 -8 254 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement (C) -2 014 -9 074 Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D) ‐ ‐ Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D) 62 416 -33 941 Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture 177 763 211 703 Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*) 44 341 35 063 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**) 133 422 176 640 Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture 240 179 177 763 Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*) 46 807 44 341 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**) 193 372 133 422 Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie 62 416 -33 940 (*) Composé du solde net du poste "Caisse et banques centrales", hors intérêts courus et y compris trésorerie des entités reclassées en activités abandonnées. (**) Composé du solde des postes "Comptes ordinaires débiteurs non douteux" et "Comptes et prêts au jour le jour non douteux" tels que détaillés en note 6.5 et des postes "Comptes ordinaires créditeurs" et "Comptes et emprunts au jour le jour" tels que détaillés en note 6.8 (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole) ; (1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période". Au cours de l’année 2019, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée s’élève à 2 895 milliers d’euros, portant notamment sur les opérations suivantes : - Acquisition de titres Fireca Expérimentations pour 25 milliers d’euros - Acquisition de titres Sacam Fireca pour 408 milliers d’euros - Acquisitions de titres CA Logement et Territoires pour 90 milliers d’euros - Acquisition de titres AREC Production pour 170 milliers d’euros - Acquisition de titres AREC Innovation pour 30 milliers d’euros - Acquisition de titres SEM Roussillon Aménagement pour 25 milliers d’euros - Acquisition de titres Sud Med Immobilier pour 1 866 milliers d’euros - Acquisition de titres Sacam Avenir pour 281 milliers d’euros (2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 641 milliers d’euros pour l’année 2019. IV. — Notes annexes aux états financiers . Note 1. – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés. 1.1. Normes applicables et comparabilité . — En application du règlement CE n°1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2019 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out ), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture. Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/company-reporting-and-auditing/company-reporting/financial-reporting_en Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2018 . Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2019 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2018. Celles-ci portent sur : Normes, Amendements ou Interprétations Date de publication par l’Union européenne Applicable dans le Groupe Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du IFRS 16 Contrats de location Remplacement d’IAS 17 sur la comptabilisation des contrats de location et des interprétations liées (IFRIC 4 Déterminer si un accord contient un contrat de location, SIC 15 Avantages dans les contrats de location et SIC 27 Evaluation de la substance des transactions impliquant la forme juridique d’un contrat de location) 31 octobre 2017 (UE 2017/1986) Oui 1er janvier 2019 Amendement à IFRS 9 Instruments financiers Options de remboursement anticipé avec pénalité négative 22 mars 2018 (UE 2018/498) Oui 1er janvier 2019 (1) Interprétation IFRIC 23 Positions fiscales incertaines Clarifications à IAS 12 Impôt sur le résultat 24 octobre 2018 (UE 2018/1595) Oui (2) 1er janvier 2019 Améliorations des IFRS cycle 2015-2017 : - IAS 12 Impôt sur le résultat - IAS 23 Coût d'emprunt - IFRS 3/IFRS 11 Regroupement d'entreprises 15 mars 2019 (UE 2019/412) Oui Oui Oui 1er janvier 2019 1er janvier 2019 1er janvier 2019 Amendement à IAS 28 Participations dans des entreprises associées et des coentreprises Précisions pour l'investisseur sur la comptabilisation des intérêts long terme accordés à une entreprise associée / coentreprise 11 février 2019 (UE 2019/237) Oui 1er janvier 2019 Amendement à IAS 19 Avantages au personnel Clarifications sur les conséquences d’une modification, réduction ou liquidation de régime sur la détermination du coût des services rendus et de l’intérêt net 14 mars 2019 (UE 2019/402) Oui 1er janvier 2019 (1) Le Groupe a décidé d'appliquer de manière anticipée l'amendement à IFRS 9 à compter du 1er janvier 2018. (2) L’application de l’interprétation IFRIC 23 n’a pas eu d’impact significatif sur les capitaux propres du Groupe au 1er janvier 2019. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a reclassé à cette même date les provisions pour risques fiscaux portant sur l’impôt sur le résultat de la rubrique « Provisions » vers la rubrique « Passifs d’impôts courants » au bilan. Ainsi, le groupe Crédit Agricole publie pour la première fois à compter du 1er janvier 2019 ses états financiers IFRS en application de la norme IFRS 16 Contrats de location (cf. chapitre 1.2 ” Principes et méthodes comptables ” ). La norme IFRS 16 Contrats de location remplace la norme IAS 17 et toutes les interprétations liées (IFRIC 4 Déterminer si un accord contient un contrat de location, SIC 15 Avantages dans les contrats de location et SIC 27 Evaluation de la substance des transactions impliquant la forme juridique d’un contrat de location). La principale évolution apportée par la norme IFRS 16 concerne la comptabilité pour les preneurs. IFRS 16 impose pour les preneurs un modèle visant à comptabiliser au bilan tous les contrats de location, avec la reconnaissance au passif d’une dette locative représentative des engagements sur la durée du contrat, et à l’actif un droit d’utilisation à amortir. Pour la première application de la norme IFRS 16, le Groupe a choisi d’appliquer la méthode rétrospective modifiée sans retraitement des informations comparatives 2019 conformément au paragraphe C5(b) de la norme IFRS 16. Selon cette approche, pour les contrats antérieurement classés en contrats de location simple en application d’IAS 17, le Groupe a comptabilisé au 1 er janvier 2019 une dette locative égale à la valeur actualisée des paiements de loyers restants et un actif au titre du droit d’utilisation égal au montant de la dette locative ajusté, le cas échéant, du montant des loyers payés d’avance ou à payer qui étaient comptabilisés dans l’état de la situation financière immédiatement avant la date de première application. Pour les contrats de location précédemment classés en tant que contrats de location-financement, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a reclassé la valeur comptable de l'actif et de la dette comptabilisés selon IAS 17 immédiatement avant la date de première application en tant que droit d'utilisation (immobilisation corporelles) et dette locative (passifs divers) à la date de première application. L’application de la norme IFRS 16 n’a pas d’impact sur les capitaux propres. A la date de transition, le Groupe a choisi d’appliquer les mesures simplificatrices suivantes proposées par la norme : Absence d’ajustement au titre des contrats dont la durée résiduelle en date d’application est inférieure à douze mois. Cela concerne notamment les baux 3/6/9 qui sont en situation de tacite prolongation à la date de première application. Conformément à l’IFRIC update de mars 2019 ainsi qu’à la recommandation AMF 2019-13, le Groupe n’a pas pris en considération la décision de l’IFRS IC du 26/11/2019 relative à la détermination de la durée de location IFRS16 dans les états financiers au 31 décembre 2019, afin de disposer du temps nécessaire pour analyser les conséquences comptables de cette décision au cours de l’exercice 2020. En conséquence, les principes et méthodes comptables des états financiers annuels au 31 décembre 2019 n’ont pas été impactés. Absence d’ajustement au titre des contrats de location dont les biens sous-jacents sont de faible valeur. Ajustement du droit d’utilisation du montant comptabilisé au 31 décembre 2018 dans l’état de la situation financière au titre de la provision pour contrats déficitaires. Exclusion des coûts directs initiaux de l’évaluation du droit d’utilisation. Le Groupe a également choisi de ne pas réapprécier si un contrat est ou contient un contrat de location à la date de transition. Pour les contrats conclus avant la date de transition, le Groupe a appliqué la norme IFRS 16 aux contrats identifiés comme des contrats de location en application d’IAS 17 et IFRIC 4. Le taux d’actualisation utilisé pour le calcul du droit d'utilisation et du passif de location est le taux d'endettement marginal à la date d'application initiale d'IFRS 16, fondé sur la durée résiduelle du contrat au 1 er janvier 2019. Les droits d’utilisation constatés à la date de première application concernent essentiellement des baux immobiliers (agences bancaires, immeubles de bureaux). Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier : Normes, Amendements ou Interprétations Date de publication par l’Union européenne Applicable dans le Groupe Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du Amendement aux références au Cadre Conceptuel dans les normes IFRS 6 décembre 2019 (UE 2019/2075) Oui 1er janvier 2020 IAS 1/IAS 8 Présentation des états financiers Définition de la matérialité 10 décembre 2019 (UE 2019/2104) Oui 1er janvier 2020 Amendement à IFRS 9, IAS 39 et IFRS 7 Instruments financiers Réforme des taux d'intérêt de référence 15 janvier 2020 (UE 2020/34) Oui 1er janvier 2020 (1) (1) Le Groupe a décidé d'appliquer de manière anticipée l'amendement à IFRS 9, IAS 39 et IFRS 7 Instruments financiers sur la réforme des taux d’intérêt de référence à compter du 1 er janvier 2019. Les normes et interprétations publiées par l’IASB au 31 décembre 2019 mais non encore adoptées par l’Union européenne ne sont pas applicables par le Groupe. Elles n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de la date prévue par l’Union européenne et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2018. Cela concerne en particulier la norme IFRS 17. La norme IFRS 17 Contrats d’assurance publiée en mai 2017 remplacera IFRS 4. L’Exposure Draft de l’IASB amendant IFRS 17 publié en juin 2019 a proposé de repousser sa date d’application d’un an soit au 1er janvier 2022. La norme IFRS 17 définit de nouveaux principes en matière de valorisation, de comptabilisation des passifs des contrats d’assurance et d’appréciation de leur profitabilité, ainsi qu’en matière de présentation. Courant 2017 et 2018, un cadrage du projet de mise en œuvre a été réalisé afin d’identifier les enjeux et les impacts de la norme pour les filiales assurance du Groupe. Au cours de l’année 2019, les travaux d’analyse et de préparation de mise en œuvre se sont poursuivis. Par ailleurs, un amendement à une norme existante, publié par l’IASB, est également en attente d’adoption par l’Union européenne : il s’agit de l’amendement à IFRS 3 Regroupement d’entreprises (avec possibilité d’application anticipée). Réforme IBOR. — Le groupe Crédit Agricole, en tant qu'utilisateur d'indices critiques, est fortement sensibilisé à l'importance des indices de référence et aux enjeux relatifs à leur évolution qui s'opère dans le cadre des réformes en cours. Le projet « Benchmarks » du groupe Crédit Agricole pilote la transition des indices de référence pour le Groupe et veille à la mise en conformité des entités avec la BMR (Benchmark Regulation). Il a été lancé auprès des entités du Groupe pour préparer l’ensemble des métiers et accompagner les clients dans les transitions vers les nouveaux taux de référence. Il s'est organisé pour recenser et analyser les impacts induits par la réforme. Une cartographie recense, notamment, l’ensemble des expositions et contrats permettant d'estimer l'exposition consolidée du groupe Crédit Agricole à la réforme. Les principaux indices auxquels les relations de couverture du Groupe sont exposées sont les suivants: EONIA Indices critiques définis dans la BMR: Euribor, Libor USD, Libor GBP, Libor JPY, Libor CHF, Libor EUR, Wibor, Stibor + Hibor Considérant les éléments disponibles à ce jour, pour les contrats Eonia, la période d’incertitude sur le devenir de cet indice devrait se terminer le 3 janvier 2022. Pour les autres indices, les différents travaux en cours ne permettent pas, à ce stade, d’établir une date de fin d’application. Au 31 décembre 2019, ce recensement fait apparaître un montant nominal des instruments de couverture impactés par la réforme de 5,82 milliards d’euros. Le Groupe appliquera les amendements à IFRS 9 publiés par l’IASB le 26 septembre 2019 tant que les incertitudes sur le devenir des indices auront des conséquences sur les montants et les échéances des flux d’intérêt. 1.2. Principes et méthodes comptables  : Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur. Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés nationaux et internationaux ; les fluctuations des taux d’intérêt et de change ; la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ; les modifications de la réglementation ou de la législation. Cette liste n’est pas exhaustive. Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes : les instruments financiers évalués à la juste valeur ; les participations non consolidées ; les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ; les plans de stock-options ; les dépréciations d’instruments de dette au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables ; les provisions ; les dépréciations des écarts d’acquisition ; les actifs d’impôts différés ; la valorisation des entreprises mises en équivalence ; Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après. Instruments financiers (IFRS 9, IAS 32 et 39) : Définitions. — La norme IAS 32 définit un instrument financier comme tout contrat qui donne lieu à un actif financier d’une entité et à un passif financier ou à un instrument de capitaux propres d’une autre entité , c'est-à-dire tout contrat représentant les droits ou obligations contractuels de recevoir ou de payer des liquidités ou d'autres actifs financiers. Les instruments dérivés sont des actifs ou passifs financiers dont la valeur évolue en fonction de celle d’un sous-jacent, qui requièrent un investissement initial faible ou nul, et dont le règlement intervient à une date future. Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IFRS 9 telle qu’adoptée par l’Union européenne y compris pour les actifs financiers détenus par les entités d’assurance du Groupe. La norme IFRS 9 définit les principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture. Il est toutefois précisé que la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise l’option de ne pas appliquer le modèle général de couverture d’IFRS 9. L’ensemble des relations de couverture reste en conséquence dans le champ d’IAS 39 en attendant les futures dispositions relatives à la macro-couverture. Conventions d’évaluation des actifs et passifs financiers  : — Evaluation initiale  : Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. La juste valeur telle que définie par IFRS 13 correspond au prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. — Evaluation ultérieure  : Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classement soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE), soit à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. Pour les instruments dérivés, ils sont toujours évalués à leur juste valeur. Le coût amorti correspond au montant auquel est évalué l’actif financier ou le passif financier lors de sa comptabilisation initiale, en intégrant les coûts de transaction directement attribuables à leur acquisition ou à leur émission, diminué des remboursements en principal, majoré ou diminué de l’amortissement cumulé calculé par la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE) de toute différence (décote ou prime) entre le montant initial et le montant à l’échéance. Dans le cas d’un actif financier, le montant est ajusté si nécessaire au titre de la correction pour pertes de valeur (cf. paragraphe " Provisionnement pour risque de crédit") . Le taux d’intérêt effectif (TIE) est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs prévus sur la durée de vie attendue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier. Actifs financiers . — Classement et évaluation des actifs financiers  : Les actifs financiers non dérivés (instruments de dette ou de capitaux propres) sont classés au bilan dans des catégories comptables qui déterminent leur traitement comptable et leur mode d’évaluation ultérieur. Ces actifs financiers sont classés dans l’une des trois catégories suivantes : actifs financiers à la juste valeur par résultat ; actifs financiers au coût amorti ; actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres. Les critères de classement et d’évaluation des actifs financiers dépendent de la nature de l’actif financier, selon qu’il est qualifié : d’instruments de dette (i.e. prêts et titres à revenu fixe ou déterminable) ; ou d’instruments de capitaux propres (i.e. actions). — Instruments de dette  : Le classement et l’évaluation d’un instrument de dette dépend de deux critères réunis : le modèle de gestion défini au niveau portefeuille et l’analyse des caractéristiques contractuelles déterminé par instrument de dette sauf utilisation de l'option à la juste valeur. Les trois modèles de gestion : Le modèle de gestion est représentatif de la stratégie que suit le management de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée pour la gestion de ses actifs financiers, dans l’atteinte de ses objectifs. Le modèle de gestion est spécifié pour un portefeuille d’actifs et ne constitue pas une intention au cas par cas pour un actif financier isolé. On distingue trois modèles de gestion : Le modèle collecte dont l’objectif est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie des actifs ; ce modèle n’implique pas systématiquement de détenir la totalité des actifs jusqu’à leur échéance contractuelle ; toutefois, les ventes d’actifs sont strictement encadrées ; Le modèle collecte et vente dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie sur la durée de vie et de céder les actifs ; dans ce modèle, la vente d’actifs financiers et la perception de flux de trésorerie sont toutes les deux essentielles ; et Le modèle autre / vente dont l’objectif principal est de céder les actifs. Lorsque la stratégie que suit le management pour la gestion d’actifs financiers ne correspond ni au modèle collecte, ni au modèle collecte et vente, ces actifs financiers sont classés dans un portefeuille dont le modèle de gestion est autre / vente. Il concerne notamment les portefeuilles dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie via les cessions, les portefeuilles dont la performance est appréciée sur la base de sa juste valeur, les portefeuilles d’actifs financiers détenus à des fins de transaction. Les caractéristiques contractuelles (test " Solely Payments of Principal & Interests " ou test "SPPI") : Le test "SPPI" regroupe un ensemble de critères, examinés cumulativement, permettant d’établir si les flux de trésorerie contractuels respectent les caractéristiques d’un financement simple (remboursements de nominal et versements d’intérêts sur le nominal restant dû). Le test est satisfait lorsque le financement donne droit seulement au remboursement du principal et lorsque le versement des intérêts perçus reflète la valeur temps de l'argent, le risque de crédit associé à l'instrument, les autres coûts et risques d'un contrat de prêt classique ainsi qu’une marge raisonnable, que le taux d’intérêt soit fixe ou variable. Dans un financement simple, l’intérêt représente le coût du passage du temps, le prix du risque de crédit et de liquidité sur la période, et d’autres composantes liées au coût du portage de l’actif (ex : coûts administratifs…). Dans certains cas, cette analyse qualitative ne permettant pas de conclure, une analyse quantitative (ou Benchmark test) est effectuée. Cette analyse complémentaire consiste à comparer les flux de trésorerie contractuels de l’actif étudié et les flux de trésorerie d’un actif de référence. Si la différence entre les flux de trésorerie de l’actif financier et celui de référence est jugée non significative, l’actif est considéré comme un financement simple. Par ailleurs, une analyse spécifique sera menée dans le cas où l’actif financier est émis par des entités ad hoc établissant un ordre de priorité de paiement entre les porteurs des actifs financiers en liant de multiples instruments entre eux par contrat et créant des concentrations de risque de crédit (des "tranches"). Chaque tranche se voit attribuer un rang de subordination qui précise l’ordre de distribution des flux de trésorerie générés par l’entité structurée. Dans ce cas le test "SPPI" nécessite une analyse des caractéristiques des flux de trésorerie contractuels de l’actif concerné et des actifs sous-jacents selon l’approche " look-through " et du risque de crédit supporté par les tranches souscrites comparé au risque de crédit des actifs sous-jacents. Le mode de comptabilisation des instruments de dette résultant de la qualification du modèle de gestion couplée au test "SPPI" peut être présenté sous la forme du diagramme ci-après : Instruments de dette Modèles de gestion Collecte Collecte et vente Autre / Vente Test SPPI Satisfait Coût amorti Juste valeur par capitaux propres recyclables Juste valeur par résultat Non satisfait Juste valeur par résultat Juste valeur par résultat Juste valeur par résultat (Test SPPI N/A) — Instruments de dette au coût amorti  : Les instruments de dette sont évalués au coût amorti s’ils sont éligibles au modèle collecte et s’ils respectent le test "SPPI". Ils sont enregistrés à la date de règlement- livraison et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Cette catégorie d’actifs financiers fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique "Provisionnement pour risque de crédit". — Instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables  : Les instruments de dette sont évalués à la juste valeur par capitaux propres recyclables s’ils sont éligibles au modèle collecte et vente et s’ils respectent le test "SPPI". Ils sont enregistrés à la date de négociation et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Ces actifs financiers sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables en contrepartie du compte d’encours (hors intérêts courus comptabilisés en résultat selon la méthode du TIE). En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat. Cette catégorie d’instruments financiers fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique "Provisionnement pour risque de crédit" (sans que cela n’affecte la juste valeur au bilan). — Instruments de dette à la juste valeur par résultat  : Les instruments de dette sont évalués en juste valeur par résultat dans les cas suivants : Les instruments sont classés dans des portefeuilles constitués d’actifs financiers détenus à des fins de transaction ou dont l'objectif principal est la cession; Les actifs financiers détenus à des fins de transaction sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste. Bien que les flux de trésorerie contractuels soient perçus pendant le temps durant lequel la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détient les actifs, la perception de ces flux de trésorerie contractuels n’est pas essentielle mais accessoire. Les instruments de dette qui ne respectent pas les critères du test "SPPI". C’est notamment le cas des OPC ; Les instruments financiers classés dans des portefeuilles pour lesquels l’entité choisit la valorisation à la juste valeur afin de réduire une différence de traitement comptable au compte de résultat. Dans ce cas, il s'agit d'un classement sur option à la juste valeur par résultat. Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en Produit Net Bancaire (PNB), en contrepartie du compte d’encours. Les intérêts de ces instruments sont comptabilisés dans la rubrique « gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat ». Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat par nature sont enregistrés à la date de règlement- livraison. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat sur option sont enregistrés à la date de négociation. — Instruments de capitaux propres  : Les instruments de capitaux propres sont par défaut comptabilisés à la juste valeur par résultat, sauf option irrévocable pour un classement à la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sous réserve que ces instruments ne soient pas détenus à des fins de transaction. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat  : Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat). Ils sont enregistrés à la date de règlement - livraison. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en Produit Net Bancaire (PNB), en contrepartie du compte d’encours. Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. — Instrument de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (sur option irrévocable)  : L’option irrévocable de comptabiliser les instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables est retenue au niveau transactionnel (ligne par ligne) et s’applique dès la date de comptabilisation initiale. Ces titres sont enregistrés à la date de négociation. La juste valeur initiale intègre les coûts de transaction. Lors des évaluations ultérieures, les variations de juste valeur sont comptabilisées en capitaux propres non recyclables. En cas de cession, ces variations ne sont pas recyclées en résultat, le résultat de cession est comptabilisé en capitaux propres. Seuls les dividendes sont reconnus en résultat. — Reclassement d’actifs financiers  : En cas de changement important de modèle économique dans la gestion des actifs financiers (nouvelle activité, acquisition d’entités, cession ou abandon d’une activité significative), un reclassement de ces actifs financiers est nécessaire. Le reclassement s’applique à la totalité des actifs financiers du portefeuille à partir de la date de reclassement. Dans les autres cas, le modèle de gestion reste inchangé pour les actifs financiers existants. Si un nouveau modèle de gestion est identifié, il s’applique de manière prospective, aux nouveaux actifs financiers, regroupés dans un nouveau portefeuille de gestion. — Acquisition et cession temporaire de titres  : Les cessions temporaires de titres (prêts de titres, titres donnés en pension livrée) ne remplissent généralement pas les conditions de décomptabilisation. Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Dans le cas de titres mis en pension, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant. Les titres empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire. Dans le cas de titres pris en pension, une créance à l’égard du cédant est enregistrée au bilan du cessionnaire en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension. Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement des actifs et passifs à la juste valeur par résultat. — Décomptabilisation des actifs financiers Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie : lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ; ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée. Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs. Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif. Les actifs financiers renégociés pour raisons commerciales en l’absence de difficultés financières de la contrepartie et dans le but de développer ou conserver une relation commerciale sont décomptabilisés en date de renégociation. Les nouveaux prêts accordés aux clients sont enregistrés à cette date à leur juste valeur à la date de renégociation. La comptabilisation ultérieure dépend du modèle de gestion et du test "SPPI". — Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20)  : Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. Ainsi, les prêts qui bénéficient de ces bonifications sont accordés au taux de marché. Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat. Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées en résultat sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20. Passifs financiers : — Classement et évaluation des passifs financiers  : Les passifs financiers sont classés au bilan dans les deux catégories comptables suivantes : passifs financiers à la juste valeur par résultat, par nature ou sur option ; passifs financiers au coût amorti. — Passifs financiers à la juste valeur par résultat par nature  : Les instruments financiers émis principalement en vue d’être rachetés à court terme, les instruments faisant partie d’un portefeuille d’instruments financiers identifiés qui sont gérés ensemble et qui présentent des indications d’un profil récent de prise de bénéfice à court terme, et les dérivés (à l’exception de certains dérivés de couverture) sont évalués à la juste valeur par nature. Les variations de juste valeur de ce portefeuille sont constatées en contrepartie du compte de résultat. — Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option  : Les passifs financiers répondant à l’un des trois cas prévus par la norme ci-après, peuvent être évalués à la juste valeur par résultat sur option : émissions hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés séparables, réduction ou élimination de distorsion de traitement comptable ou groupes de passifs financiers gérés et dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette option est irrévocable et s’applique obligatoirement à la date de comptabilisation initiale de l’instrument. Lors des évaluations ultérieures, ces passifs financiers sont évalués à la juste valeur en contrepartie du résultat pour les variations de juste valeur non liées au risque de crédit propre et en contrepartie des capitaux propres non recyclables pour les variations de valeur liées au risque de crédit propre sauf si cela aggrave la non-concordance comptable. — Passifs financiers évalués au coût amorti  : Tous les autres passifs répondant à la définition d’un passif financier (hors dérivés) sont évalués au coût amorti. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. — Produits de la collecte  : Les produits de la collecte sont comptabilisés dans la catégorie des "Passifs financiers au coût amorti – Dettes envers la clientèle" malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle. L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti. Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché. Les plans d’épargne-logement et les comptes d’épargne-logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.14 "Provisions". — Reclassement de passifs financiers  : Le classement initial des passifs financiers est irrévocable. Aucun reclassement ultérieur n’est autorisé. — Distinction dettes – capitaux propres  : La distinction entre instruments de dette et instruments de capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance économique des dispositifs contractuels. Un passif financier est un instrument de dette s’il inclut une obligation contractuelle : de remettre à une autre entité de la trésorerie, un autre actif financier ou un nombre variable d’instruments de capitaux propres ; ou d’échanger des actifs et des passifs financiers avec une autre entité à des conditions potentiellement défavorables. Un instrument de capitaux propres est un instrument financier non remboursable qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette. — Décomptabilisation et modification des passifs financiers  : Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie : lorsqu’il arrive à extinction ; ou lorsque les analyses quantitative ou qualitative concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration. Une modification substantielle d’un passif financier existant doit être enregistré comme une extinction du passif financier initial et la comptabilisation d’un nouveau passif financier (la novation). Tout différentiel entre la valeur comptable du passif éteint et du nouveau passif sera enregistré immédiatement au compte de résultat. Si le passif financier n’est pas décomptabilisé, le TIE d’origine est maintenu. Une décote/surcote est constatée immédiatement au compte de résultat en date de modification puis fait l’objet d’un étalement au TIE d’origine sur la durée de vie résiduelle de l’instrument. Dépréciation / provisionnement pour risque de crédit  : — Champ d’application  : Conformément à IFRS 9, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise une correction de valeur au titre des pertes de crédit attendues (" Expected Credit Losses " ou " ECL" ) sur les encours suivants : les actifs financiers d’instruments de dette comptabilisés au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables (prêts et créances, titres de dette) ; les engagements de financement qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat; les engagements de garantie relevant d’IFRS 9 et qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat ; les créances locatives relevant de la norme IAS 17 ; et les créances commerciales générées par des transactions de la norme IFRS 15. Les instruments de capitaux propres (à la juste valeur par résultat ou à la juste valeur par OCI non recyclables) ne sont pas concernés par les dispositions en matière de dépréciation. Les instruments dérivés et les autres instruments en juste valeur par contrepartie résultat font l’objet d’un calcul de risque de contrepartie qui n’est pas visé par le modèle ECL. Ce calcul est décrit dans le chapitre 5 "Risques et Pilier 3" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. — Risque de crédit et étapes de dépréciation / provisionnement  : Le risque de crédit se définit comme le risque de pertes lié au défaut d’une contrepartie entraînant son incapacité à faire face à ses engagements vis-à-vis du Groupe. Le processus de provisionnement du risque de crédit distingue trois étapes ( Buckets ) : 1 ère étape ( Bucket 1) : dès la comptabilisation initiale de l’instrument financier (crédit, titre de dette, garantie …), l’entité comptabilise les pertes de crédit attendues sur 12 mois ; 2 ème étape ( Bucket 2) : si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, l’entité comptabilise les pertes attendues à maturité; 3 ème étape ( Bucket 3) : dès lors qu’un ou plusieurs événements de défaut sont intervenus sur la transaction ou sur la contrepartie en ayant un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés, l’entité comptabilise une perte de crédit avérée à maturité. Par la suite, si les conditions de classement des instruments financiers en bucket 3 ne sont plus respectées, les instruments financiers sont reclassés en bucket 2, puis en bucket 1 en fonction de l'amélioration ultérieure de la qualité de risque de crédit. — Définition du défaut  : La définition du défaut pour les besoins du provisionnement ECL est identique à celle utilisée en gestion et pour les calculs de ratios réglementaires. Ainsi, un débiteur est considéré en situation de défaut, lorsqu’au moins une des deux conditions suivantes est satisfaite : un arriéré de paiement généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l’arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; l’entité estime improbable que le débiteur s’acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu’elle ait recours à d’éventuelles mesures telles que la réalisation d’une sûreté. Un encours en défaut ( Bucket 3) est dit déprécié lorsque se sont produits un ou plusieurs événements qui ont un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de cet actif financier. Les indications de dépréciation d’un actif financier englobent les données observables au sujet des événements suivants : des difficultés financières importantes de l’émetteur ou de l’emprunteur ; un manquement à un contrat, tel qu’une défaillance ou un paiement en souffrance ; l’octroi, par le ou les prêteurs à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou contractuelles liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une ou de plusieurs faveurs que le ou les prêteurs n’auraient pas envisagées dans d’autres circonstances ; la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière de l’emprunteur ; la disparition d’un marché actif pour l’actif financier en raison de difficultés financières ; l’achat ou la création d’un actif financier avec une forte décote, qui reflète les pertes de crédit subies. Il n’est pas nécessairement possible d’isoler un événement en particulier, la dépréciation de l’actif financier pouvant résulter de l’effet combiné de plusieurs événements. Sur le périmètre "Grandes clientèles" : la contrepartie en défaut ne revient en situation saine qu’après régularisation complète du retard constaté et des autres éléments déclencheurs du défaut (levée du défaut pour la société mère, levée d’une alerte ayant entraîné le défaut, etc.). Sur le périmètre de la "Banque de proximité" : les encours en défaut ne retournent en encours non en défaut qu’après régularisation intégrale des impayés. La notion de perte de crédit attendue "ECL"  : L’ECL se définit comme la valeur probable espérée pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L’approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. — Gouvernance et mesure des ECL  : La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres IFRS 9 s’appuie sur l’organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le Groupe s’appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres IFRS 9 nécessaires au calcul des ECL. L’appréciation de l’évolution du risque de crédit s’appuie sur un modèle d’anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, doivent être retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut. Ces calculs s’appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu’ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. La norme IFRS 9 préconise une analyse en date d’arrêté ( Point in Time ) tout en tenant compte de données de pertes historiques et des données prospectives macro-économiques ( Forward Looking ), alors que la vue prudentielle s’analyse à travers le cycle ( Through The Cycle ) pour la probabilité de défaut et en bas de cycle ( Downturn ) pour la perte en cas de défaut. L’approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut (" Loss Given Default" ou " LGD "). Les modalités de calcul de l’ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : instruments financiers et instruments hors bilan. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie, et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d’une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l’instrument financier est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu’il y ait défaillance. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l’instrument financier. Les paramètres IFRS 9 sont mesurés et mis à jour selon les méthodologies définies par le Groupe et permettent ainsi d’établir un premier niveau de référence, ou socle partagé, de provisionnement. Les modalités de mesure des ECL tiennent compte des biens affectés en garantie et des autres rehaussements de crédit qui font partie des modalités contractuelles et que l’entité ne comptabilise pas séparément. L’estimation des insuffisances de flux de trésorerie attendues d’un instrument financier garanti reflète le montant et le calendrier de recouvrement des garanties. Conformément à la norme IFRS 9, la prise en compte des garanties et sûretés n’influe pas sur l’appréciation de la dégradation significative du risque de crédit : celle-ci s’appuie sur l’évolution du risque de crédit sur le débiteur sans tenir compte des garanties. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives ( Forward Looking ) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : au niveau du Groupe dans la détermination d’un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l’horizon d’amortissement des opérations ; au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. — Dégradation significative du risque de crédit  : Toutes les entités du Groupe doivent apprécier, pour chaque instrument financier, la dégradation du risque de crédit depuis l’origine à chaque date d’arrêté. Cette appréciation de l’évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque ( Buckets ). Afin d’apprécier la dégradation significative, le Groupe prévoit un processus basé sur 2 niveaux d’analyse : un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s’imposent aux entités du Groupe ; un second niveau lié à l’appréciation, à dire d’expert au titre du Forward Looking local, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement en Bucket 2 (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque instrument financier. Aucune contagion n’est requise pour le passage de Bucket 1 à Bucket 2 des instruments financiers d’une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l’évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d’une garantie de l’actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L’origine s’entend comme la date de négociation, lorsque l’entité devient partie aux dispositions contractuelles de l’instrument financier. Pour les engagements de financement et de garantie, l’origine s’entend comme la date d’engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d’impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en Bucket 2. Pour les encours (à l'exception des titres) pour lesquels des dispositifs de notation internes ont été construits (en particulier les expositions suivies en méthodes autorisées), le groupe Crédit Agricole considère que l’ensemble des informations intégrées dans les dispositifs de notation permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d’impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l’origine cesse d’être constatée, la dépréciation peut être ramenée à des pertes attendues à 12 mois ( Bucket 1). Afin de suppléer le fait que certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne soient pas identifiables au niveau d’un instrument financier pris isolément, la norme autorise l’appréciation de la dégradation significative pour des portefeuilles, des groupes de portefeuilles ou des portions de portefeuille d’instruments financiers. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : le type d’instrument ; la note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d’un système de notation interne) ; le type de garantie ; la date de comptabilisation initiale ; la durée à courir jusqu’à l’échéance ; le secteur d’activité ; l’emplacement géographique de l’emprunteur ; la valeur du bien affecté en garantie par rapport à l’actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; le circuit de distribution, l’objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d’instruments financiers aux fins de l’appréciation des variations du risque de crédit sur une base collective peut changer au fil du temps, au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles. Pour les titres, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise l'approche qui consiste à appliquer un niveau absolu de risque de crédit, conformément à IFRS 9, en-deçà duquel les expositions seront classées en Bucket 1 et provisionnées sur la base d’un ECL à 12 mois. Ainsi, les règles suivantes s’appliqueront pour le suivi de la dégradation significative des titres : les titres notés " Investment Grade" , en date d’arrêté, seront classés en Bucket 1 et provisionnés sur la base d’un ECL à 12 mois ; les titres notés " Non-Investment Grade" (NIG), en date d’arrêté, devront faire l’objet d’un suivi de la dégradation significative, depuis l’origine, et être classés en Bucket 2 (ECL à maturité) en cas de dégradation significative du risque de crédit. La détérioration relative doit être appréciée en amont de la survenance d’une défaillance avérée ( Bucket 3). — Restructurations pour cause de difficultés financières  : Les instruments de dette restructurés pour difficultés financières sont ceux pour lesquels l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, maturité) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi ils concernent tous les instruments de dette, quelle que soit la catégorie de classement du titre en fonction de la dégradation du risque de crédit observée depuis la comptabilisation initiale. Conformément à la définition de l’ABE (Autorité Bancaire Européenne) précisée dans le chapitre "Facteurs de risque" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A., les restructurations de créances correspondent à l’ensemble des modifications apportées à un ou à des contrats de crédit, ainsi qu’aux refinancements accordés en raison des difficultés financières rencontrées par le client. Cette notion de restructuration doit s’apprécier au niveau du contrat et non au niveau du client (pas de contagion). La définition des créances restructurées pour cause de difficultés financières répond donc à deux critères cumulatifs : Des modifications de contrat ou des refinancements de créance ; Un client en situation financière difficile. Par "modification de contrat", sont visées par exemple les situations dans lesquelles : Il existe une différence en faveur de l’emprunteur entre le contrat modifié et les conditions antérieures au contrat ; Les modifications apportées au contrat conduisent à des conditions plus favorables pour l’emprunteur concerné que ce qu’auraient pu obtenir, au même moment, d’autres emprunteurs de la banque ayant un profil de risque similaire. Par "refinancement", sont visées les situations dans lesquelles une dette nouvelle est accordée au client pour lui permettre de rembourser totalement ou partiellement une autre dette dont il ne peut assumer les conditions contractuelles en raison de sa situation financière. Une restructuration de prêt (sain ou en défaut) indique une présomption d’existence d’un risque de perte avérée ( Bucket 3). La nécessité de constituer une dépréciation sur l’exposition restructurée doit donc être analysée en conséquence (une restructuration n’entraîne pas systématiquement la constitution de dépréciation pour perte avérée et un classement en défaut). La qualification de "créance restructurée" est temporaire. Dès lors que l’opération de restructuration au sens de l’ABE a été réalisée, l’exposition conserve ce statut de “restructurée” pendant une période a minima de 2 ans si l’exposition était saine au moment de la restructuration, ou de 3 ans si l’exposition était en défaut au moment de la restructuration. Ces périodes sont prolongées en cas de survenance de certains événements prévus par les normes du Groupe (nouveaux incidents par exemple). En l’absence de décomptabilisation, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote en coût du risque. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisé au taux effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre : La valeur comptable de la créance ; Et la somme des flux futurs de trésorerie théoriques du prêt "restructuré", actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement). En cas d’abandon d’une partie du capital, ce montant constitue une perte à enregistrer immédiatement en coût du risque. La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Lors de la reprise de la décote, la part due à l’effet de l’écoulement du temps est enregistrée en Produit Net Bancaire. — Irrécouvrabilité  : Lorsqu’une créance est jugée irrécouvrable, c'est-à-dire qu’il n’y a plus d’espoir de la récupérer en tout ou partie, il convient de décomptabiliser du bilan et de passer en perte le montant jugé irrécouvrable. L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert. Chaque entité doit donc le fixer, avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité. Avant tout passage en perte, un provisionnement en Bucket 3 aura dû être constitué (à l’exception des actifs à la juste valeur par résultat). Pour les crédits au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, le montant passé en perte est enregistré en coût du risque pour le nominal, en "Produit net bancaire" pour les intérêts. Instruments financiers dérivés : — Classement et évaluation  : Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers classés par défaut en instruments dérivés détenus à des fins de transaction sauf à pouvoir être qualifiés d’instruments dérivés de couverture. Ils sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur initiale à la date de négociation. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur. A chaque arrêté comptable, la contrepartie des variations de juste valeur des dérivés au bilan est enregistrée : En résultat s’il s’agit d’instruments dérivés détenus à des fins de transaction ou de couverture de juste valeur ; En capitaux propres s’il s’agit d’instruments dérivés de couverture de flux de trésorerie ou d’un investissement net dans une activité à l’étranger, pour la part efficace de la couverture. La comptabilité de couverture  : — Cadre général  : Conformément à la décision du Groupe, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’applique pas le volet "comptabilité de couverture" d’IFRS 9 suivant l’option offerte par la norme. L’ensemble des relations de couverture reste documenté selon les règles de la norme IAS 39, et ce au plus tard jusqu’à la date d’application du texte sur la macro-couverture lorsqu’il sera adopté par l’Union européenne. Néanmoins, l’éligibilité des instruments financiers à la comptabilité de couverture selon IAS 39 prend en compte les principes de classement et d’évaluation des instruments financiers de la norme IFRS 9. Sous IFRS 9, et compte-tenu des principes de couverture d’IAS 39, sont éligibles à la couverture de juste valeur et à la couverture de flux de trésorerie, les instruments de dette au coût amorti et à la juste valeur par capitaux propres recyclables. — Documentation  : Les relations de couverture doivent respecter les principes suivants : La couverture de juste valeur a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut affecter le résultat (par exemple, couverture de tout ou partie des variations de juste valeur dues au risque de taux d’intérêt d’une dette à taux fixe) ; La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de flux de trésorerie futurs d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’une transaction prévue hautement probable, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut ou pourrait (dans le cas d’une transaction prévue mais non réalisée) affecter le résultat (par exemple, couverture des variations de tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ; La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se prémunir contre le risque de variation défavorable de la juste valeur liée au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro, monnaie de présentation de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée. Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent également être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture : Éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ; Documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ; Démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté. Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite carve out ). Notamment : Le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts ; La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers. Des précisions sur la stratégie de gestion des risques du Groupe et son application sont apportées dans le chapitre 5 "Risques et Pilier 3" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. — Evaluation  : L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé à sa juste valeur se fait de la façon suivante : couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ; couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite recyclés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ; couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres recyclables et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat. Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement : couverture de juste valeur : seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à son classement. Pour les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres en totalité. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; couverture de flux de trésorerie : l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; couverture d'investissement net à l'étranger : Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation. — Dérivés incorporés  : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Cette désignation s’applique uniquement aux passifs financiers et aux contrats non financiers. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies : le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ; séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ; les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celles du contrat hôte. Détermination de la juste valeur des instruments financiers . — La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permet et fait l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C’est notamment le cas du calcul de CVA/DVA décrit dans le chapitre 5 "Facteurs de risque et Pilier 3" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques d’évaluation qui maximisent l’utilisation des données observables pertinentes et minimisent celle des données non observables. Lorsqu'une dette est évaluée à la juste valeur par résultat (par nature ou sur option), la juste valeur tient compte du risque de crédit propre de l’émetteur. — Risque de contrepartie sur les dérivés  : La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debit Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. Elle repose prioritairement sur des paramètres de marché tels que les Credit default Swaps (CDS) nominatifs cotés (ou CDS Single Name ) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. — Hiérarchie de la juste valeur  : La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation. – Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels l’entité peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange , le New York Stock Exchange …), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures. Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale. Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs. – Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1 Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché. Sont présentés en niveau 2 : les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes ) et fondée sur des données de marché observables ; les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marché observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté. Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation. – Niveau 3 : justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité . La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3. Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de produits structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché. Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée. La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent "observables", la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat. Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie. Compensation des actifs et passifs financiers. — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément. Les instruments dérivés et les opérations de pension traités avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan. Gains ou pertes nets sur instruments financiers  : — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : Pour les instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par résultat, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : Les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ; Les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie. Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture. — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres  : Pour les actifs financiers comptabilisés à la juste valeur en capitaux propres, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : Les dividendes provenant d'instruments de capitaux propres classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres non recyclables ; Les plus et moins-values de cession ainsi que les résultats liés à la rupture de la relation de couverture sur les instruments de dette classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables; Les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres lorsque l'élément couvert est cédé. Engagements de financement et garanties financières donnés . — Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IFRS 9 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IFRS 9. Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser son titulaire d’une perte qu’il subit en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié qui n’effectue pas un paiement à l’échéance selon les conditions initiales ou modifiées d’un instrument de dette. Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre : le montant de la correction de valeur pour pertes déterminée selon les dispositions de la norme IFRS 9, chapitre "Dépréciation" ; ou le montant initialement comptabilisé diminué, s’il y a lieu, du cumul des produits comptabilisés selon les principes d’IFRS 15 "Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients". Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif. Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment : les risques opérationnels ; les avantages au personnel ; les risques d’exécution des engagements par signature ; les litiges et garanties de passif ; les risques fiscaux (hors impôt sur le résultat) ; les risques liés à l’épargne-logement. Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ; l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ; la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations : la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ; les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes. Des informations détaillées sont fournies en note 6.14 " Provisions " . Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories : les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participations et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus ; les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies ; les autres avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ; les indemnités de cessation d’emploi. Avantages postérieurs à l’emploi : — Régimes à prestations définies  : La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4 " Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies " ). Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turnover. Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations. Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies. Conformément à la norme IAS 19 révisé la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. Le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ; diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. — Régimes à cotisations définies  : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé. Autres avantages à long terme . — Les autres avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus. Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différées versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions. La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies. Paiements fondés sur des actions (IFRS 2). — La norme IFRS 2 Paiements en actions et assimilés impose l’évaluation des transactions rémunérées par paiements en actions et assimilés dans les résultats et au bilan de l’entreprise. Cette norme s’applique aux transactions effectuées avec les salariés et plus précisément : aux transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en instruments de capitaux propres ; aux transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en trésorerie. Les plans de paiements fondés sur des actions initiées par le groupe Crédit Agricole éligibles à la norme IFRS 2 sont principalement du type de ceux dont le dénouement est réalisé par attribution d’instruments de capitaux propres ( stock-options , attribution d’actions gratuites, rémunérations variables versées en cash indexé ou en actions, etc.). Les options octroyées sont évaluées à l’attribution à leur juste valeur majoritairement selon le modèle Black & Scholes . Celles-ci sont comptabilisées en charges dans la rubrique Frais de personnel en contrepartie d’un compte de capitaux propres au fur et à mesure sur la période d’acquisition des droits, soit quatre ans pour tous les plans existants. Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du plan d’épargne entreprise relèvent également des dispositions de la norme IFRS 2. Les actions sont proposées avec une décote maximum de 20 %. Ces plans ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevés d’une période d’incessibilité de cinq ans. L’avantage consenti aux salariés se mesure comme étant la différence entre la juste valeur de l’action acquise en tenant compte de la condition d’incessibilité et le prix d’acquisition payé par le salarié à la date de souscription multipliée par le nombre d’actions souscrites. La charge relative aux souscriptions d’actions est comptabilisée dans les comptes des entités employeur des bénéficiaires de plans. L’impact s’inscrit en charge de personnel en contrepartie d’une augmentation des Réserves consolidées part du Groupe. Impôts courants et différés (IAS 12). — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés. Celle-ci définit l’impôt exigible comme "le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice". Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou la perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale. Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe. L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices. L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif. Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles. La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants : un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par : la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ; la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction. un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible. un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés. Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas. Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation. Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction de ceux-ci. En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées d’impôts sur les sociétés (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part. Dans le cadre des contrats de location IFRS 16, un impôt différé passif est comptabilisé sur le droit d'utilisation et un impôt différé actif sur la dette locative pour les contrats de location dont le Groupe est preneur. L'impôt exigible et différé sont comptabilisés dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré : soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ; soit par un regroupement d'entreprises. Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si : l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevé par la même autorité fiscale : a) soit sur la même entité imposable, b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés. Les risques fiscaux portant sur l’impôt sur le résultat donnent lieu à la comptabilisation d’une créance ou d’une dette d’impôt courant lorsque la probabilité de recevoir l’actif ou de payer le passif est jugée plus probable qu’improbable. Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique "Impôts sur le bénéfice" du compte de résultat. Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles. Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement. Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus. Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation. Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d’amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 30 à 80 ans Second œuvre 8 à 40 ans Installations techniques 5 à 25 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans Matériel spécialisé 4 à 5 ans Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés. Opérations en devises (IAS 21). — En date d’arrêté, les actifs et passifs libellés en monnaie étrangère sont convertis en euros, monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole. En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires (ex : instruments de dette) et non monétaires (ex : instruments de capitaux propres). Les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de change de clôture. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte trois exceptions : sur les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres recyclables ; sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère, les écarts de change sont comptabilisés en capitaux propres recyclables pour la part efficace ; sur les passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, les écarts de change liés aux variations de juste de valeur du risque de crédit propre sont enregistrés en capitaux propres non recyclables. Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon le traitement comptable de ces éléments avant conversion : les éléments au coût historique restent évalués au cours de change du jour de la transaction (cours historique) ; les éléments à la juste valeur sont convertis au cours de change à la date de clôture. Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés : en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ; en capitaux propres non recyclables si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres non recyclables. Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec les clients (IFRS 15). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent. Les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif. Concernant les autres natures de commissions, leur comptabilisation au compte de résultat doit refléter le rythme de transfert au client du contrôle du bien ou du service vendu : le résultat d'une transaction associé à une prestation de services est comptabilisé dans la rubrique Commissions, lors du transfert du contrôle de la prestation de service au client s’il peut être estimé de façon fiable. Ce transfert peut intervenir au fur et à mesure que le service est rendu (service continu) ou à une date donnée (service ponctuel). Les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont enregistrées en résultat en fonction du degré d'avancement de la prestation rendue. Les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont, quant à elles, intégralement enregistrées en résultat lorsque la prestation est rendue. Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées à hauteur du montant pour lequel il est hautement probable que le revenu ainsi comptabilisé ne fera pas ultérieurement l'objet d'un ajustement significatif à la baisse lors de la résolution de l'incertitude. Cette estimation est mise à jour à chaque clôture. En pratique, cette condition a pour effet de différer l'enregistrement de certaines commissions de performance jusqu'à l'expiration de la période d'évaluation de performance et jusqu'à ce qu'elles soient acquises de façon définitive. Contrats de location (IFRS 16). — Le Groupe peut être bailleur ou preneur d’un contrat de location. Contrats de location dont le Groupe est bailleur . — Les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location-financement, soit en opérations de location simple. S’agissant d’opérations de location-financement, elles sont assimilées à une vente d’immobilisation au locataire financée par un crédit accordé par le bailleur. L’analyse de la substance économique des opérations de location-financement conduit le bailleur à : Sortir du bilan l’immobilisation louée ; Constater une créance financière sur le client parmi les « actifs financiers au coût amorti » pour une valeur égale à la valeur actualisée au taux implicite du contrat des paiements de location à recevoir par le bailleur au titre du contrat de location, majorée de toute valeur résiduelle non garantie revenant au bailleur ; Comptabiliser des impôts différés au titre des différences temporelles portant sur la créance financière et la valeur nette comptable de l’immobilisation louée. Décomposer les produits correspondant aux loyers entre d’une part les intérêts d’autre part l’amortissement du capital. S’agissant d’opérations de location simple, le bailleur comptabilise les biens loués parmi les « immobilisations corporelles » à l’actif de son bilan et enregistre les produits de location de manière linéaire parmi les « produits des autres activités » au compte de résultat. Contrats de location dont le Groupe est preneur. — Les opérations de location sont comptabilisées dans le bilan à la date de mise à disposition de l’actif loué. Le preneur constate un actif représentatif du droit d’utilisation de l’actif loué parmi les immobilisations corporelles pendant la durée estimée du contrat et une dette au titre de l’obligation de paiement des loyers parmi les passifs divers sur cette même durée. La durée de location d’un contrat correspond à la durée non résiliable du contrat de location ajustée des options de prolongation du contrat que le preneur est raisonnablement certain d’exercer et option de résiliation que le preneur est raisonnablement certain de ne pas exercer. En France, la durée retenue pour les baux commerciaux dits « 3/6/9 » est généralement de 9 ans avec une période initiale non résiliable de 3 ans. La dette locative est comptabilisée pour un montant égal à la valeur actualisée des paiements de loyers sur la durée du contrat. Les paiements de loyers comprennent les loyers fixes, les loyers variables basés sur un taux ou un indice et les paiements que le preneur s’attend à payer au titre des garanties de valeur résiduelle, d’option d’achat ou de pénalité de résiliation anticipée. Les loyers variables qui ne dépendent pas d’un indice ou d’un taux et la TVA non déductible sur les loyers sont exclus du calcul de la dette et sont comptabilisés en charges générales d’exploitation. Le taux d’actualisation applicable pour le calcul du droit d'utilisation et du passif de location est par défaut le taux d'endettement marginal du preneur sur la durée du contrat à la date de signature du contrat, lorsque le taux implicite n’est pas aisément déterminable. Le taux d’endettement marginal tient compte de la structure de paiement des loyers. La charge au titre des contrats de location est décomposée entre d’une part les intérêts et d’autre part l’amortissement du capital Le droit d’utilisation de l’actif est évalué à la valeur initiale de la dette locative augmentée des coûts directs initiaux, des paiements d’avance, des coûts de remise en état et diminuée des avantages incitatifs à la location. Il est amorti sur la durée estimée du contrat. La dette locative et le droit d’utilisation peuvent être ajustés en cas de modification du contrat de location, de réestimation de la durée de location ou de révision des loyers liée à l’application d’indices ou de taux. Des impôts différés sont comptabilisés au titre des différences temporelles des droits d’utilisation et des passifs de location chez le preneur. Conformément à l’exception prévue par la norme, les contrats de location à court terme (durée initiale inférieure à douze mois) et les contrats de location dont la valeur à neuf du bien loué est de faible valeur ne sont pas comptabilisés au bilan, les charges de location correspondantes sont enregistrées de manière linéaire dans le compte de résultat parmi les charges générales d’exploitation. Conformément aux dispositions prévues par la norme, le Groupe n’applique pas la norme IFRS 16 aux contrats de location d’immobilisations incorporelles. Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées (IFRS 5). — Un actif non courant (ou un groupe destiné à être cédé) est considéré comme détenu en vue de la vente si sa valeur comptable est recouvrée principalement par le biais d'une vente plutôt que par l'utilisation continue. Pour que tel soit le cas, l'actif (ou le groupe destiné à être cédé) doit être disponible en vue de la vente immédiate dans son état actuel et sa vente doit être hautement probable. Les actifs et passifs concernés sont isolés au bilan sur les postes "Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées" et "Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées". Ces actifs non courants (ou un groupe destiné à être cédé) classés comme détenus en vue de la vente sont évalués au montant le plus bas entre leur valeur comptable et leur juste valeur diminuée des coûts de la vente. En cas de moins-value latente, une dépréciation est enregistrée en résultat. Par ailleurs, ceux-ci cessent d’être amortis à compter de leur déclassement. Si la juste valeur du groupe d’actifs destiné à être cédé diminuée des coûts de la vente est inférieure à sa valeur comptable après dépréciation des actifs non courants, la différence est allouée aux autres actifs du groupe d’actifs destinés à être cédés y compris les actifs financiers et est comptabilisé en résultat net d’impôts des activités abandonnées. Est considérée comme activité abandonnée toute composante dont le Groupe s'est séparée ou qui est classée comme détenue en vue de la vente, et qui est dans une des situations suivantes : elle représente une ligne d'activité ou une région géographique principale et distincte ; elle fait partie d'un plan unique et coordonné pour se séparer d'une ligne d'activité ou d'une région géographique principale et distincte ; ou elle est une filiale acquise exclusivement en vue de la revente. Sont présentés sur une ligne distincte du compte de résultat : le résultat net après impôt des activités abandonnées jusqu’à la date de cession ; le profit ou la perte après impôt résultant de la cession ou de l’évaluation à la juste valeur diminuée des coûts de la vente des actifs et passifs constituant les activités abandonnées. Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Créd it. 1.3. Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28)  : Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, de contrôle conjoint ou d’une influence notable. — Consolidation des Caisses régionales  : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales. Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée. Le groupe Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A. , dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier. Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A. , les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole. Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée. C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional. Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international. La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques. — Notions de contrôle : Conformément aux normes comptables internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après. Le contrôle exclusif sur une entité est présumé exister lorsque la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité. Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent à la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seul(e) les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances. Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée lors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, l’étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant ainsi que les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels sont analysées afin de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir délégué) ou principal (pour son propre compte). Ainsi au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affecter la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité. Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle. Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité. — Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par la norme IAS 28, les participations minoritaires détenues par les entités pour lesquelles l’option prévue par l’article 18 de cette norme a été retenue, sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature. Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10 et IAS 28 révisée. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale : l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée; la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et sous contrôle conjoint. L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés. Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe. La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées. La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition. Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée constate : en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un écart d’acquisition complémentaire ; en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession/dilution en résultat. Retraitements et éliminations . — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués. L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement. Les plus ou moins values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées. 2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période . Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2019 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 12 " Périmètre de consolidation au 31 décembre 2019. Opération de titrisation. — Au 31/12/2019, une nouvelle entité (FCT Crédit Agricole Habitat 2019) a été consolidée au sein du groupe Crédit Agricole, née d’une opération de titrisation réalisée par les 39 Caisses régionales et LCL le 23 mai 2019. Cette transaction est le second RMBS français auto-souscrit du Groupe. Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales et LCL au FCT Crédit Agricole Habitat 2019 pour un montant de 15 milliards d’euros et une souscription le même jour par les établissements ayant cédé les crédits, des titres émis par le FCT. Dans le cadre de cette titrisation interne au Groupe, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 106,2 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2019. Elle a souscrit des obligations senior pour 90,8 millions d’euros et pour 15,4 millions d’euros de titres subordonnés. 3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture Le pilotage des risques bancaires au sein de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est assuré par la Direction des Risques. Cette direction est rattachée au Directeur général et a pour mission d’assurer la maîtrise et le contrôle permanent des risques de crédit, financiers et opérationnels. La description de ces dispositifs ainsi que les informations narratives figurent dans le rapport de gestion, chapitre "Facteurs de risque", comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilations comptables figurent dans les états financiers. 3.1. Risque de crédit . — (Cf. chapitre "Facteurs de risque – Risques de crédit" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A.) 3.1.1 . Variation des valeurs comptables et des corrections de valeur pour pertes sur la période . — Les corrections de valeur pour pertes correspondent aux dépréciations sur actifs et aux provisions sur engagement hors bilan comptabilisées en résultat net (Coût du risque) au titre du risque de crédit. Les tableaux suivants présentent un rapprochement des soldes d’ouverture et de clôture des corrections de valeur pour perte comptabilisées en Coût du risque et des valeurs comptables associées, par catégorie comptable et type d’instruments. — Actifs financiers au coût amorti : Titres de dettes (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2018 190 591 -84 ‐ ‐ 2 220 -2 220 192 811 -2 304 190 507 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Bucket à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers Bucket 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 190 591 -84 ‐ ‐ 2 220 -2 220 192 811 -2 304 190 507 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes -13 591 -6 ‐ ‐ -25 25 -13 616 19 Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (1) 53 -14 ‐ ‐ 53 -14 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -13 644 4 ‐ ‐ -25 25 -13 669 29 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période ‐ ‐ ‐ ‐ Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ 4 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 4 Total 177 000 -90 ‐ ‐ 2 195 -2 195 179 195 -2 285 176 910 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) ‐ ‐ ‐ ‐ Au 31 décembre 2019 177 000 -90 ‐ ‐ 2 195 -2 195 179 195 -2 285 176 910 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les originations en Bucket 2 peuvent inclure des encours originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : ( En milliers d' E uros ) Actifs sains Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2018 6 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 6 677 ‐ 6 677 Transferts d'actifs en cours de vie d'un Bucket à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers Bucket 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 6 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 6 677 ‐ 6 677 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes -56 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -56 ‐ Nouvelle production : achat, octroi, origination, ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -56 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -56 ‐ Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période ‐ ‐ ‐ ‐ Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 6 621 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 6 621 ‐ 6 621 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (1) 594 ‐ ‐ 594 Au 31 décembre 2019 7 215 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 7 215 ‐ 7 215 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les variations des créances rattachées — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur la clientèle  : ( En milliers d' E uros ) Actifs sains Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 31 décembre 2018 4 535 654 -7 605 376 751 -23 701 224 170 -152 173 5 136 575 -183 479 4 953 096 Transferts d'actifs en cours de vie d'un bucket à l'autre 1 194 -1 917 -6 649 3 810 5 455 -1 904 ‐ -11 Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 -133 494 462 133 494 -1 564 ‐ -1 102 Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 136 621 -2 157 -136 621 5 259 ‐ 3 102 Transferts vers Bucket 3 (1) -4 611 31 -8 924 441 13 535 -4 890 ‐ -4 418 Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 2 678 -253 5 402 -326 -8 080 2 986 ‐ 2 407 Total après transferts 4 536 848 -9 522 370 102 -19 891 229 625 -154 077 5 136 575 -183 490 4 953 085 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes 334 328 1 566 -19 641 -10 734 -40 044 27 119 274 643 17 951 Nouvelle production : achat, octroi, origination,… (2) 1 058 582 -2 212 43 959 -4 869 1 102 541 -7 081 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -724 254 1 406 -63 540 2 343 -22 409 19 991 -810 203 23 740 Passages à perte -17 616 17 374 -17 616 17 374 Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ -60 29 -19 1 352 -79 1 381 Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période 2 372 -8 237 -12 670 -18 535 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 072 ‐ 1 072 Total 4 871 176 -7 956 350 461 -30 625 189 581 -126 958 5 411 218 -165 539 5 245 679 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (3) 6 036 -144 511 6 403 Au 31 décembre 2019 4 877 212 -7 956 350 317 -30 625 190 092 -126 958 5 417 621 -165 539 5 252 082 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les transferts vers le Bucket 3 correspondent à des encours classés initialement en Bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Bucket 3, ou en Bucket 2 puis en Bucket 3 (2) Les originations en Bucket 2 peuvent inclure des encours originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période (3) Inclut les variations des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les variations relatives à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les variations relatives à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les variations des créances rattachées — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : ( En milliers d' E uros ) Engagements sains Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 31 décembre 2018 415 782 -800 12 519 -469 1 677 ‐ 429 978 -1 269 428 709 Transferts d'engagements en cours de vie d'un bucket à l'autre -894 102 642 175 252 -252 ‐ 25 Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 -6 511 46 6 511 -97 ‐ -51 Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 5 785 -112 -5 785 188 ‐ 76 Transferts vers Bucket 3 (1) -213 213 -101 101 314 -314 ‐ ‐ Retour de Bucket 3 vers Bucket 2 / Bucket 1 45 -45 17 -17 -62 62 ‐ ‐ Total après transferts 414 888 -698 13 161 -294 1 929 -252 429 978 -1 244 428 734 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes 13 609 -157 -1 021 -196 -1 316 252 11 272 -101 Nouveaux engagements donnés (2) 238 215 -549 5 605 -219 243 820 -768 Extinction des engagements -224 606 525 -6 626 276 ‐ ‐ -231 232 801 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ -75 ‐ ‐ ‐ -75 Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période -133 -178 252 -59 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ -1 316 ‐ -1 316 ‐ Au 31 décembre 2019 428 497 -855 12 140 -490 613 ‐ 441 250 -1 345 439 905 (1) Les transferts vers le Bucket 3 correspondent à des engagements classés initialement en Bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Bucket 3, ou en Bucket 2 puis en Bucket 3 (2) Les nouveaux engagements donnés en Bucket 2 peuvent inclure des engagements originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 31 décembre 2018 149 047 -108 2 621 -254 1 808 -1 598 153 476 -1 960 151 516 Transferts d'engagements en cours de vie d'un bucket à l'autre 137 -16 -141 27 4 -4 ‐ 7 Transferts de Bucket 1 vers Bucket 2 -684 3 684 -49 ‐ -46 Retour de Bucket 2 vers Bucket 1 813 -11 -813 64 ‐ 53 Transferts vers Bucket 3 (1) ‐ ‐ -16 16 16 -16 ‐ ‐ Total après transferts 149 184 -124 2 480 -227 1 812 -1 602 153 476 -1 953 151 523 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes 38 460 -10 -276 87 -415 -450 37 769 -373 Nouveaux engagements donnés (2) 59 697 -59 2 257 -25 61 954 -84 Extinction des engagements -21 221 30 -2 533 25 -1 145 1 -24 899 56 Passages à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit des modèles sur la période 19 87 -451 -345 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres -16 ‐ ‐ ‐ 730 ‐ 714 ‐ Au 31 décembre 2019 187 644 -134 2 204 -140 1 397 -2 052 191 245 -2 326 188 919 (1) Les transferts vers le Bucket 3 correspondent à des engagements classés initialement en Bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en Bucket 3, ou en Bucket 2 puis en Bucket 3 (2) Les nouveaux engagements donnés en Bucket 2 peuvent inclure des engagements originés en Bucket 1 reclassés en Bucket 2 au cours de la période 3.1.2 . Exposition maximale au risque de crédit . — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur comptable, nette de toute perte de valeur comptabilisée et compte non tenu des actifs détenus en garantie ou des autres rehaussements de crédit (par exemple les accords de compensation qui ne remplissent pas les conditions de compensation selon IAS 32). Les tableaux ci-dessous présentent les expositions maximales ainsi que le montant des actifs détenus en garantie et autres techniques de rehaussements de crédit permettant de réduire cette exposition. Les actifs dépréciés en date de clôture correspondent aux actifs dépréciés (Bucket 3). Actifs financiers non soumis aux exigences de dépréciation (comptabilisés à la juste valeur par résultat)  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 2 015 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 369 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 1 646 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 51 769 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 53 784 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs défenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 63 890 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 653 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 63 237 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 63 998 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 127 888 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ — Actifs financiers soumis aux exigences de dépréciation : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 5 436 207 ‐ 1 959 768 159 475 1 603 275 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 63 134 ‐ 39 343 1 096 13 502 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit 7 215 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 252 082 ‐ 1 959 768 159 475 1 603 275 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 63 134 ‐ 39 343 1 096 13 502 ‐ Titres de dettes 176 910 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 5 436 207 ‐ 1 959 768 159 475 1 603 275 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 63 134 ‐ 39 343 1 096 13 502 ‐ ( En milliers d' E uros ) 31/12/2018 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs défenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 5 150 280 ‐ 1 887 636 141 275 1 488 325 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 997 ‐ 44 580 985 14 992 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit 6 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 4 953 096 ‐ 1 887 636 141 275 1 488 325 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 997 ‐ 44 580 985 14 992 ‐ Titres de dettes 190 507 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 5 150 280 ‐ 1 887 636 141 275 1 488 325 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 997 ‐ 44 580 985 14 992 ‐ — Engagements hors bilan soumis aux exigences de dépréciation : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) 188 919 650 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture -655 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) 439 905 ‐ 60 474 8 819 58 021 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 613 ‐ ‐ ‐ 25 ‐ Total 628 824 650 60 474 8 819 58 021 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture -42 ‐ ‐ ‐ 25 ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs défenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie 151 516 649 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 210 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement 428 709 ‐ 62 390 12 656 49 930 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 1 677 ‐ 1 ‐ 424 ‐ Total 580 225 649 62 390 12 656 49 930 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 1 887 ‐ 1 ‐ 424 ‐ Une description des actifs détenus en garantie est présentée dans la note 9 "Engagements de financement et de garantie et autres garanties". 3.1.3 . Actifs financiers modifiés . — Les actifs financiers modifiés correspondent aux actifs restructurés pour difficultés financières. Il s’agit de créances pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et les créances saines, au moment de la restructuration. (Une définition plus détaillée des encours restructurés et leur traitement comptable est détaillée dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”). Pour les actifs ayant fait l’objet d’une restructuration au cours de la période, la valeur comptable établie à l’issue de la restructuration au 31 décembre 2019 est de : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gains ou perte nets de la modification ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 58 5 365 11 841 Valeur comptable brute avant modification 58 5 425 11 860 Gains ou perte nets de la modification ‐ -60 -19 Titres de dettes ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gains ou perte nets de la modification ‐ ‐ ‐ Selon les principes établis dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”, les actifs restructurés dont le stade de dépréciation correspond à celui du Bucket 2 (actifs sains) ou Bucket 3 (actifs dépréciés) peuvent faire l’objet d’un retour en Bucket 1 (actifs sains). La valeur comptable des actifs modifiés concernés par ce reclassement au cours de la période est de : (En milliers d'Euros) Valeur comptable brute Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs restructurés antérieurement classés en Bucket 2 ou en Bucket 3 et reclassés en Bucket 1 au cours de la période Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle Titres de dettes Total 3.1.4 . Concentrations du risque de crédit . — Les valeurs comptables et montants des engagements sont présentés nets de dépréciations et de provisions. Exposition au risque de crédit par catégories de risque de crédit . — Les catégories de risques de crédit sont présentées par intervalles de probabilité de défaut. La correspondance entre les notations internes et les intervalles de probabilité de défaut est détaillée dans le chapitre "Risques et pilier 3 – Gestion du risque de crédit" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A. Actifs financiers au coût amorti (hors opérations internes au Crédit Agricole) : ( En milliers d' E uros ) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2019 Au 31 décembre 2018 Valeur comptable Valeur comptable Actifs sains ou dégradés Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs sains ou dégradés Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 2 371 055 1 874 ‐ 2 372 929 2 195 801 9 615 ‐ 2 205 416 0,5% < PD ≤ 2% 767 715 4 013 ‐ 771 728 704 692 25 462 ‐ 730 154 2% < PD ≤ 20% 377 715 180 674 ‐ 558 389 416 493 207 247 ‐ 623 740 20% < PD < 100% 385 108 665 ‐ 109 050 403 70 523 ‐ 70 926 PD = 100% ‐ ‐ 147 207 147 207 ‐ ‐ 167 301 167 301 Total Clientèle de détail 3 516 870 295 226 147 207 3 959 303 3 317 389 312 847 167 301 3 797 537 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 1 119 099 1 079 ‐ 1 120 178 1 033 205 ‐ ‐ 1 033 205 0,6% < PD < 12% 425 458 36 320 ‐ 461 778 382 328 56 873 ‐ 439 201 12% ≤ PD < 100% ‐ 17 692 ‐ 17 692 ‐ 7 031 ‐ 7 031 PD = 100% ‐ ‐ 45 080 45 080 ‐ ‐ 59 089 59 089 Total Hors clientèle de détail 1 544 557 55 091 45 080 1 644 728 1 415 533 63 904 59 089 1 538 526 Dépréciations -8 046 -30 625 -129 153 -167 824 -7 689 -23 701 -154 393 -185 783 Total 5 053 381 319 692 63 134 5 436 207 4 725 233 353 050 71 997 5 150 280 — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2019 Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains ou dégradés Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements sains ou dégradés Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 195 203 20 ‐ 195 223 155 629 696 ‐ 156 325 0,5% < PD ≤ 2% 52 284 247 ‐ 52 531 55 647 997 ‐ 56 644 2% < PD ≤ 20% 24 963 4 380 ‐ 29 343 45 610 5 201 ‐ 50 811 20% < PD < 100% 307 1 735 ‐ 2 042 ‐ 1 071 ‐ 1 071 PD = 100% ‐ ‐ 494 494 ‐ ‐ 981 981 Total Clientèle de détail 272 757 6 382 494 279 633 256 886 7 965 981 265 832 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 91 181 207 ‐ 91 388 88 307 ‐ ‐ 88 307 0,6% < PD < 12% 64 559 3 487 ‐ 68 046 70 589 4 286 ‐ 74 875 12% ≤ PD < 100% ‐ 2 064 ‐ 2 064 ‐ 268 ‐ 268 PD = 100% ‐ ‐ 119 119 ‐ ‐ 696 696 Total Hors clientèle de détail 155 740 5 758 119 161 617 158 896 4 554 696 164 146 Provisions (1) -855 -490 ‐ -1 345 -800 -469 ‐ -1 269 Total 427 642 11 650 613 439 905 414 982 12 050 1 677 428 709 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2019 Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Montant de l'engagement Engagements sains ou dégradés Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements sains ou dégradés Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 5 195 ‐ ‐ 5 195 10 419 ‐ ‐ 10 419 0,5% < PD ≤ 2% 5 136 ‐ ‐ 5 136 8 571 40 ‐ 8 611 2% < PD ≤ 20% 21 372 490 ‐ 21 862 7 796 840 ‐ 8 636 20% < PD < 100% ‐ 309 ‐ 309 ‐ 363 ‐ 363 PD = 100% ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 471 471 Total Clientèle de détail 31 703 799 ‐ 32 502 26 786 1 243 471 28 500 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 17 680 ‐ ‐ 17 680 72 557 ‐ ‐ 72 557 0,6% < PD < 12% 138 261 857 ‐ 139 118 48 488 1 096 ‐ 49 584 12% ≤ PD < 100% ‐ 548 ‐ 548 ‐ 282 ‐ 282 PD = 100% ‐ ‐ 1 397 1 397 ‐ ‐ 1 337 1 337 Total Hors clientèle de détail 155 941 1 405 1 397 158 743 121 045 1 378 1 337 123 760 Provisions (1) -134 -140 -2 052 -2 326 -108 -254 -1 598 -1 960 Total 187 510 2 064 -655 188 919 147 723 2 367 210 150 300 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Concentrations du risque de crédit par agent économique  : Actifs financiers au coût amorti par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : Actifs financiers au coût amorti (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2019 Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 719 996 12 158 5 861 738 015 Etablissements de crédit 56 215 ‐ 2 195 58 410 Grandes entreprises 768 346 42 933 37 024 848 303 Clientèle de détail 3 516 870 295 226 147 207 3 959 303 Dépréciations -8 046 -30 625 -129 153 -167 824 Total 5 053 381 319 692 63 134 5 436 207 Actifs financiers au coût amorti (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 661 355 14 035 5 926 681 316 Etablissements de crédit 55 796 ‐ 2 220 58 016 Grandes entreprises 698 382 49 869 50 943 799 194 Clientèle de détail 3 317 389 312 847 167 301 3 797 537 Dépréciations -7 689 -23 701 -154 393 -185 783 Total 4 725 233 353 050 71 997 5 150 280 — Dettes envers la clientèle par agent économique : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Administration générale 7 321 3 503 Grandes entreprises 838 003 822 660 Clientèle de détail 1 440 624 1 353 765 Total Dettes envers la clientèle 2 285 948 2 179 928 — Engagements de financement par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Engagements de financement (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 42 761 ‐ ‐ 42 761 Grandes entreprises 112 979 5 758 119 118 856 Clientèle de détail 272 757 6 382 494 279 633 Provisions (1) -855 -490 ‐ -1 345 Total 427 642 11 650 613 439 905 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Engagements de financement (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 43 199 ‐ ‐ 43 199 Grandes entreprises 115 697 4 554 696 120 947 Clientèle de détail 256 886 7 965 981 265 832 Provisions (1) -800 -469 ‐ -1 269 Total 414 982 12 050 1 677 428 709 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. Engagements de garantie par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Engagements de garantie (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 3 125 3 125 Grandes entreprises 152 816 1 405 1 397 155 618 Clientèle de détail 31 703 799 ‐ 32 502 Provisions (1) -134 -140 -2 052 -2 326 Total 187 510 2 064 -655 188 919 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Engagements de garantie (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 3 260 3 260 Grandes entreprises 118 985 1 378 1 514 121 877 Clientèle de détail 26 786 1 243 294 28 323 Provisions (1) -108 -254 -1 598 -1 960 Total 147 723 2 367 210 150 300 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. — Concentrations du risque de crédit par zone géographique  : Actifs financiers au coût amorti par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : Actifs financiers au coût amorti (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2019 Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 4 900 697 297 337 106 175 5 304 209 Autres pays de l'Union européenne 156 441 52 519 83 898 292 858 Autres pays d'Europe 1 929 17 ‐ 1 946 Amérique du Nord 1 764 147 2 195 4 106 Amériques centrale et du Sud 62 ‐ ‐ 62 Afrique et Moyen-Orient 440 297 3 740 Asie et Océanie (hors Japon) 94 ‐ 16 110 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Dépréciations -8 046 -30 625 -129 153 -167 824 Total 5 053 381 319 692 63 134 5 436 207 Actifs financiers au coût amorti (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 4 563 154 311 241 138 519 5 012 914 Autres pays de l'Union européenne 166 018 64 371 85 629 316 018 Autres pays d'Europe 1 512 525 ‐ 2 037 Amérique du Nord 1 577 257 2 224 4 058 Amériques centrale et du Sud 104 ‐ ‐ 104 Afrique et Moyen-Orient 448 357 1 806 Asie et Océanie (hors Japon) 109 ‐ 17 126 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Dépréciations -7 689 -23 701 -154 393 -185 783 Total 4 725 233 353 050 71 997 5 150 280 — Dettes envers la clientèle par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 France (y compris DOM-TOM) 2 194 292 2 083 296 Autres pays de l'Union européenne 83 129 87 487 Autres pays d'Europe 3 491 4 486 Amérique du Nord 2 486 2 100 Amériques centrale et du Sud 138 126 Afrique et Moyen-Orient 2 097 1 788 Asie et Océanie (hors Japon) 312 601 Japon 3 44 Organismes supra-nationaux Total Dettes envers la clientèle 2 285 948 2 179 928 — Engagements de financement par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Engagements de financement (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 427 800 12 135 613 440 548 Autres pays de l'Union européenne 558 4 ‐ 562 Autres pays d'Europe 74 ‐ ‐ 74 Amérique du Nord 21 1 ‐ 22 Amériques centrale et du Sud 6 ‐ ‐ 6 Afrique et Moyen-Orient 27 ‐ ‐ 27 Asie et Océanie (hors Japon) 11 ‐ ‐ 11 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -855 -490 ‐ -1 345 Total 427 642 11 650 613 439 905 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Engagements de financement (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 414 975 12 510 1 677 429 162 Autres pays de l'Union européenne 671 4 ‐ 675 Autres pays d'Europe 65 1 ‐ 66 Amérique du Nord 22 1 ‐ 23 Amériques centrale et du Sud 5 ‐ ‐ 5 Afrique et Moyen-Orient 23 3 ‐ 26 Asie et Océanie (hors Japon) 21 ‐ ‐ 21 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -800 -469 ‐ -1 269 Total 414 982 12 050 1 677 428 709 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. — Engagements de garantie par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Engagements de garantie ( En milliers d' E uros ) Au 31 décembre 2019 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 187 642 2 204 1 397 191 243 Autres pays de l'Union européenne 2 ‐ ‐ 2 Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -134 -140 -2 052 -2 326 Total 187 510 2 064 -655 188 919 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Engagements de garantie ( En milliers d' E uros ) Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 147 829 2 621 1 808 152 258 Autres pays de l'Union européenne 2 ‐ ‐ 2 Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supra-nationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -108 -254 -1 598 -1 960 Total 147 723 2 367 210 150 300 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. 3.1.5 . Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement  : — Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique : (En milliers d' E uros) 31/12/2019 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Bucket 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Bucket 2) Actifs dépréciés (Bucket 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 21 096 1 745 ‐ 12 196 8 141 ‐ 3 186 4 325 41 572 Administration générale 3 194 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 8 217 499 ‐ 1 109 -93 ‐ 780 588 2 200 Clientèle de détail 9 685 1 246 ‐ 11 087 8 234 ‐ 2 406 3 737 39 372 Total 21 096 1 745 ‐ 12 196 8 141 ‐ 3 186 4 325 41 572 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Bucket 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Bucket 2) Actifs dépréciés (Bucket 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Administration générale ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Clientèle de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 25 319 1 243 ‐ 13 388 11 011 ‐ 2 609 5 250 52 490 Administration générale 8 738 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 5 589 323 ‐ 1 676 -33 ‐ 2 462 10 088 Clientèle de détail 10 992 920 ‐ 11 712 11 044 ‐ 2 607 4 788 42 402 Total 25 319 1 243 ‐ 13 388 11 011 ‐ 2 609 5 250 52 490 3.2. Risque de marché . — (Cf. Rapport de gestion page 85) Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle . — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. — Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 195 50 558 16 51 769 Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 195 50 558 16 51 769 Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 195 50 558 16 51 769 Total juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif ‐ ‐ ‐ 1 195 50 558 16 51 769 ( En milliers d' E uros ) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 191 61 226 2 581 63 998 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 191 61 226 2 581 63 998 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 191 61 226 2 581 63 998 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif ‐ ‐ ‐ 191 61 226 2 581 63 998 — Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 3 842 22 178 105 881 131 901 Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 3 842 22 178 105 881 131 901 Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 3 842 22 178 105 881 131 901 Total juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif ‐ ‐ ‐ 3 842 22 178 105 881 131 901 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 503 25 241 63 886 90 630 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 503 25 241 63 886 90 630 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 503 25 241 63 886 90 630 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif ‐ ‐ ‐ 1 503 25 241 63 886 90 630 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 71 278 349 Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 71 278 349 Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 1 Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 1 Sous-total ‐ ‐ ‐ ‐ 71 279 350 Total juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif ‐ ‐ ‐ 19 71 279 369 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 27 624 651 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 27 624 651 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 2 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 2 Sous-total ‐ ‐ ‐ ‐ 27 626 653 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif ‐ ‐ ‐ ‐ 27 626 653 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 71 295 366 Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 71 295 366 Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 81 81 Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 81 81 Sous-total ‐ ‐ ‐ ‐ 71 376 447 Total juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif ‐ ‐ ‐ 19 71 376 466 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 27 647 674 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 27 647 674 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 73 73 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 73 73 Sous-total ‐ ‐ ‐ ‐ 27 720 747 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif ‐ ‐ ‐ ‐ 27 720 747 — Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Instruments de taux d'intérêt 2 187 034 2 063 802 Swaps de taux d'intérêts 2 187 034 2 063 802 Instruments de devises et or 14 496 55 762 Options de change 14 496 55 762 Autres instruments ‐ ‐ Sous-total 2 201 530 2 119 564 Opérations de change à terme 4 971 28 516 Total notionnels 2 206 501 2 148 080 Risque de change . — (cf. Rapport de gestion page 99) 3.3. Risque de liquidité et de financement . — (cf. Rapport de gestion page 100) — Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduel : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 194 595 1 899 128 076 78 411 ‐ 402 981 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 311 910 444 796 1 714 337 2 940 830 5 748 5 417 621 Total 506 505 446 695 1 842 413 3 019 241 5 748 5 820 602 Dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -165 539 Total prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 5 655 063 ( milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 135 165 2 615 97 867 110 200 ‐ 345 847 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 321 118 420 458 1 620 631 2 766 983 7 385 5 136 575 Total 456 283 423 073 1 718 498 2 877 183 7 385 5 482 422 Dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -183 479 Total prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 5 298 943 Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 437 228 935 197 1 157 999 665 035 ‐ 3 195 459 Dettes envers la clientèle 1 845 741 188 625 213 433 38 149 ‐ 2 285 948 Total dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 2 282 969 1 123 822 1 371 432 703 184 ‐ 5 481 407 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 410 798 867 361 1 077 150 591 218 ‐ 2 946 527 Dettes envers la clientèle 1 675 222 157 082 277 989 69 635 ‐ 2 179 928 Total dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 2 086 020 1 024 443 1 355 139 660 853 ‐ 5 126 455 Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre Bons de caisse 36 ‐ ‐ ‐ ‐ 36 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 93 209 156 324 ‐ ‐ 156 626 Emprunts obligataires 2 ‐ ‐ 13 949 ‐ 13 951 Total dettes représentées par un titre 131 209 156 324 13 949 ‐ 170 613 Dettes subordonnées Total dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre Bons de caisse 36 ‐ ‐ ‐ ‐ 36 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 93 207 157 216 ‐ ‐ 157 516 Emprunts obligataires 3 ‐ ‐ 15 520 ‐ 15 523 Total dettes représentées par un titre 132 207 157 216 15 520 ‐ 173 075 Dettes subordonnées Total dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Garanties financières en risque données par maturité attendue . — Les montants présentés correspondent au montant attendu d’appel des garanties financières en risque, c'est-à-dire qui ont fait l’objet de provisions ou qui sont sous surveillance. (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données 28 ‐ ‐ ‐ 28 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données 15 3 163 ‐ ‐ ‐ 3 178 Les échéances contractuelles des instruments dérivés sont présentées dans la note 3.2 " Risque de marché " . 3.4. Comptabilité de couverture . — (Cf. Note 3.2 "Risque de marché" et Chapitre "Facteurs de risque – Gestion du bilan" du Document d’enregistrement universel de Crédit Agricole S.A.) Couverture de juste valeur . — Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variable. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe. Couverture de flux de trésorerie . — Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable. Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable. Couverture d’un investissement net en devise . — Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères. — Instruments dérivés de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur de marché Montant notionnel Valeur de marché Montant notionnel Positive Négative Positive Négative Couverture de juste valeur 51 769 131 150 2 127 170 63 998 89 631 2 000 754 Taux d'intérêt 51 769 131 150 2 127 170 63 998 89 631 2 000 754 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de flux de trésorerie ‐ 751 25 000 ‐ 999 25 000 Taux d'intérêt ‐ 751 25 000 ‐ 999 25 000 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total instruments dérivés de couverture 51 769 131 901 2 152 170 63 998 90 630 2 025 754 Opérations sur instruments dérivés de couverture : analyse par durée résiduelle (notionnels) . — La ventilation des notionnels des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 255 364 1 059 940 836 866 2 152 170 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 255 364 1 059 940 836 866 2 152 170 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 255 364 1 059 940 836 866 2 152 170 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Notionnel des instruments dérivés de couverture ‐ ‐ ‐ 255 364 1 059 940 836 866 2 152 170 ( En milliers d'Euros ) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 142 372 946 560 936 822 2 025 754 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 142 372 946 560 936 822 2 025 754 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-floors-collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 142 372 946 560 936 822 2 025 754 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Notionnel des instruments dérivés de couverture ‐ ‐ ‐ 142 372 946 560 936 822 2 025 754 La note 3.2 "Risque de marché - Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle" présente la ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés de couverture par maturité contractuelle résiduelle. Couverture de juste valeur  : — Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Actif Passif Couverture de juste valeur Marchés organisés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Marchés de gré à gré 10 790 48 949 -9 020 294 045 13 332 42 295 52 307 068 Taux d'intérêt 10 790 48 949 -9 020 294 045 13 332 42 295 52 307 068 Instruments fermes 10 790 48 949 -9 020 294 045 13 332 42 295 52 307 068 Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de juste valeur 10 790 48 949 -9 020 294 045 13 332 42 295 52 307 068 Couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 40 979 82 201 -45 000 1 833 125 50 666 47 336 -12 903 1 693 686 Total couverture de juste valeur 51 769 131 150 -54 020 2 127 170 63 998 89 631 -12 851 2 000 754 Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Eléments couverts  : Micro-couvertures (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liées à la couverture (y compris cessations de couvertures au cours de la période) Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liées à la couverture (y compris cessations de couvertures au cours de la période) Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 285 791 46 919 ‐ 6 696 292 015 40 223 ‐ -2 425 Taux d'intérêt 285 791 46 919 ‐ 6 696 292 015 40 223 ‐ -2 425 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments d'actif 285 791 46 919 ‐ 6 696 292 015 40 223 ‐ -2 425 Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 61 324 6 324 ‐ -892 62 216 7 216 ‐ -942 Taux d'intérêt 61 324 6 324 ‐ -892 62 216 7 216 ‐ -942 Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments de passif 61 324 6 324 ‐ -892 62 216 7 216 ‐ -942 La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste du bilan auquel elle se rattache. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. Macro-couvertures (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 1 405 007 ‐ 1 346 616 ‐ Total - actifs 1 405 007 ‐ 1 346 616 ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 529 726 ‐ 424 229 ‐ Total - passifs 529 726 ‐ 424 229 ‐ La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste « Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux » au bilan. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Résultat de la comptabilité de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y compris cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y compris cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y compris cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y compris cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Taux d'intérêt -54 020 52 588 -1 432 -12 851 11 418 -1 433 Total -54 020 52 588 -1 432 -12 851 11 418 -1 433 Couverture de flux de trésorerie et d’investissements nets à l’étranger  : Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y compris cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Actif Passif Couverture de flux de trésorerie Marchés organisés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Marchés de gré à gré ‐ 751 248 25 000 ‐ 999 245 25 000 Taux d'intérêt ‐ 751 248 25 000 ‐ 999 245 25 000 Instruments fermes ‐ 751 248 25 000 ‐ 999 245 25 000 Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de flux de trésorerie ‐ 751 248 25 000 ‐ 999 245 25 000 Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des macro-couvertures de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie ‐ 751 248 25 000 ‐ 999 245 25 000 Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres » à l’exception de la part inefficace de la relation de couverture qui est comptabilisée au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Résultat de la comptabilité de couverture  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisé sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisée sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt 248 ‐ ‐ 245 ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie 248 ‐ ‐ 245 ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie et d'investissement net dans une activité à l'étranger 248 ‐ ‐ 245 ‐ ‐ 3.5. Risques opérationnels . — (Cf. Rapport de gestion page 46) 3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires . — Conformément au règlement européen 575/2013 (CRR), la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité, de levier et de liquidité. La gestion des fonds propres de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013, applicables depuis le 1 er janvier 2014, et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne (BCE) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché. Ce nouveau dispositif prudentiel consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de fonds propres et des exigences supplémentaires en matière de la liquidité et du levier. Les fonds propres sont répartis en trois catégories : les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), déterminés à partir des capitaux propres retraités, notamment de certains instruments de capital qui sont classés en Additional Tier 1 (AT1), et de déductions des immobilisations incorporelles ; les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1 , constitués du Common Equity Tier 1 et des instruments de fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 perpétuels ; les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans. Pour être reconnus en fonds propres, les instruments de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion exigeants. Si ces instruments ne sont pas éligibles, et qu’ils ont été émis avant le 31/12/2011, ils font l’objet d’une clause de "grand-père" qui s’étale sur 10 ans jusqu’à fin 2021 permettant de les éliminer des fonds propres de façon progressive. Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier 1 (AT1) et du Tier 2 . Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances, quand l’établissement ne bénéficie pas de la dérogation conglomérat financier". En 2019 comme en 2018 et selon la règlementation en vigueur, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a respecté les exigences réglementaires. 4. – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . 4.1. Produits et charges d’intérêts  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Sur les actifs financiers au coût amorti 135 070 133 583 Opérations avec les établissements de crédit 1 915 470 Opérations internes au Crédit Agricole 10 039 10 085 Opérations avec la clientèle 120 271 119 531 Opérations de location-financement ‐ ‐ Titres de dettes 2 845 3 497 Sur les actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ Opérations avec les établissements de crédit ‐ ‐ Opérations avec la clientèle ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ Intérêts courus et échus des instruments de couverture 19 159 22 994 Autres intérêts et produits assimilés ‐ ‐ Produits d'intérêts (1) (2) 154 229 156 577 Sur les passifs financiers au coût amorti -48 412 -48 352 Opérations avec les établissements de crédit -1 289 -1 199 Opérations internes au Crédit Agricole -24 691 -23 210 Opérations avec la clientèle -16 703 -14 237 Opérations de location-financement ‐ ‐ Dettes représentées par un titre -5 729 -9 246 Dettes subordonnées ‐ -460 Intérêts courus et échus des instruments de couverture -29 356 -29 431 Autres intérêts et charges assimilées -5 ‐ Charges d'intérêts -77 773 -77 783 (1) Dont 2 418 milliers d'euros sur créances dépréciées (Bucket 3) au 31 décembre 2019 contre 2 603 milliers d'euros au 31 décembre 2018 (2) Dont 341 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2019 contre 434 milliers d'euros au 31 décembre 2018 4.2. Produits et charges de commissions  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 64 -31 33 108 -53 55 Sur opérations internes au Crédit Agricole 4 753 -12 638 -7 885 4 909 -11 505 -6 596 Sur opérations avec la clientèle 20 317 -367 19 950 18 383 -354 18 029 Sur opérations de change 27 ‐ 27 14 ‐ 14 Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers 48 427 -6 097 42 330 50 233 -6 318 43 915 Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues 810 -29 781 1 056 -245 811 Total Produits et charges de commissions 74 398 -19 162 55 236 74 703 -18 475 56 228 4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Dividendes reçus 15 24 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif détenus à des fins de transaction -10 -25 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 5 -1 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur instruments de dette ne remplissant pas les critères SPPI -290 -555 Gains ou pertes nets sur actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option (1) ‐ ‐ Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger) 150 147 Résultat de la comptabilité de couverture -1 432 -1 431 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat -1 562 -1 841 (1) Hors spread de crédit émetteur pour les passifs à la juste valeur par résultat sur option concernés Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Profits Pertes Net Profits Pertes Net Couverture de juste valeur 111 217 -112 649 -1 432 112 444 -113 875 -1 431 Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts 60 118 -52 531 7 587 56 196 -57 679 -1 483 Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couverture) 51 099 -60 118 -9 019 56 248 -56 196 52 Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 197 764 -197 764 ‐ 185 333 -185 333 ‐ Variations de juste valeur des éléments couverts 121 382 -76 382 45 000 99 117 -86 216 12 901 Variations de juste valeur des dérivés de couverture 76 382 -121 382 -45 000 86 216 -99 117 -12 901 Couverture de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Résultat de la comptabilité de couverture 308 981 -310 413 -1 432 297 777 -299 208 -1 431 Le détail du résultat de la comptabilité de couverture par type de relation (Couverture de juste valeur, Couverture de flux de trésorerie,…) est présenté dans la note 3.4 "Comptabilité de couverture". 4.4. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 18 168 16 583 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 18 168 16 583 4.5. Produits (charges) nets des autres activités  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation ‐ ‐ Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d’assurance ‐ ‐ Autres produits nets de l’activité d’assurance ‐ ‐ Variation des provisions techniques des contrats d’assurance ‐ ‐ Produits nets des immeubles de placement 12 -580 Autres produits (charges) nets 270 150 Produits (charges) des autres activités 282 -430 4.6. Charges générales d’exploitation  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Charges de personnel -58 256 -58 846 Impôts, taxes et contributions réglementaires (1) -4 471 -4 307 Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation -37 270 -36 460 Charges générales d'exploitation -99 997 -99 613 (1) Dont 1 019 milliers d'euros comptabilisés au titre du fonds de résolution au 31 décembre 2019 Honoraires des commissaires aux comptes . — Le montant des charges générales d’exploitation intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée. La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2019 est donnée ci-dessous : Collège des Commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée . (En milliers d'Euros) EY KPMG Total 2019 2019 2018 2019 2018 Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés 99 108 59 68 158 Emetteur 99 108 59 68 158 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Services autres que la certification des comptes 3 2 15 12 18 Emetteur 3 2 15 12 18 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 102 110 74 80 176 Le montant total des honoraires de Ernst & Young, commissaire aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 102 milliers d’euros, dont 99 milliers d’euros au titre de la mission de certification des comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et ses filiales, et 3 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes (lettres de confort, procédures convenues, attestations, consultations, etc.). Le montant total des honoraires de KPMG, commissaire aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 74 milliers d’euros, dont 59 milliers d’euros au titre la mission de certification des comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et ses filiales, et 15 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes (lettres de confort, procédures convenues, attestations, revue de conformité de déclarations fiscales, consultations, etc.). 4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Dotations aux amortissements -4 326 -4 458 Immobilisations corporelles (1) -4 292 -4 440 Immobilisations incorporelles -34 -18 Dotations (reprises) aux dépréciations -389 ‐ Immobilisations corporelles -389 ‐ Immobilisations incorporelles ‐ ‐ Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles -4 715 -4 458 (1) Dont 186 milliers d’euros comptabilisés au titre de l'amortissement du droit d'utilisation au 31 décembre 2019 4.8. Coût du risque  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs et provisions sur engagements hors bilan sains (Bucket 1 et Bucket 2) -7 273 4 053 Bucket 1: Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir -442 -1 502 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -361 -1 441 Engagements par signature -81 -61 Bucket 2: Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour la durée de vie -6 831 5 555 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -6 924 5 559 Engagements par signature 93 -4 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs et provisions sur engagements hors bilan dépréciés (Bucket 3) 6 329 -11 792 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 6 784 -11 117 Engagements par signature -455 -675 Autres actifs -1 364 -1 812 Risques et charges 356 -111 Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions -1 952 -9 662 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables dépréciés ‐ ‐ Gains ou pertes réalisés sur instruments de dettes comptabilisés au coût amorti dépréciés ‐ ‐ Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés -243 -1 284 Récupérations sur prêts et créances 899 3 852 Comptabilisés au coût amorti 899 3 852 Comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ Décotes sur crédits restructurés -79 -52 Pertes sur engagements par signature ‐ ‐ Autres pertes -97 -128 Autres produits ‐ ‐ Coût du risque -1 472 -7 274 4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Immobilisations corporelles et incorporelles d’exploitation -643 ‐ Plus-values de cession 114 1 Moins-values de cession -757 -1 Titres de capitaux propres consolidés ‐ ‐ Plus-values de cession ‐ ‐ Moins-values de cession ‐ ‐ Produits (charges) nets sur opérations de regroupement ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs -643 ‐ 4.10. Impôts  : — Charge d’impôt  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Charge d'impôt courant -12 027 -9 008 Charge d'impôt différé 1 611 2 129 Total Charge d'impôt -10 416 -6 879 — Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté Au 31 décembre 2019  : ( En milliers d' E uros ) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 41 753 34,43% -14 376 Effet des différences permanentes 2 136 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères -9 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires -1 158 Effet de l’imposition à taux réduit -22 Changement de taux ‐ Effet des autres éléments 3 013 Taux et charge effectifs d'impôt 24,95% -10 416 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2019. Au 31 décembre 2018  : ( En milliers d' E uros ) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 37 989 34,43% -13 080 Effet des différences permanentes 5 711 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères -37 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires 1 670 Effet de l’imposition à taux réduit -36 Changement de taux ‐ Effet des autres éléments 1 664 Taux et charge effectifs d'impôt 18,11% -6 879 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2018. 4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période : — Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ -1 Ecart de réévaluation de la période ‐ -1 Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 248 245 Ecart de réévaluation de la période 248 245 Transferts en résultat ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -64 -61 Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 184 183 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -747 -227 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ ‐ Transferts en réserves ‐ ‐ Autres variations ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 27 726 -43 103 Ecart de réévaluation de la période 27 706 -43 055 Transferts en réserves ‐ -48 Autres variations 20 ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence -758 1 759 Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 26 221 -41 571 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 26 405 -41 388 Dont part du Groupe 26 405 -41 388 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ — Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et effets d’impôt : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2018 Variation 31/12/2019 Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables  : Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture -991 258 -733 -733 248 -64 184 184 -743 194 -549 -549 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -991 258 -733 -733 248 -64 184 184 -743 194 -549 -549 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables -991 258 -733 -733 248 -64 184 184 -743 194 -549 -549 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -4 450 1 149 -3 301 -3 301 -747 193 -554 -554 -5 197 1 342 -3 855 -3 855 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 97 168 -3 221 93 947 93 947 27 726 -951 26 775 26 775 124 894 -4 172 120 722 120 722 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 92 718 -2 072 90 646 90 646 26 979 -758 26 221 26 221 119 697 -2 830 116 867 116 867 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 92 718 -2 072 90 646 90 646 26 979 -758 26 221 26 221 119 697 -2 830 116 867 116 867 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 91 727 -1 814 89 914 89 913 27 227 -822 26 405 26 405 118 954 -2 636 116 319 116 318 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 Variation 31/12/2018 Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables : Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 ‐ ‐ ‐ 1 ‐ Gains et pertes sur actifs disponible à la vente 21 913 -891 21 022 21 022 Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables 1 ‐ 1 1 -1 ‐ -1 -1 ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture -1 236 319 -917 -917 -1 236 319 -917 -917 245 -61 184 184 -991 258 -733 -733 Reclassement des gains ou pertes nets sur actifs financiers lié à l'approche par superposition ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 20 677 -572 20 105 20 105 -1 235 319 -916 -916 244 -61 184 183 -991 258 -732 -733 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 60 677 -572 20 105 20 105 -1 235 319 -917 -916 244 -61 185 183 -991 258 -732 -733 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables : Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -4 223 1 091 -3 132 -3 132 -4 223 1 091 -3 132 -3 132 -227 58 -169 -169 -4 450 1 149 -3 301 -3 301 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ 140 271 -4 922 135 349 135 349 -43 103 1 701 -41 402 -41 402 97 168 -3 221 93 947 93 947 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence -4 223 1 091 -3 132 -3 132 136 048 -3 831 132 217 132 217 -43 330 1 759 -41 571 -41 571 92 718 -2 072 90 646 90 646 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -4 223 1 091 -3 132 -3 132 136 048 -3 831 132 217 132 217 -43 330 1 759 -41 571 -41 571 92 718 -2 072 90 646 90 646 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 16 454 519 16 973 16 973 134 813 -3 512 131 300 131 301 -43 086 1 698 -41 386 -41 388 91 727 -1 814 89 914 89 913 5. – Informations sectorielles . Définition des secteurs opérationnels . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois, concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf. note 3.1) Information sectorielle par zone géographique . — L’analyse géographique des actifs et des résultats sectoriels repose sur le lieu d’enregistrement comptable des activités. ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Résultat net part Groupe Dont Produit net bancaire Actifs sectoriels Dont écarts d'acquisition Résultat net part Groupe Dont Produit net bancaire Actifs sectoriels Dont écarts d'acquisition France (y compris DOM-TOM) 31 839 147 025 ‐ ‐ 32 062 147 602 ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays de l'Union européenne -502 1 555 ‐ ‐ -952 1 732 ‐ ‐ Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 31 337 148 580 ‐ ‐ 31 110 149 334 ‐ ‐ 6. – Notes relatives au bilan . 6.1. Caisse, banques centrales  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Actif Passif Actif Passif Caisse 43 366 ‐ 39 166 ‐ Banques centrales 3 441 ‐ 5 175 ‐ Valeur au bilan 46 807 ‐ 44 341 ‐ 6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat  : — Actifs financiers à la juste valeur par résultat  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 369 653 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 98 903 103 467 Instruments de capitaux propres 697 692 Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 98 206 102 775 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 99 272 104 120 Dont Titres prêtés ‐ ‐ — Actifs financiers détenus à des fins de transaction  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Instruments de capitaux propres ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ Instruments dérivés 369 653 Valeur au bilan 369 653 Les montants relatifs aux titres reçus en pension livrée comprennent ceux que l’entité est autorisée à redonner en garantie. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 697 692 Total instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 697 692 — Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Titres de dettes 98 206 102 775 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 1 023 6 339 OPCVM 97 183 96 436 Prêts et créances ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ Total instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI à la juste valeur par résultat 98 206 102 775 — Passifs financiers à la juste valeur par résultat : : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 466 747 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 466 747 — Passifs financiers détenus à des fins de transaction : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Titres vendus à découvert ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ Instruments dérivés 466 747 Valeur au bilan 466 747 Une information détaillée sur les instruments dérivés de transaction est fournie dans la note 3.2 relative au risque de marché, notamment sur taux d’intérêt. 6.3. Instruments dérivés de couverture . — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 "Comptabilité de couverture". 6.4. Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 611 466 134 603 -9 709 580 945 103 931 -6 763 Total 611 466 134 603 -9 709 580 945 103 931 -6 763 — Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables  : Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres non recyclables : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Actions et autres titres à revenu variable 1 488 ‐ ‐ 1 098 ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 609 978 134 603 -9 709 579 847 103 931 -6 763 Total Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 611 466 134 603 -9 709 580 945 103 931 -6 763 Impôts -4 172 ‐ -3 221 ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (net d'impôt) 130 431 -9 709 100 710 -6 763 Instruments de capitaux propres ayant été décomptabilisés au cours de la période : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Juste Valeur à la date de décomptabilisation Gains cumulés réalisés (1) Pertes cumulées réalisées (1) Juste Valeur à la date de décomptabilisation Gains cumulés réalisés 1 Pertes cumulées réalisées 1 Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 23 ‐ ‐ 100 59 -11 Total Placements dans des instruments de capitaux propres 23 ‐ ‐ 100 59 -11 Impôts ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (net d'impôt) (1) ‐ ‐ 59 -11 (1) Les profits et pertes réalisés sont transférés en réserves consolidées au moment de la décomptabilisation de l'instrument concerné Au cours de l'exercice, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a procédé à la cession du titre SCA Coopérative Catalane des Eleveurs. Cette cession résulte de la décision de la Caisse régionale Sud Méditerranée de se désengager de l'activité. 6.5. Actifs financiers au coût amorti  : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Prêts et créances sur les établissements de crédit 402 981 345 847 Prêts et créances sur la clientèle 5 252 082 4 953 096 Titres de dettes 176 910 190 507 Valeur au bilan 5 831 973 5 489 450 — Prêts et créances sur les établissements de crédit : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Etablissements de crédit  : Comptes et prêts 7 058 6 464 Dont comptes ordinaires débiteurs non douteux (1) 7 058 6 386 Dont comptes et prêts au jour le jour non douteux (1) ‐ ‐ Prêts subordonnés 157 213 Valeur brute 7 215 6 677 Dépréciations ‐ ‐ Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit 7 215 6 677 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 186 314 127 036 Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ Comptes et avances à terme 209 452 212 134 Total Prêts et créances internes au Crédit Agricole 395 766 339 170 Valeur au bilan 402 981 345 847 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique ”Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit” du Tableau des flux de trésorerie — Prêts et créances sur la clientèle : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Opérations avec la clientèle Créances commerciales 9 687 9 757 Autres concours à la clientèle 5 384 061 5 096 644 Avances en comptes courants d'associés 5 813 7 450 Comptes ordinaires débiteurs 18 060 22 724 Valeur brute 5 417 621 5 136 575 Dépréciations -165 539 -183 479 Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle 5 252 082 4 953 096 Opérations de location-financement  : Valeur brute ‐ ‐ Dépréciations ‐ ‐ Valeur nette des opérations de location-financement ‐ ‐ Valeur au bilan 5 252 082 4 953 096 — Titres de dettes : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Effets publics et valeurs assimilées 107 017 112 825 Obligations et autres titres à revenu fixe 72 178 79 986 Total 179 195 192 811 Dépréciations -2 285 -2 304 Valeur au bilan 176 910 190 507 6.6. Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue  : — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2019 : (En milliers d'Euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passifs associés Valeur comptable dont titrisation (non déconsolidante) dont pensions livrées dont autres (1) Juste valeur (2) Valeur comptable dont titrisation (non déconsolidante) dont pensions livrées dont autres (1) Juste valeur (2) Juste valeur nette (2) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 16 048 16 048 ‐ ‐ 16 048 13 951 13 951 ‐ ‐ 13 951 2 097 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 16 048 16 048 ‐ ‐ 16 048 13 951 13 951 ‐ ‐ 13 951 2 097 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 16 048 16 048 ‐ ‐ 16 048 13 951 13 951 ‐ ‐ 13 951 2 097 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 16 048 16 048 ‐ ‐ 16 048 13 951 13 951 ‐ ‐ 13 951 2 097 ‐ ‐ ‐ (1) Dont les prêts de titres sans cash collatéral (2) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D. (d)). — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre REF AnnéeN_1 \h \* MERGEFORMAT 2018 : (En milliers d'Euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passifs associés Valeur comptable dont titrisation (non déconsolidante) dont pensions livrées dont autres (1) Juste valeur (2) Valeur comptable Dont titrisation (non déconsolidante) Dont pensions livrées Dont autres (1) Juste valeur (2) Juste valeur nette (2) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 17 335 17 335 ‐ ‐ 17 335 15 523 15 523 ‐ ‐ 15 523 1 812 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 17 335 17 335 ‐ ‐ 17 335 15 523 15 523 ‐ ‐ 15 523 1 812 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 17 335 17 335 ‐ ‐ 17 335 15 523 15 523 ‐ ‐ 15 523 1 812 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 17 335 17 335 ‐ ‐ 17 335 15 523 15 523 ‐ ‐ 15 523 1 812 ‐ ‐ ‐ (1) Dont les prêts de titres sans cash collatéral (2) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D. (d)). Titrisations . — Les titrisations consolidées avec investisseurs externes constituent un transfert d’actifs au sens de l’amendement à IFRS 7. En effet, la Caisse régionale Sud Méditerranée a une obligation contractuelle indirecte de remettre aux investisseurs externes les flux de trésorerie des actifs cédés au fonds de titrisation (bien que ces actifs figurent au bilan de la Caisse régionale Sud Méditerranée via la consolidation du fonds). Les créances cédées au fonds de titrisation servent de garantie aux investisseurs. Les titrisations consolidées intégralement auto souscrites ne constituent pas un transfert d’actif au sens de la norme IFRS 7. Engagements encourus relatifs aux actifs transférés décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2019 . Au titre de l’exercice, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a constaté aucun engagement encouru relatif aux actifs transférés décomptabilisés intégralement. 6.7. Expositions au risque souverain . — Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement. L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture. Les expositions de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au risque souverain sont les suivantes : — Activité bancaire : 31/12/2019 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Arabie saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Argentine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Egypte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etats-Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 106 992 106 992 ‐ 106 992 Grèce ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Hong - Kong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Iran ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Irlande ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Lituanie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Maroc ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume-Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Syrie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Turquie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Yémen ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays souverains ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ 106 992 106 992 ‐ 106 992 31/12/2018 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Arabie saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etats-Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 112 802 112 802 ‐ 112 802 Grèce ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Hong-Kong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Iran ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Irlande ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Lituanie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume-Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Syrie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Turquie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Yémen ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ 112 802 112 802 ‐ 112 802 6.8. Passifs financiers au coût amorti  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Dettes envers les établissements de crédit 3 195 459 2 946 527 Dettes envers la clientèle 2 285 948 2 179 928 Dettes représentées par un titre 170 613 173 075 Valeur au bilan 5 652 020 5 299 530 — Dettes envers les établissements de crédit : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Etablissements de crédit : Comptes et emprunts 342 628 Dont comptes ordinaires créditeurs (1) ‐ ‐ Dont comptes et emprunts au jour le jour (1) ‐ ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Total 342 628 Opérations internes au Crédit Agricole : Comptes ordinaires créditeurs ‐ ‐ Comptes et avances à terme 3 195 117 2 945 899 Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Total 3 195 117 2 945 899 Valeur au bilan 3 195 459 2 946 527 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique ”Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit” du Tableau des flux de trésorerie — Dettes envers la clientèle : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Comptes ordinaires créditeurs 1 779 277 1 628 369 Comptes d'épargne à régime spécial 18 133 14 084 Autres dettes envers la clientèle 488 538 537 475 Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Valeur au bilan 2 285 948 2 179 928 — Dettes représentées par un titre   : ( En milliers d' E uros ) 31/12/2019 31/12/2018 Bons de caisse 36 36 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ Titres de créances négociables 156 626 157 516 Emprunts obligataires 13 951 15 523 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ Valeur au bilan 170 613 173 075 6.9. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers  : — Compensation – Actifs financiers : : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 52 137 ‐ 52 137 51 829 ‐ 308 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 52 137 ‐ 52 137 51 829 ‐ 308 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100% des dérivés à l'actif à la date d'arrêté (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 64 649 ‐ 64 649 63 998 ‐ 651 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 64 649 ‐ 64 649 63 998 ‐ 651 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100% des dérivés à l'actif à la date d'arrêté — Compensation – Passifs financiers : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 132 286 ‐ 132 286 51 829 ‐ 80 457 Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 132 286 ‐ 132 286 51 829 ‐ 80 457 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100% des dérivés au passif à la date d'arrêté (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 91 304 ‐ 91 304 63 998 ‐ 27 306 Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 91 304 ‐ 91 304 63 998 ‐ 27 306 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100% des dérivés au passif à la date d'arrêté 6.10. Actifs et passifs d’impôts courants et différés  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Impôts courants 1 446 2 254 Impôts différés 14 025 13 295 Total actifs d'impôts courants et différés 15 471 15 549 Impôts courants 3 947 4 227 Impôts différés ‐ 1 Total passifs d'impôts courants et différés 3 947 4 228 Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Impôts différés Actif Impôts différés Passif Impôts différés Actif Impôts différés Passif Décalages temporaires comptables-fiscaux 23 266 ‐ 20 157 ‐ Charges à payer non déductibles 1 682 ‐ 1 589 ‐ Pour risques et charges non déductibles 12 595 ‐ 10 581 ‐ Autres différences temporaires 8 989 ‐ 7 987 ‐ Impôts différés sur réserves latentes -3 210 -2 330 ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres -4 172 -3 221 ‐ Couverture de flux de trésorerie 192 ‐ 256 ‐ Gains et pertes sur écarts actuariels 771 ‐ 635 ‐ Gains et pertes sur variation du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassement des gains ou pertes nets sur actifs financiers lié à l'approche par superposition ‐ ‐ ‐ ‐ Impôts différés sur résultat -6 031 ‐ -4 532 1 Dont reclassement des gains ou pertes nets sur actifs financiers lié à l'approche par superposition ‐ ‐ ‐ ‐ Effet des compensations ‐ ‐ Total impôts différés 14 025 ‐ 13 295 1 Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale. 6.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers  : — Comptes de régularisation et actifs divers : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Autres actifs 143 955 88 430 Comptes de stocks et emplois divers 13 243 16 878 Débiteurs divers (1) 130 707 71 544 Comptes de règlements 5 8 Autres actifs d'assurance ‐ ‐ Parts des réassureurs dans les provisions techniques ‐ ‐ Gestion collective des titres Livret de développement durable ‐ ‐ Comptes de régularisation 39 218 37 042 Comptes d'encaissement et de transfert 18 140 14 497 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts ‐ ‐ Produits à recevoir 20 141 21 439 Charges constatées d'avance 310 245 Autres comptes de régularisation 627 861 Valeur au bilan 183 173 125 472 (1) dont 1 019 milliers d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution Unique, à tout moment et sans condition, pour financier une intervention. — Comptes de régularisation et passifs divers : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Autres passifs (1) 37 627 33 990 Comptes de règlements ‐ ‐ Créditeurs divers 35 498 32 848 Versements restant à effectuer sur titres 1 414 1 142 Dettes locatives (3) 715 ‐ Autres passifs d'assurance ‐ ‐ Parts des réassureurs dans les provisions techniques ‐ ‐ Comptes de régularisation 70 686 66 054 Comptes d'encaissement et de transfert (2) 7 469 4 452 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts ‐ 1 Produits constatés d’avance 30 817 30 473 Charges à payer 28 052 27 585 Autres comptes de régularisation 4 348 3 543 Valeur au bilan 108 313 100 044 (1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées (2) Les montants sont indiqués en net. (3) Cf. Note 1.1 Normes applicables et comparabilité - IFRS 16 Contrats de location 6.12. Immeubles de placement  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2018 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2019 Valeur brute 8 472 ‐ 745 -1 834 ‐ 236 7 619 Amortissements et dépréciations -4 192 ‐ -326 941 ‐ ‐ -3 577 Valeur au bilan (1) 4 280 ‐ 419 -893 ‐ 236 4 042 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2018 Valeur brute 8 786 8 786 ‐ 16 -545 ‐ 215 8 472 Amortissements et dépréciations -3 900 -3 900 ‐ -701 409 ‐ ‐ -4 192 Valeur au bilan (1) 4 886 4 886 ‐ -685 -136 ‐ 215 4 280 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple Juste valeur des immeubles de placement . — La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût, établie "à dire d’expert", s’élève à 5 678 milliers d’euros au 31 décembre 2019 contre 6 004 milliers d’euros au 31 décembre REF AnnéeN_1 \h \* MERGEFORMAT 2018 . ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 5 678 6 004 Valeur de marché des immeubles de placement 5 678 6 004 Tous les immeubles de placement font l’objet d’une comptabilisation au coût au bilan. 6.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) . — Les immobilisations corporelles d’exploitation incluent les droits d’utilisation des immobilisations prises en location en tant que preneur à compter du 1 er janvier 2019 (Cf. note 1.1 "Normes applicables et comparabilité" – IFRS 16 Contrats de location). Les amortissements et dépréciations des immobilisations corporelles d’exploitation sont présentés y compris amortissements sur immobilisations données en location simple. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 01/01/2019 (1) Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2019 Immobilisations corporelles d'exploitation Valeur brute 131 018 7 890 ‐ 3 603 -4 785 ‐ -6 170 131 556 Amortissements et dépréciations -103 638 -357 ‐ -4 681 3 895 ‐ 357 -104 424 Valeur au bilan 27 380 7 533 ‐ -1 078 -890 ‐ -5 813 27 132 Immobilisations incorporel Valeur brute 1 308 -3 170 ‐ 51 ‐ ‐ 2 293 482 Amortissements et dépréciations -414 357 ‐ -34 ‐ ‐ -357 -448 Valeur au bilan 894 -2 813 ‐ 17 ‐ ‐ 1 936 34 (1) Impact de la comptabilisation du droit d'utilisation dans le cadre de la première application de la norme IFRS 16 Contrats de location (Cf. Note 1.1 "Normes applicables et comparabilité") (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2018 Immobilisations corporelles d'exploitation Valeur brute 126 510 126 510 ‐ 5 535 -1 027 ‐ ‐ 131 018 Amortissements et dépréciations (1) -100 223 -100 223 ‐ -4 440 1 025 ‐ ‐ -103 638 Valeur au bilan 26 287 26 287 ‐ 1 095 -2 ‐ ‐ 27 380 Immobilisations incorporelles Valeur brute 4 646 4 646 ‐ 31 -3 369 ‐ ‐ 1 308 Amortissements et dépréciations -3 765 -3 765 ‐ -18 3 369 ‐ ‐ -414 Valeur au bilan 881 881 ‐ 13 ‐ ‐ ‐ 894 (1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple 6.14. Provisions  : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 01/01/2019 (2) Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements 31/12/2019 Risques sur les produits épargne-logement 4 923 4 923 ‐ 2 551 ‐ ‐ ‐ 7 474 Risques d’exécution des engagements par signature 3 229 3 229 ‐ 12 041 ‐ -11 599 ‐ 3 671 Risques opérationnels 1 190 1 190 ‐ 110 ‐ -206 ‐ 1 094 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 3 097 3 097 ‐ 68 ‐ -381 525 3 309 Litiges divers 404 404 ‐ 56 ‐ -50 ‐ 410 Participations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 7 947 7 947 ‐ 1 043 -2 929 -298 ‐ 5 763 Total 20 790 20 790 ‐ 15 869 -2 929 -12 534 525 21 721 (1) Dont 2 670 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, dont 639 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail (2) Reclassement des provisions pour risques fiscaux portant sur l’impôt sur le résultat de la rubrique « Provisions » vers la rubrique « Passifs d’impôts courants et différés » au 1er janvier 2019 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements 31/12/2018 Risques sur les produits épargne-logement 4 778 4 778 146 ‐ -1 ‐ 4 923 Risques d’exécution des engagements par signature 1 158 1 158 2 396 -235 -1 657 1 567 3 229 Risques opérationnels 1 144 1 144 272 -143 -83 ‐ 1 190 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 3 119 3 119 ‐ ‐ -34 12 3 097 Litiges divers 227 227 185 ‐ -8 ‐ 404 Participations 526 526 ‐ ‐ -526 ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 8 238 8 238 1 283 -2 817 -4 1 247 7 947 Total 19 190 19 190 4 282 -3 195 -2 313 2 826 20 790 (1) Dont 2 491 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, dont 606 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail — Provision épargne-logement : Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 141 345 126 079 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 343 516 329 720 Ancienneté de plus de 10 ans 415 966 426 045 Total plans d'épargne-logement 900 827 881 844 Total comptes épargne-logement 76 520 72 478 Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement 977 347 954 322 Les encours de collecte, hors prime de l’Etat, sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2019 pour les données au 31 décembre 2019 et à fin novembre 2018 pour les données au 31 décembre 2018 — Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Plans d'épargne-logement 460 624 Comptes épargne-logement 1 538 2 158 Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement 1 998 2 782 Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 373 379 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 4 374 2 592 Ancienneté de plus de 10 ans 2 727 1 952 Total plans d'épargne-logement 7 474 4 923 Total comptes épargne-logement ‐ ‐ Total provision au titre des contrats épargne-logement 7 474 4 923 ( En milliers d'Euros ) 31/12/2018 Dotations Reprises Autres mouvements 31/12/2019 Plans d'épargne-logement 4 923 2 551 ‐ ‐ 7 474 Comptes épargne-logement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total provision au titre des contrats épargne-logement 4 923 2 551 ‐ ‐ 7 474 L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe "Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes" de la partie "Cadre général". 6.15. Capitaux propres  : Composition du capital au 31 décembre 2019 . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération. Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement (CCI) et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA). Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts. La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS. Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947. A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent. Les CCI sont émis au profit de titulaires n’ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables. Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées. Répartition du capital de la Caisse Régionale Nombre de titres au 01/01/2019 Nombre de titres émis Nombre de titres remboursés Nombre de titres au 31/12/2019 Certificats Coopératifs d'associés (CCA) 459 957 ‐ ‐ 459 957 Dont part Sacam Mutualisation 459 957 ‐ ‐ 459 957 Part sociales 17 034 899 3 033 897 1 584 223 18 484 573 Dont 32 caisses locales 17 034 877 3 033 894 1 584 215 18 484 556 Dont 16 administrateurs de la Caisse régionale 21 3 8 16 Dont sacam mutualisation 1 ‐ ‐ 1 Total 17 494 856 3 033 897 1 584 223 18 944 530 La valeur nominale des titres est de  : 15,25 € pour les CCA 15,25 € pour les parts sociales émises par la Caisse régionale 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses locales Au 31 décembre 2019, le montant total du capital est de 35 527 milliers d’euros. Résultat par action . — Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation. Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA. Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale à la moyenne, sur les trois années civiles précédant la date de l'assemblée générale, du taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées, majorée de deux points, publié par le ministre chargé de l’économie. La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’Assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales. Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action ne sont pas applicables. Dividendes . — Au titre de l’exercice 2019, le Conseil d’administration de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 5 juin 2020 le paiement d’un dividende par parts sociales de 0,02 euros, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale. Dividendes  : Année de rattachement du dividende Par CCA Par part sociale Montant Net Montant Net 2016 4,80 0.02 2017 4,32 0,02 2018 4,91 0,02 Prévu 2019 5,06 0,02 Dividendes payés au cours de l’exercice . — Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 2 641 milliers d’euros en 2019. Affectations du résultat et fixation du dividende 2019 . — L’affectation du résultat la fixation et la mise en paiement du dividende 2019 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée du 5 juin 2020. Compte tenu de la recommandation (BCE/2020/19) émise le 27 mars 2020 par la Banque Centrale Européenne (BCE) relative à l’absence de versement de dividende et d’intérêt sur les titres de capital émis par les établissements de crédit, l’Assemblée générale délègue au Conseil d’administration, s’agissant de la rémunération des parts sociales, des CCA et des CCI, au titre de l’exercice 2019, la décision : De fixer, sous réserve de l’accord préalable de la BCE, la date de versement de la rémunération des parts sociales, des CCA (exposée dans les résolutions précédentes) qui ne pourra pas intervenir avant le 1er octobre 2020, et, De réduire ou, le cas échéant, d’annuler, sur demande de la BCE, la distribution de l’intérêt aux parts sociales aux sociétaires et du dividende aux porteurs de CCA. L’Assemblée générale décide que, dans l’hypothèse où la distribution de l’intérêt aux parts sociales et du dividende sur les CCA est annulée ou réduite, les sommes ainsi non distribuées seront affectées sur les comptes de réserve légale et autres réserves conformément à l’ordre de priorité et au niveau fixés par la règlementation et les statuts. Le texte de la résolution est le suivant : L'Assemblée générale approuve l'affectation du résultat de l'exercice d'un montant de 31 046 355,13 euros telle qu'elle lui est proposée par le Conseil d’administration. Résultat des comptes individuels 2019 31 046 355,13 € Report à nouveau 0,00 € Résultat de l’exercice à affecter 31 046 355,13 € Résultat distribué 2 643 027,91 € Intérêts parts sociales caisse Régionale (1,50 %) 315 645,49 € Rémunération des Certificats Coopératifs d’Associés 2 327 382,42 € Résultat conservé 28 403 327,22 € Dotation à la Réserve Légale (75% du disponible) 21 302 495,42 € Dotation à la Réserve Facultative 7 100 831,80 € Dotation à la Réserve Spéciale Mécénat 0,00 € 6.16. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle . — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle. L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle. Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en "Indéterminée". ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 46 807 ‐ ‐ ‐ ‐ 46 807 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 11 13 71 1 297 97 880 99 272 Instruments dérivés de couverture ‐ 1 195 50 558 16 ‐ 51 769 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 611 466 611 466 Actifs financiers au coût amorti 432 276 449 583 1 888 395 3 056 031 5 688 5 831 973 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 77 052 ‐ ‐ ‐ ‐ 77 052 Total actifs financiers par échéance 556 146 450 791 1 939 024 3 057 344 715 034 6 718 339 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 19 ‐ 71 376 ‐ 466 Instruments dérivés de couverture 5 3 837 22 178 105 881 ‐ 131 901 Passifs financiers au coût amorti 2 283 100 1 124 031 1 527 756 717 133 ‐ 5 652 020 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 34 726 ‐ ‐ ‐ ‐ 34 726 Total passifs financiers par échéance 2 317 850 1 127 868 1 550 005 823 390 ‐ 5 819 113 ( En milliers d'Euros ) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 44 341 ‐ ‐ ‐ ‐ 44 341 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 5 330 5 27 1 628 97 130 104 120 Instruments dérivés de couverture 191 ‐ 61 226 2 581 ‐ 63 998 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 580 945 580 945 Actifs financiers au coût amorti 368 012 427 271 1 757 007 2 931 700 5 460 5 489 450 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 41 555 ‐ ‐ ‐ ‐ 41 555 Total actifs financiers par échéance 459 429 427 276 1 818 260 2 935 909 683 535 6 324 409 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ 27 720 ‐ 747 Instruments dérivés de couverture ‐ 1 503 25 241 63 886 ‐ 90 630 Passifs financiers au coût amorti 2 086 152 1 024 650 1 512 355 676 373 ‐ 5 299 530 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 44 229 ‐ ‐ ‐ ‐ 44 229 Total passifs financiers par échéance 2 130 381 1 026 153 1 537 623 740 979 ‐ 5 435 136 7. – Avantages au personnel et autres rémunérations . 7.1. Détail des charges de personnel  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Salaires et traitements (1) (2) -31 652 -32 099 Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies) -3 833 -3 638 Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies) -1 640 -1 548 Autres charges sociales -11 266 -11 586 Intéressement et participation -4 829 -4 818 Impôts et taxes sur rémunération -5 036 -5 157 Total charges de personnel -58 256 -58 846 (1) Dont indemnités liées à la retraite pour 267 milliers d'euros au 31 décembre 2019 contre 438 milliers d'euros au 31 décembre 2018 (2) Dont médailles du travail pour 35 milliers d'euros au 31 décembre 2019 contre 15 milliers d'euros au 31 décembre 2018 7.2. Effectif moyen de la période  : Effectif moyen 31/12/2019 31/12/2018 France 774 771 Étranger 14 15 Total 788 786 7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies . — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer. 7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies  : — Variation dette actuarielle  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle au 31/12/N-1 20 231 ‐ 20 231 19 187 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Coût des services rendus sur l'exercice 1 431 ‐ 1 431 1 367 Coût financier 285 ‐ 285 261 Cotisations employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime -1 435 ‐ -1 435 ‐ Variations de périmètre -68 ‐ -68 -45 Prestations versées (obligatoire) -655 ‐ -655 -816 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) -514 ‐ -514 393 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) 1 220 ‐ 1 220 -116 Dette actuarielle au 31/12/N 20 495 ‐ 20 495 20 231 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience Dans le cas de la Caisse régionale, la modification de régime induite par la loi Pacte engendre une réduction de la dette actuarielle, ce qui génère, pour l’organisme ADICAM, au titre du « Coût des services passés » une charge comptabilisée au résultat de - 1 434,50 milliers d’euros. — Détail de la charge comptabilisée au résultat : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Coût des services -4 ‐ -4 1 367 Charge/produit d'intérêt net 3 ‐ 3 40 Impact en compte de résultat au 31/12/N -1 ‐ -1 1 407 Détail des gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Réévaluation du passif (de l'actif) net Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables au 31/12/N-1 4 450 ‐ 4 450 4 223 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels sur l'actif 42 ‐ 42 -50 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) -514 ‐ -514 393 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) 1 220 ‐ 1 220 -116 Ajustement de la limitation d'actifs ‐ ‐ ‐ ‐ Total des éléments reconnus immédiatement en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres au 31/12/N 748 ‐ 748 227 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience Variation de juste valeur des actifs  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Juste valeur des actifs au 31/12/N-1 17 740 ‐ 17 740 16 689 Ecart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Intérêt sur l'actif (produit) 282 ‐ 282 221 Gains/(pertes) actuariels -42 ‐ -42 50 Cotisations payées par l'employeur 567 ‐ 567 1 641 Cotisations payées par les employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre -68 ‐ -68 -45 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Prestations payées par le fonds -655 ‐ -655 -816 Juste valeur des actifs au 31/12/N 17 824 ‐ 17 824 17 740 — Position nette  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle fin de période 20 495 ‐ 20 495 20 231 Impact de la limitation d'actifs ‐ ‐ ‐ ‐ Juste valeur des actifs fin de période -17 824 ‐ -17 824 -17 740 Position nette (passif) / actif fin de période -2 671 ‐ -2 671 -2 491 — Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Zone euro Hors zone euro Zone euro Hors zone euro Taux d'actualisation (1) 1,42% 0,00% 1,40% 0,00% Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement 1,58% 0,00% 1,34% 0,00% Taux attendus d'augmentation des salaires 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% Taux d'évolution des coûts médicaux 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% (1) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de rotation du personnel. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice iboxx AA. — Information sur les actifs des régimes - Allocations d'actifs (1)  : ( En milliers d'Euros ) Zone euro Hors zone euro Toutes zones En % En montant Dont coté En % En montant Dont coté En % En montant Dont coté Actions 10,29% 1 834 ‐ 0,00% ‐ ‐ 10,29% 1 834 ‐ Obligations 82,81% 14 760 ‐ 0,00% ‐ ‐ 82,81% 14 760 ‐ Immobilier 6,90% 1 230 0,00% ‐ 6,90% 1 230 Autres actifs 0,00% ‐ 0,00% ‐ 0,00% ‐ (1) Dont juste valeur des droits à remboursement Au 31 décembre 2019, les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : — une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de 5,63% ; — une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de 6,21%. 7.5. Autres avantages sociaux . — Les provisions constituées par la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 639 milliers d’euros à la fin de l’exercice 2019. 7.6. Rémunérations de dirigeants . — La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 695 milliers d’euros. 8. – Contrats de location . 8.1. Contrats de location dont le Groupe est preneur . — Le poste « Immobilisations corporelles d’exploitation » au bilan est composé d'actifs détenus en propre et d'actifs loués qui ne remplissent pas la définition d'immeubles de placement. ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Immobilisations corporelles détenues en propre 25 542 27 380 Droits d'utilisation des contrats de location 1 590 Total Immobilisations corporelles d'exploitation 27 132 27 380 La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est également preneuse dans des contrats de location de matériel informatique (photocopieurs, ordinateurs, …) pour des durées de 1 à 3 ans. Ces contrats sont de faible valeur et/ou de courte durée. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a choisi d’appliquer les exemptions prévues par IFRS 16 et de ne pas comptabiliser au bilan de droit d’utilisation et de dette locative sur ces contrats. Variation des actifs au titre du droit d’utilisation . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est preneuse de nombreux actifs dont des véhicules, des agences et du matériel informatique. Les informations relatives aux contrats dont la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est preneuse sont présentées ci-dessous : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 01/01/2019 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecarts de conversion Autres mouvements 31/12/2019 Immobilier : Valeur brute ‐ 1 729 ‐ 136 -89 ‐ 1 776 Amortissements et dépréciations ‐ ‐ -186 ‐ ‐ ‐ -186 Total immobilier ‐ 1 729 ‐ -50 -89 ‐ ‐ 1 590 Mobilier : Valeur brute ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amortissements et dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total mobilier ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Droits d'utilisation ‐ 1 729 ‐ -50 -89 ‐ ‐ 1 590 — Echéancier des dettes locatives  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Total Dettes locatives Dettes locatives 176 410 129 715 — Détail des charges et produits de contrats de location  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Charges d'intérêts sur dettes locatives -5 Total Intérêts et charges assimilées (PNB) -5 Charges relatives aux contrats de location court terme -325 Charges relatives aux contrats de location de faible valeur -1 014 Charges relatives aux paiements de loyers variables exclus de l'évaluation de la dette ‐ Produits de sous-location tirés d'actifs au titre de droits d'utilisation ‐ Profits ou pertes résultant de transactions de cession-bail ‐ Profits ou pertes résultant de modifications de contrats de location ‐ Total Charges générales d'exploitation -1 339 Dotations aux amortissements sur droits d'utilisation -186 Total Dotations aux amortissements des immobilisations corporelles -186 Total Charges et produits de contrats de location -1 530 — Montants des flux de trésorerie de la période  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Total des sorties de trésorerie relatives aux contrats de location -1 344 8.2. Contrats de location dont le Groupe est bailleur . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée propose à ses clients des activités de location qui prennent la forme de contrats de crédit-bail, de location avec option d’achat, de location financière, ou de location longue durée. Les contrats de location sont classés en contrats de location financement lorsque les termes du contrat de location transfèrent en substance la quasi-totalité des risques et avantages inhérents à la propriété au preneur. Les autres contrats de location sont classés en location simple. Produits de contrats de location : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 31/12/2018 Location-financement ‐ Profits ou pertes réalisés sur la vente ‐ Produits financiers tirés des créances locatives ‐ Produits des paiements de loyers variables ‐ Location simple 349 303 Produits locatifs 349 303 9. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties . — Engagements donnés et reçus  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Engagements donnés 761 191 712 150 Engagements de financement 441 250 429 978 Engagements en faveur des établissements de crédit ‐ ‐ Engagements en faveur de la clientèle 441 250 429 978 Ouverture de crédits confirmés 174 931 159 208 Ouverture de crédits documentaires 29 ‐ Autres ouvertures de crédits confirmés 174 902 159 208 Autres engagements en faveur de la clientèle 266 319 270 770 Engagements de garantie 319 941 282 172 Engagements d'ordre des établissements de crédit 128 696 128 696 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires ‐ ‐ Autres garanties (1) 128 696 128 696 Engagements d'ordre de la clientèle 191 245 153 476 Cautions immobilières 12 815 17 077 Autres garanties d'ordre de la clientèle 178 430 136 399 Engagements reçus 1 462 149 1 359 876 Engagements de financement 12 882 12 882 Engagements reçus des établissements de crédit 12 882 12 882 Engagements reçus de la clientèle ‐ ‐ Engagements de garantie 1 449 267 1 346 994 Engagements reçus des établissements de crédit 195 383 156 767 Engagements reçus de la clientèle 1 253 884 1 190 227 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées 261 834 249 808 Autres garanties reçues 992 050 940 419 (1) Dont 126 009 milliers d’euros relatifs à la garantie Switch Assurance mise en place le 1er juillet 2016, en amendement de la garantie précédente octroyée depuis le 2 janvier 2014 pour 327 349 milliers d’euros — Instruments financiers remis et reçus en garantie  : ( En milliers d'Euros ) 31/12/2019 31/12/2018 Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés)  : Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (Banque de France, CRH …) 1 265 143 1 244 815 Titres prêtés ‐ ‐ Dépôts de garantie sur opérations de marché ‐ ‐ Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Titres et valeurs donnés en pension ‐ ‐ Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie 1 265 143 1 244 815 Valeur comptable des actifs financiers reçus en garantie  : Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés Titres empruntés ‐ ‐ Titres et valeurs reçus en pension ‐ ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés ‐ ‐ Au 31 décembre 2019 la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a pas utilisé les titres souscrits auprès des "FCT Crédit Agricole Habitat" comme dispositif de refinancement . Créances apportées en garantie . — Au cours de l’année 2019, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 1 265 143 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 244 815 milliers d’euros en REF AnnéeN_1 \h \* MERGEFORMAT 2018 . La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté : 719 471 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 740 081 milliers d’euros en REF AnnéeN_1 \h \* MERGEFORMAT 2018 ; 106 543 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 117 934 milliers d’euros en REF AnnéeN_1 \h \* MERGEFORMAT 2018 ; 439 129 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 386 800 milliers d’euros en REF AnnéeN_1 \h \* MERGEFORMAT 2018 . Garanties détenues et actifs reçus en garantie . — La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis. 10. – Juste valeur des instruments financiers . La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation. La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion “d’ exit price ”). Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des données de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs. Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique . Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés. La hiérarchie de juste valeur des actifs et passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13. Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers cotés sur un marché actif. Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données et reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs et passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté. Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé. Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment : des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux du marché ; des actifs ou passifs à court terme pour lesquels il est considéré que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ; des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ; des actifs ou passifs exigibles à vue ; des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables. 10.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût amorti . — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur  : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2019 Juste valeur au 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 5 655 063 5 654 327 ‐ 630 517 5 023 810 Prêts et créances sur les établissements de crédit 402 981 401 461 ‐ 401 461 ‐ Comptes ordinaires et prêts JJ 193 372 193 372 ‐ 193 372 ‐ Comptes et prêts à terme 209 452 207 932 ‐ 207 932 ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 157 157 ‐ 157 ‐ Autres prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 5 252 082 5 252 866 ‐ 229 056 5 023 810 Créances commerciales 9 569 9 569 ‐ ‐ 9 569 Autres concours à la clientèle 5 226 967 5 227 816 ‐ 213 575 5 014 241 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 5 753 5 688 ‐ 5 688 ‐ Comptes ordinaires débiteurs 9 793 9 793 ‐ 9 793 ‐ Titres de dettes 176 910 195 229 194 607 622 ‐ Effets publics et valeurs assimilées 106 992 123 430 123 430 ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 69 918 71 799 71 177 622 ‐ Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 831 973 5 849 556 194 607 631 139 5 023 810 (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2018 Juste valeur au 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 5 298 943 5 270 604 ‐ 478 837 4 791 767 Prêts et créances sur les établissements de crédit 345 847 345 162 ‐ 345 162 ‐ Comptes ordinaires et prêts JJ 133 422 133 422 ‐ 133 422 ‐ Comptes et prêts à terme 212 212 210 327 ‐ 210 327 ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 213 1 413 ‐ 1 413 ‐ Autres prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 4 953 096 4 925 442 ‐ 133 675 4 791 767 Créances commerciales 9 646 7 348 ‐ ‐ 7 348 Autres concours à la clientèle 4 927 149 4 901 793 ‐ 117 374 4 784 419 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 5 525 5 525 ‐ 5 525 ‐ Comptes ordinaires débiteurs 10 776 10 776 ‐ 10 776 ‐ Titres de dettes 190 507 204 424 203 791 633 ‐ Effets publics et valeurs assimilées 112 802 125 903 125 903 ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 77 705 78 521 77 888 633 ‐ Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 489 450 5 475 028 203 791 479 470 4 791 767 — Passifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur  : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2019 Juste valeur au 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 3 195 459 3 299 142 ‐ 3 299 142 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptes et emprunts à terme 3 195 459 3 299 142 ‐ 3 299 142 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 285 948 2 285 948 ‐ 2 267 815 18 133 Comptes ordinaires créditeurs 1 779 277 1 779 277 ‐ 1 779 277 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 18 133 18 133 ‐ ‐ 18 133 Autres dettes envers la clientèle 488 538 488 538 ‐ 488 538 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 170 613 183 969 13 979 169 990 ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 652 020 5 769 059 13 979 5 736 947 18 133 (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2018 Juste valeur au 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 2 946 527 3 041 290 ‐ 3 041 290 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptes et emprunts à terme 2 946 527 3 041 290 ‐ 3 041 290 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 179 928 2 174 859 ‐ 2 160 775 14 084 Comptes ordinaires créditeurs 1 628 369 1 628 350 ‐ 1 628 350 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 14 084 14 084 ‐ ‐ 14 084 Autres dettes envers la clientèle 537 475 532 425 ‐ 532 425 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 173 075 188 275 15 334 172 941 ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 299 530 5 404 424 15 334 5 375 006 14 084 10.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur  : Evaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) du risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debit Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie (CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers. L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement (DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. La probabilité de défaut est en priorité directement déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides. Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation. — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 369 ‐ 369 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 369 ‐ 369 ‐ Autres actifs financiers comptabilisés à la juste valeur par résultat 98 903 96 560 1 320 1 023 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 697 ‐ 697 ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 697 ‐ 697 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 98 206 96 560 623 1 023 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 98 206 96 560 623 1 023 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 1 023 ‐ ‐ 1 023 OPCVM 97 183 96 560 623 ‐ Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers comptabilisés en capitaux propres 611 466 ‐ 611 466 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 611 466 ‐ 611 466 ‐ Actions et autres titres à revenu variable 1 488 ‐ 1 488 ‐ Titres de participation non consolidés 609 978 ‐ 609 978 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 51 769 ‐ 51 769 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 762 507 96 560 664 924 1 023 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 653 ‐ 653 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 653 ‐ 653 ‐ Autres actifs financiers comptabilisés à la juste valeur par résultat 103 467 96 436 6 022 1 009 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 692 ‐ 692 ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 692 ‐ 692 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 102 775 96 436 5 330 1 009 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 102 775 96 436 5 330 1 009 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 6 339 ‐ 5 330 1 009 OPCVM 96 436 96 436 ‐ ‐ Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ OPCVM ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers comptabilisés en capitaux propres 580 945 ‐ 580 945 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 580 945 ‐ 580 945 ‐ Actions et autres titres à revenu variable 1 098 ‐ 1 098 ‐ Titres de participation non consolidés 579 847 ‐ 579 847 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 63 998 ‐ 63 998 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 749 063 96 436 651 618 1 009 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ ‐ — Passifs financiers valorisés à la juste valeur  : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 466 ‐ 466 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 466 ‐ 466 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 131 901 ‐ 131 901 ‐ Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 132 367 ‐ 132 367 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 747 ‐ 747 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 747 ‐ 747 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 90 630 ‐ 90 630 ‐ Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 91 377 ‐ 91 377 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ ‐ — Variation du solde des instruments financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3  : Actifs financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3 : (En milliers d'Euros) Total Actifs financiers détenus à des fins de transaction Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres détenus à des fins de transaction Instruments dérivés Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe OPCVM Actions et autres titres à revenu variable Titres détenus à des fins de transaction Solde d'ouverture (01/01/2019) 1 009 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) 14 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat 14 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2019) 1 023 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ( En milliers d'Euros ) Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable OPCVM Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres de dettes Actions et autres titres à revenu variable Titres de participation non consolidés Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe OPCVM Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Titres de dettes Solde d'ouverture (01/01/2019) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 009 ‐ 1 009 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 14 ‐ 14 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 14 ‐ 14 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2019) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 023 ‐ 1 023 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ( En milliers d'Euros ) Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres Instruments dérivés de couverture Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables Instruments de dettes comptabilisés en à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actions et autres titres à revenu variable Titres de participation non consolidés Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Créances sur la clientèle Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Titres de dettes Solde d'ouverture (01/01/2019) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2019) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) ce solde inclut les gains et pertes de la période provenant des actifs détenus au bilan à la date de la clôture pour les montants suivants : Gains/ pertes de la période provenant des actifs de niveau 3 détenus au bilan en date de clôture 14 Comptabilisés en résultat 14 Comptabilisés en capitaux propres ‐ 11. – Impacts des évolutions comptables ou autres événements . L'application de la norme IFRS 16 . — L'application de la norme IFRS 16 au 1er Janvier 2019 n'a pas généré d'impact significatif dans les comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée. — Bilan Actif  : Impacts IFRS 16 au 1 er janvier 2019  : ( En milliers d'Euros ) 01/01/2019 Impact 01/01/2019 Retraité IFRS 16 Publié Caisse, banques centrales 44 341 ‐ 44 341 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 104 120 ‐ 104 120 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 653 ‐ 653 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 103 467 ‐ 103 467 Instruments dérivés de couverture 63 998 ‐ 63 998 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 580 945 ‐ 580 945 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 580 945 ‐ 580 945 Actifs financiers au coût amorti 5 489 450 ‐ 5 489 450 Prêts et créances sur les établissements de crédit 345 847 ‐ 345 847 Prêts et créances sur la clientèle 4 953 096 ‐ 4 953 096 Titres de dettes 190 507 ‐ 190 507 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 41 555 ‐ 41 555 Actifs d'impôts courants et différés 15 769 220 15 549 Comptes de régularisation et actifs divers 125 472 ‐ 125 472 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ Participations dans les entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ Immeubles de placement 4 280 ‐ 4 280 Immobilisations corporelles 29 109 1 729 27 380 Immobilisations incorporelles (1) 17 -877 894 Ecarts d'acquisition ‐ ‐ ‐ Total de l'actif 6 499 056 1 072 6 497 984 (1) L’impact IFRS 16 en immobilisations incorporelles correspond au reclassement des droits au bail de la rubrique « Immobilisations incorporelles » vers la rubrique « Immobilisations corporelles ». — Bilan Passif  : Impacts IFRS 16 au 1 er janvier 2019 : ( En milliers d'Euros ) 01/01/2019 Impact 01/01/2019 Retraité IFRS 16 Publié Banques centrales ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 747 ‐ 747 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 747 ‐ 747 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 90 630 ‐ 90 630 Passifs financiers au coût amorti 5 299 530 ‐ 5 299 530 Dettes envers les établissements de crédit 2 946 527 ‐ 2 946 527 Dettes envers la clientèle 2 179 928 ‐ 2 179 928 Dettes représentées par un titre 173 075 ‐ 173 075 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 44 229 ‐ 44 229 Passifs d'impôts courants et différés 4 448 220 4 228 Comptes de régularisation et passifs divers 100 896 852 100 044 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ Provisions 20 790 ‐ 20 790 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ Total dettes 5 561 271 1 072 5 560 199 Capitaux propres 937 786 ‐ 937 786 Capitaux propres part du Groupe 937 786 ‐ 937 786 Capital et réserves liées 162 933 162 933 Réserves consolidées 653 830 ‐ 653 830 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 89 913 89 913 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ Résultat de l'exercice 31 110 31 110 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ Total du passif 6 499 056 1 072 6 497 984 Transfert de titres. — Lors de la FTA IFRS9, les titres CARD, FI Venture et Crédit Agricole Innovations et Territoires ont été portés à tort en titres de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables et ont fait l’objet d’un transfert, à la date du 1er janvier 2019, en titres de dettes à la juste valeur par résultat pour un montant de 537 milliers d’euros. L’écart de réévaluation de -20 milliers d’euros a été inscrit en réserves lors du transfert. 12. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2019 . Date de clôture . — Les états financiers utilisés pour la préparation des états financiers consolidés sont établis à la même date que celle des états financiers du Groupe. 12.1. Information sur les filiales  : 13.1.1 . Restrictions sur les entités contrôlées . — Néant . 13.1.2 . Soutiens aux entités structurées contrôlées . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a accordé aucun soutien financier à une ou plusieurs entités structurées consolidées au 31 décembre 2019 et au 31 décembre REF AnnéeN_1 \h \* MERGEFORMAT 2018 . 13.1.3 . Opérations de titrisation et fonds dédiés . — Pour plus de détails sur ces opérations de titrisation et sur l’indication de la valeur comptable des actifs concernés et des passifs associés, il est possible de se reporter à la note 6.6 " Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue " . Les Caisses régionales depuis 2015 ont participé à plusieurs titrisations True Sale. Ces titrisations sont des RMBS français soit auto souscrits, soit placés dans le marché par le Groupe. Ces opérations se traduisent par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales et éventuellement LCL pour certains FCT, à un FCT (un par titrisation). Les FCT sont consolidés au sein du groupe Crédit Agricole . Dans le cadre de ces titrisations, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 218,4 millions d’euros aux FCT. 12.2. Composition du périmètre  : Périmètre de consolidation de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée Méthode de consolidation Implantation % de contrôle et d'intérêt 31/12/2019 31/12/2018 Établissement bancaire et financier Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCTCREDITAGRICOLE HABITAT 2015 Intégrale Globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2017 Intégrale Globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCTCREDITAGRICOLE HABITAT 2018 Intégrale Globale France 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2019 Intégrale Globale France 100% Caisse Locale à vocation départementale des P.0 Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de .ARGELES - ST ANDRE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale LA C.ANTERRANE - SUD REART Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale COTE VERMEILLE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale PORTE DE LA. SALANQUE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de LA FOSSEILLE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de CANE- - STE MARE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de -E- - FENDU LLEDES Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de FOR-E DU VALLESPIR Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de PLAINE DU -ECH Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de l'AGLY - FENOUILLDES-VERDOUBLE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale FORCA - REAL Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de PERPIGNAN Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de THUIR Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de CONFLENT- FENOUILLEDES Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de RIVESALTAIS Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale du RIBERAL Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale des ALBERES Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale d'AGLY SALANQUE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale les RIVES DE LA BASSE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale d'ARLES S / TECH Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Local à vocation départementale de l'Ariège Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale PAYS DE FOIX ET DU CERONAIS Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de LAVELANET -OUERIGU T Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale ARIZE- LEZE Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de MIREPOIX Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de PAMIERS Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de COUSERANS Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale de SAVERDUN Intégrale Globale France 100% 100% Caisse Locale d e AX - TARASCON SUR ARIEGE Intégrale Globale France 100% 100% Au 31 décembre 2019 la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée ayant participé aux opérations de titrisation Crédit Agricole Habitat a consolidé ses quotes-parts (analyse par silo) de chacun des FCT, le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’il a cédées aux FCT. Participations et entités structurées non consolidées 13. – Participations non consolidées . Ces titres enregistrés à la juste valeur par résultat ou la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement. Ce poste s’élève à 9 218 milliers d’euros au 31 décembre 2019 contre 9 127 milliers d’euros au 31 décembre 2018. Entités non intégrées dans le périmètre de consolidation . — Les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint et sous influence notable non intégrées dans le périmètre de consolidation, sont présentées dans le tableau ci-dessous : Entités non consolidées Siège social % D'intérêt Motif d'exclusion du périmètre de consolidation 31/12/2019 31/12/2018 SCI CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE France 99,59% 99,59% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques STE IMMOBILIERE DU CREDIT ET DE LA MUTUALITE AGRICOLE France 50,00% 50,00% Seuils de significativité non atteints SCI CHATEAU DE CASTELNOU France 100,00% 100,00% Seuils de significativité non atteints SAS SUD MED IMMOBILIER France 100,00% 100,00% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques SAS SUD MED ROUSSILLON France 100,00% 100,00% Seuils de significativité non atteints SCI BLEU RESIDENCE PERPIGNAN France 35,00% 35,00% Impacts de la consolidation peu significatifs. Par ailleurs holding non consolidée SAS PL IMMOBILIER France 70,00% 70,00% Seuils de significativité non atteints OCEAN'IC France 73,89% Seuils de significativité non atteints 13.2. Informations sur les entités structurées non consolidées . — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels. Informations sur les risques associés aux intérêts détenus : — Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités  : Au 31 décembre 2019 et au 31 décembre REF AnnéeN_1 \h \* MERGEFORMAT 2018 , l’implication de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dans les tableaux ci-dessous : (En milliers d'Euros) 31/12/2019 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 560 96 560 ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 560 96 560 ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 6 117 357 ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note "Exposition au risque de crédit" et dans la note "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. En milliers d'euros 31/12/2018 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 436 96 436 ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 436 96 436 ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total Bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 7 874 568 ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note "Exposition au risque de crédit" et dans la note "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. Exposition maximale au risque de perte . — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de credit default swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to-market. L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspond au montant du notionnel et la provision sur engagements donnés au montant comptabilisé au bilan. 14. – Événements postérieurs au 31 décembre 2019 . Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch). — Crédit Agricole S.A. démantèlera le 2 mars 2020 35% du mécanisme de garantie « Switch » mis en place entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. Pour la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée, cette opération se traduira par une baisse des engagements donnés de 44,1 millions d'euros et une baisse du dépôt de garantie apporté à Crédit Agricole S.A de 14,9 millions d'euros. COVID 19. — L’épidémie de Covid-19 devrait avoir des impacts négatifs marqués sur l’économie mondiale, qui s’aggraveraient si l’épidémie n’était pas contenue rapidement. Elle entraîne des chocs d’offre et de demande, ayant pour conséquence un ralentissement prononcé de l’activité, en raison de l’impact des mesures de confinement sur la consommation et de la défiance des agents économiques, ainsi que des difficultés de production, des perturbations des chaînes d’approvisionnement dans certains secteurs, et un ralentissement de l’investissement. Il en résulterait une baisse sensible de la croissance, voire des récessions techniques dans plusieurs pays. Ces conséquences impacteraient l’activité des contreparties des banques et par ricochet des banques elles-mêmes. Le Groupe Crédit Agricole, qui a annoncé des mesures de soutien de ses clients entreprises et particuliers pendant la crise, et qui est engagé dans les mesures annoncées par les pouvoirs publics, s’attend à des impacts sur ses revenus, ainsi que sur son coût du risque, et donc sur son résultat. La Caisse Régionale Sud Méditerranée pourrait donc être impactée. L’ampleur et la durée de ces impacts sont impossibles à déterminer à ce stade. V. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés . A l'Assemblée Générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée. Opinion . — En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons effectué l'audit des comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l'exercice clos le 31 décembre 2019, tels qu'ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard du référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine, à la fin de l'exercice, de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation. L'opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit. Fondement de l'opinion  : — Référentiel d'audit : Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l'audit des comptes consolidés » du présent rapport. — Indépendance : Nous avons réalisé notre mission d'audit dans le respect des règles d'indépendance qui nous sont applicables, sur la période du 1" janvier 2019 à la date d'émission de notre rapport, et notamment nous n'avons pas fourni de services interdits par l'article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014 ou par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Justification des appréciations - Points clés de l'audit . — En application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l'audit relatifs aux risques d'anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l'audit des comptes consolidés de l'exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le contexte de l'audit des comptes consolidés pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n'exprimons pas d'opinion sur des éléments de ces comptes consolidés pris isolément. — Dépréciations des crédits sur une base individuelle  : Risque identifié Notre réponse Du fait de son activité, la caisse régionale est exposée à un risque significatif de crédit sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l'agriculture. Comme indiqué dans la note 1.2 de l'annexe aux comptes consolidés, les encours en défaut (Bucket3} sont dits dépréciés lorsque se sont produits un ou plusieurs événements qui ont un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de ces actifs financiers. Le montant de ces dépréciations correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus à maturité (incluant le principal et les intérêts). S'agissant de la détermination d'éventuelles dépréciations, la direction de la caisse régionale est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l'agriculture comme un point clé de l'audit en raison de leur importance dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles, présentées dans la note 3.1.1 de l'annexe aux comptes consolidés, qui s'élève à 127,0. M€ Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la direction pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : mené des entretiens au cours de l'exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte comptabilisation ; testé l'efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la caisse régionale relatifs à ces procédures ; analysé les hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit ; effectué des procédures analytiques sur la couverture des encours douteux par marché et par strate d'encours — Risque de crédit et estimation des pertes attendues sur les expositions n'étant pas en défaut  : Risque identifié Notre réponse Comme indiqué dans la note 1.2 de l'annexe aux comptes consolidés, la caisse régionale comptabilise des corrections de valeur au titre des pertes de crédit attendues (« Expected Credit Lasses le ou « ECL n) dès la comptabilisation initiale d'un instrument financier (crédit, titre de dette, garantie, etc.), au titre des pertes de crédit attendues sur douze mois (Racket 1) et si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, à maturité (Bucket 2). Les corrections de valeur reposent sur des estimations qui intègrent des paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d'exposition au moment du défaut tenant compte de données macro-économiques prospectives (Forward Looking) appréciées au niveau du groupe Crédit Agricole et au niveau de la caisse régionale au regard de ses propres portefeuilles de crédits. Ces corrections de valeur représentent en cumul sur les prêts et créances sur la clientèle et sur les engagements par signature au 31 décembre 2019, un montant de 40,2 M€ comme détaillé dans la note 3.1.1 de l'annexe aux comptes consolidés. Nous avons considéré qu'il s'agissait d'un point clé de l'audit des comptes consolidés en raison de : l'importance des zones de jugement entrant dans la détermination des modèles, des risques liés à la qualité des données qui les alimentent et des risques liés à leur insertion opérationnelle ; l'importance des crédits à la clientèle dans le bilan, et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit à la consommation, etc.), dont par exemple des Informations prospectives (Forard Looking central et local) ou des critères de transfert parmi les catégories d'expositions homogènes de risques (Bucket 1 et Bucket 2). Dans le cadre de notre audit des comptes consolidés, nos travaux ont consisté à : prendre connaissance, lors d'un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation du groupe Crédit Agricole, avec l'aide de leurs experts sur les modèles de dépréciations. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : les principes méthodologiques suivis pour la construction des modèles, la qualité des données utilisées pour calibrer les paramètres utilisés dans les modèles (probabilité de défaut ri PD », et perte en cas de défaut If Loss ¥ Default »ou «LGO » la gouvernance des modèles au regard des modalités de détermination et de changement des paramètres, du processus de validation indépendante et des modalités de back-testing, la réalisation de tests applicatifs ciblés sur les principales fonctionnalités de l'outil utilisé pour déterminer les corrections de valeur ; tester, par sondages, la qualité des données des expositions entrant dans le modèle de provisionnement sur la base d'un échantillon de dossiers ; tester la correcte application des principes retenus en matière de segmentation des expositions entre les catégories d'expositions homogènes de risques (Bucket 1 et Bucket 2) ; contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des dépréciations et provisions dans l'outil de provisionnement apprécier les hypothèses et la documentation fournie par la caisse régionale sur la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l'application du Foward looking; analyser l'évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l'exercice 2019. Nous avons par ailleurs apprécié le caractère approprié des informations données dans les annexes aux comptes consolidés, au regard des exigences de la norme IFRS 9 au 31 décembre 2019. Vérifications spécifiques . — Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion du conseil d'administration. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés. Nous attestons que la déclaration consolidée de performance extra-financière prévue par l'article L 225-102-1 du Code de commerce figure dans les informations relatives au groupe données dans le rapport de gestion, étant précisé que, conformément aux dispositions de l'article L. 823-10 de ce code, les informations contenues dans cette déclaration n'ont pas fait l'objet de notre part de vérifications de sincérité ou de concordance avec les comptes consolidés et doivent faire l'objet d'un rapport par un organisme tiers indépendant. Informations résultant d'autres obligations légales et réglementaires  : — Désignation des commissaires aux comptes  : Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre assemblée générale du 27 mars 2008. Au 31 décembre 2019, nos cabinets étaient dans la douzième année de leur mission sans interruption. Antérieurement, le cabinet ERNST Et YOUNG Audit était commissaire aux comptes depuis 1989. Responsabilités de la direction et des personnes constituant le gouvernement d'entreprise relatives aux comptes consolidés . Il appartient à la direction d'établir des comptes consolidés présentant une image fidèle conformément au référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes consolidés ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs. Lors de l'établissement des comptes consolidés, il incombe à la direction d'évaluer la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d'exploitation et d'appliquer la convention comptable de continuité d'exploitation, sauf s'il est prévu de liquider la caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit de suivre le processus d'élaboration de l'information financière et de suivre l'efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l'audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d'administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l'audit des comptes consolidés . — Objectif et démarche d'audit  : Il nous appartient d'établir un rapport sur les comptes consolidés. Notre objectif est d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés pris dans leur ensemble ne comportent pas d'anomalies significatives. L'assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d'assurance, sans toutefois garantir qu'un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d'erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l'on peut raisonnablement s'attendre à ce qu'elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l'article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre caisse régionale. Dans le cadre d'un audit réalisé conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : il identifie et évalue les risques que les comptes consolidés comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs, définit et met en œuvre des procédures d'audit face à ces risques, et recueille des éléments qu'il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d'une anomalie significative provenant d'une fraude est plus élevé que celui d'une anomalie significative résultant d'une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l'audit afin de définir des procédures d'audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d'exprimer une opinion sur l'efficacité du contrôle interne ; il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes consolidés ; il apprécie le caractère approprié de l'application par la direction de la convention comptable de continuité d'exploitation et, selon les éléments collectés, l'existence ou non d'une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s'appuie sur les éléments collectés jusqu'à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d'exploitation. S'il conclut à l'existence d'une incertitude significative, il attire l'attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes consolidés au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; il apprécie la présentation d'ensemble des comptes consolidés et évalue si les comptes consolidés reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle ; concernant l'information financière des personnes ou entités comprises dans le périmètre de consolidation, il collecte des éléments qu'il estime suffisants et appropriés pour exprimer une opinion sur les comptes consolidés. Il est responsable de la direction, de la supervision et de la réalisation de l'audit des comptes consolidés ainsi que de l'opinion exprimée sur ces comptes. — Rapport au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit  : Nous remettons au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit un rapport qui présente notamment l'étendue des travaux d'audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit figurent les risques d'anomalies significatives, que nous jugeons avoir été les plus importants pour l'audit des comptes consolidés de l'exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l'audit, qu'il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit la déclaration prévue par l'article 6 du règlement (LIE) n° 537-2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu'elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 à L. 822-14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le conseil d'administration remplissant les fonctions du comité d'audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège et Paris-La Défense, le 6 mars 2020. Les Commissaires aux Comptes : KPMG Département e KPMG SA : ERNST 8 YOUNG et Autres : Philippe SAINT-PIERRE Luc VALVERDE VI. — Rapport de gestion . En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

10/06/2020 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2002352
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 31 mars 2020 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex. Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D. Situation au 31/03/2020 (en milliers d'Euros) ACTIF MONTANT Caisse, banques centrales 56 564 Effets publics et valeurs assimilées 107 579 Créances sur les établissements de crédit 29 614 Opérations internes au Crédit Agricole 497 752 Opérations avec la clientèle 5 060 076 Obligations et autres titres à revenu fixe 274 668 Actions et autres titres à revenu variable 85 508 Participations et autres titres détenus à long terme 483 868 Parts dans les entreprises liées 963 Immobilisations corporelles et incorporelles 30 975 Autres actifs 166 046 Comptes de régularisation 34 719 Total Actif 6 828 332 PASSIF MONTANT Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 23 142 Opérations internes au Crédit Agricole 3 250 307 Opérations avec la clientèle 2 337 772 Dettes représentées par un titre 151 597 Autres passifs 40 951 Comptes de régularisation 144 770 Provisions pour risques et charges 60 334 Dettes subordonnées 15 389 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 39 557 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 764 513 Capital souscrit 28 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 603 058 Écarts de réévaluation  0 Provisions réglementées et subventions d'investissement  0 Report à nouveau (+/-)  0 Résultat de l'exercice 3 773 Total Passif 6 828 332 HORS-BILAN MONTANT Engagements donnés 700 777 Engagements de financement 434 022 Engagements de garantie 266 429 Engagements sur titres 326 Engagements reçus 1 383 735 Engagements de financement 11 038 Engagements de garantie 1 372 371 Engagements sur titres 326

04/03/2020 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 2000389
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 31 décembre 2019 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren : 776 179 335 Code APE 651 D. Situation au 31/12/2019 . ( En milliers d'Euros . ) Actif Montant Caisse, banques centrales 46 807 Effets publics et valeurs assimilées 107 018 Créances sur les établissements de crédit 19 345 Opérations internes au Crédit Agricole 396 167 Opérations avec la clientèle 5 023 786 Obligations et autres titres à revenu fixe 273 104 Actions et autres titres à revenu variable 95 851 Participations et autres titres détenus à long terme 482 885 Parts dans les entreprises liées 963 Immobilisations corporelles et incorporelles 30 426 Autres actifs 153 494 Comptes de régularisation 52 425 Total actif 6 682 271 Passif Montant Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 14 297 Opérations internes au Crédit Agricole 3 205 843 Opérations avec la clientèle 2 286 936 Dettes représentées par un titre 150 338 Autres passifs 42 960 Comptes de régularisation 78 608 Provisions pour risques et charges 57 741 Dettes subordonnées 14 205 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 39 557 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 791 786 Capital souscrit 28 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 603 058 Ecarts de réévaluation 0 Provisions réglementées et subventions d'investissement 0 Report à nouveau (+/-) 0 Résultat de l'exercice 31 046 Total passif 6 682 271 Hors-bilan Montant Engagements donnés 761 484 Engagements de financement 441 250 Engagements de garantie 319 940 Engagements sur titres 294 Engagements reçus 1 376 726 Engagements de financement 12 882 Engagements de garantie 1 363 550 Engagements sur titres 294

18/12/2019 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 1905057
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 30 septembre 2019 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren  : 776 179 335 Code APE 651 D. Situation au 30 septembre 2019 (en milliers d'Euros) Actif Montant Caisse, banques centrales 45 490 Effets publics et valeurs assimilées 113 260 Créances sur les établissements de crédit 17 879 Opérations internes au Crédit Agricole 377 797 Opérations avec la clientèle 4 935 916 Obligations et autres titres à revenu fixe 280 942 Actions et autres titres à revenu variable 95 842 Participations et autres titres détenus à long terme 481 808 Parts dans les entreprises liées 972 Immobilisations corporelles et incorporelles 31 350 Autres actifs 192 451 Comptes de régularisation 51 346 Total Actif 6 625 053 Passif Montant Banques centrales   Dettes envers les établissements de crédit 14 714 Opérations internes au Crédit Agricole 3 154 526 Opérations avec la clientèle 2 275 893 Dettes représentées par un titre 152 399 Autres passifs 32 556 Comptes de régularisation 97 525 Provisions pour risques et charges 50 372 Dettes subordonnées 13 159 Fonds pour Risques Bancaires Généraux (FRBG) 49 557 Capitaux propres hors FRBG (+/-) 784 352 Capital souscrit 28 057 Primes d'émission 129 625 Réserves 603 058 Écarts de réévaluation  0 Provisions réglementées et subventions d'investissement  0 Report à nouveau (+/-)  0 Résultat de l'exercice 23 612 Total Passif 6 625 053 Hors-Bilan Montant Engagements donnés 768 782 Engagements de financement 451 653 Engagements de garantie 316 839 Engagements sur titres 290 Engagements reçus 1 361 345 Engagements de financement 12 882 Engagements de garantie 1 348 173 Engagements sur titres 290

09/08/2019 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 1904105
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 30 juin 2019 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex . Numéro Siren  : 776 179 335 code APE 651 D. Situation au 30 juin 2019 (En milliers d’euros) Actif Montant Caisse, banques centrales 48 226 Effets publics et valeurs assimilées 112 671 Créances sur les établissements de crédits 21 217 Opérations interne s au Crédit a gricole 382 919 Opérations avec la clientèle 4 893 470 Obligations et autres titres à revenu fixe 280 894 Actions et autres titres à revenu variable 96 003 Participations et autres titres détenus à long terme 481 724 Parts dans les entreprises liées 972 Immobilisations corporelles et incorporelles 31 392 Autres actifs 157 503 Comptes de régularisation 46 127 Total de l’actif 6 553 118 Pa s sif Montant B anques centrales Dettes envers les établissements de crédit 15 319 Opérations interne s au Crédit a gricole 3 134 023 Comptes créditeurs de la clientèle 2 228 568 Dettes représentées par un titre 151 664 Autres passifs 33 771 Comptes de régularisation 97 537 Provisions pour risques et charges 52 267 Dettes subordonnées et titres participatif s 13 116 Fonds pour risques bancaires généraux 47 557 Capitaux propres hors FRBG 7 79 296 Capital souscrit 28 057 Primes d’émission 129 625 Réserves 603 058 Provisions règlementées et subventions d’investissemen t 0 Report à nouveau 0 Résultat de l’exercice 18 556 Total du passif 6 553 118 Hors bilan Montant Engagements donnés 771 639 Engagements de financements 446 662 Engagements de garantie 324 582 Engagements sur titres 395 Engagements reçus 1 346 227 Engagements de financements 12 882 Engagements de garantie 1 332 950 Engagements sur titres 395

10/05/2019 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 1901732
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 31 mars 2019 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex . Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D. Situation au 31 Mars 2019 (En milliers d’ E uros) Actif Montant Caisse, banques centrales 45 966 Effets publics et valeurs assimilées 113 404 Créances sur les établissements de crédits 19 394 Opérations internes au Crédit agricole 365 409 Opérations avec la clientèle 4 904 536 Obligations et autres titres à revenu fixe 174 790 Actions et autres titres à revenu variable 95 685 Participations et autres titres détenus à long terme 481 805 Parts dans les entreprises liées 972 Immobilisations corporelles et incorporelles 32 190 Autres actifs 135 679 Comptes de régularisation 52 942 Total de l’actif 6 422 772 Passif Montant Banques centrales 0 Dettes envers les établissements de crédit 16 301 Opérations internes au Crédit agricole 3 070 864 Comptes créditeurs de la clientèle 2 177 369 Dettes représentées par un titre 151 151 Autres passifs 39 691 Comptes de régularisation 95 441 Provisions pour risques et charges 50 563 Dettes subordonnées et titres participatifs 13 073 Fonds pour risques bancaires généraux 43 057 Capitaux propres hors FRBG 765 262 Capital souscrit 28 057 Primes d’émission 129 625 Réserves 603 058 Provisions règlementées et subventions d’investissement 0 Report à nouveau 0 Résultat de l’exercice 4 522 Total du passif 6 422 772 Hors - bilan Montant Engagements donnés 780 856 Engagements de financements 464 857 Engagements de garantie 315 574 Engagements sur titres 425 Engagements reçus 1 318 907 Engagements de financements 26 908 Engagements de garantie 1 291 574 Engagements sur titres 425

06/05/2019 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Comptes annuels (4.1)
Numéro d'affaire : 1901596
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital et personnels variables régies par les dispositions du Livre V du Code monétaire et financier au capital social de 28 057 377 Euros. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro SIREN : 776 179 335 C ode APE 651 D. Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2018 Comptes annuels approuvés par l'assemblée générale mixte du 27 mars 2019 A. — C omptes individuels 31 décembre 2018. Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 25 janvier 2019 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 27 mars 2019 I. — Bilan au 31 décembre 2018. (En milliers d'Euros) Actif Notes 31/12/2018 31/12/2017 Opérations interbancaires et assimilées 177 280 164 494 Caisse, banques centrales 44 341 35 063 Effets publics et valeurs assimilées 5 112 825 119 377 Créances sur les établissements de crédit 3 20 114 10 054 Op é rations internes au Crédit Agricole 3 339 208 392 806 Opérations avec la clientèle 4 4 828 940 4 642 466 Opérations sur titres 275 541 293 581 Obligations et autres titres à revenu fixe 5 179 832 197 669 Actions et autres titres à revenu variable 5 95 709 95 912 Valeurs immobilisées 515 647 510 158 Participations et autres titres détenus à long terme 6-7 482 209 478 213 Parts dans les entreprises liées 6-7 972 Immobilisations incorporelles 7 894 881 Immobilisations corporelles 7 31 572 31 064 Capital souscrit non vers é Actions propres Comptes de régularisation et actifs divers 148 754 149 406 Autres actifs 8 98 057 88 427 Comptes de régularisation 8 50 697 60 979 Total actif 6 285 370 6 152 911 Passif Notes 31/12/2018 31/12/2017 Opérations interbancaires et assimilées 15 755 8 365 Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 10 15 755 8 365 O pé rations internes au Crédit A gricole 10 2 959 112 2 968 793 Comptes créditeurs de la clientèle 11 2 180 959 2 061 094 Dettes représentées par un titre 12 150 336 150 511 Comptes de régularisation et passifs divers 113 130 110 818 Autres passifs 13 38 975 30 756 Comptes de régularisation 13 74 155 80 062 Provisions et dettes subordonnées 62 206 79 285 Provisions 14-15-16 49 785 53 648 Dettes subordonnées 18 12 421 25 637 Fonds pour risques bancaires généraux ( FRBG ) 17 40 557 38 557 Capitaux propres hors FRBG 19 763 315 735 488 Capital souscrit 28 057 28 057 Primes d'émission 129 625 129 625 Réserves 575 557 551 326 Ecarts de réévaluation Provisions réglementées et subventions d'investissement Report à nouveau -48 Résultat de l'exercice 30 124 26 480 Total passif 6 285 370 6 152 911 Hors-bilan Notes 31/12/2018 31/12/2017 Engagements donné s 712 537 730 712 Engagements de financement 25 429 978 423 769 Engagements de garantie 25 282 172 306 535 Engagements sur titres 25 387 408 Engagements reçus 1 283 659 1 194 555 Engagements de financement 25 12 882 17 962 Engagements de garantie 25 1 270 390 1 176 185 Engagements sur titres 25 387 408 Notes concernant l'Hors-bilan (autres informations) : – Opérations de change au comptant et à terme : note 22 – Opérations sur instruments financiers à terme : note 23 II. — Compte de résultat au 31 décembre 2018. (En milliers d' E uros) Notes 31/12/2018 31/12/2017 Intérêts et produits assimilés 27 138 069 151 113 Intérêts et charges assimilées 27 -60 478 -79 922 Revenus des titres à revenu variable 28 16 857 16 159 Commissions produits 29 74 812 75 760 Commissions charges 29 -18 466 -19 528 Gains ou pertes sur opérations du portefeuille de négociation 30 143 184 Gains ou pertes sur opérations du portefeuille de placement et assimilés 31 -280 -50 Autres produits d'exploitation bancaire 32 3 766 2 857 Autres charges d'exploitation bancaire 32 -1 692 -560 Produit net bancaire 152 731 146 013 Charges générales d'exploitation 33 -99 549 -98 343 Dotations aux amortissements et provisions sur immobilisations -4 785 -3 787 Résultat brut d'exploitation 48 397 43 883 Coût du risque 34 -6 923 -7 256 Résultat d'exploitation 41 474 36 627 Résultat net sur actifs immobilisés 35 -779 -2 271 Résultat courant avant impôt 40 695 34 356 Résultat exceptionnel 36 Impôts sur les bénéfices 37 -8 571 -3 876 Dotations / reprises de FRBG et provisions réglementées -2 000 -4 000 Résultat net de l'exercice 30 124 26 480 III. — Annexes. Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice. 1.1. Cadre juridique et financier . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Sont affiliées à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée, 32 Caisses locales qui constituent des sociétés coopératives ayant une personnalité juridique propre. Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l'entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est agréée, avec l'ensemble des Caisses locales qui lui sont affiliées, en qualité de banque mutualiste ou coopérative, avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est de ce fait soumise à la réglementation applicable aux établissements de crédit. Au 31 décembre 2018, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, en application de l'article L.511-30 du Code monétaire et financier, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même, 56,26 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001. Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,59 %. Par ailleurs, Crédit Agricole S.A. détient 4 378 305 actions propres au 31 décembre 2018, soit 0,15 % de son capital, contre 2 146 133 actions propres au 31 décembre 2017. Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par ailleurs, en 1988, les Caisses régionales ont consenti une garantie au bénéfice des tiers créanciers de Crédit Agricole S.A., solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. 1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole . — L'appartenance de La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée au réseau du Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes : — Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ». — Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ». — Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc.. ) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d'épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d'avances miroir) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l'utilisation de modèles de replacement et l'application de taux de marché. Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d'application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d'avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d'avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles. Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ». — Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire. — Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ». — Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du Code monétaire et financier, Crédit Agricole S.A., en sa qualité d'organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l'ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau et chaque établissement affilié bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du Code monétaire et financier ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l'introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d'un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d'assurer son rôle d'organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453. Par ailleurs le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l'année 2014 (directive BRRD et règlement sur le mécanisme de résolution unique transposés en droit français par l'ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d'assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l'économie, de protéger les déposants, et d'éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, le Conseil de résolution unique, autorité de résolution européenne, a été doté de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d'un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l'article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu'en pratique, ce mécanisme devrait s'exercer préalablement à toute mesure de résolution. L'application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n'aurait pas permis de remédier à la défaillance d'une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l'ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Dans la conduite de son action en tant qu'autorité de résolution, le Conseil de résolution unique doit respecter le principe fondamental selon lequel aucun créancier ne doit, en résolution, subir de pertes plus importantes que celles qu'il aurait subies si l'entité concernée avait été liquidée selon une procédure normale d'insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation – NCWOL – prévu à l'article L. 613-57-1 du Code monétaire et financier et à l'article 73 de la directive BRRD). La nécessité de respecter ce principe conduit Crédit Agricole S.A. à considérer que la garantie accordée en 1988 par les Caisses régionales au bénéfice des créanciers de Crédit Agricole S.A. devra être prise en compte par le Conseil de résolution unique, sans toutefois préjuger des modalités de cette prise en compte. — Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) : Suite à l'opération de simplification de la structure du Groupe qui s'est traduite par la cession des participations CCI/CCA détenues par Crédit Agricole S.A. à une société intégralement détenue par les Caisses régionales, SACAM Mutualisation, Crédit Agricole S.A. n'est plus au capital des Caisses régionales à l'issue de l'opération ; celle-ci s'est donc accompagnée de la signature de deux avenants à la Convention Cadre de la garantie Switch respectivement signés le 17 février 2016 (avenant n°2) et le 21 juillet 2016(avenant n°3) et mettant notamment fin à la garantie sur les CCI/CCA. Ce dispositif ainsi modifié a pris effet le 1er juillet 2016 et permet désormais de transférer aux Caisses régionales uniquement les exigences prudentielles des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA) dans la limite d'un plafond contractuel : on parle donc désormais des Switch Assurance. La bonne fin du dispositif reste sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l'économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. Ainsi, les garanties Switch Assurance protège Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées, moyennant le versement par les Caisses régionales d'une indemnité compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., par l'application d'une clause de retour à meilleure fortune, peut restituer les indemnisations préalablement perçues. Comptablement, les garanties sont des engagements d'hors-bilan assimilables à des garanties données à première demande. Leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d'intérêt en Produit net bancaire. En cas d'appel des garanties, ou le cas échéant lors d'un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d'indemnisation ou le produit de remboursement sont respectivement reconnus en Coût du risque. Il convient de noter que l'activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s'apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Equivalence des participations CAA. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d'estimer s'il existe un risque d'indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n'étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées , les Caisses régionales comptabilisent les effets de l'activation des garanties sous forme d'appel ou de retour à meilleure fortune. 1.3. Evénements significatifs relatifs à l'exercice 2018 . — Opération de titrisation : Le 26 avril 2018, une nouvelle opération de titrisation (FCT Crédit Agricole Habitat 2018) a été réalisée au sein du Groupe Crédit Agricole, portant sur les créances habitat des 39 Caisses Régionales. Cette transaction est le second RMBS français placé dans le marché par le Groupe. Cette opération s'est traduite par une cession de crédits à l'habitat par les 39 Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2018 » pour un montant de 1 milliard d'euros. Les titres seniors adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès d’ investisseurs européens (banques, fonds et banques centrales). Dans le cadre de cette titrisation, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a cédé, à l'origine, des crédits habitat pour un montant de 10,4 millions d'euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2018. Elle a souscrit pour 1,4 millions d'euros des titres subordonnés. — Activité des participations et filiales Au cours de l’exercice 2018, la Caisse Régionale a procédé à 2 augmentations significatives de capital dans des filiales : – Une augmentation de capital de 3,5 millions d’ euros (dont 1 million d’ euros non libérés), dans SOFILARO, société de capital Risque filiale du de la Caisse Régionale du Languedoc et intégrée dans le périmètre de consolidation du Groupe CASA. – Une augmentation de capital de 1, 236 millions d’ euros dans sa filiale immobilière Sud Med Immobilier pour reconstitution des fonds propres. — Gestion du risque de crédit : Le coût du risque global au 31 décembre 2018 est impacté par plusieurs éléments : – Au cours du mois de Décembre 2018, la CR a cédé à un prix de 3,6 millions d’ euros un portefeuille de créances en défaut pour 13,6 millions d’ euros . Cette cession de créances explique principalement la baisse du taux de CDL sur l’exercice. – Sur le dernier trimestre 2018, la Caisse Régionale a appliqué le modèle Groupe d’actualisation des flux futurs sur les créances douteuses, soit une dotation complémentaire de provision de 5,0 M€ au 31 décembre 2018. – Mise en place du nouveau modèle de calcul des provisions sous IFRS9 sur le risque latent France (sur encours sains / dégradés), s’appuyant sur les outils Bâle II de cotation des contreparties de la banque de détail et d’Entreprises de 22,2 millions d’ euros en baisse de -3,1 Millions d’€ par rapport au 31 Décembre 2017. La Caisse régionale a poursuivi en 2018, sa politique de couverture de ses risques latents avec le maintien des stress sur les encours Corporate GMS et PIM et l'ajout d'un stress conjoncturel supplémentaire sur la filière immobilière Retail. En fin d’année 2018, la Caisse régionale a créé une nouvelle filière sur le crédit consommation ainsi que sur les encours Forborne non performants, soit + 1,5 millions d’ euros . – Une provision sectorielle couvrant un risque de crédit latent sur les encours Espagne de 10,7 millions d’ euros . – Une provision pour dépréciation des biens saisis pour 16.3 millions d’ euros , dont 14,8 m€ sur les biens détenus via sa succursale de Barcelone. — Opérations d’optimisation du coût du passif : Face à un rendement du portefeuille crédits fortement pénalisé par les réaménagements, la Caisse Régionale a procédé à plusieurs opérations d’optimisation du coût de son passif. La Caisse régionale a remboursé par anticipation des avances globales consenties par Crédit Agricole S.A. pour 135 millions d’ euros au cours de l’exercice 2018 ce qui a engendré le paiement d’une soulte de 13 millions d’ euros , comptabilisée intégralement en résultat dans les comptes sociaux. En 2017, La Caisse régionale avait déjà procédé au remboursement par anticipation des avances globales consenties par Crédit Agricole S.A. pour 135 millions d’ euros ce qui avait engendré le paiement d’une soulte de 13 millions d’ euros . Ces opérations ont pour conséquence d’alléger les charges futures et ainsi d’améliorer la trajectoire prévisionnelle du PNB. — Groupement de moyens (création, principales opérations) : Dans le cadre de la coopération Bâle II, la Caisse Régionale a rejoint le GIE COBALT et récupéré les productions des caisses régionales partagées en 3 pôles de production (Sud Méditerranée, Brie Picardie et Centre Loire) pour le compte de 36 caisses régionales et la Banque Chalus . — Dotation complémentaire au FRBG : En 2018, un complément de dotation de 2 millions d’ euros a été comptabilisé. 1.4. Evénements postérieurs à l'exercice 2018 . — Aucun événement postérieur à la clôture n’est à constater pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée. Note 2. – Principes et méthodes comptables. Les états financiers de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole. Compte tenu de l'intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés. La présentation des états financiers de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement ANC 2014-03 du 26 novembre 2014 qui, à partir des exercices ouverts au 1er janvier 2015, regroupe à droit constant dans un règlement unique l'ensemble des normes comptables applicables aux établissements de crédit. Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l'exercice précédent concernent les points suivants : Règlements Date de publication par l'Etat français Date de 1ere application : exercices ouverts à compter du Applicable dans La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée Règlement ANC n°2017 ‐ 01 relatif au PCG concernant le traitement comptable des opérations de fusion et assimilées 30/12/2017 2018 Non Règlement 2018-01 relatif aux changements de méthodes comptables, changements d'estimation et correction d'erreur 20/04/2018 2018 Non Au 1er janvier 2018, deux changements de méthode comptable ont été réalisés en l'absence de nouveau texte de l'ANC. Le premier correspond à un nouveau modèle de provisionnement du risque de crédit sur les encours sains, visant à transposer le nouveau modèle de provisionnement du risque de crédit selon l'approche IFRS 9 d'estimation des pertes attendues. Le périmètre d'application de ce nouveau modèle de provisionnement concerne les encours de crédits (hors encours de leasing) ainsi que les engagements par signature, à savoir les engagements de financement et les engagements de garantie. Dans le cadre du projet IFRS 9, le Groupe a pris la décision de principe d'aligner les dispositions qu'il applique pour déterminer la dépréciation pour risque de crédit dans les comptes individuels en normes françaises à celles utilisées dans les comptes consolidés en IFRS. Cet alignement de principe reste compatible avec une application des textes existants du référentiel français : – Le principe de prudence, défini dans l'article L123-20 du Code de Commerce et repris dans l'article 121-4 du règlement 2014-03 (PCG) justifie, par nature, le provisionnement, y compris sur la base des pertes attendues. – L'article 1121-3 du règlement 2014-07 relatif aux provisions de passif (poste 7) permet de provisionner, sur la base d'« événements survenus ou en cours », les encours ayant subi une dégradation significative de leur risque de crédit ou porteurs d'un risque ab initio. – L'article 323-6 du règlement 2014-03 (PCG) relatif à l'évaluation des passifs permet de tenir compte des « événements futurs » dans l'estimation des provisions (assimilable à la composante forward-looking). – Enfin, le Règlement 2018-01 qui modifie le Règlement 2014 -07 permet le changement de méthode comptable à l'initiative de l'entreprise Les impacts liés à cet alignement seront enregistrés en capitaux propres d'ouverture. Le second changement de présentation dans le compte de résultat porte sur la reprise liée au passage du temps, ou effet de désactualisation, de la dépréciation des créances douteuses. L'article 1123-2 du règlement 2014-07 relatif aux comptes des entreprises du secteur bancaire détaille la composition du poste d'intérêts et produits assimilés figurant en produit net bancaire. Concernant l'effet de désactualisation, il laisse le choix entre un enregistrement en produit net bancaire ou en coût du risque. Le Conseil d'Etat, dans son arrêt du 10 mai 2017, a modifié la façon dont les opérations d'actualisation et de désactualisation doivent être appréhendées. En effet, il a estimé que toute dépréciation constituée conformément à l'article 2231-2 du règlement 2014-07 de l'ANC enregistre « une diminution de la valeur vénale des encours ». Cela s'applique sans distinction à toute dépréciation et donc à la part des dépréciations résultant de l'actualisation des flux futurs. Du fait de cette prise de position du Conseil d'Etat, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a adapté son suivi interne du coût du risque lié à ses créances douteuses, en alignant le traitement des reprises de dépréciations liées au passage du temps sur celui des dotations, ce qui signifie les intégrer dans son suivi du coût du risque et non plus dans son suivi du produit net bancaire. Compte tenu de cette évolution, il a été décidé de présenter en coût du risque la reprise liée au passage du temps de la dépréciation des créances douteuses à compter du 1er janvier 2018. En effet, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée considère que l'alignement avec la position prise par le Conseil d'Etat permet de fournir une meilleure information financière au sens de l'article 122-2 du règlement ANC N°2018-01 du 20 avril 2018 modifiant le règlement ANC N°2014-03 concernant les changements de méthodes, changements d'estimation et corrections d'erreurs. Ce choix sera sans impact sur les capitaux propres d'ouverture. 2.1. Créances et engagements par signature : Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Elles sont ventilées selon leur durée résiduelle ou la nature des concours : – les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ; – les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ; – les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle. Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière. Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle). Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale. En application de l'article 2131-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l'encours de crédit concerné. Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les engagements par signature comptabilisés à l'hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds. L'application du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 conduit l'entité à comptabiliser les créances présentant un risque d'impayé conformément aux règles définies dans les paragraphes suivants. L'utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d'apprécier le niveau d'un risque de crédit. Les créances et les engagements par signature sont répartis entre les encours réputés sains et les encours jugés douteux. — Créances saines : Tant que les créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles sont qualifiées de saines et elles demeurent dans leur poste d'origine. — Provisions au titre du risque de crédit sur les encours sains : La Caisse Régionale de Sud Méditerranée constate au titre des expositions de crédits au passif de son bilan des provisions pour couvrir les risques de crédit attendus sur les douze mois à venir (expositions qualifiées de saines) et / ou sur la durée de vie de l’encours dès lors que la qualité de crédit de l’exposition s’est significativement dégradée (expositions qualifiées de dégradées). Ces provisions sont déterminées dans le cadre d’un processus de suivi particulier et reposent sur des estimations traduisant le niveau de perte de crédit attendue. La notion de perte de crédit attendue "ECL" . — L’ECL correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L’approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. Gouvernance et mesure des ECL . — La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres de provisionnement s’appuie sur l’organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe Crédit Agricole est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le Groupe Crédit Agricole s’appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres nécessaires au calcul des ECL. L’appréciation de l’évolution du risque de crédit s’appuie sur un modèle d’anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, doivent être retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut. Ces calculs s’appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu’ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. L’approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut ("Loss Given Default" ou "LGD"). Les modalités de calcul de l’ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : prêts et créances sur la clientèle et engagements de financement. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie, et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d’une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l’exposition est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu’il y ait défaillance. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l’encours. Les paramètres de provisionnement sont mesurés et mis à jour selon les méthodologies définies par le Groupe Crédit Agricole et permettent ainsi d’établir un premier niveau de référence, ou socle partagé, de provisionnement. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives (Forward Looking) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : – au niveau du Groupe Crédit Agricole dans la détermination d’un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l’horizon d’amortissement des opérations ; – au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. La Caisse Régionale de Sud Méditerranée applique des paramètres complémentaires pour le Forward Looking sur des portefeuilles de prêts et créances sur la clientèle et d’engagement de financement sains et dégradés pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l’exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe. — Dégradation significative du risque de crédit : La Caisse Régionale de Sud Méditerranée apprécie, pour chaque encours, la dégradation du risque de crédit depuis l’origine à chaque date d’arrêté. Cette appréciation de l’évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque. La détérioration relative doit être appréciée en amont de la survenance d’une défaillance avérée (encours douteux). Afin d’apprécier la dégradation significative, le Groupe Crédit Agricole prévoit un processus basé sur 2 niveaux d’analyse : – un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s’imposent aux entités du Groupe ; – un deuxième niveau propre à chaque entité lié à l’appréciation, à dire d’expert au titre des paramètres complémentaires pour le Forward Looking pour lesquels les éléments conjoncturels et/ou structurels locaux l’exposent à des pertes complémentaires non-couvertes par les scenarios définis au niveau du Groupe, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement d’encours sains à encours dégradés (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque encours. Aucune contagion n’est requise pour le passage de sain à dégradé des encours d’une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l’évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d’une garantie de l’actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L’origine s’entend comme la date de négociation, lorsque l’entité devient partie aux dispositions contractuelles du crédit. Pour les engagements de financement et de garantie, l’origine s’entend comme la date d’engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d’impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en encours dégradé. Pour les encours évalués à partir d’un dispositif de notations internes (en particulier les expositions suivis en méthodes avancées), le groupe Crédit Agricole considère que l’ensemble des informations intégrées dans ce dispositif permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d’impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l’origine cesse d’être constatée, la provision peut être ramenée à des pertes attendues à 12 mois (reclassement en encours sains). Lorsque certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne sont pas identifiables au niveau d’un encours pris isolément, une appréciation est faite de la dégradation significative pour des portefeuilles, des ensembles de portefeuilles ou des portions de portefeuille d’encours. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : – le type d’encours ; – la note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d’un système de notation interne) ; – le type de garantie ; – la date de comptabilisation initiale ; – la durée à courir jusqu’à l’échéance ; – le secteur d’activité ; – l’emplacement géographique de l’emprunteur ; – la valeur du bien affecté en garantie par rapport à l’actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; – le circuit de distribution, l’objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d’encours pour apprécier sur base collective les variations du risque de crédit peut évoluer en présence de nouvelles informations. Les dotations et reprises des provisions au titre du risque du crédit sur les encours sains et dégradés sont inscrites en coût du risque. — Créances douteuses : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l'une des situations suivantes : – Il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins, – La situation d'une contrepartie présente des caractéristiques telles qu'indépendamment de l'existence de tout impayé, on peut conclure à l'existence d'un risque avéré, – Il existe des procédures contentieuses entre l'établissement et sa contrepartie. Pour les découverts, l'ancienneté de l'impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l'établissement ou qu'il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l'établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu'il a tiré des montants sans autorisation de découvert. Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l'établissement peut décompter l'ancienneté de l'impayé lorsque le découvert a fait l'objet de la part de l'établissement d'une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur. Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis. – Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises. – Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé. Pour les créances douteuses, l'enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise. Le classement en encours douteux peut être abandonné dès lors que le risque de crédit avéré est définitivement levé et lorsque les paiements ont repris de manière régulière pour les montants correspondant aux échéances contractuelles d'origine. Dans ce cas, l'encours est porté à nouveau en encours sain. — Dépréciations au titre du risque de crédit sur les encours douteux : Dès lors qu'un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l'actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux d'intérêt effectif, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. — Traitement comptable des dépréciations : Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non-recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque. Conformément à l’article 2231-3 du règlement ANC 2014-07 le Groupe a fait le choix d’enregistrer en coût du risque l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de la dépréciation du fait du passage du temps. — Passage en perte : L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d'experts, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu'elle a de son activité. Les créances devenues irrécouvrables sont inscrites en pertes et les dépréciations correspondantes font l'objet d'une reprise. — Risques-pays : Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués du montant total des engagements non compromis, de bilan ou d'hors-bilan , portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays. — Créances restructurées : Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l'établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.) afin de permettre aux contreparties d'honorer le paiement des échéances. Elles concernent les créances classées en douteuses et les créances saines, au moment de la restructuration. Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d'insolvabilité. La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l'enregistrement d'une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d'origine. Elle est égale à l'écart constaté entre – La valeur nominale du prêt ; – Et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d'intérêt effectif d'origine (défini à la date de l'engagement de financement). La décote constatée lors d'une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Les crédits restructurés du fait de la situation financière du débiteur font l'objet d'une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Lorsqu'après un retour en encours sain, le débiteur ne respecte pas les échéances fixées, les encours restructurés sont immédiatement déclassés en encours douteux. 2.2. Portefeuille Titres : Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par les articles 2311-1 à 2391-1 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) ainsi que par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe. Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable. Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition. — Titres de placement : Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres. Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus. — Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, coupon couru à l'achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre. Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ». — Actions et autres titres à revenu variable : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ». Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique. A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d'acquisition et la valeur de marché. Ainsi, lorsque la valeur d'inventaire d'une ligne ou d'un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l'article 2514-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, prenant la forme d'achats ou de ventes d'instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées. En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres : – s'il s'agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose d'informations particulières sur la situation financière de l'émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ; – s'il s'agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré). Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne. Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat. — Titres d'investissement : Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d'une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu'à leur échéance et n'est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu'à leur échéance. Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d'acquisition et coupons inclus. La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre. Il n'est pas constitué de dépréciation des titres d'investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l'émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières, du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ». En cas de cession de titres d'investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l'établissement n'est plus autorisé, pendant l'exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d'investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément à l'article 2341-2 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. — Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme : – Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable. – Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu'elle permet d'exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d'en assurer le contrôle. – Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l'intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l'entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus. Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition frais inclus. A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d'utilité. Celle-ci représente ce que l'établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention. L'estimation de la valeur d'utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l'entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre. Lorsque la valeur d'utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l'objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes. Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ». — Prix de marché : Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante : – les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent, – si le marché sur lequel le titre est négocié n'est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n'est pas côté , la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu'il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel. — Dates d'enregistrement : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée enregistre les titres classés en titres d'investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation. — Pensions livrées : Les titres donnés en pension livrée sont maintenus au bilan et le montant encaissé, représentatif de la dette à l'égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan. Les titres reçus en pension livrée ne sont pas inscrits au bilan mais le montant décaissé, représentatif de la créance sur le cédant, est enregistré à l'actif du bilan. Les titres donnés en pension livrée font l'objet des traitements comptables correspondant à la catégorie de portefeuille dont ils sont issus. — Reclassement de titres : Conformément aux articles 2381-1 à 2381-5 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, il est autorisé d'opérer les reclassements de titres suivants : – du portefeuille de transaction vers le portefeuille d'investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l'établissement a l'intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu'à l'échéance, – du portefeuille de placement vers le portefeuille d'investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas opéré, en 2018, de reclassement au titre du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. 2.3. Immobilisations . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 par rapport à l'amortissement et à la dépréciation des actifs. Il applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l'ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte, la base amortissable tient compte de l'éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Le règlement de l'ANC n° 2015-06 modifie la comptabilisation au bilan du mali technique de fusion ainsi que son suivi dans les comptes sociaux. Le mali ne doit plus être comptabilisé globalement et systématiquement au poste « Fonds commercial » ; il doit être comptabilisé au bilan selon les rubriques d'actifs auxquelles il est affecté en « Autres immobilisations corporelles, incorporelles, financières… ». Le mali est amorti, déprécié, sorti du bilan selon les mêmes modalités que l'actif sous-jacent. Le coût d'acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d'achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l'acquisition pour la mise en état d'utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ». Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition. Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'achèvement. A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation. Les immobilisations sont amorties en fonction de leur durée estimée d'utilisation. Les composants et durées d'amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée, pour donner suite à l'application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d'amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d'amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 25 ans Second œuvre 8 à 20 ans Installations techniques 5 à 15 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans (linéaire) Matériel spécialisé 4 à 5 ans (linéaire) Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante. 2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle . — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée résiduelle ou la nature de ces dettes : – dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit, – comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole, – comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière). Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie. Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. 2.5. Dettes représentées par un titre : Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables et emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ». Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ». Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes : – soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er Janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10 % du prix d'émission ; – soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er Janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10 % du prix d'émission. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique également la méthode d'étalement des frais d'emprunts dans ses comptes individuels. Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ». 2.6. Provisions . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 pour la comptabilisation et l'évaluation des provisions. Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers. Les provisions incluent également les risques-pays. L'ensemble de ces risques fait l'objet d'un examen trimestriel. Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d'opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement. La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d'une part, à l'obligation de rémunérer l'épargne dans le futur à un taux fixé à l'ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d'autre part, à l'octroi d'un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d'épargne-logement à un taux déterminé fixé à l'ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l'ensemble des comptes d'épargne-logement, sachant qu'il n'y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : – le comportement des souscripteurs, ainsi que l'estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d'observations historiques de longue période. – la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. — Provision pour risques sur GIE d'investissement : Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net. 2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.) . — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire. Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice. La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a constitué une provision dont le stock s'élève à 40,6 millions d'euros au 31.12.2018. 2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels . — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions du Titre 5 Les instruments financiers à terme du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits à l'hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours. Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie : — Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable. Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont inscrits prorata temporis dans la rubrique « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés. — Opérations de marché : Les opérations de marché regroupent : - les positions ouvertes isolées (catégorie « a » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07), - la gestion spécialisée d'un portefeuille de transaction (catégorie « d » article 2522 du règlement ANC 2014-07). Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture. Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s'il existe un marché actif, ou à l'aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l'absence de marché actif. Pour les instruments : - en position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé ; - en position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, seules les pertes latentes éventuelles sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement ; - faisant partie d'un portefeuille de transaction, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé. — Risque de contrepartie sur les dérivés : Conformément au règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée intègre l'évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories A et D de l'article 2522-1. du règlement précité) font l'objet d'un calcul de CVA. Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l'utilisation de données d'entrée observables. Elle repose : – prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels, – en l'absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d'une approximation fondée sur la base d'un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. — Opérations complexes : Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d'instruments (de types, natures et modes d'évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d'une réglementation explicite et qui implique, de la part de l'établissement, un choix de principe. 2.9. Opérations en devises : Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche. Les produits perçus et les charges payées sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture. 2.10. Intégration des succursales à l'étranger . — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées. Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques. Les règles de conversion en euros sont les suivantes : - les postes de bilan sont convertis au cours de clôture, - les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture. Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ». 2.11. Engagements hors-bilan . — L'hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus. Le cas échéant, les engagements donnés font l'objet d'une provision lorsqu'il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. L'hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie. Ces éléments sont toutefois détaillés dans l'annexe aux notes 25 et 26. 2.12. Participation des salariés aux fruits de l'expansion et intéressement . — La participation des salariés aux fruits de l'expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né. L'intéressement est couvert par l'accord du 21 juin 2017. La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ». Avantages au personnel postérieurs à l'emploi — Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d'indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a appliqué, à compter du 1er janvier 2013, la recommandation 2013-02 de l'Autorité des normes comptables du 07 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d'évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014. En application de ce règlement, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Ces engagements sont évalués en fonction d'un ensemble d'hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d'activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l'exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a opté pour la méthode 2 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatés au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation. Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l'exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime, par conséquent le montant de la provision est égal à : – la valeur actuelle de l'obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement, – majorée des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler, – diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d'assurance éligible. Dans le cas où l'obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l'obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). — Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n'ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n'ont pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l'exercice écoulé. Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « Frais de personnel ». 2.14. Souscription d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise . — Les souscriptions d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 20 %, ne comportent pas de période d'acquisition des droits mais sont grevées d'une période d'incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d'actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital. 2.15. Charges et produits exceptionnels . — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée. 2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale) . — D'une façon générale, seul l'impôt exigible est constaté dans les comptes individuels. La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %. Les crédits d'impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu'ils sont effectivement utilisés en règlement de l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d'impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d'intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée constate dans ses comptes la dette d'impôt dont elle est redevable au titre de la convention fiscale qu'elle a signée avec Crédit Agricole SA. En raison de l'objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d'Impôt pour la Compétitivité et l'Emploi (CICE), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d'Impôt pour la Compétitivité et l'Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel et non en diminution de l'impôt. Note 3. – Créances sur les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle . (En milliers d' E uros) 31/12/2018 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Établissements de crédit Comptes et prêts : A vue 4 802 4 802 4 802 2 412 A terme 78 15 004 15 082 17 15 099 7 427 Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 56 157 213 213 215 Total 4 880 56 15 161 20 097 17 20 114 10 054 Dépréciations Valeur nette au bilan 20 114 10 054 Opérations internes au Crédit Agricole Comptes ordinaires 127 075 127 075 127 075 174 195 Comptes et avances à terme 725 1 613 97 867 110 043 210 248 1 885 212 133 218 611 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Total 127 800 1 613 97 867 110 043 337 323 1 885 339 208 392 806 Dépréciations Valeur nette au bilan 339 208 392 806 Total 359 322 402 860 Commentaires: Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 213 milliers d'euros. Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n'est éligible au refinancement de la banque centrale. Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse Régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes. Note 4 . – Opérations avec la clientèle . 4.1. Opérations avec la clientèle - analyse par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Créances commerciales 6 273 521 733 2 230 9 757 9 757 11 355 Autres concours à la clientèle 260 859 412 914 1 582 694 2 663 328 4 919 795 26 799 4 946 594 4 765 279 Valeurs reçues en pension livrée Comptes ordinaires débiteurs 22 593 22 593 92 22 685 23 522 Dépréciations -150 096 -157 690 Valeur nette au bilan 4 828 940 4 642 466 Commentaires : Aucun prêt subordonné et participatif ne sont consentis à la clientèle. Parmi les créances sur la clientèle 740 158 milliers d'euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2018 contre 715 723 milliers d'euros au 31 décembre 2017. Le montant des créances restructurées pour difficultés financières inscrites en encours douteux au moment de la restructuration s'élève à 25 385 milliers d’euros au 31 décembre 2018 contre 30 008 milliers d'euros au 31 décembre 2017. Elles conservent la qualification de « créances restructurées » jusqu'à la fin de leur vie. 4.2. Opérations avec la clientèle - Analyse par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 France (y compris DOM-TOM) 4 678 190 4 472 638 Autres pays de L'U.E. 269 073 293 003 Autres pays d'Europe 2 036 2 335 Amérique du Nord 1 810 2 002 Amérique Centrale et du Sud 105 127 Afrique et Moyen-Orient 807 733 Asie et Océanie (hors Japon) 124 4 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 4 952 145 4 770 842 Créances rattachées 26 891 29 314 Dépréciations -150 096 -157 690 Valeur nette au bilan 4 828 940 4 642 466 4.3. Opérations avec la clientèle - Encours douteux et dépréciations par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis France (y compris DOM-TOM) 4 700 564 135 151 106 665 -95 829 -81 042 4 497 749 152 631 126 961 -102 188 -92 251 Autres pays de L'U.E. 273 563 85 629 76 756 -54 245 -52 058 297 177 93 370 80 596 -55 497 -51 206 Autres pays d'Europe 2 038 2 337 Amérique du Nord 1 835 4 4 -4 -4 2 030 4 4 -4 Amérique Centrale et du Sud 105 127 Afrique et Moyen-Orient 807 1 1 -1 -1 733 1 1 -1 Asie et Océanie (hors Japon) 124 17 -17 3 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total 4 979 036 220 802 183 426 -150 096 -133 105 4 800 156 246 006 207 562 -157 690 -143 457 4.4. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Particuliers 2 560 363 100 736 83 692 -60 966 -55 340 2 460 876 115 556 90 930 -66 859 -58 823 Agriculteurs 372 039 13 196 12 114 -10 156 -9 551 366 316 13 799 11 551 -9 450 -8 481 Autres professionnels 724 291 53 360 43 972 -37 945 -33 298 712 155 58 169 52 296 -41 321 -39 203 Clientèle financière 86 329 1 651 827 -1 284 -755 77 613 858 858 -459 -458 Entreprises 699 727 45 977 36 946 -33 863 -28 286 635 220 51 582 45 938 -33 559 -30 503 Collectivités publiques 510 658 5 846 5 846 -5 846 -5 846 523 744 6 002 5 977 -6 002 -5 977 Autres agents économiques 25 629 36 29 -36 -29 24 232 40 12 -40 -12 Total 4 979 036 220 802 183 426 -150 096 -133 105 4 800 156 246 006 207 562 -157 690 -143 457 Note 5. – Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l' activité de portefeuille. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Transaction Placement Titres de l'activité de portefeuille Investissement Total Total Effets publics et valeurs assimilées : 111 480 111 480 117 894 Dont surcote restant à amortir 1 451 1 451 1 614 Dont décote restant à amortir -37 -37 -23 Créances rattachées 1 345 1 345 1 483 Dépréciations Valeur nette au bilan 112 825 112 825 119 377 Obligations et autres titres à revenu fixe (1): Emis par organismes publics 17 441 17 441 21 639 Autres émetteurs 1 015 162 315 163 330 176 739 Dont surcote restant à amortir 411 411 548 Dont décote restant à amortir -161 -161 -148 Créances rattachées 5 1 287 1 292 1 423 Dépréciations -12 -2 219 -2 231 -2 132 Valeur nette au bilan 1 008 178 824 179 832 197 669 Actions et autres titres à revenu variable 95 838 95 838 95 936 Créances rattachées Dépréciations -129 -129 -24 Valeur nette au bilan 95 709 95 709 95 912 Total 96 717 291 649 388 366 412 958 Valeurs estimatives 97 441 305 471 402 912 430 842 (1) Dont 16 715 milliers d'euros de titres subordonnés (hors créances rattachées) au 31 décembre 2018 et 19 550 milliers d'euros au 31 décembre 2017. Aucune cession de titres d'investissement n'est intervenue avant l'échéance conformément aux dispositions dérogatoires prévues à l'article 2341-2 du règlement ANC 2014-07. — Valeurs estimatives : – La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 728 milliers d'euros au 31 décembre 2018, contre 1 111 milliers d'euros au 31 décembre 2017. – La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse. – La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à 15 858 milliers d'euros au 31 décembre 2018, contre 18 855 milliers d'euros au 31 décembre 2017. – La valeur estimée des moins-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à -1 622 milliers d'euros au 31 décembre 2018, contre -1 307 milliers d'euros au 31 décembre 2017. 5.1. Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Administration et banques centrales (y compris Etats) 17 441 21 640 Etablissements de crédit 55 352 65 265 Clientèle financière 201 396 204 989 Collectivités locales Entreprises, assurances et autres clientèles 2 420 2 420 Divers et non ventilés Total en principal 276 609 294 314 Créances rattachées 1 292 1 423 Dépréciations -2 360 -2 156 Valeur nette au bilan 275 541 293 581 5. 2 . Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Titres à revenu fixe ou variable 180 771 111 480 95 838 388 089 198 378 117 894 95 936 412 208 Dont titres cotés 78 223 111 480 189 703 97 863 117 894 215 757 Dont titres non cotés (1) 102 548 95 838 198 386 100 515 95 936 196 451 Créances rattachées 1 292 1 345 2 637 1 423 1 483 2 906 Dépréciations -2 231 -129 -2 360 -2 132 -24 -2 156 Valeur nette au bilan 179 832 112 825 95 709 388 366 197 669 119 377 95 912 412 958 Commentaires : (1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante : OPCVM français 95 709 milliers d'euros Dont OPCVM français de capitalisation 95 709 milliers d'euros La répartition de l'ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2018 : (En milliers d'Euros) Valeur d'inventaire Valeur liquidative OPCVM monétaires 56 898 56 898 OPCVM obligataires 38 811 39 538 OPCVM actions OPCVM autres Total 95 709 96 436 5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Obligations et autres titres à revenu fixe Valeur brute 6 399 7 469 39 053 127 850 180 771 1 292 182 063 199 801 Dépréciations -2 231 -2 132 Valeur nette au bilan 6 399 7 469 39 053 127 850 180 771 1 292 179 832 197 669 Effets publics et valeurs assimilées Valeur brute 4 481 24 289 82 710 111 480 1 345 112 825 119 377 Dépréciations Valeur nette au bilan 4 481 24 289 82 710 111 480 1 345 112 825 119 377 5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Encours bruts Dont Encours douteux Encours bruts Dont Encours douteux France (y compris DOM-TOM) 250 847 264 838 Autres pays de l' U .E. 40 005 49 979 Autres pays d'Europe Amérique du Nord 1 399 1 399 1 455 1 455 Amérique Centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total en principal 292 251 1 399 316 272 1 455 Créances rattachées 2 637 821 2 906 821 Dépréciations -2 231 -2 220 -2 132 -2 130 Valeur nette au bilan 292 657 0 317 046 146 Note 6. – Titres de participation et de filiales. Informations financières (En milliers d'Euros) FILILIALES ET PARTICICPATIONS Devise Capital Capitaux propres autres que le capital Quote-part de capital détenue (%) Valeurs comptables des titres détenus Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés Montant des cautions et avals donnés par la société PNB ou chiffre d'affaires hors taxes ( à préciser) du dernier exercice écoulé Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1) Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice Brutes Nettes Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital Parts dans les entreprises liées détenues dans des Ets de crédit Participations dans des établissements de crédit Autres parts dans les entreprises liées SAS SUD MED IMMOBILIER EUR 1 434 100,00% 1 434 197 2 639 0 -198 SCI CHATEAU CASTELNOU EUR 850 1 100,00% 1 202 0 229 18 -24 Autres titres de participations SAS RUE DE LA BEOTIE EUR 2 744 903 10 117 280 1,32% 252 774 252 774 968 036 961 958 13 238 SNC SACAM MUTUALISATION EUR 18 556 677 1,02% 189 883 189 883 277 784 275 280 2 767 SAS SACAM INTERNATIONAL EUR 522 023 1,32% 11 893 8 436 0 85 139 151 SAS SACAM DEVELOPPEMENT EUR 725 471 1,35% 9 883 9 883 4 622 -7 067 -3 902 39 SAS SOFILARO EUR 25 796 6 648 12,42 % 4 781 4 379 0 1 354 90 SAS SACAM IMMOBILIER EUR 139 588 1,59% 2 216 2 216 0 5 985 91 SAS SACAM AVENIR EUR 192 189 1,10% 2 119 2 119 0 -30 136 SAS SACAM PARTICIPATIONS EUR 62 558 3 224 1,63% 1 184 1 184 370 837 SAS DELTA EUR 77 938 1,26% 1 000 1 000 0 -35 47 SAS C2MS EUR 53 053 1,15% 637 637 0 6 511 SAS SACAM FIRECA EUR 22 510 1,18% 529 210 0 -812 9 SAS CA PROTECTION ET SECURITE EUR 511 14 595 0,81% 503 503 6 530 1 927 15 SAS SACAM ASSURANCE CAUTION EUR 13 713 20 359 0,88% 422 422 0 1 825 SAS CA REGIONS DEVELOPPEMENT EUR 72 885 14 955 0,41% 399 396 0 -231 SNC CA CARDS ET PAYMENTS EUR 14 008 331 331 307 393 652 SNC CA TITRES EUR 15 245 0,57% 330 330 139 200 1 460 SA PYRENEES ROUSSILLON INVESTISSEMENT EUR 624 15 989 17,79% 111 103 0 -40 SCA COOPERATIVE CATALANE DES ELEVEURS EUR 174 13,15% 23 23 8 116 -121 Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital Parts dans les entreprises liées détenues dans des Ets de crédit Participations dans des établissements de crédit Autres parts dans les entreprises liées Autres titres de participations 2 765 2 631 1 489 23 Total parts dans les entreprises liées et participations 484 419 477 657 8 979 16 606 Sauf mention spécifique, les données présentées sont des informations au 31 décembre 2018. 6.1. Valeur estimative des titres de participation : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Parts dans les entreprises liées Titres non cotés 2 636 197 1 202 Titres cotés Avances consolidables 2 868 775 229 Créances rattachées Dépréciations -4 532 -1 431 Valeur nette au bilan 972 972 Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Titres non cotés 480 685 630 687 476 998 610 907 Titres cotés Avances consolidables 4 745 4 685 6 239 4 645 Créances rattachées 65 65 65 65 Dépréciations -4 384 -6 363 Sous-total titres de participation 481 111 635 437 476 939 615 617 Autres titres détenus à long terme Titres non cotés 1 098 1 098 1 274 1 274 Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Sous-total autres titres détenus à long terme 1 098 1 098 1 274 1 274 Valeur nette au bilan 482 209 636 535 478 213 616 891 Total des titres de participation 483 181 637 507 478 213 616 891 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Total valeurs brutes Titres non cotés 484 419 479 474 Titres cotés Total 484 419 479 474 Les valeurs estimatives sont déterminées d'après la valeur d'utilité des titres ; celle-ci n'est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant la SAS Rue La Boétie, la valeur d'utilité est de 20,85€ au 31/12/2018, et concernant SACAM Mutualisation, la valeur d'utilité est de 1 106,54€ au 31/12/2018. Note 7 . – Variation de l'actif immobilise. — Immobilisations financières : (En milliers d'Euros) 01/01/2018 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements (1) 31/12/2018 Parts dans les entreprises liées Valeurs brutes 1 202 1 237 197 2 636 Avances consolidables 229 2 342 -1 237 1 534 2 868 Créances rattachées Dépréciations -1 431 -2 721 1 351 -1 731 -4 532 Valeur nette au bilan 858 114 972 Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Valeurs brutes 476 998 3 966 -82 -197 480 685 Avances consolidables 6 239 40 -1 534 4 745 Créances rattachées 65 65 Dépréciations -6 363 -521 769 1 731 -4 384 Sous-total titres de participation 476 939 3 485 687 481 111 Autres titres détenus à long terme Valeurs brutes 1 274 425 -601 1 098 Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Sous-total autres titres détenus à long terme 1 274 425 -601 1 098 Valeur nette au bilan 478 213 3 910 687 -601 482 209 Total 478 213 4 768 801 -601 483 181 (1) La rubrique "autres mouvements" présente notamment le transfert de titres de participation vers parts dans les entreprises liées avec un impact neutre (transfert des titres et avances de notre filiale Sud Med Immobilier détenue à100 %) et le transfert des certificats d’association titre détenu à LT comptabilisés en titre obligataire d’investissement (Impact de 1ère application IFRS 9) pour 601 milliers d’euros. — Immobilisations corporelles et incorporelles : (En milliers d'Euros) 01/01/2018 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements (1) 31/12/2018 Immobilisations corporelles Valeurs brutes 134 967 5 549 -1 572 215 139 159 Amortissements et dépréciations -103 903 -5 119 1 435 -107 587 Mali technique de fusion sur immobilisations corporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 31 064 430 -137 215 31 572 Immobilisations incorporelles Valeurs brutes 4 645 31 -3 369 1 307 Amortissements et dépréciations -3 764 -18 3 369 -413 Mali technique de fusion sur immobilisations incorporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 881 13 894 Total 31 945 443 -137 215 32 466 (1) La rubrique "autres mouvements" présente notamment le transfert de 2 biens de la succursale anciennement comptabilisés en comptes de stock Marchands de biens et transférés en Immobilisations corporelles hors exploitation pour donner suite à leur mise en location pour 215 milliers d’euros. Note 8 . – Comptes de régularisation et actifs divers. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Autres actifs (1) Instruments conditionnels achetés Comptes de stock et emplois divers 16 879 21 393 Débiteurs divers (2) 81 170 67 026 Gestion collective des titres Livret de développement durable Comptes de règlement 8 8 Valeur nette au bilan 98 057 88 427 Comptes de régularisation Comptes d'encaissement et de transfert 14 497 18 533 Comptes d'ajustement et comptes d'écart 1 Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers Charges constatées d'avance 5 944 7 358 Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme 6 827 8 794 Autres produits à recevoir 22 572 25 994 Charges à répartir 12 Autres comptes de régularisation 857 287 Valeur nette au bilan 50 697 60 979 Total 148 754 149 406 (1) Les montants incluent les créances rattachées. (2) dont 476 milliers d'euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d'un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l'actif. (En milliers d'Euros) Solde au 01/01/2018 Dotations Reprises et utilisations Désactualisation Autres mouvements Solde au 31/12/2018 Sur opérations interbancaires et assimilées Sur créances clientèle 157 690 28 315 -35 224 -685 150 096 Sur opérations sur titres 2 156 260 -56 2 360 Sur valeurs immobilisées 10 190 3 667 -2 472 11 385 Sur autres actifs 24 614 3 076 -7 483 20 207 Total 194 650 35 318 -45 235 -685 184 048 Sur l'exercice 2018, la Caisse Régionale a cédé un portefeuille de créances douteuses compromises pour un montant de 13,6 millions d’€, dépréciées pour 12,4 millions d’€. Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Établissements de crédit Comptes et emprunts : A vue 416 416 416 881 A terme 56 15 280 15 336 3 15 339 7 484 Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 416 56 15 280 15 752 3 15 755 8 365 Opérations internes au Crédit Agricole Comptes ordinaires 1 635 1 635 1 635 1 782 Comptes et avances à terme 420 246 867 305 1 077 150 591 062 2 955 763 1 714 2 957 477 2 967 011 Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 421 881 867 305 1 077 150 591 062 2 957 398 1 714 2 959 112 2 968 793 Total 422 297 867 361 1 077 150 606 342 2 973 150 1 717 2 974 867 2 977 158 Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale (Cf. Cadre Juridique et Financier). Note 11 . – Comptes créditeurs de la clientèle . 11.1. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Comptes ordinaires créditeurs 1 628 350 1 628 350 19 1 628 369 1 475 361 Comptes d'épargne à régime spécial : 14 085 14 085 14 085 13 864 A vue 14 085 14 085 14 085 13 864 A terme Autres dettes envers la clientèle : 28 856 157 107 277 857 69 635 533 455 5 050 538 505 571 869 A vue 4 954 4 954 4 954 3 679 A terme 23 902 157 107 277 857 69 635 528 501 5 050 533 551 568 190 Valeurs données en pension livrée Valeur au bilan 1 671 291 157 107 277 857 69 635 2 175 890 5 069 2 180 959 2 061 094 11.2. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 France (y compris DOM-TOM) 2 080 248 1 962 290 Autres pays de L'U.E. 86 545 85 336 Autres pays d'Europe 4 451 3 842 Amérique du Nord 2 096 1 476 Amérique Centrale et du Sud 128 114 Afrique et Moyen-Orient 1 781 1 651 Asie et Océanie (hors Japon) 597 500 Japon 44 2 Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 2 175 890 2 055 211 Dettes rattachées 5 069 5 883 Valeur au bilan 2 180 959 2 061 094 11.3. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par agents économiques : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Particuliers 961 087 913 868 Agriculteurs 157 178 137 488 Autres professionnels 143 218 133 289 Clientèle financière 66 531 31 350 Entreprises 758 746 750 168 Collectivités publiques 3 455 4 591 Autres agents économiques 85 675 84 457 Total en principal 2 175 890 2 055 211 Dettes rattachées 5 069 5 883 Valeur au bilan 2 180 959 2 061 094 Note 12. – Dettes représentées par un titre. — Dettes représentées par un titre - analyse par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Bons de caisse 34 34 2 36 211 Titres du marché interbancaire Titres de créances négociables 150 000 150 000 300 150 300 150 300 Emprunts obligataires Autres dettes représentées par un titre Valeur nette au bilan 34 150 000 150 034 302 150 336 150 511 Note 13. –Comptes de régularisation et passifs divers. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Autres passifs (1) Opérations de contrepartie (titres de transaction) Dettes représentatives de titres empruntés Instruments conditionnels vendus Comptes de règlement et de négociation Créditeurs divers 37 833 30 550 Versements restant à effectuer sur titres 1 142 206 Valeur au bilan 38 975 30 756 Comptes de régularisation Comptes d'encaissement et de transfert 4 452 4 946 Comptes d'ajustement et comptes d'écart 1 Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers Produits constatés d'avance 30 473 27 977 Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme 7 837 8 899 Autres charges à payer 27 849 26 350 Autres comptes de régularisation 3 543 11 890 Valeur au bilan 74 155 80 062 Total 113 130 110 818 (1) Les montants incluent les dettes rattachées. Note 14. – Provisions . (En milliers d'Euros) Solde au 01/01/2018 Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements Solde au 31/12/2018 Provisions pour engagements de retraite et assimilés 52 -19 33 Provisions pour autres engagements sociaux 622 -15 607 Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature 1 157 2 398 -236 -1 658 1 567 3 228 Provisions pour litiges fiscaux (1) 8 -8 Provisions pour autres litiges 219 185 404 Provision pour risques pays Provisions pour risques de crédit (2) 36 795 93 760 -97 730 -1 519 31 306 Provisions pour restructurations Provisions pour impôts Provisions sur participations (3) 526 -526 Provisions pour risques opérationnels (4) 1 144 273 -143 -84 1 190 Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (5) 4 778 146 -1 4 923 Autres provisions 8 347 2 652 -2 817 -88 8 094 Valeur au bilan 53 648 99 414 -3 196 -100 129 48 49 785 (1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés. (2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles CRR/CRD4. On notera le transfert en « autres mouvements » des provisions établies sur base collective des engagements hors-bilan pour 1567 milliers d’euros et l’impact de changement de méthode au 01/01/2019 pour 48 milliers d’euros. (3) Y compris sociétés en participation, GIE, risques immobiliers de participations … (4) Cette provision est destinée à couvrir les risques d'insuffisance de conception, d'organisation et de mise en œuvre des procédures d'enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d'information de l'ensemble des événements relatifs aux opérations de l'établissement. (5) Voir note 15 ci-après Note 15. – E pargne logement. — Encours collectés au titre des comptes et plans d'épargne-logement sur la phase d'épargne : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 126 079 108 479 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 329 720 313 977 Ancienneté de plus de 10 ans 426 045 434 121 Total plans d'épargne-logement 881 844 856 517 Total comptes épargne-logement 72 478 70 244 Total encours collectes au titre des contrats épargne -logement 954 323 926 761 L'ancienneté est déterminée conformément au Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état. — Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d'épargne-logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Plans d'épargne-logement 624 840 Comptes épargne-logement 2 158 2 976 Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne -logement 2 782 3 816 — Provision au titre des comptes et plans d'épargne-logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 379 117 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 2 592 2 673 Ancienneté de plus de 10 ans 1 952 2 118 Total plans d'épargne-logement 4 923 4 908 Total comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne -logement 4 923 4 908 (En milliers d'Euros) 01/01/2017 Dotations Reprises 31/12/2018 Plans d'épargne-logement 4 908 15 4 923 Comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats épargne -logement 4 908 15 0 4 923 Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs a l'emploi, régimes à prestations définies. Les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l'emploi à un ou plusieurs membres de son personnel. Les régimes à prestations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi autres que les régimes à cotisations définies. Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n'aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n'a pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. D'autre part, la recommandation 2013-02 du 07 novembre 2013, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014, reprend les dispositions de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel, à l'exception de celles relatives aux avantages à court terme et à ceux payés sous forme d'instrument de capitaux propres. — Variations de la dette actuarielle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Dette actuarielle au 31/12/N-1 19 186 18 493 Coût des services rendus sur l'exercice 1 367 1 316 Coût financier 261 251 Cotisations employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -45 -10 Indemnités de cessation d'activité Prestations versées (obligatoire) -816 -955 (Gains) / pertes actuariels 277 91 Dette actuarielle au 31/12/n 20 230 19 187 — Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Coût des services rendus 1 367 1 316 Coût financier 261 251 Rendement attendu des actifs -221 -205 Coût des services passés (Gains) / pertes actuariels net 215 217 (Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes (Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif Charge nette comptabilisée au compte de résultat 1 622 1 580 — Variations de juste valeur des actifs des régimes : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/N-1 16 689 15 813 Rendement attendu des actifs 221 205 Gains / (pertes) actuariels 50 36 Cotisations payées par l'employeur 1 640 1 599 Cotisations payées par les employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -45 -10 Indemnités de cessation d'activité Prestations payées par le fonds -816 -955 Juste valeur des actifs / droits a remboursement au 31/12/n 17 739 16 689 Composition des actifs des régimes Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de: – 83,0% d'obligations – 9,8% d'actions – 7,2% d'autres produits — Variations de la provision : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Dette actuarielle au 31/12/N -20 230 -19 186 Impact de la limitation d'actifs (Gains)/ pertes actuariels restant à étaler 2 458 2 445 Juste valeur des actifs fin de période 17 739 16 689 Position nette (passif) / actifs au 31/12/n -33 -52 — Rendement des actifs des régimes : Le rendement attendu des actifs de régime est de 1,34%. — Hypothèses actuarielles utilisées : Au 31 décembre 2018, les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : – une variation de plus 50bp des taux d'actualisation conduirait à une baisse de l'engagement de 1,92% ; – une variation de moins de 50bp des taux d'actualisation conduirait à une hausse de l'engagement de 0,92%. Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Fonds pour risques bancaires généraux 40 557 38 557 Valeur au bilan 40 557 38 557 Note 18. – Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Dettes subordonnées à terme Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Titres et emprunts participatifs Autres emprunts subordonnés à terme 15 481 Dettes subordonnées à durée indéterminée Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Placement des fonds propres des Caisses Locales 12 416 12 416 5 12 421 10 156 Dépôts de Garantie à caractère mutuel Valeur au bilan 12 416 12 416 5 12 421 25 637 Commentaires : Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 575 milliers d'euros au 31 décembre 2018 contre 1 034 milliers d'euros au 31 décembre 2017. Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition) . — Variation des capitaux propres : (En milliers d'Euros) Capitaux propres Capital Réserve légale Réserve statutaire Primes, autres réserves et report à nouveau (1) Ecarts conversion / réévaluation Provisions réglementées & subventions d'investissement Résultat Total des capitaux propres Solde au 31/12/2016 28 057 375 343 22 884 255 765 29 430 711 479 Dividendes versés au titre de N-2 -2 471 -2 471 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-2 20 219 6 740 -26 959 Report à nouveau Résultat de l’exercice N-1 26 480 26 480 Autres variations Solde au 31/12/2017 28 057 395 562 22 884 262 505 26 480 735 488 Dividendes versés au titre de N-1 -2 249 -2 249 Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social N-1 18 173 6 058 -24 231 Report à nouveau (2) -48 -48 Résultat de l’exercice N 30 124 30 124 Autres variations Solde au 31/12/2018 28 057 413 735 22 884 268 515 30 124 763 315 Commentaires : (1) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros primes de fusion. (2) Dont 48 milliers d'euros liés au changement de méthode comptable relatif au provisionnement du risque de crédits, les engagements de financement et les engagements de garantie. Note 20. – Composition des fonds propres. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Capitaux propres 763 315 735 488 Fonds pour risques bancaires généraux 40 557 38 557 Dettes subordonnées et titres participatifs 12 421 25 637 Dépôts de garantie à caractère mutuel Total des fonds propres 816 293 799 682 Note 21. – Opérations effectuées en devises. — Contributions par devise au bilan : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Actif Passif Actif Passif Euro 6 384 645 6 201 541 6 250 171 6 062 622 Autres devises de l’Union Europ 260 260 35 35 Franc suisse Dollar 2 032 2 032 1 893 1 893 Yen Autres devises 288 288 248 248 Valeur brute 6 387 225 6 204 121 6 252 347 6 064 798 Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation 82 192 81 249 95 212 88 113 Dépréciations -184 047 -194 648 Total 6 285 370 6 285 370 6 152 911 6 152 911 Note 22. – Opérations de change, prêts et emprunts en devises. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 A recevoir A livrer A recevoir A livrer Opérations de change au comptant Devises Euros Opérations de change à terme 14 264 14 253 7 079 7 078 Devises 7 430 7 430 3 532 3 532 Euros 6 834 6 823 3 547 3 546 Prêts et emprunts en devises Total 14 264 14 253 7 079 7 078 Note 23. – Opérations sur instruments financiers à terme. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Opérations de couverture Opérations autres que de couverture Total Total Opérations fermes 2 025 754 7 802 2 033 556 2 184 307 Opérations sur marchés organisés (1) Contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations de gré à gré (1) 2 025 754 7 802 2 033 556 2 184 307 Swaps de taux d'intérêt 2 025 754 7 802 2 033 556 2 184 307 Autres contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change FRA Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations conditionnelles 55 762 55 762 80 540 Opérations sur marchés organisés Instruments de taux d'intérêt à terme Achetés Vendus Instruments sur action et indices boursiers à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Opérations de gré à gré 55 762 55 762 80 540 Options de swaps de taux Achetées Vendues Instruments de taux d'intérêts à terme Achetés Vendus Instruments de taux de change à terme Achetés 27 881 27 881 40 270 Vendus 27 881 27 881 40 270 Instruments sur actions et indices boursiers à terme Achetés Vendus Autres instruments à terme conditionnels Achetés Vendus Dérivés de crédit Contrats de dérivés de crédit Achetés Vendus Total 2 025 754 63 564 2 089 318 2 264 847 (1) Les montants indiqués sur les opérations fermes correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats). 23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) Total 31/12/2018 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change 55 762 55 762 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 142 372 947 882 943 302 142 372 947 882 943 302 Caps, F loors, C ollars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 198 134 947 882 943 302 198 134 947 882 943 302 Swaps de devises Opérations de change à terme 28 167 349 28 167 349 Sous total 28 167 349 28 167 349 Total 226 301 948 231 943 302 226 301 948 231 943 302 (En milliers d'Euros) Total 31/12/2017 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change 80 540 80 540 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 490 797 856 791 836 719 490 797 856 791 836 719 Caps, Floors, Collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 571 337 856 791 836 719 571 337 856 791 836 719 Swaps de devises Opérations de change à terme 14 158 14 158 Sous total 14 158 14 158 Total 585 495 856 791 836 719 585 495 856 791 836 719 23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur : (En milliers d'Euros) Juste Valeur Positive au 31/12/2018 Juste Valeur Négative au 31/12/2018 Encours Notionnel au 31/12/2018 Juste Valeur Positive au 31/12/2017 Juste Valeur Négative au 31/12/2017 Encours Notionnel au 31/12/2017 Futures Options de change 27 881 27 881 55 762 40 270 40 270 80 540 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 57 811 83 815 2 033 556 73 449 86 467 2 184 307 Caps, Floors, Collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 85 692 111 696 2 089 318 113 719 126 737 2 264 847 Swaps de devises Opérations de change à terme 14 264 14 252 28 516 7 080 7 078 14 158 Sous total 14 264 14 252 28 516 7 080 7 078 14 158 Total 99 956 125 948 2 117 834 120 799 133 815 2 279 005 23.3. Information sur les Swaps : — Ventilation des contrats d'échange de taux d'intérêt : (En milliers d'Euros) Position ouverte isolée Micro-couverture Macro-couverture Swaps de transaction Contrats d'échange de taux 7 802 332 068 1 693 685 Contrats assimilés (1) (1) Il s’agit des contrats assimilés au sens de l’article 2521-1 du règlement ANC 2014-07. Note 24. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits dérives . L'évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l'établissement mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l'application de facteurs de majoration (add-on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante : — Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Valeur de marché Risque de crédit potentiel * Total risque de contrepartie Valeur de marché Risque de crédit potentiel Total risque de contrepartie Risques sur les gouvernements et banques centrales de l'OCDE et organismes assimilés Risques sur les établissements financiers de l'OCDE et organismes assimilés 63 998 9 436 73 434 81 247 8 443 89 690 Risques sur les autres contreparties 308 52 360 452 67 519 Total avant effet des accords de compensation 64 306 9 488 73 794 81 631 8 510 90 141 Dont risques sur contrats de : Taux d'intérêt, change et matières premières 64 306 9 488 73 794 81 631 8 510 90 141 Dérivés actions et sur indices Total avant effet des accords de compensation 64 306 9 488 73 794 81 631 8 510 90 141 Incidences des accords de compensation et de collatérisation Total après effet des accords de compensation et de collaterisation 64 306 9 488 73 794 81 631 8 510 90 141 *calculé selon les normes prudentielles CRR / CRD4 Note 25. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Engagements donnés Engagements de financement 429 978 423 769 Engagements en faveur d'établissements de crédit Engagements en faveur de la clientèle 429 978 423 769 Ouverture de crédits confirmés 159 208 172 563 Ouverture de crédits documentaires Autres ouvertures de crédits confirmés 159 208 172 563 Autres engagements en faveur de la clientèle 270 770 251 206 Engagements de garantie 282 172 306 535 Engagements d'ordre d'établissement de crédit 128 696 126 009 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires Autres garanties (1) 128 696 126 009 Engagements d'ordre de la clientèle 153 476 180 526 Cautions immobilières 17 077 20 989 Autres garanties d'ordre de la clientèle 136 399 159 537 Engagements sur titres 387 408 Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements à donner 387 408 Engagements reçus Engagements de financement 12 882 17 962 Engagements reçus d'établissements de crédit 12 882 17 962 Engagements reçus de la clientèle Engagements de garantie 1 270 390 1 176 185 Engagements reçus d'établissements de crédit 155 005 138 722 Engagements reçus de la clientèle 1 115 385 1 037 463 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées 249 808 234 135 Autres garanties reçues 865 577 803 328 Engagements sur titres 387 408 Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements reçus 387 408 (1) Dont 126 009 milliers d'euros relatifs à la garantie (Switch Assurance) mise en place le 1 er juillet 2016, en amendement de la garantie précédente octroyée le 2 janvier 2014 pour 327 349 milliers d'euros. Note 26. – Actifs donnes et reçus en garantie. Créances apportées en garantie : Au cours de l'année 2018, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a apporté 1 244 815 milliers d'euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 187 195 milliers d'euros en 2017. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a apporté : – 740 081 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 715 508 milliers d'euros en 2017; – 117 934 milliers d'euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 132 717 milliers d'euros en 2017; – 386 799 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 338 969 milliers d'euros en 2017. Note 27. – Opérations de titrisation. En 2018 la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée a participé à la titrisation du FCT Crédit Agricole Habitat 2018, titrisation décrite au niveau de la note 1.3 Principales opérations de structure et événements significatifs de la période. Note 28. – Produits nets d' intérêts et revenus assimiles. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Sur opérations avec les établissements de crédit 596 427 Sur opérations internes au Crédit Agricole 10 085 10 315 Sur opérations avec la clientèle 116 757 129 710 Sur obligations et autres titres à revenu fixe 4 100 4 254 Produit net sur opérations de macro-couverture Sur dettes représentées par un titre 6 496 6 347 Autres intérêts et produits assimilés 35 60 Intérêts et produits assimilés 138 069 151 113 Sur opérations avec les établissements de crédit -1 198 -398 Sur opérations internes au Crédit Agricole -19 876 -41 229 Sur opérations avec la clientèle -23 459 -24 468 Charge nette sur opérations de macro-couverture -3 952 -1 976 Sur obligations et autres titres à revenu fixe Sur dettes représentées par un titre -11 941 -11 791 Autres intérêts et charges assimilées -52 -60 Intérêts et charges assimilées -60 478 -79 922 Total produits nets d' intérêts et revenus assimiles (1) 77 591 71 191 (1) Le montant des charges nettes d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2018 est de 575 milliers d'euros, il était de 1 034 milliers d'euros au 31 décembre 2017. La baisse des intérêts est liée au transfert en coût du risque de l'effet de désactualisation des dépréciations sur créances douteuses pour 22 milliers d'euros. Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d'opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques. Note 29. – Revenus des titres. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme 16 857 16 159 Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille Opérations diverses sur titres Total des revenus des titres à revenus variables 16 857 16 159 Note 30. – Produit net des commissions. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 108 -53 55 99 -50 49 Sur opérations internes au crédit agricole 4 909 -11 505 -6 596 4 736 -13 148 -8 412 Sur opérations avec la clientèle 18 209 -172 18 037 17 820 -158 17 662 Sur opérations sur titres Sur opérations de change 14 14 8 8 Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations d'hors-bilan Sur prestations de services financiers (1) 51 398 -6 554 44 844 52 940 -6 007 46 933 Provision pour risques sur commissions 174 -182 -8 157 -165 -8 Total produit net des commissions 74 812 -18 466 56 346 75 760 -19 528 56 232 (1) dont prestations assurance-vie : 10 802 milliers d'euros. Note 31. – Gains ou pertes des o pérations sur portefeuilles de négociation . (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Solde des opérations sur titres de transaction Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés 148 143 Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme -5 41 Gains ou pertes des Opérations sur portefeuilles de négociations 143 184 Note 32. – Gains ou pertes sur Opérations des portefeuilles de placement et assimiles. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Titres de placement Dotations aux dépréciations -118 -4 Reprises de dépréciations 3 30 Dotations ou reprises nettes aux dépréciations -115 26 Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées -165 -76 Solde des plus et moins-values de cession réalisées -165 -76 Solde des opérations sur titres de placement -280 -50 Titres de l'activité de portefeuille Dotations aux dépréciations Reprises de dépréciations Dotations ou reprises nettes aux dépréciations Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées Solde des plus et moins-values de cession réalisées Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille Gains ou pertes sur Opérations des portefeuilles de placement et assimiles -280 -50 Note 33. – Autres produits et charges d'exploitation bancaire. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Produits divers 3 766 2 857 Quote part des opérations faites en commun Refacturation et transfert de charges Reprises provisions Autres produits d'exploitation bancaire 3 766 2 857 Charges diverses -168 -306 Quote part des opérations faites en commun -278 -254 Refacturation et transfert de charges Dotations provisions -1 246 Autres charges d'exploitation bancaire -1 692 -560 Total autres produits et charges d'exploitation bancaire 2 074 2 297 Note 3 4 . – Charges générales d'exploitation. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Frais de personnel Salaires et traitements -34 582 -34 086 Charges sociales -16 988 -15 868 D ont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies -3 638 -3 630 Intéressement et participation -4 818 -4 465 Impôts et taxes sur rémunérations -5 157 -6 008 Total des charges de personnel -61 545 -60 427 Refacturation et transferts de charges de personnel 2 556 2 230 Frais de personnel nets -58 989 -58 197 Frais administratifs Impôts et taxes -2 768 -3 009 Services extérieurs, autres frais administratifs et contributions règlementaires (1) -38 177 -37 758 Total des charges administratives -40 945 -40 767 Refacturation et transferts de charges administratives 385 621 Frais administratifs nets -40 560 -40 146 Charges générales d'exploitation -99 549 -98 343 (1) dont 896 milliers d'euros au titre du fonds de résolution unique — Crédit d'Impôt pour la Compétitivité et l'Emploi (CICE) : Au titre de l'exercice écoulé et des exercices 2017, 2016, 2015, 2014 et 2013, un montant de 8 320 milliers d'euros a été accordé à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée au titre du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (respectivement pour 1 374k€, 1 659k€, 1 432k€, 1 456k€, 1 420k€ et 989k€). — Effectif moyen : Effectif par catégorie . — (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) Catégories de personnel 31/12/2018 31/12/2017 Cadres 156 155 Non cadres 716 746 Total de l'effectif moyen 871 901 Dont : - France 856 885 Etranger 15 16 Dont : personnel mis à disposition 1 1 La rémunération des organes de direction et d'administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l'institution. Le montant global des rémunérations des organes d'administration et de direction s'élève à 1 567 milliers d’ euros . Note 35. – Coû t du risque. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Dotations aux provisions et dépréciations -127 280 -119 602 Dépréciations de créances douteuses -27 213 -31 363 Autres provisions et dépréciations -100 067 -88 239 Reprises de provisions et dépréciations 140 388 142 394 Reprises de dépréciations de créances douteuses (1) 33 009 44 913 Autres reprises de provisions et dépréciations (2) 107 379 97 481 Variation des provisions et dépréciations 13 108 22 792 Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3) -1 370 -1 923 Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4) -22 312 -30 571 Décote sur prêts restructurés -52 -92 Récupérations sur créances amorties 3 852 2 652 Autres pertes -149 -114 Autres produits Cout du risque -6 923 -7 256 (1) dont 6 986 milliers d'euros utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromises et 685 milliers d'euros liés à l'effet de désactualisation des dépréciations sur créances douteuses . (2) dont 344 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif (3) dont 1 067 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises (4) dont 15 326 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises Note 36. – Résultat net sur actifs immobilises. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Immobilisations financières Dotations aux dépréciations -3 242 -1 623 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -3 242 -1 623 Reprises de dépréciations 2 646 775 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 2 646 775 Dotation ou reprise nette aux dépréciations -596 -848 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -596 -848 Plus-values de cessions réalisées 59 38 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 59 38 Moins-values de cessions réalisées -11 -699 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -11 -699 Pertes sur créances liées à des titres de participation Solde des plus et moins-values de cessions 48 -661 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 48 -661 Solde en perte ou en bénéfice -548 -1 509 Immobilisations corporelles et incorporelles Plus-values de cessions 1 83 Moins-values de cessions -232 -845 Solde en perte ou en bénéfice -231 -762 Résultat net sur actifs immobilises -779 -2 271 Note 37. – Charges et produits exceptionnels. La Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée n'a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l'exercice 2018. Note 38. – Impôt sur les bénéfices. Cet agrégat comprend la charge relative à l'impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risque fiscaux. La charge fiscale de l'exercice s'élève à 8 571 milliers d’ euros . Intégration fiscale : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d'impôt résultant de la réallocation de l'économie d'IS liées aux dividendes intragroupes pour 643 milliers d’ euros . Note 39. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur "banque de proximité en France", toutefois il convient de noter l'activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédit). 39.1. Résultat courant par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 150 864 -97 377 -4 615 48 873 -6 679 42 194 -547 41 647 Autres pays de l' U .E. 1 866 -2 245 -96 -476 -245 -721 -231 -952 Résultat courant avant impôt 152 730 -99 622 -4 711 48 397 -6 924 41 473 -778 40 695 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 143 032 -95 977 -4 688 42 367 -3 872 -38 596 -1 429 37 066 Autres pays de l' U .E. 2 981 -1 329 -136 1 516 -3 384 -1 868 -842 -2 710 Résultat courant avant impôt 146 013 -97 306 -4 824 43 883 -7 256 36 728 -2 271 34 356 Note 40. – Affectation des résultats. Résultat de l'exercice 30 123 906,38 € Report à nouveau - 47 703,87 € Résultat à affecter 30 076 202,51 € Distribué 2 574 954,27 € Intérêts aux parts au taux de 1,50% 315 645,49 € Aux Caisses locales 315 640,46 € À SACAM Mutualisation 0,23 € Aux autres souscripteurs 4,80 € Rémunération des CCA 2 259 308,78 € Conservé 27 501 248,24 € € Réserve légale 20 625 936,18 Autres réserves 6 875 312,06 € Note 41. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs . La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un Etat ou un territoire non coopératif au sens de l'article 238-0 A du Code général des impôts. Note 42. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes. — Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée : (En milliers d' E uros hors taxes) ERNTS & YOUNG % KPMG % Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels (*) 104 55,9 68 36,6 Services autres que la certification des comptes 2 1,1 12 6,5 Total 106 57,0 80 43,0 (*) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes. Note 43. – Attestation des commissaires aux comptes et publicités . Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan. IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes PROPRIETEDOC "CompteType" \* MERGEFORMAT annuels . ( Exercice clos le 31 décembre 2018 .) A l'Assemblée Générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, DOCPROPERTY "A_adapter" \* MERGEFORMAT I. Opinion. — En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale , nous avons effectué l’audit des comptes annuels de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2018 , tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la Caisse régionale à la fin de cet exercice. L’opinion formulée ci dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions de DOCPROPERTY ComiteAudit \* MERGEFORMAT comité d'audit . II. Fondement de l’opinion : Référentiel d’audit . — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels » du présent rapport. — Indépendance : Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance qui nous sont applicables, sur la période du 1 er DOCPROPERTY DebutExerciceMoisAnnee \* MERGEFORMAT janvier 2018 à la date d’émission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014 ou par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. — Observations : Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci dessus, nous attirons votre attention sur les changements de méthodes exposés dans la note 2 de l’annexe des comptes annuels relatifs : A l’application des règles de provisionnement des encours de crédits sains et des engagements par signature ; Au changement de présentation dans le compte de résultat de la reprise liée au passage du temps, ou effet de désactualisation, de la dépréciation des créances douteuses. III. Justification des appréciations - Points clés de l’audit . — En application des dispositions des articles L. 823 9 et R. 823 7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d’anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le contexte de l’audit des comptes annuels pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci avant. Nous n’exprimons pas d’opinion sur des éléments de ces comptes annuels pris isolément. — Dépréciations des crédits sur une base individuelle : Risque identifié Notre réponse Du fait de son activité, la Caisse Régionale est exposée à un risque significatif de crédit sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture. Comme indiqué dans l’annexe aux comptes annuels (notes 2.1 et 4.1), les créances faisant l’objet de pertes prévisibles au titre du risque de crédit avéré donnent lieu à la comptabilisation d’une dépréciation correspondant à la différence entre la valeur comptable des prêts et la somme des flux futurs estimés actualisés. S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la direction de l’établissement est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture comme un point clé de l’audit des comptes annuels en raison de leur importance dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles présentées en note 4.1 de l’annexe aux comptes annuels qui s’élève à € 150,1 millions. Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la Direction pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : – mené des entretiens au cours de l’exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la Caisse Régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte alimentation en comptabilité ; – testé l’efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la Caisse Régionale relatifs à ces procédures ; analysé le bien-fondé des hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit ; – effectué un examen analytique de la couverture des encours douteux par marché et par strate d’encours — Provisions sur encours sains et dégradés : Risque identifié Notre réponse Comme indiqué dans l’annexe aux comptes annuels (notes 2 et 2.1), la Caisse Régionale constitue, au titre des pertes de crédit attendues, des provisions sur les encours sains et dégradés. A la suite du changement de méthode décrit dans l’annexe, ces provisions sont déterminées selon des modèles internes de risques de crédit, en tenant compte de données macro-économiques prospectives appréciées au niveau du Groupe Crédit Agricole et au regard de paramètres propres au portefeuille de crédit de la Caisse Régionale sur la base d’éléments conjoncturels et/ou structurels locaux. Le cumul de ces provisions sur les prêts et créances représente respectivement 36,8 MILLION D'EUROS et 31,3 MILLION D'EUROS au 1er janvier et au 31 décembre 2018 comme détaillé en Note 14. Nous avons considéré qu’il s’agissait d’un point clé de l’audit des comptes annuels en raison : – de l’importance de changements induits dans la mise en œuvre pour le changement de méthode ; – de l’importance des zones de jugement entrant dans la détermination des modèles, des risques liés à la qualité des données qui les alimentent et des risques liés à leur insertion opérationnelle ; – de l’importance relative de ces provisions dans le bilan de la Caisse Régionale et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit consommation… ), dont par exemple des informations prospectives (forward looking central et local). Nos travaux ont consisté à : — prendre connaissance, lors d’un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation du Groupe Crédit Agricole, avec l’aide de leurs experts sur les modèles de dépréciations. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : – les principes méthodologiques suivis pour la construction des modèles, – la qualité des données utilisées pour calibrer les paramètres utilisés dans les modèles (PD, LGD), – la gouvernance des modèles au regard des modalités de détermination et de changement des paramètres, du processus de validation indépendante et des modalités de back-testing, – la réalisation de tests applicatifs ciblés sur les principales fonctionnalités de l’outil national utilisé pour déterminer les corrections de valeur ; — tester par sondage la qualité des données des expositions entrant dans le modèle de provisionnement sur la base d’un échantillon de dossiers ; — contrôler le déversement des expositions servant de base au calcul des dépréciations et provisions dans l’outil de provisionnement ; — apprécier les hypothèses et la documentation fournie par la Caisse Régionale sur l’identification de dégradation significative pour des portefeuilles d’encours et la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l’application du Forward Looking ; — analyser l’évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l’exercice 2018. Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d'administration et dans les autres documents sur la situation financière et les comptes annuels adressés aux sociétaires à l’exception du point ci-dessous. La sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations relatives aux délais de paiement mentionnées à l’article D.441-4 du code de commerce appellent de notre part l’observation suivante : comme indiqué dans le rapport de gestion, ces informations n'incluent pas les opérations bancaires et les opérations connexes, votre Caisse régionale considérant qu'elles n'entrent pas dans le périmètre des informations à produire. — Informations résultant d’autres obligations légales et réglementaires : Désignation des commissaires aux comptes . — Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre assemblée générale du 27 mars 2008 pour le cabinet KPMG Audit et du 27 mars 2008 pour le cabinet ERNST & YOUNG et Autres. Au 31 décembre 2018, le cabinet KPMG Audit était dans la onzième année de sa mission sans interruption et ERNST & YOUNG et Autres était dans sa onzième année de mission depuis sa nomination. Précédemment, le cabinet ERNST & YOUNG Audit, membre du réseau EY, a exercé les fonctions de commissaire aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée de 1989 à 2010. — Responsabilités de la direction et des personnes constituant le gouvernement d’entreprise relatives aux comptes annuels : Il appartient à la direction d’établir des comptes annuels présentant une image fidèle conformément aux règles et principes comptables français ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu’elle estime nécessaire à l’établissement de comptes annuels ne comportant pas d’anomalies significatives, que celles ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs. Lors de l’établissement des comptes annuels, il incombe à la direction d’évaluer la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider DOCPROPERTY Societe1 \* MERGEFORMAT la Caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au conseil d’administration remplissant les fonctions de DOCPROPERTY ComiteAudit \* MERGEFORMAT comité d'audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l’efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l’audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Les comptes annuels ont été arrêtés par DOCPROPERTY OrganeArrete \* MERGEFORMAT le conseil d'administration . — Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels : Objectif et démarche d’audit . — Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes annuels . Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux ci. Comme précisé par l’article L. 823 10 1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre Caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : – il identifie et évalue les risques que les comptes annuels comportent des anomalies significatives, que celles ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; – il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; – il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes annuels ; – il apprécie le caractère approprié de l’application par la direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes annuels au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; – il apprécie la présentation d’ensemble des comptes annuels et évalue si les comptes annuels reflètent les opérations et événements sous jacents de manière à en donner une image fidèle. — Rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit : Nous remettons au conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit un rapport qui présente notamment l’étendue des travaux d’audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit figurent les risques d’anomalies significatives, que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537 2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822 10 à L. 822 14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège et Paris-La Défense , le 8 mars 2019 Les Commissaires aux Comptes : KPMG Audit Département de KPMG S.A. ; ERNST & YOUNG et Autres ; Philippe S aint- P ierre ; Luc Valverde . V . — Rapport de gestion . En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX. B. — Comptes consolides 31 décembre 2018. Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 25 janvier 2019 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 27 mars 2019 Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers I. — Cadre général . Présentation juridique de l’entité . La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable. Son siège social est situé à PERPIGNAN, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335, code NAF 6419 Z, et fait partie du groupe Crédit Agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après. Organigramme simplifié du Crédit Agricole . Un Groupe bancaire d’essence mutualiste . — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 10,1 millions de sociétaires qui élisent quelques 30 000 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie. La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales. Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R. 512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L. 511-31 et article L. 511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole, au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. peut prendre toute mesure nécessaire, notamment pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés. Relations internes au crédit agricol e Mécanismes financiers internes . — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe. — Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A. qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit » ou « Dettes envers les établissements de crédit ». — Comptes d'épargne à ré g ime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A. , où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Dettes envers la clientèle ». — Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et, centralisées par Crédit Agricole s.a., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les “avances” (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances-miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché. Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1 er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1 er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles. Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ». — Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire . — Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ». Couverture des risques de Liquidité et de Solvabilité . — Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier, Crédit Agricole S.A., en sa qualité d’organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l’ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau et chaque établissement affilié bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du Code monétaire et financier ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A. , la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A. ) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. Par ailleurs, le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l’année 2014, directive BRRD, transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français au règlement sur le mécanisme de résolution unique introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolution européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toutes mesures nécessaires dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Ce dispositif de résolution, ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L.511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R.512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution. L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Dans la conduite de son action en tant qu’autorité de résolution, le Conseil de Résolution Unique doit respecter le principe fondamental selon lequel aucun créancier ne doit, en résolution, subir de pertes plus importantes que celles qu’il aurait subies si l’entité concernée avait été liquidée selon une procédure normale d’insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation - NCWOL – prévu à l’article L.613-57-1 du Code monétaire et financier et à l’article 73 de la directive BRRD). La nécessité de respecter ce principe conduit Crédit Agricole S.A. à considérer que l’existence de la garantie accordée en 1988 par les Caisses régionales au bénéfice des créanciers de Crédit Agricole S.A. devra être prise en compte par le Conseil de résolution unique sans qu’il soit possible de préjuger des modalités de cette prise en compte . Garanties spécifiques apportées par les caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (SWITCH) . — Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 complété par un premier avenant signé le 19 décembre 2013 et amendé par deux avenants en 2016 respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3), s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les derniers amendements de ces garanties ont pris effet rétroactivement le 1er juillet 2016, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée totale ou partielle ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat. A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant. Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant désormais aux participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), celles-ci étant mises en équivalence pour les besoins prudentiels: on parle désormais des garanties Switch Assurance. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales. La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. Ainsi les garanties Switch Assurance protège Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d'une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement, en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, pourrait restituer les indemnisations préalablement perçues. Sur le plan prudentiel : – Crédit Agricole S.A. réduit ses exigences de capital à proportion du montant de la garantie accordée par les Caisses régionales ; – les Caisses régionales constatent symétriquement des exigences de capital égales à celles économisées par Crédit Agricole S.A. Ce dispositif, qui est neutre au niveau du Groupe Crédit Agricole, permet de rééquilibrer l’allocation en fonds propres entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales. Sur le plan comptable : Les garanties s’analysent en substance comme des contrats d’assurance du fait de l’existence d’un risque d’assurance au sens de la norme IFRS 4. La norme IFRS 4 permet à l’émetteur d’un contrat d’assurance, de recourir aux principes comptables déjà appliqués pour des garanties données similaires, sous réserve d’effectuer un test de suffisance du passif selon les modalités visées par le paragraphe 14(b) de la norme. Par conséquent, le traitement comptable des garanties est assimilable à celui d’une garantie donnée à première demande et leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. Dans le cas où il existerait des perspectives de perte nette à l'échéance après prise en compte d’hypothèse raisonnables de retour à meilleure fortune, une provision serait à doter, en Coût du risque, conformément aux exigences du test de suffisance du passif. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seraient respectivement reconnus en Coût du risque. Il convient de noter que l’activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s’apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Equivalence des participations détenues dans Crédit Agricole Assurance. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d’estimer s’il existe un risque d’indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n’étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l’activation des garanties sous forme d’appel ou de retour à meilleure fortune. Informations relatives aux parties liées Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2018 et aux dirigeants dont la rémunération est précisée au paragraphe 7.6. Le périmètre consolidé est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée, de 100% des parts de trois Sociétés Techniques de Titrisation (quote-part du FCT Crédit Agricole Habitat 2015, quote-part du FCT Crédit Agricole Habitat 2017 et quote-part du FCT Crédit Agricole Habitat 2018) et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales.» Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€, les comptes courants bloqués s’élèvent à 1 671 K€ et les titres négociables à moyen terme à 10 745 K€. II. — États financiers consolidés . 1. – Compte de résultat . ( En milliers d' E uros ) Notes 31/12/2018 31/12/2017 Intérêts et produits assimilés 4.1 156 577 170 393 Intérêts et charges assimilées 4.1 -77 783 -81 291 Commissions (produits) 4.2 74 703 75 655 Commissions (charges) 4.2 -18 475 -19 535 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat 4.3 -1 841 -1 228 Gains ou pertes nets sur actifs/passifs de transaction -27 Gains ou pertes nets sur autres actifs/passifs à la juste valeur par résultat -1 814 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 4.4 16 583 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 16 583 Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente 15 354 Gains ou pertes nets résultant de la décomptabilisation d'actifs financiers au coût amorti ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers au coût amorti en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ Gains ou pertes nets résultant du reclassement d’actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres en actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ Produits des autres activités 4.5 1 088 1 806 Charges des autres activités 4.5 -1 518 -1 801 Produit net bancaire 149 334 159 353 Charges générales d'exploitation 4.6 -99 613 -98 160 Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4.7 -4 458 -4 552 Résultat brut d'exploitation 45 263 56 641 Coût du risque 4.8 -7 274 -8 070 Résultat d'exploitation 37 989 48 571 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs 4.9 ‐ 79 Variations de valeur des écarts d'acquisition ‐ ‐ Résultat avant impôt 37 989 48 650 Impôts sur les bénéfices 4.10 -6 879 -13 521 Résultat net d'impôts des activités abandonnées ‐ ‐ Résultat net 31 110 35 129 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Résultat net part du Groupe 31 110 35 129 2. – Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . ( En milliers d' E uros ) Notes 31/12/2018 31/12/2017 Résultat net 31 110 35 129 Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi 4.11 -227 -56 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre (1) 4.11 ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (1) 4.11 -43 103 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 -43 330 -56 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence 4.11 ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 1 759 -114 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence 4.11 ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées 4.11 ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 4.11 -41 571 -170 Gains et pertes sur écarts de conversion 4.11 ‐ ‐ Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente 13 873 Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables 4.11 -1 ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 4.11 245 257 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 244 14 130 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence 4.11 ‐ ‐ Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 -61 -544 Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence 4.11 ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées 4.11 ‐ ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 4.11 183 13 586 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 4.11 -41 388 13 416 Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres -10 278 48 545 Dont part du Groupe -10 278 48 545 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ (1) Montant du transfert en réserves d'éléments non recyclables 4.11 -48 3. — B ilan . Actif Notes 31/12/2018 01/01/2018 31/12/2017 Caisse, banques centrales 6.1 44 341 35 063 35 063 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 3.1-6.2-6.6-6.7 104 120 104 407 5 937 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 653 482 ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 103 467 103 925 ‐ Instruments dérivés de couverture 3.1-3.2-3.4 63 998 81 247 81 247 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres 3.1-6.4-6.6-6.7 580 945 623 772 ‐ Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ 5 001 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 580 945 618 771 ‐ Actifs financiers disponibles à la vente 591 246 Actifs financiers au coût amorti 3.1-3.3-6.5-6.6-6.7 5 489 450 5 363 386 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit 345 847 396 053 396 053 Prêts et créances sur la clientèle 4 953 096 4 755 239 4 756 309 Titres de dettes 190 507 212 094 ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 41 555 39 089 39 089 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 211 718 Actifs d'impôts courants et différés 6.10 15 549 15 533 18 518 Comptes de régularisation et actifs divers 6.11 125 472 119 514 119 514 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Participations dans les entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Immeubles de placement 6.12 4 280 4 886 4 886 Immobilisations corporelles 6.13 27 380 26 287 26 287 Immobilisations incorporelles 6.13 894 881 881 Ecarts d'acquisition ‐ ‐ Total de l'actif 6 497 984 6 414 065 6 286 748 Passif Notes 31/12/2018 01/01/2018 31/12/2017 Banques centrales 6.1 ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 747 556 556 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 747 556 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 3.2-3.4 90 630 94 369 94 369 Passifs financiers au coût amorti 5 299 530 5 179 336 ‐ Dettes envers les établissements de crédit 3.3-6.8 2 946 527 2 953 077 2 950 428 Dettes envers la clientèle 3.1-3.3-6.8 2 179 928 2 059 752 2 059 752 Dettes représentées par un titre 3.2-3.3-6.8 173 075 166 507 166 507 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 44 229 54 665 54 665 Passifs d'impôts courants et différés 6.10 4 228 20 21 Comptes de régularisation et passifs divers 6.11 100 044 101 603 101 603 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ Provisions 6.14 20 790 19 190 19 190 Dettes subordonnées ‐ 15 469 15 469 Total dettes 5 560 198 5 465 208 5 462 560 Capitaux propres 937 786 948 857 824 188 Capitaux propres part du Groupe 937 786 948 857 824 188 Capital et réserves liées 162 933 161 470 161 478 Réserves consolidées 653 830 656 086 610 608 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 89 913 131 301 16 973 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur activités abandonnées ‐ ‐ Résultat de l'exercice 31 110 35 129 Participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ Total du passif 6 497 984 6 414 065 6 286 748 4. — Tableau de variation des capitaux propres . (En milliers d'Euros) Part du Groupe Participations ne donnant pas le contrôle Capitaux propres consolidés Capital et réserves liées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net Capitaux propres Capital, réserves liées et résultat Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capital Prime et Réserves consolidées liées au capital (1) Elimination des titres auto-détenus Autres instruments de capitaux propres Total Capital et Réserves consolidées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres Capitaux propres au 1er janvier 2017 Publié 30 325 742 719 ‐ ‐ 773 044 6 519 -2 962 3 557 ‐ 776 601 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 776 601 Impacts nouvelles normes (2) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2017 30 325 742 719 ‐ ‐ 773 044 6 519 -2 962 3 557 ‐ 776 601 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 776 601 Augmentation de capital 1 528 ‐ ‐ ‐ 1 528 ‐ ‐ ‐ ‐ 1 528 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 528 Variation des titres auto-détenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Émissions d’instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d’instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2017 ‐ -2 486 ‐ ‐ -2 486 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 486 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 486 Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Effet des acquisitions/cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 1 528 -2 486 ‐ ‐ -958 ‐ ‐ ‐ ‐ -958 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -958 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 13 586 -170 13 416 ‐ 13 416 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 13 416 Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2017 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 35 129 35 129 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 35 129 Autres variations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 31 décembre 2017 31 853 740 233 ‐ ‐ 772 086 20 105 -3 132 16 973 35 129 824 188 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 824 188 Affectation du résultat 2017 ‐ 35 129 ‐ ‐ 35 129 ‐ ‐ ‐ -35 129 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Capitaux propres au 1er janvier 2018 31 853 775 362 ‐ ‐ 807 215 20 105 -3 132 16 973 ‐ 824 188 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 824 188 Incidence de l'adoption de la norme IFRS9 (3) ‐ 10 349 ‐ ‐ 10 349 -21 021 135 349 114 328 ‐ 124 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 124 677 Autres variations -8 ‐ ‐ ‐ -8 ‐ ‐ ‐ ‐ -8 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -8 Capitaux propres au 1er janvier 2018 Retraité 31 845 785 711 ‐ ‐ 817 556 -916 132 217 131 301 ‐ 948 857 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 948 857 Augmentation de capital 1 463 ‐ ‐ ‐ 1 463 ‐ ‐ ‐ ‐ 1 463 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 463 Variation des titres auto-détenus ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Émissions d’instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Rémunération des émissions d’instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dividendes versés en 2018 ‐ -2 283 ‐ ‐ -2 283 ‐ ‐ ‐ ‐ -2 283 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -2 283 Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Effet des acquisitions/cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Mouvements liés aux paiements en actions ‐ 12 ‐ ‐ 12 ‐ ‐ ‐ ‐ 12 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 12 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 1 463 -2 271 ‐ ‐ -808 ‐ ‐ ‐ ‐ -808 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -808 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ‐ 48 ‐ ‐ 48 183 -41 571 -41 388 ‐ -41 340 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -41 340 Dont gains et pertes sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables transférés en réserves ‐ 48 ‐ ‐ 48 ‐ -48 -48 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont gains et pertes sur variation du risque de crédit propre transférés en réserves ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Résultat 2018 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 31 110 31 110 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 31 110 Autres variations ‐ -33 ‐ ‐ -33 ‐ ‐ ‐ ‐ -33 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -33 Capitaux propres au 31 décembre 2018 33 308 783 455 ‐ ‐ 816 763 -733 90 646 89 913 31 110 937 786 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 937 786 (1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'autocontrôle. (2) Impact capitaux propres des normes d'application rétrospective (3) Le détail des impacts sur les capitaux propres lié à la mise en application d'IFRS 9 est présenté dans la note "Effets de l’application de la norme IFRS 9 au 1er janvier 2018". 5. — T ableau des flux de trésorerie . Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte. Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée . Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles. Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans les rubriques « Juste valeur par résultat » ou « Juste valeur par capitaux propres non recyclables » sont compris dans cette rubrique. Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme. La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit. (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2018 31/12/2017 Résultat avant impôt 37 989 48 650 Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4 458 4 552 Dépréciations des écarts d’acquisition et des autres immobilisations ‐ ‐ Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions 2 093 -1 387 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Résultat net des activités d’investissement ‐ 582 Résultat net des activités de financement 471 954 Autres mouvements 8 887 9 311 Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôt et des autres ajustements 15 909 14 012 Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit -1 195 169 361 Flux liés aux opérations avec la clientèle -82 178 -83 191 Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers 25 995 -106 466 Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers -11 313 16 588 Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ Impôts versés -640 -2 049 Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles -69 331 -5 757 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie générés par l’activité opérationnelle (A) -15 433 56 905 Flux liés aux participations (1) -3 870 -917 Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles -5 564 -4 131 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations d’investissement (B) -9 434 -5 048 Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2) -820 -958 Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (3) -8 254 6 908 Flux provenant des activités abandonnées ‐ ‐ Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement (C) -9 074 5 950 Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D) ‐ ‐ Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D) -33 941 57 807 Trésorerie et équivalents de trésorerie à l’ouverture 211 703 153 896 Solde net des comptes de caisse et banques centrales * 35 063 32 215 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit ** 176 640 121 681 Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture 177 763 211 703 Solde net des comptes de caisse et banques centrales * 44 341 35 063 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit ** 133 422 176 640 Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie -33 940 57 807 * composé du solde net du poste « Caisses et banques centrales », hors intérêts courus (y compris trésorerie des entités reclassées en activités destinées à être cédées). ** composé du solde des postes « Comptes ordinaires débiteurs non douteux » et « Comptes et prêts au jour le jour non douteux » tels que détaillés en note 6.5 et des postes « Comptes ordinaires créditeurs » et « Comptes et emprunts au jour le jour » tels que détaillés en note 6.8 (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole) ; (1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2 « Principales opérations de structure et événements significatifs de la période ». Au cours de l’année 2018, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée s’élève à 3 970 milliers d’euros, portant notamment sur les opérations suivantes : – Acquisition de titres dans CA Cards & Payments pour 237 k€. – Acquisition de titres dans CA Régions développement pour 199 k€ – Acquisition de titres dans OCEAN’IC pour 30 k€. – Acquisition de titres dans SAS Sud Med Immobilier pour 1 237 k€. – Acquisition de titres dans SOFILARO pour 3 500 k€, dont 962 k€ en partie restant à libérer. – Réduction de capital et cession des titres SQUARE ACHAT pour 30 k€ (2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par Crédit Agricole de Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 283 milliers d’euros pour l’année 2018. (3) Au cours de l’année 2018, les émissions nettes de dettes subordonnées s’élèvent à 9 178 milliers d’euros. Notes annexes sur les effets de l’application de la norme IFRS 9 au 1 er janvier 2018 Transition du bilan au 31 décembre 2017 au 1 er janvier 2018 . — Les tableaux suivants présentent les actifs et passifs financiers impactés par la mise en place de la norme IFRS 9 au 1 er janvier 2018. — Actifs financiers : Actifs financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 IAS 39 Reclassements au titre d'IFRS 9 Valeur au bilan selon IAS 39 Banques Centrales Actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres Actifs financiers au coût amorti Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées Participation dans les entreprises mises en équivalence Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle Titres de dettes Instruments de capitaux propres Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option IAS 39 Banques Centrales 6 000 6 000 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 5 937 482 5 455 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 482 482 Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 1 5 455 5 455 Instruments dérivés de couverture 81 247 81 247 Actifs disponibles à la vente 591 246 427 96 993 5 001 488 225 600 Prêts et créances sur les établissements de crédit 396 053 396 053 Prêts et créances sur la clientèle 4 756 309 1 023 4 755 286 Titres détenus jusqu'à l'échéance 211 718 211 718 Soldes comptables selon les critères de valorisation d'IAS 39 6 048 510 Retraitement de la valeur comptable au titre d'IFRS 9 27 130 546 -47 -224 01/01/2018 Soldes comptables selon les critères de valorisation d'IFRS 9 6 000 482 427 103 498 81 247 5 001 618 771 396 053 4 755 239 212 094 Les reclassements liés aux actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option se décomposent comme suit : (En milliers d'Euros) IAS 39 Reclassement au titre D'IFRS 9 Valeur comptable selon IAS 39 Dont actifs financiers reclassés hors de la catégorie juste valeur par résultat sur option sous IFRS 9 Reclassement imposé par les dispositions d'IFRS 9 Reclassement effectué par choix Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 5 455 5 455 Instruments de dette 5 455 5 455 Instruments de capitaux propres L’essentiel de l’impact de la première application d’IFRS 9 est lié à la valorisation de SAS Rue La Boétie. A compter du 1er janvier 2018, ces titres sont Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres non recyclables sous IFRS 9. Au 31 décembre 2017, ces titres étaient classés en Actifs disponibles à la Vente et étaient valorisés conformément à IAS 39 selon la méthode du coût. — Passifs financiers : Passifs financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 IAS 39 Reclassements au titre d'IFRS 9 Passifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture Passifs financiers au coût amorti Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées Valeur au bilan selon IAS 39 Passifs financiers détenus à des fins de transaction Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Dettes envers les établissements de crédit Dettes envers la clientèle Dettes représentées par un titre IAS 39 Passifs financiers à la juste valeur par résultat 556 556 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 556 556 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Instruments dérivés de couverture 94 369 94 369 Dettes envers les établissements de crédit 2 950 428 2 950 428 Dettes envers la clientèle 2 059 752 2 059 752 Dettes représentées par un titre 166 507 166 507 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées Soldes comptables selon les critères de valorisation d'IAS 39 5 271 612 Retraitement de la valeur comptable au titre d'IFRS 9 2 649 01/01/2018 Soldes comptables selon les critères de valorisation d'IFRS 9 556 94 369 2 953 077 2 059 752 166 507 Transition entre les dépréciations ou provisions constituées selon IAS 39 et les corrections de valeur pour pertes constituées selon IFRS 9 . — Au titre de l’application d’IFRS 9 au 1 er janvier 2018, les modalités de provisionnement évoluent de manière significative. Le tableau suivant présente l’évolution des dépréciations ou provisions passives comptabilisées au 31 décembre 2017 (selon les dispositions d’IAS 39) vers le montant de correction de valeur pour pertes comptabilisé au 1 er janvier 2018 (selon les dispositions d’IFRS 9) : Dépréciations sur actifs financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 IAS 39 - Montant de la dépréciation IFRS 9 - Reclassement des montants de dépréciations Banques Centrales Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres Actifs financiers au coût amorti Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle Titres de dettes Instruments de capitaux propres Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Dépréciations selon IAS 39 Banques centrales Actifs disponibles à la vente -12 855 -12 855 Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle -196 365 -229 -196 136 Titres détenus jusqu'à l'échéance -2 130 -2 130 Soldes comptables de dépréciations selon les dispositions d'IAS 39 -211 350 Retraitements des dépréciations selon IFRS 9 229 12 855 -47 -224 Dont retraitements sur actifs reclassés depuis la catégorie juste valeur par résultat sous IAS 39 Dont retraitements sur actifs reclassés depuis la catégorie actifs disponibles à la vente sous IAS 39 12 855 Dont retraitements sur actifs reclassés depuis la catégorie prêts et créances sous IAS 39 229 -47 Dont retraitements sur actifs reclassés depuis la catégorie titres détenus jusqu'à l'échéance sous IAS 39 -224 01/01/2018 Soldes comptables des dépréciations selon les dispositions d'IFRS 9 ‐ ‐ -196 183 -2 354 Provisions sur engagements de hors bilan (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Retraitements des provisions selon IFRS 9 01/01/2018 IAS 39 - Montant de provisions IFRS 9 - Montant de provisions Engagements de financement Engagements de garantie 1 158 1 158 Soldes comptables de provisions 1 158 1 158 La répartition entre dépréciations collectives et dépréciations individuelles sous IAS 39 au 31 décembre 2017 est la suivante : Ventilation des dépréciations des actifs financiers sous IAS 39 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Dépréciations collectives Dépréciations individuelles Soldes comptables de dépréciations selon les dispositions d' IAS 39 -36 795 -174 555 La répartition des dépréciations par étapes de dépréciations (ou buckets) sous IFRS 9 au 1 er janvier est la suivante : Actifs financiers (En milliers d'Euros) 01/01/2018 Bucket 1 Bucket 2 Bucket 3 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle Titres de dettes Actifs financiers au coût amorti -7 089 -29 977 -161 471 Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle -6 865 -29 977 -159 341 Titres de dettes -224 -2 130 Total -7 089 -29 977 -161 471 Engagements hors bilan (En milliers d'Euros) 01/01/2018 Bucket 1 Bucket 2 Bucket 3 Engagements de financement Engagements de garantie 1 158 Total 1 158 — Actifs financiers ayant fait l’objet d’un reclassement du fait de la mise en application d’IFRS 9 : Actifs - Reclassements à la date de première application (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Comptabilisation selon les dispositions d'IFRS 9 Comptabilisation selon les dispositions d'IFRS 9 si le reclassement n'avait pas eu lieu Valeur au bilan Produits / charges d'intérêts comptabilisés Juste valeur Gain / Pertes comptabilisés en résultat net Gain / Pertes comptabilisés directement en capitaux propres Actifs financiers à la juste valeur par résultat reclassés en actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables Actifs financiers à la juste valeur par résultat reclassés en actifs financiers au coût amorti Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle Titres de dettes Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres reclassés en actifs financiers au coût amorti 600 600 Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle Titres de dettes 600 600 Total 600 600 Dont 600 K€ de reclassement des certificats d’association FGDR — Impact sur les capitaux propres de l'application de la norme IFRS 9 au 1 er janvier 2018 : (En milliers d'Euros) Impact de 1ère application D'IFRS 9 au 1er janvier 2018 (1) Capitaux propres consolidés Capitaux propres part du Groupe Capitaux propres - Participations ne donnant pas le contrôle Capitaux propres au 31/12/2017 - Norme IAS 39 824 188 Incidence sur les réserves 10 341 Réévaluation liée au risque de crédit propre sur passifs à la Juste valeur par résultat sur option Reclassement depuis Actifs disponibles à la vente vers Juste valeur par résultat (y compris annulation de la provision le cas échéant ; en cas de couverture de juste valeur, reclassement uniquement de la portion non couverte) 835 Reclassement depuis Actifs disponibles à la vente vers Juste valeur par capitaux propres non recyclables : Impact de l'annulation de la dépréciation durable (le cas échéant) 12 855 Reclassement depuis Actifs disponibles à la vente vers Juste valeur par capitaux propres non recyclables : reclassement de la portion couverte en juste valeur (le cas échéant) -1 777 Reclassement depuis coût amorti vers Juste valeur par résultat (y compris frais d'acquisition restant à étaler, en cas de couverture de juste valeur reclassement uniquement de la portion non couverte) 19 Actifs (vers Juste valeur par résultat) 19 Passifs (vers Juste valeur par résultat) Reclassement depuis Juste valeur par résultat vers Juste valeur par capitaux propres recyclables Reclassement depuis Juste valeur par résultat vers coût amorti (y compris commissions restant à étaler) Actifs (depuis Juste valeur par résultat par nature et sur option) Passifs (depuis Juste valeur par résultat sur option) Impact des arrêts de couverture hors couverture de juste valeur Comptabilisation des pertes de crédit attendues (sur actifs financiers, actifs entrant dans le champ d' IAS 17 et IFRS 15, engagements hors bilan) 373 Reclassement des instruments de capitaux propres Juste valeur par résultat sur option vers Juste valeur par capitaux propres non recyclables Impact des modifications sur actifs/passifs financiers évalués au coût amorti -1 964 Réserves - hors entreprises mises en équivalence 10 341 Réserves - entreprises mises en équivalence Réserves - activités abandonnées Incidence sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables -21 021 Reclassement depuis Actifs disponibles à la vente vers Juste valeur par résultat (en cas de couverture de juste valeur, reclassement uniquement de la portion non couverte) -835 Reclassement depuis Actifs disponibles à la vente vers Coût amorti (en cas de couverture de juste valeur, reclassement uniquement de la portion non couverte) Reclassement depuis Coût amorti vers Juste valeur par capitaux propres recyclables (en cas de couverture de juste valeur, reclassement uniquement de la portion non couverte) Reclassement des instruments de capitaux propres depuis Actifs disponibles à la vente vers Juste valeur par capitaux propres non recyclables -20 186 Reclassement depuis Juste valeur par résultat vers Juste valeur par capitaux propres recyclables Impact des arrêts de couverture hors couverture de juste valeur Comptabilisation des pertes de crédit attendues sur actifs financiers à la Juste valeur par capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables (nets d'impôt) - hors entreprises mises en équivalence -21 021 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables (nets d'impôt) - entreprises mises en équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées Incidence sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 135 349 Réévaluation liée au risque de crédit propre sur passifs à la Juste valeur par résultat sur option Reclassement des instruments de capitaux propres depuis Actifs disponibles à la vente vers Juste valeur par capitaux propres non recyclables Reclassement des instruments de capitaux propres à la Juste valeur par résultat sur option vers Juste valeur par capitaux propres non recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables (nets d'impôts) - hors entreprises mises en équivalence 135 349 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables (nets d'impôts) - entreprises mises en équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées Total - Impact sur les capitaux propres lié à la mise en application D'IFRS 9 124 669 Capitaux propres au 01/01/2018 - Norme IFRS 9 948 857 ( 1 ) Les montants présentés sont nets d'impôts III. — N otes annexes A ux états financiers . Note 1. – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisées . 1.1. Normes applicables et comparabilité . — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2018 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture. Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/company-reporting-and-auditing/company-reporting/financial-reporting_en Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2017. Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2018 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2018. Celles-ci portent sur : Normes, amendements ou interprétations Date de publication par l'Union européenne Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du Applicable dans le Groupe IFRS 9 Instruments financiers Remplacement d’ IAS 39 - Instruments financiers : classification et évaluation, dépréciation, couverture 22 novembre 2016 (UE 2016/2067) 1er janvier 2018 Oui Amendement à IFRS 4 Contrats d'assurance / IFRS 9 Instruments financiers Proposition d'approches optionnelles permettant aux entreprises ayant des activités d'assurance de gérer le décalage d'application entre la norme IFRS 9 et IFRS 4 3 novembre 2017 (UE 2017/1988) 1er janvier 2018 Oui IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients Remplacement d’ IAS 11 sur la reconnaissance des contrats de construction et d’ IAS 18 sur la reconnaissance des produits ordinaires 22 septembre 2016 (UE 2016/1905) 1er janvier 2018 Oui Amendement à IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients Clarifications à IFRS 15 31 octobre 2017 (UE 2017/1987) 1er janvier 2018 Oui Améliorations des IFRS cycle 2014-2016 : - IFRS 12 Informations à fournir sur les intérêts détenus dans d'autres entités - IAS 28 Participations dans des entreprises associées et des coentreprises - IFRS 1 Première adoption des normes internationales d'information financière 7 février 2018 (UE 2018/182) 1er janvier 2017 1er janvier 2018 1er janvier 2018 Oui Non Amendement à IFRS 2 Classement et évaluation des transactions dont le paiement est fondé sur des actions Clarifications à IFRS 2 26 février 2018 (UE 2018/289) 1er janvier 2018 Oui Amendement à IAS 40 Immeubles de placement Clarification du principe de transfert, entrée ou sortie, de la catégorie Immeubles de placement 14 mars 2018 (UE 2018/400) 1er janvier 2018 Oui IFRIC 22 Transactions en monnaies étrangères et contrepartie anticipée Clarifications à IAS 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères 3 avril 2018 (UE 2018/519) 1er janvier 2018 Oui Ainsi, le groupe Crédit Agricole publie pour la première fois à compter du 1er janvier 2018 ses états financiers IFRS en application de la norme IFRS 9 Instruments financiers et de la norme IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients (cf. chapitre 1.2 « Principes et méthodes comptables »). La norme IFRS 9 Instruments Financiers remplace la norme IAS 39 Instruments financiers : comptabilisation et évaluation. Elle définit de nouveaux principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture. La norme IFRS 9 est d’application rétrospective et obligatoire à compter du 1er janvier 2018 en ajustant le bilan d’ouverture en date de première application, sans l’obligation de retraiter les états financiers de la période comparative 2017. En conséquence, les actifs et passifs relatifs aux instruments financiers 2017 sont comptabilisés et évalués selon l'application de la norme IAS 39 telle que décrite dans les principes et méthodes comptables présentés dans les états financiers 2017. La norme IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients remplace les normes IAS 11 Contrats de construction, IAS 18 Produits des activités ordinaires, ainsi que toutes les interprétations liées IFRIC 13 Programmes de fidélisation de la clientèle, IFRIC 15 Contrats de construction de biens immobiliers, IFRIC 18 Transferts d'actifs provenant de clients et SIC 31 Produits des activités ordinaires - opérations de troc impliquant des services de publicité. Pour la première application de la norme IFRS 15, le groupe Crédit Agricole a choisi la méthode rétrospective modifiée sans comparatif au niveau de l’exercice 2017. L’application de la norme IFRS 15 n’a pas eu d’impact significatif sur le résultat et les capitaux propres. Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier : Normes, amendements ou interprétations Date de publication par l'Union européenne Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du Applicable dans le Groupe Amendement à IFRS 9 Instruments financiers Options de remboursement anticipé avec pénalité négative 22 mars 2018 (UE 2018/498) 1er janvier 2019 (1) Oui IFRS 16 Contrats de location Remplacement d’ IAS 17 sur la comptabilisation des contrats de location 31 octobre 2017 (UE 2017/1986) 1er janvier 2019 Oui IFRIC 23 Positions fiscales incertaines Clarification d' IAS 12 sur l’évaluation et la comptabilisation d’un actif ou passif d’impôt en situation d’incertitude quant à l’application de la législation fiscale 23 octobre 2018 (UE 2018/1595) 1er janvier 2019 Oui (1) Le Groupe a décidé d'appliquer de manière anticipée l'amendement à IFRS 9 à compter du 1er janvier 2018 La norme IFRS 16 Contrats de location remplacera la norme IAS 17 et toutes les interprétations liées (IFRIC 4 Déterminer si un accord contient un contrat de location, SIC 15 Avantages dans les contrats de location et SIC 27 Evaluation de la substance des transactions impliquant la forme juridique d’un contrat de location). Elle sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2019. La principale évolution apportée par la norme IFRS 16 concerne la comptabilité des locataires. IFRS 16 imposera pour les locataires un modèle visant à comptabiliser au bilan tous les contrats de location, avec la reconnaissance au passif d’une dette locative représentative des engagements sur toute la durée du contrat, et à l’actif un droit d’utilisation à amortir. Dès 2017, le groupe Crédit Agricole s’est organisé pour mettre en œuvre la norme IFRS 16 dans les délais requis, en y intégrant les fonctions comptables, finances, risques et achats. Une première étude d’impact de la mise en œuvre de la norme dans le Groupe a été réalisée au second semestre 2017 sur la base des états financiers au 31 décembre 2016. L’ensemble de ces travaux se sont poursuivis sur 2018. Le Groupe a finalisé le choix des options structurantes liées à l’interprétation de la norme, a choisi les solutions informatiques nécessaires pour permettre le traitement de données de l'ensemble des contrats de location du Groupe et a réalisé au second semestre des chiffrages d’impacts sur la base des états financiers au 31 décembre 2017. Le Groupe appliquera la méthode rétrospective modifiée conformément au paragraphe C5(b) de la norme IFRS 16 en comptabilisant l'effet cumulatif de l'application initiale à la date de transition (1er janvier 2019). En conséquence, le Groupe n'attend pas d'impact significatif de la norme IFRS 16 sur ses capitaux propres. Le Groupe a choisi d’utiliser les deux exemptions relatives à la comptabilisation proposées par la norme pour les contrats suivants : – Contrats de location à court terme, – Contrats de location portant sur des biens de faible valeur à neuf. Les normes et interprétations publiées par l’IASB au 31 décembre 2018 mais non encore adoptées par l’Union européenne ne sont pas applicables par le Groupe. Elles n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de la date prévue par l’Union européenne et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2018 . Cela concerne en particulier la norme IFRS 17. 1.2. Principes et méthodes comptables — Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers : Par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur. Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment : – les activités des marchés nationaux et internationaux ; – les fluctuations des taux d’intérêt et de change ; – la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ; – les modifications de la réglementation ou de la législation. Cette liste n’est pas exhaustive. Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes : – les instruments financiers évalués à la juste valeur ; – les participations non consolidées ; – les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ; – les plans de stock-options ; – les dépréciations d’instruments de dette au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables ; – les provisions ; – les dépréciations des écarts d’acquisition ; – les actifs d’impôts différés ; – la valorisation des entreprises mises en équivalence ; Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après. — Instruments financiers (IFRS 9, IAS 39 et IAS 32) : Définitions . — La norme IAS 32 définit un instrument financier comme tout contrat qui donne lieu à un actif financier d’une entité et à un passif financier ou à un instrument de capitaux propres d’une autre entité , c'est-à-dire tout contrat représentant les droits ou obligations contractuels de recevoir ou de payer des liquidités ou d'autres actifs financiers. Les instruments dérivés sont des actifs ou passifs financiers dont la valeur évolue en fonction de celle d’un sous-jacent, qui requièrent un investissement initial faible ou nul, et dont le règlement intervient à une date future. Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IFRS 9 telle qu’adoptée par l’Union européenne y compris pour les actifs financiers détenus par les entités d’assurance du Groupe. La norme IFRS 9 définit les principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture. Il est toutefois précisé que la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise l’option de ne pas appliquer le modèle général de couverture d’IFRS 9. L’ensemble des relations de couverture reste en conséquence dans le champ d’IAS 39 en attendant les futures dispositions relatives à la macro-couverture. — Conventions d’évaluation des actifs et passifs financiers : Evaluation initiale . — Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. La juste valeur telle que définie par IFRS 13 correspond au prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. Evaluation ultérieure . — Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE), soit à leur juste valeur telle que définie par IFRS 13. Pour les instruments dérivés, ils sont toujours évalués à leur juste valeur. Le coût amorti correspond au montant auquel est évalué l’actif financier ou le passif financier lors de sa comptabilisation initiale, en intégrant les coûts de transaction directement attribuables à leur acquisition ou à leur émission, diminué des remboursements en principal, majoré ou diminué de l’amortissement cumulé calculé par la méthode du taux d’intérêt effectif (TIE) de toute différence (décote ou prime) entre le montant initial et le montant à l’échéance. Dans le cas d’un actif financier, le montant est ajusté si nécessaire au titre de la correction pour pertes de valeur (cf. paragraphe " Provisionnement pour risque de crédit") . Le taux d’intérêt effectif (TIE) est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs prévus sur la durée de vie attendue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier. — Actifs financiers : Classement et évaluation des actifs financiers . — Les actifs financiers non dérivés (instruments de dette ou de capitaux propres) sont classés au bilan dans des catégories comptables qui déterminent leur traitement comptable et leur mode d’évaluation ultérieur. Ces actifs financiers sont classés dans l’une des trois catégories suivantes : – actifs financiers à la juste valeur par résultat ; – actifs financiers au coût amorti ; – actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres. Les critères de classement et d’évaluation des actifs financiers dépendent de la nature de l’actif financier, selon qu’il est qualifié : – d’instruments de dette (i.e. prêts et titres à revenu fixe ou déterminable) ; ou – d’instruments de capitaux propres (i.e. actions). — Instruments de dette : Le classement et l’évaluation d’un instrument de dette dépend de deux critères réunis : le modèle de gestion et l’analyse des caractéristiques contractuelles sauf utilisation de l'option à la juste valeur. Les trois modèles de gestion : Le modèle de gestion est représentatif de la stratégie que suit le management de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée pour la gestion de ses actifs financiers, dans l’atteinte de ses objectifs. Le modèle de gestion est spécifié pour un portefeuille d’actifs et ne constitue pas une intention au cas par cas pour un actif financier isolé. On distingue trois modèles de gestion : – Le modèle de pure collecte dont l’objectif est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie des actifs ; ce modèle n’implique pas systématiquement de détenir la totalité des actifs jusqu’à leur échéance contractuelle ; toutefois, les ventes d’actifs sont strictement encadrées ; – Le modèle mixte dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie sur la durée de vie et de céder les actifs; dans ce modèle, la vente d’actifs financiers et la perception de flux de trésorerie sont toutes les deux essentielles ; et – Le modèle de pure cession dont l’objectif principal est de céder les actifs. Il concerne notamment les portefeuilles dont l’objectif est de collecter des flux de trésorerie via les cessions, les portefeuilles dont la performance est appréciée sur la base de sa juste valeur, les portefeuilles d’actifs financiers détenus à des fins de transaction. Les caractéristiques contractuelles (test ‘ Solely Payments of Principal & Interests ’ ou test « SPPI ») : Le test « SPPI » regroupe un ensemble de critères, examinés cumulativement, permettant d’établir si les flux de trésorerie contractuels respectent les caractéristiques d’un financement simple (remboursements de nominal et versements d’intérêts sur le nominal restant dû). Le test est satisfait lorsque le financement donne droit seulement au remboursement du principal et lorsque le versement des intérêts perçus reflète la valeur temps de l'argent, le risque de crédit associé à l'instrument, les autres coûts et risques d'un contrat de prêt classique ainsi qu’une marge raisonnable, que le taux d’intérêt soit fixe ou variable. Dans un financement simple, l’intérêt représente le coût du passage du temps, le prix du risque de crédit et de liquidité sur la période, et d’autres composantes liées au coût du portage de l’actif (ex : coûts administratifs…). Dans certains cas, cette analyse qualitative ne permettant pas de conclure, une analyse quantitative (ou Benchmark test) est effectuée. Cette analyse complémentaire consiste à comparer les flux de trésorerie contractuels de l’actif étudié et les flux de trésorerie d’un actif de référence. Si la différence entre les flux de trésorerie de l’actif financier et celui de référence est jugée non significative, l’actif est considéré comme un financement simple. Par ailleurs, une analyse spécifique sera menée dans le cas où l’actif financier est émis par des entités ad hoc établissant un ordre de priorité de paiement entre les porteurs des actifs financiers en liant de multiples instruments entre eux par contrat et créant des concentrations de risque de crédit (des « tranches »). Chaque tranche se voit attribuer un rang de subordination qui précise l’ordre de distribution des flux de trésorerie générés par l’entité structurée. Dans ce cas le test « SPPI » nécessite une analyse des caractéristiques des flux de trésorerie contractuels de l’actif concerné et des actifs sous-jacents selon l’approche « look-through » et du risque de crédit supporté par les tranches souscrites comparé au risque de crédit des actifs sous-jacents. Le mode de comptabilisation des instruments de dette résultant de la qualification du modèle de gestion couplée au test « SPPI » peut être présenté sous la forme du diagramme ci-après : Instruments de dette Modèles de gestion Pure collecte Mixte Pure cession Test SPPI Satisfait Coût amorti Juste valeur par capitaux propres recyclables Juste valeur par résultat Non satisfait Juste valeur par résultat Juste valeur par résultat Juste valeur par résultat — Instruments de dette au coût amorti : Les instruments de dette sont évalués au coût amorti s’ils sont éligibles au modèle collecte et s’ils respectent le test « SPPI ». Ils sont enregistrés à la date de règlement- livraison et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. Cette catégorie d’actifs financiers fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique « Provisionnement pour risque de crédit ». — Instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables : Les instruments de dette sont évalués à la juste valeur par capitaux propres recyclables s’ils sont éligibles au modèle mixte et s’ils respectent le test « SPPI ». Ils sont enregistrés à la date de négociation et leur évaluation initiale inclut également les coupons courus et les coûts de transaction. L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Ces actifs financiers sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables en contrepartie du compte d’encours (hors intérêts courus comptabilisés en résultat selon la méthode du TIE). En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat. Cette catégorie d’instruments financiers fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le paragraphe spécifique « Provisionnement pour risque de crédit » (sans que cela n’affecte la juste valeur au bilan). — Instruments de dette à la juste valeur par résultat . Les instruments de dette sont évalués en juste valeur par résultat dans les cas suivants : – Les instruments sont classés dans des portefeuilles constitués d’actifs financiers détenus à des fins de transaction ou dont l'objectif principal est la cession; – Les actifs financiers détenus à des fins de transaction sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste. Bien que les flux de trésorerie contractuels soient perçus pendant le temps durant lequel la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détient les actifs, la perception de ces flux de trésorerie contractuels n’est pas essentielle mais accessoire. Les instruments de dette qui ne respectent pas les critères du test ‘SPPI’. C’est notamment le cas des OPCVM ; Les instruments financiers classés dans des portefeuilles pour lesquels la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée choisit pour la valorisation à la juste valeur afin de réduire une différence de traitement comptable au compte de résultat. Dans ce cas, il s'agit d'un classement sur option à la juste valeur par résultat. Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en Produit net bancaire (PNB), en contrepartie du compte d’encours. Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat par nature sont enregistrés à la date de règlement- livraison. Les instruments de dette évalués à la juste valeur par résultat sur option sont enregistrés à la date de négociation. — Instruments de capitaux propres : Les instruments de capitaux propres sont par défaut comptabilisés à la juste valeur par résultat, sauf option irrévocable pour un classement à la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sous réserve que ces instruments ne soient pas détenus à des fins de transaction. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat : Les actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction (directement enregistrés en résultat). Ils sont enregistrés à la date de règlement - livraison. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat, en Produit Net Bancaire (PNB), en contrepartie du compte d’encours. Cette catégorie d’actifs financiers ne fait pas l’objet de dépréciation. — Instrument de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (sur option irrévocable) : L’option irrévocable de comptabiliser les instruments de capitaux propres à la juste valeur par capitaux propres non recyclables est retenue au niveau transactionnel (ligne par ligne) et s’applique dès la date de comptabilisation initiale. Ces titres sont enregistrés à la date de négociation. La juste valeur initiale intègre les coûts de transaction. Lors des évaluations ultérieures, les variations de juste valeur sont comptabilisées en capitaux propres non recyclables. En cas de cession, ces variations ne sont pas recyclées en résultat, le résultat de cession est comptabilisé en capitaux propres. Seuls les dividendes sont reconnus en résultat. — Reclassement d’actifs financiers : En cas de changement important de modèle économique dans la gestion des actifs financiers (nouvelle activité, acquisition d’entités, cession ou abandon d’une activité significative), un reclassement de ces actifs financiers est nécessaire. Le reclassement s’applique à la totalité des actifs financiers du portefeuille à partir de la date de reclassement. Dans les autres cas, le modèle de gestion reste inchangé pour les actifs financiers existants. Si un nouveau modèle de gestion est identifié, il s’applique de manière prospective, aux nouveaux actifs financiers, regroupés dans un nouveau portefeuille de gestion. — Acquisition et cession temporaire de titres : Les cessions temporaires de titres (prêts de titres, titres donnés en pension livrée) ne remplissent généralement pas les conditions de décomptabilisation. Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Dans le cas de titres mis en pension, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant. Les titres empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire. Dans le cas de titres pris en pension, une créance à l’égard du cédant est enregistrée au bilan du cessionnaire en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension. Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement des actifs et passifs à la juste valeur par résultat. — Décomptabilisation des actifs financiers : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie : – lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ; – ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée. Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs. Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif. Les actifs financiers renégociés pour raisons commerciales en l’absence de difficultés financières de la contrepartie et dans le but de développer ou conserver une relation commerciale sont décomptabilisés en date de renégociation. Les nouveaux prêts accordés aux clients sont enregistrés à cette date à leur juste valeur à la date de renégociation. La comptabilisation ultérieure dépend du modèle de gestion et du test « SPPI ». — Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20) : Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. Ainsi, les prêts qui bénéficient de ces bonifications sont accordés au taux de marché. Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat. Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées en résultat sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20. — P assifs financiers . Classement et évaluation des passifs financiers : Les passifs financiers sont classés au bilan dans les deux catégories comptables suivantes : – passifs financiers à la juste valeur par résultat, par nature ou sur option ; – passifs financiers au coût amorti. — Passifs financiers à la juste valeur par résultat par nature : Les instruments financiers émis principalement en vue d’être rachetés à court terme, les instruments faisant partie d’un portefeuille d’instruments financiers identifiés qui sont gérés ensemble et qui présentent des indications d’un profil récent de prise de bénéfice à court terme, et les dérivés (à l’exception de certains dérivés de couverture) sont évalués à la juste valeur par nature. Les variations de juste valeur de ce portefeuille sont constatées en contrepartie du compte de résultat. — Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option : Les passifs financiers répondant à l’une des trois conditions définies par la norme, pourront être évalués à la juste valeur par résultat sur option : pour des émissions hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés séparables, dans une optique de réduction ou d’élimination de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés et dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette option est irrévocable et s’applique obligatoirement à la date de comptabilisation initiale de l’instrument. Lors des évaluations ultérieures, ces passifs financiers sont évalués à la juste valeur en contrepartie du résultat pour les variations de juste valeur non liées au risque de crédit propre et en contrepartie des capitaux propres non recyclables pour les variations de valeur liées au risque de crédit propre sauf si cela aggrave la non-concordance comptable. — Passifs financiers évalués au coût amorti : Tous les autres passifs répondant à la définition d’un passif financier (hors dérivé) sont évalués au coût amorti. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. — Produits de la collecte : Les produits de la collecte sont comptabilisés dans la catégorie des Passifs financiers au coût amorti – Dettes envers la clientèle malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle. L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti. Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché. Les plans d’épargne-logement et les comptes d’épargne-logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.14 "Provisions". — Reclassement de passifs financiers : Le classement initial des passifs financiers est irrévocable. Aucun reclassement ultérieur n’est autorisé. Seuls des cas de requalification (instrument de dette versus capitaux propres) peuvent intervenir. — Distinction dettes – capitaux propres : La distinction entre instruments de dette et instruments de capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance économique des dispositifs contractuels. Un passif financier est un instrument de dette s’il inclut une obligation contractuelle : – de remettre à une autre entité de la trésorerie, un autre actif financier ou un nombre variable d’instruments de capitaux propres ; ou – d’échanger des actifs et des passifs financiers avec une autre entité à des conditions potentiellement défavorables. Un instrument de capitaux propres est un instrument financier non remboursable qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette. — Décomptabilisation et modification des passifs financiers : Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie : – lorsqu’il arrive à extinction ; ou – lorsque les analyses quantitative ou qualitative concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration. Une modification substantielle d’un passif financier existant doit être enregistrée comme une extinction du passif financier initial et la comptabilisation d’un nouveau passif financier (la novation). Tout différentiel entre la valeur comptable du passif éteint et du nouveau passif sera enregistré immédiatement au compte de résultat. Si le passif financier n’est pas décomptabilisé, le TIE d’origine est maintenu. Une décote/surcote est constatée immédiatement au compte de résultat en date de modification puis fait l’objet d’un étalement au T.I.E. d’origine sur la durée de vie résiduelle de l’instrument. — Provisionnement pour risque de crédit : Champ d’application . — Conformément à IFRS 9, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise une correction de valeur au titre des pertes de crédit attendues (‘ Expected Credit Losses ’ ou ‘ ECL ’) sur les encours suivants : – les actifs financiers d’instruments de dette comptabilisés au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables (prêts et créances, titres de dette) ; – les engagements de financement qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat; – les engagements de garantie relevant d’IFRS 9 et qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat ; – les créances locatives relevant de la norme IAS 17 ; et – les créances commerciales générées par des transactions de la norme IFRS 15. Les instruments de capitaux propres (à la juste valeur par résultat ou à la juste valeur par OCI non recyclables) ne sont pas concernés par les dispositions en matière de dépréciation. Les instruments dérivés et les autres instruments en juste valeur par contrepartie résultat font l’objet d’un calcul de risque de contrepartie qui n’est pas visé par le modèle ECL. Ce calcul est décrit dans le chapitre 5 ‘Facteurs de risque et Pilier 3’ du Document de référence de Crédit Agricole S.A. — Risque de crédit et étapes de provisionnement : Le risque de crédit se définit comme le risque de pertes lié au défaut d’une contrepartie entraînant son incapacité à faire face à ses engagements vis-à-vis du Groupe. Le processus de provisionnement du risque de crédit distingue trois étapes ( Buckets ) : 1ère étape ( Bucket 1) : dès la comptabilisation initiale de l’instrument financier (crédit, titre de dette, garantie …), l’entité comptabilise les pertes de crédit attendues sur 12 mois ; 2ème étape ( Bucket 2) : si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, l’entité comptabilise les pertes attendues à maturité; 3ème étape ( Bucket 3) : dès lors qu’un ou plusieurs événements de défaut sont intervenus sur la transaction ou sur la contrepartie en ayant un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés, l’entité comptabilise une perte de crédit avérée à maturité. Par la suite, si les conditions de classement des instruments financiers en bucket 3 ne sont plus respectées, les instruments financiers sont reclassés en bucket 2, puis en bucket 1 en fonction de l'amélioration ultérieure de la qualité de risque de crédit. — Définition du défaut : La définition du défaut pour les besoins du provisionnement ECL est identique à celle utilisée en gestion et pour les calculs de ratios réglementaires. Ainsi, un débiteur est considéré en situation de défaut, lorsqu’au moins une des deux conditions suivantes est satisfaite : – un arriéré de paiement généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l’arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; – l’entité estime improbable que le débiteur s’acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu’elle ait recours à d’éventuelles mesures telles que la réalisation d’une sûreté. La définition de ‘défaut’ est appliquée uniformément à tous les instruments financiers, à moins que des informations qui deviennent disponibles indiquent qu’une autre définition de ‘défaut’ convient davantage à un instrument financier particulier. Un encours en défaut ( Bucket 3) est dit déprécié lorsque se sont produits un ou plusieurs événements qui ont un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés de cet actif financier. Les indications de dépréciation d’un actif financier englobent les données observables au sujet des événements suivants : – des difficultés financières importantes de l’émetteur ou de l’emprunteur ; – un manquement à un contrat, tel qu’une défaillance ou un paiement en souffrance ; – l’octroi, par le ou les prêteurs à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou contractuelles liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une ou de plusieurs faveurs que le ou les prêteurs n’auraient pas envisagées dans d’autres circonstances ; – la probabilité croissante de faillite ou de restructuration financière de l’emprunteur ; – la disparition d’un marché actif pour l’actif financier en raison de difficultés financières ; – l’achat ou la création d’un actif financier avec une forte décote, qui reflète les pertes de crédit subies. Il n’est pas nécessairement possible d’isoler un événement en particulier, la dépréciation de l’actif financier pouvant résulter de l’effet combiné de plusieurs événements. Sur le périmètre « Grandes clientèles » : la contrepartie en défaut ne revient en situation saine qu’après régularisation complète du retard constaté et des autres éléments déclencheurs du défaut (levée du défaut pour la société mère, levée d’une alerte ayant entraîné le défaut, etc.). Sur le périmètre de la « Banque de proximité » : les encours en défaut ne retournent en encours non en défaut qu’après régularisation intégrale des impayés. — La notion de perte de crédit attendue « ECL » : L’ECL se définit comme la valeur probable espérée pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et les flux attendus (incluant le principal et les intérêts). L’approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues. Gouvernance et mesure des ECL . — La gouvernance du dispositif de mesure des paramètres IFRS 9 s’appuie sur l’organisation mise en place dans le cadre du dispositif Bâlois. La Direction des Risques du Groupe est responsable de la définition du cadre méthodologique et de la supervision du dispositif de provisionnement des encours. Le Groupe s’appuie en priorité sur le dispositif de notation interne et les processus Bâlois actuels pour générer les paramètres IFRS 9 nécessaires au calcul des ECL. L’appréciation de l’évolution du risque de crédit s’appuie sur un modèle d’anticipation des pertes et extrapolation sur la base de scénarios raisonnables. Toutes les informations disponibles, pertinentes, raisonnables et justifiables, y compris les informations de nature prospective, doivent être retenues. La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, de perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut. Ces calculs s’appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu’ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. La norme IFRS 9 préconise une analyse en date d’arrêté ( Point in Time ) tout en tenant compte de données de pertes historiques et des données prospectives macro-économiques ( Forward Looking ), alors que la vue prudentielle s’analyse à travers le cycle ( Through The Cycle ) pour la probabilité de défaut et en bas de cycle ( Downturn ) pour la perte en cas de défaut. L’approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut (‘ Loss Given Default’ ou ‘ LGD ’). Les modalités de calcul de l’ECL sont à apprécier en fonction des typologies de produits : instruments financiers et instruments hors bilan. Les pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir sont une portion des pertes de crédit attendues pour la durée de vie, et elles représentent les insuffisances de flux de trésorerie pour la durée de vie advenant d’une défaillance dans les 12 mois suivant la date de clôture (ou une période plus courte si la durée de vie attendue de l’instrument financier est inférieure à 12 mois), pondérées par la probabilité qu’il y ait défaillance. Les pertes de crédit attendues sont actualisées au TIE déterminé lors de la comptabilisation initiale de l’instrument financier. Les paramètres IFRS 9 sont mesurés et mis à jour selon les méthodologies définies par le Groupe et permettent ainsi d’établir un premier niveau de référence, ou socle partagé, de provisionnement. Le backtesting des modèles et paramètres utilisés est réalisé a minima à fréquence annuelle. Les données macro-économiques prospectives ( Forward Looking ) sont prises en compte dans un cadre méthodologique applicable à deux niveaux : – au niveau du Groupe dans la détermination d’un cadre partagé de prise en compte du Forward Looking dans la projection des paramètres PD, LGD sur l’horizon d’amortissement des opérations ; – au niveau de chaque entité au regard de ses propres portefeuilles. Dégradation significative du risque de crédit Toutes les entités du Groupe doivent apprécier, pour chaque instrument financier, la dégradation du risque de crédit depuis l’origine à chaque date d’arrêté. Cette appréciation de l’évolution du risque de crédit conduit les entités à classer leurs opérations par classe de risque ( Buckets ). Afin d’apprécier la dégradation significative, le Groupe prévoit un processus basé sur 2 niveaux d’analyse : – un premier niveau dépendant de règles et de critères relatifs et absolus Groupe qui s’imposent aux entités du Groupe ; – un deuxième niveau lié à l’appréciation, à dire d’expert au titre du Forward Looking local, du risque porté par chaque entité sur ses portefeuilles pouvant conduire à ajuster les critères Groupe de déclassement en Bucket 2 (bascule de portefeuille ou sous-portefeuille en ECL à maturité). Le suivi de la dégradation significative porte, sauf exception, sur chaque instrument financier. Aucune contagion n’est requise pour le passage de Bucket 1 à Bucket 2 des instruments financiers d’une même contrepartie. Le suivi de la dégradation significative doit porter sur l’évolution du risque de crédit du débiteur principal sans tenir compte de la garantie, y compris pour les opérations bénéficiant d’une garantie de l’actionnaire. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Pour mesurer la dégradation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale, il est nécessaire de récupérer la notation interne et la PD (probabilité de défaut) à l'origine. L’origine s’entend comme la date de négociation, lorsque l’entité devient partie aux dispositions contractuelles de l’instrument financier. Pour les engagements de financement et de garantie, l’origine s’entend comme la date d’engagement irrévocable. Pour le périmètre sans modèle de notation interne, le groupe Crédit Agricole retient le seuil absolu d’impayés supérieur à 30 jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en Bucket 2. Pour les encours (à l'exception des titres) pour lesquels des dispositifs de notation internes ont été construits (en particulier les expositions suivies en méthodes autorisées), le groupe Crédit Agricole considère que l’ensemble des informations intégrées dans les dispositifs de notation permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d’impayé de plus de 30 jours. Si la dégradation depuis l’origine cesse d’être constatée, la dépréciation peut être ramenée à des pertes attendues à 12 mois ( Bucket 1). Afin de suppléer le fait que certains facteurs ou indicateurs de dégradation significative ne soient pas identifiables au niveau d’un instrument financier pris isolément, la norme autorise l’appréciation de la dégradation significative pour des portefeuilles, des groupes de portefeuilles ou des portions de portefeuille d’instruments financiers. La constitution des portefeuilles pour une appréciation de la dégradation sur base collective peut résulter de caractéristiques communes telles que : – le type d’instrument ; – la note de risque de crédit (dont la note interne Bâle II pour les entités disposant d’un système de notation interne) ; – le type de garantie ; – la date de comptabilisation initiale ; – la durée à courir jusqu’à l’échéance ; – le secteur d’activité ; – l’emplacement géographique de l’emprunteur ; – la valeur du bien affecté en garantie par rapport à l’actif financier, si cela a une incidence sur la probabilité de défaillance (par exemple, dans le cas des prêts garantis uniquement par sûreté réelle dans certains pays, ou sur la quotité de financement) ; – le circuit de distribution, l’objet du financement, … Une différenciation par marché de la dégradation significative est donc possible (habitat, crédit consommation, crédit aux agriculteurs ou professionnels, crédit aux entreprises, …). Le regroupement d’instruments financiers aux fins de l’appréciation des variations du risque de crédit sur une base collective peut changer au fil du temps, au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles. Pour les titres, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise l'approche qui consiste à appliquer un niveau absolu de risque de crédit, conformément à IFRS 9, en-deçà duquel les expositions seront classées en Bucket 1 et provisionnées sur la base d’un ECL à 12 mois. Ainsi, les règles suivantes s’appliqueront pour le suivi de la dégradation significative des titres : – les titres notés « Investment Grade », en date d’arrêté, seront classés en Bucket 1 et provisionnés sur la base d’un ECL à 12 mois ; – les titres notés « Non-Investment Grade » (NIG), en date d’arrêté, devront faire l’objet d’un suivi de la dégradation significative, depuis l’origine, et être classés en Bucket 2 (ECL à maturité) en cas de dégradation significative du risque de crédit. La détérioration relative doit être appréciée en amont de la survenance d’une défaillance avérée ( Bucket 3). Restructurations pour cause de difficultés financières . — Les instruments de dette restructurés pour difficultés financières sont ceux pour lesquels l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, maturité) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi ils concernent tous les instruments de dette, quelle que soit la catégorie de classement du titre en fonction de la dégradation du risque de crédit observée depuis la comptabilisation initiale. Conformément à la définition de l’ABE (Autorité Bancaire Européenne) précisée dans le chapitre Facteurs de risque du Document de référence de Crédit Agricole S.A., les restructurations de créances correspondent à l’ensemble des modifications apportées à un ou à des contrats de crédit, ainsi qu’aux refinancements accordés en raison des difficultés financières rencontrées par le client. Cette notion de restructuration doit s’apprécier au niveau du contrat et non au niveau du client (pas de contagion). La définition des créances restructurées pour cause de difficultés financières répond donc à deux critères cumulatifs : – Des modifications de contrat ou des refinancements de créance ; – Un client en situation financière difficile. Par « modification de contrat », sont visées par exemple les situations dans lesquelles : – Il existe une différence en faveur de l’emprunteur entre le contrat modifié et les conditions antérieures au contrat ; – Les modifications apportées au contrat conduisent à des conditions plus favorables pour l’emprunteur concerné que ce qu’auraient pu obtenir, au même moment, d’autres emprunteurs de la banque ayant un profil de risque similaire. Par « refinancement », sont visées les situations dans lesquelles une dette nouvelle est accordée au client pour lui permettre de rembourser totalement ou partiellement une autre dette dont il ne peut assumer les conditions contractuelles en raison de sa situation financière. Une restructuration de prêt (sain ou en défaut) indique une présomption d’existence d’un risque de perte avérée ( Bucket 3). La nécessité de constituer une dépréciation sur l’exposition restructurée doit donc être analysée en conséquence (une restructuration n’entraîne pas systématiquement la constitution de dépréciation pour perte avérée et un classement en défaut). La qualification de ‘créance restructurée’ est temporaire. Dès lors que l’opération de restructuration au sens de l’ABE a été réalisée, l’exposition conserve ce statut de “restructurée” pendant une période a minima de 2 ans si l’exposition était saine au moment de la restructuration, ou de 3 ans si l’exposition était en défaut au moment de la restructuration. Ces périodes sont prolongées en cas de survenance de certains événements prévus par les normes du Groupe (nouveaux incidents par exemple). En l’absence de décomptabilisation, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote en coût du risque. Le calcul de la décote de restructuration est égal à la différence entre : – La valeur comptable de la créance ; – Et la somme des flux futurs « restructurés », actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine. En cas d’abandon d’une partie du capital, ce montant constitue une perte à enregistrer flat en coût du risque. Lors de la reprise de la décote, la part due à l’effet de l’écoulement du temps est enregistrée en "Produit net bancaire". Irrécouvrabilité . — Lorsqu’une créance est jugée irrécouvrable, c'est-à-dire qu’il n’y a plus d’espoir de la récupérer en tout ou partie, il convient de décomptabiliser du bilan et de passer en perte le montant jugé irrécouvrable. L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert. Chaque entité doit donc le fixer, avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité. Avant tous passages en perte, un provisionnement en Bucket 3 aura dû être constitué (à l’exception des actifs à la juste valeur par résultat). Pour les crédits au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, le montant passé en perte est enregistré en coût du risque pour le nominal, en "Produit net bancaire" pour les intérêts. — Instruments financiers dérivés : Classement et évaluation . — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers classés par défaut en instruments dérivés détenus à des fins de transaction sauf à pouvoir être qualifiés d’instruments dérivés de couverture. Ils sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur initiale à la date de négociation. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur. A chaque arrêté comptable, la contrepartie des variations de juste valeur des dérivés au bilan est enregistrée : En résultat s’il s’agit d’instruments dérivés détenus à des fins de transaction ou de couverture de juste valeur ; En capitaux propres s’il s’agit d’instruments dérivés de couverture de flux de trésorerie ou d’un investissement net dans une activité à l’étranger, pour la part efficace de la couverture. — La comptabilité de couverture : Cadre général . — Conformément à la décision du Groupe, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’applique pas le volet « comptabilité de couverture » d’IFRS 9 suivant l’option offerte par la norme. L’ensemble des relations de couverture reste documenté selon les règles de la norme IAS 39, et ce au plus tard jusqu’à la date d’application du texte sur la macro-couverture de juste valeur lorsqu’il sera adopté par l’Union européenne. Néanmoins, l’éligibilité des instruments financiers à la comptabilité de couverture selon IAS 39 prend en compte les principes de classement et d’évaluation des instruments financiers de la norme IFRS 9. Sous IFRS 9, et compte-tenu des principes de couverture d’IAS 39, sont éligibles à la couverture de juste valeur et à la couverture de flux de trésorerie, les instruments de dette au coût amorti et à la juste valeur par capitaux propres recyclables. — Documentation Les relations de couverture doivent respecter les principes suivants : – La couverture de juste valeur a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut affecter le résultat (par exemple, couverture de tout ou partie des variations de juste valeur dues au risque de taux d’intérêt d’une dette à taux fixe) ; – La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition aux variations de flux de trésorerie futurs d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’une transaction prévue hautement probable, attribuables au(x) risque(s) couvert(s) et qui peut ou pourrait (dans le cas d’une transaction prévue mais non réalisée) affecter le résultat (par exemple, couverture des variations de tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ; – La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se prémunir contre le risque de variation défavorable de la juste valeur liée au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro, monnaie de présentation de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée . Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent également être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture : – Éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ; – Documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ; – Démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté. Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole S.A. privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite carve out ). Notamment : – Le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts ; – La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers. Des précisions sur la stratégie de gestion des risques du Groupe et son application sont apportées dans le chapitre 5 ‘Facteurs de risque et Pilier 3’ du Document de référence de Crédit Agricole S.A. — Evaluation : L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé à sa juste valeur se fait de la façon suivante : – couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ; – couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite recyclés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ; – couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres recyclables et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat. Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement : – couverture de juste valeur : seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres en totalité. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; – couverture de flux de trésorerie : l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts ; – couverture d'investissement net à l'étranger : Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation. — Dérivés incorporés : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Cette désignation s’applique uniquement aux passifs financiers et aux contrats non financiers. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies : – le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ; – séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ; – les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celles du contrat hôte. — Détermination de la juste valeur des instruments financiers : La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permet et fait l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C’est notamment le cas du calcul de CVA/DVA décrit dans le chapitre 5 ‘Facteurs de risque et Pilier 3’ du Document de référence de Crédit Agricole S.A. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques d’évaluation qui maximisent l’utilisation des données observables pertinentes et minimisent celle des données non observables. Lorsqu'une dette est évaluée à la juste valeur par résultat (par nature ou sur option), la juste valeur tient compte du risque de crédit propre de l’émetteur. — Risque de contrepartie sur les dérivés : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debit Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. Elle repose prioritairement sur des paramètres de marché tels que les Credit default Swaps ( CDS) nominatifs cotés (ou CDS Single Name ) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. — Hiérarchie de la juste valeur : La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation — Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs : Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels l’entité peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange , le New York Stock Exchange …), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures. Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale. Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs. Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1 : Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché. Sont présentés en niveau 2 : – les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes ) et fondée sur des données de marché observables ; – les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté. Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marché observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation. — Niveau 3 : justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité : La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3. Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de produits structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché. Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée. La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat. Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validé par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie. — Compensation des actifs et passifs financiers : Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément. Les instruments dérivés et les opérations de pension traitée avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan. — Gains ou pertes nets sur instruments financiers : Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat . — Pour les instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par résultat, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : – Les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ; – Les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ; – Les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ; – Les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie. Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture. — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres : Pour les actifs financiers comptabilisés à la juste valeur en capitaux propres, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : Les dividendes provenant d'instruments de capitaux propres classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres non recyclables ; Les plus et moins-values de cession ainsi que les résultats liés à la rupture de la relation de couverture sur les instruments de dette classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables; Les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers à la juste valeur en capitaux propres lorsque l'élément couvert est cédé. — Engagements de financement et garanties financières donnés : Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IFRS 9 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IFRS 9. Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser son titulaire d’une perte qu’il subit en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié qui n’effectue pas un paiement à l’échéance selon les conditions initiales ou modifiées d’un instrument de dette. Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre : – le montant de la correction de valeur pour pertes déterminée selon les dispositions de la norme IFRS 9, chapitre « Dépréciation » ; ou – le montant initialement comptabilisé diminué, s’il y a lieu, du cumul des produits comptabilisés selon les principes d’IFRS 15 « Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients ». — Provisions (IAS 37 et 19) : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif. Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment : – les risques opérationnels ; – les avantages au personnel ; – les risques d’exécution des engagements par signature ; – les litiges et garanties de passif ; – les risques fiscaux ; – les risques liés à l’épargne-logement. Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : – le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ; – l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ; – la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations : – la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ; – les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes. Des informations détaillées sont fournies en note 6.14 " Provisions " . — Avantages au personnel (IAS 19) : Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories : – les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participations et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus ; – les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ; – les indemnités de fin de contrat de travail ; – les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies. — Avantages à long terme : Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus. Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différées versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions. La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies. — Avantages postérieurs à l’emploi : Régimes à prestations définies . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4 "Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies"). Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turnover. Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations. Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies. Conformément à la norme IAS 19 révisé la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. Le montant de la provision est égal à : – la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ; – diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. Régimes à cotisations définies . — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés "employeurs". Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé. — Paiements fondés sur des actions (IFRS 2) : La norme IFRS 2 Paiements en actions et assimilés impose l’évaluation des transactions rémunérées par paiements en actions et assimilés dans les résultats et au bilan de l’entreprise. Cette norme s’applique aux transactions effectuées avec les salariés et plus précisément : – aux transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en instruments de capitaux propres ; – aux transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en trésorerie. Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du plan d’épargne entreprise relèvent également des dispositions de la norme IFRS 2. Les actions sont proposées avec une décote maximum de 20 %. Ces plans ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevés d’une période d’incessibilité de cinq ans. L’avantage consenti aux salariés se mesure comme étant la différence entre la juste valeur de l’action acquise en tenant compte de la condition d’incessibilité et le prix d’acquisition payé par le salarié à la date de souscription multipliée par le nombre d’actions souscrites. La charge relative aux souscriptions d’actions est comptabilisée dans les comptes des entités employeur des bénéficiaires de plans. L’impact s’inscrit en charge de personnel en contrepartie d’une augmentation des Réserves consolidées part du Groupe. — Impôts courants et différés (IAS 12 ) : Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés. Celle-ci définit l’impôt exigible comme "le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice". Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale. Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe. L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices. L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif. Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles. La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants : – un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par : - la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ; - la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction. – un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible. – un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés. Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas. Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation. Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction de ceux-ci. En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part. L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré : – soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ; – soit par un regroupement d'entreprises. Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si : – l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et – les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevé par la même autorité fiscale : a) Soit sur la même entité imposable, b) Soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique Impôts sur le bénéfice du compte de résultat. Cependant, en raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel. — Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40) : Le groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles. Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement. Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus. Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation. Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole S.A. pour donner suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d’amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 30 à 80 ans Second œuvre 8 à 40 ans Installations techniques 5 à 25 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans Matériel spécialisé 4 à 5 ans Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés. — Opérations en devises (IAS 21) : En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires (ex : instruments de dette) et non monétaires (ex : instruments de capitaux propres). A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte trois exceptions : – sur les instruments de dette à la juste valeur par capitaux propres recyclables, la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres recyclables; – les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres recyclables; – sur les passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, les écarts de change liés aux variations de juste de valeur du risque de crédit propre enregistrées en capitaux propres non recyclables Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments : – les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ; – les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture. Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés : – en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ; – en capitaux propres non recyclables si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres non recyclables. — Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients (IFRS 15) : Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent. Les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif. Concernant les autres natures de commissions, leur comptabilisation au compte de résultat doit refléter le rythme de transfert au client du contrôle du bien ou du service vendu : – le résultat d'une transaction associé à une prestation de services est comptabilisé dans la rubrique Commissions, lors du transfert du contrôle de la prestation de service au client s’il peut être estimé de façon fiable. Ce transfert peut intervenir au fur et à mesure que le service est rendu (service continu) ou à une date donnée (service ponctuel). a) Les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont enregistrées en résultat en fonction du degré d'avancement de la prestation rendue. b) Les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont, quant à elles, intégralement enregistrées en résultat lorsque la prestation est rendue. Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées à hauteur du montant pour lequel il est hautement probable que le revenu ainsi comptabilisé ne fera pas ultérieurement l'objet d'un ajustement significatif à la baisse lors de la résolution de l'incertitude. Cette estimation est mise à jour à chaque clôture. En pratique, cette condition a pour effet de différer l'enregistrement de certaines commissions de performance jusqu'à l'expiration de la période d'évaluation de performance et jusqu'à ce qu'elles soient acquises de façon définitive. — Contrats de location (IAS 17) : Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière. S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur. Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à : – constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ; – décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ; – constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre : a) L’encours financiers net : dette du locataire constituée du capital restant dû et de l’amortissement financier relatif à la période comprise entre la date de dernière échéance et la clôture de l’exercice, b) La valeur nette comptable des immobilisations louées, c) La provision pour impôts différés, Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci. En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés. S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif. — Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées (IFRS 5) : Un actif non courant (ou un groupe destiné à être cédé) est considéré comme détenu en vue de la vente si sa valeur comptable est recouvrée principalement par le biais d'une vente plutôt que par l'utilisation continue. Pour que tel soit le cas, l'actif (ou le groupe destiné à être cédé) doit être disponible en vue de la vente immédiate dans son état actuel et sa vente doit être hautement probable. Les actifs et passifs concernés sont isolés au bilan sur les postes Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées et Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées. Ces actifs non courants (ou un groupe destiné à être cédé) classés comme détenus en vue de la vente sont évalués au montant le plus bas entre leur valeur comptable et leur juste valeur diminuée des coûts de cession. En cas de moins-value latente, une dépréciation est enregistrée en résultat. Par ailleurs, ceux-ci cessent d’être amortis à compter de leur déclassement. Si la juste valeur du groupe d’actifs destiné à être cédé diminuée des coûts de vente est inférieure à sa valeur comptable après dépréciation des actifs non courants, la différence est allouée aux autres actifs du groupe d’actifs destinés à être cédés y compris les actifs financiers et est comptabilisé en résultat net des activités destinées à être cédées. Est considérée comme activité abandonnée toute composante dont le Groupe s'est séparée ou qui est classée comme détenue en vue de la vente, et qui est dans une des situations suivantes : – elle représente une ligne d'activité ou une région géographique principale et distincte ; – elle fait partie d'un plan unique et coordonné pour se séparer d'une ligne d'activité ou d'une région géographique principale et distincte ; ou, – elle est une filiale acquise exclusivement en vue de la revente. Sont présentés sur une ligne distincte du compte de résultat : – le résultat net après impôt des activités abandonnées jusqu’à la date de cession ; – le profit ou la perte après impôt résultant de la cession ou de l’évaluation à la juste valeur diminuée des coûts de la vente des actifs et passifs constituant les activités abandonnées. 1.3. Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28) : — Périmètre de consolidation : Les états financiers consolidés incluent les comptes la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse Régionale Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, de contrôle conjoint ou d’une influence notable. — Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales. Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée. Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier. Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole. Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée. C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional. Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international. La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques. — Notions de contrôle : Conformément aux normes comptables internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après. Le contrôle exclusif sur une entité est présumé exister lorsque la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité. Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seule les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances. Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée lors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, l’étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant ainsi que les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels sont analysées afin de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir délégué) ou principal (pour son propre compte). Ainsi au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affecter la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité. Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle. Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité. — Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par la norme IAS 28, les participations minoritaires détenues par les entités pour lesquelles l’option prévue par l’article 18 de cette norme a été retenue, sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature. — Méthodes de consolidation : Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10 et IAS 28 révisée. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale : – l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée ; – la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et sous contrôle conjoint. L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés. Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe. La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées. La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition. Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée constate : – en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un écart d’acquisition complémentaire ; – en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession/dilution en résultat. — Retraitements et éliminations : Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués. L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement. Les plus ou moins values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées. Note 2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période . Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2018 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 10 Périmètre de consolidation au 31 décembre 2018 . — Opération de titrisation : Au 31/12/2018, une nouvelle entité (FCT Crédit Agricole Habitat 2018) a été consolidée au sein du groupe Crédit Agricole, née d’une opération de titrisation réalisée par les 39 Caisses régionales le 26 avril 2018. Cette transaction est le second RMBS français placé dans le marché par le Groupe. Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales au FCT Crédit Agricole Habitat 2018 pour un montant de 1 milliard d’euros. Les titres seniors adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès d'investisseurs européens (banques, fonds et banques centrales). Dans le cadre de cette titrisation, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 10,4 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2018. Elle a souscrit pour 1,4 millions d’euros des titres subordonnés. — Activité des participations et filiales : Au cours de l’exercice 2018, la Caisse Régionale a procédé à 2 augmentations significatives de capital dans des filiales : – Une augmentation de capital de 3,5 millions d’ euros (dont 1 million d’ euros non libérés), dans SOFILARO, société de capital Risque filiale du de la Caisse Régionale du Languedoc et intégrée dans le périmètre de consolidation du Groupe CASA. – Une augmentation de capital de 1, 236 millions d’ euros dans sa filiale immobilière Sud Med Immobilier pour reconstitution des fonds propres. — Gestion du risque de crédit : Le coût du risque global au 31 décembre 2018 est impacté par plusieurs éléments : – Au cours du mois de Décembre 2018, la CR a cédé à un prix de 3,6 millions d’ euros un portefeuille de créances en défaut pour 13,6 millions d’ euros . Cette cession de créances explique principalement la baisse du taux de CDL sur l’exercice. – Sur le dernier trimestre 2018, la Caisse Régionale a appliqué le modèle Groupe d’actualisation des flux futurs sur les créances douteuses, soit une dotation complémentaire de provision de 5,0 M€ au 31 décembre 2018. – Mise en place du nouveau modèle de calcul des provisions sous IFRS9 sur le risque latent France (sur encours sains / dégradés), s’appuyant sur les outils Bâle II de cotation des contreparties de la banque de détail et d’Entreprises de 22,2 millions d’ euros en baisse de -3,1 Millions d’€ par rapport au 31 Décembre 2017. La Caisse régionale a poursuivi en 2018, sa politique de couverture de ses risques latents avec le maintien des stress sur les encours Corporate GMS et PIM et l'ajout d'un stress conjoncturel supplémentaire sur la filière immobilière Retail. En fin d’année 2018, la Caisse régionale a créé une nouvelle filière sur le crédit consommation ainsi que sur les encours Forborne non performants, soit + 1,5 millions d’ euros . – Une provision sectorielle couvrant un risque de crédit latent sur les encours Espagne de 10,7 millions d’ euros . – Une provision pour dépréciation des biens saisis pour 16.3 millions d’ euros , dont 14,8 m€ sur les biens détenus via sa succursale de Barcelone. — Opérations d’optimisation du coût du passif : Face à un rendement du portefeuille crédits fortement pénalisé par les réaménagements, la Caisse Régionale a procédé à des opérations d’optimisation du coût de son passif. La Caisse régionale a remboursé par anticipation des avances globales consenties par Crédit Agricole S.A. pour 5,5 millions d’ euros au cours de l’exercice 2018 ce qui a engendré le paiement d’une soulte de 1,1 millions d’ euros , comptabilisée intégralement en résultat dans les comptes consolidés. En 2017, la Caisse régionale avait déjà procédé au remboursement par anticipation des avances globales consenties par Crédit Agricole S.A. pour 262 millions d’ euros ce qui avait engendré le paiement d’une soulte de 18,9 millions d’ euros , dont 3,5 millions d’ euros comptabilisés intégralement en résultat et 15,4 millions d’ euros étalées en résultat sur la durée de vie des nouvelles avances souscrites, dans les comptes en normes internationales. Ces opérations ont pour conséquence d’alléger les charges futures et ainsi d’améliorer la trajectoire prévisionnelle du PNB. — Groupement de moyens (création, principales opérations ) : Dans le cadre de la coopération Bâle II, la Caisse Régionale a rejoint le GIE COBALT et récupéré les productions des caisses régionales partagées en 3 pôles de production (Sud Méditerranée, Brie Picardie et Centre Loire) pour le compte de 36 caisses régionales et la Banque Chalus . Note 3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture . Le pilotage des risques bancaires au sein de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est assuré par la Direction des Risques. Cette direction est rattachée au Directeur général et a pour mission d’assurer la maîtrise et le contrôle permanent des risques de crédit, financiers et opérationnels. La description de ces dispositifs ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « Facteurs de risques », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilations comptables continuent néanmoins de figurer dans les états financiers. 3.1. Risque de crédit . — ( Cf. Chapitre « Facteurs de risque – Risque de crédit » du Document de référence de Crédit Agricole SA ) 3.1.1. Variation des valeurs comptables et des corrections de valeur pour pertes sur la période . — Les corrections de valeur pour pertes correspondent aux dépréciations sur actifs et aux provisions sur engagement hors bilan comptabilisées en résultat net (Coût du risque) au titre du risque de crédit. Les différentes étapes de dépréciations ("Actifs sains" - Bucket 1 et Bucket 2 et "Actifs dépréciés" – Bucket 3) sont explicitées dans la note 1.2 ” Principes et méthodes comptables ” , chapitre ” Instruments financiers – Provisionnement pour risque de crédit ” . Les tableaux suivants présentent un rapprochement des soldes d’ouverture et de clôture des corrections de valeur pour perte comptabilisées en Coût du risque et des valeurs comptables associées, par catégorie comptable et type d’instruments. Les provisions relatives aux engagements de financement et de garanties données comptabilisées en déduction des actifs financiers au coût amorti au 1er janvier 2018 ont été reclassées dans le poste provision au cours de l’exercice 2018. Les transferts vers ECL maturité dépréciés (bucket 3) correspondent à des encours classés initialement en bucket 1, qui, au cours de l’année, ont fait l’objet d’un déclassement directement en bucket 3, ou en bucket 2 puis en bucket 3. — Actifs financiers au coût amorti : Titres de dettes : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 1er janvier 2018 212 172 -224 ‐ ‐ 2 276 -2 130 214 448 -2 354 212 094 Transferts d'actifs en cours de vie d'un bucket à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de ECL 12 mois (Bucket 1) vers ECL Maturité (Bucket 2) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de ECL Maturité (Bucket 2) vers ECL 12 mois (Bucket 1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) vers ECL Maturité (Bucket 2) / ECL 12 mois (Bucket 1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 212 172 -224 ‐ ‐ 2 276 -2 130 214 448 -2 354 212 094 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes -21 581 140 ‐ ‐ -56 -90 -21 637 50 Nouvelle production : achat, octroi, origination, 91 -7 ‐ ‐ ‐ 91 -7 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -21 672 145 ‐ ‐ -56 53 -21 728 198 Passage à perte ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit sur la période 10 ‐ -143 ‐ -133 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ -8 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -8 Total 190 591 -84 ‐ ‐ 2 220 -2 220 192 811 -2 304 190 507 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (1) ‐ ‐ ‐ ‐ Au 31 décembre 2018 190 591 -84 ‐ ‐ 2 220 -2 220 192 811 -2 304 190 507 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Inclut les impacts des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les impacts relatifs à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les impacts relatifs à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif) — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 1er janvier 2018 3 840 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 3 840 ‐ 3 840 Transferts d'actifs en cours de vie d'un bucket à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de ECL 12 mois (Bucket 1) vers ECL Maturité (Bucket 2) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de ECL Maturité (Bucket 2) vers ECL 12 mois (Bucket 1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) vers ECL Maturité (Bucket 2) / ECL 12 mois (Bucket 1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 3 840 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 3 840 ‐ 3 840 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes 2 839 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 839 ‐ Nouvelle production : achat, octroi, origination, 3 661 -1 ‐ ‐ 3 661 -1 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -822 1 ‐ ‐ ‐ ‐ -822 1 Passage à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit sur la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 6 679 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 6 679 ‐ 6 679 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (1) -2 ‐ ‐ -2 Au 31 décembre 2018 6 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 6 677 ‐ 6 677 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Inclut les impacts des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les impacts relatifs à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les impacts relatifs à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les impacts liés à la variation des créances rattachées — Actifs financiers au coût amorti : Prêts et créances sur la clientèle : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute Correction de valeur pour pertes Valeur comptable brute (a) Correction de valeur pour pertes (b) Valeur nette comptable (a) + (b) Au 1er janvier 2018 4 295 327 -6 865 407 802 -29 977 248 293 -159 341 4 951 422 -196 183 4 755 239 Transferts d'actifs en cours de vie d'un bucket à l'autre -11 065 -3 350 2 128 5 961 8 937 -6 017 ‐ -3 406 Transferts de ECL 12 mois (Bucket 1) vers ECL Maturité (Bucket 2) -146 251 473 146 251 -1 728 ‐ -1 255 Retour de ECL Maturité (Bucket 2) vers ECL 12 mois (Bucket 1) 140 890 -3 859 -140 890 7 075 ‐ 3 216 Transferts vers ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) -7 188 39 -12 033 688 19 221 -6 771 ‐ -6 044 Retour de ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) vers ECL Maturité (Bucket 2) / ECL 12 mois (Bucket 1) 1 484 -3 8 800 -74 -10 284 754 ‐ 677 Total après transferts 4 284 262 -10 215 409 930 -24 016 257 230 -165 358 4 951 422 -199 589 4 751 833 Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes 253 395 2 610 -31 217 315 -40 607 13 185 181 571 16 110 Nouvelle production : achat, octroi, origination, 925 737 -2 094 51 540 -2 129 977 277 -4 223 Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -672 342 1 454 -82 757 2 875 -21 917 17 318 -777 016 21 647 Passage à perte -18 638 17 353 -18 638 17 353 Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ 1 359 -52 54 -52 1 413 Evolution des paramètres de risque de crédit sur la période 2 402 -2 509 -22 230 ‐ -22 337 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ 848 ‐ 719 ‐ 690 ‐ 2 257 Total 4 537 657 -7 605 378 713 -23 701 216 623 -152 173 5 132 993 -183 479 4 949 514 Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (1) -2 003 -1 962 7 547 3 582 Au 31 décembre 2018 4 535 654 -7 605 376 751 -23 701 224 170 -152 173 5 136 575 -183 479 4 953 096 Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Inclut les impacts des réévaluations de juste valeur des instruments micro-couverts, les impacts relatifs à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes), les impacts relatifs à la désactualisation des décotes constatées sur crédits restructurées (reprise en PNB sur la maturité résiduelle de l'actif), les impacts liés à la variation des créances rattachées — Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres : Titres de dettes : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Valeur comptable Correction de valeur pour pertes Valeur comptable Correction de valeur pour pertes Valeur comptable Correction de valeur pour pertes Valeur comptable Correction de valeur pour pertes Au 1er janvier 2018 5 001 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 5 001 ‐ Transferts d'actifs en cours de vie d'un bucket à l'autre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts de ECL 12 mois (Bucket 1) vers ECL Maturité (Bucket 2) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de ECL Maturité (Bucket 2) vers ECL 12 mois (Bucket 1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Retour de ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) vers ECL Maturité (Bucket 2) / ECL 12 mois (Bucket 1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total après transferts 5 001 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 5 001 ‐ Variations des valeurs comptables brutes et des corrections de valeur pour pertes -5 001 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -5 001 ‐ Réévaluation de juste valeur sur la période -1 ‐ ‐ -1 Nouvelle production : achat, octroi, origination, ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Décomptabilisation : cession, remboursement, arrivée à échéance -5 000 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -5 000 ‐ Passage à perte ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit sur la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de la valeur comptable attribuables à des modalités d'évaluation comptable spécifiques (sans impact significatif sur le montant de correction de valeur pour perte) (1) ‐ ‐ ‐ ‐ Au 31 décembre 2018 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Encours contractuels des actifs financiers qui ont été sortis du bilan au cours de la période et qui font encore l’objet de mesures d’exécution ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Inclut les impacts relatifs à l'utilisation de la méthode du TIE (notamment amortissements des surcotes/décotes) — Engagements de financement (hors opérations internes au Crédit Agricole ) : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 1er janvier 2018 421 342 ‐ ‐ ‐ 2 427 ‐ 423 769 ‐ 423 769 Transferts d'engagements en cours de vie d'un bucket à l'autre -1 951 -43 1 694 17 257 ‐ ‐ -26 Transferts de ECL 12 mois (Bucket 1) vers ECL Maturité (Bucket 2) -6 969 13 6 969 -71 ‐ -58 Retour de ECL Maturité (Bucket 2) vers ECL 12 mois (Bucket 1) 5 143 -56 -5 143 88 ‐ 32 Transferts vers ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) -165 ‐ -153 ‐ 318 ‐ ‐ ‐ Retour de ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) vers ECL Maturité (Bucket 2) / ECL 12 mois (Bucket 1) 40 ‐ 21 ‐ -61 ‐ ‐ ‐ Total après transferts 419 391 -43 1 694 17 2 684 ‐ 423 769 -26 423 743 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes -3 609 -757 10 825 -486 -1 007 ‐ 6 209 -1 243 Nouveaux engagements donnés 353 659 -510 24 725 -209 378 384 -719 Extinction des engagements -357 268 296 -13 900 641 ‐ ‐ -371 168 937 Passage à perte ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit sur la période 199 -454 ‐ ‐ -255 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ -742 ‐ -464 -1 007 ‐ -1 007 -1 206 Au 31 décembre 2018 415 782 -800 12 519 -469 1 677 ‐ 429 978 -1 269 428 709 — Engagements de garantie (hors opérations internes au Crédit Agricole) : (En milliers d'Euros) Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement Correction de valeur pour pertes Montant de l'engagement (a) Correction de valeur pour pertes (b) Montant net de l'engagement (a) + (b) Au 1er janvier 2018 171 151 ‐ 7 335 ‐ 840 -1 158 179 326 -1 158 178 168 Transferts d'engagements en cours de vie d'un bucket à l'autre 1 530 -119 -2 568 166 1 038 ‐ ‐ 47 Transferts de ECL 12 mois (Bucket 1) vers ECL Maturité (Bucket 2) -888 4 888 -49 ‐ -45 Retour de ECL Maturité (Bucket 2) vers ECL 12 mois (Bucket 1) 2 499 -123 -2 499 215 ‐ 92 Transferts vers ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) -91 ‐ -957 ‐ 1 048 ‐ ‐ ‐ Retour de ECL Maturité Dépréciés (Bucket 3) vers ECL Maturité (Bucket 2) / ECL 12 mois (Bucket 1) 10 ‐ ‐ ‐ -10 ‐ ‐ ‐ Total après transferts 172 681 -119 4 767 166 1 878 -1 158 179 326 -1 111 178 215 Variations des montants de l'engagement et des corrections de valeur pour pertes -24 850 11 -2 146 -420 -70 -440 -27 066 -849 Nouveaux engagements donnés 72 300 -57 11 653 -23 83 953 -80 Extinction des engagements -97 150 254 -13 799 1 163 ‐ ‐ -110 949 1 417 Passage à perte ‐ ‐ ‐ ‐ -236 235 -236 235 Modifications de flux sur restructurations pour cause de difficultés financières ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Evolution des paramètres de risque de crédit sur la période -81 -1 304 -675 ‐ -2 060 Changements dans le modèle / méthodologie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts en actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ -105 ‐ -256 166 ‐ 166 -361 Au 31 décembre 2018 147 831 -108 2 621 -254 1 808 -1 598 152 260 -1 960 150 300 — Dépréciations des actifs financiers au 31/12/2017 : (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variations de périmètre Dotations Reprises et utilisations Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2017 Créances sur les établissements de crédit 0 Créances sur la clientèle -220 957 -116 302 140 894 -196 365 Dont dépréciations collectives -43 409 -83 033 89 647 -36 795 Opérations de location-financement 0 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance -2 249 119 -2 130 Actifs disponibles à la vente -13 041 -541 727 -12 855 Autres actifs financiers -27 534 -4 435 7 355 -24 614 Total Dépréciations des actifs financiers -263 781 0 -121 278 149 095 0 0 -235 964 3.1.2. Exposition maximale au risque de crédit . — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur comptable, nette de toute perte de valeur comptabilisée et compte non tenu des actifs détenus en garantie ou des autres rehaussements de crédit (par exemple, les accords de compensation qui ne remplissent pas les conditions de compensation selon IAS 32). Les tableaux ci-dessous présentent les expositions maximales ainsi que le montant des actifs détenus en garantie et autres techniques de rehaussements de crédit permettant de réduire cette exposition. Les actifs dépréciés en date de clôture correspondent aux actifs dépréciés (Bucket 3). — Actifs financiers non soumis aux exigences de dépréciation (comptabilisés à la juste valeur par résultat) : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 63 890 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers détenus à des fins de transaction 653 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 63 237 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 63 998 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 127 888 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ — Actifs financiers soumis aux exigences de dépréciation : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 5 150 280 ‐ 1 887 636 141 275 1 488 325 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 997 ‐ 44 580 985 14 992 ‐ Prêts et créances sur les établissements de crédit 6 677 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 4 953 096 ‐ 1 887 636 141 275 1 488 325 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 997 ‐ 44 580 985 14 992 ‐ Titres de dettes 190 507 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 5 150 280 ‐ 1 887 636 141 275 1 488 325 ‐ Dont : actifs dépréciés en date de clôture 71 997 ‐ 44 580 985 14 992 ‐ — Engagements hors bilan soumis aux exigences de dépréciation : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Exposition maximale au risque de crédit Réduction du risque de crédit Actifs détenus en garantie Autres techniques de rehaussement de crédit Instruments financiers reçus en garantie Hypothèques Nantissements Cautionnements et autres garanties financières Dérivés de crédit Engagements de garantie 151 516 649 ‐ ‐ ‐ ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 210 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement 428 709 ‐ 62 390 12 656 49 930 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 1 677 ‐ 1 ‐ 424 ‐ Total 580 225 649 62 390 12 656 49 930 ‐ Dont : engagements dépréciés en date de clôture 1 887 ‐ 1 ‐ 424 ‐ Une description des actifs détenus en garantie est présentée dans la note 8. Engagements de financement et de garantie et autres garanties. Exposition maximale au risque de crédit au 31/12/2017 . — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée. (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 5 937 Instruments dérivés de couverture 81 247 Actifs disponibles à la vente (hors titres à revenu variable ) 101 994 Prêts, créances et dépôts de garantie sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) 3 859 Prêts, créances et dépôts de garantie sur la clientèle 4 775 090 Actif financiers détenus jusqu'à l'échéance 211 718 Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations) 5 179 845 Engagements de financement donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole) 423 769 Engagements de garantie financière donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole) 179 326 Provisions - Engagements par signature -1 158 Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions) 601 937 Exposition maximale au risque de crédit 5 781 782 Le montant des garanties et autres rehaussements de crédits reçus s'élèvent à : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) Prêts et créances sur la clientèle 2 735 617 Engagements de financement donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole) 118 017 Engagements de garantie donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole) La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques. 3.1.3 Actifs financiers modifiés . — Les actifs financiers modifiés correspondent aux actifs restructurés pour difficultés financières. Il s’agit de créances pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et, depuis le 1er janvier 2014, les créances saines, au moment de la restructuration. (Une définition plus détaillée des encours structurés et leur traitement comptable est détaillée dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”). Un actif conserve le statut d’actif financier modifié dès la survenance d’une restructuration et jusqu’à sa décomptabilisation. Pour les actifs ayant fait l’objet d’une restructuration au cours de la période, la valeur comptable établie à l’issue de la restructuration est de : (En milliers d'Euros) Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gain ou perte nette de la modification ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 80 2 617 2 332 Valeur comptable brute avant modification 80 2 617 2 384 Gain ou perte nette de la modification ‐ ‐ -52 Titres de dettes ‐ ‐ ‐ Valeur comptable brute avant modification ‐ ‐ ‐ Gain ou perte nette de la modification ‐ ‐ ‐ Selon les principes établis dans la note 1.2 “Principes et méthodes comptables”, chapitre ”Instruments financiers - Risque de crédit”, dont le stade de dépréciation correspond à celui du Bucket 2 (actifs dégradés) ou Bucket 3 (actifs dépréciés) peuvent faire l’objet d’un retour en Bucket 1 (actifs sains) . La valeur comptable des actifs modifiés concernés par ce reclassement au cours de la période est de : (En milliers d'Euros) Valeur comptable brute Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs restructurés antérieurement classés en Bucket 2 ou en Bucket 3 et reclassés en Bucket 1 au cours de la période Prêts et créances sur les établissements de crédit ‐ Prêts et créances sur la clientèle ‐ Titres de dettes ‐ Total ‐ 3.1.4. Concentrations du risque de crédit . — Les valeurs comptables et montants des engagements sont présentés nets de dépréciations et de provisions. Exposition au risque de crédit par catégories de risque de crédit . — Les catégories de risques de crédit sont présentées par intervalles de probabilité de défaut. La correspondance entre les notations internes et les intervalles de probabilité de défaut est détaillée dans le chapitre "Facteurs de risques et pilier 3 – Gestion du risque de crédit" du Document de référence de Crédit Agricole S.A. — Actifs financiers au coût amorti (hors opérations internes au crédit agricole) : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2018 Valeur comptable Actifs sains ou dégradés Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 2 195 801 9 615 ‐ 2 205 416 0,5% < PD ≤ 2% 704 692 25 462 ‐ 730 154 2% < PD ≤ 20% 416 493 207 247 ‐ 623 740 20% < PD < 100% 403 70 523 ‐ 70 926 PD = 100% ‐ ‐ 167 301 167 301 Total Clientèle de détail 3 317 389 312 847 167 301 3 797 537 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 1 033 205 ‐ ‐ 1 033 205 0,6% < PD ≤ 12% 382 328 56 873 ‐ 439 201 12% < PD < 100% ‐ 7 031 ‐ 7 031 PD = 100% ‐ ‐ 59 089 59 089 Total Hors clientèle de détail 1 415 533 63 904 59 089 1 538 526 Dépréciations -7 689 -23 701 -154 393 -185 783 Total 4 725 233 353 050 71 997 5 150 280 — Engagements de financement (hors opérations internes au crédit agricole) : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains ou dégradés Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 155 629 696 ‐ 156 325 0,5% < PD ≤ 2% 55 647 997 ‐ 56 644 2% < PD ≤ 20% 45 610 5 201 ‐ 50 811 20% < PD < 100% ‐ 1 071 ‐ 1 071 PD = 100% ‐ ‐ 981 981 Total Clientèle de détail 256 886 7 965 981 265 832 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 88 307 ‐ ‐ 88 307 0,6% < PD ≤ 12% 70 589 4 286 ‐ 74 875 12% < PD < 100% ‐ 268 ‐ 268 PD = 100% ‐ ‐ 696 696 Total Hors clientèle de détail 158 896 4 554 696 164 146 Provisions (1) -800 -469 ‐ -1 269 Total 414 982 12 050 1 677 428 709 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie (hors opérations internes au crédit agricole) : (En milliers d'Euros) Catégories de risque de crédit Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains ou dégradés Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Clientèle de détail PD ≤ 0,5% 10 419 ‐ ‐ 10 419 0,5% < PD ≤ 2% 8 571 40 ‐ 8 611 2% < PD ≤ 20% 7 796 840 ‐ 8 636 20% < PD < 100% ‐ 363 ‐ 363 PD = 100% ‐ ‐ 471 471 Total Clientèle de détail 26 786 1 243 471 28 500 Hors clientèle de détail PD ≤ 0,6% 72 557 ‐ ‐ 72 557 0,6% < PD ≤ 12% 48 488 1 096 ‐ 49 584 12% < PD < 100% ‐ 282 ‐ 282 PD = 100% ‐ ‐ 1 337 1 337 Total Hors clientèle de détail 121 045 1 378 1 337 123 760 Provisions (1) -108 -254 -1 598 -1 960 Total 147 723 2 367 210 150 300 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Concentrations du risque de crédit par agent économique — Actifs financiers au coût amorti par agent économique : Actifs financiers au coût amorti (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 661 355 14 035 5 926 681 316 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit 55 796 ‐ 2 220 58 016 Grandes entreprises 698 382 49 869 50 943 799 194 Clientèle de détail 3 317 389 312 847 167 301 3 797 537 Dépréciations -7 689 -23 701 -154 393 -185 783 Total 4 725 233 353 050 71 997 5 150 280 — Dettes envers la clientèle par agent économique : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Administration générale 3 503 4 633 Grandes entreprises 822 660 779 401 Clientèle de détail 1 353 765 1 275 718 Total dettes envers la clientèle 2 179 928 2 059 752 — Engagements de financement par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Engagements de financement (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 43 199 ‐ ‐ 43 199 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 115 697 4 554 696 120 947 Clientèle de détail 256 886 7 965 981 265 832 Provisions (1) -800 -469 ‐ -1 269 Total 414 982 12 050 1 677 428 709 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Engagements de garantie (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) Administration générale 2 060 ‐ ‐ 2 060 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 118 985 1 378 1 514 121 877 Clientèle de détail 26 786 1 243 294 28 323 Provisions (1) -108 -254 -1 598 -1 960 Total 147 723 2 367 210 150 300 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) au 31/12/2017 : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Encours bruts D ont encours bruts dépréciés sur base individuelle Dépréciations individuelles Dépréciations collectives Total Administration générale 564 498 6 003 6 003 3 249 555 246 Banques centrales 0 Etablissements de crédit 3 840 3 840 Grandes entreprises 718 075 54 370 35 980 7 799 674 296 Clientèle de détail 3 670 101 188 149 117 587 25 747 3 526 767 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1) 4 956 514 248 522 159 570 36 795 4 760 149 (1) Dont encours restructurés pour 82 577 milliers d'euros. — Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique au 31/12/2017 : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Engagements de financement en faveur de la clientèle Administration générale 31 683 Grandes entreprises 113 049 Clientèle de détail 279 037 Total Engagements de financement 423 769 Engagements de garantie en faveur de la clientèle Administration générale 3 395 Grandes entreprises 162 425 Clientèle de détail 14 706 Total Engagements de garantie 180 526 Concentration du risque de crédit par zone géographique — Actifs financiers au coût amorti par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Actifs financiers au coût amorti (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Valeur comptable Actifs sains Actifs dépréciés (Bucket 3) Total Actifs soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Actifs soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 4 563 154 311 241 138 519 5 012 914 Autres pays de l'Union européenne 166 018 64 371 85 629 316 018 Autres pays d'Europe 1 512 525 ‐ 2 037 Amérique du Nord 1 577 257 2 224 4 058 Amériques centrale et du Sud 104 ‐ ‐ 104 Afrique et Moyen-Orient 448 357 1 806 Asie et Océanie (hors Japon) 109 ‐ 17 126 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supranationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Dépréciations -7 689 -23 701 -154 393 -185 783 Total 4 725 233 353 050 71 997 5 150 280 — Dettes envers la clientèle par zone géographique : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 France (y compris DOM-TOM) 2 083 296 1 965 994 Autres pays de l'Union européenne 87 487 86 137 Autres pays d'Europe 4 486 3 864 Amérique du Nord 2 100 1 481 Amériques centrale et du Sud 126 114 Afrique et Moyen-Orient 1 788 1 657 Asie et Océanie (hors Japon) 601 503 Japon 44 2 Organismes supranationaux ‐ ‐ Total dettes envers la clientèle 2 179 928 2 059 752 — Engagements de financement par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Engagements de financement (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 414 975 12 510 1 677 429 162 Autres pays de l'Union européenne 671 4 ‐ 675 Autres pays d'Europe 65 1 ‐ 66 Amérique du Nord (1) 22 1 ‐ 23 Amériques centrale et du Sud 5 ‐ ‐ 5 Afrique et Moyen-Orient 23 3 ‐ 26 Asie et Océanie (hors Japon) 21 ‐ ‐ 21 Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supranationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -800 -469 ‐ -1 269 Total 414 982 12 050 1 677 428 709 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan — Engagements de garantie par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) : Engagements de garantie (En milliers d'Euros) Au 31 décembre 2018 Montant de l'engagement Engagements sains Engagements dépréciés (Bucket 3) Total Engagements soumis à une ECL 12 mois (Bucket 1) Engagements soumis à une ECL à maturité (Bucket 2) France (y compris DOM-TOM) 147 829 2 621 1 808 152 258 Autres pays de l'Union européenne 2 ‐ ‐ 2 Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ Organismes supranationaux ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions (1) -108 -254 -1 598 -1 960 Total 147 723 2 367 210 150 300 (1) Les pertes attendues ou avérées relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) au 31/12/2017 : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Encours bruts D ont encours bruts dépréciés sur base individuelle Dépréciations individuelles Dépréciations collectives Total France (y compris DOM-TOM) 4 651 098 155 148 104 068 36 704 4 510 326 Autres pays de l'Union européenne 300 183 93 369 55 497 91 244 595 Autres pays d'Europe 2 335 2 335 Amérique du Nord 2 035 4 4 2 031 Amériques centrale et du Sud 127 127 Afrique et Moyen-Orient 733 1 1 732 Asie et Océanie (hors Japon) 3 3 Japon 0 Organismes supranationaux 0 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1) 4 956 514 248 522 159 570 36 795 4 760 149 (1) Dont encours restructurés pour 82 577 milliers d'euros. — Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique au 31/12/2017 : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Engagements de financement en faveur de la clientèle France (y compris DOM-TOM) 422 855 Autres pays de l'Union européenne 760 Autres pays d'Europe 86 Amérique du Nord 24 Amériques centrale et du Sud 5 Afrique et Moyen-Orient 24 Asie et Océanie (hors Japon) 15 Japon Total Engagements de financement 423 769 Engagements de garantie en faveur de la clientèle France (y compris DOM-TOM) 180 523 Autres pays de l'Union européenne 3 Autres pays d'Europe Amérique du Nord Amériques centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total Engagements de garantie 180 526 3.1.5. Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement — Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Actifs sans augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale (Bucket 1) Actifs avec augmentation significative du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale mais non dépréciés (Bucket 2) Actifs dépréciés (Bucket 3) ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours ≤ 30 jours > 30 jours à ≤ 90 jours > 90 jours Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Administration générale ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Clientèle de détail ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 25 319 1 243 ‐ 13 388 11 011 ‐ 2 609 5 250 52 490 Administration générale 8 738 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Etablissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Grandes entreprises 5 589 323 ‐ 1 676 -33 ‐ 2 462 10 088 Clientèle de détail 10 992 920 ‐ 11 712 11 044 ‐ 2 607 4 788 42 402 Total 25 319 1 243 ‐ 13 388 11 011 ‐ 2 609 5 250 52 490 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés ≤ 90 jours > 90 jours à > 180 jours > 180 jours à ≤ 1 an > 1 an Valeur comptable des actifs financiers en souffrance Instruments de capitaux propres 256 857 12 855 Instruments de dettes 0 0 0 0 0 146 2 130 Administration générale 0 Banques centrales 0 Etablissements de crédit 0 146 2 130 Grandes entreprises 0 Clientèle de détail 0 Prêts et avances 53 107 88 952 196 365 Administration générale 8 322 9 252 Banques centrales 0 Etablissements de crédit 0 Grandes entreprises 7 543 18 390 43 779 Clientèle de détail 37 242 70 532 143 334 Total actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement 53 107 345 955 211 350 3.2. Risque de marché . — (cf. Rapport de gestion page 28) Opérations sur les instruments dérivés : analyse par durée résiduelle . — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. — Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif : ( En milliers d'Euros) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 191 61 226 2 581 63 998 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 191 61 226 2 581 63 998 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-Floors-Collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres i nstruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 191 61 226 2 581 63 998 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif ‐ ‐ ‐ 191 61 226 2 581 63 998 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 0 0 0 2 614 53 639 24 994 81 247 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 2 614 53 639 24 994 81 247 Options de taux Caps-Floors-Collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 0 0 0 0 0 0 0 Opérations fermes de change Options de change Autres instruments 0 0 0 0 0 0 0 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Sous-total 0 0 0 2 614 53 639 24 994 81 247 . Opérations de change à terme Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif 0 0 0 2 614 53 639 24 994 81 247 — Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif : (En milliers d'Euros ) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 1 503 25 241 63 886 90 630 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 1 503 25 241 63 886 90 630 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-Floors-Collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 1 503 25 241 63 886 90 630 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif ‐ ‐ ‐ 1 503 25 241 63 886 90 630 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 0 0 0 3 033 28 094 63 242 94 369 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 3 033 28 094 63 242 94 369 Options de taux Caps-Floors-Collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 0 0 0 0 0 0 0 Opérations fermes de change Options de change Autres instruments 0 0 0 0 0 0 0 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Sous-total 0 0 0 3 033 28 094 63 242 94 369 Opérations de change à terme Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif 0 0 0 3 033 28 094 63 242 94 369 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 27 624 651 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 27 624 651 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-Floors-Collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 2 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 2 2 Sous-total ‐ ‐ ‐ ‐ 27 626 653 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif ‐ ‐ ‐ ‐ 27 626 653 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 0 0 0 0 37 443 480 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 37 443 480 Options de taux Caps-Floors-Collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 0 0 0 0 0 0 0 Opérations fermes de change Options de change Autres instruments 0 0 0 2 0 0 2 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Autres 2 2 Sous total 0 0 0 2 37 443 482 Opérations de change à terme Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif 0 0 0 2 37 443 482 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif : ( En milliers d'Euros) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ 27 647 674 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ ‐ 27 647 674 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps-Floors-Collars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises et or ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 73 73 Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 73 73 Sous-total ‐ ‐ ‐ ‐ 27 720 747 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif ‐ ‐ ‐ ‐ 27 720 747 ( En milliers d'Euros ) 31/12/2017 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 0 0 0 0 37 451 488 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 37 451 0 Options de taux Caps-Floors-Collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 0 0 0 0 0 0 0 Opérations fermes de change Options de change Autres instruments 0 0 0 0 0 68 68 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Autres 68 Sous total 0 0 0 0 37 519 556 Opérations de change à terme Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif 0 0 0 0 37 519 556 — Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Instruments de taux d'intérêt 2 063 802 2 198 848 Futures ‐ ‐ FRA ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts 2 063 802 2 198 848 Options de taux ‐ ‐ Caps- F loors- C ollars ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ Instruments de devise s et or 55 762 80 540 Opérations fermes de change ‐ ‐ Options de change 55 762 80 540 Autres instruments ‐ ‐ Dérivés sur actions et indices boursiers ‐ ‐ Dérivés sur métaux précieux ‐ ‐ Dérivés sur produits de base ‐ ‐ Dérivés de crédits ‐ ‐ Autres ‐ ‐ Sous-total 2 119 564 2 279 388 Opérations de change à terme 28 516 14 158 Total notionnels 2 148 080 2 296 546 Risque de change . — (cf. Rapport de gestion page 32) (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Actif Passif Actif Passif EUR 6 495 399 6 495 398 6 284 570 6 284 570 Autres devises de l'Union Européenne 253 260 35 35 USD 2 044 2 038 1 894 1 894 JPY Autres devises 288 288 250 250 Total bilan 6 497 984 6 497 984 6 286 749 6 286 749 (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Emprunts obligataires Dettes subordonnées à durée déterminée Dettes subordonnées à durée indéterminée Emprunts obligataires Dettes subordonnées à durée déterminée Dettes subordonnées à durée indéterminée EUR 15 523 7 837 15 469 Autres devises de l'Union Européenne USD JPY Autres devises Total 15 523 7 837 15 469 3.3. Risque de liquidité et de financement . — (cf. Rapport de gestion page 33) — Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 135 165 2 615 97 867 110 200 ‐ 345 847 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 321 118 420 458 1 620 631 2 766 983 7 385 5 136 575 Total 456 283 423 073 1 718 498 2 877 183 7 385 5 482 422 Dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -183 479 Total prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 5 298 943 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 179 490 2 643 94 907 119 013 ‐ 396 053 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 323 907 409 682 1 535 016 2 682 833 1 236 4 952 674 Total 503 397 412 325 1 629 923 2 801 846 1 236 5 348 727 Dépréciations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -196 365 Total prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 5 152 362 — Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 410 798 867 361 1 077 150 591 218 ‐ 2 946 527 Dettes envers la clientèle 1 675 222 157 082 277 989 69 635 ‐ 2 179 928 Total dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 2 086 020 1 024 443 1 355 139 660 853 ‐ 5 126 455 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 430 500 906 290 961 960 651 678 ‐ 2 950 428 Dettes envers la clientèle 1 537 300 120 374 294 447 107 631 ‐ 2 059 752 Total dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 1 967 800 1 026 664 1 256 407 759 309 ‐ 5 010 180 — Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre Bons de caisse 36 ‐ ‐ ‐ ‐ 36 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 93 207 157 216 ‐ ‐ 157 516 Emprunts obligataires 3 ‐ ‐ 15 520 ‐ 15 523 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total dettes représentées par un titre 132 207 157 216 15 520 ‐ 173 075 Dettes subordonnées Dettes subordonnées à durée déterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes subordonnées à durée indéterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépôts de garantie à caractère mutuel ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres et emprunts participatifs ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre Bons de caisse 192 20 ‐ ‐ ‐ 212 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de créances négociables 93 207 158 158 ‐ ‐ 158 458 Emprunts obligataires ‐ ‐ ‐ 7 837 ‐ 7 837 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total dettes représentées par un titre 285 227 158 158 7 837 ‐ 166 507 Dettes subordonnées Dettes subordonnées à durée déterminée 481 14 988 ‐ ‐ ‐ 15 469 Dettes subordonnées à durée indéterminée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dépôts de garantie à caractère mutuel ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres et emprunts participatifs ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total dettes subordonnées 481 14 988 ‐ ‐ ‐ 15 469 Garanties financières en risque données par maturité attendue . — Les montants présentés correspondent au montant attendu d’appel des garanties financières en risque, c'est-à-dire qui ont fait l’objet de provisions ou qui sont sous surveillance. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données 15 3 163 ‐ ‐ ‐ 3 178 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Garanties financières données ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Les échéances contractuelles des instruments dérivés sont présentées dans la note 3.2 " Risque de marché". 3.4. Comptabilité de couverture . — (Cf Note 3.2 "Risque de marché" et Chapitre "Facteurs de risque – Gestion du bilan" du Document de référence de Crédit Agricole S.A.) Couverture de juste valeur . — Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variable. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe. Couverture de flux de trésorerie . — Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable. Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable. Couverture d’un investissement net en devise . — Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères. — Instruments dérivés de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Valeur de marché Montant notionnel Positive Négative Couverture de juste valeur 63 998 89 631 2 000 754 Taux d'intérêt 63 998 89 631 2 000 754 Change ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ Couverture de flux de trésorerie ‐ 999 25 000 Taux d'intérêt ‐ 999 25 000 Change ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ Total instruments dérivés de couverture 63 998 90 630 2 025 754 ( En milliers d'Euros) 31/12/2017 Valeur de marché Montant Positive Négative Notionnel Couverture de juste valeur 81 247 93 124 2 149 313 Taux d'intérêt 81 247 93 124 2 149 313 Instruments de capitaux propres Change Crédit Matières premières Autres Couverture de flux de trésorerie 0 1 245 25 000 Taux d'intérêt 1 245 25 000 Instruments de capitaux propres Change Crédit Matières premières Autres Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger Total Instruments dérivés de couverture 81 247 94 369 2 174 313 Opérations sur instruments dérivés de couverture : analyse par durée résiduelle (notionnels) . — La ventilation des notionnels des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total notionnel ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ 142 372 946 560 936 822 2 025 754 Futures ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ FRA ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Swaps de taux d'intérêts ‐ ‐ ‐ 142 372 946 560 936 822 2 025 754 Options de taux ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Caps- F loors- C ollars ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de devises ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Opérations fermes de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Options de change ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sous-total ‐ ‐ ‐ 142 372 946 560 936 822 2 025 754 Opérations de change à terme ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total notionnel des instruments dérivés de couverture ‐ ‐ ‐ 142 372 946 560 936 822 2 025 754 La note « 3.2 Risque de marché - Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle » présente la ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés de couverture par maturité contractuelle résiduelle. Couverture de juste valeur — Instruments dérivés de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y. c. cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Couverture de juste valeur Marchés organisés ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ Marchés de gré à gré 13 332 42 295 52 307 068 Taux d'intérêt 13 332 42 295 52 307 068 Instruments fermes 13 332 42 295 52 307 068 Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de juste valeur 13 332 42 295 52 307 068 Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 50 666 47 336 -12 903 1 693 686 Total couverture de juste valeur 63 998 89 631 -12 851 2 000 754 Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Eléments couverts : Micro-couvertures (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Couvertures existantes Couvertures ayant cessé Réévaluations de juste valeur sur la période liée à la couverture (y. c. cessations de couvertures au cours de la période) Valeur comptable Dont cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 292 015 40 223 ‐ -2 425 Taux d'intérêt 292 015 40 223 ‐ -2 425 Change ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments d'actif 292 015 40 223 ‐ -2 425 Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 62 216 7 216 ‐ -942 Taux d'intérêt 62 216 7 216 ‐ -942 Change ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de juste valeur sur les éléments de passif 62 216 7 216 ‐ -942 La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste du bilan auquel elle se rattache. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers micro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. Macro-couvertures (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Valeur comptable Cumul des réévaluations de juste valeur liées à la couverture restant à étaler sur couvertures ayant cessé Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 1 346 616 ‐ Total - actifs 1 346 616 ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 424 229 ‐ Total - passifs 424 229 ‐ Total couverture de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 922 387 ‐ La juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur est comptabilisée dans le poste « Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux » au bilan. Les variations de juste valeur des portions couvertes des instruments financiers macro-couverts en juste valeur sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Résultat de la comptabilité de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Variation de juste valeur sur les instruments de couverture (y. c. cessations de couverture) Variation de juste valeur sur les éléments couverts (y. c. cessations de couverture) Part de l'inefficacité de la couverture Taux d'intérêt -12 851 11 418 -1 433 Change ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ Total -12 851 11 418 -1 433 Couverture de flux de trésorerie et d’investissements nets à l’étranger — Instruments dérivés de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Valeur comptable Variations de la juste valeur sur la période (y. c. cessation de couverture au cours de la période) Montant notionnel Actif Passif Couverture de flux de trésorerie Marchés organisés ‐ ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ Marchés de gré à gré ‐ 999 245 25 000 Taux d'intérêt ‐ 999 245 25 000 Instruments fermes ‐ 999 245 25 000 Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments fermes ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments conditionnels ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ Total des micro-couvertures de flux de trésorerie ‐ 999 245 25 000 Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de change ‐ ‐ ‐ ‐ Total des macro-couvertures de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie ‐ 999 245 25 000 Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ Les variations de juste valeur des dérivés de couverture sont comptabilisées au sein du poste « Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres » à l’exception de la part inefficace de la relation de couverture qui est comptabilisée au sein du poste « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » au compte de résultat. — Résultat de la comptabilité de couverture : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Résultat net (Résultat de la comptabilité de couverture) Montant de la part efficace de la relation de couverture comptabilisé sur la période Montant comptabilisé en capitaux propres recyclables transférés en résultat au cours de la période Montant de la part inefficace de la couverture Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ Taux d'intérêt 245 ‐ ‐ Change ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ Total de la couverture de flux de trésorerie 245 ‐ ‐ Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ Total couverture de flux de trésorerie et d'investissement net dans une activité à l'étranger 245 ‐ ‐ 3.5. Risques opérationnels . — (cf. Rapport de gestion page 36) 3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires . — Conformément au règlement européen 575/2013 (CRR), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité, de levier et de liquidité. La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013, applicables depuis le 1er janvier 2014 et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne (BCE) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché. Ce nouveau dispositif prudentiel consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de fonds propres et des exigences supplémentaires en matière de la liquidité et du levier. Les exigences de coussins de fonds propres s’appliquent de manière progressive et atteindront le niveau cible en 2019. Les fonds propres sont répartis en trois catégories : – les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), déterminés à partir des capitaux propres retraités notamment de certains instruments de capital qui sont classés en Additional Tier 1 (AT1) et de déductions des immobilisations incorporelles ; – les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1 , constitués du Common Equity Tier 1 et des instruments de fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 perpétuels ; – les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans. Pour être reconnus en fonds propres, les instruments de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion exigeants. Si ces instruments ne sont pas éligibles, et qu’ils ont été émis avant le 31/12/2011, ils font l’objet d’une clause de « grand-père » qui s’étale sur 10 ans jusqu’à fin 2021 permettant de les éliminer des fonds propres de façon progressive. Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier 1 (AT1) et du Tier 2. Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances quand l’établissement ne bénéficie pas de la « dérogation conglomérat financier ». En 2018 comme en 2017 et selon la règlementation en vigueur, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a respecté les exigences réglementaires. Note 4. – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . 4.1. Produits et Charges d’intérêts : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Sur les actifs financiers au coût amorti 133 583 Opérations avec les établissements de crédit 470 Opérations internes au Crédit Agricole 10 085 Opérations avec la clientèle 119 531 Opérations de location-financement ‐ Titres de dettes 3 497 Sur les actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ Opérations avec les établissements de crédit ‐ Opérations avec la clientèle ‐ Titres de dettes ‐ Intérêts courus et échus des instruments de couverture 22 994 Autres intérêts et produits assimilés ‐ Produits d'intérêts (1) (2) 156 577 Sur les passifs financiers au coût amorti -48 352 Opérations avec les établissements de crédit -1 199 Opérations internes au Crédit Agricole -23 210 Opérations avec la clientèle -14 237 Opérations de location-financement ‐ Dettes représentées par un titre -9 246 Dettes subordonnées -460 Intérêts courus et échus des instruments de couverture -29 431 Autres intérêts et charges assimilées ‐ Charges d'intérêts -77 783 (1) dont 2 603 milliers d'euros sur créances dépréciées (Bucket 3) au 31 décembre 2018 (2) dont 434 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2018 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Sur opérations avec les établissements de crédit 372 Sur opérations internes au Crédit Agricole 10 315 Sur opérations avec la clientèle 131 590 Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 3 379 Intérêts courus et échus des instruments de couverture 24 737 Sur opérations de location-financement Autres intérêts et produits assimilés Produits d'intérêts (1) (2) 170 393 Sur opérations avec les établissements de crédit -410 Sur opérations internes au Crédit Agricole -27 053 Sur opérations avec la clientèle -13 649 Sur dettes représentées par un titre -9 104 Sur dettes subordonnées -954 Intérêts courus et échus des instruments de couverture -30 121 Sur opérations de location-financement Autres intérêts et charges assimilées Charges d'intérêts -81 291 (1) Dont 2 773 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2017. (2) Dont 661 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2017 4.2. Produits et charges de commissions : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 108 -53 55 99 -50 49 Sur opérations internes au Crédit Agricole 4 909 -11 505 -6 596 4 736 -13 148 -8 412 Sur opérations avec la clientèle 18 383 -354 18 029 17 976 -322 17 654 Sur opérations sur titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur opérations de change 14 ‐ 14 8 ‐ 8 Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers 50 233 -6 318 43 915 51 846 -5 830 46 016 Gestion d' OPCVM , fiducie et activités analogues 1 056 -245 811 990 -185 805 Produits nets des commissions 74 703 -18 475 56 228 75 655 -19 535 56 120 4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Dividendes reçus 24 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif détenus à des fins de transaction -25 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat -1 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur instruments de dette ne remplissant pas les critères SPPI -555 Gains ou pertes nets sur actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option (1) ‐ Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger) 147 Résultat de la comptabilité de couverture -1 431 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat -1 841 (1) Hors spread de crédit émetteur pour les passifs à la juste valeur par résultat sur option concernés (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Dividendes reçus Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature 26 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option 37 Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger) 140 Résultat de la comptabilité de couverture -1 431 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat -1 228 — Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Profits Pertes Net Profits Pertes Net Couverture de juste valeur 112 444 -113 875 -1 431 129 943 -131 374 -1 431 Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts 56 196 -57 679 -1 483 60 931 -70 443 -9 512 Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures) 56 248 -56 196 52 69 012 -60 931 8 081 Couverture de flux de trésorerie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 185 333 -185 333 ‐ 232 855 -232 855 ‐ Variations de juste valeur des éléments couverts 99 117 -86 216 12 901 115 578 -117 277 -1 699 Variations de juste valeur des dérivés de couverture 86 216 -99 117 -12 901 117 277 -115 578 1 699 Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total résultat de la comptabilité de couverture 297 777 -299 208 -1 431 362 798 -364 229 -1 431 Le détail du résultat de la comptabilité de couverture par type de relation (Couverture de juste valeur, Couverture de flux de trésorerie, ) est présenté dans la note 3.4 Comptabilité de couverture. 4.4. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Gains ou pertes nets sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables (1) ‐ Rémunération des instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables (dividendes) 16 583 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par capitaux propres 16 583 (1) Hors résultat de cession sur instruments de dettes dépréciés (Bucket 3) mentionné en note 4.8 « Coût du risque ». — Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente au 31/12/2017 : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Dividendes reçus 15 904 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente (1) -10 Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres) -540 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente 15 354 (1) Hors résultat de cession sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement mentionnés en note 4.8 " Coût du risque". 4.5. Produits (charges) nets des autres activités : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation ‐ ‐ Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d’assurance ‐ ‐ Autres produits nets de l’activité d’assurance ‐ ‐ Variation des provisions techniques des contrats d’assurance ‐ ‐ Produits nets des immeubles de placement -580 -99 Autres produits (charges) nets 150 104 Produits (charges) des autres activités -430 5 4.6. Charges générales d’exploitation : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Charges de personnel -58 846 -58 029 Impôts, taxes et contributions réglementaires (1) -4 307 -4 465 Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation -36 460 -35 666 Charges générales d'exploitation -99 613 -98 160 (1) Dont 896 milliers d'euros comptabilisés au titre du fonds de résolution Honoraires des commissaires aux comptes . — Le montant des charges générales d’exploitation intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée . La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2018 est donnée ci-dessous : — Collège des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée : (En milliers d'Euros) E&Y KPMG Total 2018 2018 2017 2018 2017 Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés 108 129 68 89 176 Émetteur 108 129 68 89 176 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Services autres que la certification des comptes 2 ‐ 12 20 14 Émetteur 2 ‐ 12 20 14 Filiales intégrées globalement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 110 129 80 109 190 Le montant total des honoraires de Ernst & Young (E&Y) commissaire aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 110 milliers d’euros, dont 108 milliers d’euros au titre de la mission de certification des comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, de sa succursale en Espagne et de ses filiales ( y compris les Caisses locales), et 2 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes (lettres de confort, procédures convenues, attestations, consultations, etc.). Le montant total des honoraires de KPMG commissaire aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée figurant au compte de résultat consolidé de l'exercice s'élève à 80 milliers d’euros, dont 68 milliers d’euros au titre de la mission de certification des comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et 12 milliers d’euros au titre de services autres que la certification des comptes (lettres de confort, procédures convenues, attestations, consultations, etc.). 4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Dotations aux amortissements -4 458 -4 552 Immobilisations corporelles -4 440 -4 532 Immobilisations incorporelles -18 -20 Dotations (reprises) aux dépréciations ‐ ‐ Immobilisations corporelles ‐ ‐ Immobilisations incorporelles ‐ ‐ Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles -4 458 -4 552 4.8. Coût du risque : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs sains (Bucket 1 et Bucket 2) 4 053 Bucket 1 : Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir -1 502 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -1 441 Engagements par signature -61 Bucket 2 : Pertes évaluées au montant des pertes de crédit attendues pour la durée de vie 5 555 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti 5 559 Engagements par signature -4 Dotations nettes de reprises des dépréciations sur actifs dépréciés (Bucket 3) -11 792 Bucket 3 : Actifs dépréciés -11 792 Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ Instruments de dettes comptabilisés au coût amorti -11 117 Engagements par signature -675 Autres actifs -1 812 Risques et charges -111 Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions -9 662 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables dépréciés ‐ Gains ou pertes réalisés sur instruments de dettes comptabilisés au coût amorti dépréciés ‐ Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés -1 284 Récupérations sur prêts et créances 3 852 Comptabilisés au coût amorti 3 852 Comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ Décotes sur crédits restructurés -52 Pertes sur engagements par signature ‐ Autres pertes -128 Autres produits ‐ Coût du risque -7 274 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Dotations aux provisions et aux dépréciations -120 463 Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe Prêts et créances -114 732 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance Autres actifs -4 434 Engagements par signature -512 Risques et charges -785 Reprises de provisions et de dépréciations 111 769 Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe Prêts et créances 109 797 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 119 Autres actifs 1 481 Engagements par signature 89 Risques et charges 283 Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions -8 694 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés -1 748 Récupérations sur prêts et créances amortis 2 652 Décotes sur crédits restructurés -92 Pertes sur engagements par signature Autres pertes -188 Autres produits Coût du risque -8 070 4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Immobilisations corporelles et incorporelles d’exploitation ‐ 79 Plus-values de cession 1 83 Moins-values de cession -1 -4 Titres de capitaux propres consolidés ‐ ‐ Plus-values de cession ‐ ‐ Moins-values de cession ‐ ‐ Produits (charges) nets sur opérations de regroupement ‐ ‐ Gains ou pertes nets sur autres actifs ‐ 79 4.10. Impôts — Charge d’impôt : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Impôts courants -9 008 -3 870 Charge d'impôt différé 2 129 -9 651 Total charge d'impôt -6 879 -13 521 Réconciliation du taux d’impôts théorique avec le taux d’impôt constaté — Au 31 décembre 2018 : (En milliers d'Euros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 37 989 34,43% -13 080 Effet des différences permanentes 5 711 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères -37 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires 1 670 Effet de l’imposition à taux réduit -36 Changement de taux ‐ Effet des autres éléments 1 664 Taux et charge effectifs d'impôt 18,11% -6 879 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2018 . — Au 31 décembre 2017 : (En milliers d'Euros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d’écarts d’acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 48 650 34,43% -16 750 Effet des différences permanentes 4 845 Effet des différences de taux d’imposition des entités étrangères -126 Effet des pertes de l’exercice, de l’utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires -3 642 Effet de l’imposition à taux réduit -19 Changement de taux ‐ Effet des autres éléments 2 171 Taux et charge effectifs d'impôt 27,79% -13 521 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2017 . 4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période : — Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ Transfert en résultat ‐ Autres variations ‐ Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables -1 Ecart de réévaluation de la période -1 Transfert en résultat ‐ Autres variations ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 245 Ecart de réévaluation de la période 245 Transfert en résultat ‐ Autres variations ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence -61 Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 183 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -227 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ Ecart de réévaluation de la période ‐ Transfert en réserves ‐ Autres variations ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables -43 103 Ecart de réévaluation de la période -43 055 Transfert en réserves -48 Autres variations ‐ Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 1 759 Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -41 571 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres -41 388 Dont part du Groupe -41 388 Dont participations ne donnant pas le contrôle ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion 0 Ecart de réévaluation de la période Transferts en résultat Autres variations Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente 13 873 Ecart de réévaluation de la période 13 835 Transfert en résultat 38 Autres variations Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 257 Ecart de réévaluation de la période 257 Transferts en résultat Autres variations Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence -544 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 13 586 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Gains et pertes actuariels sur avantages post-emploi -56 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence -114 Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -170 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 13 416 Dont part du Groupe 13 416 Dont participations ne donnant pas le contrôle — Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et effets d’impôts : (En milliers d'Euros) ) 31/12/2017 01/01/2018 Variation 31/12/2018 Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 ‐ ‐ ‐ 1 ‐ Gains et pertes sur actifs disponible à la vente 21 913 -891 21 022 21 022 Gains et pertes sur instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables 1 ‐ 1 1 -1 ‐ -1 -1 ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture -1 236 319 -917 -917 -1 236 319 -917 -917 245 -61 184 184 -991 258 -733 -733 Reclassement des gains ou pertes nets sur actifs financiers lié à l'approche par superposition ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 20 677 -572 20 105 20 105 -1 235 319 -916 -916 244 -61 184 183 -991 258 -732 -733 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 60 677 -572 20 105 20 105 -1 235 319 -917 -916 244 -61 185 183 -991 258 -732 -733 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi -4 223 1 091 -3 132 -3 132 -4 223 1 091 -3 132 -3 132 -227 58 -169 -169 -4 450 1 149 -3 301 -3 301 Gains et pertes sur passifs financiers attribuables aux variations du risque de crédit propre ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes sur instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ 140 271 -4 922 135 349 135 349 -43 103 1 701 -41 402 -41 402 97 168 -3 221 93 947 93 947 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence -4 223 1 091 -3 132 -3 132 136 048 -3 831 132 217 132 217 -43 330 1 759 -41 571 -41 571 92 718 -2 072 90 646 90 646 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -4 223 1 091 -3 132 -3 132 136 048 -3 831 132 217 132 217 -43 330 1 759 -41 571 -41 571 92 718 -2 072 90 646 90 646 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 16 454 519 16 973 16 973 134 813 -3 512 131 300 131 301 -43 086 1 698 -41 386 -41 388 91 727 -1 814 89 914 89 913 Note 5. – Informations sectorielles . Définition des secteurs opérationnels . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois, concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf note 3.1) 5.1. Information sectorielle par zone géographique . — L’analyse géographique des actifs et des résultats sectoriels repose sur le lieu d’enregistrement comptable des activités. (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Résultat net part Groupe Dont Produit net bancaire Actifs sectoriels Dont écarts d'acquisition Résultat net part Groupe Dont Produit net bancaire Actifs sectoriels Dont écarts d'acquisition France (y compris DOM-TOM) 32 062 147 602 ‐ ‐ 38 179 156 528 ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays de l'Union européenne -952 1 732 ‐ ‐ -3 050 2 825 ‐ ‐ Autres pays d'Europe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amérique du Nord ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Amériques centrale et du Sud ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Afrique et Moyen-Orient ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Asie et Océanie (hors Japon) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total 31 110 149 334 ‐ ‐ 35 129 159 353 ‐ ‐ Note 6. – Notes relatives au bilan . 6.1. Caisse, banques centrales : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Actif Passif Actif Passif Caisses 39 166 ‐ 29 063 ‐ Banques centrales 5 175 ‐ 6 000 ‐ Valeur au bilan 44 341 ‐ 35 063 ‐ 6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat — Actifs financiers à la juste valeur par résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 653 Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat 103 467 Instruments de capitaux propres 692 Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 102 775 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ Valeur au bilan 104 120 Dont Titres prêtés ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 482 Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 5 455 Valeur au bilan 5 937 Dont Titres prêtés — Actifs financiers détenus à des fins de transaction : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Instruments de capitaux propres ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ Titres de dettes ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ OPCVM ‐ Prêts et créances ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ Créances sur la clientèle ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ Valeurs reçues en pension ‐ Instruments dérivés 653 Valeur au bilan 653 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Instruments de capitaux propres 0 Actions et autres titres à revenu variable Titres de dettes 0 Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Prêts et avances 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Instruments dérivés 482 Valeur au bilan 482 Les montants relatifs aux titres reçus en pension livrée comprennent ceux que l’entité est autorisée à redonner en garantie. — Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Actions et autres titres à revenu variable ‐ Titres de participation non consolidés 692 Total instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 692 — Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Titres de dettes 102 775 Effets publics et valeurs assimilées ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 6 339 OPCVM 96 436 Prêts et créances ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ Créances sur la clientèle ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ Valeurs reçues en pension ‐ Total instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI à la juste valeur par résultat 102 775 — Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Prêts et créances ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ Créances sur la clientèle ‐ Titres de dettes ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ Total Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ (En milliers d'Euros) ) 31/12/2017 Instruments de capitaux propres 0 Actions et autres titres à revenu variable Titres de dettes 5 455 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 5 455 Prêts et avances 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Valeur au bilan 5 455 — Passifs financiers à la juste valeur par résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 747 556 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ Valeur au bilan 747 556 — Passifs financiers détenus à des fins de transaction : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Titres vendus à découvert ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ Instruments dérivés 747 556 Valeur au bilan 747 556 Une information détaillée sur les instruments dérivés de transaction est fournie dans la note 3.2 relative au risque de marché, notamment sur taux d’intérêt 6.3. Instruments dérivés de couverture . — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 « Comptabilité de couverture ». 6.4. Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Instruments de dettes comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 580 945 103 931 -6 763 Total 580 945 103 931 -6 763 Instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables — Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres non recyclables : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Gains/pertes latents sur la période Actions et autres titres à revenu variable 1 098 ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 579 847 103 931 -6 763 -43 056 Total instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 580 945 103 931 -6 763 -43 056 Impôts -3 221 ‐ 1 701 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (net d'impôt) 100 710 -6 763 -41 355 — Placements dans des instruments de capitaux propres par titres : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31 décembre 2018 Actions et autres titres à revenu variable 1 098 CERTIFICATS D'ASSOCIES 1 098 Titres de participation non consolidés 579 847 SAS RUE DE LA BOETIE 343 472 SNC SACAM MUTUALISATION 194 406 SAS SACAM DEVELOPPEMENT 10 974 SAS SACAM INTERNATIONAL 8 436 SAS SOFILARO 4 379 SAS SACAM IMMOBILIER 3 720 SCI CAM 2 140 SAS SACAM AVENIR 2 119 SA ROUSSILLON HABITAT 1 772 SAS SACAM PARTICIPATIONS 1 666 SAS C2MS 1 303 SAS DELTA 1 000 SA CACG 699 SAS CA PROTECTION ET SECURITE 696 SAS SACAM ASSURANCE CAUTION 645 SA SAFER OCCITANIE 488 SAS CA REGIONS DEVELOPPEMENT 396 SNC CA TITRES 375 Autres titres de participations non consolidés 1 161 Total instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables 580 945 — Placements dans des instruments de capitaux propres ayant été décomptabilisés au cours de la période : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Juste Valeur à la date de décomptabilisation Gains cumulés réalisés (1) Pertes cumulées réalisées (1) Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 100 59 -11 Total Placements dans des instruments de capitaux propres 100 59 -11 Impôts ‐ ‐ Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur instruments de capitaux propres comptabilisés à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (net d'impôt) (1) 59 -11 (1) Les profits et pertes réalisés sont transférés en réserves consolidées au moment de la décomptabilisation de l'instrument concerné Au cours de l'exercice, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a procédé à la cession des titres C2MS et Square achat. — Actifs financiers disponibles à la vente au 31 décembre 2017 : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 101 994 1 083 -24 Actions et autres titres à revenu variable (2) 1 274 Titres de participation non consolidés 487 978 20 944 -88 Total des titres disponibles à la vente 591 246 22 027 -112 Créances disponibles à la vente Total des créances disponibles à la vente 0 0 0 Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1) 591 246 22 027 -112 Impôts -897 6 Gains et pertes sur actifs financiers disponibles à la vente comptabilisée directement en capitaux propres (nets d'impôt) 21 130 -106 (1) Dont 12 854 milliers d'euros comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances (2) Par exception, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués au coût pour un montant net de dépréciation de 248 652 milliers d’euros au 31 décembre 2017. 6.5. Actifs financiers au coût amorti : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Prêts et créances sur les établissements de crédit 345 847 Prêts et créances sur la clientèle 4 953 096 Titres de dettes 190 507 Valeur au bilan 5 489 450 — Prêts et créances sur les établissements de crédit : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Etablissements de crédit Comptes et prêts 6 464 Dont comptes ordinaires débiteurs non douteux (1) 6 386 Dont comptes et prêts au jour le jour non douteux (1) ‐ Valeurs reçues en pension ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ Prêts subordonnés 213 Autres prêts et créances ‐ Valeur brute 6 677 Dépréciations ‐ Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit 6 677 Opérations internes au Crédit Agricole Comptes ordinaires 127 036 Titres reçus en pension livrée ‐ Comptes et avances à terme 212 134 Prêts subordonnés ‐ Total prêts et créances internes au Crédit Agricole 339 170 Valeur au bilan 345 847 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique ”Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit” du Tableau des flux de trésorerie (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Etablissements de crédit Titres de dettes 0 Titres non cotés sur un marché actif Prêts et avances 3 840 Comptes et prêts 3 625 Dont comptes ordinaires débiteurs sains 3 469 Dont comptes et prêts au jour le jour sains Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 215 Autres prêts et créances Valeur brute 3 840 Dépréciations Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit 3 840 Opérations internes au Crédit Agricole Titres de dettes 0 Titres non cotés sur un marché actif Prêts et avances 392 213 Comptes ordinaires 173 602 Comptes et avances à terme 218 611 Prêts subordonnés Prêts et créances internes au Crédit Agricole 392 213 Valeur au bilan 396 053 — Prêts et créances sur la clientèle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Opérations avec la clientèle Créances commerciales 9 757 Autres concours à la clientèle 5 096 644 Valeurs reçues en pension ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ Prêts subordonnés ‐ Avances en comptes courants d'associés 7 450 Comptes ordinaires débiteurs 22 724 Valeur brute 5 136 575 Dépréciations -183 479 Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle 4 953 096 Opérations de location-financement Location-financement immobilier ‐ Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées ‐ Valeur brute ‐ Dépréciations ‐ Valeur nette des opérations de location-financement ‐ Valeur au bilan 4 953 096 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Opérations avec la clientèle Titres de dettes 1 023 Titres non cotés sur un marché actif 1 023 Prêts et avances 4 951 651 Créances commerciales 11 354 Autres concours à la clientèle 4 909 650 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Créances nées d’opérations d’assurance directe Créances nées d’opérations de réassurance Avances en comptes courants d'associés 6 533 Comptes ordinaires débiteurs 24 114 Valeur brute 4 952 674 Dépréciations -196 365 Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle 4 756 309 Opérations de location-financement Location-financement immobilier Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées Valeur brute 0 Dépréciations Valeur nette des opérations de location-financement 0 Valeur au bilan 4 756 309 — Titres de dettes : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Effets publics et valeurs assimilées 112 825 Obligations et autres titres à revenu fixe 79 986 Total 192 811 Dépréciations -2 304 Valeur au bilan 190 507 — Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance au 31/12/2017 : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Effets publics et valeurs assimilées 119 377 Obligations et autres titres à revenu fixe 94 471 Total 213 848 Dépréciations -2 130 Valeur au bilan 211 718 6.6. Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2018 : (En milliers d'Euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passif associés Valeur comptable Dont titrisation (non déconsolidante) Dont pensions livrées Dont autres (1) Juste valeur (2) Valeur comptable Dont titrisation (non déconsolidante) Dont pensions livrées Dont autres (1) Juste valeur (2) Juste valeur nette (2) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 17 335 17 335 ‐ ‐ 17 335 15 523 15 523 ‐ ‐ 15 523 1 812 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 17 335 17 335 ‐ ‐ 17 335 15 523 15 523 ‐ ‐ 15 523 1 812 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 17 335 17 335 ‐ ‐ 17 335 15 523 15 523 ‐ ‐ 15 523 1 812 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 17 335 17 335 ‐ ‐ 17 335 15 523 15 523 ‐ ‐ 15 523 1 812 ‐ ‐ ‐ (1) Dont les prêts de titres sans cash collatéral (2) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2017 : (En milliers d'Euros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passif associés Valeur comptable Dont titrisation (non déconsolidante) Dont pensions livrées Dont autres (1) Juste valeur (2) Valeur comptable Dont titrisation (non déconsolidante) Dont pensions livrées Dont autres (1) Juste valeur (2) Juste valeur nette (2) Actifs financiers détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti 8 965 8 965 ‐ ‐ 9 504 7 837 7 837 ‐ ‐ 7 868 1 636 ‐ ‐ ‐ Titres de dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances 8 965 8 965 ‐ ‐ 9 504 7 837 7 837 ‐ ‐ 7 868 1 636 ‐ ‐ ‐ Total Actifs financiers 8 965 8 965 ‐ ‐ 9 504 7 837 7 837 ‐ ‐ 7 868 1 636 ‐ ‐ ‐ Opérations de location-financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total actifs transférés 8 965 8 965 ‐ ‐ 9 504 7 837 7 837 ‐ ‐ 7 868 1 636 ‐ ‐ ‐ (1) Dont les prêts de titres sans cash collatéral (2) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). Titrisations . — Les titrisations consolidées avec investisseurs externes constituent un transfert d’actifs au sens de l’amendement à IFRS 7. En effet, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a une obligation contractuelle indirecte de remettre aux investisseurs externes les flux de trésorerie des actifs cédés au fonds de titrisation (bien que ces actifs figurent au bilan de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée via la consolidation du fonds). Les créances cédées au fonds de titrisation servent de garantie aux investisseurs. Les titrisations consolidées intégralement auto-souscrites ne constituent pas un transfert d’actif au sens de la norme IFRS 7. Engagements encourus relatifs aux actifs transférés décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2018 . — Au titre de l’exercice, la Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée n’a constaté aucun engagement encouru relatif aux actifs transférés décomptabilisés intégralement. 6.7. Exposition au risque souverain . — Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture. Les expositions de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au risque souverain sont les suivantes : — Activité bancaire : 31/12/2018 (En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres recyclables Actifs financiers au coût amorti Total activité banque brut de couvertures Couvertures Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus à des fins de transaction Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Arabie saoudite ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autriche ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Belgique ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Brésil ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Chine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Espagne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ États-Unis ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ France ‐ ‐ ‐ 112 802 112 802 ‐ 112 802 Grèce ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Hong Kong ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Iran ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Irlande ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Italie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Japon ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Lituanie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Pologne ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Royaume-Uni ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Russie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Syrie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Turquie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ukraine ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Venezuela ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Yémen ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres pays ‐ ‐ ‐ ‐ Total ‐ ‐ 112 802 112 802 ‐ 112 802 31/12/2017 ( En milliers d'Euros) Expositions nettes de dépréciations Dont portefeuille bancaire Dont portefeuille de négociation (hors dérivés) Total activité banque brut de couvertures Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance Actifs financiers disponibles à la vente Actifs à la juste valeur par résultat Prêts et créances Allemagne 0 0 Arabie saoudite 0 0 Belgique 0 0 Brésil 0 0 Chine 0 0 Espagne 0 0 Etats-Unis 0 0 France 119 377 119 377 119 377 Grèce 0 0 Hong Kong 0 0 Irlande 0 0 Italie 0 0 Japon 0 0 Maroc 0 0 Portugal 0 0 Royaume-Uni 0 0 Russie 0 0 Syrie 0 0 Ukraine 0 0 Venezuela 0 0 Yémen 0 0 Total 119 377 0 0 0 0 119 377 0 119 377 6.8. Passifs financiers au coût amorti : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Dettes envers les établissements de crédit 2 946 527 Dettes envers la clientèle 2 179 928 Dettes représentées par un titre 173 075 Valeur au bilan 5 299 530 — Dettes envers les établissements de crédit : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Etablissements de crédit Comptes et emprunts 628 1 093 Dont comptes ordinaires créditeurs (1) ‐ 431 Dont comptes et emprunts au jour le jour (1) ‐ ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Total 628 1 093 Opérations internes au Crédit Agricole Comptes ordinaires créditeurs ‐ ‐ Comptes et avances à terme 2 945 899 2 949 335 Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Total 2 945 899 2 949 335 Valeur au bilan 2 946 527 2 950 428 (1) Ces opérations composent pour partie la rubrique ”Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit” du Tableau des flux de trésorerie — Dettes envers la clientèle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Comptes ordinaires créditeurs 1 628 369 1 475 361 Comptes d'épargne à régime spécial 14 084 13 864 Autres dettes envers la clientèle 537 475 570 527 Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ Valeur au bilan 2 179 928 2 059 752 — Dettes représentées par un titre : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Bons de caisse 36 212 Titres du marché interbancaire ‐ ‐ Titres de créances négociables 157 516 158 458 Emprunts obligataires 15 523 7 837 Autres dettes représentées par un titre ‐ ‐ Valeur au bilan 173 075 166 507 6.9. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers — Compensation – actifs financiers : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 64 649 ‐ 64 649 63 998 ‐ 651 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 64 649 ‐ 64 649 63 998 ‐ 651 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100% des dérivés à l'actif à la date d'arrêté (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 81 727 ‐ 81 727 81 247 ‐ 480 Prises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs financiers soumis à compensation 81 727 ‐ 81 727 81 247 ‐ 480 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100% des dérivés à l'actif à la date d'arrêté — Compensation – passifs financiers : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 91 304 ‐ 91 304 63 998 ‐ 27 306 Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emprunts de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 91 304 ‐ 91 304 63 998 ‐ 27 306 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100% des dérivés au passif à la date d'arrêté (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l’ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 94 857 ‐ 94 857 81 247 ‐ 13 610 Mises en pension de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emprunts de titres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres instruments financiers ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs financiers soumis à compensation 94 857 ‐ 94 857 81 247 ‐ 13 610 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100% des dérivés au passif à la date d'arrêté 6.10. Actifs et passifs d’impôts courants et différés : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Impôts courants 2 254 6 345 Impôts différés 13 295 12 173 Total actifs d'impôts courants et différés 15 549 18 518 Impôts courants 4 227 20 Impôts différés 1 1 Total passifs d'impôts courants et différés 4 228 21 — Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Impôts différés Actif Impôts différés Passif Décalages temporaires comptables-fiscaux 20 157 ‐ Charges à payer non déductibles 1 589 ‐ Provisions pour risques et charges non déductibles 10 581 ‐ Autres différences temporaires 7 987 ‐ Impôts différés sur réserves latentes -2 330 ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres -3 221 ‐ Couverture de flux de trésorerie 256 ‐ Gains et pertes sur écarts actuariels 635 ‐ Impôts différés sur résultat -4 532 1 Total impôts différés 13 295 1 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Impôts différés Actif Impôts différés Passif Décalages temporaires comptables-fiscaux 17 972 -1 Charges à payer non déductibles 1 456 Provisions pour risques et charges non déductibles 10 908 Autres différences temporaires 5 608 -1 Impôts différés sur réserves latentes 331 0 Actifs disponibles à la vente -619 0 Couvertures de Flux de Trésorerie 319 Gains et pertes sur écarts actuariels 631 Impôts différés sur résultat -6 130 1 Total Impôts différés 12 173 0 Les impôts différés sont nettes au bilan par entité fiscale. 6.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers — Comptes de régularisation et actifs divers : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Autres actifs 88 430 76 116 Comptes de stocks et emplois divers 16 878 21 393 Débiteurs divers (1) 71 544 54 715 Comptes de règlements 8 8 Capital souscrit non versé ‐ ‐ Comptes de régularisation 37 042 43 398 Comptes d’encaissement et de transfert 14 497 18 533 Comptes d’ajustement et comptes d’écarts ‐ 1 Produits à recevoir 21 439 24 350 Charges constatées d’avance 245 228 Autres comptes de régularisation 861 286 Valeur au bilan 125 472 119 514 (1) dont 476 millions d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution Unique, à tout moment et sans condition, pour financier une intervention. — Comptes de régularisation et passifs divers : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Autres passifs (1) 33 990 30 933 Comptes de règlements ‐ ‐ Créditeurs divers 32 848 30 727 Versement restant à effectuer sur titres 1 142 206 Comptes de régularisation 66 054 70 670 Comptes d’encaissement et de transfert (2) 4 452 4 946 Comptes d’ajustement et comptes d’écarts 1 ‐ Produits constatés d’avance 30 473 27 977 Charges à payer 27 585 25 857 Autres comptes de régularisation 3 543 11 890 Valeur au bilan 100 044 101 603 (1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées (2) Les montants sont indiqués en net 6.12. Immeubles de placement : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2018 Valeur brute 8 786 8 786 ‐ 16 -545 ‐ 215 8 472 Amortissements et dépréciations -3 900 -3 900 ‐ -701 409 ‐ ‐ -4 192 Valeur au bilan (1) 4 886 4 886 ‐ -685 -136 ‐ 215 4 280 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2017 Valeur brute 9 585 ‐ 386 -1 735 ‐ 550 8 786 Amortissements et dépréciations -4 794 ‐ -340 1 234 ‐ ‐ -3 900 Valeur au bilan (1) 4 791 ‐ 46 -501 ‐ 550 4 886 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple Juste valeur des immeubles de placement . — La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût amorti, établie «à dire d’expert », s’élève à 6 004 milliers d’euros au 31 décembre 2018 contre 6 392 milliers d’euros au 31 décembre 2017 . (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Prix côtés sur des marchés actif pour des instruments identiques Niveau 1 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 ‐ ‐ Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 6 004 6 392 Valeur de marché des immeubles de placement 6 004 6 392 Tous les immeubles de placement font l’objet d’une comptabilisation au coût amorti au bilan. 6.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2018 Immobilisations corporelles d'exploitation Valeur brute 126 510 126 510 ‐ 5 535 -1 027 ‐ ‐ 131 018 Amortissements et dépréciations (1) -100 223 -100 223 ‐ -4 440 1 025 ‐ ‐ -103 638 Valeur au bilan 26 287 26 287 ‐ 1 095 -2 ‐ ‐ 27 380 Immobilisations incorporelles Valeur brute 4 646 4 646 ‐ 31 -3 369 ‐ ‐ 1 308 Amortissements et dépréciations -3 765 -3 765 ‐ -18 3 369 ‐ ‐ -414 Valeur au bilan 881 881 ‐ 13 ‐ ‐ ‐ 894 (1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions) Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2017 Immobilisations corporelles d'exploitation Valeur brute 124 971 ‐ 4 314 -2 775 ‐ ‐ 126 510 Amortissements et dépréciations (1) -98 346 ‐ -4 532 2 655 ‐ ‐ -100 223 Valeur au bilan 26 625 ‐ -218 -120 ‐ ‐ 26 287 Immobilisations incorporelles Valeur brute 4 630 ‐ 16 ‐ ‐ ‐ 4 646 Amortissements et dépréciations -3 745 ‐ -20 ‐ ‐ ‐ -3 765 Valeur au bilan 885 ‐ -4 ‐ ‐ ‐ 881 (1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple 6.14. Provisions : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2018 Risques sur les produits épargne-logement 4 778 4 778 ‐ 146 ‐ -1 ‐ ‐ 4 923 Risques d’exécution des engagements par signature 1 158 1 158 ‐ 2 396 -235 -1 657 ‐ 1 567 3 229 Risques opérationnels 1 144 1 144 ‐ 272 -143 -83 ‐ ‐ 1 190 Engagements sociaux (retraites) et assimilés 3 119 3 119 ‐ ‐ ‐ -34 ‐ 12 3 097 Litiges divers 227 227 ‐ 185 ‐ -8 ‐ ‐ 404 Participations 526 526 ‐ ‐ ‐ -526 ‐ ‐ ‐ Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 8 238 8 238 ‐ 1 283 -2 817 -4 ‐ 1 247 7 947 Total 19 190 19 190 ‐ 4 282 -3 195 -2 313 ‐ 2 826 20 790 (1) Dont 2 491 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 606 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Ecart de conversion Autres mouvements 31/12/2017 Risques sur les produits épargne-logement 6 830 ‐ ‐ ‐ -2 052 ‐ ‐ 4 778 Risques d’exécution des engagements par signature 739 ‐ 512 -4 -89 ‐ ‐ 1 158 Risques opérationnels 1 270 ‐ 318 -160 -284 ‐ ‐ 1 144 Engagements sociaux (retraites) et assimilés 3 296 ‐ 59 ‐ -75 ‐ -161 3 119 Litiges divers 192 ‐ 35 ‐ ‐ ‐ ‐ 227 Participations ‐ ‐ 526 ‐ ‐ ‐ ‐ 526 Restructurations ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres risques 9 247 ‐ 1 065 -2 070 -4 ‐ ‐ 8 238 Total 21 574 ‐ 2 515 -2 234 -2 504 ‐ -161 19 190 (1) Dont 2 498 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 621 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. Provision épargne logement — Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne logement sur la phase d’épargne : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Plans d’épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 126 079 108 479 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 329 720 313 977 Ancienneté de plus de 10 ans 426 045 434 121 Total plans d’épargne-logement 881 844 856 517 Total comptes épargne-logement 72 478 70 244 Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement 954 322 926 761 Les encours de collecte, hors prime de l’Etat, sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2018 pour les données au 31 décembre 2018 et à fin novembre 2017 pour les données au 31 décembre 2017 . — Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Plans d’épargne-logement 624 840 Comptes épargne-logement 2 158 2 976 Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement 2 782 3 816 — Provision au titre des comptes et plans d’épargne logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Plans d’épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 379 117 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 2 592 2 673 Ancienneté de plus de 10 ans 1 952 2 118 Total plans d’épargne-logement 4 923 4 908 Total comptes épargne-logement ‐ ‐ Total provision au titre des contrats épargne-logement 4 923 4 908 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 01/01/2018 Dotations Reprises Autres mouvements 31/12/2018 Plans d’épargne-logement 4 908 4 908 15 ‐ ‐ 4 923 Comptes épargne-logement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total provision au titre des contrats épargne-logement 4 908 4 908 15 ‐ ‐ 4 923 L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ». 6.15. Capitaux propres Composition du capital au 31 décembre 2018 . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération. Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA). Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts. La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS. Les CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947. A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent. Les CCA ne peuvent être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées. Répartition du capital de la Caisse Régionale Nombre de titres au 01/01/2018 Nombre de titres émis Nombre de titres remboursés Nombre de titres au 31/12/2018 Certificats Coopératifs d'associés (CCA) 459 957 ‐ ‐ 459 957 Dont part du Public ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part Crédit Agricole S.A. ‐ ‐ ‐ ‐ Dont part SACAM Mutualisation 459 957 ‐ ‐ 459 957 Part sociales 16 061 558 2 127 052 1 153 711 17 034 899 Dont 32 caisses locales 16 061 534 2 127 052 1 153 709 17 034 877 Dont 23 administrateurs de la Caisse régionale 23 ‐ 2 21 Dont crédit agricole S.A. ‐ ‐ ‐ ‐ Dont SACAM mutualisation 1 ‐ ‐ 1 Dont autres ‐ ‐ ‐ ‐ Total 16 521 515 2 127 052 1 143 711 17 494 856 La valeur nominale des titres est de - 15,25 € pour les CCA - 15,25 € pour les parts sociales émises par la Caisse Régionale - 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales Au 31 décembre 2018, le montant total du capital est de 33 308 milliers d’euros. Résultat par action . — Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation. Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sont composés de parts sociales et de CCA. Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale à la moyenne, sur les trois années civiles précédant la date de l'Assemblée générale, du taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées, majorée de deux points, publié par le ministre chargé de l’économie. La rémunération des CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales. Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, ne sont pas applicables. Dividendes . — Au titre de l’exercice 2018 , le Conseil d’administration de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 27 mars 2019 le paiement d’un dividende par part sociale de 0,02 euros, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale. — Dividendes : Année de rattachement du dividende Par CCA Par part sociale Montant Net Montant Net 2015 5,15 0,03 2016 4,80 0,02 2017 4,32 0,02 Prévu 2018 4,91 0,02 Dividendes payés au cours de l’exercice . — Les montants relatifs aux dividendes versés au cours de l’exercice figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 2 283 milliers d’euros en 2018 . Affectations du résultat et fixation du dividende 2018 . — L’affectation du résultat, la fixation et la mise en paiement du dividende 2018 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse Régionale d e Crédit Agricole Sud Méditerranée du 27 mars 2019. Le texte de la résolution est le suivant : L’Assemblée Générale accepte l’affectation du résultat de l’exercice 2018 proposée par le Conseil d’administration et approuvée par Crédit Agricole SA : Résultat des comptes individuels 2018 30 123 906,38 € Report à nouveau - 47 703,87 € Résultat à affecter 30 076 202,51 € Distribué 2 574 954,27 € Intérêts aux parts au taux de 1,50% 315 645,49 € Aux Caisses locales 315 640,46 € À SACAM Mutualisation 0,23 € Aux autres souscripteurs 4,80 € Rémunération des CCA 2 259 308,78 € Conservé 27 501 248,24 € Réserves légales (75% du disponible) 20 625 936,18 € Autres réserves 6 875 312,06 € 6.16. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle . — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle. L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle. Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminé ». (En milliers d'Euros) 31/12/2018 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 44 341 ‐ ‐ ‐ ‐ 44 341 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 5 330 5 27 1 628 97 130 104 120 Instruments dérivés de couverture 191 ‐ 61 226 2 581 ‐ 63 998 Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ 580 945 580 945 Actifs financiers au coût amorti 368 012 427 271 1 757 007 2 931 700 5 460 5 489 450 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 41 555 ‐ ‐ ‐ ‐ 41 555 Total actifs financiers par échéance 459 429 427 276 1 818 260 2 935 909 683 535 6 324 409 Banques centrales ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ 27 720 ‐ 747 Instruments dérivés de couverture ‐ 1 503 25 241 63 886 ‐ 90 630 Passifs financiers au coût amorti 2 086 152 1 024 650 1 512 355 676 373 ‐ 5 299 530 Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 44 229 ‐ ‐ ‐ ‐ 44 229 Total passifs financiers par échéance 2 130 381 1 026 153 1 537 623 740 979 ‐ 5 435 136 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 35 063 35 063 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 2 156 5 336 443 5 937 Instruments dérivés de couverture 1 907 707 53 639 24 994 81 247 Actifs financiers disponibles à la vente 61 998 529 248 591 246 Prêts et créances sur les établissements de crédit 179 490 2 643 94 907 119 013 0 396 053 Prêts et créances sur la clientèle 229 765 393 838 1 511 686 2 619 784 1 236 4 756 309 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 39 089 39 089 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 722 16 380 71 212 123 404 211 718 Total Actifs financiers par échéance 548 036 413 724 1 736 780 2 887 638 530 484 6 116 662 Banques centrales 0 Passifs financiers à la juste valeur par résultat 37 519 556 Instruments dérivés de couverture 378 2 655 28 094 63 242 94 369 Dettes envers les établissements de crédit 430 500 906 290 961 960 651 678 0 2 950 428 Dettes envers la clientèle 1 537 300 120 374 294 447 107 631 2 059 752 Dettes représentées par un titre 285 227 158 158 7 837 0 166 507 Dettes subordonnées 481 14 988 0 0 15 469 Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 54 665 54 665 Total Passifs financiers par échéance 2 023 609 1 044 534 1 442 696 830 907 0 5 341 746 Note 7. – Avantages au personnel et autres rémunérations . 7.1. Détail des charges de personnel : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Salaires et traitements (1) (2) -32 099 -31 906 Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies) -3 638 -3 630 Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies) -1 548 -1 500 Autres charges sociales -11 586 -10 520 Intéressement et participation -4 818 -4 465 Impôts et taxes sur rémunération -5 157 -6 008 Total charges de personnel -58 846 -58 029 (1) Dont charges relatives aux paiements à base d'actions pour 0 milliers d'euros au 31 décembre 2018 contre 0 milliers d'euros au 31 décembre 2017 (2) Dont indemnités liées à la retraite pour 438 milliers d'euros au 31 décembre 2018 contre 253 milliers d'euros au 31 décembre 2017 Dont médailles du travail pour 15 milliers d'euros au 31 décembre 2018 contre 4 milliers d'euros au 31 décembre 2017 7.2. Effectif moyen de la période : Effectif moyen 31/12/2018 31/12/2017 France 771 869 Étranger 15 16 Total 786 885 7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies . — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer. 7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies . — Variation dette actuarielle : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle au 31/12/N-1 19 187 ‐ 19 187 18 493 Écart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Coût des services rendus sur l’exercice 1 367 ‐ 1 367 1 316 Coût financier 261 ‐ 261 251 Cotisations employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre -45 ‐ -45 -10 Prestations versées (obligatoire) -816 ‐ -816 -955 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ (Gains)/pertes actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) 393 ‐ 393 3 (Gains)/pertes actuariels - liés aux hypothèses financières (1) -116 ‐ -116 89 Dette actuarielle au 31/12/N 20 231 ‐ 20 231 19 187 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience — Détail de la charge comptabilisée au résultat : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Coût des services 1 367 ‐ 1 367 1 316 Charge/produit d’intérêt net 40 ‐ 40 46 Impact en compte de résultat au 31/12/N 1 407 ‐ 1 407 1 362 — Détail des gains et pertes comptabilisés en autres éléments du résultat global non recyclables : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Réévaluation du passif (de l’actif) net Montant du stock d’écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables au 31/12/N-1 4 223 ‐ 4 223 4 167 Écart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Gains/(pertes) actuariels sur l’actif -50 ‐ -50 -36 (Gains)/pertes actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) 393 ‐ 393 3 (Gains)/pertes actuariels - liés aux hypothèses financières (1) -116 ‐ -116 89 Ajustement de la limitation d’actifs ‐ ‐ ‐ ‐ Total des éléments reconnus immédiatement en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres au 31/12/N 227 ‐ 227 56 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience — Variation de juste valeur des actifs : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Juste valeur des actifs au 31/12/N-1 16 689 ‐ 16 689 15 814 Écart de change ‐ ‐ ‐ ‐ Intérêt sur l’actif (produit) 221 ‐ 221 205 Gains/(pertes) actuariels 50 ‐ 50 36 Cotisations payées par l’employeur 1 641 ‐ 1 641 1 599 Cotisations payées par les employés ‐ ‐ ‐ ‐ Modifications, réductions et liquidations de régime ‐ ‐ ‐ ‐ Variations de périmètre -45 ‐ -45 -10 Taxes, charges administratives et primes ‐ ‐ ‐ ‐ Prestations payées par le fonds -816 ‐ -816 -955 Juste valeur des actifs au 31/12/N 17 740 ‐ 17 740 16 689 — Position nette : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle fin de période 20 231 ‐ 20 231 -19 187 Impact de la limitation d’actifs ‐ ‐ ‐ ‐ Juste valeur des actifs fin de période -17 740 ‐ -17 740 16 689 Position nette (passif)/ actif fin de période -2 491 ‐ -2 491 -2 498 — Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Zone euro Hors zone euro Zone euro Hors zone euro Taux d’actualisation (1) 1,40% 0,00% 1,35% 0,00% Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement 1,34% 0,00% 1,58% 0,00% Taux attendus d’augmentation des salaires 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% Taux d’évolution des coûts médicaux 0,00% 0,00% 0,00% 0,00% (1) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de rotation du personnel. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice. — Information sur les actifs des régimes – allocations d’actifs (1) : (En milliers d'Euros) Zone euro Hors zone euro Toutes zones En % En montant Dont coté En % En montant Dont coté En % En montant Dont coté Actions 9,79% 1 737 ‐ 0,00% ‐ ‐ 9,79% 1 737 ‐ Obligations 82,99% 14 722 ‐ 0,00% ‐ ‐ 82,99% 14 722 ‐ Immobiliers 7,22%! 1 281 0,00% ‐ 7,22% 1 281 Autres actifs 0,00% ‐ 0,00% ‐ 0,00% ‐ Au 31 décembre 2018 , les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : – une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de 1,92% ; – une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de 0,92%. 7.5. Autres avantages sociaux . — Les provisions constituées par la Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 606 milliers d’euros au 31 décembre 2018 . 7.6. Rémunérations de dirigeants . — La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 567 milliers d’euros. Note 8. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties . — Engagements donnés et reçus : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Engagements donnés 712 150 730 304 Engagements de financement 429 978 423 769 Engagements en faveur des établissements de crédit ‐ ‐ Engagements en faveur de la clientèle 429 978 423 769 Ouverture de crédits confirmés 159 208 172 563 Ouverture de crédits documentaires ‐ ‐ Autres ouvertures de crédits confirmés 159 208 172 563 Autres engagements en faveur de la clientèle 270 770 251 206 Engagements de garantie 282 172 306 535 Engagements d'ordre des établissements de crédit 128 696 126 009 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires ‐ ‐ Autres garanties (1) 128 696 126 009 Engagements d'ordre de la clientèle 153 476 180 526 Cautions immobilières 17 077 20 989 Autres garanties d'ordre de la clientèle 136 399 159 537 Engagements sur titres ‐ ‐ Titres à livrer ‐ ‐ Engagements reçus 1 359 876 1 265 679 Engagements de financement 12 882 17 962 Engagements reçus des établissements de crédit 12 882 17 962 Engagements reçus de la clientèle ‐ ‐ Engagements de garantie 1 346 994 1 247 717 Engagements reçus des établissements de crédit 156 767 140 337 Engagements reçus de la clientèle 1 190 227 1 107 380 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées 249 808 234 135 Autres garanties reçues 940 419 873 245 Engagements sur titres ‐ ‐ Titres à recevoir ‐ ‐ (1) Dont 126 009 milliers d’euros relatifs à la garantie Switch Assurance mise en place le 1er juillet 2016, en amendement de la garantie précédente octroyée depuis le 2 janvier 2014 pour 327 349 milliers d’euros — Instruments financiers remis et reçus en garantie : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 31/12/2017 Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés) Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (Banque de France, CRH …) 1 244 815 1 187 195 Titres prêtés ‐ -821 Dépôts de garantie sur opérations de marché ‐ ‐ Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Titres et valeurs donnés en pension ‐ ‐ Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie 1 244 815 1 186 374 Valeur comptable des actifs financiers reçus en garantie Autres dépôts de garantie ‐ ‐ Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés Titres empruntés ‐ ‐ Titres et valeurs reçus en pension ‐ ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ Total juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés ‐ ‐ Au 31 décembre 2018 , la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a pas utilisé les titres souscrits auprès du FCT Crédit Agricole Habitat 2015 comme dispositif de refinancement. Créances apportées en garantie . — Au cours de l’année 2018 , la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 1 244 815 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 187 195 milliers d’euros en 2017 . La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté : – 740 081 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 715 508 milliers d’euros en 2017 ; – 117 934 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat) contre 132 717 milliers d’euros en 2017; – 386 800 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 338 969 milliers d’euros en 2017. Garanties détenues et actifs reçus en garantie . — La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis. Note 9. – Juste valeur des instruments financiers . La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation. La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion “ d’exit price ”). Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des données de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs. Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés. La hiérarchie de juste valeur des actifs et passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13. Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers cotés sur un marché actif. Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données et reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs et passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté. Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé. Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment : – des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux du marché ; – des actifs ou passifs à court terme pour lesquels il est considéré que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ; – des instruments réalisés sur un marché réglementé pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ; – des actifs ou passifs exigibles à vue ; – des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables. 9.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût amorti . — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2018 Juste valeur au 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 5 298 943 5 270 604 ‐ 478 837 4 791 767 Prêts et créances sur les établissements de crédit 345 847 345 162 ‐ 345 162 ‐ Comptes ordinaires et prêts JJ 133 422 133 422 ‐ 133 422 ‐ Comptes et prêts à terme 212 212 210 327 ‐ 210 327 ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 213 1 413 ‐ 1 413 ‐ Autres prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 4 953 096 4 925 442 ‐ 133 675 4 791 767 Créances commerciales 9 646 7 348 ‐ ‐ 7 348 Autres concours à la clientèle 4 927 149 4 901 793 ‐ 117 374 4 784 419 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 5 525 5 525 ‐ 5 525 ‐ Comptes ordinaires débiteurs 10 776 10 776 ‐ 10 776 ‐ Titres de dettes 190 507 204 424 203 791 633 ‐ Effets publics et valeurs assimilées 112 802 125 903 125 903 ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 77 705 78 521 77 888 633 ‐ Total actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 489 450 5 475 028 203 791 479 470 4 791 767 (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2017 Juste valeur au 31/12/2017 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Instruments de dettes non évalués à la juste valeur au bilan Prêts et créances 5 152 362 5 151 263 ‐ 530 596 4 620 667 Prêts et créances sur les établissements de crédit 396 053 394 105 ‐ 394 105 ‐ Comptes ordinaires et prêts JJ 177 071 177 071 ‐ 177 071 ‐ Comptes et prêts à terme 218 767 216 821 ‐ 216 821 ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés 215 213 ‐ 213 ‐ Autres prêts et créances ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts et créances sur la clientèle 4 756 309 4 757 158 ‐ 136 491 4 620 667 Créances commerciales 11 345 11 345 ‐ ‐ 11 354 Autres concours à la clientèle 4 727 282 4 716 093 ‐ 107 822 4 608 271 Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Prêts subordonnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations d’assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Créances nées d’opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Avances en comptes courants d'associés 4 710 4 645 ‐ 4 645 ‐ Comptes ordinaires débiteurs 11 949 24 024 ‐ 24 024 ‐ Titres de dettes 211 718 227 373 226 871 351 151 Effets publics et valeurs assimilées 119 377 133 676 133 676 ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 92 341 93 697 93 195 351 151 Total actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 364 080 5 378 636 226 871 530 947 4 620 818 — Passifs financiers comptabilisés au coût amorti au bilan valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2018 Juste valeur au 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 2 946 527 3 041 290 ‐ 3 041 290 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptes et emprunts à terme 2 946 527 3 041 290 ‐ 3 041 290 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 179 928 2 174 859 ‐ 2 160 775 14 084 Comptes ordinaires créditeurs 1 628 369 1 628 350 ‐ 1 628 350 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 14 084 14 084 ‐ ‐ 14 084 Autres dettes envers la clientèle 537 475 532 425 ‐ 532 425 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 173 075 188 275 15 334 172 941 ‐ Dettes subordonnées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 299 530 5 404 424 15 334 5 375 006 14 084 (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31/12/2017 Juste valeur au 31/12/2017 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 2 950 428 3 000 557 ‐ 3 000 557 ‐ Comptes ordinaires et emprunts JJ 431 431 ‐ 431 ‐ Comptes et emprunts à terme 2 949 997 3 000 126 ‐ 3 000 126 ‐ Valeurs données en pension ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle 2 059 752 2 053 869 ‐ 2 040 005 13 864 Comptes ordinaires créditeurs 1 475 361 1 475 344 ‐ 1 475 344 ‐ Comptes d'épargne à régime spécial 13 864 13 864 ‐ ‐ 13 864 Autres dettes envers la clientèle 570 527 564 661 ‐ 564 661 ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations d'assurance directe ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes nées d'opérations de réassurance ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre 166 507 179 140 ‐ 179 140 ‐ Dettes subordonnées 15 469 14 988 ‐ 14 988 ‐ Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 192 156 5 248 554 ‐ 5 234 690 13 864 9.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur . Evaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) du risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). — L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie ( Credit Value Adjustment – CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers. L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement ( Debt Value Adjustment – DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. La probabilité de défaut est déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides. Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation . — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 653 ‐ 653 ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres reçus en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Valeurs reçues en pension ‐ ‐ ‐ ‐ Titres détenus à des fins de transaction ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 653 ‐ 653 ‐ Autres actifs financiers comptabilisés à la juste valeur par résultat 103 467 96 436 6 022 1 009 Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat 692 ‐ 692 ‐ Actions et autres titres à revenu variable ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de participation non consolidés 692 ‐ 692 ‐ Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI 102 775 96 436 5 330 1 009 Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres de dettes 102 775 96 436 5 330 1 009 Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe 6 339 ‐ 5 330 1 009 OPCVM 96 436 96 436 ‐ ‐ Actifs représentatifs de contrats en unités de compte ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Titres à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Effets publics et valeurs assimilées ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers comptabilisés en capitaux propres 580 945 ‐ 580 945 ‐ Instruments de capitaux propres comptabilisés en capitaux propres non recyclables 580 945 ‐ 580 945 ‐ Actions et autres titres à revenu variable 1 098 ‐ 1 098 ‐ Titres de participation non consolidés 579 847 ‐ 579 847 ‐ Instruments de dettes comptabilisés en capitaux propres recyclables ‐ ‐ ‐ ‐ Créances sur les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Obligations et autres titres à revenu fixe ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 63 998 ‐ 63 998 ‐ Total actifs financiers valorisés à la juste valeur 749 063 96 436 651 618 1 009 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 482 0 482 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres détenus à des fins de transaction Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable Instruments dérivés 482 482 Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 5 455 0 5 455 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Valeurs reçues en pension Titres à la juste valeur par résultat sur option 5 455 0 5 455 0 Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 5 455 5 455 Actions et autres titres à revenu variable Actifs financiers disponibles à la vente 591 246 101 994 489 252 0 Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 101 994 101 994 Actions et autres titres à revenu variable (1) 489 252 489 252 Créances disponibles à la vente Instruments dérivés de couverture 81 247 81 247 Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur 678 430 101 994 576 436 0 (1) Y compris 248 652 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût — Passifs financiers valorisés à la juste valeur : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 747 ‐ 747 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 747 ‐ 747 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 90 630 ‐ 90 630 ‐ Total passifs financiers valorisés à la juste valeur 91 377 ‐ 91 377 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 556 ‐ 556 ‐ Titres vendus à découvert ‐ ‐ ‐ ‐ Titres donnés en pension livrée ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes représentées par un titre ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers les établissements de crédit ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes envers la clientèle ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés 556 ‐ 556 ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments dérivés de couverture 94 369 ‐ 94 369 ‐ Total passifs financiers valorisés à la juste valeur 94 925 ‐ 94 925 ‐ Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables ‐ ‐ Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables ‐ ‐ Total des transferts vers chacun des niveaux ‐ ‐ ‐ Variation du solde des instruments financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3 — Actifs financiers valorisés à la juste valeur selon le niveau 3 (En milliers d'Euros) Total Actifs financiers détenus à des fins de transaction Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres détenus à des fins de transaction Instruments dérivés Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe OPCVM Actions et autres titres à revenu variable Titres détenus à des fins de transaction Solde d'ouverture (01/01/2018) 1 050 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) -41 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat -41 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2018) 1 009 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (En milliers d'Euros) Autres actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments de capitaux propres à la juste valeur par résultat Instruments de dettes ne remplissant pas les critères SPPI Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Actions et autres titres à revenu variable Titres de participation non consolidés Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable OPCVM Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe OPCVM Titres de dettes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Titres de dettes Solde d'ouverture (01/01/2018) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 050 ‐ 1 050 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Gains /pertes de la période (1) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -41 ‐ -41 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ -41 ‐ -41 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Comptabilisés en capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Achats de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Ventes de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Emissions de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dénouements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Reclassements de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Variations liées au périmètre de la période ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts vers niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Transferts hors niveau 3 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Solde de clôture (31/12/2018) ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 1 009 ‐ 1 009 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) ce solde inclut les gains et pertes de la période provenant des actifs détenus au bilan à la date de la clôture pour les montants suivants : Gains/ pertes de la période provenant des actifs de niveau 3 détenus au bilan en date de clôture -38 Comptabilisés en résultat -38 Comptabilisés en capitaux propres ‐ Note 10. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2018 . Date de clôture . — Les états financiers utilisés pour la préparation des états financiers consolidés sont établis à la même date que celle des états financiers du Groupe. 10.1. Sur les filiales 10.1.1. Restrictions sur les entités contrôlées . — Néant 10.1.2. Soutiens aux entités structurées contrôlées . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a accordé aucun soutien financier à une ou plusieurs entités structurées consolidées au 31 décembre 2018 et au 31 décembre 2017 10.1.3. Opérations de titrisation et fonds dédiés . — Pour plus de détails sur ces opérations de titrisation et sur l’indication de la valeur comptable des actifs concernés et des passifs associés, il est possible de se reporter à la note 6.6 "Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue". Les Caisses régionales depuis 2015 ont participé à plusieurs titrisations True Sale. Ces titrisations sont des RMBS français soit auto souscrits (FCT Crédit Agricole Habitat 2015) soit placés dans le marché par le Groupe (FCT Crédit Agricole Habitat 2017 et FCT Crédit Agricole Habitat 2018). Ces opérations se traduisent par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales à un FCT (un par titrisation). Les FCT sont consolidés au sein du Groupe Crédit Agricole Dans le cadre de ces titrisations, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 112,2 millions d’euros aux FCT. 10.2. Composition du périmètre : Périmètre de consolidation de la Caisse Régionale Sud Méditerranée Méthode de consolidation Implantation % De contrôle et d'intérêt 31/12/2018 31/12/2017 Établissement bancaire et financier Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2015 Intégration Globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2017 Intégration Globale France 100% 100% Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2018 Intégration Globale France 100% CAISSE LOCALE A VOCATION DEPARTEMENTALE DES P.O Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE ARGELES - ST ANDRE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE LA CANTERRANE - SUD REART Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE COTE VERMEILLE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE PORTE DE LA SALANQUE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE CERDAGNE CAPCIR Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE LA FOSSEILLE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE CANET - STE MARIE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE TET - FENOUILLEDES Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE PORTE DU VALLESPIR Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE PLAINE DU TECH Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE L'AGLY - FENOUILLDES - VERDOUBLE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE FORCA - REAL Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE PERPIGNAN Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE THUIR Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE CONFLENT - FENOUILLEDES Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE RIVESALTAIS Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE SAINT-CYPRIEN Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DU RIBERAL Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DES ALBERES Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE D'AGLY SALANQUE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE LES RIVES DE LA BASSE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE D'ARLES S/TECH Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCAL A VOCATION DEPARTEMENTALE DE L'ARIEGE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE PAYS DE FOIX ET DU CERONAIS Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE LAVELANET - QUERIGUT Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE ARIZE - LEZE Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE MIREPOIX Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE PAMIERS Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE COUSERANS Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE SAVERDUN Intégration Globale France 100% 100% CAISSE LOCALE DE AX - TARASCON SUR ARIEGE Intégration Globale France 100% 100% Au 31 décembre 2018 la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée ayant participé aux opérations de titrisation Crédit Agricole Habitat 2015, Crédit Agricole Habitat 2017 et Crédit Agricole Habitat 2018 a consolidé ses quotes-parts (analyse par silo) de chacun des FCT, le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’il a cédées aux FCT. Note 11. – Participations et entités structurées non consolidées . 11.1. Participations non consolidées . — Ces titres enregistrés à la juste valeur par résultat ou la juste valeur par capitaux propres non recyclables, sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement. Ce poste s’élève à 9 127 milliers d’euros au 31 décembre 2018 contre 10 125 milliers d’euros au 31 décembre 2017 . 11.1.1. Entités non intégrées dans le périmètre de consolidation . — Les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint et sous influence notable non intégrées dans le périmètre de consolidation, sont présentées dans le tableau ci-dessous : Entités non consolidées Siège social % D'intérêt Motif d'exclusion du périmètre de consolidation 31/12/2018 31/12/2017 SCI CREDIT AGRICOLE SUD MEDITERRANEE FRANCE 100,00% 100,00% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques STE IMMOBILIERE DU CREDIT ET DE LA MUTUALITE AGRICOLE FRANCE 50,00% 50,00% Seuils de significativité non atteints SCI CHATEAU DE CASTELNOU FRANCE 100,00% 99,00% Seuils de significativité non atteints SAS SUD MED IMMOBILIER FRANCE 100,00% 100,00% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques SAS SUD MED ROUSSILLON FRANCE 100,00% 100,00% Seuils de significativité non atteints SCI BLEU RESIDENCE PERPIGNAN FRANCE 35,00% 35,00% Impacts de la consolidation peu significatif. Par ailleurs holding non consolidée SAS PL IMMOBILIER FRANCE 70,00% 70,00% Seuils de significativité non atteints 11.1.2. Titres de participations non consolidés et présentant un caractère significatif . — Les titres de participation représentant une fraction du capital supérieure ou égale à 10 % n’entrant pas dans le périmètre de consolidation sont présentés dans le tableau ci-dessous : Titres de participation non consolidées Siège social % D'intérêt Montant des capitaux propres Résultat du dernier exercice 31/12/2018 31/12/2017 PYRENEES ROUSSILLON INVESTISSEMENT FRANCE 17,80% 17,80% 620 432 -13 877 COOPERATIVE CATALANE DES ELEVEURS (EX-CATALANE DE VIANDE ET DE BETAIL) FRANCE 13,15% 14,00% 356 658 -121 052 TERROIR ARIEGE PYRENEES SCIC FRANCE 10,44 % 10,44% 34 887 12 402 OCEAN'IC FRANCE 73,89 % ND ND 11.1. Informations sur les entités structurées non consolidées . — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels. — Informations sur les risques associés aux intérêts détenus : Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités . — Au 31 décembre 2018, et au 31 décembre 2017, l’implication de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dans les tableaux ci-dessous : (En milliers d'Euros) 31/12/2018 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 436 96 436 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 436 96 436 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 7 874 568 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note "Exposition au risque de crédit" et dans la note "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Titrisation Gestion d'actifs Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 994 96 994 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers à la juste valeur par capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Actifs financiers au coût amorti ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 96 994 96 994 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Instruments de capitaux propres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Passifs financiers à la juste valeur par résultat ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Dettes ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements donnés ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de financement ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Engagements de garantie ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Autres ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Provisions pour risque d'exécution - Engagements par signature ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total des engagements hors bilan net de vis-à-vis des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ Total bilan des entités structurées non consolidées ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 8 277 369 ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note "Exposition au risque de crédit" et dans la note "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. Exposition maximale au risque de perte . — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de crédit default swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to-market. L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspond au montant du Note 12. – Événements postérieurs au 31 décembre 2018 . Aucun évènement significatif postérieur à la fin de période n’est à constater pour la Caisse Régionale. IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés . ( DOCPROPERTY ExerciceTitreProper \* MERGEFORMAT Exercice clos le 31 décembre 2018 ) A l'Assemblée Générale de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, I. Opinion . — En exécution de la mission qui nous a été confiée par DOCPROPERTY MissionConfieePar \* MERGEFORMAT votre assemblée générale , nous avons effectué l’audit des comptes consolidés DOCPROPERTY societe3_dela \* MERGEFORMAT de la DOCPROPERTY PresentationSocieteTitre \* MERGEFORMAT Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs DOCPROPERTY Exercice \* MERGEFORMAT à l’exercice clos le DOCPROPERTY DateCloture \* MERGEFORMAT 31 décembre 2018 , tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine, à la fin de l’exercice, de l’ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation. L’opinion formulée ci dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions de DOCPROPERTY ComiteAudit \* MERGEFORMAT comité d'audit . II. Fondement de l’opinion : Référentiel d’audit . — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés » du présent rapport. — Indépendance : Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance qui nous sont applicables, sur la période du 1 er DOCPROPERTY DebutExerciceMoisAnnee \* MERGEFORMAT janvier 2018 à la date d’émission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014 ou par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. — Observation : Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci dessus, nous attirons votre attention sur la note 1.1 de l’annexe des comptes consolidés relative à l’application, à compter du 1 er janvier 2018, de la norme IFRS 9 « Instruments financiers » . III. Justification des appréciations - Points clés de l’audit . — En application des dispositions des articles L. 823 9 et R. 823 7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d’anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le contexte de l’audit des comptes consolidés pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci avant. Nous n’exprimons pas d’opinion sur des éléments de ces comptes consolidés pris isolément. — Dépréciations des crédits sur une base individuelle : Risque identifié Notre réponse Du fait de son activité, la Caisse Régionale est exposée à un risque significatif de crédit sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture. Comme indiqué dans la note 1.2 et 3.1.1 de l’annexe aux comptes consolidés, la Caisse Régionale constitue, conformément à la nouvelle norme IFRS 9 « Instruments financiers », des dépréciations sur les créances en défaut (Bucket 3) faisant l’objet de pertes prévisibles au titre du risque de crédit avéré. Le montant de ces dépréciations correspond à la différence entre la valeur comptable des prêts et la somme des flux futurs estimés à maturité actualisés. S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la direction de l’établissement est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Nous avons considéré la détermination de ces dépréciations portant sur les marchés des entreprises, des professionnels et de l’agriculture comme un point clé de l’audit des comptes consolidés en raison de leur importance dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour déterminer les flux futurs estimés. Ces dépréciations sont intégrées dans le montant total des dépréciations individuelles qui s’élève à € 156,0 millions présentées en note 3.1.1 de l’annexe aux comptes consolidés. Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la Direction pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : – mené des entretiens au cours de l’exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la Caisse Régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte alimentation en comptabilité ; – testé l’efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la Caisse Régionale relatifs à ces procédures ; – analysé le bien-fondé des hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit ; – effectué un examen analytique de la couverture des encours douteux par marché et par strate d’encours. — Risque de crédit et estimation des pertes attendues sur expositions non-défaut dans le contexte de la première application d’IFRS 9 Risque identifié Notre réponse Comme indiqué dans la note 1 de l’annexe aux comptes consolidés, depuis le 1er janvier 2018, la Caisse Régionale applique la norme IFRS 9 « Instruments financiers », qui définit en particulier une nouvelle méthodologie de dépréciation des actifs financiers. Les effets de la première application de la norme IFRS9 sont détaillés dans les « Notes annexes sur les effets de l’application de la norme IFRS 9 au 1er janvier 2018 » aux comptes consolidés. Dans ce cadre, la Caisse Régionale constitue des corrections de valeur au titre des pertes de crédit attendues (Expected Credit Loss) portant sur les expositions qui ne sont pas en défaut, en distinguant : – les expositions n’ayant pas subi de dégradation significative du risque de crédit, pour lesquelles les corrections de valeur représentent l’estimation des pertes de crédit attendues à 1 an (bucket 1) ; – les expositions ayant subi une dégradation significative du risque de crédit pour lesquelles les corrections de valeur représentent l’estimation des pertes de crédit attendues à maturité (bucket 2). La dégradation significative du risque de crédit a donné lieu à la définition d’un cadre méthodologique reposant sur plusieurs critères. Ces corrections de valeur représentent en cumul sur les prêts et créances sur la clientèle et sur les engagements par signature au 1er janvier 2018 et au 31 décembre 2018 respectivement un montant de 36,8 MILLION D'EUROS et 32,9 MILLION D'EUROS comme détaillé en Note 3.1.1. Les corrections de valeur sont déterminées selon des modèles internes de risques de crédit sur la base de séries historiques des défaillances de la clientèle du Groupe Crédit Agricole, en tenant compte de données macro-économiques prospectives (« Forward Looking») appréciées au niveau du Groupe Crédit agricole et au regard, le cas échéant, de paramètres propres aux expositions de la Caisse Régionale sur la base d’éléments conjoncturels et/ou structurels locaux. Nous avons considéré qu’il s’agissait d’un point clé de l’audit des comptes consolidés tant pour la première application de la norme IFRS 9 que pour le 31 décembre 2018 en raison : – de l’importance des changements induits par la mise en œuvre pour la première fois de cette nouvelle norme ; – de l’importance des zones de jugement entrant dans la détermination des modèles, des risques liés à la qualité des données qui les alimentent et des risques liés à leur insertion opérationnelle ; – de l’importance des crédits à la clientèle dans le bilan, et du recours à de nombreux paramètres et hypothèses appliqués pour décliner la méthode sur plusieurs types de portefeuilles (entreprises, particuliers, crédit consommation… ) , dont par exemple des informations prospectives (forward looking central et local) ou des critères de transfert parmi les catégories d’expositions homogènes de risques (bucket 1 et bucket 2). Pour apprécier la mise en œuvre de la norme IFRS 9 et les effets de son application dans les comptes de la Caisse Régionale tant au 1er janvier qu’au 31 décembre 2018, nous avons réalisé les travaux suivants : — pris connaissance, lors d’un examen critique, des conclusions des travaux réalisés à notre demande par les auditeurs de la consolidation du Groupe Crédit Agricole, avec l’aide de leurs experts sur les modèles de dépréciations. Ces travaux couvrent en particulier les aspects suivants : – les principes méthodologiques suivis pour la construction des modèles, – la qualité des données utilisées pour calibrer les paramètres utilisés dans les modèles (PD, LGD), – la gouvernance des modèles au regard des modalités de détermination et de changement des paramètres, du processus de validation indépendante et des modalités de back-testing, – la réalisation de tests applicatifs ciblés sur les principales fonctionnalités de l’outil national utilisé pour déterminer les corrections de valeur ; — testé par sondage la qualité des données des expositions entrant dans le modèle de provisionnement sur la base d’un échantillon de dossiers ; — testé la correcte application des principes retenus en matière de segmentation des expositions entre les catégories d’expositions homogènes de risques (bucket 1 et bucket 2) ; — contrôlé le déversement des expositions servant de base au calcul des dépréciations et provisions dans l’outil de provisionnement ; — apprécié les hypothèses et la documentation fournie par la Caisse Régionale sur la justification des paramètres conjoncturels et/ou structurels locaux retenus pour l’application du Forward Looking ; analysé l’évolution des expositions et des corrections de valeur par catégories homogènes de risques sur l’exercice 2018. Nous avons par ailleurs apprécié le caractère approprié des informations données dans les annexes aux comptes consolidés, au regard des exigences d’IFRS 9 tant au 1er janvier qu’au 31 décembre 2018. IV. Vérifications spécifiques . — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par les textes légaux et réglementaires des informations relatives au groupe DOCPROPERTY "A_adapter" \* MERGEFORMAT , données dans le rapport de gestion DOCPROPERTY "A_adapter" \* MERGEFORMAT du conseil d’administration DOCPROPERTY "A_adapter" \* MERGEFORMAT . Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés. Nous attestons que la déclaration consolidée de performance extra-financière prévue par l’article L. 225-102-1 du code de commerce figure dans les informations relatives au groupe données dans le rapport de gestion, étant précisé que, conformément aux dispositions de l’article L. 823-10 de ce code, les informations contenues dans cette déclaration n’ont pas fait l’objet de notre part de vérifications de sincérité ou de concordance avec les comptes consolidés et doivent faire l’objet d’un rapport par un organisme tiers indépendant. — Informations résultant d’autres obligations légales et réglementaires : Désignation des commissaires aux comptes . — Nous avons été nommés Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre assemblée générale du 27 mars 2008 pour le cabinet KPMG Audit et du 27 mars 2008 pour le cabinet ERNST & YOUNG et Autres. Au 31 décembre 2018, le cabinet KPMG S.A. était dans la onzième année de sa mission sans interruption et ERNST & YOUNG et Autres était dans la onzième année. Précemment, le cabinet ERNST & YOUNG Audit, membre du réseau EY, a exercé les fonctions de commissaire aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée de 1989 à 2007. — Responsabilités de la direction et des personnes constituant DOCPROPERTY gouvernement \* MERGEFORMAT le gouvernement d’entreprise relatives aux comptes consolidés : Il appartient à la direction d’établir des comptes consolidés présentant une image fidèle conformément au référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu’elle estime nécessaire à l’établissement de comptes consolidés ne comportant pas d’anomalies significatives, que celles ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs. Lors de l’établissement des comptes consolidés, il incombe à la direction d’évaluer la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la Caisse régionale ou de cesser son activité. Il incombe au conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l’efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l’audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Les comptes consolidés ont été arrêtés par DOCPROPERTY OrganeArrete \* MERGEFORMAT le conseil d'administration . — Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés : Objectif et démarche d’audit . — Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes consolidés. Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux ci. Comme précisé par l’article L. 823 10 1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre Caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : – il identifie et évalue les risques que les comptes consolidés comportent des anomalies significatives, que celles ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; – il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; – il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes consolidés ; – il apprécie le caractère approprié de l’application par la direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la Caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes consolidés au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; – il apprécie la présentation d’ensemble des comptes consolidés et évalue si les comptes consolidés reflètent les opérations et événements sous jacents de manière à en donner une image fidèle ; – concernant l’information financière des personnes ou entités comprises dans le périmètre de consolidation, il collecte des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour exprimer une opinion sur les comptes consolidés. Il est responsable de la direction, de la supervision et de la réalisation de l’audit des comptes consolidés ainsi que de l’opinion exprimée sur ces comptes. — Rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions de DOCPROPERTY ComiteAudit \* MERGEFORMAT comité d'audit : Nous remettons au conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit un rapport qui présente notamment l’étendue des travaux d’audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit figurent les risques d’anomalies significatives, que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537 2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822 10 à L. 822 14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le conseil d’administration remplissant les fonctions de comité d'audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège et Paris-La Défense , le 8 mars 2019 Les Commissaires aux Comptes : KPMG Audit Département de KPMG S.A. ; ERNST & YOUNG et Autres ; Philippe S aint- P ierre ; Luc Valverde . V. — Rapport de gestion . En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

13/02/2019 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 1900249
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération Le cap ital social au 31 décembre 2018 est de 28 057 377 € Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex Numéro Sir en : 776 179 335 Code APE 651 D Situation au 31 Décembre 2018 (En milliers d’Euros) Actif Montant Caisse, banques centrales 44 341 Effets publics et valeurs assimilées 112 825 Créances sur les établissements de crédits 20 114 Opérations internes au Crédit agricole 339 208 Opérations avec la clientèle 4 828 940 Obligations et autres titres à revenu fixe 179 832 Actions et autres titres à revenu variable 95 709 Participations et autres titres détenus à long terme 482 209 Parts dans les entreprises liées 972 Immobilisations corporelles et incorporelles 32 466 Autres actifs 98 057 Comptes de régularisation 60 697 Total de l’actif 6 285 370 Passif Montant Banques centrales 0 Dettes envers les établissements de crédit 15 755 Opérations internes au Crédit agricole 2 959 112 Comptes créditeurs de la clientèle 2 180 959 Dettes représentées par un titre 150 336 Autres passifs 38 975 Comptes de régularisation 74 155 Provisions pour risques et charges 49 785 Dettes subordonnées et titres participatifs 12 421 Fonds pour risques bancaires généraux 40 557 Capitaux propres hors FRBG 763 315 Capital souscrit 28 057 Primes d’émission 129 625 Réserves 575 557 Provisions règlementées et subventions d’investissement 0 Report à nouveau -48 Résultat de l’exercice 30 124 Total du passif 6 285 370 Hors bilan Montant Engagements donnés 712 537 Engagements de financements 429 978 Engagements de garantie 282 172 Engagements sur titres 387 Engagements reçus 1 283 659 Engagements de financements 12 882 Engagements de garantie 1 270 390 Engagements sur titres 387

26/10/2018 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 1804950
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 30 septembre 2018 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren : 776 179 335 Code APE 651 D. Situation au 30 Septembre 2018 . (En milliers d’ E uros . ) Actif Montant Caisse, banques centrales 49 790 Effets publics et valeurs assimilées 114 647 Créances sur les établissements de crédits 20 916 Opérations internes au Crédit agricole 383 322 Opérations avec la clientèle 4 755 693 Obligations et autres titres à revenu fixe 184 480 Actions et autres titres à revenu variable 95 812 Participations et autres titres détenus à long terme 482 085 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 32 505 Autres actifs 78 865 Comptes de régularisation 59 589 Total de l’actif 6 257 704 Passif Montant Banques centrales 0 Dettes envers les établissements de crédit 16 234 Opérations internes au Crédit agricole 2 945 382 Comptes créditeurs de la clientèle 2 150 928 Dettes représentées par un titre 154 513 Autres passifs 28 883 Comptes de régularisation 99 039 Provisions pour risques et charges 49 358 Dettes subordonnées et titres participatifs 11 303 Fonds pour risques bancaires généraux 46 557 Capitaux propres hors FRBG 755 507 Capital souscrit 28 057 Primes d’émission 129 625 Réserves 575 557 Provisions règlementées et subventions d’investissement 0 Report à nouveau - 48 Résultat de l’exercice 22 316 Total du passif 6 257 704 Hors bilan Montant Engagements donnés  : 740 079 Engagements de financements 431 172 Engagements de garantie 308 514 Engagements sur titres 393 Engagements reçus  : 1 248 263 Engagements de financements 12 882 Engagements de garantie 1 234 988 Engagements sur titres 393

03/08/2018 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 1804200
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 30 juin 2018 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren : 776 179 335 – code APE 651 D. Situation au 30 juin 2018 (En milliers d’ E uros) Actif Montant Caisse, banques centrales 46 824 Effets publics et valeurs assimilées 114 051 Créances sur les établissements de crédits 20 495 Opérations internes au Crédit agricole 351 101 Opérations avec la clientèle 4 712 024 Obligations et autres titres à revenu fixe 189 242 Actions et autres titres à revenu variable 95 878 Participations et autres titres détenus à long terme 478 529 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 32 416 Autres actifs 89 941 Comptes de régularisation 57 845 Total de l’actif 6 188 346 Passif Montant Banques centrales 0 Dettes envers les établissements de crédit 16 595 Opérations internes au Crédit agricole 2 964 827 Comptes créditeurs de la clientèle 2 077 785 Dettes représentées par un titre 153 343 Autres passifs 28 459 Comptes de régularisation 89 487 Provisions pour risques et charges 52 01 7 Dettes subordonnées et titres participatifs 10 194 Fonds pour risques bancaires généraux 45 557 Capitaux propres hors FRBG 750 082 Capital souscrit 28 057 Primes d’émission 129 625 Réserves 575 557 Provisions règlementées et subventions d’investissement 0 Report à nouveau - 48 Résultat de l’exercice 16 891 Total du passif 6  188 346 Hors bilan Montant Engagements donnés 719 127 Engagements de financements 423 056 Engagements de garantie 295 665 Engagements sur titres 406 Engagements reçus 1 216 867 Engagements de financements 12 833 Engagements de garantie 1 203 628 Engagements sur titres 406

14/05/2018 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Chiffres d'affaires et situations trimestrielles (4.2)
Numéro d'affaire : 1801984
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES) Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Le capital social au 31 mars 2018 est de 28 057 377 €. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren : 776 179 335 – code APE 651 D. Situation au 31 Mars 2018 (En milliers d’ E uros) Actif Montant Caisse, banques centrales 35 813 Effets publics et valeurs assimilées 119 973 Créances sur les établissements de crédits 10 926 Opérations internes au Crédit agricole 386 754 Opérations avec la clientèle 4 653 621 Obligations et autres titres à revenu fixe 192 735 Actions et autres titres à revenu variable 95 880 Participations et autres titres détenus à long terme 478 436 Parts dans les entreprises liées 0 Immobilisations corporelles et incorporelles 31 868 Autres actifs 93 573 Comptes de régularisation 46 263 Total de l’actif 6 145 842 Passif Montant Banques centrales 0 Dettes envers les établissements de crédit 8 133 Opérations internes au Crédit agricole 3 011 745 Comptes créditeurs de la clientèle 1 996 628 Dettes représentées par un titre 151 678 Autres passifs 32 532 Comptes de régularisation 88 855 Provisions pour risques et charges 53 383 Dettes subordonnées et titres participatifs 25 877 Fonds pour risques bancaires généraux 39 557 Capitaux propres hors FRBG 737 454 Capital souscrit 28 057 Primes d’émission 129 625 Réserves 575 557 Provisions règlementées et subventions d’investissement 0 Report à nouveau 48 Résultat de l’exercice 4 263 Total du passif 6 145 842 Hors bilan Montant Engagements donnés 716 892 Engagements de financements 403 412 Engagements de garantie 313 069 Engagements sur titres 411 Engagements reçus 1 219 075 Engagements de financements 28 717 Engagements de garantie 1 189 947 Engagements sur titres 411

04/05/2018 : Publications périodiques (4)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Comptes annuels (4.1)
Numéro d'affaire : 1801503
Texte de l'annonce :

CAISSE RÉGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL SUD-MEDITERRANEE Société coopérative à capital et personnels variables . C apital social au 31 décembre 2017 : 28 057 377 Euros. Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX. Numéro Siren  : 776 179 335 code APE 651 D. Exercice social : 1 er janvier au 31 décembre 2017 A. — Comptes individuels au 31/12/2017 . Arrêtés par le Conseil d'administration de Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 08 février 2018 et soumis à l'approbation de l'Assemblée générale ordinaire en date du 30 mars 2018 . I. — Bilan au 31 décembre 2017 . (En milliers d'Euros . ) Actif Notes 31/12/2017 31/12/2016 Op é rations interbancaires et assimilées 164 494 142 242 Caisse, banques centrales 35 063 32 215 Effets publics et valeurs assimilées 5 119 377 106 567 Créances sur les établissements de crédit 3 10 054 3 460 Op é rations internes au Crédit Agricole 3 392 806 343 507 Op é rations avec la clientèle 4 4 642 466 4 404 313 Op é rations sur titres 293 581 199 675 Obligations et autres titres à revenu fixe 5 197 669 160 780 Actions et autres titres à revenu variable 5 95 912 38 895 Valeurs immobilisées 510 158 510 056 Participations et autres titres détenus à long terme 6-7 478 213 477 159 Parts dans les entreprises liées 6-7 718 Immobilisations incorporelles 7 881 886 Immobilisations corporelles 7 31 064 31 293 Capital souscrit non verse Actions propres Comptes de régularisation et actifs divers 149 406 167 564 Autres actifs 8 88 427 95 343 Comptes de régularisation 8 60 979 72 221 Total actif 6 152 911 5 767 357 Passif Notes 31/12/2017 31/12/2016 Op é rations interbancaires et assimilées 8 365 3 077 Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit 10 8 365 3 077 Op é rations internes au Crédit Agricole 10 2 968 793 2 793 588 Comptes créditeurs de la clientèle 11 2 061 094 1 886 561 Dettes représentées par un titre 12 150 511 150 307 Comptes de régularisation et passifs divers 110 818 103 367 Autres passifs 13 30 756 28 949 Comptes de régularisation 13 80 062 74 418 Provisions et dettes subordonnées 79 285 84 421 Provisions 14-15-16 53 648 62 526 Dettes subordonnées 18 25 637 21 895 Fonds pour risques bancaires généraux ( FRBG) 17 38 557 34 557 Capitaux propres hors FRBG 19 735 488 711 479 Capital souscrit 28 057 28 057 Primes d'émission 129 625 129 625 Réserves 551 326 524 367 Écarts de réévaluation Provisions réglementées et subventions d'investissement Report à nouveau Résultat de l'exercice 26 480 29 430 Total passif 6 152 911 5 767 357 Hors-bilan Notes 31/12/2017 31/12/2016 Engagements donn é s 730 712 588 242 Engagements de financement 25 423 769 382 706 Engagements de garantie 25 306 535 205 536 Engagements sur titres 25 408 Engagements reçus 1 194 555 1 054 694 Engagements de financement 25 17 962 24 466 Engagements de garantie 25 1 176 185 1 030 228 Engagements sur titres 25 408 Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) : — Opérations de change au comptant et à terme : note 22 — Opérations sur instruments financiers à terme : note 23 II. — Compte de résultat au 31 décembre 2017 (En milliers d' E uros) Notes 31/12/2017 31/12/2016 Intérêts et produits assimilés 27 151 113 162 538 Intérêts et charges assimilées 27 -79 922 -78 402 Revenus des titres à revenu variable 28 16 159 12 866 Commissions produits 29 75 760 76 125 Commissions charges 29 -19 528 -17 835 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation 30 184 189 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés 31 -50 845 Autres produits d'exploitation bancaire 32 2 857 3 397 Autres charges d'exploitation bancaire 32 -560 -338 Produit net bancaire 146 013 159 385 Charges générales d'exploitation 33 -98 343 -97 340 Dotations aux amortissements et dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles -3 787 -5 087 Résultat brut d'exploitation 43 883 56 958 Coût du risque 34 -7 256 -9 177 Résultat d'exploitation 36 627 47 781 Résultat net sur actifs immobilisés 35 -2 271 -448 Résultat courant avant impôt 34 356 47 333 Résultat exceptionnel 36 Impôts sur les bénéfices 37 -3 876 -10 903 Dotations / reprises de FRBG et provisions réglementées -4 000 -7 000 Résultat net de l'exercice 26 480 29 430 III. — Annexes aux comptes sociaux Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice . 1.1. Cadre juridique et financier . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération. Sont affiliées à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée , 32 Caisses locales qui constituent des sociétés coopératives ayant une personnalité juridique propre. Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l'entité consolidante , intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est agréé, avec l'ensemble des Caisses locales qui lui sont affiliées, en qualité de banque mutualiste ou coopérative, avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est de ce fait soumise à la réglementation applicable aux établissements de crédit. Au 31 décembre 2017, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, en application de l'article L.511-30 du Code monétaire et financier, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie , qui détient elle-même, 56,64 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001. Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,28 %. Par ailleurs, Crédit Agricole S.A. détient 2 146 133 actions propres au 31 décembre 2017, soit 0,08 % de son capital, contre 2 765 736 actions propres au 31 décembre 2016. Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par ailleurs, en 1988, les Caisses régionales ont consenti une garantie au bénéfice des tiers créanciers de Crédit Agricole S.A., solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. 1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole . — L'appartenance de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au réseau du Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes : — Comptes ordinaires des Caisses régionales  : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ». — Comptes d'épargne à régime spécial  : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d' Épargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ». — Comptes et avances à terme  : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc ...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d'épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d'avances miroir) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l'utilisation de modèles de replacement et l'application de taux de marché. Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d'application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d'avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d'avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles. Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales  : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ». — Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A.  : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire. — Opérations en devises  : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A.  : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ». — Couverture des risques de liquidité et de solvabilité  : Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier, Crédit Agricole S.A., en sa qualité d’organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l’ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau et chaque établissement affilié bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du Code monétaire et financier ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole . Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453. Par ailleurs, le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l’année 2014 (directive BRRD et règlement sur le mécanisme de résolution unique transposés en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, le Conseil de résolution unique, autorité de résolution européenne, a été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Ce dispositif de résolution, ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution. L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Dans la conduite de son action en tant qu’autorité de résolution, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution doit respecter le principe fondamental selon lequel aucun créancier ne doit, en résolution, subir de pertes plus importantes que celles qu’il aurait subies si l’entité concernée avait été liquidée selon une procédure normale d’insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation – NCWOL – prévu à l’article L. 613-57-1 du Code monétaire et financier et à l’article 73 de la directive BRRD). La nécessité de respecter ce principe conduit Crédit Agricole S.A. à considérer que la garantie accordée en 1988 par les Caisses régionales au bénéfice des créanciers de Crédit Agricole S.A. devra être prise en compte par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, sans toutefois préjuger des modalités de cette prise en compte. — Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch)  : Suite à l'opération de simplification de la structure du Groupe qui s'est traduite par la cession des participations CCI/CCA détenues par Crédit Agricole S.A. à une société intégralement détenue par les Caisses régionales, SACAM Mutualisation, Crédit Agricole S.A. n'est plus actionnaire des Caisses régionales à l'issue de l'opération ; celle-ci s'est donc accompagnée de la signature de deux avenants à la Convention Cadre de la garantie Switch respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3) et mettant notamment fin à la garantie sur les CCI/CCA. Ce dispositif ainsi modifié a pris effet le 1er juillet 2016 et permet désormais de transférer aux Caisses régionales uniquement les exigences prudentielles des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA) dans la limite d'un plafond contractuel : on parle donc désormais des Switch Assurance. La bonne fin du dispositif reste sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l'économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. Ainsi, les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées, moyennant le versement par les Caisses régionales d'une indemnité compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l'application d'une clause de retour à meilleure fortune, peut restituer les indemnisations préalablement perçues. Comptablement , les garanties sont des engagements de hors-bilan assimilables à des garanties données à première demande. Leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d'intérêt en Produit net bancaire. En cas d'appel des garanties, ou le cas échéant lors d'un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d'indemnisation ou le produit de remboursement sont respectivement reconnus en Coût du risque. Il convient de noter que l'activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s'apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Équivalence des participations CAA. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d'estimer s'il existe un risque d'indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n'étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l'activation des garanties sous forme d'appel ou de retour à meilleure fortune. 1.3. Événements significatifs relatifs à l'exercice 2017  : Couverture des risques . — La clôture de l’exercice 2017 a été marquée par : — L’évolution des outils et systèmes de notation interne du Groupe CA, — Les travaux préparatoires à la mise en œuvre de la norme IFRS 9 au 1-01-2018, La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a affirmé sa volonté d’être en anticipation de la couverture des risques à partir de modèles contra-cycliques en dotant au titre de l’exercice une provision collective filière IAS39 fondée sur 3 filières au profil de risques dégradé et ou concentré. La sélection s’est opérée sur des filières déjà identifiées comme risquées ou sensibles par la Caisse régionale et qui font état d’indicateurs de risques dégradés : — filière Retail Habitat pour 3 070 K€ — filière Corporate GMS pour 814 K€ — filière Corporate PIM pour 1 090 K€ Pour chacune des filières, le périmètre de base devant être provisionné a été concentré sur la poche des créances sensibles. La comptabilisation de ces filières correspond à la partie stressée de ces créances sensibles. Structure financière . — Les nouvelles exigences réglementaires en matière de fonds propres découlant des accords de Bâle 3 nécessitent que le dispositif des relations financières entre la Caisse régionale et ses Caisses locales soit compatible avec les critères d’éligibilité des parts sociales en fonds propres de base de catégorie 1 (CET1). A ce titre la Caisse Régionale a décidé sur l’exercice 2017 de : Privilégier les placements en titres négociables à moyen terme (TNMT) dans une optique d’optimisation fiscale Conserver une partie de placement en comptes-courants bloqués (CCB) pour assurer les éventuels remboursements de parts sociales. En date du 15 décembre 2017, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a procédé à l’émission de 8 645 milliers d’€uros de TNMT souscrits par les 2 CLVD. Opération de titrisation. — Le 23 février 2017, une nouvelle opération de titrisation (FCT Crédit Agricole Habitat 2017) a été réalisée au sein du Groupe Crédit Agricole , portant sur les créances habitat des 39 Caisses Régionales. Cette transaction est le premier RMBS français placé dans le marché par le Groupe. Cette opération s'est traduite par une cession de crédits à l'habitat par les 39 Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2017 » pour un montant de 1 milliard d'euros. Les titres seniors adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès de 37 investisseurs européens (banques, fonds et banques centrales). Dans le cadre de cette titrisation, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l'origine, des crédits habitat pour un montant de 9,8 millions d'euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2017. Elle a souscrit pour 1,2 millions d'euros des titres subordonnés. 1.4. Événements postérieurs à l'exercice 2017 . — Aucun événement postérieur à la clôture n’est à constater pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée . Note 2. – Principes et méthodes comptables . Les états financiers de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole . Compte tenu de l'intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés. La présentation des états financiers de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 qui, à partir des exercices ouverts au 1er janvier 2015, regroupe à droit constant dans un règlement unique l'ensemble des normes comptables applicables aux établissements de crédit. A noter qu’aucun changement de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l'exercice précédent n’est intervenu en 2017. 2.1. Créances et engagements par signature . — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours : — les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ; — les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ; — les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle. Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière. Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole , clientèle). Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale. En application de l'article 2131-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l'encours de crédit concerné. Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds. L'application du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 conduit la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à comptabiliser les créances présentant un risque d'impayé conformément aux règles suivantes. L'utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d'apprécier l'existence d'un risque de crédit. Créances restructurées . — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l'établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.) afin de permettre aux contreparties d'honorer le paiement des échéances. Elles concernent les créances classées en défaut et les créances saines, au moment de la restructuration. Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d'insolvabilité. La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l'enregistrement d'une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d'origine. Elle est égale à l'écart constaté entre : — la valeur nominale du prêt ; — et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d'intérêt effectif d'origine (défini à la date de l'engagement de financement). La décote constatée lors d'une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d'intérêt. Les crédits restructurés font l'objet d'une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement au plus tard au bout de trente jours d'impayés. Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée s'élève à 82 164 milliers d'euros au 31 décembre 2017 contre 62 096 milliers d'euros au 31 décembre 2016. Sur ces prêts, des décotes sont comptabilisées pour un montant de 73 milliers d'euros. Créances douteuses . — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l'une des situations suivantes : — il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins, — la situation d'une contrepartie présente des caractéristiques telles qu'indépendamment de l'existence de tout impayé, on peut conclure à l'existence d'un risque avéré, — il existe des procédures contentieuses entre l'établissement et sa contrepartie. Pour les découverts, l'ancienneté de l'impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l'établissement ou qu'il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l'établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu'il a tiré des montants sans autorisation de découvert. Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l'établissement peut décompter l'ancienneté de l'impayé lorsque le découvert a fait l'objet de la part de l'établissement d'une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur. Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis. — Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises. — Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé. Pour les créances douteuses, l'enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise. Dépréciations au titre du risque de crédit avéré . — Dès lors qu'un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l'actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l'étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. Traitement comptable des dépréciations . — Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque, l'augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrite dans la marge d'intérêt. Provisions au titre du risque de crédit non affecté individuellement . — Par ailleurs, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a également constaté, au passif de son bilan, des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement telles que les provisions Risques pays ou les provisions sectorielles généralement calculées à partir des modèles Bâlois. Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement. Risques-pays . — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays » (Note de la Commission Bancaire du 24 décembre 1998). Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d'origine. Passage en perte . — L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d'experts, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu'il a de son activité. 2.2. Portefeuille Titres . — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par les articles 2311-1 à 2391-1 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) ainsi que par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe. Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable. Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition. Titres de placement . — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres. Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus. — Obligations et autres titres à revenu fixe  : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, coupon couru à l'achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre. Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ». — Actions et autres titres à revenu variable  : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ». Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique. A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d'acquisition et la valeur de marché. Ainsi, lorsque la valeur d'inventaire d'une ligne ou d'un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l'article 2514-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, prenant la forme d'achats ou de ventes d'instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées. En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres : – s'il s'agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d'informations particulières sur la situation financière de l'émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ; – s'il s'agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré). Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne. Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat. Titres d'investissement . — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d'une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu'à leur échéance et n'est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu'à leur échéance. Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d'acquisition et coupons inclus. La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre. Il n'est pas constitué de dépréciation des titres d'investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l'émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières, du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ». En cas de cession de titres d'investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l'établissement n'est plus autorisé, pendant l'exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d'investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément à l'article 2341-2 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme  : — Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable. — Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu'elle permet d'exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d'en assurer le contrôle. — Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l'intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l'entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus. Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition frais inclus. A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d'utilité. Celle-ci représente ce que l'établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention. L'estimation de la valeur d'utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l'entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre. Lorsque la valeur d'utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l'objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes. Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ». Prix de marché . — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante : — les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent, — si le marché sur lequel le titre est négocié n'est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n'est pas coté, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu'il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel. Dates d'enregistrement . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d'investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation. Pensions livrées . — Les titres donnés en pension livrée sont maintenus au bilan et le montant encaissé, représentatif de la dette à l'égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan. Les titres reçus en pension livrée ne sont pas inscrits au bilan mais le montant décaissé, représentatif de la créance sur le cédant, est enregistré à l'actif du bilan. Les titres donnés en pension livrée font l'objet des traitements comptables correspondant à la catégorie de portefeuille dont ils sont issus. Reclassement de titres . — Conformément aux articles 2381-1 à 2381-5 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, il est autorisé d'opérer les reclassements de titres suivants : — du portefeuille de transaction vers le portefeuille d'investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l'établissement a l'intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu'à l'échéance, — du portefeuille de placement vers le portefeuille d'investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas opéré, en 2017, de reclassement au titre du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. 2.3. Immobilisations . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 par rapport à l'amortissement et à la dépréciation des actifs. Elle applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l'ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte, la base amortissable tient compte de l'éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Le règlement de l'ANC n° 2015-06 modifie la comptabilisation au bilan du mali technique de fusion ainsi que son suivi dans les comptes sociaux. Le mali ne doit plus être comptabilisé globalement et systématiquement au poste « Fonds commercial » ; il doit être comptabilisé au bilan selon les rubriques d'actifs auxquelles il est affecté en « Autres immobilisations corporelles, incorporelles, financières… ». Le mali est amorti, déprécié, sorti du bilan selon les mêmes modalités que l'actif sous-jacent. Le coût d'acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d'achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l'acquisition pour la mise en état d'utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ». Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition. Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'achèvement. A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation. Les immobilisations sont amorties en fonction de leur durée estimée d'utilisation. Les composants et durées d'amortissement suivants ont été retenus par l a Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée , suite à l'application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d'amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d'amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 25 ans Second œuvre 8 à 20 ans Installations techniques 5 à 15 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans (linéaire) Matériel spécialisé 4 à 5 ans (linéaire) Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante. 2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle . — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes : — dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit, — comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole , — comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière). Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie. Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. 2.5. Dettes représentées par un titre . — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables et emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ». Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ». Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes : — soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er Janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10 % du prix d'émission ; — soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er Janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10 % du prix d'émission. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique également la méthode d'étalement des frais d'emprunts dans ses comptes individuels. Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ». 2.6. Provisions . — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 pour la comptabilisation et l'évaluation des provisions. Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers. Les provisions incluent également les risques-pays. L'ensemble de ces risques fait l'objet d'un examen trimestriel. Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d'opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement. La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d'une part, à l'obligation de rémunérer l'épargne dans le futur à un taux fixé à l'ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d'autre part, à l'octroi d'un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d'épargne-logement à un taux déterminé fixé à l'ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l'ensemble des comptes d'épargne-logement, sachant qu'il n'y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : — le comportement des souscripteurs, ainsi que l'estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d'observations historiques de longue période. — la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le Titre 6 Épargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Provision pour risques sur GIE d'investissement . — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net. 2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.) . — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire. Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice. 2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels . — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions du Titre 5 Les instruments financiers à terme du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours. Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie : Opérations de couverture . — Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable. Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont inscrits prorata temporis dans la rubrique « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés. Opérations de marché . — Les opérations de marché regroupent : — les positions ouvertes isolées (catégorie « a » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07), — la gestion spécialisée d'un portefeuille de transaction (catégorie « d » article 2522 du règlement ANC 2014-07). Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture. Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s'il existe un marché actif, ou à l'aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l'absence de marché actif. Pour les instruments : — en position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé ; — en position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, seules les pertes latentes éventuelles sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement ; — faisant partie d'un portefeuille de transaction, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé. Risque de contrepartie sur les dérivés . — Conformément au règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée intègre l'évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( Credit Valuation Adjustment ou CVA) dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories a et d de l'article 2522-1. du règlement précité) font l'objet d'un calcul de CVA. Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée . Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l'utilisation de données d'entrée observables. Elle repose : — prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels, — en l'absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d'une approximation fondée sur la base d'un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. Opérations complexes . — Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d'instruments (de types, natures et modes d'évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d'une réglementation explicite et qui implique, de la part de l'établissement, un choix de principe. 2.9. Opérations en devises . — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche. Les produits perçus et les charges payées sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture. 2.10. Intégration des succursales à l'étranger . — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées. Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques. Les règles de conversion en euros sont les suivantes : — les postes de bilan sont convertis au cours de clôture, — les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture. Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ». 2.11. Engagements hors-bilan . — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus. Le cas échéant, les engagements donnés font l'objet d'une provision lorsqu'il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour l a Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée . Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie. Ces éléments sont toutefois détaillés dans l'annexe aux notes 25 et 26. 2.12. Participation des salariés aux fruits de l'expansion et intéressement . — La participation des salariés aux fruits de l'expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né. L'intéressement est couvert par l'accord du 21 juin 2017. La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ». 2.13. Avantages au personnel postérieurs à l'emploi  : — Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d'indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies  : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a appliqué, à compter du 1er janvier 2013, la recommandation 2013-02 de l'Autorité des normes comptables du 07 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d'évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014. En application de ce règlement, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Ces engagements sont évalués en fonction d'un ensemble d'hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d'activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l'exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a opté pour la méthode 2 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatés au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation. Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l'exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime, par conséquent le montant de la provision est égal à : – la valeur actuelle de l'obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement, – majorée des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler, – diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d'assurance éligible. Dans le cas où l'obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l'obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). — Plans de retraite – régimes à cotisations définies  : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n'ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n'ont pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l'exercice écoulé. Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « Frais de personnel ». 2.14. Souscription d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d' Epargne Entreprise . — Les souscriptions d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d' Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 20 %, ne comportent pas de période d'acquisition des droits mais sont grevées d'une période d'incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d'actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital. 2.15. Charges et produits exceptionnels . — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée . 2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale) . — D'une façon générale, seul l'impôt exigible est constaté dans les comptes individuels. La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %. Les crédits d'impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu'ils sont effectivement utilisés en règlement de l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d'impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d'intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée constate dans ses comptes la dette d’impôt dont elle est redevable au titre de la convention fiscale qu'elle a signée avec Crédit Agricole SA. En raison de l'objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d'Impôt pour la Compétitivité et l'Emploi (CICE), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d'Impôt pour la Compétitivité et l'Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel et non en diminution de l'impôt. Note 3. – Créances sur les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Établissements de crédit : Comptes et prêts : A vue 2 412 2 412 2 412 3 047 A terme 156 7 271 7 427 7 427 200 Valeurs reçues en pension 0 0 Titres reçus en pension livrée 0 0 Prêts subordonnés 56 157 213 2 215 213 Total 2 568 0 56 7 428 10 052 2 10 054 3 460 Dépréciations Valeur nette au bilan 10 054 3 460 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 174 195 174 195 174 195 120 574 Comptes et avances à terme 1 033 2 138 94 637 118 857 216 665 1 946 218 611 222 933 Titres reçus en pension livrée 0 0 Prêts subordonnés 0 0 Total 175 228 2 138 94 637 118 857 390 860 1 946 392 806 343 507 Dépréciations Valeur nette au bilan 392 806 343 507 Total 402 860 346 967 Commentaires: Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 215 milliers d'euros. Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n'est éligible au refinancement de la banque centrale . Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes. Note 4. – Operations avec la clientèle . 4.1. Opérations avec la clientèle - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Créances commerciales 9 610 1 699 46 11 355 11 355 8 751 Autres concours à la clientèle 260 553 402 781 1 501 863 2 570 858 4 736 055 29 224 4 765 279 4 544 511 Valeurs reçues en pension livrée Comptes ordinaires débiteurs 23 432 23 432 90 23 522 27 009 Dépréciations -157 690 -175 958 Valeur nette au bilan 4 642 466 4 404 313 Commentaires : Aucun prêt subordonné et participatif ne sont consentis à la clientèle . Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 15 315 milliers d'euros . Parmi les créances sur la clientèle 715 723 milliers d'euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2017 contre 764 701 milliers d'euros au 31 décembre 2016. Le montant des créances restructurées au 31 décembre 2017 s'élève à 82 164 milliers d'euros contre 62 096 milliers d'euros au 31 décembre 2016. 4.2. Opérations avec la clientèle - Analyse par zone géographique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 France (y compris DOM-TOM) 4 472 638 4 216 295 Autres pays de L'U.E. 293 003 324 211 Autres pays d'Europe 2 335 2 019 Amérique du Nord 2 002 2 507 Amérique Centrale et du Sud 127 148 Afrique et Moyen-Orient 733 798 Asie et Océanie (hors Japon) 4 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 4 770 842 4 545 978 Créances rattachées 29 314 34 293 Dépréciations -157 690 -175 958 Valeur nette au bilan 4 642 466 4 404 313 4.3. Opérations avec la clientèle - Encours douteux et dépréciations par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis France (y compris DOM-TOM) 4 497 749 152 631 126 961 -102 188 -92 251 4 246 064 180 323 149 437 -117 112 -107 532 Autres pays de L'U.E. 297 177 93 370 80 596 -55 497 -51 206 328 702 107 424 84 827 -58 841 -52 074 Autres pays d'Europe 2 337 2 021 Amérique du Nord 2 030 4 4 -4 2 538 4 4 -4 Amérique Centrale et du Sud 127 148 Afrique et Moyen-Orient 733 1 1 -1 798 1 -1 Asie et Océanie (hors Japon) 3 Japon Non ventilés et organismes internationaux Total 4 800 156 246 006 207 562 -157 690 -143 457 4 580 271 287 752 234 268 -175 958 -159 606 4.4. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Encours brut Dont encours douteux Dont encours douteux compromis Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Particuliers 2 460 876 115 556 90 930 -66 859 -58 823 2 309 493 128 418 98 479 -69 348 -61 183 Agriculteurs 366 316 13 799 11 551 -9 450 -8 481 351 304 14 763 12 930 -9 744 -8 851 Autres professionnels 712 155 58 169 52 296 -41 321 -39 203 719 627 80 324 70 737 -55 101 -52 487 Clientèle financière 77 613 858 858 -459 -458 65 377 1 427 868 -793 -575 Entreprises 635 220 51 582 45 938 -33 559 -30 503 571 466 56 423 44 895 -34 655 -30 231 Collectivités publiques 523 744 6 002 5 977 -6 002 -5 977 541 800 6 202 6 202 -6 202 -6 202 Autres agents économiques 24 232 40 12 -40 -12 21 204 195 157 -115 -77 Total 4 800 156 246 006 207 562 -157 690 -143 457 4 580 271 287 752 234 268 -175 958 -159 606 Note 5. – Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l' activité de portefeuille . (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Transaction Placement Titres de l'activité de portefeuille Investissement Total Total Effets publics et valeurs assimilées : 117 894 117 894 105 213 Dont surcote restant à amortir 1 614 1 614 1 472 Dont décote restant à amortir -23 -23 -11 Créances rattachées 1 483 1 483 1 354 Dépréciations Valeur nette au bilan 119 377 119 377 106 567 Obligations et autres titres à revenu fixe (1): Émis par organismes publics 21 639 21 639 23 283 Autres émetteurs 6 015 170 724 176 739 138 133 Dont surcote restant à amortir 548 548 1 056 Dont décote restant à amortir -148 -148 -132 Créances rattachées 8 1 415 1 423 1 624 Dépréciations -2 -2 130 -2 132 -2 260 Valeur nette au bilan 6 021 191 648 197 669 160 780 Actions et autres titres à revenu variable 95 936 95 936 38 936 Créances rattachées Dépréciations -24 -24 -41 Valeur nette au bilan 95 912 95 912 38 895 Total 101 933 311 025 412 958 306 242 Valeurs estimatives 103 037 327 805 430 842 325 494 (1) Dont 19 550 milliers d'euros de titres subordonnés (hors créances rattachées) au 31 décembre et 24 347 milliers d'euros au 31 décembre 2016 Aucune cession de titres d'investissement n'est intervenue avant l'échéance conformément aux dispositions dérogatoires prévues à l'article 2341-2 du règlement ANC 2014-07. Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 1 111 milliers d'euros au 31 décembre 2017, contre 863 milliers d'euros au 31 décembre 2016. La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse. La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à 18 855 milliers d'euros au 31 décembre 2017, contre 20 600 milliers d'euros au 31 décembre 2016. La valeur estimée des moins-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à -1 307 milliers d'euros au 31 décembre 2017, contre -1 483 milliers d'euros au 31 décembre 2016. 5.1. Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Administration et banques centrales (y compris États ) 21 640 23 283 Établissements de crédit 65 265 27 806 Clientèle financière 204 989 146 842 Collectivités locales Entreprises, assurances et autres clientèles 2 420 2 421 Divers et non ventilés Total en principal 294 314 200 352 Créances rattachées 1 423 1 624 Dépréciations -2 156 -2 301 Valeur nette au bilan 293 581 199 675 5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Total Titres à revenu fixe ou variable 198 378 117 894 95 936 412 208 161 416 105 213 38 936 305 565 Dont titres cotés 97 863 117 894 215 757 62 101 105 213 167 314 Dont titres non cotés (1) 100 515 95 936 196 451 99 315 38 936 138 251 Créances rattachées 1 423 1 483 2 906 1 624 1 354 2 978 Dépréciations -2 132 -24 -2 156 -2 260 -41 -2 301 Valeur nette au bilan 197 669 119 377 95 912 412 958 160 780 106 567 38 895 306 242 (1) Dont 95 936 milliers d'euros d’OPCVM français La répartition de l'ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2017 : (En milliers d' E uros) Valeur d'inventaire Valeur liquidative OPCVM monétaires 57 000 56 997 OPCVM obligataires 38 936 39 997 OPCVM actions OPCVM autres Total 95 936 96 994 5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Créances rattachées Total Total Obligations et autres titres à revenu fixe Valeur brute 6 954 9 489 56 025 125 910 198 378 1 423 199 801 163 040 Dépréciations -2 132 -2 260 Valeur nette au bilan 6 954 9 489 56 025 125 910 198 378 1 423 197 669 160 780 Effets publics et valeurs assimilées Valeur brute 5 049 19 836 93 009 117 894 1 483 119 377 106 567 Dépréciations Valeur nette au bilan 5 049 19 836 93 009 117 894 1 483 119 377 106 567 5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Encours bruts Dont Encours douteux Encours bruts Dont Encours douteux France (y compris DOM-TOM) 264 838 239 946 Autres pays de l' U.E. 49 979 20 105 Autres pays d'Europe Amérique du Nord 1 455 1 455 6 578 1 587 Amérique Centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total en principal 316 272 1 455 266 629 1 587 Créances rattachées 2 906 821 2 978 821 Dépréciations -2 132 -2 130 -2 260 -2 249 Valeur nette au bilan 317 046 146 267 347 159 Note 6. – Titres de participation et de filiales . Informations financières Filiales et participations Devise Capital Capitaux propres autres que le capital Quote-part de capital détenue (en %) Valeurs comptables des titres détenus Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés Montant des cautions et avals donnés par la société PNB ou chiffre d'affaires hors taxes du dernier exercice écoulé Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1) Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice Brutes Nettes Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l’entité Parts dans les entreprises liées détenues dans des Ets de crédits Participations dans des établissements de crédits Autres parts dans les entreprises liées : SCI Château Castelnou EUR 850 1 98,61% 1 202 0 229 18 -18 Autres titres de participations SAS Rue de la Boétie EUR 2 744 903 10 117 280 1,32% 252 774 252 774 898 670 893 492 12 686 SAS Sacam Développement EUR 725 471 1,35% 9 883 9 883 4 622 -21 880 -18 242 135 Sacam International EUR 522 023 1,32% 11 893 7 691 0 -16 520 SAS Sacam Fireca EUR 22 510 1,18% 529 254 0 -396 SAS Sofilaro EUR 18 374 569 6,97% 1 281 1 281 0 2 325 128 Sacam Avenir EUR 145 931 1,08% 2 119 2 119 0 -26 SAS Sacam Participations EUR 62 558 2 804 1,63% 1 184 1 184 251 1 945 C2MS EUR 53 053 1,25% 689 689 0 7 423 51 DELTA EUR 79 550 1,26% 1 000 1 000 0 -26 Sacam Immobilier EUR 139 588 1,59% 2 216 2 216 0 4 141 62 CA-Chèques EUR 2 160 2,86% 80 64 5 781 73 Sacam Mutualisation EUR 18 556 677 1,02% 189 883 189 883 -12 -1 036 SCA Coopérative Catalane des Éleveurs EUR 171 14,00% 23 23 6 126 -132 Pyrénées Roussillon Investissements EUR 624 17,79% 111 111 0 -13 Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital de l’entité : Parts dans les entreprises liées détenues dans des Ets de crédits Participations dans des établissements de crédits Autres parts dans les entreprises liées Autres titres de participations 4 607 4 330 1 550 38 Total parts dans les entreprises liées et participations 479 474 473 502 6 401 13 100 Sauf mention spécifique, les données présentées sont des informations au 31 décembre 2017 . 6.1. Valeur estimative des titres de participation  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Parts dans les entreprises liées Titres non cotés 1 202 1 202 489 Titres cotés Avances consolidables 229 229 229 Créances rattachées Dépréciations -1 431 -713 Valeur nette au bilan 718 718 Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Titres non cotés 476 998 610 907 476 493 595 371 Titres cotés Avances consolidables 6 239 4 645 6 261 4 725 Créances rattachées 65 65 65 65 Dépréciations -6 363 -6 758 Sous-total titres de participation 476 939 615 617 476 061 600 161 Autres titres détenus à long terme Titres non cotés 1 274 1 274 1 098 1 098 Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Sous-total autres titres détenus à long terme 1 274 1 274 1 098 1 098 Valeur nette au bilan 478 213 616 891 477 159 601 259 Total des titres de participation 478 213 616 891 477 877 601 977 (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Total valeurs brutes Titres non cotés 479 474 478 793 Titres cotés Total 479 474 478 793 Les valeurs estimatives sont déterminées d'après la valeur d'utilité des titres ; celle-ci n'est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant SAS Rue La Boétie , la valeur d'utilité est de 20,49€ au 31/12/2017. Note 7. – Variation de l'actif immobilis é. — Immobilisations financières  : (En milliers d' E uros) 01/01/2017 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements 31/12/2017 Parts dans les entreprises liées Valeurs brutes 1 202 1 202 Avances consolidables 229 229 Créances rattachées Dépréciations -713 -718 -1 431 Valeur nette au bilan 718 -718 Titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de participation Valeurs brutes 476 493 1 725 -1 220 476 998 Avances consolidables 6 261 52 -74 6 239 Créances rattachées 65 65 Dépréciations -6 758 -379 774 -6 363 Sous-total titres de participation 476 061 1 398 -520 476 939 Autres titres détenus à long terme Valeurs brutes 1 098 176 1 274 Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Sous-total autres titres détenus à long terme 1 098 176 1 274 Valeur nette au bilan 477 159 1 574 -520 478 213 Total 477 877 856 -520 478 213 — Immobilisations corporelles et incorporelles  : (En milliers d' E uros) 01/01/2017 Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements 31/12/2017 Immobilisations corporelles  : Valeurs brutes 134 235 4 728 -4 510 514 134 967 Amortissements et dépréciations -102 942 -4 849 3 888 -103 903 Mali technique de fusion sur immobilisations corporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 31 293 -121 -622 514 31 064 Immobilisations incorporelles Valeurs brutes 4 630 15 4 645 Amortissements et dépréciations -3 744 -20 -3 764 Mali technique de fusion sur immobilisations incorporelles Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 886 -5 881 Total 32 179 -126 -622 514 31 945 Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Autres actifs (1) Instruments conditionnels achetés Comptes de stock et emplois divers 21 393 25 958 Débiteurs divers (2) 67 026 69 379 Gestion collective des titres Livret de développement durable Comptes de règlement 8 6 Valeur nette au bilan 88 427 95 343 Comptes de régularisation Comptes d'encaissement et de transfert 18 533 20 348 Comptes d'ajustement et comptes d'écart 1 1 Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers Charges constatées d'avance 7 358 8 811 Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme 8 794 8 773 Autres produits à recevoir 25 994 26 616 Charges à répartir 12 38 Autres comptes de régularisation 287 7 634 Valeur nette au bilan 60 979 72 221 Total 149 406 167 564 (1) Les montants incluent les créances rattachées. (2) Dont 229 milliers d'euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d'un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l'actif . (En milliers d' E uros) Solde au 01/01/2017 Dotations Reprises et utilisations Désactualisation Autres mouvements Solde au 31/12/2017 Sur opérations interbancaires et assimilées Sur créances clientèle (1) 175 958 32 926 -50 387 -807 157 690 Sur opérations sur titres 2 301 4 -149 2 156 Sur valeurs immobilisées 10 905 1 142 -1 857 10 190 Sur autres actifs 27 534 4 435 -7 355 24 614 Total 216 698 38 507 -59 748 -807 194 650 (1) Sur l’exercice 2017, la caisse régionale a cédé un portefeuille de créances douteuses compromises pour un montant de 23 M€, dépréciées pour 21,4 M€. Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Établissements de crédit Comptes et emprunts : A vue 881 881 881 2 864 A terme 56 7 428 7 484 7 484 213 Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan 881 56 7 428 8 365 8 365 3 077 Opérations internes au Crédit Agricole  : Comptes ordinaires 1 782 1 782 1 782 4 190 Comptes et avances à terme 428 255 906 289 961 904 669 198 2 965 646 1 365 2 967 011 2 789 367 Titres donnés en pension livrée 31 Valeur au bilan 430 037 906 289 961 904 669 198 2 967 428 1 365 2 968 793 2 793 588 Total 430 918 906 289 961 960 676 626 2 975 793 1 365 2 977 158 2 796 665 Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale. Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle 11.1 . Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par durée résiduelle (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Comptes ordinaires créditeurs 1 475 344 1 475 344 17 1 475 361 1 295 089 Comptes d'épargne à régime spécial : 13 864 13 864 13 864 12 273 A vue 13 864 13 864 13 864 12 273 A terme Autres dettes envers la clientèle : 43 871 120 266 294 235 107 631 566 003 5 866 571 869 579 199 A vue 3 679 3 679 3 679 2 037 A terme 40 192 120 266 294 235 107 631 562 324 5 866 568 190 577 162 Valeurs données en pension livrée Valeur au bilan 1 533 079 120 266 294 235 107 631 2 055 211 5 883 2 061 094 1 886 561 11.2 . Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par zone géographique  : (En milliers d'euros) 31/12/2017 31/12/2016 France (y compris DOM-TOM) 1 962 290 1 800 625 Autres pays de L'U.E. 85 336 72 532 Autres pays d'Europe 3 842 3 072 Amérique du Nord 1 476 1 884 Amérique Centrale et du Sud 114 124 Afrique et Moyen-Orient 1 651 1 796 Asie et Océanie (hors Japon) 500 483 Japon 2 2 Non ventilés et organismes internationaux Total en principal 2 055 211 1 880 518 Dettes rattachées 5 883 6 043 Valeur au bilan 2 061 094 1 886 561 11.3. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par agents économiques  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Particuliers 913 868 870 105 Agriculteurs 137 488 126 140 Autres professionnels 133 289 116 884 Clientèle financière 31 350 22 680 Entreprises 750 168 654 192 Collectivités publiques 4 591 21 664 Autres agents économiques 84 457 68 853 Total en principal 2 055 211 1 880 518 Dettes rattachées 5 883 6 043 Valeur au bilan 2 061 094 1 886 561 Note 12. – Dettes représentées par un titre . — Dettes représentées par un titre - analyse par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Bons de caisse 188 20 208 3 211 36 Titres du marché interbancaire Titres de créances négociables 150 000 150 000 300 150 300 150 271 Emprunts obligataires Autres dettes représentées par un titre Valeur nette au bilan 188 20 150 000 150 208 303 150 511 150 307 Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Autres passifs (1) Opérations de contrepartie (titres de transaction) Dettes représentatives de titres empruntés Instruments conditionnels vendus Comptes de règlement et de négociation Créditeurs divers 30 550 28 949 Versements restant à effectuer sur titres 206 Valeur au bilan 30 756 28 949 Comptes de régularisation Comptes d'encaissement et de transfert 4 946 8 507 Comptes d'ajustement et comptes d'écart Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers Produits constatés d'avance 27 977 22 136 Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme 8 899 8 480 Autres charges à payer 26 350 25 377 Autres comptes de régularisation 11 890 9 918 Valeur au bilan 80 062 74 418 Total 110 818 103 367 (1) Les montants incluent les dettes rattachées. Note 14. Provisions . (En milliers d' E uros) Solde au 01/01/2017 Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements Solde au 31/12/2017 Provisions pour engagements de retraite et assimilés 72 -20 52 Provisions pour autres engagements sociaux 617 59 -54 622 Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature 738 512 -4 -89 1 157 Provisions pour litiges fiscaux (1) 8 8 Provisions pour autres litiges 184 35 219 Provision pour risques pays Provisions pour risques de crédit (2) 43 409 83 033 -89 647 36 795 Provisions pour restructurations Provisions pour impôts Provisions sur participations (3) 526 526 Provisions pour risques opérationnels (4) 1 269 318 -160 -283 1 144 Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (5) 6 830 -2 052 4 778 Autres provisions 9 399 1 065 -2 069 -48 8 347 Valeur au bilan 62 526 85 548 -2 233 -92 193 53 648 (1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés. (2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles CRR/CRD4, et incluent les provisions collectives filières sur les encours France et sur les encours succursale en méthode standard. (3) Y compris sociétés en participation, GIE, risques immobiliers de participations… (4) Cette provision est destinée à couvrir les risques d'insuffisance de conception, d'organisation et de mise en œuvre des procédures d'enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d'information de l'ensemble des événements relatifs aux opérations de l'établissement. (5) Voir note 15 ci-après Note 15. – Epargne - logement . — Encours collectés au titre des comptes et plans d' E pargne -logement sur la phase d'épargne  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 108 479 370 565 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 313 977 337 646 Ancienneté de plus de 10 ans 434 121 202 751 Total plans d'épargne-logement 856 517 810 963 Total comptes épargne-logement 70 244 68 124 Total encours collectes au titre des contrats Épargne -logement 926 761 879 087 L'ancienneté est déterminée conformément au Titre 6 Épargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014. Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état. — Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d' E pargne -logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Plans d' E pargne -logement 840 1 155 Comptes E pargne -logement 2 976 4 289 Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats E pargne -logement 3 816 5 444 — Provision au titre des comptes et plans d' E pargne -logement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 117 2 658 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 2 673 1 336 Ancienneté de plus de 10 ans 2 118 2 836 Total plans d' E pargne -logement 4 908 6 830 Total comptes E pargne -logement Total provision au titre des contrats E pargne -logement 4 908 6 830 (En milliers d' E uros) 01/01/2017 Dotations Reprises 31/12/2017 Plans d' E pargne -logement 6 830 1 922 4 908 Comptes E pargne -logement Total provision au titre des contrats E pargne -logement 6 830 0 1 922 4 908 La dotation de la provision épargne logement au 31 décembre 2017 est liée à l'actualisation des paramètres de calcul et notamment à la baisse de la marge collecte. Note 16. – Engagements sociaux avantages postérieurs à l'emploi, régimes à prestations définies . Les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l'emploi à un ou plusieurs membres de son personnel. Les régimes à prestations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi autres que les régimes à cotisations définies. Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n'aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n'a pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs. D’autre part, la recommandation 2013-02 du 07 novembre 2013, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014, reprend les dispositions de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel, à l’exception de celles relatives aux avantages à court terme et à ceux payés sous forme d’instrument de capitaux propres. — Variations de la dette actuarielle : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Dette actuarielle au 31/12/N-1 18 493 16 374 Coût des services rendus sur l'exercice 1 316 1 098 Coût financier 251 328 Cotisations employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -10 -69 Indemnités de cessation d'activité Prestations versées (obligatoire) -955 -571 (Gains) / pertes actuariels 91 1 334 Dette actuarielle au 31/12/ N 19 187 18 493 — Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Coût des services rendus 1 316 1 098 Coût financier 251 328 Rendement attendu des actifs -205 -302 Coût des services passés (Gains) / pertes actuariels net 217 117 (Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes (Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif Charge nette comptabilisée au compte de résultat 1 580 1 240 — Variations de juste valeur des actifs des régimes  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/N-1 15 813 14 893 Rendement attendu des actifs 205 302 Gains / (pertes) actuariels 36 Cotisations payées par l'employeur 1 599 1 259 Cotisations payées par les employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -10 -69 Indemnités de cessation d'activité Prestations payées par le fonds -955 -571 Juste valeur des actifs / droits a remboursement au 31/12/ N 16 689 15 813 — Composition des actifs des régimes  : Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de: – 83,8 % d'obligations – 9,5 % d'actions – 6,7 % d'autres produits — Variations de la provision  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Dette actuarielle au 31/12/N -19 186 -18 493 Impact de la limitation d'actifs (Gains) / pertes actuariels restant à étaler 2 445 2 607 Juste valeur des actifs fin de période 16 689 15 813 Position nette (passif) / actifs au 31/12/ N -52 -72 — Rendement des actifs des régimes  : Le rendement attendu des actifs de régime est de 1,95%. — Hypothèses actuarielles utilisées  : Au 31 décembre 2017, les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : – une variation de plus 50bp des taux d'actualisation conduirait à une baisse de l'engagement de 1,88 % ; – une variation de moins de 50bp des taux d'actualisation conduirait à une hausse de l'engagement de 0,88 %. Note 17. – Fonds pour risques bancaires g é n é raux . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Fonds pour risques bancaires généraux 38 557 34 557 Valeur au bilan 38 557 34 557 Note 18. – Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle . (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total Total Dettes subordonnées à terme Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Titres et emprunts participatifs Autres emprunts subordonnés à terme 15 000 15 000 481 15 481 15 482 Dettes subordonnées à durée indéterminée (1) Euro Autres devises de l’Union Europ Franc suisse Dollar Yen Autres devises Placement des fonds propres des Caisses Locales 10 135 10 135 21 10 156 6 413 Dépôts de Garantie à caractère mutuel Valeur au bilan 10 135 25 135 502 25 637 21 895 (1) Durée résiduelle des dettes subordonnées à durée indéterminée positionnées par défaut en > 5 ans. Commentaires : Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 1 034 milliers d'euros au 31 décembre 2017 contre 1 069 milliers d'euros au 31 décembre 2016. Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition) — Variation des capitaux propres  : (En milliers d'Euros) Capitaux propres Capital Réserve légale Réserve statutaire Primes, autres réserves et report à nouveau (1) Écarts conversion / réévaluation Provisions réglementées & subventions d'investissement Résultat Total des capitaux propres Solde au 31/12/2015 28 057 353 719 22 884 248 557 31 579 684 796 Dividendes versés au titre de 2015 -2 747 -2 747 Variation de capital (2) Variation des primes et réserves Affectation du résultat social 2015 21 624 7 208 -28 832 Report à nouveau Résultat de l’exercice 2016 29 430 29 430 Autres variations Solde au 31/12/2016 28 057 375 343 22 884 255 765 29 430 711 479 Dividendes versés au titre de 2016 -2 471 -2 471 Variation de capital (2) Variation des primes et réserves Affectation du résultat social 2016 20 219 6 740 -26 959 Report à nouveau Résultat de l’exercice 2017 26 480 26 480 Autres variations Solde au 31/12/2017 28 057 395 562 22 884 262 505 26 480 735 488 Commentaires : (1) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros de primes de fusion. (2) Dont émission de Certificats Coopératifs d'Association souscrits par SACAM Mutualisation Note 20. – Composition des fonds propres . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Capitaux propres 735 488 711 479 Fonds pour risques bancaires généraux 38 557 34 557 Dettes subordonnées et titres participatifs 25 637 21 895 Dépôts de garantie à caractère mutuel Total des fonds propres 799 682 767 931 Note 21. – Opé rations effectuées en devises . — Contributions par devise au bilan  : (En milliers d'euros) 31/12/2017 31/12/2016 Actif Passif Actif Passif Euro 6 250 171 6 062 622 5 871 849 5 682 243 Autres devises de l’Union Europ 35 35 93 93 Franc suisse Dollar 1 893 1 893 865 865 Yen Autres devises 248 248 271 271 Valeur brute 6 252 347 6 064 798 5 873 078 5 683 472 Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation 95 212 88 113 110 976 83 885 Dépréciations -194 648 -216 697 Total 6 152 911 6 152 911 5 767 357 5 767 357 Note 22. – Operations de change, prêts et emprunts en devises . (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 A recevoir A livrer A recevoir A livrer Opérations de change au comptant Devises Euros Opérations de change à terme 7 079 7 078 1 593 1 589 Devises 3 532 3 532 804 804 Euros 3 547 3 546 789 785 Prêts et emprunts en devises Total 7 079 7 078 1 593 1 589 Note 23. – Operations sur instruments financiers à terme . (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Opérations de couverture Opérations autres que de couverture Total Total Opérations fermes 2 174 314 9 993 2 184 307 1 843 718 Opérations sur marchés organisés (1) Contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations de gré à gré (1) 2 174 314 9 993 2 184 307 1 843 718 Swaps de taux d'intérêt 2 174 314 9 993 2 184 307 1 843 718 Autres contrats à terme de taux d'intérêt Contrats à terme de change FRA Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers Autres contrats à terme Opérations conditionnelles 80 540 80 540 Opérations sur marchés organisés Instruments de taux d'intérêt à terme Instruments sur action et indices boursiers à terme Instruments de taux de change à terme Autres instruments à terme conditionnels Opérations de gré à gré 80 540 80 540 Options de swaps de taux Instruments de taux d'intérêts à terme Instruments de taux de change à terme Achetés 40 270 40 270 Vendus 40 270 40 270 Instruments sur actions et indices boursiers à terme Autres instruments à terme conditionnels Dérivés de crédit Contrats de dérivés de crédit Total 2 174 314 90 533 2 264 847 1 843 718 (1) Les montants indiqués sur les opérations fermes correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats). 23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) Total 31/12/2017 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change 80 540 80 540 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 490 797 856 791 836 719 490 797 856 791 836 719 Caps, floors , collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 571 337 856 791 836 719 571 337 856 791 836 719 Swaps de devises Opérations de change à terme 14 158 14 158 Sous total 14 158 14 158 Total 585 495 856 791 836 719 585 495 856 791 836 719 (En milliers d'Euros) Total 31/12/2016 Dont opérations effectuées de gré à gré Dont opérations sur marchés organisés et assimilés ≤ 1 an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1an > 1 an ≤ 5 ans > 5 ans Futures Options de change Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 170 150 883 543 790 025 170 150 883 543 790 025 Caps, floors , collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 170 150 883 543 790 025 170 150 883 543 790 025 Swaps de devises Opérations de change à terme 3 183 3 183 Sous total 3 183 3 183 Total 173 333 883 543 790 025 173 333 883 543 790 025 23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur  : (En milliers d'euros) Juste Valeur Positive au 31/12/2017 Juste Valeur Négative au 31/12/2017 Encours Notionnel au 31/12/2017 Juste Valeur Positive au 31/12/2016 Juste Valeur Négative au 31/12/2016 Encours Notionnel au 31/12/2016 Futures Options de change 40 270 40 270 80 540 Options de taux Opérations fermes en devise sur marchés organisés F.R.A. Swaps de taux d’intérêt 73 449 86 467 2 184 307 100 445 123 206 1 843 718 Caps, floors , Collars Forward taux Opérations fermes sur actions et indices Opérations conditionnelles sur actions et indices Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux Dérivés de crédit Sous total 113 719 126 737 2 264 847 100 445 123 206 1 843 718 Swaps de devises Opérations de change à terme 7 080 7 078 14 158 1 593 1 589 3 183 Sous total 7 080 7 078 14 158 1 593 1 589 3 183 Total 120 799 133 815 2 279 005 102 038 124 795 1 846 901 23.3. Information sur les Swaps  : — Ventilation des contrats d'échange de taux d'intérêt  : (En milliers d' E uros) Position ouverte isolée Micro-couverture Macro-couverture Swaps de transaction Contrats d'échange de taux 9 993 329 091 1 845 222 Contrats assimilés (1) (1) Il s’agit des contrats assimilés au sens de l’article 2521-1 du règlement ANC 2014-07. Note 24. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits dérivés . L'évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l'établissement mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l'application de facteurs de majoration ( add -on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante : Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Valeur de marché Risque de crédit potentiel ( * ) Total risque de contrepartie Valeur de marché Risque de crédit potentiel Total risque de contrepartie Risques sur les gouvernements et banques centrales de l’ OCDE et organismes assimilés Risques sur les établissements financiers de l’ OCDE et organismes assimilés 81 247 8 443 89 690 99 916 8 340 108 256 Risques sur les autres contreparties 452 67 519 638 83 721 Total avant effet des accords de compensation 81 631 8 510 90 141 100 554 8 423 108 977 Dont risques sur contrats de : Taux d'intérêt, change et matières premières 81 631 8 510 90 141 100 445 8 423 108 868 Dérivés actions et sur indices Total avant effet des accords de compensation 81 631 8 510 90 141 100 445 8 423 108 868 Incidences des accords de compensation et de collatérisation Total après effet des accords de compensation et de collaterisation 81 631 8 510 90 141 100 554 8 423 108 977 (*) Calculé selon les normes prudentielles CRR / CRD4 Note 25. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties . (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Engagements donnés : Engagements de financement 423 769 382 706 Engagements en faveur d'établissements de crédit 1 100 Engagements en faveur de la clientèle 423 769 381 606 Ouverture de crédits confirmés 172 563 173 191 Ouverture de crédits documentaires 28 Autres ouvertures de crédits confirmés 172 563 173 163 Autres engagements en faveur de la clientèle 251 206 208 415 Engagements de garantie 306 535 205 536 Engagements d'ordre d'établissement de crédit 126 009 126 057 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires 48 Autres garanties 126 009 126 009 Engagements d'ordre de la clientèle 180 526 79 479 Cautions immobilières 20 989 16 137 Autres garanties d'ordre de la clientèle 159 537 63 342 Engagements sur titres 408 Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements à donner 408 Engagements reçus Engagements de financement 17 962 24 466 Engagements reçus d'établissements de crédit 17 962 24 466 Engagements reçus de la clientèle Engagements de garantie 1 176 185 1 030 228 Engagements reçus d'établissements de crédit 138 722 106 634 Engagements reçus de la clientèle 1 037 463 923 594 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées 234 135 211 091 Autres garanties reçues 803 328 712 503 Engagements sur titres 408 Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise Autres engagements reçus 408 Engagements donnés de garantie d'ordre d'établissements de crédit – Autres garanties : dont 126 009 milliers d'euros relatifs à la garantie (Switch Assurance) mise en place le 1 er juillet 2016, en amendement de la garantie précédente octroyée le 2 janvier 2014 pour 327 349 milliers d'euros. Note 26. – Actifs donnes et reçus en garantie . Créances apportées en garantie . — Au cours de l'année 2017, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 1 187 195 milliers d'euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 269 478 milliers d'euros en 2016. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté : — 715 508 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 761 194 milliers d'euros en 2016; — 132 717 milliers d'euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 153 898 milliers d'euros en 2016; — 338 969 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 354 386 milliers d'euros en 2016 . Note 27. – Produits nets d' intérêts et revenus assimil é s . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Sur opérations avec les établissements de crédit 427 404 Sur opérations internes au Crédit Agricole 10 315 12 133 Sur opérations avec la clientèle 129 710 138 402 Sur obligations et autres titres à revenu fixe 4 254 4 561 Produit net sur opérations de macro-couverture Sur dettes représentées par un titre 6 347 6 263 Autres intérêts et produits assimilés 60 775 Intérêts et produits assimilés 151 113 162 538 Sur opérations avec les établissements de crédit -398 -512 Sur opérations internes au Crédit Agricole -41 229 -34 959 Sur opérations avec la clientèle -24 468 -27 915 Charge nette sur opérations de macro-couverture -1 976 -3 151 Sur obligations et autres titres à revenu fixe Sur dettes représentées par un titre -11 791 -11 772 Autres intérêts et charges assimilées -60 -93 Intérêts et charges assimilées -79 922 -78 402 Total produits nets d' intérêts et revenus assimiles (1) 71 191 84 136 (1) Le montant des charges nettes d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2017 est de 1 034 milliers d'euros, il était de 1 069 milliers d'euros au 31 décembre 2016. Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d'opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques. Note 28. – Revenus des titres . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme 16 159 12 866 Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille Opérations diverses sur titres Total des revenus des titres à revenus variables 16 159 12 866 Note 29. – Produit net des commissions . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 99 -50 49 88 -48 40 Sur opérations internes au Crédit Agricole 4 736 -13 148 -8 412 5 433 -12 013 -6 580 Sur opérations avec la clientèle 17 820 -158 17 662 17 790 -181 17 609 Sur opérations sur titres Sur opérations de change 8 8 7 7 Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan Sur prestations de services financiers (1) 52 940 -6 007 46 933 52 659 -5 441 47 218 Provision pour risques sur commissions 157 -165 -8 148 -152 -4 Total produit net des commissions 75 760 -19 528 56 232 76 125 -17 835 58 290 (1) dont prestations assurance-vie : 10 331 milliers d'euros Note 30. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Solde des opérations sur titres de transaction Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés 143 136 Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme 41 53 Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations 184 189 Note 31. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimil é s . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Titres de placement Dotations aux dépréciations -4 -41 Reprises de dépréciations 30 886 Dotations ou reprises nettes aux dépréciations 26 845 Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées -76 Solde des plus et moins-values de cession réalisées -76 Solde des opérations sur titres de placement -50 845 Titres de l'activité de portefeuille Dotations aux dépréciations Reprises de dépréciations Dotations ou reprises nettes aux dépréciations Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées Solde des plus et moins-values de cession réalisées Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimiles -50 845 Note 32. – Autres produits et charges d'exploitation bancaire . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Produits divers 2 857 3 397 Quote-part des opérations faites en commun Refacturation et transfert de charges Reprises provisions Autres produits d'exploitation bancaire 2 857 3 397 Charges diverses -306 -90 Quote-part des opérations faites en commun -254 -248 Refacturation et transfert de charges Dotations provisions Autres charges d'exploitation bancaire -560 -338 Total autres produits et charges d'exploitation bancaire 2 297 3 059 Note 33. – Charges générales d'exploitation . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Frais de personnel  : Salaires et traitements -34 086 -33 942 Charges sociales -15 868 -15 628 Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies -3 630 -3 626 Intéressement et participation -4 465 -4 953 Impôts et taxes sur rémunérations -6 008 -6 108 Total des charges de personnel -60 427 -60 631 Refacturation et transferts de charges de personnel 2 230 2 536 Frais de personnel nets -58 197 -58 095 Frais administratifs  : Impôts et taxes -3 009 -5 373 Services extérieurs, autres frais administratifs et contributions règlementaires (1) -37 758 -34 284 Total des charges administratives -40 767 -39 657 Refacturation et transferts de charges administratives 621 412 Frais administratifs nets -40 146 -39 245 Charges générales d'exploitation -98 343 -97 340 (1) Dont 526 milliers d'euros au titre du fonds de résolution unique Crédit d'Impôt pour la Compétitivité et l'Emploi (CICE) . — Au titre de l'exercice écoulé et des exercices 2016, 2015, 2014 et 2013, un montant de 6 946 milliers d'euros a été accordé à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (respectivement pour 1 659k€, 1 432k€, 1 456k€, 1 420k€ et 979k€). Effectif moyen  : — Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) Catégories de personnel 31/12/2017 31/12/2016 Cadres 155 150 Non cadres 746 775 Total de l'effectif moyen 901 925 Dont : France 885 909 Étranger 16 16 Dont : personnel mis à disposition 1 1 La rémunération des organes de direction et d'administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l'institution. Le montant global des rémunérations des organes d'administration et de direction s'élève à 1 507 K€ Note 34. – Cout du risque . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Dotations aux provisions et dépréciations -119 602 -38 579 Dépréciations de créances douteuses -31 363 -29 445 Autres provisions et dépréciations -88 239 -9 134 Reprises de provisions et dépréciations 142 394 52 181 Reprises de dépréciations de créances douteuses (1) 44 913 30 462 Autres reprises de provisions et dépréciations (2) 97 481 21 719 Variation des provisions et dépréciations 22 792 13 602 Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3) -1 923 -443 Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4) -30 571 -22 063 Décote sur prêts restructurés -92 -1 Récupérations sur créances amorties 2 652 364 Autres pertes -114 -636 Autres produits Cout du risque -7 256 -9 177 (1) dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses compromises : 24 305 milliers d'euros dont utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromises : 6 262 milliers d'euros (2) dont 105 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif (3) dont 1 548 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises (4) dont 24 305 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises Note 35. – Résultat net sur actifs immobilis é s . (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Immobilisations financières  : Dotations aux dépréciations -1 623 -139 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -1 623 -139 Reprises de dépréciations 775 23 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 775 23 Dotation ou reprise nette aux dépréciations -848 -116 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -848 -116 Plus-values de cessions réalisées 38 1 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme 38 1 Moins-values de cessions réalisées -699 -8 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -699 -8 Pertes sur créances liées à des titres de participation Solde des plus et moins-values de cessions -661 -7 Sur titres d'investissement Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme -661 -7 Solde en perte ou en bénéfice -1 509 -123 Immobilisations corporelles et incorporelles Plus-values de cessions 83 16 Moins-values de cessions -845 -341 Solde en perte ou en bénéfice -762 -325 Résultat net sur actifs immobilises -2 271 -448 Note 36. – Charges et produits exceptionnels . La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l'exercice 2017. Note 37. – Impôt sur les bénéfices . Cet agrégat comprend la charge relative à l'impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l'exercice s'élève à 3 876 K€. Intégration fiscale : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d'impôt résultant de la réallocation de l'économie d'IS liées aux dividendes intragroupe pour 1 215 K€. Note 38. Informations relatives aux résultats des activités bancaires La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur "banque de proximité en France", toutefois il convient de noter l'activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits). 38.1. Résultat courant par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 143 032 -95 977 -4 688 42 367 -3 872 -38 596 -1 429 37 066 Autres pays de l' u.E . 2 981 -1 329 -136 1 516 -3 384 -1 868 -842 -2 710 Résultat courant avant impôt 146 013 -97 306 -4 824 43 883 -7 256 36 728 -2 271 34 356 (En milliers d'Euros) 31/12/2016 PNB Charges d'exploitation Dotation aux amortissements et dépréciations RBE Coût du risque Résultat d'exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt France (y compris DOM-TOM) 155 804 -94 788 -4 960 56 056 -4 195 51 861 -107 51 754 Autres pays de l' u.E . 3 581 -2 551 -128 902 -4 982 -4 080 -341 -4 421 Résultat courant avant impôt 159 385 -97 339 -5 088 56 958 -9 177 47 781 -448 47 333 Note 39. – Affectation des résultats . Résultat de l'exercice à affecter 26 479 907,51 € – Distribué 2 249 030,97 € Intérêts aux parts au taux de 1,25% 263 037,91 € Aux Caisses locales 263 033,33 € Aux autres souscripteurs 4,58 € Rémunération des CCA 1 985 993,06 € – Conservé 24 230 876,54 € Réserve légale 18 173 157,40 € Autres réserves 6 057 719,13 € Note 40. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs . La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un État ou un territoire non coopératif au sens de l'article 238-0 A du Code général des impôts. Note 41. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes . Collège des Commissaires aux Comptes de Crédit Agricole Sud Méditerranée  : (En milliers d' E uros hors taxes) Ernst & Young % KPMG % Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels (*) 125 53,4 89 38,0 Services autres que la certification des comptes (**) 20 8,6 Total 125 53,4 109 46,6 (*) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes. (**) KPMG Audit : Prestation relative aux informations sociales et environnementales communiquées dans le rapport de gestion Note 42. – Attestation des commissaires aux comptes et publicit é. Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan. IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels . (Exercice clos le 31 décembre 2017.) Aux Sociétaires de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, 1. Opinion. — En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos Assemblées générales, nous avons effectué l’audit des comptes annuels de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud-Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2017, tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice. L’opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au Conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit. 2. Fondement de l’opinion : — Référentiel d’audit : Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels » du présent rapport. — Indépendance : Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance qui nous sont applicables, sur la période du 1er janvier 2017 à la date d’émission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014 ou par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. 3. Justification des appréciations - Points clés de l’audit. — En application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d'anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le contexte de l’audit des comptes annuels pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n’exprimons pas d’opinion sur des éléments de ces comptes annuels pris isolément. — Dépréciations de créances de crédit sur une base individuelle : Risque identifié : La Caisse Régionale constitue des provisions pour couvrir les risques avérés de pertes résultant de l'incapacité de ses clients à faire face à leurs engagements financiers. Les pertes prévisibles au titre du risque de crédit avéré font l’objet d’une dépréciation correspondant à la différence entre la valeur comptable des prêts et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux du contrat, comme exposé dans la note 2.1 de l’annexe aux comptes annuels. S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la Direction de votre établissement est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Au 31 décembre 2017, les encours de crédit s’élèvent à 4.800 millions d’euros dont 246 millions d’euros d’encours douteux dépréciés à hauteur de 158 millions d’euros, tel que détaillé dans la note 4 de l’annexe aux comptes annuels. Nous avons considéré la détermination des dépréciations des créances comme un point clé de l’audit en raison de l’importance relative de ces dépréciations dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la Direction pour la détermination des flux futurs estimés et la valeur des garanties associés. Notre réponse à ce risque : Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la Direction pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons en particulier : – mené des entretiens au cours de l’exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la Caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte alimentation en comptabilité ; – testé l’efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la Caisse régionale relatifs à ces procédures ; – apprécié le bien-fondé des hypothèses utilisées par la Direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit présentant un risque avéré ; – effectué un examen analytique de la couverture des encours douteux. — Dépréciations de créances de crédit sur des bases collectives et sectorielles : Risque identifié : La Caisse Régionale constitue des dépréciations sur des bases collectives et sectorielles sur des encours non dépréciés individuellement. Ces dépréciations collectives sont déterminées à l’aide des modèles internes de risque de crédit, sur la base de séries statistiques et historiques des défaillances de la clientèle. S’agissant de la détermination des autres dépréciations sur bases sectorielles, la Direction de votre établissement est conduite à formuler des hypothèses de dégradation de la notation des contreparties. Au 31 décembre 2017, le montant des dépréciations sur bases collectives et sectorielles s’élève à 37 millions d’euros, tel que présenté dans la note 14 aux comptes annuels. Nous avons considéré la détermination des dépréciations comme un point clé de l’audit en raison : – de l’importance des hypothèses dans les modèles de notation et dans les scenarii de dégradation de ces notations ; – de l’évolution au cours de l’exercice 2017 du modèle interne de risque de crédit de la banque de détail. Notre réponse à ce risque : Nos travaux ont consisté à : – effectuer une analyse des évolutions du modèle de notation et identifier les contrôles réalisés que nous considérons pertinents sur la qualité des données utilisées et produites par le modèle et la traçabilité des anomalies. Compte tenu de l’organisation qui prévaut au sein du groupe Crédit Agricole , nous nous sommes fait assister par les commissaires aux comptes de l’organe central pour la mise en œuvre des travaux définis ci-dessus. Nous avons pris connaissance de leurs travaux et nous nous sommes assuré que ces derniers étaient appropriés ; – prendre connaissance de la documentation fournie par la Caisse Régionale sur la justification du choix des secteurs retenus et des procédures appliquées par la Caisse régionale pour la détermination des dépréciations sectorielles ; – tester le correct déversement des données servant de base au calcul des dépréciations sur bases collectives et sectorielles dans les outils alimentant la comptabilité ; – procéder à un examen analytique de l’évolution des encours et des dépréciations par notation. Vérification du rapport de gestion et des autres documents adressés aux sociétaires. Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du Conseil d’administration et dans les autres documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels. En application de la loi, nous nous sommes assuré que les diverses informations relatives aux prises de participation et de contrôle et à l’identité des détenteurs du capital ou des droits de vote vous ont été communiquées dans le rapport de gestion. Informations résultant d'autres obligations légales et réglementaires. Désignation des commissaires aux comptes. — Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre Assemblée générale du 27 mars 2008 pour le cabinet KPMG Audit et du 27 mars 2008 pour le cabinet ERNST & YOUNG et Autres. Au 31 décembre 2017, les cabinets KPMG Audit et ERNST & YOUNG et Autres étaient dans leur dixième année de leur mission sans interruption. Précédemment, le cabinet ERNST & YOUNG Audit, membre du réseau EY, a exercé les fonctions de commissaire aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée de 1989 à 2010 . Responsabilités de la Direction et des personnes constituant le gouvernement d’entreprise relatives aux comptes annuels. Il appartient à la Direction d’établir des comptes annuels présentant une image fidèle conformément aux règles et principes comptables français ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu'elle estime nécessaire à l'établissement de comptes annuels ne comportant pas d'anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d'erreurs. Lors de l’établissement des comptes annuels, il incombe à la Direction d’évaluer la capacité de la société à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la société ou de cesser son activité. Il incombe au Conseil d’administration de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l'efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l'audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière. Les comptes annuels ont été arrêtés par le Conseil d’administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes annuels. Objectif et démarche d’audit. — Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes annuels. Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l’article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre caisse régionale. Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : – il identifie et évalue les risques que les comptes annuels comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; – il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; – il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la Direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes annuels ; – il apprécie le caractère approprié de l’application par la Direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la société à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes annuels au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; – il apprécie la présentation d’ensemble des comptes annuels et évalue si les comptes annuels reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle. Rapport au Conseil d’administration. — Nous remettons un rapport au Conseil d’administration qui présente notamment l’étendue des travaux d'audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au Conseil d’administration, figurent les risques d’anomalies significatives que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes annuels de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au Conseil d’administration la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537-2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L.822-10 à L.822-14 du code de commerce et dans le code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le Conseil d’administration des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège , le 8 mars 2018 Paris-La Défense, le 8 mars 2018 KPMG Audit Département de KPMG S.A.  : Ernst & Young et Autres Membre du réseau Ernst & Young Global Limited  : Philippe Saint-Pierre  ; Luc Valverde  ; Associé , Associé . V. — Rapport de gestion . En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX. B. — Comptes consolidés au 31 décembre 2017 . Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée en date du 8 février 2018 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 30 mars 2018 Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers I. — Cadre général . Présentation juridique de l’entité . La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à PERPIGNAN, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335 et fait partie du groupe Crédit Agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après. Organigramme simplifié du Crédit Agricole Un Groupe bancaire d’essence mutualiste . — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 9,7 millions de sociétaires qui élisent quelques 30 902 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie , détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie . La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales. Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R. 512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L. 511-31 et article L. 511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole, au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. peut prendre toute mesure nécessaire, notamment pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés. Relations internes au Crédit Agricole . Mécanismes financiers internes . — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe. — Comptes ordinaires des Caisses régionales  : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A. , qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit » ou « Dettes envers les établissements de crédit ». — Comptes d'épargne à régime spécial  : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A. , où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ». — Comptes et avances à terme  : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A. , elles figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme. Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition. Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché. Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1 er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A. Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1 er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles. Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A. — Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales  : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. , où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ». — Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire. — Opérations en devises  : Crédit Agricole S.A. , intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change. — Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A.  : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A. , en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ». — Couverture des risques de liquidité et de solvabilité  : Dans le cadre du mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier, Crédit Agricole S.A., en sa qualité d’organe central, doit prendre toutes mesures nécessaires pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque établissement de crédit affilié comme de l’ensemble du réseau. Ainsi, chaque membre du réseau et chaque établissement affilié bénéficie de cette solidarité financière interne. Les dispositions générales du Code monétaire et financier ont été déclinées par des dispositifs internes qui prévoient les mesures opérationnelles à prendre dans le cadre de ce mécanisme légal de solidarité. Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A. , la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A. ) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des Opérations de Bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453. Par ailleurs, le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l’année 2014 (directive BRRD, transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français au règlement sur le mécanisme de résolution unique) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient. Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution. L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution. Dans la conduite de son action en tant qu’autorité de résolution, le Conseil de Résolution Unique doit respecter le principe fondamental selon lequel aucun créancier ne doit, en résolution, subir de pertes plus importantes que celles qu’il aurait subies si la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée concernée avait été liquidée selon une procédure normale d’insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation – NCWOL – prévu à l’article L.613-57-1 du Code monétaire et financier et à l’article 73 de la directive BRRD). La nécessité de respecter ce principe conduit Crédit Agricole S.A. à considérer que la garantie accordée en 1988 par les Caisses régionales au bénéfice des créanciers de Crédit Agricole S.A. devra être prise en compte par le Conseil de Résolution Unique, sans toutefois préjuger des modalités de cette prise en compte. — Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch)  : Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 complété par un premier avenant signé le 19 décembre 2013 et amendé par deux avenants en 2016 respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3), s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les derniers amendements de ces garanties ont pris effet rétroactivement le 1 er juillet 2016, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1 er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée totale ou partielle ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat. A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant. Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant désormais aux participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), celles-ci étant mises en équivalence pour les besoins prudentiels : on parle désormais des garanties Switch Assurance. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales. La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. Ainsi les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement, en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, pourrait restituer les indemnisations préalablement perçues. Sur le plan prudentiel : — Crédit Agricole S.A. réduit ses exigences de capital à proportion du montant des garanties accordées par les Caisses régionales ; — Les Caisses régionales constatent symétriquement des exigences de capital égales à celles économisées par Crédit Agricole S.A. Ce dispositif, qui est neutre au niveau du groupe Crédit Agricole, permet de rééquilibrer l’allocation en fonds propres entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales. Sur le plan comptable : Les garanties s’analysent en substance comme des contrats d’assurance du fait de l’existence d’un risque d’assurance au sens de la norme IFRS 4. La norme IFRS 4 permet à l’émetteur d’un contrat d’assurance, de recourir aux principes comptables déjà appliqués pour des garanties données similaires, sous réserve d’effectuer un test de suffisance du passif selon les modalités visées par le paragraphe 14(b) de la norme. Par conséquent, le traitement comptable des garanties est assimilable à celui d’une garantie donnée à première demande et leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. Dans le cas où il existerait des perspectives de perte nette à l'échéance après prise en compte d’hypothèse raisonnables de retour à meilleure fortune, une provision serait à doter, en Coût du risque, conformément aux exigences du test de suffisance du passif. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seraient respectivement reconnus en Coût du risque. Il convient de noter que l’activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s’apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Équivalence des participations détenues dans Crédit Agricole Assurance. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d’estimer s’il existe un risque d’indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n’étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l’activation des garanties sous forme d’appel ou de retour à meilleure fortune. Informations relatives aux parties liées . — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2017 et aux dirigeants. Celui-ci est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée , du compartiment de la Caisse Régionale dans le FCT Crédit Agricole Habitat 2015, dans le FCT Crédit Agricole Habitat 2017 et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales.» Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€, les comptes courants bloqués s’élèvent à 1 490 K€ et les titres négociables à moyen terme à 8 645K€. II. — États financiers consolid é s . 1. — Compte de résultat . (En milliers d'Euros) Notes 31/12/2017 31/12/2016 Intérêts et produits assimilés 4.1 170 393 181 317 Intérêts et charges assimilées 4.1 -81 291 -89 941 Commissions (produits) 4.2 75 655 76 033 Commissions (charges) 4.2 -19 535 -17 843 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat 4.3 -1 228 -1 175 Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente 4.4-6.4 15 354 12 617 Produits des autres activités 4.5 1 806 1 772 Charges des autres activités 4.5 -1 801 -1 437 Produit net bancaire 159 353 161 343 Charges générales d'exploitation 4.6-7.1-7.4-7.6 -98 160 -97 482 Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles 4.7 -4 552 -4 855 Résultat brut d’exploitation 56 641 59 006 Coût du risque 4.8 -8 070 -8 378 Résultat d'exploitation 48 571 50 628 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence Gains ou pertes nets sur autres actifs 4.9 79 15 Variations de valeur des écarts d'acquisition Résultat avant impôt 48 650 50 643 Impôts sur les bénéfices 4.10 -13 521 -15 680 Résultat net d'impôt des activités abandonnées Résultat net 35 129 34 963 Participations ne donnant pas le contrôle Résultat net part du groupe 35 129 34 963 2. — Résultat net et gains et pertes comptabilises directement en ca pitaux propres . (En milliers d'euros) Notes 31/12/2017 31/12/2016 Résultat net 35 129 34 963 Gains et pertes actuariels sur avantages post-emploi 4.11 -56 -1 334 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entreprises mises en équivalence 4.11 -56 -1 334 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, des entreprises mises en équivalence Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 -114 213 Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables 4.11 -170 -1 121 Gains et pertes sur écarts de conversion Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente 4.11 13 873 771 Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 4.11 257 227 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 14 130 998 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence 4.11 -544 -199 Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 4.11 13 586 799 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 4.11 13 416 -322 Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 48 545 34 641 Dont part du Groupe 48 545 34 641 Dont participations ne donnant pas le contrôle 3. — Bilan . (En milliers d’Euros.) Actif Notes 31/12/2017 31/12/2016 Caisse, banques centrales 6.1 35 063 32 215 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2-6.9 5 937 6 156 Instruments dérivés de couverture 3.2-3.4 81 247 99 916 Actifs financiers disponibles à la vente 6.4-6.7-6.8-6.9 591 246 519 506 Prêts et créances sur les établissements de crédit 3.1-3.3-6.5-6.7-6.9 396 053 347 730 Prêts et créances sur la clientèle 3.1-3.3-6.5-6.7-6.9 4 756 309 4 512 216 Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 39 089 59 194 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 6.6-6.7-6.9 211 718 163 280 Actifs d'impôts courants et différés 6.13 18 518 25 207 Comptes de régularisation et actifs divers 6.14 119 514 140 294 Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées Participation aux bénéfices différée Participation dans les entreprises mises en équivalence Immeubles de placement 6.15 4 886 4 791 Immobilisations corporelles 6.16 26 287 26 625 Immobilisations incorporelles 6.16 881 885 Écarts d'acquisition Total de l'actif 6 286 748 5 938 015 Passif Notes 31/12/2017 31/12/2016 Banques centrales Passifs financiers à la juste valeur par résultat 6.2 556 638 Instruments dérivés de couverture 3.2-3.4 94 369 122 677 Dettes envers les établissements de crédit 3.3-6.10 2 950 428 2 788 892 Dettes envers la clientèle 3.1-3.3-6.10 2 059 752 1 885 101 Dettes représentées par un titre 3.2-3.3-6.11 166 507 159 413 Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 54 665 73 071 Passifs d'impôts courants et différés 6.13 2 1 127 Comptes de régularisation et passifs divers 6.14 101 603 94 477 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées Provisions techniques des contrats d'assurance Provisions 6.17 19 190 21 574 Dettes subordonnées 3.2-3.3-6.11 15 469 15 444 Total dettes 5 462 560 5 161 414 Capitaux propres 824 188 776 601 Capitaux propres part du Groupe 824 188 776 601 Capital et réserves liées 161 478 159 950 Réserves consolidées 610 608 578 131 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 16 973 3 557 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur activités abandonnées Résultat de l'exercice 35 129 34 963 Participations ne donnant pas le contrôle Total du passif 6 286 748 5 938 015 4. — Tableau de variation des capitaux propre s . (En milliers d'Euros) Part du Groupe Participations ne donnant pas le contrôle Capitaux propres consolidés Capital et réserves liées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net Capitaux propres Capital réserves liées et résultat Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres Capital Primes et Réserves consolidées liées au capital (1) Élimination des titres auto détenus Autres instruments de capitaux propres Total Capital et Réserves consolidées Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capitaux propres au 1er janvier 2016 28 899 710 391 739 290 5 720 -1 841 3 879 743 169 0 0 743 169 Augmentation de capital 1 426 1 426 1 426 1 426 Variation des titres autodétenus Émissions d'instruments de capitaux propres Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres Dividendes versés en 2016 -2 735 -2 735 -2 735 -2 735 Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle Mouvements liés aux paiements en actions 100 100 100 100 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 1 426 -2 635 -1 209 -1 209 -1 209 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 799 -1 121 -322 -322 -322 Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence 0 Résultat 2016 34 963 34 963 34 963 Autres variations 0 0 0 Capitaux propres au 31 décembre 2016 30 325 707 756 0 0 738 081 6 519 -2 962 3 557 34 963 776 601 0 0 0 0 0 776 601 Affectation du résultat 2016 34 963 34 963 0 -34 963 0 0 Capitaux propres au 1er janvier 2017 30 325 742 719 0 0 773 044 6 519 -2 962 3 557 0 776 601 0 0 0 0 0 776 601 Augmentation de capital 1 528 1 528 1 528 1 528 Variation des titres autodétenus 0 0 Émissions d'instruments de capitaux propres 0 0 Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres 0 0 Dividendes versés en 2017 -2 486 -2 486 -2 486 -2 486 Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales 0 0 Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle 0 0 Mouvements liés aux paiements en actions 0 0 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires 1 528 -2 486 -958 -958 -958 Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 13 586 -170 13 416 13 416 13 416 Quote-part dans les variations de capitaux propres hors résultat des entreprises mises en équivalence 0 0 Résultat 2017 35 129 35 129 35 129 Autres variations 0 0 Capitaux propres au 31 décembre 2017 31 853 740 233 0 0 772 086 20 105 -3 132 16 973 35 129 824 188 0 0 0 0 0 824 188 (1) Réserves consolidées avant élimination des titres d' auto-contrôle . 5. — Tableau des flux de trésorerie . Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte. Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée y compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance. Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles. Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille Actifs financiers disponibles à la vente sont compris dans cette rubrique. Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme. La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit. (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Résultat avant impôt 48 650 50 643 Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4 552 4 855 Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions -1 387 -2 000 Quote-part de résultat liée aux entreprises mises en équivalence Résultat net des activités d'investissement 582 -8 Résultat net des activités de financement 954 956 Autres mouvements 9 311 5 109 Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôt et des autres ajustements 14 012 8 912 Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit 169 361 107 095 Flux liés aux opérations avec la clientèle -83 191 -48 955 Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers -106 466 14 099 Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers 16 588 28 103 Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence Impôts versés -2 049 -19 769 Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles -5 757 80 573 Flux provenant des activités abandonnées Total Flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A) 56 905 140 128 Flux liés aux participations (1) -917 -190 058 Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles -4 131 -2 591 Flux provenant des activités abandonnées Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissement (B) -5 048 -192 649 Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2) -958 -1 309 Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement 6 908 -930 Flux provenant des activités abandonnées Total Flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement (C) 5 950 -2 239 Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D) Augmentation / (diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D) 57 807 -54 760 Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture 153 896 208 664 Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*) 32 215 33 367 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**) 121 681 175 297 Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture 211 703 153 896 Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*) 35 063 32 215 Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**) 176 640 121 681 Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie 57 807 -54 768 (*) Composé du solde net du poste "Caisse et banques centrales", hors intérêts courus et y compris trésorerie des entités reclassées en activités abandonnées. (**) Composé du solde des postes "Comptes ordinaires débiteurs sains" et "Comptes et prêts au jour le jour sains" tels que détaillés en note 6.5 et des postes "Comptes ordinaires créditeurs" et "Comptes et emprunts au jour le jour" tels que détaillés en note 6.10 (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole) ; (1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période". Au cours de l’année 2017, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée s’élève à 1227 milliers d’euros, portant notamment sur les opérations suivantes : - Acquisition de titres dans SACAM AVENIR pour 549 K€ - Acquisition de titres dans F/I VENTURE pour 61 K€ (dont 1/5 libérés : 16 K€) - Acquisition de titres dans CA REGIONS DEVELOPPEMENT pour 200 K€ (dont 87 K€ libérés) - Acquisition de titres dans CA INNOVATION ET TERRITOIRE pour 97 K€ - Acquisition de titres dans SACAM ASSURANCE CAUTION pour 373 K€ - Acquisition de titres dans CREDIT AGRICOLE PROTECTION SECURITE pour 144 K€ - Cession des titres CA AGIS pour 108 K€ - Cession des titres SACAM Progica , Machinisme, Plein Champ et Santeffi en vue du regroupement des SACAMS pour 202 K€ (2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 486 milliers d’euros pour l’année 2017. III. — Notes annexes aux états financiers . 1 . – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés. 1.1 . Normes applicables et comparabilité . — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2017 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out ), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture. Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/company-reporting-and-auditing/company-reporting/financial-reporting_en Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2016. Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2017 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2017. Celles-ci portent sur : Normes, Amendements ou Interprétations Date de publication par l’Union européenne Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du Applicable dans le Groupe Amendement à IAS 12 Impôts sur le résultat Comptabilisation d’actifs d’impôt différé au titre de pertes latentes 6 novembre 2017 (UE 2017/1989) 1er janvier 2017 Oui Amendement à IAS 7 État des flux de trésorerie Informations sur les dettes faisant partie des activités de financement 6 novembre 2017 (UE 2017/1990) 1er janvier 2017 Oui Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier : Normes, Amendements ou Interprétations Date de publication par l’Union européenne Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du Applicable dans le Groupe IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients Remplacement d’IAS 11 sur la reconnaissance des contrats de construction et d’IAS 18 sur la reconnaissance des produits ordinaires 22 septembre 2016 (UE 2016/1905) 1er janvier 2018 Oui IFRS 9 Instruments financiers Remplacement d’IAS 39 - Instruments financiers : classification et évaluation, dépréciation, couverture 22 novembre 2016 (UE 2016/2067) 1er janvier 2018 Oui IFRS 16 Contrats de location Remplacement d’IAS 17 sur la comptabilisation des contrats de location 31 octobre 2017 (UE 2017/1986) 1er janvier 2019 Oui Amendement à IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients Clarifications à IFRS 15 31 octobre 2017 (UE 2017/1987) 1er janvier 2018 Oui Amendement à IFRS 4 Contrats d'assurance / IFRS 9 Instruments financiers Proposition d'approches optionnelles permettant aux entreprises ayant des activités d'assurance de gérer le décalage d'application entre la norme IFRS 9 et IFRS 4 3 novembre 2017 (UE 2017/1988) 1er janvier 2018 Oui Norme IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients. — La norme IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018 (conformément au règlement UE 2016/1905). L’amendement « Clarification d’IFRS 15 » qui apporte des précisions complémentaires entre en vigueur à la même date (conformément au règlement UE 2017/1987). Pour la première application de cette norme, le groupe Crédit Agricole a choisi la méthode rétrospective modifiée, en comptabilisant l’effet cumulatif au 1 er janvier 2018, sans comparatif au niveau de l’exercice 2017, et en indiquant en annexe les éventuelles incidences de la norme sur les différents postes des états financiers. La norme IFRS 15 remplacera les normes IAS 11 Contrats de construction , IAS 18 Produits des activités ordinaires , ainsi que toutes les interprétations liées IFRIC 13 Programmes de fidélisation de la clientèle , IFRIC 15 Contrats de construction de biens immobiliers , IFRIC 18 Transferts d'actifs provenant de clients et SIC 31 Produits des activités ordinaires - opérations de troc impliquant des services de publicité . Elle regroupe dans un texte unique les principes de comptabilisation des revenus issus des ventes de contrats à long terme, ventes de biens, ainsi que des prestations de services qui n’entrent pas dans le champ d’application des normes relatives aux instruments financiers (IAS 39/IFRS 9), aux contrats d’assurance (IFRS 4/IFRS 17) ou aux contrats de location (IAS 17/IFRS 16). Elle introduit des concepts nouveaux qui pourraient modifier les modalités de comptabilisation de certains revenus du produit net bancaire. Sur la base des conclusions de l'étude d’impact menée au cours du premier semestre 2016, le Groupe estime que la mise en œuvre de la norme IFRS 15 n’aura pas d’impact significatif dans les capitaux propres d’ouverture au 1er janvier 2018. Norme IFRS 9 Instruments Financiers. — La norme IFRS 9 Instruments financiers est appelée à remplacer la norme IAS 39 Instruments financiers : comptabilisation et évaluation . Elle a été adoptée par l’Union européenne le 22 novembre 2016 et publiée au Journal Officiel de l’Union européenne le 29 novembre 2016. Elle entre en vigueur de manière obligatoire pour les exercices ouverts à compter du 1 er janvier 2018. L’amendement « Clauses de remboursement anticipé prévoyant une compensation négative » qui précise la comptabilisation des instruments de dettes assortis de telles clauses est en cours d’adoption par l’Union européenne et devrait entrer en vigueur au 1 er janvier 2019 avec une application anticipée possible au 1 er janvier 2018. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée prévoit d’appliquer l’amendement par anticipation conformément aux recommandations de l’AMF. IFRS 9 définit de nouveaux principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture. Les principales évolutions apportées par la norme  : — Classement et évaluation des actifs financiers  : Sous IFRS 9, les critères de classement et d’évaluation dépendent de la nature de l’actif financier, selon qu’il est qualifié d’instrument de dette (IE prêt, avance, crédit, titre obligataire, part de fonds) ou d’instruments de capitaux propres ( i.e. action). S’agissant des instruments de dettes (prêts et titres à revenus fixes ou déterminables), la norme IFRS 9 s’appuie sur le modèle de gestion d’une part et sur l’analyse des caractéristiques contractuelles d’autre part, pour classer et évaluer les actifs financiers. Les trois modèles de gestion : – Le modèle de pure collecte dont l’intention est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie ; – Le modèle mixte dont l’intention est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie et de céder les actifs ; dans ce modèle, la vente d’actifs financiers et la perception de flux de trésorerie sont toutes les deux essentielles ; et – Le modèle de pure cession dont l’intention est de céder l’actif. Les caractéristiques contractuelles (test ‘‘ Solely Payments of Principal & Interests ’’ ou test ‘‘SPPI’’) : Ce second critère est appliqué aux caractéristiques contractuelles du prêt ou du titre de dette pour en déduire l’éligibilité définitive de l’instrument à une catégorie comptable de classement et d’évaluation. Lorsque l’instrument de dette a des flux de trésorerie attendus qui ne reflètent pas uniquement des éléments de capital et de pure rémunération d’intérêts ( i.e. taux simple), ses caractéristiques contractuelles sont jugées trop complexes et dans ce cas, le prêt ou le titre de dette est comptabilisé à la juste valeur par résultat quel que soit le modèle de gestion. Sont visés les instruments qui ne respectent pas les conditions du test ‘‘SPPI’’. Sur la base des critères énoncés ci-dessus : – Un instrument de dette est comptabilisé au coût amorti à condition d’être détenu en vue d’en percevoir les flux de trésorerie représentatifs uniquement d’éléments de capital et de pure rémunération d’intérêts respectant le test ‘‘SPPI’’. – Un instrument de dette est comptabilisé à la juste valeur par capitaux propres recyclables à condition d’être dans un modèle mixte de collecte de flux de trésorerie et de revente en fonction des opportunités, sous réserve que ses caractéristiques contractuelles soient également représentatives d’éléments de capital et de pure rémunération d’intérêts respectant le test ‘‘SPPI’’. – Un instrument de dette qui n’est pas éligible à la catégorie coût amorti ou en juste valeur par capitaux propres recyclables est enregistré en juste valeur par résultat. C’est le cas notamment des instruments de dettes dont le modèle de gestion est de pure cession. Cela concerne également les parts d’OPCVM non consolidées qui sont des instruments de dette ne respectant pas le test ‘‘SPPI’’ indépendamment du modèle de gestion. S’agissant des instruments de capitaux propres (investissements de type actions), ils doivent être, par défaut, comptabilisés à la juste valeur par résultat, sauf option irrévocable pour un classement à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (sous réserve que ces instruments ne soient pas détenus à des fins de transaction). En synthèse, l’application du volet classement et évaluation d’IFRS 9 par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée devrait conduire : – A une augmentation des actifs à la juste valeur par résultat compte tenu du reclassement des OPCVM et de la majorité des instruments de capitaux propres dans cette catégorie ce qui entrainera une volatilité accrue du résultat ; – Au classement en coût amorti de la grande majorité des prêts et créances, dès lors que ceux-ci respectent le test ‘‘SPPI’’ ; – Au classement en juste valeur par capitaux propres recyclables ou au coût amorti des instruments de dettes en fonction de la documentation du modèle de gestion documenté en date de première application. — Dépréciation : La norme IFRS 9 instaure un nouveau modèle de dépréciation qui exige de comptabiliser les pertes de crédit attendues (‘‘ Expected Credit Losses ’’ ou ‘‘ ECL ’’) sur les crédits et les instruments de dettes évalués au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, sur les engagements de prêts et sur les contrats de garantie financière qui ne sont pas comptabilisés à la juste valeur, ainsi que sur les créances résultant de contrats de location et créances commerciales. Cette nouvelle approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues alors que dans le modèle de provisionnement d’IAS 39, elle est conditionnée à la constatation d’un événement objectif de perte avérée. L’ECL se définit comme la valeur probable espérée pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuels et ceux attendus (incluant le principal et les intérêts). La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut. Ces calculs s’appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu’ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique. La norme IFRS 9 préconise une analyse en date d’arrêté ( Point in Time ) tout en tenant compte de données de pertes historiques et des données prospectives macro-économiques ( Forward Looking ), alors que la vue prudentielle s’analyse à travers le cycle ( Through The Cycle ) pour la probabilité de défaut et en bas de cycle ( downturn ) pour la perte en cas de défaut. L’approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut (‘‘ Loss Given Default ’’ ou ‘‘LGD’’). Le nouveau modèle de provisionnement du risque de crédit distingue trois étapes : – 1 ère étape : dès la comptabilisation initiale de l’instrument (prêt, titre de dette, garantie …), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée comptabilise les pertes de crédit attendues sur douze mois ; – 2 è étape : dans un deuxième temps, si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée comptabilise les pertes prévues sur sa durée de vie ; – 3 è étape : dans un troisième temps, dès lors qu’un ou plusieurs événements de défaut sont intervenus sur la transaction ou sur la contrepartie en ayant un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée comptabilise une perte de crédit avérée à maturité. Concernant la deuxième étape, le suivi et l’estimation de la dégradation significative du risque de crédit peuvent être effectués sur une base individuelle de niveau transactionnel ou sur une base collective de niveau portefeuille en regroupant les instruments financiers en fonction de caractéristiques communes de risque de crédit. La démarche repose sur l’utilisation d’un large éventail d’informations, incluant des données historiques de pertes observées, des ajustements de nature conjoncturelle et structurelle, ainsi que des projections de pertes établies à partir de scénarios raisonnables. Cette dégradation dépend du niveau de risque à la date de comptabilisation initiale et doit être constatée avant que la transaction ne soit dépréciée (3 è étape). Afin d’apprécier la dégradation significative, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée s’inscrit dans le processus du groupe Crédit Agricole fondé sur deux niveaux d’analyse : – Un premier niveau dépendant de règles et de critères absolus et relatifs qui s’imposent à l’ensemble des entités du Groupe ; – Un deuxième niveau lié à l’appréciation en local de critères qualitatifs du risque porté par le Groupe sur ses portefeuilles pouvant conduire à durcir les critères de dégradation définis en premier niveau (bascule d’un portefeuille ou sous-portefeuille en étape 2 d’ECL à maturité). Il existe une présomption réfutable de dégradation significative en présence d’un impayé de plus de trente jours. Le Groupe pourra réfuter cette présomption sur le périmètre des encours pour lesquels des dispositifs de notation internes ont été construits, en particulier les expositions suivies en méthodes avancées, considérant que l’ensemble des informations intégrées dans les dispositifs de notation permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d’impayés de plus de trente jours. En l’absence de modèle de notation interne, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée retiendra le seuil absolu d’impayés supérieur à trente jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en deuxième étape. Concernant le périmètre des instruments entrant dans la troisième étape de provisionnement, le Groupe alignera la définition de la défaillance avec celle du défaut actuellement utilisée en gestion pour des fins réglementaires. Ainsi, un débiteur est considéré en situation de défaut, lorsqu’au moins une des deux conditions suivantes est satisfaite : – Un arriéré de paiement généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l’arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ; – La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée estime improbable que le débiteur s’acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu’elle ait recours à d’éventuelles mesures telles que la réalisation d’une sûreté. En synthèse, le nouveau modèle de provisionnement d’IFRS 9 pourrait conduire à une augmentation du montant des dépréciations sur les prêts et titres comptabilisés au bilan au coût amorti ou en juste valeur par capitaux propres recyclables, et sur les engagements hors bilan ainsi que sur les créances résultant de contrats de location et les créances commerciales. — Comptabilité de couverture : Sur la comptabilité de couverture (hors opérations de macro-couverture de juste valeur), la norme IFRS 9 prévoit des évolutions limitées par rapport à IAS 39. Les dispositions de la norme s’appliquent au périmètre suivant : Toutes les opérations de micro-couverture ; et – Les opérations de macro-couverture de flux de trésorerie uniquement. – Les opérations de macro-couverture de Juste Valeur de risque de taux sont exclues et peuvent rester dans le champ d’IAS 39 (option). Lors de la première application de la norme IFRS 9, deux possibilités sont offertes par la norme : – Appliquer le volet « couverture » IFRS 9 ; ou – Maintenir IAS 39 jusqu’à l’application d’IFRS 9 pour l’ensemble des relations de couverture (au plus tard lorsque le texte macro-couverture de Juste Valeur de taux sera adopté par l’Union européenne). Conformément à la décision du Groupe, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée n’appliquera pas ce volet de la norme. Toutefois, des informations devront être fournies dans les annexes aux états financiers avec une granularité accrue sur la gestion des risques et les effets de la comptabilité de couverture sur les états financiers. Le déploiement du projet dans le groupe Crédit Agricole La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée fait partie intégrante du projet Groupe qui s’est organisé pour mettre en œuvre la norme IFRS 9 dans les délais requis, en associant l’ensemble des fonctions comptables, finances, risques et informatiques. Les étapes du projet et les réalisations à date Au premier semestre 2015, les travaux ont porté sur : – L’analyse des dispositions de la norme, avec une attention particulière sur les changements induits par les nouveaux critères de classement et d’évaluation des actifs financiers et par la refonte du modèle de dépréciation du risque de crédit qui requiert de passer d’un provisionnement de pertes de crédit avérées à un provisionnement de pertes de crédit attendues (ECL) ; – L’identification des questions clés et des principaux sujets d’interprétation comptable à partir des premiers macro-chiffrages des impacts de la norme. Après cette étape d’analyse et de diagnostic, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a pris part à la phase de mise en œuvre du projet à partir de septembre 2015. Par ailleurs, durant l’année 2016, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a été associée aux principales réalisations qui ont concerné : – Les chantiers normatifs avec l’identification des principaux impacts sur les états financiers et la définition du processus cible de provisionnement du Groupe qui s’est concrétisé par la rédaction d’un cadre méthodologique commun ; – Les chantiers méthodologiques Groupe de définition des options possibles concernant la formule de calcul des provisions, la dégradation significative et le forward looking , ainsi que la méthodologie de calcul de la juste valeur des crédits ; – Des simulations provisoires des impacts de la nouvelle norme sur les états financiers et les fonds propres prudentiels, notamment pour répondre au mieux aux demandes de l’Autorité Bancaire Européenne au niveau du groupe Crédit Agricole. Ces travaux ont été effectués sur la base des données comptables au 31 décembre 2015 de niveau Groupe ; – Les chantiers informatiques avec des impacts majeurs dans les systèmes d’information, impliquant des travaux de spécifications sur les outils Risques et Finance et des choix d’outils mutualisés, à savoir : un outil central de provisionnement et pour les titres de dettes côtés un outil d’analyse des caractéristiques contractuelles permettant l’industrialisation du test ‘‘SPPI’’. L’ensemble de ces travaux de déploiement se sont poursuivis en 2017 et ont intégré des chiffrages d’impact sur la base des états financiers au 31 décembre 2016 afin de répondre notamment à la demande de l’Autorité Bancaire Européenne (ABE). En particulier, le Groupe a précisé la gouvernance transverse applicable au futur dispositif de provisionnement. Cette gouvernance s’appuiera sur le dispositif mis en place pour répondre aux exigences prudentielles CRR /CRD. La Direction des Risques du Groupe (‘DRG’) est responsable de la définition du cadre organisationnel et méthodologique Groupe ainsi que de sa diffusion au sein des entités. — Transition  : La norme IFRS 9 est d’application rétrospective et obligatoire à compter du 1 er janvier 2018 en ajustant le bilan d’ouverture en date de première application, sans l’obligation de retraiter les états financiers de la période comparative 2017. En conséquence, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée ne prévoit pas de retraiter les états financiers présentés en comparaison avec ceux de l’année 2018. Norme IFRS 16 Contrats de location. — La norme IFRS 16 Contrats de location remplacera la norme IAS 17 et toutes les interprétations liées (IFRIC 4 Déterminer si un accord contient un contrat de location , SIC 15 Avantages dans les contrats de location et SIC 27 Evaluation de la substance des transactions impliquant la forme juridique d’un contrat de location ). Elle sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1 er janvier 2019. La principale évolution apportée par la norme IFRS 16 concerne la comptabilité des locataires. IFRS 16 imposera pour les locataires un modèle visant à comptabiliser au bilan tous les contrats de location, avec la reconnaissance au passif d’une dette locative représentative des engagements sur toute la durée du contrat, et à l’actif un droit d’utilisation à amortir. Une étude d’impact de la mise en œuvre de la norme dans le groupe Crédit Agricole a été réalisée au second trimestre 2017. À ce stade de l’avancement du projet, le Groupe reste entièrement mobilisé sur la définition des options structurantes liées à l’interprétation de la norme. Les normes et interprétations publiées par l’IASB au 31 décembre 2017 mais non encore adoptées par l’Union européenne ne sont pas applicables par le Groupe. Elles n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de la date prévue par l’Union européenne et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2017. Cela concerne en particulier la norme IFRS 17. Par ailleurs, plusieurs amendements et deux interprétations à des normes existantes ont été publiés par l’IASB, sans enjeu majeur pour le Groupe qui s’appliquent sous réserve de leur adoption par l’Union européenne. Il s’agit d'une part de l'amendement à IFRS 12 Informations à fournir sur les intérêts détenus dans d'autres entités , applicable au 1 er janvier 2017 et des amendements à IFRS 2 Classement et évaluation des transactions dont le paiement est fondé sur des actions, à IAS 28 Participations dans des entreprises associées et à IAS 40 Immeubles de placement applicables au 1 er janvier 2018, et d'un deuxième amendement à IAS 28 Participations dans des entreprises associées applicable au 1 er janvier 2019. D’autre part, il s’agit de l’interprétation IFRIC 22 Transactions en monnaies étrangères et contrepartie anticipée applicable au 1 er janvier 2018 et de l'interprétation IFRIC 23 Positions fiscales incertaines applicable au 1 er janvier 2019. 1.2. Format de présentation des états financiers . — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation ANC n°2013-04 du 7 novembre 2013. 1.3. Principes et méthodes comptables  : Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur. Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment : – les activités des marchés nationaux et internationaux ; – les fluctuations des taux d’intérêt et de change ; – la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ; – les modifications de la réglementation ou de la législation. Cette liste n’est pas exhaustive. Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes : – les instruments financiers évalués à la juste valeur ; – les participations non consolidées ; – les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ; – les plans de stock options ; – les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et d’actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ; – les dépréciations des créances ; – les provisions ; – les dépréciations des écarts d’acquisition ; – les actifs d’impôts différés ; – la valorisation des entreprises mises en équivalence ; – la participation aux bénéfices différés Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après. Instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne. Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier. Titres à l’actif : — Classification des titres à l’actif  : Les titres sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définis par la norme IAS 39 : – actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ; – actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ; – prêts et créances ; – actifs financiers disponibles à la vente. — Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option  : Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée. Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste. La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupe d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides. A ce titre, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour l’actif suivant : — EMTN CACIB CMS TEC Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat). Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat. Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations. Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature et sont évalués en mark-to- market . — Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance  : La catégorie Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance (applicable aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que : – ceux que la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ; – ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des Actifs détenus jusqu’à l’échéance. Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39. La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39. Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus. Ils sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti avec amortissement de la surcote/décote et des frais de transaction selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti. — Prêts et créances  : La catégorie Prêts et créances enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenu fixe ou déterminable. Les titres du portefeuille Prêts et créances sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus. Ils sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti avec amortissement de la surcote / décote et des frais de transaction selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti. — Actifs financiers disponibles à la vente  : La catégorie Actifs financiers disponibles à la vente est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation. Les titres classés en Actifs financiers disponibles à la vente sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus. Les titres classés en Actifs financiers disponibles à la vente sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat. L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ». Valorisation des titres SAS Rue La Boétie : L’ensemble des Caisses régionales de Crédit Agricole détient la totalité du capital de SAS Rue La Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50 % des droits de vote et du capital de Crédit Agricole S.A. La fixation de paramètres permettant de refléter l’ensemble des droits et obligations attachés à la détention des titres SAS Rue La Boétie est complexe et donne lieu à une large fourchette d’évaluations possibles en fonction des éléments suivants : La stabilité capitalistique du Groupe qui permet d’assurer le contrôle collectif et permanent des Caisses régionales sur Crédit Agricole S.A. ; La couverture des risques de liquidité et de solvabilité des Caisses régionales ; Les relations économiques et financières internes au groupe Crédit Agricole ; La mise en commun de moyens ; et La valorisation, le développement et l’utilisation de la marque Crédit Agricole. En conséquence, et en application de l’exception prévue par la norme IAS 39, les titres SAS Rue La Boétie sont valorisés à leur coût dans les comptes des Caisses régionales. Les titres font l’objet d’un test de dépréciation annuel et, le cas échéant, en cas d’indice de pertes de valeur (cf. partie principes et méthodes comptables – dépréciation des titres). — Dépréciation des titres  : Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat. Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dettes. Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30 % au moins de sa valeur sur une période de six mois consécutifs. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme etc. Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de valeur supérieure à 50 % ou observée pendant plus de trois ans. Valorisation des titres SAS Rue La Boétie : Les titres SAS Rue la Boétie , valorisés au coût, font systématiquement l’objet d’un test de dépréciation annuel et en cas d’indices de pertes de valeurs. A titres d’exemples, les situations suivantes pourraient être considérées comme des indications objectives de dépréciation (à apprécier en fonction de leur significativité) : — Annonce d’un plan de restructuration ou de cession sur le périmètre Groupe Crédit Agricole S.A. ; — Baisse du cours de l’action Crédit Agricole S.A. ; — Diminution de l’actif net consolidé de Crédit Agricole S.A. ; — Constatation d’un résultat net déficitaire ; — Dégradation de la notation de Crédit Agricole S.A. ... Une dépréciation sera enregistrée en résultat conformément au paragraphe 66 d’IAS 39, dès lors que la valeur comptable du titre sera supérieure à une valeur de référence déterminée sur une approche multicritères fondée sur des paramètres de marché visant à établir une valeur des flux de trésorerie futurs attendus actualisés au taux qui serait retenu par le marché pour un actif similaire. Cette approche combine une valorisation des flux futurs attendus des différentes activités du Groupe actualisés à un taux de marché, une valorisation de l’actif net du Groupe, une valorisation des activités du Groupe par référence à des prix de transactions observés récemment sur des activités similaires, une valorisation fondée sur le cours de bourse de Crédit Agricole S.A. complété d’une prime de contrôle et, le cas échéant une valorisation par référence aux transactions internes. Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances. La constatation de cette dépréciation ne se fait que dans la mesure où elle se traduira par une perte probable de tout ou partie du montant investi : – pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure ; – pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes. — Date d’enregistrement des titres  : Les titres classés dans les catégories Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance et Prêts et créances sont enregistrés à la date de règlement livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation. Reclassements d’actifs financiers. — Conformément à IAS 39, il est autorisé d’opérer des reclassements de la catégorie Actifs financiers disponibles à la vente vers la catégorie Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance en cas de changement d’intention de gestion et si les critères de reclassement en Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance sont respectés. Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est également autorisé d’opérer les reclassements suivants : — des catégories Actifs financiers détenus à des fins de transaction et Actifs financiers disponibles à la vente vers la catégorie Prêts et créances, si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ; — dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie Actifs financiers détenus à des fins de transaction vers les catégories Actifs financiers disponibles à la vente ou Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance, si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes. La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l’actif financier reclassé. Les informations sur les reclassements réalisés par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée en application de l’amendement de la norme IAS 39 sont données dans la note 9 " Reclassements d’instruments financiers " . Acquisition et cession temporaire de titres. — Au sens de la norme IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent généralement pas les conditions de décomptabilisation d’IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis. Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant. Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire. Une créance est enregistrée en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension. Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat. Activité de crédits. — Les crédits sont affectés principalement à la catégorie Prêts et créances. Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant. Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature et sont évalués en mark-to- market . Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie. Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat. — Dépréciations de créances  : Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en Prêts et créances sont dépréciées lorsqu’elles présentent une indication objective de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances, telle que : – des difficultés financières importantes du débiteur ; – une rupture de contrat telle qu’un défaut de paiement des intérêts ou du capital ; – l’octroi par le prêteur à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une facilité que le prêteur n’aurait pas envisagée dans d’autres circonstances (restructuration de prêts) ; – une probabilité croissante de faillite ou autre restructuration financière de l’emprunteur. Les dépréciations peuvent être réalisées sur base individuelle, sur base collective, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client. Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non-recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts. L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan. — Dépréciations sur base individuelle  : Le risque de perte avéré est tout d’abord examiné sur les créances prises individuellement. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations individuelles portant sur des créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant une indication objective de dépréciation. Le montant des dépréciations correspond à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine. Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles. — Dépréciations sur base collective  : Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle . Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives. Elles sont déterminées par un ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires. — Dépréciations calculées à partir de modèles bâlois : Dans le cadre de la réglementation bâloise, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39. L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction. Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant des pertes attendues calculé selon les modèles bâlois, d’un coefficient correcteur de passage à maturité, destiné à prendre en compte la nécessité de constituer des dépréciations sur les pertes attendues jusqu’au terme du contrat. — Autres dépréciations sur base collective : Par ailleurs, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur les marchés français et espagnol. — Restructurations de créances  : Les créances restructurées pour difficultés financières sont des créances pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et les créances saines, au moment de la restructuration. La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, qui peut notamment provenir du report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l’enregistrement d’une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux d'intérêt effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre : – la valeur comptable du prêt ; – et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement). La perte constatée lors d’une restructuration de créance est comptabilisée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d’intérêt. Les crédits restructurés font l’objet d’un suivi en fonction de la notation conforme aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement au plus tard au bout de 30 jours d’impayés. Les crédits restructurés restent classés dans cette catégorie pendant une période de deux ans (trois ans s’ils étaient en défaut au moment de la restructuration). — Encours en souffrance  : Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance). — Renégociations commerciales  : Les créances renégociées pour raisons commerciales en l’absence de difficultés financières de la contrepartie et dans le but de développer ou conserver une relation commerciale sont décomptabilisées en date de renégociation. Les nouveaux prêts accordés aux clients sont enregistrés à cette même date à leur juste valeur puis ultérieurement au coût amorti à partir du taux d’intérêt effectif déterminé selon les conditions du nouveau contrat. — Intérêts pris en charge par l’État (IAS 20)  : Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'État. En conséquence, ces entités perçoivent de l’État une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications. Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'État. Les bonifications perçues de l’État sont enregistrées sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20. Passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers : — les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ; — les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ; — les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe. Titres au passif — Distinction dettes – capitaux propres  : La distinction entre instruments de dettes et instruments de capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance économique des dispositifs contractuels. Un instrument de dettes constitue une obligation contractuelle : – de remettre des liquidités ou un autre actif financier ; ou – d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables. Un instrument de capitaux propres est un contrat qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette. Produits de la collecte. — Les produits de la collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des Dettes envers la clientèle malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle. L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti. Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché. Les plans d’épargne-logement et les comptes d’épargne-logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.17 " Provisions " . Instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture. La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie). — La comptabilité de couverture  : La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé. La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associés à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable. La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro. Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture : – éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ; – documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ; – démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté. Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole S.A. privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite carve out ). De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts. La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers. L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante : – couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ; – couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ; – couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat. Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement. – couverture de juste valeur : seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres disponibles à la vente, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts. – couverture de flux de trésorerie : l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts. – couverture d'investissement net à l'étranger : Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation. — Dérivés incorporés  : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies : – le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ; – séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ; – les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte. Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation. La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permet et fait l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C’est notamment le cas du calcul de CVA/DVA. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables. — Risque de contrepartie sur les dérivés  : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( credit valuation adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( debit valuation adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. Elle repose prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés. — Hiérarchie de la juste valeur  : La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation . – Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs. Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures. Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale. Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée retient des cours mid - price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs. – Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1. Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles/accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché. Sont présentés en niveau 2 : - les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes ) et fondée sur des données de marché observables ; - les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté. Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation. – Niveau 3: justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité. La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3. Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de produits structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché. Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée. La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat. Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie. Absence de juste valeur reconnue pour un instrument de capitaux propres. Conformément aux principes d’IAS 39, si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente ». Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS 7 en vigueur. Pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée , cela concerne le titre SAS Rue la Boétie , titre de participation de société non cotée sur un marché actif dont la détermination d’une juste valeur est complexe. Gains ou pertes nets sur instruments financiers : — Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : – Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : – les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ; – les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ; – les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ; – les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie. Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture. — Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : – les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ; – les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ; – les pertes de valeur des titres à revenu variable ; – les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ; – les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39. Compensation des actifs et passifs financiers. — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément. Les instruments dérivés et les opérations de pension traités avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan. Cet effet de compensation est présenté dans le tableau de la note 6.12 relative à l’amendement d’IFRS 7 sur les informations à fournir au titre des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers. Garanties financières données. — Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette. Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre : — celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels ; ou — le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 Produits des activités ordinaires . Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37. Décomptabilisation des instruments financiers. — Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie : — lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ; — ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée. Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs. Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif. Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie : — lorsqu’il arrive à extinction ; ou — lorsque les analyses quantitatives ou qualitatives concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration. Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif. Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment : – les risques opérationnels ; – les avantages au personnel ; – les risques d’exécution des engagements par signature ; – les litiges et garanties de passif ; – les risques fiscaux ; – les risques liés à l’épargne-logement. Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes. Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment : – le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ; – l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ; – la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées. L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations : – la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ; – les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes. Des informations détaillées sont fournies en note 6.17 " Provisions " . — Avantages au personnel (IAS 19)  : Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories : – les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participations et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus ; – les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ; – les indemnités de fin de contrat de travail ; – les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies. — Avantages à long terme : Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus. Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différées versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions. La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies. — Avantages postérieurs à l’emploi : – Régimes à prestations définies  : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies. Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4 " Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies " ). Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turnover. Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations. Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies. Conformément à la norme IAS 19 révisé la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. Le montant de la provision est égal à : – la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ; – diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. — Régimes à cotisations définies  : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé. Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés. Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale. Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe. L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices. L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif. Par ailleurs, certaines opérations réalisées par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles. La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants : – un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par : - la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ; - la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction. – un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible. – un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés. Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas. Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation. Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction de celles-ci. En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1 er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part. L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré : – soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ; – soit par un regroupement d'entreprises. Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si : – l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et – les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale : a) soit sur la même entité imposable, b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés. Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique Impôts sur le bénéfice du compte de résultat. Cependant, en raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel. Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40) . — Le groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles. Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements et des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement. Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus. Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation. Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole S.A. suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation : Composant Durée d’amortissement Foncier Non amortissable Gros œuvre 30 à 80 ans Second œuvre 8 à 40 ans Installations techniques 5 à 25 ans Agencements 5 à 15 ans Matériel informatique 4 à 7 ans Matériel spécialisé 4 à 5 ans Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés. Les éléments dont dispose la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan. Opérations en devises (IAS 21) . — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires. A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions : — sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ; — les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres. Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments : — les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ; — les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture. Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés : — en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ; — en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres. Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent : — les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ; — lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique Commissions et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture : a) les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat. Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes est respecté : i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable, ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise, iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable, b) les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue. Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière. S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur. Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à : — constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ; — décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ; — constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre : a) l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et de l'amortissement financier relatif à la période comprise entre la date de dernière échéance et la clôture de l’exercice, b) la valeur nette comptable des immobilisations louées, c) la provision pour impôts différés. Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci. En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés. S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif. Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées (IFRS 5). — Un actif non courant (ou un groupe destiné à être cédé) est considéré comme détenu en vue de la vente si sa valeur comptable est recouvrée principalement par le biais d'une vente plutôt que par l'utilisation continue. Pour que tel soit le cas, l'actif (ou le groupe destiné à être cédé) doit être disponible en vue de la vente immédiate dans son état actuel et sa vente doit être hautement probable. Les actifs et passifs concernés sont isolés au bilan sur les postes Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées et Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées. Ces actifs non courants (ou un groupe destiné à être cédé) classés comme détenus en vue de la vente sont évalués au montant le plus bas entre leur valeur comptable et leur juste valeur diminuée des coûts de cession. En cas de moins-value latente, une dépréciation est enregistrée en résultat. Par ailleurs, ceux-ci cessent d’être amortis à compter de leur déclassement. Si la juste valeur du groupe d’actifs destiné à être cédé diminuée des coûts de vente est inférieure à sa valeur comptable après dépréciation des actifs non courants, la différence est allouée aux autres actifs du groupe d’actifs destinés à être cédés y compris les actifs financiers et est comptabilisé en résultat net des activités destinées à être cédées. Est considérée comme activité abandonnée toute composante dont le Groupe s'est séparée ou qui est classée comme détenue en vue de la vente, et qui est dans une des situations suivantes : — elle représente une ligne d'activité ou une région géographique principale et distincte ; — elle fait partie d'un plan unique et coordonné pour se séparer d'une ligne d'activité ou d'une région géographique principale et distincte ; ou, — elle est une filiale acquise exclusivement en vue de la revente. Sont présentés sur une ligne distincte du compte de résultat : — le résultat net après impôt des activités abandonnées jusqu’à la date de cession ; — le profit ou la perte après impôt résultant de la cession ou de l’évaluation à la juste valeur diminuée des coûts de la vente des actifs et passifs constituant les activités abandonnées. 1.4 . Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28) Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, de contrôle conjoint ou d’une influence notable. — Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales. Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée. Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A. , dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier. Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A. , les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole. Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée. C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional. Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international. La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques. — Notions de contrôle : Conformément aux normes comptables internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après. Le contrôle exclusif sur une entité est présumé exister lorsque la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité. Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seul(e) les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances. Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée lors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, l’étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant ainsi que les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels sont analysées afin de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir délégué) ou principal (pour son propre compte). Ainsi au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affecter la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité. Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle. Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité. — Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28.18, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option. Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10 et IAS 28 révisée. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale : — l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée ; — la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et sous contrôle conjoint. L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés. Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe. La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote-part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées. La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition. Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée constate : — en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un écart d’acquisition complémentaire ; — en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession/dilution en résultat. Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués. L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement. Les plus ou moins-values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées. 2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période . Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2017 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 10 " Périmètre de consolidation au 31 décembre 2017 " . Opération de titrisation. — Au 31/03/2017, une nouvelle entité (FCT Crédit Agricole Habitat 2017) a été consolidée au sein du Groupe Crédit Agricole, née d’une opération de titrisation réalisée par les 39 Caisses régionales le 23 février 2017. Cette transaction est le premier RMBS français placé dans le marché par le Groupe. Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2017 » pour un montant de 1 milliard d’euros. Les titres senior adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès de 37 investisseurs européens (banques, fonds et banques centrales). Dans le cadre de cette titrisation, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 9,8 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2017. Elle a souscrit des obligations pour 8,73 millions d’euros et pour 1,2 millions d’euros des titres subordonnés. 3 . – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture . Le pilotage des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est assurée par la Direction des Finances . Cette direction est rattachée au Directeur général et a pour mission d’assurer la maîtrise et le contrôle permanent des risques de crédit, financiers et opérationnels. La description de ces dispositifs ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « Facteurs de risques », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilations comptables continuent néanmoins de figurer dans les états financiers. 3.1 . Risque de crédit (cf. Rapport de gestion page 14) Exposition maximale au risque de crédit. — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée. (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte) 5 937 6 156 Instruments dérivés de couverture 81 247 99 916 Actifs disponible à la vente (hors titres à revenu variable) 101 994 44 751 Prêts, créances et dépôts de garantie sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) 3 859 4 445 Prêts, créances et dépôts de garantie sur la clientèle 4 775 090 4 529 117 Actif financiers détenus jusqu'à l'échéance 211 718 163 280 Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations) 5 179 845 4 847 665 Engagements de financement donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole) 423 769 381 606 Engagements de garantie financière donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole) 179 326 78 313 Provisions - Engagements par signature -1 158 -739 Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions) 601 937 459 180 Exposition maximale au risque de crédit 5 781 782 5 306 845 Le montant des garanties et autres rehaussements de crédits reçus s'élèvent à : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole) Prêts et créances sur la clientèle 2 735 617 2 605 455 Engagements de financement donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole) 118 017 86 621 Engagements de garantie donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole) La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques. Concentrations par agent économique de l’activité de crédit  : — Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 Encours bruts Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle Dépréciations individuelles Dépréciations collectives Total Administration générale 564 498 6 003 6 003 3 249 555 246 Banques centrales 0 Établissements de crédit 3 840 3 840 Grandes entreprises 718 075 54 370 35 980 7 799 674 296 Clientèle de détail 3 670 101 188 149 117 587 25 747 3 526 767 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1) 4 956 514 248 522 159 570 36 795 4 760 149 (1) Dont encours restructurés pour 82 577 milliers d'euros. (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Encours bruts dont encours bruts dépréciés sur base individuelle Dépréciations individuelles Dépréciations collectives Total Administration générale 592 641 6 309 6 202 2 256 584 183 Banques centrales 0 Établissements de crédit 4 414 4 414 Grandes entreprises 639 194 59 370 36 965 11 577 590 652 Clientèle de détail 3 501 338 224 222 134 381 29 576 3 337 381 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1) 4 737 587 289 901 177 548 43 409 4 516 630 (1) Dont encours restructurés pour 62 730 milliers d'euros. — Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Engagements de financement en faveur de la clientèle : Administration générale 31 683 28 608 Grandes entreprises 113 049 102 576 Clientèle de détail 279 037 250 422 Total Engagements de financement 423 769 381 606 Engagements de garantie en faveur de la clientèle : Administration générale 3 395 4 036 Grandes entreprises 162 425 59 632 Clientèle de détail 14 706 15 811 Total Engagements de garantie 180 526 79 479 — Dettes envers la clientèle par agent économique  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Administration générale 4 633 21 796 Grandes entreprises 779 401 675 503 Clientèle de détail 1 275 718 1 187 802 Total Dettes envers la clientèle 2 059 752 1 885 101 Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit  : — Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Encours bruts dont encours bruts dépréciés sur base individuelle Dépréciations individuelles Dépréciations collectives Total France (y compris DOM-TOM) 4 651 098 155 148 104 068 36 704 4 510 326 Autres pays de l'Union européenne 300 183 93 369 55 497 91 244 595 Autres pays d'Europe 2 335 2 335 Amérique du Nord 2 035 4 4 2 031 Amériques centrale et du Sud 127 127 Afrique et Moyen-Orient 733 1 1 732 Asie et Océanie (hors Japon) 3 3 Japon 0 Organismes supranationaux 0 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1) 4 956 514 248 522 159 570 36 795 4 760 149 (1) Dont encours restructurés pour 82 577 milliers d'euros. (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Encours bruts dont encours bruts dépréciés sur base individuelle Dépréciations individuelles Dépréciations collectives Total France (y compris DOM-TOM) 4 399 955 182 472 118 702 29 765 4 251 488 Autres pays de l'Union européenne 332 124 107 424 58 841 13 644 259 639 Autres pays d'Europe 2 019 2 019 Amérique du Nord 2 543 4 4 2 539 Amériques centrale et du Sud 148 148 Afrique et Moyen-Orient 798 1 1 797 Asie et Océanie (hors Japon) 0 Japon 0 Organismes supranationaux 0 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1) 4 737 587 289 901 177 548 43 409 4 516 630 (1) Dont encours restructurés pour 62 730 milliers d'euros. — Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Engagements de financement en faveur de la clientèle : France (y compris DOM-TOM) 422 855 380 793 Autres pays de l'Union européenne 760 649 Autres pays d'Europe 86 76 Amérique du Nord 24 41 Amériques centrale et du Sud 5 5 Afrique et Moyen-Orient 24 27 Asie et Océanie (hors Japon) 15 15 Japon Total Engagements de financement 423 769 381 606 Engagements de garantie en faveur de la clientèle : France (y compris DOM-TOM) 180 523 79 476 Autres pays de l'Union européenne 3 3 Autres pays d'Europe Amérique du Nord Amériques centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total Engagements de garantie 180 526 79 479 — Dettes envers la clientèle par zone géographique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 France (y compris DOM-TOM) 1 965 994 1 804 475 Autres pays de l'Union européenne 86 137 72 951 Autres pays d'Europe 3 864 3 371 Amérique du Nord 1 481 1 888 Amériques centrale et du Sud 114 124 Afrique et Moyen-Orient 1 657 1 806 Asie et Océanie (hors Japon) 503 484 Japon 2 2 Organismes supra-nationaux Total Dettes envers la clientèle 2 059 752 1 885 101 Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement  : — Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés ≤ 90 jours > 90 jours à ≤ 180 jours > 180 jours à ≤ 1an > 1an Valeur comptable des actifs financiers en souffrance Instruments de capitaux propres : 256 857 12 855 Instruments de dettes : 0 0 0 0 0 146 2 130 Administration générale 0 Banques centrales 0 Établissements de crédit 0 146 2 130 Grandes entreprises 0 Clientèle de détail 0 Prêts et avances 53 107 0 0 0 53 107 88 952 196 365 Administration générale 8 322 8 322 9 252 Banques centrales 0 Établissements de crédit 0 Grandes entreprises 7 543 7 543 18 390 43 779 Clientèle de détail 37 242 37 242 70 562 143 334 Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement 53 107 0 0 0 53 107 345 955 211 350 (En milliers d' E uros) 31/12/2016 Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés ≤ 90 jours > 90 jours à ≤ 180 jours > 180 jours à ≤ 1an > 1an Valeur comptable des actifs financiers en souffrance Instruments de capitaux propres : 257 600 13 041 Instruments de dettes : 0 0 0 0 0 159 2 249 Administration générale 0 Banques centrales 0 Établissements de crédit 0 159 2 249 Grandes entreprises 0 Clientèle de détail 0 Prêts et avances 53 860 0 0 0 53 860 112 353 220 957 Administration générale 1 644 1 644 107 8 458 Banques centrales 0 Établissements de crédit 0 Grandes entreprises 7 544 7 544 22 405 48 542 Clientèle de détail 44 672 44 672 89 841 163 957 Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement 53 860 0 0 0 53 860 370 112 236 247 3.2 . Risque de marché (cf. Rapport de gestion page 18) Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle . — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle. — Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 0 0 0 2 614 53 639 24 994 81 247 99 916 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 2 614 53 639 24 994 81 247 99 916 Options de taux Caps - floors - collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 0 0 0 0 0 0 0 0 Opérations fermes de change Options de change Autres instruments 0 0 0 0 0 0 0 0 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Autres Sous-total 0 0 0 2 614 53 639 24 994 81 247 99 916 Opérations de change à terme Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif 0 0 0 2 614 53 639 24 994 81 247 99 916 — Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 0 0 0 3 033 28 094 63 242 94 369 122 677 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 3 033 28 094 63 242 94 369 122 677 Options de taux Caps - floors - collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 0 0 0 0 0 0 0 0 Opérations fermes de change Options de change Autres instruments 0 0 0 0 0 0 0 0 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Autres Sous-total 0 0 0 3 033 28 094 63 242 94 369 122 677 Opérations de change à terme Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif 0 0 0 3 033 28 094 63 242 94 369 122 677 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 0 0 0 0 37 443 480 529 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 37 443 480 529 Options de taux Caps - floors - collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 0 0 0 0 0 0 0 0 Opérations fermes de change Options de change Autres instruments 0 0 0 2 0 0 2 5 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Autres 2 2 5 Sous total 0 0 0 2 37 443 482 534 Opérations de change à terme Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif 0 0 0 2 37 443 482 534 — Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Opérations sur marchés organisés Opérations de gré à gré Total en valeur de marché Total en valeur de marché ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans ≤1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Instruments de taux d'intérêt 0 0 0 0 37 451 488 529 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 37 451 0 529 Options de taux Caps - floors - collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 0 0 0 0 0 0 0 0 Opérations fermes de change Options de change Autres instruments 0 0 0 0 0 68 68 109 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Autres 68 109 Sous total 0 0 0 0 37 519 556 638 Opérations de change à terme Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif 0 0 0 0 37 519 556 638 — Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Total encours notionnel Total encours notionnel Instruments de taux d'intérêt 2 198 848 1 843 718 Futures FRA Swaps de taux d'intérêts 2 198 848 1 843 718 Options de taux Caps - floors - collars Autres instruments conditionnels Instruments de devises et or 80 540 0 Opérations fermes de change Options de change 80 540 Autres instruments 0 0 Dérivés sur actions et indices boursiers Dérivés sur métaux précieux Dérivés sur produits de base Dérivés de crédits Autres Sous-total 2 279 388 1 843 718 Opérations de change à terme 14 158 3 182 Total notionnels 2 293 546 1 846 900 Risque de change (cf. Rapport de gestion page 23)  : — Contribution des différentes devises au bilan consolidé  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Actif Passif Actif Passif EUR 6 284 570 6 284 570 5 936 782 5 936 782 Autres devises de l'Union européenne 35 35 93 93 USD 1 894 1 894 867 867 JPY Autres devises 250 250 273 273 Total bilan 6 286 749 6 286 749 5 938 015 5 938 015 — Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Emprunts obligataires Dettes subordonnées à durée déterminée Dettes subordonnées à durée indéterminée Emprunts obligataires Dettes subordonnées à durée déterminée Dettes subordonnées à durée indéterminée EUR 7 837 15 469 15 444 Autres devises de l'UE USD JPY Autres devises Total 7 837 15 469 0 0 15 444 0 3.3 . Risque de liquidité et de financement (cf. Rapport de gestion page 24)  : — Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 179 490 2 643 94 907 119 013 396 053 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 323 907 409 682 1 535 016 2 682 833 1 236 4 952 674 Total 503 397 412 325 1 629 923 2 801 846 1 236 5 348 727 Dépréciations -196 365 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle 5 152 362 (En milliers d'Euros) 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 127 085 2 501 5 537 212 607 347 730 Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement) 336 196 379 830 1 462 980 2 553 152 1 015 4 733 173 Total 463 281 382 331 1 468 517 2 765 759 1 015 5 080 903 Dépréciations -220 957 Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle 4 859 946 — Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 430 500 906 290 961 960 651 678 2 950 428 Dettes envers la clientèle 1 537 300 120 374 294 447 107 631 2 059 752 Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 1 967 800 1 026 664 1 256 407 759 309 0 5 010 180 (En milliers d'Euros) 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole) 387 497 766 358 812 029 823 008 2 788 892 Dettes envers la clientèle 1 351 121 124 855 271 289 137 836 1 885 101 Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle 1 738 618 891 213 1 083 318 960 844 0 4 673 993 — Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre : Bons de caisse 192 20 212 Titres du marché interbancaire 0 Titres de créances négociables 93 207 158 158 158 458 Emprunts obligataires 7 837 7 837 Autres dettes représentées par un titre 0 Total Dettes représentées par un titre 285 227 158 158 7 837 0 166 507 Dettes subordonnées : Dettes subordonnées à durée déterminée 481 14 988 15 469 Dettes subordonnées à durée indéterminée 0 Dépôt de garantie à caractère mutuel 0 Titres et emprunts participatifs 0 Total Dettes subordonnées 481 14 988 0 0 0 15 469 (En milliers d' E uros) 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Dettes représentées par un titre : Bons de caisse 36 36 Titres du marché interbancaire 0 Titres de créances négociables 93 178 159 106 159 377 Emprunts obligataires 0 Autres dettes représentées par un titre 0 Total Dettes représentées par un titre 129 178 0 159 106 0 159 413 Dettes subordonnées : Dettes subordonnées à durée déterminée 481 14 963 15 444 Dettes subordonnées à durée indéterminée 0 Dépôt de garantie à caractère mutuel 0 Titres et emprunts participatifs 0 Total Dettes subordonnées 481 0 14 963 0 0 15 444 3.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change (cf. Rapport de gestion page 26)  : — Couverture de juste valeur  : Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variable. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe. — Couverture de flux de trésorerie  : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable. Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable. — Couverture d’un investissement net en devise  : Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères. — Instruments dérivés de couverture  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Valeur de marché Montant Valeur de marché Montant Positive Négative Notionnel Positive Négative Notionnel Couverture de juste valeur 81 247 93 124 2 149 313 99 916 121 176 1 807 704 Taux d'intérêt 81 247 93 124 2 149 313 99 916 121 176 1 807 704 Instruments de capitaux propres Change Crédit Matières premières Autres Couverture de flux de trésorerie 0 1 245 25 000 0 1 501 25 000 Taux d'intérêt 1 245 25 000 1 501 25 000 Instruments de capitaux propres Change Crédit Matières premières Autres Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger Total Instruments dérivés de couverture 81 247 94 369 2 174 313 99 916 122 677 1 832 704 3.5. Risques opérationnels (cf. Rapport de gestion page 27) 3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires . — Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes "adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit" et "conglomérats financiers", la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan. La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013 depuis le 1 er janvier 2014 et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne (BCE) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché. Le dispositif prudentiel a été renforcé par la réforme Bâle 3 qui consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de capital et des exigences supplémentaires au terme de la liquidité et du levier. Certaines dispositions s’appliquent de manière progressive jusqu’au 31 décembre 2017, de même pour l’exigence de coussins en capital qui atteindra la cible en 2019. Toutefois, le régulateur a maintenu les exigences de fonds propres au titre des niveaux plancher (l’exigence Bâle 3 ne pouvant être inférieure à 80 % de l’exigence Bâle 1). Le niveau plancher a été supprimé. Cependant, l’information relative aux exigences Bâle 1 reste obligatoire et est prévue jusqu’à la fin de la période transitoire prévue fin 2017. Les fonds propres sont répartis en trois catégories : — les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), déterminés à partir des capitaux propres du Groupe et retraités notamment de certains instruments de capital qui sont classés en Additional Tier 1 (AT1) et des immobilisations incorporelles ; — les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1 , constitués du Common Equity Tier 1 et des fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 ; — les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans. Pour être reconnus en Bâle 3, les instruments de fonds propres de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion plus exigeants. Si ces instruments ne sont pas éligibles Bâle 3, ils font l’objet d’une clause de « grand-père » qui s’étale sur 10 ans jusqu’à fin 2021 pour les éliminer des fonds propres de façon progressive. Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier 1 (AT1) et du Tier 2 . Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances quand l’établissement n’est pas soumis à l’application de la "directive conglomérat financier", sinon les valeurs de mise en équivalence des titres des entreprises d’assurances détenues dans le Groupe sont pondérées en risques. En 2017 comme en 2016 et selon la règlementation en vigueur, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a répondu aux exigences réglementaires. 4. . – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . 4.1. Produits et charges d’intérêts  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Sur opérations avec les établissements de crédit 372 404 Sur opérations internes au Crédit Agricole 10 315 12 133 Sur opérations avec la clientèle 131 590 140 517 Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 3 379 3 679 Intérêts courus et échus des instruments de couverture 24 737 24 584 Sur opérations de location-financement Autres intérêts et produits assimilés Produits d'intérêts (1) (2) 170 393 181 317 Sur opérations avec les établissements de crédit -410 -520 Sur opérations internes au Crédit Agricole -27 053 -31 264 Sur opérations avec la clientèle -13 649 -16 885 Sur dettes représentées par un titre -9 104 -9 035 Sur dettes subordonnées -954 -956 Intérêts courus et échus des instruments de couverture -30 121 -31 281 Sur opérations de location-financement Autres intérêts et charges assimilées Charges d'intérêts -81 291 -89 941 (1) Dont 2 773 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2017 contre 2 868 milliers d'euros au 31 décembre 2016. (2) Dont 661 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'État au 31 décembre 2017 contre 860 milliers d'euros au 31 décembre 2016. 4.2 . Commissions nettes  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations avec les établissements de crédit 99 -50 49 88 -48 40 Sur opérations internes au Crédit Agricole 4 736 -13 148 -8 412 5 433 -12 013 -6 580 Sur opérations avec la clientèle 17 976 -322 17 654 17 938 -333 17 605 Sur opérations sur titres 0 0 Sur opérations de change 8 8 7 7 Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan 0 0 Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers 51 846 -5 830 46 016 51 669 -5 358 46 311 Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues 990 -185 805 898 -91 807 Produits nets des commissions 75 655 -19 535 56 120 76 033 -17 843 58 190 4.3 . Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Dividendes reçus Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature 26 53 Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option 37 71 Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger) 140 134 Résultat de la comptabilité de couverture -1 431 -1 433 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat -1 228 -1 175 Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Profits Pertes Net Couvertures de juste valeur 129 943 -131 374 -1 431 Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts 60 931 -70 443 -9 512 Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures) 69 012 -60 931 8 081 Couvertures de flux de trésorerie 0 0 0 Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace 0 Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger 0 0 0 Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace 0 Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 232 855 -232 855 0 Variations de juste valeur des éléments couverts 115 578 -117 277 -1 699 Variations de juste valeur des dérivés de couverture 117 277 -115 578 1 699 Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt 0 0 0 Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace 0 Total Résultat de la comptabilité de couverture 362 798 -364 229 -1 431 (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Profits Pertes Net Couvertures de juste valeur 139 879 -141 312 -1 433 Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts 71 963 -69 348 2 615 Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures) 67 916 -71 964 -4 048 Couvertures de flux de trésorerie 0 0 0 Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace 0 Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger 0 0 0 Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace 0 Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers 280 551 -280 551 0 Variations de juste valeur des éléments couverts 139 326 -141 225 -1 899 Variations de juste valeur des dérivés de couverture 141 225 -139 326 1 899 Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt 0 0 0 Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace 0 Total Résultat de la comptabilité de couverture 420 430 -421 863 -1 433 4.4 . Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente / (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Dividendes reçus 15 904 12 601 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente (1) -10 23 Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres) (2) -540 -7 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente 15 354 12 617 (1) Hors résultat de cession sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement mentionnés en note 4.8 " Coût du risque". (2) Dont - 489 K€ sur le titre SCI Château de Castelnou - 3 K€ sur le titre CA-Innove - 5 K€ sur le titre SEML Prades - 43 K€ sur le titre FIA-NET 4.5. Produits et charges nets des autres activités / (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance Autres produits nets de l'activité d'assurance Variation des provisions techniques des contrats d'assurance Produits nets des immeubles de placement -99 -593 Autres produits (charges) nets 104 928 Produits (charges) des autres activités 5 335 4.6. Charges générales d’exploitation / (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Charges de personnel 58 029 58 123 Impôts, taxes et contributions réglementaires (1) 4 465 5 417 Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation 35 666 33 942 Charges générales d'exploitation 98 160 97 482 (1) Dont 526 milliers d’euros comptabilisés au titre du fonds de résolution. Honoraires des commissaires aux comptes . — Le montant des charges générales d’exploitation intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée. La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2017 est donnée ci-dessous : Collège des Commissaires aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée (En milliers d' E uros hors taxes) Ernst & Young KPMG Total 2017 2017 2016 2017 2016 Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés 129 119 89 79 218 Émetteur 129 119 89 79 218 Filiales intégrées globalement 0 Services autres que la certification des comptes (1) 0 0 20 0 20 Émetteur 20 20 Filiales intégrées globalement 0 Total 129 119 109 79 238 (1) KPMG Audit : Prestation relative aux informations sociales et environnementales communiquées dans le rapport de gestion A la différence de ce qui a été publié en 2016, les missions relatives aux diligences directement liées et aux autres prestations d'avant le 17 juin 2016 ont été agrégées avec celles relatives aux services autres que la certification des comptes faisant suite à la réforme européenne de l'audit de juin 2016. 4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Dotations aux amortissements 4 552 4 855 Immobilisations corporelles 4 532 4 806 Immobilisations incorporelles 20 49 Dotations (reprises) aux dépréciations 0 0 Immobilisations corporelles Immobilisations incorporelles Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles 4 552 4 855 4.8. Coût du risque  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Dotations aux provisions et aux dépréciations -120 463 -37 778 Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe Prêts et créances -114 732 -33 219 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 0 Autres actifs -4 434 -3 426 Engagements par signature -512 -611 Risques et charges -785 -522 Reprises de provisions et de dépréciations 111 769 29 515 Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe Prêts et créances 109 797 26 059 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 119 119 Autres actifs 1 481 935 Engagements par signature 89 1 391 Risques et charges 283 1 011 Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions -8 694 -8 263 Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés -1 748 -89 Récupérations sur prêts et créances amortis 2 652 364 Décotes sur crédits restructurés -92 -1 Pertes sur engagements par signature Autres pertes -188 -389 Autres produits Coût du risque -8 070 -8 378 4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation 79 15 Plus-values de cession 83 16 Moins-values de cession -4 -1 Titres de capitaux propres consolidés 0 0 Plus-values de cession Moins-values de cession Produits (charges) nets sur opérations de regroupement Gains ou pertes nets sur autres actifs 79 15 4.10. Impôts  : — Charge d’impôt  : (En milliers d'euros) 31/12/2017 31/12/2016 Charge d'impôt courant 3 870 10 814 Charge d'impôt différé (1) 9 651 4 866 Charge d'impôt de la période 13 521 15 680 (1) Dont 2 153 milliers d’euros de produit d’impôt différé au titre de l’exercice 2017 lié à la publication de la loi de finance 2018 portant progressivement le taux d’imposition courant de 34,43% en 2018 à 25,83% à partir de 2022. — Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté  : – Au 31 décembre 2017  : (En milliers d'Euros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 48 650 34,43% 16 750 Effet des différences permanentes -9,97% -4 845 Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères 0,26% 126 Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires 7,49% 3 642 Effet de l'imposition à taux réduit 0,04% 19 Changement de taux Effet des autres éléments -4,46% -2 171 Taux et charge effectifs d'impôt 27,79% 13 521 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2017. – Au 31 décembre 2016  : (En milliers d'Euros) Base Taux d'impôt Impôt Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence 50 643 34,43% 17 436 Effet des différences permanentes -9,05% -4 584 Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères -0,38% -190 Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires -2,86% -1 448 Effet de l'imposition à taux réduit 0,06% 28 Changement de taux Effet des autres éléments 8,76% 4 438 Taux et charge effectifs d'impôt 30,96% 15 680 Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2016. 4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres . — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période : — Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables : Gains et pertes sur écarts de conversion 0 0 Écart de réévaluation de la période Transferts en résultat Autres variations Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente 13 873 771 Écart de réévaluation de la période 13 835 794 Transfert en résultat 38 -23 Autres variations Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 257 227 Écart de réévaluation de la période 257 227 Transferts en résultat Autres variations Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence -544 -199 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 13 586 799 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables : Gains et pertes actuariels sur avantages post-emploi -56 -1 334 Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence -114 213 Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -170 -1 121 Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres 13 416 -322 Dont part du Groupe 13 416 -322 Dont participations ne donnant pas le contrôle — Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et effets d’impôt  : (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variation 31/12/2017 Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Brut Impôt Net d'impôt Net dont part Groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables Gains et pertes sur écarts de conversion 0 0 0 0 0 0 Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente 8 040 -460 7 580 7 580 13 873 -431 13 442 21 913 -891 21 022 21 022 Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture -1 493 432 -1 061 -1 061 257 -113 144 -1 236 319 -917 -917 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entreprises mises en équivalence 6 547 -28 6 519 6 519 14 130 -544 13 586 0 20 677 -572 20 105 20 105 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence 0 0 0 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées 0 0 0 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables 6 547 -28 6 519 6 519 14 130 -544 13 586 0 20 677 -572 20 105 20 105 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables Gains et pertes actuariels sur avantages post-emploi -4 167 1 205 -2 962 -2 962 -56 -114 -170 -4 223 1 091 -3 132 -3 132 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entreprises mises en équivalence -4 167 1 205 -2 962 -2 962 -56 -114 -170 0 -4 223 1 091 -3 132 -3 132 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence 0 0 0 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées 0 0 0 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables -4 167 1 205 -2 962 -2 962 -56 -114 -170 0 -4 223 1 091 -3 132 -3 132 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 2 380 1 177 3 557 3 557 14 074 -658 13 416 0 16 454 519 16 973 16 973 5 . – Informations sectorielles . Définition des secteurs opérationnels . — L a Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois, concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf. note 3.1) 5.1. Information sectorielle par zone géographique . — L’analyse géographique des actifs et des résultats sectoriels repose sur le lieu d’enregistrement comptable des activités. (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Résultat net part du Groupe dont Produit net bancaire Actifs sectoriels dont écarts d'acquisition Résultat net part du Groupe dont Produit net bancaire Actifs sectoriels dont écarts d'acquisition France (y compris DOM-TOM) 38 179 156 528 39 383 158 281 Autres pays de l'Union européenne -3 050 2 825 -4 420 3 062 Autres pays d'Europe Amérique du Nord Amériques centrale et du Sud Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Total 35 129 159 353 0 0 34 963 161 343 0 0 6 . – Notes relatives au bilan . 6.1. Caisse, banques centrales  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Actif Passif Actif Passif Caisse 29 063 26 215 Banques centrales 6 000 6 000 Valeur au bilan 35 063 0 32 215 0 6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat  : — Actifs financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 482 534 Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 5 455 5 622 Valeur au bilan 5 937 6 156 Dont Titres prêtés — Actifs financiers détenus à des fins de transaction  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Instruments de capitaux propres 0 0 Actions et autres titres à revenu variable Titres de dettes 0 0 Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Prêts et avances 0 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Instruments dérivés 482 534 Valeur au bilan 482 534 — Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Instruments de capitaux propres 0 0 Actions et autres titres à revenu variable Titres de dettes 5 455 5 622 Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 5 455 5 622 Prêts et avances 0 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Valeur au bilan 5 455 5 622 — Passifs financiers à la juste valeur par résultat  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 556 638 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Valeur au bilan 556 638 — Passifs financiers détenus à des fins de transaction  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Titres vendus à découvert Titres donnés en pension livrée Dettes représentées par un titre Dettes envers les établissements de crédit Dettes envers la clientèle Instruments dérivés 556 638 Valeur au bilan 556 638 6.3 . Instruments dérivés de couverture . — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêt et de change. 6.4 . Actifs financiers disponibles à la vente  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Valeur au bilan Gains latents Pertes latentes Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 101 994 1 083 -24 44 751 856 -41 Actions et autres titres à revenu variable (2) 1 274 1 098 Titres de participation non consolidés 487 978 20 944 -88 473 657 7 384 -159 Total des titres disponibles à la vente 591 246 22 027 -112 519 506 8 240 -200 Créances disponibles à la vente Total des créances disponibles à la vente 0 0 0 0 0 0 Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1) 591 246 22 027 -112 519 506 8 240 -200 Impôts -897 6 -460 Gains et pertes sur actifs financiers disponibles à la vente comptabilisés directement en capitaux propres (nets d'impôt) 21 130 -106 7 780 -200 (1) Dont 12 854 milliers d'euros comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances au 31 décembre 2017 et 13 041 milliers d'euros au 31 décembre 2016. (2) Par exception, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués au coût pour un montant net de dépréciation de 248 652 milliers d’euros au 31 décembre 2017 et 248 652 milliers d’euros au 31 décembre 2016. 6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle  : — Prêts et créances sur les établissements de crédit  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Établissements de crédit Titres de dettes 0 0 Titres non cotés sur un marché actif Prêts et avances 3 840 4 414 Comptes et prêts 3 625 4 201 Dont comptes ordinaires débiteurs sains 3 469 4 001 Dont comptes et prêts au jour le jour sains Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 215 213 Autres prêts et créances Valeur brute 3 840 4 414 Dépréciations Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit 3 840 4 414 Opérations internes au Crédit Agricole : Titres de dettes 0 0 Titres non cotés sur un marché actif Prêts et avances 392 213 343 316 Comptes ordinaires 173 602 120 383 Comptes et avances à terme 218 611 222 933 Prêts subordonnés Prêts et créances internes au Crédit Agricole 392 213 343 316 Valeur au bilan 396 053 347 730 — Prêts et créances sur la clientèle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Opérations avec la clientèle Titres de dettes 1 023 1 023 Titres non cotés sur un marché actif 1 023 1 023 Prêts et avances 4 951 651 4 732 150 Créances commerciales 11 354 8 751 Autres concours à la clientèle 4 909 650 4 689 644 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Créances nées d’opérations d’assurance directe Créances nées d’opérations de réassurance Avances en comptes courants d'associés 6 533 6 554 Comptes ordinaires débiteurs 24 114 27 201 Valeur brute 4 952 674 4 733 173 Dépréciations -196 365 -220 957 Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle 4 756 309 4 512 216 Opérations de location-financement Location-financement immobilier Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées Valeur brute 0 0 Dépréciations Valeur nette des opérations de location-financement 0 0 Valeur au bilan 4 756 309 4 512 216 6.6 . Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Effets publics et valeurs assimilées 119 377 106 567 Obligations et autres titres à revenu fixe 94 471 58 962 Total 213 848 165 529 Dépréciations -2 130 -2 249 Valeur au bilan 211 718 163 280 6.7 . Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue — Actifs transférés non décomptabilisés intégralement au 31 décembre 2017  : Nature des actifs transférés (En milliers d' E uros) Actifs transférés restant comptabilisés en totalité Actifs transférés comptabilisés à hauteur de l'implication continue de l'entité Actifs transférés Passifs associés Actifs et passifs associés Valeur comptable totale des actifs initiaux avant leur transfert Valeur comptable de l'actif encore comptabilisée (implication continue) Valeur comptable des passifs associés Valeur comptable Dont titrisation (non déconso - lidant ) Dont pensions livrées Dont autres (1) Juste valeur (2) Valeur comptable Dont titrisation (non déconso - lidant ) Dont pensions livrées Dont autres (1) Juste valeur (2) Juste valeur nette (2) Détenus à des fins de transaction 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Instruments de capitaux propres Titres de dettes Prêts et avances Désignés à la juste valeur par résultat sur option 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Instruments de capitaux propres Titres de dettes Prêts et avances Disponibles à la vente 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Instruments de capitaux propres Titres de dettes Prêts et avances Prêts et créances 8 965 8 965 0 0 9 504 7 837 7 837 0 0 7 868 1 636 0 0 0 Titres de dettes Prêts et avances 8 965 8 965 9 504 7 837 7 837 7 868 1 636 Détenus jusqu'à l'échéance 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Titres de dettes Prêts et avances Total Actifs financiers 8 965 8 965 0 0 9 504 7 837 7 837 0 0 7 868 1 636 0 0 0 Opérations de location-financement Total Actifs transférés 8 965 8 965 0 0 9 504 7 837 7 837 0 0 7 868 1 636 0 0 0 (1) Dont les prêts de titres sans cash collatéral. (2) Dans le cas où la "garantie de la ou des autres parties à l’accord donnant lieu aux passifs associés se limite aux actifs transférés" (IFRS 7.42D.(d)). Titrisations . — Les titrisations consolidées avec investisseurs externes constituent un transfert d’actifs au sens de l’amendement à IFRS 7. En effet, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a une obligation contractuelle indirecte de remettre aux investisseurs externes les flux de trésorerie des actifs cédés au fonds de titrisation (bien que ces actifs figurent au bilan de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée via la consolidation du fonds). Les créances cédées au fonds de titrisation servent de garantie aux investisseurs. Les titrisations consolidées intégralement autosouscrites ne constituent pas un transfert d’actif au sens de la norme IFRS 7. 6.8 . Dépréciations inscrites en déduction des actifs financiers  : (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variations de périmètre Dotations Reprises et utilisations Écart de conversion Autres mouvements 31/12/2017 Créances sur les établissements de crédit 0 Créances sur la clientèle -220 957 -116 302 140 894 -196 365 Dont dépréciations collectives -43 409 -83 033 89 647 -36 795 Opérations de location-financement 0 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance -2 249 119 -2 130 Actifs disponibles à la vente -13 041 -541 727 -12 855 Autres actifs financiers -27 534 -4 435 7 355 -24 614 Total Dépréciations des actifs financiers -263 781 0 -121 278 149 095 0 0 -235 964 (En milliers d'Euros) 31/12/2015 Variations de périmètre Dotations Reprises et utilisations Écart de conversion Autres mouvements 31/12/2016 Créances sur les établissements de crédit 0 Créances sur la clientèle 229 408 34 993 -43 444 220 957 Dont dépréciations collectives 47 321 4 533 -8 445 43 409 Opérations de location-financement 0 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 2 368 -119 2 249 Actifs disponibles à la vente 13 064 7 -30 13 041 Autres actifs financiers 34 372 3 427 -10 265 27 534 Total Dépréciations des actifs financiers 279 212 0 38 427 -53 858 0 0 263 781 6.9 . Exposition au risque souverain . — Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement. L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture. Les expositions significatives de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée au risque souverain sont les suivantes : — Activité bancaire  : 31/12/2017 (En milliers d 'E uros) Expositions nettes de dépréciations Dont portefeuille bancaire Total activité banque brut de couvertures Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance Actifs financiers disponibles à la vente Actifs à la juste valeur par résultat Prêts et créances Dont portefeuille de négociation (hors dérivés) Allemagne 0 0 Arabie saoudite 0 0 Belgique 0 0 Brésil 0 0 Chine 0 0 Espagne 0 0 États-Unis 0 0 France 119 377 119 377 119 377 Grèce 0 0 Hong-Kong 0 0 Irlande 0 0 Italie 0 0 Japon 0 0 Maroc 0 0 Portugal 0 0 Royaume-Uni 0 0 Russie 0 0 Syrie 0 0 Ukraine 0 0 Venezuela 0 0 Yémen 0 0 Total 119 377 0 0 0 0 119 377 0 119 377 31/12/2016 (En milliers d' E uros) Expositions nettes de dépréciations Dont portefeuille bancaire Total activité banque brut de couvertures Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente Total activité banque net de couvertures Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance Actifs financiers disponibles à la vente Actifs à la juste valeur par résultat Prêts et créances Dont portefeuille de négociation (hors dérivés) Allemagne 0 0 Arabie saoudite 0 0 Belgique 0 0 Brésil 0 0 Chine 0 0 Espagne 0 0 États-Unis 0 0 France 106 567 106 567 106 567 Grèce 0 0 Hong-Kong 0 0 Irlande 0 0 Italie 0 0 Japon 0 0 Maroc 0 0 Portugal 0 0 Royaume-Uni 0 0 Russie 0 0 Syrie 0 0 Ukraine 0 0 Venezuela 0 0 Yémen 0 0 Total 106 567 0 0 0 0 106 567 0 106 567 6.10 . Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle  : — Dettes envers les établissements de crédit  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Établissements de crédit : Comptes et emprunts 1 093 3 076 Dont comptes ordinaires créditeurs 431 2 703 Dont comptes et emprunts au jour le jour Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée Total 1 093 3 076 Opérations internes au Crédit Agricole : Comptes ordinaires créditeurs 0 31 Comptes et avances à terme 2 949 335 2 785 785 Total 2 949 335 2 785 816 Valeur au bilan 2 950 428 2 788 892 — Dettes envers la clientèle  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Comptes ordinaires créditeurs 1 475 361 1 295 089 Comptes d'épargne à régime spécial 13 864 12 273 Autres dettes envers la clientèle 570 527 577 739 Titres donnés en pension livrée Dettes nées d'opérations d'assurance directe Dettes nées d'opérations de réassurance Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques Valeur au bilan 2 059 752 1 885 101 6.11 . Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Dettes représentées par un titre : Bons de caisse 212 36 Titres du marché interbancaire Titres de créances négociables 158 458 159 377 Emprunts obligataires 7 837 Autres dettes représentées par un titre Valeur au bilan 166 507 159 413 Dettes subordonnées : Dettes subordonnées à durée déterminée 15 469 15 444 Dettes subordonnées à durée indéterminée Dépôts de garantie à caractère mutuel Titres et emprunts participatifs Valeur au bilan 15 469 15 444 Émissions de dettes subordonnées . — Les émissions de dettes subordonnées entrent dans le cadre de la gestion des fonds propres prudentiels, tout en contribuant au refinancement de l’ensemble des activités de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée. La directive et le règlement européens sur les exigences de fonds propres des établissements de crédit et des entreprises d’investissement – CRD 4/CRR définissent les conditions selon lesquelles les instruments subordonnés peuvent bénéficier du statut de fonds propres réglementaires et prévoit les modalités et les conditions de la disqualification progressive des anciens instruments qui ne remplissent pas ces conditions entre le 1er janvier 2014 (date d’entrée en vigueur de la CRD 4 et du CRR) et le 1er janvier 2022. Toutes les émissions de dettes subordonnées, qu’il s’agisse des nouvelles émissions ou des émissions plus anciennes, sont susceptibles de faire l’objet d’absorption de pertes par renflouement interne (“Bail-in”) dans certaines circonstances et notamment en cas de mise en résolution de la banque émettrice, conformément à l’ordonnance du 20 août 2015 portant diverses dispositions d’adaptation à la législation au droit de l’Union européenne en matière financière transposant, en droit français, la directive européenne sur le redressement et la résolution des établissements de crédit et des entreprises d’investissement (BRRD) du 15 mai 2014. Les différents types de dettes subordonnées émises par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée et toujours en circulation sont détaillés ci-dessous : — Emprunt subordonné contracté auprès de la société RADIAN le 27/06/2008, pour un nominal de 15 000 000 € (échéance 26/06/2018). 6.12. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers  : — Compensation – Actifs financiers  : Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l'ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 81 727 81 727 81 247 480 Prises en pension de titres 0 0 Prêts de titres 0 0 Autres instruments financiers 0 0 Total des actifs financiers soumis à compensation 81 727 0 81 727 81 247 0 480 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté. Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement (1) Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l'ensemble des effets de compensation Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (2) 100 445 100 445 99 916 529 Prises en pension de titres (3) 18 157 18 157 0 0 Prêts de titres 0 0 Autres instruments financiers 0 0 Total des actifs financiers soumis à compensation 118 602 18 157 100 445 99 916 0 529 (1) Montants compensables en application d'IAS 32.42. (2) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté. (3) Le montant des prises en pension de titres soumis à compensation représente 100 % des prises en pension de titres à l'actif à la date d'arrêté. — Compensation – Passifs financiers  : Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l'ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre-de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (1) 94 857 94 857 81 247 13 610 Mises en pension de titres 0 0 Emprunts de titres 0 0 Autres instruments financiers 0 0 Total des passifs financiers soumis à compensation 94 857 0 94 857 81 247 0 13 610 (1) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés au passif à la date d'arrêté. Nature des instruments financiers (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement (1) Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse Autres montants compensables sous conditions Montant net après l'ensemble des effets de compensation Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre-de compensation Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie Dérivés (2) 123 206 123 206 99 916 23 290 Mises en pension de titres (3) 18 188 18 157 31 31 Emprunts de titres 0 0 Autres instruments financiers 0 0 Total des passifs financiers soumis à compensation 141 394 18 157 123 237 99 916 0 23 321 (1) Montants compensables en application d'IAS 32.42. (2) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés au passif à la date d'arrêté. (3) Le montant des mises en pension de titres soumis à compensation représente 100 % des mises en pension de titres au passif à la date d'arrêté. 6.13. Actifs et passifs d’impôts courants et différés  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Impôts courants 6 345 8 306 Impôts différés (1) 12 173 16 901 Total Actifs d'impôts courants et différés 18 518 25 207 Impôts courants 20 126 Impôts différés (1) 1 1 Total Passifs d'impôts courants et différés 21 127 (1) Dont diminution du stock d’impôts différés actifs de 2 153 milliers d’euros au titre de l’exercice 2017 liée à la publication de la loi de finance 2018 portant progressivement le taux d’imposition courant de 34,43% en 2018 à 25,83% à partir de 2022. Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Impôts différés Actif Impôts différés Passif Impôts différés Actif Impôts différés Passif Décalages temporaires comptables-fiscaux 17 972 -1 17 083 0 Charges à payer non déductibles 1 456 1 626 Provisions pour risques et charges non déductibles 10 908 14 835 Autres différences temporaires 5 608 -1 622 Impôts différés sur réserves latentes 331 0 961 0 Actifs disponibles à la vente -619 0 -223 Couvertures de Flux de Trésorerie 319 431 Gains et pertes sur écarts actuariels 631 753 Impôts différés sur résultat -6 130 1 -1 143 Total Impôts différés 12 173 0 16 901 0 Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale. 6.14. Comptes de régularisation actif, passif et divers  : — Comptes de régularisation et actifs divers  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Autres actifs 76 116 86 360 Comptes de stocks et emplois divers 21 393 25 958 Gestion collective des titres Livret de développement durable Débiteurs divers (1) 54 715 60 396 Comptes de règlements 8 6 Capital souscrit non versé Autres actifs d'assurance Parts des réassureurs dans les provisions techniques Comptes de régularisation 43 398 53 934 Comptes d'encaissement et de transfert 18 533 20 348 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts 1 1 Produits à recevoir 24 350 25 703 Charges constatées d'avance 228 247 Autres comptes de régularisation 286 7 635 Valeur au bilan 119 514 140 294 (1) Dont 229 milliers d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution Unique versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution Unique, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention. — Comptes de régularisation et passifs divers  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Autres passifs (1) 30 933 28 776 Comptes de règlements Créditeurs divers 30 727 28 776 Versements restant à effectuer sur titres 206 Autres passifs d'assurance Autres Comptes de régularisation 70 670 65 701 Comptes d'encaissement et de transfert (2) 4 946 8 507 Comptes d'ajustement et comptes d'écarts Produits constatés d’avance 27 977 22 135 Charges à payer 25 857 25 141 Autres comptes de régularisation 11 890 9 918 Valeur au bilan 101 603 94 477 (1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées. (2) Les montants sont indiqués en net. 6.15 . Immeubles de placement  : (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions et échéances) Écart de conversion Autres mouvements 31/12/2017 Valeur brute 9 585 386 -1 735 550 8 786 Amortissements et dépréciations -4 794 -340 1 234 -3 900 Valeur au bilan (1) 4 791 0 46 -501 0 550 4 886 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple. (En milliers d'Euros) 31/12/2015 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions) Diminutions (cessions et échéances) Écart de conversion Autres mouvements 31/12/2016 Valeur brute 9 039 771 -819 594 9 585 Amortissements et dépréciations -4 640 -668 514 -4 794 Valeur au bilan (1) 4 399 0 103 -305 0 594 4 791 (1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple. La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût amorti, établie « à dire d’expert », s’élève à 6 392 milliers d’euros au 31 décembre 2017 contre 6 153 milliers d’euros au 31 décembre 2016. — Juste valeur des immeubles de placement  : (En milliers d' E uros) 31/12/2017 31/12/2016 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables Niveau 3 6 392 6 153 Valeur de marché des immeubles de placement 6 392 6 153 Tous les immeubles de placement font l’objet d’une comptabilisation au coût amorti au bilan. 6.16 . Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition)  : (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions, regroupements d'entreprises) Diminutions (cessions et échéances) Écart de conversion Autres mouvements 31/12/2017 Immobilisations corporelles d'exploitation : Valeur brute 124 971 4 314 -2 775 0 126 510 Amortissements et dépréciations (1) -98 346 -4 532 2 655 -100 223 Valeur au bilan 26 625 0 -218 -120 0 0 26 287 Immobilisations incorporelles : Valeur brute 4 630 16 4 646 Amortissements et dépréciations -3 745 -20 -3 765 Valeur au bilan 885 0 -4 0 0 0 881 (1) Y compris amortissements sur immobilisations données en location simple. (En milliers d'Euros) 31/12/2015 Variations de périmètre Augmentations (acquisitions, regroupements d'entreprises) Diminutions (cessions et échéances) Écart de conversion Autres mouvements 31/12/2016 Immobilisations corporelles d'exploitation : Valeur brute 130 775 2 642 -8 353 -93 124 971 Amortissements et dépréciations (1) -101 844 -4 806 8 304 -98 346 Valeur au bilan 28 931 0 -2 164 -49 0 -93 26 625 Immobilisations incorporelles : Valeur brute 10 929 14 -6 313 4 630 Amortissements et dépréciations -10 008 -49 6 312 -3 745 Valeur au bilan 921 0 -35 -1 0 0 885 (1) Y compris amortissements sur immobilisations données en location simple. 6.17 . Provisions  : (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Écart de conversion Autres mouvements 31/12/2017 Risques sur les produits épargne-logement 6 830 -2 052 4 778 Risques d’exécution des engagements par signature 739 512 -4 -89 1 158 Risques opérationnels 1 270 318 -160 -284 1 144 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 3 296 59 -75 -161 3 119 Litiges divers 192 35 227 Participations 526 526 Restructurations 0 Autres risques 9 247 1 065 -2 070 -4 8 238 Total 21 574 0 2 515 -2 234 -2 504 0 -161 19 190 (1) Dont 2 498 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 621 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. (En milliers d'Euros) 31/12/2015 Variations de périmètre Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Écart de conversion Autres mouvements 31/12/2016 Risques sur les produits épargne-logement 4 977 1 853 6 830 Risques d’exécution des engagements par signature 1 519 611 -1 391 739 Risques opérationnels 2 178 607 -1 343 -172 1 270 Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1) 2 075 67 -64 1 218 3 296 Litiges divers 147 2 723 -2 643 -35 192 Participations 0 Restructurations 0 Autres risques 9 653 1 807 -1 323 -890 9 247 Total 20 549 0 7 668 -5 309 -2 552 1 218 0 21 574 (1) Dont 2 679 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 617 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail. Provision Épargne-logement : — Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 108 479 370 565 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 313 977 337 646 Ancienneté de plus de 10 ans 434 121 202 751 Total plans d'épargne-logement 856 517 810 963 Total comptes épargne-logement 70 244 68 124 Total encours collectes au titre des contrats Épargne-logement 926 761 879 087 L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007. Les encours de collecte, hors prime de l’État, sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2017 pour les données au 31 décembre 2017 et à fin novembre 2016 pour les données au 31 décembre 2016. — Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’Épargne-logement : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Plans d'épargne-logement 840 1 155 Comptes épargne-logement 2 976 4 289 Total encours de credit en vie octroyés au titre des contrats Épargne-logement 3 816 5 444 — Provision au titre des comptes et plans d’Épargne-logement (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Plans d'épargne-logement Ancienneté de moins de 4 ans 117 2 658 Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans 2 673 1 336 Ancienneté de plus de 10 ans 2 118 2 836 Total plans d'épargne-logement 4 908 6 830 Total comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats Épargne-logement 4 908 6 830 (En milliers d'Euros) 01/01/2017 Dotations Reprises 31/12/2017 Plans d'épargne-logement 6 830 1 922 4 908 Comptes épargne-logement Total provision au titre des contrats Épargne-logement 6 830 0 1 922 4 908 L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ». 6.18 . Capitaux propres  : Composition du capital au 31 décembre 2017 . — La Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération. Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement (CCI) et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA). Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts. La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS. Les CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947. A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent. Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées. Répartition du capital de la Caisse régionale Nombre de titres au 01/01/2017 Nombre de titres émis Nombre de titres remboursés Nombre de titres au 31/12/2017 Certificats Coopératifs d'associés (CCA) 459 957 0 0 459 957 Dont part du Public Dont part Crédit Agricole S.A. Dont part Sacam Mutualisation 459 957 459 957 Parts sociales 15 062 987 1 863 590 865 019 16 061 558 Dont 32 Caisses Locales 15 062 962 1 863 590 865 018 16 061 534 Dont 24 administrateurs de la CR 24 1 23 Dont Crédit Agricole S.A. Dont Sacam Mutualisation 1 1 Dont Autres Total 15 522 944 1 863 590 865 019 16 521 515 La valeur nominale des titres est de — 15,25 € pour les CCA — 15,25 € pour les parts sociales émises par la Caisse Régionale — 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales Au 31 décembre 2017, le montant total du capital est de 31 853 milliers d’euros. — Résultat par action  : Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation. Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée sont composés de parts sociales et de CCA. Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale à la moyenne, sur les trois années civiles précédant la date de l'Assemblée générale, du taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées, majorée de deux points, publié par le ministre chargé de l’économie. La rémunération des CCA est quant à elle fixée annuellement par l’Assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales. Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées. — Dividendes  : Au titre de l’exercice 2017, le Conseil d’administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 30 mars 2018 le paiement d’un dividende par part sociale de 0,02 euros, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale. — Dividendes : Année de rattachement du dividende Par CCA Par part sociale Montant Net Montant Net 2014 3,91 0,03 2015 5,15 0,03 2016 4,80 0,02 Prévu 2017 4,32 0,02 — Dividendes payés au cours de l’exercice  : Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 2 471 milliers d’euros en 2017. — Affectations du résultat et fixation du dividende 2017  : L’affectation du résultat la fixation et la mise en paiement du dividende 2017 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée du 30 mars 2018 . Le texte de la résolution est le suivant : L’Assemblée Générale accepte l’affectation du résultat de l’exercice 2017 proposée par le Conseil d’Administration et approuvées par Crédit Agricole SA : Résultat de l'exercice à affecter 26 479 907,51 € – Distribué 2 249 030,97 € Intérêts aux parts au taux de 1,25% 263 037,91 € aux Caisses locales 263 033,33 € aux autres souscripteurs 4,58 € Rémunération des CCA 1 985 993,06 € – Conservé 24 230 876,54 € Réserve légale 18 173 157,40 € Autres réserves 6 057 719,13 € 6.19 . Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle . — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle. L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle. Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminée ». (En milliers d'Euros) 31/12/2017 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 35 063 35 063 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 2 156 5 336 443 5 937 Instruments dérivés de couverture 1 907 707 53 639 24 994 81 247 Actifs financiers disponibles à la vente 61 998 529 248 591 246 Prêts et créances sur les établissements de crédit 179 490 2 643 94 907 119 013 0 396 053 Prêts et créances sur la clientèle 229 765 393 838 1 511 686 2 619 784 1 236 4 756 309 Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 39 089 39 089 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 722 16 380 71 212 123 404 211 718 Total Actifs financiers par échéance 548 036 413 724 1 736 780 2 887 638 530 484 6 116 662 Banques centrales 0 Passifs financiers à la juste valeur par résultat 37 519 556 Instruments dérivés de couverture 378 2 655 28 094 63 242 94 369 Dettes envers les établissements de crédit 430 500 906 290 961 960 651 678 0 2 950 428 Dettes envers la clientèle 1 537 300 120 374 294 447 107 631 2 059 752 Dettes représentées par un titre 285 227 158 158 7 837 0 166 507 Dettes subordonnées 481 14 988 0 0 15 469 Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 54 665 54 665 Total Passifs financiers par échéance 2 023 609 1 044 534 1 442 696 830 907 0 5 341 746 (En milliers d'Euros) 31/12/2016 ≤ 3 mois > 3 mois à ≤ 1 an > 1 an à ≤ 5 ans > 5 ans Indéterminée Total Caisse, banques centrales 32 215 32 215 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 156 5 466 534 6 156 Instruments dérivés de couverture 26 790 73 126 99 916 Actifs financiers disponibles à la vente 5 029 514 477 519 506 Prêts et créances sur les établissements de crédit 127 085 2 501 5 537 212 607 347 730 Prêts et créances sur la clientèle 227 989 365 676 1 423 309 2 494 227 1 015 4 512 216 Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 59 194 59 194 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 5 184 22 460 54 571 81 065 163 280 Total Actifs financiers par échéance 451 823 390 637 1 520 702 2 861 559 515 492 5 740 213 Banques centrales 0 Passifs financiers à la juste valeur par résultat 638 638 Instruments dérivés de couverture 98 721 34 477 87 381 122 677 Dettes envers les établissements de crédit 387 497 766 358 812 029 823 008 2 788 892 Dettes envers la clientèle 1 351 121 124 855 271 289 137 836 1 885 101 Dettes représentées par un titre 129 178 159 106 159 413 Dettes subordonnées 481 14 963 15 444 Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 73 071 73 071 Total Passifs financiers par échéance 1 812 397 892 112 1 132 758 1 207 969 0 5 045 236 7. – Avantages au personnel et autres rémunérations . 7.1. Détail des charges de personnel  : (En milliers d'euros) 31/12/2017 31/12/2016 Salaires et traitements (1) 31 906 31 551 Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies) 3 630 3 626 Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies) 1 500 1 220 Autres charges sociales 10 520 10 665 Intéressement et participation 4 465 4 953 Impôts et taxes sur rémunération 6 008 6 108 Total Charges de personnel 58 029 58 123 (1) Dont indemnités liées à la retraite pour 253 milliers d’euros au 31 décembre 2017 contre 358 milliers d’euros au 31 décembre 2016. Dont médailles du travail pour 4 milliers d’euros au 31 décembre 2017 contre 22 milliers d’euros au 31 décembre 2016. Dont charges relatives aux paiements à base d’actions pour 0 milliers d’euros au 31 décembre 2017 contre 97 milliers d’euros au 31 décembre 2016. 7.2. Effectifs de la période  : Effectifs Effectif moyen Effectif fin de période 31/12/2017 31/12/2017 31/12/2016 France 869 815 830 Étranger 16 16 16 Total 885 831 846 7.3 . Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies . — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer. 7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies  : — Variation dette actuarielle : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle au 31/12/N-1 18 493 18 493 16 373 Écart de change Coût des services rendus sur l'exercice 1 316 1 316 1 098 Coût financier 251 251 328 Cotisations employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -10 -10 -69 Prestations versées (obligatoire) -955 -955 -571 Taxes, charges administratives et primes (Gains)/pertes actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) 3 3 -37 (Gains)/pertes actuariels - liés aux hypothèses financières (1) 89 89 1 371 Dette actuarielle au 31/12/N 19 187 0 19 187 18 493 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience — Détail de la charge comptabilisée au résultat  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Coût des services 1 316 1 316 1 098 Charge/produit d'intérêt net 46 46 26 Impact en compte de résultat au 31/12/N 1 362 0 1 362 1 124 — Détail des gains et pertes comptabilisés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Réévaluation du passif (de l'actif) net Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables au 31/12/N-1 4 167 4 167 2 833 Écart de change Gains/(pertes) actuariels sur l'actif -36 -36 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1) 3 3 -37 Gains/(pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1) 89 89 1 371 Ajustement de la limitation d'actifs Total des éléments reconnus immédiatement en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres au 31/12/N 56 0 56 1 334 (1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d'expérience. — Variation de juste valeur des actifs  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Juste valeur des actifs au 31/12/N-1 15 814 15 814 14 893 Écart de change Intérêt sur l'actif (produit) 205 205 302 Gains/(pertes) actuariels 36 36 Cotisations payées par l'employeur 1 599 1 599 1 259 Cotisations payées par les employés Modifications, réductions et liquidations de régime Variation de périmètre -10 -10 -69 Taxes, charges administratives et primes Prestations payées par le fonds -955 -955 -571 Juste valeur des actifs au 31/12/N 16 689 0 16 689 15 814 — Position nette  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Dette actuarielle fin de période -19 187 -19 187 -18 493 Impact de la limitation d'actifs Juste valeur des actifs fin de période 16 689 16 689 15 814 Position nette (passif) / actif fin de période -2 498 0 -2 498 -2 679 — Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Zone euro Hors zone euro Toutes zones Toutes zones Taux d'actualisation (1) 1,35% 1,35% 1,33% Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement 1,58% 1,58% 1,58% Taux attendus d'augmentation des salaires Taux d'évolution des coûts médicaux Autres (à détailler) (1) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de rotation du personnel. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice iboxx AA. — Information sur les actifs des régimes - Allocations d'actifs  : (En milliers d' E uros) Zone euro Hors zone euro Toutes zones En % en montant dont coté En % en montant dont coté En % en montant dont coté Actions 9,50% 1 590 9,50% 1 590 Obligations 83,80% 13 993 83,80% 13 993 Immobiliers 6,60% 1 106 6,60% 1 106 Autres actifs Au 31 décembre 2017, les taux de sensibilité de PREDICA démontrent que : — une variation de plus 50bp des taux d'actualisation conduirait à une baisse de l'engagement de 1,88 % ; — une variation de moins de 50bp des taux d'actualisation conduirait à une hausse de l'engagement de 0,88 %. 7.5. Autres avantages sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 621 milliers d’euros à la fin de l’exercice 2017. » 7.6 . Rémunérations de dirigeants . — La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 507 milliers d’euros. 8. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties . Les engagements de financement et de garantie et autres garanties intègrent les activités abandonnées. — Engagements donnés et reçus : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Engagements donnés 730 304 588 242 Engagements de financement 423 769 382 706 Engagements en faveur des établissements de crédit 1 100 Engagements en faveur de la clientèle 423 769 381 606 Ouverture de crédits confirmés 172 563 173 191 Ouverture de crédits documentaires 28 Autres ouvertures de crédits confirmés 172 563 173 163 Autres engagements en faveur de la clientèle 251 206 208 415 Engagements de garantie 306 535 205 536 Engagements d'ordre d'établissement de crédit 126 009 126 057 Confirmations d'ouverture de crédits documentaires 48 Autres garanties (1) 126 009 126 009 Engagements d'ordre de la clientèle 180 526 79 479 Cautions immobilières 20 989 16 137 Autres garanties d'ordre de la clientèle 159 537 63 342 Engagements reçus 1 265 679 1 129 769 Engagements de financement 17 962 24 466 Engagements reçus des établissements de crédit 17 962 24 466 Engagements reçus de la clientèle Engagements de garantie 1 247 717 1 105 303 Engagements reçus des établissements de crédit 140 337 107 559 Engagements reçus de la clientèle 1 107 380 997 744 Garanties reçues des administrations publiques et assimilées 234 135 211 092 Autres garanties reçues 873 245 786 652 (1) Dont 126 009 milliers d’euros relatifs à la garantie Switch Assurance mise en place le 1 er juillet 2016, en amendement de la garantie précédente octroyée depuis le 2 janvier 2014 pour 327 349 milliers d’euros. — Instruments financiers remis et reçus en garantie  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 31/12/2016 Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés) Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (Banque de France, CRH …) 1 187 195 1 269 478 Titres prêtés -821 -821 Dépôts de garantie sur opérations de marché Autres dépôts de garantie Titres et valeurs donnés en pension 31 Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie 1 186 374 1 268 688 Valeur comptable des actifs financiers reçus en garantie Autres dépôts de garantie Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés Titres empruntés Titres et valeurs reçus en pension Titres vendus à découvert Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés 0 0 Au 31 décembre 2017 la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée n’a pas utilisé les titres souscrits auprès du FCT Crédit Agricole Habitat 2015 comme dispositif de refinancement. — Créances apportées en garantie  : Au cours de l’année 2017, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a apporté 1 187 195 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 269 478 milliers d’euros en 2016. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances. En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a apporté : – 715 508 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France contre 791 194 milliers d’euros en 2016; – 132 717 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 153 898 milliers d’euros en 2016; – 338 969 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 354 386 milliers d’euros en 2016. — Garanties détenues et actifs reçus en garantie  : La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis. 9. – Juste valeur des instruments financiers . La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation. La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion “d’exit price ”). Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des données de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs. Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés. La hiérarchie de juste valeur des actifs et passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13. Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers cotés sur un marché actif. Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données et reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs et passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté. Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé. Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment : — des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux du marché ; — des actifs ou passifs à court terme pour lesquels il est considéré que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ; — des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ; — des actifs ou passifs exigibles à vue ; — des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables. 9.1 . Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût . — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation. — Actifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur  : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31 décembre 2017 Juste valeur au 31 décembre 2017 Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers non évalués à la juste valeur au Bilan Prêts et créances 5 152 362 5 151 263 0 530 596 4 620 667 Créances sur les établissements de crédit 396 053 394 105 0 394 105 0 Comptes ordinaires et prêts JJ 177 071 177 071 177 071 Comptes et prêts à terme 218 767 216 821 216 821 Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 215 213 213 Titres non cotés sur un marché actif Autres prêts et créances Créances sur la clientèle 4 756 309 4 757 158 0 136 491 4 620 667 Créances commerciales 11 345 11 354 11 354 Autres concours à la clientèle 4 727 282 4 716 093 107 822 4 608 271 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Titres non cotés sur un marché actif 1 023 1 042 1 042 Créances nées d’opérations d’assurance directe Créances nées d’opérations de réassurance Avances en comptes courants d'associés 4 710 4 645 4 645 Comptes ordinaires débiteurs 11 949 24 024 24 024 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 211 718 227 373 226 871 351 151 Effets publics et valeurs assimilées 119 377 133 676 133 676 Obligations et autres titres à revenu fixe 92 341 93 697 93 195 351 151 Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 364 080 5 378 636 226 871 530 947 4 620 818 (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31 décembre 2016 Juste valeur au 31 décembre 2016 Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers non évalués à la juste valeur au Bilan Prêts et créances 4 859 946 5 000 690 0 480 583 4 520 107 Créances sur les établissements de crédit 347 730 346 310 0 346 310 0 Comptes ordinaires et prêts JJ 124 384 124 384 124 384 Comptes et prêts à terme 223 133 221 713 221 713 Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés 213 213 213 Titres non cotés sur un marché actif Autres prêts et créances Créances sur la clientèle 4 512 216 4 654 380 0 134 273 4 520 107 Créances commerciales 8 742 8 751 8 751 Autres concours à la clientèle 4 484 484 4 612 562 102 217 4 510 345 Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Titres non cotés sur un marché actif 1 023 1 011 1 011 Créances nées d’opérations d’assurance directe Créances nées d’opérations de réassurance Avances en comptes courants d'associés 5 018 4 953 4 953 Comptes ordinaires débiteurs 12 949 27 103 27 103 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 163 280 179 658 179 151 351 156 Effets publics et valeurs assimilées 106 567 121 462 121 462 Obligations et autres titres à revenu fixe 56 713 58 196 57 689 351 156 Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 023 226 5 180 348 179 151 480 934 4 520 263 — Passifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur  : (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31 décembre 2017 Juste valeur au 31 décembre 2017 Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 2 950 428 3 000 557 0 3 000 557 0 Comptes ordinaires et emprunts JJ 431 431 431 Comptes et emprunts à terme 2 949 997 3 000 126 3 000 126 Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée Dettes envers la clientèle 2 059 752 2 053 869 0 2 040 005 13 864 Comptes ordinaires créditeurs 1 475 361 1 475 344 1 475 344 Comptes d'épargne à régime spécial 13 864 13 864 13 864 Autres dettes envers la clientèle 570 527 564 661 564 661 Titres donnés en pension livrée Dettes nées d'opérations d'assurance directe Dettes nées d'opérations de réassurance Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques Dettes représentées par un titre 166 507 179 140 179 140 Dettes subordonnées 15 469 14 988 14 988 Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 5 192 156 5 248 554 0 5 234 690 13 864 (En milliers d'Euros) Valeur au bilan au 31 décembre 2016 Juste valeur au 31 décembre 2016 Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers non évalués à la juste valeur au bilan Dettes envers les établissements de crédit 2 788 892 2 847 739 0 2 847 739 0 Comptes ordinaires et emprunts JJ 2 703 2 703 2 703 Comptes et emprunts à terme 2 786 158 2 845 036 2 845 036 Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée 31 Dettes envers la clientèle 1 885 101 1 879 058 0 1 866 785 12 273 Comptes ordinaires créditeurs 1 295 089 1 295 069 1 295 069 Comptes d'épargne à régime spécial 12 273 12 273 12 273 Autres dettes envers la clientèle 577 739 571 716 571 716 Titres donnés en pension livrée Dettes nées d'opérations d'assurance directe Dettes nées d'opérations de réassurance Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques Dettes représentées par un titre 159 413 181 856 181 856 Dettes subordonnées 15 444 14 963 14 963 Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée 4 848 850 4 923 616 0 4 911 343 12 273 9.2 . Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur  : — Évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs ( credit valuation adjustment ou CVA) du risque de non-exécution sur les dérivés passifs ( debit valuation adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie (CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers. L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement (DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers. Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. La probabilité de défaut est en priorité directement déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides. Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation  : — Actifs financiers valorisés à la juste valeur  : Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation. (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 482 0 482 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres détenus à des fins de transaction Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable Instruments dérivés 482 482 Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 5 455 0 5 455 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Valeurs reçues en pension Titres à la juste valeur par résultat sur option 5 455 0 5 455 0 Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 5 455 5 455 Actions et autres titres à revenu variable Actifs financiers disponibles à la vente 591 246 101 994 489 252 0 Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 101 994 101 994 Actions et autres titres à revenu variable (1) 489 252 489 252 Créances disponibles à la vente Instruments dérivés de couverture 81 247 81 247 Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur 678 430 101 994 576 436 0 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables Total des transferts vers chacun des niveaux 0 0 0 (1) Y compris 248 652 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. Titres à l’actif de la note 1.3 " Principes et méthodes comptables " ). (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 534 0 534 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Titres reçus en pension livrée Valeurs reçues en pension Titres détenus à des fins de transaction Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable Instruments dérivés 534 534 Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 5 622 0 5 622 0 Créances sur les établissements de crédit Créances sur la clientèle Actifs représentatifs de contrats en unités de compte Valeurs reçues en pension Titres à la juste valeur par résultat sur option 5 622 0 5 622 0 Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 5 622 5 622 Actions et autres titres à revenu variable Actifs financiers disponibles à la vente 519 506 44 751 474 755 0 Effets publics et valeurs assimilées Obligations et autres titres à revenu fixe 44 751 44 751 Actions et autres titres à revenu variable (1) 474 755 474 755 Créances disponibles à la vente Instruments dérivés de couverture 99 916 99 916 Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur 625 578 44 751 580 827 0 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables Total des transferts vers chacun des niveaux 0 0 0 (1) Y compris 248 652 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. Titres à l’actif note 1.3 " Principes et méthodes comptables " ). — Passifs financiers valorisés à la juste valeur  : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 556 0 556 0 Titres vendus à découvert 0 Titres donnés en pension livrée 0 Dettes représentées par un titre 0 Dettes envers les établissements de crédit 0 Dettes envers la clientèle 0 Instruments dérivés 556 556 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 0 Instruments dérivés de couverture 94 369 94 369 Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 94 925 0 94 925 0 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotées sur des marchés actifs pour des instruments identiques Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables Total des transferts vers chacun des niveaux 0 0 0 (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1 Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2 Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3 Passifs financiers détenus à des fins de transaction 638 0 638 0 Titres vendus à découvert 0 Titres donnés en pension livrée 0 Dettes représentées par un titre 0 Dettes envers les établissements de crédit 0 Dettes envers la clientèle 0 Instruments dérivés 638 638 Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option 0 Instruments dérivés de couverture 122 677 122 677 Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur 123 315 0 123 315 0 Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables Total des transferts vers chacun des niveaux 0 0 0 10 . – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2017 . 10.1 . Information sur les filiales — Opérations de titrisation  : Pour plus de détails sur ces opérations de titrisation et sur l’indication de la valeur comptable des actifs concernés et des passifs associés, il est possible de se reporter à la note 6.6 " Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue " . En 2017, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a participé à la titrisation du FCT Crédit Agricole Habitat 2017, titrisation décrite au niveau de la note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période". 10.2 . Composition du périmètre  : Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées Pays d'implantation Méthode au 31 décembre 2017 % De contrôle et d'intérêt 31/12/2017 31/12/2016 Établissements bancaires et financiers Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2015 France Intégration Globale 100 100 Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2017 France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale à vocation départementale des P.O France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de ARGELES - ST ANDRE France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale la Canterrane - Sud Reart France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale Cote Vermeille France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale Porte de la Salanque France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de LA FOSSEILLE France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de CANET - STE MARIE France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de TET - FENOUILLEDES France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de PLAINE DU TECH France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de l'Agly - FENOUILLDES - VERDOUBLE France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale Forca - Real France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de PERPIGNAN France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de THUIR France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de CONFLENT - FENOUILLEDES France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de RIVESALTAIS France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale du RIBERAL France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale des ALBERES France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale d'Agly SALANQUE France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale les RIVES DE LA BASSE France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale d'Arles S/TECH France Intégration Globale 100 100 Caisse Local à Vocation Départementale de l'Ariège France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale Pays de Foix et du Ceronais France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de LAVELANET - QUERIGUT France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale Arize - Leze France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de MIREPOIX France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de PAMIERS France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de COUSERANS France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de SAVERDUN France Intégration Globale 100 100 Caisse Locale de AX - TARASCON SUR ARIEGE France Intégration Globale 100 100 Au 31/12/2017, une nouvelle entité (FCT Crédit Agricole Habitat 2017) a été consolidée au sein du groupe Crédit Agricole, née d’une opération de titrisation réalisée par les 39 Caisses régionales le 23 février 2017. Cette transaction est le premier RMBS français placé dans le marché par le Groupe. Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les 39 Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2017 » pour un montant de 1 milliard d’euros. Les titres senior adossés au portefeuille de créances habitat ont été placés auprès de 37 investisseurs européens (banques, fonds et banques centrales). Au 31 décembre 2017, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée ayant participé à l’opération de titrisation a consolidé sa quote-part (analyse par silo), le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’il a cédées au FCT. 11 . – Participations et entités structurées non consolidées . 11.1 . Participations non consolidées . — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement. Ce poste s’élève à 10 125 milliers d’euros au 31 décembre 2017 contre 10 048 milliers d’euros au 31 décembre 2016. Entités exclues du périmètre de consolidation . — Les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint et sous influence notable qui ont été exclues du périmètre de consolidation, sont présentées dans le tableau ci-dessous : Entités non consolidées Siège social % D'intérêt 31/12/2017 Motif d'exclusion du périmètre de consolidation SCI Credit Agricole Sud Méditerranée FRANCE 100% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques STE Immobilière du Credit et de la Mutualité Agricole FRANCE 50% Seuils de significativité non atteints SCI Château de Castelnou FRANCE 99% Seuils de significativité non atteints SAS Sud Med Immobilier FRANCE 100% Impacts non significatifs après élimination des écritures réciproques SAS Sud Med Roussillon FRANCE 100% Seuils de significativité non atteints SCI Bleu Résidence Perpignan FRANCE 35% Impacts de la consolidation peu Significatif. Par ailleurs holding non consolidée SAS PL Immobilier FRANCE 70% Seuils de significativité non atteints — Titres de participations significatifs non consolidés  : Les titres de participation représentant une fraction du capital supérieure ou égale à 10 % n’entrant pas dans le périmètre de consolidation sont présentés dans le tableau ci-dessous : Titres de participation non consolidées Siège social % d'intérêt 31/12/2017 Montant des capitaux propres Résultat du dernier exercice (1) PYRENEES ROUSSILLON INVESTISSEMENT FRANCE 17,8% 634 310 -12 577 Coopérative Catalane des éleveurs (ex-catalane de Viande et de Bétail) FRANCE 14,0% 474 448 -132 158 11.2 . Informations sur les entités structurées non consolidées . — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels. Informations sur les risques associés aux intérêts détenus — Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités  : Au 31 décembre 2017 et au 31 décembre 2016, l’implication de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée dans les tableaux ci-dessous : (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Titrisation Gestion d'actifs Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers détenus à des fins de transaction Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Actifs financiers disponibles à la vente Prêts et créances Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 0 0 Instruments de capitaux propres Passifs financiers détenus à des fins de transaction Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Dettes Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 0 0 Engagements donnés Engagements de financement Engagements de garantie Autres Provisions sur risque d'exécution - Engagements par signature Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 Total bilan des entités structurées non consolidées (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. (En milliers d'Euros) 31/12/2017 Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers détenus à des fins de transaction : Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Actifs financiers disponibles à la vente 96 994 96 994 Prêts et créances Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées 96 994 96 994 0 0 0 0 0 0 Instruments de capitaux propres Passifs financiers détenus à des fins de transaction Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Dettes Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 0 0 Engagements donnés : 0 Engagements de financement Engagements de garantie Autres Provisions sur risque d'exécution - Engagements par signature Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 Total bilan des entités structurées non consolidées 8 277 369 (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Titrisation Gestion d'actifs Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers détenus à des fins de transaction Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Actifs financiers disponibles à la vente Prêts et créances Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 0 0 Instruments de capitaux propres Passifs financiers détenus à des fins de transaction Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Dettes Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 0 0 Engagements donnés Engagements de financement Engagements de garantie Autres Provisions sur risque d'exécution - Engagements par signature Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 Total bilan des entités structurées non consolidées (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. (En milliers d'Euros) 31/12/2016 Fonds de placement (1) Financement structuré (1) Valeur au bilan Perte maximale Valeur au bilan Perte maximale Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Exposition maximale au risque de perte Garanties reçues et autres rehaussements de crédit Exposition nette Actifs financiers détenus à des fins de transaction Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Actifs financiers disponibles à la vente 39 722 39 722 Prêts et créances Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées 39 722 39 722 0 0 0 0 0 0 Instruments de capitaux propres Passifs financiers détenus à des fins de transaction Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option Dettes Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 0 0 Engagements donnés 0 Engagements de financement Engagements de garantie Autres Provisions sur risque d'exécution - Engagements par signature Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées 0 0 0 0 0 0 Total bilan des entités structurées non consolidées 3 321 805 (1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt. Exposition maximale au risque de perte . — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de credit default swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to- market . L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspond au montant du notionnel et la provision sur engagements donnés au montant comptabilisé au bilan. 12 . – Événements postérieurs au 31 décembre 2017 . Aucun événement postérieur à la clôture n’est à constater pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée . V. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés . Aux Sociétaires de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, 1. Opinion . — En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons effectué l’audit des comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2017, tels qu’ils sont joints au présent rapport. Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine, à la fin de l’exercice, de l’ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation. L’opinion formulée ci-dessus est cohérente avec le contenu de notre rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit. 2. Fondement de l’opinion  : — Référentiel d’audit  : Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Les responsabilités qui nous incombent en vertu de ces normes sont indiquées dans la partie « Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés » du présent rapport. — Indépendance  : Nous avons réalisé notre mission d’audit dans le respect des règles d’indépendance qui nous sont applicables, sur la période du 1er janvier 2017 à la date d’émission de notre rapport, et notamment nous n’avons pas fourni de services interdits par l’article 5, paragraphe 1, du règlement (UE) n° 537/2014 ou par le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Justification des appréciations - Points clés de l’audit En application des dispositions des articles L. 823-9 et R. 823-7 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les points clés de l’audit relatifs aux risques d’anomalies significatives qui, selon notre jugement professionnel, ont été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice, ainsi que les réponses que nous avons apportées face à ces risques. Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le contexte de l’audit des comptes consolidés pris dans leur ensemble et de la formation de notre opinion exprimée ci-avant. Nous n’exprimons pas d’opinion sur des éléments de ces comptes consolidés pris isolément. — Dépréciation des crédits sur une base individuelle : Risque identifié Notre réponse La caisse régionale constitue des provisions pour couvrir les risques avérés de pertes résultant de l'incapacité de ses clients à faire face à leurs engagements financiers. Les pertes prévisibles au titre du risque de crédit avéré font l’objet d’une dépréciation correspondant à la différence entre la valeur comptable des prêts et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine. S’agissant de la détermination d’éventuelles dépréciations, la direction de votre établissement est conduite à formuler des hypothèses pour estimer les flux futurs de recouvrement. Au 31 décembre 2017, les encours de crédit s’élèvent à Mds € 4,95 (hors opérations internes au Crédit Agricole) dont M€ 248,5 d’encours douteux dépréciés à hauteur de M€ 159,6, tel que détaillé dans les notes 3.1 de l’annexe aux comptes consolidés. Nous avons considéré la détermination des dépréciations des créances comme un point clé de l’audit en raison de l’importance relative de ces dépréciations dans le bilan et de leur sensibilité aux hypothèses retenues par la direction pour la détermination des flux futurs estimés et la valeur des garanties associés. Nos travaux ont consisté à examiner le dispositif mis en place par la direction pour évaluer le montant des dépréciations à comptabiliser. Nous avons, en particulier : — mené des entretiens au cours de l’exercice avec les personnes en charge du suivi des risques au sein de la caisse régionale afin de prendre connaissance de la gouvernance et des procédures mises en place pour évaluer ces dépréciations et assurer leur correcte alimentation en comptabilité ; — testé l’efficacité des contrôles clés mis en œuvre par la caisse régionale relatifs à ces procédures ; — apprécié le bien-fondé des hypothèses utilisées par la direction pour la détermination des flux futurs estimés sur un échantillon de dossiers de crédit présentant un risque avéré ; — effectué un examen analytique de la couverture des encours douteux. — Dépréciations des crédits sur des bases collectives et sectorielles  : Risque identifié Notre réponse La caisse régionale constitue des dépréciations sur des bases collectives et sectorielles sur des encours non dépréciés individuellement. Ces dépréciations collectives sont déterminées à l’aide des modèles internes de risque de crédit , sur la base de séries statistiques et historiques des défaillances de la clientèle. S’agissant de la détermination des autres dépréciations sur des bases sectorielles, la direction de votre établissement est conduite à formuler des hypothèses de dégradation de la notation des contreparties. Au 31 décembre 2017, le montant des dépréciations sur des bases collectives et sectorielles s’élève à M€ 36,8. Nous avons considéré la détermination des dépréciations comme un point clé de l’audit en raison : — de l’importance des hypothèses dans les modèles de notation et dans les scenarii de dégradation de ces notations ; — de l’évolution au cours de l’exercice 2017 du modèle interne de risque de crédit de la banque de détail. Nos travaux ont consisté à : — effectuer une analyse des évolutions du modèle de notation et identifier les contrôles réalisés que nous considérons pertinents sur la qualité des données utilisées et produites par le modèle et la traçabilité des anomalies. Compte tenu de l’organisation qui prévaut au sein du groupe Crédit Agricole, nous nous sommes fait assister par les commissaires aux comptes de l’organe central pour la mise en œuvre des travaux définis ci-dessus. Nous avons pris connaissance de leurs travaux et nous nous sommes assurés que ces derniers étaient appropriés ; — prendre connaissance de la documentation fournie par la caisse régionale sur la justification du choix des secteurs retenus et des procédures appliquées par la caisse régionale pour la détermination des dépréciations sectorielles ; — tester le correct déversement des données servant de base au calcul des dépréciations collectives et sectorielles dans les outils alimentant la comptabilité ; — procéder à un examen analytique de l’évolution des encours et des dépréciations par notation. Vérification des informations relatives au groupe données dans le rapport de gestion . — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion du conseil d’administration. Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés. Informations résultant d’autres obligations légales et réglementaires — Désignation des commissaires aux comptes  : Nous avons été nommés commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée par votre assemblée générale du 27 mars 2008 pour KPMG Audit et du 27 mars 2008 pour ERNST & YOUNG et Autres. Au 31 décembre 2017, le cabinet KPMG Audit était dans la dixième année de sa mission sans interruption et le cabinet ERNST & YOUNG et Autres dans sa dixième année. Précédemment, le cabinet ERNST & YOUNG Audit, membre du réseau EY, a exercé les fonctions de commissaire aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée de 1989 à 2007. Responsabilités de la direction et des personnes constituant le gouvernement d’entreprise relatives aux comptes consolidés Il appartient à la direction d’établir des comptes consolidés présentant une image fidèle conformément au référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne ainsi que de mettre en place le contrôle interne qu’elle estime nécessaire à l’établissement de comptes consolidés ne comportant pas d’anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs. Lors de l’établissement des comptes consolidés, il incombe à la direction d’évaluer la capacité de la société à poursuivre son exploitation, de présenter dans ces comptes, le cas échéant, les informations nécessaires relatives à la continuité d’exploitation et d’appliquer la convention comptable de continuité d’exploitation, sauf s’il est prévu de liquider la société ou de cesser son activité. Il incombe au conseil d'administration remplissant la fonction de comité d'audit de suivre le processus d’élaboration de l’information financière et de suivre l’efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques, ainsi que le cas échéant de l’audit interne, en ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d'administration. Responsabilités des commissaires aux comptes relatives à l’audit des comptes consolidés — Objectif et démarche d’audit  : Il nous appartient d’établir un rapport sur les comptes consolidés. Notre objectif est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives. L’assurance raisonnable correspond à un niveau élevé d’assurance, sans toutefois garantir qu’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel permet de systématiquement détecter toute anomalie significative. Les anomalies peuvent provenir de fraudes ou résulter d’erreurs et sont considérées comme significatives lorsque l’on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elles puissent, prises individuellement ou en cumulé, influencer les décisions économiques que les utilisateurs des comptes prennent en se fondant sur ceux-ci. Comme précisé par l’article L. 823-10-1 du Code de commerce, notre mission de certification des comptes ne consiste pas à garantir la viabilité ou la qualité de la gestion de votre caisse régionale.   Dans le cadre d’un audit réalisé conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, le commissaire aux comptes exerce son jugement professionnel tout au long de cet audit. En outre : – il identifie et évalue les risques que les comptes consolidés comportent des anomalies significatives, que celles-ci proviennent de fraudes ou résultent d’erreurs, définit et met en œuvre des procédures d’audit face à ces risques, et recueille des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour fonder son opinion. Le risque de non-détection d’une anomalie significative provenant d’une fraude est plus élevé que celui d’une anomalie significative résultant d’une erreur, car la fraude peut impliquer la collusion, la falsification, les omissions volontaires, les fausses déclarations ou le contournement du contrôle interne ; – il prend connaissance du contrôle interne pertinent pour l’audit afin de définir des procédures d’audit appropriées en la circonstance, et non dans le but d’exprimer une opinion sur l’efficacité du contrôle interne ; – il apprécie le caractère approprié des méthodes comptables retenues et le caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, ainsi que les informations les concernant fournies dans les comptes consolidés ; – il apprécie le caractère approprié de l’application par la direction de la convention comptable de continuité d’exploitation et, selon les éléments collectés, l’existence ou non d’une incertitude significative liée à des événements ou à des circonstances susceptibles de mettre en cause la capacité de la caisse régionale à poursuivre son exploitation. Cette appréciation s’appuie sur les éléments collectés jusqu’à la date de son rapport, étant toutefois rappelé que des circonstances ou événements ultérieurs pourraient mettre en cause la continuité d’exploitation. S’il conclut à l’existence d’une incertitude significative, il attire l’attention des lecteurs de son rapport sur les informations fournies dans les comptes consolidés au sujet de cette incertitude ou, si ces informations ne sont pas fournies ou ne sont pas pertinentes, il formule une certification avec réserve ou un refus de certifier ; – il apprécie la présentation d’ensemble des comptes consolidés et évalue si les comptes consolidés reflètent les opérations et événements sous-jacents de manière à en donner une image fidèle ; – concernant l’information financière des personnes ou entités comprises dans le périmètre de consolidation, il collecte des éléments qu’il estime suffisants et appropriés pour exprimer une opinion sur les comptes consolidés. Il est responsable de la direction, de la supervision et de la réalisation de l’audit des comptes consolidés ainsi que de l’opinion exprimée sur ces comptes. Rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit . — Nous remettons un rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit qui présente notamment l’étendue des travaux d’audit et le programme de travail mis en œuvre, ainsi que les conclusions découlant de nos travaux. Nous portons également à sa connaissance, le cas échéant, les faiblesses significatives du contrôle interne que nous avons identifiées pour ce qui concerne les procédures relatives à l’élaboration et au traitement de l’information comptable et financière. Parmi les éléments communiqués dans le rapport au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit figurent les risques d’anomalies significatives, que nous jugeons avoir été les plus importants pour l’audit des comptes consolidés de l’exercice et qui constituent de ce fait les points clés de l’audit, qu’il nous appartient de décrire dans le présent rapport. Nous fournissons également au conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit la déclaration prévue par l’article 6 du règlement (UE) n° 537-2014 confirmant notre indépendance, au sens des règles applicables en France telles qu’elles sont fixées notamment par les articles L. 822-10 à L. 822-14 du Code de commerce et dans le Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes. Le cas échéant, nous nous entretenons avec le conseil d’administration remplissant les fonctions du comité d’audit des risques pesant sur notre indépendance et des mesures de sauvegarde appliquées. Labège et Paris-La Défense, le 8 mars 2018 . Les Commissaires aux Comptes  : KPMG Audit  : ERNST & YOUNG et Autres  : Philippe Saint-Pierre  ; Luc Valverde . VI. — Rapport de gestion . En application du Règlement n°94-03 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, le rapport de gestion est tenu à la disposition du public au siège de la société : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923- 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

23/02/2018 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 1800342
Texte de l'annonce :

1800342

23 février 2018BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°24


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 

Société coopérative à capital variable régie par les articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération.

Le capital social au 30 septembre 2017 est de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 Décembre 2017

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

35 063

Effets publics et valeurs assimilées

119 377

Créances sur les établissements de crédits

10 054

Opérations internes au Crédit agricole

392 806

Opérations avec la clientèle

4 642 466

Obligations et autres titres à revenu fixe

197 669

Actions et autres titres à revenu variable

95 912

Participations et autres titres détenus à long terme

478 213

Parts dans les entreprises liées

0

Immobilisations corporelles et incorporelles

31 945

Autres actifs

88 427

Comptes de régularisation

60 979

Total de l’actif

6 152 911

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

8 365

Opérations internes au Crédit agricole

2 968 793

Comptes créditeurs de la clientèle

2 061 094

Dettes représentées par un titre

150 511

Autres passifs

30 756

Comptes de régularisation

80 062

Provisions pour risques et charges

53 648

Dettes subordonnées et titres participatifs

25 637

Fonds pour risques bancaires généraux

38 557

Capitaux propres hors FRBG

735 488

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

551 326

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Résultat de l’exercice

26 480

Total du passif

6 152 911

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

730 712

Engagements de financements

423 769

Engagements de garantie

306 535

Engagements sur titres

408

Engagements reçus

1 194 555

Engagements de financements

17 962

Engagements de garantie

1 176 185

Engagements sur titres

408

 

 

1800342

08/11/2017 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 1704984
Texte de l'annonce :

1704984

8 novembre 2017BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°134


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 Société coopérative à capital variable régie par les articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération.

Le capital social au 30 septembre 2017 est de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 30 Septembre 2017

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

34 471

Effets publics et valeurs assimilées

126 426

Créances sur les établissements de crédits

12 376

Opérations internes au Crédit agricole

426 136

Opérations avec la clientèle

4 598 054

Obligations et autres titres à revenu fixe

198 527

Actions et autres titres à revenu variable

95 886

Participations et autres titres détenus à long terme

477 127

Parts dans les entreprises liées

300

Immobilisations corporelles et incorporelles

32 269

Autres actifs

85 659

Comptes de régularisation

58 420

Total de l’actif

6 145 651

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

8 311

Opérations internes au Crédit agricole

2 960 955

Comptes créditeurs de la clientèle

2 053 959

Dettes représentées par un titre

154 708

Autres passifs

24 633

Comptes de régularisation

92 671

Provisions pour risques et charges

52 478

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 606

Fonds pour risques bancaires généraux

48 057

Capitaux propres hors FRBG

728 273

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

551 326

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Résultat de l’exercice

19 265

Total du passif

6 145 651

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

628 295

Engagements de financements

418 679

Engagements de garantie

209 616

Engagements sur titres

0

Engagements reçus

1 171 171

Engagements de financements

18 460

Engagements de garantie

1 152 711

Engagements sur titres

0

 

 

 

1704984

28/07/2017 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 1703993
Texte de l'annonce :

1703993

28 juillet 2017BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°90


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE RÉGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANéE

(ARIÈGE / PYRENéES ORIENTALES)

 Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire

et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération.

Le capital social au 31 Mars 2017 est de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

 

Situation au 30 Juin 2017

(En milliers d’Euros.)

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

39 860

Effets publics et valeurs assimilées

125 794

Créances sur les établissements de crédits

12 959

Opérations internes au Crédit agricole

395 831

Opérations avec la clientèle

4 557 215

Obligations et autres titres à revenu fixe

198 411

Actions et autres titres à revenu variable

95 861

Participations et autres titres détenus à long terme

477 053

Parts dans les entreprises liées

300

Immobilisations corporelles et incorporelles

32 259

Autres actifs

86 639

Comptes de régularisation

45 757

Total de l’actif

6 067 949

 

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

8 593

Opérations internes au Crédit agricole

3 018 227

Comptes créditeurs de la clientèle

1 938 287

Dettes représentées par un titre

153 435

Autres passifs

27 235

Comptes de régularisation

90 602

Provisions pour risques et charges

54 153

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 352

Fonds pour risques bancaires généraux

47 057

Capitaux propres hors FRBG

709 008

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

551 326

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

6 067 949

 

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

617 497

Engagements de financements

410 501

Engagements de garantie

206 996

Engagements sur titres

0

Engagements reçus

1 146 454

Engagements de financements

21 215

Engagements de garantie

1 125 239

Engagements sur titres

0

 

 

1703993

17/05/2017 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 1702037
Texte de l'annonce :

1702037

17 mai 2017BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°59


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire

et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération.

Le capital social au 31 Mars 2017 est de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 mars 2017

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

31 203

Effets publics et valeurs assimilées

107 139

Créances sur les établissements de crédits

13 138

Opérations internes au Crédit agricole

351 734

Opérations avec la clientèle

4 493 386

Obligations et autres titres à revenu fixe

181 301

Actions et autres titres à revenu variable

73 782

Participations et autres titres détenus à long terme

476 949

Parts dans les entreprises liées…

718

Immobilisations corporelles et incorporelles

32 040

Autres actifs

99 595

Comptes de régularisation

40 693

Total de l’actif

5 901 678

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

11 491

Opérations internes au Crédit agricole

2 922 202

Comptes créditeurs de la clientèle

1 860 235

Dettes représentées par un titre

152 037

Autres passifs

30 412

Comptes de régularisation

96 903

Provisions pour risques et charges

60 803

Dettes subordonnées et titres participatifs

22 030

Fonds pour risques bancaires généraux

36 557

Capitaux propres hors FRBG

709 008

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

551 326

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 901 678

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés :

614 611

Engagements de financements

408 477

Engagements de garantie

206 134

Engagements sur titres

0

Engagements reçus :

1 141 366

Engagements de financements

60 219

Engagements de garantie

1 081 147

Engagements sur titres

0

 

 

1702037

05/05/2017 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N1)
Numéro d'affaire : 1701525
Texte de l'annonce :

1701525

5 mai 2017BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°54


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital et personnels variables.

Capital social au 31 décembre 2016 : 28 057 377 Euros.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2016

 

Comptes annuels approuvés par l'Assemblée Générale Ordinaire du 24 mars 2017.

A. — Comptes individuels 31 décembre 2016.

 

Arrêtés par le Conseil d'administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 10 février 2017 et soumis à l'approbation de l'Assemblée générale ordinaire en date du 24 mars 2017

 

I. — Bilan au 31 décembre 2016.

(En milliers d'Euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2016

31/12/2015

Opérations interbancaires et assimilées

 

142 242

143 614

Caisse, banques centrales

 

32 215

33 368

Effets publics et valeurs assimilées

5

106 567

108 013

Créances sur les établissements de crédit

3

3 460

2 233

Opérations internes au crédit agricole

3

343 507

564 238

Opérations avec la clientèle

4

4 404 313

4 238 230

Opérations sur titres

 

199 675

213 630

Obligations et autres titres à revenu fixe

5

160 780

184 703

Actions et autres titres à revenu variable

5

38 895

28 927

Valeurs immobilisées

 

510 056

311 253

Participations et autres titres détenus à long terme

6-7

477 159

276 428

Parts dans les entreprises liées

6-7

718

718

Immobilisations incorporelles

7

886

921

Immobilisations corporelles

7

31 293

33 186

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

167 564

172 073

Autres actifs

8

95 343

115 148

Comptes de régularisation

8

72 221

56 925

Total actif

 

5 767 357

5 643 038

 

Passif

Notes

31/12/2016

31/12/2015

Opérations interbancaires et assimilées

 

3 077

301

Banques centrales

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

10

3 077

301

Opérations internes au crédit agricole

10

2 793 588

2 851 656

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 886 561

1 750 276

Dettes représentées par un titre

12

150 307

150 340

Comptes de régularisation et passifs divers

 

103 367

89 605

Autres passifs

13

28 949

29 770

Comptes de régularisation

13

74 418

59 835

Provisions et dettes subordonnées

 

84 421

88 507

Provisions

14-15-16

62 526

66 643

Dettes subordonnées

18

21 895

21 864

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17

34 557

27 557

Capitaux propres hors FRBG

19

711 479

684 796

Capital souscrit

 

28 057

28 057

Primes d'émission

 

129 625

129 625

Réserves

 

524 367

495 535

Ecarts de réévaluation

 

 

 

Provisions réglementées et subventions d'investissement

 

 

 

Report à nouveau

 

 

 

Résultat de l'exercice

 

29 430

31 579

Total passif

 

5 767 357

5 643 038

 

Hors-bilan

Notes

31/12/2016

31/12/2015

Engagements donnés

 

588 242

838 695

Engagements de financement

25

382 706

428 998

Engagements de garantie

25

205 536

409 697

Engagements sur titres

25

 

 

Engagements reçus

 

1 054 694

907 398

Engagements de financement

25

24 466

33 768

Engagements de garantie

25

1 030 228

873 630

Engagements sur titres

25

 

 

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

— Opérations de change au comptant et à terme : note 22

— Opérations sur instruments financiers à terme : note 23.

 

II. — Compte de résultat au 31 décembre 2016.

 

(En milliers d'Euros)

Notes

31/12/2016

31/12/2015

Intérêts et produits assimilés

27-28

162 538

180 449

Intérêts et charges assimilées

27

-78 402

-79 536

Revenus des titres à revenu variable

28

12 866

7 889

Commissions Produits

29

76 125

73 872

Commissions Charges

29

-17 835

-15 951

Gains ou pertes sur opérations du portefeuille de négociation

30

189

118

Gains ou pertes sur opérations du portefeuille de placement et assimilés

31

845

-225

Autres produits d'exploitation bancaire

32

3 397

1 093

Autres charges d'exploitation bancaire

32

-338

-355

Produit net bancaire

 

159 385

167 354

Charges générales d'exploitation

33

-97 340

-94 443

Dotations aux amortissements et provisions sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

-5 087

-5 895

Résultat brut d'exploitation

 

56 958

67 016

Coût du risque

34

-9 177

-8 439

Résultat d'exploitation

 

47 781

58 577

Résultat net sur actifs immobilisés

35

-448

-468

Résultat courant avant impôt

 

47 333

58 109

Résultat exceptionnel

36

 

 

Impôts sur les bénéfices

37

-10 903

-16 530

Dotations / reprises de FRBG et provisions réglementées

 

-7 000

-10 000

Résultat net de l'exercice

 

29 430

31 579

 

III. — Annexes.

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice.

 

1.1. Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par les articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier et la loi n°47-1775 du 10/09/1947 portant statut de la coopération.

Sont affiliées à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 32 Caisses locales qui constituent des sociétés coopératives ayant une personnalité juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l'entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est agréée, avec l'ensemble des Caisses locales qui lui sont affiliées, en qualité de banque mutualiste ou coopérative, avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est de ce fait soumise à la réglementation applicable aux établissements de crédit.

Au 31 décembre 2016, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, en application de l'article L.511-30 du Code monétaire et financier, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même 56,64 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,26%.

Par ailleurs, Crédit Agricole S.A. détient 2 765 736 actions propres au 31 décembre 2016, soit 0,10 % de son capital, contre 4 027 798 actions propres au 31 décembre 2015.

Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par ailleurs, en 1988, les Caisses régionales ont consenti une garantie au bénéfice des tiers créanciers de Crédit Agricole S.A., solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Cette garantie est susceptible d'être mise en œuvre en cas d'insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l'issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution.

 

1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole. — L'appartenance de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au réseau du Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ».

 

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d'épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d'avances miroir) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l'utilisation de modèles de replacement et l'application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d'application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d'avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d'avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

 

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

 

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l'année 2014 (directive BRRD et règlement sur le mécanisme de résolution unique transposés en droit français par l'ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit. Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d'assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l'économie, de protéger les déposants, et d'éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, le Conseil de résolution unique, autorité de résolution européenne, a été doté de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d'un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient.

Le dispositif européen de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l'article L. 511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l'article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu'en pratique, ce mécanisme devrait s'exercer préalablement à toute mesure de résolution, dans la mesure où, en tant qu'organe central et membre du réseau, il doit prendre toute mesure nécessaire pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque membre du Réseau comme de l'ensemble. Ainsi, chaque membre du Réseau (en ce compris Crédit Agricole S.A.) bénéficie de cette solidarité financière interne.

Par ailleurs, dans la conduite de son action en tant qu'autorité de résolution, l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution doit respecter le principe fondamental selon lequel aucun créancier ne doit, en résolution, subir de pertes plus importantes que celles qu'il aurait subies si l'entité concernée avait été liquidée selon une procédure normale d'insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation – NCWOL – prévu à l'article L. 613-57-1 du Code monétaire et financier et à l'article 73 de la directive BRRD). La nécessité de respecter ce principe conduit Crédit Agricole S.A. à considérer que l'existence de la garantie accordée en 1988 par les Caisses régionales au bénéfice des créanciers de Crédit Agricole S.A. devra être prise en compte par l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, sans qu'il soit possible de préjuger des modalités de cette prise en compte. Cette garantie a été consentie en 1988 au bénéfice des tiers créanciers de Crédit Agricole S.A. par l'ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés.

Enfin, dans le cadre de l'introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d'un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d'assurer son rôle d'organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

 

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) : Suite à l’opération de simplification de la structure du Groupe qui s’est traduite par la cession des participations CCI/CCA détenues par Crédit Agricole S.A. à une société intégralement détenue par les Caisses régionales, SACAM Mutualisation, Crédit Agricole S.A. n’est plus au capital des Caisses régionales à l’issue de l’opération (à l’exception de 4 Caisses régionales pour lesquels crédit Agricole SA a conservé une partie marginale des CCA pour des raisons juridiques) ; celle-ci s’est donc accompagnée de la signature de deux avenants à la Convention Cadre de la garantie Switch respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3) et mettant notamment fin à la garantie sur les CCI/CCA.

Ce dispositif ainsi modifié a pris effet le 1er juillet 2016 et permet désormais de transférer aux Caisses régionales uniquement les exigences prudentielles des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA) dans la limite d’un plafond contractuel : on parle donc désormais des Switch Assurance.

La bonne fin du dispositif reste sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l'économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme.

Ainsi, les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées, moyennant le versement par les Caisses régionales d'une indemnité compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l'application d'une clause de retour à meilleure fortune, peut restituer les indemnisations préalablement perçues.

Comptablement, les garanties sont des engagements de hors-bilan assimilables à des garanties données à première demande. Leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d'intérêt en Produit net bancaire. En cas d'appel des garanties, ou le cas échéant lors d'un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d'indemnisation ou le produit de remboursement sont respectivement reconnus en Coût du risque.

Il convient de noter que l'activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s'apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Equivalence des participations CAA. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d'estimer s'il existe un risque d'indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n'étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l'activation des garanties sous forme d'appel ou de retour à meilleure fortune.

 

1.3. Evénements significatifs relatifs à l'exercice 2016. — Les éléments significatifs ayant une incidence sur les comptes sociaux de 2016 sont détaillés dans le rapport de gestion (cf page 10)

On notera qu’au cours de l’exercice 2016 la Caisse Régionale a réalisé avec CASA une opération de mise en pension et prise de pension de titres dans le cadre du dispositif Repo TTS contre titres HQLA pour 18 M€.

 

1.2. Opération de simplification du groupe Crédit Agricole. — L'opération de simplification du groupe Crédit Agricole annoncée le 17 février 2016 a été réalisée le 3 août 2016. L'essentiel des Certificats Coopératifs d'Investissement (« CCI ») et les Certificats Coopératifs d'Associé (« CCA ») détenus par Crédit Agricole S.A. ont été cédés dans une holding (« SACAM Mutualisation ») conjointement détenue par les Caisses régionales. Le prix de cession fixé initialement sur la base des bilans des Caisses régionales de Crédit Agricole arrêtés au 31 décembre 2015, soit 18,025 milliards d'euros, a fait l'objet d'un ajustement pour tenir compte de l'évolution des capitaux propres IFRS consolidés retraités des Caisses régionales entre le 31 décembre 2015 et le 30 juin 2016. Cet ajustement s'élève à 517 millions d'euros de sorte que le prix final de cession des CCI et CCA transférés par Crédit Agricole S.A. à SACAM Mutualisation (filiale à 100% des Caisses régionales), s'élève à 18,542 milliards d'euros. Le financement de « SACAM Mutualisation » a été réalisé via un apport en capital des Caisses régionales (souscription par chacune des Caisses régionales à une augmentation de capital de SACAM Mutualisation lui permettant d'acquérir les CCI/CCA détenus par Crédit Agricole SA). Dans ce cadre, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a participé à l'augmentation de capital de SACAM Mutualisation pour un montant de 189 883 milliers d'euros. Des prêts séniors de Crédit Agricole SA à hauteur de 11 milliards d'euros ont été consentis aux Caisses régionales pour financer une partie de l'augmentation de capital de « SACAM Mutualisation », dont 112 617 milliers d'euros en faveur de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée.

Cette opération s'inscrit dans une optique de simplification de la structure du Groupe, d'accroissement de la mutualisation des résultats des Caisses régionales et permet le maintien et le renforcement de la solidarité économique entre les Caisses régionales qui existait déjà indirectement au travers de la participation de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales et de la garantie Switch CCI/CCA.

Post opération, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve un niveau de solvabilité extrêmement solide. Sa réalisation entraine le débouclage de la garantie Switch avec effet au 1er juillet 2016 pour sa composante couvrant les CCI/CCA et le remboursement du dépôt auprès de Crédit Agricole SA relatif à cette garantie (5 milliards d'euros pour l'ensemble des Caisses régionales et 67 885 milliers d'euros pour Crédit Agricole Sud-Méditerranée).

 

1.4. Evénements postérieurs à l'exercice 2016. — Les travaux d’impairment tests menés par Crédit agricole SA ont conduit à une dépréciation de l’écart d’acquisition sur LCL et ont fait l’objet d’une communication le 20 janvier 2017. Les valorisations issues de ces travaux ont des conséquences sur les comptes et la valorisation de Sacam Développement (détentrice de participations dans LCL, CACIB et Amundi) et Sacam International (détentrice de participations dans Cariparma et la banque arménienne ACBA)

Au niveau de Sacam Développement, nous constatons une dépréciation complémentaire sur LCL compensée pour partie par le résultat courant de Sacam Développement et la revalorisation des titres Amundi. En conséquence, la valeur de l’action Sacam Développement baisse de 1,76% et s’établit à 39,10 € contre 39,80 € précédemment (soit une baisse de valeur de 13,4 M€ pour l’ensemble des Caisses régionales). Cette valeur reste supérieure au prix de revient des actions Sacam Développement détenues par les Caisses régionales (38,30 €).

Au niveau de Sacam International, nous constatons une dépréciation complémentaire sur Cariparma compensée pour partie par le résultat courant de Sacam International et la revalorisation des titres ACBA. En conséquence, la valeur de l’action Sacam International baisse de 1,61% et s’établit à 9,78 € contre 9,94 € précédemment. Les titres Sacam International faisant déjà l’objet de provisions dans les comptes sociaux des Caisses régionales, une dépréciation complémentaire est à constituer ; elle représente 9,6 M€ au global pour les Caisses régionales et 127 K€ pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée.

Les comptes de 2016 ne sont pas modifiés, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée procèdera au changement de valeur sur le 1er trimestre 2017 conformément aux recommandations du Groupe (Lettre jaune 2016-148), l’impact n’étant pas significatif.

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

 

Les états financiers de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l'intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

La présentation des états financiers de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 qui, à partir des exercices ouverts au 1er janvier 2015, regroupe à droit constant dans un règlement unique l'ensemble des normes comptables applicables aux établissements de crédit.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l'exercice précédent concernent les points suivants :

 

Règlements

Date de publication par l'Etat français

Date de 1ere application : exercices ouverts à compter du

Applicable dans la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée

Règlement ANC N°2015-04 relatif aux comptes annuels des organismes de logement social Chapitres 1 à 3 et chapitres 5 à 7

04 juin 2015

1er janvier 2016

Non

Règlement ANC N°2015-05 Relatif aux instruments financiers à terme et aux opérations de couverture

02 juillet 2015

1er janvier 2017 ou par anticipation au 1er janvier 2016

Non

Règlement ANC N°2015-06 modifiant le règlement ANC N°2014-03 relatif aux plan comptable général

23 novembre 2015

1er janvier 2016

Oui

Règlement ANC N°2016-01 Relatif aux comptes annuels de l'Association de Gestion du Fonds Paritaire National (AGFPN)

05 février 2016

1er janvier 2016

Non

Règlement de l'ANC n° 2016-02 relatif aux comptes annuels des organismes de titrisation

11 mars 2016

1er janvier 2017 ou par anticipation au 1er janvier 2016

Non

Règlement de l'ANC n° 2016-03 15 avril 2016 relatif aux règles comptables applicables aux sociétés civiles de placement immobilier (SCPI)

15 avril 2016

1er janvier 2017 ou par anticipation au 1er janvier 2016

Non

Règlement de l'ANC n° 2016-04 Relatif aux sociétés de libre partenariat

01 juillet 2016

31/12/2016

Non

Règlement de l'ANC n° 2016-06 relatif aux règles comptables applicables aux organismes de placement collectif immobilier

14 octobre 2016

1er janvier 2016

Non

Règlement de l'ANC n° 2016-07 modifiant le règlement ANC N°2014-03 relatif au plan comptable général

04 novembre 2016

1er janvier 2016

Oui

Règlement de l'ANC n° 2016-12 modifiant le règlement ANC N° 2015-11 du 26 novembre 2015 relatif aux comptes annuels des entreprises d’assurance

12 décembre 2016

1er janvier 2016

Non

Version consolidée du règlement n° 99-01 rassemblant l’ensemble des textes comptables applicables au secteur associatif

20 septembre 2016

1er janvier 2016

Non

 

Ces textes n'entrainent aucun changement de méthode comptable pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

 

2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours :

– les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ;

– les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ;

– les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle.

Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle).

Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale.

En application de l'article 2131-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l'encours de crédit concerné.

Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds.

L'application du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 conduit Crédit Agricole S.A. à comptabiliser les créances présentant un risque d'impayé conformément aux règles suivantes. L'utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d'apprécier l'existence d'un risque de crédit.

 

Créances restructurées. — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l'établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.) afin de permettre aux contreparties d'honorer le paiement des échéances.

Elles concernent les créances classées en défaut et les créances saines, au moment de la restructuration.

Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d'insolvabilité.

La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l'enregistrement d'une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d'origine. Elle est égale à l'écart constaté entre :

– la valeur nominale du prêt ;

– et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d'intérêt effectif d'origine (défini à la date de l'engagement de financement).

La décote constatée lors d'une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d'intérêt.

Les crédits restructurés font l'objet d'une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement au plus tard au bout de trente jours d'impayés.

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée s'élève à 62 096 milliers d'euros au 31 décembre 2016 contre 32 208 milliers d'euros au 31 décembre 2015. Sur ces prêts, des décotes sont comptabilisées pour un montant de 29 milliers d'euros.

 

Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l'une des situations suivantes :

– il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins,

– la situation d'une contrepartie présente des caractéristiques telles qu'indépendamment de l'existence de tout impayé, on peut conclure à l'existence d'un risque avéré,

– il existe des procédures contentieuses entre l'établissement et sa contrepartie.

Pour les découverts, l'ancienneté de l'impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l'établissement ou qu'il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l'établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu'il a tiré des montants sans autorisation de découvert.

Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l'établissement peut décompter l'ancienneté de l'impayé lorsque le découvert a fait l'objet de la part de l'établissement d'une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

– Créances douteuses non compromises :

Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

— Créances douteuses compromises :

Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Pour les créances douteuses, l'enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise.

 

— Dépréciations au titre du risque de crédit avéré. — Dès lors qu'un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l'actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l'étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

— Traitement comptable des dépréciations. — Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque, l'augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrits dans la marge d'intérêt.

 

— Provisions au titre du risque de crédit non affecté individuellement. — Par ailleurs, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a également constaté, au passif de son bilan, des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement telles que les provisions Risques pays ou les provisions sectorielles généralement calculées à partir des modèles Bâlois. Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement.

 

— Risques-pays. — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays ». (Note de la Commission Bancaire du 24 décembre 1998).

Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d'origine.

— Passage en perte. — L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d'experts, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu'il a de son activité.

 

2.2 Portefeuille Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par les articles 2311-1 à 2391-1 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) ainsi que par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe.

Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable.

Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

Titres de placement. — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus.

— Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, coupon couru à l'achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre.

Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

— Actions et autres titres à revenu variable : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ».

Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique.

A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d'acquisition et la valeur de marché. Ainsi, lorsque la valeur d'inventaire d'une ligne ou d'un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l'article 2514-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, prenant la forme d'achats ou de ventes d'instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées.

En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres :

– s'il s'agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d'informations particulières sur la situation financière de l'émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ;

– s'il s'agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré).

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat.

 

Titres d'investissement. — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d'une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance.

Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu'à leur échéance et n'est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu'à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d'acquisition et coupons inclus.

La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre.

Il n'est pas constitué de dépréciation des titres d'investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l'émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières, du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ».

En cas de cession de titres d'investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l'établissement n'est plus autorisé, pendant l'exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d'investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément à l'article 2341-2 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

 

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu'elle permet d'exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d'en assurer le contrôle.

— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l'intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l'entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition frais inclus.

A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d'utilité.

Celle-ci représente ce que l'établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention.

L'estimation de la valeur d'utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l'entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre.

Lorsque la valeur d'utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l'objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes.

Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique «Résultat net sur actifs immobilisés».

 

Prix de marché. — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

– les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent,

– si le marché sur lequel le titre est négocié n'est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n'est pas coté, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu'il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

Dates d'enregistrement. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d'investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation.

Pensions livrées. — Les titres donnés en pension livrée sont maintenus au bilan et le montant encaissé, représentatif de la dette à l'égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan.

Les titres reçus en pension livrée ne sont pas inscrits au bilan mais le montant décaissé, représentatif de la créance sur le cédant, est enregistré à l'actif du bilan.

Les titres donnés en pension livrée font l'objet des traitements comptables correspondant à la catégorie de portefeuille dont ils sont issus.

Reclassement de titres. — Conformément aux articles 2381-1 à 2381-5 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, il est autorisé d'opérer les reclassements de titres suivants :

– du portefeuille de transaction vers le portefeuille d'investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l'établissement a l'intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu'à l'échéance,

– du portefeuille de placement vers le portefeuille d'investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu'ils ne sont plus négociables sur un marché actif.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas opéré, en 2016, de reclassement au titre du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

 

2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 par rapport à l'amortissement et à la dépréciation des actifs.

Elle applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l'ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte, la base amortissable tient compte de l'éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Le règlement de l'ANC n° 2015-06 modifie la comptabilisation au bilan du mali technique de fusion ainsi que son suivi dans les comptes sociaux. Le mali ne doit plus être comptabilisé globalement et systématiquement au poste « Fonds commercial » ; il doit être comptabilisé au bilan selon les rubriques d'actifs auxquelles il est affecté en « Autres immobilisations corporelles, incorporelles, financières… ». Le mali est amorti, déprécié, sorti du bilan selon les mêmes modalités que l'actif sous-jacent.

Le coût d'acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d'achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l'acquisition pour la mise en état d'utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ».

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition.

Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d'acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d'achèvement.

A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leur durée estimée d'utilisation.

Les composants et durées d'amortissement suivants ont été retenus par Crédit Agricole Sud-Méditerranée, suite à l'application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d'amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d'amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante.

 

2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes :

– dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit,

– comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole,

– comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière).

Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables et emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ».

Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes :

– soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er Janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10 % du prix d'émission ;

– soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er Janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10 % du prix d'émission.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique également la méthode d'étalement des frais d'emprunts dans ses comptes individuels.

Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ».

 

2.6. Provisions. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 pour la comptabilisation et l'évaluation des provisions.

Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers.

Les provisions incluent également les risques-pays. L'ensemble de ces risques fait l'objet d'un examen trimestriel.

Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d'opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement.

La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d'une part, à l'obligation de rémunérer l'épargne dans le futur à un taux fixé à l'ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d'autre part, à l'octroi d'un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d'épargne-logement à un taux déterminé fixé à l'ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l'ensemble des comptes d'épargne-logement, sachant qu'il n'y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

– le comportement des souscripteurs, ainsi que l'estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d'observations historiques de longue période.

– la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

Provision pour risques sur GIE d'investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire.

Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice.

 

2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions du Titre 5 Les instruments financiers à terme du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie :

— Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable.

Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07) sont inscrits prorata temporis dans la rubrique « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés.

— Opérations de marché : Les opérations de marché regroupent :

– les positions ouvertes isolées (catégorie « a » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07),

– la gestion spécialisée d'un portefeuille de transaction (catégorie « d » article 2522 du règlement ANC 2014-07).

Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture.

Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s'il existe un marché actif, ou à l'aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l'absence de marché actif.

Pour les instruments :

– en position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé ;

– en position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, seules les pertes latentes éventuelles sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement ;

– faisant partie d'un portefeuille de transaction, l'ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) est comptabilisé.

 

Risque de contrepartie sur les dérivés. — Conformément au règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée intègre l'évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Crédit Valuation Adjustment ou CVA) dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories a et d de l'article 2522-1. du règlement précité) font l'objet d'un calcul de CVA.

Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de Crédit Agricole Sud-Méditerranée.

Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l'utilisation de données d'entrée observables.

Elle repose :

– prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels,

– en l'absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d'une approximation fondée sur la base d'un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région.

Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés.

 

Opérations complexes. — Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d'instruments (de types, natures et modes d'évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d'une réglementation explicite et qui implique, de la part de l'établissement, un choix de principe.

 

2.9. Opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les produits perçus et les charges payées sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture.

Les dotations aux succursales, les immobilisations des implantations à l'étranger, les titres d'investissement et de participation en devises achetés contre euros sont convertis en euros au cours du jour de la transaction. Une provision peut être constituée lorsque l'on constate une dépréciation durable du cours de change relative aux participations de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à l'étranger.

A chaque arrêté, les opérations de change à terme sont évaluées au cours à terme restant à courir de la devise concernée. Les gains ou les pertes constatées sont portés au compte de résultat sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de négociation - Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés ».

Dans le cadre de l'application du Titre 7 Comptabilisation des opérations en devises du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multidevises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

 

2.10. Intégration des succursales à l'étranger. — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées.

Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques.

Les règles de conversion en euros sont les suivantes :

– les postes de bilan sont convertis au cours de clôture,

– les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture.

Les gains ou pertes pouvant résulté de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ».

 

2.11. Engagements hors-bilan. — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus.

Le cas échéant, les engagements donnés font l'objet d'une provision lorsqu'il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour Crédit Agricole Sud-Méditerranée.

Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie.

Ces éléments sont toutefois détaillés dans l'annexe aux notes 25 et 26.

 

2.12. Participation des salariés aux fruits de l'expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l'expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né.

L'intéressement est couvert par l'accord du 06 juin 2014.

La participation et l'intéressement figurent dans les «Frais de personnel».

 

2.13. Avantages au personnel postérieurs à l'emploi. — Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d'indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a appliqué, à compter du 1er janvier 2013, la recommandation 2013-02 de l'Autorité des normes comptables du 07 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d'évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014.

En application de ce règlement, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Ces engagements sont évalués en fonction d'un ensemble d'hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d'activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l'exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a opté pour la méthode 2 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatés au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation.

Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l'exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime, par conséquent le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l'obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement,

– majorée des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler,

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d'assurance éligible. Dans le cas où l'obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l'obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Plans de retraite – régimes à cotisations définies

Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n'ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n'ont pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs.

Par conséquent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l'exercice écoulé.

Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « Frais de personnel ».

 

2.14. Souscription d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise.

Les souscriptions d'actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d'Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 20 %, ne comportent pas de période d'acquisition des droits mais sont grevées d'une période d'incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d'actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de Crédit Agricole Sud-Méditerranée.

 

2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D'une façon générale, seul l'impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %.

Les crédits d'impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu'ils sont effectivement utilisés en règlement de l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d'impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d'intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, chacune des sociétés intégrées constate dans ses comptes la dette d'impôt dont elle aurait été redevable en l'absence d'intégration fiscale. En raison de l'objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d'Impôts pour la Compétitivité et l'Emploi (CICE), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d'Impôt pour la Compétitivité et l'Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel et non en diminution de l'impôt.

 

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

3 047

 

 

 

3 047

 

3 047

1 820

A terme

200

 

 

 

200

 

200

200

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

213

213

 

213

213

Total

3 247

 

 

213

3 460

 

3 460

2 233

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

3 460

2 233

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

120 574

 

 

 

120 574

 

120 574

172 600

Comptes et avances à terme

1 121

2 461

5 537

212 394

221 513

1 420

222 933

378 135

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

 

 

 

 

13 503

Total

121 695

2 461

5 537

212 394

342 087

1 420

343 507

564 238

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

343 507

564 238

Total

 

 

 

 

 

 

346 967

566 471

 

Commentaires:

Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 213 milliers d'euros.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 10 232 milliers d'euros.

Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n'est éligible au refinancement de la banque centrale.

— Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

Note 4. – Opérations avec la clientèle.

 

4.1. Opérations avec la clientèle - analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Créances commerciales

7 674

1 077

 

 

8 751

 

8 751

9 813

Autres concours à la clientèle

264 525

374 604

1 435 161

2 436 026

4 510 316

34 195

4 544 511

4 375 522

Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires débiteurs

26 911

 

 

 

26 911

98

27 009

33 546

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-175 958

-180 651

Valeur nette au bilan

299 110

375 681

1 435 161

2 436 026

4 545 978

34 293

4 404 313

4 238 230

 

Commentaires : Aucun prêt subordonné et participatif ne sont consentis à la clientèle.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 14 115 milliers d'euros.

Parmi les créances sur la clientèle 764 701 milliers d'euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2016 contre 675 065 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

Le montant des créances restructurées au 31 décembre 2016 s'élève à 62 096 milliers d'euros contre 32 208 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

 

4.2. Opérations avec la clientèle — Analyse par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

France (y compris DOM-TOM)

4 216 295

4 060 416

Autres pays de L'U.E.

324 211

320 275

Autres pays d 'Europe

2 019

 

Amérique du Nord

2 507

 

Amérique Centrale et Latine

148

 

Afrique et Moyen-Orient

798

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Non ventilés et organismes internationaux

 

 

Total principal

4 545 978

4 380 691

Créances rattachées

34 293

38 190

Dépréciations

-175 958

-180 651

Valeur nette au bilan

4 404 313

4 238 230

 

4.3. Opérations avec la clientèle — Encours douteux et dépréciations par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (yc DOM-TOM)

4 246 064

180 323

149 437

-117 112

-107 532

4 094 246

202 065

152 223

-125 486

-108 803

Autres pays de L'U.E.

328 702

107 424

84 827

-58 841

-52 074

324 635

103 079

82 461

-55 165

-50 191

Autres pays d'Europe

2 021

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Amérique du Nord

2 538

4

4

-4

 

 

 

 

 

 

Amérique Centrale et Latine

148

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Afrique et Moyen-Orient

798

1

 

-1

 

 

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Non ventilés et organismes internationaux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Total

4 580 271

287 752

234 268

-175 958

-159 606

4 418 881

305 144

234 684

-180 651

-158 994

 

4.4. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

2 309 493

128 418

98 479

-69 348

-61 183

2 137 598

131 449

101 072

-69 490

-60 444

Agriculteurs

351 304

14 763

12 930

-9 744

-8 851

347 939

16 124

12 716

-10 762

-9 274

Autres professionnels

719 627

80 324

70 737

-55 101

-52 487

750 643

95 429

72 375

-58 811

-54 082

Clientèle financière

65 377

1 427

868

-793

-575

53 846

685

532

-576

-423

Entreprises

571 466

56 423

44 895

-34 655

-30 231

540 748

55 071

43 479

-34 741

-30 341

Collectivités publiques

541 800

6 202

6 202

-6 202

-6 202

564 909

6 178

4 326

-6 143

-4 326

Autres agents économiques

21 204

195

157

-115

-77

23 198

208

184

-128

-104

Total

4 580 271

287 752

234 268

-175 958

-159 606

4 418 881

305 144

234 684

-180 651

-158 994

 

Note 5. – Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Transaction

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investissement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

105 213

105 213

106 675

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

1 472

1 472

1 449

Dont décote restant à amortir

 

 

 

-11

-11

-10

Créances rattachées

 

 

 

1 354

1 354

1 339

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

106 567

106 567

108 013

Obligations et autres titres à revenu fixe (1):

 

 

 

 

 

 

Emis par organismes publics

 

 

 

23 283

23 283

23 788

Autres émetteurs

 

6 015

 

132 118

138 133

162 430

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

1 056

1 056

837

Dont décote restant à amortir

 

 

 

-132

-132

-164

Créances rattachées

 

8

 

1 616

1 624

1 749

Dépréciations

 

-11

 

-2 249

-2 260

-3 264

Valeur nette au bilan

 

6 012

 

154 768

160 780

184 703

Actions et autres titres à revenu variable (y compris actions propres)

 

38 936

 

 

38 936

28 927

Créances rattachées

 

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

-41

 

 

-41

 

Valeur nette au bilan

 

38 895

 

 

38 895

28 927

Total

 

44 907

 

261 335

306 242

321 643

Valeurs estimatives

 

45 762

 

279 732

325 494

335 860

(1) : Dont 24 347 milliers d'euros de titres subordonnés (hors créances rattachées) au 31 décembre 2016 et 33 478 milliers d'euros au 31 décembre 2015

 

Aucune cession de titres d'investissement n'est intervenue avant l'échéance conformément aux dispositions dérogatoires prévues à l'article 2341-2 du règlement ANC 2014-07.

Valeurs estimatives :

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 863 milliers d'euros au 31 décembre 2016, contre 502 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d'investissement s'élève à 20 600 milliers d'euros au 31 décembre 2016, contre 16 177 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

 

5.1. Titres de transaction, de placement, d'investissement et titres de l'activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Administration et banques centrales (y compris Etats) (1)

23 283

23 788

Etablissements de crédit

27 806

41 509

Clientèle financière

146 842

147 426

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

2 421

2 422

Divers et non ventilés

 

 

Total en principal

200 352

215 145

Créances rattachées

1 624

1 749

Dépréciations

-2 301

-3 264

Valeur nette au bilan

199 675

213 630

(1) La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée ne détient aucun titre de dettes souveraines en dehors de l'Etat Français.

Pour l'Etat Français, la valeur nette au bilan est de 106 567 milliers d'euros.

 

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

161 416

105 213

38 936

305 565

186 218

106 674

28 927

321 819

Dont titres cotés

62 101

105 213

 

167 314

85 968

106 674

 

192 642

Dont titres non cotés (1)

99 315

 

38 936

138 251

100 250

 

28 927

129 177

Créances rattachées

1 624

1 354

 

2 978

1 749

1 339

 

3 088

Dépréciations

-2 260

 

-41

-2 301

-3 264

 

 

-3 264

Valeur nette au bilan

160 780

106 567

38 895

306 242

184 703

108 013

28 927

321 643

 

Commentaires : (1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

OPCVM français 38 895 milliers d'euros

La répartition de l'ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2016 :

 

(En milliers d'Euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

 

 

OPCVM obligataires

38 895

39 722

OPCVM actions

 

 

OPCVM autres

 

 

Total

38 895

39 722

 

5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

6 484

10 346

48 866

95 720

161 416

1 624

163 040

187 967

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-2 260

-3 264

Valeur nette au bilan

6 484

10 346

48 866

95 720

161 416

1 624

160 780

184 703

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

 

10 201

15 706

79 306

105 213

1 354

106 567

108 013

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

10 201

15 706

79 306

105 213

1 354

106 567

108 013

 

5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Encours bruts

Dont Encours douteux

Encours bruts

Dont Encours douteux

France (y compris DOM-TOM)

239 946

 

251 040

 

Autres pays de l'U.E.

20 105

 

26 684

 

Autres pays d'Europe

 

 

5 000

 

Amérique du Nord

6 578

1 587

10 168

1 719

Amérique Centrale et Latine

 

 

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

Total en principal

266 629

1 587

292 892

1 719

Créances rattachées

2 978

821

3 088

821

Dépréciations

-2 260

-2 249

-3 264

-2 367

Valeur nette au bilan

267 347

159

292 716

173

 

Note 6. – Titres de participation et de filiales.

 

Informations financières

(En milliers d'Euros)

Filiales et participations

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital

Quote-part de capital détenue (en pourcentage)

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1)

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

Brutes

Nettes

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SCI CHATEAU CASTELNOU

EUR

850

1

98,61%

1 202

489

229

 

18

-19

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SAS RUE DE LA BOETIE

EUR

2 616 980

9 359 334

1,32%

252 774

252 774

 

 

509 567

501 995

11 757

SAS SACAM DEVELOPPEMENT

EUR

725 471

 

1,35%

9 883

9 883

4 622

 

35 377

27 580

413

SACAM INTERNATIONAL

EUR

522 023

 

1,32%

11 893

7 881

 

 

15 637

16 943

238

SAS SACAM FIRECA

EUR

22 510

 

1,18%

529

259

 

 

0

-472

 

SAS SOFILARO

EUR

18 374

569

6,97%

1 281

1 281

3

 

0

525

29

SACAM AVENIR

EUR

145 931

 

1,08%

1 570

1 570

 

 

0

-27

 

SAS SACAM PARTICIPATIONS

EUR

62 558

2 804

1,63%

1 184

1 184

 

 

249

1 493

 

FIA-NET EUROPE

EUR

47 185

 

1,16%

545

0

49

 

0

-3 614

 

C2MS

EUR

53 053

 

1,25%

689

689

 

 

0

3 721

48

DELTA

EUR

79 550

 

1,26%

1 000

1 000

 

 

0

-1 570

 

SACAM IMMOBILIER

EUR

139 588

 

1,59%

2 216

2 216

 

 

0

4 180

60

CA-CHEQUES

EUR

2 160

 

4,76%

80

80

 

 

ND

ND

 

SACAM MUTUALISATION

EUR

18 556 677

 

1,02%

189 883

189 883

 

 

ND

ND

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées dans les établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

4 064

3 668

 

 

 

 

56

Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

478 793

472 857

4 903

 

 

 

12 601

(1) Exercices du 31/12/2015

 

6.1. Valeur estimative des titres de participation :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

Titres non cotés

1 202

489

1 202

489

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

229

229

229

229

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

-713

 

-713

 

Valeur nette au bilan

718

718

718

718

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

Titres non cotés

476 493

595 371

274 700

381 695

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

6 261

4 725

6 209

6 209

Créances rattachées

65

65

65

65

Dépréciations

-6 758

 

-6 643

 

Sous-total titres de participation

476 061

600 161

274 331

387 969

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres non cotés

1 098

1 098

2 097

2 097

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

1 098

1 098

2 097

2 097

Valeur nette au bilan

477 159

601 259

276 428

390 066

Total des titres de participation

477 877

601 977

277 146

390 784

 

(En milliers d'euros)

31/12/2016

31/12/2015

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Total valeurs brutes

 

 

 

 

Titres non cotés

478 793

 

277 999

 

Titres cotés

 

 

 

 

Total

478 793

 

277 999

 

 

Les valeurs estimatives sont déterminées d'après la valeur d'utilité des titres ; celle-ci n'est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant la SAS Rue La Boétie, la valeur d’utilité est de 20,45 € au 31/12/2016.

 

Note 7. – Variation de l'actif immobilisé.

 

Immobilisations financières :

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2016

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2016

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

1 202

 

 

 

1 202

Avances consolidables

229

 

 

 

229

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

-713

 

 

 

-713

Valeur nette au bilan

718

 

 

 

718

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

274 700

201 841

-48

 

476 493

Avances consolidables

6 209

11 927

-11 875

 

6 261

Créances rattachées

65

 

 

 

65

Dépréciations

-6 643

-138

23

 

-6 758

Sous-total titres de participation

274 331

213 630

-11 900

 

476 061

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

2 097

 

-999

 

1 098

Avances consolidables

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

2 097

 

-999

 

1 098

Valeur nette au bilan

276 428

213 630

-12 899

 

477 159

Total

277 146

213 630

-12 899

 

477 877

 

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2016

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2016

Immobilisations corporelles :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

139 493

3 413

-9 172

501

134 235

Amortissements et dépréciations

-106 307

-5 453

8 818

 

-102 942

Mali technique de fusion sur immobilisation corporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

 

 

 

 

 

Amortissements et dépréciations

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

33 186

-2 040

-354

501

31 293

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

10 929

14

-6 313

 

4 630

Amortissements et dépréciations

-10 008

-49

6 313

 

-3 744

Mali technique de fusion sur immobilisation incorporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

 

 

 

 

 

Amortissements et dépréciations

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

921

-35

 

 

886

Total

34 107

-2 075

-354

501

32 179

 

Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Autres actifs (1)

 

 

Instruments conditionnels achetés

 

 

Comptes de stock et emplois divers

25 958

30 762

Débiteurs divers (2)

69 379

84 385

Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

Comptes de règlement

6

1

Valeur nette au bilan

95 343

115 148

Comptes de régularisation

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

20 348

11 584

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

1

1

Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

Charges constatées d'avance

8 811

10 301

Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

8 773

9 448

Autres produits à recevoir

26 616

25 297

Charges à répartir

38

63

Autres comptes de régularisation

7 634

231

Valeur nette au bilan

72 221

56 925

Total

167 564

172 073

(1) Les montants incluent les créances rattachées.

(2) Dont 108 milliers d'euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution versée sous forme d'un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention.

 

Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l'actif.

.

(En milliers d'Euros)

Solde au 01/01/2016

Dotations

Reprises et utilisations

Désactualisation

Autres mouvements

Solde au 31/12/2016

Sur opérations interbancaires et assimilées

 

 

 

 

 

 

Sur créances clientèle

180 651

30 304

-33 771

-1 226

 

175 958

Sur opérations sur titres

3 265

945

-1 908

 

 

2 301

Sur valeurs immobilisées

10 789

554

-439

 

 

10 905

Sur autres actifs

34 373

3 425

-10 264

 

 

27 534

Total

229 078

35 229

-46 382

-1 226

 

216 698

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - Analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

2 864

 

 

 

2 864

 

2 864

88

A terme

 

 

 

213

213

 

213

213

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

2 864

 

 

213

3 077

 

3 077

301

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

4 190

 

 

 

4 190

 

4 190

3 458

Comptes et avances à terme

385 692

766 327

812 030

822 795

2 786 844

2 523

2 789 367

2 848 198

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

31

31

 

Valeur nette au bilan

389 882

766 327

812 030

822 795

2 791 034

2 554

2 793 588

2 851 656

Total

392 746

766 327

812 030

823 008

2 794 111

2 554

2 796 665

2 851 957

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale.

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle.

 

11.1. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Comptes ordinaires créditeurs

1 295 069

 

 

 

1 295 069

20

1 295 089

1 128 838

Comptes d'épargne à régime spécial :

12 273

 

 

 

12 273

 

12 273

10 447

A vue

12 273

 

 

 

12 273

 

12 273

10 447

A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes envers la clientèle :

39 305

124 747

271 288

137 836

573 176

6 023

579 199

610 991

A vue

2 037

 

 

 

2 037

 

2 037

1 928

A terme

37 268

124 747

271 288

137 836

571 139

6 023

577 162

609 063

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

1 346 647

124 747

271 288

137 836

1 880 518

6 043

1 886 561

1 750 276

 

11.2. Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Particuliers

870 105

819 242

Agriculteurs

126 140

107 798

Autres professionnels

116 884

111 249

Clientèle financière

22 680

13 453

Entreprises

654 192

612 395

Collectivités publiques

21 664

18 356

Autres agents économiques

68 853

61 078

Total en principal

1 880 518

1 743 572

Dettes rattachées

6 043

6 703

Valeur nette au bilan

1 886 561

1 750 276

 

Note 12. – Dettes représentées par un titre.

 

12.1. Dettes représentées par un titre - analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Bons de caisse

34

 

 

 

34

2

36

76

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres de créances négociables (1)

 

 

 

150 000

150 000

271

150 271

150 264

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

34

 

 

150 000

150 034

273

150 307

150 340

 

Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Autres passifs (1) :

 

 

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

Instruments conditionnels vendus

 

 

Comptes de règlement et de négociation

 

 

Créditeurs divers

28 949

29 635

Versements restant à effectuer sur titres

 

135

Valeur au bilan

28 949

29 770

Comptes de régularisation :

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

8 507

6 239

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits constatés d'avance

22 136

17 813

Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

8 480

8 801

Autres charges à payer

25 377

24 861

Autres comptes de régularisation

9 918

2 121

Valeur au bilan

74 418

59 835

Total

103 367

89 605

(1) Les montants incluent les dettes rattachées.

 

Note 14. – Provisions.

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2016

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Solde au 31/12/2016

Provisions pour engagements de retraite et assimilés

91

 

 

-19

72

Provisions pour autres engagements sociaux

595

67

 

-45

617

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

1 518

611

 

-1 391

738

Provisions pour litiges fiscaux (1)

8

2 652

-2 634

-18

8

Provisions pour autres litiges

139

71

-9

-17

184

Provision pour risques pays

 

 

 

 

 

Provisions pour risques de crédit (2)

47 322

4 533

 

-8 446

43 409

Provisions pour restructurations

 

 

 

 

 

Provisions pour impôts

 

 

 

 

 

Provisions sur participations

 

 

 

 

 

Provisions pour risques opérationnels (3)

2 178

607

-1 344

-172

1 269

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (4)

4 977

1 853

 

 

6 830

Autres provisions (5)

9 815

1 850

-1 323

-943

9 399

Valeur au bilan

66 643

12 244

-5 310

-11 051

62 526

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II.

(3) Cette provision est destinée à couvrir les risques d'insuffisance de conception, d'organisation et de mise en œuvre des procédures d'enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d'information de l'ensemble des événements relatifs aux opérations de l'établissement.

(4) Voir note 15 ci-après

(5) Y compris les provisions pour risques sur GIE d'investissement.

 

Note 15. – Épargne logement.

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d'épargne-logement sur la phase d'épargne :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Plans d'Epargne-logement

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

370 565

315 507

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

237 646

238 667

Ancienneté de plus de 10 ans

202 751

214 477

Total plans d'Epargne-logement

810 963

768 651

Total comptes Epargne-logement

68 124

70 206

Total encours collectes au titre des contrats Epargne-logement

879 087

838 857

 

L'ancienneté est déterminée conformément au Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état.

 

Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d'Epargne-logement :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Plans d'épargne-logement

1 115

1 564

Comptes épargne-logement

4 289

5 863

Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

5 444

7 427

 

Provision au titre des comptes et plans d'Epargne-logement :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Plans d'Epargne-logement

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

2 658

1 722

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

1 336

878

Ancienneté de plus de 10 ans

2 836

2 377

Total plans d'Epargne-logement

6 830

4 977

Total comptes Epargne-logement

 

 

Total provision au titre des contrats Epargne-logement

6 830

4 977

 

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2016

Dotations

Reprises

31/12/2016

Plans d'épargne-logement

4 977

1 853

 

6 830

Comptes épargne-logement

 

 

 

 

Total provision au titre des contrats épargne-logement

4 977

1 853

 

6 830

 

La dotation de la provision épargne logement au 31 décembre 2016 est liée à l'actualisation des paramètres de calcul et notamment à la baisse de la marge collecte.

 

Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs à l'emploi, régimes à prestations définies.

 

— Les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l'emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

— Les régimes à prestations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi autres que les régimes à cotisations définies.

— Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n'aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n'a pas suffisamment d'actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l'exercice et les exercices antérieurs.

 

Variations de la dette actuarielle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Dette actuarielle au 31/12/N-1

16 374

16 800

Coût des services rendus sur l'exercice

1 098

1 303

Coût financier

328

248

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

-204

Variation de périmètre

-69

-128

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-571

-1 278

(Gains) / pertes actuariels

1 334

-367

Dette actuarielle au 31/12/n

14 493

16 374

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Coût des services rendus

1 098

1 303

Coût financier

328

248

Rendement attendu des actifs

-302

-229

Coût des services passés

 

-204

Amortissement des (Gains) / pertes actuariels net

117

149

(Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes

 

 

(Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 240

1 267

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/N-1

14 893

14 687

Rendement attendu des actifs

302

228

Gains / (pertes) actuariels

 

98

Cotisations payées par l'employeur

1 259

1 286

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

-69

-128

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations payées par le fonds

-571

-1 278

Juste valeur des actifs / droits a remboursement au 31/12/n

15 813

14 893

 

Composition des actifs des régimes — Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de :

— 84,1 % d'obligations

— 9,6 % d'actions

— 6,3 % d'autres produits.

Les actifs des régimes sont constitués de polices d'assurance éligibles.

 

Variations de la provision :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Dette actuarielle au 31/12/N

-18 493

-16 373

Impact de la limitation d'actifs (Gains) / pertes actuariels restant à étaler

2 607

1 389

Juste valeur des actifs fin de période

15 813

14 893

Position nette (passif) / actifs au 31/12/N

-72

-91

 

Rendement des actifs des régimes :

Le rendement attendu des actifs de régime est de 1,96 %.

Hypothèses actuarielles utilisées :

Au 31 décembre 2016, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50 BP des taux d'actualisation conduirait à une baisse de l'engagement de - 1,8 % ;

— Une variation de moins de 50 BP des taux d'actualisation conduirait à une hausse de l'engagement de +2 %.

 

Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Fonds pour risques bancaires généraux

34 557

27 557

Valeur au bilan

34 557

27 557

 

Note 18. – Dettes subordonnées : Analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Dettes subordonnées à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

15 000

 

15 000

482

15 482

15 480

Dettes subordonnées à durée indéterminée (1)

 

 

 

 

 

 

 

 

C/C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

6 300

6 300

113

6 413

6 384

Dépôts de Garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

 

 

 

6 300

21 300

595

21 895

21 864

(1) Durée résiduelle des dettes subordonnées à durée indéterminée positionnées par défaut en > 5 ans.

 

Commentaires :

Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 1 069 milliers d'euros au 31 décembre 2016 contre 1 037 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

 

Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition).

 

(En milliers d'Euros)

Capitaux propres

Capital

Réserve légale

Réserve statutaire

Primes, autres réserves et report à nouveau

Ecarts conversion/réeval.

Provisions réglementées & subventions d'invest.

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 Décembre 2014

28 057

337 394

22 884

243 117

0

0

23 961

655 413

Dividendes versés au titre de 2014

 

 

 

 

 

 

-2 195

-2 195

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2014

 

16 325

 

5 441

 

 

-21 766

0

Report à nouveau

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat de l’exercice 2015

 

 

 

 

 

 

31 579

31 579

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

0

Solde au 31 Décembre 2015

28 057

353 719

22 884

248 558

0

0

31 579

684 796

Dividendes versés au titre de 2015

 

 

 

 

 

 

-2 747

-2 747

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2015

 

21 624

 

7 208

 

 

-28 832

0

Report à nouveau

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat de l’exercice 2016

 

 

 

 

 

 

29 430

29 430

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

Solde au 31 décembre 2016

28 057

375 343

22 884

255 766

0

0

29 430

711 479

 

Commentaires :

– Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros de primes de fusion.

– Dont 7 014 milliers d'euros émission de Certificats Coopératifs d'Association souscrit par Sacam Mutualisation.

 

Note 20. – Composition des fonds propres.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Capitaux propres

711 479

684 796

Fonds pour risques bancaires généraux

34 557

27 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 895

21 864

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

Total des fonds propres

767 931

734 217

 

Note 21. – Opérations effectuées en devises.

 

Contributions par devise au bilan :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

5 871 849

5 682 243

5 770 645

5 571 242

Autres devises de l’Union Europ.

93

93

73

73

Franc suisse

 

 

 

 

Dollar

865

865

972

972

Yen

 

 

 

 

Autres devises

271

271

222

222

Valeur brute

5 873 078

5 683 472

5 771 912

5 572 509

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

110 976

83 885

100 204

70 529

Dépréciations

-216 697

 

-229 078

 

Total

5 767 357

5 767 357

5 643 038

5 643 038

 

Note 22. – Opérations de change, prêts et emprunts en devises.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

A recevoir

A livrer

A recevoir

A livrer

Opérations de change au comptant

 

 

 

 

Devises

 

 

 

 

Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

1 593

1 589

2 679

2 672

Devises

804

804

1 346

1 346

Euros

789

785

1 333

1 326

Prêts et emprunts de devises

 

 

 

 

Total

1 593

1 589

2 679

2 672

 

Note 23. – Opérations sur instruments financiers à terme.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total

Total

Opérations fermes

1 832 705

11 013

1 843 718

1 838 677

Opérations sur marchés organisés (1)

 

 

 

 

Contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

Contrats à terme de change

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Opérations de gré à gré (1)

1 832 705

11 013

1 843 718

1 838 677

Swaps de taux d'intérêt

1 832 705

11 013

1 843 718

1 838 677

Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

Contrats à terme de change

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Opérations conditionnelles

 

 

 

 

Opérations sur marchés organisés

 

 

 

 

Instruments de taux d'intérêt à terme

 

 

 

 

Instruments sur action et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Autres instruments à terme conditionnels

 

 

 

 

Opérations de gré à gré

 

 

 

 

Options de swap de taux

 

 

 

 

Instruments de taux d'intérêts à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Instruments sur actions et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Autres instruments à terme conditionnels

 

 

 

 

Dérivés de crédit

 

 

 

 

Contrats de dérivés de crédit

 

 

 

 

Total

1 832 705

11 013

1 843 718

1 838 677

(1) Les montants indiqués sur les opérations fermes correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats).

 

23.1 Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

Total 31/12/2016

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

170 150

883 543

790 025

170 150

883 543

790 025

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

170 150

883 543

790 025

170 150

883 543

790 025

 

 

 

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

3 183

 

 

3 183

 

 

 

 

 

Sous total

3 183

 

 

3 183

 

 

 

 

 

Total

173 333

883 543

790 025

173 333

883 543

790 025

 

 

 

 

(En milliers d'Euros)

Total 31/12/2015

dont opérations effectuées de gré à gré

dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

250 000

765 833

822 844

250 000

765 833

822 844

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

250 000

765 833

822 844

250 000

765 833

822 844

 

 

 

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

5 350

 

 

5 350

 

 

 

 

 

Sous total

5 350

 

 

5 350

 

 

 

 

 

Total

255 350

765 833

822 844

255 350

765 833

822 844

 

 

 

 

23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur :

 

(En milliers d'Euros)

Juste Valeur Positive au 31/12/2016

Juste Valeur Négative au 31/12/2016

Encours Notionnel au 31/12/2016

Total Juste Valeur au 31/12/2015

Encours Notionnel au 31/12/2015

Futures

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt (1)

100 445

123 206

1 843 718

-20 485

1 838 677

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

Sous total

100 445

123 206

1 843 718

-20 485

1 838 677

Swaps de devises

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

1 593

1 589

3 183

ND

5 350

Sous total

1 593

1 589

3 183

 

5 350

Total

102 038

124 795

1 846 901

-20 485

1 844 027

(1) Coupons courus inclus

 

23.3 Information sur les Swaps

— Ventilation des contrats d'échange de taux d'intérêt :

 

(En milliers d'Euros)

Position ouverte isolée

Micro-couverture

Macro-couverture

Swaps de transaction

Contrats d'échange de taux

11 013

331 968

1 500 737

 

Contrats assimilés (1)

 

 

 

 

(1) Il s’agit des contrats assimilés au sens de l’article 2521-1 du règlement ANC 2014-07.

 

Note 24. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits dérives.

 

L'évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l'établissement mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l'application de facteurs de majoration (add-on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante :

 

Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel (*)

Total risque de contrepartie

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Risques sur les gouvernements et banques centrales de l’OCDE et organismes assimilés

 

 

 

 

 

 

Risques sur les établissements financiers de l’OCDE et organismes assimilés

99 916

8 340

108 256

107 240

16 100

123 340

Risques sur les autres contreparties

638

83

721

653

90

743

Total avant effet des accords de compensation

100 554

8 423

108 977

107 893

16 190

124 083

Dont risques sur contrats de :

 

 

 

 

 

 

Taux d'intérêt, change et matières premières

100 445

8 423

108 868

107 731

16 190

123 921

Dérivés actions et sur indices

 

 

 

 

 

 

Total avant effet des accords de compensation

100 445

8 423

108 868

107 731

16 190

123 921

Incidences des accords de compensation et de collatérisation

 

 

 

 

 

 

Total après effet des accords de compensation et de collaterisation

100 554

8 423

108 977

107 893

16 190

124 083

(*) Calculé selon les normes prudentielles Bâle 2

 

Note 25. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Engagements donnés

 

 

Engagements de financement

382 706

428 998

Engagements en faveur d'établissements de crédit

1 100

29 359

Engagements en faveur de la clientèle

381 606

399 639

Ouverture de crédits confirmés

173 191

196 295

Ouverture de crédits documentaires

28

141

Autres ouvertures de crédits confirmés

173 163

196 154

Autres engagements en faveur de la clientèle

208 415

203 344

Engagements de garantie

205 536

409 697

Engagements d'ordre d'établissement de crédit (1)

126 057

327 397

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

48

48

Autres garanties

126 009

327 349

Engagements d'ordre de la clientèle

79 479

82 300

Cautions immobilières

16 137

16 750

Autres garanties d'ordre de la clientèle

63 342

65 550

Engagements sur titres

 

 

Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements à donner

 

 

Engagements reçus

 

 

Engagements de financement

24 466

33 768

Engagements reçus d'établissements de crédit

24 466

33 768

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

1 030 228

873 630

Engagements reçus d'établissements de crédit

106 634

82 107

Engagements reçus de la clientèle

923 594

791 523

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

211 091

189 960

Autres garanties reçues

712 503

601 563

Engagements sur titres

 

 

Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements reçus

 

 

(1) Dont 126 009 milliers d'euros relatifs à la garantie (Switch Assurance) mise en place le 1er juillet 2016, en amendement de la garantie précédente octroyée le 2 janvier 2014 pour 327 349 milliers d'euros.

 

Note 26. – Actifs donnes et reçus en garantie.

 

Créances apportées en garantie. — Au cours de l'année 2016, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 1 269 478 milliers d'euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 302 995 milliers d'euros en 2015. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté :

— 761 194 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 744 852 milliers d'euros en 2015;

— 153 898 milliers d'euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 169 464 milliers d'euros en 2015;

— 354 386 milliers d'euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 388 679 milliers d'euros en 2015.

 

Note 27. – Produits nets d'intérêts et revenus assimilés.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Sur opérations avec les établissements de crédit

404

523

Sur opérations internes au Crédit Agricole

12 133

13 929

Sur opérations avec la clientèle

138 402

155 425

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

4 561

5 080

Produit net sur opérations de macro-couverture

 

 

Sur dettes représentées par un titre

6 263

5 118

Autres intérêts et produits assimilés

775

374

Intérêts et produits assimilés

162 538

180 449

Sur opérations avec les établissements de crédit

-512

-547

Sur opérations internes au Crédit Agricole

-34 959

-35 160

Sur opérations avec la clientèle

-27 915

-28 605

Charge nette sur opérations de macro-couverture

-3 151

-4 466

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Sur dettes représentées par un titre

-11 772

-10 733

Autres intérêts et charges assimilées

-93

-25

Intérêts et charges assimilées

-78 402

-79 536

Total produits nets d'intérêts et revenus assimiles (1)

84 136

100 913

 

Le montant des charges nettes d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2016 est de 1 069 milliers d'euros, il était de 1 037 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d'opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques.

 

Note 28. – Revenus des titres.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme

12 866

7 889

Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille

 

 

Opérations diverses sur titres

 

 

Total des revenus des titres a revenus variables

12 866

7 889

 

Note 29. – Produit net des commissions.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

88

-48

40

137

-50

87

Sur opérations internes au crédit agricole

5 433

-12 013

-6 580

7 162

-10 361

-3 199

Sur opérations avec la clientèle

17 790

-181

17 609

18 139

-177

17 962

Sur opérations sur titres

 

 

 

 

 

 

Sur opérations de change

7

 

7

6

 

6

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

 

 

 

 

 

 

Sur prestations de services financiers (1)

52 659

-5 441

47 218

48 279

-5 218

43 061

Provision pour risques sur commissions

148

-152

-4

149

-145

4

Total produit net des commissions

76 125

-17 835

58 290

73 872

-15 951

57 921

(1) Dont prestations assurance-vie : 10 128 milliers d'euros.

 

Note 30. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

136

136

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

53

-18

Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations

189

118

 

Note 31. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Titres de placement

 

 

Dotations aux provisions

-41

-439

Reprises de provisions

886

214

Dotations ou reprises nettes aux provisions

845

-225

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des opérations sur titres de placement

845

-225

Titres de l'activité de portefeuille

 

 

Dotations aux provisions

 

 

Reprises de provisions

 

 

Dotations ou reprises nettes aux provisions

 

 

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille

 

 

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimiles

845

-225

 

Note 32. – Autres produits et charges d'exploitation bancaire.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Produits divers

3 397

1 093

Quote part des opérations faites en commun

 

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Reprises provisions

 

 

Autres produits d'exploitation bancaire

3 397

1 093

Charges diverses

-90

-82

Quote part des opérations faites en commun

-248

-273

Refacturation et transfert de charges

 

 

Dotations provisions

 

 

Autres charges d'exploitation bancaire

-338

-355

Total autres produits et charges d'exploitation bancaire

3 059

738

 

Note 33. – Charges générales d'exploitation.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Frais de personnel

 

 

Salaires et traitements

-33 942

-33 926

Charges sociales

-15 628

-15 468

- dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies

-3 626

-3 534

Intéressement et participation

-4 953

-5 242

Impôts et taxes sur rémunérations

-6 108

-6 265

Total des charges de personnel

-60 631

-60 901

Refacturation et transferts de charges de personnel

2 536

3 071

Frais de personnel nets

-58 095

-57 830

Frais administratifs

 

 

Impôts et taxes (1)

-5 373

-4 546

Services extérieurs et autres frais administratifs

-34 284

-32 621

Total des charges administratives

-39 657

-37 167

Refacturation et transferts de charges administratives

412

554

Frais administratifs nets

-39 245

-36 613

Charges générales d'exploitation

-97 340

-94 443

(1) Dont 513 milliers d'euros au titre du fonds de résolution.

 

Crédit d'Impôt pour la Compétitivité et l'Emploi (CICE). — Au titre de l'exercice écoulé et des exercices 2015, 2014 et 2013, un montant de 5 287 milliers d'euros a été accordé à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (respectivement pour 1 432K€, 1 456K€, 1 420K€ et 979K€).

 

Effectif moyen

— Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) :

 

Catégories de personnel

31/12/2016

31/12/2015

Cadres

150

147

Non cadres

775

782

Total de l'effectif moyen

925

929

Dont : - France

909

913

Etranger

16

16

Dont : personnel mis à disposition

1

1

 

La rémunération des organes de Direction et d'administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l'institution.

Le montant global des rémunérations des organes d'administration et de direction s'élève à 1 619 milliers d’euros.

 

Note 34. – Coût du risque.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Dotations aux provisions et dépréciations

-38 579

-42 085

Dépréciations de créances douteuses

-29 445

-31 660

Autres provisions et dépréciations

-9 134

-10 425

Reprises de provisions et dépréciations

52 181

49 873

Reprises de dépréciations de créances douteuses (1)

30 462

38 253

Autres reprises de provisions et dépréciations (2)

21 719

11 620

Variation des provisions et dépréciations

13 602

7 788

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3)

-443

-2 292

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4)

-22 063

-15 754

Décote sur prêts restructurés

-1

 

Récupérations sur créances amorties

364

632

Autres pertes

-636

-685

Autres produits

 

1 874

Cout du risque

-9 177

-8 437

(1) Dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses compromises : 11 234 milliers d'euros

Dont utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromises : 10 823 milliers d'euros

(2) Dont 608 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif

(3) Dont 9 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises

(4) Dont 11 234 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises

 

Note 35. – Résultat net sur actifs immobilisés.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Immobilisations financières

 

 

Dotations aux dépréciations

-139

-354

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-139

-354

Reprises de dépréciations

23

592

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

23

592

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-116

238

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-116

238

Plus-values de cessions réalisées

1

6

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

1

6

Moins-values de cessions réalisées

-8

-2

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-8

-2

Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cessions

-7

4

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-7

4

Solde en perte ou en bénéfice

-123

242

Immobilisations corporelles et incorporelles

 

 

Plus-values de cessions

16

 

Moins-values de cessions

-341

-710

Solde en perte ou en bénéfice

-325

-710

Résultat net sur actifs immobilises

-448

-468

 

Note 36. – Charges et produits exceptionnels.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l'exercice 2016.

 

Note 37. – Impôt sur les bénéfices.

 

Cet agrégat comprend la charge relative à l'impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l'exercice s'élève à 10 903 K€.

Intégration fiscale :

Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d'impôt résultant de la réallocation de l'économie d'IS liées aux dividendes intragroupe pour 413 K€.

 

Note 38. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur "banque de proximité en France", toutefois il convient de noter l'activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

 

38.1 Résultat courant par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

155 804

-94 788

-4 960

56 056

-4 195

51 861

-107

51 754

Autres pays de l'u.E.

3 581

-2 551

-128

902

-4 982

-4 080

-341

-4 421

Résultat courant avant impôt

159 385

-97 339

-5 088

56 958

-9 177

47 781

-448

47 333

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

162 252

-91 989

-5 767

64 496

-3 027

61 469

242

61 711

Autres pays de l'u.E.

5 102

-2 438

-144

2 520

-5 412

-2 892

-710

-3 602

Résultat courant avant impôt

167 354

-94 427

-5 911

67 015

-8 439

58 577

-468

58 109

 

Note 39. – Affectation des résultats.

 

Résultat de l'exercice à affecter

29 429 537,89 €

Distribué

2 747 175,63 €

Intérêts aux parts au taux de 1,25%

263 037,91 €,

aux Caisses locales

263 03314 €

autres souscripteurs

4,77 €

Rémunération des CCA

2 207 215,34 €

Conservé

26 959 284,64 €

Réserve légale

20 219 463,48 €

Autres réserves

6 739 821,16 €

 

Note 40. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un Etat ou un territoire non coopératif au sens de l'article 238-0 A du Code général des impôts.

 

Note 41. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

 

Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée :

 

(En milliers d'Euros hors taxes)

Ernst & young

%

KPMG

%

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (*)

119

59,5%

81

40,5%

Sous-total

119

59,5%

81

40,5

Autres services

 

 

 

 

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du commissaire aux comptes

 

 

 

 

Sous-total

0

0%

0

0%

Autres prestations

 

 

 

 

Sous-total

0

0%

0

0%

Services autres que la certification des comptes

 

 

 

 

Total

119

59,5%

81

40,5

(*) y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes

 

———————

 

IV. — Rapport des Commissaires aux comptes sur les comptes annuels.

 

Aux Sociétaires,

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2016, sur :

 

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d’ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de votre caisse régionale à la fin de cet exercice.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

Estimations comptables :

— Comme indiqué dans les notes 2.1 et 14 de l’annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et des provisions individuelles et collectives.

— Les parts dans les entreprises liées, les titres de participation et les autres titres détenus à long terme sont évalués par votre caisse régionale à leur valeur d’utilité en retenant une approche fondée sur les modalités décrites dans la note 2.2 de l’annexe. Dans le cadre de notre appréciation de ces estimations, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner les éléments ayant conduit à la détermination des valeurs d’utilité pour les principales lignes du portefeuille.

— Votre caisse régionale détient des titres en portefeuille. La note 2.2 de l’annexe expose les règles et les méthodes comptables relatives à ces titres. Sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre caisse régionale et des informations fournies dans les notes annexes et nous avons vérifié leur correcte application.

— Votre caisse régionale procède à d’autres estimations dans le cadre habituel de la préparation de ses comptes annuels qui portent, notamment, sur les engagements en matière de retraite et d’indemnités de fin de carrière. Nous avons revu les hypothèses retenues et vérifié que ces estimations comptables s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans les notes 2.13 et 16 de l’annexe.

Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

3. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

 

Nous n’avons pas d’observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d’administration et dans les documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Labège et Toulouse, le 8 mars 2017.

 

Les Commissaires aux comptes :

 

Rapport de gestion.

 

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale Sud Méditerranée, 30, rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

B. — Comptes consolidés 31 décembre 2016.

Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 10 Février 2017 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 24 Mars 2017

 

Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers

 

I. — Cadre général

Présentation juridique de l’entité.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à PERPIGNAN, 30, rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335 et fait partie du groupe Crédit Agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole.

 

Un Groupe bancaire d’essence mutualiste. — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités.

Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 9,2 millions de sociétaires qui élisent quelques 30 902 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice.

La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie.

 

La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

 

Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R.512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L.511-31 et article L.511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole, au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. peut prendre toute mesure nécessaire, notamment pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

 

L’opération de simplification du groupe Crédit Agricole annoncée le 17 février 2016 a été réalisée le 3 août 2016. L’essentiel des Certificats Coopératifs d’Investissement (« CCI ») et les Certificats Coopératifs d’Associé (« CCA ») des Caisses régionales détenus par Crédit Agricole S.A. ont été cédés dans une holding (« Sacam Mutualisation ») conjointement détenue par les Caisses régionales.

(Cf. note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période", paragraphe "Opération de simplification capitalistique du groupe Crédit Agricole").

 

Relations internes au Crédit Agricole.

 

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe.

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit » ou « Dettes envers les établissements de crédit ».

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

Enregistrer

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453.

Le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l’année 2014 (directive BRRD, transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015, qui a également adapté le droit français au règlement sur le mécanisme de résolution unique) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit.

Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient.

Ce dispositif de résolution ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution, dans la mesure où, en tant qu’organe central, il doit prendre toute mesure nécessaire pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque membre du Réseau comme de l’ensemble. Ainsi, chaque membre du Réseau (en ce compris Crédit Agricole S.A.) bénéficie de cette solidarité financière interne.

L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du Réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution.

Dans la conduite de son action en tant qu’autorité de résolution, le Conseil de Résolution Unique doit respecter le principe fondamental selon lequel aucun créancier ne doit, en résolution, subir de pertes plus importantes que celles qu’il aurait subies si l’entité concernée avait été liquidée selon une procédure normale d’insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation – NCWOL – prévu à l’article L.613-57-I du Code monétaire et financier et à l’article 73 de la directive BRRD). La nécessité de respecter ce principe conduit Crédit Agricole S.A. à considérer que l’existence de la garantie accordée en 1988 par les Caisses régionales au bénéfice des créanciers de Crédit Agricole S.A. devra être prise en compte par le Conseil de Résolution Unique, sans qu’il soit possible de préjuger des modalités de cette prise en compte.

 

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) : L’opération de simplification de la structure du Groupe s’est traduite par la cession des participations CCI/CCA détenues par Crédit Agricole S.A. à une société intégralement détenue par les Caisses régionales, SACAM Mutualisation (Cf. note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période", paragraphe "Opération de simplification capitalistique du groupe Crédit Agricole"), Crédit Agricole S.A. n’étant plus au capital des des Caisses régionales à l’issue de l’opération (à l’exception de 4 caisses régionales pour lesquelles Crédit Agricole SA a conservé une partie marginale des CCA pour des raisons juridiques) ; celle-ci s’est accompagnée de la signature de deux avenants à la Convention Cadre de la garantie Switch.

Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 complété par un premier avenant signé le 19 décembre 2013 et amendé par deux avenants en 2016 respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3), s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les nouvelles garanties ont pris effet rétroactivement le 1er juillet 2016, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée totale ou partielle ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat.

A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant.

Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant désormais aux participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA), celles-ci étant mises en équivalence pour les besoins prudentiels : on parle désormais des garanties Switch Assurance. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme.

Ainsi les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de valeur de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement, en cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, pourrait restituer les indemnisations préalablement perçues.

 

Sur le plan prudentiel :

— Crédit Agricole S.A. réduit ses exigences de capital à proportion du montant des garanties accordées par les Caisses régionales ;

— Les Caisses régionales constatent symétriquement des exigences de capital égales à celles économisées par Crédit Agricole S.A.

Ce dispositif, qui est neutre au niveau du groupe Crédit Agricole, permet de rééquilibrer l’allocation en fonds propres entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales.

 

Sur le plan comptable :

Les garanties s’analysent en substance comme des contrats d’assurance du fait de l’existence d’un risque d’assurance au sens de la norme IFRS 4.

La norme IFRS 4 permet à l’émetteur d’un contrat d’assurance, de recourir aux principes comptables déjà appliqués pour des garanties données similaires, sous réserve d’effectuer un test de suffisance du passif selon les modalités visées par le paragraphe 14(b) de la norme.

Par conséquent, le traitement comptable des garanties est assimilable à celui d’une garantie donnée à première demande et leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. Dans le cas où il existerait des perspectives de perte nette à l'échéance après prise en compte d’hypothèse raisonnables de retour à meilleure fortune, une provision serait à doter, en Coût du risque, conformément aux exigences du test de suffisance du passif. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seraient respectivement reconnus en Coût du risque.

Il convient de noter que l’activation des garanties Switch Assurance est semestrielle et s’apprécie sur la base des variations semestrielles de la Valeur de Mise en Equivalence des participations détenues dans Crédit Agricole Assurance. Lors des arrêtés trimestriels, les Caisses régionales sont tenues d’estimer s’il existe un risque d’indemnisation et de le provisionner le cas échéant ; en cas de retour probable à meilleure fortune, aucun produit ne peut être comptabilisé, celui-ci n’étant pas certain. Lors des arrêtés semestriels et si les conditions sont vérifiées, les Caisses régionales comptabilisent les effets de l’activation des garanties sous forme d’appel ou de retour à meilleure fortune.

 

Informations relatives aux parties liées. — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2016 et aux dirigeants. Celui-ci est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée, du compartiment de la Caisse Régionale dans le FCT Crédit Agricole Habitat 2015 et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales.»

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 6 300 K€.

 

II. — États financiers consolidés.

1. — Compte de résultat.

 

(En milliers d'Euros)

Notes

31/12/2016

31/12/2015

Intérêts et produits assimilées

4.1

181 317

198 300

Intérêts et charges assimilées

4.1

-89 941

-96 105

Commissions (produits)

4.2

76 033

73 855

Commissions (charges)

4.2

-17 843

-15 953

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

-1 175

-1 180

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4-6.4

12 617

7 578

Produits des autres activités

4.5

1 772

1 791

Charges des autres activités

4.5

-1 437

-2 160

Produit net bancaire

 

161 343

166 126

Charges générales d'exploitation

4.6-7.1-7.4-7.6

-97 482

-94 400

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-4 855

-5 687

Résultat brut d’exploitation

 

59 006

66 039

Coût du risque

4.8

-8 378

-8 695

Résultat d'exploitation

 

50 628

57 344

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

15

 

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impôt

 

50 643

57 344

Impôts sur les bénéfices

4.10

-15 680

-16 900

Résultat net d'impôt des activités abandonnées

 

 

 

Résultat net

 

34 963

40 444

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Résultat net – part du groupe

 

34 963

40 444

 

2. — Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

 

(En milliers d'Euros)

Notes

31/12/2016

31/12/2015

Résultat net

 

34 963

40 444

Gains et pertes actuariels sur avantages post-emploi

4.11

-1 334

465

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entreprises mises en équivalence

 

-1 334

465

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, des entreprises mises en équivalence

4.11

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence

4.11

213

-159

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence

4.11

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées

4.11

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

 

-1 121

306

Gains et pertes sur écarts de conversion

4.11

0

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

4.11

771

2 384

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

4.11

227

242

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entreprises mises en équivalence

 

998

2 626

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables part du Groupe, des entreprises mises en équivalence

4.11

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence

4.11

-199

-190

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence

4.11

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées

4.11

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

4.11

799

2 436

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

4.11

-322

2 742

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

34 641

43 186

Dont part du Groupe

 

34 641

43 186

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

3. — Bilan.

(En milliers d'Euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2016

31/12/2015

Caisse, banques centrales

6.1

32 215

33 368

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

6 156

6 306

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

99 916

107 240

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.8

519 506

307 911

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5

347 730

567 435

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5

4 512 216

4 339 239

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

59 194

67 307

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

6.6-6.9

163 280

188 595

Actifs d'impôts courants et différés

6.13

25 207

23 654

Comptes de régularisation et actifs divers

6.14

140 294

149 084

Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées

 

 

 

Participation aux bénéfices différée

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

Immeubles de placement

6.15

4 791

4 399

Immobilisations corporelles

6.16

26 625

28 931

Immobilisations incorporelles

6.16

885

921

Écarts d'acquisition

 

 

 

Total de l'actif

 

5 938 015

5 824 390

 

Passif

Notes

31/12/2016

31/12/2015

Banques centrales

6.1

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

638

653

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

122 677

127 725

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.10

2 788 892

2 848 499

Dettes envers la clientèle

3.1-3.3-6.10

1 885 101

1 749 197

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.11

159 413

158 992

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

73 071

79 286

Passifs d'impôts courants et différés

6.13

127

2 739

Comptes de régularisation et passifs divers

6.14

94 477

78 163

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

Provisions

6.17

21 574

20 549

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.11

15 444

15 418

Total dettes

 

5 161 414

5 081 221

Capitaux propres

 

776 601

743 169

Capitaux propres - part du Groupe

 

776 601

743 169

Capital et réserves liées

 

159 950

158 524

Réserves consolidées

 

578 131

540 322

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

3 557

3 879

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur activités abandonnées

 

 

 

Résultat de l'exercice

 

34 963

40 444

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Total du passif

 

5 938 015

5 824 390

 

4. — Tableau de variation des capitaux propres.

 

(En milliers d'Euros)

Part du Groupe

Capital et réserves liées

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Résultat net

Capitaux propres

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital (1)

Élimination des titres autodétenus

Autres instruments de capitaux propres

Total Capital et Réserves consolidées

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Capitaux propres au 1er janvier 2015

27 552

671 908

 

 

699 460

3 284

-2 147

1 137

0

700 597

Augmentation de capital

1 347

 

 

 

1 347

 

 

 

 

1 347

Variation des titres autodétenus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Emissions d'instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dividendes versés en 2015

 

-2 172

 

 

-2 172

 

 

 

 

-2 172

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mouvements liés aux paiements en actions

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

1 347

-2 172

 

 

-825

 

 

 

 

-825

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

 

 

2 436

306

2 742

 

2 742

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres hors résultat des entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat 2014

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

40 444

40 444

Autres variations

 

211

 

 

211

 

 

 

211

211

Capitaux propres au 31 décembre 2015

28 889

669 947

0

0

698 846

5 720

-1 841

3 879

40 444

743 169

Affectation du résultat 2015

 

40 444

 

 

40 444

 

 

 

40 444

 

Capitaux propres au 01 janvier 2016

28 899

710 391

0

0

739 290

5 720

-1 841

3 879

0

743 169

Augmentation de capital

1 426

 

 

 

1 426

 

 

 

 

1 426

Rémunération des émissions d'instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dividendes versés en 2016

 

-2 735

 

 

-2 735

 

 

 

 

-2 735

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mouvements liés aux paiements en actions

 

100

 

 

100

 

 

 

 

100

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

1 426

-2 635

 

 

-1 209

 

 

 

 

-1 209

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

 

 

799

-1 121

-322

 

-322

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres hors résultat des entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

 34 963

34 963

Capitaux propres au 31 décembre 2016

30 325

707 756

0

0

738 081

6 519

-2 962

3 557

34 963

776 601

(1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'auto-contrôle.

 

5. — Tableau des flux de trésorerie.

 

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée y compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans cette rubrique.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Résultat avant impôt

50 643

57 344

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

4 855

5 687

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

-2 000

6 055

Quote-part de résultat liée aux entreprises mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

-8

-4

Résultat net des activités de financement

956

953

Autres mouvements

5 109

1 512

TOTAL des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

8 912

14 203

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

107 095

-31 929

Flux liés aux opérations avec la clientèle

-48 955

106 285

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

14 099

-12 794

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

28 103

4 966

Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-19 769

-15 889

Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

80 573

50 639

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A)

140 128

122 186

Flux liés aux participations (1)

-190 058

-1 088

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-2 591

-3 370

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissement (B)

-192 649

-4 458

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2)

-1 309

-825

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement

-930

-929

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement (C)

-2 239

-1 754

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D)

-54 760

115 974

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

208 664

92 686

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

33 367

33 638

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

175 297

59 048

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

153 896

208 664

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

32 215

33 367

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

121 681

175 297

Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie

-54 768

115 978

* Composé du solde net du poste Caisse et banques centrales, hors intérêts courus et y compris trésorerie des entités reclassées en activités abandonnées.

** Composé du solde des postes Comptes ordinaires débiteurs sains et Comptes et prêts au jour le jour sains tels que détaillés en note 6.5 et des postes Comptes ordinaires créditeurs et Comptes et emprunts au jour le jour tels que détaillés en note 6.10 (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole) ;

(1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2 "Principales opérations de structure et événements significatifs de la période". Au cours de l'année 2016, l'impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée s'élève à 190 058 milliers d'euros, portant notamment sur les opérations suivantes :

- Acquisition de titres dans SA CHEQUES pour un montant de 80 K€

- Acquisition de titres dans SACAM MUTUALISATION pour un montant de 189 883 K€

(2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 735 milliers d'euros pour l'année 2016.

 

III. — Notes annexes aux états financiers.

 

1. – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés.

 

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2016 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture.

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias/index_fr.htm.

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2015.

Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2016 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2016. Celles-ci portent sur :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du

Applicable dans le Groupe

Améliorations des IFRS cycle 2010-2012 :

IFRS 2 Paiement fondé sur des actions : Reformulation de la définition d’une condition d’acquisition de droits

17 décembre 2014 (UE n° 2015/28)

1er février 2015 (1)

 

Oui

IFRS 3 Regroupement d’entreprises : Harmonisation sur la comptabilisation d’un ajustement éventuel du prix ; évaluation à la juste valeur des compléments de prix éventuels

 

1er février 2015 (1)

 Oui

IFRS 8 Secteurs opérationnels : Regroupement de secteurs opérationnels et réconciliation des actifs sectoriels avec le total des actifs

 

 1er février 2015 (1)

 Oui

IAS 16 Immobilisations corporelles et IAS 38 Immobilisations incorporelles : Clarification sur la méthode optionnelle de réévaluation des immobilisations corporelles et incorporelles

 

1er février 2015 (1)

Non

IAS 24 Information relative aux parties liées : Modification de la définition d’une partie liée

 

1er février 2015 (1)

Oui

Amendement IAS 19 Avantages du personnel Régimes à prestations définies : précision sur la comptabilisation des cotisations des membres du personnel qui se rattachent aux services rendus mais qui ne dépendent pas du nombre d’années de service

17 décembre 2014 (UE n°2015/29)

1er février 2015 (1)

Oui

Amendement à IAS 16 Immobilisations corporelles et IAS 41 Agriculture Evaluation d’un actif biologique selon IAS 41 s’il ne correspond pas à une plante productrice

23 novembre 2015 (UE 2015/2113)

1er janvier 2016

Non

Amendement à IFRS 11 Partenariats Comptabilisation des acquisitions d'intérêts dans une activité conjointe selon IFRS 3 si les actifs acquis constituent un "business" au sens d'ifrs 3 et non un simple groupe d’actifs

24 novembre 2015 (UE 2015/2173)

1er janvier 2016

Oui

Amendement à IAS 16 Immobilisations corporelles et IAS 38 Immobilisations incorporelles Clarifications sur la méthode d’amortissement fondée sur le revenu (interdite sous IAS 16 et acceptable sous IAS 38)

02 décembre 2015 (UE 2015/2231)

1er janvier 2016

Oui

Améliorations des IFRS cycle 2012-2014 :

15 décembre 2015 (UE 2015/2343)

 

 

IFRS 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente : Précision sur les modifications apportées à un plan de cession lorsqu’un actif non courant destiné à être cédé doit être reclassé en actif non courant destiné à être distribué, et réciproquement

 

1er janvier 2016

Oui

IFRS 7 Instruments financiers Informations à fournir : Clarification sur le maintien d’implication continue aux contrats de services dont la rémunération dépend de la performance des actifs transférés Informations non obligatoires pour les arrêtés intermédiaires sur la compensation des actifs et passifs financiers

 

1er janvier 2016

Oui

IAS 19 Avantages au personnel : Précision sur le taux de rendement des obligations d’Etat utilisé pour l’actualisation de la dette actuarielle

 

1er janvier 2016

Oui

IAS 34 Information financière intermédiaire : Clarification sur l’emplacement possible des autres informations à fournir

 

1er janvier 2016

Oui

Amendement à IAS 1 Présentation des états financiers Objectif d’amélioration de la présentation d’informations

18 décembre 2015 (UE 2015/2406)

1er janvier 2016

Oui

Amendement IAS 27 Etats financiers individuels Autorisation à l’utilisation de la méthode de la mise en équivalence dans les états financiers individuels

18 décembre 2015 (UE 2015/2441)

1er janvier 2016

Non

Amendement à IFRS 10-IFRS 12-IAS 28 Entités d'investissement : application de l'exception à la consolidation

22 septembre 2016 (UE 2016/1703)

1er janvier 2016

Non

(1) Soit à partir du 1er janvier 2016 dans le Groupe.

 

Il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique.

Ceci concerne en particulier :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du

Applicable dans le Groupe

IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients Remplacement d’IAS 11 sur la reconnaissance des contrats de construction et d’IAS 18 sur la reconnaissance des produits ordinaires

22 septembre 2016 (UE 2016/1905)

1er janvier 2018

Oui

IFRS 9 Instruments financiers Remplacement d’IAS 39 - Instruments financiers : classification et évaluation, dépréciation, couverture

22 novembre 2016 (UE 2016/2067)

1er janvier 2018

Oui

 

La norme IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018 (conformément au règlement UE 2016/1905). L’amendement « Clarification d’IFRS 15 » qui apporte des précisions complémentaires est en cours d’adoption par l’Union européenne et devrait entrer en vigueur à la même date.

Pour la première application de cette norme, le groupe Crédit Agricole a choisi la méthode rétrospective modifiée, en comptabilisant l’effet cumulatif au 01/01/2018, sans comparatif au niveau de l’exercice 2017, et en indiquant en annexe les éventuelles incidences de la norme sur les différents postes des états financiers.

La norme IFRS 15 remplacera les normes IAS 11 Contrats de construction, IAS 18 Produits des activités ordinaires, ainsi que toutes les interprétations liées IFRIC 13 Programmes de fidélisation de la clientèle, IFRIC 15 Contrats de construction de biens immobiliers, IFRIC 18 Transferts d'actifs provenant de clients et SIC 31 Produits des activités ordinaires - opérations de troc impliquant des services de publicité.

Elle regroupe dans un texte unique les principes de comptabilisation des revenus issus des ventes de contrats à long terme, ventes de biens, ainsi que des prestations de services qui n’entrent pas dans le champ d’application des normes relatives aux instruments financiers (IAS 39), aux contrats d’assurance (IFRS 4) ou aux contrats de location (IAS 17). Elle introduit des concepts nouveaux qui pourraient modifier les modalités de comptabilisation de certains revenus du produit net bancaire.

Une étude d’impact de la mise œuvre de la norme dans le groupe Crédit Agricole est en cours de réalisation, avec des premiers résultats attendus début 2017.

 

Norme IFRS 9 Instruments Financiers. — La norme IFRS 9 Instruments Financiers est appelée à remplacer la norme IAS 39 Instruments financiers. Elle a été adoptée par l’Union européenne le 22 novembre 2016 et publiée au Journal Officiel de l’Union européenne le 29 novembre 2016. Elle entrera en vigueur de manière obligatoire pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018.

Elle définit de nouveaux principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture.

Les principales évolutions apportées par la norme

 

Classement et évaluation des actifs financiers. — Sous IFRS 9, les critères de classement et d’évaluation dépendent de la nature de l’actif financier, selon qu’il est qualifié d’instrument de dette (ie prêt, avance, crédit, titre obligataire, part de fonds) ou d’instruments de capitaux propres (i.e. action).

S’agissant des instruments de dettes (prêts et titres à revenus fixes ou déterminables), la norme IFRS 9 s’appuie sur le modèle de gestion d’une part et sur l’analyse des caractéristiques contractuelles d’autre part, pour classer et évaluer les actifs financiers.

 

— Les trois modèles de gestion :

Le modèle de pure collecte dont l’intention est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie ;

Le modèle mixte dont l’intention est de collecter les flux de trésorerie contractuels sur la durée de vie et de céder l’actif s’il existe une opportunité ; et

Le modèle de pure cession dont l’intention est de céder l’actif.

— Les caractéristiques contractuelles (test ‘Solely Payments of Principal & Interests’ ou test ‘SPPI’) :

Ce second critère est appliqué aux caractéristiques contractuelles du prêt ou du titre de dette pour en déduire l’éligibilité définitive de l’instrument à une catégorie comptable de classement et d’évaluation.

Lorsque l’instrument de dette a des flux de trésorerie attendus qui ne reflètent pas uniquement des éléments de capital et de pure rémunération d’intérêts (i.e. taux simple), ses caractéristiques contractuelles sont jugées trop complexes et dans ce cas, le prêt ou le titre de dette est comptabilisé à la juste valeur par résultat quel que soit le modèle de gestion. Sont visés les instruments qui ne respectent pas les conditions du test ‘SPPI’.

Sur cet aspect, certains points d’interprétation sont encore à l’étude au niveau de l’IASB. Ainsi, le groupe Crédit Agricole suit attentivement les discussions à l’IASB relatives notamment à certaines indemnités de remboursement anticipé et prendra en compte le cas échéant les conclusions de ces discussions.

 

Sur la base des critères énoncés ci-dessus :

– Un instrument de dette est comptabilisé au coût amorti à condition d’être détenu en vue d’en percevoir les flux de trésorerie représentatifs uniquement d’éléments de capital et de pure rémunération d’intérêts respectant le test SPPI.

– Un instrument de dette est comptabilisé à la juste valeur par capitaux propres recyclables à condition d’être dans un modèle mixte de collecte de flux de trésorerie et de revente en fonction des opportunités, sous réserve que ses caractéristiques contractuelles soient également représentatives d’éléments de capital et de pure rémunération d’intérêts respectant le test SPPI.

– Un instrument de dette qui n’est pas éligible à la catégorie coût amorti ou en juste valeur par capitaux propres recyclables est enregistré en juste valeur par résultat. C’est le cas notamment des instruments de dette dont le modèle de gestion est de pure cession. Cela concerne également les parts d’OPCVM non consolidées qui sont des instruments de dette ne respectant pas le test SPPI indépendamment du modèle de gestion.

S’agissant des instruments de capitaux propres (investissements de type actions), ils doivent être, par défaut, comptabilisés à la juste valeur par résultat, sauf option irrévocable pour un classement à la juste valeur par capitaux propres non recyclables (sous réserve que ces instruments ne soient pas détenus à des fins de transaction).

En synthèse, l’application du volet classement et évaluation d’IFRS 9 devrait conduire à une augmentation de la part des instruments financiers –OPCVM et instruments de capitaux propres– valorisés à la juste valeur par résultat. Globalement, les prêts et créances respectent le test SPPI et resteront au coût amorti.

 

Dépréciation. — La norme IFRS 9 instaure un nouveau modèle de dépréciation qui exige de comptabiliser les pertes de crédit attendues (‘Expected Credit Losses’ ou ‘ECL’) sur les crédits et les instruments de dette évalués au coût amorti ou à la juste valeur par capitaux propres recyclables, sur les engagements de prêts et sur les contrats de garantie financière qui ne sont pas comptabilisés à la juste valeur, ainsi que sur les créances résultant de contrats de location et créances commerciales.

Cette nouvelle approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues alors que dans le modèle de provisionnement d’IAS 39, elle est conditionnée par la constatation d’un événement objectif de perte avérée.

L’ECL se définit comme la valeur probable espérée pondérée de la perte de crédit (en principal et en intérêts) actualisée. Elle correspond à la valeur actuelle de la différence entre les flux de trésorerie contractuelles et ceux attendus (incluant le principal et les intérêts).

La formule de calcul intègre les paramètres de probabilité de défaut, perte en cas de défaut et d’exposition au moment du défaut.

Ces calculs s’appuient largement sur les modèles internes utilisés dans le cadre du dispositif prudentiel lorsqu’ils existent, mais avec des retraitements pour déterminer une ECL économique.

La norme IFRS 9 préconise une analyse en date d’arrêté (Point in Time) tout en tenant compte de données de pertes historiques et des données prospectives macro-économiques (Forward Looking), alors que la vue prudentielle s’analyse à travers le cycle (Through The Cycle) pour la probabilité de défaut et en bas de cycle (downturn) pour la perte en cas de défaut.

L’approche comptable conduit également à recalculer certains paramètres bâlois, notamment pour neutraliser les coûts internes de recouvrement ou les floors qui sont imposés par le régulateur dans le calcul réglementaire de la perte en cas de défaut (‘Loss Given Default’ ou ‘LGD’).

Le nouveau modèle de provisionnement du risque de crédit distingue trois étapes :

1ère étape : dès la comptabilisation initiale de l’instrument (prêt, titre de dette, garantie …), l’entité comptabilise les pertes de crédit attendues sur 12 mois ;

2ème étape : dans un deuxième temps, si la qualité de crédit se dégrade significativement pour une transaction ou un portefeuille donné, l’entité comptabilise les pertes prévues sur sa durée de vie ;

3ème étape : dans un troisième temps, dès lors qu’un ou plusieurs événements de défaut sont intervenus sur la transaction ou sur la contrepartie en ayant un effet néfaste sur les flux de trésorerie futurs estimés, l’entité comptabilise une perte de crédit avérée à maturité.

Concernant la deuxième étape, le suivi et l’estimation de la dégradation significative du risque de crédit peuvent être effectués sur une base individuelle de niveau transactionnel ou sur une base collective de niveau portefeuille en regroupant les instruments financiers en fonction de caractéristiques communes de risque de crédit. La démarche repose sur l’utilisation d’un large éventail d’informations, incluant des données historiques de pertes observées, des ajustements de nature conjoncturelle et structurelle, ainsi que des projections de pertes établies à partir de scénarii raisonnables.

Cette dégradation dépend du niveau de risque à la date de comptabilisation initiale et doit être constatée avant que la transaction ne soit dépréciée (3ème phase).

 

Afin d’apprécier la dégradation significative, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée s’inscrit dans le processus du groupe Crédit Agricole fondé sur deux niveaux d’analyse :

Un premier niveau dépendant de règles et de critères absolus et relatifs qui s’imposent à l’ensemble des entités du Groupe ;

Un deuxième niveau lié à l’appréciation en local de critères qualitatifs du risque porté par le Groupe sur ses portefeuilles pouvant conduire à durcir les critères de dégradation définis en premier niveau (bascule d’un portefeuille ou sous-portefeuille en phase 2 d’ECL à maturité).

 

Il existe une présomption réfutable de dégradation significative en présence d’un impayé de plus de trente jours. Le Groupe pourra réfuter cette présomption sur le périmètre des encours pour lesquels des dispositifs de notation internes ont été construits, en particulier les expositions suivies en méthodes avancées, considérant que l’ensemble des informations intégrées dans les dispositifs de notation permet une appréciation plus pertinente que le seul critère d’impayés de plus de trente jours.

En l’absence de modèle de notation interne, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée retiendra le seuil absolu d’impayés supérieur à trente jours comme seuil ultime de dégradation significative et de classement en deuxième phase.

Concernant le périmètre des instruments entrant dans la troisième étape de provisionnement, le Groupe alignera la définition de la défaillance avec celle du défaut actuellement utilisée en gestion pour des fins réglementaires.

Ainsi, un débiteur est considéré en situation de défaut, lorsqu’au moins une des deux conditions suivantes est satisfaite :

 

Un arriéré de paiement généralement supérieur à quatre-vingt-dix jours sauf si des circonstances particulières démontrent que l’arriéré est dû à des causes non liées à la situation du débiteur ;

L’entité estime improbable que le débiteur s’acquitte intégralement de ses obligations de crédit sans qu’elle ait recours à d’éventuelles mesures telles que la réalisation d’une sûreté.

En synthèse, le nouveau modèle de provisionnement d’IFRS 9 pourrait conduire à une augmentation du montant des dépréciations sur les prêts et titres comptabilisés au bilan au coût amorti ou en juste valeur par capitaux propres recyclables, et sur les engagements hors bilan ainsi que sur les créances résultant de contrats de location et les créances commerciales.

 

Comptabilité de couverture :

Sur la comptabilité de couverture (hors opérations de macro-couverture de juste valeur), la norme IFRS 9 prévoit des évolutions limitées par rapport à IAS 39. Les dispositions de la norme s’appliquent au périmètre suivant :

Toutes les opérations de micro-couverture ; et

Les opérations de macro-couverture de flux de trésorerie uniquement.

Les opérations de macro-couverture de Juste Valeur de risque de taux sont exclues et peuvent rester dans le champ d’IAS 39 (option).

Lors de la première application de la norme IFRS 9, deux possibilités sont offertes par la norme :

Appliquer le volet « couverture » IFRS 9 ; ou

Maintenir IAS 39 jusqu’à l’application d’IFRS 9 pour l’ensemble des relations de couverture (au plus tard lorsque le texte macro-couverture de Juste Valeur de taux sera adopté par l’Union européenne).

Conformément à la décision du Groupe, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée n’appliquera pas ce volet de la norme.

 

Toutefois, des informations devront être fournies dans les annexes aux états financiers avec une granularité accrue sur la gestion des risques et les effets de la comptabilité de couverture sur les états financiers.

Le déploiement du projet dans le groupe Crédit Agricole

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Mediterranée fait partie intégrante du projet Groupe qui s’est organisé pour mettre en œuvre la norme IFRS 9 dans les délais requis, en associant l’ensemble des fonctions comptables, finances, risques et informatiques.

Les étapes du projet et les réalisations à date

 

Au premier semestre 2015, les travaux ont porté sur :

L’analyse des dispositions de la norme, avec une attention particulière sur les changements induits par les nouveaux critères de classement et d’évaluation des actifs financiers et par la refonte du modèle de dépréciation du risque de crédit qui requiert de passer d’un provisionnement de pertes de crédit avérées à un provisionnement de pertes de crédit attendues (ECL) ;

L’identification des questions clés et des principaux sujets d’interprétation comptable à partir des premiers macro-chiffrages des impacts de la norme.

Après cette étape d’analyse et de diagnostic, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a pris part à la phase de mise en œuvre du projet à partir de septembre 2015.

Par ailleurs, depuis le début de l’année 2016, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a été associée aux principales réalisations qui ont concerné :

Les chantiers normatifs avec l’identification des principaux impacts sur les états financiers et la définition du processus cible de provisionnement du Groupe qui s’est concrétisé par la rédaction d’un cadre méthodologique commun ;

Les chantiers méthodologiques Groupe de définition des options possibles concernant la formule de calcul des provisions, la dégradation significative et le forward looking, ainsi que la méthodologie de calcul de la juste valeur des crédits ; 

Des simulations provisoires des impacts de la nouvelle norme sur les états financiers et les fonds propres prudentiels, notamment pour répondre au mieux aux demandes de l’Autorité Bancaire Européenne au niveau du groupe Crédit Agricole. Ces travaux ont été effectués sur la base des données comptables au 31/12/2015 de niveau Groupe ;

Les chantiers informatiques avec des impacts majeurs dans les systèmes d’information, impliquant des travaux de spécifications sur les outils Risques et Finance et des choix d’outils mutualisés, à savoir : un outil central de provisionnement et pour les titres de dettes côtés un outil d’analyse des caractéristiques contractuelles permettant l’industrialisation du test SPPI.

L’ensemble de ces travaux de déploiement se poursuivront en 2017 et intègreront des chiffrages d’impact sur la base des états financiers au 31 décembre 2016 afin de répondre notamment à la demande de l’Autorité Bancaire Européenne (EBA).

 

Transition. — La norme IFRS 9 est d’application rétrospective et obligatoire à compter du 1er janvier 2018 en ajustant le bilan d’ouverture en date de première application, sans l’obligation de retraiter les états financiers de la période comparative 2017. En conséquence, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée ne prévoit pas de retraiter les états financiers présentés en comparaison avec ceux de l’année 2018.

Les normes et interprétations publiées par l’IASB au 31 décembre 2016 mais non encore adoptées par l’Union européenne ne sont pas applicables par le Groupe. Elles n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de la date prévue par l’Union européenne et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2016.

 

Cela concerne en particulier la norme IFRS 16. — La nome IFRS 16 Contrats de location remplacera la norme IAS 17 et toutes les interprétations liées (IFRIC 4 Déterminer si un accord contient un contrat de location,

SIC 15 Avantages dans les contrats de location et SIC 27 Evaluation de la substance des transactions impliquant la forme juridique d’un contrat de location). Elle sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2019.

La principale évolution apportée par la norme IFRS 16 concerne la comptabilité des locataires. IFRS 16 imposera pour les locataires un modèle visant à comptabiliser au bilan tous les contrats de location, avec la reconnaissance au passif d’une dette locative représentative des engagements sur toute la durée du contrat, et à l’actif un droit d’utilisation à amortir.

Une étude d’impact de la mise en œuvre de la norme dans le groupe Crédit Agricole sera réalisée en 2017 afin d’en évaluer les principaux enjeux.

Par ailleurs, trois amendements à des normes existantes ont été publiés par l’IASB, sans enjeu majeur pour le Groupe : il s’agit des amendements à IAS 7 Etat des flux de trésorerie, à IAS 12 Impôts sur le résultat, applicables au groupe Crédit Agricole S.A. au 1er janvier 2017 tandis que l’amendement à IFRS 2 Classement et évaluation des transactions dont le paiement est fondé sur des actions sera applicable au 1er janvier 2018, ces dates seront confirmées après adoption de ces textes par l’Union européenne.

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation ANC n°2013-04 du 07 novembre 2013.

 

1.3. Principes et méthodes comptables :

 

Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux ;

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

— les modifications de la réglementation ou de la législation.

Cette liste n’est pas exhaustive.

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

– les instruments financiers évalués à la juste valeur ;

– les participations non consolidées ;

– les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ;

– les plans de stock options ;

– les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et d’actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

– les dépréciations des créances ;

– les provisions ;

– les dépréciations des écarts d’acquisition ;

– les actifs d’impôts différés ;

– la valorisation des entreprises mises en équivalence ;

– la participation aux bénéfices différés [si l’entité est concernée]

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

 

Instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne.

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

Titres à l’actif

Classification des titres à l’actif

 

Les titres sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définis par la norme IAS 39 :

— actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

— actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

— prêts et créances ;

— actifs financiers disponibles à la vente.

Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option

Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée.

 

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupe d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

A ce titre, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

— EMTN Confluent

— EMTN CACIB CMS TEC

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus.

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature et sont évalués en mark-to-market.

 

Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance : La catégorie Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance (applicable aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

— ceux que la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

— ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des Actifs détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39.

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti avec amortissement de la surcote/décote et des frais de transaction selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Prêts et créances : La catégorie Prêts et créances enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres du portefeuille Prêts et créances sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti avec amortissement de la surcote / décote et des frais de transaction selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie Actifs financiers disponibles à la vente est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les titres classés en Actifs financiers disponibles à la vente sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Les titres classés en Actifs financiers disponibles à la vente sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat.

L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ».

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie : L’ensemble des Caisses régionales de Crédit Agricole détient la totalité du capital de SAS Rue La Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50 % des droits de vote et du capital de Crédit Agricole S.A.

La fixation de paramètres permettant de refléter l’ensemble des droits et obligations attachés à la détention des titres SAS Rue La Boétie est complexe et ne permet pas de déterminer une juste valeur fiable au sens de la norme IAS 39. Cela concerne des éléments tels que :

— La stabilité capitalistique du Groupe qui permet d’assurer le contrôle collectif et permanent des Caisses régionales sur Crédit Agricole S.A. ;

— La couverture des risques de liquidité et de solvabilité des Caisses régionales ;

— Les relations économiques et financières internes au groupe Crédit Agricole ;

— La mise en commun de moyens ; et

— La valorisation, le développement et l’utilisation de la marque Crédit Agricole.

En conséquence, et en application de l’exception prévue par la norme IAS 39, les titres SAS Rue La Boétie sont valorisés à leur coût dans les comptes des Caisses régionales. Les titres font l’objet d’un test de dépréciation annuel et, le cas échéant, en cas d’indice de pertes de valeur (cf. partie principes et méthodes comptables – dépréciation des titres).

 

Dépréciation des titres

 

Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

 

Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dettes.

 

Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30 % au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs. la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme etc.

 

Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de valeur supérieure à 50 % ou observée pendant plus de 3 ans.

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie : Les titres SAS Rue la Boétie, valorisés au coût, font systématiquement l’objet d’un test de dépréciation annuel et en cas d’indices de pertes de valeurs.

 

A titres d’exemples, les situations suivantes pourraient être considérées comme des indications objectives de dépréciation (à apprécier en fonction de leur significativité) :

— Annonce d’un plan de restructuration ou de cession sur le périmètre Groupe Crédit Agricole S.A. ;

— Baisse du cours de l’action Crédit Agricole S.A. ;

— Diminution de l’actif net consolidé de Crédit Agricole S.A. ;

— Constatation d’un résultat net déficitaire ;

— Dégradation de la notation de Crédit Agricole S.A. ...

Une dépréciation sera enregistrée en résultat dès lors que la valeur comptable du titre sera supérieure à une valeur de référence déterminée sur une approche multicritère fondée sur des paramètres de marché visant à établir une valeur des flux de trésorerie futures attendus actualisés au taux qui serait retenu par le marché pour un actif similaire conformément au paragraphe 66 d’IAS 39. Cette approche combine une valorisation des flux futurs attendus des différentes activités du Groupe actualisés à un taux de marché, une valorisation de l’actif net du Groupe, une valorisation des activités du Groupe par référence à des prix de transactions observés récemment sur des activités similaires, une valorisation fondée sur le cours de bourse de Crédit Agricole S.A. complété d’une prime de contrôle et, le cas échéant une valorisation par référence aux transactions internes.

 

Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances.

La constatation de cette dépréciation ne se fait que dans la mesure où elle se traduira par une perte probable de tout ou partie du montant investi :

— pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure,

— pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

– Date d’enregistrement des titres

Les titres classés dans les catégories Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance et Prêts et créances sont enregistrés à la date de règlement livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

— Reclassements d’actifs financiers : Conformément à IAS 39, il est autorisé d’opérer des reclassements de la catégorie Actifs financiers disponibles à la vente vers la catégorie Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance en cas de changement d’intention de gestion et si les critères de reclassement en HTM sont respectés.

Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est également autorisé d’opérer les reclassements suivants :

– des catégories Actifs financiers détenus à des fins de transaction et Actifs financiers disponibles à la vente vers la catégorie Prêts et créances, si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

– dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie Actifs financiers détenus à des fins de transaction vers les catégories Actifs financiers disponibles à la vente ou Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance, si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes.

La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l’actif financier reclassé.

Les informations sur les reclassements réalisés par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée en application de l’amendement de la norme IAS 39 sont données dans la note 9 "Reclassements d’instruments financiers".

 

— Acquisition et cession temporaire de titres : Au sens de l’IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent pas les conditions de décomptabilisation d’IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis.

 

Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant.

 

Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire.

Une créance est enregistrée en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension.

 

Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat.

 

Activité de crédits : Les crédits sont affectés principalement à la catégorie Prêts et créances. Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature et sont évalués en mark-to-market.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Dépréciations de créances. — Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en Prêts et créances sont dépréciées lorsqu’elles présentent une indication objective de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances, tel que :

– des difficultés financières importantes du débiteur ;

– une rupture de contrat telle qu’un défaut de paiement des intérêts ou du capital ;

– l’octroi par le prêteur à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une facilité que le prêteur n’aurait pas envisagée dans d’autres circonstances (restructuration de prêts) ;

– une probabilité croissante de faillite ou autre restructuration financière de l’emprunteur.

Les dépréciations peuvent être réalisées sur base individuelle, sur base collective, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Dépréciations sur base individuelle. — Le risque de perte avéré est tout d’abord examiné sur les créances prises individuellement. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations individuelles portant sur des créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant une indication objective de dépréciation. Le montant des dépréciations correspond à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine.

 

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

Dépréciations sur base collective. — Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives. Elles sont déterminées par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires.

 

Dépréciations calculées à partir de modèles bâlois. — Dans le cadre de la règlementation bâloise, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues calculé selon les modèles bâlois, d’un coefficient correcteur de passage à maturité, destiné à prendre en compte la nécessité de constituer des dépréciations sur les pertes attendues jusqu’au terme du contrat

 

Autres dépréciations sur base collective. — Par ailleurs, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché Espagnol.

 

Restructurations de créances. — Les créances restructurées pour difficultés financières sont des créances pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et, depuis le 1er janvier 2014, les créances saines, au moment de la restructuration.

La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, qui peut notamment provenir du report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l’enregistrement d’une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine.

Elle est égale à l’écart constaté entre :

– la valeur comptable du prêt ;

– et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

La perte constatée lors d’une restructuration de créance est comptabilisée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d’intérêt.

Les crédits restructurés font l’objet d’un suivi en fonction de la notation conforme aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement au plus tard au bout de 30 jours d’impayés.

Les crédits restructurés restent classés dans cette catégorie pendant une période de deux ans (trois ans s’ils étaient en défaut au moment de la restructuration).

 

Encours en souffrance. — Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance).

 

Renégociations commerciales. — Les créances renégociées pour raisons commerciales en l’absence de difficultés financières de la contrepartie et dans le but de développer ou conserver une relation commerciale sont décomptabilisées en date de renégociation. Les nouveaux prêts accordés aux clients sont enregistrés à cette date à leur juste valeur puis ultérieurement au coût amorti à partir du taux d’intérêt effectif déterminé selon les conditions du nouveau contrat.

Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat.

Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

– les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ;

– les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ;

– les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe.

 

Titres au passif :

 

Distinction dettes – capitaux propres. — La distinction entre instrument de dette et instruments de capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance économique des dispositifs contractuels.

Un instrument de dettes constitue une obligation contractuelle :

– de remettre des liquidités ou un autre actif financier ou ;

– d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

Un instrument de capitaux propres est un contrat qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette.

 

Produits de la collecte. — Les produits de la collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des Dettes envers la clientèle malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

Les plans d’épargne-logement et les comptes d’épargne-logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.17 "Provisions".

 

Instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

 

La comptabilité de couverture. — La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

 

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associés à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

– éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

– documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

– démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole S.A. privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite carve out).

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

– couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

– couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ;

–.couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement.

– couverture de juste valeur : seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres disponibles à la vente, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

– couverture de flux de trésorerie : l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

– couverture d'investissement net à l'étranger : les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation.

 

Dérivés incorporés. — Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies :

– le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

– séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

– les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13.

IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation.

La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permet et fait l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C’est notamment le cas du calcul de CVA/DVA.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

 

Risque de contrepartie sur les dérivés. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Crédit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre).

Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie.

Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. Elle repose prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés.

 

Hiérarchie de la juste valeur. — La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation

Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs.

Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels l’entité peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures.

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs.

Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1.

Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché.

Sont présentés en niveau 2 :

– les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes) et fondée sur des données de marché observables ;

– les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

Niveau 3: justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité.

La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3.

 

Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché.

Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

Absence de technique de valorisation reconnue pour déterminer la juste valeur d’un instrument de capitaux propres.

« Conformément aux principes d’IAS 39, si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » car sa juste valeur ne peut pas être déterminée de manière fiable. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS 7 en vigueur. Pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée cela concerne le titre SAS Rue la Boétie, titre de participation de société non cotée sur un marché actif dont la détermination d’une juste valeur fiable est difficile. »

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers :

— Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture.

 

— Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

 

– les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

– les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

– les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

Compensation des actifs et passifs financiers : Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

Les instruments dérivés et les opérations de pension traités avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan.

Cet effet de compensation est présenté dans le tableau de la note 6.12 relative à l’amendement d’IFRS 7 sur les informations à fournir au titre des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers.

Garanties financières données : Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre :

– celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels » ; ou

– le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

Décomptabilisation des instruments financiers : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

– lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ;

– ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée.

 

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif.

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie :

– lorsqu’il arrive à extinction ; ou

– lorsque les analyses quantitative et qualitative concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration.

 

Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

– les risques opérationnels ;

– les avantages au personnel ;

– les risques d’exécution des engagements par signature ;

– les litiges et garanties de passif ;

– les risques fiscaux ;

– les risques liés à l’épargne-logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

 

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

– le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ;

– l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ;

– la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations :

– la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ;

– les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

Des informations détaillées sont fournies en note 6.17 "Provisions".

 

Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participations et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus ;

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ;

— les indemnités de fin de contrat de travail ;

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

— Avantages à long terme. — Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus.

Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différés versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions.

La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies.

 

— Avantages postérieurs à l’emploi

– Régimes à prestations définies : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4 "Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies").

Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turnover.

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies.

Conformément à la norme IAS 19 révisé la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

 

Le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale de de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM.

— Régimes à cotisations définies

Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

– la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ;

– la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

Un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction de celles-ci.

En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

— soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ;

— soit par un regroupement d'entreprises.

Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si :

— l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et

— les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

a) soit sur la même entité imposable,

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés.

Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

Cependant, en raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôts pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du CGI) en déduction des charges de personnel.

 

Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole S.A. suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

30 à 80 ans

Second œuvre

8 à 40 ans

Installations techniques

5 à 25 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans

Matériel spécialisé

4 à 5 ans

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

— les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

 

Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments :

— les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

— les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

 

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

— les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ;

— lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique Commissions et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

a). les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes sont respectées :

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable,

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise,

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable ;

b). les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ;

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ;

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

 

a) l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et de l'amortissement financier relatif à la période comprise entre la date de dernière échéance et la clôture de l’exercice ;

b) la valeur nette comptable des immobilisations louées ;

c) la provision pour impôts différés.

 

Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci.

En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif.

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28) :

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, de contrôle conjoint ou d’une influence notable.

— Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

— Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le contrôle exclusif sur une entité est présumé exister lorsque la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité.

Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent à [L’entité] la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seule les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances.

Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée lors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, l’étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation du pouvoir au gérant ainsi que les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels sont analysés afin de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir déléguer) ou principal (pour son propre compte).

Ainsi au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquels donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affecter la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité.

Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle.

Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité.

 

Exclusions du périmètre de consolidation. — Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28.18, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10 et IAS 28 révisée. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

— l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée ;

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et sous contrôle conjoint.

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe.

 

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quotepart du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition.

Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée constate :

— en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un « écart d’acquisition » complémentaire ;

— en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession/dilution en résultat.

Retraitements et éliminations. —Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement.

Les plus ou moinsvalues provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période.

 

Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2016 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 11 "Périmètre de consolidation au 31 décembre 2016".

 

Opération de simplification capitalistique du groupe Crédit Agricole. —L’opération de simplification du groupe Crédit Agricole annoncée le 17 février 2016 a été réalisée le 3 août 2016. L’essentiel des Certificats Coopératifs d’Investissement (« CCI ») et les Certificats Coopératifs d’Associé (« CCA ») détenus par Crédit Agricole S.A. ont été cédés à une holding (« Sacam Mutualisation ») conjointement détenue par les Caisses régionales. Le prix de cession fixé initialement sur un multiple des capitaux propres IFRS consolidés retraités des Caisses régionales de Crédit Agricole arrêtés au 31 décembre 2015, soit 18,025 milliards d’euros, a fait l’objet d’un ajustement pour tenir compte de l’évolution des capitaux propres IFRS consolidés retraités des Caisses régionales entre le 31 décembre 2015 et le 30 juin 2016. Cet ajustement s’élève à 517 millions d’euros de sorte que le prix final de cession des CCI et CCA transférés par Crédit Agricole S.A. à SACAM Mutualisation (filiale à 100% des Caisses régionales), s’élève à 18,542 milliards d’euros. Le financement de « Sacam Mutualisation » a été réalisé via un apport en capital des Caisses régionales (souscription par chacune des Caisses régionales à une augmentation de capital de SACAM Mutualisation lui permettant d’acquérir les CCI/CCA détenus par Crédit Agricole SA). Dans ce cadre, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a participé à l’augmentation de capital de Sacam Mutualisation pour un montant de 189,9 millions d’euros. Des prêts séniors de Crédit Agricole SA à hauteur de 11 milliards d’euros ont été consentis aux Caisses régionales pour financer une partie de l’augmentation de capital de « Sacam Mutualisation », dont 112,6 millions d’euros en faveur de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée.

Cette opération s’inscrit dans une optique de simplification de la structure du Groupe, d’accroissement de la mutualisation des résultats des Caisses régionales et permet le maintien et le renforcement de la solidarité économique entre les Caisses régionales qui existait déjà indirectement au travers de la participation de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales et de la garantie Switch CCI/CCA.

Post opération, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée conserve un niveau de solvabilité extrêmement solide. Sa réalisation entraine le débouclage de la garantie Switch avec effet au 1er juillet 2016 pour sa composante couvrant les CCI/CCA et le remboursement du dépôt auprès de Crédit Agricole SA relatif à cette garantie (5 milliards d’euros pour l’ensemble des Caisses régionales et 68 millions d’euros pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée).

 

Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch). — Suite à l’opération de simplification de la structure du Groupe qui s’est traduite par la cession des participations CCI/CCA détenues par Crédit Agricole S.A. à une société intégralement détenue par les Caisses régionales, SACAM Mutualisation, Crédit Agricole S.A. n’étant plus au capital des des Caisses régionales à l’issue de l’opération (à l’exception de 4 caisses régionales pour lesquelles Crédit Agricole SA a conservé une partie marginale des CCA pour des raisons juridiques) ; celle-ci s’est donc accompagnée de la signature de deux avenants à la Convention Cadre de la garantie Switch respectivement signés le 17 février (avenant n°2) et le 21 juillet (avenant n°3) et mettant notamment fin à la garantie sur les CCI/CCA.

Ce dispositif ainsi modifié a pris effet le 1er juillet 2016 et permet désormais de transférer aux Caisses régionales uniquement les exigences prudentielles des participations de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA) dans la limite d’un plafond contractuel : on parle donc désormais des Switch Assurance.

La bonne fin du dispositif reste sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A. et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme.

 

Ainsi les garanties Switch Assurance protègent Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur globale de mise en équivalence globale, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, peut restituer les indemnisations préalablement perçues.

 

3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture.

 

Le pilotage des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est assurée par la Direction des Finances. Cette direction est rattachée au Directeur général et a pour mission d’assurer la maîtrise et le contrôle permanent des risques de crédit, financiers et opérationnels.

 

La description de ces dispositifs ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « Facteurs de risques », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilations comptables continuent néanmoins de figurer dans les états financiers.

 

3.1. Risque de crédit (cf. Rapport de gestion page19)

 

Exposition maximale au risque de crédit. — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Actifs financiers à la juste valeur par résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte)

6 156

6 306

Instruments dérivés de couverture

99 916

107 240

Actifs disponible à la vente (hors titres à revenu variable)

44 751

34 425

Prêts, créances et dépôts de garantie sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole)

4 445

3 225

Prêts, créances et dépôts de garantie sur la clientèle

4 529 117

4 354 675

Actif financiers détenus jusqu'à l'échéance

163 280

188 595

Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations)

4 847 665

4 694 466

Engagements de financement donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole)

381 606

399 639

Engagements de garantie financière donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole)

78 313

80 576

Provisions - Engagements par signature

-739

-1 519

Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

459 180

478 696

Exposition maximale au risque de crédit

5 306 845

5 173 162

 

Le montant des garanties et autres rehaussements de crédits reçus s'élèvent à :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes au Crédit Agricole)

 

 

Prêts et créances sur la clientèle

2 065 455

124 493

Engagements de financement donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole)

86 621

 

Engagements de garantie donnés (hors opérations internes au Crédit Agricole)

 

 

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques.

 

Concentrations par agent économique de l’activité de crédit

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole):

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administration générale

592 641

6 309

6 202

2 256

584 183

Banques centrales

 

 

 

 

0

Etablissements de crédit

4 414

 

 

 

4 414

Grandes entreprises

639 194

59 370

36 965

11 577

590 652

Clientèle de détail

3 501 338

224 222

134 381

29 576

3 337 381

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1)

4 737 587

289 901

177 548

43 409

4 516 630

(1) Dont encours restructurés pour 62 730 milliers d'euros.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administration générale

612 555

6 179

6 179

 

606 376

Banques centrales

 

 

 

 

0

Etablissements de crédit

3 197

 

 

 

3 197

Grandes entreprises

597 159

57 175

37 786

11 589

547 784

Clientèle de détail

3 358 933

243 226

138 122

35 732

3 185 079

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1)

4 571 844

306 580

182 087

47 321

4 342 436

(1) Dont encours restructurés pour 32 208 milliers d'euros.

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Engagements de financement en faveur de la clientèle

 

 

Administration générale

28 608

34 259

Grandes entreprises

102 576

104 486

Clientèle de détail

250 422

260 894

Total Engagements de financement

381 606

399 639

Engagements de garantie en faveur de la clientèle

 

 

Administration générale

4 036

4 542

Grandes entreprises

59 632

62 618

Clientèle de détail

15 811

15 141

Total Engagements de garantie

79 479

82 301

 

Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Administration générale

21 796

18 464

Grandes entreprises

675 503

626 016

Clientèle de détail

1 187 802

1 104 717

Total Dettes envers la clientèle

1 885 101

1 749 197

 

Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit :

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 399 955

182 472

118 702

29 765

4 251 488

Autres pays de l'Union européenne

332 124

107 424

58 841

13 644

259 639

Autres pays d'Europe

2 019

 

 

 

2 019

Amérique du Nord

2 543

4

4

 

2 539

Amériques centrale et du Sud

148

 

 

 

148

Afrique et Moyen-Orient

798

1

1

 

797

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

Organismes supranationaux

 

 

 

 

 

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1)

4 737 587

289 901

177 548

43 409

4 516 630

(1) Dont encours restructurés pour 62 730 milliers d'euros.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 204 816

199 543

125 065

29 444

4 050 307

Autres pays de l'Union européenne

360 558

106 499

56 484

17 873

286 201

Autres pays d'Europe

2 968

534

534

4

2 430

Amérique du Nord

2 500

4

4

 

2 496

Amériques centrale et du Sud

117

 

 

 

117

Afrique et Moyen-Orient

885

 

 

 

885

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

Organismes supranationaux

 

 

 

 

 

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1)

4 571 844

306 580

182 087

47 321

4 342 436

(1) Dont encours restructurés pour 32 208 milliers d'euros.

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Engagements de financement en faveur de la clientèle:

 

 

France (y compris DOM-TOM)

380 793

398 795

Autres pays de l'Union européenne

649

680

Autres pays d'Europe

76

83

Amérique du Nord

 

41

39

Amériques centrale et du Sud

5

4

Afrique et Moyen-Orient

27

26

Asie et Océanie (hors Japon)

15

12

Japon

 

 

Total Engagements de financement

381 606

399 639

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

France (y compris DOM-TOM)

79 476

82 273

Autres pays de l'Union européenne

3

3

Autres pays d'Europe

 

25

Amérique du Nord

 

 

Amériques centrale et du Sud

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Total Engagements de garantie

79 479

82 301

 

Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

France (y compris DOM-TOM)

1 804 475

1 675 252

Autres pays de l'Union européenne

72 951

67 247

Autres pays d'Europe

3 371

3 193

Amérique du Nord

1 888

1 530

Amériques centrale et du Sud

124

284

Afrique et Moyen-Orient

1 806

1 305

Asie et Océanie (hors Japon)

484

385

Japon

2

1

Organismes supra-nationaux

 

 

Total Dettes envers la clientèle

1 885 101

1 749 197

 

Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement :

— Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2016

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180 jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

257 600

13 041

Instruments de dettes

0

0

0

0

0

159

2 249

Administration générale

 

 

 

 

0

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

159

2 249

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

Prêts et avances

53 860

0

0

0

53 860

112 353

220 957

Administration générale

1 644

 

 

 

1 644

107

8 458

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Grandes entreprises

7 544

 

 

 

7 544

22 405

48 542

Clientèle de détail

44 672

 

 

 

44 672

89 841

163 957

Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

53 860

0

0

0

53 860

370 112

236 247

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2015

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180 jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

245 784

13 064

Instruments de dettes

0

0

0

0

0

172

2 368

Administration générale

 

 

 

 

0

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

172

2 368

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

Prêts et avances

78 255

4 623

0

0

82 878

124 493

229 408

Administration générale

883

 

 

 

883

 

6 179

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Grandes entreprises

18 334

314

 

 

18 648

19 389

49 375

Clientèle de détail

59 038

4 309

 

 

63 347

105 104

173 854

Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

78 255

4 623

0

0

82 878

370 449

244 840

 

3.2. Risque de marché (cf. Rapport de gestion page 22). — Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle

La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle.

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt

0

0

0

0

26 790

73 126

99 916

107 240

FUTURES

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

26 790

73 126

99 916

107 240

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps floors collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous-total

0

0

0

0

26 790

73 126

99 916

107 240

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif

0

0

0

0

26 790

73 126

99 916

107 240

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt

0

0

0

819

34 477

87 381

122 677

127 725

FUTURES

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

819

34 477

87 381

122 677

127 725

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps - floors - collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous-total

0

0

0

819

34 477

87 381

122 677

127 725

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif

0

0

0

819

34 477

87 381

122 677

127 725

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt

0

0

0

0

0

529

529

491

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

 

529

529

491

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps - floors - collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments

0

0

0

0

0

5

5

5

Dérivés sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

5

5

5

Sous total

0

0

0

0

0

534

534

496

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif

0

0

0

0

0

534

534

496

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt

0

0

0

0

0

529

529

491

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

 

529

529

491

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps - floors – collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments

0

0

0

0

0

109

109

162

Dérivés sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

109

109

162

Sous total

0

0

0

0

0

638

638

653

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif

0

0

0

0

0

638

638

653

 

Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt

1 843 718

1 838 677

Futures

 

 

Fra

 

 

Swaps de taux d'intérêts

1 843 718

1 838 677

Options de taux

 

 

Caps - floors - collars

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or

0

0

Opérations fermes de change

 

 

Options de change

 

 

Autres instruments

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

érivés de crédits

 

 

Autres

 

 

Sous-total

1 843 718

1 838 677

Opérations de change à terme

3 182

5 350

Total notionnels

1 846 900

1 844 027

 

Risque de change (cf. Rapport de gestion page 27)

— Contribution des différentes devises au bilan consolidé :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

5 936 782

 5 936 782

5 823 123

5 823 123

Autres devises de l'Union européenne

93

93

73

73

USD

867

867

972

972

JPY

 

 

 

 

Autres devises

273

273

222

222

Total bilan

5 938 015

5 938 015

5 824 390

5 824 390

 

Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

 

15 444

 

 

15 418

 

Autres devises de l'Union européenne

 

 

 

 

 

 

USD

 

 

 

 

 

 

JPY

 

 

 

 

 

 

Autres devises

 

 

 

 

 

 

Total

0

15 444

0

0

15 418

0

 

Risque de liquidité et de financement (cf. Rapport de gestion page 28)

 

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

127 085

2 501

5 537

212 607

 

347 730

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement)

336 196

379 830

1 462 980

2 553 152

1 015

4 733 173

Total

463 281

382 331

1 468 517

2 765 759

1 015

5 080 903

Dépréciations

 

 

 

 

 

-220 957

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

 

 

 

 

4 859 946

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

179 193

182 988

5 802

185 952

13 500

567 435

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location-financement)

345 094

378 857

1 376 267

2 467 414

1 015

4 568 647

Total

524 287

561 845

1 382 069

2 653 366

14 515

5 136 082

Dépréciations

 

 

 

 

 

-229 408

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

 

 

 

 

4 906 674

 

Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

387 497

766 358

812 029

823 008

 

2 788 892

Dettes envers la clientèle

1 351 121

124 855

271 289

137 836

 

1 885 101

Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle

1 738 618

891 213

1 083 318

960 844

0

4 673 993

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

414 459

871 949

799 073

763 018

 

2 848 499

Dettes envers la clientèle

1 184 551

179 180

227 538

157 928

 

1 749 197

Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle

1 599 010

1 051 129

1 026 611

920 946

0

4 597 696

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

36

 

 

 

 

36

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables

93

178

 

159 106

 

159 377

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

0

Total Dettes représentées par un titre

129

178

0

159 106

0

159 413

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

481

 

14 963

 

 

15 444

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

0

Total Dettes subordonnées

481

0

14 963

0

0

15 444

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

77

 

 

 

 

77

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables

264

 

 

158 651

 

158 915

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

0

Total Dettes représentées par un titre

341

0

0

158 651

0

158 992

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

480

 

14 938

 

 

15 418

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

0

Total Dettes subordonnées

480

0

14 938

0

0

15 418

 

3.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change (cf. Rapport de gestion page 30)

 

Couverture de juste valeur. — Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variable.

Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

Couverture de flux de trésorerie. — Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

Couverture d’un investissement net en devise. — Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères.

 

Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Valeur marché

Montant

Valeur marché

Montant

positive

négative

Notionnel

positive

négative

Notionnel

Couverture de juste valeur

99 916

121 176

1 807 704

107 240

125 997

1 801 665

Taux d'intérêt

99 916

121 176

1 807 704

107 240

125 997

1 801 665

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

0

1 501

25 000

0

1 728

25 000

Taux d'intérêt

 

1 501

25 000

 

1 728

25 000

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

 

 

 

Total Instruments dérivés de couverture

99 916

122 677

1 832 704

107 240

127 725

1 826 665

 

3.5. Risques opérationnels (cf. Rapport de gestion page 31)

 

3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires. — Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et «conglomérats financiers », la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

 

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013 depuis le 1er janvier 2014 et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne (BCE) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

Le dispositif prudentiel a été renforcé par la réforme Bâle 3 qui consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de capital et des exigences supplémentaires au terme de la liquidité et du levier. Certaines dispositions s’appliquent de manière progressive jusqu’au 31 décembre 2017, de même pour l’exigence de coussins en capital qui atteindra la cible en 2019.

Toutefois, le régulateur a maintenu les exigences de fonds propres au titre des niveaux planché (l’exigence Bâle 3 ne pouvant être inférieure à 80 % de l’exigence Bâle 1).

Le niveau plancher a été supprimé. Cependant, l’information relative aux exigences Bâle 1 reste obligatoire et est prévue jusqu’à la fin de la période transitoire prévue fin 2017.

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

— les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), déterminés à partir des capitaux propres du Groupe et retraités notamment de certains instruments de capital qui sont classés en Additional Tier 1 (AT1) et des immobilisations incorporelles ;

— les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1, constitués du Common Equity Tier 1 et des fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 (AT1) ;

— les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans.

Pour être reconnus en Bâle 3, les instruments de fonds propres de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion plus exigeants. Si ces instruments ne sont pas éligibles Bâle 3, ils font l’objet d’une clause de « grand-père » qui s’étale sur 10 ans jusqu’à fin 2021 pour les éliminer des fonds propres de façon progressive.

Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier 1 (AT1) et du Tier 2. Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances quand l’établissement n’est pas soumis à l’application de la « Directive conglomérat financier», sinon les valeurs de mise en équivalence des titres des entreprises d’assurances détenues dans le Groupe sont pondérées en risques.

En 2016 comme en 2015 et selon la règlementation en vigueur, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a répondu aux exigences réglementaires.

 

4. – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

 

4.1. Produits et charges d’intérêts :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Sur opérations avec les établissements de crédit

404

524

Sur opérations internes au Crédit Agricole

12 133

13 931

Sur opérations avec la clientèle

140 517

154 277

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

 

1

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

3 679

4 318

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

24 584

25 249

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Produits d'intérêts (1) (2)

181 317

198 300

Sur opérations avec les établissements de crédit

-520

-549

Sur opérations internes au Crédit Agricole

-31 264

-35 073

Sur opérations avec la clientèle

-16 885

-17 411

Sur dettes représentées par un titre

-9 035

-7 866

Sur dettes subordonnées

-956

-953

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

-31 281

-34 253

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

 

Charges d'intérêts

-89 941

-96 105

(1) Dont 2 868 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2016 contre 7 003 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

(2) Dont 860 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2016 contre 1 077 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

88

-48

40

137

-50

87

Sur opérations internes au Crédit Agricole

5 433

-12 013

-6 580

7 162

-10 361

-3 199

Sur opérations avec la clientèle

17 938

-333

17 605

18 288

-322

17 966

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

7

 

7

6

 

6

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

 

 

0

 

 

0

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers

51 669

-5 358

46 311

47 318

-5 157

42 161

Gestion d'opcvm, fiducie et activités analogues

898

-91

807

944

-63

881

Produits nets des commissions

76 033

-17 843

58 190

73 855

-15 953

57 902

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

53

-19

Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option

71

136

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

134

134

Résultat de la comptabilité de couverture

-1 433

-1 431

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

-1 175

-1 180

 

Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

139 879

-141 312

-1 433

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

71 963

-69 348

2 615

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

67 916

-71 964

-4 048

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

280 551

-280 551

 

Variations de juste valeur des éléments couverts

139 326

-141 225

-1 899

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

141 225

-139 326

1 899

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Total Résultat de la comptabilité de couverture

420 430

-421 863

-1 433

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

139 048

-140 479

-1 431

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

72 662

-67 818

4 844

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

66 386

-72 661

-6 275

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

326 413

-326 413

 

Variations de juste valeur des éléments couverts

162 187

-164 226

-2 039

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

164 226

-162 187

2 039

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Total Résultat de la comptabilité de couverture

465 461

-466 892

-1 431

 

4.4. Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Dividendes reçus

12 601

7 621

Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente (1)

23

46

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres)

-7

-89

Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

12 617

7 578

(1) Hors résultat de cession sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement mentionnés en note 4.8 " Coût du risque".

(2) Dont 5 K€ comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur le titre FIA-NET et 2 K€ sur le titre CA-INNOVE.

 

Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-593

-939

Autres produits (charges) nets

928

570

Produits (charges) des autres activités

335

-369

 

4.5. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Charges de personnel

58 123

57 731

Impôts et taxes (1)

5 417

4 565

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation

33 942

32 104

Charges générales d'exploitation

97 482

94 400

(1) Dont 513 milliers d’euros comptabilisés au titre du fonds de résolution.

 

Honoraires des commissaires aux comptes. — Le montant des charges générales d’exploitation intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée.

La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2016 est donnée ci-dessous :

Collège des Commissaires aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée

 

(En milliers d'Euros hors taxes)

Ernst & young

KPMG

Total 2016

2016

2015

2016

2015

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés

119

118

79

78

198

Emetteur

119

118

79

78

198

Filiales intégrées globalement

 

 

 

 

0

Autres services

0

0

0

0

0

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du Commissaire aux comptes (1)

0

0

0

0

0

Emetteur

 

 

 

 

0

Filiales intégrées globalement

 

 

 

 

0

Autres prestations (1)

 

 

 

 

0

Services autres que la certification des comptes (2)

 

 

 

 

0

Total

119

118

79

78

198

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Dotations aux amortissements

4 855

5 687

Immobilisations corporelles

4 806

5 636

Immobilisations incorporelles

49

51

Dotations (reprises) aux dépréciations

0

0

Immobilisations corporelles

 

 

Immobilisations incorporelles

 

 

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

4 855

5 687

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-37 778

-42 342

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

-33 219

-34 246

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Autres actifs

-3 426

-6 469

Engagements par signature

-611

-409

Risques et charges

-522

-1 218

Reprises de provisions et de dépréciations

29 515

33 629

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

26 059

31 891

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

119

201

Autres actifs

935

1 219

Engagements par signature

1 391

61

Risques et charges

1 011

257

Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-8 263

-8 713

Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-89

-247

Récupérations sur prêts et créances amortis

364

632

Décotes sur crédits restructurés

-1

 

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

-389

-367

Autres produits

 

 

Coût du risque

-8 378

-8 695

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

15

0

Plus-values de cession

16

0

Moins-values de cession

-1

0

Titres de capitaux propres consolidés

0

0

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

Produits (charges) nets sur opérations de regroupement

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

15

0

 

4.10. Impôts :

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Charge d'impôt courant

10 814

16 568

Charge d'impôt différé

4 866

332

Charge d'impôt de la période

15 680

16 900

 

Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté

— Au 31 décembre 2016 :

 

(En milliers d'Euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence

50 643

34,43%

17 436

Effet des différences permanentes

 

-9,05%

-4 584

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

-0,38%

-190

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

-2,86%

-1 448

Effet de l'imposition à taux réduit

 

0,06%

28

Effet des autres éléments (1)

 

8,76%

4 438

Taux et charge effectifs d'impôt

 

30,96%

15 680

(1) Dont 2903 milliers d’euros de charge d’impôt différé au titre de l’exercice 2016 liée à la publication de la loi de finance 2017 portant le taux d’imposition courant de 34 ,43% à 28,92%. Cette charge est relative aux impôts différés pour lesquels le retournement est prévu à compter de l’exercice 2020.

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2016.

 

— Au 31 décembre 2015 :

 

(En milliers d'Euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisition, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence

57 344

38,00%

21 791

Effet des différences permanentes

 

0,90%

-2 292

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

-0,77%

-441

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

-2,38%

-1 363

Effet de l'imposition à taux réduit

 

0,04%

22

Effet des autres éléments

 

-1,42%

-817

Taux et charge effectifs d'impôt

 

29,47%

16 900

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle et la contribution exceptionnelle sur l’impôt sur les sociétés) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2015.

 

4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période,

 

Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

 

 

Gains et pertes sur écarts de conversion

0

0

Ecart de réévaluation de la période

 

 

Transferts en résultat

 

 

Autres variations

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

771

2 384

Ecart de réévaluation de la période

794

2 428

Transfert en résultat

-23

-44

Autres variations

 

 

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

227

242

Ecart de réévaluation de la période

227

242

Transferts en résultat

 

 

Autres variations

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence

-199

-190

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

799

2 436

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

 

 

Gains et pertes actuariels sur avantages post-emploi

-1 334

465

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence

213

-159

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

-1 121

306

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

-322

2 742

Dont part du Groupe

-322

2 742

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et effets d’impôt :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Variation

31/12/2016

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

 

 

 

0

 

 

 

0

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

7 269

-422

6 847

6 847

771

-38

733

733

8 040

-460

7 580

7 580

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

-1 720

593

-1 127

-1 127

227

-161

66

66

-1 493

432

-1 061

-1 061

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entreprises mises en équivalence

5 549

171

5 720

5 720

998

-199

799

799

6 547

-28

6 519

6 519

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables sur activités abandonnées

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

5 549

171

5 720

5 720

998

-199

799

799

6 547

-28

6 519

6 519

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes actuariels sur avantages post-emploi

-2 833

992

-1 841

-1 841

-1 334

213

-1 121

-1 121

-4 167

1 205

-2 962

-2 962

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entreprises mises en équivalence

-2 833

992

-1 841

-1 841

-1 334

213

-1 121

-1 121

-4 167

1 205

-2 962

-2 962

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables sur activités abandonnées

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

-2 833

992

-1 841

-1 841

-1 334

213

-1 121

-1 121

-4 167

1 205

-2 962

-2 962

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

2 716

1 163

3 879

3 879

-336

14

-322

-322

2 380

1 177

3 557

3 557

 

5. – Informations sectorielles.

 

Définition des secteurs opérationnels. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois, concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (Cf. note 3.1)

 

5.1. Information sectorielle par zone géographique. — L’analyse géographique des actifs et des résultats sectoriels repose sur le lieu d’enregistrement comptable des activités.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Résultat net part du Groupe

dont Produit net bancaire

Résultat net part du Groupe

dont Produit net bancaire

France (y compris DOM-TOM)

39 383

158 281

44 046

161 976

Autres pays de l'Union européenne

-4 420

3 062

-3 602

4 150

Autres pays d'Europe

 

 

 

 

Amérique du Nord

 

 

 

 

Amériques centrale et du Sud

 

 

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

Total

34 963

161 343

40 444

166 126

 

6. – Notes relatives au bilan.

 

6.1. Caisse, banques centrales :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

26 215

 

27 367

 

Banques centrales

6 000

 

6 001

 

Valeur au bilan

32 215

0

33 368

0

 

6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

—.Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

534

496

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

5 622

5 810

Valeur au bilan

6 156

6 306

Dont Titres prêtés

 

 

 

Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Instruments de capitaux propres

0

0

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres de dettes

0

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Prêts et avances

0

0

Créances sur la clientèle

 

 

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Instruments dérivés

534

496

Valeur au bilan

534

496

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Instruments de capitaux propres

0

0

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres de dettes

5 622

5 810

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

5 622

5 810

Prêts et avances

0

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Valeur au bilan

5 622

5 810

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

638

653

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

Valeur au bilan

638

653

 

Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Titres vendus à découvert

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

638

653

Valeur au bilan

638

653

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêt et de change.

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Valeur au bilan

Gains latents

Pertes latentes

Valeur au bilan

Gains latents

Pertes latentes

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

44 751

856

-41

34 425

498

 

Actions et autres titres à revenu variable

1 098

 

 

2 097

 

 

Titres de participation non consolidés

473 657

7 384

-159

271 389

6 940

-168

Total des titres disponibles à la vente

519 506

8 240

-200

307 911

7 438

-168

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

Total des créances disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

519 506

8 240

-200

307 911

7 438

-168

Impôts

 

-460

 

 

-422

 

Gains et pertes sur actifs financiers disponibles à la vente comptabilisés directement en capitaux propres (net d'impôt)

 

7 780

-200

 

7 016

-168

(1) Dont 13 041 milliers d'euros comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances au 31 décembre 2016 et 13 064 milliers d'euros au 31 décembre 2015.

(2) «Par exception, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués au coût pour un montant net de dépréciation de 248 652 milliers d’euros au 31 décembre 2016 et 236 778 milliers d’euros au 31 décembre 2015.»

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle :

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Etablissements de crédit

 

 

Titres de dettes

0

0

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Prêts et avances

4 414

3 197

Comptes et prêts

4 201

2 984

Dont comptes ordinaires débiteurs sains

4 001

2 784

Dont comptes et prêts au jour le jour sains

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

213

213

Autres prêts et créances

 

 

Valeur brute

4 414

3 197

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit

4 414

3 197

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

Titres de dettes

0

0

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Prêts et avances

343 316

564 238

Comptes ordinaires

120 383

172 600

Comptes et avances à terme

222 933

378 135

Prêts subordonnés

0

13 503

Valeur brute

343 316

564 238

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances internes au Crédit Agricole

343 316

564 238

Valeur au bilan

347 730

567 435

 

Prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Opérations avec la clientèle :

 

 

Titres de dettes

1 023

1 022

Titres non cotés sur un marché actif

1 023

1 022

Prêts et avances

4 732 150

4 567 625

Créances commerciales

8 751

9 813

Autres concours à la clientèle

4 689 644

4 517 763

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

 

 

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

Avances en comptes courants d'associés

6 554

6 502

Comptes ordinaires débiteurs

27 201

33 547

Valeur brute

4 733 173

4 568 647

Dépréciations

-220 957

-229 408

Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle

4 512 216

4 339 239

Opérations de location-financement :

 

 

Location-financement immobilier

 

 

Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

Valeur brute

0

0

Dépréciations

 

 

Valeur nette des opérations de location-financement

0

0

Valeur au bilan

4 512 216

4 339 239

 

6.5. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Effets publics et valeurs assimilées

106 567

108 014

Obligations et autres titres à revenu fixe

58 962

82 949

Total

165 529

190 963

Dépréciations

-2 249

-2 368

Valeur au bilan

163 280

188 595

 

6.7. Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue :

 

Titrisations. — Les titrisations consolidées intégralement auto souscrites ne constituent pas un transfert d’actif au sens de la norme IFRS 7.

 

6.8. Dépréciations inscrites en déduction des actifs financiers :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2016

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

0

Créances sur la clientèle

229 408

 

34 993

43 444

220 957

Dont dépréciations collectives

47 321

 

4 533

8 445

43 409

Opérations de location-financement

 

 

 

 

0

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 368

 

 

119

2 249

Actifs disponibles à la vente

13 064

 

7

30

13 041

Autres actifs financiers

34 372

 

3 427

10 265

27 534

Total Dépréciations des actifs financiers

279 212

0

38 427

53 858

263 781

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2015

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

239 899

 

39 604

50 095

229 408

Dont dépréciations collectives

50 765

 

2 329

5 773

47 321

Opérations de location-financement

 

 

 

 

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 569

 

 

201

2 368

Actifs disponibles à la vente

12 980

 

88

4

13 064

Autres actifs financiers

32 942

 

6 469

5 039

34 372

Total Dépréciations des actifs financiers

288 390

0

46 161

55 339

279 212

 

6.9. Exposition au risque souverain. —Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement.

L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture.

 

Activité bancaire :

 

31/12/2016

Expositions nettes de dépréciations

(En milliers d'Euros)

Dont portefeuille bancaire

Total activité banque brut de couvertures

Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente

Total activité banque net de couvertures

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

Actifs financiers disponibles à la vente

Actifs à la juste valeur par résultat

Prêts et créances

Dont portefeuille de négociation (hors dérivés)

Allemagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Arabie saoudite

 

 

 

 

 

 

 

 

Chine

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Etats-Unis

 

 

 

 

 

 

 

 

France

106 567

 

 

 

 

106 567

 

106 567

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Hong Kong

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

 

 

Maroc

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Royaume-Uni

 

 

 

 

 

 

 

 

Russie

 

 

 

 

 

 

 

 

Syrie

 

 

 

 

 

 

 

 

Ukraine

 

 

 

 

 

 

 

 

Total

106 567

0

0

0

0

106 567

0

106 567

 

31/12/2015

Expositions nettes de dépréciations

(En milliers d'Euros)

Dont portefeuille bancaire

Total activité banque brut de couvertures

Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente

Total activité banque net de couvertures

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

Actifs financiers disponibles à la vente

Actifs à la juste valeur par résultat

Prêts et créances

Dont portefeuille de négociation (hors dérivés)

Allemagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Arabie saoudite

 

 

 

 

 

 

 

 

Chine

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Etats-Unis

 

 

 

 

 

 

 

 

France

108 014

 

 

 

 

108 014

 

108 014

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Hong Kong

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

 

 

Maroc

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Royaume-Uni

 

 

 

 

 

 

 

 

Russie

 

 

 

 

 

 

 

 

Syrie

 

 

 

 

 

 

 

 

Ukraine

 

 

 

 

 

 

 

 

Total

108 014

0

0

0

0

108 014

0

108 014

 

6.10. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle :

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Etablissements de crédit

 

 

Comptes et emprunts

3 076

301

Dont comptes ordinaires créditeurs

2 703

87

Dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Total

3 076

301

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

31

 

Comptes et avances à terme

2 785 785

2 848 198

Total

2 785 816

2 848 198

Valeur au bilan

2 788 892

2 848 499

 

Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Comptes ordinaires créditeurs

1 295 089

1 129 506

Comptes d'épargne à régime spécial

12 273

10 447

Autres dettes envers la clientèle

577 739

609 244

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

Valeur au bilan

1 885 101

1 749 197

 

6.11. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Dettes représentées par un titre

 

 

Bons de caisse

36

77

Titres du marché interbancaire

 

 

Titres de créances négociables :

159 377

158 915

Emprunts obligataires

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

Valeur au bilan

159 413

158 992

Dettes subordonnées

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

15 444

15 418

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

Valeur au bilan

15 444

15 418

 

Émissions de dettes subordonnées. — Les émissions de dettes subordonnées entrent dans le cadre de la gestion des fonds propres prudentiels, tout en contribuant au refinancement de l’ensemble des activités de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée.

La directive et le règlement européens sur les exigences de fonds propres des établissements de crédit et des entreprises d’investissement – CRD 4/CRR définissent les conditions selon lesquelles les instruments subordonnés peuvent bénéficier du statut de fonds propres réglementaires et prévoit les modalités et les conditions de la disqualification progressive entre le 1er janvier 2014 (date d’entrée en vigueur de la CRD 4 et du CRR) et le 1er janvier 2022 des anciens instruments qui ne remplissent pas ces conditions.

Toutes les émissions de dettes subordonnées, qu’il s’agisse des nouvelles émissions ou des émissions plus anciennes, sont susceptibles de faire l’objet d’absorption de pertes par renflouement interne (“bail-in”) dans certaines circonstances et notamment en cas de résolution de la banque émettrice, conformément à l’ordonnance du 20 août 2015 portant diverses dispositions d’adaptation à la législation au droit de l’Union européenne en matière financière transposant, en droit français, la directive européenne sur le redressement et la résolution des établissements de crédit et des entreprises d’investissement (BRRD) du 15 mai 2014.

 

Les différents types de dettes subordonnées émises par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée et toujours en circulation sont détaillés ci-dessous :

— Emprunt subordonné contracté auprès de la société RADIAN le 27/06/2008, pour un nominal de 15 000 € (échéance 26/06/2018)

 

6.12. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers :

 

Compensation – Actifs financiers :

 

31/12/2016

Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des instruments financiers

Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement (1)

Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'Euros)

(a)

(b)

(c) = (a) - (b)

(d) (2) et (3)

(e) = (c) - (d)

Dérivés (4)

100 445

 

100 445

99 916

 

529

Prises en pension de titres (5)

18 157

18 157

0

 

 

0

Prêts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des actifs financiers soumis à compensation

118 602

18 157

100 445

99 916

0

529

(1) Montants compensables en application d'IAS 32.42.

(2) Ces montants ne devraient comprendre uniquement les droits de compensation exécutoires et exerçables qu'en cas de défaillance d'insolvabilité ou de faillite.

Ils ne peuvent pas être supérieurs aux soldes nets.

(3) Conformément à IFRS 7.13E et IFRS 7.B50, l’entité doit décrire les types de droits à compensation et d’accords similaires, y compris la nature de ces droits.

(4) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté.

(5) Le montant des prises en pension de titres soumis à compensation représente 100 % des prises en pension de titres à l'actif à la date d'arrêté.

 

31/12/2015

Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des instruments financiers

Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement (1)

Montants nets des actifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'Euros)

(a)

(b)

(c) = (a) - (b)

(d) (2) et (3)

(e) = (c) - (d)

Dérivés (4)

107 731

 

107 731

78 325

 

29 406

Prises en pension de titres

 

 

0

 

 

0

Prêts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des actifs financiers soumis à compensation

107 731

0

107 731

78 325

0

29 406

(1) Montants compensables en application d'IAS 32.42.

(2) Ces montants ne devraient comprendre uniquement les droits de compensation exécutoires et exerçables qu'en cas de défaillance d'insolvabilité ou de faillite.

Ils ne peuvent pas être supérieurs aux soldes nets.

(3) Conformément à IFRS 7.13E et IFRS 7.B50, l’entité doit décrire les types de droits à compensation et d’accords similaires, y compris la nature de ces droits.

(4) Le montant des dérivés soumis à compensation représente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté.

 

Compensation – Passifs financiers :

 

31/12/2016

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des instruments financiers

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement (1)

Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre-de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'Euros)

(a)

(b)

(c) = (a) - (b)

(d) (2) et (3)

(e) = (c) - (d)

Dérivés (4)

123 206

 

123 206

99 916

 

23 290

Mises en pension de titres (5)

18 188

18 157

31

 

 

31

Emprunts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des passifs financiers soumis à compensation

141 394

18 157

123 237

99 916

0

23 321

(1) Montants compensables en application d'IAS 32.42.

(2) Ces montants ne devraient comprendre uniquement les droits de compensation exécutoires et exerçables qu'en cas de défaillance d'insolvabilité ou de faillite.

Ils ne peuvent pas être supérieurs aux soldes nets.

(3) Conformément à IFRS 7.13E et IFRS 7.B50, l’entité doit décrire les types de droits à compensation et d’accords similaires, y compris la nature de ces droits.

(4) Le montant des dérivés soumis à compensation représente X % des dérivés au passif à la date d'arrêté.

(5) Le montant des mises en pension de titres soumis à compensation représente X % des mises en pension de titres au passif à la date d'arrêté.

 

31/12/2015

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des instruments financiers

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement (1)

Montants nets des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre-de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'Euros)

(a)

(b)

(c) = (a) - (b)

(d) (2) et (3)

(e) = (c) - (d)

Dérivés (4)

128 216

 

128 216

78 325

 

49 891

Mises en pension de titres

 

 

0

 

 

0

Emprunts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des passifs financiers soumis à compensation

128 216

0

128 216

78 325

0

49 891

(1) Montants compensables en application d'IAS 32.42.

(2) Ces montants ne devraient comprendre uniquement les droits de compensation exécutoires et exerçables qu'en cas de défaillance d'insolvabilité ou de faillite.

Ils ne peuvent pas être supérieurs aux soldes nets.

(3) Conformément à IFRS 7.13E et IFRS 7.B50, l’entité doit décrire les types de droits à compensation et d’accords similaires, y compris la nature de ces droits.

(4) Le montant des dérivés soumis à compensation représente X % des dérivés au passif à la date d'arrêté.

 

6.13. Actifs et passifs d’impôts courants et différés :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Impôts courants

8 306

2 021

Impôts différés (1)

16 901

21 633

Total Actifs d'impôts courants et différés

25 207

23 654

Impôts courants

126

2 737

Impôts différés

1

2

Total Passifs d'impôts courants et différés

127

2 739

(1) Dont diminution du stock d’impôts différés actifs de 2 903 milliers d’euros au titre de l’exercice 2016 liée à la publication de la loi de finance 2017 portant le taux d’imposition courant de 34 ,43% à 28,92%. Cette diminution du stock d’impôts différés est relative aux impôts différés pour lesquels le retournement est prévu à compter de l’exercice 2020.

 

Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Décalages temporaires comptables-fiscaux

17 083

0

20 960

0

Charges à payer non déductibles

1 626

 

1 741

 

Provisions pour risques et charges non déductibles

14 835

 

18 202

 

Autres différences temporaires

622

 

1 017

 

Impôts différés sur réserves latentes

961

0

827

0

Actifs disponibles à la vente

-223

 

-243

 

Couvertures de Flux de Trésorerie

431

 

592

 

Gains et pertes sur écarts actuariels

753

 

478

 

Impôts différés sur résultat

-1 143

1

-154

2

Total Impôts différés

16 901

1

21 633

2

 

Les impôts différés sont nettes au bilan par entité fiscale.

 

6.14. Comptes de régularisation actif, passif et divers :

Comptes de régularisation et actifs divers :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Autres actifs (1)

86 360

112 751

Comptes de stocks et emplois divers

25 958

30 762

Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

Débiteurs divers

60 396

81 988

Comptes de règlements

6

1

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

53 934

36 333

Comptes d'encaissement et de transfert

20 348

11 584

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

1

Produits à recevoir

25 703

24 208

Charges constatées d'avance

247

310

Autres comptes de régularisation

7 635

230

Valeur au bilan

140 294

149 084

(1) Dont 108 milliers d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention.

 

Comptes de régularisation et passifs divers :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Autres passifs (1)

28 776

27 432

Comptes de règlements

 

 

Créditeurs divers

28 776

27 296

Versement restant à effectuer sur titres

 

136

Autres passifs d'assurance

 

 

Autres

 

 

Comptes de régularisation

65 701

50 731

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

8 507

6 239

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

Produits constatés d’avance

22 135

17 811

Charges à payer

25 141

24 559

Autres comptes de régularisation

9 918

2 122

Valeur au bilan

94 477

78 163

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) Les montants sont indiqués en net.

 

6.15. Immeubles de placement :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

31/12/2016

Valeur brute

9 039

 

771

-819

 

594

9 585

Amortissements et dépréciations

-4 640

 

-668

514

 

 

-4 794

Valeur au bilan (1)

4 399

0

103

-305

0

594

4 791

(1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

31/12/2015

Valeur brute

9 365

 

34

-1 222

 

862

9 039

Amortissements et dépréciations

-4 501

 

-1 076

937

 

 

-4 640

Valeur au bilan (1)

4 864

0

-1 042

-285

0

862

4 399

(1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple.

 

La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût amorti, établie « à dire d’expert », s’élève à 6 153 milliers d’euros au 31 décembre 2016 contre 5 917 milliers d’euros au 31 décembre 2015.

 

Juste valeur des immeubles de placement

 

(En milliers d'Euros)

 

31/12/2016

31/12/2015

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques

Niveau 1

 

 

Valorisation fondée sur des données observables

Niveau 2

 

 

Valorisation fondée sur des données non observables

Niveau 3

6 153

5 606

Valeur de marché des immeubles de placement

 

6 153

5 606

 

Tous les immeubles de placement font l’objet d’une comptabilisation au coût amorti au bilan.

 

6.16. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises)

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

31/12/2016

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

130 775

 

2 642

-8 353

 

-93

124 971

Amortissements et dépréciations (1)

-101 844

 

-4 806

8 304

 

 

-98 346

Valeur au bilan

28 931

0

-2 164

-49

0

-93

26 625

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 929

 

14

-6 313

 

 

4 630

Amortissements et dépréciations

-10 008

 

-49

6 312

 

 

-3 745

Valeur au bilan

921

0

-35

-1

0

0

885

(1) Y compris amortissements sur immobilisations données en location simple.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises)

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

31/12/2015

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

130 458

 

3 379

-3 062

 

 

130 775

Amortissements et dépréciations (1)

-99 177

 

-5 636

2 969

 

 

-101 844

Valeur au bilan

31 281

0

-2 257

-93

0

0

28 931

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 845

 

84

 

 

 

10 929

Amortissements et dépréciations

-9 957

 

-51

 

 

 

-10 008

Valeur au bilan

888

0

33

0

0

0

921

(1) Y compris amortissements sur immobilisations données en location simple.

 

6.17. Provisions :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Variations de périmètre

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2016

Risques sur les produits épargne-logement

4 977

 

1 853

 

 

 

6 830

Risques d’exécution des engagements par signature

1 519

 

611

 

-1 391

 

739

Risques opérationnels

2 178

 

607

-1 343

-172

 

1 270

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

2 075

 

67

 

-64

1 218

3 296

Litiges divers

147

 

2 723

-2 643

-35

 

192

Participations

 

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

 

0

Autres risques

9 653

 

1 807

-1 323

-890

 

9 247

Total

20 549

0

7 668

-5 309

-2 552

1 218

21 574

(1) Dont 2 679 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 617 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Variations de périmètre

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2015

Risques sur les produits épargne-logement

5 053

 

1 820

 

-1 896

 

4 977

Risques d’exécution des engagements par signature

1 171

 

409

 

-61

 

1 519

Risques opérationnels

2 061

 

1 237

-648

-472

 

2 178

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

2 738

 

4

 

-52

-615

2 075

Litiges divers

114

 

33

 

 

 

147

Participations

 

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

 

0

Autres risques

8 159

 

2 942

-978

-470

 

9 653

Total

19 296

0

6 445

-1 626

-2 951

-615

20 549

(1) Dont 1 480 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 595 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail.

 

Provision épargne-logement :

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Plans d'épargne-logement

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

370 565

315 507

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

237 646

238 667

Ancienneté de plus de 10 ans

202 751

214 477

Total plans d'épargne-logement

810 963

768 651

Total comptes épargne-logement

68 124

70 206

Total Encours collectés au titre des contrats épargne-logement

879 087

838 857

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

Les encours de collecte, hors prime de l’Etat, sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2016 pour les données au 31 décembre 2016 et à fin novembre 2015 pour les données au 31 décembre 2015.

 

Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Plans d'épargne-logement

1 155

1 564

Comptes épargne-logement

4 289

5 863

Total Encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

5 444

7 427

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Plans d'épargne-logement

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

2 658

1 722

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

1 336

878

Ancienneté de plus de 10 ans

2 836

2 377

Total plans d'épargne-logement

6 830

4 977

Total comptes épargne-logement

 

 

Total Provision au titre des contrats épargne-logement

6 830

4 977

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Dotations

Reprises

31/12/2016

Plans d'épargne-logement

4 977

1 853

 

6 830

Comptes épargne-logement

 

 

 

0

Total Provision au titre des contrats épargne-logement

4 977

1 853

0

6 830

 

L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ».

 

6.18. Capitaux propres :

 

Composition du capital au 31 décembre 2016. — La Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

 

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA).

 

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

 

Les CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

 

Les CCA ne peuvent être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2016

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2016

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

459 957

459 957

459 957

Dont part du Public

 

 

 

 

Dont part Crédit Agricole S.A.

459 957

 

459 957

0

Dont part Sacam Mutualisation

 

459 957

 

459 957

Parts sociales

14 094 579

1 745 466

777 058

15 062 987

Dont 32 Caisses Locales

14 094 554

1 745 464

777 056

15 062 962

Dont 24 administrateurs de la CR

24

1

1

24

Dont Crédit Agricole S.A.

1

 

1

0

Dont Sacam Mutualisation

 

1

 

1

Dont Autres

 

 

 

 

Total

14 554 536

2 205 421

1 237 013

15 522 944

 

La valeur nominale des titres est de

— 15,25 € pour les CCA

— 15,25 € pour les parts sociales émises par la Caisse Régionale

— 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales

 

Au 31/12/2016, le montant total du capital est 30 325 milliers d’euros.

 

Résultat par action. — Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sont composés de parts sociales, et de CCA.

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

La rémunération des CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Dividendes. — Au titre de l’exercice 2016, le Conseil d’administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 24/03/2017 le paiement d’un dividende par part sociale de 0,02 euros, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale.

 

Dividendes :

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

Montant Net

Montant Net

2013

2,90

0,04

2014

3,91

0,03

2015

5,15

0,03

Prévu 2016

4,80

0,02

 

Dividendes payés au cours de l’exercice : Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 2 747 milliers d’euros en 2016.

 

Affectations du résultat et fixation du dividende 2016. — L’affectation du résultat la fixation et la mise en paiement du dividende 2016 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée du 24/03/2017.

 

Le texte de la résolution est le suivant :

L’Assemblée Générale accepte l’affectation du résultat de l’exercice 2016 proposée par le Conseil d’Administration et approuvées par Crédit Agricole SA :

 

Résultat de l’exercice à affecter

29 429 537,89 €

Distribué

2 470 253,25 €

Intérêts aux parts au taux de 1,25%

263 037,91 €

Aux Caisses locales

263 033,14 €

Aux autres souscripteurs

4,77 €

Rémunération des CCA

2 207 215,34 €

Conservé

26 959 284,64 €

Réserve légale

20 219 463,48 €

Autres réserves

6 739 821,16 €

 

6.19. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle. — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle.

L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle.

Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminée ».

Les écarts de réévaluation des portefeuilles couverts en taux sont considérés comme ayant une échéance indéterminée compte tenu de l’absence de maturité définie.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Caisse, banques centrales

32 215

 

 

 

 

32 215

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

156

 

5 466

534

 

6 156

Instruments dérivés de couverture

 

 

26 790

73 126

 

99 916

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

5 029

 

514 477

519 506

Prêts et créances sur les établissements de crédit

127 085

2 501

5 537

212 607

 

347 730

Prêts et créances sur la clientèle

227 989

365 676

1 423 309

2 494 227

1 015

4 512 216

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

59 194

 

 

 

 

59 194

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

5 184

22 460

54 571

81 065

 

163 280

Total Actifs financiers par échéance

451 823

390 637

1 520 702

2 861 559

515 492

5 740 213

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

 

638

 

638

Instruments dérivés de couverture

98

721

34 477

87 381

 

122 677

Dettes envers les établissements de crédit

387 497

766 358

812 029

823 008

 

2 788 892

Dettes envers la clientèle

1 351 121

124 855

271 289

137 836

 

1 885 101

Dettes représentées par un titre

129

178

 

159 106

 

159 413

Dettes subordonnées

481

 

14 963

 

 

15 444

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

73 071

 

 

 

 

73 071

Total Passifs financiers par échéance

1 812 397

892 112

1 132 758

1 207 969

0

5 045 236

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Caisse, banques centrales

33 368

 

 

 

 

33 368

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

160

59

5 591

496

 

6 306

Instruments dérivés de couverture

932

438

13 333

92 537

 

107 240

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

5 025

 

302 886

307 911

Prêts et créances sur les établissements de crédit

179 193

182 988

5 802

185 952

13 500

567 435

Prêts et créances sur la clientèle

231 093

363 463

1 337 340

2 406 328

1 015

4 339 239

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

67 307

 

 

 

 

67 307

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 270

8 179

72 676

105 470

 

188 595

Total Actifs financiers par échéance

514 323

555 127

1 439 767

2 790 783

317 401

5 617 401

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

 

491

162

653

Instruments dérivés de couverture

95

3 780

34 309

89 541

 

127 725

Dettes envers les établissements de crédit

414 459

871 949

799 073

763 018

 

2 848 499

Dettes envers la clientèle

1 184 551

179 180

227 538

157 928

 

1 749 197

Dettes représentées par un titre

341

 

 

158 651

 

158 992

Dettes subordonnées

480

 

14 938

0

 

15 418

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

79 286

 

 

 

 

79 286

Total Passifs financiers par échéance

1 679 212

1 054 909

1 075 858

1 169 629

162

4 979 770

 

7. — Avantages au personnel et autres rémunérations.

 

7.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Salaires et traitements (1)

31 551

30 904

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

3 626

3 534

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

1 220

1 181

Autres charges sociales

10 665

10 605

Intéressement et participation

4 953

5 242

Impôts et taxes sur rémunération

6 108

6 265

Total Charges de personnel

58 123

57 731

(1) Dont indemnités liées à la retraite pour 358 milliers d’euros au 31 décembre 2016 contre 222 milliers d’euros au 31 décembre 2015.

Dont médailles du travail pour 22 milliers d’euros au 31 décembre 2016 contre -29 milliers d’euros au 31 décembre 2015.

Dont charges relatives aux paiements à base d’actions pour 97 milliers d’euros au 31 décembre 2016 contre 0 milliers d’euros au 31 décembre2015.

 

7.2. Effectif fin de période :

 

Effectifs

31/12/2016

31/12/2015

France

830

848

Etranger

16

16

Total

846

864

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies :

— Variation dette actuarielle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Zone euro

Hors zone euro

Toutes zones

Toutes zones

Dette actuarielle au 31/12/N-1

16 373

 

16 373

16 800

Ecart de change

 

 

 

 

Coût des services rendus sur l'exercice

1 098

 

1 098

1 302

Coût financier

328

 

328

248

Cotisations employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

 

-204

Variation de périmètre

-69

 

-69

-128

Prestations versées (obligatoire)

-571

 

-571

-1 278

Taxes, charges administratives et primes

 

 

 

 

(Gains)/pertes actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1)

-37

 

-37

-119

(Gains)/pertes actuariels - liés aux hypothèses financières (1)

1 371

 

1 371

-248

Dette actuarielle au 31/12/N

18493

0

18 493

16 373

(1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d’expérience

 

— Détail de la charge comptabilisée au résultat

 

(En milliers d'euros)

31/12/2016

31/12/2015

Zone euro

Hors zone euro

Toutes zones

Toutes zones

Coût des services

1 098

 

1 098

1 098

Charge/produit d'intérêt net

26

 

26

19

Impact en compte de résultat au 31/12/N

1 124

0

1 124

1 117

 

 

— Détail des gains et pertes comptabilisés en autres éléments du résultat global non recyclables :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Zone euro

Hors zone euro

Toutes zones

Toutes zones

Réévaluation du passif (de l'actif) net

 

 

 

 

Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en autres éléments du résultat global non recyclables au 31/12/N-1

2 833

 

2 833

3298

Ecart de change

 

 

 

 

Gains/ (pertes) actuariels sur l'actif

 

 

 

-98

Gains/ (pertes) actuariels - liés aux hypothèses démographiques (1)

-37

 

-37

-119

Gains/ (pertes) actuariels - liés aux hypothèses financières (1)

1 371

 

1 371

-248

Ajustement de la limitation d'actifs

 

 

 

 

Total des éléments reconnus immédiatement en autres éléments du résultat global au 31/12/N

1 334

0

1 334

-465

(1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d'expérience.

 

— Variation de juste valeur des actifs :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Zone euro

Hors zone euro

Toutes zones

Toutes zones

Juste valeur des actifs au 31/12/N-1

14 893

 

14 893

14 686

Ecart de change

 

 

 

 

Intérêt sur l'actif (produit)

302

 

302

98

Gains/ (pertes) actuariels

 

 

 

 

Cotisations payées par l'employeur

1 259

 

1 259

1 286

Cotisations payées par les employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

 

 

Variation de périmètre

-69

 

-69

 -128

Taxes, charges administratives et primes

 

 

 

 

Prestations payées par le fonds

-571

 

-571

-1 278

Juste valeur des actifs au 31/12/N

15 814

0

15 814

14 893

 

— Variation de juste valeur des droits à remboursement :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Zone euro

Hors zone euro

Toutes zones

Toutes zones

Juste valeur des droits à remboursement au 31/12/N-1

 

 

 

 

Ecart de change

 

 

 

 

Intérêts sur les droits à remboursement (produit)

 

 

 

 

Gains/ (pertes) actuariels

 

 

 

 

Cotisations payées par l'employeur

 

 

 

 

Cotisations payées par les employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

 

 

Variation de périmètre

 

 

 

 

Taxes, charges administratives et primes

 

 

 

 

Prestations payées par le fonds

 

 

 

 

Juste valeur des droits à remboursement au 31/12/N

0

0

0

0

 

— Position nette :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Zone euro

Hors zone euro

Toutes zones

Toutes zones

Dette actuarielle fin de période

-18 493

 

-18 493

-16 373

Impact de la limitation d'actifs

 

 

 

 

Juste valeur des actifs fin de période

15 814

 

15 814

14 893

Position nette (passif) / actif fin de période

-2 679

0

-2 679

-1 480

 

— Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Zone euro

Hors zones euro

Toutes zones

Toutes zones

Taux d'actualisation (1)

1,33 %

 

1,33 %

1,96 %

Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement

1,58 % 

 

1,58 %

2,08 %

Taux attendus d'augmentation des salaires (2)

 

 

 

 

Taux d'évolution des coûts médicaux

 

 

 

 

Autres (à détailler)

 

 

 

 

(1) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de rotation du personnel. Le sous-jacent utilisé est le taux d’actualisation par référence à l’indice Iboxx AA.

(2) Suivant les populations concernées (cadres ou non cadres).

 

— Information sur les actifs des régimes - Allocations d'actifs :

 

(En milliers d'Euros)

Zone euro

Hors zone euro

Toutes zones

En %

en montant

dont coté

En %

en montant

dont coté

En %

en montant

dont coté

Actions

9,6 %

1 518

 

 

 

 

9,6 %

1 518

 

Obligations

84,1 %

13 300

 

 

 

 

84,1 %

13 300

 

Immobiliers

6,3 %

996

 

 

 

 

6,3 %

996

 

Autres actifs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au 31 décembre 2016, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de -1,8 % ;

— Une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de + 2 %.

 

7.5. Autres avantages sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 617 milliers d’euros à la fin de l’exercice 2016.

 

7.6. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 619 milliers d’euros.

 

8. — Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

 

Engagements donnés et reçus :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Engagements donnés

588 242

838 696

Engagements de financement

382 706

428 998

Engagements en faveur des établissements de crédit

1 100

29 359

Engagements en faveur de la clientèle

381 606

399 639

Ouverture de crédits confirmés

173 191

196 295

Ouverture de crédits documentaires

28

141

Autres ouvertures de crédits confirmés

173 163

196 154

Autres engagements en faveur de la clientèle

208 415

203 344

Engagements de garantie

205 536

409 698

Engagements d'ordre des établissements de crédit

126 057

327 397

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

48

48

Autres garanties (1)

126 009

327 349

Engagements d'ordre de la clientèle

79 479

82 301

Cautions immobilières

16 137

16 750

Autres garanties d'ordre de la clientèle

63 342

65 551

Autres engagements donnés

1 269 478

1 302 995

Engagements reçus

1 129 769

987 673

Engagements de financement

24 466

33 768

Engagements reçus des établissements de crédit

24 466

33 768

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

1 105 303

953 905

Engagements reçus des établissements de crédit

107 559

82 597

Engagements reçus de la clientèle

997 744

871 308

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

211 092

189 960

Autres garanties reçues

786 652

681 348

(1) Dont 126 009 milliers d’euros relatifs à la garantie Switch Assurance mise en place le 1er juillet 2016, en amendement de la garantie précédente octroyée depuis le 2 janvier 2014 pour 327 349 milliers d’euros.

 

Instruments financiers remis et reçus en garantie :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés)

 

 

Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (Banque de France, CRH …)

1 269 478

1 302 995

Titres prêtés

-821

-821

Dépôts de garantie sur opérations de marché

 

 

Autres dépôts de garantie

 

 

Titres et valeurs donnés en pension

31

 

Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie

1 268 688

1 302 174

Valeur comptable des actifs financiers reçus en garantie

 

 

Autres dépôts de garantie

 

 

Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés

 

 

Titres empruntés

 

 

Titres et valeurs reçus en pension

 

 

Titres vendus à découvert

 

 

Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés

0

0

 

L’opération de simplification capitalistique qui s’est traduite par la cession des parts CCI/CCA le 3 août 2016 s’est accompagnée de deux avenants au dispositif switch qui ont pris effet le 21 juillet 2016. Dans ce contexte, l’assiette de la garantie globale (switch) et le dépôt de gage espèces ont été en partie réduits. Ainsi, le montant plafond de la garantie a baissé à concurrence de la composante liées aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et la partie correspondante du dépôt de gage espèces a été remboursée. A l’issue de l’opération, l’entité conserve un dépôt de 42 654 milliers d’euros relatif aux exigences prudentielles liées à la mise en équivalence des participations dans Crédit Agricole Assurance détenues par Crédit Agricole S.A.

 

Au 31 décembre 2016 la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée n’a pas utilisé les titres souscrits auprès du FCT Crédit Agricole Habitat 2015 comme dispositif de refinancement.

 

Créances apportées en garantie. — Au cours de l’année 2016, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a apporté 1 269 478 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 302 995 milliers d’euros en 2015. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée a apporté :

— 761 194 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 744 852 milliers d’euros en 2015 ;

— 153 898 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 169 464 milliers d’euros en 2015 ;

— 354 386 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 388 679 milliers d’euros en 2015.

Garanties détenues et actifs reçus en garantie. — La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis.

 

9. – Juste valeur des instruments financiers.

 

La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation.

La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion d’exit price).

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des donnés de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique

Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

La hiérarchie de juste valeur des actifs et passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13.

Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers cotés sur un marché actif.

Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données et reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs et passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté.

 

Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs et passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé.

 

Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

– des actifs ou passifs à taux variable pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

– des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

– des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

– des actifs ou passifs exigibles à vue.

– des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

9.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût. — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation.

 

Actifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur :

 

(En milliers d'Euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2016

Juste valeur au 31 décembre 2016

Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers non évalués à la juste valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Prêts et Créances

4 859 946

5 000 690

0

480 583

4 520 107

Créances sur les établissements de crédit

347 730

346 310

0

346 310

0

Comptes ordinaires & prêts JJ

124 384

124 384

 

124 384

 

Comptes et prêts à terme

223 133

221 713

 

221 713

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

213

213

 

213

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

 

 

 

Autres prêts et créances

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

4 512 216

4 654 380

0

134 273

4 520 107

Créances commerciales

8 742

8 751

 

 

8 751

Autres concours à la clientèle

4 484

4 612 562

 

102 217

4 510 345

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

 

 

Titres non cotés sur un marché actif

1 023

1 011

 

 

1 011

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

 

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Avances en comptes courants d'associés

5 018

4 953

 

4 953

 

Comptes ordinaires débiteurs

12 949

27 103

 

27 103

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

163 280

179 658

179 151

351

156

Effets publics et valeurs assimilées

106 567

121 462

121 462

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

56 713

58 196

57 689

351

156

Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée

5 023 226

5 180 348

179 151

480 934

4 520 263

 

(En milliers d'Euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2015

Juste valeur au 31 décembre 2015

Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers non évalués à la juste valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Prêts et Créances

4 906 674

5 052 959

0

704 671

4 348 288

Créances sur les établissements de crédit

567 435

565 500

0

565 500

0

Comptes ordinaires & prêts JJ

175 384

175 384

 

175 384

 

Comptes et prêts à terme

378 335

376 403

 

376 403

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

13 716

13 713

 

13 713

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

 

 

 

Autres prêts et créances

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

4 339 239

4 487 459

0

139 171

4 348 288

Créances commerciales

9 804

9 813

 

 

9 813

Autres concours à la clientèle

4 309 425

4 438 198

 

100 722

4 337 476

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

 

 

Titres non cotés sur un marché actif

1 022

999

 

 

999

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

 

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Avances en comptes courants d'associés

5 067

5 002

 

5 002

 

Comptes ordinaires débiteurs

13 921

33 447

 

33 447

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

188 595

201 963

201 398

351

214

Effets publics et valeurs assimilées

108 014

119 484

119 484

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

80 581

82 479

81 914

351

214

Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée

5 095 269

5 254 922

201 398

705 022

4 348 502

 

Passifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur :

 

(En milliers d'Euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2016

Juste valeur au 31 décembre 2016

Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers non évalués à la juste valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

2 788 892

2 847 739

0

2 847 739

0

Comptes ordinaires & emprunts JJ

2 703

2 703

 

2 703

 

Comptes et emprunts à terme

2 786 158

2 845 036

 

2 845 036

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

31

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

1 885 101

1 879 058

0

1 866 785

12 273

Comptes ordinaires créditeurs

1 295 089

1 295 069

 

1 295 069

 

Comptes d'épargne à régime spécial

12 273

12 273

 

 

12 273

Autres dettes envers la clientèle

577 739

571 716

 

571 716

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

159 413

181 856

 

181 856

 

Dettes subordonnées

15 444

14 963

 

14 963

 

Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 848 850

4 923 616

0

4 911 343

12 273

 

(En milliers d'Euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2015

Juste valeur au 31 décembre 2015

Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers non évalués à la juste valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

2 848 499

2 962 684

0

2 962 684

0

Comptes ordinaires & emprunts JJ

88

88

 

88

 

Comptes et emprunts à terme

2 848 411

2 962 596

 

2 962 596

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

1 749 197

1 742 494

0

1 732 047

10 447

Comptes ordinaires créditeurs

1 129 506

1 129 494

 

1 129 494

 

Comptes d'épargne à régime spécial

10 447

10 447

 

 

10 447

Autres dettes envers la clientèle

609 244

602 553

 

602 553

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

158 992

178 818

 

178 818

 

Dettes subordonnées

15 418

14 938

 

14 938

 

Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 772 106

4 898 934

0

4 888 487

10 447

 

9.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur. — Evaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) du risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre).

L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie (Credit Value Adjustment – CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers.

L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement (Debt Value Adjustment – DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers.

Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. La probabilité de défaut est déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides.

Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation

 

Actifs financiers valorisés à la juste valeur. — Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

534

0

534

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

534

 

534

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

5 622

0

5 622

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

5 622

 

5 622

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

5 622

 

5 622

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

519 506

44 751

474 755

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

44 751

44 751

 

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

474 755

 

474 755

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

99 916

 

99 916

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

625 578

44 751

580 827

0

Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotées sur des marchés actifs pour des instruments identiques

 

 

 

 

Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables

 

 

 

 

Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

(1) Y compris 248 652 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. Titres à l’actif de la note 1.3 "Principes et méthodes comptables").

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

496

0

496

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

496

 

496

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

5 810

0

5 810

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

5 810

 

5 810

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

5 810

 

5 810

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

307 911

34 425

273 486

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

34 425

34 425

 

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

273 486

 

273 486

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

107 240

 

107 240

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

421 457

34 425

387 032

0

Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotées sur des marchés actifs pour des instruments identiques

 

 

 

 

Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables

 

 

 

 

Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

(1) Y compris 236 778 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. Titres à l’actif note 1.3 "Principes et méthodes comptables").

 

Passifs financiers valorisés à la juste valeur :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

638

0

638

0

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Instruments dérivés

638

 

638

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

122 677

 

122 677

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

123 315

0

123 315

0

Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotées sur des marchés actifs pour des instruments identiques

 

 

 

 

Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables

 

 

 

 

Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

653

0

653

0

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Instruments dérivés

653

 

653

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

127 725

 

127 725

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

128 378

0

128 378

0

Transferts issus du Niveau 1 : Prix cotées sur des marchés actifs pour des instruments identiques

 

 

 

 

Transferts issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables

 

 

 

 

Transferts issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

10. — Périmètre de consolidation au 31 décembre 2016.

 

10.1. Information sur les filiales

10.1.1. Opérations de titrisation. — Pour plus de détails sur ces opérations de titrisation et sur l’indication de la valeur comptable des actifs concernés et des passifs associés, il est possible de se reporter à la note 6.7 "Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue".

 

10.2. Composition du périmètre :

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode au 31 décembre 2016

% De contrôle et d'intérêt

31/12/2016

31/12/2015

Établissements bancaires et financiers

 

 

 

 

Compartiment de la CRCAM SUD MEDITERRANEE dans le FCT CREDIT AGRICOLE HABITAT 2015

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE A VOCATION DEPARTEMENTALE DES P.O

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE ARGELES - ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE LA CANTERRANE - SUD REART

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE COTE VERMEILLE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE PORTE DE LA SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE LA FOSSEILLE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE TET - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE PORTE DU VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE L'AGLY - FENOUILLDES - VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE FORÇA - REAL

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE THUIR

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE CONFLENT - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE RIVESALTAIS

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DU RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DES ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE D'AGLY SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE LES RIVES DE LA BASSE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE D'ARLES S/TECH

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCAL A VOCATION DEPARTEMENTALE DE L'ARIEGE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE PAYS DE FOIX ET DU CERNAIS

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE LAVELANET - QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE ARIZE - LEZE

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE COUSERANS

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

CAISSE LOCALE DE AX - TARASCON SUR ARIEGE

France

Intégration Globale

100

100

 

11. — Participations et entités structurées non consolidées.

 

11.1. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement.

Ce poste s’élève à 10 048 milliers d’euros nets au 31 décembre 2016 contre 9 629 milliers d’euros au 31 décembre 2015.

 

Au 31 décembre 2016, les principales participations non consolidées pour lesquelles le pourcentage de contrôle est supérieur à 20 % sont les suivantes :

— SAS SUD MED IMMOBILIER

— SCI CHATEAU DE CASTELNOU

— SCI SICMA

— SCI CASM

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

31/12/2015

Valeur brute au bilan

Dépréciation

% de capital détenu

Valeur brute au bilan

Dépréciation

% de capital détenu

Titres de participations non consolidés (détail)

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

SCI CHATEAU DE CASTELNOU

1 202

714

98,61

1 202

714

98,61

Autres titres de participations (> 3 % de capital détenu et > 100 MILLIERS D’EUROS)

 

 

 

 

 

 

SOFILARO

1 402

0

6,97

1 365

 

6,97

ROUSSILLON HABITAT

1 605

0

3,14

1 523

 

3,14

PYRENEES ROUSSILLON INVESTISSEMENT

115

0

17,79

137

 

15,51

SAFER GHL (GASCOGNE HAUT LANGUEDOC)

295

0

5,37

272

 

5,37

SAFER LANGUEDOC

165

0

3,07

159

 

3,07

SEMTTAX

470

228

8,20

470

228

8,20

SUD MED IMMOBILIER

197

197

100,00

197

197

100,00

Autres titres de participations (ensemble)

6 237

501

 

5 973

531

 

Valeur au bilan des titres de participation non consolidés

11 688

1 640

 

11 298

1 669

 

 

11.2. Entités structurées non consolidées. — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels.

 

Informations sur les risques associés aux intérêts détenus

 

Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités. — Au 31 décembre 2016 et au 31 décembre 2015 l’implication de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées, est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée dans les tableaux ci-dessous :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2016

Titrisation

Fonds de placement (1)

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

39 722

39 722

 

 

Prêts et créances

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

 

 

Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

39 722

39 722

0

0

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

0

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes

 

 

 

 

 

 

 

 

Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

Engagements donnés

 

 

 

 

 

 

 

 

Engagements de financement

 

 

 

 

 

 

 

 

Engagements de garantie

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Provisions - Engagements par signature

 

 

 

 

 

 

 

 

Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

Total bilan des entités structurées non consolidées

 

 

 

 

3 321 805

 

 

 

(1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Titrisation

Fonds de placement (1)

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

29 400

29 400

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et créances

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

 

 

Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

29 400

29 4000

0

0

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

0

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes

 

 

 

 

 

 

 

 

Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

Engagements donnés

 

 

 

 

 

 

 

0

Engagements de financement

 

 

 

 

 

 

 

 

Engagements de garantie

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Provisions - Engagements par signature

 

 

 

 

 

 

 

 

Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

Total bilan des entités structurées non consolidées

 

 

 

 

2 231 084

 

 

 

(1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt.

 

Exposition maximale au risque de perte. — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de crédit default swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to-market. L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspond au montant du notionnel et la provision sur engagements donnés au montant comptabilisé au bilan.

 

12. — Événements postérieurs au 31 décembre 2016.

 

Les travaux d’impairment tests menés par Crédit agricole SA ont conduit à une dépréciation de l’écart d’acquisition sur LCL et ont fait l’objet d’une communication le 20 janvier 2017. Les valorisations issues de ces travaux ont des conséquences sur les comptes et la valorisation de Sacam Développement (détentrice de participations dans LCL, CACIB et Amundi) et Sacam International (détentrice de participations dans Cariparma et la banque arménienne ACBA)

 

Au niveau de Sacam Développement, nous constatons une dépréciation complémentaire sur LCL compensée pour partie par le résultat courant de Sacam Développement et la revalorisation des titres Amundi. En conséquence, la valeur de l’action Sacam Développement baisse de 1,76% et s’établit à 39,10 € contre 39,80 € précédemment (soit une baisse de valeur de 13,4 M€ pour l’ensemble des Caisses régionales). Cette valeur reste supérieure au prix de revient des actions Sacam Développement détenues par les Caisses régionales (38,30 €).

 

Au niveau de Sacam International, nous constatons une dépréciation complémentaire sur Cariparma compensée pour partie par le résultat courant de Sacam International et la revalorisation des titres ACBA. En conséquence, la valeur de l’action Sacam International baisse de 1,61% et s’établit à 9,78 € contre 9,94 € précédemment. Les titres Sacam International faisant déjà l’objet de provisions dans les comptes sociaux des Caisses régionales, une dépréciation complémentaire est à constituer ; elle représente 9,6 M€ au global pour les Caisses régionales et 127 K€ pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud-Méditerranée.

 

Les comptes de 2016 ne sont pas modifiés, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée procèdera au changement de valeur sur le 1er trimestre 2017 conformément aux recommandations du Groupe (Lettre jaune 2016-148), l’impact n’étant pas significatif.

 

IV. – Rapport des  Commissaires aux comptes sur les comptes consolidés.

(Exercice clos le 31 décembre 2016)

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2016 sur :

 

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— la vérification spécifique prévue par la loi.

 

Les comptes consolidés ont été arrêtés par votre Conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les entités comprises dans la consolidation.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants.

Estimations comptables :

— Votre Groupe constitue des dépréciations pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités (notes 1.3, 3.1, 4.8 et 6.5 de l’annexe). Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la Direction relatif au suivi des risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par dépréciations sur base individuelle et collective.

— Votre Groupe détient des positions sur titres et sur instruments financiers. La note 1.3 de l’annexe expose les règles et méthodes comptables relatives à ces titres et instruments financiers. Nous avons examiné le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre Caisse Régionale et des informations fournies dans les notes de l’annexe, et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

— Votre Groupe comptabilise des dépréciations sur des actifs financiers disponibles à la vente selon les modalités décrites dans la note 1.3 de l’annexe. Nous avons examiné le dispositif de contrôle mis en place par la Direction, relatif à l’identification d’indices de perte de valeur, la valorisation des lignes les plus significatives, ainsi que les estimations ayant conduit, le cas échéant, à la couverture des pertes de valeur par des dépréciations. Nous avons vérifié le caractère approprié de l’information fournie dans la note 6.4 de l’annexe

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations données dans le rapport sur la gestion du groupe.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

Labège et Toulouse, le 8 mars 2017.

 

Les Commissaires aux comptes :

 

 

1701525

15/03/2017 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 1700603
Texte de l'annonce :

1700603

15 mars 2017BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°32


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code rural au capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 Décembre 2016

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

32 215

Effets publics et valeurs assimilées

106 567

Créances sur les établissements de crédits

3 460

Opérations internes au Crédit agricole

343 507

Opérations avec la clientèle

4 404 313

Obligations et autres titres à revenu fixe

160 780

Actions et autres titres à revenu variable

38 895

Participations et autres titres détenus à long terme

477 159

Parts dans les entreprises liées

718

Immobilisations corporelles et incorporelles

32 179

Autres actifs

95 343

Comptes de régularisation

72 221

Total de l’actif

5 767 357

 

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

3 077

Opérations internes au Crédit agricole

2 793 588

Comptes créditeurs de la clientèle

1 886 561

Dettes représentées par un titre

150 307

Autres passifs

28 949

Comptes de régularisation

103 848

Provisions pour risques et charges

62 526

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 895

Fonds pour risques bancaires généraux

34 557

Capitaux propres hors FRBG

682 049

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

524 367

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 767 357

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

588 242

Engagements de financements

382 706

Engagements de garantie

205 536

Engagements sur titres

0

Engagements reçus

1 054 694

Engagements de financements

24 466

Engagements de garantie

1 030 228

Engagements sur titres

0

 

 

 

1700603

09/11/2016 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 5124
Texte de l'annonce :

1605124

9 novembre 2016BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°135


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 - code APE 651 D.

Situation au 30 septembre 2016

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

32 883

Effets publics et valeurs assimilées

108 426

Créances sur les établissements de crédits

4 106

Opérations internes au Crédit agricole

333 076

Opérations avec la clientèle

4 355 584

Obligations et autres titres à revenu fixe

176 929

Actions et autres titres à revenu variable

38 936

Participations et autres titres détenus à long terme

478 208

Parts dans les entreprises liées

718

Immobilisations corporelles et incorporelles

32 492

Autres actifs

112 026

Comptes de régularisation

56 634

Total de l’actif

5 730 018

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

214

Opérations internes au Crédit agricole

2 744 613

Comptes créditeurs de la clientèle

1 900 459

Dettes représentées par un titre

153 999

Autres passifs

22 752

Comptes de régularisation

103 162

Provisions pour risques et charges

64 582

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 631

Fonds pour risques bancaires généraux

36 557

Capitaux propres hors FRBG

682 049

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

524 367

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 730 018

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

597 632

Engagements de financements

391 304

Engagements de garantie

206 322

Engagements sur titres

6

Engagements reçus

1 020 307

Engagements de financements

24 998

Engagements de garantie

995 303

Engagements sur titres

6

 

 

1605124

27/07/2016 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 4087
Texte de l'annonce :

1604087

27 juillet 2016BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°90


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335. — Code APE 651 D.

 

 

Situation au 30 Juin 2016.

(En milliers d’Euros.)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

34 125

Effets publics et valeurs assimilées

107 847

Créances sur les établissements de crédits

4 477

Opérations internes au Crédit agricole

366 846

Opérations avec la clientèle

4 337 297

Obligations et autres titres à revenu fixe

176 760

Actions et autres titres à revenu variable

28 927

Participations et autres titres détenus à long terme

288 266

Parts dans les entreprises liées

718

Immobilisations corporelles et incorporelles

33 315

Autres actifs

104 663

Comptes de régularisation

45 736

Total de l’actif

5 528 977

 

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

215

Opérations internes au Crédit agricole

2 660 710

Comptes créditeurs de la clientèle

1 799 633

Dettes représentées par un titre

151 887

Autres passifs

24 899

Comptes de régularisation

86 036

Provisions pour risques et charges

65 622

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 369

Fonds pour risques bancaires généraux

36 557

Capitaux propres hors FRBG

682 049

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

524 367

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 528 977

 

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

818 026

Engagements de financements

402 094

Engagements de garantie

415 932

Engagements sur titres

0

Engagements reçus

977 754

Engagements de financements

25 191

Engagements de garantie

952 563

Engagements sur titres

0

 

 

1604087

20/05/2016 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 2381
Texte de l'annonce :

1602381

20 mai 2016BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°61


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

( ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 mars 2016

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

33 067

Effets publics et valeurs assimilées

108 587

Créances sur les établissements de crédits

3 590

Opérations internes au Crédit agricole

558 710

Opérations avec la clientèle

4 269 917

Obligations et autres titres à revenu fixe

184 601

Actions et autres titres à revenu variable

28 927

Participations et autres titres détenus à long terme

276 448

Parts dans les entreprises liées

718

Immobilisations corporelles et incorporelles

33 130

Autres actifs

105 547

Comptes de régularisation

54 893

Total de l’actif

5 658 135

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

627

Opérations internes au Crédit agricole

2 852 983

Comptes créditeurs de la clientèle

1 747 616

Dettes représentées par un titre

152 849

Autres passifs

33 909

Comptes de régularisation

69 218

Provisions pour risques et charges

66 288

Dettes subordonnées et titres participatifs

22 039

Fonds pour risques bancaires généraux

30 557

Capitaux propres hors FRBG

682 049

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

524 367

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 658 135

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

821 942

Engagements de financements

410 542

Engagements de garantie

411 400

Engagements sur titres

0

Engagements reçus

992 853

Engagements de financements

83 794

Engagements de garantie

909 059

Engagements sur titres

0

 

 

1602381

06/05/2016 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N1)
Numéro d'affaire : 1913
Texte de l'annonce :

1601913

6 mai 2016BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°55


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural.

Capital social au 31 décembre 2015 : 28 057 377 Euros.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 Code APE 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2015

 

Comptes annuels approuvés par l'assemblée générale ordinaire du 24 mars 2016.

A. — Comptes individuels 31 décembre 2015.

 

Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en date du 10 Février 2016 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 24 Mars 2016

 

I. — Bilan au 31 décembre 2015.

(En milliers d'Euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2015

31/12/2014

Opérations interbancaires et assimilées

 

143 614

145 013

Caisse, banques centrales

 

33 368

33 639

Effets publics et valeurs assimilées

5

108 013

109 457

Créances sur les établissements de crédit

3

2 233

1 917

Opérations internes au Crédit Agricole

3

564 238

241 469

Opérations avec la clientèle

4

4 238 230

4 332 658

Opérations sur titres

 

213 630

111 317

Obligations et autres titres à revenu fixe

5

184 703

97 361

Actions et autres titres à revenu variable

5

28 927

13 956

Valeurs immobilisées

 

311 253

305 315

Participations et autres titres détenus à long terme

6-7

276 428

267 687

Parts dans les entreprises liées

6-7

718

761

Immobilisations incorporelles

7

921

889

Immobilisations corporelles

7

33 186

35 978

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

172 073

174 811

Autres actifs

8

115 148

113 602

Comptes de régularisation

8

56 925

61 209

Total actif

 

5 643 038

5 310 583

 

Passif

Notes

31/12/2015

31/12/2014

Opérations interbancaires et assimilées

 

301

1 876

Banques centrales

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

10

301

1 876

Opérations internes au Crédit Agricole

10

2 851 656

2 678 114

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 750 276

1 634 249

Dettes représentées par un titre

12

150 340

152 359

Comptes de régularisation et passifs divers

 

89 605

85 228

Autres passifs

13

29 770

26 155

Comptes de régularisation

13

59 835

59 073

Provisions et dettes subordonnées

 

88 507

85 788

Provisions

14-15-16

66 643

68 217

Dettes subordonnées

18

21 864

17 571

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17

27 557

17 557

Capitaux propres hors FRBG

19

684 796

655 412

Capital souscrit

 

28 057

28 057

Primes d'émission

 

129 625

129 625

Réserves

 

495 535

473 769

Ecart de réévaluation

 

 

 

Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

 

 

Report à nouveau

 

 

 

Résultat de l'exercice

 

31 579

23 961

Total passif

 

5 643 038

5 310 583

 

Hors-bilan

Notes

31/12/2015

31/12/2014

Engagements donnés

 

838 695

804 335

Engagements de financement

25

428 998

392 323

Engagements de garantie

25

409 697

411 654

Engagements sur titres

25

 

358

Engagements reçus

 

907 398

1 102 406

Engagements de financement

25

33 768

250 000

Engagements de garantie

25

873 630

852 048

Engagements sur titres

25

 

358

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

— Opérations de change au comptant et à terme : note 22

— Opérations sur instruments financiers à terme : note 23.

 

 II. — Compte de résultat au 31 décembre 2015.

 

(En milliers d'Euros)

Notes

31/12/2015

31/12/2014

Intérêts et produits assimilés

28-29

180 449

174 850

Intérêts et charges assimilées

28

-79 536

-81 897

Revenus des titres à revenu variable

29

7 889

7 570

Commissions (produits)

30

73 872

77 358

Commissions (charges)

30

-15 951

-13 432

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

31

118

-23

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

32

-225

102

Autres produits d’exploitation bancaire

33

1 093

3 347

Autres charges d’exploitation bancaire

33

-355

-1 049

Produit net bancaire

 

167 354

166 826

Charges générales d’exploitation

34

-94 443

-91 938

Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

-5 895

-7 141

Résultat brut d'exploitation

 

67 016

67 747

Coût du risque

35

-8 439

-24 747

Résultat d'exploitation

 

58 577

43 000

Résultat net sur actifs immobilisés

36

-468

-474

Résultat courant avant impôt

 

58 109

42 526

Résultat exceptionnel

37

 

 

Impôt sur les bénéfices

38

-16 530

-13 565

Dotations / Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

-10 000

-5 000

Résultat net de l'exercice

 

31 579

23 961

 

 

III. — Annexes.

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice.

 

1.1. Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée, 32 Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2015, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même 56,70 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,15 %.

Par ailleurs, Crédit Agricole S.A. détient 4 027 798 actions propres au 31 décembre 2015, soit 0,15 % de son capital, contre 4 855 393 actions propres au 31 décembre 2014.

Pour sa part Crédit Agricole S.A. détient 25 % du capital sous la forme de Certificats Coopératifs d’Associés et/ou de Certificats Coopératifs d’Investissement émis par la Caisse régionale.

Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit Agricole S.A. à hauteur de leurs fonds propres.

 

1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole. — L'appartenance de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ».

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroir) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

Le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l’année 2014 (directive BRRD et règlement sur le mécanisme de résolution unique transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit.

Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public.

Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient.

Ce dispositif européen de résolution, dont les principales dispositions ont été partiellement adoptées de manière anticipée par la loi de séparation et de régulation des activités bancaires du 26 juillet 2013, ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution, dans la mesure où, en tant qu’organe central et membre du réseau, il doit prendre toute mesure nécessaire pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque membre du Réseau comme de l’ensemble. Ainsi, chaque membre du Réseau (en ce compris Crédit Agricole S.A.) bénéficie de cette solidarité financière interne.

L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du Réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution.

Dans la conduite de son action en tant qu’autorité de résolution, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution doit respecter le principe fondamental selon lequel aucun créancier ne doit, en résolution, subir de pertes plus importantes que celles qu’il aurait subies si l’entité concernée avait été liquidée selon une procédure normale d’insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation – NCWOL – prévu à l’article L. 613-31-16 II du Code monétaire et financier et à l’article 73 de la directive BRRD). La nécessité de respecter ce principe conduit Crédit Agricole S.A. à considérer que l’existence de la garantie accordée en 1988 par les Caisses régionales au bénéfice des créanciers de Crédit Agricole S.A. devra être prise en compte par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, sans qu’il soit possible de préjuger des modalités de cette prise en compte

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) : Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 et complété par avenant signé le 19 décembre 2013, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les nouvelles garanties ont pris effet le 2 janvier 2014, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve d’une résiliation anticipée totale ou partielle, ou d’une prorogation selon les dispositions prévues au contrat.

 

A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant.

Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurance (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme.

Ainsi, le dispositif protège Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées, moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnité compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur globale de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

Comptablement, les garanties sont des engagements de hors-bilan assimilables à des garanties données à première demande. Leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement sont respectivement reconnus en Coût du risque.

Cette garantie Switch a été mise en œuvre pour la première fois le 30 juin 2015 (voir note 1.3 relative aux événements significatifs de la période).

 

1.3. Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2015. — Dans un contexte économique en légère reprise, l’activité commerciale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée a été plus soutenue au cours de cette année en particulier en matière de collecte, d’assurance et de réalisations crédit.

 

L’opération « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 » réalisée le 21 octobre 2015, a impacté les comptes sociaux de la Caisse Régionale sur les compartiments crédits clientèle et titres d’investissement.

Sur 2015, les concours à la clientèle sont en baisse de 100 M€ (-2,2 %) pour s’établir à 4 381 M€ hors créances rattachées. Cette diminution s’explique par la cession le 21 octobre 2015 d’un portefeuille de crédits habitat pour un montant de 92 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2015 et la baisse des encours de la succursale. Au cours de l’exercice, les réalisations crédit ont été soutenues, soit 749 millions d’euros en hausse de 28 % par rapport à 2014, mais le contexte de taux bas a favorisé de nombreux remboursements anticipés.

Sous l’effet de la forte progression de l’épargne centralisée +5,1 %, notamment des dépôts à vue et de l’épargne bancaire, la collecte globale au 31 Décembre 2015 s’établit à 6 975 M€ en hausse de 3,1 % par rapport à 2014.

Au cours de l’exercice 2015, la Caisse Régionale a réalisé un programme d’achat de titres HQLA (OPCVM) pour un montant total de 15 M€, et augmenté le compte cash LCR de 50 M€, le portant à 75 M€, afin de respecter les contraintes réglementaires BALE III en matière de liquidité.

Enfin, la Caisse Régionale a souscrit 325 M€ d’avances globales et a annulé 180 M€ d’accord de refinancement CASA dont 180 millions ont été réalisés avec replacement.

 

Eléments significatifs ayant une incidence sur le compte de résultat.

 

— Le résultat bénéficiaire de Crédit Agricole SA en 2014 a permis le versement de dividendes, ainsi en 2015 la Caisse Régionale Sud Méditerranée a perçu des dividendes SAS Rue la Boétie (6,7 M€) et d’autres participations du Groupe pour un total de 7,5 M€.

 

— En 2015, la baisse des intérêts de créance est essentiellement liée à la baisse des taux, associée à une baisse des encours (succursale Espagne) ainsi qu’à un fort niveau de remboursements anticipés. Ces produits sont impactés par la cession de créances dans le cadre de l’opération de Titrisation à hauteur de 0,675 M€. Le compartiment crédit est bonifié des intérêts des créances aux collectivités publiques (A3C) pour environ 5 M€. En parallèle le coût de la couverture de ces crédits augmente pour un coût similaire. Enfin, la diminution des intérêts est compensée par des indemnités de remboursements anticipés et de réaménagement.

 

— Les commissions sont en baisse d’environ 0,7 M€ essentiellement sur le fonctionnement des comptes.

– La Caisse Régionale a enregistré dans ses comptes près de 1,45 M€ au titre du Crédit d’impôt compétitivité venant en déduction des charges de personnel.

– L’enveloppe d’intéressement en hausse de 0,5 M€ soit + 10 % traduit le bon niveau de résultat.

– Les autres frais de fonctionnement hors amortissement sont en hausse essentiellement sur la charge informatique CATS ainsi que sur les frais d’entretien des immeubles et la sous-traitance suite à de nouvelles coopérations. En effet, le périmètre des coopérations engagées depuis 2010 a été élargi en 2015 à l’activité monétique et renforcé pour Bâle II.

– En 2015, les créances douteuses et litigieuses sont en baisse de 12,7 M€ par rapport au 31 décembre 2014, aussi bien en France que sur la succursale. Les provisions s’élèvent à 180,6 M€ assurant un taux de couverture de 59,2 % à fin Décembre 2015.

– Le coût du risque est en très forte baisse par rapport à l’année 2014, mais la situation reste encore fragile tant en France que sur la succursale Espagne. Sur l’activité Marchands de biens de la succursale, 38 nouveaux biens ont été saisis sur l’exercice et malgré la vente de 42 biens, une forte hausse des dépréciations est constatée avec plus de 5,3 M€ enregistrées sur 2015. Le stock s’établit à 280 biens pour un montant total de 56,2 M€. Au total le taux de couverture sur les MDB s’établit à 51,1%.

– Une reprise de la dotation sur Sacam international a été enregistrée en 2015 pour 524 K€.

– La Caisse régionale a comptabilisé un complément de dépréciation de l’avance en compte courant auprès de sa filiale immobilière pour 0,26 M€, traduisant leur situation nette négative.

– Une dotation complémentaire au Fonds pour Risques Bancaires et Généraux de 10 M€ a été constitué afin de renforcer ses fonds propres et se prémunir contre des risques futurs de toute nature.

 

– La charge fiscale est en hausse de 21,9 % suite à l’augmentation du résultat courant.

 

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA (Switch) : Au cours de l’exercice 2015, la valeur globale de mise en équivalence des participations couvertes par le dispositif a respectivement subi une baisse au 30 juin 2015 entraînant un appel de la garantie, puis une hausse au 30 septembre 2015 se matérialisant par un retour total à meilleure fortune. Ainsi, l’indemnité versée au titre du 30 juin 2015 pour un montant de 1,9 millions d’euros a été remboursée par Crédit Agricole SA en intégralité en date du 1er décembre par imputation sur le dépôt de garantie de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée. Cela s’est traduit, dans les comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, par la comptabilisation en résultat au second trimestre, d’une charge en coût du risque de 2,4 millions d’euros, et par l’annulation de ces impacts dans les mêmes agrégats du compte de résultat du troisième trimestre.

 

— Opération de titrisation : Le 21 octobre 2015, avec l'opération « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 », le Groupe a initié une opération de titrisation portant sur les créances habitat des 39 Caisses régionales. Cette transaction est le premier RMBS réalisé en France par le Groupe avec cession « true sale » des créances habitat.

Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 » pour un montant de 9,932 milliards d’euros et une souscription le même jour par les établissements ayant cédé les crédits, des titres émis par le FCT pour un montant de 10 milliards d’euros se répartissant en 8,6 milliards d’euros d’obligations senior et 1,4 milliards d’euros de titres subordonnés.

Dans le cadre de cette titrisation interne au Groupe, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéea cédé, à l’origine, un portefeuille de crédits habitat pour un montant de 92 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2015. Elle a souscrit des obligations seniors pour 80 millions d’euros et des titres subordonnés pour 13 millions d’euros. Une période de 5 ans de rechargements mensuels des créances est prévue pour compenser au mieux l’amortissement du portefeuille de crédits habitat.

 

1.4. Evénements postérieurs à la clôture. — Aucun évènement postérieur à la clôture n’est à constater pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

 

Les états financiers de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

La présentation des états financiers de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 qui, à partir des exercices ouverts au 1er janvier 2015, regroupe à droit constant dans un règlement unique l’ensemble des normes comptables applicables aux établissements de crédit.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :

 

Règlements

Date de publication par l’Etat français

Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du

Applicable dans la Caisse Régionale Sud Méditerranée

Règlement ANC relatif à la comptabilisation des certificats d’économie d’énergie

4 Octobre 2012 2012-04

1er janvier 2015 (modifiée par le règlement ANC N° 2013-02)

Non

Règlement ANC relatif à la comptabilisation des terrains et carrières et des redevances de fortage

2 octobre 2014 N° 2014-05

1er janvier 2015 ou par anticipation au 1er janvier 2014

Non

Règlement ANC relatif au plan comptable des organismes de placement collectif immobilier

2 octobre 2014 N° 2014-06

1er janvier 2015 ou par anticipation au 1er janvier 2014

Non

Règlement ANC relatif aux comptes des entreprises du secteur bancaire

26 novembre 2014 N° 2014-07

1er janvier 2015

Oui

Règlement ANC relatif aux comptes des comités d’entreprises des comités centraux d’entreprises et des comités interentreprises relevant de l’article L 2325-45 du code du travail

02 avril 2015 N°2015-01

1er janvier 2015

Non

Règlements

Date de publication par l’Etat français

Date de 1ere application : exercices ouverts à compter du

Applicable dans la Caisse Régionale Sud Méditerranée

Règlement ANC relatif aux documents comptables des comités d’entreprises des comités centraux d’entreprises et des comités interentreprises relevant de l’article L 2325-46 du code du travail

02 avril 2015 N°2015-02

1er janvier 2015

Non

Règlement ANC relatif aux comptes annuels établis par les organismes paritaires collecteurs de la formation

07 mai 2015 N°2015-03

1er janvier 2015

Non

Règlement ANC relatif aux comptes annuels des organismes de logement social Chapitre 4 – Les opérations de fusion et opérations assimilées Chapitres 1 à 3 et chapitres 5 à 7

04 juin 2015 N°2015-04

1er janvier 2015 1er janvier 2016 ou par anticipation au 1er janvier 2015

Non

 

Ces textes n’entrainent aucun changement de méthode comptable pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

 

2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014

Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours :

– les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ;

– les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ;

– les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle.

Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle).

Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale.

En application de l’article 2131-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l’encours de crédit concerné.

Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds.

Les avances accordées par Crédit Agricole S.A. aux Caisses régionales ne présentent pas pour Crédit Agricole S.A. un risque direct sur les bénéficiaires des prêts à la clientèle distribués par les Caisses régionales, mais éventuellement un risque indirect sur la solidité financière de celles-ci. A ce titre, Crédit Agricole S.A. n'a pas constitué de dépréciation sur les avances aux Caisses régionales.

L‘application du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 conduit Crédit Agricole S.A. à comptabiliser les créances présentant un risque d’impayé conformément aux règles suivantes. L’utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d’apprécier l’existence d’un risque de crédit.

 

Créances restructurées. — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.) afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

Elles concernent les créances classées en défaut et les créances saines, au moment de la restructuration.

Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité,

La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l’enregistrement d’une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre :

– la valeur nominale du prêt ;

– et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d’intérêt.

Les crédits restructurés font l’objet d’une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement au plus tard au bout de trente jours d’impayés.

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée s’élève à 32 208 milliers d’euros au 31 décembre 2015 contre 31 388 milliers d’euros au 31 décembre 2014. Sur ces prêts des décotes sont comptabilisées pour un montant de 44 milliers d’euros.

 

Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements, et sur des preneurs de crédit-bail immobilier pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits)

– la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré,

– il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Pour les découverts, l’ancienneté de l’impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l’établissement ou qu’il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l’établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu’il a tiré des montants sans autorisation de découvert.

Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l’établissement peut décompter l’ancienneté de l’impayé lorsque le découvert a fait l’objet de la part de l’établissement d’une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéedistingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

– Créances douteuses non compromises :

– Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

— Créances douteuses compromises :

Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Pour les créances douteuses l’enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise.

 

— Dépréciations au titre du risque de crédit avéré. — Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l’actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Les pertes probables relatives aux engagements hors-bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

— Traitement comptable des dépréciations. — Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrits dans la marge d’intérêt.

 

— Provisions au titre du risque de crédit non affecté individuellement. — Par ailleurs, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéea également constaté, au passif de son bilan, des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement telles que les provisions Risques pays ou les provisions sectorielles généralement calculées à partir des modèles Bâlois.

Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement.

 

— Risques-pays. — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays ». (Note de la Commission Bancaire du 24 décembre 1998).

 

Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d’origine.

Passage en perte

L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéele détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité.

 

2.2. Portefeuille Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par les articles 2311-1 à 2391-1 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) ainsi que par les articles 2211-1 à 2251-13 (Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe.

Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable.

Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

Titres de placement. — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus.

— Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d’acquisition, coupon couru à l’achat inclus.

La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre.

Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

— Actions et autres titres à revenu variable :Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ».

Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique.

A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d’acquisition et la valeur de marché. Ainsi lorsque la valeur d’inventaire d'une ligne ou d’un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l’article 2514-1 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, prenant la forme d’achats ou de ventes d’instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées.

En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres :

– s’il s’agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéedispose d’informations particulières sur la situation financière de l’émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ;

– s’il s’agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré).

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat.

 

Titres d'investissement. — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance.

Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéedispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d’acquisition et coupons inclus.

La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre.

Il n’est pas constitué de dépréciation des titres d’investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l’émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du Titre 2 Traitement comptable du risque de crédit du Livre II Opérations particulières, du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014; elle est enregistrée dans la rubrique «Coût du risque».

En cas de cession de titres d’investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l’établissement n’est plus autorisé, pendant l’exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d’investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément à l’article 2341-2 du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

 

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu’elle permet d’exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d’en assurer le contrôle.

— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d’acquisition frais inclus.

A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d’utilité.

Celle-ci représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention.

L’estimation de la valeur d’utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l’entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre.

Lorsque la valeur d’utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l’objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes.

Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique «Résultat net sur actifs immobilisés».

 

Prix de marché. — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

– les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent,

– si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéedétermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéeutilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

Dates d’enregistrement. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Reclassement de titres. — Conformément aux articles 2381-1 à 2381-5 (Titre 3 Comptabilisation des opérations sur titres du Livre II Opérations particulières) du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, il est autorisé d’opérer les reclassements de titres suivants :

– du portefeuille de transaction vers le portefeuille d’investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l’établissement a l’intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance

– du portefeuille de placement vers le portefeuille d’investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a pas opéré, en 2015, de reclassement au titre du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

 

2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 par rapport à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Elle applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Le coût d’acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d’achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l’acquisition pour la mise en état d’utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ».

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition.

Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’achèvement.

A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéesur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante.

 

2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes :

– dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit,

– comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole,

– comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière).

Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables et emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ».

 

Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique : « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes :

– soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er Janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10 % du prix d'émission ;

– soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er Janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10 % du prix d'émission.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique également la méthode d’étalement des frais d’emprunts dans ses comptes individuels.

Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ».

 

2.6. Provisions. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 pour la comptabilisation et l’évaluation des provisions.

Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers.

Les provisions incluent également les risques-pays. L’ensemble de ces risques fait l’objet d’un examen trimestriel.

Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d’opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement.

La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

– le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

– la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

 

Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale Crédit Agricole Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire.

 

Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice.

 

2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions du Titre 5 Les instruments financiers à terme du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

 

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie :

— Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07 sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable.

Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07. sont inscrits prorata temporis dans la rubrique : « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés.

— Opérations de marché : Les opérations de marché regroupent :

– Les positions ouvertes isolées (catégorie « a » article 2522-1 du règlement ANC 2014-07)

– La gestion spécialisée d’un portefeuille de transaction (catégorie « d » article 2522 du règlement ANC 2014-07)

Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture.

Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s’il existe un marché actif, ou à l’aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l’absence de marché actif.

Pour les instruments

En position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

– En position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, seules les pertes latentes éventuelles sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement.

– Faisant partie d’un portefeuille de transaction, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

 

— Risque de contrepartie sur les dérivés. — Conformément au règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée intègre l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories a et d de l’article 2522-1. du règlement précité) font l’objet d’un calcul de CVA.

Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables.

Elle repose :

– prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels

– en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d’une approximation fondée sur la base d’un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région.

Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés.

— Opérations complexes : Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d’instruments (de types, natures et modes d’évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d’une réglementation explicite et qui implique, de la part de l’établissement, un choix de principe.

 

2.9. Opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors-bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les produits perçus et les charges payés sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture.

Les dotations aux succursales, les immobilisations des implantations à l'étranger, les titres d'investissement et de participation en devises achetés contre euros sont convertis en euros au cours du jour de la transaction. Une provision peut être constituée lorsque l’on constate une dépréciation durable du cours de change relative aux participations de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée à l’étranger.

A chaque arrêté, les opérations de change à terme sont évaluées au cours à terme restant à courir de la devise concernée. Les gains ou les pertes constatées sont portés au compte de résultat sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de négociation – Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés ».

Dans le cadre de l'application du Titre 7 Comptabilisation des opérations en devises du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multi-devises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Le montant global de la position de change opérationnelle de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée s'établit à 5 K€.

 

2.10. Intégration des succursales à l’étranger. — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées.

Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques.

Les règles de conversion en euros sont les suivantes :

– les postes de bilan sont convertis au cours de clôture,

– les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture.

Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ».

 

2.11. Engagements hors-bilan. — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus.

Le cas échéant, les engagements donnés font l’objet d’une provision lorsqu’il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie.

Ces éléments sont toutefois détaillés dans l’annexe aux notes 25 et 26.

 

2.12. Participation des salariés aux fruits de l’expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l’expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né.

 

L’intéressement est couvert par l’accord du 06 Juin 2014.

La participation et l'intéressement figurent dans les «Frais de personnel».

 

2.13. Avantages au personnel postérieurs à l’emploi. — Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies

 

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a appliqué, à compter du 1er janvier 2013, la recommandation 2013-02 de l’Autorité des normes comptables du 07 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014.

En application de ce règlement, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a opté pour la méthode 2 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatées au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation.

Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l’exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime, par conséquent le montant de la provision est égal à :

- la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement,

- majoré des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler,

- diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Plans de retraite – régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

Par conséquent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « frais de personnel ».

 

2.14. Stock-options et souscription d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’Epargne Entreprise

 

Souscriptions d’actions dans le cadre du plan d’Epargne Entreprise. — Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 20 %, ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevées d’une période d’incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d’actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

 

2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 % ainsi que la majoration exceptionnelle d'impôt sur les sociétés de 10,7 % due par les entreprises réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 250 millions d’euros.

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d’intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, chacune des sociétés intégrées constate dans ses comptes la dette d’impôt dont elle aurait été redevable en l’absence d’intégration fiscale.

En raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôts pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel et non en diminution de l’impôt.

 

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit – analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

≤ 3mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

1 820

 

 

 

1 820

 

1 820

1 504

A terme

200

 

 

 

200

 

200

200

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

213

213

 

213

213

Total

2 020

 

 

213

2 233

 

2 233

1 917

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

2 020

 

 

213

2 233

 

2 233

1 917

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

172 600

 

 

 

172 600

 

172 600

72 187

Comptes et avances à terme

1 674

182 988

5 802

185 739

376 203

1 932

378 135

155 779

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

13 500

13 500

3

13 503

13 503

Total

174 274

182 988

5 802

199 239

562 303

1 935

564 238

241 469

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

174 274

182 988

5 802

199 239

562 303

1 935

564 238

241 469

Total

176 294

182 988

5 802

199 452

564 536

1 935

566 471

243 386

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 13 716 milliers d’euros ;

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 32 463 milliers d’euros.

Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n’est éligible au refinancement de la banque centrale.

— Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

Note 4. – Opérations avec la clientèle.

 

4.1. Opérations avec la clientèle – analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

≤3mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Créances commerciales

4 179

5 634

 

 

9 813

 

9 813

10 335

Autres concours à la clientèle

267 700

368 973

1 351 020

2 349 738

4 337 431

38 091

4 375 522

4 474 800

Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires débiteurs

33 447

 

 

 

33 447

99

33 546

35 478

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-180 651

-187 955

Valeur nette au bilan

305 326

374 607

1 351 020

2 349 738

4 380 691

38 190

4 238 230

4 332 658

 

Commentaires : La diminution de la ligne « Autres concours à la clientèle » s’explique pour 92 millions d’euros par la participation à la Titrisation décrite en note 1.3 Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2015.

Aucun prêt subordonné et participatif ne sont consentis à la clientèle.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 1 015 milliers d’euros.

Parmi les créances sur la clientèle 675 065 milliers d’euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2015 contre 813 430 milliers d’euros au 31 décembre 2014.

Le montant des créances restructurées au 31 décembre 2015 s’élève à 32 208 milliers d’euros contre 31 388 milliers d’euros au 31 décembre 2014. Le montant au 31 décembre 2015 correspond aux créances restructurées selon la nouvelle définition décrite dans la note 2 sur les Principes et méthodes comptables.

 

4.2. Opérations avec la clientèle. — Analyse par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

France (y compris DOM-TOM)

4 060 416

4 132 952

Autres pays de L'U.E.

320 275

348 116

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amérique Centrale et Latine

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Non ventilés et organismes internationaux

 

 

Total en principal

4 380 691

4 481 068

Créances rattachées

38 190

39 545

Dépréciations

-180 651

-187 955

Valeur nette au bilan

4 238 230

4 332 658

 

4.3. Opérations avec la clientèle. — Encours douteux et dépréciations par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (y compris DOM-TOM)

4 094 246

202 065

152 223

125 487

108 803

4 167 931

209 799

152 707

132 382

111 595

Autres pays de L'U.E. (Espagne)

324 635

103 079

82 461

55 165

50 191

352 682

108 087

78 274

55 573

46 667

Total

4 418 881

305 144

234 684

180 652

158 994

4 520 613

317 886

230 981

187 955

158 262

 

4.4. Opérations avec la clientèle – Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

2 137 598

131 449

101 072

69 491

60 444

2 155 326

135 932

96 407

70 327

56 644

Agriculteurs

347 939

16 124

12 716

10 762

9 274

356 615

16 524

14 387

11 092

10 204

Autres professionnels

750 643

95 429

72 375

58 811

54 082

808 481

94 327

76 210

62 327

57 231

Clientèle financière

53 846

685

532

576

423

60 098

4 458

3 922

3 896

3 817

Entreprises

540 748

55 071

43 479

34 741

30 341

497 100

58 325

35 478

33 883

25 868

Collectivités publiques

564 909

6 178

4 326

6 143

4 326

615 600

7 880

4 138

6 070

4 138

Autres agents économiques

23 198

208

184

128

104

27 393

440

439

360

359

Total

4 418 881

305 144

234 684

180 652

158 994

4 520 613

317 886

230 981

187 955

158 261

 

Note 5. – Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Placement

Investissement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées :

 

106 675

106 675

108 173

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

Créances rattachées

 

1 339

1 339

1 284

Dépréciations

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

0

108 013

108 013

109 457

Obligations et autres titres à revenu fixe (1) :

 

 

 

0

Emis par organismes publics

 

23 788

23 788

24 347

Autres émetteurs

6 951

155 479

162 430

74 562

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

Créances rattachées

12

1 737

1 749

1 692

Dépréciations

-897

-2 367

-3 264

-3 241

Valeur nette au bilan

6 066

178 637

184 703

97 360

Actions et autres titres à revenu variable

28 927

 

28 927

13 956

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

28 927

0

28 927

13 956

Total

34 993

286 650

321 643

220 773

Valeurs estimatives

35 483

300 377

335 860

240 371

(1) Dont 1 015 milliers d'euros de titres subordonnés (hors créances rattachées) au 31 décembre 2015 et 1 015 milliers d'euros au 31 décembre 2014

 

Commentaires : L’augmentation du poste « Obligations et autres titres à revenu fixe » classés en titres d’investissement s’explique par la souscription d’obligations senior et de titres subordonnés pour un montant de 93 millions d’euros dans le cadre de la participation de l’établissement à l’opération de titrisation décrite en note 1.3 Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2015.

Aucune cession de titres d'investissement n’est intervenue avant l'échéance conformément aux dispositions dérogatoires prévues à l’article 7 bis du règlement CRB 90-01 modifié par le règlement CRC 2005-01.

 

Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 503 milliers d’euros au 31 décembre 2015, contre 423 milliers d’euros au 31 décembre 2014.

La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d’investissement s'élève à 16 177 milliers d’euros au 31 décembre 2015, contre 21 374 milliers d’euros au 31 décembre 2014.

 

5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Administration et banques centrales (y compris Etats) (1)

23 788

24 347

Etablissements de crédit

41 509

45 224

Clientèle financière

147 427

39 873

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

2 422

3 421

Divers et non ventilés

 

 

Total en principal

215 146

112 866

Créances rattachées

1 750

1 692

Dépréciations

-3 265

-3 241

Valeur nette au bilan

213 630

111 317

(1) La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détient des titres de dettes souveraines de l’état Français.

Pour l’état Français, la valeur nette au bilan est de 108 014 milliers d’euros.

 

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

186 219

106 675

28 927

321 821

98 909

108 173

13 956

221 038

Dont titres cotés

85 968

106 675

 

192 643

91 513

108 173

 

199 686

Dont titres non cotés (1)

100 251

0

28 927

129 178

7 396

 

13 956

21 352

Créances rattachées

1 750

1 339

 

3 089

1 692

1 284

 

2 976

Dépréciations

-3 265

0

 

-3 265

-3 241

 

 

-3 241

Valeur nette au bilan

184 703

108 014

28 927

321 644

97 361

109 457

13 956

220 773

 

Commentaires : (1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

OPCVM français 28 927 milliers d’euros

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2015:

 

(En milliers d'Euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

 

 

OPCVM obligataires

28 927

29 400

OPCVM actions

 

 

OPCVM autres

 

 

Total

28 927

29 400

 

5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

>1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

1 719

9 115

61 609

113 776

186 219

1 750

187 969

100 602

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-3 265

-3 241

Valeur nette au bilan

1 719

9 115

61 609

113 776

186 219

1 750

184 703

97 361

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

0

 

 

 

Valeur brute

 

 

20 666

86 009

106 675

1 339

108 013

109 457

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

0

0

20 666

86 009

106 675

1 339

108 013

109 457

 

 

5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Encours bruts

dont encours douteux

Encours bruts

dont encours douteux

France (y compris DOM-TOM)

251 041

 

160 859

 

Autres pays de l'U.E.

26 684

 

28 387

 

Autres pays de l'Europe

5 000

 

5 000

 

Amérique du Nord

10 168

1 719

12 837

1 942

Amérique Centrale et du Sud

 

 

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

Total en principal

292 893

1 719

207 083

1 942

Créances rattachées

3 088

821

2 976

821

Dépréciations

-3 265

-2 367

-3 241

-2 569

Valeur nette au bilan

292 716

173

206 818

194

 

Note 6. – Titres de participation et de filiales.

 

Informations financières

Filiales et participations

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital

Quote-part de capital détenue (en pourcentage)

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1)

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

Brutes

Nettes

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

● SCI Château Castelnou

EUR

850

1

98,61%

1 202

489

229

 

18

-19

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SAS RUE DE LA BOETIE

EUR

2 550 739

8 921 153

1,32%

240 900

240 900

 

 

492 583

484 979

6 573

SAS SACAM DEVELOPPEMENT

EUR

725 471

 

1,35%

9 883

9 883

4 622

 

92 782

89 207

756

SACAM INTERNATIONAL

EUR

522 023

 

1,32%

11 893

7 889

 

 

44 590

44 172

79

SAS SACAM FIRECA

EUR

22 510

 

1,18%

529

273

 

 

0

-472

 

SNC CA TITRES

EUR

15 245

15 989

0,57%

330

330

 

 

117 471

1 211

 

SAS SOFILARO

EUR

18 374

569

6,97%

1 281

1 281

3

 

0

101

 

SACAM AVENIR

EUR

145 931

 

1,08%

1 570

1 570

 

 

0

-25

 

SAS SACAM PARTICIPATIONS

EUR

62 558

2 804

1,63%

1 184

1 184

 

 

171

1 851

 

FIA-NET EUROPE

EUR

47 185

 

1,16%

545

5

49

 

0

-21 871

 

C2MS

EUR

53 053

 

1,25%

689

689

 

 

0

4 072

45

DELTA

EUR

79 550

 

1,26%

1 000

1 000

 

 

ND

ND

 

CT CAM

EUR

511

14 595

0,59%

359

359

 

 

2 272

2

 

SACAM IMMOBILIER

EUR

139 588

 

1,59%

2 216

2 216

 

 

0

94

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées dans les établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

4 418

4 010

 

 

 

 

32

Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

277 999

272 078

4 903

 

 

 

7 485

(1) exercices du 31/12/2014

 

6.1. Valeur estimative des titres de participation/

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

Titres non cotés

1 202

489

1 202

533

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

229

229

229

229

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

-714

 

-670

 

Valeur nette au bilan

717

718

761

762

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

Titres non cotés

274 700

381 695

266 874

350 158

Titres cotés

0

 

 

 

Avances consolidables

6 209

6 209

6 324

6 324

Créances rattachées

65

65

65

65

Dépréciations

-6 643

 

-6 924

 

Sous-total titres de participation

274 331

387 969

266 339

356 547

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres non cotés

2 097

2 097

1 349

1 349

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

2 097

2 097

1 349

1 349

Valeur nette au bilan

276 428

390 066

267 687

357 896

Total des titres de participation

277 145

390 784

268 448

358 658

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Total valeurs brutes

 

 

 

 

Titres non cotés

277 999

 

269 425

 

Titres cotés

 

 

 

 

Total

277 999

 

269 425

 

 

Les valeurs estimatives sont déterminées d’après la valeur d’utilité des titres ; celle-ci n’est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant la SAS Rue La Boétie , la valeur d’utilité est de 19,73€ au 31/12/2015.

 

Note 7. – Variation de l’actif immobilisé

 

Immobilisations financières :

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2015

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2015

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

1 202

 

 

 

1 202

Avances consolidables

229

 

 

 

229

Créances rattachées

 

 

 

 

0

Dépréciations

-670

-44

 

 

-714

Valeur nette au bilan

761

-44

0

0

718

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

 

Titres de participation

266 338

14 333

-6 340

0

274 331

Valeurs brutes

266 874

7 851

-25

 

274 700

Avances consolidables

6 324

6 792

-6 907

 

6 209

Créances rattachées

65

 

 

 

65

Dépréciations

-6 924

-310

592

 

-6 642

Sous-total titres de participation

266 338

14 333

-6 340

0

274 331

Autres titres détenus à long terme

1 349

748

0

0

2 097

Valeurs brutes

1 349

748

 

 

2 097

Avances consolidables

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

748

0

0

2 097

Valeur nette au bilan

267 687

15 081

-6 340

0

276 428

Total

268 448

15 038

-6 340

0

277 146

 

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2015

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2015

Immobilisations corporelles :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

139 501

3 413

-4 284

862

139 493

Amortissements et dépréciations

-103 523

-6 690

3 906

 

-106 307

Valeur nette au bilan

35 978

-3 277

-378

862

33 186

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

10 845

84

 

 

10 929

Amortissements et dépréciations

-9 957

-51

 

 

-10 008

Valeur nette au bilan

888

33

0

0

921

Total

36 866

-3 244

-378

862

34 107

 

Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Autres actifs (1)

 

 

Instruments conditionnels achetés

 

 

Comptes de stock et emplois divers

30 762

33 733

Débiteurs divers (2)

84 385

79 834

Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

Comptes de règlement

1

36

Valeur nette au bilan

115 148

113 602

Comptes de régularisation

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

11 584

17 130

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

1

1

Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

Charges constatées d'avance

10 301

11 845

Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

9 448

9 946

Autres produits à recevoir

25 297

21 035

Charges à répartir

63

89

Autres comptes de régularisation

230

1 165

Valeur nette au bilan

56 925

61 209

Total

172 073

174 811

(1) Les montants incluent les créances rattachées.

(2) Dont 42 milliers d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention.

 

Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l’actif.

 

(En milliers d'Euros)

Solde au 01/01/2015

Dotations

Reprises et utilisations

Désactualisation

Autres mouvements

Solde au 31/12/2015

Sur opérations interbancaires et assimilées :

 

 

 

 

 

 

Sur créances clientèle

187 955

37 019

-42 692

-1 630

-1

180 651

Sur opérations sur titres

3 241

439

-416

 

1

3 265

Sur valeurs immobilisées

11 042

1 185

-1 438

 

 

10 789

Sur autres actifs

32 943

6 469

-5 039

 

 

34 373

Total

235 181

45 112

-49 585

-1 630

0

229 078

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

≤ 3mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

 

 

 

 

 

 

 

1 876

A vue

88

 

 

 

88

 

88

1 663

A terme

 

 

 

213

213

 

213

213

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

88

0

0

213

301

0

301

1 876

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

3 458

 

 

 

3 458

 

3 458

5 378

Comptes et avances à terme

411 209

871 949

799 073

762 805

2 845 036

3 162

2 848 198

2 672 736

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

414 667

871 949

799 073

762 805

2 848 494

3 162

2 851 656

2 678 114

Total

414 755

871 949

799 073

763 018

2 848 795

3 162

2 851 957

2 679 990

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale.

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle.

 

11.1. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Comptes ordinaires créditeurs

1 128 826

 

 

 

1 128 826

12

1 128 838

1 026 397

Comptes d'épargne à régime spécial :

10 447

0

0

0

10 447

 

10 447

12 032

A vue

10 447

 

 

 

10 447

 

10 447

12 032

A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes envers la clientèle :

39 654

179 180

227 538

157 928

604 300

6 691

610 991

595 819

A vue

1 928

 

 

 

1 928

 

1 928

1 287

A terme

37 726

179 180

227 538

157 928

602 372

6 691

609 063

594 532

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

1 178 927

179 180

227 538

157 928

1 743 573

6 703

1 750 276

1 634 249

 

11.2. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Particuliers

819 242

776 780

Agriculteurs

107 798

98 263

Autres professionnels

111 249

101 997

Clientèle financière

13 453

10 483

Entreprises

612 395

535 797

Collectivités publiques

18 356

32 643

Autres agents économiques

61 078

70 423

Total en principal

1 743 572

1 626 386

Dettes rattachées

6 703

7 864

Valeur au bilan

1 750 276

1 634 249

 

Note 12. – Dettes représentées par un titre.

 

12.1. Dettes représentées par un titre – analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois ≤ 1 an

>1 an ≤5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Bons de caisse

74

 

 

 

74

3

77

2 064

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres de créances négociables

 

 

 

150 000

150 000

264

150 264

150 296

Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

74

0

0

150 000

150 074

267

150 340

152 359

 

Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Autres passifs (1)

 

 

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

Instruments conditionnels vendus

 

 

Comptes de règlement et de négociation

 

 

Créditeurs divers

29 635

26 019

Versements restant à effectuer sur titres

136

136

Valeur au bilan

29 770

26 155

Comptes de régularisation

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

6 239

4 425

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits constatés d'avance

17 813

17 645

Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

8 801

10 688

Autres charges à payer

24 861

22 731

Autres comptes de régularisation

2 121

3 584

Valeur au bilan

59 835

59 073

Total

89 605

85 228

(1) les montants incluent les dettes rattachées.

 

Note. – 14 Provisions.

 

(En milliers d'Euro)

Solde au 01/01/2015

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au 31/12/2015

Provisions pour engagements de retraite et assimilés (6)

111

 

 

-19

-1

91

Provisions pour autres engagements sociaux

624

4

 

-33

 

595

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

1 171

409

 

-61

-1

1 518

Provisions pour litiges fiscaux (1)

 

8

 

 

 

8

Provisions pour autres litiges

114

25

 

 

 

139

Provision pour risques pays

 

 

 

 

 

 

Provisions pour risques de crédit (2)

50 765

2 329

 

-5 773

 

47 321

Provisions pour restructurations

 

 

 

 

 

 

Provisions pour impôts

 

 

 

 

 

 

Provisions sur participations

 

 

 

 

 

 

Provisions pour risques opérationnels (3)

2 061

1 237

-648

-472

 

2 178

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (4)

5 053

1 820

 

-1 896

 

4 977

Autres provisions (5)

8 319

2 995

-978

-521

 

9 815

Valeur au bilan

68 217

8 828

-1 626

-8 775

-2

66 643

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II.

(3) Cette provision est destinée à couvrir les risques d’insuffisance de conception, d’organisation et de mise en œuvre des procédures d’enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d’information de l’ensemble des événements relatifs aux opérations de l’établissement.

(4) Voir note 15 ci-après

(5) Y compris les provisions pour risques sur GIE d’investissement

(6) L’augmentation des engagements sociaux au 31 décembre 2015 s’explique principalement par la baisse significative des taux de référence utilisés pour l’évaluation des engagements relatifs aux régimes à prestations définies et autres avantages à long terme.

 

Note 15. – Epargne logement.

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

315 507

226 880

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

238 667

242 241

Ancienneté de plus de 10 ans

214 477

237 825

Total plans d'épargne-logement

768 651

706 946

Total comptes épargne-logement

70 206

74 170

Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

838 857

781 116

 

L'ancienneté est déterminée conformément au Titre 6 Epargne règlementée du Livre II Opérations particulières du règlement ANC 2014-07 du 26 novembre 2014.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état

 

Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Plans d'épargne-logement

1 564

2 300

Comptes épargne-logement

5 863

7 942

Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

7 427

10 242

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

1 722

1 566

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

878

1 057

Ancienneté de plus de 10 ans

2 377

2 430

Total plans d'épargne-logement

4 977

5 053

Total comptes épargne-logement

 

 

Total provision au titre des contrats épargne-logement

4 977

5 053

 

 

(En milliers d'euros)

01/01/2015

Dotations

Reprises

31/12/2015

Plans d'épargne-logement :

5 053

1 820

-1 896

4 977

Comptes épargne-logement :

 

 

 

 

Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 053

1 820

-1 896

4 977

 

La reprise de la provision épargne logement au 31 décembre 2015 est liée à l’actualisation du modèle de calcul.

Les principales évolutions du modèle concernent la révision des lois d’écoulement des Plans Epargne Logement et des Comptes Epargne Logement ainsi que l’intégration d’une composante liquidité afin de refléter les conditions actuelles de marché.

 

Note. – 16 Engagements sociaux : avantages postérieurs a l’emploi, régimes a prestations définies.

 

— Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

— Les régimes à prestations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

— Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

Variations de la dette actuarielle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Dette actuarielle au 31/12/N-1

16 800

14 300

Coût des services rendus sur l'exercice

1 303

1 044

Coût financier

248

429

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

-204

 

Variation de périmètre

-128

17

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-1 278

-769

(Gains) / pertes actuariels

-367

1 779

Dette actuarielle au 31/12/N

16 374

16 800

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Coût des services rendus

1 303

1 044

Coût financier

248

429

Rendement attendu des actifs

-229

-419

Coût des services passés

-204

 

Amortissement des (Gains) / pertes actuariels net

149

13

(Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes

 

 

(Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 267

1 067

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/N-1

14 687

13 998

Rendement attendu des actifs

228

419

Gains / (pertes) actuariels

98

-68

Cotisations payées par l'employeur

1 286

1 089

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

-128

17

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations payées par le fonds

-1 278

-769

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/N

14 893

14 686

 

Composition des actifs des régimes. — Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de :

— 84,2 % d’obligations

— 9,7 % d’actions

— 6,1 % d’autres produits.

Les actifs des régimes sont constitués de polices d’assurance éligibles.

 

Variations de la provision :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Dette actuarielle au 31/12/N

-16 373

-16 800

Impact de la limitation d'actifs

 

 

Gains et (pertes) actuariels restant à étaler

1 389

2 003

Juste valeur des actifs fin de période

14 893

14 686

Position nette (passif) / actifs au 31/12/N

-91

-111

 

Rendement des actifs des régimes :

Le rendement attendu des actifs de régime est de 1,48 %

Hypothèses actuarielles utilisées :

Au 31 décembre 2015, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50bp des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de -3,9 % ;

— Une variation de moins de 50bp des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de +4,2 %.

 

Note. – 17 Fonds pour risques bancaires généraux

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Fonds pour risques bancaires généraux

27 557

17 557

Valeur au bilan

27 557

17 557

 

Note 18. – Dettes subordonnées : analyse par durée residuelle.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

≤ 3 mois

>3 mois ≤ 1 an

>1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Dettes subordonnées à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

15 000

 

15 000

480

15 480

15 481

Dettes subordonnées à durée indéterminée (1)

 

 

 

 

 

 

 

 

C/C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

6 300

6 300

84

6 384

2 090

Dépôts de Garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

 

 

15 000

6 300

21 300

564

21 864

17 571

 

Commentaires :

Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 953 milliers d’euros au 31 décembre 2015 contre 954 milliers d’euros au 31 décembre 2014.

 

Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition)

 

(En milliers d'Euros)

Capitaux propres

Capital

Réserve légale

Réserve statutaire

Primes, autres réserves et report à nouveau (1)

Ecarts conversion/réévaluation

Provisions réglementées & subventions d'investissement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 Décembre 2013

28 057

325 443

22 884

238 984

0

0

17 921

633 288

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2013

 

 

 

 

 

 

-1 986

-1 986

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2013

 

11 951

 

3 984

 

 

-15 935

 

Report à nouveau

 

 

 

149

 

 

 

149

Résultat de l’exercice 2014

 

 

 

 

 

 

23 961

23 961

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

0

Solde au 31 Décembre 2014

28 057

337 394

22 884

243 117

0

0

23 961

655 412

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2014

 

 

 

 

 

 

-2 195

-2 195

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2014

 

16 325

 

5 441

 

 

-21 766

0

Report à nouveau

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat de l’exercice 2015

 

 

 

 

 

 

31 579

31 579

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

Solde au 31 décembre 2015

28 057

353 719

22 884

248 558

0

0

31 579

684 796

 

Commentaires :

(1) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros de primes de fusion

Dont 7 014 milliers d'euros de Certificats Coopératifs d’Association souscrits par Crédit Agricole S.A.

 

Note 20. – Composition des fonds propres.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Capitaux propres

684 796

655 412

Fonds pour risques bancaires généraux

27 557

17 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 864

17 571

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

Total des fonds propres

734 217

690 540

 

Note 21. – Opérations effectuées en devises.

 

Contributions par devise au bilan :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

5 641 771

5 641 771

5 309 206

5 309 206

Autres devises de l’Union Europ

73

73

66

66

Franc suisse

 

 

 

 

Dollar

972

972

1 050

1 050

Yen

 

 

 

 

Autres devises

222

222

261

261

Valeur brute

5 643 038

5 643 038

5 310 583

5 310 583

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Total

5 643 038

5 643 038

5 310 583

5 310 583

 

Note 22. – Opérations de change, prêts et emprunts en devises.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

À recevoir

À livrer

À recevoir

À livrer

Opérations de change au comptant

0

0

0

0

Devises

 

 

 

 

Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

2 679

2 672

3 366

3 359

Devises

1 346

1 346

1 761

1 761

Euros

1 333

1 326

1 605

1 598

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

Total

2 679

2 672

3 366

3 359

 

Note 23. – Opérations sur instruments financiers à terme.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2015

31/12/2014

 

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total

Total

Opérations fermes

1 826 665

12 012

1 838 677

2 179 333

Opérations sur marchés organisés (1)

0

0

0

0

Contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

Contrats à terme de change

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Opérations de gré à gré (1)

1 826 665

12 012

1 838 677

2 179 333

Swaps de taux d'intérêt

1 826 665

12 012

1 838 677

2 179 333

Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

Contrats à terme de change

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Opérations conditionnelles

0

0

0

0

Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

Instruments de taux d'intérêt à terme

 

 

 

 

Instruments sur action et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Opérations de gré à gré

0

0

0

0

Options de swap de taux

 

 

 

 

Instruments de taux d'intérêts à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Instruments sur actions et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Autres instruments à terme conditionnels

 

 

 

 

Dérivés de crédit

0

0

0

0

Contrats de dérivés de crédit

 

 

0

 

Total

1 826 665

12 012

1 838 677

2 179 333

 

Les montants indiqués sur les opérations fermes doivent correspondre au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats)

 

23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

Total 31/12/2015

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

250 000

765 833

822 844

250 000

765 833

822 844

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

250 000

765 833

822 844

250 000

765 833

822 844

 

 

 

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

5 350

 

 

5 350

 

 

 

 

 

Sous total

5 350

 

 

5 350

 

 

 

 

 

Total

255 350

765 833

822 844

255 350

765 833

822 844

0

0

0

 

 

(En milliers d'Euros)

Total 31/12/2014

dont opérations effectuées de gré à gré

dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

445 951

858 846

874 535

445 951

858 846

874 535

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

445 951

858 846

874 535

445 951

858 846

874 535

 

 

 

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

6 725

 

 

6 725

 

 

 

 

 

Sous total

6 725

 

 

6 725

 

 

 

 

 

Total

452 676

858 846

874 535

452 676

858 846

874 535

0

0

0

 

23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Total juste valeur

Encours notionnel

Total juste valeur

Encours notionnel

Futures

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

-20 485

1 838 677

-17 894

2 179 333

Forward taux

 

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursier et métaux précieux

 

 

 

 

Sous total

-20 485

1 838 677

-17 894

2 179 333

Swaps de devises

 

 

 

 

Opérations de change à terme

ND

5 350

ND

6 725

Sous total

 

5 350

 

6 725

Total

-20 485

1 844 027

-17 894

2 186 058

 

23.3. Information sur les Swaps :

— Ventilation des contrats d’échange de taux d’intérêt :

 

(En milliers d'Euros)

Position ouverte isolée

Micro-couverture

Macro-couverture

Swaps de transaction

Contrats d'échange de taux

12 012

335 436

1 491 229

 

Contrats assimilés

 

 

 

 

 

Note 24. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits dérivés.

 

L’évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l’établissement mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l’application de facteurs de majoration (add-on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante :

 

Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Risques sur les gouvernements et banques centrales de l’OCDE et organismes assimilés

 

 

 

 

 

 

Risques sur les établissements financiers de l’OCDE et organismes assimilés

107 240

16 100

123 340

126 584

17 315

143 899

Risques sur les autres contreparties

653

90

743

739

104

843

Total avant effet des accords de compensation

107 893

16 190

124 083

127 323

17 419

144 742

Dont risques sur contrats de :

 

 

 

 

 

 

Taux d'intérêt, change et matières premières

107 731

16 190

123 921

127 179

17 419

144 598

Dérivés actions et sur indices

 

 

 

 

 

 

Total avant effet des accords de compensation

107 731

16 190

123 921

127 179

17 419

144 598

Incidences des accords de compensation et de collatérisation

 

 

 

 

 

 

Total après effet des accords de compensation et de collatérisation

107 893

16 190

124 083

127 323

17 419

144 742

 

Note 25. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2015

31/12/2014

Engagements donnés

838 695

804 335

Engagements de financement

428 998

392 323

Engagements en faveur d'établissements de crédit

29 359

9 078

Engagements en faveur de la clientèle

399 639

383 245

Ouverture de crédits confirmés

 

 

Ouverture de crédits documentaires

 

33

Autres ouvertures de crédits confirmés

 

219 874

Autres engagements en faveur de la clientèle

399 639

163 338

Engagements de garantie

409 697

411 654

Engagements d'ordre d'établissement de crédit

327 397

327 349

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

48

 

Autres garanties

327 349

327 349

Engagements d'ordre de la clientèle

82 300

84 305

Cautions immobilières

16 750

11 995

Autres garanties d'ordre de la clientèle

65 550

72 310

Engagements sur titres

0

358

Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements à donner

0

358

Engagements reçus

907 398

1 102 406

Engagements de financement

33 768

250 000

Engagements reçus d'établissements de crédit

33 768

250 000

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

873 630

852 048

Engagements reçus d'établissements de crédit

82 107

68 646

Engagements reçus de la clientèle

791 523

783 402

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

189 960

176 948

Autres garanties reçues

601 563

606 454

Engagements sur titres

0

358

Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements reçus

0

358

(1) Dont 327 349 milliers d’euros relatifs à la garantie globale (Switch) mise en place le 2 janvier 2015, en amendement de la garantie précédente octroyée le 23 décembre 2011 pour 201 340 milliers d’euros.]

(2) La variation des engagements de garantie reçus de la clientèle s’explique par la cession d’un portefeuille de crédit habitat ainsi que les garanties attachées à ces crédits pour 92 millions d’euros dans le cadre de la participation à la Titrisation décrite en note 1.3 Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2015.

 

Note 26. – Actifs donnés et reçus en garantie.

 

Créances apportées en garantie. — Au cours de l’année 2015, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 1 302 995 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 358 673 milliers d’euros en 2014. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté :

— 744 852 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 822 943 milliers d’euros en 2014;

— 0 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du dispositif SFEF (Société de Financement de l'Economie Française), contre 0 milliers d’euros en 2014;

— 169 464 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 187 832 milliers d’euros en 2014;

— 388 679 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 347 898 milliers d’euros en 2014.

 

Note 27. – Opérations de désendettement de fait et de titrisation.

 

27.1. Titrisation. — Le 21 octobre 2015, avec l'opération « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 », le Groupe a initié une opération de titrisation portant sur les créances habitat des 39 Caisses régionales. Cette transaction est le premier RMBS réalisé en France par le Groupe avec cession « true sale » des créances habitat.

 

Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 » pour un montant de 9,932 milliards d’euros et une souscription le même jour par les établissements ayant cédé les crédits, des titres émis par le FCT pour un montant de 10 milliards d’euros se répartissant en 8,6 milliards d’euros d’obligations senior et 1,4 milliards d’euros de titres subordonnés.

Dans le cadre de cette titrisation interne au Groupe, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 92 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2015. Elle a souscrit des obligations senior pour 80 millions d’euros et des titres subordonnés pour 13 millions d’euros. Une période de 5 ans de rechargements mensuels des créances est prévue pour compenser au mieux l’amortissement du portefeuille de crédits habitat.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée donne une garantie sur le capital restant dû des créances en défaut au sens du FCT, qui permet au FCT d’opérer une retenue de garantie sur les flux dus à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée lorsque ce dernier constate des créances en défaut au sens du FCT sur le portefeuille de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

Dans ce cas, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée comptabilise une créance sur le FCT, qui donnera lieu à dépréciation en fonction de l’appréciation par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée du risque sur les créances titrisées en défaut au sens du FCT (selon la méthodologie de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée)

Du fait de la constatation de la créance, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est toujours exposée au risque de crédit des créances cédées. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée peut maintenir des provisions filières/collectives pour toutes les créances, qu’elles soient cédées ou non.

 

Note 28. – Produits nets d’intérêts et revenus assimilés.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Sur opérations avec les établissements de crédit

523

1 139

Sur opérations internes au Crédit Agricole

13 929

14 553

Sur opérations avec la clientèle

155 425

151 765

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

5 080

4 381

Produit net sur opérations de macro-couverture

 

 

Sur dettes représentées par un titre

5 118

3 012

Autres intérêts et produits assimilés

374

 

Intérêts et produits assimilés

180 449

174 850

Sur opérations avec les établissements de crédit

547

1 105

Sur opérations internes au Crédit Agricole

35 160

43 925

Sur opérations avec la clientèle

28 605

23 808

Charge nette sur opérations de macro-couverture

4 466

4 194

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Sur dettes représentées par un titre

10 733

8 791

Autres intérêts et charges assimilées

25

74

Intérêts et charges assimilées

79 536

81 897

Total produits nets d'intérêts et revenus assimilés (1)

100 913

92 953

(1) Le montant des produits nets d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2015 est de 953 milliers d'euros, il était de 954 milliers d'euros au 31 décembre 2014.

Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d’opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques.

(2) La participation à la Titrisation décrite en note 1.3 Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2015 vient diminuer les produits sur opérations avec la clientèle à hauteur de 675 milliers d’euros.

 

Note 29. – Revenus des titres.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme

7 889

7 570

Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille

 

 

Opération diverses sur titres

 

 

Total des revenus des titres a revenus variables

7 889

7 570

 

Note 30. – Produit net des commissions

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

137

50

87

122

24

98

Sur opérations internes au crédit agricole

7 162

10 361

-3 199

9 087

7 588

1 499

Sur opérations avec la clientèle

18 139

177

17 962

19 287

171

19 116

Sur opérations sur titres

 

 

 

 

 

 

Sur opérations de change

6

 

6

9

 

9

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

 

 

 

81

 

81

Sur prestations de services financiers (1)

48 279

5 218

43 061

48 524

5 472

43 052

Provision pour risques sur commissions

149

145

4

248

178

70

Total produit net des commissions

73 872

15 951

57 921

77 358

13 432

63 926

(1) Dont prestations d'assurance-vie : 9 504 milliers d'euros

 

Note 31. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

-18

-146

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

136

123

Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations

118

-23

 

Note 32. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Titres de placement

 

 

Dotations aux dépréciations

439

 

Reprises de dépréciations

214

102

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-225

102

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

0

0

Solde des opérations sur titres de placement

-225

102

Titres de l'activité de portefeuille

 

 

Dotations aux dépréciations

 

 

Reprises de dépréciations

 

 

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

0

0

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

0

0

Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille

0

0

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

-225

102

 

Note 33. – Autres produits et charges d’exploitation bancaire.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Produits divers (1)

1 093

511

Quote-part des opérations faites en commun

 

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Reprises provisions

 

2 836

Autres produits d'exploitation bancaire

1 093

3 347

Charges diverses

82

194

Quote-part des opérations faites en commun

273

269

Refacturation et transfert de charges

 

 

Dotations provisions

 

586

Autres charges d'exploitation bancaire

355

1 049

Total autres produits et charges d'exploitation bancaire

738

2 298

(1) L’augmentation des produits divers s’explique pour 551 milliers d’euros par la comptabilisation d’un complément de prix de cession dans le cadre de la participation à la Titrisation décrite en note 1.3 Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2015.

 

Note 34. – Charges générales d’exploitation.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Frais de personnel :

 

 

Salaires et traitements

33 926

32 842

Charges sociales

15 468

15 153

Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies

3 534

3 496

Intéressement et participation

5 242

4 774

Impôts et taxes sur rémunérations

6 265

6 107

Total des charges de personnel

60 901

58 876

Refacturation et transferts de charges de personnel

-3 071

-2 625

Frais de personnel nets

57 830

56 251

Frais administratifs

 

 

Impôts et taxes (1)

4 546

4 597

Services extérieurs et autres frais administratifs

32 621

31 567

Total des charges administratives

37 167

36 164

Refacturation et transferts de charges administratives

-554

-477

Frais administratifs nets

36 613

35 687

Charges générales d'exploitation

94 443

91 938

(1) Dont 99 milliers d'euros au titre du fonds de résolution

 

Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE). — Au titre de l’exercice écoulé et des exercices 2014 et 2013, un montant de 3 855 milliers d’euros a été accordé à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (respectivement pour 1 456K€, 1 420K€ et 979K€).

 

Effectif moyen :

— Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) :

 

Catégories de personnel

31/12/2015

31/12/2014

Cadres

147

152

Non cadres

782

767

Total

929

919

Dont :

 

 

France

913

903

Étranger

16

16

Dont : personnel mis à disposition

 

 

 

La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l’institution.

Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 493 K€.

 

Note 35. – Coût du risque.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Dotations aux provisions et dépréciations

42 085

64 721

Dépréciations de créances douteuses

31 660

49 168

Autres provisions et dépréciations

10 425

15 553

Reprises de provisions et dépréciations

49 873

49 386

Reprises de dépréciations de créances douteuses (1)

38 253

33 824

Autres reprises de provisions et dépréciations (2)

11 620

15 562

Variation des provisions et dépréciations

-7 788

15 335

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3)

2 292

424

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4)

15 754

9 291

Décote sur prêts restructurés

0

53

Récupérations sur créances amorties

-632

-424

Autres pertes

685

68

Autres produits

-1 874

 

Coût du risque

8 437

24 747

(1) Dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses compromises : 11 621 milliers d'euros

Dont utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromises : 4 133 milliers d'euros

(2) Dont 489 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif

(3) Dont 144 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises

(4) Dont 11 621 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises

(1)Dont 1 874 milliers relatifs à l’appel de la garantie globale (Switch), versés (ou à payer) à Crédit Agricole SA pour combler la baisse de la valeur de mise en équivalence globale des participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels.

(2)Dont 1 874 milliers relatifs au retour à meilleure fortune de la garantie globale (Switch), reçus (ou à recevoir) de Crédit Agricole SA suite à la hausse de la valeur de mise en équivalence globale des participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels.

 

Note 36. – Résultat net sur actifs immobilisés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2015

31/12/2014

Immobilisations financières :

 

 

Dotations aux dépréciations

354

819

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

354

819

Reprises de dépréciations

592

700

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

592

700

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

238

-119

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

238

-119

Plus-values de cessions réalisées

6

33

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

6

33

Moins-values de cessions réalisées

2

1

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

2

1

Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cessions

4

32

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

4

32

Solde en perte ou en bénéfice

242

-87

Immobilisations corporelles et incorporelles

 

 

Plus-values de cessions

 

72

Moins-values de cessions

710

458

Solde en perte ou en bénéfice

-710

-387

Résultat net sur actifs immobilises

-468

-474

 

Note 37. – Charges et produits exceptionnels.

 

La Caisse Régionale n’a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l’exercice 2015.

 

Note 38. – Impôt sur les bénéfices.

 

Cet agrégat comprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l’exercice s’élève à 16 530 K€.

En 2015, la Caisse Régionale a consenti un abandon de créance à titre commercial de 9,8 Millions d’euros à sa succursale en Espagne, déductible fiscalement.

 

Intégration fiscale. — La Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d’impôt résultant de la réallocation de l’économie d’IS liées aux dividendes intragroupe pour 565 K€.

 

Note 39. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

 

39.1. Résultat courant par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

162 252

-91 989

-5 767

64 496

-3 027

61 469

242

61 711

Autres pays de l'U.E.

5 102

-2 438

-144

2 520

-5 412

-2 892

-710

-3 602

Résultat courant avant impôt

167 354

-94 427

-5 911

67 015

-8 439

58 577

-468

58 109

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

161 663

-89 741

-6 974

64 948

-13 261

51 687

-43

51 645

Autres pays de l'U.E.

5 163

-2 198

-167

2 798

-11 486

-8 689

-431

-9 119

Résultat courant avant impôt

166 826

-91 939

-7 141

67 746

-24 747

42 999

-473

42 526

 

Note 40. – Affectation des résultats.

 

Le décret N° 2016-121 du 08 Février 2016 modifiant la rémunération maximale des parts sociales pouvant être appliquée au titre de l’exercice 2015 est paru au journal officiel du 09 Février 2016.

Le montant des dividendes a été calculé à partir d’un taux égal à 1,80 % correspondant au plafond du taux d’intérêt que les coopératives peuvent servir à leur capital, la période de référence utilisée pour le calcul du taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées (TMO) mentionné à l’article 14 de la loi du 10 septembre 1947 étant celle des trois années civiles précédant la date de leur assemblée générale.

 

Résultat de l’exercice à affecter

31 578 680,58 €

Distribué

2 747 175,63 €

Intérêts aux parts au taux de 1,80%

378 774,59 €

aux Caisses locales

378 767,73 €

aux autres souscripteurs

6,86 €

Rémunération des CCA

2 368 401,04 €

Conservé

28 831 504,95 €

Réserve légale

21 623 628,71 €

Autres réserves

7 207 876,24 €

 

Note 41. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs.

 

La Caisse régionale Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un Etat ou un territoire non coopératif au sens de l’article 238-0 A du Code général des impôts.

 

Note 42. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

 

Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse régionale Sud Méditerranée :

 

(En milliers d'Euros)

Ernst & Young

%

KPMG

%

Audit :

 

 

 

 

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

114

58%

81

42%

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du commissaire aux comptes

 

 

 

 

Sous-total

114

58%

81

42%

Autres prestations

 

 

 

 

Juridique, fiscal, social

 

 

 

 

Technologie de l'information

 

 

 

 

Audit interne

 

 

 

 

Autres : à préciser si > à 10% des honoraires d'audit

 

 

 

 

Sous-total

0

0%

0

0%

Total

114

58%

81

42%

(1) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes

 

Note 43. – Attestation des Commissaires aux comptes et publicité.

 

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

IV. — Rapport des Commissaires aux comptes sur les comptes annuels.

(Exercice clos le 31 décembre 2015.)

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2015, sur :

 

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi.

 

Les comptes annuels ont été arrêtés par votre Conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la Caisse Régionale à la fin de cet exercice.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

Estimations comptables :

— Votre Caisse Régionale comptabilise des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités (notes 2.1 et 15 de l’annexe). Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la Direction relatif au suivi des risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations et des provisions sur base individuelle et collective.

— Les parts dans les entreprises liées, les titres de participation et les autres titres détenus à long terme sont évalués à leur valeur d’utilité (note 2.2 de l’annexe). Dans le cadre de notre appréciation de ces estimations et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner les éléments ayant conduit à la détermination des valeurs d'utilité au 31 décembre 2015 pour les principales lignes du portefeuille et à nous assurer que la note 6 de l’annexe donne une information appropriée à cet égard.

— Votre Caisse Régionale détient des positions sur titres et sur instruments financiers. Les notes 2.2 et 2.8 de l’annexe exposent les règles et méthodes comptables relatives à ces titres et instruments financiers. Nous avons examiné le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre Caisse Régionale et des informations fournies dans les notes 5 et 22 de l’annexe, et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

— Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du Conseil d’administration et dans les documents adressés aux Sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Labège et Perpignan et Toulouse, le 7 mars 2016

 

Les Commissaires aux comptes :

 

B. — Comptes consolidés au 31 décembre 2015.

I. —Cadre général

 Présentation juridique de l’entité.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à PERPIGNAN, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335 et fait partie du groupe Crédit Agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole.

 

Un Groupe bancaire d’essence mutualiste. — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités.

Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 8,8 millions de sociétaires qui élisent quelques 31 150 administrateurs.Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice.

La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie.

 

La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

 

Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R.512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L.511-31 et article L.511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

 

Relations internes au Crédit Agricole.

 

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe.

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit » ou « Dettes envers les établissements de crédit ».

 

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

 

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A.

Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

 

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453.

Le dispositif européen de résolution des crises bancaires adopté au cours de l’année 2014 (directive BRRD et règlement sur le mécanisme de résolution unique, transposée en droit français par l’ordonnance 2015-1024 du 20 août 2015) introduit plusieurs modifications importantes dans la réglementation applicable aux établissements de crédit.

Ce dispositif, qui comprend des mesures de prévention et de résolution des crises bancaires, a pour objet de préserver la stabilité financière, d’assurer la continuité des activités, des services et des opérations des établissements dont la défaillance aurait de graves conséquences pour l’économie, de protéger les déposants, et d’éviter ou de limiter au maximum le recours au soutien financier public. Dans ce cadre, les autorités de résolutions européennes, dont le Conseil de résolution unique, ont été dotées de pouvoirs très étendus en vue de prendre toute mesure nécessaire dans le cadre de la résolution de tout ou partie d’un établissement de crédit ou du groupe auquel il appartient.

Ce dispositif européen de résolution, dont les principales dispositions ont été partiellement adoptées de manière anticipée par la loi de séparation et de régulation des activités bancaires du 26 juillet 2013, ne remet pas en cause le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L. 511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R. 512-18 de ce même Code. Crédit Agricole S.A. considère qu’en pratique, ce mécanisme devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution, dans la mesure où, en tant qu’organe central et membre du réseau, il doit prendre toute mesure nécessaire pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque membre du Réseau comme de l’ensemble. Ainsi, chaque membre du Réseau (en ce compris Crédit Agricole S.A.) bénéficie de cette solidarité financière interne.

L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution suppose ainsi que le mécanisme légal de solidarité interne n’aurait pas permis de remédier à la défaillance d’une ou plusieurs entités affiliées du Groupe, et donc du Réseau dans son ensemble. Elle est par ailleurs de nature à limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leurs fonds propres agrégés. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation judiciaire ou de sa dissolution.

Dans la conduite de son action en tant qu’autorité de résolution, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution doit respecter le principe fondamental selon lequel aucun créancier ne doit, en résolution, subir de pertes plus importantes que celles qu’il aurait subies si l’entité concernée avait été liquidée selon une procédure normale d’insolvabilité (principe dit du No Creditor Worse Off than on Liquidation – NCWOL – prévu à l’article L. 613-31-16 II du Code monétaire et financier et à l’article 73 de la directive BRRD). La nécessité de respecter ce principe conduit Crédit Agricole S.A. à considérer que l’existence de la garantie accordée en 1988 par les Caisses régionales au bénéfice des créanciers de Crédit Agricole S.A. devra être prise en compte par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, sans qu’il soit possible de préjuger des modalités de cette prise en compte.

 

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA (Switch) : Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 et complété par avenant signé le 19 décembre 2013, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les nouvelles garanties ont pris effet le 2 janvier 2014, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat.

A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant.

Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant à la fois aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A, et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme.

Ainsi le dispositif protège Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur globale de mise en équivalence globale, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

 

Sur le plan prudentiel :

– Crédit Agricole S.A. réduit ses exigences de capital à proportion du montant de la garantie accordée par les Caisses régionales;

– Les Caisses régionales constatent symétriquement des exigences de capital égales à celles économisées par Crédit Agricole S.A.

Ce dispositif, qui est neutre au niveau du groupe Crédit Agricole, permet de rééquilibrer l’allocation en fonds propres entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales.

Comptablement, les garanties s’analysent en substance comme des contrats d’assurance du fait de l’existence d’un risque global d’assurance au sens de la norme IFRS 4.

La norme IFRS 4 permet à l’émetteur d’un contrat d’assurance, de recourir aux principes comptables déjà appliqués pour des garanties données similaires, sous réserve d’effectuer un test de suffisance du passif selon les modalités visées par le paragraphe 14(b) de la norme.

Par conséquent, le traitement comptable des garanties est assimilable à celui d’une garantie donnée à première demande et leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. Dans le cas où il existerait des perspectives de perte nette à l'échéance après prise en compte d’hypothèse raisonnables de retour à meilleur fortune, une provision serait à doter, en Coût du risque, conformément aux exigences du test de suffisance du passif. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seraient respectivement reconnus en Coût du risque.

 

Informations relatives aux parties liées. — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2015 et aux dirigeants. Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales.»

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 6 300 K€.

 

II. — Etats financiers consolidés.

1. — Compte de résultat.

 

(En milliers d'Euros)

Notes

31/12/2015

31/12/2014 retraité (1)

Intérêts et produits assimilés

4.1

198 300

196 004

Intérêts et charges assimilés

4.1

-96 105

-101 370

Commissions (produits)

4.2

73 855

77 358

Commissions (charges)

4.2

-15 953

-13 433

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

-1 180

-650

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4-6.4

7 578

6 765

Produits des autres activités

4.5

1 791

4 022

Charges des autres activités

4.5

-2 160

-2 459

Produit net bancaire

 

166 126

166 237

Charges générales d'exploitation

4.6-7.1-7.4-7.6

-94 400

-92 091

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-5 687

-6 895

Résultat brut d’exploitation

 

66 039

67 251

Coût du risque

4.8

-8 695

-24 997

Résultat d'exploitation

 

57 344

42 254

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

 

44

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impôt

 

57 344

42 298

Impôts sur les bénéfices

4.10

-16 900

-14 011

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

Résultat net

 

40 444

28 287

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Résultat net part du groupe

 

40 444

28 287

(1) Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2014, suite à l'entrée en vigueur d'IFRIC 21, présentés note 10.

 

2. — Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

(En milliers d'Euros)

Notes

31/12/2015

31/12/2014 retraité (1)

Résultat net

 

40 444

28 287

Gains et pertes actuariels sur avantages post-emploi

4.11

465

-1 846

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

4.11

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entreprises mises en équivalence

 

465

-1 846

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, des entreprises mises en équivalence

4.11

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence

4.11

-159

636

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence

4.11

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

 

306

-1 210

Gains et pertes sur écarts de conversion

4.11

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

4.11

2 384

1 177

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

4.11

242

134

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

4.11

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entreprises mises en équivalence

 

2 626

1 311

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables part du Groupe, des entreprises mises en équivalence

4.11

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence

4.11

-190

-144

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence

4.11

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

 

2 436

1 167

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

 

2 742

-43

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

43 186

28 244

Dont part du Groupe

 

43 186

28 244

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

(1) Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2014, suite à l'entrée en vigueur d'IFRIC 21, présentés note 10.

 

3. — Bilan.

(En milliers d'Euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2015

31/12/2014 retraité (1)

01/01/2014 retraité 1)

Caisse, banques centrales

6.1

33 368

33 639

29 090

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

6 306

7 259

6 133

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

107 240

126 584

96 420

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.8

307 911

282 178

259 697

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5

567 435

243 240

184 568

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5

4 339 239

4 336 227

4 352 417

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

67 307

84 675

56 419

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

6.6-6.9

188 595

195 389

118 747

Actifs d'impôts courants et différés

6.13

23 654

24 212

29 363

Comptes de régularisation et actifs divers

6.14

149 084

151 396

131 262

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Participation aux bénéfices différée

 

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

Immeubles de placement

6.15

4 399

4 864

5 979

Immobilisations corporelles

6.16

28 931

31 281

34 056

Immobilisations incorporelles

6.16

921

888

892

Ecarts d'acquisition

 

 

 

 

Total de l'actif

 

5 824 390

5 521 832

5 305 043

(1) Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2014, suite à l'entrée en vigueur d'IFRIC 21, présentés note 10.

 

 

Passif

Notes

31/12/2015

31/12/2014 retraité (1)

01/01/2014 retraité (1)

Banques centrales

6.1

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

653

758

150

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

127 725

144 459

69 495

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.9

2 848 499

2 674 466

2 630 114

Dettes envers la clientèle

3.1-3.3-6.9

1 749 197

1 632 115

1 604 197

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.11

158 992

163 545

155 344

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

79 286

94 615

70 645

Passifs d'impôts courants et différés

6.13

2 739

1 882

115

Comptes de régularisation et passifs divers

6.14

78 163

74 494

70 051

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

 

Provisions

6.17

20 549

19 296

15 848

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.11

15 418

15 394

15 370

Total dettes

 

5 081 221

4 821 024

4 631 329

Capitaux propres

 

743 169

700 808

673 714

Capitaux propres - part du Groupe

 

743 169

700 808

673 714

Capital et réserves liées

 

158 524

157 177

156 534

Réserves consolidées

 

540 322

514 207

491 690

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

3 879

1 137

1 180

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Résultat de l'exercice

 

40 444

28 287

24 310

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

Total du passif

 

5 824 390

5 521 832

5 305 043

(1) Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2014, suite à l'entrée en vigueur d'IFRIC 21, présentés note 10.

 

4. — Tableau de variation des capitaux propres

 

(En milliers d'Euros)

Part du Groupe

Résultat net

Capitaux propres

Capitaux propres consolidés

Capital et réserves liées

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital (1)

Elimination des titres auto-détenus

Autres instruments de capitaux propres

Total Capital et Réserves consolidées

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Capitaux propres au 1er janvier 2014 Publié

26 909

645 420

0

0

672 329

2 117

-937

1 180

0

673 509

673 509

Impacts IFRIC 21

 

205

 

 

205

 

 

0

 

205

205

Capitaux propres au 1er janvier 2014 Retraité

26 909

645 625

0

0

672 534

2 117

-937

1 180

 

673 714

673 714

Augmentation de capital

643

 

 

 

643

 

 

 

 

643

643

Variation des titres auto-détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dividendes versés en 2014

 

-1 793

 

 

-1 793

 

 

 

 

-1 793

-1 793

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mouvements liés aux stock-options

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

643

-1 793

 

 

-1 150

 

 

 

 

-1 150

-1 150

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

 

 

1 167

-1 210

-43

 

-43

-43

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres des entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat au 31/12/2014

 

 

 

 

 

 

 

 

28 287

28 287

28 281

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Capitaux propres au 31 décembre 2014 Retraité (2)

27 552

643 832

0

0

671 384

3 284

-2 147

1 137

28 287

700 808

700 808

Affectation du résultat 2014

 

28 287

 

 

28 287

 

 

0

-28 287

 

0

Capitaux propres au 1er janvier 2015

27 552

672 119

0

0

699 671

3 284

-2 147

1 137

0

700 808

700 808

Augmentation de capital

1 347

 

 

 

1 347

 

 

 

 

1 347

1 347

Variation des titres auto-détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Emissions d'instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rémunération 2015 des titres super subordonnés à durée indéterminée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dividendes versés en 2015

 

-2 172

 

 

-2 172

 

 

 

 

-2 172

-2 172

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mouvements liés aux stock-options

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

1 347

-2 172

 

 

-825

 

 

 

 

-825

-825

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

 

 

2 436

306

2 742

 

2 742

2 742

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres des entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat au 31/12/2015

 

 

 

 

 

 

 

 

40 444

40 444

40 444

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Capitaux propres au 31 décembre 2015

28 899

669 947

0

0

698 846

5 720

-1 841

3 879

40 444

743 169

743 169

(1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'auto-contrôle.

(2) Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2014, suite à l'entrée en vigueur d'IFRIC 21, présentés note 10.

 

5. — Tableau des flux de trésorerie.

 

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée y compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans cette rubrique.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014 retraité (3)

Résultat avant impôt

57 344

42 298

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

5 687

6 894

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

6 055

23 003

Quote-part de résultat liée aux entreprises mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

-4

-76

Résultat net des activités de financement

953

954

Autres mouvements

1 512

805

Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôt et des autres ajustements

14 203

31 580

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

-31 929

14 074

Flux liés aux opérations avec la clientèle

106 285

64 904

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-12 794

-91 103

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

4 966

-15 190

Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-15 889

-6 605

Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

50 639

-33 920

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie générés par l'activité OPERATIONNELLE (A)

122 186

39 958

Flux liés aux participations (1)

-1 088

-1 235

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-3 370

-4 071

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie liés aux opérations d'investissement (B)

-4 458

-5 306

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2)

-825

-1 150

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement

-929

-930

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie liés aux opérations de FINANCEMENT (C)

-1 754

-2 080

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D)

115 974

32 572

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

92 686

60 115

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

33 638

29 087

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

59 048

31 028

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

208 664

92 686

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

33 367

33 638

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

175 297

59 048

Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie

115 978

32 571

(1) composé du solde net des postes "Caisses et banques centrales", hors intérêts courus (y compris trésorerie des entités reclassées en activités destinées à être cédées).

(2) composé du solde des postes "comptes ordinaires débiteurs sains" et "comptes et prêts au jour le jour sains" tels que détaillés en note 6.5 et des postes "comptes ordinaires créditeurs" et "comptes et emprunts au jour le jour" tels que détaillés en note 6.10 (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole) ;

(3) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2.Principales opérations de structure et événements significatifs de la période Au cours de l’année 2015, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée s’élève à 1 088 milliers d’euros, portant notamment sur les opérations suivantes :

– Acquisition de titres de participation dans la SAS Delta pour un montant de 1 000 K€

– Acquisition de titres de participation dans C2MS pour un montant de 66K €

(4) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale de Crédit Agricole de Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 172 milliers d’euros pour l’année 2015.

(5) Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2014, suite à l'entrée en vigueur d'IFRIC 21, présentés note 10.

 

III. — Notes annexes aux états financiers.

1. – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés.

 

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2015 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture.

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias/index_fr.htm .

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2014.

Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2014 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2015. Celles-ci portent sur :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du

Applicable dans le Groupe

Interprétation IFRIC 21 taxes

13 juin 2014 (UE n° 634/2014)

1er janvier 2015

Oui

Améliorations des IFRS cycle 2011-2013 :

18 décembre 2014 (UE n° 1361/2014)

 

 

IFRS 3 Exclusion du champ d'application des formations de partenariats (i.e les co-entreprises déjà exclues et pour la 1er fois les activités conjointes)

 

1er janvier 2015

Oui

IFRS 13 Extension à certains instruments non financiers de l’exception qui permet l’évaluation de la juste valeur sur base nette

 

1er janvier 2015

Oui

IAS 40 Nécessité de jugement pour déterminer si l'acquisition d'un immeuble de placement constitue une acquisition d'actif (IAS 40) ou d'un groupe d'actifs ou un regroupement d'entreprises (IFRS 3)

 

1er janvier 2015

Oui

 

L’interprétation d’IFRIC 21 donne des précisions sur la comptabilisation des droits, taxes et autres prélèvements publics qui relèvent d’IAS 37 Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels (hors amendes et pénalités, et hors impôts sur les sociétés régis par IAS 12). Elle permet notamment de clarifier :

— La date à laquelle ces droits et taxes doivent être enregistrés,

— Et si l’enregistrement peut être progressif (étalement) au cours de l’exercice ou pas.

Au regard de ces clarifications, la mise en œuvre d’IFRIC 21 a pour effet de changer le fait générateur d’enregistrement de certains droits et taxes (décalage de la date de l’enregistrement d’un exercice à l’autre et/ou fin de l’étalement sur la durée de l’exercice).

Ainsi, sont notamment concernées les principales taxes suivantes :

– Taxe Systémique

– Taxe foncière

– ACP

– Fonds de soutien aux collectivités territoriales

– Contribution versée au fonds de résolution unique

– C3S

L’application d’IFRIC 21 est d’application rétrospective avec retraitement des exercices antérieurs et ajustement des capitaux propres d’ouverture de l’année 2014 en comparatif dans les états financiers.

Les principaux effets chiffrés de ce changement sont présentés en note 10 Impacts des évolutions comptables et autres évènements.

Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique.

Ceci concerne en particulier :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union Européenne

Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du

Applicable ultérieurement dans le Groupe

Améliorations des IFRS cycle 2010-2012 :

17 décembre 2014 (UE n°2015/28)

 

 

IFRS 2 Conditions d'acquisition des droits, de marché, de performance, de service

 

1er février 2015 (1)

Oui

IFRS 3 Comptabilisation d'un ajustement éventuel du prix

 

1er février 2015 (1)

Oui

IFRS 8 Regroupement de secteurs opérationnels et réconciliation des actifs sectoriels avec le total des actifs

 

1er février 2015 (1)

Oui

IAS 16 et IAS 38 Réévaluation et ajustement proportionnel de l'amortissement cumulé

 

1er février 2015 (1)

Non

IAS 24 Notion de services de direction (« Key management personnel services »)

 

1er février 2015 (1)

Oui

Amendement IAS 19, Régimes à prestations définies : cotisations des membres du personnel

17 décembre 2014 (UE n°2015/29)

1er février 2015 (1)

Oui

Amendements IAS 16 Immobilisations corporelles et IAS 41 Agriculture : Mode de comptabilisation des plantes productrices

23 novembre 2015 (UE 2015/2113)

1er janvier 2016

Non

Amendements IFRS 11 Partenariats Comptabilisation des acquisitions d'intérêts dans des entreprises communes : Application d’IFRS 3 lorsque l'activité constitue un "business" au sens d'IFRS 3

24 novembre 2015 (UE 2015/2173)

1er janvier 2016

Oui

Amendement IAS 16 Immobilisations corporelles et IAS 38 Immobilisations incorporelles : Eclaircissements sur les modes d'amortissement acceptables

02 décembre 2015 (UE 2015/2231)

1er janvier 2016

Oui

Améliorations des IFRS cycle 2012-2014 :

15 décembre 2015 (UE 2015/2343)

 

 

IFRS 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées : Modifications dans les modalités de cession envisagée

 

1er janvier 2016

Oui

IFRS 7 Instruments financiers : Informations à fournir Contrats de services Application de la norme aux états financiers intermédiaires condensés

 

1er janvier 2016

Oui

IAS 19 Avantages au personnel : Taux d’actualisation des avantages postérieur à l’emploi

 

1er janvier 2016

Oui

IAS 34 Information financière intermédiaire : Précision de la formulation « ailleurs dans le rapport financier intermédiaire »

 

1er janvier 2016

Oui

Amendement IAS 1 Présentation des états financiers : Initiative concernant les informations à fournir

18 décembre 2015 (UE 2015/2406)

1er janvier 2016

Oui

Amendement IAS 27 : Utilisation de la méthode de la mise en équivalence dans les états financiers individuels

18 décembre 2015 (UE 2015/2441)

1er janvier 2016

Non

 

Soit à partir du 1er janvier 2016 dans le Groupe.

Par ailleurs, les normes et interprétations publiées par l’IASB au 31 décembre 2015 mais non encore adoptées par l’Union européenne ne sont pas applicables par le Groupe. Elles n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de la date prévue par l’Union européenne et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2015.

Cela concerne en particulier les normes IFRS 9 et IFRS 15.

La norme IFRS 9 Instruments Financiers publiée par l’IASB est appelée à remplacer la norme IAS 39 Instruments financiers. Elle définit de nouveaux principes en matière de classement et d’évaluation des instruments financiers, de dépréciation du risque de crédit et de comptabilité de couverture, hors opérations de macro-couverture.

La norme IFRS 9 devrait entrer en vigueur de manière obligatoire pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018, sous réserve de son adoption par l’Union européenne.

Le Groupe s’est organisé pour mettre en œuvre cette norme dans les délais requis, en associant les fonctions comptables, finances et risques ainsi que l’ensemble des entités concernées. Dès début 2015, le Groupe a lancé des travaux de diagnostic des principaux enjeux de la norme IFRS 9. Les analyses ont prioritairement porté sur les changements induits par :

— Les nouveaux critères de classement et d’évaluation des actifs financiers

— La refonte du modèle de dépréciation du risque de crédit qui permet de passer d’un provisionnement de pertes de crédit avérées à un provisionnement de pertes de crédit attendues (ECL). Cette nouvelle approche ECL vise à anticiper au plus tôt la comptabilisation des pertes de crédit attendues sans attendre un événement objectif de perte avérée. Elle repose sur l’utilisation d’un large éventail d’informations, incluant des données historiques de pertes observées, des ajustements de nature conjoncturelle et structurelle, ainsi que des projections de pertes établies à partir de scénarios raisonnables.

A ce stade de l’avancement du projet, le Groupe reste entièrement mobilisé sur la définition des options structurantes liées à l’interprétation de la norme. Parallèlement, le Groupe est entré dans une phase de déclinaison opérationnelle en vue du déploiement des premières évolutions d’architecture des systèmes d’information.

La norme IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients sera applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018. Elle remplacera les normes IAS 11, Contrats de construction, IAS 18, Produits des activités ordinaires, ainsi que les interprétations IFRIC 13, Programmes de fidélisation de la clientèle, IFRIC 15, Contrats de construction de biens immobiliers, IFRIC 18, Transferts d'actifs provenant de clients et SIC 31, Produits des activités ordinaires - opérations de troc impliquant des services de publicité.

La norme IFRS 15 présente un modèle unique de comptabilisation du revenu pour les ventes de contrats à long terme, les ventes de biens, ainsi que les prestations de services qui n’entrent pas dans le champ d’application des normes relatives aux instruments financiers (IAS 39), aux contrats d’assurance (IFRS 4) ou aux contrats de location (IAS 17). Elle introduit des concepts nouveaux qui pourraient modifier les modalités de comptabilisation de certains revenus du produit net bancaire.

Une étude d’impact de la mise œuvre de la norme dans le groupe Crédit Agricole SA sera réalisé en 2016. Néanmoins, en première analyse, le groupe n’attend pas d’impacts significatifs sur son résultat.

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation ANC n°2013-04 du 07 novembre 2013.

 

1.3. Principes et méthodes comptables :

 

Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux ;

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

— les modifications de la réglementation ou de la législation.

Cette liste n’est pas exhaustive.

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

– les instruments financiers évalués à la juste valeur ;

– les participations non consolidées ;

– les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ;

– les plans de stock-options ;

– les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et d’actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance;

– les dépréciations des créances ;

– les provisions ;

– les dépréciations des écarts d’acquisition ;

– les actifs d’impôts différés ;

– la valorisation des entreprises mises en équivalence ;

– la participation aux bénéfices différés

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

 

Instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne.

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

Titres à l’actif.

Classification des titres à l’actif

 

Les titres sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définies par la norme IAS 39 :

— actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

— actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

— prêts et créances ;

— actifs financiers disponibles à la vente.

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option. — Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend les titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

 

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupe d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

A ce titre, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants:

— EMTN Confluent

— EMTN CALYON CMS TEC

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus.

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature et sont évalués en mark-to-market.

 

Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance : La catégorie Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance (applicable aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

— ceux que la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

— ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des actifs détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39.

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti avec amortissement de la surcote/décote et des frais de transaction selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Prêts et créances : La catégorie Prêts et créances enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres du portefeuille Prêts et créances sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti avec amortissement de la surcote / décote et des frais de transaction selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie Actifs financiers disponibles à la vente est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les titres classés en Actifs financiers disponibles à la vente sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Les titres classés en Actifs financiers disponibles à la vente sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat.

L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ».

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie : L’ensemble des Caisses régionales de Crédit Agricole détient la totalité du capital de SAS Rue La Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50 % des droits de vote et du capital de Crédit Agricole S.A.

La fixation de paramètres permettant de refléter l’ensemble des droits et obligations attachés à la détention des titres SAS Rue La Boétie est complexe et ne permet pas de déterminer une juste valeur fiable au sens de la norme IAS 39. Cela concerne des éléments tels que :

— La stabilité capitalistique du Groupe qui permet d’assurer le contrôle collectif et permanent des Caisses régionales sur Crédit Agricole S.A.,

— La couverture des risques de liquidité et de solvabilité des Caisses régionales,

— Les relations économiques et financières internes au Groupe Crédit Agricole,

— La mise en commun de moyens et,

— La valorisation, le développement et l’utilisation de la marque Crédit Agricole,

En conséquence, et en application de l’exception prévue par la norme IAS 39, les titres SAS Rue La Boétie sont valorisés à leur coût dans les comptes des Caisses régionales. Les titres font l’objet d’un test de dépréciation annuel et, le cas échéant, en cas d’indice de pertes de valeur (cf. partie principes et méthodes comptables – dépréciation des titres).

 

Dépréciation des titres : Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

 

Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dettes.

 

Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30 % au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs.La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme etc.

 

Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de valeur supérieure à 50 % ou observée pendant plus de 3 ans.

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie :

Les titres SAS Rue la Boétie, valorisés au coût, font systématiquement l’objet d’un test de dépréciation annuel et en cas d’indices de pertes de valeurs.

 

A titres d’exemples, les situations suivantes pourraient être considérées comme des indications objectives de dépréciation (à apprécier en fonction de leur significativité) :

— Annonce d’un plan de restructuration ou de cession sur le périmètre Groupe Crédit Agricole S.A.,

— Baisse du cours de l’action Crédit Agricole S.A.,

— Diminution de l’actif net consolidé de Crédit Agricole S.A.,

— Constatation d’un résultat net déficitaire,

— Dégradation de la notation de Crédit Agricole S.A. ...

Une dépréciation sera enregistrée en résultat dès lors que la valeur comptable du titre sera supérieure à une valeur de référence déterminée sur une approche multicritère fondée sur des paramètres de marché visant à établir une valeur des flux de trésorerie futures attendus actualisés au taux qui serait retenu par le marché pour un actif similaire conformément au paragraphe 66 d’IAS 39. Cette approche combine une valorisation des flux futurs attendus des différentes activités du Groupe actualisés à un taux de marché, une valorisation de l’actif net du Groupe, une valorisation des activités du Groupe par référence à des prix de transactions observés récemment sur des activités similaires, une valorisation fondée sur le cours de bourse de Crédit Agricole S.A. complété d’une prime de contrôle et, le cas échéant une valorisation par référence aux transactions internes.

 

Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances.

La constatation de cette dépréciation ne se fait que dans la mesure où elle se traduira par une perte probable de tout ou partie du montant investi :

— pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure,

— pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

– Date d’enregistrement des titres

Les titres classés dans les catégories Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance et Prêts et créances sont enregistrés à la date de règlement livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

— Reclassements d’actifs financiers : Conformément à IAS 39, il est autorisé d’opérer des reclassements de la catégorie Actifs financiers à la vente vers la catégorie Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance en cas de changement d’intention de gestion et si les critères de reclassement en HTM sont respectés.

Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est également autorisé d’opérer les reclassements suivants :

– des catégories Actifs financiers détenus à des fins de transaction et Actifs financiers disponibles à la vente vers la catégorie Prêts et créances, si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

– dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie Actifs financiers détenus à des fins de transaction vers les catégories Actifs financiers disponibles à la vente ou Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance, si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes.

La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l’actif financier reclassé.

Les informations sur les reclassements réalisés par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée en application de l’amendement de la norme IAS 39 sont données dans la note 9 « Reclassements d’instruments financiers ».

 

— Acquisition et cession temporaire de titres : Au sens de l’IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent pas les conditions de décomptabilisation d’IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis.

 

Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant.

 

Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire.

Une créance est enregistrée en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension.

 

Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat.

 

— Activité de crédits : Les crédits sont affectés principalement à la catégorie Prêts et créances. Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature et sont évalués en mark-to-market.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Dépréciations de créances. — Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en Prêts et créances sont dépréciées lorsqu’elles présentent une indication objective de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances, tel que :

– des difficultés financières importantes du débiteur ;

– une rupture de contrat telle qu’un défaut de paiement des intérêts ou du capital ;

– l’octroi par le prêteur à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une facilité que le prêteur n’aurait pas envisagée dans d’autres circonstances (restructuration de prêts) ;

– une probabilité croissante de faillite ou autre restructuration financière de l’emprunteur.

Les dépréciations peuvent être réalisées sur base individuelle, sur base collective, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Dépréciations sur base individuelle. — Le risque de perte avéré est tout d’abord examiné sur les créances prises individuellement. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations individuelles portant sur des créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant une indication objective de dépréciation. Le montant des dépréciations correspond à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine.

 

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

Dépréciations sur base collective. — Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives. Elles sont déterminées par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires.

 

Dépréciations calculées à partir de modèles bâlois. — Dans le cadre de la règlementation bâloise, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues calculé selon les modèles bâlois, d’un coefficient correcteur de passage à maturité, destiné à prendre en compte la nécessité de constituer des dépréciations sur les pertes attendues jusqu’au terme du contrat

 

Autres dépréciations sur base collective. — Par ailleurs, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché Espagnol.

 

Restructurations de créances. — Les créances restructurées pour difficultés financières sont des créances pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et, depuis le 1er janvier 2014, les créances saines, au moment de la restructuration.

Sont exclues les créances réaménagées pour des raisons commerciales, dans le but de développer ou conserver une relation commerciale, et non du fait de difficultés financières de la contrepartie.

La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, qui peut notamment provenir du report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l’enregistrement d’une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine.

Elle est égale à l’écart constaté entre :

– la valeur comptable du prêt ;

– et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

La perte constatée lors d’une restructuration de créance est comptabilisée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d’intérêt.

Les crédits restructurés font l’objet d’un suivi en fonction de la notation conforme aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement au plus tard au bout de 30 jours d’impayés.

Les crédits restructurés restent classés dans cette catégorie pendant une période de deux ans (trois ans s’ils étaient en défaut au moment de la restructuration).

 

Encours en souffrance. — Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance).

 

Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat.

Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

– les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ;

– les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ;

– les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe.

 

Titres au passif :

 

Distinction dettes – capitaux propres. — La distinction entre instrument de dette et instruments de capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance économique des dispositifs contractuels.

Un instrument de dettes constitue une obligation contractuelle :

– de remettre des liquidités ou un autre actif financier ou ;

– d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables

Un instrument de capitaux propres est un contrat qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette.

 

Produits de la collecte. — Les produits de la collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des Dettes envers la clientèle malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.17 Provisions.

 

Instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

 

La comptabilité de couverture. — La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

 

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associés à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

– éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

– documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

– démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole S.A. privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite carve out).

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

– couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

– couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ;

– couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement.

– couverture de juste valeur: seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres disponibles à la vente, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

– couverture de flux de trésorerie: l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

– couverture d'investissement net à l'étranger: Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation.

 

Dérivés incorporés. — Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies :

– le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

– séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

– les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13.

IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation.

La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permet et fait l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C’est notamment le cas du calcul de CVA/DVA.

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

 

 

Risque de contrepartie sur les dérivés. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre).

Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie.

Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. Elle repose prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés.

 

Hiérarchie de la juste valeur. — La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation

Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs.

Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels l’entité peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures.

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs.

Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1.

Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché.

Sont présentés en niveau 2 :

– les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes) et fondée sur des données de marché observables ;

– les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

Niveau 3: justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité.

La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3.

Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché.

Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

Absence de technique de valorisation reconnue pour déterminer la juste valeur d’un instrument de capitaux propres.

« Conformément aux principes d’IAS 39, si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » car sa juste valeur ne peut pas être déterminée de manière fiable. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS 7 en vigueur. Pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée cela concerne le titre SAS Rue la Boétie, titre de participation de société non cotée sur un marché actif dont la détermination d’une juste valeur fiable est difficile. »

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers :

— Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture

 

— Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

- les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

– les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

– les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

 

— Compensation des actifs et passifs financiers : Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

Les instruments dérivés et les opérations de pension traités avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan.

Cet effet de compensation est présenté dans le tableau de la note 6.12 relative à l’amendement d’IFRS 7 sur les informations à fournir au titre des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers.

 

— Garanties financières données : Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre :

– celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels » ; ou

– le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

— Décomptabilisation des instruments financiers : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

– lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ;

– ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée.

 

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif.

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie :

– lorsqu’il arrive à extinction, ou

– lorsque les analyses quantitative et qualitative concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration.

 

Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

– les risques opérationnels ;

– les avantages au personnel ;

– les risques d’exécution des engagements par signature ;

– les litiges et garanties de passif ;

– les risques fiscaux ;

– les risques liés à l’épargne logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

– le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ;

– l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ;

– la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations :

– la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ;

– les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

Des informations détaillées sont fournies en note 6.17 Provisions.

 

Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participations et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus,;

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ;

— les indemnités de fin de contrat de travail ;

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

— Avantages à long terme. — Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus.

Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différés versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions.

La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies.

 

— Avantages postérieurs à l’emploi

– Régimes à prestations définie : La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

 

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4 Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies).

 

Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turnover.

 

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

 

Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies.

 

Conformément à la norme IAS 19 révisée la Caisse Régionale Sud Méditerranée impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

 

Le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

 

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM.

 

— Régimes à cotisations définies

Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

– la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ;

– la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

Un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction de celles-ci.

En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

— soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ;

— soit par un regroupement d'entreprises.

Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si :

— l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et

— les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale

a) soit sur la même entité imposable,

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés.

Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

Cependant, en raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôts pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéea fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du CGI) en déduction des charges de personnel.

 

Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

 

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole S.A. suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

 

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

 

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

— les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

 

Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments :

— les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

— les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

 

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

— les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ;

— lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique Commissions et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

a). les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes sont respectées :

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable,

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise,

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable ;

b). les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ;

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ;

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

a) l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et des intérêts courus à la clôture de l’exercice,

b) la valeur nette comptable des immobilisations louées,

c) la provision pour impôts différés.

Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci.

En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif.

 

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28) :

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, de contrôle conjoint ou d’une influence notable.

— Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

 

— Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le contrôle exclusif sur une entité est présumé exister lorsque la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité.

Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéedétient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seul(e) les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances.

Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranéelors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, l’étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation du pouvoir au gérant ainsi que les rémunérations auxquelles donnent droit les accords contractuels sont analysés afin de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir délégué) ou principal (pour son propre compte).

Ainsi au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquels donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affectés la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité.

Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle

Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité.

 

Exclusions du périmètre de consolidation. — Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28 § 18, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10 et IAS 28 révisée. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

— l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée;

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et sous contrôle conjoint.

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe.

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quotepart du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition.

Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée constate :

— en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un « écart d’acquisition » complémentaire,

— en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession/dilution en résultat.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement.

Les plus ou moinsvalues provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période.

 

Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2015 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 11 «Périmètre de consolidation au 31 décembre 2015 ».

 

Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA (Switch). — Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 et complété par un avenant signé le 19 décembre 2013, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole S.A.

Ce dispositif permet de transférer aux Caisses régionales les exigences prudentielles des participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA) dans la limite d’un plafond contractuel.

La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A. et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme.

Ainsi le dispositif protège Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur globale de mise en équivalence globale, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, peut restituer les indemnisations préalablement perçues.

Au cours de l’exercice 2015, la valeur globale de mise en équivalence des participations couvertes par le dispositif a respectivement subi une baisse au 30 juin 2015 entraînant un appel de la garantie, puis une hausse au 30 septembre 2015 se matérialisant par un retour total à meilleure fortune. Ainsi, l’indemnité versée au titre du 30 juin 2015 pour un montant de 1,9 millions d’euros a été remboursée par Crédit Agricole SA en intégralité en date du 1er décembre par imputation sur le dépôt de garantie de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.Cela s’est traduit, dans les comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, par la comptabilisation en résultat au second trimestre, d’une charge en coût du risque de 2,4 millions d’euros et par l’annulation de ces impacts dans les mêmes agrégats du résultat du troisième trimestre.

 

Opération de titrisation. — Au 31/12/2015, une nouvelle entité (FCT Crédit Agricole Habitat 2015) a été consolidée au sein du Groupe Crédit Agricole, née d’une opération de titrisation réalisée par les Caisses régionales le 21 octobre 2015. Cette transaction est le premier RMBS réalisé en France par le Groupe avec cession des créances habitat.

Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 » pour un montant de 10 milliards d’euros et une souscription le même jour par les établissements ayant cédé les crédits, des titres émis par le FCT.

Dans le cadre de cette titrisation interne au Groupe, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a cédé, à l’origine, des crédits habitat pour un montant de 92 millions d’euros au FCT Crédit Agricole Habitat 2015. Elle a souscrit des obligations senior pour 80 millions d’euros et des titres subordonnés pour 13 millions d’euros. Une période de 5 ans de rechargements mensuels des créances est prévue pour tenir compte de l’amortissement du portefeuille de crédits habitat.

 

3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture.

 

Le pilotage des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est assurée par la direction des Finances qui est rattachée au Directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise et le contrôle permanent des risques de crédit, financiers et opérationnels.

La description de ces dispositifs ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « Facteurs de risques », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilations comptables continuent néanmoins de figurer dans les états financiers.

 

3.1. Risque de crédit (cf. Rapport de gestion page 17) :

 

Exposition maximale au risque de crédit. — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Actifs financiers à la juste valeur par le résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte)

6 306

7 259

Instruments dérivés de couverture

107 240

126 584

Actifs disponible à la vente (hors titres à revenu variable)

34 425

19 467

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

3 225

49 039

Prêts et créances sur la clientèle

4 354 675

4 350 707

Actif financiers détenus jusqu'à l'échéance

188 595

195 389

Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations)

4 694 466

4 748 445

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

399 639

383 246

Engagements de garantie financière donnés (hors opérations internes)

80 576

81 922

Provisions - Engagements par signature

-1 519

-1 171

Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

478 696

463 997

Exposition maximale au risque de crédit

5 173 162

5 212 442

 

Le montant des garanties et autres rehaussements de crédits reçus s'élèvent à :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

 

 

Prêts et créances sur la clientèle

124 493

41 514

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

 

 

Engagements de garantie donnés (hors opérations internes)

 

 

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques

 

Concentrations par agent économique de l’activité de crédit :

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administration générale

612 555

6 179

6 179

 

606 376

Banques centrales

 

 

 

 

0

Etablissements de crédit

3 197

 

 

 

3 197

Grandes entreprises

597 159

57 175

37 786

11 589

547 784

Clientèle de détail

3 358 933

243 226

138 122

35 732

3 185 079

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1)

4 571 844

306 580

182 087

47 321

4 342 436

(1) Dont encours restructurés pour 32 208 milliers d'euros.

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administration générale

660 596

7 895

6 085

 

654 511

Banques centrales

 

 

 

 

 

Etablissements de crédit

1 917

 

 

 

1 917

Grandes entreprises

561 452

64 199

40 544

12 406

508 502

Clientèle de détail

3 354 078

247 227

142 505

38 359

3 173 214

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 578 043

319 321

189 134

50 765

4 338 144

(1) Dont encours restructurés pour 31 388 milliers d'euros.

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

Administration générale

34 259

66 374

Grandes entreprises

104 486

76 120

Clientèle de détail

260 894

240 752

Total Engagements de financement

399 639

383 246

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

Administration générale

4 542

3 930

Grandes entreprises

62 618

58 153

Clientèle de détail

15 141

22 222

Total Engagements de garantie

82 301

84 305

 

Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Administration générale

18 464

32 917

Grandes entreprises

626 016

547 006

Clientèle de détail

1 104 717

1 052 192

Total Dettes envers la clientèle

1 749 197

1 632 115

 

 

Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 204 816

199 543

125 065

29 444

4 050 307

Autres pays de l'UE

360 558

106 499

56 484

17 873

286 201

Autres pays d'Europe

2 968

534

534

4

2 430

Amérique du Nord

2 500

4

4

 

2 496

Amériques Centrale et du Sud

117

 

 

 

117

Afrique et Moyen Orient

885

 

 

 

885

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1)

4 571 844

306 580

182 087

47 321

4 342 436

(1) Dont encours restructurés pour 32 208 milliers d'euros.

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 181 254

206 077

131 156

50 142

3 999 956

Autres pays de l'UE

390 439

112 737

57 471

527

332 441

Autres pays d'Europe

2 654

502

502

91

2 061

Amérique du Nord

2 620

1

1

 

2 619

Amériques Centrale et du Sud

143

 

 

5

138

Afrique et Moyen Orient

931

2

2

 

929

Asie et Océanie (hors Japon)

2

2

2

 

 

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle (1)

4 578 043

319 321

189 134

50 765

4 338 144

(1) Dont encours restructurés pour 31 388 milliers d'euros.

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Engagements de financement en faveur de la clientèle

 

 

France (y compris DOM-TOM)

398 795

382 393

Autres pays de l'UE

680

693

Autres pays d'Europe

83

84

Amérique du Nord

39

27

Amériques Centrale et du Sud

4

3

Afrique et Moyen Orient

26

36

Asie et Océanie (hors Japon)

12

10

Total Engagements de financement

399 639

383 246

Engagements de garantie en faveur de la clientèle

 

 

France (y compris DOM-TOM)

82 273

83 521

Autres pays de l'UE

3

784

Autres pays d'Europe

25

 

Total Engagements de garantie

82 301

84 305

 

Dettes envers la clientèle par zone géographique

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

France (y compris DOM-TOM)

1 675 252

1 567 460

Autres pays de l'UE

67 247

58 120

Autres pays d'Europe

3 193

3 077

Amérique du Nord

1 530

1 743

Amériques Centrale et du Sud

284

512

Afrique et Moyen Orient

1 305

974

Asie et Océanie (hors Japon)

385

228

Japon

1

1

Total Dettes envers la clientèle

1 749 197

1 632 115

 

Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement :

— Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2015

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180 jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

245 784

13 064

Instruments de dette

0

0

0

0

0

172

2 368

Administration générale

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

 

172

2 368

Grandes entreprises

 

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et avances

78 255

4 623

0

0

82 878

124 493

229 408

Administration générale

883

 

 

 

883

 

6 179

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

Grandes entreprises

18 334

314

 

 

18 648

19 389

49 375

Clientèle de détail

59 038

4 309

 

 

63 347

105 104

173 854

Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

78 255

4 623

0

0

82 878

370 449

244 840

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

31/12/2014

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

238 614

12 980

Instruments de dette

0

0

0

0

0

194

2 569

Administration générale (1)

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

 

194

2 569

Grandes entreprises

 

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et avances

86 349

8 123

393

0

94 865

130 187

239 899

Administration générale (1)

1 609

4

 

 

1 613

1 810

6 085

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

Grandes entreprises

13 434

1 100

 

 

14 534

23 655

52 950

Clientèle de détail

71 306

7 019

393

 

78 718

104 722

180 864

Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

86 349

8 123

393

0

94 865

368 995

255 448

 

3.2. Risque de marché (cf. Rapport de gestion page 20). — Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle

La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle.

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

 

 

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

1 370

13 333

92 537

107 240

126 584

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

1 370

13 333

92 537

107 240

126 584

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

1 370

13 333

92 537

107 240

126 584

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif

0

0

0

1 370

13 333

92 537

107 240

126 584

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2015

31/12/2014

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

 

 

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

3 875

34 309

89 541

127 725

144 459

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

3 875

34 309

89 541

127 725

144 459

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

3 875

34 309

89 541

127 725

144 459

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif

0

0

0

3 875

34 309

89 541

127 725

144 459

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

0

491

491

595

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

 

491

491

595

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

5

5

6

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

5

5

6

Sous total

0

0

0

0

0

496

496

601

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif

0

0

0

0

0

496

496

601

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2015

31/12/2014

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

0

491

491

614

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

 

491

491

614

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

162

162

144

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

162

162

144

Sous total

0

0

0

0

0

653

653

758

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif

0

0

0

0

0

653

653

758

 

Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

1 838 677

2 179 333

Futures

 

 

Fra

 

 

Swaps de taux d'intérêts

1 838 677

2 179 333

Options de taux

 

 

Caps-floors-collars

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

Opérations fermes de change

 

 

Options de change

 

 

Autres instruments :

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

Dérivés de crédits

 

 

Autres

 

 

Sous total

1 838 677

2 179 333

Opérations de change à terme

5 350

6 725

Total notionnels

1 844 027

2 186 058

 

Risque de change (cf. Rapport de gestion page 24)

— Contribution des différentes devises au bilan consolidé :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

5 823 123

5 823 123

5 520 584

5 520 584

Autres devises de l'Union Européenne

73

73

66

66

USD

972

972

1 050

1 050

JPY

 

 

 

 

Autres devises

222

222

261

261

Total bilan

5 824 390

5 824 390

5 521 961

5 521 961

 

 

Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

 

15 418

 

 

15 394

 

Autres devises de l'Union Européenne

 

 

 

 

 

 

USD

 

 

 

 

 

 

JPY

 

 

 

 

 

 

Autres devises

 

 

 

 

 

 

Total

0

15 418

0

0

15 394

0

 

3.3. Risque de liquidité et de financement (cf. Rapport de gestion page 24)

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

179 193

182 988

5 802

185 952

13 500

567 435

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

345 094

378 857

1 376 267

2 467 414

1 015

4 568 647

Total

524 287

561 845

1 382 069

2 653 366

14 515

5 136 082

Dépréciations

 

 

 

 

 

-229 408

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

 

 

 

 

4 906 674

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

79 495

5 162

8 126

136 957

13 500

243 240

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

345 665

381 768

1 353 826

2 493 852

1 015

4 576 126

Total

425 160

386 930

1 361 952

2 630 809

14 515

4 819 366

Dépréciations

 

 

 

 

 

-239 899

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

 

 

 

 

4 579 467

 

Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

414 459

871 949

799 073

763 018

 

2 848 499

Dettes envers la clientèle

1 184 551

179 180

227 538

157 928

 

1 749 197

Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle

1 599 010

1 051 129

1 026 611

920 946

0

4 597 696

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

413 677

900 061

693 237

667 491

 

2 674 466

Dettes envers la clientèle

1 093 627

133 463

140 800

264 225

 

1 632 115

Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle

1 507 304

1 033 524

834 037

931 716

0

4 306 581

 

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

77

 

 

 

 

77

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

264

 

 

158 651

 

158 915

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

0

Total Dettes représentées par un titre

341

0

0

158 651

0

158 992

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

480

 

14 938

 

 

15 418

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

0

Total Dettes subordonnées

480

0

14 938

0

0

15 418

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminée

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

2 039

25

 

 

 

2 064

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

296

 

 

161 185

 

161 481

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

0

Total Dettes représentées par un titre

2 335

25

0

161 185

0

163 545

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

481

 

14 913

 

 

15 394

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

0

Total Dettes subordonnées

481

0

14 913

0

0

15 394

 

3.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change (cf. Rapport de gestion page 27)

 

Couverture de juste valeur. — Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables.

Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

 

Couverture de flux de trésorerie. — Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

 

Couverture d’un investissement net en devise. — Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères.

 

Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Valeur marché

Montant

Valeur marché

Montant

positive

négative

Notionnel

positive

négative

Notionnel

Couverture de juste valeur

107 240

125 997

1 801 665

126 584

142 495

2 140 966

Taux d'intérêt

107 240

125 997

1 801 665

126 584

142 495

2 140 966

Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

0

1 728

25 000

0

1 964

25 000

Taux d'intérêt

 

1 728

25 000

 

1 964

25 000

Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

 

 

 

Total Instruments dérivés de couverture

107 240

127 725

1 826 665

126 584

144 459

2 165 966

 

3.5. Risques opérationnels (cf. Rapport de gestion page 27)

 

3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires. — Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et «conglomérats financiers », la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013 depuis le 1er janvier 2014 et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

Le dispositif prudentiel a été renforcé par la réforme Bâle 3 qui consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de capital et des exigences supplémentaires au terme de la liquidité et du levier. Certaines dispositions s’appliquent de manière progressive jusqu’au 31 décembre 2017, de même pour l’exigence de coussins en capital.

Toutefois, le régulateur a maintenu les exigences de fonds propres au titre des niveaux plancher (l’exigence Bâle 3 ne pouvant être inférieure à 80 % de l’exigence Bâle 1).

Le niveau plancher a été supprimé cependant l’information relative aux exigences Bâle 1 reste obligatoire et est prévu jusqu’à la fin de la période transitoire.

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

— les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), détermines à partir des capitaux propres du Groupe et retraités notamment de certains instruments de capital qui sont classés en Additional Tier 1 (AT1) et des immobilisations incorporelles ;

— les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1, constitué du Common Equity Tier 1 et des fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 (AT1) ;

— les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans.

Pour être reconnus en Bâle 3, les instruments de fonds propres de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion plus exigeants. Si ces instruments ne sont pas éligibles Bâle 3, ils font l’objet d’une clause de « grand-père » qui s’étale sur 10 ans jusqu’à fin 2021 pour les éliminer des fonds propres de façon progressive.

Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier 1 (AT1) et du Tier 2. Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances quand l’établissement n’est pas soumis à l’application de la « Directive conglomérat financier», sinon les valeurs de mise en équivalence des titres des entreprises d’assurances détenues dans le Groupe sont pondérées en risques.

En 2015 comme en 2014 et selon la règlementation en vigueur, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a répondu aux exigences réglementaires.

 

4. – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

 

4.1. Produits et charges d’intérêts :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Sur opérations avec les établissements de crédit

524

1 137

Sur opérations internes au Crédit Agricole

13 931

14 551

Sur opérations avec la clientèle

154 277

151 470

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

1

8

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

4 318

4 178

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

25 249

24 660

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Produits d'intérêts (1) (2)

198 300

196 004

Sur opérations avec les établissements de crédit

-549

-1 104

Sur opérations internes au Crédit Agricole

-35 073

-43 861

Sur opérations avec la clientèle

-17 411

-18 835

Sur dettes représentées par un titre

-7 866

-5 824

Sur dettes subordonnées

-953

-954

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

-34 253

-30 792

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

 

Charges d'intérêts

-96 105

-101 370

(1) dont 7 003 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2015 contre 6 592 milliers d'euros au 31 décembre 2014.

(2) dont 1 077 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2015 contre 1 223 milliers d'euros au 31 décembre 2014.

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

137

-50

87

122

-24

98

Sur opérations internes au Crédit Agricole

7 162

-10 361

-3 199

9 087

-7 588

1 499

Sur opérations avec la clientèle

18 288

-322

17 966

19 536

-349

19 187

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

6

 

6

9

 

9

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

 

 

0

81

 

81

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers

47 318

-5 157

42 161

47 472

-5 432

42 040

Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues

944

-63

881

1 051

-40

1 011

Produits nets des commissions

73 855

-15 953

57 902

77 358

-13 433

63 925

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

-19

-140

Plus ou moins-values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat sur option

136

798

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

134

123

Résultat de la comptabilité de couverture

-1 431

-1 431

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

-1 180

-650

 

Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

139 048

-140 479

-1 431

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

72 662

-67 818

4 844

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

66 386

-72 661

-6 275

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

326 413

-326 413

0

Variations de juste valeur des éléments couverts

162 187

-164 226

-2 039

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

164 226

-162 187

2 039

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Total Résultat de la comptabilité de couverture

465 461

-466 892

-1 431

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014 retraité

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

87 871

-89 302

-1 431

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

63 299

-26 003

37 296

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

24 572

-63 299

-38 727

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

307 441

-307 441

0

Variations de juste valeur des éléments couverts

155 864

-151 577

4 287

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

151 577

-155 864

-4 287

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Total Résultat de la comptabilité de couverture

395 312

-396 743

-1 431

 

4.4. Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Dividendes reçus

7 621

7 279

Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente (1)

46

33

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres) (2)

-89

-547

Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

7 578

6 765

 

(1) Hors résultat de cession sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement mentionnés en note 4.8 « Coût du risque ».

(2) Dont 44 K€ comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur le titre SCI Château de Castelnou et 41 K€ sur le titre FIA NET EUROPE.

 

4.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-939

-706

Autres produits (charges) nets

570

2 269

Produits (charges) des autres activités

-369

1 563

 

4.6. Charges générales d’exploitation

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014retraité

Charges de personnel

57 731

56 285

Impôts et taxes (1)

4 565

4 615

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation

32 104

31 191

Charges générales d'exploitation

94 400

92 091

(1) Dont 99 milliers d’euros comptabilisés au titre du fonds de résolution.

 

Honoraires des commissaires aux comptes. — Le montant des charges générales d’exploitation intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2015 est donnée ci-dessous :

 

(En milliers d'Euros hors taxes)

2015

2014

E & Y

KPMG

Autre

Total

Total

Commissaires aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés

118

78

 

196

196

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du Commissariat aux comptes

 

 

 

 

 

Total Honoraires des commissaires aux comptes

118

78

 

196

196

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Dotations aux amortissements

5 687

6 895

Immobilisations corporelles

5 636

6 868

Immobilisations incorporelles

51

27

Dotations (reprises) aux dépréciations

0

0

Immobilisations corporelles

 

 

Immobilisations incorporelles

 

 

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

5 687

6 895

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-42 342

-64 973

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

-34 246

-56 939

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

-24

Autres actifs

-6 469

-7 840

Engagements par signature

-409

 

Risques et charges

-1 218

-170

Reprises de provisions et de dépréciations

33 629

40 030

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

31 891

38 258

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

201

331

Autres actifs

1 219

1 070

Engagements par signature

61

94

Risques et charges

257

277

Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-8 713

-24 943

Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-247

-214

Récupérations sur prêts et créances amortis

632

424

Décotes sur crédits restructurés

 

-53

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

-367

-211

Autres produits

 

 

Coût du risque

-8 695

-24 997

 

(1) Dont 1 874 milliers relatifs à l’appel de la garantie globale (Switch), versés (ou à payer) à Crédit Agricole S.A. pour combler la baisse de la valeur de mise en équivalence globale des participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels.

(2) Dont 1 874 milliers relatifs au retour à meilleure fortune de la garantie globale (Switch), reçus (ou à recevoir) de Crédit Agricole S.A. suite à la hausse de la valeur de mise en équivalence globale des participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels.

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

0

44

Plus-values de cession

 

51

Moins-values de cession

 

-7

Titres de capitaux propres consolidés

0

0

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

Produits (charges) nets sur opérations de regroupement

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

0

44

 

4.10. Impôts :

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014retraité

Charge d'impôt courant

16 568

13 504

Charge d'impôt différé

332

507

Charge d'impôt de la période

16 900

14 011

 

Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

— Au 31 décembre 2015 :

 

(En milliers d'Euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence

57 344

38,00%

-21 791

Effet des différences permanentes

 

0,90%

2 292

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

-0,77%

441

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

-2,38%

1 363

Effet de l'imposition à taux réduit

 

0,04%

-22

Effet des autres éléments

 

-1,42%

817

Taux et charge effectifs d'impôt

 

29,47%

16 900

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle et la contribution exceptionnelle sur l’impôt sur les sociétés) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2015.

 

— Au 31 décembre 2014 retraité :

 

(En milliers d'Euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des entreprises mises en équivalence

42 298

38,00%

16 073

Effet des différences permanentes

 

-12,74%

-5 393

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

1,85%

783

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

8,88%

3 756

Effet de l'imposition à taux réduit

 

0,41%

172

Effet des autres éléments

 

-3,26%

-1 380

Taux et charge effectifs d'impôt

 

33,12%

14 011

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle et la contribution exceptionnelle sur l’impôt sur les sociétés) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2014.

 

4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période,

 

Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclable ultérieument en résultat

 

 

Gains et pertes sur écarts de conversion

0

0

Ecart de réévaluation de la période

 

 

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

2 384

1 177

Ecart de réévaluation de la période

2 428

883

Transfert en résultat

-44

294

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

242

134

Ecart de réévaluation de la période

242

134

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

0

0

Ecart de réévaluation de la période

 

 

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entreprises mises en équivalence

-190

-144

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

2 436

1 167

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

 

 

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

465

-1 846

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entreprises mises en équivalence

-159

636

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

306

-1 210

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

2 742

-43

Dont part Groupe

2 742

-43

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et effets d’impôt

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

Variation

31/12/2015

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part du Groupe

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part du Groupe

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part du Groupe

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

4 885

-315

4 570

4 570

2 384

-107

2 277

2 277

7 269

-422

6 847

6 847

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

-1 962

676

-1 286

-1 286

242

-83

159

159

-1 720

593

-1 127

-1 127

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entreprises mises en équivalence

2 923

361

3 284

3 284

2 626

-190

2 436

2 436

5 549

171

5 720

5 720

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

2 923

361

3 284

3 284

2 626

-190

2 436

2 436

5 549

171

5 720

5 720

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

-3 298

1 151

-2 147

-2 147

465

-159

306

306

-2 833

992

-1 841

-1 841

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entreprises mises en équivalence

-3 298

1 151

-2 147

-2 147

465

-159

306

306

-2 833

992

-1 841

-1 841

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

-3 298

1 151

-2 147

-2 147

465

-159

306

 

-2 833

992

-1 841

-1 841

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

-375

1 512

1 137

1 137

3 091

-349

2 742

 

2 716

1 163

3 879

3 879

 

5. – Informations sectorielles

 

Définition des secteurs opérationnels. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf note 3.1).

 

5.1. Information sectorielle par zone géographique. — L’analyse géographique des actifs et des résultats sectoriels repose sur le lieu d’enregistrement comptable des activités.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Résultat net part Groupe

dont produit net bancaire

Actifs sectoriels

Résultat net part Groupe

dont produit net bancaire

Actifs sectoriels

France (y compris DOM-TOM)

44 046

161 976

 

37 033

161 487

 

Autres pays de l'Union Européenne

-3 602

4 150

 

-8 752

4 750

 

Autres pays d'Europe

 

 

 

 

 

 

Amérique du Nord

 

 

 

 

 

 

Amériques Centrale et du Sud

 

 

 

 

 

 

Afrique et Moyen Orient

 

 

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

Total

40 444

166 126

0

28 281

166 237

0

 

6. – Notes relatives au bilan

 

6.1. Caisse, banques centrales

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

27 367

 

27 638

 

Banques centrales

6 001

 

6 001

 

Valeur au bilan

33 368

0

33 639

0

 

 

6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat : :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

496

601

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

5 810

6 658

Valeur au bilan

6 306

7 259

Dont Titres prêtés

 

 

 

 

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Instruments de capitaux propres

 

 

- Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres de dettes

 

 

- Effets publics et valeurs assimilées

 

 

- Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Prêts et avances

 

 

- Créances sur la clientèle

 

 

- Créances sur les établissements de crédit

 

 

- Titres reçus en pension livrée

 

 

- Valeurs reçues en pension

 

 

Instruments dérivés

496

601

Valeur au bilan

496

601

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Instruments de capitaux propres

 

 

- Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres de dettes

5 810

6 658

- Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

- Effets publics et valeurs assimilées

 

 

- Obligations et autres titres à revenu fixe

5 810

6 658

Prêts et avances

 

 

- Créances sur la clientèle

 

 

- Créances sur les établissements de crédit

 

 

- Titres reçus en pension livrée

0

0

- Valeurs reçues en pension

 

 

Valeur au bilan

5 810

6 658

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

653

758

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

Valeur au bilan

653

758

 

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Titres vendus à découvert

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

653

758

Total Passifs financiers détenus à des fins de transaction

653

758

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêt et de change.

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente

 

(En milliers d'euros)

31/12/2015

31/12/2014

Valeur comptable

Gains latents

Pertes latentes

Valeur comptable

Gains latents

Pertes latentes

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

34 425

498

 

19 467

398

 

Actions et autres titres à revenu variable

2 097

 

 

1 349

 

 

Titres de participation non consolidés

271 389

6 940

-168

261 362

4 704

-217

Total des titres disponibles à la vente

307 911

7 438

-168

282 178

5 102

-217

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

Total des créances disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

307 911

7 438

-168

282 178

5 102

-217

Impôts

 

-422

 

 

-315

 

Gains et pertes sur actifs financiers disponibles à la vente comptabilisés directement en capitaux propres (net d'impôts)

 

7 016

-168

 

4 787

-217

(1) Dont 13 064 milliers d'euros comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances au 31 décembre 2015 et 12 980 milliers d'euros au 31 décembre 2014.

(2) «Par exception, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués au coût pour un montant net de dépréciation de 236 778 milliers d’euros au 31 décembre 2015 et 230 045 milliers d’euros au 31 décembre 2014.»

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Etablissements de crédit

 

 

Titres de dettes

0

0

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Prêts et avances

3 197

1 917

Comptes et prêts

2 984

1 704

dont comptes ordinaires débiteurs sains

2 784

1 504

dont comptes et prêts au jour le jour sains

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

213

213

Autres prêts et créances

 

 

Valeur brute

3 197

1 917

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit

3 197

1 917

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

Titres de dettes

0

0

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Prêts et avances

564 238

241 323

Comptes ordinaires

172 600

59 206

Comptes et avances à terme

378 135

168 614

Prêts subordonnés

13 503

13 503

Valeur brute

564 238

241 323

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances internes au Crédit Agricole

564 238

241 323

Valeur au bilan

567 435

243 240

 

Prêts et créances sur la clientèle

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Opérations avec la clientèle

 

 

Titres de dettes

1 022

1 023

Titres non cotés sur un marché actif

1 022

1 023

Prêts et avances

4 567 625

4 575 103

Créances commerciales

9 813

10 335

Autres concours à la clientèle

4 517 763

4 522 527

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

 

 

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

Avances en comptes courants d'associés

6 502

6 617

Comptes ordinaires débiteurs

33 547

35 624

Valeur brute

4 568 647

4 576 126

Dépréciations

-229 408

-239 899

Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle

4 339 239

4 336 227

Opérations de location-financement

 

 

Location-financement immobilier

 

 

Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

Valeur brute

0

0

Dépréciations

 

 

Valeur nette des opérations de location-financement

0

0

Valeur au bilan

4 339 239

4 336 227

 

6.6. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Effets publics et valeurs assimilées

108 014

109 457

Obligations et autres titres à revenu fixe

82 949

88 501

Total

190 963

197 958

Dépréciations

-2 368

-2 569

Valeur au bilan

188 595

195 389

 

6.7. Actifs transférés non décomptabilisés ou décomptabilisés avec implication continue

 

Titrisations. — Les titrisations consolidées intégralement auto-souscrites ne constituent pas un transfert d’actif au sens de la norme IFRS 7.

 

6.8. Dépréciations inscrites en déduction des actifs financiers

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2015

Créances sur les établissements de crédit

     

Créances sur la clientèle

239 899

 

39 604

50 095

229 408

Dont dépréciations collectives

50 765

 

2 329

5 773

47 321

Opérations de location financement

     

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 569

  

201

2 368

Actifs disponibles à la vente

12 980

 

88

4

13 064

Autres actifs financiers

32 942

 

6 469

5 039

34 372

Total Dépréciations des actifs financiers

288 390

0

46 161

55 339

279 212

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2013

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2014

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

0

Créances sur la clientèle

226 755

 

62 371

49 227

239 899

Dont dépréciations collectives

52 725

 

7 543

9 503

50 765

Opérations de location financement

 

 

 

 

0

Titres détenus jusqu'à l'échéance

2 875

 

25

331

2 569

Actifs disponibles à la vente

12 432

 

548

 

12 980

Autres actifs financiers

30 723

 

7 839

5 620

32 942

Total Dépréciations des actifs financiers

272 785

0

70 783

55 178

288 390

 

6.9. Exposition au risque souverain. — Expositions significatives au risque souverain

Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement

 

L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture.

 

Activité bancaire

 

31/12/2015

Expositions nettes de dépréciations

Total activité banquebrut de couvertures

Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente

Total activité banque net de couvertures

(En milliers d'Euros)

Dont portefeuille bancaire

Actifs à la juste valeur par résultat

Actifs financiers disponibles à la vente

Prêts et créances

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

Dont portefeuille de négociation (hors dérivés)

Allemagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Arabie Saoudite

 

 

 

 

 

 

 

 

Belgique

 

 

 

 

 

 

 

 

Brésil

 

 

 

 

 

 

 

 

Chine

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Etats unis

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

108 014

 

108 014

 

108 014

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Hong Kong

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

 

 

Maroc

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Russie

 

 

 

 

 

 

 

 

Syrie

 

 

 

 

 

 

 

 

Ukraine

 

 

 

 

 

 

 

 

Venézuela

 

 

 

 

 

 

 

 

Yémen

 

 

 

 

 

 

 

 

Total exposition

0

0

0

108 014

0

108 014

0

108 014

 

31/12/2014

Expositions nettes Activité bancaire nettes de dépréciations

Total activité banque brut de couvertures

Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente

Total Activité Banque Net de couverture

(En milliers d'Euros)

Dont portefeuille bancaire

Actifs à la juste valeur par résultat

Actifs financiers disponibles à la vente

Prêts et créances

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

Dont portefeuille de négociation (hors dérivés)

Allemagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Arabie saoudite

 

 

 

 

 

 

 

 

Belgique

 

 

 

 

 

 

 

 

Brésil

 

 

 

 

 

 

 

 

Chine

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Etats unis

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

109 457

 

109 457

 

109 457

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Hong kong

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

 

 

Maroc

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Russie

 

 

 

 

 

 

 

 

Syrie

 

 

 

 

 

 

 

 

Ukraine

 

 

 

 

 

 

 

 

Venézuela

 

 

 

 

 

 

 

 

Yémen

 

 

 

 

 

 

 

 

Total exposition

0

0

0

109 457

0

109 457

0

109 457

 

 

Dettes souveraines – Activité bancaire

 

Variations entre le 31 décembre 2014 retraité et la 31 décembre 2015

 

Variation des expositions brutes de couverture

Solde au 31/12/2014

Variation de juste valeur

Recyclage des réserves AFS

Créances rattachées

Tombées d'échéance

Cessions nettes de reprises de provisions

Acquisitions

Solde au 31/12/2015

(En milliers d'euros)

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

 

 

 

 

 

 

 

0

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

 

 

 

 

 

 

 

0

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Actifs financiers disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

 

 

 

 

 

 

 

0

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Prêts et créances

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

109 457

 

 

-1 443

 

 

 

108 014

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

109 457

0

0

-1 443

0

0

0

108 014

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

 

 

 

 

 

 

 

0

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Portefeuille de négociation (hors dérivés)

0

0

0

0

0

0

0

0

Total activité banque

109 457

0

0

-1 443

0

0

0

108 014

 

 

Variations entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2014

 

Variation des expositions brutes de couverture

Solde au 31/12/2013

Variation de juste valeur

Recyclage des réserves AFS

Créances rattachées

Tombées d'échéance

Cessions nettes de reprises de provisions

Acquisitions

Solde au 31/12/2014

(En milliers d'euros)

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

 

 

 

 

 

 

 

0

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

 

 

 

 

 

 

 

0

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Actifs financiers disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

 

 

 

 

 

 

 

0

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Prêts et créances

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

75 677

 

 

-760

 

 

34 540

109 457

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

75 677

0

0

-760

0

0

34 540

109 457

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

0

France

 

 

 

 

 

 

 

0

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

0

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

0

Italie

 

 

 

 

 

 

 

0

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Portefeuille de négociation (hors dérivés)

0

0

0

0

0

0

0

0

Total activité banque

75 677

0

0

-760

0

0

34 540

109 457

 

6.10. Dettes envers les établissements de crédit et sur la clientèle

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Etablissements de crédit

 

 

Comptes et emprunts

301

1 877

dont comptes ordinaires créditeurs

87

1 662

dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Total

301

1 877

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

 

 

Comptes et avances à terme

2 848 198

2 672 589

Total

2 848 198

2 672 589

Valeur au bilan

2 848 499

2 674 466

 

 

Dettes envers la clientèle

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Comptes ordinaires créditeurs

1 129 506

1 026 397

Comptes d'épargne à régime spécial

10 447

12 032

Autres dettes envers la clientèle

609 244

593 686

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

Valeur au bilan

1 749 197

1 632 115

 

6.11. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Dettes représentées par un titre

 

 

Bons de caisse

77

2 064

Titres du marché interbancaire

 

 

Titres de créances négociables :

158 915

161 481

Emprunts obligataires

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

Valeur au bilan

158 992

163 545

Dettes subordonnées

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

15 418

15 394

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

Valeur au bilan

15 418

15 394

 

6.12. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers

 

Compensation – Actifs financiers

 

 

31/12/2015

Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des instruments financiers

Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement (1)

Montants net des actifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des passifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'euros)

(a)

(b)

(c)=(a)-(b)

(d) (3) et (4)

 

(e)=(c)-(d)

Dérivés (2)

107 731

 

107 731

78 325

 

29 406

Prises en pension de titres

 

 

 

 

 

 

Prêts de titres

 

 

 

 

 

 

Autres instruments financiers

 

 

 

 

 

 

Total des actifs financiers soumis à compensation

107 731

0

107 731

78 325

0

29 406

(1) Montants compensables en application d'IAS 32.42.
(2) Le montant des dérivés soumis à compensation présente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté.
(3) Ces montants ne devraient comprendre uniquement les droits de compensation exécutoires et exerçables qu'en cas de défaillance d'insolvabilité ou
de faillite. Ils ne peuvent pas être supérieurs au soldes nets"
(4) Conformément à IFRS 7.13E et IFRS 7.B50, l’entité doit décrire les types de droits à compensation et d’accords similaires, y compris la nature de
ces droits.

 

Montants compensables en application d'IAS 32.42.

Le montant des dérivés soumis à compensation présente 100 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté.

Ces montants ne devraient comprendre uniquement les droits de compensation exécutoires et exerçables qu'en cas de défaillance d'insolvabilité ou de faillite.

Ils ne peuvent pas être supérieurs au soldes nets"

Conformément à IFRS 7.13E et IFRS 7.B50, l’entité doit décrire les types de droits à compensation et d’accords similaires, y compris la nature de ces droits.

 

31/12/2014

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des instruments financiers

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement (1)

Montants net des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'euros)

(a)

(b)

(c)=(a)-(b)

(d) (3) et (4)

 

(e)=(c)-(d)

Dérivés (2)

127 179

 

127 179

97 735

 

29 444

Mises en pension de titres

 

 

0

 

 

,

Emprunts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des actifs financiers soumis à compensation

127 179

0

127 179

97 735

0

29 444

 

Compensation – Passifs financiers

 

31/12/2015

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des instruments financiers

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement (1)

Montants net des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'euros)

(a)

(b)

(c)=(a)-(b)

(d)

 

(e)=(c)-(d)

Dérivés

128 216

 

128 216

78 325

 

49 891

Mises en pension de titres

 

 

0

 

 

,

Emprunts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des passifs financiers soumis à compensation

128 216

0

128 216

78 325

0

49 891

 

(1) Montants compensables en application d'IAS 32.42.

(2) Le montant des dérivés soumis à compensation présente 99,87 % des dérivés à l'actif à la date d'arrêté.

(3) Ces montants ne devraient comprendre uniquement les droits de compensation exécutoires et exerçables qu'en cas de défaillance d'insolvabilité ou de faillite.

(4) Ils ne peuvent pas être supérieurs au soldes nets"

Conformément à IFRS 7.13E et IFRS 7.B50, l’entité doit décrire les types de droits à compensation et d’accords similaires, y compris la nature de ces droits.

 

 

31/12/2014

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des instruments financiers

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement (1)

Montants net des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'euros)

(a)

(b)

(c)=(a)-(b)

(d)

 

(e)=(c)-(d)

Dérivés

145 073

 

145 073

97 735

 

47 338

Mises en pension de titres

 

 

0

 

 

,

Emprunts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des passifs financiers soumis à compensation

145 073

0

145 073

97 735

0

47 338

 

 

6.13. Actifs et passifs d’impôts courants et différés

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Impôts courants

2 021

1 880

Impôts différés

21 633

22 461

Total Actifs d'impôts courants et différés

23 654

24 341

Impôts courants

2 737

1 882

Impôts différés

2

 

Total Passifs d'impôts courants et différés

2 739

1 882

 

 

Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Décalages temporaires comptables-fiscaux

20 960

0

21 504

0

Charges à payer non déductibles

1 741

 

686

 

Provisions pour risques et charges non déductibles

18 202

 

19 642

 

Autres différences temporaires

1 017

 

1 176

 

Impôts différés sur réserves latentes

827

0

1 197

0

Actifs disponibles à la vente

-243

 

-169

 

Couvertures de Flux de Trésorerie

592

 

676

 

Gains et pertes / Ecarts actuariels

478

 

690

 

Impôts différés sur résultat

-154

2

-240

 

Total Impôts différés

21 633

2

22 461

0

 

 

Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale.

 

 

6.14. Comptes de régularisation active, passive et diverse

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Autres actifs

112 751

112 189

Comptes de stocks et emplois divers

30 762

33 733

Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

Débiteurs divers

81 988

78 420

Comptes de règlements

1

36

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

36 333

39 207

Comptes d'encaissement et de transfert

11 584

17 130

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

1

Produits à recevoir

24 208

20 491

Charges constatées d'avance

310

419

Autres comptes de régularisation

230

1 166

Valeur au bilan

149 084

151 396

(1) Dont 42 milliers d’euros au titre de la contribution au Fonds de Résolution versée sous forme d’un dépôt de garantie. Ce dépôt de garantie est utilisable par le Fonds de Résolution, à tout moment et sans condition, pour financer une intervention.

 

 

Comptes de régularisation et passifs divers

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014 retraité

Autres passifs (1)

27 432

26 445

Comptes de règlements

 

 

Créditeurs divers

27 296

26 309

Versement restant à effectuer sur titres

136

136

Autres passifs d'assurance

 

 

Autres

 

 

Comptes de régularisation

50 731

48 049

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

6 239

4 425

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

Produits constatés d’avance

17 811

17 643

Charges à payer

24 559

22 397

Autres comptes de régularisation

2 122

3 584

Valeur au bilan

78 163

74 494

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) Les montants sont indiqués en net.

 

6..15. Immeubles de placement

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

31/12/2015

Valeur brute

9 365

 

34

-1 222

862

9 039

Amortissements et dépréciations

-4 501

 

-1 076

937

 

-4 640

Valeur au bilan (1)

4 864

 

-1 042

-285

862

4 399

(1) Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2013

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

31/12/2014

Valeur brute

10 279

 

34

-1 207

259

9 365

Amortissements et dépréciations

-4 300

 

-907

706

 

-4 501

Valeur au bilan (1)

5 979

 

-873

-501

259

4 864

(1) Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût amorti, établie « à dire d’expert », s’élève à 5 606 milliers d’euros au 31 décembre 2015 contre 5 917 milliers d’euros au 31 décembre 2014

 

Juste valeur des immeubles de placement par modèle de valorisation

 

(En milliers d'Euros)

 

31/12/2015

31/12/2014

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques :

Niveau 1

 

 

Valorisation fondée sur des données observables :

Niveau 2

 

 

Valorisation fondée sur des données non observables :

Niveau 3

5 606

5 918

Valeur de marché des immeubles de placement non évalués à la juste valeur au bilan

 

5 606

5 918

 

 

6.16. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition)

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

31/12/2015

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

130 458

 

3 379

-3 062

 

130 775

Amortissements et dépréciations (1)

-99 177

 

-5 636

2 969

 

-101 844

Valeur au bilan

31 281

 

-2 257

-93

 

28 931

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 845

 

84

 

 

10 929

Amortissements et dépréciations

-9 957

 

-51

 

 

-10 008

Valeur au bilan

888

 

33

 

 

921

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple.

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2014 retraité

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

31/12/2014 retraité

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

127 060

 

4 165

-760

-7

130 458

Amortissements et dépréciations (1)

-93 004

 

-6 867

694

 

-99 177

Valeur au bilan

34 056

 

-2 702

-66

-7

31 281

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 822

 

16

 

7

10 845

Amortissements et dépréciations

-9 930

 

-27

 

 

-9 957

Valeur au bilan

892

 

-11

 

7

888

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple.

 

6.17. Provisions

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2015

Risques sur les produits épargne logement

5 053

1 820

 

-1 896

 

4 977

Risques d’exécution des engagements par signature

1 171

409

 

-61

 

1 519

Risques opérationnels

2 061

1 237

-648

-472

 

2 178

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

2 738

4

 

-52

-615

2 075

Litiges divers

114

33

 

 

 

147

Participations

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

0

Autres risques

8 159

2 942

-978

-470

 

9 653

Total

19 296

6 445

-1 626

-2 951

-615

20 549

(1) Dont 1 480 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 595 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail.

 

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2014

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2014

Risques sur les produits épargne logement

2 967

2 248

 

-162

 

5 053

Risques d’exécution des engagements par signature

1 265

 

 

-94

 

1 171

Risques opérationnels

4 434

806

-158

-3 021

 

2 061

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

864

62

 

-21

1 833

2 738

Litiges divers

114

 

 

 

 

114

Participations

0

 

 

 

 

0

Restructurations

0

 

 

 

 

0

Autres risques

6 204

2 899

-936

-8

 

8 159

Total

15 848

6 015

-1 094

-3 306

1 833

19 296

(1) Dont 2 114 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 624 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail.

 

Provision épargne-logement :

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

315 507

226 880

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

238 667

242 241

Ancienneté de plus de 10 ans

214 477

237 825

Total plans d'épargne-logement

768 651

706 946

Total comptes épargne-logement

70 206

74 170

Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

838 857

781 116

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

Les encours de collecte, hors prime de l’Etat sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2015 pour les données au 31 décembre 2015 et à fin novembre 2014 pour les données au 31 décembre 2015 ;

 

Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Plans d'épargne-logement

1 564

2 300

Comptes épargne-logement

5 863

7 942

Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

7 427

10 242

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

1 722

1 566

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

878

1 057

Ancienneté de plus de 10 ans

2 377

2 430

Total plans d'épargne-logement

4 977

5 053

Total comptes épargne-logement

 

 

Total provision au titre des contrats épargne-logement

4 977

5 053

 

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2015

Dotations

Reprises

31/12/2015

Plans d'épargne-logement :

5 053

1 820

-1 896

4 977

Comptes épargne-logement :

 

 

 

 

Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 053

1 820

-1 896

4 977

 

L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ».

 

6.18. Capitaux propres part du groupe

 

Composition du capital au 31 décembre 2015. — La Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

 

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement (CCI) et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA).

 

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

 

Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

 

Les CCI sont émis au profit de titulaires n’ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables.

 

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2015

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2015

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

0

0

459 957

Dont part du Public

 

 

 

 

Dont part Crédit Agricole S.A.

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

13 190 710

903 869

0

14 094 579

Dont 30 Caisses Locales

13 190 685

903 869

 

14 094 554

Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

 

24

Dont Crédit Agricole S.A.

1

 

 

1

Total

13 650 667

903 869

0

14 554 536

 

 

La valeur nominale des titres est de :

— 15,25 € pour les CCA

— 15,25 € pour les parts sociales soumises par la CR

— 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales

 

Au 31/12/2015, la capital de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 28 899 K€.

 

Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

 

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale de ... sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA.

 

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

 

La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

 

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

 

Dividendes. — Au titre de l’exercice 2015, le Conseil d’administration de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 24/03/2016 un dividende net par part sociale de 0,03 euros, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale.

 

Dividendes. — Le décret N° 2016-121 du 08 Février 2016 modifiant la rémunération maximale des parts sociales pouvant être appliquée au titre de l’exercice 2015 est paru au journal officiel du 09 Février 2016.

 

Le montant des dividendes a été calculé à partir d’un taux égal à 1,80 % correspondant au plafond du taux d’intérêt que les coopératives peuvent servir à leur capital, la période de référence utilisée pour le calcul du taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées (TMO) mentionné à l’article 14 de la loi du 10 septembre 1947 étant celle des trois années civiles précédant la date de leur assemblée générale.

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

Montant Net

Montant Net

2 011

4,66

0,05

2 012

2,22

0,05

2 013

2,9

0,04

2 014

3,91

0,03

Prévu 2015

5,15

0,03

 

Dividendes payés au cours de l’exercice : Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 2 172 milliers d’euros en 2015.

 

 

Affectations du résultat et fixation du dividende 2015. — L’affectation du résultat la fixation et la mise en paiement du dividende 2015 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée du 24/03/2016.

 

Le texte de la résolution est le suivant :

 

L’Assemblée Générale accepte l’affectation du résultat de l’exercice 2015 proposée par le Conseil d’Administration et approuvée par Crédit Agricole SA :

 

Résultat de l’exercice à affecter

31 578 680,58 €

Distribué

2 747 175,63 €

Intérêts aux parts au taux de 1,80%

378 774,59 €

aux Caisses locales

378 767,73 €

aux autres souscripteurs

6,86 €

Rémunération des CCA

2 368 401,04 €

 

Conservé

28 831 504,95 €

Réserve légale

21 623 628,71 €

Autres réserves

 

7 207 876,24 €

 

6.19. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle. — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle.

L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle.

Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminée ».

Les écarts de réévaluation des portefeuilles couverts en taux sont considérés comme ayant une échéance indéterminée compte tenu de l’absence de maturité définie.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2015

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Caisse, banques centrales

33 368

 

 

 

 

33 368

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

160

59

5 591

496

 

6 306

Instruments dérivés de couverture

932

438

13 333

92 537

 

107 240

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

5 025

 

302 886

307 911

Prêts et créances sur les établissements de crédit

179 193

182 988

5 802

185 952

13 500

567 435

Prêts et créances sur la clientèle

231 093

363 463

1 337 340

2 406 328

1 015

4 339 239

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

67 307

 

 

 

 

67 307

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 270

8 179

72 676

105 470

 

188 595

Total Actifs financiers par échéance

514 323

555 127

1 439 767

2 790 783

317 401

5 617 401

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

 

491

162

653

Instruments dérivés de couverture

95

3 780

34 309

89 541

 

127 725

Dettes envers les établissements de crédit

414 459

871 949

799 073

763 018

 

2 848 499

Dettes envers la clientèle

1 184 551

179 180

227 538

157 928

 

1 749 197

Dettes représentées par un titre

341

 

 

158 651

 

158 992

Dettes subordonnées

480

 

14 938

0

 

15 418

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

79 286

 

 

 

 

79 286

Total Passifs financiers par échéance

1 679 212

1 054 909

1 075 858

1 169 629

162

4 979 770

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Caisse, banques centrales

33 639

    

33 639

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

98

 

6 560

601

 

7 259

Instruments dérivés de couverture

537

705

13 224

112 118

 

126 584

Actifs financiers disponibles à la vente

1

  

5 016

277 161

282 178

Prêts et créances sur les établissements de crédit

79 495

5 162

8 126

136 957

13 500

243 240

Prêts et créances sur la clientèle

229 011

363 775

1 315 461

2 426 965

1 015

4 336 227

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

84 675

    

84 675

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 824

3 487

73 475

115 603

 

195 389

Total Actifs financiers par échéance

430 280

373 129

1 416 846

2 797 260

291 676

5 309 191

Banques centrales

      

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

  

19

739

 

758

Instruments dérivés de couverture

 

6 128

26 562

111 769

 

144 459

Dettes envers les établissements de crédit

413 677

900 061

693 237

667 491

 

2 674 466

Dettes envers la clientèle

1 093 627

133 463

140 800

264 225

 

1 632 115

Dettes représentées par un titre

2 335

25

 

161 185

 

163 545

Dettes subordonnées

481

 

14 913

  

15 394

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

94 615

    

94 615

Total passifs financiers par échéance

1 604 735

1 039 677

875 531

1 205 409

0

4 725 352

 

7. — Avantages au personnel et autres rémunérations

 

7.1. Détail des charges de personnel

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Salaires et traitements (1)

30 904

30 265

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

3 534

3 496

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

1 181

1 145

Autres charges sociales

10 605

10 498

Intéressement et participation

5 242

4 774

Impôts et taxes sur rémunération

6 265

6 107

Total Charges de personnel

57 731

56 285

 

(1) Dont indemnités liées à la retraite pour 222 milliers d’euros au 31 décembre 2015 contre 310 milliers d’euros au 31 décembre 2014.

Dont médailles du travail pour -29 milliers d’euros au 31 décembre 2015 contre 62 milliers d’euros au 31 décembre 2014.

 

7.2. Effectif fin de période

 

Effectifs

31/12/2015

31/12/2014

France

848

840

Etranger

16

16

Total

864

856

 

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies

 

 

 

(En milliers d'Euros)

Zone Euro

Hors zone

Toutes zones

Toutes zones

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2014

Variation dette actuarielle

 

 

 

 

Dette actuarielle au 31/12/N-1

16 800

 

16 800

14 300

Ecart de change

 

 

 

 

Coût des services rendus sur l'exercice

1 302

 

1 302

1 044

Coût financier

248

 

248

429

Cotisations employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

-204

 

-204

 

Variation de périmètre

-128

 

-128

17

Prestations versées (obligatoire)

-1 278

 

-1 278

-769

Taxes, charges administratives et primes

 

 

 

 

(Gains) / pertes actuariels * liés aux hypothèses démographiques

-119

 

-119

144

(Gains) / pertes actuariels liés aux hypothèses financières

-248

 

-248

1 635

Dette actuarielle au 31/12/N

16 373

 

16 373

16 800

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2014

Détail de la charge comptabilisée au résultat

 

 

 

 

Coût des services

1 098

 

1 098

1 044

Charge / produit d'intérêt net

19

 

19

10

Impact en compte de résultat au 31/12/N

1 117

 

1 117

1 054

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2014

Détail des gains et pertes comptabilisés en autres éléments du résultat global non recyclables

 

 

 

 

Réévaluation du passif (de l'actif) net

 

 

 

 

Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en autres éléments du résultat global non recyclables au 31/12/N-1

3 298

 

3 298

1 451

Ecart de change

 

 

 

 

Gains / (pertes) actuariels sur l'actif

-98

 

-98

68

Gains / (pertes) actuariels liés aux hypothèses démographiques (1)

-119

 

-119

144

Gains / (pertes) actuariels liés aux hypothèses financières (1)

-248

 

-248

1 635

Ajustement de la limitation d'actifs

 

 

 

 

Total des éléments reconnus immédiatement en autres éléments du résultat global au 31/12/N

2 833

 

2 833

3 298

(1) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d'expérience

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2014

Variation de juste valeur des actifs

 

 

 

 

Juste valeur des actifs au 31/12/N-1

14 686

 

14 686

13 998

Ecart de change

 

 

 

 

Intérêt sur l'actif (produit)

229

 

229

419

Gains / (pertes) actuariels

98

 

98

-68

Cotisations payées par l'employeur

1 286

 

1 286

1 089

Cotisations payées par les employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

 

 

Variation de périmètre

-128

 

-128

17

Taxes, charges administratives et primes

 

 

 

 

Prestations payées par le fonds

-1 278

 

-1 278

-769

Juste valeur des actifs au 31/12/N

14 893

 

14 893

14 686

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2015

31/12/2014

Position nette

 

 

 

 

Dette actuarielle fin de période

-16 373

 

-16 373

-16 800

Impact de la limitation d'actifs

 

 

 

 

Juste valeur des actifs fin de période

14 893

 

14 893

14 686

Position nette (passif) / actif fin de période

-1 480

 

-1 480

-2 114

Coût des services passés (modification de régimes) non reconnus

 

 

 

 

Position nette (passif) / actif fin de période publiée au 31/12/N-1

 

 

 

-2 114

(1) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over.

(2) Suivant les populations concernées (cadres ou non cadres).

 

 

Information sur les actifs des régimes Allocations d'actifs

Zone euro

Hors zone euro

Toutes zones

En %

En %

En %

Actions

9,7%

 

9,7%

Obligations

84,2%

 

84,2%

Immobiliers

 

 

 

Autres actifs (1)

6,10%

 

6,1%

(1) Cash contrat d'assurance

 

Au 31 décembre 2015, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de -3,9 % ;

— Une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de 4,2 %.

 

7.5. Autres avantages sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 595 K€ à la fin de l’exercice 2015.

 

7.6. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l’institution. Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 493 K€.

 

8. — Engagements de financement et de garantie et autres garanties

 

Engagements donnés et reçus

 

(En milliers d'Euros)

 

 

31/12/2015

31/12/2014

Engagements donnés

 

 

2 141 691

2 162 651

Engagements de financement

 

 

428 998

392 324

. Engagements en faveur des établissements de crédit

 

 

29 359

9 078

. Engagements en faveur de la clientèle

 

 

399 639

383 246

 

Ouverture de crédits confirmés

 

196 295

219 908

 

 

- Ouverture de crédits documentaires

141

34

 

 

- Autres ouvertures de crédits confirmés

196 154

219 874

 

Autres engagements en faveur de la clientèle

 

203 344

163 338

Engagements de garantie

 

 

409 698

411 654

. Engagements d'ordre des établissements de crédit

 

 

327 397

327 349

 

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

48

 

 

Autres garanties

 

327 349

327 349

. Engagements d'ordre de la clientèle

 

 

82 301

84 305

 

Cautions immobilières

 

16 750

11 995

 

Autres garanties d'ordre de la clientèle

 

65 551

72 310

Autres engagements donnés

 

 

1 302 995

1 358 673

Engagements reçus

 

 

987 673

1 102 048

Engagements de financement

 

 

33 768

250 000

. Engagements reçus des établissements de crédit

 

 

33 768

250 000

. Engagements reçus de la clientèle

 

 

 

 

Engagements de garantie

 

 

953 905

852 048

. Engagements reçus des établissements de crédit

 

 

82 597

68 646

. Engagements reçus de la clientèle

 

 

871 308

783 402

 

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

 

189 960

176 948

 

Autres garanties reçues

 

681 348

606 454

(1) Dont 327 349 milliers d’euros relatifs à la garantie globale (Switch) mise en place le 2 janvier 2014, en amendement de la garantie précédente octroyée le 23 décembre 2011 pour 201 340 milliers d’euros.

 

Instruments financiers remis et reçus en garantie

 

(En milliers d'euros)

 

31/12/2015

31/12/2014

Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés)

 

 

 

 

Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (SFEF, Banque de France, CRH …)

1 302 995

1 358 673

 

Titres prêtés

-821

-821

 

Dépôts de garantie sur opérations de marché

 

47 090

 

Autres dépôts de garantie

 

 

 

Titres et valeurs donnés en pension

 

 

Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie

 

1 302 174

1 404 942

Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés

 

 

 

 

Titres empruntés

 

 

 

Titres et valeurs reçus en pension

 

 

 

Titres vendus à découvert

 

 

Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés

 

0

0

 

(1) Dans le cadre de la garantie globale (Switch) mise en place le 2 janvier 2014, l’entité a versé un dépôt de 110 539 milliers d’euros en amendement du précédent dépôt versé le 23 décembre 2011 pour 67 885 milliers d’euros.

 

Au 31 décembre 2015 la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée n’a pas utilisé les titres souscrits auprès du FCT Crédit Agricole Habitat 2015 comme dispositif de refinancement.

 

 

Créances apportées en garantie. — Au cours de l’année 2015, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté 1 302 995 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 358 673 milliers d’euros en 2014.

En particulier, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a apporté :

— 744 852 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 822 943 milliers d’euros en 2014 ;

— 0 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du dispositif SFEF (Société de Financement de l'Economie Française), contre 0 milliers d’euros en 2014;

— 169 464 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 187 832 milliers d’euros en 2014;

— 388 679 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 347 898 milliers d’euros en 2014

 

9. — Juste valeur des instruments financiers

 

La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation.

 

La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion d’exit price).

 

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des donnés de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

 

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

 

9.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût. — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation.

 

Actifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur

 

(En milliers d'Euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2015

Juste valeur au 31 décembre 2015

Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiquesniveau 1

Valorisation fondée sur des données observablesniveau 2

Valorisation fondée sur des données non observablesniveau 3

Actifs financiers non évalués à la juste valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Prêts et Créances

4 906 674

5 052 959

0

704 671

4 348 288

Créances sur les établissements de crédit

567 435

565 500

0

565 500

0

Comptes ordinaires et prêts JJ

175 384

175 384

 

175 384

 

Comptes et prêts à terme

378 335

376 403

 

376 403

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

13 716

13 713

 

13 713

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

 

 

 

Autres prêts et créances

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

4 339 239

4 487 459

0

139 171

4 348 288

Créances commerciales

9 804

9 813

 

 

9 813

Autres concours à la clientèle

4 309 425

4 438 198

 

100 722

4 337 476

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

 

 

Titres non cotés sur un marché actif

1 022

999

 

 

999

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

 

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Avances en comptes courants d'associés

5 067

5 002

 

5 002

 

Comptes ordinaires débiteurs

13 921

33 447

 

33 447

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

188 595

201 963

201 398

351

214

Effets publics et valeurs assimilées

108 014

119 484

119 484

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

80 581

82 479

81 914

351

214

Total Actifs financiers dont la juste valeur est indiquée

5 095 269

5 254 922

201 398

705 022

4 348 502

 

 

(En milliers d'Euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2014

Juste valeur au 31 décembre 2014

Prix côté sur des marchés actifs pour des instruments identiquesniveau 1

Valorisation fondée sur des données observablesniveau 2

Valorisation fondée sur des données non observablesniveau 3

Actifs financiers non évalués à la Juste Valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Prêts et Créances

4 729 255

4 729 001

0

282 449

4 446 552

Créances sur les établissements de crédit (1)

240 406

240 406

0

240 406

0

Comptes ordinaires & prêts JJ

60 710

60 710

 

60 710

 

Comptes et prêts à terme

165 983

165 983

 

165 983

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

13 713

13 713

 

13 713

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

 

 

 

Autres prêts et créances

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

4 488 849

4 488 595

0

42 043

4 446 552

Créances commerciales

10 335

10 335

 

 

10 335

Autres concours à la clientèle

4 435 456

4 435 186

 

 

4 435 186

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

 

 

Titres non cotés sur un marché actif

1 015

1 031

 

 

1 031

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

 

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Avances en comptes courants d'associés

6 552

6 552

 

6 552

 

Comptes ordinaires débiteurs

35 491

35 491

 

35 491

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

195 087

213 830

213 080

351

399

Effets publics et valeurs assimilées

108 173

124 545

124 545

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

86 914

89 285

88 535

351

399

Total actifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 924 342

4 942 831

213 080

282 800

4 446 951

 

La hiérarchie de juste valeur des actifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13.

 

Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs financiers cotés sur un marché actif.

 

Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de prix de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté.

 

Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé.

 

— Passifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur

 

 

(En milliers d'Euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2015

Juste valeur au 31 décembre 2015

Prix côtés sur des marchés actifs pour des instruments identiquesNiveau 1

Valorisation fondée sur des données observablesNiveau 2

Valorisation fondée sur des données non observablesNiveau 3

Passifs financiers non évalués à la juste valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

2 848 499

2 962 684

0

2 962 684

0

Comptes ordinaires et emprunts JJ

88

88

 

88

 

Comptes et emprunts à terme

2 848 411

2 962 596

 

2 962 596

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

1 749 197

1 742 494

0

1 732 047

10 447

Comptes ordinaires créditeurs

1 129 506

1 129 494

 

1 129 494

 

Comptes d'épargne à régime spécial

10 447

10 447

 

 

10 447

Autres dettes envers la clientèle

609 244

602 553

 

602 553

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

158 992

178 818

 

178 818

 

Dettes subordonnées

15 418

14 938

 

14 938

 

Total Passifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 772 106

4 898 934

0

4 888 487

10 447

 

(En milliers d'Euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2014

Juste valeur au 31 décembre 2014

Prix côté sur des marchés actifs pour des instruments identiquesNiveau 1

Valorisation fondée sur des données observablesNiveau 2

Valorisation fondée sur des données non observablesNiveau 3

Passifs financiers non évalués à la Juste Valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

2 669 258

2 939 134

0

2 939 134

0

Comptes ordinaires et emprunts JJ

1 664

1 664

 

1 664

 

Comptes et emprunts à terme

2 667 594

2 937 470

 

2 937 470

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

1 624 252

1 624 252

0

1 612 220

12 032

Comptes ordinaires créditeurs

1 026 391

1 026 391

 

1 026 391

 

Comptes d'épargne à régime spécial

12 032

12 032

 

 

12 032

Autres dettes envers la clientèle

585 829

585 829

 

585 829

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

152 059

186 663

 

186 663

 

Dettes subordonnées

14 913

14 913

 

14 913

 

Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 460 482

4 764 962

0

4 752 930

12 032

 

 

La hiérarchie de juste valeur des passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13.

 

Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des passifs financiers cotés sur un marché actif.

 

Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de prix de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté.

 

Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé.

 

Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

— des actifs ou passifs exigibles à vue.

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

9.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur. — Evaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) du risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre).

 

L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie (Credit Value Adjustment – CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers.

 

L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement (Debt Value Adjustment – DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers.

 

Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. La probabilité de défaut est déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides.

Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation

 

Actifs financiers valorisés à la juste valeur

 

Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation

 

(En milliers d'Euros)

Total 31/12/2015

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

496

0

496

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

496

 

496

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

5 810

0

5 810

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

5 810

 

5 810

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

5 810

 

5 810

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

307 911

34 425

273 486

0

Effets publics et valeurs assimilées

0

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

34 425

34 425

 

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

273 486

 

273 486

 

Créances disponibles à la vente

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

107 240

 

107 240

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

421 457

34 425

387 032

0

Transfert issus du Niveau 1 : Prix cotées sur des marchés actifs pour des instruments identiques

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2 : Valorisation fondée sur des données observables

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3 : Valorisation fondée sur des données non observables

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

«(1) Y compris 236 778 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. Titres à l’actif de la note 1.3 Principes et méthodes comptables). »

 

(En milliers d'Euros)

Total 31/12/2014

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

601

0

601

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

0

0

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

601

 

601

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

6 658

0

6 658

0

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

6 658

0

6 658

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

6 658

 

6 658

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

282 178

19 335

262 823

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

19 467

19 335

112

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

262 711

 

262 711

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

126 584

 

126 584

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

416 021

19 335

396 666

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

«(1) Y compris 230 045 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. Titres à l’actif note 1.3 Principes et méthodes comptables). »

 

Passifs financiers valorisés à la juste valeur. — Les montants présentés sont y compris dettes rattachées

 

(En milliers d'Euros)

Total 31/12/2015

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

653

 

653

 

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Instruments dérivés

653

 

653

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

127 725

 

127 725

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

128 378

0

128 378

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

(En milliers d'Euros)

Total 31/12/2014

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

758

0

758

0

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Instruments dérivés

758

 

758

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

144 459

 

144 459

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

145 217

0

145 217

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

10. Impacts des évolutions comptables (IFRIC 21) ou autres événements

 

Compte de résultat

 

Impacts du changement de méthode lié à IFRIC 21 au 31 décembre 2014 :

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014 retraité

Impact IFRIC 21

Impacts autres

31/12/2014 publié

Intérêts et produits assimilés

196 004

 

 

196 004

Intérêts et charges assimilées

-101 370

 

 

-101 370

Commissions (produits)

77 358

 

 

77 358

Commissions (charges)

-13 433

 

 

-13 433

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

-650

 

 

-650

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

6 765

 

 

6 765

Produits des autres activités

4 022

 

 

4 022

Charges des autres activités

-2 459

 

 

-2 459

Produit net bancaire

166 237

0

0

166 237

Charges générales d'exploitation

-92 091

10

 

-92 101

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

-6 895

 

 

-6 895

Résultat brut d’exploitation

67 251

10

0

67 241

Coût du risque

-24 997

 

 

-24 997

Résultat d’exploitation

42 254

10

0

42 244

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

44

 

 

44

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

 

Résultat avant impot

42 298

10

0

42 288

Impôts sur les bénéfices

-14 011

-4

 

-14 007

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

 

Résultat net

28 287

6

0

28 281

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

Résultat net – part du groupe

28 287

6

0

28 281

Résultat par action (en euros) (1)

 

 

 

 

Résultat dilué par action (en euros) (1)

 

 

 

 

(1) correspond au résultat y compris résultat net des activités arrêtées ou en cours de cession

 

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

Impacts du changement de méthode lié à IFRIC 21 au 31 décembre 2014

(En milliers d'Euros)

31/12/2014 retraité

Impact IFRIC 21

Impacts autres

31/12/2014 publié

Résultat net

28 287

6

 

28 281

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

-1 846

 

 

-1 846

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entités mises en équivalence

-1 846

0

0

-1 846

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entités mises en équivalence

636

 

 

636

Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

-1 210

0

0

-1 210

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente (1)

1 177

 

 

1 177

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

134

 

 

134

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence

1 311

0

0

1 311

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables part du Groupe des entités mises en équivalence

 

 

 

 

Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entités mises en équivalence

-144

 

 

-144

Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

1 167

0

0

1 167

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

-43

0

0

-43

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

28 244

6

0

28 238

Dont part du Groupe

28 244

6

 

28 238

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

 

Bilan Actif

 

Impacts du changement de méthode lié à IFRIC 21 au 31 décembre 2014

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2014 retraité

Impact IFRIC 21

Impacts autres

31/12/2014 publié

Caisse, banques centrales

33 639

 

 

33 639

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

7 259

 

 

7 259

Instruments dérivés de couverture

126 584

 

 

126 584

Actifs financiers disponibles à la vente

282 178

 

 

282 178

Prêts et créances sur les établissements de crédit

243 240

 

 

243 240

Prêts et créances sur la clientèle

4 336 227

 

 

4 336 227

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

84 675

 

 

84 675

Actifs financiers detenus jusqu'à l'échéance

195 389

 

 

195 389

Actifs d'impôts courants et différés

24 212

-129

 

24 341

Comptes de régularisation et actifs divers

151 396

 

 

151 396

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Participation aux bénéfices différée

 

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

Immeubles de placement

4 864

 

 

4 864

Immobilisations corporelles

31 281

 

 

31 281

Immobilisations incorporelles

888

 

 

888

Ecarts d'acquisition

 

 

 

 

Total de l'actif

5 521 832

-129

0

5 521 961

 

 

Impacts du changement de méthode lié à IFRIC 21 au 1er janvier 2014

 

(En milliers d'Euros)

01/01/2014 retraité

Impact IFRS 11

Impacts autres

01/01/2014 publié

Caisse, banques centrales

29 090

 

 

29 090

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

6 133

 

 

6 133

Instruments dérivés de couverture

96 420

 

 

96 420

Actifs financiers disponibles à la vente

259 697

 

 

259 697

Prêts et créances sur les établissements de crédit

184 568

 

 

184 568

Prêts et créances sur la clientèle

4 352 417

 

 

4 352 417

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

56 419

 

 

56 419

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

118 747

 

 

118 747

Actifs d'impôts courants et différés

29 363

-125

 

29 488

Comptes de régularisation et actifs divers

131 262

 

 

131 262

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Participation aux bénéfices différée

 

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

Immeubles de placement

5 979

 

 

5 979

Immobilisations corporelles

34 056

 

 

34 056

Immobilisations incorporelles

892

 

 

892

Ecarts d'acquisition

 

 

 

 

Total de l'actif

5 305 043

-125

0

5 305 168

 

Bilan Passif

 

Impacts du changement de méthode lié à IFRIC 21 au 31 décembre 2014

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014 retraité

Impact IFRIC 11

Impacts autres

31/12/2014 publié

Banques centrales

0

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

758

 

 

758

Instruments dérivés de couverture

144 459

 

 

144 459

Dettes envers les établissements de crédit

2 674 466

 

 

2 674 466

Dettes envers la clientèle

1 632 115

 

 

1 632 115

Dettes représentées par un titre

163 545

 

 

163 545

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

94 615

 

 

94 615

Passifs d'impôts courants et différés

1 882

 

 

1 882

Comptes de régularisation et passifs divers

74 494

-340

 

74 834

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

 

Provisions

19 296

 

 

19 296

Dettes subordonnées

15 394

 

 

15 394

Total dettes

4 821 024

-340

0

4 821 364

Capitaux propres

700 808

211

0

700 597

Capitaux propres - part du Groupe

700 808

211

0

700 597

Capital et réserves liées

157 177

 

 

157 177

Réserves consolidées

514 207

205

 

514 002

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

1 137

 

 

1 137

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Résultat de l'exercice

28 287

6

 

28 281

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

Total du passif

5 521 832

-129

0

5 521 961

 

 

Impacts du changement de méthode lié à IFRIC 21 au 1er janvier 2014

 

(En milliers d'euros)

01/01/2014 retraité

Impact IFRIC 21

Impacts autres

01/01/2014 publié

Banques centrales

 

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

150

 

 

150

Instruments dérivés de couverture

69 495

 

 

69 495

Dettes envers les établissements de crédit

2 630 114

 

 

2 630 114

Dettes envers la clientèle

1 604 197

 

 

1 604 197

Dettes représentées par un titre

155 344

 

 

155 344

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

70 645

 

 

70 645

Passifs d'impôts courants et différés

115

 

 

115

Comptes de régularisation et passifs divers

70 051

-330

 

70 381

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

 

Provisions

15 848

 

 

15 848

Dettes subordonnées

15 370

 

 

15 370

Total dettes

4 631 329

-330

0

4 631 659

Capitaux propres

673 714

205

0

673 509

Capitaux propres - part du Groupe

673 714

205

0

673 509

Capital et réserves liées

156 534

 

 

156 534

Réserves consolidées

491 690

205

 

491 485

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

1 180

 

 

1 180

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Résultat de l'exercice

24 310

 

 

24 310

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

Total du passif

5 305 043

-125

0

5 305 168

 

 

Tableau des flux de trésorerie

 

Impacts du changement de méthode lié à IFRIC 21 au 31 décembre 2014

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014 retraité

Impact IFRIC 11

Impacts autres

31/12/2014 publié

Résultat avant impôts

42 298

10

 

42 288

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

6 894

 

 

6 894

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

23 003

 

 

23 003

Quote-part de résultat liée aux entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

Résultat net des activités d'investissement

-76

 

 

-76

Résultat net des activités de financement

954

 

 

954

Autres mouvements

805

-10

 

815

Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

31 580

-10

0

31 590

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

14 074

 

 

14 074

Flux liés aux opérations avec la clientèle

64 904

 

 

64 904

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-91 103

 

 

-91 103

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-15 190

 

 

-15 190

Dividendes reçus des entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

Impôts versés

-6 605

 

 

-6 605

Variation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

-33 920

0

0

-33 920

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie généré par l'activité OPERATIONNELLE (A)

39 958

0

0

39 958

Flux liés aux participations (1)

-1 235

 

 

-1 235

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-4 071

 

 

-4 071

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-5 306

0

0

-5 306

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2)

-1 150

 

 

-1 150

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (3)

-930

 

 

-930

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

 

 

TOTAL Flux nets de trésorerie lié aux opérations de FINANCEMENT (C )

-2 080

0

0

-2 080

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D)

32 572

0

0

32 572

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

60 115

0

0

60 115

Solde net des comptes de caisse et banques centrales *

29 087

 

 

29 087

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit **

31 028

 

 

31 028

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

92 686

0

0

92 686

Solde net des comptes de caisse et banques centrales *

33 638

 

 

33 638

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit **

59 048

 

 

59 048

Variation de la tresorerie nette et des equivalents de tresorerie

32 571

0

0

32 571

(*) composé du solde net des postes "Caisses et banques centrales", hors intérêts courus (y compris trésorerie des entités reclassées en activités destinées à être cédées)

(**) composé du solde des postes "comptes ordinaires débiteurs sains" et "comptes et prêts au jour le jour sains" tels que détaillés en note 5.3 et des postes "comptes ordinaires créditeurs" et "comptes et emprunts au jour le jour" tels que détaillés en note 5.7 (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole)

 

11. — Périmètre de consolidation au 31 décembre 2015

 

11.1. Information sur les filiales

 

11.1.1. Opérations de titrisation. — En 2015 la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée a participé à la titrisation du FCT Crédit Agricole Habitat 2015, titrisation décrite au niveau de la note 2 Principales opérations de structure et événements significatifs de la période

 

11.2. Composition du périmètre

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode au 31 décembre 2015

% De contrôle et d'intérêt

31/12/2015

31/12/2014

Établissements bancaires et financiers

 

 

 

 

Fct Credit Agricole habitat 2015

France

Intégration Globale

100

 

Caisse Locale à vocation départementale des P.O

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARGELES - ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale La Caterraine - Sud Reart

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Cote Vermeille

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Porte de la Salanque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LA FOSSEILLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TET - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de l'agly - FENOUILLDES - VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Forca - Real

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de THUIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CONFLENT - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de RIVESALTAIS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d'agly SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale les RIVES DE LA BASSE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d'arles S/TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Local à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Pays de Foix et du Ceronais

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LAVELANET - QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Arize - Leze

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COUSERANS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TARASCON

France

Intégration Globale

100

100

 

Au 31/12/2015, une nouvelle entité (FCT Crédit Agricole Habitat 2015) a été consolidée au sein du Groupe Crédit Agricole, née de d’une opération de titrisation réalisée par les Caisses régionales le 21 octobre 2015. Cette transaction est le premier RMBS réalisé en France par le Groupe avec cession des créances habitat.

 

Cette opération s’est traduite par une cession de crédits à l’habitat originés par les Caisses régionales au « FCT Crédit Agricole Habitat 2015 » pour un montant de 10 milliards d’euros et une souscription par les établissements ayant cédé les crédits, des titres émis par le FCT.

 

Au 31 décembre 2015 la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée ayant participé à l’opération de titrisation a consolidé sa quote-part (analyse par silo), le complément de prix de cession, le mécanisme de garantie ainsi que la convention de remboursement interne limitant in fine la responsabilité de chaque cédant à hauteur des « gains et pertes » réellement constatés sur les créances qu’il a cédées au FCT.

 

12. — Participations et entités structurées non consolidées

 

12.1. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement.

 

Au 31 décembre 2015, les principales participations non consolidées pour lesquelles le pourcentage de contrôle est supérieur à 20 % et dont la valeur au bilan est significative sont les suivantes :

— SAS SUD MED IMMOBILIER

— SCI CASM

— SCA Château de Castelnou

— SC SICMA

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

31/12/2014

Valeur au bilan

% de capital détenu

Valeur au bilan

% de capital détenu

Titres de participations non consolidés (détail)

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

SCI Château de Castelnou

489

98,61

533

98,61

Autres titres de participations

 

 

 

 

SAS Rue de la Boétie

236 778

1,32

230 045

1,32

SAS Sofilaro

1 365

6,97

1 376

6,97

SAS SACAM Développement

10 280

1,35

9 828

1,35

SAS SACAM Fireca

273

1,18

278

1,18

SNC CA Titres

375

0,57

375

0,57

SACAM International

7 889

1,32

7 366

1,32

SACAM Avenir

1 570

1,08

1 570

1,08

SAS SACAM Participations

1 523

1,63

1 467

1,63

FIA-Net Europe

5

1,16

47

1,16

C2MS

1 141

1,25

623

1,17

Delta

1 000

1,26

 

 

Ct CAM

359

0,59

359

0,59

SACAM Immobilier

2 280

1,59

2 216

1,59

Autres titres de participations (ensemble)

6 061

 

5 279

 

Valeur au bilan des titres de participation non consolidés

271 388

 

261 362

 

 

12.2. Entités structurées non consolidées. — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels.

 

Informations sur les risques associés aux intérêts détenus

 

Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités. — Au 31 décembre 2015 et au 31 décembre 2014 l’implication de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées, est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée dans les tableaux ci-dessous :

 

 

(En milliers d'Euros)

31/12/2015

Titrisation

Gestion d'actifs

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

0

0

 

 

Prêts et créances

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

 

 

                Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

0

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes

 

 

 

 

 

 

 

 

                Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

                Engagements donnés

 

 

 

 

 

 

 

 

                Engagements de financement

 

 

 

 

 

 

 

 

                Engagements de garantie

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Provisions - Engagements par signature

 

 

 

 

 

 

 

 

                Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

                Total bilan des entités structurées non consolidées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(En milliers d'Euros)

2015

Fonds de placement (1)

Financement structuré (1)

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

29 400

29 400

 

 

 

 

 

 

Prêts et créances

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

 

 

                Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

29 400

29 400

0

0

0

0

0

0

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

0

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes

 

 

 

 

 

 

 

 

                Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

                Engagements donnés

 

 

 

 

 

 

 

0

                Engagements de financement

 

 

 

 

 

 

 

 

                Engagements de garantie

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Provisions - Engagements par signature

 

 

 

 

 

 

 

 

                Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

                Total bilan des entités structurées non consolidées

2 231 084

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(En milliers d'euros)

 

31/12/2014

Titrisation

Gestion d'actifs

Fonds de placement (1)

Finacement structuré (1)

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

 

 

14 338

14 338

 

 

 

 

  

Prêts et créances

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Total des actifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

14 338

14 338

0

0

0

0

0

0

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

 

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Dettes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Total des passifs reconnus vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

Engagements donnés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

Engagements de financement

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Engagements de garantie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Provisions - Engagements par signature

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Total des engagements hors bilan net de provisions vis-à-vis des entités structurées non consolidées

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

Total bilan des entités structurées non consolidées

 

 

 

 

 

 

 

 

1 889 504

 

 

 

 

 

  

 

(1) Les entités structurées non sponsorisées ne présentent pas de de risques spécifiques liées à la nature de l’entité. Des informations relatives à ces expositions sont communiquées dans la note 3.1 "Exposition au risque de crédit" et dans la note 3.2 "Risque de marché". Il s’agit des fonds de placement dans lesquels le Groupe n’est pas gérant et des entités de financement structuré dans lesquelles le Groupe a uniquement accordé un prêt.

 

Exposition maximale au risque de perte. — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de credit default swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to-market. L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspondent au montant du notionnel et la provision sur engagements donnés au montant comptabilisé au bilan.

 

13. — Événements postérieurs à la clôture

 

Aucun évènement postérieur à la clôture n’est à constater pour la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée.

 

IV. – Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés

(Exercice clos le 31 décembre 2015)

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2015, sur :

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— la vérification spécifique prévue par la loi.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par votre Conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union Européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 1.1 « Normes applicables et comparabilité » de l’annexe aux comptes consolidés qui expose les changements de méthodes résultant de l’application de nouvelles normes et interprétations appliquées à compter du 1er janvier 2015.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

Estimations comptables :

Votre Caisse Régionale constitue des dépréciations pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités (notes 1.3, 3.1, 4.8 de l’annexe). Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la Direction relatif au suivi des risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par dépréciations sur base individuelle et collective.

Votre Caisse Régionale détient des positions sur titres et sur instruments financiers. La note 1.3 de l’annexe expose les règles et méthodes comptables relatives à ces titres et instruments financiers. Nous avons examiné le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre Caisse Régionale et des informations fournies dans les notes de l’annexe, et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

Votre Caisse Régionale comptabilise des dépréciations sur des actifs financiers disponibles à la vente selon les modalités décrites dans la note 1.3 de l’annexe. Nous avons examiné le dispositif de contrôle mis en place par la Direction, relatif à l’identification d’indices de perte de valeur, la valorisation des lignes les plus significatives, ainsi que les estimations ayant conduit, le cas échéant, à la couverture des pertes de valeur par des dépréciations. Nous avons vérifié le caractère approprié de l’information fournie dans la note 6.4 de l’annexe.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations données dans le rapport sur la gestion du groupe.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

 

Les Commissaires aux comptes :

 

 

1601913

26/02/2016 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 598
Texte de l'annonce :

1600598

26 février 2016BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°25


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

( ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 Décembre 2015

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

33 368

Effets publics et valeurs assimilées

108 013

Créances sur les établissements de crédits

2 233

Opérations internes au Crédit agricole

564 238

Opérations avec la clientèle

4 238 230

Obligations et autres titres à revenu fixe

184 703

Actions et autres titres à revenu variable

28 927

Participations et autres titres détenus à long terme

276 428

Parts dans les entreprises liées

718

Immobilisations corporelles et incorporelles

34 107

Autres actifs

115 148

Comptes de régularisation

56 925

Total de l’actif

5 643 038

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

301

Opérations internes au Crédit agricole

2 851 656

Comptes créditeurs de la clientèle

1 750 276

Dettes représentées par un titre

150 340

Autres passifs

29 770

Comptes de régularisation

91 414

Provisions pour risques et charges

66 643

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 864

Fonds pour risques bancaires généraux

27 557

Capitaux propres hors FRBG

653 217

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

495 535

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 643 038

 

Hors- bilan

Montant

Engagements donnés

838 695

Engagements de financements

428 988

Engagements de garantie

409 697

Engagements sur titres

0

Engagements reçus

907 398

Engagements de financements

33 768

Engagements de garantie

873 630

Engagements sur titres

0

 

 

1600598

02/11/2015 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 4948
Texte de l'annonce :

1504948

2 novembre 2015BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°131


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

( ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 30 Septembre 2015

(En milliers d’euros)

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

34 902

Effets publics et valeurs assimilées

109 872

Créances sur les établissements de crédits

4 060

Opérations internes au Crédit agricole

417 598

Opérations avec la clientèle

4 312 761

Obligations et autres titres à revenu fixe

94 739

Actions et autres titres à revenu variable

23 944

Participations et autres titres détenus à long terme

274 948

Parts dans les entreprises liées

718

Immobilisations corporelles et incorporelles

35 349

Autres actifs

128 818

Comptes de régularisation

65 871

Total de l’actif

5 503 580

 

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

301

Opérations internes au Crédit agricole

2 664 522

Comptes créditeurs de la clientèle

1 789 481

Dettes représentées par un titre

155 761

Autres passifs

19 657

Comptes de régularisation

109 779

Provisions pour risques et charges

69 707

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 598

Fonds pour risques bancaires généraux

19 557

Capitaux propres hors FRBG

653 217

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

495 535

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 503 580

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

843 691

Engagements de financements

443 400

Engagements de garantie

400 291

Engagements sur titres

0

Engagements reçus

1 106 850

Engagements de financements

182 000

Engagements de garantie

924 850

Engagements sur titres

0

 

 

1504948

24/08/2015 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 4379
Texte de l'annonce :

1504379

24 août 2015BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°101


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

( ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 30 Juin 2015

(En milliers d’euros)

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

31 418

Effets publics et valeurs assimilées

109 287

Créances sur les établissements de crédits

4 145

Opérations internes au Crédit agricole

455 366

Opérations avec la clientèle

4 318 085

Obligations et autres titres à revenu fixe

95 177

Actions et autres titres à revenu variable

23 944

Participations et autres titres détenus à long terme

274 907

Parts dans les entreprises liées

718

Immobilisations corporelles et incorporelles

36 158

Autres actifs

120 539

Comptes de régularisation

58 573

Total de l’actif

5 528 317

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

250

Opérations internes au Crédit agricole

2 783 723

Comptes créditeurs de la clientèle

1 715 735

Dettes représentées par un titre

153 917

Autres passifs

21 481

Comptes de régularisation

90 606

Provisions pour risques et charges

70 497

Dettes subordonnées et titres participatifs

21 334

Fonds pour risques bancaires généraux

17 557

Capitaux propres hors FRBG

653 217

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

495 535

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 528 317

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

807 428

Engagements de financements

403 357

Engagements de garantie

403 978

Engagements sur titres

93

Engagements reçus

1 059 382

Engagements de financements

180 000

Engagements de garantie

879 289

Engagements sur titres

93

 

 

1504379

15/05/2015 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 2022
Texte de l'annonce :

1502022

15 mai 2015BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°58


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 mars 2015

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

29 722

Effets publics et valeurs assimilées

110 032

Créances sur les établissements de crédits

3 294

Opérations internes au Crédit agricole

401 045

Opérations avec la clientèle

4 302 912

Obligations et autres titres à revenu fixe

96 789

Actions et autres titres à revenu variable

13 956

Participations et autres titres détenus à long terme

268 233

Parts dans les entreprises liées

761

Immobilisations corporelles et incorporelles

36 754

Autres actifs

122 990

Comptes de régularisation

51 016

Total de l’actif

5 437 504

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

1 358

Opérations internes au Crédit agricole

2 796 919

Comptes créditeurs de la clientèle

1 610 235

Dettes représentées par un titre…

153 464

Autres passifs…….

25 002

Comptes de régularisation

91 867

Provisions pour risques et charges

70 128

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 757

Fonds pour risques bancaires généraux

17 557

Capitaux propres hors FRBG

653 217

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

495 535

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 437 504

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés :

797 841

Engagements de financements

391 442

Engagements de garantie

406 271

Engagements sur titres

128

Engagements reçus :

1 038 541

Engagements de financements

180 000

Engagements de garantie

858 413

Engagements sur titres

128

 

 

1502022

29/04/2015 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N1)
Numéro d'affaire : 1260
Texte de l'annonce :

1501260

29 avril 2015BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°51


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural.

Capital social au 31 décembre 2014 : 28 057 377 Euros.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

 

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2014

 

Comptes annuels approuvés par l'assemblée générale ordinaire du 27 mars 2015

 

A. — Comptes individuels 31 décembre 2014.

Arrêtés au 31 Décembre 2014.

 

Arrêtés par le Conseil d’administration de Sud Méditerranée en date du 13 Février 2015 et soumis à

l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 27 Mars 2015

 

I. — Bilan au 31 décembre 2014.

(En milliers d'euros)

 

Actif

Notes

31/12/2014

31/12/2013

Opérations interbancaires et assimilées

 

145 013

108 623

Caisse, banques centrales

 

33 639

29 090

Effets publics et valeurs assimilées

5

109 457

75 677

Créances sur les établissements de crédit

3

1 917

3 856

Opérations internes au Crédit Agricole

3

241 469

184 699

Opérations avec la clientèle

4

4 332 658

4 383 443

Opérations sur titres

 

111 317

53 379

Obligations et autres titres à revenu fixe

5

97 361

49 435

Actions et autres titres à revenu variable

5

13 956

3 944

Valeurs immobilisées

 

305 315

315 143

Participations et autres titres détenus à long terme

6-7

267 687

273 591

Parts dans les entreprises liées

6

761

805

Immobilisations incorporelles

7

889

892

Immobilisations corporelles

7

35 978

39 855

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

174 811

161 777

Autres actifs

8

113 602

75 358

Comptes de régularisation

8

61 209

86 419

Total actif

 

5 310 583

5 207 064

 

Passif

Notes

31/12/2014

31/12/2013

Opérations interbancaires et assimilées

 

1 876

287

Banques centrales

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

10

1 876

287

Opérations internes au Crédit Agricole

10

2 678 114

2 638 182

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 634 249

1 606 566

Dettes représentées par un titre

12

152 359

152 630

Comptes de régularisation et passifs divers

 

85 228

77 420

Autres passifs

13

26 155

24 893

Comptes de régularisation

13

59 073

52 527

Provisions et dettes subordonnées

 

85 788

86 134

Provisions

14-15-16

68 217

68 563

Dettes subordonnées

18

17 571

17 571

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17

17 557

12 557

Capitaux propres hors FRBG

19

655 412

633 288

Capital souscrit

 

28 057

28 057

Primes d'émission

 

129 625

129 625

Réserves

 

473 769

457 834

Écart de réévaluation

 

 

 

Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

 

 

Report à nouveau

 

0

-149

Résultat de l'exercice

 

23 961

17 921

Total passif

 

5 310 583

5 207 064

 

Hors-bilan

Notes

31/12/2014

31/12/2013

Engagements donnés

 

804 335

794 347

Engagements de financement

25

392 323

500 709

Engagements de garantie

25

411 654

293 313

Engagements sur titres

25

358

325

Engagements reçus

 

1 102 406

1 249 646

Engagements de financement

25

250 000

400 152

Engagements de garantie

25

852 048

849 169

Engagements sur titres

25

358

325

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

- Opérations de change au comptant et à terme : note 22

- Opérations sur instruments financiers à terme : note 23

 

II. — Compte de résultat au 31 décembre 2014.

 

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2014

31/12/2013

Intérêts et produits assimilés

26-27

174 850

179 639

Intérêts et charges assimilées

26

-81 897

-81 858

Revenus des titres à revenu variable

27

7 570

1 641

Commissions (produits)

28

77 358

80 325

Commissions (charges)

28

-13 432

-12 224

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

29

-23

108

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et

assimilés 30

102

-16

Autres produits d’exploitation bancaire

31

3 347

592

Autres charges d’exploitation bancaire

31

-1 049

-436

Produit net bancaire

 

166 826

167 771

Charges générales d’exploitation

32

-91 938

-95 201

Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

-7 141

-8 653

Résultat brut d'exploitation

 

67 747

63 917

Coût du risque

33

-24 747

-27 228

Résultat d'exploitation

 

43 000

36 689

Résultat net sur actifs immobilisés

34

-474

-1 334

Résultat courant avant impôt

 

42 526

35 355

Résultat exceptionnel

35

 

 

Impôt sur les bénéfices

36

-13 565

-12 434

Dotations / Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

-5 000

-5 000

Résultat net de l'exercice

 

23 961

17 921

 

III. — Annexes

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice

 

1.1 Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée, 32 Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2014, la Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même 56,46 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,35 %.

Par ailleurs, Crédit Agricole S.A. détient 4 855 393 actions propres au 31 décembre 2014, soit 0,19 % de son capital, contre 6 022 703 actions propres au 31 décembre 2013.

Pour sa part Crédit Agricole S.A. détient 25 % du capital sous la forme de Certificats Coopératifs d’Associés et/ou de Certificats Coopératifs d’Investissement émis par la Caisse régionale.

 

Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit Agricole S.A. à hauteur de leurs fonds propres.

 

1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole. — L'appartenance de la Caisse régionale Sud Méditerranée au groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ».

 

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroir) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

Le nouveau dispositif de résolution des crises bancaires introduit par la loi de séparation et de régulation des activités bancaires du 26 juillet 2013 n’a pas d’impact sur le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L.511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au Réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R.512-18 de ce même Code. Au titre de ce mécanisme, qui devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution, Crédit Agricole S.A., Organe central et membre du Réseau, doit prendre toute mesure nécessaire pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque membre du Réseau comme de l’ensemble. Ainsi, chaque membre du réseau (en ce compris Crédit Agricole S.A.) bénéficie de cette solidarité financière interne.

L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution pourrait limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole S.A. consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leur fonds propres agrégés, dans la mesure où la résolution devrait intervenir avant la liquidation. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole S.A. constatée à l’issue de sa liquidation ou de sa dissolution.

 

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) : Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 et complété par avenant signé le 19 décembre 2013, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les nouvelles garanties ont pris effet le 2 janvier 2014, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve d’une résiliation anticipée totale ou partielle, ou d’une prorogation selon les dispositions prévues au contrat.

A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant.

Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurance (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A., et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme.

Ainsi, le dispositif protège Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de la valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées, moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnité compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur globale de mise en équivalence, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

Comptablement, les garanties sont des engagements de hors-bilan assimilables à des garanties données à première demande. Leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seraient respectivement reconnus en Coût du risque.

 

1.3. Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2014. — Dans un contexte économique encore peu porteur, l’activité crédit s’est encore ralentie sur 2014. Au cours de l’exercice, 586 M€ de crédits ont été réalisés, en baisse de 2 % par rapport à 2013. Malgré ce niveau de réalisations, les encours ont diminué de 31 M€ (- 0,7 %) pour s’établir à 4 481 M€.

Sous l’effet de la forte progression de l’épargne bancaire +3,7 %, notamment les livrets et des plans d’épargne dans un contexte de taux très bas, la collecte globale au 31 Décembre 2014 s’établit à 6 764 M€ en hausse de 1,8 % par rapport à 2013.

Au cours de l’exercice 2014, la Caisse Régionale a réalisé un programme d’achat de titre HQLA pour un montant total de 95 M€, alimenté un compte cash LCR pour 25 M€, réalisé la souscription de 40 M€ de DAT Corporate ( 20 M€ EDF et 20 M€ Veolia), afin de respecter les contraintes réglementaires BALE III en matière de liquidité.

Dans le cadre de l’évolution du mécanisme Switch, la Caisse Régionale a augmenté son engagement de financement en faveur de Crédit Agricole SA de 127 M€ ainsi que le dépôt cash pour 42 M€. Par ailleurs, 13 M€ d’avances en Compte courant SAS Rue la Boétie et de titres T3CJ ont été remboursés.

Avec l’arrêt de la triplication sur les opérations d’instruments financiers à terme entre CACIB-CASA et les CR, les opérations initiées depuis le 2ème semestre 2014 entre la Caisse Régionale et CACIB sont collatéralisées. En novembre 2014, la Caisse Régionale a migré plus de 200 millions d’euros de dérivés (140 M€ de swaps vanilles et 62 M€ de swaps exotiques) couvrant des contrats de crédits structurés faits à des collectivités publiques (A3C). Au 31 décembre 2014, l’appel de marge par CACIB relatif aux opérations de taux du 2ème semestre 2014 s’élève à 47 M€.

 

En hors-bilan, on notera l’annulation de l’accord de refinancement CASA de 150 M€.

Eléments significatifs ayant une incidence sur le compte de résultat :

Le résultat bénéficiaire de Crédit Agricole SA en 2013 a permis le versement de dividendes, ainsi en 2014 la Caisse Régionale Sud Méditerranée a perçu des dividendes SAS Rue la Boétie (6.4 M€) et d’autres participations du Groupe pour un total de 7,3 M€.

La baisse des intérêts des créances est liée à la baisse des taux, associée à la baisse des encours (encours succursale Espagne en forte baisse) ainsi qu’un fort niveau de remboursements anticipés.

 

Baisse globale de la tarification, essentiellement marquée sur les commissions moyens de paiement (-2,6 M€)

Prise en compte des intérêts sur la totalité du dépôt switch combiné.

Suite à la migration NICE et au changement d’applicatif crédits (Green), les frais de dossiers et les commissions prescripteurs sont étalés en 2014 (Chaîne Eden en 2013 => pas d’étalement)

L’actualisation des paramètres du moteur de calcul de la Provision Epargne Logement s’est traduit par une dotation nette sur l’exercice de 2,1 M€.

Reprise de 2 270 K€ de la provision ASP suite au faible taux de réfaction (0,52 %) après contrôle des années 2004, 2005 et 2006, le taux de réfaction sur les années non contrôlés a ainsi été réduit de 20 à 5 %.

L’une des principales mesures de la 3ième loi de finance rectificative pour 2012 concerne la mise en place du Crédit d’impôt compétitivité à compter du 1er janvier 2013. Ce dernier est assis sur les rémunérations que l’entreprise verse à ses salariés au cours de l’année civile n’excédant pas 2.5 fois le SMIC. A ce titre, la Caisse Régionale a enregistré dans ses comptes près de 1,4 M€ en déduction des charges de personnel, en hausse par rapport à 2013, le taux est passé de 4 % à 6 % en 2014.

Les autres frais de fonctionnement sont en forte diminution, dont plus de 2,7 M€ suite à la baisse du coût de la sous-traitance CA Technologie et de CA Service.

Le périmètre des coopérations engagées depuis 2010 entre les Caisses Régionales Sud Méditerranée, de la Corse de la Réunion ainsi que Toulouse 31 n’a pas été élargi en 2014.

Malgré une nette baisse du coût du risque par rapport à l’année 2013, celui-ci demeure encore élevé avec une forte progression des créances douteuses et litigieuses au 31 décembre 2014. Avec un total de 317,9 M€, le total CDL affiche une évolution de 4,6 % par rapport au 31 décembre 2013. Les provisions s’élèvent à 188,0 M€ assurant un taux de couverture de 59,1 % à fin Décembre 2014.

En France la caisse régionale voit son encours de CDL évoluer de 9,7 % depuis décembre 2013 pour atteindre 210 M€ à fin décembre 2014.

En revanche, en Espagne on note un ralentissement des risques sur 2014 et ce pour la 2ème année consécutive ; les encours de CDL à 108,1 M€ régressent de -3,9 %, contre -1,37 % sur 2013.

Sur l’activité Marchands de biens, 43 nouveaux biens ont été saisis sur l’exercice pour un montant de 6,9 M€. Ils portent ainsi le stock à 289 biens pour un montant total de 58,4 M€. Par ailleurs, 33 biens sont loués pour 6,7 M€ et ont été transférés en immeubles hors exploitation. Malgré la vente de 47 biens, une forte hausse des dépréciations est constatée avec plus de 6 M€ enregistrées sur 2014. Au total le taux de couverture sur les MDB s’établit à 47,4 %.

Comptabilisation de 495 K€ au titre de la dépréciation de FIA-NET et reprise en 2014 pour 428 K€, de la dotation sur Sacam International comptabilisée en 2013.

La Caisse régionale a comptabilisé un complément de dépréciation de l’avance en compte courant auprès de sa filiale immobilière pour 0,2 M€, traduisant leur situation nette négative.

L’augmentation du résultat courant avant impôts est caractérisé par les dividendes SAS Rue La Boétie non fiscalisés. La hausse de la charge fiscale est essentiellement liée à un moindre abandon de créance entre 2013 (16 M€) et 2014 (8,8 M€), générant une économie d’impôt sur la France et absorbant les déficits sur les exercices antérieurs sur la succursale.

 

1.4. Événements postérieurs à la clôture. — Aucun évènement postérieur à la clôture n’est à constater pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables

 

Les états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

La présentation des états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement 91-01 du Comité de la Réglementation Bancaire (CRB), modifié par le règlement 2000-03 du Comité de la Réglementation Comptable (CRC), relatif à l’établissement et à la publication des comptes individuels annuels des entreprises relevant du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière (CRBF) lui-même modifié notamment en 2010 par le règlement ANC 2010-08 du 07 octobre 2010 relatif à la publication des comptes individuels des établissements de crédit.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :

 

Règlements

Date de publication par l’État français

Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du

Applicable dans la Caisse Régionale Sud Méditerranée

Recommandation ANC Relative aux règles d’évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires pour les comptes annuels et les comptes consolidés établis selon les normes comptables françaises

07 novembre 2013 N° 2013-02

1er janvier 2014 ou par anticipation au 1er janvier 2013

Oui

Règlement ANC relatif au plan comptable des organismes de placement collectif à capital variable

14 janvier 2014 N° 2014-01

1er janvier 2014

Non

Règlement ANC relatif aux modalités d’établissement des comptes des sociétés de financement

6 février 2014 N° 2014-02

1er janvier 2014

Non

Règlement ANC relatif au plan comptable général

5 juin 2014 N° 2014-03

16 octobre 2014

Oui

Règlement ANC relatif au classement comptable des obligations convertibles en actions dans les entreprises d’assurance, les mutuelles et les institutions de prévoyance

5 juin 2014 N° 2014-04

1er janvier 2014

Non

Règlement ANC relatif à la comptabilisation des terrains et carrières et des redevances de fortage

2 octobre 2014 N° 2014-05

1er janvier 2015 ou par anticipation au 1er janvier 2014

Non

Règlement ANC relatif au plan comptable des organismes de placement collectif immobilier

2 octobre 2014 N° 2014-06

1er janvier 2015 ou par anticipation au 1er janvier 2014

Non

 

2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement CRC 2002-03 modifié du 12 décembre 2002.

 

Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours :

— les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit;

— les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole;

— les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle.

 

Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière.

 

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle).

Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale.

 

En application du règlement CRC 2009-03 les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont désormais étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l’encours de crédit concerné.

 

Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds.

 

L‘application du règlement CRC 2002-03 modifié relatif au traitement comptable du risque de crédit conduit Crédit Agricole S.A. à comptabiliser les créances présentant un risque d’impayé conformément aux règles suivantes. L’utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d’apprécier l’existence d’un risque de crédit.

 

Créances restructurées. — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.) afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

 

Elles concernent les créances classées en défaut et, depuis le 1er janvier 2014, les créances saines, au moment de la restructuration.

Sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité,

 

La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l’enregistrement d’une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre :

– la valeur nominale du prêt ;

– et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

 

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d’intérêt.

 

Les crédits restructurés font l’objet d’une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement au plus tard au bout de trente jours d’impayés.

 

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 31 388 milliers d’euros au 31 décembre 2014 contre 23 542 milliers d’euros au 31 décembre 2013. Le montant au 31 décembre 2014 correspond aux créances restructurées selon la nouvelle définition décrite ci-dessus.

 

Sur ces prêts des décotes sont comptabilisées pour un montant de 68 milliers d’euros.

 

Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits).

– la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré,

– il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

 

Pour les découverts, l’ancienneté de l’impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l’établissement ou qu’il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l’établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu’il a tiré des montants sans autorisation de découvert.

 

Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l’établissement peut décompter l’ancienneté de l’impayé lorsque le découvert a fait l’objet de la part de l’établissement d’une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur.

 

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

— Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

— Créances douteuses compromises.. Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

 

Pour les créances douteuses l’enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise.

 

Dépréciations au titre du risque de crédit avéré. — Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l’actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation.

 

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

Les pertes probables relatives aux engagements hors-bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Traitement comptable des décotes et dépréciations. — Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrits dans la marge d’intérêt.

 

Provisions au titre du risque de crédit non affecté individuellement. — Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté, au passif de son bilan, des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement telles que les provisions Risques pays ou les provisions sectorielles généralement calculées à partir des modèles Bâlois. Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement.

 

Risques-pays. — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays ». (Note de la Commission Bancaire du 24 décembre 1998).

 

Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d’origine.

— Passage en perte : L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert, la Caisse Régionale Sud Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité.

 

2.2. Portefeuille Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement CRB 90-01 modifié notamment par les règlements CRC 2005-01, 2008-07 et 2008-17 ainsi que par le règlement CRC 2002-03 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe.

 

Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable.

 

Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

Titres de placement. — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus.

— Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d’acquisition, coupon couru à l’achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre.

Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

— Actions et autres titres à revenu variable : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ».

 

Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique.

A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d’acquisition et la valeur de marché. Ainsi lorsque la valeur d’inventaire d'une ligne ou d’un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l’article 4 du règlement 88-02 du CRB, prenant la forme d’achats ou de ventes d’instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées.

 

En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres :

– s’il s’agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’informations particulières sur la situation financière de l’émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ;

– s’il s’agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2.1 Créances et engagements par signature – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré).

 

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

 

Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat.

 

Titres d'investissement. — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance.

Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

 

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d’acquisition et coupons.

 

La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre.

 

Il n’est pas constitué de dépréciation des titres d’investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l’émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du règlement CRC 2002-03 sur le risque de crédit ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ».

 

En cas de cession de titres d’investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l’établissement n’est plus autorisé, pendant l’exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d’investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément au règlement CRC 2005-01, hors exceptions prévues par ce texte et par le CRC 2008-17.

 

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

– Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

– Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu’elle permet d’exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d’en assurer le contrôle.

– Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

 

Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d’acquisition frais inclus.

 

A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d’utilité.

 

Celle-ci représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention.

L’estimation de la valeur d’utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l’entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre.

 

Lorsque la valeur d’utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l’objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes.

 

Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique «Résultat net sur actifs immobilisés».

 

Prix de marché. — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

– les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent,

– si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

Dates d’enregistrement. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Reclassement de titres. — Conformément au règlement CRC 2008-17 du 10 décembre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements de titres suivants :

– du portefeuille de transaction vers le portefeuille d’investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l’établissement a l’intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance

– du portefeuille de placement vers le portefeuille d’investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré, en 2014, de reclassement au titre du règlement.

 

2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 par rapport à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Elle applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce texte la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Le coût d’acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d’achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l’acquisition pour la mise en état d’utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ».

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition.

Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’achèvement.

A l'exception des logiciels, des brevets et des licences, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante.

 

2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes :

— dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit,

— comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole,

— comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière).

 

Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie.

 

Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables et emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ».

 

Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique : « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

 

Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes :

— soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er Janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10 % du prix d'émission ;

— soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er Janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10 % du prix d'émission.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique également la méthode d’étalement des frais d’emprunts dans ses comptes individuels.

Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ».

 

2.6. Provisions. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014 pour la comptabilisation et l’évaluation des provisions.

 

Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers.

 

Les provisions incluent également les risques-pays. L’ensemble de ces risques fait l’objet d’un examen trimestriel.

 

Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d’opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement.

La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

 

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

 

Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse Régionale Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire.

 

Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice.

 

2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions des règlements 88-02 et 90-15 modifiés et de l’instruction 94-04 de la Commission Bancaire.

 

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

 

Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie :

— Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées (catégorie « b » article 2.1 du règlement 90-15) sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable.

 

Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A (catégorie « c » article 2.1 du règlement 90-15). sont inscrits prorata temporis dans la rubrique : « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés.

— Opérations de marché : Les opérations de marché regroupent :

Les positions ouvertes isolées (catégorie « a » article 2.1 du règlement 90-15)

La gestion spécialisée d’un portefeuille de transaction (catégorie « d » article 2.1 du règlement 90-15)

Elles sont évaluées par référence à leur valeur de marché à la date de clôture.

Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s’il existe un marché actif, ou à l’aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l’absence de marché actif.

 

Pour les instruments

– En position ouverte isolée négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

En position ouverte isolée négociés sur des marchés de gré à gré, seules les pertes latentes éventuelles t sont constatées via une provision. Les plus et moins-values réalisées sont comptabilisées en résultat au moment du dénouement.

 

Faisant partie d’un portefeuille de transaction, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

 

Risque de contrepartie sur les dérivés. — Conformément au Règlement 90-15 relatif à la comptabilisation des contrats d’échange de taux d’intérêt ou de devise, la Caisse Régionale Sud Méditerranée intègre l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) dans la valeur de marché des dérivés. A ce titre, seuls les dérivés comptabilisés en position ouverte isolée et en portefeuille de transaction (respectivement les dérivés classés selon les catégories a et d de l’article 2.1. du Règlement 90-15) font l’objet d’un calcul de CVA.

 

Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Le calcul du CVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables.

Elle repose :

prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie, d’une approximation fondée sur la base d’un panier de CDS S/N de contreparties du même rating, opérant dans le même secteur et localisées dans la même région.

Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés.

 

Opérations complexes. — Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d’instruments (de types, natures et modes d’évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d’une réglementation explicite et qui implique, de la part de l’établissement, un choix de principe.

 

2.9. Opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors--bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

 

Les produits perçus et les charges payés sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les produits et charges courus non échus sont convertis au cours de clôture.

 

Les dotations aux succursales, les immobilisations des implantations à l'étranger, les titres d'investissement et de participation en devises achetés contre euros sont convertis en euros au cours du jour de la transaction. Une provision peut être constituée lorsque l’on constate une dépréciation durable du cours de change relative aux participations de la Caisse Régionale Sud Méditerranée à l’étranger.

A chaque arrêté, les opérations de change à terme sont évaluées au cours à terme restant à courir de la devise concernée. Les gains ou les pertes constatés sont portés au compte de résultat sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de négociation – Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés ».

 

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF 89-01, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multi-devises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

 

Le montant global de la position de change opérationnelle de La Caisse Régionale Sud Méditerranée s'établit à 7 K€.

 

2.10. Intégration des succursales à l’étranger. — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées.

 

Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques.

 

Les règles de conversion en euros sont les suivantes :

— les postes de bilan sont convertis au cours de clôture,

— les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture.

 

Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ».

 

2.11. Engagements hors-bilan. — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus.

 

Le cas échéant, les engagements donnés font l’objet d’une provision lorsqu’il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie.

 

Ces éléments sont toutefois détaillés dans l’annexe aux notes 25 et 26.

 

2.12. Participation des salariés aux fruits de l’expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l’expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né.

 

L’intéressement est couvert par l’accord du 06 Juin 2014.

 

La participation et l'intéressement figurent dans les «Frais de personnel».

 

2.13. Avantages au personnel postérieurs à l’emploi

Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée a appliqué, à compter du 1er janvier 2013, la recommandation 2013-02 de l’Autorité des normes comptables du 07 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires, recommandation abrogée et intégrée dans la section 4 du chapitre II du titre III du règlement ANC 2014-03 du 05 juin 2014.

En application de ce règlement, la Caisse Régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

 

Ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a opté pour la méthode 2 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatées au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation.

Le règlement autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l’exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime, par conséquent le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par le règlement,

– majoré des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler,

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

 

Plans de retraite – régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « frais de personnel».

 

2.14. Stock-options et souscription d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’Epargne Entreprise

Souscriptions d’actions dans le cadre du plan d’Epargne Entreprise. — Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 20 %, ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevées d’une période d’incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d’actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 % ainsi que la majoration exceptionnelle d'impôt sur les sociétés de 10,7 % due par les entreprises réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 250 millions d’euros.

 

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d’intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, chacune des sociétés intégrées constate dans ses comptes la dette d’impôt dont elle aurait été redevable en l’absence d’intégration fiscale.

 

En raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôts pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse Régionale Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel et non en diminution de l’impôt.

 

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit – analyse par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

1 504

 

 

 

1 504

 

1 504

3 442

A terme

200

 

 

 

200

 

200

200

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

213

213

 

213

214

Total

1 704

 

 

213

1 917

 

1 917

3 856

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

1 704

 

 

213

1 917

 

1 917

3 856

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

72 187

 

 

 

72 187

 

72 187

31 670

Comptes et avances à terme

2 916

5 844

7 445

136 743

152 948

2 831

155 779

139 524

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

13 500

13 500

3

13 503

13 505

Total

75 103

5 844

7 445

150 243

238 635

2 834

241 469

184 699

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

75 103

5 844

7 445

150 243

238 635

2 834

241 469

184 699

Total

76 807

5 844

7 445

150 453

240 552

2 834

243 386

188 555

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 13 716 K€ milliers.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 20 427 milliers d’euros.

 

Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n’est éligible au refinancement de la banque centrale.

 

— Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

Note 4. – Opérations avec la clientèle

 

4.1. Opérations avec la clientèle – analyse par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

≤3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Créances commerciales

9 828

507

 

 

10 335

 

10 335

11 255

Autres concours à la clientèle

260 988

380 654

1 352 769

2 440 978

4 435 389

39 412

4 474 800

4 506 642

Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires débiteurs

35 345

 

 

 

35 345

133

35 478

38 651

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-187 955

-173 105

Valeur nette au bilan

306 161

381 161

1 352 769

2 440 978

4 481 069

39 545

4 332 658

4 383 443

 

Commentaires : Aucun prêt subordonné et participatif ne sont consentis à la clientèle.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 1 015 milliers.

Parmi les créances sur la clientèle 813 430 K€ sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2014 contre 971 733 K€ au 31 décembre 2013.

Le montant des créances restructurées au 31 décembre 2014 s’élèvent à 31 388 milliers d’euros contre 23 542 milliers d’euros au 31 décembre 2013. Le montant au 31 décembre 2014 correspond aux créances restructurées selon la nouvelle définition décrite dans la note 2 sur les Principes et méthodes comptables. (Donnés non auditées par les Commissaires aux comptes).

 

4.2. Opérations avec la clientèle – Analyse par zone géographique

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

France (y compris DOM-TOM)

4 132 952

4 141 056

Autres pays de L'U.E.

348 116

377 880

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amérique Centrale et Latine

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Non ventilés et organismes internationaux

 

 

Total en principal

4 481 068

4 518 936

Créances rattachées

39 545

37 612

Dépréciations

-187 955

-173 105

Valeur nette au bilan

4 332 658

4 383 443

 

4.3. Opérations avec la clientèle – Encours douteux et dépréciations par zone géographique

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (y compris DOM-TOM)

4 167 931

209 799

152 707

132 382

111 595

4 174 544

191 232

131 730

123 201

96 171

Espagne

352 682

108 087

78 274

55 573

46 667

382 005

112 460

73 469

49 905

39 106

Total

4 520 613

317 886

230 981

187 955

158 262

4 556 549

303 692

205 199

173 106

135 277

 

4.4. Opérations avec la clientèle – Analyse par agents économiques

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

2 155 326

135 932

96 407

70 327

56 644

2 121 567

140 924

83 375

66 953

47 213

Agriculteurs

356 615

16 524

14 387

11 092

10 204

356 746

20 039

14 536

12 181

9 665

Autres professionnels

808 481

94 327

76 210

62 327

57 231

840 606

88 285

66 694

53 733

45 772

Clientèle financière

60 098

4 458

3 922

3 896

3 817

64 783

904

519

587

519

Entreprises

497 100

58 325

35 478

33 883

25 868

509 439

46 992

35 652

33 299

27 765

Collectivités publiques

615 600

7 880

4 138

6 070

4 138

634 057

6 074

3 953

5 959

3 953

Autres agents économiques

27 393

440

439

360

359

29 351

474

470

394

390

Total

4 520 613

317 886

230 981

187 955

158 261

4 556 549

303 692

205 199

173 106

135 277

 

Note 5. – Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Transaction

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investissement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

108 173

108 173

75 037

- Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

0

- Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

0

Créances rattachées

 

 

 

1 284

1 284

640

Dépréciations

 

 

 

 

0

0

Valeur nette au bilan

0

0

0

109 457

109 457

75 677

Obligations et autres titres à revenu fixe (1) :

 

7 396

 

91 514

98 910

0

Émis par organismes publics

 

 

 

 

0

0

Autres émetteurs

 

 

 

 

0

51 753

- Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

0

- Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

0

Créances rattachées

 

16

 

1 676

1 692

1 330

Dépréciations

 

-672

 

-2 569

-3 241

-3 649

Valeur nette au bilan

0

6 740

0

90 620

97 361

49 435

Actions et autres titres à revenu variable

 

13 956

 

 

13 956

3 944

Créances rattachées

 

 

 

 

0

0

Dépréciations

 

 

 

 

0

0

Valeur nette au bilan

0

13 956

0

0

13 956

3 944

Total

0

20 696

0

200 077

220 774

129 056

Valeurs estimatives

0

21 102

0

219 269

240 371

132 209

(1) : Dont 1 015 milliers d'euros de titres subordonnés (hors créances rattachées) au 31 décembre 2014 et 1 015 milliers d'euros au 31 décembre 2013.

 

Aucune cession de titres d'investissement n’est intervenue avant l'échéance conformément aux dispositions dérogatoires prévues à l’article 7 bis du règlement CRB 90-01 modifié par le règlement CRC 2005-01.

 

Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 423 milliers d’euros au 31 décembre 2014, contre 195 milliers d’euros au 31 décembre 2013.

 

La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

 

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d’investissement s'élève à 21 374 milliers d’euros au 31 décembre 2014, contre 3 648 milliers d’euros au 31 décembre 2013.

 

5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Administration et banques centrales (y compris États) (1)

24 347

 

Établissements de crédit

45 224

46 882

Clientèle financière

39 873

5 398

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

3 421

3 417

Divers et non ventilés

 

 

Total en principal

112 866

55 697

Créances rattachées

1 692

1 331

Dépréciations

-3 241

-3 649

Valeur nette au bilan

111 317

53 379

(1) La Caisse Régionale Sud Méditerranée détient des titres de dettes souveraines de l’état Français.

 

Pour l’état Français, la valeur nette au bilan est de 108 173 milliers d’euros

 

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

98 910

108 173

13 956

221 038

51 753

75 037

3 944

130 734

Dont titres cotés

91 513

108 173

 

199 686

44 284

75 037

 

119 321

Dont titres non cotés (1)

7 396

 

13 956

21 352

7 469

 

3 944

11 413

Créances rattachées

1 692

1 284

 

2 976

1 331

640

 

1 971

Dépréciations

-3 241

 

 

-3 241

-3 649

 

 

-3 649

Valeur nette au bilan

97 361

109 457

13 956

220 773

49 435

75 677

3 944

129 055

 

Commentaires :(1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

Dont OPCVM français de capitalisation 13 956 milliers d’euros

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2014:

 

(En milliers d'euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

 

 

OPCVM obligataires

13 956

14 338

OPCVM actions

 

 

OPCVM autres

 

 

Total

13 956

14 338

 

5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

≤3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

2 523

3 487

58 643

34 257

98 910

1 692

100 602

53 084

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-3 241

-3 649

Valeur nette au bilan

2 523

3 487

58 643

34 257

98 910

1 692

97 361

49 435

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

 

 

21 248

86 925

108 173

1 284

109 457

75 677

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

0

0

21 248

86 925

108 173

1 284

109 457

75 677

 

5.4. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par zone géographique

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Encours bruts

dont encours douteux

Encours bruts

dont encours douteux

France (y compris DOM-TOM)

174 814

 

111 692

 

Autres pays de l'U.E.

28 387

 

3 904

 

Autres pays de l'Europe

9 452

 

4 430

 

Amérique du Nord

8 385

1 942

10 708

2 304

Amérique Centrale et du Sud

 

 

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

Total en principal

221 038

1 942

130 734

2 304

Créances rattachées

2 976

821

1 970

801

Dépréciations

-3 241

-2 569

-3 649

-2 875

Valeur nette au bilan

220 773

194

129 055

230

 

Note 6. – Titres de participation et de filiales

 

Informations financiè-resfiliales participations

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital

Quote-part de capital détenue (en pourcentage)

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos)

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

Brutes

Nettes

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

* SCI Château de Castelnou

EUR

850

1

98,61%

1 202

533

229

 

17

-19

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

* SAS rue la Boetie

EUR

2 480 628

8 507 498

1,32%

234 167

234 167

 

 

99 002

-5 606

6 392

* SAS Sacam Développement

EUR

725 471

 

1,35%

9 883

9 828

4 622

 

12 047

11 720

 

* Sacam International

EUR

522 023

 

1,32%

11 893

7 366

 

 

81 207

80 712

603

* SAS Sacam Fireca

EUR

22 510

 

1,18%

529

278

 

 

0

-134

 

* SNC CA Titres

EUR

15 245

15 989

0,57%

330

330

 

 

115 780

1 490

 

* SAS sofilaro

EUR

18 374

569

6,97%

1 570

1 570

3

 

0

280

18

* Sacam Avenir

EUR

113 464

 

1,06%

1 208

1 208

 

 

0

-21

 

* SAS Sacam Participations

EUR

62 558

2 804

1,63%

1 184

1 184

 

 

2 717

1 769

 

* FIA-Net Europe

EUR

47 185

 

1,16%

545

47

 

 

0

-6 932

 

* C2MS

EUR

53 053

 

1,17%

623

623

 

 

0

9

35

* CT CAM

EUR

511

14 595

0,59%

359

359

 

 

61 434

1 753

 

* Sacam immobilier

EUR

136 759

 

1,62%

2 216

2 216

 

 

0

-231

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées dans les établissements de crédit [ensemble]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Participations dans des établissements de crédit [ensemble]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées [ensemble]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations [ensemble]

 

 

 

 

3 716

2 122

1 699

 

 

 

231

Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

269 425

261 831

6 553

0

 

 

7 279

 

6.1. Valeur estimative des titres de participation

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

Titres non cotés

1 202

533

1 202

576

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

229

229

229

229

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

-670

 

-626

 

Valeur nette au bilan

761

762

805

805

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

Titres non cotés

266 874

350 158

259 976

323 058

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

6 324

6 324

19 046

19 046

Créances rattachées

65

65

69

69

Dépréciations

-6 924

 

-6 848

 

Sous-total titres de participation

266 338

356 547

272 242

342 173

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres non cotés

1 349

1 349

1 349

1 349

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

1 349

1 349

1 349

Valeur nette au bilan

267 687

357 896

273 591

343 522

Total des titres de participation

268 448

358 658

274 396

344 327

 

 (En milliers d'euros)

 

 31/12/2014

 

 31/12/2013

 

 Valeur au bilan

 Valeur estimative

Valeur au bilan

 Valeur estimative

 Total valeurs brutes

 

 

 

 

 Titres non cotés

 269 425

 

 261 179

 

 Titres cotés

 

 

 

 

 Total

 269 425

 

 261 179

 

 

Les valeurs estimatives sont déterminées d’après la valeur d’utilité des titres ; celle-ci n’est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant SAS Rue de la Boétie, la valeur d’utilité est de 18,57€ au 31/12/2014.

 

Note 7. – Variation de l’actif immobilisé

 

Immobilisations financières :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2014

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2014

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

1 202

 

 

 

1 202

Avances consolidables

229

 

 

 

229

Créances rattachées

 

 

 

 

0

Dépréciations

-626

-44

 

 

-670

Valeur nette au bilan

805

-44

0

0

761

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

 

Titres de participation

272 242

6 207

-12 111

0

266 338

Valeurs brutes

259 976

6 918

-20

0

266 874

Avances consolidables et dest à être capitalisées

19 046

 

-12 722

 

6 324

Créances rattachées

69

65

-69

 

65

Dépréciations

-6 848

-776

700

 

-6 924

Sous-total titres de participation

272 242

6 207

-12 111

0

266 338

Autres titres détenus à long terme

1 349

0

0

0

1 349

Valeurs brutes

1 349

 

 

 

1 349

Avances consolidables

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

0

0

0

1 349

Valeur nette au bilan

273 591

6 207

-12 111

0

267 687

Total

274 396

6 163

-12 111

0

268 448

 

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2014

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2014

Immobilisations corporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

137 028

4 187

-1 966

252

139 501

Amortissements et dépréciations

-97 174

-7 748

1 399

 

-103 523

Valeur nette au bilan

39 855

-3 561

-567

252

35 978

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

10 822

16

 

7

10 845

Amortissements et dépréciations

-9 930

-26

 

 

-9 957

Valeur nette au bilan

892

-10

0

7

889

Total

40 746

-3 571

-567

259

36 867

 

Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Autres actifs (1)

 

 

Instruments conditionnels achetés

 

 

Comptes de stock et emplois divers

33 733

36 750

Débiteurs divers

79 834

38 575

Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

Comptes de règlement

36

33

Valeur nette au bilan

113 602

75 358

Comptes de régularisation

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

17 130

35 442

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

1

1

Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

Charges constatées d'avance

11 845

13 261

Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

9 946

10 377

Autres produits à recevoir

21 035

19 626

Charges à répartir

89

114

Autres comptes de régularisation

1 165

7 598

Valeur nette au bilan

61 209

86 419

Total

174 811

161 777

(1) les montants incluent les créances rattachées.

 

Note 9. – dépréciations inscrites en déduction de l’actif

 

(En milliers d'euros)

Solde au 01/01/2014

Dotations

Reprises et utilisations

Désactualisation

Autres mouvements

Solde au 31/12/2014

Sur opérations interbancaires et assimilées

 

 

 

 

 

0

Sur créances clientèle

173 105

54 576

-38 080

-1 646

 

187 955

Sur opérations sur titres

3 649

25

-433

 

 

3 241

Sur valeurs immobilisées

10 914

1 461

-1 333

 

 

11 042

Sur autres actifs

30 723

7 840

-5 621

 

 

32 943

Total

218 391

63 902

-45 467

-1 646

0

235 181

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

1 663

0

0

213

1 876

0

1 876

287

A vue

1 663

 

 

 

1 663

 

1 663

1

A terme

 

 

 

213

213

 

213

286

Valeurs données en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

1 663

0

0

213

1 876

0

1 876

287

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

5 378

 

 

 

5 378

 

5 378

8 202

Comptes et avances à terme

406 841

900 170

693 267

667 248

2 667 525

5 211

2 672 736

2 629 980

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

412 219

900 170

693 267

667 248

2 672 903

5 211

2 678 114

2 638 182

Total

413 882

900 170

693 267

667 461

2 674 779

5 211

2 679 990

2 638 469

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale.

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle

 

11.1. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Comptes ordinaires créditeurs

1 026 390

 

 

 

1 026 390

7

1 026 397

1 036 203

Comptes d'épargne à régime spécial :

12 032

0

0

0

12 032

 

12 032

11 384

A vue

12 032

 

 

 

12 032

 

12 032

11 384

A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes envers la clientèle

49 475

134 143

140 508

263 836

587 962

7 857

595 819

558 979

A vue

1 276

 

 

 

1 276

11

1 287

1 869

A terme

48 199

134 143

140 508

263 836

586 686

7 846

594 532

557 110

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

1 087 897

134 143

140 508

263 836

1 626 384

7 864

1 634 249

1 606 566

 

11.2. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par agents économiques

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Particuliers

776 780

795 023

Agriculteurs

98 263

104 395

Autres professionnels

101 997

103 204

Clientèle financière

10 483

10 630

Entreprises

535 797

490 651

Collectivités publiques

32 643

25 064

Autres agents économiques

70 423

67 940

Total en principal

1 626 386

1 596 906

Dettes rattachées

7 864

9 660

Valeur au bilan

1 634 249

1 606 566

 

Note 12. – Dettes représentées par un titre – analyse par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Bons de caisse

2 034

25

 

 

2 059

5

2 064

2 351

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres de créances négociables

 

 

 

150 000

150 000

296

150 296

150 279

Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

2 034

25

0

150 000

152 059

301

152 359

152 630

 

Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Autres passifs

 

 

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

Instruments conditionnels vendus

 

 

Comptes de règlement et de négociation

 

 

Créditeurs divers

26 019

23 883

Versements restant à effectuer sur titres

136

1 010

Valeur au bilan

26 155

24 893

Comptes de régularisation

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

4 425

1 203

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits constatés d'avance

17 645

18 391

Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

10 688

9 233

Autres charges à payer

22 731

23 047

Autres comptes de régularisation

3 584

653

Valeur au bilan

59 073

52 527

Total

85 228

77 420

 

Note 14. – Provisions

 

(En milliers d'euros)

Solde au 01/01/2014

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au 31/12/2014

Provisions pour engagements de retraite et assimilés (6)

131

 

 

-21

1

111

Provisions pour autres engagements sociaux

562

62

 

 

 

624

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

1 264

 

 

-94

1

1 171

Provisions pour litiges fiscaux (

 

 

 

 

 

 

Provisions pour autres litiges

114

 

 

 

 

114

Provision pour risques pays

 

 

 

 

 

0

Provisions pour risques de crédit (1)

52 725

7 543

 

-9 503

 

50 765

Provisions pour restructurations

 

 

 

 

 

 

Provisions pour impôts (2)

125

 

-125

 

 

 

Provisions sur participations

 

 

 

 

 

 

Provisions pour risques opérationnels (3)

4 434

806

-158

-3 021

 

2 061

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (4)

2 967

2 248

 

-162

 

5 053

Autres provisions (5)

6 241

3 043

-936

-30

1

8 319

Valeur au bilan

68 563

13 702

-1 219

-12 832

3

68 217

(1) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II.

(2) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale

(3) Cette provision est destinée à couvrir les risques d’insuffisance de conception, d’organisation et de mise en œuvre des procédures d’enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d’information de l’ensemble des événements relatifs aux opérations de l’établissement.

En 2014, reprise de 2 270 K€ de la provision ASP suite au faible taux de réfaction (0,52 %) après contrôle des années 2004, 2005 et 2006, le taux de réfaction sur les années suivantes a ainsi été réduit de 20 à 5 %.

(4) Voir note 16 ci-après.

(5) Y compris les provisions pour risques sur GIE d’investissement

(6)L’augmentation des engagements sociaux au 31 décembre 2014 s’explique principalement par la baisse significative des taux de référence utilisés pour l’évaluation des engagements relatifs aux régimes à prestations définies et autres avantages à long terme.

 

Note 15. – Épargne logement

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

226 880

139 267

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

242 241

247 831

Ancienneté de plus de 10 ans

237 825

271 093

Total plans d'épargne-logement

706 946

658 191

Total comptes épargne-logement

74 170

81 194

Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

781 116

739 385

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état

 

Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Plans d'épargne-logement

2 300

2 987

Comptes épargne-logement

7 942

9 748

Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

10 242

12 735

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

1 566

39

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

1 057

698

Ancienneté de plus de 10 ans

2 430

2 230

Total plans d'épargne-logement

5 053

2 967

Total comptes épargne-logement

 

 

Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 053

2 967

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

(En milliers d'euros)

01/01/2014

Dotations

Reprises

31/12/2014

Plans d'épargne-logement :

2 967

2 248

-162

5 053

Comptes épargne-logement :

 

 

 

 

Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 967

2 248

-162

5 053

 

La reprise de la provision épargne logement au 31 décembre 2014 est liée à l’actualisation du modèle de calcul.

 

Les principales évolutions du modèle concernent la révision des lois d’écoulement des Plans Épargne Logement et des Comptes Épargne Logement ainsi que l’intégration d’une composante liquidité afin de refléter les conditions actuelles de marché.

 

Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs à l’emploi, régimes a prestations définies

 

— Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

— Les régimes à prestations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

— Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

Variations de la dette actuarielle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Dette actuarielle au 31/12/N-1

14 300

13 483

Coût des services rendus sur l'exercice

1 044

1 024

Coût financier

429

382

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

17

-12

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-769

-598

(Gains) / pertes actuariels

1 779

181

Dette actuarielle au 31/12/n

16 800

14 460

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Coût des services rendus

1 044

1 024

Coût financier

429

382

Rendement attendu des actifs

-419

-372

Coût des services passés

 

 

Amortissement des (Gains) / pertes actuariels net (1)

13

6

(Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes

 

 

(Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 067

1 040

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/N-1

13 998

13 074

Rendement attendu des actifs

419

372

Gains / (pertes) actuariels

-68

10

Cotisations payées par l'employeur

1 089

1 317

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

17

-12

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations payées par le fonds

-769

-598

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/n

14 686

14 163

 

Composition des actifs des régimes. — Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de :

— 83,7 % d’obligations

— 9,5 % d’actions

— 6,8 % d’autres produits.

Les actifs des régimes sont constitués de polices d’assurance éligibles.

 

Variations de la provision :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Dette actuarielle au 31/12/N

-16 800

-14 460

Impact de la limitation d'actifs

 

 

Gains et (pertes) actuariels restant à étaler (1)

2 003

167

Juste valeur des actifs fin de période

14 686

14 163

Position nette (passif) / actifs au 31/12/n

-111

-130

 

Rendement des actifs des régimes. — Le rendement attendu des actifs de régime est de 2,45 %

 

Hypothèses actuarielles utilisées. — Au 31 décembre 2014, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50bp des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de -4,0 % ;

— Une variation de moins de 50bp des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de +4,3 %.

 

Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Fonds pour risques bancaires généraux

17 557

12 557

Valeur au bilan

17 557

12 557

 

Note 18. – Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Dettes subordonnées à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

15 000

 

15 000

481

15 481

15 481

Dettes subordonnées à durée indéterminée (1)

 

 

 

 

 

 

 

 

C/C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

2 033

2 033

57

2 090

2 090

Dépôts de Garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

0

0

15 000

2 033

17 033

538

17 571

17 571

 

Commentaires :

Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 954 milliers d’euros au 31 décembre 2014 contre 954 milliers d’euros au 31 décembre 2013.

 

Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition)

 

Variation des capitaux propres :

 

(En milliers d'euros)

Capitaux propres

Capital (1)

Réserve légale

Réserve statutaire

Primes, autres réserves et report à nouveau (2)

Écarts conversion/réévaluation

Provisions réglementées & subventions d'investissement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 Décembre 2012

28 057

316 419

22 884

236 124

0

0

13 621

617 105

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2012

 

 

 

 

 

 

-1 590

-1 590

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

0

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

0

Affectation du résultat social 2012

 

9 024

 

3 008

 

 

-12 031

0

Report à nouveau débiteur

 

 

 

-149

 

 

 

-149

Résultat de l’exercice 2013

 

 

 

 

 

 

17 921

17 921

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

0

Solde au 31 Décembre 2013

28 057

325 443

22 884

238 984

0

0

17 921

633 288

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2013

 

 

 

 

 

 

-1 986

-1 986

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

0

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

0

Affectation du résultat social 2013

 

11 951

 

3 984

 

 

-15 935

0

Report à nouveau débiteur

 

 

 

149

 

 

 

149

Résultat de l’exercice 2014

 

 

 

 

 

 

23 961

23 961

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

0

Solde au 31 décembre 2014

28 057

337 394

22 884

243 117

0

0

23 961

655 412

 

Commentaires :

(1) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros de primes de fusion

(2) Dont 7 014 milliers d'euros de Certificats Coopératifs d’Association souscrits par Crédit Agricole S.A.

 

Note 20. – Composition des fonds propres

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Capitaux propres

655 412

633 288

Fonds pour risques bancaires généraux

17 557

12 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 571

17 571

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

Total des fonds propres

690 540

663 416

 

Note 21. – Opérations effectuées en devises

 

Contributions par devise au bilan :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

5 309 206

5 309 206

5 205 570

5 205 570

Autres devises de l’Union Europ

66

66

58

58

Franc suisse

 

 

 

 

Dollar

1 050

1 050

1 233

1 233

Yen

 

 

 

 

Autres devises

261

261

203

203

Valeur brute

5 310 583

5 310 583

5 207 064

5 207 064

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Total

5 310 583

5 310 583

5 207 064

5 207 064

 

Note 22. – Opérations de change, prêts et emprunts en devises

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

À recevoir

À livrer

À recevoir

À livrer

Opérations de change au comptant

0

0

0

0

Devises

 

 

 

 

Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

3 366

3 359

3 658

3 650

Devises

1 761

1 761

1 788

1 788

Euros

1 605

1 598

1 870

1 862

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

Total

3 366

3 359

3 658

3 650

 

Note 23. – Opérations sur instruments financiers à terme

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

 

31/12/2013

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total

Total

Opérations fermes

2 165 966

13 367

2 179 333

1 921 323

Opérations sur marchés organisés (1)

0

0

0

0

Contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

Contrats à terme de change

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Opérations de gré à gré (1)

2 165 966

13 367

2 179 333

1 921 323

Swaps de taux d'intérêt

2 165 966

13 367

2 179 333

1 921 323

Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

Contrats à terme de change

 

 

 

 

Fra

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Opérations conditionnelles

0

0

0

0

Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

Instruments de taux d'intérêt à terme

 

 

 

 

Instruments sur action et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Opérations de gré à gré

0

0

0

0

Options de swap de taux

 

 

 

 

Instruments de taux d'intérêts à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Instruments sur actions et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Autres instruments à terme conditionnels

 

 

 

 

Dérivés de crédit

0

0

0

0

Contrats de dérivés de crédit

 

 

 

 

Achetés

 

 

 

 

Vendus

 

 

 

 

Total

2 165 966

13 367

2 179 333

1 921 323

(1) Les montants indiqués sur les opérations fermes doivent correspondre au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats).

 

23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2014

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

445 951

858 846

874 535

445 951

858 846

874 535

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

445 951

858 846

874 535

445 951

858 846

874 535

 

 

 

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

6 725

 

 

6 725

 

 

 

 

 

Sous total

6 725

 

 

6 725

 

 

 

 

 

Total

452 676

858 846

874 535

452 676

858 846

874 535

0

0

0

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2013

dont opérations effectuées de gré à gré

dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

193 399

998 442

729 482

193 399

998 442

729 482

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

193 399

998 442

729 482

193 399

998 442

729 482

 

 

 

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

7 309

 

 

7 309

 

 

 

 

 

Sous total

7 309

 

 

7 309

 

 

 

 

 

Total

200 708

998 442

729 482

200 708

998 442

729 482

0

0

0

 

23.2 .Instruments financiers à terme : juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Total juste valeur

Encours notionnel

Total juste valeur

Encours notionnel

Futures

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

-17 894

2 179 333

26 851

1 921 323

Forward taux

 

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursier et métaux précieux

 

 

 

 

Sous total

-17 894

2 179 333

26 851

1 921 323

Swaps de devises

 

 

 

 

Opérations de change à terme

 

 

 

 

Sous total

 

 

 

 

Total

-17 894

2 179 333

26 851

1 921 323

 

23.3. Information sur les Swaps

 

Ventilation des contrats d’échange de taux d’intérêt :

 

(En milliers d'euros)

Position ouverte isolée

Micro-couverture

Macro-couverture

Swaps de transaction

Contrats d'échange de taux

13 367

284 265

1 881 701

 

Contrats assimilés (1)

 

 

 

 

(1)Il s’agit des contrats assimilés au sens de l’article 1er du règlement 90-15 du CRBF.

 

Note 24. – Informations relatives au risque de contrepartie sur produits dérivés

 

L’évaluation du risque de contrepartie attaché aux Instruments Financiers à Terme utilisés par l’établissement est mesurée par la valeur de marché de ces instruments et par le risque de crédit potentiel résultant de l’application de facteurs de majoration (add-on) réglementaires, fonction de la durée résiduelle et de la nature des contrats peut être résumée de la façon suivante :

 

Répartition des risques de contrepartie sur instruments financiers à terme :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Risques sur les gouvernements et banques centrales de l’OCDE et organismes assimilés

 

 

 

 

 

 

Risques sur les établissements financiers de l’OCDE et organismes assimilés

126 584

17 315

143 899

96 420

15 881

112 301

Risques sur les autres contreparties

595

104

699

76

53

129

Total avant effet des accords de compensation

127 179

17 419

144 598

96 496

15 934

112 430

Dont risques sur contrats de :

 

 

 

 

 

 

- Taux d'intérêt, change et matières premières

127 179

17 419

144 573

96 496

15 934

112 430

- Dérivés actions et sur indices

 

 

 

 

 

 

Total avant effet des accords de compensation

127 179

17 419

144 598

96 496

15 934

112 430

Incidences des accords de compensation et de collatérisation

 

 

 

 

 

 

Total après effet des accords de compensation et de collaterisation

127 179

17 394

144 598

96 496

15 934

112 430

 

Note 25. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Engagements donnés (1)

804 335

794 347

Engagements de financement

392 323

500 709

Engagements en faveur d'établissements de crédit

9 078

61 118

Engagements en faveur de la clientèle

383 245

439 591

Ouverture de crédits confirmés

 

 

Ouverture de crédits documentaires

33

 

Autres ouvertures de crédits confirmés

219 874

 

Autres engagements en faveur de la clientèle

163 338

 

Engagements de garantie (1)

411 654

293 313

Engagements d'ordre d'établissement de crédit (1)

327 349

201 340

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

Autres garanties

327 349

201 340

Engagements d'ordre de la clientèle

84 305

91 973

Cautions immobilières

11 995

 

Autres garanties d'ordre de la clientèle

72 310

 

Engagements sur titres

358

325

Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements à donner

358

325

Engagements reçus

1 102 406

1 249 646

Engagements de financement

250 000

400 152

Engagements reçus d'établissements de crédit

250 000

400 152

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

852 048

849 169

Engagements reçus d'établissements de crédit

68 646

65 163

Engagements reçus de la clientèle

783 402

784 006

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

176 948

162 321

Autres garanties reçues

606 454

621 685

Engagements sur titres

358

325

Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements reçus

358

325

(1)Dont 327 349 milliers d’euros relatifs à la garantie globale (Switch) mise en place le 2 janvier 2014, en amendement de la garantie précédente octroyée le 23 décembre 2011 pour 201 340 milliers d’euros.

 

Note 26. – Produits nets d’intérêts et revenus assimilés

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 139

1 455

Sur opérations internes au Crédit Agricole

14 553

11 417

Sur opérations avec la clientèle

151 765

159 940

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

4 381

3 050

Produit net sur opérations de macro-couverture

 

 

Sur dettes représentées par un titre

3 012

3 777

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Intérêts et produits assimilés

174 850

179 639

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 105

1 337

Sur opérations internes au Crédit Agricole

43 925

47 284

Sur opérations avec la clientèle

23 808

21 424

Charge nette sur opérations de macro-couverture

4 194

2 217

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Sur dettes représentées par un titre

8 791

9 571

Autres intérêts et charges assimilées

74

25

Intérêts et charges assimilées

81 897

81 858

Total produits nets d'intérêts et revenus assimilés (1)

92 953

97 781

(1) Le montant des produits nets d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2014 est de 954 milliers d'euros, il était de 954 milliers d’euros au 31 décembre 2013

 

Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d’opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques.

 

Note 27. – Revenus des titres

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Titres de placement

96

208

Livret développement durable

 

 

Titres d'investissement

4 285

2 843

Opérations diverses sur titres

3 012

3 777

Revenus des titres à revenus fixes

7 393

6 828

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme

7 570

1 641

Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille

 

 

Opérations diverses sur titres

 

 

Revenus des titres à revenus variables

7 570

1 641

Total des revenus sur titres

14 963

8 469

 

Note 28. – Produit net des commissions

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

122

24

98

90

21

69

Sur opérations internes au crédit agricole

9 087

7 588

1 499

11 404

6 209

5 195

Sur opérations avec la clientèle (2)

19 287

171

19 116

19 296

94

19 202

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

9

 

9

6

 

6

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

81

 

81

45

 

45

Sur prestations de services financiers (1)

48 524

5 472

43 052

49 301

5 547

43 754

Provision pour risques sur commissions

248

178

71

183

353

-170

Total produit net des commissions

77 358

13 432

63 926

80 325

12 224

68 101

(1) dont prestations d'assurance-vie : 9 197 milliers d'euros au 31/12/2014

(2)à noter qu’à compter du 1er janvier 2014, les commissions d'intervention sont plafonnées suite à l’application de la loi N°2013672, entraînant ainsi une baisse de la facturation dysfonctionnement sur l’exercice 2014.

 

Note 29. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

-146

 

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

123

108

Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations

-23

108

 

Note 30. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Titres de placement

 

 

Dotations aux dépréciations

 

-752

Reprises de dépréciations

102

802

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

102

50

Plus-values de cession réalisées

 

28

Moins-values de cession réalisées

 

-94

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

0

-66

Solde des opérations sur titres de placement

102

-16

Titres de l'activité de portefeuille

 

 

Dotations aux dépréciations

 

 

Reprises de dépréciations

 

 

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

0

0

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

0

0

Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille

0

0

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

102

-16

 

Note 31. – Autres produits et charges d’exploitation bancaire

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Produits divers

511

592

Quote-part des opérations faites en commun

 

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Reprises provisions

2 836

 

Autres produits d'exploitation bancaire

3 347

592

Charges diverses

194

436

Quote-part des opérations faites en commun

269

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Dotations provisions

586

 

Autres charges d'exploitation bancaire

1 049

436

Total autres produits et charges d'exploitation bancaire

2 298

156

 

Note 32. – Charges générales d’exploitation

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Frais de personnel

 

 

Salaires et traitements :

32 842

32 895

Charges sociales :

15 153

15 787

Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies

3 496

3 518

Intéressement et participation

4 774

5 431

Impôts et taxes sur rémunérations

6 107

6 196

Total des charges de personnel

58 876

60 308

Refacturation et transferts de charges de personnel

-2 625

-2 978

Frais de personnel nets

56 251

57 329

Frais administratifs

 

 

Impôts et taxes

4 597

4 700

Services extérieurs et autres frais administratifs

31 567

33 688

Total des charges administratives

36 164

38 388

Refacturation et transferts de charges administratives

-477

-516

Frais administratifs nets

35 687

37 872

Charges générales d'exploitation

91 938

95 201

 

Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE). — Au titre des exercices 2013 et 2014, un montant de 2 399 milliers d’euros a été accordé à la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au titre du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (respectivement 979 K€ et 1 420 K€). Ce montant a été utilisé dans sa totalité au 31 décembre 2014 pour les dépenses suivantes :

— Ressources Humaines (Formations, recrutements, outils de gestions, cabinet de consultants)

— Innovation (Smartphones, tablettes)

— Investissement (modernisation des Agences)

 

Effectif moyen :

 

Catégories de personnel

31/12/2014

31/12/2013

Cadres

152

152

Non cadres

767

777

Total

919

929

Dont :

France

903

915

Étranger

16

14

Dont : personnel mis à disposition

 

 

 

La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l’institution.

Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1452 K€.

 

Note 33. – Cout du risque

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Dotations aux provisions et dépréciations

64 721

67 987

Dépréciations de créances douteuses

49 168

52 166

Autres provisions et dépréciations

15 553

15 821

Reprises de provisions et dépréciations

49 386

49 436

Reprises de dépréciations de créances douteuses (1)

33 824

43 000

Autres reprises de provisions et dépréciations (2)

15 562

6 436

Variation des provisions et dépréciations

15 335

18 551

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3)

424

455

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4)

9 291

8 249

Décote sur prêts restructurés

53

98

Récupérations sur créances amorties

-424

-303

Autres pertes

68

177

Autres produits

 

 

Coût du risque

24 747

27 228

(1) Dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses compromises : 3 890 milliers d’euros

Dont utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromises : 5 401 milliers d’euros

(2) Dont 68 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif

(3) Dont 28 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises

(4) Dont 3 890 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises

 

Note 34. – Résultat net sur actifs immobilises

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Immobilisations financières

 

 

Dotations aux dépréciations

819

1 588

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

819

1 588

Reprises de dépréciations

700

38

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

700

38

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-119

-1 550

Sur titres d'investissement

0

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-119

-1 550

Plus-values de cessions réalisées

33

4

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

33

4

Moins-values de cessions réalisées

1

0

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

1

 

Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cessions

32

4

Sur titres d'investissement

0

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

32

4

Solde en perte ou en bénéfice

-87

-1 546

Immobilisations corporelles et incorporelles

 

 

Plus-values de cessions

72

212

Moins-values de cessions

458

 

Solde en perte ou en bénéfice

-387

212

Résultat net sur actifs immobilises

-474

-1 334

 

Note 35. – Charges et produits exceptionnels

 

La Caisse Régionale n’a pas comptabilisé de charges ni de produits exceptionnels sur l’exercice 2014.

 

Note 36. – Impôt sur les bénéfices

 

Cet agrégat comprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l’exercice s’élève à 13 565 K€.

En 2014, la Caisse Régionale a consenti un abandon de créance à titre commercial de 8,8 Millions d’euros à sa succursale en Espagne, déductible fiscalement.

Intégration fiscale :La Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d’impôt résultant de la réallocation de l’économie d’IS liées aux dividendes intragroupe pour 460 K€.

 

Note 37. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

 

37.1 Résultat courant par zone géographique :

Au 31 décembre 2014 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

161 663

-89 741

-6 974

64 948

-13 261

51 687

-43

51 645

Autres pays de l'u.E.

5 163

-2 198

-167

2 798

-11 486

-8 689

-431

-9 119

Résultat courant avant impôt

166 826

-91 939

-7 141

67 746

-24 747

42 999

-473

42 526

 

Au 31 décembre 2013 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

160 627

-93 302

-7 201

60 124

-15 309

44 815

-1 334

43 481

Autres pays de l'U.E.

7 144

-1 899

-1 453

3 792

-11 919

-8 127

 

-8 127

Résultat courant avant impôt

167 771

-95 201

-8 654

63 916

-27 228

36 688

-1 334

35 354

 

Note 38. – Affectation des résultats

 

Résultat comptable

23 961 319,35 €

RAN

-0,00 €

Résultat à affecter

23 961 319,35 €

Distribué

2 194 812,27 €

Intérêts aux parts sociales

397 713,32 €

Intérêts aux parts aux Caisses locales

397 706,11 €

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

7,21 €

Rémunération des CCA

1 797 098,95 €

Conservé

21 766 507,08 €

Réserves légales

16 324 880,31 €

Autres réserves

5 441 626,77 €

 

Note 39. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs

 

La Caisse régionale Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un État ou un territoire non coopératif au sens de l’article 238-0 A du Code général des impôts.

 

Note 40. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes

 

Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée

 

(En milliers d'euros)

Ernst & Young

%

KPMG

%

Audit

 

 

 

 

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

114

59%

78

41%

Missions accessoires

 

 

 

 

Sous-total

114

59%

78

41%

Autres prestations

 

 

 

 

Juridique, fiscal et social

 

 

 

 

Technologie de l'information

 

 

 

 

Audit interne

 

 

 

 

Autres : à préciser si > à 10% des honoraires d'audit

 

 

 

 

Sous-total

0

0%

0

0%

Total

114

59%

78

41%

(1) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes

 

Note 41. – Publicité

 

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels.

(Exercice clos le 31 décembre 2014.)

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2014, sur :

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par votre Conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

 

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la Caisse Régionale à la fin de cet exercice.

 

Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 2 « Principes et méthodes comptables » de l’annexe aux comptes annuels qui expose les changements de méthodes résultant de l’application de nouvelles normes et interprétations appliquées à compter du 1er janvier 2014.

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

 

Estimations comptables :

Votre Caisse Régionale comptabilise des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités, tels que décrits dans les notes 2.1, 9 et 14 de l’annexe. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction, relatif au suivi des risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations sur base individuelle et des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement.

 

Les parts dans les entreprises liées, les titres de participation et les autres titres détenus à long terme sont évalués par votre Caisse Régionale à leur valeur d'utilité en retenant une approche fondée sur les modalités décrites dans la note 2.2 de l'annexe. Dans le cadre de notre appréciation de ces estimations et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner les éléments ayant conduit à la détermination des valeurs d'utilité au 31 décembre 2014 pour les principales lignes du portefeuille et à nous assurer que la note 2.2 de l’annexe donne une information appropriée à cet égard.

 

Votre Caisse Régionale détient des positions sur titres et sur instruments financiers. Les notes 2.2 et 2.8 de l’annexe exposent les règles et méthodes comptables relatives à ces titres et instruments financiers. Sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre Caisse Régionale et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d’administration et dans les documents adressés aux Sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

 

B. — Comptes consolides aux 31 décembre 2014.

 

Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en date du 13 février 2015 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 27 mars 2015

Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers

 

I. — Cadre Général

 

Présentation juridique de l’entité.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à PERPIGNAN, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335 et fait partie du groupe Crédit Agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole.

 

Un Groupe bancaire d’essence mutualiste. — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités.

Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 8,2 millions de sociétaires qui élisent quelques 31 500 administrateurs.Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice.

La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie.

La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R.512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L.511-31 et article L.511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

 

 

Relations internes au Crédit agricole

 

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe.

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit » ou « Dettes envers les établissements de crédit ».

 

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan.

 

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

 

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

 

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453.

Le nouveau dispositif de résolution des crises bancaires introduit par la loi de séparation et de régulation des activités bancaires du 26 juillet 2013 n’a pas d’impact sur le mécanisme légal de solidarité financière interne prévu à l’article L.511-31 du Code monétaire et financier, appliqué au Réseau Crédit Agricole tel que défini par l’article R.512-18 de ce même Code. Au titre de ce mécanisme, qui devrait s’exercer préalablement à toute mesure de résolution, Crédit Agricole S.A., Organe central et membre du Réseau, doit prendre toute mesure nécessaire pour garantir la liquidité et la solvabilité de chaque membre du Réseau comme de l’ensemble. Ainsi, chaque membre du réseau (en ce compris Crédit Agricole SA) bénéficie de cette solidarité financière interne.

L’application au groupe Crédit Agricole de la procédure de résolution pourrait limiter la survenance des conditions de mise en œuvre de la garantie des obligations de Crédit Agricole SA consentie en 1988 au bénéfice de ses tiers créanciers par l’ensemble des Caisses régionales, solidairement entre elles, et à hauteur de leur fonds propres agrégés, dans la mesure où la résolution devrait intervenir avant la liquidation. Il est rappelé que cette garantie est susceptible d’être mise en œuvre en cas d’insuffisance d’actif de Crédit Agricole SA constatée à l’issue de sa liquidation ou de sa dissolution.

 

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA (Switch) : Le dispositif des garanties Switch, mis en place le 23 décembre 2011 et complété par avenant signé le 19 décembre 2013, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole. Les nouvelles garanties ont pris effet le 2 janvier 2014, en remplacement des précédentes, avec pour échéance le 1er mars 2027 sous réserve de résiliation anticipée ou de prorogation selon les dispositions prévues au contrat.

A travers ce dispositif, et dans la limite du plafond contractuel, les Caisses régionales s’engagent à supporter, pour le compte de Crédit Agricole S.A., les exigences prudentielles liées à la mise en équivalence de certaines participations détenues par Crédit Agricole S.A., et à en subir les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant.

Les garanties en vigueur permettent un transfert des exigences prudentielles s’appliquant à la fois aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels. Elles font l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

La bonne fin du dispositif est sécurisée par des dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. Ces dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A, et sont rémunérés à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme.

Ainsi le dispositif protège Crédit Agricole S.A. en cas de baisse de valeur globale de mise en équivalence des participations susvisées moyennant le versement par les Caisses régionales d’une indemnisation compensatrice prélevée sur le dépôt de garantie. Symétriquement en cas de hausse ultérieure de la valeur globale de mise en équivalence globale, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

Sur le plan prudentiel :

– Crédit Agricole S.A. réduit ses exigences de capital à proportion du montant de la garantie accordée par les Caisses régionales;

– Les Caisses régionales constatent symétriquement des exigences de capital égales à celles économisées par Crédit Agricole S.A.

Ce dispositif, qui est neutre au niveau du groupe Crédit Agricole, permet de rééquilibrer l’allocation en fonds propres entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales.

Comptablement, les garanties s’analysent en substance comme des contrats d’assurance du fait de l’existence d’un risque global d’assurance au sens de la norme IFRS 4.

La norme IFRS 4 permet à l’émetteur d’un contrat d’assurance, de recourir aux principes comptables déjà appliqués pour des garanties données similaires, sous réserve d’effectuer un test de suffisance du passif selon les modalités visées par le paragraphe 14(b) de la norme.

 

Par conséquent, le traitement comptable des garanties est assimilable à celui d’une garantie donnée à première demande et leur rémunération est enregistrée de manière étalée dans la marge d’intérêt en Produit net bancaire. Dans le cas où il existerait des perspectives de perte nette à l'échéance après prise en compte d’hypothèse raisonnables de retour à meilleur fortune, une provision serait à doter, en Coût du risque, conformément aux exigences du test de suffisance du passif. En cas d’appel des garanties, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seraient respectivement reconnus en Coût du risque.

 

Informations relatives aux parties liées. — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2014 et aux dirigeants. Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 32 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales.»

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 033 K€.

 

II. — États financiers consolidés

1. – Compte de résultat

 

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2014

31/12/2013

Intérêts et produits assimilées

4.1

196 004

202 098

Intérêts et charges assimilées

4.1

-101 370

-101 454

Commissions (produits)

4.2

77 358

80 324

Commissions (charges)

4.2

-13 433

-12 089

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

-650

-1 082

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4-6.4

6 765

-438

Produits des autres activités

4.5

4 022

859

Charges des autres activités

4.5

-2 459

-2 190

Produit net bancaire

 

166 237

166 028

Charges générales d'exploitation

4.6-7.1-7.4-7.6

-92 101

-95 365

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-6 895

-7 122

Résultat brut d’exploitation

 

67 241

63 541

Coût du risque

4.8

-24 997

-28 152

Résultat d'exploitation

 

42 244

35 389

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

44

32

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impot

 

42 288

35 421

Impôts sur les bénéfices

4.10

-14 007

-11 111

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

Résultat net

 

28 281

24 310

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Résultat net – part du groupe

 

28 281

24 310

 

2. – Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2014

31/12/2013

Résultat net

 

28 281

24 310

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

-1 846

-176

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entités mises en équivalence

 

-1 846

-176

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, des entités mises en équivalence

 

 

 

Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entités mises en équivalence

 

636

61

Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables ultérieurement en résultat

 

-1 210

-115

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

 

1 177

-2 167

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

 

134

280

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence

 

1 311

-1 887

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables part du Groupe, des entités mises en équivalence

 

 

 

Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entités mises en équivalence

 

-144

-17

Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

 

1 167

-1 904

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

4.11

-43

-2 019

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

28 238

22 291

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Dont part du Groupe

 

28 238

22 291

 

3. – Bilan

(En milliers d'euros)

 

Actif

Notes

31/12/2014

31/12/2013

01/01/2013

Caisse, banques centrales

6.1

33 639

29 090

31 398

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

7 259

6 133

10 870

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

126 584

96 420

127 751

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.6

282 178

259 697

259 169

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5-6.6

243 240

184 568

269 045

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5-6.6

4 336 227

4 352 417

4 459 476

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

84 675

56 419

82 083

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

6.6-6.7-6.9

195 389

118 747

66 227

Actifs d'impôts courants et différés

6.12

24 341

29 488

20 679

Comptes de régularisation et actifs divers

6.13

151 396

131 262

140 949

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Participation aux bénéfices différée

 

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

Immeubles de placement

6.14

4 864

5 979

6 054

Immobilisations corporelles

6.15

31 281

34 056

35 120

Immobilisations incorporelles

6.15

888

892

884

Écarts d'acquisition

 

 

 

 

Total de l'actif

 

5 521 961

5 305 168

5 509 705

 

Passif

Notes

31/12/2014

31/12/2013

01/01/2013

Banques centrales

6.1

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

758

150

369

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

144 459

69 495

95 576

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.8

2 674 466

2 630 114

2 847 745

Dettes envers la clientèle

3.1-3.3-6.8

1 632 115

1 604 197

1 542 725

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.10

163 545

155 344

159 613

Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

94 615

70 645

96 254

Passifs d'impôts courants et différés

6.12

1 882

115

4 533

Comptes de régularisation et passifs divers

6.13

74 834

70 381

82 967

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

 

Provisions

6.16

19 296

15 848

12 105

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.11

15 394

15 370

15 345

Total dettes

 

4 821 364

4 631 659

4 857 232

Capitaux propres

 

700 597

673 509

652 473

Capitaux propres - part du Groupe

 

700 597

673 509

652 473

Capital et réserves liées

 

157 177

156 534

156 152

Réserves consolidées

 

514 002

491 485

484 487

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

1 137

1 180

3 199

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

Résultat de l'exercice

 

28 281

24 310

8 635

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

Total du passif

 

5 521 961

5 305 168

5 509 705

 

4. – Tableau de variation des capitaux propres

 

(en milliers d'Euros)

Part du Groupe

Participations ne donnant pas le contrôle

Capitaux propres consolidés

Capital et réserves liées

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Résultat net

Capitaux propres

Capital réserves consolidées et résultat

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Capitaux propres

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital (1)

Élimination des titres auto-détenus

Total Capital et Réserves consolidées

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Capitaux propres au 1er janvier 2013 Publié

26 527

622 747

 

649 274

4 021

-822

3 199

0

652 473

 

 

 

0

0

652 473

Augmentation de capital

382

 

 

382

 

 

0

 

382

 

 

 

0

0

382

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Dividendes versés en 2013

 

-1 539

 

-1 539

 

 

0

 

-1 539

 

 

 

0

0

-1 539

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

382

-1 539

0

-1 157

0

0

0

 

-1 157

0

0

0

0

0

-1 157

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

0

-1 904

-115

-2 019

 

-2 019

 

 

 

0

0

-2 019

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres des entreprises mises en équivalence

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Résultat au 31/12/2013

 

 

 

0

 

 

0

24 310

24 310

 

 

 

0

0

24 310

Autres variations (2)

 

-98

 

-98

 

 

0

 

-98

 

 

 

0

0

-98

Capitaux propres au 31 décembre 2013

26 909

621 110

0

648 019

2 117

-937

1 180

24 310

673 509

0

0

0

0

0

673 509

Affectation du résultat 2013

 

24 310

 

24 310

 

 

 

-24 310

0

 

 

 

 

0

0

Capitaux propres au 1er janvier 2014

26 909

645 420

0

672 329

2 117

-937

1 180

0

673 509

0

0

0

0

0

673 509

Augmentation de capital

643

 

 

643

 

 

 

 

643

 

 

 

0

0

643

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Dividendes versés en 2014

 

-1 793

 

-1 793

 

 

0

 

-1 793

 

 

 

0

0

-1 793

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

643

-1 793

0

-1 150

0

0

0

 

-1 150

0

0

0

0

0

-1 150

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

0

1 167

-1 210

-43

 

-43

 

 

 

0

0

-43

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres des entreprises mises en équivalence

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Résultat au 31/12/2014

 

 

 

0

 

 

0

28 281

28 281

 

 

 

0

0

28 281

Autres variations

 

 

 

0

 

 

0

 

0

 

 

 

0

0

0

Capitaux propres au 31 décembre 2014

27 552

643 627

0

671 179

3 284

-2 147

1 137

28 281

700 597

0

0

0

0

0

700 597

(1) Réserves consolidées avant élimination des titres d'auto-contrôle

 

5. – Tableau des flux de trésorerie

 

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale Sud Méditerranée y compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans cette rubrique.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Résultat avant impôts

42 288

35 421

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

6 894

7 122

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

23 003

31 121

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

-76

-36

Résultat net des activités de financement

954

954

Autres mouvements

815

1 850

Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

31 590

41 011

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

14 074

-46 741

Flux liés aux opérations avec la clientèle

64 904

147 105

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-91 103

-46 745

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-15 190

-11 405

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-6 605

-24 296

Diminution/(augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

-33 920

17 918

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

Total Flux net de trésorerie généré par l'activité OPÉRATIONNELLE (A)

39 958

94 350

Flux liés aux participations (3)

-1 235

-2 895

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-4 071

-5 752

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

Total Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-5 306

-8 647

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (4)

-1 150

-1 157

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement

-930

-929

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

Total Flux net de trésorerie lié aux opérations de FINANCEMENT (C )

-2 080

-2 086

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D)

32 572

83 617

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

60 115

-23 503

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (1)

29 087

31 390

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (2)

31 028

-54 893

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

92 686

60 115

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (1)

33 638

29 087

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (2)

59 048

31 028

Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie

32 571

83 618

(1) composé du solde des postes "Caisses et banques centrales" hors intérêts courus (y compris trésorerie des entités reclassées en activités destinées à être cédées)

(2) composé du solde des postes "comptes ordinaires débiteurs sains" et "comptes et prêts au jour le jour sains" tels que détaillés en note 5.3 et des postes "comptes ordinaires créditeurs" et "comptes et emprunts au jour le jour" tels que détaillés en note 5.7 (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole)

(3) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2.2. Au cours de l’année 2014, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 1 235 milliers d’euros, portant notamment sur les opérations suivantes :

Acquisition de titres de participation dans la SA Pyrénées Roussillon Investissement pour un montant de 50 K€.

Acquisition de titres de participation dans la SAS Sacam Avenir pour un montant de 362 K€. (Part non libérée au 31/12/2014 : 135 K€)

Libération de capital de Sacam Internationnal pour 389 K€

Libération de capital de CT CAM pour 359 K€

Libération de capital de Sacam Immobilier pour 177 K€

Libération de capital de la SAFER pour 18 K€

Libération de capital Sacam FIA NET pour 67 K€

(4) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 1 793 K€ pour l’année 2014.

 

III. — Notes annexes aux états financiers

1. – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés.

 

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes consolidés ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2014 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite carve out), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture.

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias/index_fr.htm .

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2013.

 

Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2014 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2014. Celles-ci portent sur :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du

Applicable dans le Groupe

Norme IFRS 10 sur les états financiers consolidés

11 décembre 2012 (UE n° 1254/2012)

1er janvier 2014

Oui

Norme IFRS 11 sur les partenariats

11 décembre 2012 (UE n° 1254/2012)

1er janvier 2014

Oui

Norme IFRS 12 sur les informations à fournir sur les intérêts détenus dans d’autres entités

11 décembre 2012 (UE n° 1254/2012)

1er janvier 2014

Oui

Norme IAS 27 modifiée sur les états financiers individuels

11 décembre 2012 (UE n° 1254/2012)

1er janvier 2014

Non

Norme IAS 28 modifiée sur les participations dans des entreprises associées et des coentreprises

11 décembre 2012 (UE n° 1254/2012)

1er janvier 2014

Oui

Amendement d’IAS 32 sur la présentation des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers

13 décembre 2012 (UE n° 1256/2012)

1er janvier 2014

Oui

Amendements relatifs aux dispositions transitoires pour les normes IFRS 10 : Consolidation des états financiers, IFRS 11 : Partenariats et IFRS 12 : Informations à fournir sur les intérêts détenus dans d’autres entités

04 avril 2013 (UE n°313/2013)

1er janvier 2014

Oui

Amendement des normes IFRS 10 et 12 par rapport aux entreprises d’investissement

20 novembre 2013 (UE n° 1174/ 2013)

1er janvier 2014

Non

Amendement de la norme IAS 36 sur les informations à fournir sur la valeur recouvrable des actifs non financiers

19 décembre 2013 (UE n° 1374/2013)

1er janvier 2014

Oui

Amendements de la norme IAS 39 sur les instruments financiers, par rapport à la comptabilisation et l’évaluation de la novation de dérivés et le maintien de la comptabilité de couverture

19 décembre 2013 (UE n° 1375/2013)

1er janvier 2014

Oui

 

Les normes de consolidation, IFRS 10, 11 et 12 et IAS 28 amendée, sont entrées en vigueur au 1er janvier 2014. Elles sont d’application rétrospective. Elles conduisent à revoir la nature des intérêts détenus au regard des nouveaux critères de contrôle, de l’évolution de la méthode de consolidation en cas de contrôle conjoint, et des informations à communiquer en annexe.

La norme IFRS 10 se substitue à IAS 27 et SIC 12 et définit un cadre d’analyse commun du contrôle reposant sur trois critères cumulatifs :

(1) la détention du pouvoir sur les activités pertinentes de l’entité visée,

(2) l’exposition ou la détention de droits sur les rendements variables et

(3) la capacité d’exercer le pouvoir pour influer sur le montant des rendements.

L’application des nouvelles dispositions n’a pas eu d’impact significatif sur le résultat et les capitaux propres.

Les nouvelles informations à donner au titre d’IFRS 12 sont communiquées au sein des notes annexes suivantes :

 

Note 13.1. Entités structurées non consolidées. — Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique.

Ceci concerne en particulier :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du

Applicable ultérieurement dans le Groupe

Interprétation IFRIC 21 sur les droits et taxes

13 juin 2014 (UE n° 634/2014

1er janvier 2015

Oui

Amendement portant sur les améliorations annuelles des IFRS cycle 2011-2013 modifiant les normes suivantes : IFRS 3, IFRS 13 et IAS 40

18 décembre 2014 (UE 1361/2014)

1er janvier 2015

Oui

 

L’interprétation d’IFRIC 21 donne des précisions sur la comptabilisation des droits, taxes et autres prélèvements publics qui relèvent d’IAS 37 Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels (hors amendes et pénalités, et hors impôts sur les sociétés régis par IAS 12). Elle permet notamment de clarifier :

— La date à laquelle ces droits et taxes doivent être enregistrés,

— Et si l’enregistrement peut être progressif (étalement) au cours de l’exercice ou pas.

Au regard de ces clarifications, la mise en œuvre d’IFRIC 21 aura pour effet de changer le fait générateur d’enregistrement de certains droits et taxes (décalage de la date de l’enregistrement d’un exercice à l’autre et/ou fin de l’étalement sur la durée de l’exercice). Ainsi, seront notamment concernées les principales taxes suivantes :

— Taxe systémique, taxe ACPR dont l’étalement sur la période est supprimé

— Cotisation solidarité … (C3S) dont le provisionnement au cours de la période d’acquisition de l’assiette est supprimé et l’enregistrement décalé sur l’exercice suivant, sans étalement.

Par ailleurs, les normes et interprétations publiées par l’IASB mais non encore adoptées par l’Union européenne n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2014.

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation ANC n°2013-04 du 07 novembre 2013.

 

1.3. Principes et méthodes comptables :

Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux ;

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

— les modifications de la réglementation ou de la législation.

Cette liste n’est pas exhaustive.

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

— les instruments financiers évalués à la juste valeur ;

— les participations non consolidées ;

— les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ;

— les plans de stock-options ;

— les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et d’actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance;

— les dépréciations des créances ;

— les provisions ;

— les dépréciations des écarts d’acquisition ;

— les actifs d’impôts différés ;

— la valorisation des entreprises mises en équivalence ;

— la participation aux bénéfices différés

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

 

Instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne.

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

Titres à l’actif

— Classification des titres à l’actif

Les titres sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définies par la norme IAS 39 :

– actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

– actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

– prêts et créances ;

– actifs financiers disponibles à la vente.

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option : Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend les titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

 

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et d’évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

– EMTN Confluent

– EMTN CALYON CMS TEC

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus.

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature et sont évalués en mark-to-market.

 

Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance : La catégorie « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » (applicable aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

– ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

– ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des actifs détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39.

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti avec amortissement de la surcote / décote et des frais de transaction selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Prêts et créances : La catégorie Prêts et créances enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres du portefeuille Prêts et créances sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement au coût amorti avec amortissement de la surcote / décote et des frais de transaction selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie Actifs financiers disponibles à la vente est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les titres classés en Actifs financiers disponibles à la vente sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Les titres classés en Actifs financiers disponibles à la vente sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat.

L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes et des frais de transaction des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ».

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie : L’ensemble des Caisses régionales de Crédit Agricole détient la totalité du capital de SAS Rue La Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50 % des droits de vote et du capital de Crédit Agricole S.A.

La fixation de paramètres permettant de refléter l’ensemble des droits et obligations attachés à la détention des titres SAS Rue La Boétie est complexe et ne permet pas de déterminer une juste valeur fiable au sens de la norme IAS 39. Cela concerne des éléments tels que :

– La stabilité capitalistique du Groupe qui permet d’assurer le contrôle collectif et permanent des Caisses régionales sur Crédit Agricole S.A.,

– La couverture des risques de liquidité et de solvabilité des Caisses régionales,

– Les relations économiques et financières internes au Groupe Crédit Agricole,

– La mise en commun de moyens et,

– La valorisation, le développement et l’utilisation de la marque Crédit Agricole,

En conséquence, et en application de l’exception prévue par la norme IAS 39, les titres SAS Rue La Boétie sont valorisés à leur coût dans les comptes des Caisses régionales. Les titres font l’objet d’un test de dépréciation annuel et, le cas échéant, en cas d’indice de pertes de valeur (cf partie principes et méthodes comptables – dépréciation des titres).

 

Dépréciation des titres : Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

 

Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dettes.

 

Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30 % au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs.La Caisse Régionale Sud Méditerranée prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme etc.

 

Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de valeur supérieure à 50 % ou observée pendant plus de 3 ans.

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie :Les titres SAS Rue la Boétie, valorisés au coût, font systématiquement l’objet d’un test de dépréciation annuel et en cas d’indices de pertes de valeurs.

 

A titres d’exemples, les situations suivantes pourraient être considérées comme des indications objectives de dépréciation (à apprécier en fonction de leur significativité) :

– Annonce d’un plan de restructuration ou de cession sur le périmètre Groupe Crédit Agricole S.A.,

– Baisse du cours de l’action Crédit Agricole S.A.,

– Diminution de l’actif net consolidé de Crédit Agricole S.A.,

– Constatation d’un résultat net déficitaire,

– Dégradation de la notation de Crédit Agricole S.A. ...

Une dépréciation sera enregistrée en résultat dès lors que la valeur comptable du titre sera supérieure à une valeur de référence déterminée sur une approche multicritère fondée sur des paramètres de marché visant à établir une valeur des flux de trésorerie futures attendus actualisés au taux qui serait retenu par le marché pour un actif similaire conformément au paragraphe 66 d’IAS 39. Cette approche combine une valorisation des flux futurs attendus des différentes activités du Groupe actualisés à un taux de marché, une valorisation de l’actif net du Groupe, une valorisation des activités du Groupe par référence à des prix de transactions observés récemment sur des activités similaires, une valorisation fondée sur le cours de bourse de Crédit Agricole S.A. complété d’une prime de contrôle et, le cas échéant une valorisation par référence aux transactions internes.

 

Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances.

 

La constatation de cette dépréciation se fait :

— pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure,

— pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

– Date d’enregistrement des titres

 

Crédit Agricole S.A. enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans les catégories Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance et Prêts et créances. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

— Reclassements d’actifs financiers : Conformément à IAS 39, il est autorisé d’opérer des reclassements de la catégorie Actifs financiers à la vente vers la catégorie Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance en cas de changement d’intention de gestion et si les critères de reclassement en HTM sont respectés.

Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est également autorisé d’opérer les reclassements suivants :

– des catégories Actifs financiers détenus à des fins de transaction et Actifs financiers disponibles à la vente vers la catégorie Prêts et créances, si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

– dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie Actifs financiers détenus à des fins de transaction vers les catégories Actifs financiers disponibles à la vente ou Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance, si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes.

La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l’actif financier reclassé.

Les informations sur les reclassements réalisés par la Caisse Régionale Sud Méditerranée en application de la norme IAS 39 sont données dans la note 9 « Reclassements d’instruments financiers ».

 

— Acquisition et cession temporaire de titres : Au sens de l’IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent pas les conditions de décomptabilisation d’IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis.

 

Les titres prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan par le cédant.

 

Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire.

Une créance est enregistrée en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif évalué à la juste valeur qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension.

 

Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat.

 

Activité de crédits : Les crédits sont affectés principalement à la catégorie Prêts et créances. Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature et sont évalués en mark-to-market.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Dépréciations de créances. — Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en Prêts et créances sont dépréciées lorsqu’elles présentent une indication objective de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances, tel que :

– des difficultés financières importantes du débiteur ;

– une rupture de contrat telle qu’un défaut de paiement des intérêts ou du capital ;

– l’octroi par le prêteur à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une facilité que le prêteur n’aurait pas envisagée dans d’autres circonstances (restructuration de prêts) ;

– une probabilité croissante de faillite ou autre restructuration financière de l’emprunteur.

Les dépréciations peuvent être réalisées sur base individuelle, sur base collective, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Dépréciations sur base individuelle. — Le risque de perte avéré est tout d’abord examiné sur les créances prises individuellement. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations individuelles portant sur des créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant une indication objective de dépréciation. Le montant des dépréciations correspond à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine.

 

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

Dépréciations sur base collective. — Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives. Elles sont déterminées par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires.

 

Dépréciations calculées à partir de modèles Bâlois

Dans le cadre de la règlementation Bâloise, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

 

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues calculé selon les modèles Bâlois, d’un coefficient de passage à maturité, destiné à prendre en compte la nécessité de constituer des dépréciations sur les pertes attendues jusqu’au terme du contrat

 

Autres dépréciations sur base collective. — Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché Espagnol.

 

Restructurations de créances. — Les créances restructurées pour difficultés financières sont des créances pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances. Ainsi elles concernent les créances classées en défaut et, depuis le 1er janvier 2014, les créances saines, au moment de la restructuration.

Sont exclues les créances réaménagées pour des raisons commerciales, dans le but de développer ou conserver une relation commerciale, et non du fait de difficultés financières de la contrepartie.

La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, qui peut notamment provenir du report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l’enregistrement d’une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine.

Elle est égale à l’écart constaté entre :

– la valeur comptable du prêt ;

– et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

La perte constatée lors d’une restructuration de créance est comptabilisée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d’intérêt.

Les crédits restructurés font l’objet d’un suivi en fonction de la notation conforme aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement au plus tard au bout de 30 jours d’impayés.

Les crédits restructurés restent classés dans cette catégorie pendant une période de deux ans (trois ans s’ils étaient en défaut au moment de la restructuration).

 

Encours en souffrance. — Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance).

 

Intérêts pris en charge par l’État (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'État. En conséquence, ces entités perçoivent de l’État une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'État.

Les bonifications perçues de l’État sont enregistrées sous la rubrique Intérêts et produits assimilés et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

– les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ;

– les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ;

– les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe.

 

Titres au passif :

 

Distinction dettes – capitaux propres. — La distinction instrument de dette / capitaux propres est fondée sur une analyse de la substance des termes contractuels.

Un instrument de dettes constitue une obligation contractuelle :

– de remettre des liquidités ou un autre actif ou ;

– d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

Un instrument de capitaux propres est un contrat qui offre une rémunération discrétionnaire mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de tous ses passifs financiers (actif net) et qui n’est pas qualifié d’instrument de dette.

 

Produits de la collecte. — Les produits de collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des « Dettes envers la clientèle» malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.16 Provisions.

 

Instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

 

La comptabilité de couverture. — La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

 

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associés à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

– éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

–documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

– démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole S.A. privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite « carve out »).

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

– couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

– couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ;

– couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement.

– couverture de juste valeur: seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres disponibles à la vente, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

– couverture de flux de trésorerie: l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

– couverture d'investissement net à l'étranger: Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation.

 

Dérivés incorporés. — Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies :

– le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

– séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

– les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13.

IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation.

La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permettent et font l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C’est notamment le cas du calcul de CVA/DVA.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

 

Risque de contrepartie sur les dérivés. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre).

Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie.

Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables. Elle repose prioritairement sur des paramètres de marché tels que les CDS nominatifs cotés (ou CDS Single Name) ou les CDS indiciels en l’absence de CDS nominatif sur la contrepartie. Dans certaines circonstances, les paramètres historiques de défaut peuvent être utilisés.

 

Hiérarchie de la juste valeur. — La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation

Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs.

Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et passifs identiques auxquels l’entité peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures.

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs.

Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1.

Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché.

Sont présentés en niveau 2 :

– les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes) et fondée sur des données de marché observables ;

– les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

Niveau 3: justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité.

La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3.

Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché.

Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

Absence de technique de valorisation reconnue pour déterminer la juste valeur d’un instrument de capitaux propres.

Conformément aux principes d’IAS 39, si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » car sa juste valeur ne peut pas être déterminée de manière fiable. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS 7 en vigueur. Pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée cela concerne le titre SAS Rue la Boétie, titre de participation de société non cotée sur un marché actif dont la détermination d’une juste valeur fiable est difficile.

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers

— Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation.

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d'investissements nets en devises.

 

— Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

– les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

– les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

– les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

 

Compensation des actifs et passifs financiers : Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire à tout moment de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

Les instruments dérivés et les opérations de pension traités avec des chambres de compensation dont les principes de fonctionnement répondent aux deux critères requis par la norme IAS 32 font l’objet d’une compensation au bilan.

Cet effet de compensation est présenté dans le tableau 6.11 relatif à l’amendement d’IFRS 7 sur les informations à fournir au titre des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers.

 

Garanties financières données : Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre :

– celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels » ; ou

– le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

Décomptabilisation des instruments financiers : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

– lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration,

– ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et, lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée.

 

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif.

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie :

– lorsqu’il arrive à extinction, ou

– lorsque les analyses quantitative et qualitative concluent qu’il a été substantiellement modifié en cas de restructuration.

 

Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse Régionale Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

– les risques opérationnels ;

– les avantages au personnel ;

–les risques d’exécution des engagements par signature ;

– les litiges et garanties de passif ;

– les risques fiscaux ;

– les risques liés à l’épargne logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

– le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ;

– l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ;

– la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations :

– la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ;

–les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

Des informations détaillées sont fournies en note 6.16 Provisions.

 

Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participation et primes, sont ceux dont on s’attend à ce qu’ils soient réglés dans les douze mois suivant l’exercice au cours duquel les services ont été rendus,

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ;

— les indemnités de fin de contrat de travail ;

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

— Avantages à long terme : Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus.

Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différés versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel ils ont été acquis, mais qui ne sont pas indexés sur des actions.

La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies.

 

— Avantages postérieurs à l’emploi :

Régimes à prestations définies : La Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

 

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

 

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4 Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies).

 

Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over.

 

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

 

Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies.

 

Le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

 

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale de Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM.

 

— Régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

 

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

 

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

 

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

 

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

 

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

 

Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

– la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ;

– la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

 

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

 

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

 

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

 

En France, les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins latentes est-elle reclassée en déduction de celles-ci.

 

En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

 

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

– soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ;

– soit par un regroupement d'entreprises.

 

Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si :

– l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et

– les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

a) soit sur la même entité imposable,

b)soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés.

 

Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Cependant, en raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôts pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse Régionale Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du CGI) en déduction des charges de personnel.

 

Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

 

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

 

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

 

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

 

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

 

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

 

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

 

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole S.A. suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

 

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

 

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

— les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

 

Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments :

— les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

— les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

 

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

— les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ;

— lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique Commissions et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

a) les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

 

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes sont respectées :

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable,

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise,

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable ;

 

b) les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

 

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

 

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ;

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ;

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

a) l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et des intérêts courus à la clôture de l’exercice,

b) la valeur nette comptable des immobilisations louées,

c) la provision pour impôts différés.

 

Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci.

En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

 

S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif.

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28)

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IFRS 10, IFRS 11 et IAS 28, la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, de contrôle conjoint ou d’une influence notable. Celui-ci est présumé lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20 % des droits de vote existants et potentiels.

 

— Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

 

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

 

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier.

 

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

 

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

 

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

 

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

 

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

 

— Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités contrôlées, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

 

Le contrôle existe sur une entité lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée est exposée ou a droit aux rendements variables résultant de son implication dans l’entité et si le pouvoir qu’elle détient sur cette dernière lui permet d’influer sur ces rendements. Pour apprécier la notion de pouvoir, seuls les droits (de vote ou contractuels) substantifs sont examinés. Les droits sont substantifs lorsque leur détenteur a la capacité, en pratique, de les exercer, lors de la prise de décision concernant les activités pertinentes de l’entité.

 

Le contrôle d’une filiale régie par les droits de vote est établi lorsque les droits de vote détenus confèrent à la Caisse Régionale Sud Méditerranée la capacité actuelle de diriger les activités pertinentes de la filiale. la Caisse Régionale Sud Méditerranée contrôle généralement la filiale lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf s’il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas de diriger les activités pertinentes. Le contrôle existe également lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose en pratique de la capacité de diriger seule les activités pertinentes en raison notamment de l’existence d’accords contractuels, de l’importance relative des droits de vote détenus au regard de la dispersion des droits de vote détenus par les autres investisseurs ou d’autres faits et circonstances.

 

Le contrôle d’une entité structurée ne s’apprécie pas sur la base du pourcentage des droits de vote qui n’ont, par nature, pas d’incidence sur les rendements de l’entité. L’analyse du contrôle tient compte des accords contractuels, mais également de l’implication et des décisions de la Caisse Régionale Sud Méditerranée lors de la création de l’entité, des accords conclus à la création et des risques encourus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée, des droits résultants d’accords qui confèrent à l’investisseur le pouvoir de diriger les activités pertinentes uniquement lorsque des circonstances particulières se produisent ainsi que des autres faits ou circonstances qui indiquent que l’investisseur a la possibilité de diriger les activités pertinentes de l’entité. Lorsqu’il existe un mandat de gestion, il convient de déterminer si le gérant agit en tant qu’agent (pouvoir délégué) ou principal (pour son propre compte). Ainsi au moment où les décisions relatives aux activités pertinentes de l’entité doivent être prises, les indicateurs à analyser pour définir si une entité agit en tant qu'agent ou en tant que principal sont l'étendue du pouvoir décisionnel relatif à la délégation de pouvoir au gérant sur l'entité, les rémunérations auxquels donnent droit les accords contractuels mais aussi les droits substantifs pouvant affectés la capacité du décideur détenus par les autres parties impliquées dans l'entité et, l'exposition à la variabilité des rendements tirés d'autres intérêts détenus dans l'entité.

 

Le contrôle conjoint s’exerce lorsqu’il existe un partage contractuel du contrôle sur une activité économique. Les décisions affectant les activités pertinentes de l’entité requièrent l’unanimité des parties partageant le contrôle.

 

Dans les entités traditionnelles, l’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. la Caisse Régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité.

 

— Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28 § 18, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IFRS 10 et IAS 28 révisée. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

— l’intégration globale, pour les entités contrôlées, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée;

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable et sous contrôle conjoint.

 

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

 

Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IFRS 10 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe.

 

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote-part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

 

La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte de l’évolution de l’écart d’acquisition.

 

Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable la Caisse Régionale Sud Méditerranée constate :

— en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un « écart d’acquisition » complémentaire,

— en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession / dilution en résultat.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé pour les entités intégrées globalement.

Les plus ou moins -values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

2. – Principales opérations de structure et événements significatifs de la période

 

Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2014 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 10 «Périmètre de consolidation au 31 décembre 2014 ».

 

Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA (Switch). — Par avenant signé le 19 décembre 2013, la Caisse régionale Sud Méditerranée ainsi que les autres Caisses régionales et Crédit Agricole SA ont décidé d’étendre l’assiette des garanties déjà accordées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. le 23 décembre 2011 à la participation de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA).

 

Les nouvelles garanties ont pris effet le 2 janvier 2014 et permettent désormais un transfert des exigences prudentielles s’appliquant à la fois aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA). Le montant garanti par la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 201 340 milliers au titre des CCI/CCA et à 126 009 milliers d’euros au titre de Crédit Agricole Assurances (CAA).

 

En parallèle, le 2 janvier 2014, Crédit Agricole S.A. a remboursé l’intégralité du solde de l’avance d’actionnaires consentie par les Caisses régionales et des titres de capital hybride dits “T3CJ” souscrits par elles, soit un total de 19 552 milliers d’euros (12 654 K€ d’avance actionnaire et 6 897 K€ de « T3CJ ») pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée

 

À compter du 2 janvier 2014, les garanties transfèrent ainsi aux Caisses régionales le risque de baisse de la valeur de mise en équivalence (VME) des participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels.

 

La garantie de la Caisse Régionale Sud Méditerranée couvre un montant fixe de valeur de mise en équivalence de 327 349 milliers d’euros.

 

Cette garantie est assortie d’un dépôt de garantie de 110 539 milliers qui permet de reconstituer sur le long terme la liquidité remboursée au titre des T3CJ et de l’avance d’actionnaires et de fournir un surcroît de ressources longues.

 

Les dépôts de garantie versés par l’ensemble des Caisses régionales sont calibrés pour matérialiser l’économie globale de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A.

 

En cas de baisse de la valeur de mise en équivalence globale, la Caisse Régionale Sud Méditerranée supporte une quote-part de la perte de valeur à hauteur de son engagement maximum de 327 349 milliers d’euros avec une clause de retour à meilleure fortune.

 

Si la garantie est activée, l’indemnisation correspondante est prélevée par Crédit Agricole S.A. sur le dépôt de garantie qui est alors reconstitué par la Caisse Régionale Sud Méditerranée à hauteur d’une quote-part contractuelle de la nouvelle exigence prudentielle globale.

 

L’échéance des garanties globales reste identique (1er mars 2027), mais certaines facultés de résiliation anticipées totales ou partielles, notamment à la main du bénéficiaire, ont été introduites.

Le mécanisme général du dispositif est similaire au premier volet de l’opération, mais la substance du contrat s’analyse désormais comme un contrat d’assurance du fait de l’existence d’un risque global d’assurance au sens de la norme IFRS 4.

 

La norme IFRS 4 permet à l’émetteur d’un contrat d’assurance, de recourir aux principes comptables déjà appliqués pour des garanties données similaires, sous réserve d’effectuer un test de suffisance du passif selon les modalités visées par le paragraphe 14(b) de la norme.

 

Par conséquent, le traitement comptable de la garantie globale est assimilable à celui d’une garantie donnée à première demande et sa rémunération est comptabilisée en Produit net bancaire. Dans le cas où il existerait des perspectives de perte nette à l'échéance, après prise en compte d’hypothèses raisonnables de retour à meilleur fortune, une provision serait à doter, en Coût du risque, conformément aux exigences du test de suffisance du passif. En cas d’appel de la garantie globale, ou le cas échéant lors d’un retour à meilleure fortune ultérieur, la charge d’indemnisation ou le produit de remboursement seront respectivement reconnus en Coût du risque.

 

3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture

 

La gestion des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est assurée par la direction des Finances qui est rattachée au Directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise des risques de crédit, de marchés et opérationnels.

 

La description de ce dispositif ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « Facteurs de risques », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilations comptables continuent néanmoins de figurer dans les états financiers.

 

3.1. Risque de crédit (cf. Rapport de gestion page 16). — Le risque de crédit se matérialise lorsqu’une contrepartie est dans l’incapacité de faire face à ses obligations et que celles-ci présentent une valeur d’inventaire positive dans les livres de la banque. Cette contrepartie peut être une banque, une entreprise industrielle et commerciale, un État et les diverses entités qu’il contrôle, un fonds d’investissement ou une personne physique.

L’engagement peut être constitué de prêts, titres de créances ou de propriété ou contrats d’échange de performance, garanties de bonne fin ou engagements confirmés non utilisés. Ce risque englobe également le risque de règlement livraison inhérent à toute transaction nécessitant un échange de flux (espèce ou matière) en dehors d’un système sécurisé de règlement.

 

— Exposition maximale au risque de crédit : L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Actifs financiers à la juste valeur par le résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte)

7 259

6 133

Instruments dérivés de couverture

126 584

96 420

Actifs disponible à la vente (hors titres à revenu variable )

19 467

4 286

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

49 039

3 986

Prêts et créances sur la clientèle

4 350 707

4 364 781

Actif financiers détenus jusqu'à l'échéance

195 389

118 747

Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations)

4 748 445

4 594 353

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

383 246

439 591

Engagements de garantie financière donnés (hors opérations internes)

81 922

90 795

Provisions - Engagements par signature

-1 171

-1 265

Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

463 997

529 121

Exposition maximale au risque de crédit

5 212 442

5 123 474

 

Le montant des garanties et autres rehaussements de crédits reçus s'élèvent à :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

 

 

Prêts et créances sur la clientèle

41 514

130 586

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

 

 

Engagements de garantie donnés (hors opérations internes)

 

 

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques.

 

Concentrations par agent économique de l’activité de crédit

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administration générale

660 596

7 895

6 085

 

654 511

Banques centrales

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

1 917

 

 

 

1 917

Grandes entreprises

561 452

64 199

40 544

12 406

508 502

Clientèle de détail

3 354 078

247 227

142 505

38 359

3 173 214

Total (1) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 578 043

319 321

189 134

65

4 338 144

(1)Dont encours clientèle restructurés selon la nouvelle définition (cf. paragraphe sur les créances restructurées de la note 1.3 Principes et méthodes comptables) pour 31 388 milliers d'euros.

(Données non auditées par les Commissaires aux comptes)

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administration générale (2)

694 607

6 672

6 546

 

688 061

Banques centrales

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

3 856

 

 

 

3 856

Grandes entreprises

509 671

48 356

33 474

11 591

464 606

Clientèle de détail

3 374 894

250 098

134 010

41 134

3 199 750

Total (1) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 583 028

305 126

174 030

52 725

4 356 273

(1) Dont encours clientèle sains restructurés pour 23 542 milliers d'euros (cf. paragraphe sur les créances restructurées de la note 1.3 Principes et méthodes comptables en 2013)

(2) Cette ligne reprend les montants présentés sur les lignes intitulées "Institutions non établissements de crédit" et "Administrations centrales" dans les annexes publiées au 31 décembre 2013

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Engagements de financement en faveur de la clientèle

 

 

Administration générale (1)

66 374

136 776

Grandes entreprises

76 120

70 822

Clientèle de détail

240 752

231 993

Total Engagements de financement

383 246

439 591

Engagements de garantie en faveur de la clientèle

 

 

Administration générale (1)

3 930

3 460

Grandes entreprises

58 153

64 237

Clientèle de détail

22 222

24 275

Total Engagements de garantie

84 305

91 972

(1) Cette ligne reprend les montants présentés sur les lignes intitulées "Institutions non établissements de crédit" et "Administrations centrales" dans les annexes publiées au 31 décembre 2013

 

Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Administration générale (1)

32 917

25 420

Grandes entreprises

547 006

550 689

Clientèle de détail

1 052 192

1 028 088

Total Dettes envers la clientèle

1 632 115

1 604 197

(1) Cette ligne reprend les montants présentés sur les lignes intitulées "Institutions non établissements de crédit" et "Administrations centrales" dans les annexes publiées au 31 décembre 2013

 

Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole)

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 181 254

206 077

131 156

50 142

3 999 956

Autres pays de l'ue

390 439

112 737

57 471

527

332 441

Autres pays d'Europe

2 654

502

502

91

2 061

Amérique du Nord

2 620

1

1

 

2 619

Amériques Centrale et du Sud

143

 

 

5

138

Afrique et Moyen Orient

931

2

2

 

929

Asie et Océanie (hors Japon)

2

2

2

 

0

Japon

 

 

 

 

0

Organismes supranationaux

 

 

 

 

0

Total (1) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 578 043

319 321

189 134

50 765

4 338 144

(1)Dont encours clientèle restructurés selon la nouvelle définition (cf. Paragraphe sur les créances structurées de la note 1.3 Principes et méthodes comptables) pour 31 388 milliers d'euros.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 155 637

187 098

121 256

52 725

3 981 656

Autres pays de l'UE

421 030

118 023

52 769

 

368 261

Autres pays d'Europe

2 495

1

1

 

2 494

Amérique du Nord

2 489

1

1

 

2 488

Amériques Centrale et du Sud

198

 

 

 

198

Afrique et Moyen Orient

1 179

3

3

 

1 176

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

0

Japon

 

 

 

 

0

Organismes supranationaux

 

 

 

 

0

Total (1) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 583 028

305 126

174 030

52 725

4 356 273

(1) Dont encours clientèle sains restructurés pour 23 542 milliers d'euros (cf. paragraphe sur les créances restructurées de la note 1.3 Principes et méthodes comptables 2013).

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Engagements de financement en faveur de la clientèle

 

 

France (y compris DOM-TOM)

382 393

438 655

Autres pays de l'UE

693

766

Autres pays d'Europe

84

90

Amérique du Nord

27

28

Amériques Centrale et du Sud

3

4

Afrique et Moyen Orient

36

40

Asie et Océanie (hors Japon)

10

7

Japon

 

1

Total Engagements de financement

383 246

439 591

Engagements de garantie en faveur de la clientèle

 

 

France (y compris DOM-TOM)

83 521

91 188

Autres pays de l'UE

784

784

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amériques Centrale et du Sud

 

 

Afrique et Moyen Orient

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Total Engagements de garantie

84 305

91 972

 

Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

France (y compris DOM-TOM)

1 567 460

1 537 067

Autres pays de l'UE

58 120

61 131

Autres pays d'Europe

3 077

2 622

Amérique du Nord

1 743

1 628

Amériques Centrale et du Sud

512

290

Afrique et Moyen Orient

974

1 092

Asie et Océanie (hors Japon)

228

364

Japon

1

3

Organismes Supra-Nationaux

 

 

Total Dettes envers la clientèle

1 632 115

1 604 197

 

Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

 

Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2014

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

238 614

12 980

Instruments de dette

0

0

0

0

0

194

2 569

Administration générale (1)

 

 

 

 

0

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

0

194

2 569

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

Prêts et avances

86 349

8 123

393

0

94 865

130 187

239 899

Administration générale (1)

1 609

4

 

 

1 613

1 810

6 085

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Grandes entreprises

13 434

1 100

 

 

14 534

23 655

52 950

Clientèle de détail

71 306

7 019

393

 

78 718

104 722

180 864

Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

86 349

8 123

393

0

94 865

368 995

255 448

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2013

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

231 638

12 432

Instruments de dette

0

0

0

0

0

230

2 875

Administration générale (1)

 

 

 

 

0

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

0

230

2 875

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

Prêts et avances

100 121

7 843

0

0

107 964

131 096

226 755

Administration générale (1)

1 576

1

 

 

1 577

126

6 546

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Grandes entreprises

11 576

972

 

 

12 548

14 882

45 065

Clientèle de détail

86 969

6 870

 

 

93 839

116 088

175 144

Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

100 121

7 843

0

0

107 964

362 964

242 062

 

3.2. Risque de marché (cf. Rapport de gestion page 19). — Le risque de marché représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marché notamment :

— les taux d’intérêts : le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financier du fait de l’évolution des taux d’intérêt ;

— les taux de change : le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise ;

— les prix : le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions. Sont notamment soumis à ce risque les titres à revenu variable, les dérivés actions et les instruments dérivés sur matières premières.

 

Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle. — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle.

 

— Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

1 242

13 224

112 118

126 584

96 420

– Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

– Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

– Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

1 242

13 224

112 118

126 584

96 420

– Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

– Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

– Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

–Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

– Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

– Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

– Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

1 242

13 224

112 118

126 584

96 420

– Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif

0

0

0

1 242

13 224

112 118

126 584

96 420

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

6 128

26 562

111 769

144 459

69 495

– Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

– Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

– Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

6 128

26 562

111 769

144 459

69 495

– Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

– Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

– Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

– Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

– Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

– Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

–Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

6 128

26 562

111 769

144 459

69 495

– Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif

0

0

0

6 128

26 562

111 769

144 459

69 495

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

 

 

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

0

595

595

76

– Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

– Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

– Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

 

595

595

76

– Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

– Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

– Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

– Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

– Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

6

6

0

– Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

– Autres

 

 

 

 

 

6

6

 

Sous total

0

0

0

0

0

601

601

76

– Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif

0

0

0

0

0

601

601

76

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

19

595

614

150

– Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

– Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

– Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

19

595

614

150

– Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

– Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

– Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

– Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

144

144

0

– Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

– Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

– Autres

 

 

 

 

 

144

144

 

Sous total

0

0

0

0

19

739

758

150

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif

0

0

0

0

19

739

758

150

 

Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

2 179 333

1 921 323

Futures

 

 

Fra

 

 

Swaps de taux d'intérêts

2 179 333

1 921 323

Options de taux

 

 

Caps-floors-collars

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

Opérations fermes de change

 

 

Options de change

 

 

Autres instruments :

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

Dérivés de crédits

 

 

Autres

 

 

Sous total

2 179 333

1 921 323

Opérations de change à terme

6 725

7 309

Total notionnels

2 186 058

1 928 632

 

3.3. Risque de change (cf. Rapport de gestion page 23) :

 

— Contribution des différentes devises au bilan consolidé :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

5 520 584

5 520 584

5 303 674

5 303 674

Autres devises de l'UE

66

66

58

58

USD

1 050

1 050

1 233

1 233

JPY

 

 

 

 

Autres devises

261

261

203

203

Total bilan

5 521 961

5 521 961

5 305 168

5 305 168

 

Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

 

15 394

 

 

15 370

 

Autres devises de l'UE

 

 

 

 

 

 

USD

 

 

 

 

 

 

JPY

 

 

 

 

 

 

Autres devises

 

 

 

 

 

 

Total (1)

0

15 394

0

0

15 370

0

(1)Total en principal, hors dettes rattachées non ventilables

 

3.4. Risque de liquidité et de financement (cf. Rapport de gestion page 23). — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun ou de renouveler ses emprunts à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement.

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

79 495

5 162

8 126

136 957

13 500

243 240

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

345 665

381 768

1 353 826

2 493 852

1 015

4 576 126

Total

425 160

386 930

1 361 952

2 630 809

14 515

4 819 366

Dépréciations

 

 

 

 

 

-239 899

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

 

 

 

 

4 579 467

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

52 823

9 880

12 085

96 280

13 500

184 568

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

510 318

447 003

1 287 634

2 333 202

1 015

4 579 172

Total

563 141

456 883

1 299 719

2 429 482

14 515

4 763 740

Dépréciations

 

 

 

 

 

-226 755

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

 

 

 

 

4 536 985

 

Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle

 

(En milliers d’euros

31/12/2014

≤ 3 mois

>3 mois à ≤ 1 an

>1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations   internes au Crédit Agricole)

413 677

900 061

693 237

667 491

0

2 674 466

Dettes envers la clientèle

1 093 627

133 463

140 800

264 225

 

1 632 115

                Total Dettes   envers les établissements de crédit et la clientèle

1 507 304

1 033 524

834 037

931 716

0

4 306 581

 

(En milliers d’euros

31/12/2013

≤ 3 mois

>3 mois à ≤ 1 an

>1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations   internes au Crédit Agricole)

311 999

870 986

743 848

703 281

 

2 630 114

Dettes envers la clientèle

1 103 000

153 854

65 283

282 060

 

1 604 197

Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle

1 414 999

1 024 840

809 131

985 341

0

4 234 311

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

2 039

25

 

 

 

2 064

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

296

 

 

161 185

 

161 481

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

0

Total Dettes représentées par un titre

2 335

25

0

161 185

0

163 545

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

481

 

14 913

 

 

15 394

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

0

Total Dettes subordonnées

481

0

14 913

0

0

15 394

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

52

2 300

 

 

 

2 352

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

279

 

 

152 713

 

152 992

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

0

Total Dettes représentées par un titre

331

2 300

0

152 713

0

155 344

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

481

 

 

14 889

 

15 370

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

0

Total Dettes subordonnées

481

0

0

14 889

0

15 370

 

3.5. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change (cf. Rapport de gestion page 26). — Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi

— de couverture de valeur,

— de couverture de résultats futurs,

— de couverture d’un investissement net en devise.

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité.

 

Couverture de juste valeur : Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables.

Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

 

Couverture de flux de trésorerie : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

 

Couverture d’un investissement net en devise : Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devise étrangères.

 

Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Valeur marché

Montant

Valeur marché

Montant

positive

négative

Notionnel

positive

négative

Notionnel

Couverture de juste valeur

126 584

142 495

2 140 966

96 418

67 388

1 883 824

Taux d'intérêt

126 584

142 495

2 140 966

96 418

67 388

1 883 824

Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

0

1 964

25 000

2

2 107

26 528

Taux d'intérêt

 

1 964

25 000

2

2 107

26 528

Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

 

 

 

Total Instruments dérivés de couverture

126 584

144 459

2 165 966

96 420

69 495

1 910 352

 

3.6. Risques opérationnels (cf. Rapport de gestion page 27). — Le risque opérationnel correspond à la possibilité de subir une perte découlant d’un processus interne défaillant ou d’un système inadéquat, d’une erreur humaine ou d’un événement externe qui n’est pas lié à un risque de crédit, de marché ou de liquidité.

3.7. Gestion du capital et ratios réglementaires. — L’amendement de la norme IAS 1 adopté par l’Union européenne le 11 janvier 2006 prévoit des informations sur le capital et sa gestion. L’objectif de l’amendement est de fournir au lecteur des informations sur les objectifs, politiques et procédures de gestion du capital de l’émetteur. A ce sujet, des informations de nature qualitative et quantitative sont requises en annexe et notamment : données chiffrées récapitulatives sur les éléments gérés en tant que capital, description des éventuelles contraintes externes auxquelles l’entreprise est soumise au titre de son capital (par exemple du fait d’obligations réglementaires), indication ou non du respect des contraintes réglementaires et en cas de défaut de respect, une indication des conséquences qui en découlent.

 

Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et «conglomérats financiers », la Caisse Régionale Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

 

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens de la Directive européenne 2013/36 et du règlement européen 575/2013 depuis le 1er janvier 2014 et exigés par les autorités compétentes, la Banque centrale européenne et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

 

Le dispositif prudentiel a été renforcé par la réforme Bâle 3 qui consiste notamment à renforcer la qualité et la quantité des fonds propres réglementaires requis, à mieux appréhender les risques, à inclure des coussins de capital et des exigences supplémentaires au terme de la liquidité et du levier. Certaines dispositions s’appliquent de manière progressive jusqu’au 31 décembre 2017, de même pour l’exigence de coussins en capital.

 

Toutefois, le régulateur a maintenu les exigences de fonds propres au titre des niveaux plancher (l’exigence Bâle 3 ne pouvant être inférieure à 80 % de l’exigence Bâle 1).

Le niveau plancher a été supprimé cependant l’information relative aux exigences Bâle 1 reste obligatoire et est prévu jusqu’à la fin de la période transitoire.

 

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

— les fonds propres de base de catégorie 1 ou Common Equity Tier 1 (CET1), détermines à partir des capitaux propres du Groupe et retraités notamment de certains instruments de capital qui sont classés en AT1 et des immobilisations incorporelles ;

— les fonds propres de catégorie 1 ou Tier 1, constitué du Common Equity Tier 1 et des fonds propres additionnels de catégorie 1 ou Additional Tier 1 (AT1),

— les fonds propres globaux, qui sont constitués des fonds propres de catégorie 1 et des fonds propres de catégorie 2 composés d’instruments subordonnés ayant une maturité minimale à l’émission de 5 ans.

 

Pour être reconnus en Bâle 3, les instruments de fonds propres de catégorie 1 et de catégorie 2 doivent répondre à des critères d’inclusion plus exigeants. Si ces instruments ne sont pas éligibles Bâle 3, ils font l’objet d’une clause de « grand-père » qui s’étale sur 10 ans jusqu’à fin 2021 pour les éliminer des fonds propres de façon progressive.

 

Les déductions relatives aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent respectivement selon le type de l’instrument sur les montants du CET1, du Tier1 (AT1) et du Tier 2. Elles s’appliquent également aux détentions dans le secteur des assurances quand l’établissement n’est pas soumis à l’application de la « Directive conglomérat financier», sinon les valeurs de mise en équivalence des titres des entreprises d’assurances détenues dans le Groupe sont pondérées en risques.

 

Niveau des fonds propres prudentiels calculés conformément à la réglementation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Fonds propres de base de catégorie 1 (CET 1)

454 414

440 902

Fonds propres de catégorie 1 (Tier 1 = CET1 + AT1))

 

 

Fonds propres de catégorie 2 (Tier 2)

 

 

Total des fonds propres prudentiels

454 414

440 902

 

Avant toute exigence de coussin de capital, l’exigence minimale de CET1 est de 4 % en 2014, puis sera porté à 4,5 % les années suivantes. De même, l’exigence minimale de Tier 1 est de 5,5 % en 2014, puis sera porté à 6 % les années suivantes. Enfin, l’exigence minimale de fonds propres est de 8 %. (Données non auditées par les Commissaires aux comptes)

 

En 2014 comme en 2013 et selon la règlementation en vigueur, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a répondu aux exigences réglementaires.

 

4. – Notes relatives au résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

4.1. Produits et charges d’intérêts :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 137

1 455

Sur opérations internes au Crédit Agricole

14 551

11 419

Sur opérations avec la clientèle

151 470

161 560

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

8

 

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

4 178

2 770

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

24 660

24 894

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Produits d'intérêts (1) (2)

196 004

202 098

Sur opérations avec les établissements de crédit

-1 104

-1 337

Sur opérations internes au Crédit Agricole

-43 861

-47 218

Sur opérations avec la clientèle

-18 835

-19 964

Sur dettes représentées par un titre

-5 824

-6 611

Sur dettes subordonnées

-954

-954

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

-30 792

-25 367

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

-3

Charges d'intérêts

-101 370

-101 454

(1) dont 6 592 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2014 contre 7 946 K€ d'euros au 31 décembre 2013.

(2) dont 1 223 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'État au 31 décembre 2014 contre1 403 K€ d'euros au 31 décembre 2013.

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

122

-24

98

89

-20

69

Sur opérations internes au Crédit Agricole

9 087

-7 588

1 499

11 404

-6 209

5 195

Sur opérations avec la clientèle

19 536

-349

19 187

19 479

-313

19 166

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

9

 

9

6

 

6

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

81

 

81

45

 

45

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers

47 472

-5 432

42 040

48 026

-5 535

42 491

Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues

1 051

-40

1 011

1 275

-12

1 263

Produits nets des commissions

77 358

-13 433

63 925

80 324

-12 089

68 235

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

-140

-2

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par option

798

243

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

123

108

Résultat de la comptabilité de couverture

-1 431

-1 431

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

-650

-1 082

 

Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

87 871

-89 302

-1 431

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

63 299

-26 003

37 296

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

24 572

-63 299

-38 727

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

307 441

-307 441

0

Variations de juste valeur des éléments couverts

155 864

-151 577

4 287

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

151 577

-155 864

-4 287

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Total Résultat de la comptabilité de couverture

395 312

-396 743

-1 431

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

41 578

-43 009

-1 431

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

23 370

-19 639

3 731

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

18 208

-23 370

-5 162

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

306 419

-306 419

0

Variations de juste valeur des éléments couverts

153 182

-153 237

-55

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

153 237

-153 182

55

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Total Résultat de la comptabilité de couverture

347 997

-349 428

-1 431

 

4.4. Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Dividendes reçus

7 279

36

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente (1)

33

44

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres) (2)

-547

-518

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

6 765

-438

(1)Dont plus-value de cession sur titres Sacam Square habitat pour un montant de 33 milliers en 2014.

(2)Dont 498 milliers d'euros comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur le titre Sacam FIA-NET et 44 milliers d’euros sur le titre SCI Château de Castelnou au 31/12/2014.

 

4.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-706

-1 373

Autres produits (charges) nets

2 269

42

Produits (charges) des autres activités

1 563

-1 331

 

4.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Charges de personnel

56 285

57 370

Impôts et taxes

4 615

4 716

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation

31 201

33 279

Charges générales d'exploitation

92 101

95 365

 

Honoraires des commissaires aux comptes. — Le montant des charges générales d’exploitation intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2014 est donnée ci-dessous :

 

(En milliers d'euros hors taxe)

2014

2013

E & Y

KPMG

Total

Commissaires aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés

118

78

196

205

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du Commissariat aux comptes

 

 

0

 

Total Honoraires des commissaires aux comptes

118

78

196

205

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Dotations aux amortissements

6 895

7 122

Immobilisations corporelles

6 868

7 110

Immobilisations incorporelles

27

12

Dotations aux dépréciations

0

0

Immobilisations corporelles

 

 

Immobilisations incorporelles

 

 

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

6 895

7 122

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-64 973

-68 913

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

-56 939

-61 161

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

-24

-100

Autres actifs

-7 840

-7 050

Engagements par signature

 

-200

Risques et charges

-170

-402

Reprises de provisions et de dépréciations

40 030

41 013

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

38 258

39 408

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

331

932

Autres actifs

1 070

466

Engagements par signature

94

139

Risques et charges

277

68

Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-24 943

-27 900

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-214

-287

Récupérations sur prêts et créances amortis

424

303

Décotes sur crédits restructurés

-53

-98

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

-211

-170

Autres produits

 

 

Coût du risque

-24 997

-28 152

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

44

32

Plus-values de cession

51

32

Moins-values de cession

-7

 

Titres de capitaux propres consolidés

0

0

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

Produits (charges) nets sur opérations de regroupement

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

44

32

 

4.10. Impôts

 

Charge d’impôt :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Charge d'impôt courant

13 504

12 503

Charge d'impôt différé

503

-1 392

Charge d'impôt de la période

14 007

11 111

 

Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté

 

Au 31 décembre 2014

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

42 288

38%

16 069

Effet des différences permanentes

 

-12,75%

-5 393

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

1,85%

782

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

8,88%

3 756

Effet de l'imposition à taux réduit

 

0,41%

172

Effet des autres éléments

 

-3,26%

-1 380

Taux et charge effectifs d'impôt

 

33%

14 007

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle et la contribution exceptionnelle sur l’impôt sur les sociétés) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2014.

 

Au 31 décembre 2013

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

35 421

38%

13 460

Effet des différences permanentes

 

-14,62%

-5 180

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

1,98%

703

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

7,89%

2 795

Effet de l'imposition à taux réduit

 

0,54%

193

Effet des autres éléments

 

-2,43%

-860

Taux et charge effectifs d'impôt

 

31%

11 111

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle et la contribution exceptionnelle sur l’impôt sur les sociétés) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2013.

 

4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période,

 

Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

 

 

Gains et pertes sur écarts de conversion

0

0

Écart de réévaluation de la période

 

 

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

1 177

-2 167

Écart de réévaluation de la période

883

-2 123

Transfert en résultat

294

-44

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

134

280

Écart de réévaluation de la période

134

280

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

0

0

Écart de réévaluation de la période

 

 

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entités mises en équivalence

-144

-17

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

1 167

-1 904

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables ultérieurement en résultat

 

 

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

-1 846

-176

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entités mises en équivalence

636

61

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables en résultat

-1 210

-115

Total Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

-43

-2 019

Dont part Groupe

-43

-2 019

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et effets d’impôt

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013 retraité

Variation

31/12/2014

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

3 708

-217

3 491

3 491

1 177

-98

1 079

1 079

4 885

-315

4 570

4 570

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

-2 096

722

-1 374

-1 374

134

-46

88

88

-1 962

676

-1 286

-1 286

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence

1 612

505

2 117

2 117

1 311

-144

1 167

1 167

2 923

361

3 284

3 284

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

0

 

 

 

0

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

1 612

505

2 117

2 117

1 311

-144

1 167

1 167

2 923

361

3 284

3 284

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables ultérieurement en résultat

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

-1 452

515

-937

-937

-1 846

636

-1 210

-1 210

-3 298

1 151

-2 147

-2 147

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entités mises en équivalence

-1 452

515

-937

-937

-1 846

636

-1 210

-1 210

-3 298

1 151

-2 147

-2 147

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables en résultat

-1 452

515

-937

-937

-1 846

636

-1 210

-1 210

-3 298

1 151

-2 147

-2 147

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

160

1 020

1 180

1 180

-535

492

-43

-43

-375

1 512

1 137

1 137

5. – Informations sectorielles

 

Définition des secteurs opérationnels. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf note 3.1).

 

5.1. Information sectorielle par zone géographique

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Résultat net Part Groupe

dont PNB

Actifs sectoriels

Résultat net Part Groupe

dont PNB

Actifs sectoriels

France (y compris DOM-TOM)

37 033

161 487

 

32 064

160 006

 

Autres pays de l'Union Européenne

-8 752

4 750

 

-7 754

6 022

 

Autres pays d'Europe

 

 

 

 

 

 

Amérique du Nord

 

 

 

 

 

 

Amériques Centrale et du Sud

 

 

 

 

 

 

Afrique et Moyen Orient

 

 

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

Total

28 281

166 237

0

24 310

166 028

0

 

6. – Notes relatives au bilan

 

6.1. Caisse, banques centrales

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

27 638

 

23 087

 

Banques centrales

6 001

 

6 003

 

Valeur au bilan

33 639

0

29 090

0

 

6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

601

76

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

6 658

6 057

Valeur au bilan

7 259

6 133

Dont Titres prêtés

 

 

 

Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Instruments de capitaux propres

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres de dettes

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Prêts et avances

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Instruments dérivés

601

76

Valeur au bilan

601

76

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Instruments de capitaux propres

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres de dettes

6 658

6 057

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

6 658

6 057

Prêts et avances

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Valeur au bilan

6 658

6 057

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

758

150

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

Valeur au bilan

758

150

 

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Titres vendus à découvert

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

758

150

Valeur au bilan

758

150

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêt et de change.

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Valeur comptable

Gains latents

Pertes latentes

Valeur comptable

Gains latents

Pertes latentes

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

19 467

398

 

4 286

170

 

Actions et autres titres à revenu variable

1 349

 

 

1 349

 

 

Titres de participation non consolidés

261 362

4 704

-217

254 062

4 016

-479

Total des titres disponibles à la vente

282 178

5 102

-217

259 697

4 186

-479

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

Total des créances disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

282 178

5 102

-217

259 697

4 186

-479

Impôts

 

-315

 

 

-217

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs financiers disponibles à la vente (net d'impôts)

 

4 787

-217

 

3 969

-479

(1) «par exception, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués au coût pour un montant net de dépréciation de 230 045 milliers d’euros au 31 décembre 2014 et de 223 540 K€ au 31 décembre 2013.»

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Établissements de crédit

 

 

Titres de dettes

 

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Prêts et avances

1 917

3 856

Comptes et prêts

1 704

3 642

dont comptes ordinaires débiteurs sains

1 504

3 442

dont comptes et prêts au jour le jour sains

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

213

214

Autres prêts et créances

 

 

Autres prêts et créances

 

 

Valeur brute

1 917

3 856

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit

1 917

3 856

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

Titres de dettes

 

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Prêts et avances

241 323

180 712

Comptes ordinaires

59 206

27 683

Comptes et avances à terme

168 614

139 524

Prêts subordonnés

13 503

13 505

Valeur brute

241 323

180 712

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances internes au Crédit Agricole

241 323

180 712

Valeur au bilan

243 240

184 568

 

Prêts et créances sur la clientèle

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Opérations avec la clientèle

 

 

Titres de dettes

1 023

1 023

Titres non cotés sur un marché actif

1 023

1 023

Prêts et avances

4 575 103

4 578 149

Créances commerciales

10 335

11 255

Autres concours à la clientèle

4 522 527

4 501 705

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

 

6 897

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

Avances en comptes courants d'associés

6 617

19 343

Comptes ordinaires débiteurs

35 624

38 949

Valeur brute

4 576 126

4 579 172

Dépréciations

-239 899

-226 755

Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle

4 336 227

4 352 417

Opérations de location financement

 

 

Location-financement immobilier

 

 

Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

Valeur brute

0

0

Dépréciations

 

 

Valeur nette des opérations de location financement

0

0

Valeur au bilan

4 336 227

4 352 417

 

6.6. Dépréciations inscrites en déduction des actifs financiers

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2014

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

0

Créances sur la clientèle

226 755

 

62 371

49 227

239 899

Dont dépréciations collectives

52 725

 

7 543

9 503

50 765

Opérations de location financement

 

 

 

 

0

Titres détenus jusqu'à l'échéance

2 875

 

25

331

2 569

Actifs disponibles à la vente

12 432

 

548

 

12 980

Autres actifs financiers

30 723

 

7 839

5 620

32 942

Total Dépréciations des actifs financiers

272 785

0

70 783

55 178

288 390

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2013

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

0

Créances sur la clientèle

212 580

 

68 249

-54 074

226 755

Dont dépréciations collectives

48 247

 

8 169

-3 691

52 725

Opérations de location financement

 

 

 

 

0

Titres détenus jusqu'à l'échéance

3 880

 

99

-1 104

2 875

Actifs disponibles à la vente

11 915

 

517

 

12 432

Autres actifs financiers

26 032

 

7 050

-2 359

30 723

Total Dépréciations des actifs financiers

254 407

0

75 915

-57 537

272 785

 

6.7. Exposition au risque souverain

 

Expositions significatives au risque souverain. — Le périmètre des expositions souveraines recensées couvre les expositions à l’État, hors collectivités locales. Les créances fiscales sont exclues du recensement.

L’exposition aux dettes souveraines correspond à une exposition nette de dépréciation (valeur au bilan) présentée à la fois brute et nette de couverture.

 

Activité bancaire

 

31/12/2014

Expositions nettes Activité bancaire nettes de dépréciations

Total activité banque brut de couvertures

Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente (2)

Total Activité Banque Net de couverture

(En milliers d'euros)

Dont portefeuille bancaire

Actifs à la juste valeur par résultat

Actifs financiers disponibles à la vente

Prêts et créances (1)

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

Dont portefeuille de négociation ; (hors dérivés)

Allemagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Belgique

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

États Unis

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

109 457

 

109 457

 

109 457

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Total

0

0

0

109 457

0

109 457

0

109 457

(1) Hors créances d'impôts différés

(2) Pas de couverture sur les actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur le trading

 

31/12/2013

Expositions nettes Activité bancaire nettes de dépréciations

Total activité banque brut de couvertures

Couvertures Actifs financiers disponibles à la vente (2)

Total Activité Banque Net de couverture

(En milliers d'euros)

Dont portefeuille bancaire

Actifs à la juste valeur par résultat

Actifs financiers disponibles à la vente

Prêts et créances (1)

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

Dont portefeuille de négociation (hors dérivés)

Allemagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Belgique

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

États Unis

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

75 677

 

75 677

 

75 677

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Total

0

0

0

75 677

0

75 677

0

75 677

(1) Hors créances d'impôts différés

(2) Pas de couverture sur les actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur le trading

 

Dettes souveraines sur les pays sous surveillance – Activité bancaire – Variations

 

Variation des expositions brutes de couverture (En milliers d'euros)

Solde au 31 décembre 2013

Variation de juste valeur

Recyclage des réserves AFS

Créances rattachées

Tombées d'échéance

Cessions nettes de reprises de provisions

Acquisitions

Solde au 31 décembre 2014

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

France

75 677

 

 

-760

 

 

34 540

109 457

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

75 677

0

0

-760

0

0

34 540

109 457

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

 

 

 

 

 

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

 

 

 

 

 

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et créances

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

 

 

 

 

 

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Portefeuille de négociation (hors dérivés)

0

0

0

0

0

0

0

0

Total activité banque

75 677

0

0

-760

0

0

34 540

109 457

 

Variation des expositions brutes de couverture

(En milliers d'euros)

Solde au 1er janvier 2013

Variation de juste valeur

Recyclage des réserves AFS

Créances rattachées

Tombées d'échéance

Cessions nettes de reprises de provisions

Acquisitions

Solde au 31 décembre 2013

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

France

17 654

 

 

-1 723

 

 

59 746

75 677

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

17 654

0

0

-1 723

0

0

59 746

75 677

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

 

 

 

 

 

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

 

 

 

 

 

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

0

Prêts et créances

0

0

0

0

0

0

0

0

Espagne

 

 

 

 

 

 

 

 

France

 

 

 

 

 

 

 

 

Grèce

 

 

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

 

 

Portefeuille de négociation (hors dérivés)

0

0

0

0

0

0

0

0

Total activité banque

17 654

0

0

-1 723

0

0

59 746

75 677

 

6.8. Dettes envers les établissements de crédit et sur la clientèle

 

Dettes envers les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Établissements de crédit

 

 

Comptes et emprunts

1 877

287

dont comptes ordinaires créditeurs

1 662

 

dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Total

1 877

287

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

 

97

Comptes et avances à terme

2 672 589

2 629 730

Total

2 672 589

2 629 827

Valeur au bilan

2 674 466

2 630 114

 

Dettes envers la clientèle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Comptes ordinaires créditeurs

1 026 397

1 036 204

Comptes d'épargne à régime spécial

12 032

11 384

Autres dettes envers la clientèle

593 686

556 609

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

Valeur au bilan

1 632 115

1 604 197

 

6.9. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Effets publics et valeurs assimilées

109 457

75 677

Obligations et autres titres à revenu fixe

88 501

45 945

Total

197 958

121 622

Dépréciations

-2 569

-2 875

Valeur au bilan

195 389

118 747

 

6.10. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Dettes représentées par un titre

 

 

Bons de caisse

2 064

2 352

Titres du marché interbancaire

 

 

Titres de créances négociables :

161 481

152 992

Emprunts obligataires

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

Valeur au bilan

163 545

155 344

Dettes subordonnées

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

15 394

15 370

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

Valeur au bilan

15 394

15 370

 

6.11. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers

 

Compensation – Actifs financiers :

 

31/12/2014

Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des opérations

Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement

Montants net des actifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des passifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'euros)

(a)

(b)

(c)=(a)-(b)

(d)

 

(e)=(c)-(d)

Dérivés

127 179

 

127 179

97 735

 

29 444

Prises en pension de titres

 

 

0

 

 

0

Prêts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des actifs financiers soumis à compensation

127 179

0

127 179

97 735

0

29 444

 

31/12/2013

Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des opérations

Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement

Montants net des actifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des passifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'euros)

(a)

(b)

(c)=(a)-(b)

(d)

 

(e)=(c)-(d)

Dérivés

96 496

 

96 496

69 495

 

27 001

Prises en pension de titres

 

 

0

 

 

0

Prêts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des actifs financiers soumis à compensation

96 496

0

96 496

69 495

0

27 001

 

Compensation – Passifs financiers

 

31/12/2014

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des opérations

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement

Montants net des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'euros)

(a)

(b)

(c)=(a)-(b)

(d)

 

(e)=(c)-(d)

Dérivés

145 073

 

145 073

97 735

 

47 338

Mises en pension de titres

 

 

0

 

 

0

Emprunts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des passifs financiers soumis à compensation

145 073

0

145 073

97 735

0

47 338

 

31/12/2013

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des opérations

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement

Montants net des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

(En milliers d'euros)

(a)

(b)

(c)=(a)-(b)

(d)

 

(e)=(c)-(d)

Dérivés

69 645

 

69 645

69 495

 

150

Mises en pension de titres

 

 

0

 

 

0

Emprunts de titres

 

 

0

 

 

0

Autres instruments financiers

 

 

0

 

 

0

Total des passifs financiers soumis à compensation

69 645

0

69 645

69 495

0

150

 

6.12. Actifs et passifs d’impôts courants et différés

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Impôts courants

1 880

7 218

Impôts différés

22 461

22 270

Total Actifs d'impôts courants et différés

24 341

29 488

Impôts courants

1 882

115

Impôts différés

 

 

Total Passifs d'impôts courants et différés

1 882

115

 

Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Décalages temporaires comptables-fiscaux

21 504

 

21 737

 

Charges à payer non déductibles

686

 

203

 

Provisions pour risques et charges non déductibles

19 642

 

20 132

 

Autres différences temporaires

1 176

 

1 402

 

Impôts différés / Réserves latentes

1 197

 

628

 

Actifs disponibles à la vente

-169

 

-153

 

Couvertures de Flux de Trésorerie

676

 

722

 

Gains et pertes / Écarts actuariels

690

 

59

 

Impôts différés / Résultat

-240

 

-95

 

Total Impôts différés

22 461

0

22 270

0

 

Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale.

 

6.13. Comptes de régularisation actif, passif et divers

 

Comptes de régularisation et actifs divers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Autres actifs

112 189

68 440

Comptes de stocks et emplois divers

33 733

36 750

Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

Débiteurs divers

78 420

31 657

Comptes de règlements

36

33

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

39 207

62 822

Comptes d'encaissement et de transfert

17 130

35 442

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

1

Produits à recevoir

20 491

19 365

Charges constatées d'avance

419

410

Autres comptes de régularisation

1 166

7 604

Valeur au bilan

151 396

131 262

 

Comptes de régularisation et passifs divers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Autres passifs (1)

26 445

27 184

Comptes de règlements

 

 

Créditeurs divers

26 309

26 174

Versement restant à effectuer sur titres

136

1 010

Autres passifs d'assurance

 

 

Autres

 

 

Comptes de régularisation

48 389

43 197

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

4 425

1 203

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

Produits constatés d’avance

17 643

18 388

Charges à payer

22 737

22 953

Autres comptes de régularisation

3 584

653

Valeur au bilan

74 834

70 381

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées

(2) Les montants sont indiqués en net

 

6.14. Immeubles de placement

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2014

Valeur brute

10 279

34

-1 207

259

9 365

Amortissements et dépréciations

-4 300

-907

706

 

-4 501

Valeur au bilan (1)

5 979

-873

-501

259

4 864

(1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple

 

(En milliers d'euros)

01/01/2013

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2013

Valeur brute

8 887

65

-97

1 424

10 279

Amortissements et dépréciations

-2 833

-1 618

151

 

-4 300

Valeur au bilan (1)

6 054

-1 553

54

1 424

5 979

(1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple

 

La valeur des immeubles de placement est estimée “à dire d’expert”.

La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût amorti, établie « à dire d’expert », s’élève à 4 864 K€ au 31 décembre 2014 contre 5 979 K€ au 31 décembre 2013.

 

Juste valeur des immeubles de placement par modèle de valorisation :

 

(En milliers d'euros)

Valeur de marché estimée au 31/12/2014

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Immeubles de placement non évalués à la Juste valeur au bilan

 

 

 

 

Immeubles de placement

4 864

 

 

4 864

Total Immeubles de placement dont la juste valeur est indiquée

4 864

0

0

4 864

 

(En milliers d'euros)

Valeur de marché estimée au 31/12/2013

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Immeubles de placement non évalués à la Juste valeur au bilan

 

 

 

 

Immeubles de placement

5 979

 

 

5 979

Total Immeubles de placement dont la juste valeur est indiquée

5 979

0

0

5 979

 

6.15. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition)

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2014

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

Valeur brute

127 060

4 165

-760

-7

130 458

Amortissements et dépréciations (1)

-93 004

-6 897

694

 

-99 177

Valeur au bilan

34 056

-2 702

-66

-7

31 281

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 822

16

 

7

10 845

Amortissements et dépréciations

-9 930

-27

 

 

-9 957

Valeur au bilan

892

-11

0

7

888

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple

 

(En milliers d'euros)

01/01/2013

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

31/12/2013

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

Valeur brute

121 165

6 291

-678

282

127 060

Amortissements et dépréciations (1)

-86 045

-7 110

151

 

-93 004

Valeur au bilan

35 120

-819

-527

282

34 056

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 802

20

 

 

10 822

Amortissements et dépréciations

-9 918

-12

 

 

-9 930

Valeur au bilan

884

8

0

0

892

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple

 

6.16. Provisions

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2014

Risques sur les produits épargne logement

2 967

2 248

 

-162

 

5 053

Risques d’exécution des engagements par signature

1 265

 

 

-94

 

1 171

Risques opérationnels

4 434

806

-158

-3 021

 

2 061

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

864

62

 

-21

1 833

2 738

Litiges divers

114

 

 

 

 

114

Participations

0

 

 

 

 

0

Restructurations

0

 

 

 

 

0

Autres risques

6 204

2 899

-936

-8

 

8 159

Total

15 848

6 015

-1 094

-3 306

1 833

19 296

(1) Dont 2 114 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 624 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail

 

(En milliers d'euros)

01/01/2013

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2013

Risques sur les produits épargne logement

2 103

1 553

 

-689

 

2 967

Risques d’exécution des engagements par signature

1 203

200

 

-138

 

1 265

Risques opérationnels

4 133

533

-175

-57

 

4 434

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)(2)

793

55

 

-156

172

864

Litiges divers

147

72

-105

 

 

114

Participations

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

0

Autres risques

3 726

3 489

-875

-136

 

6 204

Total

12 105

5 902

-1 155

-1 176

172

15 848

(1)Dont 302 milliers d'euros au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 562 milliers d'euros au titre de la provision pour médaille du travail

(2) Dont une variation d'un montant de 149 milliers d'euros due à l'application de l'amendement d'IAS 19 au 1er janvier 2013.

 

Provision épargne-logement :

— Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

226 880

139 267

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

242 241

247 831

Ancienneté de plus de 10 ans

237 825

271 093

Total plans d'épargne-logement

706 946

658 191

Total comptes épargne-logement

74 170

81 194

Total Encours collectés au titre des contrats épargne-logement

781 116

739 385

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte, hors prime de l’État sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2014 pour les données au 31 décembre 2014 et à fin novembre 2013 pour les données au 31 décembre 2013 ;

 

Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Plans d'épargne-logement :

2 300

2 987

Comptes épargne-logement :

7 942

9 748

Total Encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

10 242

12 735

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

1 566

39

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

1 057

698

Ancienneté de plus de 10 ans

2 430

2 230

Total plans d'épargne-logement

5 053

2 967

Total comptes épargne-logement

 

 

Total Provision au titre des contrats épargne-logement

5 053

2 967

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Dotations

Reprises

Autres mouvements

31/12/2014

Plans d'épargne-logement :

2 967

2 248

-162

 

5 053

Comptes épargne-logement :

 

 

 

 

0

Total Provision au titre des contrats épargne-logement

2 967

2 248

-162

0

5 053

 

L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ».

 

6.17. Capitaux propres part du groupe

Composition du capital au 31 décembre 2014. — La Caisse régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L.231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

 

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement (CCI) et de Certificats Coopératifs d’Associés (CCA).

 

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

 

Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

 

Les CCI sont émis au profit de titulaires n’ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables.

 

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2014

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2014

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

0

0

459 957

Dont part du Public

 

 

 

 

Dont part Crédit Agricole S.A.

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

12 770 072

420 638

0

13 190 710

Dont 30 Caisses Locales

12 770 047

420 638

 

13 190 685

Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

 

24

Dont Crédit Agricole S.A.

1

 

 

1

Total

13 230 029

420 638

0

13 650 667

 

La valeur nominale des titres est de :

— 15.25 € pour les CCA

— 15.25 € pour les parts sociales soumises par la CR

— 1.53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales.

 

Au 31/12/2014, le capital de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 27 552 K€.

 

Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

 

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA.

 

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

 

La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

 

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Dividendes. — Au titre de l’exercice 2014, le Conseil d’administration de la Caisse Régionale Sud Méditerranée a décidé de proposer à l’Assemblé générale du 27/03/2015 un dividende net par part socialede 0,03 euros, sous réserve de l’approbation par l’Assemblée générale.

 

Dividendes :

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

Montant Net

Montant Net

2011

4,66

0,05

2012

2,22

0,05

2013

2,9

0,04

Prévu 2014

3,91

0,03

 

Dividendes payés au cours de l’exercice : Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 1 793 milliers d’euros en 2014.

 

Affectations du résultat et fixation du dividende 2014. — L’affectation du résultat la fixation et la mise en paiement du dividende 2014 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’Assemblée générale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 27/03/2015.

 

Le texte de la résolution est le suivant :

« Sur proposition du Conseil d’Administration, l’Assemblée Générale fixe à 1,89 % le taux des intérêts à servir aux parts sociales.

L’Assemblée Générale accepte l’affectation du résultat de l’exercice 2014 proposée par le Conseil d’Administration et approuvée par Crédit Agricole SA »

 

PROJET AFFECTATION DU RÉSULTAT au 31/12/2014

 

Résultat comptable

23 961 319,35 €

RAN

-0,00 €

Résultat à affecter

23 961 319,35 €

Distribué

2 194 812,27 €

Intérêts aux parts sociales

397 713,32 €

Intérêts aux parts aux Caisses locales

397 706,11 €

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

7,21 €

Rémunération des CCA

1 797 098,95 €

Conservé

21 766 507,08 €

Réserves légales

16 324 880,31 €

Autres réserves

5 441 626,77 €

 

6.18. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle. — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle.

L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle.

Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminé ».

Les écarts de réévaluation des portefeuilles couverts en taux sont considérés comme ayant une échéance indéterminée compte tenu de l’absence de maturité définie.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Caisse, banques centrales

33 639

 

 

 

 

33 639

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

98

 

6 560

601

 

7 259

Instruments dérivés de couverture

537

705

13 224

112 118

 

126 584

Actifs financiers disponibles à la vente

1

 

 

5 016

277 161

282 178

Prêts et créances sur les établissements de crédit

79 495

5 162

8 126

136 957

13 500

243 240

Prêts et créances sur la clientèle

229 011

363 775

1 315 461

2 426 965

1 015

4 336 227

Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

84 675

 

 

 

 

84 675

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 824

3 487

73 475

115 603

 

195 389

Total Actifs financiers par échéance

430 280

373 129

1 416 846

2 797 260

291 676

5 309 191

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

19

739

 

758

Instruments dérivés de couverture

 

6 128

26 562

111 769

 

144 459

Dettes envers les établissements de crédit

413 677

900 061

693 237

667 491

 

2 674 466

Dettes envers la clientèle

1 093 627

133 463

140 800

264 225

 

1 632 115

Dettes représentées par un titre

2 335

25

 

161 185

 

163 545

Dettes subordonnées

481

 

14 913

 

 

15 394

Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

94 615

 

 

 

 

94 615

Total Passifs financiers par échéance

1 604 735

1 039 677

875 531

1 205 409

0

4 725 352

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Caisse, banques centrales

29 090

 

 

 

 

29 090

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

69

15

702

5 347

 

6 133

Instruments dérivés de couverture

702

 

15 974

79 744

 

96 420

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

259 697

259 697

Prêts et créances sur les établissements de crédit

52 823

9 880

12 085

96 280

13 500

184 568

Prêts et créances sur la clientèle

400 986

430 840

1 253 761

2 265 815

1 015

4 352 417

Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

56 419

 

 

 

 

56 419

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

1 098

5 020

40 417

72 212

 

118 747

Total Actifs financiers par échéance

541 187

445 755

1 322 939

2 519 398

274 212

5 103 491

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

38

15

39

58

 

150

Instruments dérivés de couverture

115

1 106

21 918

46 356

 

69 495

Dettes envers les établissements de crédit

311 999

870 986

743 848

703 281

 

2 630 114

Dettes envers la clientèle

1 103 000

153 854

65 283

282 060

 

1 604 197

Dettes représentées par un titre

331

2 300

 

152 713

 

155 344

Dettes subordonnées

481

 

 

14 889

 

15 370

Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

70 645

 

 

 

 

70 645

Total Passifs financiers par échéance

1 486 609

1 028 261

831 088

1 199 357

0

4 545 315

7. – Avantages au personnel et autres rémunérations

 

7.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Salaires et traitements (1)

30 265

30 109

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

3 496

3 518

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

1 145

1 248

Autres charges sociales

10 498

10 868

Intéressement et participation

4 774

5 431

Impôts et taxes sur rémunération

6 107

6 196

Total Charges de personnel

56 285

57 370

(1) Dont indemnités liées à la retraite pour 310 milliers d’euros au 31 décembre 2014 contre 272 K€ au 31 décembre 2013.

Dont médailles du travail pour 62 milliers d’euros au 31 décembre 2014 contre 28 K€ au 31 décembre 2013.

 

7.2. Effectif fin de période

 

Effectifs

31/12/2014

31/12/2013

France

840

860

Étranger

16

14

Total

856

874

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies

 

(En milliers d'euros)

Euro zone

Hors euro zone

Toutes zones

Toutes zones

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2013

Variation dette actuarielle

 

 

 

 

Dette actuarielle au 31/12/2013

14 300

 

14 300

13 483

Écart de change

 

 

 

 

Coût des services rendus sur l'exercice

1 044

 

1 044

1 024

Coût financier

429

 

429

383

Cotisations employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

 

 

Variation de périmètre

17

 

17

-12

Prestations versées (obligatoire)

-769

 

-769

-764

Taxes, charges administratives et primes

 

 

 

 

(Gains) / pertes actuariels * liés aux hypothèses démographiques

144

 

144

-28

(Gains) / pertes actuariels liés aux hypothèses financières

1 635

 

1 635

214

Dette actuarielle au 31/12/2014

16 800

0

16 800

14 300

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2013

Détail de la charge comptabilisée au résultat

 

 

 

 

Coût des services

1 044

 

1 044

1 024

Charge / produit d'intérêt net

10

 

10

11

Impact en compte de résultat au 31/12/2014

1 054

0

1 054

1 035

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2013

Détail des gains et pertes comptabilisés en autres éléments du résultat global non recyclables

 

 

 

 

Réévaluation du passif (de l'actif) net

 

 

 

 

Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en autres éléments du résultat global non recyclables au 31/12/N-1

1 451

 

1 451

1 275

Écart de change

 

 

 

 

Gains/(pertes) actuariels sur l'actif

68

 

68

-10

Gains / (pertes) actuariels liés aux hypothèses démographiques (1)

144

 

144

-28

Gains / (pertes) actuariels liés aux hypothèses financières (1)

1 635

 

1 635

214

Ajustement de la limitation d'actifs

 

 

 

 

Total des éléments reconnus immédiatement en autres éléments du résultat global au 31/12/N

3 298

0

3 298

1 451

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2013

Variation de juste valeur des actifs

 

 

 

 

Juste valeur des actifs au 31/12/N-1

13 998

 

13 998

13 075

Écart de change

 

 

 

 

Intérêt sur l'actif (produit)

419

 

419

372

Gains / (pertes) actuariels

-68

 

-68

10

Cotisations payées par l'employeur

1 089

 

1 089

1 317

Cotisations payées par les employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

 

 

Variation de périmètre

17

 

17

-12

Taxes, charges administratives et primes

 

 

 

 

Prestations payées par le fonds

-769

 

-769

-764

Juste valeur des actifs au 31/12/N

14 686

0

14 686

13 998

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2014

31/12/2013

Position nette

 

 

 

 

Dette actuarielle fin de période

-16 800

 

-16 800

-14 300

Impact de la limitation d'actifs

 

 

 

 

Juste valeur des actifs fin de période

14 686

 

14 686

13 998

Position nette (passif) / actif fin de période

-2 114

0

-2 114

-302

Coût des services passés (modification de régimes) non reconnus

 

 

 

 

Position nette (passif) / actif fin de période publiée au 31/12/N-1

 

 

 

 

 

Information sur les actifs des régimes Allocations d'actifs (1) :

 

 

Euro zone

Hors euro zone

Toutes zones

En %

En %

En %

Actions

9,5%

 

9,5%

Obligations

83,7%

 

83,7%

Immobiliers

 

 

 

Autres actifs (1)

6,8%

 

6,8%

(1) Cash Contrat d’assurance

 

Rendement des actifs des régimes. — Le rendement effectif attendu des actifs de régime est de 2,45 %.

 

Hypothèses actuarielles utilisées. — Au 31 décembre 2014, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de -4,0 % ;

— Une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de + 4,3 %.

 

7.5. Autres avantages sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 624 milliers d’euros à la fin de l’exercice 2014.

 

7.6. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de Direction et d’Administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent 1 452 K€.

 

8. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties

 

Engagements donnés et reçus :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Engagements donnés

 

 

Engagements de financement

392 324

500 709

Engagements en faveur d'établissements de crédit

9 078

61 118

Engagements en faveur de la clientèle

383 246

439 591

Ouverture de crédits confirmés

219 908

280 924

Ouverture de crédits documentaires

34

109

Autres ouvertures de crédits confirmés

219 874

280 815

Autres engagements en faveur de la clientèle

163 338

158 667

Engagements de garantie

411 654

293 312

Engagements d'ordre d'établissement de crédit

327 349

201 340

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

Autres garanties (1)

327 349

201 340

Engagements d'ordre de la clientèle

84 305

91 972

Cautions immobilières

11 995

17 278

Autres garanties d'ordre de la clientèle

72 310

74 694

Engagements reçus

 

 

Engagements de financement

250 000

400 152

Engagements reçus d'établissements de crédit

250 000

400 152

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

852 048

849 169

Engagements reçus d'établissements de crédit

68 646

65 163

Engagements reçus de la clientèle

783 402

784 006

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

176 948

162 321

Autres garanties reçues

606 454

621 685

(1) Dont 126 009 milliers d’euros relatifs à la garantie globale (Switch) mise en place le 2 janvier 2014, en amendement de la garantie précédente octroyée le 23 décembre 2011 pour 201 340 K€

 

Instruments financiers remis et reçus en garantie :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (dont actifs transférés) (1)

 

 

Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (SFEF, Banque de France, CRH …)

1 358 673

1 568 575

 

-821

-801

Dépôts de garantie sur opérations de marché

47 090

 

Autres dépôts de garantie

 

 

Titres et valeurs donnés en pension

 

 

Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie

1 404 942

1 567 774

Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés

 

 

Titres empruntés

 

 

Titres & valeurs reçus en pension

 

 

Titres vendus à découvert

 

 

Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés

0

0

(1) Dont 42 654 milliers d’euros relatifs à la garantie globale (Switch) mise en place le 2 janvier 2014, en amendement de la garantie précédente octroyée le 23 décembre 2011 pour 67 885 milliers d’euros.]

 

Créances apportées en garantie. — Au cours de l’année 2014, la Caisse Régionale Sud Méditerranée à apporté 1 358 673 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 568 575 milliers d’euros en 2013.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

 

En particulier, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a apporté :

— 822 943 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 924 650 K€ d’euros en 2013 ;

— 0 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du dispositif SFEF (Société de Financement de l'Economie Française), contre 48 479 K€ en 2013;

— 187 832 milliers d’euros de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 221 801 K€ en 2013;

— 347 898 milliers d’euros de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 373 645 K€ en 2013.

 

9. – Juste valeur des instruments financiers

 

La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation.

 

La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion d’exit price).

 

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des donnés de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

 

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

 

9.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût. — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation.

 

Actifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2014

Juste valeur au 31 décembre 2014

Prix côté sur des marchés actifs pour des instruments identiques niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables niveau 3

Actifs financiers non évalués à la Juste Valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Prêts et Créances

4 729 255

4 729 001

0

282 449

4 446 552

Créances sur les établissements de crédit (1)

240 406

240 406

0

240 406

0

Comptes ordinaires & prêts JJ

60 710

60 710

 

60 710

 

Comptes et prêts à terme

165 983

165 983

 

165 983

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

13 713

13 713

 

13 713

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

 

 

 

Autres prêts et créances

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

4 488 849

4 488 595

0

42 043

4 446 552

Créances commerciales

10 335

10 335

 

 

10 335

 

Autres concours à la clientèle

4 435 456

4 435 186

 

 

4 435 186

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

 

 

Titres non cotés sur un marché actif

1 015

1 031

 

 

1 031

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

 

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Avances en comptes courants d'associés

6 552

6 552

 

6 552

 

Comptes ordinaires débiteurs

35 491

35 491

 

35 491

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

195 087

213 830

213 080

351

399

Effets publics et valeurs assimilées

108 173

124 545

124 545

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

86 914

89 285

88 535

351

399

Total actifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 924 342

4 942 831

213 080

282 800

4 446 951

 

(En milliers d'euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2013

Juste valeur au 31 décembre 2013

Prix côté sur des marchés actifs pour des instruments identiques niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables

niveau 3

Actifs financiers non évalués à la Juste Valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Prêts et Créances

4 720 666

4 740 598

0

254 202

4 486 396

Créances sur les établissements de crédit (1)

181 002

200 931

0

200 931

0

Comptes ordinaires & prêts JJ

31 125

31 125

 

31 125

 

Comptes et prêts à terme

136 164

156 093

 

156 093

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

13 713

13 713

 

13 713

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

 

 

 

Autres prêts et créances

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

4 539 664

4 539 667

0

53 271

4 486 396

Créances commerciales

11 255

11 255

 

 

11 255

Autres concours à la clientèle

4 462 487

4 462 487

 

 

4 462 487

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

6 897

6 897

 

6 897

 

Titres non cotés sur un marché actif

1 015

1 018

 

1 018

 

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

 

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Avances en comptes courants d'associés

19 274

19 274

 

6 620

12 654

Comptes ordinaires débiteurs

38 736

38 736

 

38 736

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

119 723

121 491

120 619

872

0

Effets publics et valeurs assimilées

75 037

75 434

75 434

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

44 686

46 057

45 185

872

 

Total actifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 840 389

4 862 089

120 619

255 074

4 486 396

 

La hiérarchie de juste valeur des actifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13.

 

Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs financiers cotés sur un marché actif.

Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de prix de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté.

Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé.

 

— Passifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2014

Juste valeur au 31 décembre 2014

Prix côté sur des marchés actifs pour des instruments identiques niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables niveau 3

Passifs financiers non évalués à la Juste Valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

2 669 258

2 939 134

0

2 939 134

0

Comptes ordinaires et emprunts JJ

1 664

1 664

 

1 664

 

Comptes et emprunts à terme

2 667 594

2 937 470

 

2 937 470

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

1 624 252

1 624 252

0

1 612 220

12 032

Comptes ordinaires créditeurs

1 026 391

1 026 391

 

1 026 391

 

Comptes d'épargne à régime spécial

12 032

12 032

 

 

12 032

Autres dettes envers la clientèle

585 829

585 829

 

585 829

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

152 059

186 663

 

186 663

 

Dettes subordonnées

14 913

14 913

 

14 913

 

Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 460 482

4 764 962

0

4 752 930

12 032

 

(En milliers d'euros)

Valeur au bilan au 31 décembre 2013

Juste valeur au 31 décembre 2013

Prix côté sur des marchés actifs pour des instruments identiques niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables niveau 3

Passifs financiers non évalués à la Juste Valeur au Bilan

 

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

2 624 527

2 699 172

0

2 699 172

0

Comptes ordinaires et emprunts JJ

98

98

 

98

 

Comptes et emprunts à terme

2 624 429

2 699 074

 

2 699 074

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

1 594 537

1 594 537

0

1 583 153

11 384

Comptes ordinaires créditeurs

1 036 197

1 036 197

 

1 036 197

 

Comptes d'épargne à régime spécial

11 384

11 384

 

 

11 384

Autres dettes envers la clientèle

546 956

546 956

 

546 956

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

 

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

152 334

176 349

 

176 349

 

Dettes subordonnées

14 889

14 889

 

14 889

 

Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 386 287

4 484 947

0

4 473 563

11 384

 

La hiérarchie de juste valeur des passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13.

 

Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des passifs financiers cotés sur un marché actif.

 

Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de prix de Credit Default Swaps (CDS). Les pensions données portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté.

 

Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit principalement des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé.

 

Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

— des actifs ou passifs exigibles à vue.

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

9.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur. — L’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre).

 

L’ajustement de valeur relatif à la qualité de la contrepartie (Credit Value Adjustment – CVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque de crédit associé à la contrepartie (risque de non-paiement des sommes dues en cas de défaut). Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions déduction faite d’éventuels collatéraux. Cet ajustement est systématiquement négatif et vient en minoration de la juste valeur active des instruments financiers.

 

L’ajustement de valeur relatif au risque de crédit propre de notre établissement (Debt Value Adjustment – DVA) vise à intégrer dans la valorisation des instruments dérivés le risque porté par nos contreparties. Cet ajustement est calculé globalement par contrepartie en fonction du profil d’expositions futures des transactions. Cet ajustement est systématiquement positif et vient en diminution de la juste valeur passive des instruments financiers.

 

Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée maximise l’utilisation de données d’entrée observables La probabilité de défaut est déduite de CDS cotés ou de proxys de CDS cotés lorsqu’ils sont jugés suffisamment liquides.

 

Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation

— Actifs financiers valorisés à la juste valeur :

Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2014

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

601

0

601

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

601

 

601

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

6 658

0

6 658

0

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

6 658

0

6 658

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

6 658

 

6 658

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

52 133

19 335

32 778

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

19 467

19 335

112

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

32 666

 

32 666

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

126 584

 

126 584

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

185 976

19 335

166 621

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

«(1) Hors 230 045 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. note 1.2). »

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2013

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

76

0

76

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

0

0

0

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

76

 

76

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

6 057

0

6 057

0

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

6 057

0

6 057

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

6 057

 

6 057

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

36 157

4 114

32 043

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 286

4 114

172

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

31 871

 

31 871

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

96 420

 

96 420

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

138 710

4 114

134 596

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

«(1) Hors 223 540 K€ de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. note 1.2). »

 

Passifs financiers valorisés à la juste valeur. — Les montants présentés sont y compris dettes rattachées

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2014

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

758

0

758

0

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Instruments dérivés

758

 

758

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

144 459

 

144 459

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

145 217

0

145 217

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2013

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

150

0

150

0

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Instruments dérivés

150

 

150

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

69 495

 

69 495

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

69 645

0

69 645

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

10. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2014

 

10.1. Composition du périmètre

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode au 31 décembre 2013

% De contrôle et d'intérêt

31/12/2013

31/12/2012

Établissements bancaires et financiers

 

 

 

 

Caisse Locale à vocation départementale des P.O

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARGELES - ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale la Caterraine - Sud Reart

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Cote Vermeille

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Porte de la Salanque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LA FOSSEILLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TET - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Porte du VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de l'Agly - FENOUILLDES - VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Forca - Real

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de THUIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CONFLENT - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de RIVESALTAIS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d'agly SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale les RIVES DE LA BASSE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d'arles S/TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Local à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale pays de Foix et du Ceronais

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LAVELANET - QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale Arize - Leze

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COUSERANS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TARASCON

France

Intégration Globale

100

100

 

11. – Participations et entités structurées non consolidées

 

11.1. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement

 

Au 31 décembre 2014, les principales participations non consolidées pour lesquelles le pourcentage de contrôle est supérieur à 20 % et dont la valeur au bilan est significative sont les suivantes :

SAS SUD MED IMMOBILIER

SCI CASM

SCA Château de Castelnou

SC SICMA

 

(En milliers d'euros)

31/12/2014

31/12/2013

Valeur au bilan

% de capital détenu

Valeur au bilan

% de capital détenu

Titres de participations non consolidés (détail)

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

SCI château de Castelnou

533

98,61

576

98,61

Autres titres de participations

 

 

 

 

SAS rue la Boétie

230 045

1,32

223 540

1,32

SA Sofilaro

1 376

6,97

1 357

6,97

SAS Sacam développement

9 828

1,35

9 826

1,35

SAS Sacam Fireca

278

1,18

280

1,18

SNC CA Titres

375

0,57

375

0,57

SAS Sacam Internationnal

7 366

1,32

6 938

1,32

SAS Sacam Avenir

1 570

1,08

1 208

1,06

SAS Sacam Participation

1 467

1,63

1 413

1,63

FIA-Net Europe

47

1,16

300

1,16

C2MS

623

1,17

623

1,17

CT CAM

359

0,59

359

0,71

Sacam Immobilier

2 216

1,59

2 216

1,62

Autres titres de participations (ensemble)

5 279

 

5 051

 

Valeur au bilan des titres de participation non consolidés

261 362

 

254 062

 

 

11.2. Entités structurées non consolidées. — Conformément à IFRS 12, une entité structurée est une entité conçue de telle manière que les droits de vote ou droits similaires ne constituent pas le facteur déterminant pour établir qui contrôle l’entité ; c’est notamment le cas lorsque les droits de vote concernent uniquement des tâches administratives et que les activités pertinentes sont dirigées au moyen d’accords contractuels.

 

Informations sur les risques associés aux intérêts détenus

 

Intérêts détenus dans des entités structurées non consolidées par nature d'activités. — Au 31 décembre 2014, l’implication de la Caisse Régionale Sud Méditerranée dans des entités structurées non consolidées, est présentée pour l’ensemble des familles d’entités structurées sponsorisées significatives pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée dans le tableau ci-dessous :

 

31/12/2014

Titrisation

Gestion d'actifs

Fonds de placement (1)

Finacement structuré (1)

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Valeur au bilan

Perte maximale

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

Exposition maximale au risque de perte

Garanties reçues et autres rehaussements de crédit

Exposition nette

 

 

 

 

 

 

 

 

14 338

14 338

 

 

 

 

 

 

0

0

0

0

0

0

0

0

14 338

14 338

0

0

0

0

0

0

 

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0

 

 

 

 

 

 

 

 

1 889 504

 

 

 

 

 

 

 

 

Exposition maximale au risque de perte. — L’exposition maximale au risque de perte des instruments financiers correspond à la valeur comptabilisée au bilan à l’exception des dérivés de vente d’option et de Credit Default Swap pour lesquels l’exposition correspond à l’actif au montant du notionnel et au passif au notionnel minoré du mark-to-market. L’exposition maximale au risque de perte des engagements donnés correspondent au montant du notionnel et la provision sur engagements donnés au montant comptabilisé au bilan.

 

12. – Événements postérieurs à la clôture

 

Aucun évènement postérieur à la clôture n’est à constater pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés

(Exercice clos le 31 décembre 2014)

 

Aux sociétaires,

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2014, sur :

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— la vérification spécifique prévue par la loi.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par votre conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union Européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 1.1 « Normes applicables et comparabilité » de l’annexe aux comptes consolidés qui expose les changements de méthodes résultant de l’application de nouvelles normes et interprétations appliquées à compter du 1er janvier 2014.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

 

Estimations comptables :

— Votre Caisse Régionale comptabilise des dépréciations pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités, tels que décrits dans les notes 1.3 et 3.1 de l’annexe. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction, relatif au suivi des risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations sur base individuelle et collective.

— Votre Caisse Régionale comptabilise des dépréciations sur des actifs financiers disponibles à la vente selon les modalités décrites dans la note 1.3 de l’annexe. Nous avons examiné le dispositif de contrôle mis en place par la direction, relatif à l’identification d’indices de perte de valeur, la valorisation des lignes les plus significatives, ainsi que les estimations ayant conduit, le cas échéant, à la couverture des pertes de valeur par des dépréciations.

— Votre Caisse Régionale détient des positions sur titres et sur instruments financiers. La note 1.3 de l’annexe expose les règles et méthodes comptables relatives à ces titres et instruments financiers. Nous avons examiné le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre Caisse Régionale et des informations fournies dans les notes de l’annexe, et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations données dans le rapport sur la gestion du groupe.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

 

 

1501260

20/02/2015 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 297
Texte de l'annonce :

1500297

20 février 2015BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°22


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 Code APE 651 D.

 

Situation au 31 décembre 2014.

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

33 639

Effets publics et valeurs assimilées

109 457

Créances sur les établissements de crédits

1 917

Opérations internes au Crédit agricole

241 469

Opérations avec la clientèle

4 332 658

Obligations et autres titres à revenu fixe

97 361

Actions et autres titres à revenu variable

13 956

Participations et autres titres détenus à long terme

267 687

Parts dans les entreprises liées

761

Immobilisations corporelles et incorporelles

36 867

Autres actifs

113 602

Comptes de régularisation

61 209

Total de l’actif

5 310 583

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

1 876

Opérations internes au Crédit agricole

2 678 114

Comptes créditeurs de la clientèle

1 634 249

Dettes représentées par un titre

152 359

Autres passifs

26 155

Comptes de régularisation

83 034

Provisions pour risques et charges

68 217

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 571

Fonds pour risques bancaires généraux

17 557

Capitaux propres hors FRBG

631 451

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

473 769

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 310 583

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

804 335

Engagements de financements

392 323

Engagements de garantie

411 654

Engagements sur titres

358

Engagements reçus

1 102 406

Engagements de financements

250 000

Engagements de garantie

852 048

Engagements sur titres

358

 

 

1500297

27/10/2014 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 4924
Texte de l'annonce :

1404924

27 octobre 2014BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°129


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 Code APE 651 D.

 

 

Situation au 30 Septembre 2014.

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

33 961

Effets publics et valeurs assimilées

111 324

Créances sur les établissements de crédits

37 910

Opérations internes au Crédit agricole

424 576

Opérations avec la clientèle

4 353 407

Obligations et autres titres à revenu fixe

98 095

Actions et autres titres à revenu variable

13 956

Participations et autres titres détenus à long terme

267 791

Parts dans les entreprises liées

761

Immobilisations corporelles et incorporelles

37 453

Autres actifs

76 746

Comptes de régularisation

59 376

Total de l’actif

5 515 356

 

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

214

Opérations internes au Crédit agricole

2 814 538

Comptes créditeurs de la clientèle

1 700 325

Dettes représentées par un titre

154 798

Autres passifs

18 440

Comptes de régularisation

97 001

Provisions pour risques et charges

68 710

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 322

Fonds pour risques bancaires généraux

12 557

Capitaux propres hors FRBG

631 451

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

473 769

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 515 356

 

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

793 486

Engagements de financements

380 201

Engagements de garantie

413 260

Engagements sur titres

25

Engagements reçus

1 102 539

Engagements de financements

250 152

Engagements de garantie

852 362

Engagements sur titres

25

 

 

 

1404924

22/08/2014 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 4431
Texte de l'annonce :

1404431

22 août 2014BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°101


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

( ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

 Société coopérative à capital variable régie par les dispositions

du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 – Code APE 651 D.

Situation au 30 Juin 2014

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

33 400

Effets publics et valeurs assimilées

135 669

Créances sur les établissements de crédits

36 149

Opérations internes au Crédit agricole

358 440

Opérations avec la clientèle

4 381 060

Obligations et autres titres à revenu fixe

72 894

Actions et autres titres à revenu variable

13 956

Participations et autres titres détenus à long terme

267 785

Parts dans les entreprises liées

761

Immobilisations corporelles et incorporelles

38 414

Autres actifs

71 881

Comptes de régularisation

68 682

Total

5 479 091

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

1 145

Opérations internes au Crédit agricole

2 903 653

Comptes créditeurs de la clientèle

1 584 610

Dettes représentées par un titre

154 551

Autres passifs

20 495

Comptes de régularisation

83 951

Provisions pour risques et charges

69 604

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 074

Fonds pour risques bancaires généraux

12 557

Capitaux propres hors FRBG

631 451

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

473 769

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total

5 479 091

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés 

823 215

Engagements de financements

412 794

Engagements de garantie

410 392

Engagements sur titres

29

Engagements reçus 

1 098 499

Engagements de financements

250 000

Engagements de garantie

848 470

Engagements sur titres

29

 

 

1404431

28/04/2014 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N1)
Numéro d'affaire : 1284
Texte de l'annonce :

1401284

28 avril 2014BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°51


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural.

Capital social au 31 décembre 2013 : 28 057 377 Euros.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2012

 

Comptes annuels approuvés par l'assemblée générale ordinaire du 25 mars 2014

 

A. — Comptes sociaux 31 décembre2013.

Arrêtés au 31 décembre 2013.

Arrêtés par le Conseil d'Administration de Sud Méditerranée en date du 14 février 2014

I. — Bilan au 31 décembre 2013.

(En milliers d'euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2013

31/12/2012

Opérations interbancaires et assimilées

 

108 623

50 867

Caisse, banques centrales

 

29 090

31 398

Effets publics et valeurs assimilées

5

75 677

17 655

Créances sur les établissements de crédit

3

3 856

1 814

Opérations internes au Crédit Agricole

3

184 699

278 641

Opérations avec la clientèle

4

4 383 443

4 476 044

Opérations sur titres

5.1

53 379

63 511

Obligations et autres titres à revenu fixe

5

49 435

59 559

Actions et autres titres à revenu variable

5

3 944

3 952

Valeurs immobilisées

 

315 143

315 346

Participations et autres titres détenus à long terme

6.1 - 7

273 591

272 625

Parts dans les entreprises liées

6.1 - 7

805

850

Immobilisations incorporelles

7

892

884

Immobilisations corporelles

7

39 855

40 987

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

161 777

166 204

Autres actifs

8

75 358

69 908

Comptes de régularisation

8

86 419

96 296

Total actif

 

5 207 064

5 350 613

 

Passif

Notes

31/12/2013

31/12/2012

Opérations interbancaires et assimilées

 

287

825

Banques centrales

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

10

287

825

Opérations internes au Crédit Agricole

10

2 638 182

2 854 786

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 606 566

1 545 703

Dettes représentées par un titre

12

152 630

152 491

Comptes de régularisation et passifs divers

 

77 420

93 831

Autres passifs

13

24 893

27 532

Comptes de régularisation

13

52 527

66 299

Provisions et dettes subordonnées

 

86 134

78 314

Provisions

14-15-16

68 563

60 730

Dettes subordonnées

18

17 571

17 584

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17

12 557

7 557

Capitaux propres hors FRBG

19

633 288

617 106

Capital souscrit

 

28 057

28 057

Primes d'émission

 

129 625

129 625

Réserves

 

457 834

445 803

Ecart de réévaluation

 

 

 

Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

 

 

Report à nouveau

 

-149

 

Résultat de l'exercice

 

17 921

13 621

Total passif

 

5 207 064

5 350 613

 

Hors-bilan

Notes

31/12/2013

31/12/2012

Engagements donnés

 

794 347

746 186

Engagements de financement

 

500 709

441 571

Engagements de garantie

 

293 313

303 904

Engagements sur titres

 

325

711

Engagements reçus

 

1 249 646

1 216 718

Engagements de financement

 

400 152

400 000

Engagements de garantie

 

849 169

816 007

Engagements sur titres

 

325

711

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

— Opérations de change au comptant et à terme : note 22

— Opérations sur instruments financiers à terme : note 23

— Engagements de financement, de garanties et autres garanties : note 24

 

 

II. — Compte de résultat au 31 décembre 2013.

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2013

31/12/2012

Intérêts et produits assimilés

25

179 639

194 172

Intérêts et charges assimilées

25

-81 858

-97 160

Revenus des titres à revenu variable

26

1 641

1 733

Commissions (produits)

27

80 325

84 308

Commissions (charges)

27

-12 224

-12 877

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

28

108

106

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

 

-16

828

Autres produits d’exploitation bancaire

30

592

715

Autres charges d’exploitation bancaire

30

-436

-475

Produit net bancaire

 

167 771

171 350

Charges générales d’exploitation

31

-95 201

-95 292

Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

-8 653

-8 647

Résultat brut d'exploitation

 

63 917

67 411

Coût du risque

32

-27 228

-34 402

Résultat d'exploitation

 

36 689

33 009

Résultat net sur actifs immobilisés

33

-1 334

-1 349

Résultat courant avant impôt

 

35 355

31 660

Résultat exceptionnel

 

 

 

Impôt sur les bénéfices

35

-12 434

-18 039

Dotations / Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

-5 000

 

Résultat net de l'exercice

 

17 921

13 621

 

III. — Annexes.

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice.

 

1.1. Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

 

Sont rattachées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée, des Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

 

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’Entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

 

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

 

Au 31 décembre 2013, la Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du réseau Crédit Agricole dont l'organe central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même 56,18 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

 

Le solde du capital de Crédit Agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,58 %.

 

Par ailleurs, Crédit Agricole S.A. détient 6 022 703 actions propres au 31 décembre 2013, soit 0,24 % de son capital, contre 7 319 186 actions propres au 31 décembre 2012.

 

Pour sa part Crédit Agricole S.A. détient 25 % du capital sous la forme de Certificats Coopératifs d’Associés et/ou de Certificats Coopératifs d’Investissement émis par la Caisse régionale.

 

Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit Agricole S.A. à hauteur de leurs fonds propres.

 

1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole. — L'appartenance de la Caisse régionale de Sud Méditerranée au groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ».

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et enfin, depuis le

31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroir) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

 

En outre, depuis la mutualisation en 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. (Switch) : Le dispositif Switch, mis en place le 23 décembre 2011, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole.

 

Il permet le transfert des exigences prudentielles s’appliquant aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales, qui sont mises en équivalence dans les comptes consolidés de Crédit Agricole S.A. Ce transfert est réalisé vers les Caisses régionales via un mécanisme de garantie accordée par ces dernières à Crédit Agricole S.A. sur une valeur contractuelle plancher des valeurs de mises en équivalence des certificats coopératifs d’investissement et des certificats coopératifs d’associées (CCI/CCA) émis par les Caisses régionales. Cette valeur est fixée à l’origine de l’opération.

 

Ainsi, le dispositif protège Crédit Agricole S.A. de la baisse de valeur de mise en équivalence globale des Caisses régionales. En effet, dès lors qu’une baisse de valeur est constatée, le mécanisme de garantie est actionné et Crédit Agricole S.A. perçoit une indemnisation prélevée sur le dépôt de garantie. En cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence globale, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

 

La durée de la garantie est de 15 ans au bout desquels elle peut être prolongée par tacite reconduction. Cette garantie peut être résiliée par anticipation, dans certaines conditions et avec l’accord préalable de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution.

 

Le dépôt de garantie est rémunéré à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. La garantie fait l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

 

Dans les comptes individuels, la garantie Switch est un engagement de hors-bilan donné par les Caisses régionales et symétriquement reçu par Crédit Agricole S.A. La rémunération globale de la garantie est étalée sur la durée du contrat et comptabilisée en Produit net bancaire dans la marge d’intérêt. En cas d’exercice de la garantie, l’indemnisation est enregistrée symétriquement par Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales en résultat dans l’agrégat coût du risque. La clause de retour à meilleure fortune fait naître une provision dans les comptes de Crédit Agricole S.A. dont le montant est déterminé en fonction du caractère probable du remboursement.

 

Par avenant signé le 19 décembre 2013, Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales ont décidé d’étendre l’assiette des garanties déjà accordées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. le 23 décembre 2011 à la participation de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA). Les nouvelles garanties ont pris effet le 2 janvier 2014 et permettent désormais un transfert des exigences prudentielles s’appliquant à la fois aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels.

 

Dans ce contexte, les dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. ont été complétés en date du 2 janvier 2014. Les dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A.

 

L’échéance des garanties globales reste identique (1er mars 2027).

 

Le mécanisme général du dispositif est similaire au premier volet de l’opération, et le traitement comptable reste inchangé.

 

1.3. Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2013 :

— Dans un contexte économique difficile, l’activité crédit s’est fortement ralentie. Sur l’exercice, 598 M€ de crédits ont été réalisés en hausse de 6,8% par rapport à 2012. Malgré la bonne tenue des réalisations, les encours ont diminué de 89 M€ soit - 1,8 % pour s’établir à 4 512 M€.

— L’encours de collecte globale au 31 Décembre 2013 s’établit à 6 643 M€ en hausse de 2 % par rapport à 2012. La collecte monétaire progresse de près de 4 % traduisant la bonne tenue des dépôts à vue ainsi que les placements à terme (DAT).

Souscription de 59,8 M€ de titre OAT dans le cadre des contraintes réglementaires BALE 3 en matière de liquidité.

— Dans le cadre de l’évolution du mécanisme Switch, la caisse régionale a comptabilisé un engagement de financement en faveur de Crédit Agricole SA de 23,1 M€.

 

Eléments significatifs ayant une incidence sur le compte de résultat :

— Suite à l’absence de résultat bénéficiaire de Crédit Agricole SA en 2012, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas perçu de dividende de la SAS Rue la Boétie et d’intérêt des T3CJ en 2013.

— La prise en compte de la valorisation de l’EMTN confluent au Mark to model a amené la caisse régionale à procéder une dépréciation complémentaire de 0,2 M€.

— L’actualisation des paramètres du moteur de calcul de la Provision Epargne Logement s’est traduit par une dotation nette sur l’exercice de 0,9 M€.

— La Caisse Régionale Sud Méditerranée a mis en place en 2013 un intéressement spécifique au projet de Migration NICE, le montant de l’accord est de 1 M€.

— Poursuite en 2013 des coopérations engagées depuis 2010 entre les Caisses Régionales Sud Méditerranée, de la Corse de la Réunion ainsi que Toulouse 31.

— L’une des principales mesures de la 3ième loi de finance rectificative pour 2012 concerne la mise en place du Crédit d’impôt compétitivité à compter du 1er janvier 2013. Ce dernier est assis sur les rémunérations que l’entreprise verse à ses salariés au cours de l’année civile n’excédant pas 2.5 fois le SMIC. A ce titre, la Caisse Régionale a enregistré dans ses comptes près d’1 M€ en déduction des charges de personnel.

— Les autres frais de fonctionnement sont en forte diminution de plus de 2 M€ suite à la baisse du coût de la sous-traitance CA Technologie et de CA Service, à fin 2013, la totalité des CR ayant migré vers le SI NICE.

— L’assiette de calcul de la taxe systémique a été réduite entraînant une économie pour la caisse régionale de 0.3 M€ par rapport à 2012.

 

La baisse de la valorisation du titre SAS Sacam International a conduit à une provision complémentaire de 0,4 M€ portant la dépréciation totale du titre à 5 M€.

— Malgré une nette baisse du coût du risque par rapport à l’année 2012, celui-ci demeure encore élevé avec une forte progression des créances douteuses et litigieuses au 31 Décembre 2013. Avec un total de 303,8 M€, le total CDL affiche une évolution de 5,6 % par rapport au 31 Décembre 2012. Les provisions s’élèvent à 173,1 M€ assurant un taux de couverture de 57,0 % à fin Décembre 2013.

– En France la caisse régionale voit son encours de CDL évoluer de plus de 10% depuis décembre 2012 pour atteindre 191 M€ à fin Décembre 2013.

– En revanche, en Espagne on note un ralentissement des risques sur 2013, les encours de CDL à 112,5 M€ régressent de -1,37% % contre une évolution de près de 35 % sur 2012.

— Sur l’activité Marchands de biens, 41 nouveaux biens ont été saisis sur l’exercice pour un montant de 8,8 M€. Ils portent ainsi le stock à 288 biens pour un montant total de 68,9 M€. Par ailleurs, 37 biens sont loués pour 7,7 M€ et ont été transférés en immeubles hors exploitation. Une dépréciation totale de 7,8 M€ a été enregistrée au 31 Décembre 2013. Au total le taux de couverture sur les MDB s’établit à 43,4%.

— Suite au remboursement du titre Sélecta II, la caisse régionale a repris la dépréciation pour 0,7 M€ et constaté une perte de 0,2 M€.

— La Caisse régionale a déprécié pour 0,9 M€ l’avance en compte courant de ses filiales immobilières pour tenir compte de leur situation nette négative.

— Le projet de loi de finance 2014 prévoit d’augmenter le taux de la contribution exceptionnelle à l’impôt sur les sociétés de 5% à 10,7% aux titres des exercices clos à compter du 31 Décembre 2013. Dans le cadre de l’arrêté des comptes 2013, l’impôt éligible 2013 doit être calculé à partir du taux majoré soit 38 %.

 

1.4. Evénements postérieurs à l’exercice 2013. — Des travaux de revue de la qualité des actifs ont été menés par la Banque Centrale Européenne (AQR)

 

Dans le cadre de la préparation du transfert de la supervision de 130 banques européennes vers la BCE en novembre 2014, les superviseurs européens ont annoncé qu’un exercice de revue de la qualité des bilans des banques, et en particulier de leurs actifs (AQR ou « Asset Quality Review »), allait être mené entre octobre 2013 et octobre 2014.

 

Le Groupe Crédit Agricole fait partie des banques concernées par cet exercice. Dans ce contexte, la Direction Financière et la Direction des Risques Groupe ont engagé des travaux visant à se préparer à l’exercice de revue qui sera mené par les Autorités de tutelle. Par ailleurs, le Groupe Crédit Agricole a arrêté ses comptes au 31 décembre 2013 conformément aux normes IFRS en vigueur et aux principes comptables applicables au sein du Groupe

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

 

Les états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'organe central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

La présentation des états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement 91-01 du Comité de la Réglementation Bancaire (CRB), modifié par le règlement 2000-03 du Comité de la Réglementation Comptable (CRC), relatif à l’établissement et à la publication des comptes individuels annuels des entreprises relevant du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière (CRBF) lui-même modifié notamment en 2010 par le règlement ANC 2010-08 du 07 octobre 2010 relatif à la publication des comptes individuels des établissements de crédit.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :

 

Règlements

Date de publication par l’Etat français

Date de 1ere application : exercices ouverts à compter du

Applicable dans la Caisse Régionale Sud Méditerranée

Règlement ANC relatif au plan comptable des organismes de placement collectif en valeurs mobilières

30 décembre 2011 N° 2011-5

1er janvier 2013

Non

Règlement ANC relatif à la comptabilisation des quotas d’émission de gaz à effet de serre et unités assimilés

28 décembre 2012 N° 2012-03

1er janvier 2013

Non

Règlement ANC relatif à la comptabilisation des certificats d’économie d’énergie modifié par le règlement N° 2013-02 du 7 novembre 2013

28 décembre 2012 N° 2012-04

1er janvier 2015

Non

Règlement ANC modifiant l’article 380-1 du règlement CRC n°99-03 sur les ventes en l’état futur d’achèvement

28 décembre 2012 N° 2012-05

1er janvier 2013 ou par anticipation

Oui

Recommandation ANC Relative aux règles d’évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires pour les comptes annuels et les comptes consolidés établis selon les normes comptables françaises

07 novembre 2013 N° 2013-02

1er janvier 2014 ou par anticipation au 1er janvier 2013

Oui

Règlement ANC relatif aux modalités d’établissement des comptes des établissements de monnaie électronique

30 octobre 2013 N° 2013-01

31 décembre 2013

Non

Règlement ANC relatif aux règles de comptabilisation des valeurs amortissables visées à l’article R.332-20 du code des assurances, R.931-10-41 du code de la sécurité sociale et R.212-53 du code de la mutualité

13 décembre 2013 N° 2013-03

31 décembre 2013

Oui

 

2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement CRC 2002-03 modifié du 12 décembre 2002.

 

Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours :

— les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ;

— les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ;

— les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle.

 

Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière.

 

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle).

 

Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale.

 

En application du règlement CRC 2009-03 les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont désormais étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l’encours de crédit concerné.

 

Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Les engagements par signature comptabilisés au hors-bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds.

 

L‘application du règlement CRC 2002-03 modifié relatif au traitement comptable du risque de crédit conduit Crédit Agricole S.A. à comptabiliser les créances présentant un risque d’impayé conformément aux règles suivantes. L’utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d’apprécier l’existence d’un risque de crédit.

 

Créances restructurées. — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.) afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

 

Par conséquent, sont exclues des créances restructurées les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité,

 

La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, ou le report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l’enregistrement d’une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre :

– la valeur nominale du prêt ;

– et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

 

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d’intérêt.

 

Les crédits restructurés sortent des créances douteuses. Ils font l’objet d’une notation conformément aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont reclassés en créances douteuses dès le premier impayé.

 

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 23 542 K€ au 31 décembre 2013 contre 27 182 K€ au 31 décembre 2012.

 

Sur ces prêts des décotes sont comptabilisées pour un montant de 140 K€

 

Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits)

– la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré,

– il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

 

Pour les découverts, l’ancienneté de l’impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l’établissement ou qu’il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l’établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu’il a tiré des montants sans autorisation de découvert.

 

Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l’établissement peut décompter l’ancienneté de l’impayé lorsque le découvert a fait l’objet de la part de l’établissement d’une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur.

 

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

— Créances douteuses non compromises : Ce sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

— Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

 

Pour les créances douteuses l’enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise.

 

Dépréciations au titre du risque de crédit avéré. — Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l’actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation.

 

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

Les pertes probables relatives aux engagements hors-bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Traitement comptable des décotes et dépréciations. — Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sur créances douteuses sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrits dans la marge d’intérêt.

 

Dépréciation au titre du risque de crédit non affecté individuellement. — Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté, au passif de son bilan, des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement tels que les provisions sectorielles ou des provisions calculées à partir des modèles Bâle II. Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement.

 

Risques-pays. — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors-bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays ». (Note de la Commission Bancaire du 24 décembre 1998).

 

Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d’origine.

— Passage en perte : L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert, la Caisse Régionale Sud Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité.

 

2.2. Portefeuille Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement CRB 90-01 modifié notamment par les règlements CRC 2005-01, 2008-07 et 2008-17 ainsi que par le règlement CRC 2002-03 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe.

 

Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable.

 

Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

Titres de placement. — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus.

— Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d’acquisition, coupon couru à l’achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre.

 

Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

— Actions et autres titres à revenu variable : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat, frais d'acquisition inclus.

 

Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique « Revenus des titres à revenu variable ».

 

Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique.

 

A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d’acquisition et la valeur de marché. Ainsi lorsque la valeur d’inventaire d'une ligne ou d’un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l’article 4 du règlement 88-02 du CRB, prenant la forme d’achats ou de ventes d’instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées.

 

En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres :

– s’il s’agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’informations particulières sur la situation financière de l’émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ;

– s’il s’agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées.

 

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

 

Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat.

 

Titres d'investissement. — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance.

 

Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

 

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d’acquisition et coupons inclus.

 

La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre.

 

Il n’est pas constitué de dépréciation des titres d’investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l’émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du règlement CRC 2002-03 sur le risque de crédit ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ».

 

En cas de cession de titres d’investissement ou de transfert dans une autre catégorie de titres pour un montant significatif, l’établissement n’est plus autorisé, pendant l’exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d’investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément au règlement CRC 2005-01, hors exceptions prévues par ce texte et par le CRC 2008-17.

 

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme. — Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

– Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu’elle permet d’exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d’en assurer le contrôle.

– Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice mais sans influencer la gestion de cette dernière en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

 

Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d’acquisition frais inclus.

 

A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d’utilité.

 

Celle-ci représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir compte tenu de ses objectifs de détention.

 

L’estimation de la valeur d’utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l’entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre.

 

Lorsque la valeur d’utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l’objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes.

 

Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins-values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique «Résultat net sur actifs immobilisés».

 

Prix de marché. — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

– les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent,

– si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

Dates d’enregistrement. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Reclassement de titres. — Conformément au règlement CRC 2008-17 du 10 décembre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements de titres suivants :

– du portefeuille de transaction vers le portefeuille d’investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l’établissement a l’intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance

– du portefeuille de placement vers le portefeuille d’investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré, en 2013, de reclassement au titre du règlement CRC 2008-17.

 

2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

 

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

 

En application du règlement CRC 2004-06, le coût d’acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d’achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l’acquisition pour la mise en état d’utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ».

 

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition.

Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’achèvement.

A l'exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

 

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

 

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante.

 

2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes :

— dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit,

— comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole,

— comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celles-ci incluent notamment la clientèle financière).

 

Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie.

 

Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables et emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ».

 

Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés, la charge correspondante est inscrite dans la rubrique : « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes :

— soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er Janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10 % du prix d'émission ;

— soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er Janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10 % du prix d'émission.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique également la méthode d’étalement des frais d’emprunts dans ses comptes individuels.

 

Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ».

 

2.6. Provisions. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement du CRC 2000-06 sur les passifs concernant la comptabilisation et l’évaluation des provisions entrant dans le champ d’application de ce règlement.

 

Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers.

 

Les provisions incluent également les risques-pays. L’ensemble de ces risques fait l’objet d’un examen trimestriel.

 

Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d’opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement.

 

La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

 

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

 

Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse régionale Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire.

 

Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice.

 

2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions des règlements CRB 88-02 et 90-15 modifiés et de l’instruction 94-04 modifiée de l’Autorité de contrôle prudentiel et de Résolution (ex Commission Bancaire).

 

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

 

Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie :

— Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable.

 

Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A. sont inscrits prorata temporis dans la rubrique : « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés.

— Opérations de marché : Les instruments négociés sur un marché organisé, assimilé, de gré à gré ou inclus dans un portefeuille de transaction - au sens du règlement CRB 90-15 modifié - sont évalués par référence à leur valeur de marché à la date de clôture.

 

Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s’il existe un marché actif, ou à l’aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l’absence de marché actif.

 

Pour les instruments négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

 

Les pertes ou profits relatifs à des instruments négociés sur des marchés peu liquides, dits de gré à gré, ou constituant des positions ouvertes isolées sont enregistrés dans les résultats au dénouement des contrats ou prorata temporis selon la nature de l'instrument. En date d'arrêté, les pertes latentes éventuelles font l'objet d'une provision.

 

Les gains et pertes ainsi que les mouvements de provisions relatifs à ces opérations de marché sont portés au compte de résultat sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de négociation ».

— Opérations complexes : Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d’instruments (de types, natures et modes d’évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d’une réglementation explicite et qui implique, de la part de l’établissement, un choix de principe.

 

2.9. Opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors-bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

 

Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.

 

Les dotations aux succursales, les immobilisations des implantations à l'étranger, les titres de placement, d'investissement et de participation en devises achetés contre euros sont convertis en euros au cours du jour de la transaction. Seul l'effet de change constaté sur les titres de placement est enregistré en compte de résultat.

 

Une provision peut cependant être constituée lorsque l’on constate une dépréciation durable du cours de change relative aux participations de la Caisse régionale Sud Méditerranée à l’étranger.

 

A chaque arrêté, les opérations de change à terme sont évaluées au cours à terme restant à courir de la devise concernée. Les gains ou les pertes constatés sont portés au compte de résultat sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de négociation – Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés ».

 

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF 89-01, la Caisse régionale Sud Méditerranéea mis en place une comptabilité multidevises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

 

Le montant global de la position de change opérationnelle de la Caisse régionale Sud Méditerranée s'établit à 8 K€.

 

2.10. Intégration des succursales à l’étranger. — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées.

 

Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques.

 

Les règles de conversion en euros sont les suivantes :

— les postes de bilan sont convertis au cours de clôture,

— les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction, alors que les charges et les produits courus sont convertis au cours de clôture.

 

Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ».

 

2.11. Engagements hors-bilan. — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus.

 

Le cas échéant, les engagements donnés font l’objet d’une provision lorsqu’il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse régionale Sud Méditerranée.

 

Le hors-bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie.

 

Ces éléments sont toutefois détaillés dans l’annexe, note 24.

 

2.12. Participation des salariés aux fruits de l’expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l’expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né.

 

L’intéressement est couvert par l’accord du 16 Juin 2011.

La participation et l'intéressement figurent dans les «Frais de personnel».

 

2.13. Avantages au personnel postérieurs à l’emploi.

— Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies : La Caisse régionale Sud Méditerranée applique, à compter du 1er janvier 2013, la recommandation 2013-02 de l’Autorité des normes comptables du 07 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.

 

En application de cette recommandation, la Caisse régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

 

Ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

 

La Caisse régionale Sud Méditerranée a opté pour la méthode 2 de la recommandation 2013-02 qui prévoit notamment la comptabilisation des profits ou pertes constatées au titre des modifications des régimes à prestations définies au moment où se produit la réduction ou la liquidation.

 

La recommandation autorise également la comptabilisation des écarts actuariels selon la méthode du corridor ou selon toute autre méthode conduisant à les comptabiliser plus rapidement en résultat.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a fait le choix de reconnaitre les écarts actuariels à partir de l’exercice suivant et de façon étalée sur la durée de vie active moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du régime, par conséquent le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation,

– majoré des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) restant à étaler,

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

— Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

Par conséquent, la Caisse régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « frais de personnel ».

 

2.14. Stock-options et souscription d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’Epargne Entreprise :

— Souscriptions d’actions dans le cadre du plan d’Epargne Entreprise : Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’Epargne Entreprise, avec une décote maximum de 20 %, ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevées d’une période d’incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d’actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse régionale Sud Méditerranée.

 

2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

 

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 % ainsi que la majoration exceptionnelle d'impôt sur les sociétés de 10,7 % due par les entreprises réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 250 millions d’euros.

 

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

La Caisse régionale Sud Méditerranée a signé avec Crédit Agricole S.A. une convention d’intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, chacune des sociétés intégrées constate dans ses comptes la dette d’impôt dont elle aurait été redevable en l’absence d’intégration fiscale.

 

En raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôts pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse régionale Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel et non en diminution de l’impôt.

 

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit – analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Établissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

3 442

 

 

 

3 442

 

3 442

1 424

A terme

200

 

 

 

200

 

200

200

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Prêts subordonnés

 

 

 

213

213

1

214

190

Total

3 642

0

0

213

3 855

1

3 856

1 814

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

3 856

1 814

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

31 670

 

 

 

31 670

 

31 670

12 286

Comptes et avances à terme

18 132

9 881

12 084

96 067

136 164

3 360

139 524

252 851

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Prêts subordonnés

 

 

 

13 500

13 500

5

13 505

13 504

Total

49 802

9 881

12 084

109 567

181 334

3 365

184 699

278 641

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

184 699

278 641

Total

 

 

 

 

 

 

188 555

280 455

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 13 719 K€.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 23 428 K€.

Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n’est éligible au refinancement de la banque centrale.

— Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole S.A. dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

Note 4. – Opérations avec la clientèle.

 

4.1. Opérations avec la clientèle – analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

≤3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Créances commerciales

10 748

507

0

0

11 255

 

11 255

14 584

Autres concours à la clientèle

340 758

436 416

1 297 335

2 394 734

4 469 243

37 399

4 506 642

4 597 194

Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Comptes ordinaires débiteurs

38 438

 

 

 

38 438

213

38 651

28 599

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-173 105

-164 332

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

4 383 443

4 476 044

 

Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis à la clientèle s'élèvent à 6 897 K€.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 1 015 K€.

Parmi les créances sur la clientèle 971 733 K€ d’euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2013 contre 946 716 K€ au 31 décembre 2012.

Les encours restructurés au 31 décembre 2013 s’élèvent à 23 542 K€ contre 27 182 K€ au 31 décembre 2012.

 

4.2. Opérations avec la clientèle – Analyse par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

France (y compris DOM-TOM)

4 141 056

4 193 953

Autres pays de L'U.E.

377 880

407 698

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amérique Centrale et Latine

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Non ventilés et organismes internationaux

 

 

Total en principal

4 518 936

4 601 651

Créances rattachées

37 612

38 725

Dépréciations

-173 105

-164 332

Valeur nette au bilan

4 383 443

4 476 044

 

4.3. Opérations avec la clientèle – Encours douteux et dépréciations par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (y compris DOM-TOM)

4 174 544

191 232

131 730

123 201

96 171

4 228 611

173 735

120 770

118 265

91 001

Espagne

382 005

112 460

73 469

49 905

39 106

411 766

114 020

63 580

46 067

32 912

Total

4 556 549

303 692

205 199

173 106

135 277

4 640 377

287 755

184 350

164 332

123 913

 

4.4. Opérations avec la clientèle – Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

2 121 567

140 924

83 375

66 953

47 213

2 077 881

125 231

65 725

54 471

36 118

Agriculteurs

356 746

20 039

14 536

12 181

9 665

357 021

18 581

13 654

11 426

8 576

Autres professionnels

840 606

88 285

66 694

53 733

45 772

953 410

85 134

60 254

51 403

41 529

Clientèle financière

64 783

904

519

587

519

39 827

603

591

564

552

Entreprises

509 439

46 992

35 652

33 299

27 765

491 433

48 114

36 149

36 711

29 333

Collectivités publiques

634 057

6 074

3 953

5 959

3 953

674 758

9 607

7 502

9 334

7 391

Autres agents économiques

29 351

474

470

394

390

46 047

485

476

424

415

Total

4 556 549

303 692

205 199

173 106

135 277

4 640 377

287 755

184 350

164 332

123 913

 

Note 5. – Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Transaction

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investissement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

75 037

75 037

17 642

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

 

 

640

640

13

Dépréciations

 

 

 

 

0

 

Valeur nette au bilan

0

0

0

75 677

75 677

17 655

Obligations et autres titres à revenu fixe :

 

 

 

 

 

 

Emis par organismes publics

 

 

 

 

0

 

Autres émetteurs

 

2 469

 

49 284

51 753

62 729

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

16

 

1 314

1 330

1 531

Dépréciations

 

-774

 

-2 875

-3 649

-4 701

Valeur nette au bilan

0

1 711

0

47 723

49 434

59 559

Actions et autres titres à revenu variable

 

3 944

 

 

3 944

3 954

Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

Dépréciations

 

 

 

 

0

-2

Valeur nette au bilan

0

3 944

0

0

3 944

3 952

Total

0

5 655

0

123 400

129 055

81 165

Valeurs estimatives

 

5 834

 

126 375

132 209

84 554

 

Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 195 milliers d’euros au 31 décembre 2013, contre 193 K€ au 31 décembre 2012.

La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

Il n’y a pas de titres de l’activité de portefeuille.

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d’investissement s'élève à 3 648 K€ au 31 décembre 2013, contre 3 482 K€ au 31 décembre 2012.

 

5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Administration et banques centrales (y compris Etats) (1)

 

 

Etablissements de crédit

46 882

56 166

Clientèle financière

5 398

5 944

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

3 417

4 574

Divers et non ventilés

 

 

Total en principal

55 697

66 684

Créances rattachées

1 331

1 531

Dépréciations

-3 649

-4 703

Valeur nette au bilan

53 379

63 511

 

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

51 753

75 037

3 944

130 735

62 729

17 641

3 954

84 324

Dont titres cotés

44 284

75 037

3 944

123 265

44 564

17 641

3 954

66 159

Dont titres non cotés (1)

7 469

 

 

7 469

18 165

 

 

18 165

Créances rattachées

1 331

640

 

1 971

1 531

13

 

1 544

Dépréciations

3 649

 

 

3 649

4 701

 

2

4 703

Valeur nette au bilan

49 435

75 677

3 944

129 056

59 559

17 654

3 952

81 165

 

Commentaires :

(1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

OPCVM français 3 944 milliers d’euros

Dont OPCVM français de capitalisation 3 944 milliers d’euros

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2013:

 

(En milliers d'euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

3 944

4 114

OPCVM obligataires

 

 

OPCVM actions

 

 

OPCVM autres

 

 

Total

3 944

4 114

 

5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

3mois

>3mois 1an

>1 an 5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe :

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

1 534

5 773

24 742

19 704

51 753

1 331

53 084

64 261

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-3 649

-4 701

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

51 753

1 331

49 435

59 560

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

 

 

16 866

58 172

75 037

640

75 677

17 655

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

75 037

640

75 677

17 655

 

Note 6. – Titres de participation et de filiales.

 

Informations financières

Filiales participations

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital

Quote-part de capital détenue (en pourcentage)

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes du dernier exercice écoulé

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos)

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

Brutes

Nettes

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l’entité :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SCI Château de Castelnau

EUR

850

1

98,61%

1 202

576

229

 

16

-20

 

Participations dans des établissements de crédit [détail]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SAS Rue la Boétie

EUR

2 480 628

8 507 498

1,32%

227 662

227 662

12 654

 

99 341

-3 361

 

SAS SACAM Développement

EUR

725 470

 

1,35%

9 883

9 826

4 622

 

3 583

927

 

SACAM International

EUR

522 023

 

1,32%

11 893

6 937

 

 

269 615

-109 800

 

SAS SACAM Fireca

EUR

22 510

 

1,18%

529

280

 

 

23 656

457

 

SNC CA titres

EUR

15 245

15 989

0,57%

330

330

 

 

112 615

3 901

 

SAS Sofilaro

EUR

18 374

3

6,97%

1 281

1 281

3

 

0

49

6

SACAM Avenir

EUR

113 464

 

1,06%

1 208

1 208

 

 

0

-17

 

SAS Sacam

EUR

62 558

2 804

1,63%

1 184

1 184

 

 

1 638

868

 

Participations

EUR

47 185

 

1,16%

545

300

 

 

0

-14 300

 

FIA-Net Europe

EUR

792 234

NC

1,17%

523

523

 

 

NC

NC

 

C2MS

EUR

511

NC

0,71%

359

359

 

 

NC

NC

 

SACAM Immobilier

EUR

142 510

NC

1,62%

2 216

2 216

 

 

NC

NC

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital de l’entité :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées dans les établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

2 264

1 847

 

 

 

 

30

Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

261 179

254 629

17 508

0

510 464

-121 296

36

 

6.1. Valeur estimative des titres de participation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

Titres non cotés

1 202

576

1 202

621

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

229

229

229

229

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

-626

 

-581

 

Valeur nette au bilan

805

805

850

850

Titres de participation et autres titres détenus à long terme :

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

Titres non cotés

259 976

323 058

256 650

258 708

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

19 046

19 046

19 788

19 788

Créances rattachées

69

69

181

181

Dépréciations

-6 848

 

-5 343

 

Sous-total titres de participation

272 242

342 173

271 276

278 677

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres non cotés

1 349

1 349

1 349

1 349

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

1 349

1 349

1 349

Valeur nette au bilan

273 591

343 522

272 625

280 026

Total des titres de participation

274 396

344 327

273 475

280 876

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Total valeurs brutes :

 

 

 

 

Titres non cotés

261 179

 

257 852

 

Titres cotés

 

 

 

 

Total

261 179

 

257 852

 

 

Les valeurs estimatives sont déterminées d’après la valeur d’utilité des titres ; celle-ci n’est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant SAS Rue de la Boétie, la valeur d’utilité est de 17,85 au 31/12/2013.

 

Note 7. – Variation de l’actif immobilisé.

 

Immobilisations financières :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2013

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2013

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

1 202

 

 

 

1 202

Avances consolidables

229

 

 

 

229

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

-581

-45

 

 

-626

Valeur nette au bilan

850

-45

0

0

805

Titres de participation et autres titres détenus à long terme :

 

 

 

 

 

Titres de participation

271 276

1 884

-917

0

272 243

Valeurs brutes

273 926

3 359

-33

 

277 252

Avances consolidables

2 511

 

-741

 

1 770

Créances rattachées

181

69

-181

 

69

Dépréciations

-5 343

-1 544

39

 

-6 848

Sous-total titres de participation

271 276

1 884

-917

0

272 243

Autres titres détenus à long terme

1 349

0

0

0

1 349

Valeurs brutes

1 349

 

 

 

1 349

Avances consolidables

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

0

0

0

1 349

Valeur nette au bilan

272 625

1 884

-917

0

273 591

Total

273 475

1 839

-917

0

274 396

 

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2013

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2013

Immobilisations corporelles :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

129 755

6 342

-775

1 706

137 028

Amortissements et dépréciations

-88 769

-8 706

301

 

-97 174

Valeur nette au bilan

40 987

-2 364

-474

1 706

39 855

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

10 802

20

 

 

10 822

Amortissements et dépréciations

-9 917

-13

 

 

-9 930

Valeur nette au bilan

884

7

0

0

892

Total

41 871

-2 357

-474

1 706

40 747

 

Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Autres actifs :

 

 

Instruments conditionnels achetés

 

 

Comptes de stock et emplois divers

36 750

36 606

Débiteurs divers

38 575

33 163

Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

Comptes de règlement

33

139

Valeur nette au bilan

75 358

69 908

Comptes de régularisation :

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

35 442

50 404

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

1

1

Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

Charges constatées d'avance

13 261

14 706

Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

10 377

10 777

Autres produits à recevoir

19 626

20 154

Charges à répartir

114

140

Primes d'émission et de remboursement sur emprunts obligataires

 

 

Autres comptes de régularisation

7 598

114

Valeur nette au bilan

86 419

96 296

Total

161 777

166 204

 

Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l’actif.

 

(En milliers d'euros)

Solde au 01/01/2013

Dotations

Reprises et utilisations

Désactualisation

Autres mouvements

Solde au 31/12/2013

Sur opérations interbancaires et assimilées

 

 

 

 

 

0

Sur créances clientèle

164 332

59 155

-48 045

-2 338

 

173 105

Sur opérations sur titres

4 703

852

-1 906

 

 

3 649

Sur valeurs immobilisées

8 087

2 931

-103

 

 

10 914

Sur autres actifs

26 032

7 050

-2 359

 

 

30 723

Total

203 154

69 988

-52 413

-2 338

0

218 391

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

1

0

0

213

214

73

287

825

A vue

1

 

 

 

1

 

1

635

A terme

 

 

 

213

213

73

286

190

Valeurs données en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

1

0

0

213

214

73

287

825

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

8 202

 

 

 

8 202

 

8 202

63 856

Comptes et avances à terme

306 215

870 986

743 883

703 280

2 624 364

5 616

2 629 980

2 790 930

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

314 417

870 986

743 883

703 280

2 632 566

5 616

2 638 182

2 854 786

Total

314 418

870 986

743 883

703 493

2 632 780

5 689

2 638 469

2 855 611

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale.

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle.

 

11.1. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Comptes ordinaires créditeurs

1 036 197

 

 

 

1 036 197

7

1 036 203

1 003 659

Comptes d'épargne à régime spécial :

11 384

 

 

 

11 384

 

11 384

11 224

A vue

11 384

 

 

 

11 384

 

11 384

11 224

A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes envers la clientèle :

48 128

153 854

65 284

282 060

549 326

9 653

558 979

530 819

A vue

1 869

 

 

 

1 869

 

1 869

422

A terme

46 259

153 854

65 284

282 060

547 457

9 653

557 110

530 397

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

1 095 709

153 854

65 284

282 060

1 596 907

9 660

1 606 566

1 545 703

 

11.2. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Particuliers

795 023

777 900

Agriculteurs

104 395

94 774

Autres professionnels

103 204

102 720

Clientèle financière

10 630

8 086

Entreprises

490 651

457 869

Collectivités publiques

25 064

14 367

Autres agents économiques

67 940

82 266

Total en principal

1 596 906

1 537 982

Dettes rattachées

9 660

7 721

Valeur au bilan

1 606 566

1 545 703

 

Note 12. – Dettes représentées par un titre.

 

12.1. Dettes représentées par un titre – analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Bons de caisse

34

2 300

 

 

2 334

18

2 351

2 194

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres de créances négociables

 

 

 

150 000

150 000

279

150 279

150 297

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

34

2 300

 

150 000

152 334

297

152 630

152 491

 

Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Autres passifs (1) :

 

 

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

Instruments conditionnels vendus

 

2

Comptes de règlement et de négociation

 

 

Créditeurs divers

23 883

26 947

Versements restant à effectuer sur titres

1 010

584

Valeur au bilan

24 893

27 532

Comptes de régularisation :

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

1 203

15 933

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits constatés d'avance

18 391

19 893

Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

9 233

9 241

Autres charges à payer

23 047

20 573

Autres comptes de régularisation

653

658

Valeur au bilan

52 527

66 299

Total

77 420

93 831

(1) Les montants incluent les dettes rattachées.

 

Note 14. – Provisions.

 

(En milliers d'euro)

Solde au 01/01/2013

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au 31/12/2013

Provisions pour engagements de retraite et assimilés

260

 

 

-277

148

131

Provisions pour autres engagements sociaux

533

54

 

-26

 

562

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

1 203

200

 

-139

 

1 264

Provisions pour litiges fiscaux (1)

94

 

-94

 

 

 

Provisions pour autres litiges

52

72

-10

 

 

114

Provision pour risques pays

 

 

 

 

 

 

Provisions pour risques de crédit (2)

48 247

8 170

 

-3 691

 

52 726

Provisions pour restructurations

 

 

 

 

 

 

Provisions pour impôts (3)

277

 

-152

 

 

125

Provisions sur participations

 

 

 

 

 

 

Provisions pour risques opérationnels

4 133

533

-175

-58

 

4 434

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (4)

2 103

1 553

 

-689

 

2 967

Autres provisions (5)

3 828

3 489

-875

-201

 

6 241

Valeur au bilan

60 730

14 071

-1 306

-5 080

148

68 563

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II.

(3) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale

(4) Voir note 16 ci-après

(5) Y compris les provisions pour risques sur GIE d’investissement

 

Note 15. – Epargne logement.

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

139 267

89 025

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

247 831

254 222

Ancienneté de plus de 10 ans

271 093

296 043

Total plans d'épargne-logement

658 191

639 290

Total comptes épargne-logement

81 194

83 273

Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

739 385

722 563

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état

 

Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Plans d'épargne-logement

2 987

4 009

Comptes épargne-logement

9 748

11 996

Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

12 735

16 005

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

39

 

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

698

 

Ancienneté de plus de 10 ans

2 230

2 076

Total plans d'épargne-logement

2 967

2 076

Total comptes épargne-logement

 

27

Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 967

2 103

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

(En milliers d'euros)

01/01/2013

Dotations

Reprises

31/12/2013

Plans d'épargne-logement :

2 076

1 553

-662

2 967

Comptes épargne-logement :

27

 

-27

0

Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 103

1 553

-689

2 967

 

La reprise de la provision épargne logement au 31 décembre 2013 est liée à l’actualisation du modèle de calcul.

Les principales évolutions du modèle concernent la révision des lois d’écoulement des Plans Epargne Logement et des Comptes Epargne Logement ainsi que l’intégration d’une composante liquidité afin de refléter les conditions actuelles de marché.

 

Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies.

 

Définitions :

Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

Les régimes à prestations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

Variations de la dette actuarielle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Dette actuarielle au 31/12/N-1

13 483

11 530

Coût des services rendus sur l'exercice

1 024

860

Coût financier

382

543

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

-12

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-764

-505

(Gains) / pertes actuariels

186

901

Dette actuarielle au 31/12/n

14 299

13 329

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Coût des services rendus

1 024

860

Coût financier

382

543

Rendement attendu des actifs

-372

-374

Coût des services passés

 

18

Amortissement des (Gains) / pertes actuariels net

6

 

(Gains) / pertes sur réductions et liquidations de régimes

 

 

(Gains) / pertes du(e)s au changement de limitation d'actif

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 040

1 047

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/N-1

13 074

11 364

Rendement attendu des actifs

372

374

Gains / (pertes) actuariels

10

-454

Cotisations payées par l'employeur

1 317

2 142

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

-12

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations payées par le fonds

-763,747

-505

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/n

13 998

12 921

 

Composition des actifs des régimes. — Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de :

— 86,1 % d’obligations

— 7,9 % d’actions

— 6,0 % d’autres produits.

Rendement des actifs des régimes :

Le rendement attendu des actifs de régime est de 2,85 %.

Hypothèses actuarielles utilisées. — Au 31 décembre 2013, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50bp des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de –3,86 %;

— Une variation de moins de 50bp des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de +4,21 %.

 

Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Fonds pour risques bancaires généraux

12 557

7 557

Valeur au bilan

12 557

7 557

 

Note 18. – Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

≤ 3mois

>3mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Dettes subordonnées à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

15 000

 

15 000

481

15 481

15 481

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

 

 

 

C/C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

2 033

2 033

57

2 090

2 103

Dépôts de Garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

0

0

15 000

2 033

17 033

538

17 571

17 584

 

Commentaires :

Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 954 milliers d’euros au 31 décembre 2013 contre 934 K€ au 31 décembre 2012.

 

Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition).

 

Variation des capitaux propres :

 

(En milliers d'euros)

Capitaux propres

Capital (1) (2)

Réserve légale

Réserve statutaire

Primes, autres réserves et report à nouveau

Ecarts conversion/réévaluation

Provisions réglementées & subventions d'investissement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 Décembre 2011

28 057

297 045

22 884

229 666

 

 

28 609

606 261

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2011

 

 

 

 

 

 

-2 777

-2 777

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

0

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

0

Affectation du résultat social 2011

 

19 374

 

6 458

 

 

-25 832

0

Report à nouveau débiteur

 

 

 

 

 

 

 

0

Résultat de l’exercice 2012

 

 

 

 

 

 

13 621

13 621

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

0

Solde au 31 Décembre 2012

28 057

316 419

22 884

236 124

0

0

13 621

617 105

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2012

 

 

 

 

 

 

-1 590

-1 590

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

0

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

0

Affectation du résultat social 2012

 

9 024

 

3 008

 

 

-12 031

0

Report à nouveau débiteur

 

 

 

-148

 

 

 

-148

Résultat de l’exercice 2013

 

 

 

 

 

 

17 921

17 921

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

0

Solde au 31 décembre 2013

28 057

325 443

22 884

238 984

0

0

17 921

633 288

 

Commentaires :

(1) Dont 59 035 K€ de primes d'émission, dont 70 590 K€ primes de fusion

(2) Dont 7014 K€ de Certificats Coopératifs d'Association souscrit par Crédit Agricole S.A.

 

Note 20. – Composition des fonds propres.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Capitaux propres

633 288

617 106

Fonds pour risques bancaires généraux

12 557

7 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 571

17 584

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

Total des fonds propres

663 416

642 246

 

Note 21. – Opérations effectuées en devises.

 

Contributions par devise au bilan :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

5 205 570

5 205 570

5 349 212

5 349 212

Autres devises de l’Union Europ

58

58

65

65

Franc suisse

 

 

 

 

Dollar

1 233

1 233

1 126

1 126

Yen

 

 

 

 

Autres devises

203

203

210

210

Valeur brute

5 207 064

5 207 064

5 350 613

5 350 613

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Total

5 207 064

5 207 064

5 350 613

5 350 613

 

Note 22. – Opérations de change, prêts et emprunts en devises.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

À recevoir

À livrer

À recevoir

À livrer

Opérations de change au comptant

0

0

0

0

Devises

 

 

 

 

Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

3 658

3 650

1 053

1 050

Devises

1 788

1 788

519

519

Euros

1 870

1 862

534

531

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

Total

3 658

3 650

1 053

1 050

 

Note 23. – Opérations sur instruments financiers a terme.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total

Total

Opérations fermes

1 910 352

10 971

1 921 323

1 681 498

Opérations sur marchés organisés (1)

0

0

0

0

Contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

0

 

Contrats à terme de change

 

 

0

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

0

 

Autres contrats à terme

 

 

0

 

Opérations de gré à gré (1)

1 910 352

10 971

1 921 323

1 681 498

Swaps de taux d'intérêt

1 910 352

10 971

1 921 323

1 679 395

Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

0

 

Contrats à terme de change

 

 

0

2 103

Fra

 

 

0

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

0

 

Autres contrats à terme

 

 

0

 

Opérations conditionnelles

0

0

0

1 476

Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

Instruments de taux d'intérêt à terme

 

 

 

 

Instruments sur action et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Opérations de gré à gré

0

0

0

1 476

Options de swap de taux

 

 

 

 

Instruments de taux d'intérêts à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Instruments sur actions et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Autres instruments à terme conditionnels

 

 

 

 

Achetés

 

 

 

738

Vendus

 

 

 

738

Dérivés de crédit

0

0

0

0

Contrats de dérivés de crédit

 

 

 

 

Total

1 910 352

10 971

1 921 323

1 682 974

(1) Les montants indiqués sur les opérations fermes doivent correspondre au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats)

 

23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2013

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1an

de 1à 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

de 1à 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

de 1à 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

193 399

998 442

729 482

193 399

998 442

729 482

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

193 399

998 442

729 482

193 399

998 442

729 482

0

0

0

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

7 309

 

 

7 309

 

 

 

 

 

Sous total

7 309

0

0

7 309

0

0

0

0

0

Total

200 708

998 442

729 482

200 708

998 442

729 482

0

0

0

 

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2012

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1an

de 1à 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

de 1à 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

de 1à 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

114 223

784 828

780 344

114 223

784 828

780 344

 

 

 

Caps, floors, collars

1 475

 

 

1 475

 

 

 

 

 

Forward taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

115 698

784 828

780 344

115 698

784 828

780 344

0

0

0

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

1 409

 

694

1 409

 

694

 

 

 

Sous total

1 409

0

694

1 409

0

694

0

0

0

Total

117 107

784 828

781 038

117 107

784 828

781 038

0

0

0

 

23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Total juste valeur

Encours notionnel

Total juste valeur

Encours notionnel

Futures

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

F.R.A.

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

26 851

1 921 323

32 004

1 679 395

Forward taux

 

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

1 476

Dérivés sur actions, indices boursier et métaux précieux

 

 

 

 

Sous total

26 851

1 921 323

32 004

1 680 871

Swaps de devises

 

 

 

 

Opérations de change à terme

 

 

 

2 103

Sous total

 

 

 

2 103

Total

26 851

1 921 323

32 004

1 682 974

 

23.3. Information sur les Swaps :

— Ventilation des contrats d’échange de taux d’intérêt :

 

(En milliers d'euros)

Position ouverte isolée

Micro-couverture

Macro-couverture

Swaps de transaction

Contrats d'échange de taux

10 971

93 199

1 817 153

 

Contrats assimilés (1)

 

 

 

 

(1) Il s’agit des contrats assimilés au sens de l’article 1er du règlement 90-15 du CRBF

 

Note 24. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Engagements donnés :

 

 

Engagements de financement

500 709

441 571

Engagements en faveur d'établissements de crédit

61 118

 

Engagements en faveur de la clientèle

439 591

441 571

Ouverture de crédits confirmés

0

355 349

Ouverture de crédits documentaires

 

383

Autres ouvertures de crédits confirmés

 

354 966

Autres engagements en faveur de la clientèle

 

86 222

Engagements de garantie

293 313

303 904

Engagements d'ordre d'établissement de crédit

201 340

201 340

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

Autres garanties

 

201 340

Engagements d'ordre de la clientèle

91 973

102 564

Cautions immobilières

 

10 260

Autres garanties d'ordre de la clientèle

 

92 304

Engagements sur titres

325

711

Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements à donner

325

711

Engagements reçus

 

 

Engagements de financement

400 152

400 000

Engagements reçus d'établissements de crédit

400 152

400 000

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

849 169

816 007

Engagements reçus d'établissements de crédit

65 163

33 893

Engagements reçus de la clientèle

784 006

782 114

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

162 321

146 691

Autres garanties reçues

621 685

635 423

Engagements sur titres

325

711

Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements reçus

325

711

 

Note 25. – Produits nets d’intérêts et revenus assimiles.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 455

1 531

Sur opérations internes au Crédit Agricole

11 417

13 247

Sur opérations avec la clientèle

159 940

172 155

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

3 050

2 836

Produit net sur opérations de macro-couverture

 

 

Sur dettes représentées par un titre

3 777

4 403

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Intérêts et produits assimilés

179 639

194 172

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 337

1 347

Sur opérations internes au Crédit Agricole

47 284

62 755

Sur opérations avec la clientèle

21 424

18 684

Charge nette sur opérations de macro-couverture

2 217

3 794

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Sur dettes représentées par un titre

9 571

10 556

Autres intérêts et charges assimilées

25

24

Intérêts et charges assimilées

81 858

97 160

Total produits nets d'intérêts et revenus assimilés (1)

97 781

97 012

(1) Le montant des produits nets d'intérêts et revenus assimilés des dettes subordonnées au 31 décembre 2013 est de 954 MILLIERS D’EUROS, il était de 934 milliers d’euros au 31 décembre 2012

 

Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d’opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques.

 

Note 26. – Revenus des titres.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Titres de placement

208

302

Livret développement durable

 

 

Titres d'investissement

2 843

2 534

Opérations diverses sur titres

3 777

4 403

Revenus des titres à revenus fixes

6 828

7 239

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme

1 641

1 733

Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille

 

 

Opérations diverses sur titres

 

 

Revenus des titres à revenus variables

1 641

1 733

Total des revenus sur titres

8 469

8 972

 

Note 27. – Produit net des commissions.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

89

-20

69

299

-21

278

Sur opérations internes au crédit agricole

11 404

-6 209

5 195

13 160

-6 682

6 478

Sur opérations avec la clientèle

19 296

-94

19 202

17 321

-121

17 200

Sur opérations sur titres

0

0

0

 

 

0

Sur opérations de change

6

0

6

8

 

8

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

45

0

45

22

 

22

Sur prestations de services financiers

49 301

-5 547

43 754

53 229

-5 620

47 609

Provision pour risques sur commissions

183

-353

-170

270

-433

-163

Total produit net des commissions

80 325

-12 224

68 101

84 308

-12 877

71 431

 

Note 28. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

 

-20

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

108

126

Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations

108

106

 

Note 29. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimiles.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Titres de placement

 

 

Dotations aux dépréciations

-752

-2

Reprises de dépréciations

802

849

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

50

848

Plus-values de cession réalisées

28

5

Moins-values de cession réalisées

-94

-25

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

-66

-20

Solde des opérations sur titres de placement

-16

828

Titres de l'activité de portefeuille

 

 

Dotations aux dépréciations

 

 

Reprises de dépréciations

 

 

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

0

0

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

0

0

Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille

0

0

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

-16

828

 

Note 30. – Autres produits et charges d’exploitation bancaire.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Produits divers

592

715

Quote-part des opérations faites en commun

 

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Reprises provisions

 

 

Autres produits d'exploitation bancaire

592

715

Charges diverses

436

192

Quote-part des opérations faites en commun

 

283

Refacturation et transfert de charges

 

 

Dotations provisions

 

 

Autres charges d'exploitation bancaire

436

475

Total autres produits et charges d'exploitation bancaire

156

240

 

Note 31. – Charges générales d’exploitation.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Frais de personnel

 

 

Salaires et traitements :

32 895

32 547

Charges sociales :

15 787

17 121

Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies

 

 

Intéressement et participation

5 431

3 405

Impôts et taxes sur rémunérations

6 196

5 313

Total des charges de personnel

60 309

58 386

Refacturation et transferts de charges de personnel

-2 978

-2 792

Frais de personnel nets

57 331

55 594

Frais administratifs :

 

 

Impôts et taxes

4 700

4 762

Services extérieurs et autres frais administratifs

33 688

35 534

Total des charges administratives

38 387

40 295

Refacturation et transferts de charges administratives

-516

-597

Frais administratifs nets

37 870

39 698

Charges générales d'exploitation

95 201

95 292

 

Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE). — Suite à la mise en place du Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (conformément à l’article 244 quater C du Code général des impôts, applicable à compter du 1er janvier 2013), la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté en déduction de ses charges de frais de personnel, au niveau de la rubrique « Charges sociales » un montant de 979 K€ au 31 décembre 2013.

 

Effectif moyen. — Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) :

 

Catégories de personnel

31/12/2013

31/12/2012

Cadres

152

154

Non cadres

777

762

Total

929

916

Dont :

 

 

France

915

902

Étranger

14

14

 

La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l’institution.

Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 325 K€.

 

Note 32. – Cout du risque.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Dotations aux provisions et dépréciations

67 987

74 563

Dépréciations de créances douteuses

52 166

50 844

Autres provisions et dépréciations

15 821

23 719

Reprises de provisions et dépréciations

49 436

43 996

Reprises de dépréciations de créances douteuses

43 000

32 558

Autres reprises de provisions et dépréciations (1)

6 436

11 438

Variation des provisions et dépréciations

18 551

30 567

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées

455

399

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (2)

8 249

7 644

Décote sur prêts restructurés

98

88

Récupérations sur créances amorties

-303

-4 317

Autres pertes

177

20

Coût du risque

27 228

34 402

(1) Dont 179 milliers d’euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif

(2) Dont 5 609 milliers d’euros sur les créances douteuses compromises

 

 Note 33. – Résultat net sur actifs immobilisés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Immobilisations financières

 

 

Dotations aux dépréciations

1 588

4 896

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

1 588

4 896

Reprises de dépréciations

38

3 565

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

38

3 565

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-1 550

-1 331

Sur titres d'investissement

0

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-1 550

-1 331

Plus-values de cessions réalisées

4

17

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

4

17

Moins-values de cessions réalisées

0

0

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

 

 

Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cessions

4

17

Sur titres d'investissement

0

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

4

17

Solde en perte ou en bénéfice

-1 546

-1 314

Immobilisations corporelles et incorporelles

 

 

Plus-values de cessions

212

5

Moins-values de cessions

0

40

Solde en perte ou en bénéfice

212

-35

Résultat net sur actifs immobilises

-1 334

-1 349

 

Note 34. – Charges et produits exceptionnels.

 

La caisse régionale n’a pas comptabilisé de charges et de produits exceptionnels sur l’exercice 2013.

 

Note 35. – Impôt sur les bénéfices.

 

Cet agrégat comprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l’exercice s’élève à 12 434 K€.

En 2013, la Caisse Régionale a consenti un abandon de créances à titre commercial de 16 Millions d’€uros à sa succursale en Espagne, déductible fiscalement.

Intégration fiscale : La Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole S.A. A ce titre, elle a perçu un produit d’impôt résultant de la réallocation de l’économie d’IS liées aux dividendes intragroupe pour 196 K€.

 

Note 36. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

 

36.1. Résultat courant par zone géographique :

— Au 31 décembre 2013 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

160 627

-93 302

-7 201

60 124

-15 309

44 815

-1 334

43 481

Autres pays de l'U.E.

7 144

-1 899

-1 453

3 792

-11 919

-8 127

 

-8 127

Résultat courant avant impôt

167 771

-95 201

-8 654

63 916

-27 228

36 688

-1 334

35 354

 

— Au 31 décembre 2012 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

160 115

-92 730

-7 012

60 373

-9 376

50 997

-1 325

49 672

Autres pays de l'u.E.

11 235

-4 051

-146

7 038

-25 026

-17 988

-24

-18 012

Résultat courant avant impôt

171 350

-96 781

-7 158

67 411

-34 402

33 009

-1 349

31 660

 

Note 37. – Affectation des résultats.

 

PROJET AFFECTATION DU RÉSULTAT au 31/12/2013

 

Résultat comptable

17 921 018,15€

Ran

-148 826,00€

Résultat à affecter

17 772 192,15€

Distribué

1 837 947,20€

Intérêts aux parts sociales

505 032,79€

Intérêts aux parts aux Caisses locales

505 023,64€

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

9,15€

Rémunération des CCA

1 332 914,41€

Conservé

15 934 244,95€

Réserves légales

11 950 683,71€

Autres réserves

3 983 561,24€

 

Note 38. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs.

 

La Caisse régionale Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un Etat ou un territoire non coopératif au sens de l’article 238-0 A du Code général des impôts.

 

Note 39. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

 

Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse régionale de Sud Méditerranée :

 

(En milliers d'euros)

Ernst & Young

%

KPMG

%

Audit :

 

 

 

 

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

119

60%

80

40%

Missions accessoires

 

 

 

 

Sous-total

119

60%

80

40%

Autres prestations :

 

 

 

 

Juridique, fiscal et social

 

 

 

 

Technologie de l'information

 

 

 

 

Audit interne

 

 

 

 

Autres : à préciser si > à 10% des honoraires d'audit

 

 

 

 

Sous-total

0

0%

0

0%

Total

119

60%

80

40%

(1) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes.

 

Note 40. – Publicité.

 

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels

Exercice clos le 31 décembre 2013

 

Aux Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons noire rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2013, sur :

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par votre conseil d'administration. 11 nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

 

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la Caisse Régionale à la fin de cet exercice.

 

Sans remettre en cause l'opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur le changement de méthode exposé dans les notes 2 et 2.13 de l'annexe concernant la recommandation ANC 2013-02 relative aux règles d'évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l'article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants:

 

Estimations comptables :

Comme indiqué dans la note 2.6 de l'annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l'appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et des provisions individuelles et collectives.

 

Les parts dans les entreprises liées, les titres de participation et les autres titres détenus à long terme sont évalués par votre caisse régionale à leur valeur d'utilité en retenant une approche fondée sur les modalités décrites dans la note 2.2 de l'annexe, Dans le cadre de notre appréciation de ces estimations, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner les éléments ayant conduit à la détermination des valeurs d'utilité pour les principales lignes du portefeuille.

 

Votre Caisse Régionale détient des positions sur titres et sur instruments financiers. Les notes 2.2 et 2.8 de l'annexe exposent les règles et méthodes comptables relatives à ces titres et instruments financiers. Sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner k dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre Caisse Régionale et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

 

Votre Caisse Régionale procède à d'autres estimations dans le cadre habituel de la préparation de ses comptes annuels qui portent, notamment, sur les engagements en matière de retraite et d'indemnités de fin de carrière. Nous avons revu les hypothèses retenues et vérifié que ces estimations comptables s'appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans les notes 2.13 de l'annexe.

 

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France; aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

 

Nous n'avons pas d'observation â formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d'administration et dans les documents adressés aux Sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Toulouse et Perpignan, le 11 mars 2014.

Commissaires aux comptes :

 

 

 

B. — Comptes consolidés 31 décembre 2013.

Arrêtés par le Conseil d’administration de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 14 Février 2014 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 25 Mars 2014

Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers.

 

I. — Cadre général.

Présentation juridique de l’entité.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à PERPIGNAN, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335 et fait partie du groupe crédit agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole.

 

Un Groupe bancaire d’essence mutualiste. — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités.

Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 7,4 millions de sociétaires qui élisent quelques 31 921 administrateurs.Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice.

La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole S.A. Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie.

La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du réseau Crédit Agricole, tel que défini à l’article R. 512-18 du Code monétaire et financier veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L. 511-31 et article L. 511-32), à la cohésion du réseau Crédit Agricole au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent et au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole S.A. dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

 

 

Relations internes au Crédit agricole.

 

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe.

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit » ou « Dettes envers les établissements de crédit ».

 

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. et centralisées par Crédit Agricole S.A., elles figurent à ce titre à son bilan.

 

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales destinées à assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

 

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

 

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

 

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

 

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

 

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

 

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

 

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (« FRBLS ») destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

 

En outre, depuis la mutualisation en 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un événement similaire affectant Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

— Garanties spécifiques apportées par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA (Switch) : Le dispositif Switch, mis en place le 23 décembre 2011, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole S.A., en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole.

 

Crédit Agricole S.A. consolidé par mise en équivalence ses participations dans les Caisses régionales. Ces participations sont des risques pondérés à 290% (CCI) ou 370% (CCA) dans le ratio de solvabilité de Crédit Agricole S.A.

 

A travers le dispositif Switch, les Caisses régionales s’engagent à supporter les exigences en Fonds Propres et les risques économiques associés sous forme d’indemnisation le cas échéant.

 

La bonne fin du dispositif est garantie par la mise en place d’un dépôt de garantie versé par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A.

 

Ainsi le dispositif protège Crédit Agricole S.A. dès lors qu’une baisse de valeur est constatée, le mécanisme de garantie est actionné et Crédit Agricole S.A. perçoit une indemnisation prélevée sur le dépôt de garantie. En cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence globale, Crédit Agricole S.A., de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

 

En conséquence, sur le plan prudentiel :

– Crédit Agricole S.A. réduit ses exigences de capital à proportion du montant de la garantie accordée par les Caisses Régionales;

– Les Caisses régionales constatent symétriquement des exigences de capital égales à celles économisées par Crédit Agricole S.A.

 

Ce dispositif, qui est neutre au niveau du groupe Crédit Agricole, permet de rééquilibrer l’allocation en fonds propres entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales.

 

Ce contrat s’analyse en substance comme un droit complémentaire attaché aux 25 % de CCI/CCA détenus par Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales, et par conséquent il est lié à l’influence notable que Crédit Agricole S.A. exerce sur les Caisses régionales.

 

La durée de la garantie est de 15 ans au bout desquels elle peut être prolongée par tacite reconduction. Cette garantie peut être résiliée par anticipation, dans certaines conditions et avec l’accord préalable de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution.

 

Le dépôt de garantie est rémunéré à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. La garantie fait l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

 

Dans les comptes consolidés, le traitement comptable repose sur l’analyse en substance de la transaction : cela conduit à considérer que l’indemnisation issue de la mise en jeu des garanties et son remboursement lors du retour à meilleure fortune s’analysent comme un partage des résultats dont les impacts sont enregistrés en réserves consolidées au niveau des Caisses régionales et en résultat sur sociétés mises en équivalences dans les comptes consolidés de Crédit Agricole S.A., compte tenu de l’influence notable exercée par Crédit Agricole S.A. . Le dépôt de garantie constitue une créance au coût amorti pour les Caisses régionales et symétriquement une dette au coût amorti pour Crédit Agricole S.A. Les rémunérations sont respectivement enregistrées en Produit net bancaire, à l’exception de la rémunération de la garantie qui est affectée au résultat des entreprises mises en équivalence chez Crédit Agricole S.A.

 

Par avenant signé le 19 décembre 2013, Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales ont décidé d’étendre l’assiette des garanties déjà accordées par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. le 23 décembre 2011 à la participation de Crédit Agricole S.A. dans Crédit Agricole Assurances (CAA). Les nouvelles garanties ont pris effet le 2 janvier 2014 et permettent désormais un transfert des exigences prudentielles s’appliquant à la fois aux participations de Crédit Agricole S.A. dans les Caisses régionales (CCI/CCA) et dans Crédit Agricole Assurances (CAA), ce dernier étant mis en équivalence pour les besoins prudentiels.

 

Dans ce contexte, les dépôts de garantie versés par les Caisses régionales à Crédit Agricole S.A. ont été complétés en date du 2 janvier 2014. Les dépôts de garantie sont calibrés pour matérialiser l’économie de fonds propres réalisée par Crédit Agricole S.A.

 

L’échéancier des garanties globales reste identique (1er mars 2027).

 

Le mécanisme général du dispositif est similaire au premier volet de l’opération, mais la substance du contrat s’analyse désormais comme un contrat d’assurance du fait de l’existence d’un risque global d’assurance au sens de la norme IFRS 4.

 

Informations relatives aux parties liées. — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2013 et aux dirigeants. Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 30 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales.»

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 033 K€.

 

 

II. — Etats financiers consolidés.

1. — Compte de résultat.

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2013

31/12/2012

Intérêts et produits assimilés

4.1

202 098

220 762

Intérêts et charges assimilées

4.1

-101 454

-120 940

Commissions (produits)

4.2

80 324

84 309

Commissions (charges)

4.2

-12 089

-12 723

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

-1 082

948

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4-6.4

-438

-8 714

Produits des autres activités

4.5

859

721

Charges des autres activités

4.5

-2 190

-2 346

Produit net bancaire

 

166 028

162 017

Charges générales d'exploitation

4.6-7.1 7.4-7.6

-95 365

-94 087

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-7 122

-6 941

Résultat brut d’exploitation

 

63 541

60 989

Coût du risque

4.8

-28 152

-34 514

Résultat d'exploitation

 

35 389

26 475

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

32

-35

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impôt

 

35 421

26 440

Impôts sur les bénéfices

4.10

-11 111

-17 805

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

Résultat net

 

24 310

8 635

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Résultat net – part du groupe

 

24 310

8 635

 

2. — Résultat net et gains et pertes comptabilises directement en capitaux propres.

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2013

31/12/2012

Résultat net

 

24 310

8 635

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

 

 

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente (1)

 

-2 088

1 961

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

 

184

30

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

-115

-867

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence

 

-2 019

1 124

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

 

-2 019

1 124

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

4.11

-2 019

1 124

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

22 291

9 759

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Dont part du Groupe

 

 

 

 

L’ensemble des Caisses régionales de Crédit Agricole détient la totalité du capital de SAS Rue la Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50 % des droits de vote et du capital de Crédit Agricole S.A. Les opérations sur les titres non cotés SAS Rue la Boétie sont encadrées par une convention de liquidité qui détermine le prix de référence qui devrait s’appliquer en cas de transferts des titres SAS Rue La Boétie entre Caisses régionales ou lors des augmentations de capital de SAS Rue la Boétie.

 

Au plan comptable, les titres SAS Rue La Boétie sont classés en titres disponibles à la vente (AFS) et doivent être valorisés à leur juste valeur dans les comptes des Caisses régionales. Dans la mesure où ces titres ne sont pas côtés sur un marché actif, cette juste valeur doit être établie sur la base de techniques de valorisation. Si aucune juste valeur ne peut être déterminée de manière fiable, la norme prévoit que les titres soient maintenus à leur prix de revient. Jusqu’en 2012 et pour refléter les spécificités des titres SAS Rue La Boétie, la valeur retenue pour l’établissement des comptes consolidés des Caisses régionales a été alignée sur la convention de liquidité qui détermine le prix de référence qui doit s'appliquer en cas de transferts des titres SAS Rue La Boétie entre Caisses régionales. Ce prix de référence est déterminé par une formule qui intègre trois composantes : le cours de bourse des titres Crédit Agricole S.A., le coût de revient de l’action Crédit Agricole S.A. dans les comptes de la SAS Rue La Boétie et l’actif net consolidé par action de Crédit Agricole S.A.

 

Toutefois, dans un contexte de marché dégradé, la baisse du cours de l’action Crédit Agricole S.A. s’est traduit par un écart croissant constaté durablement entre le cours de l’action Crédit Agricole S.A. et le prix de l'action SAS Rue La Boétie fixé par la convention de liquidité. En l’absence de transaction sur le titre entre les Caisses régionales, ce prix fixé par la convention n’a plus semblé pouvoir être considéré comme une référence de prix représentative de leur juste valeur au sens de la norme IAS 39.

 

La mise en œuvre d'une valorisation qui permettrait de refléter l’ensemble des droits et obligations attachés à la détention des titres SAS Rue La Boétie soulève de nombreuses incertitudes, en particulier en ce qui concerne la valorisation d’éléments intangibles et incessibles comme :

— La stabilité capitalistique du Groupe qui permet d’assurer le contrôle collectif et permanent des Caisses régionales sur Crédit Agricole S.A.,

— La couverture des risques de liquidité et de solvabilité des Caisses régionales,

— Les relations économiques et financières internes au Groupe Crédit Agricole,

— La mise en commun de moyens et,

— La valorisation, le développement et l’utilisation de la marque Crédit Agricole,

 

En conséquence, et comme le prévoit la norme IAS 39 dès lors que le recours à un modèle de valorisation ne permet pas d’établir une valorisation fiable, les titres SAS Rue La Boétie sont valorisés à leur coût depuis le 31 décembre 2012. En cas de cession ou de dépréciation, les gains et pertes latents précédemment constatés en gains et pertes directement en capitaux propres sont transférés en résultat. En cas d’indication objective de perte de valeur les titres sont dépréciés dès lors que la valeur comptable du titre est supérieure à une valeur de référence déterminée sur une approche multicritère basée sur la valeur de marché des différentes activités de Crédit Agricole S.A. Ainsi, les travaux de valorisation, réalisés par un expert externe, s’appuient sur une approche fondée sur des paramètres de marché visant à établir une valeur des flux de trésorerie futurs attendus actualisés au taux qui serait retenu par le marché pour un actif similaire conformément au paragraphe 66 d’IAS 39. Cette approche combine une valorisation des flux futurs attendus des différentes activités du Groupe actualisés à un taux de marché, une valorisation de l’actif net du Groupe, une valorisation des activités du Groupe par référence à des prix de transactions observés récemment sur des activités similaires, une valorisation fondée sur le cours de bourse de Crédit Agricole S.A. complété d’une prime de contrôle et, le cas échéant une valorisation par référence aux transactions internes.

 

Ainsi, depuis le 31 décembre 2012, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués à leur coût. Ce dernier correspondait à la juste valeur des titres au 30 septembre 2012, soit 14 euros.

 

La valeur fondée sur des paramètres de marché et déterminée pour le test de dépréciation selon la méthodologie décrite ci-avant ressortait à 13,64 euros au 31 décembre 2012.

 

En conséquence, les impacts en 2012 pour la Caisse régionale Sud Méditerranée ont été les suivants :

— Constatation d’une dépréciation de 5 900 milliers d’euros déterminée à partir de la différence entre la valeur des titres au 30 septembre 2012 soit 14 euros par action et la valeur déterminée pour le test de dépréciation soit 13,64 euros par action.

— Reclassement partiel en résultat des gains latents constatés en capitaux propres pour 1 777 milliers d’euros, montant correspondant à la différence entre la valeur des titres au 30 septembre 2012 et la valeur des titres servant de base au calcul de la dépréciation au 31 décembre 2012 soit 13,64 euros par titre.

 

Soit un impact global sur le résultat consolidé au 31 décembre 2012 de 4 123 milliers d’euros.

 

Au 31 décembre 2013, les titres SAS Rue La Boétie ont fait l’objet de test de dépréciation, il en résulte que la valeur de l’action SAS Rue La Boétie est estimée à 17,56 euros à fin 2013, contre 13,64 euros à fin 2012. Dès lors, aucune dépréciation complémentaire n’a été à constater ;

 

3. — Bilan.

(En milliers d'euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2013

31/12/2012

Caisse, banques centrales

6.1

29 090

31 398

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

3.2-6.2

6 133

10 870

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

96 420

127 751

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.6

259 697

259 169

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5-6.6

184 568

269 045

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5-6.6

4 352 417

4 459 476

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

56 419

82 083

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

6.6-6.9

118 747

66 227

Actifs d'impôts courants et différés

6.12

29 488

20 679

Comptes de régularisation et actifs divers

6.13

131 262

140 949

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Participation aux bénéfices différée

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

Immeubles de placement

6.14

5 979

6 054

Immobilisations corporelles

6.15

34 056

35 120

Immobilisations incorporelles

6.15

892

884

Ecarts d'acquisition

 

 

 

Total de l'actif

 

5 305 168

5 509 705

 

Passif

Notes

31/12/2013

31/12/2012

Banques centrales

6

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

3.2-6.2

150

369

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

69 495

95 576

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.8

2 630 114

2 847 745

Dettes envers la clientèle

3.1-3.3-6.8

1 604 197

1 542 725

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.10

155 344

159 613

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

70 645

96 254

Passifs d'impôts courants et différés

6.12

115

4 533

Comptes de régularisation et passifs divers

6.13

70 381

82 967

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

Provisions

6.16

15 848

12 105

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.10

15 370

15 345

Total dettes

 

4 631 659

4 857 232

Capitaux propres

6.17

673 509

652 473

Capitaux propres - part du Groupe

 

673 509

652 473

Capital et réserves liées

 

156 534

156 152

Réserves consolidées

 

491 485

484 487

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

1 180

3 199

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Résultat de l'exercice

 

24 310

8 635

Participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

Total du passif

 

5 305 168

5 509 705

 

4. — Tableau de variation des capitaux propres.

(En milliers d'euros)

Part du Groupe

Participations ne donnant pas le contrôle

Capitaux propres consolidés

Capital et réserves liées

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Résultat net

Capitaux propres

Capital réserves con solidées et résultat

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Capitaux propres

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital (1)

Elimination des titres auto-détenus

Total capital et Réserves consolidées

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables

Capitaux propres au 1er janvier 2012

26 754

614 112

 

640 866

 

2 075

2 729

645 670

0

 

 

0

645 670

Augmentation de capital

 -227

 

 

 -227

 

 

 

-227

 

 

 

 

-227

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

0

 

 

 

 

0

Dividendes versés en 2012

 

 

 

 

 

 

-2 729

-2 729

 

 

 

 

-2 729

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

Mouvements liés aux stock-options

           

0

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

 -227

0

0

-227

0

0-2 729

-2 956

0

0

0

0

- 2 956

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

0

 

 1 124

0

1 124

 

 

 

 

1 124

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres des entreprises mises en équivalence

 

 

 

0

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat au 31/12/2012

 

 

 

0

 

 

8 635

 8 635

 

 

 

 0

8 635

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Capitaux propres au 31 décembre 2012

26 527

614 112

0

640 639

0

3 199

8 635

652 473

 

 

 

 

652 473

Affectation du résultat 2012

 

8 635

 

8 635

 

 

-8 635

 

 

 

 

 

0

Capitaux propres au 1er janvier 2013

26 527

622 747

0

649 274

 

3 199

0

652 473

 

 

 

 

652 473

Augmentation de capital

382

 

 

382

 

 

 

382

 

 

 

 

382

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

 

0

Dividendes versés en 2013

 

-1 539

 

-1 539

 

 

 

-1 539

 

 

 

 

-1 539

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

 

0

Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

 

0

Mouvements liés aux stock-options

 

 

 

 

 

 

 

0

 

 

 

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

382

-1 539

0

-1 157

0

0

 

-1 157

 

 

 

 

-1 157

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

0

 

-2 019

 

-2 019

 

 

 

 

-2 019

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres des entreprises mises en équivalence

 

 

 

0

 

 

 

0

 

 

 

 

0

Résultat au 31/12/2013

 

 

 

0

 

 

24 310

24 310

 

 

 

 

24 310

Autres variations (2)

 

 -98

 

-98

 

 

 

-98

 

 

 

 

-98

Capitaux propres au 31 décembre 2013

26 909

621 110

0

648 019

0

1 180

24 310

673 509

0

0

0

0

673 509

(1) réserves consolidées avant élimination des titres d'auto-contrôle

(2) Une variation d'un montant de 98 K€ est due à l'application de l'amendement d'IAS 19 au 1er janvier 2013.

 

5. — Tableau des flux de trésorerie.

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de a Caisse Régionale de Sud Méditerranée y compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans cette rubrique.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

 

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Résultat avant impôts

35 421

26 440

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

7 122

6 942

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

31 121

52 380

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

-36

18

Résultat net des activités de financement

954

959

Autres mouvements

1 850

-1 094

Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

41 011

59 205

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

-46 741

-240 366

Flux liés aux opérations avec la clientèle

147 105

134 380

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-46 745

-25 864

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-11 405

-16 158

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-24 296

-9 293

Diminution/(augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

17 918

-157 301

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux net de trésorerie généré par l'activité OPERATIONNELLE (A)

94 350

-71 656

Flux liés aux participations (1)

-2 895

-2

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-5 752

-5 264

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-8 647

-5 266

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2)

-1 157

-2 955

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (3)

-929

-929

Flux provenant des activités abandonnées

 

 

TOTAL Flux net de trésorerie lié aux opérations de FINANCEMENT (C )

-2 086

-3 884

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D)

83 617

-80 806

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

-23 503

57 304

Solde net des comptes de caisse et banques centrales *

31 390

29 768

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit **

-54 893

27 536

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

60 115

-23 503

Solde net des comptes de caisse et banques centrales *

29 087

31 390

Solde net des comptes prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit **

31 028

-54 893

Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie

83 618

-80 807

(1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2.2. Au cours de l’année 2013, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 2 895 K€, portant notamment sur les opérations suivantes :

- Acquisition de titres de participation dans la SAS SACAM Immobilier pour un montant de 2 216 K€

- Acquisition de titres de participation dans CT CAM pour 359 K€ (Part non libérée au 31/12/2013)

- Acquisition de titres de participation dans C2MS pour 623 K€.

- Acquisition de titres de participation SA Roussillon Habitat pour 160 K€

- Libération de capital de SACAM Fia-net pour 110 K€

L’ensemble de ces prises de participation a été souscrit dans le cadre d’augmentations de capital.

(2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 1 539 K€ pour l’année 2013.

 

III. — Notes annexes aux états financiers.

1. – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés.

 

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2013 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite « carve out »), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture.

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias/index_fr.htm.

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2012.

Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2013 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2013. Celles-ci portent sur :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du

Applicable dans le Groupe

Amendement de la norme IAS 1, relatif à la présentation des autres éléments du résultat global, nouvelle décomposition des autres capitaux

05 juin 2012 (UE n°475/2012)

1er janvier 2013

Oui

Amendement de la norme IAS 19 relatif aux engagements de retraite (régimes à prestations définies)

05 juin 2012 (UE n°475/2012)

1er janvier 2013

Oui

Norme IFRS 13 relative à l’évaluation de la juste valeur

11 décembre 2012 (UE n° 1255/12)

1er janvier 2013

Oui

Amendement de la norme IAS 12 sur les impôts différés – Recouvrement des actifs sous-jacents

11 décembre 2012 (UE n° 1255/12)

1er janvier 2013

Non

Interprétation IFRIC 20 sur les frais de déblaiement engagés pendant la phase de production d’une mine à ciel ouvert

11 décembre 2012 (UE n° 1255/12)

1er janvier 2013

Non

Amendement d’IFRS 1 sur l’hyperinflation grave

11 décembre 2012 (UE n° 1255/12)

1er janvier 2013

Non

Amendements d’IFRS 7 sur les informations à fournir au titre des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers

13 décembre 2012 (UE n° 1256/12)

1er janvier 2013

Oui

Amendement de la norme IFRS 1 (prêts publics)

04 mars 2013 (UE n°183/2013)

1er janvier 2013

Non

Amendements portant sur les améliorations annuelles des IFRS, cycle 2009-2011 modifiant les normes suivantes : IFRS 1, IAS 1, IAS 16, IAS 32, IAS 34, IFRIC 2

27 mars 2013 (UE n°301/2013)

1er janvier 2013

Oui

 

L’application des autres nouveaux textes du référentiel IFRS n’a pas eu d’impact significatif sur le résultat et la situation nette de la période.

 

En effet : L’amendement de la norme IAS 1 prévoit, au sein des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, la distinction des éléments recyclables/non recyclables. La mise en œuvre de cet amendement se résume à un impact de présentation.

 

L’amendement de la norme IAS 19 prévoit principalement l’obligation d’enregistrer les écarts actuariels, relatifs aux régimes à prestations définies, en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. Cette méthode étant déjà appliquée par le Groupe (optionnelle dans la version précédente d’IAS 19), les effets de cet amendement sont très limités et non significatifs (enregistrement en capitaux propres dans les comptes au 31 décembre 2013).

 

L’amendement d’IFRS 7 qui vise à réconcilier les règles de compensation IFRS telles que définies dans IAS 32, avec les règles de compensations américaines selon le référentiel US Gaap, prévoit que soient mentionnés les effets des accords de compensation sur les actifs et les passifs financiers. La traduction de cet amendement est l’intégration d’une note complémentaire (note 6.12 « Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers ») au niveau des notes annexes des états financiers au 31 décembre 2013.

 

Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique.

 

Ceci concerne en particulier :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du

Applicable ultérieurement dans le Groupe

Norme IFRS 10 sur les états financiers consolidés

11 décembre 2012 (UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Oui

Norme IFRS 11 sur les partenariats

11 décembre 2012 (UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Oui

Norme IFRS 12 sur les informations à fournir sur les intérêts détenus dans d’autres entités

11 décembre 2012 (UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Oui

Norme IAS 27 modifiée sur les états financiers individuels

11 décembre 2012 (UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Non

Norme IAS 28 modifiée sur les participations dans des entreprises associées et des coentreprises

11 décembre 2012 (UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Oui

Amendement d’IAS 32 sur la présentation des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers

13 décembre 2012 (UE n° 1256/12)

1er janvier 2014

Oui

Amendements relatifs aux dispositions transitoires pour les normes IFRS 10 : Consolidation des états financiers, IFRS 11 : Partenariat et IFRS 12 : Informations à fournir sur les intérêts détenus dans d’autres entités

04 avril 2013 (UE n°313/2013)05

1er janvier 2014

Oui

Amendement des normes IFRS 10 et 12 par rapport aux entreprises d’investissement

20 novembre 2013 (UE n° 1174/ 2013)

1er janvier 2014

Non

Amendement de la norme IAS 36 sur les informations à fournir sur la valeur recouvrable des actifs non financiers

19 décembre 2013 (UE n° 1374/2013)

1er janvier 2014

Oui

Amendements de la norme IAS 39 sur les instruments financiers, par rapport à la comptabilisation et l’évaluation de la novation de dérivés et le maintien de la comptabilité de couverture

19 décembre 2013 (UE n° 1375/2013)

1er janvier 2014

Oui

 

L’application de ces normes et amendements n’a pas eut d’incidence significative sur le résultat et les capitaux de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

Par ailleurs, les normes et interprétations publiées par l’IASB mais non encore adoptées par l’Union européenne n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2013.

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation ANC n°2013-04 du 07 novembre 2013.

 

1.3. Principes et méthodes comptables :

Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

 

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux ;

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

— les modifications de la réglementation ou de la législation.

 

Cette liste n’est pas exhaustive.

 

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

— les instruments financiers évalués à la juste valeur ;

— les participations non consolidées ;

— les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ;

— les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et d’actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance;

— les dépréciations des créances irrécouvrables ;

— les provisions ;

— les dépréciations des écarts d’acquisition ;

— les actifs d’impôts différés ;

— la valorisation des entités mises en équivalence ;

 

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

 

Instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne.

 

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation.

 

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

Titres à l’actif

— Classification des titres à l’actif : Les titres sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définies par la norme IAS 39 :

– actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

– actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

– prêts et créances ;

– actifs financiers disponibles à la vente.

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat / affectation par nature ou sur option : Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

 

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et d’évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

 

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranéea utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

– EMTN Confluent

– EMTN CALYON CMS TEC

 

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus.

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

 

Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance : La catégorie "Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance" (applicable aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

– ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désigné lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

– ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des actifs détenus jusqu’à l’échéance.

 

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39.

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote / décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Prêts et créances : La catégorie «Prêts et créances» enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres du portefeuille « Prêts et créances » sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote / décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles dépréciations.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat.

L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ».

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie : L’ensemble des Caisses régionales de Crédit Agricole détient la totalité du capital de SAS Rue La Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50 % des droits de vote et du capital de Crédit Agricole S.A.

 

La fixation de paramètres permettant de refléter l’ensemble des droits et obligations attachés à la détention des titres SAS Rue La Boétie est complexe et ne permet pas de déterminer une juste valeur fiable au sens de la norme IAS 39. Cela concerne des éléments tels que :

– La stabilité capitalistique du Groupe qui permet d’assurer le contrôle collectif et permanent des Caisses régionales sur Crédit Agricole S.A.,

– La couverture des risques de liquidité et de solvabilité des Caisses régionales,

– Les relations économiques et financières internes au Groupe Crédit Agricole,

– La mise en commun de moyens et,

– La valorisation, le développement et l’utilisation de la marque Crédit Agricole,

 

En conséquence, et en application de l’exception prévue par la norme IAS 39, les titres SAS Rue La Boétie sont valorisés à leur coût dans les comptes des Caisses régionales. Les titres font l’objet d’un test de dépréciation annuel et, le cas échéant, en cas d’indice de pertes de valeur (cf. partie principes et méthodes comptables – dépréciation des titres).

 

– Dépréciation des titres : Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

 

Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette.

 

Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale Sud Méditerranéeutilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30 % au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs.La Caisse Régionale Sud Méditerranéeprend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme etc.

 

Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de valeur supérieure à 50 % ou observée pendant plus de 3 ans.

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie : Les titres SAS Rue la Boétie, valorisés au coût, font systématiquement l’objet d’un test de dépréciation annuel et en cas d’indices de pertes de valeurs.

 

A titres d’exemples, les situations suivantes pourraient être considérées comme des indications objectives de dépréciation (à apprécier en fonction de leur significativité) :

- Annonce d’un plan de restructuration ou de cession sur le périmètre Groupe Crédit Agricole S.A.,

- Baisse du cours de l’action Crédit Agricole S.A.,

- Diminution de l’actif net consolidé de Crédit Agricole S.A.,

- Constatation d’un résultat net déficitaire,

- Dégradation de la notation de Crédit Agricole S.A. ...

 

Une dépréciation sera enregistrée en résultat dès lors que la valeur comptable du titre sera supérieur à une valeur de référence déterminée sur une approche multicritère fondée sur des paramètres de marché visant à établir une valeur des flux de trésorerie futures attendus actualisés au taux qui serait retenu par le marché pour un actif similaire conformément au paragraphe 66 d’IAS 39. Cette approche combine une valorisation des flux futurs attendus des différentes activités du Groupe actualisés à un taux de marché, une valorisation de l’actif net du Groupe, une valorisation des activités du Groupe par référence à des prix de transactions observés récemment sur des activités similaires, une valorisation fondée sur le cours de bourse de Crédit Agricole S.A. complété d’une prime de contrôle et, le cas échéant une valorisation par référence aux transactions internes.

 

Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances.

 

La constatation de cette dépréciation se fait :

- pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure,

- pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

 

– Date d’enregistrement des titres : Crédit Agricole S.A. enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans les catégories « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » et « Prêts et créances ». Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

— Reclassements d’actifs financiers : Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est autorisé d’opérer les reclassements suivants :

– des catégories « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » et « Actifs financiers disponibles à la vente » vers la catégorie « Prêts et créances », si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

– dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » vers les catégories « Actifs financiers disponibles à la vente » ou « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance », si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes.

 

La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l’actif financier reclassé.

 

Les informations sur les reclassements réalisés par la Caisse Régionale Sud Méditerranée en application de la norme IAS 39 sont données dans la note 9 « Reclassements d’instruments financiers ».

 

— Acquisition et cession temporaire de titres : Au sens de l’IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent pas les conditions de décomptabilisation d’IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis.

 

Les éléments d’actifs prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan.

 

Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire.

 

Une créance est enregistrée en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension.

 

Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat.

 

Activité de crédits : Les crédits sont affectés principalement à la catégorie "Prêts et créances". Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

 

Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

 

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

 

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

– Dépréciations de créances : Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « Prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent une indication objective de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances, tel que :

- des difficultés financières importantes du débiteur ;

- une rupture de contrat telle qu’un défaut de paiement des intérêts ou du capital ;

- l’octroi par le prêteur à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une facilité que le prêteur n’aurait pas envisagée dans d’autres circonstances (restructuration de prêts) ;

- une probabilité croissante de faillite ou autre restructuration financière de l’emprunteur.

 

Les dépréciations peuvent être réalisées sur base individuelle, sur base collective, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

 

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

 

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

 

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Dépréciations sur base individuelle : Le risque de perte avéré est tout d’abord examiné sur les créances prises individuellement. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations individuelles portant sur des créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant une indication objective de dépréciation. Le montant des dépréciations correspond à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine.

 

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

Dépréciations sur base collective : Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives. Elles sont déterminées par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires.

 

Dépréciations calculées à partir de modèles Bâle 2. : Dans le cadre de la règlementation Bâle 2, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

 

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

 

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues calculé selon les modèles Bâle 2, d’un coefficient de passage à maturité, destiné à prendre en compte la nécessité de constituer des dépréciations sur les pertes attendues jusqu’au terme du contrat

– Autres dépréciations sur base collective : Par ailleurs,la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché Espagnol.

– Restructurations de créances : Les créances restructurées pour cause de défaillance du client sont des créances pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, selon des modalités qui n’auraient pas été envisagées dans d’autres circonstances.

 

Sont exclues les créances réaménagées pour des raisons commerciales, dans le but de développer ou conserver une relation commerciale, et non du fait de difficultés financières de la contrepartie.

 

La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie, qui peut notamment provenir du report de ces flux sur un horizon plus lointain lors de la restructuration, donne lieu à l’enregistrement d’une décote. Elle correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine. Elle est égale à l’écart constaté entre :

- la valeur nominale du prêt ;

- et la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

 

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque. Son amortissement affecte ensuite la marge d’intérêt.

 

Les crédits restructurés font l’objet d’un suivi en fonction de la notation conforme aux règles bâloises et sont dépréciés en fonction du risque de crédit estimé. Ils sont dépréciés individuellement dès le premier impayé.

– Encours en souffrance : Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance).

– Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20) : Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

 

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat.

 

Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Passifs financiers : La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

– les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ;

– les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ;

– les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe.

 

Titres au passif :

— Distinction dettes – capitaux propres : Un instrument de dettes ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

– de remettre des liquidités ou un autre actif financier ;

– d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

 

Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

 

Produits de la collecte : Les produits de collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des « Dettes envers la clientèle» malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

 

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.18.

 

— Instruments dérivés : Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

 

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

– La comptabilité de couverture : La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

 

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associés à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

 

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

 

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

- éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

- documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

- démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

 

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole S.A. privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite « carve out »).

 

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

 

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

 

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

- couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

- couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ;

- couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

 

Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement.

- couverture de juste valeur: seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres disponibles à la vente, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

- couverture de flux de trésorerie: l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

- couverture d'investissement net à l'étranger: Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation.

 

Dérivés incorporés :

Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies :

- le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

- séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

- les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Détermination de la juste valeur des instruments financiers : La juste valeur des instruments financiers est déterminée en maximisant le recours aux données d’entrée observables. Elle est présentée selon la hiérarchie définie par IFRS 13.

 

IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d’évaluation.

 

La juste valeur s’applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permettent et font l’objet d’une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu’un groupe d’actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C’est notamment le cas du calcul de CVA/DVA.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

 

– Juste valeur des dérivés : La Caisse Régionale Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre).

 

Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée repose sur des paramètres de marché lorsque la contrepartie dispose d’un CDS coté directement ou indirectement observable (Credit Default Swap) ou des paramètres historiques de défaut pour les autres contreparties.

 

Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie.

– Hiérarchie de la juste valeur : La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l’observabilité des données d’entrée utilisées dans l’évaluation

Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs.

 

Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et passifs identiques auxquels l’entité peut avoir accès à la date d’évaluation. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures.

 

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

 

Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale Sud Méditerranéeretient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs.

 

Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1.

Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché.

 

Sont présentés en niveau 2 :

- les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes) et fondée sur des données de marché observables ;

- les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

 

Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

Niveau 3: justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité.

 

La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3.

 

Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché.

 

Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

 

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

 

Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

 

Absence de technique de valorisation reconnue pour déterminer la juste valeur d’un instrument de capitaux propres.

Conformément aux principes d’IAS 39, si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » car sa juste valeur ne peut pas être déterminée de manière fiable. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS 7 en vigueur. Pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée cela concerne le titre SAS Rue la Boétie, titre de participation de société non cotée sur un marché actif dont la détermination d’une juste valeur fiable est difficile.

 

— Gains ou pertes nets sur instruments financiers :

– Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

- les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

- les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

- les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

- les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

 

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d'investissements nets en devises.

– Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente : Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

- les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

- les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

- les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

- les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

- les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

 

Compensation des actifs et passifs financiers : Conformément à la norme IAS 32, laCaisse Régionale Sud Méditerranéecompense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire à tout moment de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

 

Garanties financières données : Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette.

 

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre :

– celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels » ; ou

– le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

 

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

Décomptabilisation des instruments financiers : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

– lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et,

– lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée.

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

 

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif.

 

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie uniquement lorsque ce passif est éteint.

 

Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse Régionale Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

 

Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, laCaisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

– les risques opérationnels ;

– les avantages au personnel ;

– les risques d’exécution des engagements par signature ;

– les litiges et garanties de passif ;

– les risques fiscaux ;

– les risques liés à l’épargne logement.

 

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

 

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

– le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ;

– l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ;

– la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations :

– la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ;

– les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

 

Des informations détaillées sont fournies au point 6.19.

 

Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participation et primes dont leur règlement intégral est attendu dans les douze mois qui suivent la fin de l’exercice au cours duquel les membres du personnel ont rendu les services correspondants;

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ;

— les indemnités de fin de contrat de travail ;

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

— Avantages à long terme : Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrats, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus.

 

Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différés versés douze mois ou plus après la fin de l’exercice au cours duquel elles ont été acquises, mais qui ne sont pas indexés sur des actions.

 

La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestations définies.

 

— Avantages postérieurs à l’emploi :

– Régimes à prestations définies : La Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

 

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

 

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4).

 

Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over.

 

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

 

Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d’actualisation retenus pour évaluer l’obligation au titre de prestations définies.

 

Le montant de la provision est égal à :

- la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

- diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

 

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM.

 

– Régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

 

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

 

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

 

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

 

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

 

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

 

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

– la comptabilisation initiale de l’écart d’acquisition ;

– la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

 

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

 

En France, les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins latentes est-elle reclassée en déduction de celles-ci.

 

En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

 

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

- soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ;

- soit par un regroupement d'entreprises.

 

Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si :

- l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et

- les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

a) soit sur la même entité imposable,

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés.

 

Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Cependant, en raison de l’objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d’Impôts pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE), la Caisse Régionale Sud Méditerranée a fait le choix de comptabiliser le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (article 244 quater C du CGI) en déduction des charges de personnel et non en diminution de l’impôt.

 

Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

 

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

 

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

 

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

 

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

 

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

 

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

 

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole S.A. suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

 

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

 

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

— les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

 

Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments :

— les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

— les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

 

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

— les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ;

— lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique « commissions » et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

a) les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

 

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes sont respectées :

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable,

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise,

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable ;

b) les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

 

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

 

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ;

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ;

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

a) l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et des intérêts courus à la clôture de l’exercice,

b) la valeur nette comptable des immobilisations louées,

c) la provision pour impôts différés.

 

Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci.

 

En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

 

S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif.

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IAS 27, 28 et 31) :

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, la Caisse Régionale de Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle. Celui-ci est présumé lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20 % des droits de vote existants et potentiels.

 

— Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

 

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

 

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier.

 

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

 

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

 

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

 

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

 

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

— Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

 

Le caractère significatif de cet impact est apprécié au travers de trois principaux critères exprimés en pourcentage du bilan, de la situation nette et du résultat consolidés.

 

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

 

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

 

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale de Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité.

 

— Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28 § 1 et IAS 31 § 1, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

— l’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée ;

— l’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée ;

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable.

 

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

 

Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IAS 27 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe.

 

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote-part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

 

La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte désormais de l’évolution de l’écart d’acquisition.

 

Lors d’acquisitions complémentaires ou de cessions partielles avec maintien du contrôle conjoint ou de l’influence notable la Caisse Régionale Sud Méditerranée constate :

– en cas d’augmentation du pourcentage d’intérêts, un « écart d’acquisition » complémentaire,

– en cas de diminution du pourcentage d’intérêts, une plus ou moins-value de cession / dilution en résultat.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués, sauf s’ils sont jugés non significatifs.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé.

Les plus ou moins-values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

2. – Informations significatives de l'exercice.

 

Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2013 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 12 «Périmètre de consolidation au 31 décembre 2013 ».

 

2.1. Événements significatifs de la période. — Retraitement de l’écart actuariel sur les engagements sociaux des frais de personnel vers les capitaux propres pour 0.2 M€.

 

2.2. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement

Au 31 décembre 2013, les principales participations non consolidées pour lesquelles le pourcentage de contrôle est supérieur à 20 % et dont la valeur au bilan est significative sont les suivantes :

— SAS SUD MED Immobilier

— SCI CASM

— SCI Château de Castelnau

— SC SICMA

 

(En milliers d’euros)

Exercice 2013

Exercice 2012

Valeur au bilan

% de capital détenu

Valeur au bilan

% de capital détenu

Titres de participations non consolidés (détail)

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

SCI Château de Castelnau

576

98,61

621

98,61

Autres titres de participations :

 

 

 

 

SAS Rue la Boétie

223 540

1,32

223 540

1,32

SAS Sofilaro

1 357

6,97

1 408

14,32

SAS SACAM Développement

9 826

1,35

10 303

1,35

SAS SACAM Fireca

280

1,18

275

1,18

SNC CA titres

375

0,57

411

0,62

SACAM International

6 938

1,32

7 374

1,32

SACAM Avenir

1 208

1,06

1 208

1,06

SAS SACAM Participations

1 413

1,63

1 412

1,63

FIA-NET EUROPE

300

1,16

380

1,16

C2MS

623

1,17

 

 

CT CAM

359

0,71

 

 

SACAM Immobilier

2 216

1,62

 

 

Autres titres de participations (ensemble)

 5 051

 

 5 824

 

Valeurs au bilan de titres de participation non consolidés

 254 062

 

252 756

 

 

3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture.

 

La gestion des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est assurée par la direction des finances qui est rattachée au Directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise des risques de crédit, de marchés et opérationnels.

 

La description de ce dispositif ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « Facteurs de risques », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilations comptables continuent néanmoins de figurer dans les états financiers.

 

3.1. Risque de crédit (cf. Rapport de gestion page 15). — Le risque de crédit se matérialise lorsqu’une contrepartie est dans l’incapacité de faire face à ses obligations et que celles-ci présentent une valeur d’inventaire positive dans les livres de la banque. Cette contrepartie peut être une banque, une entreprise industrielle et commerciale, un Etat et les diverses entités qu’il contrôle, un fonds d’investissement ou une personne physique.

L’engagement peut être constitué de prêts, titres de créances ou de propriété ou contrats d’échange de performance, garanties de bonne fin ou engagements confirmés non utilisés. Ce risque englobe également le risque de règlement livraison inhérent à toute transaction nécessitant un échange de flux (espèce ou matière) en dehors d’un système sécurisé de règlement.

 

— Exposition maximale au risque de crédit : L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Actifs financiers à la juste valeur par le résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte)

6 133

10 870

Instruments dérivés de couverture

96 420

127 751

Actifs disponible à la vente (hors titres à revenu variable)

4 286

4 384

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

3 986

1 814

Prêts et créances sur la clientèle

4 364 781

4 459 476

Actif financiers détenus jusqu'à l'échéance

118 747

66 227

Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations)

4 594 353

4 670 522

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

439 591

441 571

Engagements de garantie financière donnés (hors opérations internes)

90 795

101 156

Provisions - Engagements par signature

-1 265

-1 203

Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

529 121

541 524

Exposition maximale au risque de crédit

5 123 474

5 212 046

 

Le montant des garanties et autres rehaussements de crédits reçus s'élèvent à :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

180 712

267 231

Prêts et créances sur la clientèle

 

 

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

61 118

 

Engagements de garantie donnés (hors opérations internes)

202 517

202 751

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques

 

Concentrations par agent économique de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administrations centrales

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

Etablissements de crédit

3 856

 

 

 

3 856

Institutions non établissements de crédit

694 607

6 672

6 546

 

688 061

Grandes entreprises

509 671

48 356

33 474

11 591

464 606

Clientèle de détail

3 374 894

250 098

134 010

41 134

3 199 750

Total (*) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 583 028

305 126

174 030

52 725

4 356 273

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 23 542 K€

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administrations centrales

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

Etablissements de crédit

1 814

 

 

 

1 814

Institutions non établissements de crédit

719 477

10 063

9 837

 

709 640

Grandes entreprises

505 165

45 761

36 862

12 356

455 947

Clientèle de détail

3 447 414

231 931

117 634

35 891

3 293 889

Total (*) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 673 870

287 755

164 333

48 247

4 461 290

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 27 182 K€

 

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

Administrations centrales

 

 

Institutions non établissements de crédit

136 776

81 928

Grandes entreprises

70 822

86 859

Clientèle de détail

231 993

272 784

Total Engagements de financement

439 591

441 571

Engagements de garantie en faveur de la clientèle

 

 

Administrations centrales

 

 

Institutions non établissements de crédit

3 460

760

Grandes entreprises

64 237

78 275

Clientèle de détail

24 275

23 532

Total Engagements de garantie

91 972

102 567

 

— Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Administrations centrales

 

22

Institutions non établissements de crédit

25 420

14 441

Grandes entreprises

550 689

467 861

Clientèle de détail

1 028 088

1 060 401

Total Dettes envers la clientèle

1 604 197

1 542 725

 

Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 155 637

187 098

121 256

52 725

3 981 656

Autres pays de l'UE

421 030

118 023

52 769

 

368 261

Dont Espagne

383 347

112 460

49 905

 

333 442

Autres pays d'Europe

2 495

1

1

 

2 494

Amérique du Nord

2 489

1

1

 

2 488

Amériques Centrale et du Sud

198

 

 

 

198

Afrique et Moyen Orient

1 179

3

3

 

1 176

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

Organismes supranationaux

 

 

 

 

 

Total (*) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 583 028

305 126

174 030

52 725

4 356 273

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 23 542 K€

 

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 210 034

169 910

116 195

48 247

4 045 592

Autres pays de l'UE

453 817

117 840

48 133

 

405 684

Dont Espagne

413 185

114 020

46 067

 

367 118

Autres pays d'Europe

5 737

1

1

 

5 736

Amérique du Nord

2 783

 

 

 

2 783

Amériques Centrale et du Sud

230

1

1

 

229

Afrique et Moyen Orient

1 268

3

3

 

1 265

Asie et Océanie (hors Japon)

1

 

 

 

1

Japon

 

 

 

 

 

Organismes supranationaux

 

 

 

 

 

Total (*) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 673 870

287 755

164 333

48 247

4 461 290

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 27 182 K€

 

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

France (y compris DOM-TOM)

438 655

440 964

Autres pays de l'UE

766

497

Autres pays d'Europe

90

57

Amérique du Nord

28

21

Amériques Centrale et du Sud

4

5

Afrique et Moyen Orient

40

25

Asie et Océanie (hors Japon)

7

2

Japon

1

 

Total Engagements de financement

439 591

441 571

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

France (y compris DOM-TOM)

91 188

101 783

Autres pays de l'UE

784

784

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Total Engagements de garantie

91 972

102 567

 

— Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

France (y compris DOM-TOM)

1 537 067

1 478 521

Autres pays de l'UE

61 131

56 854

Autres pays d'Europe

2 622

3 095

Amérique du Nord

1 628

1 989

Amériques Centrale et du Sud

290

624

Afrique et Moyen Orient

1 092

805

Asie et Océanie (hors Japon)

364

833

Japon

3

3

Total Dettes envers la clientèle

1 604 197

1 542 725

 

Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement :

— Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2013

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

231 638

12 432

Instruments de dette

0

0

0

0

0

230

2 875

Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

230

2 875

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

Prêts et avances

100 121

7 843

0

0

107 964

131 096

226 755

Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Institutions non établissements de crédit

1 576

1

 

 

1 577

126

6 546

Grandes entreprises

11 576

972

 

 

12 548

14 882

45 065

Clientèle de détail

86 969

6 870

 

 

93 839

116 088

175 144

Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

100 121

7 843

0

0

107 964

362 964

242 062

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2012

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

232 119

11 915

Instruments de dette

0

0

0

0

0

528

3 880

Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

264

3 144

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

264

736

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

Prêts et avances

107 776

10 185

0

0

117 961

123 422

212 580

Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Institutions non établissements de crédit

6 535

17

 

 

6 552

226

9 837

Grandes entreprises

13 369

539

 

 

13 908

8 899

49 218

Clientèle de détail

87 872

9 629

 

 

97 501

114 297

153 525

Total Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement

107 776

10 185

0

0

117 961

356 069

228 375

 

3.2. Risque de marché (cf. Rapport de gestion page 18). — Le risque de marché représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marché notamment :

— les taux d’intérêts : le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financier du fait de l’évolution des taux d’intérêt ;

— les taux de change : le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise ;

— les prix : le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions. Sont notamment soumis à ce risque les titres à revenu variable, les dérivés actions et les instruments dérivés sur matières premières.

 

Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle. — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle.

— Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

702

15 974

79 744

96 420

127 751

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

702

15 974

79 744

96 420

127 751

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

 

 

 

 

 

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

702

15 974

79 744

96 420

127 751

127 751Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif

0

0

0

702

15 974

79 744

96 420

127 751

 

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

1 221

21 918

46 356

69 495

95 576

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

1 221

21 918

46 356

69 495

95 576

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

1 221

21 918

46 356

69 495

95 576

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif

0

0

0

1 221

21 918

46 356

69 495

95 576

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

18

 

58

76

197

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

18

 

58

76

195

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 2

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

18

0

58

76

197

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif

0

0

0

18

0

58

76

197

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

53

39

58

150

369

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

53

39

58

150

367

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 2

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

53

39

58

150

369

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif

0

0

0

53

39

58

150

369

 

Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

1 921 323

1 680 871

Futures

 

 

Fra

 

 

Swaps de taux d'intérêts

1 921 323

1 679 395

Options de taux

 

 

Caps-floors-collars

 

1 476

Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

Opérations fermes de change

 

 

Options de change

 

 

Autres instruments :

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

Dérivés de crédits

 

 

Autres

 

 

Sous total

1 921 323

1 680 871

Opérations de change à terme

7 309

2 103

Total notionnels

1 928 632

1 682 974

 

3.3. Risque de change (cf. Rapport de gestion page 22) :

— Contribution des différentes devises au bilan consolidé :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

5 303 674

5 303 674

5 508 304

5 508 305

Autres devises de l'UE

58

58

65

65

USD

1 233

1 233

1 126

1 125

JPY

 

 

 

 

Autres devises

203

203

210

210

Total bilan

5 305 168

5 305 168

5 509 705

5 509 705

 

— Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

 

15 370

 

 

15 345

 

Autres devises de l'UE

 

 

 

 

 

 

USD

 

 

 

 

 

 

JPY

 

 

 

 

 

 

Autres devises

 

 

 

 

 

 

Total (1)

0

15 370

0

0

15 345

0

 

3.4. Risque de liquidité et de financement (cf. Rapport de gestion page 23). — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte sil’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun ou de renouveler ses emprunts à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement.

 

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

≤ 3 mois

> 3 moisà ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

52 823

9 880

12 085

96 280

13 500

184 568

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

510 318

447 003

1 287 634

2 333 202

1 015

4 579 172

Total

563 141

456 883

1 299 719

2 429 482

14 515

4 763 740

Dépréciations

 

 

 

 

 

-226 755

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

 

 

 

 

4 536 985

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 anà ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

20 267

103 445

34 992

96 841

13 500

269 045

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

541 101

473 444

1 313195

2 343 301

1 015

4 672 056

Total

561 368

576 889

1 348187

2 440 142

14 515

4 941 101

Dépréciations

 

 

 

 

 

-212 580

Total Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

 

 

 

 

 

4 728 521

 

— Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

≤ 3 mois

> 3 moisà ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

311 999

870 986

743 848

703 281

0

2 630 114

Dettes envers la clientèle

1 103 000

153 854

65 283

282 060

 

1 604 197

Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle

1 414 999

1 024 840

809 131

985 341

0

4 234 311

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

430 561

739 406

908 795

768 983

 

2 847 745

Dettes envers la clientèle

1 060 591

135 871

124 428

221 835

 

1 1 542 725

Total Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle

1 491 152

875 277

1 033 223

990 818

0

4 390 470

 

— Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

52

2 300

 

 

 

2 352

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables : (1)

279

 

 

152 713

 

152 992

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

0

Total Dettes représentées par un titre

331

2 300

0

152 713

0

155 344

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

481

 

 

14 889

 

15 370

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

0

Total Dettes subordonnées

481

0

0

14 889

0

15 370

 

(1) Prise en compte de l’impact de la Juste valeur et de l’étalement de la soulte sur les swaps couvrant les BMTN :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

2 045

150

 

 

 

2 195

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

298

 

 

150 000

 

150 298

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

7 120

 

7 120

Total Dettes représentées par un titre

2 343

150

0

157 120

0

159 613

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

481

 

 

14 864

 

15 345

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

0

Total Dettes subordonnées

481

0

0

14 864

0

15 345

 

Les échéances contractuelles des instruments dérivés sont présentées dans la note 3.2 « Risque de marché ».

 

3.5. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change (cf. Rapport de gestion page 21). — Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi

— de couverture de valeur,

— de couverture de résultats futurs,

— de couverture d’un investissement net en devise.

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité.

 

Couverture de juste valeur : Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables.

Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

 

Couverture de flux de trésorerie : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

 

Couverture d’un investissement net en devise : Les couvertures des investissements nets en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées aux participations dans les filiales en devises étrangères.

 

— Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Valeur marché

Montant

Valeur marché

Montant

positive

négative

Notionnel

positive

négative

Notionnel

Couverture de juste valeur

96 418

67 388

1 883 824

127 747

93 187

1 624 745

Taux d'intérêt

96 418

67 388

1 883 824

127 747

93 187

1 624 745

Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

2

2 107

26 528

4

2 389

27 036

Taux d'intérêt

2

2 107

26 528

4

2 389

27 036

Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

 

 

 

Total Instruments dérivés de couverture

96 420

69 495

1 910 352

127 751

95 576

1 651 781

 

3.6. Risques opérationnels (cf. Rapport de gestion page 25). — Le risque opérationnel correspond à la possibilité de subir une perte découlant d’un processus interne défaillant ou d’un système inadéquat, d’une erreur humaine ou d’un événement externe qui n’est pas lié à un risque de crédit, de marché ou de liquidité.

 

3.7. Gestion du capital et ratios réglementaires. — L’amendement de la norme IAS 1 adopté par l’Union européenne le 11 janvier 2006 prévoit des informations sur le capital et sa gestion. L’objectif de l’amendement est de fournir au lecteur des informations sur les objectifs, politiques et procédures de gestion du capital de l’émetteur. A ce sujet, des informations de nature qualitative et quantitative sont requises en annexe et notamment : données chiffrées récapitulatives sur les éléments gérés en tant que capital, description des éventuelles contraintes externes auxquelles l’entreprise est soumise au titre de son capital (par exemple du fait d’obligations réglementaires), indication ou non du respect des contraintes réglementaires et en cas de défaut de respect, une indication des conséquences qui en découlent.

 

Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et «conglomérats financiers », la Caisse Régionale Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

 

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens du règlement 90-02 et exigés par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

 

L’arrêté du 20 février 2007 transpose dans la réglementation française le dispositif européen CRD (Capital Requirements Directive) (2006-48-CE et 2006-49 CE). Le texte définit les « exigences de fonds propres applicables aux établissements de crédit et aux entreprises d’investissement » et les modalités de calcul du ratio de solvabilité à compter du 1er janvier 2008.

 

Conformément à ces dispositions, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a intégré dès 2007, dans la gestion des fonds propres et des risques, les impacts liés au passage à la nouvelle directive européenne CRD.

 

Toutefois, le régulateur a maintenu jusqu’au 31 décembre 2011 les exigences additionnelles de fonds propres au titre des niveaux plancher (l’exigence Bâle 2 ne pouvant être inférieure à 80 % de l’exigence Bâle 1). En 2012, le niveau plancher a été supprimé cependant l’information relative aux exigences Bâle 1 reste obligatoire.

 

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

— les fonds propres durs (Tier 1) déterminés à partir des capitaux propres du Groupe et retraités notamment des gains et pertes latents,

— les fonds propres complémentaires (Tier 2), limités à 100 % du montant des fonds propres de base et composés principalement des dettes subordonnées,

— les fonds propres sur complémentaires admis au ratio (Tier 3) composés principalement de dettes subordonnées à maturité plus courte.

 

Les déductions relatives notamment aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent désormais directement sur les montants du Tier 1 et du Tier 2, conformément à la réglementation.

 

Niveau des fonds propres prudentiels calculés conformément à la réglementation : En application de la réglementation, La Caisse Régionale de Sud Méditerranée doit respecter en permanence un ratio de fonds propres de base égal au moins à 4 % et un ratio de solvabilité de 8 %.

 

En 2013 comme en 2012, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a répondu aux exigences réglementaires.

 

4. – Notes relatives au compte de résultat.

 

4.1. Produits et charges d’intérêts :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 455

1 531

Sur opérations internes au Crédit Agricole

11 419

13 247

Sur opérations avec la clientèle

161 560

173 777

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 770

2 467

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

24 894

29 740

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Produits d'intérêts (1) (2)

202 098

220 762

Sur opérations avec les établissements de crédit

-1 337

-1 348

Sur opérations internes au Crédit Agricole

-47 218

-62 678

Sur opérations avec la clientèle

-19 964

-17 167

Sur dettes représentées par un titre

-6 611

-7 286

Sur dettes subordonnées

-954

-959

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

-25 367

-31 502

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

-3

 

Charges d'intérêts

-101 454

-120 940

(1) Dont 7 946 K€ sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2013 contre 7 825 K€ au 31 décembre 2012.

(2) Dont 1 403 K€ correspondant à des bonifications reçues de l'Etat au 31 décembre 2013 contre 1 516 K€ au 31 décembre 2012.

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

89

-20

69

299

-21

278

Sur opérations internes au Crédit Agricole

11 404

-6 209

5 195

13 159

-6 682

6 477

Sur opérations avec la clientèle

19 479

-313

19 166

17 592

-398

17 194

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

6

 

6

8

 

8

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

45

 

45

22

 

22

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers

48 026

-5 535

42 491

52 340

-5 609

46 731

Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues

1 275

-12

1 263

889

-13

876

Produits nets des commissions

80 324

-12 089

68 235

84 309

-12 723

71 586

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

-2

-22

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par option

243

2 275

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

108

127

Résultat de la comptabilité de couverture

-1 431

-1 432

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

-1 082

948

 

Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

41 578

-43 009

-1 431

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

23 370

-19 639

3 731

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

18 208

-23 370

-5 162

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

306 419

-306 419

0

Variations de juste valeur des éléments couverts

153 182

-153 237

-55

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

153 237

-153 182

55

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Total Résultat de la comptabilité de couverture

347 997

-349 428

-1 431

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

42 381

-43 813

-1 432

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

18 608

-25 205

-6 597

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

23 773

-18 608

5 165

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace (1)

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

303 227

-303 227

0

Variations de juste valeur des éléments couverts

154 047

-149 180

4 867

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

149 180

-154 047

-4 867

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Total Résultat de la comptabilité de couverture

345 608

-347 040

-1 432

 

4.4. Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Dividendes reçus

36

100

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente (*)

44

1 789

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres) (*)

-518

-10 603

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

-438

-8 714

(*) Dont SAS SACAM INTERNATIONNAL pour 436 K€, SACAM SANTEFFI pour 32 K€ et la SCI Château de Castelnou pour 45 K€ au 31/12/2013.

 

4.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-1 373

-1 714

Autres produits (charges) nets

42

89

Produits (charges) des autres activités

-1 331

-1 625

 

4.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Charges de personnel

57 370

54 286

Impôts et taxes

4 716

4 784

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation

33 279

35 017

Charges générales d'exploitation

95 365

94 087

 

Honoraires des commissaires aux comptes. — Le montant des charges générales d’exploitation intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2012 est donnée ci-dessous :

 

(En milliers d'euros hors taxe)

2013

2012

E & Y

KPMG

Total

Total

Commissaires aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés

125

80

205

202

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du Commissariat aux comptes

 

 

 

 

Total Honoraires des commissaires aux comptes

125

80

205

202

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Dotations aux amortissements

-7 122

-6 941

Immobilisations corporelles

-7 110

-6 937

Immobilisations incorporelles

-12

-4

Dotations aux dépréciations

 

 

Immobilisations corporelles

 

 

Immobilisations incorporelles

 

 

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

-7 122

-6 941

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-68 913

-74 558

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

-61 161

-60 701

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

-100

-926

Autres actifs

-7 050

-12 640

Engagements par signature

-200

-137

Risques et charges

-402

-154

Reprises de provisions et de dépréciations

41 013

36 214

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

39 408

34 667

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

932

348

Autres actifs

466

357

Engagements par signature

139

19

Risques et charges

68

823

Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-27 900

-38 344

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-287

-277

Récupérations sur prêts et créances amortis

303

4 317

Décotes sur crédits restructurés

-98

-88

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

-170

-122

Coût du risque

-28 152

-34 514

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

32

-35

Plus-values de cession

32

5

Moins-values de cession

 

-40

Titres de capitaux propres consolidés

0

0

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

Produits (charges) nets sur opérations de regroupement

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

32

-35

 

4.10. Impôts :

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Charge d'impôt courant

12 503

18 501

Charge d'impôt différé

-1 392

-696

Charge d'impôt de la période

11 111

17 805

 

— Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

Au 31 décembre 2013 :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

35 421

38%

13 460

Effet des différences permanentes

 

 

-5 180

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

703

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

2 795

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

193

Effet des autres éléments

 

 

-860

Taux et charge effectifs d'impôt

 

45%

-11 111

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2013.

Au 31 décembre 2012 :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

26 440

36.1%

9 545

Effet des différences permanentes

 

 

2 226

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

 

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

7 212

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

57

Effet des autres éléments

 

 

-1 235

Taux et charge effectifs d'impôt

 

67%

17 805

 

4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période,

— Détail des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

0

0

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

Ecart de réévaluation de la période

 

 

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

-2 167

1 964

Ecart de réévaluation de la période

-2 123

-5 709

Transfert en résultat

-44

7 673

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

280

45

Ecart de réévaluation de la période

280

45

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

0

0

Ecart de réévaluation de la période

 

 

Transferts en résultat

 

 

Autres reclassifications

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables hors entités mises en équivalence

-17

-18

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

-1 904

1 991

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables ultérieurement en résultat :

 

 

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

-176

-1 356

Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables hors entités mises en équivalence

 61

 489

Impôt sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables en résultat

 -115

-867

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres

-2 019

1 124

Dont part Groupe

 

 

Dont participations ne donnant pas le contrôle

 

 

 

« Dont 5 900 K€ au 31 Décembre 2012 de gains ou pertes latents relatifs aux titres SAS Rue La Boétie ».

 

Détail des effets d'impôt relatifs aux gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

 

 

 

 

                Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

 

                Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

3 708

-217

3 491

3 491

                Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

-2 096

722

-1 374

-1 374

                Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence

1 612

505

2 117

2 117

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

0

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

1 612

505

2 117

2 117

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables ultérieurement en résultat :

 

 

 

 

                Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

-1 452

515

-937

-937

                Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entités mises en équivalence

-1 452

515

-937

-937

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables en résultat

-1 452

515

-937

-937

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

160

1 020

1 180

1 180

 

 

 

 

 

(En milliers d'euros)

Variation

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

 

 

 

 

                Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

 

                Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

-2 167

79

-2 088

-2 088

                Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

280

-96

184

184

                Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence

-1 887

-17

-1 904

-1 904

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

-1 887

-17

-1 904

-1 904

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables ultérieurement en résultat :

 

 

 

 

                Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

 

 

 

                Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

-176

61

-115

-115

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entités mises en équivalence

-176

61

-115

-115

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables en résultat

-176

61

-115

-115

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

-2 063

44

-2 019

-2 019

 

 

 

 

 

 

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

Brut

Impôt

Net d'impôt

Net dont part Groupe

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat :

 

 

 

 

                Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

 

                Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

5 875

-296

5 579

5 579

                Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

-2 376

818

-1 558

-1 558

                Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence

3 499

522

4 021

4 021

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat

3 499

522

4 021

4 021

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables ultérieurement en résultat :

 

 

 

 

                Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

-1 276

454

-822

-822

                Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entités mises en équivalence

-1 276

454

-822

-822

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence

 

 

 

 

                Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables en résultat

-1 276

454

-822

-822

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

2 223

976

3 199

3 199

 

5. – Informations sectorielles.

 

5.1. Définition des secteurs opérationnels. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf. note 3.1).

 

6. – Notes relatives au bilan.

 

6.1. Caisse, banques centrales :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

 

31/12/2012

 

 

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

23 087

 

25 332

 

Banques centrales

6 003

 

6 066

 

Valeur au bilan

29 090

0

31 398

0

 

6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

76

197

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

6 057

10 673

Valeur au bilan

6 133

10 870

Dont Titres prêtés

 

 

 

— Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

0

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Instruments dérivés

76

197

Valeur au bilan

76

197

 

Les montants relatifs aux titres reçus en pension livrée comprennent ceux que l’entité est autorisée à redonner en garantie.

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

6 057

10 673

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

6 057

10 673

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Valeur au bilan

6 057

10 673

 

— Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

150

369

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

Valeur au bilan

150

369

 

— Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Titres vendus à découvert

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

150

369

Valeur au bilan

150

369

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêt et de change.

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Valeur comptable

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Valeur comptable

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 286

170

 

4 384

163

 

Actions et autres titres à revenu variable

1 349

 

 

1 356

 

-4

Titres de participation non consolidés (1)

254 062

4 016

-479

253 429

6 027

-313

Total des titres disponibles à la vente

259 697

4 186

-479

259 169

6 190

-317

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

Total des créances disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente

259 697

4 186

-479

259 169

6 190

-317

Impôts

 

-217

 

 

-296

1

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs financiers disponibles à la vente (net d'impôts)

 

3 969

-479

 

5 894

-316

(1) «par exception, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués au coût pour un montant net de dépréciation de 223 540 K€ au 31 décembre 2013 ainsi qu’au 31 décembre 2012.»

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Etablissements de crédit

 

 

Comptes et prêts

3 642

1 624

Dont comptes ordinaires débiteurs sains

3 442

1 424

Dont comptes et prêts au jour le jour sains

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

214

190

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Autres prêts et créances

 

 

Valeur brute

3 856

1 814

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit

3 856

1 814

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

Comptes ordinaires

27 683

877

Comptes et avances à terme

139 524

252 850

Prêts subordonnés

13 505

13 504

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Valeur brute

180 712

267 231

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances internes au Crédit Agricole

180 712

267 231

Valeur au bilan

184 568

269 045

 

— Prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Opérations avec la clientèle :

 

 

Créances commerciales

11 255

14 584

Autres concours à la clientèle

4 501 705

4 592 935

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

6 897

6 897

Titres non cotés sur un marché actif

1 023

1 022

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

Avances en comptes courants d'associés

19 343

20 197

Comptes ordinaires débiteurs

38 949

36 421

Valeur brute

4 579 172

4 672 056

Dépréciations

-226 755

-212 580

Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle

4 352 417

4 459 476

Opérations de location financement :

 

 

Location-financement immobilier

 

 

Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

Valeur brute

0

0

Dépréciations

 

 

Valeur nette des opérations de location financement

0

0

Valeur au bilan

4 352 417

4 459 476

 

6.6. Dépréciations inscrites en déduction des actifs financiers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2013

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

212 580

 

68 249

54 074

226 755

Dont dépréciations collectives

48 247

 

8 169

3 691

52 725

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

3 880

 

99

1 104

2 875

Actifs disponibles à la vente

11 915

 

517

 

12 432

Autres actifs financiers

26 032

 

7 050

2 359

30 723

Total Dépréciations des actifs financiers

254 407

 

75 915

57 537

272 785

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2012

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

195 179

 

67 581

50 180

212 580

Dont dépréciations collectives

47 260

 

10 787

9 800

48 247

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

3 301

 

926

347

3 880

Actifs disponibles à la vente (1)

1 312

 

10 603

 

11 915

Autres actifs financiers

14 166

 

12 640

774

26 032

Total Dépréciations des actifs financiers

213 958

 

91 750

51 301

254 407

(1) « Les titres SAS Rue La Boétie ont été dépréciés au cours de l’exercice 2012 pour un montant de 5 900 K€. »

 

6.7. Exposition au risque souverain et non souverain sur les pays européens sous surveillance :

— Exposition au risque souverain sur la Grèce, l’Irlande, le Portugal, l’Italie l’Espagne, Chypre et la Hongrie : La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas de créances envers la Grèce, l’Irlande, le Portugal, l’Italie et l’Espagne.

— Exposition au risque non souverain sur la Grèce, l’Irlande, le Portugal, l'Italie, l'Espagne, Chypre, la Hongrie. : L’exposition de la Caisse Régionale Sud Méditerranée au risque non souverain sur les pays européens sous surveillance est détaillée ci-dessous. Elle porte sur les portefeuilles d’instruments de dettes et les prêts et créances accordés à la clientèle et aux établissements de crédit. Les expositions comptabilisées en trading et les engagements hors bilan sont exclus de cette analyse. La ventilation par pays est réalisée par pays de risque de la contrepartie.

— Activité bancaire – Risque de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Encours de crédit brut

Dont encours bruts dépréciés

Dépréciations sur base individuelle et collective

Taux de provisionnement des encours bruts

Encours de crédit net

Encours de crédit net

Grèce (y compris Chypre)

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Espagne

 383 347

 112 460

 49 905

 

 333 442

 321 054

Banque

1 342  

 

1 3421 419

Clientèle de détail

380 626

 112 460

 49 905

 

330 721312 217

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

1 379  

 

1 3797 418

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

  

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Hongrie

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Total Exposition sur pays à risque - Risque de crédit

383 347

112 460

49 905

 

333 442

321 054

 

— Activité bancaire – Instruments de dettes : Les montants présentés comprennent la valeur au bilan des instruments de dettes classés en actifs financiers disponibles à la vente et en actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Exposition sur obligations nette de dépréciation

Exposition sur autres instruments de dettes nette de dépréciation

Exposition nette des instruments de dettes

Exposition nette des instruments de dettes

Grèce (y compris Chypre)

0

0

0

0

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Irlande

0

0

702

1 405

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

702

1 405

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Italie

0

0

0

0

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Espagne

0

0

0

0

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Portugal

0

0

0

0

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Hongrie

0

0

0

0

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises hors para-publiques

 

 

 

 

Entreprises et Grandes Entreprises para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Total Exposition sur pays à risque - Instruments de dettes

0

0

702

1 405

 

6.8. Dettes envers les établissements de crédit et sur la clientèle :

— Dettes envers les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

 

31/12/2013

31/12/2012

Etablissements de crédit :

 

 

 

Comptes et emprunts

 

287

825

Dont comptes ordinaires créditeurs

 

 

635

Dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

 

Valeurs données en pension

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

Total

 

287

825

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

 

97

56 561

Comptes et avances à terme

 

2 629 730

2 790 359

Total

 

2 629 827

2 846 920

Valeur au bilan

 

2 630 114

2 847 745

 

— Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Comptes ordinaires créditeurs

1 036 204

1 003 659

Comptes d'épargne à régime spécial

11 384

11 224

Autres dettes envers la clientèle

556 609

527 842

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

Valeur au bilan

1 604 197

1 542 725

 

 

6.9. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Effets publics et valeurs assimilées

75 677

17 654

Obligations et autres titres à revenu fixe

45 945

52 453

Total

121 622

70 107

Dépréciations

-2 875

-3 880

Valeur au bilan

118 747

66 227

 

6.10 Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Dettes représentées par un titre :

 

 

Bons de caisse

2 352

2 195

Titres du marché interbancaire

 

 

Titres de créances négociables :

165 851

150 298

Emprunts obligataires

 

 

Autres dettes représentées par un titre

-12 859

7 120

Valeur au bilan

155 344

159 613

Dettes subordonnées :

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

15 370

15 345

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

Valeur au bilan

15 370

15 345

 

6.11. Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers :

— Compensation – Actifs financiers :

 

31/12/2013

Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des opérations

(En milliers d'euros)

Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement

Montants net des actifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des passifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie

Dérivés

96 496

 

96 496

69 495

 

27 001

Prises en pension de titres

 

 

 

 

 

 

Prêts de titres

 

 

 

 

 

 

Autres instruments financiers

 

 

 

 

 

 

Total des actifs financiers soumis à compensation

96 496

 

96 496

69 495

 

27 001

 

31/12/2012

Effets de compensation sur les actifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des opérations

(En milliers d'euros)

Montants bruts des actifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des passifs effectivement compensés comptablement

Montants net des actifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des passifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers reçus en garantie, dont dépôt de garantie

Dérivés

127 948

 

127 948

95 576

 

32 372

Prises en pension de titres

 

 

 

 

 

 

Prêts de titres

 

 

 

 

 

 

Autres instruments financiers

 

 

 

 

 

 

Total des actifs financiers soumis à compensation

127 948

 

127 948

95 576

 

32 372

 

— Compensation – Passifs financiers :

 

31/12/2013

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des opérations

(En milliers d'euros)

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement

Montants net des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

Dérivés

69 645

 

69 645

69 495

 

150

Mises en pension de titres

 

 

 

 

 

 

Emprunts de titres

 

 

 

 

 

 

Autres instruments financiers

 

 

 

 

 

 

Total des passifs financiers soumis à compensation

69 645

 

69 645

69 495

 

150

 

31/12/2012

Effets de compensation sur les passifs financiers relevant de convention-cadre de compensation et autres accords similaires

Nature des opérations

(En milliers d'euros)

Montants bruts des passifs comptabilisés avant tout effet de compensation

Montants bruts des actifs effectivement compensés comptablement

Montants net des passifs financiers présentés dans les états de synthèse

Autres montants compensables sous conditions

Montant net après l'ensemble des effets de compensation

Montants bruts des actifs financiers relevant de convention cadre de compensation

Montants des autres instruments financiers donnés en garantie, dont dépôt de garantie

Dérivés

95 945

 

95 945

95 576

 

369

Mises en pension de titres

 

 

 

 

 

 

Emprunts de titres

 

 

 

 

 

 

Autres instruments financiers

 

 

 

 

 

 

Total des passifs financiers soumis à compensation

95 945

 

95 945

95 576

 

369

 

6.12. Actifs et passifs d’impôts courants et différés :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Impôts courants

7 218

 

Impôts différés

22 270

20 679

Total Actifs d'impôts courants et différés

29 488

20 679

Impôts courants

115

4 533

Impôts différés

 

 

Total Passifs d'impôts courants et différés

115

4 533

 

Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit :

 

 

31/12/2013

 

31/12/2012

 

(En milliers d'euros)

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Décalages temporaires comptables-fiscaux

21 862

0

20 380

0

Charges à payer non déductibles

203

 

420

 

Provisions pour risques et charges non déductibles

20 132

 

18 427

 

Autres différences temporaires

1 527

 

1 533

 

Impôts différés / Réserves latentes

781

-153

871

237

Actifs disponibles à la vente

 

-153

 

237

Couvertures de Flux de Trésorerie

722

 

818

 

Gains et pertes / Ecarts actuariels

59

 

53

 

Impôts différés / Résultat

-95

 

-59

 

Total Impôts différés

22 548

-153

21 192

237

 

Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale.

 

6.13. Comptes de régularisation actif, passif et divers :

— Comptes de régularisation et actifs divers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Autres actifs

68 440

69 914

Comptes de stocks et emplois divers

36 750

36 606

Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

Débiteurs divers

31 657

33 169

Comptes de règlements

33

139

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

62 822

71 035

Comptes d'encaissement et de transfert

35 442

50 404

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

1

Produits à recevoir

19 365

20 076

Charges constatées d'avance

410

420

Autres comptes de régularisation

7 604

134

Valeur au bilan

131 262

140 949

 

— Comptes de régularisation et passifs divers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Autres passifs (1)

27 184

26 008

Comptes de règlements

 

 

Créditeurs divers

26 174

25 424

Versement restant à effectuer sur titres

1 010

584

Autres passifs d'assurance

 

 

Autres

 

 

Comptes de régularisation

43 197

56 959

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

1 203

15 932

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

Produits constatés d’avance

18 388

19 889

Charges à payer

22 953

20 490

Autres comptes de régularisation

653

648

Valeur au bilan

70 381

82 967

 

6.14. Immeubles de placement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2013

Valeur brute

8 887

65

-97

1 424

10 279

Amortissements et dépréciations

-2 833

-1 618

151

 

-4 300

Valeur au bilan (1)

6 054

-1 553

54

1 424

5 979

(1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2012

Valeur brute

5 561

588

 

2 738

8 887

Amortissements et dépréciations

-1 118

-1 715

 

 

-2 833

Valeur au bilan (1)

4 443

-1 127

0

2 738

6 054

(1) Y compris immeubles de placement donnés en location simple

 

La valeur des immeubles de placement est estimée “à dire d’expert”.

La valeur de marché des immeubles de placement comptabilisés au coût amorti, établie « à dire d’expert », s’élève à 5 979 K€ au 31 décembre 2013 contre 6 054 K€ au 31 décembre 2012

 

Juste valeur des immeubles de placement par modèle de valorisation :

 

(En milliers d'euros)

Valeur de marché estimée au 31/12/2013

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Immeubles de placement non évalués à la Juste valeur au bilan

 

 

 

 

Immeubles de placement

5 979

 

 

5 979

Total Immeubles de placement dont la juste valeur est indiquée

5 979

0

0

5 979

 

6.15. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2013

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

Valeur brute

121 165

6 291

-678

282

127 060

Amortissements et dépréciations (1)

-86 045

-7 110

151

 

-93 004

Valeur au bilan

35 120

-819

-527

282

34 056

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 802

20

 

 

10 822

Amortissements et dépréciations

-9 918

-12

 

 

-9 930

Valeur au bilan

884

8

0

0

892

 

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2012

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

Valeur brute

119 700

5 260

3 795

 

121 165

Amortissements et dépréciations (1)

-82 872

-6 938

-3 765

 

-86 045

Valeur au bilan

36 828

-1 678

30

0

35 120

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 803

10

11

 

10 802

Amortissements et dépréciations

-9 914

-4

 

 

-9 918

Valeur au bilan

889

6

11

0

884

 

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple

 

6.16. Provisions :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Variations de périmètre

Dotations

Reprises utilisées

Autres mouvements

31/12/2013

Risques sur les produits épargne logement

2 103

1 553

 

-689

 

2 967

Risques d’exécution des engagements par signature

1 203

200

 

-138

 

1 265

Risques opérationnels

4 133

533

-175

-57

 

4 434

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)(2)

793

55

 

-156

172

864

Litiges divers

147

72

-105

 

 

114

Participations

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

0

Autres risques

3 726

3 489

-875

-136

 

6 204

Total

12 105

5 902

-1 155

-1 176

172

15 848

(1) Dont 131 K€ au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 562 K€ au titre de la provision pour médaille du travail

(2) Dont une variation d'un montant de 149 K€ due à l'application de l'amendement d'IAS 19 au 1er janvier 2013.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2012

Risques sur les produits épargne logement

2 552

634

 

-1 083

 

2 103

Risques d’exécution des engagements par signature

1 085

137

 

-19

 

1 203

Risques opérationnels

3 914

265

-20

-26

 

4 133

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)(2)

471

179

 

-4

147

793

Litiges divers

169

19

-41

 

 

147

Participations

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

0

Autres risques

2 743

3 178

-1 262

-933

 

3 726

Total

10 934

4 412

-1 323

-2 065

147

12 105

(1) Dont 260 K€ au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 533 K€ au titre de la provision pour médaille du travail

 

Provision épargne-logement :

— Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

139 267

89 025

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

247 831

254 222

Ancienneté de plus de 10 ans

271 093

296 043

Total plans d'épargne-logement

658 191

639 290

Total comptes épargne-logement

81 194

83 273

Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

739 385

722 563

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2013 pour les données au 31 décembre 2013 et à fin novembre 2012 pour les données au 31 décembre 2012 et hors prime d'Etat ;

 

— Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Plans d'épargne-logement

2 987

4 009

Comptes épargne-logement

9 748

11 996

Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

12 735

16 005

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

39

 

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

698

 

Ancienneté de plus de 10 ans

2 230

2 076

Total plans d'épargne-logement

2 967

2 076

Total comptes épargne-logement

 

27

Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 967

2 103

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007 .

 

(En milliers d'euros)

01/01/2013

Dotations

Reprises

31/12/2013

Plans d'épargne-logement :

2 076

1 553

-662

2 967

Comptes épargne-logement :

27

 

-27

0

Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 103

1 553

-689

2 967

 

L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ».

 

6.17. Capitaux propres :

Composition du capital au 31 décembre 2013. — La Caisse régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

 

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement et de Certificats Coopératifs d’Associés.

 

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

 

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

 

Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

 

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

 

Les CCI sont émis au profit de titulaires n’ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables.

 

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2013

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2013

Certificats Coopératifs d'investissements (CCI)

459 957

 

 

459 957

Dont part du Public

 

 

 

 

Dont part Crédit Agricole S.A.

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

12 520 745

249 327

 

12 770 072

Dont 30 Caisses Locales

12 520 720

249 327

 

12 770 047

Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

 

24

Dont Crédit Agricole S.A.

1

 

 

1

Total

12 980 702

249 327

0

13 230 029

 

La valeur nominale des titres est de :

— 15.25 € pour les CCA

— 15.25 € pour les parts sociales émises par la CR

— 1.53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales.

 

Au 31/12/2013, le capital de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 26 909 K€

 

Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

 

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale de ... sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA.

 

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

 

La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

 

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Dividendes. — L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2013 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 25/03/2014.

 

— Dividendes :

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

Montant Net

Montant Net

2010

6,47

0,05

2011

4,66

0,05

2012

2,22

0,05

Prévu 2013

2,90

0,04

 

Dividendes payés au cours de l’exercice : Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres. Ils s’élèvent à 1 539 K€ en 2013.

 

Affectation du résultat et fixation du dividende 2013 :

 

PROJET AFFECTATION DU RÉSULTAT au 31/12/2013

 

Résultat comptable

17 921 018,15€

Ran

-148 826,00€

Résultat à affecter

17 772 192,15€

Distribué

1 837 947,20€

Intérêts aux parts sociales

505 032,79€

Intérêts aux parts aux Caisses locales

505 023,64€

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

9,15€

Rémunération des CCA

1 332 914,41€

Conservé

15 934 244,95€

Réserves légales

11 950 683,71€

Autres réserves

3 983 561,24€

 

6.18. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle. — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle.

L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle.

Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminé ».

Les écarts de réévaluation des portefeuilles couverts en taux sont considérés comme ayant une échéance indéterminée compte tenu de l’absence de maturité définie.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

≤ 3 mois

> 3 moisà ≤ 1 an

> 1 anà ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Caisse, banques centrales

29 090

 

 

 

 

29 090

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

69

15

702

5 347

 

6 133

Instruments dérivés de couverture

702

 

15 974

79 744

 

96 420

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

259 697

259 697

Prêts et créances sur les établissements de crédit

52 823

9 880

12 085

96 280

13 500

184 568

Prêts et créances sur la clientèle

400 986

430 840

1 253 761

2 265 815

1 015

4 352 417

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

56 419

 

 

 

 

56 419

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

1 098

5 020

40 417

72 212

 

118 747

Total Actifs financiers par échéance

541 187

445 755

1 322 939

2 519 398

274 212

5 103 491

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

38

15

39

58

 

150

Instruments dérivés de couverture

115

1 106

21 918

46 356

 

69 495

Dettes envers les établissements de crédit

311 999

870 986

743 848

703 281

 

2 630 114

Dettes envers la clientèle

1 103 000

153 854

65 283

282 060

 

1 604 197

Dettes représentées par un titre

331

2 300

 

152 713

 

155 344

Dettes subordonnées

481

 

 

14 889

 

15 370

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

70 645

 

 

 

 

70 645

Total Passifs financiers par échéance

1 486 609

1 028 261

831 088

1 199 357

0

4 545 315

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Caisse, banques centrales

31 398

 

 

 

 

31 398

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

126

14

5 435

5 295

 

10 870

Instruments dérivés de couverture

162

327

9 746

117 516

 

127 751

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

259 169

259 169

Prêts et créances sur les établissements de crédit

20 267

103 445

34 992

96 841

13 500

269 045

Prêts et créances sur la clientèle

442 359

455 307

1 280 880

2 279 915

1 015

4 459 476

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

82 083

 

 

 

 

82 083

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

918

264

39 018

26 027

 

66 227

Total Actifs financiers par échéance

577 313

559 357

1 370 071

2 525 594

273 684

5 306 019

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

51

14

254

50

 

369

Instruments dérivés de couverture

 

300

28 964

66 312

 

95 576

Dettes envers les établissements de crédit

430 561

739 406

908 795

768 983

 

2 847 745

Dettes envers la clientèle

1 060 591

135 871

124 428

221 835

 

1 542 725

Dettes représentées par un titre

2 343

150

 

157 120

 

159 613

Dettes subordonnées

481

 

 

14 864

 

15 345

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

96 254

 

 

 

 

96 254

Total Passifs financiers par échéance

1 590 281

875 741

1 062 441

1 229 164

0

4 757 627

 

7. – Avantages au personnel et autres rémunérations.

 

7.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Salaires et traitements (1)

30 109

29 656

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

3 518

3 280

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

1 248

945

Autres charges sociales

10 868

11 687

Intéressement et participation

5 431

3 405

Impôts et taxes sur rémunération

6 196

5 313

Total Charges de personnel

57 370

54 286

(1) Dont indemnités liées à la retraite pour 272 K€ au 31/12/2013 contre 148K€ au 31/12/2012.

Dont médailles du travail pour 28 K€ au 31/12/2013 contre 62 K€ au 31/12/2012.

 

Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE) : Suite à la mise en place du Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (conformément à l’article 244 quater C du Code générale des impôts, applicable à compter du 1er janvier 2013), La Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté en déduction de ses charges générales d’exploitation, au niveau de la rubrique « Autres charges sociales » un montant de 979 K€ au 31 décembre 2013.

 

7.2. Effectif fin de période :

 

Effectifs

31/12/2013

31/12/2012

France

860

902

Etranger

14

14

Total

874

916

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies :

 

(En milliers d'euros)

Euro zone

Hors euro zone

Toutes zones

Toutes zones

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2012

Variation dette actuarielle

 

 

 

 

Dette actuarielle au 31/12/N-1

13 483

 

13 483

11 530

Ecart de change

 

 

 

 

Coût des services rendus sur l'exercice

1 024

 

1 024

860

Coût financier

383

 

383

543

Cotisations employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

 

 

Variation de périmètre

-12

 

-12

 

Prestations versées (obligatoire)

-764

 

-764

-505

Taxes, charges administratives et primes

 

 

 

 

(Gains) / pertes actuariels * liés aux hypothèses démographiques

-28

 

 

 

(Gains) / pertes actuariels liés aux hypothèses financières

214

 

 

 

Dette actuarielle au 31/12/N

14 300

0

14 300

13 329

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2012

Détail de la charge comptabilisée au résultat

 

 

 

 

Coût des services

1 024

 

1 024

860

Charge / produit d'intérêt net

11

 

11

187

Impact en compte de résultat au 31/12/N

1 035

0

1 035

1 047

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2012

Détail des gains et pertes comptabilisés en autres éléments du résultat global non recyclables

 

 

 

 

Réévaluation du passif (de l'actif) net

 

 

 

 

Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en autres éléments du résultat global non recyclables au 31/12/N-1

1 275

 

1 275

 

Ecart de change

 

 

 

 

Gains/(pertes) actuariels sur l'actif

-10

 

-10

 

Gains / (pertes) actuariels liés aux hypothèses démographiques (*)

-28

 

-28

 

Gains / (pertes) actuariels liés aux hypothèses financières (*)

214

 

214

 

Ajustement de la limitation d'actifs

 

 

 

 

Total des éléments reconnus immédiatement en autres éléments du résultat global au 31/12/N

1 451

 

1 451

0

(*) Dont écarts actuariels liés aux ajustements d'expérience

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2012

Variation de juste valeur des actifs

 

 

 

 

Juste valeur des actifs au 31/12/N-1

13 075

 

13 075

11 364

Ecart de change

 

 

 

 

Intérêt sur l'actif (produit)

372

 

372

374

Gains / (pertes) actuariels

10

 

10

-454

Cotisations payées par l'employeur

1 317

 

1 317

2 142

Cotisations payées par les employés

 

 

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

 

 

Variation de périmètre

 

 

 

 

Taxes, charges administratives et primes

-12

 

-12

 

Prestations payées par le fonds

-764

 

-764

-505

Juste valeur des actifs au 31/12/N

13 998

 

13 998

12 921

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2013

31/12/2012

Position nette

 

 

 

 

Dette actuarielle fin de période

14 300

 

14 300

13 329

Impact de la limitation d'actifs

 

 

 

148

Juste valeur des actifs fin de période

13 998

 

13 998

12 921

Position nette (passif) / actif fin de période

-302

0

-302

-260

 

Information sur les actifs des régimes Allocations d'actifs (1) :

 

 

Euro zone

Hors euro zone

Toutes zones

En %

En %

En %

Actions

7,9 %

 

7,9 %

Obligations

86,1 %

 

86,1 %

Immobiliers

 

 

 

Autres actifs (2)

6%

 

6%

 

Au 31 décembre 2013, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de -3,86 % ;

— Une variation de moins 50 points de base des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de + 4,21 %.

 

7.5. Autres avantages sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 562 K€ euros à la fin de l’exercice 2013.

 

7.6. Rémunérations de dirigeants.

 

La rémunération des organes de Direction et d’Administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 325 K€.

 

8. Engagements de financement et de garantie et autres garanties

 

Engagements donnés et reçus

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Engagements donnés

 

 

Engagements de financement

500 709

441 571

Engagements en faveur d'établissements de crédit

61 118

 

Engagements en faveur de la clientèle

439 591

441 571

Ouverture de crédits confirmés

280 924

355 349

Ouverture de crédits documentaires

109

383

Autres ouvertures de crédits confirmés

280 815

354 966

Autres engagements en faveur de la clientèle

158 667

86 222

Engagements de garantie

293 313

303 907

Engagements d'ordre d'établissement de crédit

201 340

201 340

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

Autres garanties

201 340

201 340

Engagements d'ordre de la clientèle

91 972

102 567

Cautions immobilières

17 278

10 260

Garanties immobilières

 

20 075

Autres garanties d'ordre de la clientèle

74 694

72 232

Engagements reçus

 

 

Engagements de financement

400 152

400 000

Engagements reçus d'établissements de crédit

400 152

400 000

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

849 169

816 007

Engagements reçus d'établissements de crédit

65 163

33 893

Engagements reçus de la clientèle

784 006

782 114

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

162 321

146 691

Autres garanties reçues

621 685

635 423

 

Dont 201 340 K€ relatifs aux engagements des garanties Switch.

 

Instruments financiers remis et reçus en garantie :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2013

31/12/2012

Valeur comptable des actifs financiers remis en garantie (1) (dont actifs transférés)

 

 

Titres et créances apportées en garanties des dispositifs de refinancement (SFEF, Banque de France, CRH …)

1 568 575

1 616 991

Titres prêtés

-801

-759

Dépôts de garantie sur opérations de marché

 

 

Titres et valeurs donnés en pension

 

 

Total de la valeur comptable des actifs financiers remis en garantie

1 567 774

1 616 232

Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés (2)

 

 

Titres empruntés

 

 

Titres & valeurs reçus en pension

 

 

Titres vendus à découvert

 

 

Total Juste valeur des instruments reçus en garantie réutilisables et réutilisés

0

0

 

Créances apportées en garantie. — Au cours de l’année 2013, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a apporté 1 568 575 milliers d’euros de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 314 484 K€ en 2012. La Caisse Régionale Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

 

En particulier, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a apporté :

— 924 650 K€ de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 722 321 K€ en 2012 ;

— 48 479 K€ de créances à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du dispositif SFEF (Société de Financement de l'Economie Française), contre 139 413 K€ en 2012;

— 221 801 K€ de créances hypothécaires à Crédit Agricole S.A. dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 166 103 K€ en 2012;

— 373 645 K€ de créances à Crédit Agricole S.A. ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 286 647 K€ en 2012.

 

9. – Juste valeur des instruments financiers.

 

La juste valeur est le prix qui serait reçu pour la vente d’un actif ou payé pour le transfert d’un passif lors d’une transaction normale entre des participants de marché à la date d’évaluation.

 

La juste valeur est basée sur le prix de sortie (notion d’exit price).

 

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté en ayant recours en priorité à des donnés de marché observables. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

 

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Il est supposé que les intervenants de marché agissent dans leur meilleur intérêt économique Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

 

9.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût. — Les montants présentés incluent les créances et dettes rattachées et sont nets de dépréciation.

 

— Actifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

Valeur de marché estimée au 31 décembre 2013

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers non évalués à la juste valeur au bail

 

 

 

 

Prêts et créances

4 740 598

 

254 202

4 486 396

Créances sur les établissements de crédit (1)

200 931

 

200 931

 

Comptes ordinaires & prêts JJ

31 125

 

31 125

 

Comptes et prêts à terme

156 093

 

156 093

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Prêts subordonnés

13 713

 

13 713

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

 

 

Autres prêts et créances

4 539 667

 

53 271

4 486 396

Créances sur la clientèle

11 255

 

 

11 255

Créances commerciales

4 462 487

 

 

4 462 487

Autres concours à la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

6 897

 

6 897

 

Prêts subordonnés

1 018

 

1 018

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

 

 

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

 

 

Avances en comptes courants d'associés

19 274

 

6 620

12 654

Comptes ordinaires débiteurs

38 736

 

38 736

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

121 491

120 619

872

-

Effets publics et valeurs assimilées

75 434

75 434

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

46 057

45 185

872

 

Total actifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 862 089

120 619

255 074

4 486396

 

La hiérarchie de juste valeur des actifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13.

Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs financiers cotés sur un marché actif.

Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des actifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de CDS. Les pensions reçues portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les actifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté.

Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des actifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé, ou des paramètres de risque de taux lorsque les taux sont réglementés.

 

— Passifs financiers comptabilisés au coût au bilan valorisés à la juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

Valeur de marché estimé au 31 décembre 2013

Prix côté sur des marchés actifs pour des instruments identiques

Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables

Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables

Niveau 3

Passifs financiers non évalués à la Juste Valeur au Bilan :

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

2 699 172

 

2 699 172

 

Comptes ordinaires et emprunts JJ

98

 

98

 

Comptes et emprunts à terme

2 699 074

 

2 699 074

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

1 594 537

 

1 583 153

11 384

Comptes ordinaires créditeurs

1 036 197

 

1 036 197

 

Comptes d'épargne à régime spécial

11 384

 

 

11 384

Autres dettes envers la clientèle

546 956

 

546 956

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

176 349

 

176 349

 

Dettes subordonnées

14 889

 

14 889

 

Total passifs financiers dont la juste valeur est indiquée

4 484 947

 

4 473 563

11 384

 

La hiérarchie de juste valeur des passifs financiers est ventilée selon les critères généraux d’observabilité des données d’entrées utilisées dans l’évaluation, conformément aux principes définis par la norme IFRS 13.

 

Le niveau 1 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des passifs financiers cotés sur un marché actif.

 

Le niveau 2 de la hiérarchie s’applique à la juste valeur des passifs financiers pour lesquels il existe des données observables. Il s’agit notamment des paramètres liés au risque de taux ou des paramètres de risque de crédit lorsque celui-ci peut être réévalué à partir de cotations de spreads de CDS. Les pensions données portant sur des sous-jacents cotés sur un marché actif sont également inscrites dans le niveau 2 de la hiérarchie, ainsi que les passifs financiers avec une composante à vue pour lesquels la juste valeur correspond au coût amorti non ajusté.

 

Le niveau 3 de la hiérarchie indique la juste valeur des passifs financiers pour lesquels il n’existe pas de donnée observable ou pour lesquels certains paramètres peuvent être réévalués à partir de modèles internes qui utilisent des données historiques. Il s’agit des paramètres liés au risque de crédit ou au risque de remboursement anticipé, ou des paramètres de risque de taux lorsque les taux sont réglementés.

 

Dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

— des actifs ou passifs exigibles à vue.

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

9.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée intègre dans la juste valeur l’évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre),

 

Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée repose sur des paramètres de marché lorsque la contrepartie dispose d’un CDS coté directement ou indirectement observable (Credit Default Swap) ou des paramètres historiques de défaut pour les autres contreparties.

 

Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue du groupe Crédit Agricole, le DVA les pertes attendues sur le groupe Crédit Agricole du point de vue de la contrepartie.

 

L’impact de la première application d’IFRS 13 au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’est pas significatif au 31/12/2013.

 

Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation

— Actifs financiers valorisés à la juste valeur :

Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2013

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

76

0

76

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

0

0

0

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

76

 

76

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

6 057

0

6 057

0

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

6 057

0

6 057

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

6 057

 

6 057

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

36 157

4 114

32 043

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 286

4 114

172

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

31 871

 

31 871

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

96 420

 

96 420

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

138 710

4 114

134 596

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

«(1) Hors 223 540 K€ de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. note 1.2). »

 

— Actifs financiers valorisés à la juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2012

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

197

0

197

0

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

0

0

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

197

 

197

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

10 673

0

10 673

0

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

10 673

0

10 673

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

10 673

 

10 673

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

259 169

4 107

255 062

0

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 384

4 107

277

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

254 785

 

254 785

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

127 751

 

127 751

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

397 790

4 107

393 683

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

— Passifs financiers valorisés à la juste valeur :

Les montants présentés sont y compris dettes rattachées

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2013

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

150

0

150

0

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Instruments dérivés

150

 

150

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

69 495

 

69 495

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

69 645

0

69 645

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2012

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

369

0

369

0

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Instruments dérivés

369

 

369

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

95 576

 

95 576

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

95 945

0

95 945

0

Transfert issus du Niveau 1

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 2

 

 

 

 

Transfert issus du Niveau 3

 

 

 

 

Total des transferts vers chacun des niveaux

 

0

0

0

 

10. – Événements postérieurs à la clôture.

 

Des travaux de revue de la qualité des actifs ont été menés par la Banque Centrale Européenne (AQR)

Dans le cadre de la préparation du transfert de la supervision de 130 banques européennes vers la BCE en novembre 2014, les superviseurs européens ont annoncé qu’un exercice de revue de la qualité des bilans des banques, et en particulier de leurs actifs (AQR ou « Asset Quality Review »), allait être mené entre octobre 2013 et octobre 2014.

Le Groupe Crédit Agricole fait partie des banques concernées par cet exercice. Dans ce contexte, la Direction Financière et la Direction des Risques Groupe ont engagé des travaux visant à se préparer à l’exercice de revue qui sera mené par les Autorités de tutelle. Par ailleurs, le Groupe Crédit Agricole a arrêté ses comptes au 31 décembre 2013 conformément aux normes IFRS en vigueur et aux principes comptables applicables au sein du Groupe

 

11. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2013.

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode au 31 décembre 2013

% De contrôle et d'intérêt

 

 

 

 

31/12/2013

31/12/2012

Caisse Locale à vocation départementale des P.O

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARGELES - ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale la Canterrane - sud reart

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale cote vermeille

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale porte de la salanque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LA FOSSEILLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TET - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de l'AGLY-FENOUILLEDES-VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale FORCA - REAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de THUIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CONFLENT - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de RIVESALTAIS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d'AGLY SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale les RIVES DE LA BASSE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d'ARLES S/TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Local à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale pays de Foix et du Seronais

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LAVELANET - QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale ARIZE - LEZE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COUSERANS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TARASCON

France

Intégration Globale

100

100

 

IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés.

(Exercice clos le 31 décembre 2013.)

 

Aux sociétaires,

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2013, sur :

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— la vérification spécifique prévue par la Loi.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par votre conseil d'administration. _linons appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que Ies éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes consolidés de l'exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union Européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l'article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants:

— Comme indiqué dans la note 1.3 de l'annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l'appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des provisions et des dépréciations individuelles et collectives.

— La note 1.3 de l'annexe expose les règles et méthodes comptables relatives aux actifs financiers disponibles à la vente. Nous avons examiné les évaluations retenues pour la valorisation de ces titres et, sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à vérifier la correcte application des principes retenus par votre caisse régionale pour leur dépréciation. Nous avons revu plus particulièrement les critères ayant conduit à valoriser les titres SAS Rue La Boétie à leur coût ainsi que la cohérence des approches multicritères et des paramètres retenus dans le cadre du test de dépréciation de ces titres.

— Dans le cadre de l'arrêté des comptes, votre caisse régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur l'évaluation en juste valeur des instruments financiers. Nous avons examiné et testé les processus mis en place par la direction, les hypothèses retenues et les paramètres utilisés, et vérifié, sur la base des informations qui nous ont été communiquées, que ces estimations comptables s'appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes retenus par votre caisse régionale.

— Votre caisse régionale procède à d'autres estimations dans le cadre habituel de la préparation de ses comptes consolidés, comme exposé en note 13 de l'annexe, qui portent, notamment, sur les engagements en matière de retraite et d'indemnités de fin de carrière. Nos travaux ont consisté à examiner les méthodes et hypothèses retenues et à vérifier que Ies estimations comptables qui en résultent s'appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans la note 1.3 de l'annexe.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d'exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations relative au groupe, données dans le rapport de gestion.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

 

Toulouse et Perpignan, le 11 mars 2014.

Commissaires aux comptes :

 

 

 

1401284

25/04/2014 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 1384
Texte de l'annonce :

1401384

25 avril 2014BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°50


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 Mars 2014.

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

30 893

Effets publics et valeurs assimilées

76 092

Créances sur les établissements de crédits

39 241

Opérations internes au Crédit agricole

222 619

Opérations avec la clientèle

4 370 603

Obligations et autres titres à revenu fixe

49 480

Actions et autres titres à revenu variable

3 944

Participations et autres titres détenus à long terme

261 361

Parts dans les entreprises liées

805

Immobilisations corporelles et incorporelles

39 555

Autres actifs

79 129

Comptes de régularisation

61 746

Total de l’actif

5 235 468

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

216

Opérations internes au Crédit agricole

2 669 556

Comptes créditeurs de la clientèle

1 587 756

Dettes représentées par un titre

153 719

Autres passifs

22 176

Comptes de régularisation

72 312

Provisions pour risques et charges

67 968

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 757

Fonds pour risques bancaires généraux

12 557

Capitaux propres hors FRBG

631 451

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

473 769

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 235 468

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

846 212

Engagements de financements

427 633

Engagements de garantie

418 541

Engagements sur titres

38

Engagements reçus

1 245 215

Engagements de financements

400 152

Engagements de garantie

845 025

Engagements sur titres

38

 

 

1401384

07/02/2014 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 213
Texte de l'annonce :

1400213

7 février 2014BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°17


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numero Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 décembre 2013.

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

29 090

Effets publics et valeurs assimilées

75 677

Créances sur les établissements de crédits

3 856

Opérations internes au Crédit agricole

184 699

Opérations avec la clientèle

4 383 443

Obligations et autres titres à revenu fixe

49 435

Actions et autres titres à revenu variable

3 944

Participations et autres titres détenus à long terme

273 591

Parts dans les entreprises liées

805

Immobilisations corporelles et incorporelles

40 747

Autres actifs

75 358

Comptes de régularisation

86 419

Total de l’actif

5 207 064

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

287

Opérations internes au Crédit agricole

2 638 182

Comptes créditeurs de la clientèle

1 606 566

Dettes représentées par un titre

152 630

Autres passifs

24 893

Comptes de régularisation

70 448

Provisions pour risques et charge

68 563

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 571

Fonds pour risques bancaires généraux

12 557

Capitaux propres hors FRBG

615 367

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

457 834

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

-149

Total du passif

5 207 064

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

794 347

Engagements de financements

500 709

Engagements de garantie

293 313

Engagements sur titres

325

Engagements reçus

1249 646

Engagements de financements

400 152

Engagements de garantie

849 169

Engagements sur titres

325

 

 

1400213

06/11/2013 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 5391
Texte de l'annonce :

1305391

6 novembre 2013BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°133


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 30 Septembre 2013.

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

30 872

Effets publics et valeurs assimilées

45 952

Créances sur les établissements de crédits

45 234

Opérations internes au Crédit agricole

170 046

Opérations avec la clientèle

4 442 666

Obligations et autres titres à revenu fixe

54 304

Actions et autres titres à revenu variable

3 953

Participations et autres titres détenus à long terme

273 305

Parts dans les entreprises liées

805

Immobilisations corporelles et incorporelles

41 245

Autres actifs

91 326

Comptes de régularisation

89 875

Total de l’actif

5 289 583

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

215

Opérations internes au Crédit agricole

2 616 699

Comptes créditeurs de la clientèle

1 696 430

Dettes représentées par un titre

155 445

Autres passifs

18 002

Comptes de régularisation

95 642

Provisions pour risques et charges

66 745

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 332

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG

615 516

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

457 834

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 289 583

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés

739 269

Engagements de financements

435 054

Engagements de garantie

303 392

Engagements sur titres

823

Engagements reçus

1 216 375

Engagements de financements

400 152

Engagements de garantie

815 400

Engagements sur titres

823

 

 

1305391

30/08/2013 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 4426
Texte de l'annonce :

1304426

August 30, 2013BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°104


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions

du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 30 juin 2013.

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

31 754

Effets publics et valeurs assimilées

17 325

Créances sur les établissements de crédits

43 580

Opérations internes au Crédit agricole

219 459

Opérations avec la clientèle

4 482 489

Obligations et autres titres à revenu fixe

54 140

Actions et autres titres à revenu variable

3 953

Participations et autres titres détenus à long terme

272 877

Parts dans les entreprises liées

850

Immobilisations corporelles et incorporelles

42 259

Autres actifs

79 815

Comptes de régularisation

96 965

Total de l’actif

5 345 466

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

3 471

Opérations internes au Crédit agricole

2 771 721

Comptes créditeurs de la clientèle

1 617 298

Dettes représentées par un titre

152 763

Autres passifs

19 289

Comptes de régularisation

73 734

Provisions pour risques et charges

67 037

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 080

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG

615 516

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

457 834

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 345 466

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés :

727 789

Engagements de financements

427 925

Engagements de garantie

298 778

Engagements sur titres

1 086

Engagements reçus :

1 247 882

Engagements de financements

400 000

Engagements de garantie

818 415

Engagements sur titres

29 467

1304426

10/05/2013 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N1)
Numéro d'affaire : 2103
Texte de l'annonce :

1302103

10 mai 2013BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°56


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

( ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 Mars 2013.

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

30 787

Effets publics et valeurs assimilées

17 684

Créances sur les établissements de crédits

43 779

Opérations internes au Crédit agricole

271 803

Opérations avec la clientèle

4 466 799

Obligations et autres titres à revenu fixe

54 564

Actions et autres titres à revenu variable

3 953

Participations et autres titres détenus à long terme

272 978

Parts dans les entreprises liées

850

Immobilisations corporelles et incorporelles

42 195

Autres actifs

75 608

Comptes de régularisation

86 103

Total de l’actif

5 367 103

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

307

Opérations internes au Crédit agricole

2 835 667

Comptes créditeurs de la clientèle

1 580 683

Dettes représentées par un titre

151 928

Autres passifs

25 428

Comptes de régularisation

67 957

Provisions pour risques et charges

64 293

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 767

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG

615 516

Capital souscrit

28 057

Primes d’émission

129 625

Réserves

457 834

Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

Report à nouveau

0

Total du passif

5 367 103

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés

717 732

Engagements de financements

416 425

Engagements de garantie

299 764

Engagements sur titres

1 543

Engagements reçus

1 220 146

Engagements de financements

400 152

Engagements de garantie

818 451

Engagements sur titres

1 543

 

 

1302103

26/04/2013 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 1 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N1)
Numéro d'affaire : 1558
Texte de l'annonce :

1301558

26 avril 2013BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRESBulletin n°50


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE/PYRENÉES ORIENTALES)

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural

au capital social au 31 décembre 2012 de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2012

 

Comptes annuels approuvés par l'assemblée générale ordinaire du 26 mars 2013

A. — Comptes sociaux au 31 décembre 2012.

Arrêtés par le conseil d’administration de Sud Méditerranée en date du 12 février 2013

I. — Bilan au 31 décembre 2012.

(En milliers d'euros).

 

Actif

Notes

31/12/2012

31/12/2011

Opérations interbancaires et assimilées

 

50 867

33 800

Caisse, banques centrales

 

31 398

29 785

Effets publics et valeurs assimilées

5

17 655

 

Créances sur les établissements de crédit

3

1 814

4 015

Opérations internes au Crédit Agricole

3

278 641

209 753

Opérations avec la clientèle

4

4 476 044

4 512 716

Opérations sur titres

5.1

63 511

64 135

Obligations et autres titres à revenu fixe

5

59 559

60 086

Actions et autres titres à revenu variable

5

3 952

4 049

Valeurs immobilisées

 

315 346

316 310

Participations et autres titres détenus à long terme

6.1 - 7

272 625

273 223

Parts dans les entreprises liées

6.1 - 7

850

936

Immobilisations incorporelles

7

884

888

Immobilisations corporelles

7

40 987

41 263

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

166 204

163 909

Autres actifs

8

69 908

71 139

Comptes de régularisation

8

96 296

92 770

Total actif

 

5 350 613

5 300 623

 

Passif

Notes

31/12/2012

31/12/2011

Opérations interbancaires et assimilées

 

825

290

Banques centrales

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

10

825

290

Opérations internes au Crédit Agricole

10

2 854 786

2 952 324

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 545 703

1 418 242

Dettes représentées par un titre

12

152 491

158 286

Comptes de régularisation et passifs divers

 

93 831

81 268

Autres passifs

13

27 532

20 823

Comptes de régularisation

13

66 299

60 445

Provisions et dettes subordonnées

 

78 314

76 395

Provisions

14-15-16

60 730

58 804

Dettes subordonnées

18

17 584

17 591

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17

7 557

7 557

Capitaux propres hors FRBG

19

617 106

606 261

Capital souscrit

 

28 057

28 057

Primes d'émission

 

129 625

129 625

Réserves

 

445 803

419 970

Ecart de réévaluation

 

 

 

Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

 

 

Report à nouveau

 

 

 

Résultat de l'exercice

 

13 621

28 609

Total passif

 

5 350 613

5 300 623

 

Hors-bilan

Notes

31/12/2012

31/12/2011

Engagements donnés

 

746 186

912 910

Engagements de financement

 

441 571

593 426

Engagements de garantie

 

303 904

319 214

Engagements sur titres

 

711

270

Engagements reçus

 

1 216 718

1 151 438

Engagements de financement

 

400 000

350 152

Engagements de garantie

 

816 007

801 016

Engagements sur titres

 

711

270

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

— Opérations de change au comptant et à terme : note 22 ;

— Opérations sur instruments financiers à terme : note 23 ;

— Engagement de financement, de garanties et autres garanties : note 24

 

II. — Compte de résultat au 31 décembre 2012.

(En milliers d'euros).

 

 

Notes

31/12/2012

31/12/2011

Intérêts et produits assimilés

25

194 172

191 295

Intérêts et charges assimilées

25

-97 160

-99 230

Revenus des titres à revenu variable

26

1 733

13 590

Commissions (produits)

27

84 308

88 261

Commissions (charges)

27

-12 877

-14 487

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

28

106

1 847

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

 

828

-434

Autres produits d’exploitation bancaire

30

715

739

Autres charges d’exploitation bancaire

30

-475

-1 014

Produit net bancaire

 

171 350

180 567

Charges générales d’exploitation

31

-95 292

-91 598

Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

-8 647

-7 526

Résultat brut d'exploitation

 

67 411

81 443

Coût du risque

32

-34 402

-37 731

Résultat d'exploitation

 

33 009

43 712

Résultat net sur actifs immobilisés

33

-1 349

-2 269

Résultat courant avant impôt

 

31 660

41 443

Résultat exceptionnel

 

 

 

Impôt sur les bénéfices

35

-18 039

-12 834

Dotations/Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

 

 

Résultat net de l'exercice

 

13 621

28 609

 

III. — Annexe.

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caracteristiques de l'exercice.

1.1. Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée, des Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’Entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2012, la Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du Groupe Crédit Agricole dont l'Organe Central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole SA Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même 56,26 % du capital de Crédit Agricole SA, cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole SA est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,46 %.

Par ailleurs, Crédit Agricole SA détient 7 319 186 actions propres au 31 décembre 2012, soit 0,29 % de son capital, contre 6 969 381 actions propres au 31 décembre 2011.

Pour sa part Crédit Agricole SA détient 25 % du capital sous la forme de Certificats Coopératifs d’Associés et/ou de Certificats Coopératifs d’Investissement émis par la Caisse régionale.

Crédit Agricole SA coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'Organe Central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit Agricole SA à hauteur de leurs fonds propres.

 

1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole. — L'appartenance de la Caisse régionale Sud Méditerranée au groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA, qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ».

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Épargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, livret jeune et livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

—Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole SA et centralisées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole SA de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales leur permettant d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33 % et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole SA et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole SA.

 

Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales. — Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole SA. — Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

Opérations en devises. — Crédit Agricole SA, intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA. — Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

 

Couverture des risques de liquidité et de solvabilité. — Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole SA, la CNCA (devenue Crédit Agricole SA) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole SA d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole SA enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

En outre, depuis la mutualisation en 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole SA, les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

Garanties Switch. — Le dispositif Switch, mis en place le 23 décembre 2011, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole SA, en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole.

Il permet le transfert des exigences prudentielles s’appliquant aux participations de Crédit Agricole SA dans les Caisses régionales, qui sont mises en équivalence dans les comptes consolidés de Crédit Agricole SA. Ce transfert est réalisé vers les Caisses régionales via un mécanisme de garantie accordée par ces dernières à Crédit Agricole SA sur une valeur contractuelle plancher des valeurs de mises en équivalence des CCI/CCA émis par les Caisses régionales. Cette valeur est fixée à l’origine de l’opération.

La bonne fin du dispositif est garantie par la mise en place d’un dépôt de garantie versé par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA.

Ainsi, le dispositif protège Crédit Agricole SA de la baisse de valeur de mise en équivalence globale des Caisses régionales. En effet, dès lors qu’une baisse de valeur est constatée, le mécanisme de garantie est actionné et Crédit Agricole SA perçoit une indemnisation prélevée sur le dépôt de garantie. En cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence globale, Crédit Agricole SA, de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

La durée de la garantie est de 15 ans au bout desquels elle peut être prolongée par tacite reconduction. Cette garantie peut être résiliée par anticipation, dans certaines conditions et avec l’accord préalable de l’Autorité de Contrôle Prudentiel.

Le dépôt de garantie est rémunéré à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. La garantie fait l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

Dans les comptes individuels, la garantie Switch est un engagement de hors-bilan donné par les Caisses régionales et symétriquement reçu par Crédit Agricole SA. La rémunération globale de la garantie est étalée sur la durée du contrat et comptabilisée en PNB dans la marge d’intérêt. En cas d’exercice de la garantie, l’indemnisation est enregistrée symétriquement par Crédit Agricole SA et les Caisses régionales en résultat dans l’agrégat coût du risque. La clause de retour à meilleure fortune fait naître une provision dans les comptes de Crédit Agricole SA dont le montant est déterminé en fonction du caractère probable du remboursement.

 

1.3. Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2012 :

— Dans un contexte économique difficile, l’activité crédit s’est fortement ralentie. Sur l’exercice, 564,3 M€ de crédits ont été réalisés en baisse de 15 % par rapport à 2011.

— L’encours de collecte globale au 31 décembre 2012 s’établit à 6 461 M€ en progression de 2 % par rapport à 2011. La collecte monétaire progresse de près de 9 % traduisant la préférence pour les placements à court terme et l’adaptation de la Caisse Régionale des offres de la Caisse Régionale (DAT).

— Souscription de 17,6 M€ de titre OAT dans le cadre des contraintes réglementaires BALE 3 en matière de liquidité.

 

Eléments significatifs ayant une incidence sur le compte de résultat :

— En 2011, les dividendes de la SAS Rue la Boétie et les intérêts des T3CJ s’élevaient respectivement à 7,9 M€ et 1,5 M€. L’absence de résultat bénéficiaire de Crédit Agricole SA en 2011, diminue d’autant le PNB fonds propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en 2012.

— L’actualisation du modèle de calcul de la provision épargne logement (intégration de nouvelles lois d’écoulement des PEL et des spreads de liquidité) s’est traduit comptablement par une reprise de 0,5 M€.

— L’amende Echange Image Chèque payée par les établissements de crédit en 2010 a été remboursée. La Caisse Régionale a perçu un produit de 0,5 M€.

— En raison de la forte baisse des taux observés sur 2012 et conformément à la norme IAS 34, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a revu l’évaluation de ses engagements sociaux à partir des analyses de sensibilité réalisées dans le cadre des travaux préparatoires aux arrêtés annuels et présentées dans les états financiers du 31 décembre 2011. L’actualisation du montant de ses engagements sociaux au 31 décembre 2012 a entraîné une charge de 2,4 M€ inscrites en frais de personnel.

— La loi de Finances rectificative présenté au Conseil des Ministres le 4 juillet 2012, et adopté par l’Assemblée Nationale le 19 juillet 2012, comporte deux principales mesures fiscales applicables aux Caisses régionales : la création d’une contribution additionnelle exceptionnelle à la taxe de risque systémique, l’augmentation du taux de 8 à 20 % du forfait social. Ces deux mesures occasionneront une charge annuelle complémentaire de 0,6 M€ pour la taxe systémique et de 0,4 M€ pour le forfait social suite au relèvement du taux de la taxe. Par ailleurs, la nouvelle loi de Finances a étendu la taxe sur salaires à l’intéressement et la participation représentant un coût supplémentaire de plus de 0,4 M€.

— Les coopérations engagées en 2010 et 2011 entre les Caisses Régionales Sud Méditerranée, de la Corse et de la Réunion se sont élargies au cours du 2ème trimestre 2012 avec de nouveaux accords de coopérations entre la CR de Toulouse 31 et Sud Coopération.

— Les frais de fonctionnement en forte hausse enregistrent les charges de sous traitance informatique relatives à CA Technologie et CA Services dans le cadre du projet NICE pour 14,3 M€, ces dernieres s’élevaient à 13,9 M€ à fin 2011. (Projet informatique du Groupe dont l’objectif est le regroupement des Caisses Régionales vers un système d’information unique à horizon 2013). Le 02/05/2012 marque le démarrage du projet Nice pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée, une équipe Projet dédiée aux travaux de migration a été constituée.

— La baisse de la valorisation du titre SAS Sacam International a conduit à une provision complémentaire d’ 1 M€ portant la dépréciation totale sur ce titre à 4,5 M€.

— L’année 2012 reste encore marquée par la progression des créances douteuses et litigieuses. Avec un total de 287,8 M€ au 30 décembre 2012, le total CDL affiche une évolution de 11,6 % par rapport au 31 décembre 2011. Les provisions s’élèvent à 164,3 M€ assurant un taux de couverture de 57,1 % à fin juin 2012.

— En France, on note un ralentissement des risques sur 2012, les encours de CDL à 173,7 M€ progressent de 0,2 % contre une évolution de près de 14 % sur 2011.

— En revanche la succursale en Espagne voit son encours de CDL évoluer de près de 35 % depuis décembre 2011 pour atteindre 114 M€ à fin décembre 2012.

De plus, l’activité Marchands de biens reste soutenue avec 69 nouveaux biens saisis sur l’exercice pour un montant de 14,3 M€. Ils portent ainsi le stock à 293 biens pour un montant total de 62,6 M€, dont 27 biens loués pour 5,9 M€ transférés en immeubles hors exploitation. Une dépréciation totale de 14,7 M€ a été enregistrée au 31 décembre 2012, représentant un taux de couverture de 38%.

Il a été décidé en 2012 d’appliquer une décote à la valeur de référence différente en fonction de l’ancienneté de la valeur d’expertise, permettant de rester en adéquation avec le marché et limiter de fortes variations lors de l’actualisation des valeurs d’expertise.

— Au 31 décembre 2012, l’intégration des garanties CAMCA dans le modèle de calcul des provisions collectives a conduit à minorer de 2,9 M€ la dotation de l’exercice.

— La Caisse Régionale a obtenu gain de cause sur un dossier contentieux de 2007 et ainsi récupéré 4,3 M€ enregistré au niveau des récupérations de créances.

— Les comptes enregistrent la contribution exceptionnelle et temporaire de 5 % du taux d’IS pour les Entreprises réalisant un CA > 250 M€. (Cette mesure est entrée en vigueur au 31 décembre 2011).

 

1.4. Evénements postérieurs à l’exercice 2012. — Dans le cadre de l’arrêté des comptes, la Caisse régionale a eu connaissance et a intégré dans les comptes annuels l’impact de la dépréciation provisoire de la SAS SACAM International pour 1 millions d’€uros sur la base d’une estimation communiquée par Crédit Agricole SA le 18 janvier 2013.

Les valeurs définitives des SAS SACAM International et SACAM Développement ont été arrêtées et communiquées par la FNCA le 4 février 2013 (basées sur la valeur retenue par CA SA dans le cadre de la dépréciation des écarts d’acquisition ayant donné lieu à un communiqué public le 1er février 2013).

— Pour la SAS SACAM Développement, la nouvelle valeur fixée à 38,45 € est supérieure au prix moyen d’acquisition ne nécessitant aucun provisionnement.

— Concernant la SAS SACAM International, la nouvelle valeur est fixée à 8,75 €, inférieure à la valeur estimée au 18 janvier 2013. Le complément de provision de 0,436 million d’€uros n’a pas été enregistré dans les comptes au 31 décembre 2012. L’ajustement sera pris en compte au 1er trimestre 2013.

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

Les états financiers de La Caisse Régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole SA, agissant en tant qu'Organe Central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

La présentation des états financiers de La Caisse Régionale Sud Méditerranéeest conforme aux dispositions du règlement 91-01 du Comité de la réglementation bancaire (CRB), modifié par le règlement 2000-03 du Comité de la réglementation comptable (CRC), relatif à l’établissement et à la publication des comptes individuels annuels des entreprises relevant du Comité de la réglementation bancaire et Financière (CRBF) lui-même modifié notamment en 2010 par le règlement ANC N° 2010-08 du 07 octobre 2010 relatif à la publication des comptes individuels des établissements de crédit.

 

Règlements

Date de publication par l’État français

Date de 1ere application : exercices ouverts à compter du

Règlement de l’anc relatif au traitement comptable du dispositif prévu à l’article 1 de la loi N°2011-894

30 décembre 2011

N° 2011-04

1er janvier 2012

Règlement ANC relatif au traitement comptable du changement de régime fiscal des mutuelles et des institutions de prévoyance dans les comptes consolidés ou combinés des exercices clos au 31 décembre 2012

04 décembre 2012

N° 2012-01

1er janvier 2012

Règlement ANC relatif à l’application de l’article L. 233-24 du code de commerce, abandon du référentiel IFRS au profit du règlement CRC 99-02

04 décembre 2012

N° 2012-02

1er janvier 2012

Règlement ANC relatif à la comptabilisation des quotas d’émission de gaz à effet de serre et unités assimilés

28 décembre 2012

N° 2012-03

1er janvier 2013

Règlement ANC relatif à la comptabilisation des certificats d’économie d’énergie

28 décembre 2012

N° 2012-04

1er janvier 2014

Règlement ANC modifiant l’article 380-1 du règlement CRC n°99-03 sur les ventes en l’état futur d’achèvement

28 décembre 2012

N° 2012-05

1er janvier 2013

Règlement ANC relatif à l'annexe des comptes annuels des fonds et sociétés visés par le décret n° 2012-465 du 10 avril 2012 relatif à l'encadrement et à la transparence des frais et commissions prélevés

28 décembre 2012

N° 2012-06

31 décembre 2012

Règlement ANC relatif au traitement comptable du changement de régime fiscal des mutuelles et des institutions de prévoyance dans les comptes consolidés ou combinés

28 décembre 2012

N° 2012-07

1er janvier 2012

 

L’année 2012, n’a pas donné lieu à des changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent.

 

2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement CRC 2002-03 modifié du 12 décembre 2002.

Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours :

— les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ;

— les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ;

— les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle.

Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle).

Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale.

En application du règlement CRC 2009-03 les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont désormais étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l’encours de crédit concerné.

Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les engagements par signature comptabilisés au hors bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds.

L‘application du règlement CRC n° 2002-03 modifié relatif au traitement comptable du risque de crédit conduit Crédit Agricole SA à comptabiliser les créances présentant un risque d’impayé conformément aux règles suivantes. L’utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d’apprécier l’existence d’un risque de crédit.

 

Créances restructurées. — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.), afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

Par conséquent, sont exclues des créances restructurées :

— les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité ;

— les créances dont le tableau d’amortissement théorique est modifié du fait de l’application d’une option ou clause contractuelle prévue initialement au contrat (exemple : pause et report d’échéance).

Le montant des créances restructurées détenues par La Caisse Régionale Sud Méditerranées’élève à 27 182 K€ au 31 décembre 2012 contre 30 799 K€ au 31 décembre 2011.

En 2012, le montant des décotes calculées par la chaîne informatique est de 88 K€ portant le stock à 150 K€.

 

Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

— il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits) ;

— la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

— il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Pour les découverts, l’ancienneté de l’impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l’établissement ou qu’il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l’établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu’il a tiré des montants sans autorisation de découvert.

Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l’établissement peut décompter l’ancienneté de l’impayé lorsque le découvert a fait l’objet de la part de l’établissement d’une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranéedistingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

— Créances douteuses non compromises : Ce sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

— Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Pour les créances douteuses l’enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise.

 

Dépréciations au titre du risque de crédit avéré. — Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale Sud Méditerranéepar voie de dépréciation figurant en déduction de l’actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Traitement comptable des décotes et dépréciations. — La décote constatée lors d’une restructuration de créance ou la dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque. Pour les créances restructurées inscrites en encours sains, cette décote est réintégrée sur la durée de vie dans la marge d’intérêt. Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation et à l’amortissement de la décote du fait du passage du temps étant inscrites dans la marge d’intérêt.

 

Dépréciation au titre du risque de crédit non affecté individuellement. — Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranéea également constaté au passif de son bilan des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, tels que les provisions sectorielles ou des provisions calculées à partir des modèles Bâle II. Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel, sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement.

 

Risques-pays. — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l’Autorité de Contrôle Prudentiel, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays ». (Note de la Commission Bancaire du 24 décembre 1998).

Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d’origine.

 

Passage en perte. — L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert, la Caisse Régionale Sud Méditerranéele détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité.

 

2.2. Portefeuille-Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement CRB 90-01 modifié notamment par les règlements CRC 2005-01, 2008-07 et 2008-17 ainsi que par le règlement CRC 2002-03 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe.

Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable.

Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

Titres de placement. — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus.

— Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d’acquisition coupon couru à l’achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre.

Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

— Actions et autres titres à revenu variable : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat frais d'acquisition inclus.

Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique : « Revenus des titres à revenu variable ».

Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique.

A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d’acquisition et la valeur de marché. Ainsi lorsque la valeur d’inventaire d'une ligne ou d’un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l’article 4 du règlement 88-02 du CRB, prenant la forme d’achats ou de ventes d’instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées.

En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres :

— s’il s’agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale Sud Méditerranéedispose d’informations particulières sur la situation financière de l’émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ;

— s’il s’agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2. Créances et engagements par signature – Dépréciation au titre du risque de crédit avéré).

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat.

 

Titres d'investissement. — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance.

Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale Sud Méditerranéedispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d’acquisition et coupons inclus.

La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre.

Il n’est pas constitué de dépréciation des titres d’investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l’émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du règlement CRC 2002-03 sur le risque de crédit ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ».

En cas de cession de titres d’investissement, ou de transfert dans une autre catégorie de titres, pour un montant significatif, l’établissement n’est plus autorisé, pendant l’exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d’investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément au règlement CRC 2005-01, hors exceptions prévues par ce texte et par le CRC 2008-17.

 

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu’elle permet d’exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d’en assurer le contrôle.

— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d’acquisition frais inclus.

A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d’utilité.

Celle-ci représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir, compte tenu de ses objectifs de détention.

L’estimation de la valeur d’utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l’entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre.

Lorsque la valeur d’utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l’objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes.

Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ».

 

Prix de marché. — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

— les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent ;

— si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres, lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

Dates d’enregistrement. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Reclassement de titres. — Conformément au règlement CRC 2008-17 du 10 décembre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements de titres suivants :

— du portefeuille de transaction vers le portefeuille de d’investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l’établissement a l’intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance

— du portefeuille de placement vers le portefeuille d’investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif.

La Caisse Régionale Sud Méditerranéen’a pas opéré, en 2012, de reclassement au titre du règlement CRC 2008-17.

 

2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale Sud Méditerranéeapplique le règlement CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranéeapplique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

En application du règlement CRC 2004-06, le coût d’acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d’achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l’acquisition pour la mise en état d’utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ».

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition.

Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’achèvement.

A l'exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranéesur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante.

 

2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes :

— dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit ;

— comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ;

— comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celleci inclut notamment la clientèle financière).

Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables, emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ».

Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés ; la charge correspondante est inscrite dans la rubrique : « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes :

— soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10 % du prix d'émission ;

— soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10% du prix d'émission.

La Caisse Régionale Sud Méditerranéeapplique également la méthode d’étalement des frais d’emprunts dans ses comptes individuels.

Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ».

 

2.6. Provisions. — La Caisse Régionale Sud Méditerranéeapplique le règlement du CRC n° 2000-06 sur les passifs concernant la comptabilisation et l’évaluation des provisions entrant dans le champ d’application de ce règlement.

Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers.

Les provisions incluent également les risques-pays. L’ensemble de ces risques fait l’objet d’un examen trimestriel.

Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d’opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays.

La Caisse Régionale Sud Méditerranéea partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement.

La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

Provision pour risques sur GIE d’Investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse Régionale Sud Méditerranéeconstitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse Régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale de … au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, les fonds pour risques bancaires généraux sont constitués par la Caisse Régionale Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire.

Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice.

 

2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions des règlements CRB 88-02 et 90-15 modifiés et de l’instruction 94-04 modifiée de l’Autorité de contrôle prudentiel (ex Commission Bancaire).

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie :

— Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable.

Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole SA sont inscrits prorata temporis dans la rubrique : « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés.

— Opérations de marché : Les instruments négociés sur un marché organisé, assimilé, de gré à gré ou inclus dans un portefeuille de transaction - au sens du règlement CRB 90-15 modifié - sont évalués par référence à leur valeur de marché à la date de clôture.

Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s’il existe un marché actif, ou à l’aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l’absence de marché actif.

Pour les instruments négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

Les pertes ou profits relatifs à des instruments négociés sur des marchés peu liquides, dits de gré à gré, ou constituant des positions ouvertes isolées sont enregistrés dans les résultats au dénouement des contrats ou prorata temporis selon la nature de l'instrument. En date d'arrêté, les pertes latentes éventuelles font l'objet d'une provision.

Les gains et pertes ainsi que les mouvements de provisions relatifs à ces opérations de marché sont portés au compte de résultat sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de négociation ».

— Opérations complexes : Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d’instruments (de types, natures et modes d’évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d’une réglementation explicite et qui implique, de la part de l’établissement, un choix de principe.

 

2.9. Opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan, libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction. Les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.

Les dotations aux succursales, les immobilisations des implantations à l'étranger, les titres de placement, d'investissement et de participation en devises achetés contre euros sont convertis en euros au cours du jour de la transaction. Seul l'effet de change constaté sur les titres de placement est enregistré en compte de résultat.

Une provision peut cependant être constituée lorsque l’on constate une dépréciation durable du cours de change relative aux participations de la Caisse Régionale Sud Méditerranée à l’étranger.

A chaque arrêté, les opérations de change à terme sont évaluées au cours à terme restant à courir de la devise concernée. Les gains ou les pertes constatées sont portées au compte de résultat sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de négociation – Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés ».

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF 89.01, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multi-devises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Le montant global de la position de change opérationnelle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s'établit à 2 K€.

 

2.10. Intégration de succursales à l’étranger. — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées.

Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques.

Les règles de conversion en euros sont les suivantes :

— les postes de bilan autres que les dotations sont convertis au cours de clôture ;

— les dotations sont converties au cours de clôture ;

— les charges et les produits sont convertis au cours moyen de clôture.

Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ».

 

2.11. Engagements hors-bilan. — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus.

Le cas échéant, les engagements donnés font l’objet d’une provision lorsqu’il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Le hors bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie.

Ces éléments sont toutefois détaillés dans l’annexe, aux notes 25 et 26.

 

2.12. Participation des salariés aux fruits de l’expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l’expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né.

L’intéressement est couvert par l’accord du 16 juin 2011.

La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ».

 

2.13. Avantages au personnel postérieurs à l’emploi :

— Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies : la Caisse Régionale Sud Méditerranée applique, à compter du 1er janvier 2004, la recommandation n° 2003-R.01 du Conseil national de la comptabilité du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.

En application de cette recommandation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques et selon la méthode dite des Unités de Crédits Projetés. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de prestation future actualisée.

Les écarts actuariels étant passés immédiatement en résultat, le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation ;

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Dans la mesure où la réforme (loi 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites) ne modifie pas les accords de branche existants mais simplement les hypothèses actuarielles d’âge de départ en retraite, elle est analysée comme une mise à jour d’hypothèses actuarielles et non comme une modification de régime. A ce titre, l’impact de la réforme doit être enregistré comme les autres écarts actuariels, intégralement en résultat.

— Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « frais de personnel ».

 

2.14. Stock-options et souscription d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne entreprise :

— Souscription d’actions dans le cadre du plan d’épargne entreprise : Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne entreprise, avec une décote maximum de 20 %, ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevées d’une période d’incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d’actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et qui sont relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %.

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a signé avec Crédit Agricole SA une convention d’intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, chacune des sociétés intégrées constate dans ses comptes la dette d’impôt dont elle aurait été redevable en l’absence d’intégration fiscale.

 

Note 3. — Créances sur les établissements de crédit – Analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Établissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

1 424

 

 

 

1 424

 

1 424

3 814

A terme

200

 

 

 

200

 

200

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Prêts subordonnés

 

 

 

189

189

1

190

201

Total

1 624

0

0

189

1 813

1

1 814

4 015

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

1 814

4 015

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

12 286

 

 

 

12 286

 

12 286

32 320

Comptes et avances à terme

14 574

103 543

34 902

96 578

249 597

3 254

252 851

163 926

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

13 508

Prêts subordonnés

 

 

 

13 500

13 500

4

13 504

 

Total

26 860

103 543

34 902

110 078

275 383

3 258

278 641

209 753

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

278 641

209 753

Total

 

 

 

 

 

 

280 455

213 768

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 13 694 K€.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 23 441 K€.

Parmi les créances sur les établissements de crédit, aucune n’est éligible au refinancement de la banque centrale

 

Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole SA dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

Note 4. – Opérations avec la clientèle.

4.1. Opérations avec la clientèle – Analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Créances commerciales

13 194

237

 

 

13 431

1 153

14 584

17 289

Autres concours à la clientèle

367 214

466 299

1 313 615

2 412 627

4 559 755

37 440

4 597 194

4 609 351

Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Comptes ordinaires débiteurs

28 466

 

 

 

28 466

133

28 599

33 994

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-164 332

-147 918

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

4 476 044

4 512 716

 

Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis à la clientèle s'élèvent à 6 897 K€.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 1 015 K€.

Parmi les créances sur la clientèle 946 716 K€ sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2012 contre 738 740 K€ au 31 décembre 2011.

Les encours restructurés au 31 décembre 2012 s’élèvent à 27 182 K€ contre 30 779 K€ au 31 décembre 2011.

 

4.2. Opérations avec la clientèle – Analyse par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

France (y compris DOM-TOM)

4 193 953

4 180 067

Autres pays de l'UE

407 698

441 129

Total en principal

4 601 651

4 621 196

Créances rattachées

38 725

39 438

Dépréciations

-164 332

-147 918

Valeur nette au bilan

4 476 044

4 512 716

 

4.3. Opérations avec la clientèle – Encours douteux et dépréciations par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (yc DOM-TOM)

4 228 611

173 735

120 770

118 265

91 001

4 219 505

173 423

106 244

114 643

79 558

Espagne

411 766

114 020

63 580

46 067

32 912

441 129

84 518

42 651

33 275

22 184

Total

4 640 377

287 755

184 350

164 332

123 913

4 660 634

257 941

148 895

147 918

101 742

 

4.4. Opérations avec la clientèle – Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

2 077 881

125 231

65 725

54 471

36 118

1 930 696

95 910

49 217

44 507

27 791

Agriculteurs

357 021

18 581

13 654

11 426

8 576

361 891

16 447

12 097

9 854

7 588

Autres professionnels

953 410

85 134

60 254

51 403

41 529

1 156 989

87 436

53 965

50 863

36 394

Clientèle financière

39 827

603

591

564

552

41 640

691

571

539

456

Entreprises

491 433

48 114

36 149

36 711

29 333

484 116

42 649

25 725

30 777

22 285

Collectivités publiques

674 758

9 607

7 502

9 334

7 391

634 934

11 207

3 742

7 866

3 739

Autres agents économiques

46 047

485

476

424

415

50 368

3 601

3 578

3 512

3 489

Total

4 640 377

287 755

184 350

164 332

123 913

4 660 634

257 941

148 895

147 918

101 742

 

Note 5. — Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Transaction

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investis-

sement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

17 642

17 642

 

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

 

 

Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

13

13

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

17 655

17 655

 

Obligations et autres titres à revenu fixe :

 

 

 

 

 

 

Emis par organismes publics

 

 

 

 

 

0

Autres émetteurs

 

7 165

 

55 564

62 729

63 732

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

 

 

Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

25

 

1 506

1 531

1 438

Dépréciations

 

-822

 

-3 879

-4 701

-5 086

Valeur nette au bilan

 

6 368

 

53 191

59 559

60 086

Actions et autres titres à revenu variable

 

3 954

 

 

3 954

4 049

Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

Dépréciations

 

-2

 

 

-2

 

Valeur nette au bilan

 

3 952

 

 

3 952

4 049

Total

 

10 320

 

70 845

81 165

64 135

Valeurs estimatives

 

10 488

 

74 066

84 554

59 070

 

Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 193 K€ au 31/12/2012, contre 143 K€ au 31/12/2011.

La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

Il n’y a pas de titres de l’activité de portefeuille.

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d’investissement s'élève à 3 482 K€ au 31/12/2012, contre 591 K€ au 31/12/2011

 

5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Administration et banques centrales (y compris Etats) (1)

 

 

Établissements de crédit

54 286

55 709

Clientèle financière

5 361

3 944

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

3 863

4 482

Divers et non ventilés

 

 

Total en principal

63 511

64 135

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeur nette au bilan

63 511

64 135

 

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

62 729

17 641

3 954

84 324

63 733

 

4 049

67 782

Dont titres cotés

44 564

17 641

10

62 215

45 528

 

 

45 528

Dont titres non cotés (1)

18 165

 

3 944

22 109

18 204

 

4 049

22 253

Créances rattachées

1 531

13

 

1 544

1 439

 

 

1 439

Dépréciations

4 701

 

2

4 703

5 086

 

 

5 086

Valeur nette au bilan

59 559

17 654

3 952

81 165

60 086

0

4 049

64 135

(1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

— OPCVM français 3 944 K€ ;

— Dont OPCVM français de capitalisation 3 944 K€.

 

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2012:

 

(En milliers d'euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

3 944

4 107

OPCVM obligataires

 

 

OPCVM actions

 

 

OPCVM autres

 

 

Total

3 944

4 107

 

5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

1 775

1 000

34 219

25 736

62 730

1 531

64 261

65 171

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-4 701

-5 086

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

62 730

1 531

59 559

60 085

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

 

 

11 688

5 954

17 642

13

17 655

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

17 642

13

17 655

 

 

Note 6. – Titres de participation et de filiales.

 

Informations financières

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital

Quote-part de capital détenue (en pourcentage)

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1)

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

Filiales et participations

Brutes

Nettes

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l’entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SCI Château de Castelnou

EUR

850

1

96,61 %

1 202

620

229

 

17

-62

 

Participations dans des établissements de crédit [détail]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SAS Rue la Boétie

EUR

2 480 628

8 507 498

1,32 %

227 662

227 662

12 654

 

984 248

295 827

 

SAS SACAM Développement

EUR

730 622

 

1,35 %

9 883

9 883

4 622

 

-14 658

-17 894

 

SACAM International

EUR

778 835

 

1,32 %

11 893

7 374

 

 

14 152

-146 935

 

SAS SACAM Fireca

EUR

22 510

 

1,18 %

529

275

 

 

0

-6

 

SNC CA titres

EUR

15 245

15 989

0,62 %

362

362

 

 

110 582

1 600

 

SAS Sofilaro

EUR

8 940

3

14,32 %

1 281

1 281

3

 

0

388

52

SACAM Avenir

EUR

113 464

 

1,06 %

1 208

1 208

 

 

0

-11

 

SAS Sacam Participations

EUR

62 558

2 804

1,63 %

1 184

1 184

 

 

2 016

1 570

 

FIA-Net Europe

EUR

47 185

 

 

545

380

 

 

0

-14

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital de l’entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées dans les établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

2 103

1 699

 

 

 

 

48

Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

257 852

251 928

17 508

0

1 096 357

134 463

100

 

6.1. Valeur estimative des titres de participation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

Titres non cotés

1 202

621

1 202

707

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

229

229

229

229

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

-581

 

-495

 

Valeur nette au bilan

850

850

936

936

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

Titres non cotés

256 650

258 708

256 649

259 602

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

19 788

19 788

19 164

19 164

Créances rattachées

181

181

160

160

Dépréciations

-5 343

 

-4 098

 

Sous-total titres de participation

271 276

278 677

271 875

278 926

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres non cotés

1 349

1 349

1 349

1 349

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

1 349

1 349

1 349

Valeur nette au bilan

272 625

280 026

273 224

280 275

Total des titres de participation

273 475

280 876

274 160

281 212

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Total valeurs brutes

 

 

 

 

Titres non cotés

257 852

 

257 851

 

Titres cotés

 

 

 

 

Total

257 852

 

257 851

 

 

Les valeurs estimatives sont déterminées d’après la valeur d’utilité des titres ; celle-ci n’est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant SAS Rue de la Boétie, la valeur d’utilité est de 19,11 € au 31/12/2012.

 

Note 7. – Variation de l’actif immobilisé.

Immobilisations financières :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2012

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements (1)

31/12/2012

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

1 202

 

 

 

1 202

Avances consolidables

229

 

 

 

229

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

-495

-86

 

 

-581

Valeur nette au bilan

937

-86

0

0

850

Titres de participation et autres titres détenus à long terme :

 

 

 

 

 

Titres de participation

271 874

-4 004

3 725

0

271 275

Valeurs brutes

273 925

1

 

 

273 926

Avances consolidables

1 887

624

 

 

2 511

Créances rattachées

160

181

160

 

181

Dépréciations

-4 098

-4 810

3 565

 

-5 343

Sous-total titres de participation

271 874

-4 004

3 725

0

271 276

Autres titres détenus à long terme

1 349

0

0

0

1 349

Valeurs brutes

1 349

 

 

 

1 349

Avances consolidables

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

0

0

0

1 349

Valeur nette au bilan

273 223

-4 004

3 725

0

272 625

Total

274 160

-4 090

3 725

0

273 475

 

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2012

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements (1)

31/12/2012

Immobilisations corporelles :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

125 152

5 659

-3 795

2 738

129 755

Amortissements et dépréciations

-83 891

-8 644

 

3 766

-88 769

Valeur nette au bilan

41 261

-2 985

-3 795

6 504

40 987

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

10 803

10

-11

 

10 802

Amortissements et dépréciations

-9 914

-3

 

 

-9 917

Valeur nette au bilan

889

7

-11

0

884

Total

42 151

-2 978

-3 806

6 504

41 871

 

Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Autres actifs (1) :

 

 

Instruments conditionnels achetés

 

 

Comptes de stock et emplois divers

36 606

36 696

Débiteurs divers

33 163

34 362

Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

Comptes de règlement

139

81

Valeur nette au bilan

69 908

71 139

Comptes de régularisation :

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

50 404

42 275

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

1

1

Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

Charges constatées d'avance

14 706

16 238

Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

10 777

12 913

Autres produits à recevoir

20 154

20 955

Charges à répartir

140

165

Primes d'émission et de remboursement sur emprunts obligataires

 

 

Autres comptes de régularisation

114

225

Valeur nette au bilan

96 296

92 770

Total

166 204

163 909

 

Note 9. – dépréciations inscrites en déduction de l’actif.

 

(En milliers d'euros)

Solde au 01/01/2012

Dotations

Reprises et utilisations

Désactua-

lisation

Autres mouvements

Solde au 31/12/2012

Sur opérations interbancaires et assimilées

 

 

 

 

 

 

Sur créances clientèle

147 918

56 795

-37 807

-2 573

-1

164 332

Sur opérations sur titres

5 086

932

-1 315

 

 

4 703

Sur valeurs immobilisées

5 267

6 385

-3 565

 

 

8 087

Sur autres actifs

14 166

12 640

-774

 

 

26 032

Total

172 437

76 752

-43 461

-2 573

-1

203 154

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - Analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

≤ 1 an

>1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

635

 

 

189

824

 

824

290

A vue

635

 

 

 

635

 

635

90

A terme

 

 

 

189

189

1

190

200

Valeurs données en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

635

0

0

189

824

1

825

290

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

63 854

 

 

 

63 854

2

63 856

6 861

Comptes et avances à terme

367 201

739 896

908 681

769 058

2 784 836

6 094

2 790 930

2 945 463

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

431 055

739 896

908 681

769 058

2 848 690

6 096

2 854 786

2 952 324

Total

431 690

739 896

908 681

769 247

2 849 514

6 097

2 855 611

2 952 614

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole SA et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale.

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle.

11.1. Comptes créditeurs de la clientèle – Analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

≤ 3mois

> 3mois

≤ 1an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Comptes ordinaires créditeurs

1 003 640

 

 

 

1 003 640

19

1 003 659

992 197

Comptes d'épargne à régime spécial :

11 224

 

 

 

11 224

 

11 224

9 302

A vue

11 224

 

 

 

11 224

 

11 224

9 302

A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes envers la clientèle :

38 076

136 112

127 292

221 636

523 116

7 701

530 819

416 744

A vue

422

 

 

 

422

 

422

106

A terme

37 654

136 112

127 292

221 636

522 695

7 701

530 397

416 638

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

1 052 940

136 112

127 292

221 636

1 537 981

7 720

1 545 703

1 418 242

 

11.2. Comptes créditeurs de la clientèle – Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Particuliers

782 087

694 307

Agriculteurs

95 004

85 739

Autres professionnels

102 971

97 323

Clientèle financière

8 086

6 993

Entreprises

460 607

438 873

Collectivités publiques

14 464

19 311

Autres agents économiques

82 483

75 697

Total en principal

1 545 703

1 418 242

Dettes rattachées

 

 

Valeur au bilan

1 545 703

1 418 242

 

Note 12. – Dettes representées par un titre.

Dettes représentées par un titre – Analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Bons de caisse

2 034

150

 

 

2 184

10

2 194

2 166

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres de créances négociables

 

 

 

150 000

150 000

297

150 297

156 120

Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

2 034

150

 

150 000

152 184

307

152 491

158 286

 

Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Autres passifs (1)

 

 

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

Instruments conditionnels vendus

2

3

Comptes de règlement et de négociation

 

107

Créditeurs divers

26 947

20 112

Versements restant à effectuer sur titres

584

602

Valeur au bilan

27 532

20 823

Comptes de régularisation

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

15 933

7 663

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits constatés d'avance

19 893

19 469

Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

9 241

12 481

Autres charges à payer

20 573

19 956

Autres comptes de régularisation

658

876

Valeur au bilan

66 299

60 445

Total

93 831

81 268

(1) Les montants incluent les dettes rattachées.

 

Note 14. – Provisions.

 

(En milliers d'euros)

Solde au 01/01/2012

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au 31/12/2012

Provisions pour engagements de retraite et assimilés

0

260

 

 

 

260

Provisions pour autres engagements sociaux

471

66

 

-4

 

533

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

1 085

138

 

-19

0

1 204

Provisions pour litiges fiscaux (1)

94

0

0

 

 

94

Provisions pour autres litiges

74

19

-41

 

 

52

Provisions pour risques de crédit (2)

47 260

10 786

 

-9 800

 

48 246

Provisions pour impôts (3)

428

 

-151

 

 

277

Provisions pour risques opérationnels

3 914

265

-20

-27

0

4 132

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (4)

2 552

635

 

-1 084

 

2 103

Autres provisions (5)

2 926

3 178

-1 262

-1 014

 

3 828

Valeur au bilan

58 804

15 348

-1 474

-11 948

0

60 730

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II.

(3) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale.

(4) Voir note 15 ci-après.

(5) Y compris les provisions pour risques sur GIE d’investissement.

 

Note 15. – Epargne logement.

Une provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision mise en œuvre par le Groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec le règlement CRC n° 2007-01 du 14 décembre 2007 sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement.

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

89 025

313 766

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

254 222

192 508

Ancienneté de plus de 10 ans

296 043

129 189

Total plans d'épargne-logement

639 290

635 463

Total comptes épargne-logement

83 273

88 161

Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

722 563

723 624

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état

 

Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Plans d'épargne-logement

4 009

4 960

Comptes épargne-logement

11 996

13 430

Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

16 005

18 390

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

 

 

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

 

357

Ancienneté de plus de 10 ans

2 076

1 786

Total plans d'épargne-logement

2 076

2 143

Total comptes épargne-logement

27

409

Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 103

2 552

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

(En milliers d'euros)

01/01/2012

Dotations

Reprises

31/12/2012

Plans d'épargne-logement :

2 143

428

494

2 076

Comptes épargne-logement :

409

207

589

27

Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 552

635

1 084

2 103

 

La reprise de la provision épargne logement au 31 décembre 2012 est liée à l’actualisation du modèle de calcul.

Les principales évolutions du modèle concernent la révision des lois d’écoulement des Plans Épargne Logement et des Comptes Épargne Logement ainsi que l’intégration d’une composante liquidité afin de refléter les conditions actuelles de marché.

 

Note 16. – Engagements sociaux : Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies.

Définitions : Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

Les régimes à prestations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

Variations de la dette actuarielle :

 

Variation dette actuarielle (en milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dette actuarielle au 31/12/N-1

11 530

10 659

Coûts des services rendus sur la période

860

853

Coût financier

543

415

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-505

-447

(Gains)/pertes actuariels

901

50

Dette actuarielle au 31/12/n

13 329

11 530

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

Détail de la charge comptabilisée au résultat(en milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Coût des services rendus

860

853

Coût financier

543

415

Rendement attendu des actifs

-374

-336

Amortissement du coût des services passés

18

16

Gains/(pertes) actuariels net

 

 

Amortissement des gains/pertes générés par modifications, réductions et liquidations de régimes

 

 

Gains/(pertes) du(e)s au changement de limitation d'actif

 

-466

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 047

482

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

Variation de juste valeur des actifs et des Droits à remboursement(en milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/2011

11 364

8 746

Rendement attendu des actifs

374

336

Gains/(pertes) actuariels

-454

517

Cotisations payées par l'employeur

2 142

2 212

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations payées par le fonds

-505

-447

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/2012

12 921

11 364

 

Composition des actifs des régimes. — Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de :

— 84,80 % d’obligations ;

— 8,50 % d’actions ;

— 6,70 % d’autres produits.

 

Rendement des actifs des régimes. — Le rendement attendu des actifs de régimes concernant les IFC est de 2,90 % et de 3,60 % pour les régimes de retraites.

 

Hypothèses actuarielles utilisées. — Le taux ayant servi à l’évaluation des engagements IFC et retraite (base taux iboxx Corporate AA 10+) s’élève à 2,85 %.

Au 31 décembre 2012, les taux de sensibilité démontrent que :

— Une variation de plus 50bp des taux d’actualisation conduirait à une baisse de l’engagement de -3,85 % ;

— Une variation de moins de 50bp des taux d’actualisation conduirait à une hausse de l’engagement de + 4,15 %.

 

Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Valeur au bilan

7 557

7 557

 

Note 18. – Dettes subordonnées : Analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Dettes subordonnées à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

 

15 000

15 000

481

15 481

15 476

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

 

 

 

C/C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

2 034

2 034

69

2 103

2 115

Dépots de Garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan

0

0

0

17 034

17 034

550

17 584

17 591

 

Commentaires : Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 934 K€ au 31 décembre 2012 contre 1 047 K€ au 31 décembre 2011.

 

Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition).

Variation des capitaux propres :

 

(En milliers d'euros)

Capitaux propres

Capital (1)

Réserve légale

Réserve statutaire

Primes, autres réserves et report à nouveau (2)

Ecarts conversion/

réévaluation

Provisions réglementées & subventions d'investissement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 décembre 2010

28 057

270 012

22 884

220 655

 

 

39 650

581 258

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2010

 

 

 

 

 

 

3 605

-3 605

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

0

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

0

Affectation du résultat social 2010

 

27 033

 

9 011

 

 

-36 045

0

Report à nouveau débiteur

 

 

 

 

 

 

 

0

Résultat de l’exercice 2011

 

 

 

 

 

 

28 609

28 609

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

0

Solde au 31 décembre 2011

28 057

297 045

22 884

229 666

0

0

28 609

606 261

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2011

 

 

 

 

 

 

-2 777

-2 777

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

0

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

0

Affectation du résultat social 2011

 

19 374

 

6 458

 

 

-25 832

0

Report à nouveau débiteur

 

 

 

 

 

 

 

0

Résultat de l’exercice 2012

 

 

 

 

 

 

13 621

13 621

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

0

Solde au 31 décembre 2012

28 057

316 419

22 884

236 124

0

0

13 621

617 106

(1) Dont 7 014 K€ de Certificat Coopératifs d’association souscrits par crédit Agricole SA.

(2) Dont 59 035 K€ de primes d'émission, dont 70 590 K€ relatifs aux primes de fusion.

 

Note 20. – Composition des fonds propres.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Capitaux propres

617 106

606 261

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 584

17 591

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

Total des fonds propres

642 246

631 409

 

Note 21. – Opérations effectuées en devises.

Contributions par devise au bilan :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

5 349 212

5 349 212

5 289 191

5 289 191

Autres devises de l’Union Européenne

210

210

144

144

Franc suisse

 

 

9 980

9 980

Dollar

1 126

1 126

1 223

1 223

Yen

 

 

 

 

Autres devises

65

65

85

85

Valeur brute

5 350 613

5 350 613

5 300 623

5 300 623

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

Total

5 350 613

5 350 613

5 300 623

5 300 623

 

Note 22. – Opérations de change, prêts et emprunts en devises.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

À recevoir

À livrer

À recevoir

À livrer

Opérations de change au comptant

0

0

0

0

Devises

 

 

 

 

Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

1 053

1 050

4 731

4 722

Devises

519

519

2 473

2 473

Euros

534

531

2 258

2 249

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

Total

1 053

1 050

4 731

4 722

 

Note 23. – Opérations sur instruments financiers à terme.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total

Total

Opérations fermes

1 653 885

27 613

1 681 498

1 995 356

Opérations sur marchés organisés (1)

0

0

0

0

Contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

Contrats à terme de change

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Opérations de gré à gré (1)

1 653 885

27 613

1 681 498

1 995 356

Swaps de taux d'intérêt

1 651 782

27 613

1 679 395

1 985 903

Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

Contrats à terme de change

2 103

 

2 103

9 453

FRA

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Opérations conditionnelles

1 476

0

1 476

2 894

Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

Instruments de taux d'intérêt à terme

 

 

 

 

Instruments sur action et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Opérations de gré à gré

1 476

0

1 476

2 894

Options de swap de taux

 

 

 

 

Instruments de taux d'intérêts à terme

 

 

 

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

Instruments sur actions et indices boursiers à terme

 

 

 

 

Autres instruments à terme conditionnels

 

 

 

 

Achetés

738

 

738

1 447

Vendus

738

 

738

1 447

Dérivés de crédit

0

0

0

0

Contrats de dérivés de crédit

 

 

 

 

Total

1 655 361

27 613

1 682 974

1 998 250

(1) Les montants indiqués sur les opérations fermes doivent correspondre au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats).

 

23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : Encours notionnels par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2012

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de change

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

0

0

0

 

 

 

 

 

 

FRA

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

114 223

784 828

780 344

114 223

784 828

780 344

 

 

 

Caps, floors, collars

1 475

0

0

1 475

 

 

 

 

 

Forward taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Sous total

115 698

784 828

780 344

115 698

784 828

780 344

0

0

0

Swaps de devises

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

1 409

0

694

1 409

 

694

 

 

 

Sous total

1 409

0

694

1 409

0

694

0

0

0

Total

117 107

784 828

781 038

117 107

784 828

781 038

0

0

0

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2011

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de change

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

0

0

0

 

 

 

 

 

 

FRA

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

375 000

831 685

779 218

375 000

831 685

779 218

 

 

 

Caps, floors, collars

0

2 894

0

 

2 894

 

 

 

 

Forward taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Sous total

375 000

834 579

779 218

375 000

834 579

779 218

0

0

0

Swaps de devises

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

9 453

0

0

9 453

 

 

 

 

 

Sous total

9 453

0

0

9 453

0

0

0

0

0

Total

384 453

834 579

779 218

384 453

834 579

779 218

0

0

0

 

23.2. Instruments financiers à terme : Juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Total juste valeur

Encours notionnel

Total juste valeur

Encours notionnel

Futures

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

32 004

1 679 395

30 475

1 985 903

Forward taux

 

 

 

 

Caps, floors, collars

 

1 476

 

2 894

Dérivés sur actions, indices boursier et métaux précieux

 

 

 

 

Sous total

0

1 680 871

30 475

1 988 797

Swaps de devises

 

 

 

 

Opérations de change à terme

 

2 103

 

9 453

Sous total

0

2 103

0

9 453

Total

0

1 682 974

30 475

1 998 250

 

23.3. Information sur les Swaps :

— Ventilation des contrats d’échange de taux d’intérêt :

 

(En milliers d'euros)

Position ouverte isolée

Micro-couverture

Macro-couverture

Swaps de transaction

Contrats d'échange de taux

27 614

93 195

1 558 586

 

Contrats assimilés (1)

 

 

 

 

(1) Il s’agit des contrats assimilés au sens de l’article 1er du règlement 90.15 du CRBF.

 

Note 24. – Engagements de financement, de garantie et autres garanties.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Engagements donnés :

 

 

Engagements de financement

441 571

593 427

Engagements en faveur d'établissements de crédit

 

100 000

Engagements en faveur de la clientèle

441 571

493 427

Ouverture de crédits confirmés

355 349

405 158

Ouverture de crédits documentaires

383

409

Autres ouvertures de crédits confirmés

354 966

404 749

Autres engagements en faveur de la clientèle

86 222

88 269

Engagements de garantie

303 904

319 214

.Engagements d'ordre d'établissement de crédit

201 340

201 340

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

Autres garanties

201 340

201 340

Engagements d'ordre de la clientèle

102 564

117 874

Cautions immobilières

10 260

10 900

Autres garanties d'ordre de la clientèle (1)

92 304

106 974

Engagements sur titres

711

270

Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements à donner

711

270

Engagements reçus :

 

 

Engagements de financement

400 000

350 152

Engagements reçus d'établissements de crédit

400 000

350 152

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

816 007

801 015

Engagements reçus d'établissements de crédit

33 893

38 699

Engagements reçus de la clientèle

782 114

762 316

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

146 691

140 337

Autres garanties reçues

635 423

621 979

Engagements sur titres

711

270

Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Autres engagements reçus

711

270

 

Les montants relatifs aux engagements des garanties Switch s’élèvent au 31 décembre 2012 à 201 340 K€.

 

Note 25. – Produits nets d’intérêts et revenus assimilés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 531

1 208

Sur opérations internes au Crédit Agricole

13 247

7 951

Sur opérations avec la clientèle

172 155

175 284

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

2 836

2 980

Produit net sur opérations de macro-couverture

0

1 009

Sur dettes représentées par un titre

4 403

2 863

Autres intérêts et produits assimilés

0

0

Intérêts et produits assimilés

194 172

191 295

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 347

737

Sur opérations internes au Crédit Agricole

62 755

77 169

Sur opérations avec la clientèle

18 684

14 045

Charge nette sur opérations de macro-couverture

3 794

 

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

0

 

Sur dettes représentées par un titre

10 556

7 248

Autres intérêts et charges assimilées

24

31

Intérêts et charges assimilées

97 160

99 230

Total produits nets d'intérêts et revenus assimilés (1)

97 012

92 065

(1) Le montant des dettes subordonnées au 31 décembre 2012 est de 481 K€, il était de 476 K€ au 31 décembre 2011.

 

Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d’opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques.

 

Note 26. – Revenus des titres.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Titres de placement

302

294

Livret développement durable

 

 

Titres d'investissement

2 534

2 687

Opérations diverses sur titres

4 403

1 009

Revenus des titres à revenus fixes

7 239

3 990

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme

1 733

13 590

Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille

 

 

Opérations diverses sur titres

 

 

Revenus des titres à revenus variables

1 733

13 590

Total des revenus sur titres

8 972

17 580

 

Note 27. – Produit net des commissions.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

299

-21

278

467

-28

439

Sur opérations internes au crédit agricole

13 160

-6 682

6 478

13 791

-7 366

6 425

Sur opérations avec la clientèle

17 321

-121

17 200

18 120

-98

18 022

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

8

 

8

8

 

8

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

22

 

22

 

 

0

Sur prestations de services financiers (1)

53 229

-5 620

47 609

55 616

-6 557

49 059

Provision pour risques sur commissions

270

-433

-163

259

-438

-179

Total produit net des commissions

84 308

-12 877

71 432

88 261

-14 487

73 774

 

Note 28. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

-20

1 700

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

126

147

Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations

106

1 847

 

Note 29. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Titres de placement

 

 

Dotations aux dépréciations

-2

-436

Reprises de dépréciations

849

3

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

847

-433

Plus-values de cession réalisées

5

 

Moins-values de cession réalisées

-25

-1

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

-20

-1

Solde des opérations sur titres de placement

828

-434

Titres de l'activité de portefeuille

 

 

Dotations aux dépréciations

 

 

Reprises de dépréciations

 

 

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

0

0

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

0

0

Solde des opérations sur titres del'activité de portefeuille

0

0

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

828

-434

 

Note 30. – Autres produits et charges d’exploitation bancaire.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Produits divers

715

739

Quote part des opérations faites en commun

 

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Reprises provisions

 

 

Autres produits d'exploitation bancaire

715

739

Charges diverses

192

714

Quote part des opérations faites en commun

283

300

Refacturation et transfert de charges

 

 

Dotations provisions

 

 

Autres charges d'exploitation bancaire

475

1 014

Total autres produits et charges d'exploitation bancaire

240

-275

 

Note 31. – Charges générales d’exploitation.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Frais de personnel

 

 

Salaires et traitements :

32 547

30 979

Charges sociales :

17 121

15 252

Intéressement et participation

3 405

5 328

Impôts et taxes sur rémunérations

5 313

4 534

Total des charges de personnel

58 386

56 093

Refacturation et transferts de charges de personnel

-2 792

-1 769

Frais de personnel nets

55 594

54 324

Frais administratifs

 

 

Impôts et taxes

4 762

4 210

Services extérieurs et autres frais administratifs

35 534

33 802

Total des charges administratives

40 296

38 012

Refacturation et transferts de charges administratives

-597

-738

Frais administratifs nets

39 699

37 274

Charges générales d'exploitation

95 292

91 598

 

Effectif moyen :

— Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) :

 

Catégories de personnel

31/12/2012

31/12/2011

Cadres

154

153

Non cadres

762

739

Total

916

892

Dont :

 

 

France

902

879

Étranger

14

13

 

La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l’institution.

Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 306 K€.

 

Note 32. – Coût du risque.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dotations aux provisions et dépréciations

74 563

68 953

Dépréciations de créances douteuses

50 844

55 774

Autres provisions et dépréciations

23 719

13 179

Reprises de provisions et dépréciations

43 996

41 779

Reprises de dépréciations de créances douteuses

32 558

34 519

Autres reprises de provisions et dépréciations (1)

11 438

7 260

Variation des provisions et dépréciations

30 567

27 174

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées

399

335

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (2)

7 644

10 577

Décote sur prêts restructurés

88

87

Récupérations sur créances amorties

-4 317

-494

Autres pertes

20

53

Coût du risque

34 402

37 731

(1) Dont 22 K€ utilisés en couverture de risques provisionnés au passif.

(2) Dont 6 274 K€ sur les créances douteuses compromises.

 

Note 33. – Résultat net sur actifs immobilisés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Immobilisations financières :

 

 

Dotations aux dépréciations

4 896

2 211

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

4 896

2 211

Reprises de dépréciations

3 565

34

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

3 565

34

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-1 331

-2 177

Sur titres d'investissement

0

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-1 331

-2 177

Plus-values de cessions réalisées

17

0

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

17

 

Moins-values de cessions réalisées

0

-2

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

 

-2

Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cessions

17

-2

Sur titres d'investissement

0

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

17

-2

Solde en perte ou en bénéfice

-1 314

-2 179

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

 

Plus-values de cessions

5

3

Moins-values de cessions

40

94

Solde en perte ou en bénéfice

-35

-91

Résultat net sur actifs immobilises

-1 349

-2 269

 

Note 34. – Charges et produits exceptionnels.

La caisse régionale n’a pas comptabilisé de charges et de produits exceptionnels sur l’exercice 2012.

 

Note 35. – Impôt sur les bénéfices.

Cet agrégat comprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l’exercice s’élève à 18 039 K€.

 

Intégration fiscale : La Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole SA A ce titre, elle a perçu un produit d’impôt résultant de la réallocation de l’économie d’IS liées aux dividendes intragroupe pour 386 K€.

 

Note 36. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits)

 

36.1. Résultat courant par zone géographique :

— Au 31 décembre 2012 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

160 115

-92 730

-7 012

60 373

-9 376

50 997

-1 325

49 672

Autres pays de l'UE

11 235

-4 051

-146

7 038

-25 026

-17 988

-24

-18 012

Résultat courant avant impôt

171 350

-96 781

-7 158

67 411

-34 402

33 009

-1 349

31 660

 

— Au 31 décembre 2011 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

PNB

Charges d'exploitation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

172 032

-89 161

-6 951

75 920

-27 150

48 770

-2 269

46 501

Autres pays de l'UE

8 535

-2 904

-108

5 523

-10 581

-5 058

 

-5 058

Résultat courant avant impôt

180 567

-92 065

-7 059

81 443

-37 731

43 712

-2 269

41 443

 

Note 37. – Affectation des résultats.

Projet affectation du résultat au 31/12/2012 (en euros) :

 

Résultat comptable

13 621 481,96

Ran

-0,00

Résultat à affecter

13 621 481,96

Distribué

1 589 773,03

Intérêts aux parts sociales

568 161,88

Intérêts aux parts aux Caisses locales

568 151,59

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

10,29

Rémunération des CCA

1 021 611,15

Conservé

12 031 708,93

Réserves légales

9 023 781,70

Autres réserves

3 007 927,23

 

Note 38. – Implantation dans des états ou territoires non coopératifs.

La Caisse régionale Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un État ou un territoire non coopératif au sens de l’article 238-0 A du Code général des impôts.

 

Note 39. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse régionale de Sud Méditerranée :

 

(En milliers d'euros)

Ernst & Young

%

ADG

%

Audit :

 

 

 

 

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

126

64 %

71

36 %

Missions accessoires

 

 

 

 

Sous-total

126

64 %

71

36 %

Autres prestations

 

 

 

 

Juridique, fiscal et social

 

 

 

 

Technologie de l'information

 

 

 

 

Audit interne

 

 

 

 

Autres : à préciser si > à 10 % des honoraires d'audit

 

 

 

 

Sous-total

0

0 %

0

0 %

Total

126

64 %

71

36 %

(1) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes.

 

Note 40. – Publicité.

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

IV. — Rapport des commissaires aux comptessur les comptes annuels.

Aux Sociétaires ;

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos assemblées générales, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2012, sur :

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d’ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de votre caisse régionale à la fin de cet exercice.

 

II. Justification des appréciations . — En application des dispositions de l’article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

Estimations comptables :

— Comme indiqué dans les notes 2.1 et 14 de l’annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et des provisions individuelles et collectives.

— Les parts dans les entreprises liées, les titres de participation et les autres titres détenus à long terme sont évalués par votre caisse régionale à leur valeur d’utilité en retenant une approche fondée sur les modalités décrites dans la note 2.2 de l’annexe. Dans le cadre de notre appréciation de ces estimations, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner les éléments ayant conduit à la détermination des valeurs d’utilité pour les principales lignes du portefeuille.

— Votre caisse régionale détient des titres en portefeuille. La note 2.2 de l’annexe expose les règles et les méthodes comptables relatives à ces titres. Sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre caisse régionale et des informations fournies dans les notes annexes et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

— Votre caisse régionale procède à d’autres estimations dans le cadre habituel de la préparation de ses comptes annuels qui portent, notamment, sur les engagements en matière de retraite et d’indemnités de fin de carrière. Nous avons revu les hypothèses retenues et vérifié que ces estimations comptables s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans les notes 2.13 et 16 de l’annexe.

Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

III. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

Nous n’avons pas d’observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d’administration et dans les documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Perpignan et Toulouse, le 8 mars 2013.

 

Les commissaires aux comptes :

 

B. — Comptes consolidés au 31 décembre 2012.

Arrêtés par le conseil d’administration de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 12 février 2013 et soumis à l’approbation de l’assemblée générale ordinaire en date du 26 mars 2013

 

I. — Cadre général.

Présentation juridique de l’entité.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à PERPIGNAN, 30, rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335 et fait partie du groupe crédit agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole.

Un Groupe bancaire d’essence mutualiste. — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 6,9 millions de sociétaires qui élisent quelques 29 118 administrateurs.Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie, détenue exclusivement par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole SA Les titres SAS Rue La Boétie ne sont pas cessibles en dehors de la communauté des Caisses régionales. Par ailleurs, les transactions éventuelles sur ces titres entre Caisses régionales sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination du prix de transaction. Ces opérations recouvrent les cessions de titres entre les Caisses régionales et les augmentations de capital de la SAS Rue la Boétie.

La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

Crédit Agricole SA en qualité d’organe central du groupe Crédit Agricole veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (article L.511-31 et article L.511-32), à la cohésion du réseau du groupe Crédit Agricole (tel que défini par l’article R.512-18 du Code monétaire et financier), au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent, au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole SA dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

 

 

Relations internes au Crédit Agricole.

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe.

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA, qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit » ou « Dettes envers les établissements de crédit ».

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Épargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole SA et centralisées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole SA de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales leur permettant d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50 % des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole SA et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole SA.

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA, où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole SA : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

— Opérations en devises : Crédit Agricole SA, intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole SA, la CNCA (devenue Crédit Agricole SA) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (« FRBLS ») destiné à permettre à Crédit Agricole SA d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole SA enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453.

En outre, depuis la mutualisation en 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un événement similaire affectant Crédit Agricole SA, les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

— Garanties Switch : Le dispositif Switch, mis en place le 23 décembre 2011, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole SA, en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole.

Il permet le transfert des exigences prudentielles s’appliquant aux participations de Crédit Agricole SA dans les Caisses régionales, qui sont mises en équivalence dans les comptes consolidés de Crédit Agricole SA Ce transfert est réalisé vers les Caisses régionales via un mécanisme de garantie accordée par ces dernières à Crédit Agricole SA sur une valeur contractuelle plancher des valeurs de mises en équivalence des CCI/CCA émis par les Caisses régionales. Cette valeur est fixée à l’origine de l’opération.

La bonne fin du dispositif est garantie par la mise en place d’un dépôt de garantie versé par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA.

Ce contrat s’analyse en substance comme un droit complémentaire attaché aux 25 % de CCI/CCA détenus par Crédit Agricole SA dans les Caisses régionales, et par conséquent il est lié à l’influence notable que Crédit Agricole SA exerce sur les Caisses régionales.

Ainsi, le dispositif protège Crédit Agricole SA de la baisse de valeur de mise en équivalence globale des Caisses régionales. En effet, dès lors qu’une baisse de valeur est constatée, le mécanisme de garantie est actionné et Crédit Agricole SA perçoit une indemnisation prélevée sur le dépôt de garantie. En cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence globale, Crédit Agricole SA, de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

La durée de la garantie est de 15 ans au bout desquels elle peut être prolongée par tacite reconduction. Cette garantie peut être résiliée par anticipation, dans certaines conditions et avec l’accord préalable de l’Autorité de contrôle prudentiel.

Le dépôt de garantie est rémunéré à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. La garantie fait l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

Dans les comptes consolidés, le traitement comptable repose sur l’analyse en substance de la transaction : cela conduit à considérer que l’indemnisation issue de la mise en jeu des garanties et son remboursement lors du retour à meilleure fortune s’analysent comme un partage des résultats dont les impacts sont enregistrés en réserves consolidées au niveau des Caisses régionales et en résultat sur sociétés mises en équivalences dans les comptes consolidés de Crédit Agricole SA, compte tenu de l’influence notable exercée par Crédit Agricole SA. Le dépôt de garantie constitue une créance au coût amorti pour les Caisses régionales et symétriquement une dette au coût amorti pour Crédit Agricole SA Les rémunérations sont respectivement enregistrées en PNB, à l’exception de la rémunération de la garantie qui est affectée au résultat des sociétés mises en équivalence chez Crédit Agricole SA.

 

Informations relatives aux parties liées. — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2012 et aux dirigeants. Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 49 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales. »

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 034 K€.

 

II. — Etats financiers consolidés.

Compte de résultat.

(En milliers d'euros).

 

 

Notes

31/12/2012

31/12/2011

Intérêts et produits assimilés

4.1

220 762

222 201

Intérêts et charges assimilées

4.1

-120 940

-127 515

Commissions (produits)

4.2

84 309

91 197

Commissions (charges)

4.2

-12 723

-14 538

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

948

861

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4-6.4

-8 714

8 214

Produits des autres activités

4.5

721

750

Charges des autres activités

4.5

-2 346

-1 794

Produit net bancaire

 

162 017

179 376

Charges générales d'exploitation

4.6-7.1-7.4-7.6

-94 087

-92 177

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-6 941

-6 924

Résultat brut d’exploitation

 

60 989

80 275

Coût du risque

4.8

-34 514

-37 617

Résultat d'exploitation

 

26 475

42 658

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

-35

-91

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impôt

 

26 440

42 567

Impôts sur les bénéfices

4.10

-17 805

-12 496

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

Résultat net

 

8 635

30 071

Intérêts minoritaires

 

 

 

Résultat net – part du groupe

 

8 635

30 071

 

Résultat net et gains et pertes comptabilises directement en capitaux propres.

(En milliers d'euros).

 

 

Notes

31/12/2012

31/12/2011

Résultat net part du groupe

 

8 635

30 071

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

 

1 961

-2 814

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

 

30

44

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

-867

298

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du Groupe, hors entités mises en équivalence

 

1 124

-2 472

Quote part des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

 

 

 

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du Groupe

4.11

1 124

-2 472

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du groupe

 

9 759

27 599

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part des minoritaires

 

 

 

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

9 759

27 599

 

Les montants sont présentés net d’impôts.

Comme mentionné dans la partie « cadre général », l’ensemble des Caisses régionales de Crédit Agricole détient la totalité du capital de SAS Rue la Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50 % des droits de vote et du capital de Crédit Agricole SA Les opérations sur les titres non cotés SAS Rue la Boétie sont encadrées par une convention de liquidité qui détermine le prix de référence qui devrait s’appliquer en cas de transferts des titres SAS Rue La Boétie entre Caisses régionales ou lors des augmentations de capital de SAS Rue la Boétie.

Au plan comptable, les titres SAS Rue La Boétie sont classés en titres disponibles à la vente (AFS) et doivent être valorisés à leur juste valeur dans les comptes des Caisses régionales. Dans la mesure où ces titres ne sont pas côtés sur un marché actif, cette juste valeur doit être établie sur la base de techniques de valorisation. Si aucune juste valeur ne peut être déterminée de manière fiable, la norme prévoit que les titres soient maintenus à leur prix de revient. Jusqu’à présent et pour refléter les spécificités des titres SAS Rue La Boétie, la valeur retenue pour l’établissement des comptes consolidés des Caisses régionales a été alignée sur la convention de liquidité qui détermine le prix de référence qui doit s'appliquer en cas de transferts des titres SAS Rue La Boétie entre Caisses régionales. Ce prix de référence est déterminé par une formule qui intègre trois composantes : le cours de bourse des titres Crédit Agricole SA, le coût de revient de l’action Crédit Agricole SA dans les comptes de la SAS Rue La Boétie et l’actif net consolidé par action de Crédit Agricole SA

Toutefois, dans un contexte de marché dégradé, la baisse du cours de l’action Crédit Agricole SA se traduit par un écart croissant constaté durablement entre le cours de l’action Crédit Agricole SA et le prix de l'action SAS Rue La Boétie fixé par la convention de liquidité. En l’absence de transaction sur le titre entre les Caisses régionales, ce prix fixé par la convention ne semble plus pouvoir être considéré comme une référence de prix représentative de leur juste valeur au sens de la norme IAS 39.

En outre, la mise en œuvre d'une valorisation qui permettrait de refléter l’ensemble des droits et obligations attachés à la détention des titres SAS Rue La Boétie soulève de nombreuses incertitudes, en particulier en ce qui concerne la valorisation d’éléments intangibles et incessibles comme :

— La stabilité capitalistique du Groupe qui permet d’assurer le contrôle collectif et permanent des Caisses régionales sur Crédit Agricole SA ;

— La couverture des risques de liquidité et de solvabilité des Caisses régionales ;

— Les relations économiques et financières internes au Groupe Crédit Agricole ;

— La mise en commun de moyens et ;

— La valorisation, le développement et l’utilisation de la marque Crédit Agricole ;

En conséquence et comme le prévoit la norme IAS 39 dès lors que le recours à un modèle de valorisation ne permet pas d’établir une valorisation fiable, les titres SAS Rue La Boétie sont désormais valorisés à leur coût qui correspond à leur juste valeur au 30 septembre 2012. En cas de cession ou de dépréciation, les gains et pertes latents précédemment constatés en gains et pertes directement en capitaux propres sont transférés en résultat. En cas d’indication objective de perte de valeur (cf. principes et méthodes comptables – dépréciation des titres), les titres sont dépréciés dès lors que la valeur comptable du titre est supérieure à une valeur de référence déterminée sur une approche multicritère basée sur la valeur de marché des différentes activités de Crédit Agricole SA Ainsi, les travaux de valorisation s’appuient sur une approche fondée sur des paramètres de marché visant à établir une valeur des flux de trésorerie futurs attendus actualisés au taux qui serait retenu par le marché pour un actif similaire conformément au paragraphe 66 d’IAS 39. Cette approche combine une valorisation des flux futurs attendus des différentes activités du Groupe actualisés à un taux de marché, une valorisation de l’actif net du Groupe, une valorisation des activités du Groupe par référence à des prix de transactions observés récemment sur des activités similaires, une valorisation fondée sur le cours de bourse de Crédit Agricole SA complété d’une prime de contrôle et, le cas échéant une valorisation par référence aux transactions internes.

Ainsi, au 31 décembre 2012, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués à leur coût. Ce dernier correspond à la juste valeur des titres au 30 septembre 2012, soit 14 euros. La valeur fondée sur des paramètres de marché et déterminée pour le test de dépréciation selon la méthodologie décrite ci-avant ressort à 13,64 euros. En conséquence, les impacts pour la Caisse régionale Sud Mediterranée sont les suivants :

— Constatation d’une dépréciation de 5 900 milliers d’euros déterminée à partir de la différence entre la valeur des titres au 30 septembre 2012 soit 14 euros par action et la valeur déterminée pour le test de dépréciation soit 13,64 euros par action.

— Reclassement partiel en résultat des gains latents constatés en capitaux propres pour 1 777 milliers d’euros, montant correspondant à la différence entre la valeur des titres au 30 septembre 2012 et la valeur des titres servant de base au calcul de la dépréciation au 31 décembre 2012 soit 13,64 euros par titre.

Soit un impact global sur le résultat consolidé au 31 décembre 2012 de 4 123 milliers d’euros.

 

Bilan.

(En milliers d'euros).

 

Actif

Notes

31/12/2012

31/12/2011

Caisse, banques centrales

6.1

31 398

29 785

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

3.2-6.2

10 870

9 186

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

127 751

96 651

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.6

259 169

266 232

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5-6.6

269 045

205 170

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5-6.6

4 459 476

4 494 204

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

82 083

52 811

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

6.6-6.9

66 227

50 148

Actifs d'impôts courants et différés

6.11

20 679

24 647

Comptes de régularisation et actifs divers

6.12

140 949

130 103

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Participation aux bénéfices différée

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

Immeubles de placement

6.13

6 054

4 443

Immobilisations corporelles

6.14

35 120

36 828

Immobilisations incorporelles

6.14

884

889

Ecarts d'acquisition

 

 

 

Total de l'actif

 

5 509 705

5 401 097

 

Passif

Notes

31/12/2012

31/12/2011

Banques centrales

6

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

3.2-6.2

369

672

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

95 576

65 910

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.8

2 847 745

2 945 394

Dettes envers la clientèle

3.1-3.3-6.8

1 542 725

1 415 074

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.10

159 613

158 536

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

96 254

71 849

Passifs d'impôts courants et différés

6.11

4 533

24

Comptes de régularisation et passifs divers

6.12

82 967

71 719

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

Provisions

6.15

12 105

10 934

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.10

15 345

15 315

Total dettes

 

4 857 232

4 755 427

Capitaux propres

6.16

652 473

645 670

Capitaux propres - part du Groupe

 

652 473

645 670

Capital et réserves liées

 

156 152

156 379

Réserves consolidées

 

484 487

457 145

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

3 199

2 075

Résultat de l'exercice

 

8 635

30 071

Intérêts minoritaires

 

 

 

Total du passif

 

5 509 705

5 401 097

 

Tableau de variation des capitaux propres.

(En milliers d'euros).

 

 

Capital et réserves liées

Capital et Réserves consolidées part du Groupe

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Résultat net part du groupe

Total des capitaux propres part du groupe

Capitaux propres part des minoritaires

Total des capitaux propres consolidés

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital (1)

Elimination des titres auto-detenus

Capitaux propres au 1er janvier 2011

26 980

586 770

 

613 750

4 548

3 559

621 857

 

621 857

Augmentation de capital

-226

 

 

-226

 

 

-226

 

-226

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Dividendes versés en 2011

 

 

 

0

 

-3 559

-3 559

 

-3 559

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Effet des acquisitions/cessions sur les minoritaires

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

-226

0

0

-226

0

-3 559

-3 785

0

-3 785

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

0

0

0

0

-2 472

0

-2 472

0

-2 472

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres des entreprises mises en équivalence

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2011

 

 

 

0

 

30 071

30 071

 

30 071

Autres variations

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Capitaux propres au 31 décembre 2011

26 754

586 770

0

613 524

2 075

30 071

645 670

0

645 670

Affectation du résultat 2011

 

27 342

 

27 342

 

-27 342

0

 

0

Capitaux propres au 1er janvier 2012

26 754

614 112

0

640 866

2 075

2 729

645 670

0

645 670

Augmentation de capital

-227

 

 

-227

 

 

-227

 

-227

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Dividendes versés en 2012

 

 

 

0

 

-2 729

-2 729

 

-2 729

Dividendes reçus des Caisses régionales et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Effet des acquisitions/cessions sur les minoritaires

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

-227

0

0

-227

0

-2 729

-2 956

0

-2 956

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

0

0

0

0

1 124

0

1 124

0

1 124

Quote-part dans les variations de Capitaux Propres des entreprises mises en équivalence

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2012

 

 

 

0

 

8 635

8 635

 

8 635

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

0

Capitaux propres au 31 décembre 2012

26 527

614 112

0

640 639

3 199

8 635

652 473

0

652 473

(1) Les réserves consolidées sont essentiellement constituées des résultats des exercices antérieurs non distribués, des montants relatifs à la première application des normes IFRS et des retraitements de consolidation. Les montants sortis des capitaux propres par transfert en compte de résultat et relatifs à des couvertures de flux de trésorerie sont positionnés en PNB.

 

Tableau des flux de trésorerie.

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de laCaisse Régionale Sud Méditerranée y compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans cette rubrique.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Résultat avant impôts

26 440

42 567

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

6 942

6 924

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

52 380

37 598

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

18

93

Résultat net des activités de financement

959

1 073

Autres mouvements

-1 094

-1 623

Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

59 205

44 065

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

-240 366

-25 244

Flux liés aux opérations avec la clientèle

134 380

18 417

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-25 864

-17 735

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-16 158

-20 488

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-9 293

-25 898

Diminution/(augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

-157 301

-70 948

Total Flux net de trésorerie généré par l'activité opérationnelle (A)

-71 656

15 684

Flux liés aux participations (1)

-2

-1 324

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-5 264

-3 233

Total Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-5 266

-4 557

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2)

-2 955

-3 785

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement

-929

-5 791

Total Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C)

-3 884

-9 576

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D)

-80 806

1 551

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

57 304

55 753

Solde net des comptes de caisse et banques centrales

29 768

30 163

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit

27 536

25 590

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

-23 503

57 304

Solde net des comptes de caisse et banques centrales

31 390

29 768

Solde net des comptes prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit

-54 893

27 536

Variation de la trésorerie nette et des equivalents de trésorerie

-80 807

1 551

(*) Composé du solde net des postes « Caisses et banques centrales », hors intérêts courus, tel que détaillé en note 6.1 (y compris trésorerie des entités reclassées en activités destinées à être cédées).

(**) Composé du solde des postes « comptes ordinaires débiteurs sains » et « comptes et prêts au jour le jour sains » tel que détaillés en note 6.5 et des postes « comptes ordinaires créditeurs » et « comptes et emprunts au jour le jour » tel que détaillés en note 6.9. (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole).

(1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Au cours de l’année 2012, l’impact net des acquisitions et cessions sur la trésorerie de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 2 K€ milliers d’euros, portant notamment sur les opérations suivantes :

— Acquisition de titres de participation SACAM MACHINISME pour 1 K€ ;

— Libération d’actions de la SAFER du LR pour un montant de 18 K€ ;

— Encaissement boni de liquidation du GIE LAURE BAIL pour un montant de 17 K€.

(2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par la Caisse Régionale Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 2 728 K€ pour l’année 2012.

 

III. — Notes annexes aux états financiers.

1. – Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés.

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2012 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite « carve out »), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture.

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias/index_fr.htm.

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2011.

Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2012 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2012. Celles-ci portent sur :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du

Amendement de la norme IFRS 7, informations complémentaires à donner sur les transferts d’actifs financiers

22 novembre 2011

(UE n° 1205/2011)

1er janvier 2012

 

L’application de ces nouvelles dispositions n’a pas eu d’impact significatif sur le résultat et la situation nette de la période.

Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations adoptées par l’Union européenne est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique.

Ceci concerne en particulier :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du

Amendement de la norme IAS 1, relatif à la présentation des autres éléments du résultat global, nouvelle décomposition des autres capitaux

05 juin 2012

(UE n°475/2012)

1er juillet 2012

Amendement de la norme IAS 19 relatif aux engagements de retraite (régimes à prestations définies)

05 juin 2012

(UE n°475/2012)

1er janvier 2013

Norme IFRS 10 sur les états financiers consolidés

11 décembre 2012

(UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Norme IFRS 11 sur les partenariats

11 décembre 2012

(UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Norme IFRS 12 sur les informations à fournir sur les intérêts détenus dans d’autres entités

11 décembre 2012

(UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Norme IAS 27 modifiée sur les états financiers individuels

11 décembre 2012

(UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Norme IAS 28 modifiée sur les participations dans des entreprises associées et des coentreprises

11 décembre 2012

(UE n° 1254/12)

1er janvier 2014

Amendement de la norme IAS 12, par rapport au recouvrement des actifs sous-jacents

11 décembre 2012

(UE n° 1255/12)

1er janvier 2013

Amendement de la norme IFRS 1, sur l’hyperinflation grave, nouveau guide d'application pour les 1ers adoptants qui ont (ou avaient) une monnaie fonctionnelle touchée par une hyperinflation grave

11 décembre 2012

(UE n° 1255/12)

1er janvier 2013

Norme IFRS 13 relative à l’évaluation de la juste valeur

11 décembre 2012

(UE n° 1255/12)

1er janvier 2013

Interprétation d’IFRIC 20 sur les frais de déblaiement engagés pendant la phase de production d’une mine à ciel ouvert

11 décembre 2012

(UE n° 1255/12)

1er janvier 2013

Amendement d’IFRS 7 sur les informations à fournir au titre des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers

13 décembre 2012

(UE n° 1256/12)

1er janvier 2013

Amendement d’IAS 32 sur la présentation des compensations d’actifs financiers et des passifs financiers

13 décembre 2012

(UE n° 1256/12)

1er janvier 2014

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’attend pas d’effet significatif de ces applications sur son résultat et sa situation nette.

En effet :

— L’amendement de la norme IAS 1 prévoit, au sein des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux, la distinction recyclable/non recyclable.

— L’amendement de la norme IAS 19 prévoit principalement l’obligation d’enregistrer les écarts actuariels, relatifs aux régimes à prestations définies, en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. Cette méthode est déjà appliquée par le Groupe (optionnelle dans la version actuelle d’IAS 19).

— L’amendement de la norme IAS 12 prévoit une nouvelle méthode d'évaluation des impôts différés Actif et Passif issus des différences temporaires relatives à certains actifs réévalués. Cette approche ne concerne pas le Groupe qui n’a pas opté pour la méthode de réévaluation des immobilisations corporelles non amortissables selon IAS 16, ni des immeubles de placement selon IAS 40.

— L’amendement IFRS 1 ne s’applique qu’aux premiers adoptants.

Par ailleurs, les normes et interprétations publiées par l’IASB mais non encore adoptées par l’Union européenne n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2012.

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, laCaisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation CNC n° 2009-R.04 du 2 juillet 2009.

 

1.3. Principes et méthodes comptables :

 

Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers . — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux ;

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

— les modifications de la réglementation ou de la législation.

Cette liste n’est pas exhaustive.

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

— les instruments financiers évalués à la juste valeur ;

— les participations non consolidées ;

— les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ;

— les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et d’actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

— les dépréciations des créances irrécouvrables ;

— les provisions ;

— les actifs d’impôts différés ;

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

 

Instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne.

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

La juste valeur est définie comme le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

Titres à l’actif :

 

Classification des titres à l’actif : Les titres sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définies par la norme IAS 39 :

— actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

— actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

— prêts et créances ;

— actifs financiers disponibles à la vente.

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat/affectation par nature ou sur option. — Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend les titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par laCaisse Régionale Sud Méditerranée.

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et d’évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

A ce titre,la Caisse Régionale Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

— EMTN Confluent ;

— EMTN CALYON CMS TEC ;

— EMTN FONDS DIVIDENDE ;

— OCA LATECOERE.

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus.

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

 

Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance. — La catégorie « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » (applicable aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

— ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

— ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des actifs détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39.

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote/décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Prêts et créances. — La catégorie « Prêts et créances » enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres du portefeuille « Prêts et créances » sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote/décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles dépréciations.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Actifs financiers disponibles à la vente. — La catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat.

L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ».

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie. — L’ensemble des Caisses régionales de Crédit Agricole détient la totalité du capital de SAS Rue La Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50% des droits de vote et du capital de Crédit Agricole SA

La fixation de paramètres permettant de refléter l’ensemble des droits et obligations attachés à la détention des titres SAS Rue La Boétie est complexe et ne permet pas de déterminer une juste valeur fiable au sens de la norme IAS 39. Cela concerne des éléments tels que :

— La stabilité capitalistique du Groupe qui permet d’assurer le contrôle collectif et permanent des Caisses régionales sur Crédit Agricole SA ;

— La couverture des risques de liquidité et de solvabilité des Caisses régionales ;

— Les relations économiques et financières internes au Groupe Crédit Agricole ;

— La mise en commun de moyens et ;

— La valorisation, le développement et l’utilisation de la marque Crédit Agricole ;

En conséquence, et en application de l’exception prévue par la norme IAS 39, les titres SAS Rue La Boétie sont valorisés à leur coût dans les comptes des Caisses régionales. Les titres font l’objet d’un test de dépréciation annuel et, le cas échéant, en cas d’indice de pertes de valeur (cf partie principes et méthodes comptables – dépréciation des titres).

 

Dépréciation des titres. — Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette.

Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30 % au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs.La Caisse Régionale Sud Méditerranée prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme etc.

Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de valeur supérieure à 50 % ou observée pendant plus de 3 ans.

 

Valorisation des titres SAS Rue La Boétie. — Les titres SAS Rue la Boétie, valorisés au coût, font systématiquement l’objet d’un test de dépréciation annuel et en cas d’indices de pertes de valeurs.

A titres d’exemples, les situations suivantes pourraient être considérées comme des indications objectives de dépréciation (à apprécier en fonction de leur significativité) :

— Annonce d’un plan de restructuration ou de cession sur le périmètre Groupe Crédit Agricole SA,

— Baisse du cours de l’action Crédit Agricole SA ;

— Diminution de l’actif net consolidé de Crédit Agricole SA ;

— Constatation d’un résultat net déficitaire ;

— Dégradation de la notation de Crédit Agricole SA...

Une dépréciation sera enregistrée en résultat dès lors que la valeur comptable du titre sera supérieure à une valeur de référence déterminée sur une approche multicritère fondée sur des paramètres de marché visant à établir une valeur des flux de trésorerie futures attendus actualisés au taux qui serait retenu par le marché pour un actif similaire conformément au paragraphe 66 d’IAS 39. Cette approche combine une valorisation des flux futurs attendus des différentes activités du Groupe actualisés à un taux de marché, une valorisation de l’actif net du Groupe, une valorisation des activités du Groupe par référence à des prix de transactions observés récemment sur des activités similaires, une valorisation fondée sur le cours de bourse de Crédit Agricole SA complété d’une prime de contrôle et, le cas échéant une valorisation par référence aux transactions internes.

Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances.

La constatation de cette dépréciation se fait :

— pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure ;

— pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

 

Date d’enregistrement des titres. — Crédit Agricole SA enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans les catégories « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » et « Prêts et créances ». Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Reclassements d’actifs financiers. — Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est autorisé d’opérer les reclassements suivants :

— des catégories « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » et « Actifs financiers disponibles à la vente » vers la catégorie « Prêts et créances », si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

— dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » vers les catégories « Actifs financiers disponibles à la vente » ou « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance », si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes.

La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l’actif financier reclassé.

Les informations sur les reclassements réalisés par la Caisse Régionale Sud Méditerranée en application de la norme IAS 39 sont données dans la note 9.

 

Acquisition et cession temporaire de titres. — Au sens de l’IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent pas les conditions de dé comptabilisation d’IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis.

Les éléments d’actifs prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan.

Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire.

Une créance est enregistrée en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension.

Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat.

 

Activité de crédits. — Les crédits sont affectés principalement à la catégorie « Prêts et créances ». Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Créances dépréciées. — Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « Prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances. Les créances ainsi identifiées font l’objet d’une dépréciation sur base individuelle ou sur base collective. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations, égales à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

On distingue ainsi :

— les créances dépréciées sur base individuelle : il s’agit des créances assorties de dépréciations et des créances restructurées pour cause de défaillance du client assorties de décotes ;

— les créances dépréciées sur base collective : il s’agit des créances non dépréciées sur base individuelle, pour lesquelles la dépréciation est déterminée par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires. Cela concerne notamment les créances en souffrance.

Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance).

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

 

Créances dépréciées sur base individuelle. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant une indication objective de dépréciation, tel que :

— des difficultés financières importantes du débiteur;

— une rupture de contrat telle qu’un défaut de paiement des intérêts ou du capital ;

— l’octroi par le prêteur à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’emprunteur, d’une facilité que le prêteur n’aurait pas envisagée dans d’autres circonstances (restructuration de prêts) ;

— une probabilité croissante de faillite ou autre restructuration financière de l’emprunteur.

LaCaisse Régionale Sud Méditerranée constitue les dépréciations correspondant, en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours dépréciés.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Les créances restructurées sont des créances, pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) du fait d’un risque de contrepartie

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est dotée en coût du risque.

Cette décote correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine.

Elle est égale à l’écart constaté entre :

— la valeur nominale du prêt ;

— la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

 

Créances dépréciées sur base collective. — Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, laCaisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives telles que :

— Dépréciations sur encours en souffrance : Les dépréciations sur ces encours sont calculées à partir de modèles Bâle 2.

Dans le cadre de la règlementation Bâle 2, laCaisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues calculé selon les modèles Bâle 2, d’un coefficient de passage à maturité, destiné à prendre en compte la nécessité de constituer des dépréciations sur les pertes attendues jusqu’au terme du contrat.

Autres dépréciations sur base collective : Par ailleurs,laCaisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché Espagnol.

 

Intérêts pris en charge par l’État (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole SA accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'État. En conséquence, ces entités perçoivent de l’État une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'État.

Les bonifications perçues de l’État sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

— les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ;

— les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ;

— les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe.

 

Titres au passif :

 

Distinction dettes – capitaux propres. — Un instrument de dettes ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

— de remettre des liquidités ou un autre actif financier ;

— d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

 

Produits de la collecte. — Les produits de collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des « Dettes envers la clientèle » malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole SA en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.15.

 

Instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

 

La comptabilité de couverture . — La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associés à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

— éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

— documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

— démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole SA privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite « carve out »).

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

— couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

— couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ;

— couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement.

— couverture de juste valeur: seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres disponibles à la vente, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

— couverture de flux de trésorerie: l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

— couverture d'investissement net à l'étranger: Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation.

 

Dérivés incorporés. — Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les trois conditions suivantes sont remplies :

— le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

— séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

— les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — Les justes valeurs des instruments financiers sont déterminées conformément aux dispositions d’IAS 39 et sont présentées selon la hiérarchie définie par IFRS 7.

Le Groupe applique par ailleurs la recommandation en matière de valorisation de certains instruments financiers à la juste valeur publiée par l'AMF, le CNC et l'ACAM le 15 octobre 2008.

Lorsque la méthode de valorisation d’un instrument financier est la juste valeur, la norme IAS 39 considère que la meilleure indication pour déterminer celle-ci est l’existence de cotations publiées sur un marché actif.

IAS 39 précise qu’en l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

 

Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des prix cotés (non ajustés) sur un marché actif.

Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur un marché actif. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures.

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale Sud Méditerranéeretient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs.

 

Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1.

Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles/accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché.

Sont présentés en niveau 2 :

— les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes) et fondée sur des données de marché observables ;

— les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

 

Niveau 3: justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité.

La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3.

Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché.

Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

Absence de technique de valorisation reconnue pour déterminer la juste valeur d’un instrument de capitaux propres.

Conformément aux principes d’IAS 39, si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » car sa juste valeur ne peut pas être déterminée de manière fiable. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS 7 en vigueur. Il s’agit principalement de titres de participation de sociétés non cotées sur un marché actif dont la détermination d’une juste valeur fiable est difficile.

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers :

— Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d'investissements nets en devises.

— Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente : Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

— les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

— les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

— les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

— les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

— les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

 

Compensation des actifs et passifs financiers. — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire à tout moment de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

 

Garanties financières données. — Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre :

— celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels » ; ou

— le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

Décomptabilisation des instruments financiers. — Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

— lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et ;

— lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée.

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication continue dans cet actif.

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie uniquement lorsque ce passif est éteint.

 

Provisions (IAS 37 et 19). — laCaisse Régionale Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, laCaisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

— les risques opérationnels ;

— les avantages au personnel ;

— les risques d’exécution des engagements par signature ;

— les litiges et garanties de passif ;

— les risques fiscaux ;

— les risques liés à l’épargne logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ;

— l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ;

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations :

— la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ;

— les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

Des informations détaillées sont fournies au point 6.15.

 

Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, les primes payables dans les douze mois de la clôture de l’exercice ;

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ;

— les indemnités de fin de contrat de travail ;

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

Avantages à long terme. — Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi, les indemnités de fin de contrats et avantages sur capitaux propres, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus.

Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différés de plus de douze mois.

 

Avantages postérieurs à l’emploi :

— Engagement en matière de retraite, de préretraite et d’indemnités de fin de carrière - régimes à prestations définies : LaCaisse Régionale Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4).

Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over.

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

LaCaisse Régionale Sud Méditerranée n'applique pas la méthode optionnelle du corridor et impute la totalité des écarts actuariels constatés en gains et partes comptabilisés directement en capitaux propres.

Le montant de la provision est égal à :

—la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

— diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM.

 

Plans de retraite – régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, laCaisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

— la comptabilisation initiale du goodwill ;

— la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

En France, les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins latentes est-elle reclassée en déduction de celles-ci.

En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 10% de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

— soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ;

— soit par un regroupement d'entreprises.

Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si :

— l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et

— les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

a) soit sur la même entité imposable ;

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés.

Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole SA applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole SA suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

Les éléments dont dispose laCaisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole SA Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

— les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments :

— les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

— les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

— les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ;

— lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique « commissions » et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

a) les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes sont respectées :

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable ;

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise ;

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable ;

b) les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ;

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ;

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

a) l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et des intérêts courus à la clôture de l’exercice ;

b) la valeur nette comptable des immobilisations louées ;

c) la provision pour impôts différés.

Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci.

En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif.

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IAS 27, 28 et 31) :

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de laCaisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, laCaisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle. Celui-ci est présumé lorsque laCaisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20% des droits de vote existants et potentiels.

 

Consolidation des Caisses régionales. — Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole SA, dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole SA, les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sus Méditerrané représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale de Sud Méditerrané et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

 

Notions de contrôle. — Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le caractère significatif de cet impact est apprécié au travers de trois principaux critères exprimés en pourcentage du bilan, de la situation nette et du résultat consolidés.

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque laCaisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque laCaisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. LaCaisse Régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20% ou plus des droits de vote dans une entité.

 

Exclusions du périmètre de consolidation. — Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28 § 1 et IAS 31 § 1, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par laCaisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

— l’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de laCaisse Régionale Sud Méditerranée;

— l’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de laCaisse Régionale Sud Méditerranée;

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable.

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des intérêts minoritaires dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

Les intérêts minoritaires correspondent aux participations ne donnant pas le contrôle telles que définies par la norme IAS 27 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe.

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quotepart du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte désormais de l’évolution du goodwill.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués, sauf s’ils sont jugés non significatifs.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé.

Les plus ou moinsvalues provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

2. – Informations significatives de l'exercice.

Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2012 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 11.

 

2.1. Événements significatifs de la période : Les impacts comptables résultant de la nouvelle méthode de valorisation du titre SAS Rue La Boetie (cf page 10 & 11) sont les suivants :

— En compte de Résultat, constatation d’une dépréciation de 5,9 Millions d’€uros déterminée à partir de la différence entre la valeur des titres au 30 septembre 2012 soit 14 euros par action et la valeur déterminée pour le test de dépréciation soit 13,64 euros par action.

— Reclassement en résultat des gains latents constatés en capitaux propres pour 1,8 Millions d’€uros, montant correspondant à la différence entre la valeur des titres au 30 septembre 2012 soit 14 €uros et la valeur historique des titres à la même soit 13,89 €uros par titre.

— Transfert vers le compte de résultat de la dépréciation de la SAS SACAM International enregistré en capitaux propres pour 3,5 Millions d’€uros résultant de l’atteinte des critères définitifs de dépréciation durable. Par ailleurs un complément de 1,0 Million d’€uros a été enregistré dans les comptes en 2012 portant ainsi à 4,5 Millions d’€uros la dépréciation totale sur ce titre venant en diminution du compte de résultat.

 

Autres évènements significatifs de la période :

— Retraitement de l’écart actuariel sur les engagements sociaux des frais de personnel vers les Capitaux Propres. La baisse du taux Iboxx retenu pour l’actualisation des engagements a conduit à un retraitement 1,0 Million d’€uros par rapport à 2011.

— Les immeubles MDB loués sur l’année 2012 ont été transférés en immeubles hors exploitation pour 2,7 M€ amenant le stock à 5,9 M€. Par ailleurs, une dépréciation de 2,1 M€ a été constatée.

— Les titres SELECTA 2 ont été transférés en titres dépréciés durablement dans la catégorie titres détenus jusqu’à l’échéance.

 

2.2. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement.

Au 31 décembre 2012, les principales participations non consolidées pour lesquelles le pourcentage de contrôle est supérieur à 20 % et dont la valeur au bilan est significative sont les suivantes :

— SAS SUD MED Immobilier ;

— SCI CASM ;

— SCI Château de Castelnou ;

— SC SICMA :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Valeur au bilan

% de capital détenu

Valeur au bilan

% de capital détenu

Titres de participations non consolidés (détail)

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

SCI château de Castelnou

621

98,61

708

98,61

Autres titres de participations

 

 

 

 

SAS Rue la Boétie

223 540

1,32

229 440

1,32

SA Sofilaro

1 408

14,32

1 401

14,32

SAS SACAM Développement

10 303

1,35

10 303

1,35

SAS SACAM Fireca

275

1,18

275

1,18

SNC CA Titres

411

0,62

411

0,62

SAS SACAM Internationnal

7 374

1,32

8 349

1,32

SAS SACAM Avenir

1 208

1,06

1 208

1,06

SAS SACAM Participation

1 412

1,63

1 324

1,63

SAS SACAM Fia-Net Europe

380

1,16

545

1,16

Autres titres de participations (ensemble)

18 412

 

7 655

 

Valeur au bilan des titres de participation non consolidés

265 344

 

261 619

 

 

3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture.

La gestion des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est assurée par la direction des finances qui est rattachée au Directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise des risques de crédit, de marchés et opérationnels ainsi que le pilotage des projets impactant ces risques.

La description de ce dispositif ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « facteurs de risque », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilation comptables continuent néanmoins de figurer dans les états financiers.

 

3.1. Risque de crédit. — Le risque de crédit se matérialise lorsqu’une contrepartie est dans l’incapacité de faire face à ses obligations et que celles-ci présentent une valeur d’inventaire positive dans les livres de la banque. Cette contrepartie peut être une banque, une entreprise industrielle et commerciale, un État et les diverses entités qu’il contrôle, un fonds d’investissement ou une personne physique.

L’engagement peut être constitué de prêts, titres de créances ou de propriété ou contrats d’échange de performance, garanties de bonne fin ou engagements confirmés non utilisés. Ce risque englobe également le risque de règlement livraison inhérent à toute transaction nécessitant un échange de flux (espèce ou matière) en dehors d’un système sécurisé de règlement. (Cf rapport de gestion page 16)

 

Exposition maximale au risque de crédit. — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Actifs financiers à la juste valeur par le résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte)

10 870

9 186

Instruments dérivés de couverture

127 751

96 651

Actifs disponible à la vente (hors titres à revenu variable)

4 384

4 469

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

1 814

4 014

Prêts et créances sur la clientèle

4 459 476

4 494 204

Actif financiers détenus jusqu'à l'échéance

66 227

50 148

Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations)

4 670 522

4 658 672

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

441 571

493 427

Engagements de garantie financière donnés (hors opérations internes)

101 156

116 427

Provisions - Engagements par signature

-1 203

-1 085

Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

541 524

608 769

Exposition maximale au risque de crédit

5 212 046

5 267 441

 

Le montant des garanties et autres rehaussements de crédits reçus s'élèvent à :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

267 231

201 156

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

 

100 000

Engagements de garantie donnés (hors opérations internes)

202 751

202 787

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques.

 

Concentrations par agent économique de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administrations centrales

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

1 814

 

 

 

1 814

Institutions non établissements de crédit

719 477

10 063

9 837

 

709 640

Grandes entreprises

505 165

45 761

36 862

12 356

455 947

Clientèle de détail

3 447 414

231 931

117 634

35 891

3 293 889

Total (*) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 673 870

287 755

164 333

48 247

4 461 290

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 27 182 K€.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Encours bruts

dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administrations centrales

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

4 014

 

 

 

4 014

Institutions non établissements de crédit

680 782

11 701

8 338

 

672 444

Grandes entreprises

501 462

42 914

30 149

9 264

462 049

Clientèle de détail

3 507 139

203 326

109 432

37 996

3 359 711

Total (*) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 693 397

257 941

147 919

47 260

4 498 218

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 30 779 K€.

 

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

Administrations centrales

 

 

Établissement de crédit

 

 

Institutions non établissements de crédit

81 928

114 564

Grandes entreprises

86 859

86 890

Clientèle de détail

272 784

291 973

Total

441 571

493 427

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

Administrations centrales

 

55 260

Établissement de crédit

 

1 447

Institutions non établissements de crédit

760

520

Grandes entreprises

78 275

51 287

Clientèle de détail

23 532

9 360

Total

102 567

117 874

 

— Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Administrations centrales

22

13

Institutions non établissements de crédit

14 441

19 299

Grandes entreprises

467 861

445 255

Clientèle de détail

1 060 401

950 507

Total

1 542 725

1 415 074

 

Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 210 034

169 910

116 195

48 247

4 045 592

Autres pays de l'UE

453 817

117 840

48 133

 

405 684

Dont Espagne

407 698

110 525

42 573

 

365 125

Autres pays d'Europe

5 737

1

1

 

5 736

Amérique du Nord

2 783

 

 

 

2 783

Amériques Centrale et du Sud

230

1

1

 

229

Afrique et Moyen Orient

1 268

3

3

 

1 265

Asie et Océanie (hors Japon)

1

 

 

 

1

Japon

 

 

 

 

0

Organismes supranationaux

 

 

 

 

0

Total (*) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 673 870

287 755

164 333

48 247

4 461 290

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 27 182 K€.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 189 516

170 641

112 825

47 260

4 029 431

Autres pays de l'UE

493 041

87 254

35 085

 

457 956

Dont Espagne

441 129

81 352

30 150

 

410 979

Autres pays d'Europe

6 046

42

5

 

6 041

Amérique du Nord

3 265

 

 

 

3 265

Amériques Centrale et du Sud

246

 

 

 

246

Afrique et Moyen Orient

1 283

4

4

 

1 279

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

0

Japon

 

 

 

 

0

Organismes supranationaux

 

 

 

 

0

Total (*) Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

4 693 397

257 941

147 919

47 260

4 498 218

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 30 779 K€.

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

France (y compris DOM-TOM)

440 964

492 697

Autres pays de l'ue

497

598

Autres pays d'Europe

57

55

Amérique du Nord

21

46

Amériques Centrale et du Sud

5

3

Afrique et Moyen Orient

25

25

Asie et Océanie (hors Japon)

2

2

Japon

 

 

Total

441 571

493 426

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

France (y compris DOM-TOM)

101 783

116 807

Autres pays de l'UE

784

922

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amériques Centrale et du Sud

 

 

Afrique et Moyen Orient

 

145

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Total

102 567

117 874

 

Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

France (y compris DOM-TOM)

1 478 521

1 372 597

Autres pays de l'ue

56 854

37 502

Autres pays d'Europe

3 095

2 149

Amérique du Nord

1 989

1 604

Amériques Centrale et du Sud

624

251

Afrique et Moyen Orient

805

634

Asie et Océanie (hors Japon)

833

333

Japon

3

4

Organismes supra-nationaux

 

 

Total Dettes envers la clientèle

1 542 725

1 415 074

 

Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement :

— Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2012

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours

≤ 180 jours

> 180 jours

≤ 1 an

> 1 an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

232 119

11 915

Instruments de dette

0

0

0

0

0

528

3 880

Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

264

3 144

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

Grandes entreprises

 

 

 

 

 

264

736

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et avances

107 776

10 185

0

0

117 961

123 422

212 580

Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

Institutions non établissements de crédit

6 535

17

 

 

6 552

226

9 837

Grandes entreprises

13 369

539

 

 

13 908

8 899

49 218

Clientèle de détail

87 872

9 629

 

 

97 501

114 297

153 525

Total

107 776

10 185

0

0

117 961

356 069

228 375

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2011

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours

≤ 180 jours

> 180 jours

≤ 1 an

> 1 an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

1 403

1 312

Instruments de dette

0

0

0

0

0

297

3 301

Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

297

3 301

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

Grandes entreprises

 

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et avances

105 394

10 833

188

0

116 415

110 022

195 179

Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

Institutions non établissements de crédit

16 629

2 706

188

 

19 523

3 363

8 338

Grandes entreprises

14 258

987

 

 

15 245

12 765

39 413

Clientèle de détail

74 507

7 140

 

 

81 647

93 894

147 428

Total

105 394

10 833

188

0

116 415

111 722

199 792

 

Opérations sur instruments dérivés – Risque de contrepartie. — Le risque de contrepartie sur instruments dérivés est établi à partir de la valeur de marché et du risque de crédit potentiel, calculé et pondéré selon les normes prudentielles.

Pour information, les effets des accords de compensation et de collatérisation, qui réduisent ce risque, sont également présentés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel *

Total risque de contrepartie

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel *

Total risque de contrepartie

Risques sur les gouvernements et banques centrales de l'ocde et organismes assimilés

 

 

 

 

 

 

Risques sur les établissements financiers de l'OCDE et organismes assimilés

4

4

2

12

12

5

Risques sur les autres contreparties

195

195

195

401

401

401

Total Risques de contreparties

199

199

197

413

413

406

Risques sur contrats de :

 

 

0

 

 

0

Taux d'intérêt, change et matières premières

199

199

398

413

413

406

Dérivés actions et sur indices

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédit

 

 

 

 

 

 

Total Risques sur contrats

199

199

398

413

413

406

Incidence des accords de compensation et de collatérisation

0

0

0

0

0

0

Total après effets des accords de compensation et de collatérisation

199

199

197

413

413

406

 

Les contrats conclus entre membres du réseau sont exclus, car ils ne présentent pas de risque de contrepartie.

 

3.2. Risque de marché. — Le risque de marché représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marché notamment :

— les taux d’intérêts : le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financier du fait de l’évolution des taux d’intérêt ;

— les taux de change : le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise ;

— les prix : le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions. Sont notamment soumis à ce risque les titres à revenu variable, les dérivés actions et les instruments dérivés sur matières premières. (cf rapport de gestion page 19)

 

Opérations sur instruments dérivés : Analyse par durée résiduelle. — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle.

 

Instruments dérivés de couverture – Juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

489

9 746

117 516

127 751

96 651

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

489

9 746

117 516

127 751

96 651

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

489

9 746

117 516

127 751

96 651

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Actif

0

0

0

489

9 746

117 516

127 751

96 651

 

Instruments dérivés de couverture – Juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

300

28 964

66 312

95 576

65 910

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

300

28 964

66 312

95 576

65 910

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

300

28 964

66 312

95 576

65 910

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de couverture - Passif

0

0

0

300

28 964

66 312

95 576

65 910

 

Instruments dérivés de transaction – Juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

65

80

50

195

406

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

65

80

50

195

401

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

2

 

2

5

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

65

80

50

195

406

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Actif

0

0

0

65

80

50

195

406

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

> 1 an

≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

65

254

50

369

672

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

65

252

50

367

667

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

2

 

2

5

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

0

0

0

65

254

50

369

672

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Total Juste valeur des instruments dérivés de transaction - Passif

0

0

0

65

254

50

369

672

 

Opérations sur instruments dérivés : Montant des engagements :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

1 680 871

1 988 796

Futures

 

 

FRA

 

 

Swaps de taux d'intérêts

1 679 395

1 985 902

Options de taux

 

 

Caps-floors-collars

1 476

2 894

Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

Opérations fermes de change

 

 

Options de change

 

 

Autres instruments :

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

Dérivés de crédits

 

 

Autres

 

 

Sous total

1 680 871

1 988 796

Opérations de change à terme

2 103

9 454

Total notionnels

1 682 974

1 998 250

 

Risque de change. — Le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise. (cf rapport de gestion page 23)

 

Contribution des différentes devises au bilan consolidé :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

5 508 304

5 508 305

5 265 086

5 265 086

Autres devises de l'UE

65

65

10 124

10 124

USD

1 126

1 125

1 223

1 223

JPY

 

 

 

 

Autres devises

210

210

85

85

Total bilan

5 509 705

5 509 705

5 276 518

5 276 518

 

Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

 

15 345

 

 

15 315

 

Autres devises de l'UE

 

 

 

 

 

 

USD

 

 

 

 

 

 

JPY

 

 

 

 

 

 

Autres devises

 

 

 

 

 

 

Total

0

15 345

0

0

15 315

0

 

3.3. Risque de liquidité et de financement. — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte sil’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement. (cf rapport de gestion page 24).

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

≤ 3 mois

> 3 mois

à ≤ 1 an

> 1 an

à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

20 267

103 445

34 992

110 341

269 045

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

541 101

473 444

1 313 195

2 344 316

4 672 056

Total

561 368

576 889

1 348 187

2 454 657

4 941 101

Dépréciations

 

 

 

 

-212 580

Total

 

 

 

 

4 728 521

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

à ≤ 1 an

> 1 an

à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

61 633

3 943

30 030

109 564

205 170

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

507 994

462 442

1 338 588

2 380 358

4 689 383

Total

569 627

466 385

1 368 618

2 489 922

4 894 553

Dépréciations

 

 

 

 

-195 179

Total

 

 

 

 

4 699 374

 

Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

≤ 3 mois

> 3 mois

à ≤ 1 an

> 1 an

à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

430 561

739 406

908 795

768 983

2 847 745

Dettes envers la clientèle

1 060 591

135 871

124 428

221 835

1 542 725

Total

1 491 152

875 277

1 033 223

990 818

4 390 470

Valeur au bilan

 

 

 

 

4 390 470

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

à ≤ 1 an

> 1 an

à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

484 928

884 137

819 754

756 575

2 945 394

Dettes envers la clientèle

1 055 248

162 206

146 259

51 361

1 415 074

Total

1 540 176

1 046 343

966 013

807 936

4 360 468

Valeur au bilan

 

 

 

 

4 360 468

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

≤ 3 mois

> 3 mois

à ≤ 1 an

> 1 an

à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

Bons de caisse

2 045

150

 

 

2 195

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

298

 

 

150 000

150 298

Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

7 120

7 120

Total

2 343

150

0

157 120

159 613

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

481

 

 

14 864

15 345

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

Total

481

0

0

14 864

15 345

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

à ≤ 1 an

> 1 an

à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

Bons de caisse

2 130

36

 

 

2 166

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

5 170

950

 

150 000

156 120

Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

250

250

Total

7 300

986

0

150 250

158 536

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

476

 

 

14 839

15 315

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

Total

476

0

0

14 839

15 315

 

3.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change. — Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi

— de couverture de valeur,

— de couverture de résultats futurs ;

— de couverture d’un investissement net en devise.

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité. (cf Rapport de gestion page 25)

 

Couverture de juste valeur. — Les couvertures de juste valeur modifient le risque induit par les variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables.

Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

 

Couverture de flux de trésorerie. — Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

 

Couverture d’un investissement net en devise. — Les couvertures d’un investissement net en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées à des détentions d’actifs ou de passifs dans des devises différentes de la devise de référence de l’entité.

 

Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Valeur marché

Montant notionnel

Valeur marché

Montant notionnel

Positive

Négative

Positive

Négative

Couverture de juste valeur

127 747

93 187

1 624 745

96 639

63 469

1 925 951

Taux d'intérêt

127 747

93 187

1 624 745

96 639

63 469

1 925 951

Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

4

2 389

27 036

12

2 441

27 547

Taux d'intérêt

4

2 389

27 036

12

2 441

27 547

Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

Change

 

 

 

 

 

 

Crédit

 

 

 

 

 

 

Matières premières

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

 

 

 

Total

127 751

95 576

1 651 781

96 651

65 910

1 953 498

 

3.5. Risques opérationnels. — Le risque opérationnel correspond à la possibilité de subir une perte découlant d’un processus interne défaillant ou d’un système inadéquat, d’une erreur humaine ou d’un événement externe qui n’est pas lié à un risque de crédit, de marché ou de liquidité. (cf Rapport de gestion page 25).

 

3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires. — L’amendement de la norme IAS 1 adopté par l’Union européenne le 11 janvier 2006 prévoit des informations sur le capital et sa gestion. L’objectif de l’amendement est de fournir au lecteur des informations sur les objectifs, politiques et procédures de gestion du capital de l’émetteur. A ce sujet, des informations de nature qualitative et quantitative sont requises en annexe et notamment : données chiffrées récapitulatives sur les éléments gérés en tant que capital, description des éventuelles contraintes externes auxquelles l’entreprise est soumise au titre de son capital (par exemple du fait d’obligations réglementaires), indication ou non du respect des contraintes réglementaires et en cas de défaut de respect, une indication des conséquences qui en découlent.

Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et « conglomérats financiers », la Caisse Régionale Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens du règlement 90-02 et exigés par l’Autorité de contrôle prudentiel afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

L’arrêté du 20 février 2007 transpose dans la réglementation française le dispositif européen CRD (Capital Requirements Directive) (2006-48-CE et 2006-49 CE). Le texte définit les « exigences de fonds propres applicables aux établissements de crédit et aux entreprises d’investissement » et les modalités de calcul du ratio de solvabilité à compter du 1er janvier 2008.

Conformément à ces dispositions, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a intégré dès 2007, dans la gestion des fonds propres et des risques, les impacts liés au passage à la nouvelle directive européenne CRD.

Toutefois, le régulateur a maintenu jusqu’au 31 décembre 2011 les exigences additionnelles de fonds propres au titre des niveaux plancher (l’exigence Bâle 2 ne pouvant être inférieure à 80 % de l’exigence Bâle 1). En 2012, le niveau plancher a été supprimé cependant l’information relative aux exigences Bâle 1 reste obligatoire.

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

— les fonds propres durs (Tier 1) déterminés à partir des capitaux propres du Groupe et retraités notamment des gains et pertes latents ;

— les fonds propres complémentaires (Tier 2), limités à 100 % du montant des fonds propres de base et composés principalement des dettes subordonnées ;

— les fonds propres surcomplémentaires admis au ratio (Tier 3) composés principalement de dettes subordonnées à maturité plus courte.

Les déductions relatives notamment aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent désormais directement sur les montants du Tier 1 et du Tier 2, conformément à la réglementation.

 

Niveau des fonds propres prudentiels calculés conformément à la réglementation : En application de la réglementation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée doit respecter en permanence un ratio de fonds propres de base égal au moins à 4% et un ratio de solvabilité de 8%.

En 2012 comme en 2011, la Caisse Régionale Sud Méditerranée arépondu aux exigences réglementaires.

 

4. – Notes relatives au compte de résultat.

4.1. Produits et charges d’intérêts :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 531

1 190

Sur opérations internes au Crédit Agricole

13 247

5 645

Sur opérations avec la clientèle

173 777

179 886

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 467

2 565

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

29 740

32 915

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Produits d'intérêts (1) (2)

220 762

222 201

Sur opérations avec les établissements de crédit

-1 348

-737

Sur opérations internes au Crédit Agricole

-62 678

-76 860

Sur opérations avec la clientèle

-17 167

-12 058

Sur dettes représentées par un titre

-7 286

-6 058

Sur dettes subordonnées

-959

-1 073

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

-31 502

-30 728

Sur opérations de location-financement

 

0

Autres intérêts et charges assimilées

 

-1

Charges d'intérêts

-120 940

-127 515

(1) Dont 7 825 K€ sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2012 contre 7 934 K€ au 31 décembre 2011.

(2) Dont 1 516 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'État au 31 décembre 2012 contre 1 709 K€ au 31 décembre 2011.

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

299

-21

278

467

-28

439

Sur opérations internes au Crédit Agricole

13 159

-6 682

6 477

13 791

-7 366

6 425

Sur opérations avec la clientèle

17 592

-398

17 194

18 379

-362

18 017

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

 

Sur opérations de change

8

 

8

8

 

8

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

22

 

22

2 937

-225

2 712

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers

52 340

-5 609

46 731

54 232

-6 537

47 695

Gestion d'opcvm, fiducie et activités analogues

889

-13

876

1 383

-20

1 363

Produits nets des commissions

84 309

-12 723

71 586

91 197

-14 538

76 659

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

-22

1 699

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par option

2 275

-700

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

127

164

Résultat de la comptabilité de couverture

-1 432

-302

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

948

861

 

Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

42 381

-43 813

-1 432

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

18 608

-25 205

-6 597

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

23 773

-18 608

5 165

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

0

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

0

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

303 227

-303 227

0

Variations de juste valeur des éléments couverts

154 047

-149 180

4 867

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

149 180

-154 047

-4 867

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

0

Total Résultat de la comptabilité de couverture

345 608

-347 040

-1 432

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

19 920

-20 222

-302

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

2 363

-17 859

-15 496

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

17 557

-2 363

15 194

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

0

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace (1)

 

 

0

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

188 670

-188 670

0

Variations de juste valeur des éléments couverts

95 926

-92 744

3 182

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

92 744

-95 926

-3 182

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

0

Total Résultat de la comptabilité de couverture

208 590

-208 892

-302

 

4.4. Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dividendes reçus

100

8 260

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente

1 789

41

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres) (*)

-10 603

-87

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

-8 714

8 214

(*) Dont SAS SACAM INTERNATIONAL pour un montant de 4 519 K€ et SAS Rue la Boétie pour un montant 5 900 K€.

 

4.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-1 714

-606

Autres produits (charges) nets

89

-438

Produits (charges) des autres activités

-1 625

-1 044

 

4.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Charges de personnel

54 286

54 837

Impôts et taxes

4 784

4 235

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation

35 017

33 105

Charges générales d'exploitation

94 087

92 177

 

Ce montant intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2012 est donnée ci-dessous :

 

(En milliers d'euros hors taxe)

2012

2011

E & Y

KPMG

Total

Total

Commissaires aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés

131

71

202

197

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du Commissariat aux comptes

 

 

 

 

Total Honoraires des commissaires aux comptes

131

71

202

197

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dotations aux amortissements

6 941

6 924

Immobilisations corporelles

6 937

6 921

Immobilisations incorporelles

4

3

Dotations aux dépréciations

 

 

Immobilisations corporelles

 

 

Immobilisations incorporelles

 

 

Total

6 941

6 924

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-74 558

-68 819

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

-60 701

-62 146

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

-926

-173

Autres actifs

-12 640

-5 581

Engagements par signature

-137

-381

Risques et charges

-154

-538

Reprises de provisions et de dépréciations

36 214

31 164

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

34 667

30 507

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

348

 

Autres actifs

357

467

Engagements par signature

19

150

Risques et charges

823

40

Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-38 344

-37 655

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-277

-257

Récupérations sur prêts et créances amortis

4 317

494

Décotes sur crédits restructurés

-88

-87

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

-122

-112

Coût du risque

-34 514

-37 617

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

-35

-91

Plus-values de cession

5

3

Moins-values de cession

-40

-94

Titres de capitaux propres consolidés

 

 

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

Produits (charges) nets sur opérations de regroupement

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

-35

-91

 

4.10. Impôts :

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Charge d'impôt courant

18 501

12 675

Charge d'impôt différé

-696

-179

Charge d'impôt de la période

17 805

12 496

 

Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

— Au 31 décembre 2012 :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

26 440

36,10 %

9 545

Effet des différences permanentes

 

 

2 226

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

 

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

7 212

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

57

Effet des autres éléments

 

 

-1 235

Taux et charge effectif d'impôt

 

67 %

17 805

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2012.

— Au 31 décembre 2011 :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

42 567

36,10 %

15 367

Effet des différences permanentes

 

 

-2 518

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

 

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-436

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-11

Effet des autres éléments

 

 

94

Taux et charge effectif d'impôt

 

29,34 %

12 496

 

4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période, nets d’impôts.

 

(En milliers d'euros)

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Total des gains/pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponibles à la vente (1)

Variation de juste valeur des dérivés de couverture

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

Variation de juste valeur

 

-5 705

30

 

-5 675

Transfert en compte de résultat

 

7 666

 

 

7 666

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

0

Variation des gains et pertes actuarielssur avantages post emploi

 

 

 

-867

-867

Quote part de gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

 

 

 

 

0

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2012 (part du Groupe)

0

1 961

30

-867

1 124

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2012 (part minoritaire)

 

 

 

 

0

Total Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2012 (1)

0

1 961

30

-867

1 124

Variation de juste valeur

 

-2 775

44

 

-2 731

Transfert en compte de résultat

 

-39

 

 

-39

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

298

298

Variation des gains et pertes actuarielssur avantages post emploi

 

 

 

 

0

Quote part de gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

 

 

 

 

0

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2011 (part du Groupe)

0

-2 814

44

298

-2 472

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2011 (part minoritaire)

 

 

 

 

0

Total Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2011 (1)

0

-2 814

44

298

-2 472

 

(1) Les données « total des gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs disponibles à la vente » se décomposent comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Montant brut

1 964

-2 685

Impôt

-3

-129

Total net des gains ou pertes

1 961

-2 814

 

5. – Informations sectorielles.

Définition des secteurs opérationnels. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf note 3.1).

 

6. – Notes relatives au bilan.

6.1. Caisse, banques centrales :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

25 332

 

23 810

 

Banques centrales

6 066

 

5 975

 

Valeur au bilan

31 398

 

29 785

 

 

6.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

197

406

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

10 673

8 780

Valeur au bilan

10 870

9 186

 

— Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Instruments dérivés

197

406

Valeur au bilan

197

406

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

10 673

8 780

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

10 673

8 780

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Valeur au bilan

10 673

8 780

 

— Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

369

672

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

Valeur au bilan

369

672

 

— Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Titres vendus à découvert

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

369

672

Valeur au bilan

369

672

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêts et de change.

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Juste valeur

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Juste valeur

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 384

163

 

4 469

141

 

Actions et autres titres à revenu variable

1 356

 

-4

1 456

2

 

Titres de participation non consolidés (2)

253 429

6 027

-313

260 307

7 338

-3 570

Total des titres disponibles à la vente

259 169

6 190

-317

266 232

7 481

-3 570

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

Total des créances disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

259 169

6 190

-317

266 232

7 481

-3 570

Impôts

 

-296

1

 

-293

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs financiers disponibles à la vente (net IS)

 

5 894

-316

 

7 188

-3 570

(1) Dont -11 915K€ comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

(2) « En 2012, par exception, les titres SAS Rue La Boétie sont évalués au coût pour un montant net de dépréciation de 223 540 milliers d’euros. »

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle

— Prêts et créances sur les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Établissements de crédit :

 

 

Comptes et prêts

1 624

3 813

Dont comptes ordinaires débiteurs sains

1 424

3 813

Dont comptes et prêts au jour le jour sains

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

190

201

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Autres prêts et créances

 

 

Valeur brute

1 814

4 014

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances auprès des établissements de crédit

1 814

4 014

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

Comptes ordinaires

877

23 723

Comptes et avances à terme

252 850

163 925

Prêts subordonnés

13 504

13 508

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Valeur brute

267 231

201 156

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances internes au Crédit Agricole

267 231

201 156

Valeur au bilan

269 045

205 170

 

— Prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Opérations avec la clientèle

 

 

Créances commerciales

14 584

17 290

Autres concours à la clientèle

4 592 935

4 604 817

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

6 897

6 897

Titres non cotés sur un marché actif

1 022

1 024

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

Avances en comptes courants d'associés

20 197

19 552

Comptes ordinaires débiteurs

36 421

39 803

Valeur brute

4 672 056

4 689 383

Dépréciations

-212 580

-195 179

Valeur nette des prêts et créances auprès de la clientèle

4 459 476

4 494 204

Opérations de location financement

 

 

Location-financement immobilier

 

 

Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

Valeur brute

 

 

Dépréciations

 

 

Valeur nette des prêts et créances internes au Crédit Agricole

 

 

Valeur au bilan

4 459 476

4 494 204

 

6.6. Dépréciations inscrites en déduction des actifs financiers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2012

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

195 179

 

67 581

50 180

212 580

Dont dépréciations collectives

47 260

 

10 787

9 800

48 247

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

3 301

 

926

347

3 880

Actifs disponibles à la vente (1)

1 312

 

10 603

 

11 915

Autres actifs financiers

14 166

 

12 640

774

26 032

Total Dépréciations des actifs financiers

213 958

 

91 750

51 301

254 407

(1) « Les titres SAS Rue La Boétie ont été dépréciés au cours de l’exercice pour un montant de 5 900 milliers d’euros. »

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

31/12/2011

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

172 797

 

69 294

46 912

195 179

Dont dépréciations collectives

45 485

 

6 678

4 903

47 260

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

3 128

 

173

 

3 301

Actifs disponibles à la vente

1 264

 

87

39

1 312

Autres actifs financiers

10 647

 

5 581

2 062

14 166

Total Dépréciations des actifs financiers

187 836

 

75 135

49 013

213 958

 

6.7. Exposition au risque souverain et non souverain sur les pays européens sous surveillance :

— Exposition au risque souverain sur la Grèce, l’Irlande, le Portugal, l’Italie et l’Espagne, Chypre, la Hongrie. : La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas de créances envers la Grèce, l’Irlande, le Portugal, l’Italie et l’Espagne.

—Exposition au risque non souverain sur la Grèce, l’Irlande, le Portugal, l'Italie, l'Espagne, Chypre, la Hongrie. : L’exposition de la Caisse Régionale Sud Méditerranée au risque non souverain sur les pays européens sous surveillance est détaillée ci-dessous. Elle porte sur les portefeuilles d’instruments de dettes et les prêts et créances accordés à la clientèle et aux établissements de crédit. Les expositions comptabilisées en trading et les engagements hors bilan sont exclues de cette analyse. La ventilation par pays est réalisée par pays de risque de la contrepartie.

 

Activité bancaire – Risque de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Encours de crédit brut

Dont encours bruts dépréciés

Dépréciations sur base individuelle et collective

Taux de provisionnement des encours bruts

Encours de crédit net

Encours de crédit net

Grèce (y compris Chypre)

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Irlande

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Espagne

367 121

114 360

46 067

12,55

321 054

381 001

Banque

1 419

 

 

 

1 419

1 924

Clientèle de détail

358 284

114 360

46 067

12,86

312 217

376 304

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

7 418

 

 

 

7 418

2 773

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Hongrie

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

 

 

Total Exposition sur pays à risque - Risque de crédit

367 121

114 360

46 067

 

321 054

381 001

 

Activité bancaire – Instruments de dettes. — Les montants présentés comprennent la valeur au bilan des instruments de dettes classés en actifs financiers disponibles à la vente et en actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Exposition sur obligations nette de dépréciation

Exposition sur autres instruments de dettes nette de dépréciation

Exposition nette des instruments de dettes

Exposition nette des instruments de dettes

Grèce (y compris Chypre)

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Irlande

 

 

1 405

 

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

1 405

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Italie

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Espagne

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Portugal

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Hongrie

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. hors para-publiques

 

 

 

 

Ent. et grandes ent. para-publiques

 

 

 

 

Collectivités locales

 

 

 

 

Total Exposition sur pays à risque - Instruments de dettes

 

 

1 405

 

 

6.8. Dettes envers les établissements de crédit et sur la clientèle :

— Dettes envers les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Établissements de crédit

 

 

Comptes et emprunts

825

290

Dont comptes ordinaires créditeurs

635

 

Dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Total

825

290

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

56 561

 

Comptes et avances à terme

2 790 359

2 945 104

Total

2 846 920

2 945 104

Valeur au bilan

2 847 745

2 945 394

 

Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Comptes ordinaires créditeurs

1 003 659

992 197

Comptes d'épargne à régime spécial

11 224

9 301

Autres dettes envers la clientèle

527 842

413 082

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

494

Valeur au bilan

1 542 725

1 415 074

 

6.9. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Effets publics et valeurs assimilées

17 654

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

52 453

53 449

Total

70 107

53 449

Dépréciations

-3 880

-3 301

Valeur au bilan

66 227

50 148

 

6.10. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dettes représentées par un titre

 

 

Bons de caisse

2 195

2 166

Titres du marché interbancaire

 

 

Titres de créances négociables :

150 298

156 120

Emprunts obligataires

 

 

Autres dettes représentées par un titre

7 120

250

Valeur au bilan

159 613

158 536

Dettes subordonnées

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

15 345

15 315

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

Valeur au bilan

15 345

15 315

 

6.11. Actifs et passifs d’impôts courants et différés :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Impôts courants

 

4 859

Impôts différés

20 679

19 788

Total Actifs d'impôts courants et différés

20 679

24 647

Impôts courants

4 533

24

Impôts différés

 

 

Total Passifs d'impôts courants et différés

4 533

24

 

Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Décalages temporaires comptables-fiscaux

20 380

0

19 322

0

Charges à payer non déductibles

420

 

116

 

Provisions pour risques et charges non déductibles

18 427

 

17 383

 

Autres différences temporaires

1 533

 

1 823

 

Impôts différés/Réserves latentes

871

237

833

243

Actifs disponibles à la vente

 

237

 

243

Couvertures de Flux de Trésorerie

818

 

833

 

Gains et pertes/Ecarts actuariels

53

 

 

 

Impôts différés/Résultat

-59

 

304

428

Total Impôts différés

21 192

237

20 459

671

 

Les impôts différés sont nettés au bilan par entité fiscale.

 

6.12. Comptes de régularisation actif, passif et divers :

— Comptes de régularisation et actifs divers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Autres actifs

69 914

66 207

Comptes de stocks et emplois divers

36 606

36 697

Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

Débiteurs divers

33 169

29 429

Comptes de règlements

139

81

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

71 035

63 896

Comptes d'encaissement et de transfert

50 404

42 276

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

1

Produits à recevoir

20 076

20 852

Charges constatées d'avance

420

522

Autres comptes de régularisation

134

245

Valeur au bilan

140 949

130 103

 

Comptes de régularisation et passifs divers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Autres passifs (1)

26 008

23 906

Comptes de règlements

 

107

Créditeurs divers

25 424

23 197

Versement restant à effectuer sur titres

584

602

Autres passifs d'assurance

 

 

Autres

 

 

Comptes de régularisation

56 959

47 813

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

15 932

7 663

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

Produits constatés d’avance

19 889

19 465

Charges à payer

20 490

19 819

Autres comptes de régularisation

648

866

Valeur au bilan

82 967

71 719

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) Les montants sont indiqués en net.

 

6.13. Immeubles de placement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2012

Valeur brute

5 561

588

 

2 738

8 887

Amortissements et dépréciations

-1 118

-1 715

 

 

-2 833

Valeur au bilan (1)

4 443

-1 127

0

2 738

6 054

(1) Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2011

Valeur brute

2 633

3 371

 

-443

5 561

Amortissements et dépréciations

-512

-606

 

 

-1 118

Valeur au bilan (1)

2 121

2 765

 

-443

4 443

(1) Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

La valeur de marché des immeubles de placements comptabilisés au coût amorti, établie « à dire d’expert », s’élève à 6 054 K€ au 31 décembre 2012 contre 4 443 K€ au 31 décembre 2011.

 

6.14. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2012

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

Valeur brute

119 700

5 260

3 795

 

121 165

Amortissements et dépréciations (1)

-82 872

-6 938

-3 765

 

-86 045

Valeur au bilan

36 828

-1 678

30

0

35 120

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 803

10

11

 

10 802

Amortissements et dépréciations

-9 914

-4

 

 

-9 918

Valeur au bilan

889

6

11

0

884

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2011

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

Valeur brute

116 770

3 880

1 393

443

119 700

Amortissements et dépréciations (1)

-76 452

-6 921

-501

 

-82 872

Valeur au bilan

40 318

-3 041

892

443

36 828

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 649

210

56

 

10 803

Amortissements et dépréciations

-9 911

-3

 

 

-9 914

Valeur au bilan

738

207

56

0

889

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple.

 

6.15. Provisions :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2012

Risques sur les produits épargne logement

2 552

634

 

-1 083

 

2 103

Risques d’exécution des engagements par signature

1 085

137

 

-19

 

1 203

Risques opérationnels

3 914

265

-20

-26

 

4 133

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

471

179

 

-4

147

793

Litiges divers

169

19

-41

 

 

147

Participations

 

 

 

 

 

 

Restructurations

 

 

 

 

 

 

Autres risques

2 743

3 178

-1 262

-933

 

3 726

Total

10 934

4 412

-1 323

-2 065

147

12 105

(1) Dont 260 K€ au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 533 K€ au titre de la provision pour médaille du travail.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2011

Risques sur les produits épargne logement

2 941

230

 

619

 

2 552

Risques d’exécution des engagements par signature

854

381

 

150

 

1 085

Risques opérationnels

3 269

664

18

1

 

3 914

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

490

 

 

19

 

471

Litiges divers

671

816

1 318

 

 

169

Participations

 

 

 

 

 

 

Restructurations

 

 

 

 

 

 

Autres risques

2 357

1 379

762

231

 

2 743

Total

10 582

3 470

2 098

1 020

0

10 934

(1) Dont 0 K€ au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 471K€ au titre de la provision pour médaille du travail.

 

Provision épargne-logement :

— Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

89 025

313 766

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

254 222

192 508

Ancienneté de plus de 10 ans

296 043

129 189

Total plans d'épargne-logement

639 290

635 463

Total comptes épargne-logement

83 273

88 161

Total Encours collectés au titre des contrats épargne-logement

722 563

723 624

 

—Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Plans d'épargne-logement :

4 009

4 960

Comptes épargne-logement :

11 996

13 430

Total Encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

16 005

18 390

 

— Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

 

 

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

 

357

Ancienneté de plus de 10 ans

2 076

1 786

Total plans d'épargne-logement

2 076

2 143

Total comptes épargne-logement

27

409

Total Provision au titre des contrats épargne-logement

2 103

2 552

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Dotations

Reprises

31/12/2012

Plans d'épargne-logement :

2 143

428

494

2 076

Comptes épargne-logement :

409

207

589

27

Total Provision au titre des contrats épargne-logement

2 552

635

1 084

2 103

 

L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ».

 

6.16. Capitaux propres :

 

Composition du capital au 31 décembre 2012. — La Caisse régionale de Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L.231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement et de Certificats Coopératifs d’Associés.

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2012

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2012

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

 

 

459 957

Dont part du Public

 

 

 

 

Dont part Crédit Agricole SA

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

12 669 005

 

148 260

12 520 745

Dont 49 caisses locales

12 668 980

 

148 260

12 520 720

Dont xx administrateurs de la CR

24

 

 

24

Dont Crédit Agricole SA

1

 

 

1

Total

13 128 962

0

148 260

12 980 702

 

La valeur nominale des titres est de :

— 15,25 € pour les CCA ;

— 15,25 € pour les parts sociales émises par la CR ;

— 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales.

Au 31/12/2012, le capital de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 26 527 K€.

Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale de Sud Méditerranée sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA.

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Dividendes. — L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2012 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 26 mars 2013.

 

Dividendes :

— Pour les Caisses régionales :

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

Montant Net

Montant Net

2009

7,08

0,05

2010

6,47

0,05

2011

4,66

0,05

Prévu 2012

2,22

0,05

 

Affectations du résultat et fixation du dividende 2012 :

— Projet affectation du résultat social au 31/12/2012 (en euros) :

 

Résultat à affecter

13 621 481,96

Distribué

1 589 773,03

Intérêts aux parts sociales

568 161,88

Rémunération des CCA

1 021 611,15

Conservé

12 031 708,93

Réserves légales

9 023 781,70

Autres réserves

3 007 927,23

 

6.17. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle. — La ventilation des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle.

L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle.

Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminé ».

Les écarts de réévaluation des portefeuilles couverts en taux sont considérés comme ayant une échéance indéterminée compte tenu de l’absence de maturité définie.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

≤ 3 mois

> 3 mois

à ≤ 1 an

> 1 an

à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indé-

terminé

Total

Caisse, banques centrales

31 398

 

 

 

 

31 398

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

126

14

5 435

5 295

 

10 870

Instruments dérivés de couverture

162

327

9 746

117 516

 

127 751

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

259 169

259 169

Prêts et créances sur les établissements de crédit

20 267

103 445

34 992

96 841

13 500

269 045

Prêts et créances sur la clientèle

442 359

455 307

1 280 880

2 279 915

1 015

4 459 476

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

82 083

 

 

 

 

82 083

Actifs financiers detenus jusqu'à l'échéance

918

264

39 018

26 027

 

66 227

Total Actifs financiers par échéance

577 313

559 357

1 370 071

2 525 594

273 684

5 306 019

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

51

14

254

50

 

369

Instruments dérivés de couverture

 

300

28 964

66 312

 

95 576

Dettes envers les établissements de crédit

430 561

739 406

908 795

768 983

 

2 847 745

Dettes envers la clientèle

1 060 591

135 871

124 428

221 835

 

1 542 725

Dettes représentées par un titre

2 343

150

 

157 120

 

159 613

Dettes subordonnées

481

 

 

14 864

 

15 345

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

96 254

 

 

 

 

96 254

Total Passifs financiers par échéance

1 590 281

875 741

1 062 441

1 229 164

0

4 757 627

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois

à ≤ 1 an

> 1 an

à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indé-

terminé

Total

Caisse, banques centrales

29 785

 

 

 

 

29 785

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

74

6

1 750

7 356

 

9 186

Instruments dérivés de couverture

 

396

10 083

86 172

 

96 651

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

4 085

262 147

266 232

Prêts et créances sur les établissements de crédit

61 633

3 943

30 030

96 064

13 500

205 170

Prêts et créances sur la clientèle

431 230

446 026

1 307 250

2 308 682

1 015

4 494 203

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

52 811

 

 

 

 

52 811

Actifs financiers detenus jusqu'à l'échéance

1 088

993

18 205

29 862

 

50 148

Total Actifs financiers par échéance

576 621

451 364

1 367 318

2 532 221

276 662

5 204 187

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

672

 

 

672

Instruments dérivés de couverture

717

4 050

14 988

46 155

 

65 910

Dettes envers les établissements de crédit

484 928

884 137

819 754

756 575

 

2 945 394

Dettes envers la clientèle

1 055 248

162 206

146 259

51 361

 

1 415 074

Dettes représentées par un titre

7 300

986

 

150 250

 

158 536

Dettes subordonnées

476

 

 

14 839

 

15 315

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

71 849

 

 

 

 

71 849

Total Passifs financiers par échéance

1 620 518

1 051 379

981 673

1 019 180

0

4 672 750

 

7. – Avantages au personnel et autres rémunérations.

7.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Salaires et traitements (1)

29 656

29 257

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

3 280

3 271

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

945

1 348

Autres charges sociales

11 687

11 099

Intéressement et participation

3 405

5 328

Impôts et taxes sur rémunération

5 313

4 534

Total Charges de personnel

54 286

54 837

(1) Dont indemnités liées à la retraite pour 148 K€ au 31/12/2012 contre 110 K€ au 31/12/2011.

Dont médailles du travail pour 62 K€ au 31/12/2012 contre -19 K€ AU 31/12/2011.

 

7.2. Effectif fin de période :

 

Effectifs

31/12/2012

31/12/2011

France

902

879

Etranger

14

13

Total

916

892

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole SA n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies :

 

Variation dette actuarielle (en milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dette actuarielle au 31/12/n-1

11 530

10 659

Ecart de change

 

 

Coût des services rendus sur la période

860

853

Coût financier

543

415

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-505

-447

(Gains)/pertes actuariels

901

50

Dette actuarielle au 31/12/n

13 329

11 530

 

Détail de la charge comptabilisée au résultat (en milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Coût des services rendus

860

853

Coût financier

543

415

Rendement attendu des actifs

-374

-336

Amortissement du coût des services passés

18

16

Gains/(pertes) actuariels net

 

 

Amortissement des gains/pertes générés par modifications, réductions et liquidations de régimes

 

 

Gains/(pertes) du(e)s au changement de limitation d'actifs

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 047

948

 

Variation de juste valeur des actifs et des Droits à remboursement (en milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/n-1

11 364

8 746

Ecart de change

 

 

Rendement attendu des actifs

374

336

Gains/(pertes) actuariels

-454

517

Cotisations payées par l'employeur

2 142

2 212

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Prestations payées par le fonds

-505

-447

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/n

12 921

11 364

 

Position nette (en milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Dette actuarielle fin de période

13 329

11 530

Coût des services passés (modification de régimes) non reconnus

148

166

Impact de la limitation d'actifs

 

 

Juste valeur des actifs fin de période

12 921

11 364

Position nette (passif)/actif fin de période

-260

0

 

Eléments reconnus immédiatement en sorie et comptabilisés dans le résultat global

(Montants en millions d'Euros)

31/12/2012

31/12/2011

Ecarts actuariels générés sur les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi

1 355

-466

Ajustements de plafonnement des actifs (incluant les effets d'ifric 14)

 

 

Total des éléments reconnus immédiatement en sorie dans l'année

1 355

-466

Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en sorie en fin d'année

1 275

-80

 

7.5. Autres avantages sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent 533 K€ à la fin de l’exercice 2012.

 

7.6. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de Direction et d’Administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 306 K€.

 

8. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

Engagements donnés et reçus :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Engagements donnés

 

 

Engagements de financement

441 571

593 427

Engagements en faveur d'établissements de crédit

 

100 000

Engagements en faveur de la clientèle

441 571

493 427

Ouverture de crédits confirmés

355 349

405 158

Ouverture de crédits documentaires

383

409

Autres ouvertures de crédits confirmés

354 966

404 479

Autres engagements en faveur de la clientèle

86 222

88 269

Engagements de garantie

303 907

319 214

Engagements d'ordre d'établissement de crédit

201 340

201 340

Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

Autres garanties

201 340

201 340

Engagements d'ordre de la clientèle

102 567

117 874

Cautions immobilières

10 260

10 900

Garanties immobilières

20 075

76 300

Autres garanties d'ordre à la clientèle

72 232

30 674

Engagements reçus

 

 

Engagements de financement

400 000

350 152

Engagements reçus d'établissements de crédit

400 000

350 152

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

816 007

801 015

Engagements reçus d'établissements de crédit

33 893

38 699

Engagements reçus de la clientèle

782 114

762 316

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

146 691

140 337

Autres garanties reçues

635 423

621 979

 

Dont 201 340 K€ relatifs aux engagements des garanties Switch.

 

Actifs donnés en garantie de passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Titres prêtés

-759

-632

Dépôts de garantie sur opérations de marché

 

 

Titres et valeurs donnés en pension

 

 

Total

-759

-632

 

Garanties détenues. — La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis.

 

9. – Juste valeur des instruments financiers.

La juste valeur d’un instrument financier est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé ou une dette réglée entre des parties avisées, consentantes dans une transaction conclue à des conditions normales.

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

Dans la pratique, et dans une logique de continuité de l’activité, l’ensemble de ces instruments financiers pourrait ne pas faire l’objet d’une réalisation immédiate pour la valeur estimée ci-dessous.

 

9.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2012

31/12/2011

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Actifs

 

 

 

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit

269 045

291 603

205 170

205 170

Prêts et créances sur la clientèle

4 459 476

4 570 314

4 494 204

4 553 905

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

66 227

66 847

50 148

43 946

Passifs

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédits

2 847 745

2 953 279

2 945 394

3 019 529

Dettes envers la clientèle

1 542 725

1 542 725

1 415 074

1 415 074

Dettes représentées par un titre

159 613

187 101

158 536

158 536

Dettes subordonnées

15 345

15 345

15 315

15 315

 

Pour les instruments financiers, la meilleure estimation correspond au prix de marché de l’instrument lorsque celui-ci est traité sur un marché actif (cours cotés et diffusés).

En l’absence de marché ou de données fiables, la juste valeur est déterminée par une méthode appropriée conforme aux méthodologies d’évaluations pratiquées sur les marchés financiers : soit la référence à la valeur de marché d’un instrument comparable, soit l’actualisation des flux futurs, soit des modèles d’évaluation.

Dans les cas où il est nécessaire d’approcher les valeurs de marché au moyen d’évaluation, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs estimés qui est la plus couramment utilisée.

En outre, il est à noter que la Caisse Régionale Sud Méditerranée prend en compte le rapport d’experts publié par l’IASB le 31 octobre 2008 et relatif à la valorisation de certains instruments financiers à la juste valeur cotés sur des marchés qui ne sont plus actifs.

Par ailleurs, dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

— des passifs exigibles à vue ;

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

9.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur :

— Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation

 

Actifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2012

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

197

 

197

 

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

197

 

197

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

10 673

 

10 673

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

10 673

 

10 673

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

10 673

 

10 673

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

259 169

4 107

255 062

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 384

4 107

277

 

Actions et autres titres à revenu variable (1)

254 785

 

254 785

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

127 751

 

127 751

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

397 790

4 107

393 683

 

« (1) Dont 223 540 milliers d’euros de titres SAS Rue La Boétie valorisés selon la méthode du coût (cf. page 10). »

 

Actifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2011

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

406

 

406

 

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Instruments dérivés

406

 

406

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

8 780

 

8 780

 

Créances sur la clientèle

 

 

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

8 780

 

8 780

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

8 780

 

8 780

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

266 232

4 085

262 147

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 469

4 085

384

 

Actions et autres titres à revenu variable

261 763

 

261 763

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

96 651

 

96 651

 

Total Actifs financiers valorisés à la juste valeur

372 069

4 085

367 984

 

 

Passifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris dettes rattachées :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2012

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

369

 

369

 

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Instruments dérivés

369

 

369

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

95 576

 

95 576

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

95 945

0

95 945

0

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2011

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

672

 

672

 

Titres vendus à découvert

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

Instruments dérivés

672

 

672

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

65 910

 

65 910

 

Total Passifs financiers valorisés à la juste valeur

66 582

 

66 582

 

 

10. – Événements postérieurs à la clôture.

Dans le cadre de l’arrêté des comptes, la Caisse régionale a eu connaissance et a intégré dans les comptes annuels l’impact de la dépréciation provisoire de la SAS SACAM International pour 1 millions d’€uros sur la base d’une estimation communiquée par Crédit Agricole SA le 18 janvier 2013.

Les valeurs définitives des SAS SACAM International et SACAM Développement ont été arrêtées et communiquées par la FNCA le 4 février 2013 (basées sur la valeur retenue par CA SA dans le cadre de la dépréciation des écarts d’acquisition ayant donné lieu à un communiqué public le 1er février 2013).

— Pour la SAS SACAM Développement, la nouvelle valeur fixée à 38,45 € est supérieure au prix moyen d’acquisition ne nécessitant aucun provisionnement.

— Concernant la SAS SACAM International, la nouvelle valeur est fixée à 8,75 €, inférieure à la valeur estimée au 18 janvier 2013. Le complément de provision de 0,436 million d’€uros n’a pas été enregistré dans les comptes au 31 décembre 2012. L’ajustement sera pris en compte au 1er trimestre 2013.

 

11. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2012.

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode de consolidation au 31/12/2012

% De contrôle et d'intérêt

31/12/2012

31/12/2011

Caisse Locale à vocation départementale des P.O

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARGELES -ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale la Canterraine - Sud Reart

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TERRES DE JAUMET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BANYULS S/MER

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale porte de la Salanque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CABESTANY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CARAMAY - BELESTA - TREVILLAC

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COLLIOURE - PORT VENDRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de l’Agly

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d’Ille sur Tet

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MAURY - FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MILLAS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PEZILLA - CORNEILLA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ASPRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PRADES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de RIVESALTES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST FELIU D'AVALL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d’agly SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST NAZAIRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALEILLES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALSES - OPOUL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale les RIVES DE LA BASSE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de THUIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VINCA - TARERACH - SOURNIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d’Arles S/TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d’ax LES THERMES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LA BASTIDE DE SEROU

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de FOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LAVELANET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LEZAT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du MAS D AZIL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de STE CROIX VOLVESTRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COUSERANS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TARASCON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VARILHES

France

Intégration Globale

100

100

 

IV. — Rapport des commissaires aux comptessur les comptes consolidés.

Aux Sociétaires ;

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos assemblées générales, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2012, sur :

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— la vérification spécifique prévue par la loi.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d’ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l’ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

 

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

— Comme indiqué dans la note 1.3 Activité de crédits de l’annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et collectives et des provisions.

— La note 1.3 de l’annexe expose les règles et les méthodes comptables relatives aux actifs financiers disponibles à la vente. Nous avons examiné les évaluations retenues pour la valorisation de ces titres et, sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à vérifier la correcte application des principes retenus par votre caisse régionale pour leur dépréciation. Nous avons revu plus particulièrement les critères ayant conduit à valoriser les titres SAS. Rue La Boétie à leur coût ainsi que la cohérence des approches multicritères et des paramètres retenus dans le cadre du test de dépréciation de ces titres.

— Dans le cadre de l’arrêté des comptes, votre caisse régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur l’évaluation en juste valeur des instruments financiers. Nous avons examiné et testé les processus mis en place par la direction, les hypothèses retenues et les paramètres utilisés, et vérifié, sur la base des informations qui nous ont été communiquées, que ces estimations comptables s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes retenus par votre caisse régionale.

— Votre caisse régionale procède à d’autres estimations dans le cadre habituel de la préparation de ses comptes consolidés, comme exposé en note 1.3 de l’annexe aux états financiers, qui portent, notamment, sur les engagements en matière de retraite et d’indemnités de fin de carrière. Nos travaux ont consisté à examiner les méthodes et les hypothèses retenues et à vérifier que les estimations comptables qui en résultent s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans la note 1.3 de l’annexe aux états financiers.

Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

III. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion.

Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

Perpignan et Toulouse, le 8 mars 2013.

 

Les commissaires aux comptes :

 

 

1301558

18/02/2013 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N2)
Numéro d'affaire : 366
Texte de l'annonce :

1300366

18 février 2013BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°21


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

( ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651.

 

Situation au 31 Décembre 2012

(En milliers d’euros)

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

31 398

Effets publics et valeurs assimilées

17 655

Créances sur les établissements de crédits

1 814

Opérations internes au Crédit agricole

278 641

Opérations avec la clientèle

4 476 044

Obligations et autres titres à revenu fixe

59 559

Actions et autres titres à revenu variable

3 952

Participations et autres titres détenus à long terme

272 625

Parts dans les entreprises liées

850

Immobilisations corporelles et incorporelles

41 871

Autres actifs

69 908

Comptes de régularisation

96 296

        Total de l’actif

5 350 613

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

825

Opérations internes au Crédit agricole

2 854 786

Comptes créditeurs de la clientèle

1 545 703

Dettes représentées par un titre

152 491

Autres passifs

27 532

Comptes de régularisation

79 920

Provisions pour risques et charges

60 730

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 584

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG

603 485

    Capital souscrit

28 057

    Primes d’émission

129 625

    Réserves

445 803

    Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

    Report à nouveau

0

        Total du passif

5 350 613

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés

746 186

    Engagements de financements

441 571

    Engagements de garantie

303 904

    Engagements sur titres

711

Engagements reçus

1 216 718

    Engagements de financements

400 000

    Engagements de garantie

816 007

    Engagements sur titres

711

 

1300366

02/11/2012 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N2)
Numéro d'affaire : 6262
Texte de l'annonce :

1206262

2 novembre 2012BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°132


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

( ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )  

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D. 

Situation au 30 Septembre 2012

(En milliers d’euros) 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

31 013

Effets publics et valeurs assimilées.

0

Créances sur les établissements de crédits.

48 166

Opérations internes au Crédit agricole.

283 730

Opérations avec la clientèle.

4 476 972

Obligations et autres titres à revenu fixe

60 403

Actions et autres titres à revenu variable.

3 982

Participations et autres titres détenus à long terme

274 622

Parts dans les entreprises liées.

850

Immobilisations corporelles et incorporelles

41 592

Autres actifs.

92 664

Comptes de régularisation.

102 343

        Total de l’actif

5 416 337

 

Passif

Montant

Banques centrales.

0

Dettes envers les établissements de crédit.

315

Opérations internes au Crédit agricole.

2 831 311

Comptes créditeurs de la clientèle

1 623 041

Dettes représentées par un titre.

155 488

Autres passifs.

16 477

Comptes de régularisation.

102 025

Provisions pour risques et charges.

59 297

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 341

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG.

603 485

    Capital souscrit

28 057

    Primes d’émission

129 625

    Réserves

445 803

    Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

    Report à nouveau

0

        Total du passif

5 416 337

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés.

759 896

    Engagements de financements

455 602

    Engagements de garantie

303 469

    Engagements sur titres.

825

Engagements reçus

1 316 231

    Engagements de financements

500 152

    Engagements de garantie

815 254

    Engagements sur titres.

825

 

 

1206262

15/08/2012 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N2)
Numéro d'affaire : 5469
Texte de l'annonce :

1205469

15 août 2012BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°98


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE/PYRENEES ORIENTALES)

 

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 — Code APE 651 D.

 

Situation au 30 juin 2012.

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

31 764

Effets publics et valeurs assimilées

0

Créances sur les établissements de crédits

46 009

Opérations internes au Crédit agricole

304 874

Opérations avec la clientèle

4 518 516

Obligations et autres titres à revenu fixe

59 771

Actions et autres titres à revenu variable

4 036

Participations et autres titres détenus à long terme

274 226

Parts dans les entreprises liées

850

Immobilisations corporelles et incorporelles

41 847

Autres actifs

81 365

Comptes de régularisation

83 739

    Total de l’actif

5 446 997

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

327

Opérations internes au Crédit agricole

2 981 435

Comptes créditeurs de la clientèle

1 517 315

Dettes représentées par un titre

154 963

Autres passifs

17 461

Comptes de régularisation

84 265

Provisions pour risques et charges

63 102

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 087

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG

603 485

    Capital souscrit

28 057

    Primes d’émission

129 625

    Réserves

445 803

    Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

    Report à nouveau

0

        Total du passif

5 446 997

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés

751 585

    Engagements de financements

442 381

    Engagements de garantie

308 599

    Engagements sur titres

605

Engagements reçus

1 313 608

    Engagements de financements

500 000

    Engagements de garantie

813 003

    Engagements sur titres

605

 

 

1205469

14/05/2012 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N2)
Numéro d'affaire : 2594
Texte de l'annonce :

1202594

14 mai 2012BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°58


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 Mars 2012.

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

27 603

Effets publics et valeurs assimilées

0

Créances sur les établissements de crédits

5 739

Opérations internes au Crédit agricole

174 101

Opérations avec la clientèle

4 520 041

Obligations et autres titres à revenu fixe

60 388

Actions et autres titres à revenu variable

4 028

Participations et autres titres détenus à long terme

274 045

Parts dans les entreprises liées

936

Immobilisations corporelles et incorporelles

41 287

Autres actifs

84 381

Comptes de régularisation

98 999

        Total de l’actif

5 291 548

 

Passif

Montant

Banques centrale.

0

Dettes envers les établissements de crédit

291

Opérations internes au Crédit agricole

2 932 556

Comptes créditeurs de la clientèle

1 419 337

Dettes représentées par un titre

154 704

Autres passifs

19 848

Comptes de régularisation

73 644

Provisions pour risques et charges

62 364

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 762

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG

603 485

    Capital souscrit.

28 057

    Primes d’émission

129 625

    Réserves

445 803

    Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

    Report à nouveau

0

        Total du passif

5 291 548

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés

852 149

    Engagements de financements

538 054

    Engagements de garantie

313 507

    Engagements sur titres

588

Engagements reçus

1 306 002

    Engagements de financements

500 152

    Engagements de garantie

805 262

    Engagements sur titres

588

 

1202594

25/04/2012 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N2)
Numéro d'affaire : 1746
Texte de l'annonce :

1201746

25 avril 2012BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°50


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

 

CAISSE REGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE/PYRENÉES ORIENTALES)

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural.

Capital social au 31 décembre 2011 : 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2011

 

Comptes annuels approuvés par l'assemblée générale ordinaire du 28 mars 2012 .

 

A. — Comptes sociaux au 31/12/ 2011 a rrêtés par le conseil d’administration de Sud Méditerranée en date du 10 février 2012.

 

I. — Bilan au 31 décembre 2011 .

(En milliers d'euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2011

31/12/2010

Opérations interbancaires et assimilées

 

33 800

33 544

Caisse, banques centrales

 

29 785

30 190

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

Créances sur les établissements de crédit

3

4 015

3 354

Opérations internes au Crédit Agricole

3

209 753

112 506

Opérations avec la clientèle

4

4 512 716

4 544 525

Opérations sur titres :

 

64 135

59 399

    Obligations et autres titres à revenu fixe

5

60 086

55 279

    Actions et autres titres à revenu variable

5

4 049

4 120

Valeurs immobilisées

 

316 310

346 754

Participations et autres titres détenus à long terme

6,7

273 223

302 653

Parts dans les entreprises liées

6,7

936

937

Immobilisations incorporelles

7

888

737

Immobilisations corporelles

7

41 263

42 427

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

163 909

140 916

Autres actifs

8

71 139

61 431

Comptes de régularisation

8

92 770

79 485

    Total actif

 

5 300 623

5 237 644

 

 

Passif

Notes

31/12/2011

31/12/2010

Opérations interbancaires et assimilées

 

290

396

Banques centrales

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

10

290

396

Opérations internes au Crédit Agricole

10

2 952 324

2 887 447

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 418 242

1 425 380

Dettes représentées par un titre

12

158 286

154 210

Comptes de régularisation et passifs divers

 

81 268

102 182

Autres passifs

13

20 823

35 396

Comptes de régularisation

13

60 445

66 786

Provisions et dettes subordonnées

 

76 395

79 214

Provisions

14,15,16

58 804

56 884

Dettes subordonnées

18

17 591

22 330

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17

7 557

7 557

Capitaux propres hors FRBG :

19

606 261

581 258

    Capital souscrit

 

28 057

28 057

    Primes d'émission

 

129 625

129 625

    Réserves

 

419 970

383 926

    Ecart de réévaluation

 

 

 

    Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

 

 

    Report à nouveau

 

 

 

    Résultat de l'exercice

 

28 609

39 650

        Total passif

 

5 300 623

5 237 644

 

 

Hors-bilan

31/12/2011

31/12/2010

Engagements donnés

912 910

647 449

    Engagements de financement

593 426

518 939

    Engagements de garantie

319 214

127 751

    Engagements sur titres

270

759

Engagements reçus

1 151 438

1 049 930

    Engagements de financement

350 152

350 152

    Engagements de garantie

801 016

699 019

    Engagements sur titres

270

759

 

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

— Opérations de change au comptant et à terme : note 22 ;

— Opérations sur instruments financiers à terme : note 23.

 

 

II. — Compte de résultat au 31 décembre 2011 .

 

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2011

31/12/2010

Intérêts et produits assimilés

25

191 295

*192 422

Intérêts et charges assimilées

25

-99 230

-100 757

Revenus des titres à revenu variable

26

13 590

13 902

Commissions (produits)

27

88 261

94 035

Commissions (charges)

27

-14 487

-16 382

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

28

1 847

-116

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

 

-434

22

Autres produits d’exploitation bancaire

30

739

586

Autres charges d’exploitation bancaire

30

-1 014

-986

Produit net bancaire

 

180 567

182 726

Charges générales d’exploitation

31

-91 598

-87 942

Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

-7 526

-7 013

Résultat brut d'exploitation

 

81 443

87 771

Coût du risque

32

-37 731

-29 593

Résultat d'exploitation

 

43 712

58 178

Résultat net sur actifs immobilisés

33

-2 269

-1 117

Résultat courant avant impôt

 

41 443

57 061

Résultat exceptionnel

 

 

 

Impôt sur les bénéfices

35

-12 834

-17 411

Dotations/Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

 

 

Résultat net de l'exercice

 

28 609

39 650

 

 

III. — Annexe.

 

Note 1. — Cadre juridique et financier et faits caracteristiques de l'exercice.

 

1.1. Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée, des Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’Entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2011, la Caisse Régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du Groupe Crédit Agricole dont l'Organe Central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole SA Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même 56,25% du capital de Crédit Agricole SA, cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole SA est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,47%.

Par ailleurs, Crédit Agricole SA détient 6 969 381 actions propres au 31 décembre 2011, soit 0,28% de son capital, contre 9 324 639 actions propres au 31 décembre 2010.

Pour sa part Crédit Agricole SA détient 25% du capital sous la forme des Certificats Coopératifs d’Associés et/ou des Certificats Coopératifs d’Investissement émis par la Caisse régionale.

Crédit Agricole SA coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'Organe Central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit Agricole SA à hauteur de leurs fonds propres.

 

1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole. — L'appartenance de la Caisse Régionale Sud Méditerranée au groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA, qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ».

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Épargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, livret jeune et livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme, bons et assimilés, etc...) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole SA et centralisées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole SA de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales leur permettant d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25% puis 33% et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole SA et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole SA

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole SA : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

— Opérations en devises : Crédit Agricole SA, intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole SA, la CNCA (devenue Crédit Agricole SA) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole SA d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole SA enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole SA, les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

— Garanties Switch : Le dispositif Switch, mis en place le 23 décembre 2011, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole SA, en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole.

Il permet le transfert des exigences prudentielles s’appliquant aux participations de Crédit Agricole SA dans les Caisses régionales, qui sont mises en équivalence dans les comptes consolidés de Crédit Agricole SA Ce transfert est réalisé vers les Caisses régionales via un mécanisme de garantie accordée par ces dernières à Crédit Agricole SA sur une valeur contractuelle plancher des valeurs de mises en équivalence des CCI/CCA émis par les Caisses régionales. Cette valeur est fixée à l’origine de l’opération.

La bonne fin du dispositif est garantie par la mise en place d’un dépôt de garantie versé par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA

Ainsi, le dispositif protège Crédit Agricole SA de la baisse de valeur de mise en équivalence globale des Caisses régionales. En effet, dès lors qu’une baisse de valeur est constatée, le mécanisme de garantie est actionné et Crédit Agricole SA perçoit une indemnisation prélevée sur le dépôt de garantie. En cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence globale, Crédit Agricole SA, de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

La durée de la garantie est de 15 ans au bout desquels elle peut être prolongée par tacite reconduction. Cette garantie peut être résiliée par anticipation, dans certaines conditions et avec l’accord préalable de l’ACP. Le dépôt de garantie est rémunéré à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. La garantie fait l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

Dans les comptes individuels, la garantie Switch est un engagement de hors-bilan donné par les Caisses régionales et symétriquement reçu par Crédit Agricole SA La rémunération globale de la garantie est étalée sur la durée du contrat et comptabilisée en PNB dans la marge d’intérêt. En cas d’exercice de la garantie, l’indemnisation est enregistrée symétriquement par Crédit Agricole SA et les Caisses régionales en résultat dans l’agrégat coût du risque. La clause de retour à meilleur fortune fait naitre une provision dans les comptes de Crédit Agricole SA dont le montant est déterminé en fonction du caractère probable du remboursement.

 

1.3. Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2011 :

— Capitalisation de l’avance en compte courant pour 7 978 K€ sur la SAS Rue la Boétie.

— Perception du dividendes de la SAS RLB pour 7 909 K€ soit 0,50 par action.

— Dépréciation de la SACAM International pour 2 118 K€

— Recapitalisation de la SAS SMI pour 160 K€ et avance en compte courant pour 1 120 K€.

— Forte évolution des charges de fonctionnement essentiellement liée au projet NICE soit 13 934 K€ à fin décembre 2011 en évolution de 11,65% par rapport à 2010.(Projet informatique du Groupe dont l’objectif est le regroupement des Caisses Régionales vers un système d’information unique à horizon 2013) et à la prise en compte de la nouvelle taxe « systémique » pour 515 K€.

— Transfert des immeubles MDB loués en immeubles hors exploitation pour 1 759 K€ amenant le stock transféré à 3 217 K€. Par ailleurs, une dépréciation de 460 K€ a été constatée.

— Netting de 2 swaps structurés comptabilisés en position ouverte isolée pour 30 M€ et 25 M€, cette opération a généré un produit de 1 750 K€. en 2011.

— Mise en place de 2 Swaps de micro couverture des BMTN émis pour 55 M€ avec paiement d’une soulte de 16 025 K€ faisant l’objet d’un amortissement sur la durée de vie du swap.

— Poursuite des coopérations engagées en 2010 entre les Caisses Régionales Sud Méditerranée, de la Corse et de la Réunion sur les activités Expert Crédits, garanties, Titres Épargne Prédica (CR Sud Méd.) et Gestion des habilitations, sécurité du système d’information (CR de la Corse). En complément des activités Comptabilité et évènement prêts, Administration Bale II et expert crédits (CR Sud Méditerranée), Services internationaux (CR de la Réunion), Gestion de la sécurité du SI et des habilitations (CR de la Corse) ;

Année 2011 encore marquée par la forte progression des créances douteuses et litigieuses soit 257,9 M€ au 31 décembre 2011, en évolution de 7,5% par rapport à décembre 2010. A noter, la convergence CDL comptable à la notion de défaut Bâlois intervenue au cours du 4ème trimestre 2011 a engendré une hausse de l’assiette des CDL de 3,1 M€.

En conséquence, la Caisse Régionale a été amenée à constituer des provisions pour couvrir ces risques, mais également à déprécier ses biens saisis en particulier au niveau de la succursale en Catalogne du Sud.

Au total le coût du risque s’élève à 37,7 M€ sur l’exercice 2011 en évolution de 27,5% par rapport à décembre 2011. Suite à la demande de l’ACP, les paramètres des modèles de mesure sur la banque de détail ont été revus à la hausse, la Caisse Régionale a bien appliqué le nouveau modèle de calcul relatif aux provisions collectives.

En avril 2011, la Caisse régionale a reçu la rectification définitive suite au contrôle fiscal initié en 2010. Ainsi, une provision totale de 1 293 K€ a été constituée, soit 526 K€ en 2010 et 767 K€ sur le premier semestre 2011. De plus une amende relative au contrôle sur l’Épargne réglementée a été comptabilisée pour 189 K€ en 2011.

Suite à l’entrée dans le régime fiscal de groupe en 2010, la Caisse Régionale a enregistré un produit de 684 K€ en 2011, il s’élevait à 586 K€ au 31 décembre 2010.

Suite à la mise en place des garanties Switch (décrite en annexe 1.3 page 11), la Caisse Régionale a remboursé environ 75% des titres subordonnées soit 20,1 M€ et 37 M€ relatif à l’avance en compte courant sur la SAS Rue La Boétie En contrepartie, un dépôt de garantie a été constitué à CASA pour un montant de 68 M€. De plus, un engagement de hors bilan a été enregistré dans les comptes de la Caisse Régionale pour 201 M€.

Pour des besoins de liquidité, la Caisse Régionale a donné à CASA un accord de refinancement pour 100 M€.

 

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

 

Les états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole SA, agissant en tant qu'Organe Central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

La présentation des états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement 91-01 du Comité de la réglementation bancaire (CRB), modifié par le règlement 2000-03 du Comité de la réglementation comptable (CRC), relatif à l’établissement et à la publication des comptes individuels annuels des entreprises relevant du Comité de la réglementation bancaire et Financière (CRBF) lui-même modifié notamment en 2010 par le règlement ANC N° 2010-08 du 07 octobre 2010 relatif à la publication des comptes individuels des établissements de crédit.

L’année 2011, n’a pas donné lieu à des changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent.

 

2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement CRC 2002-03 modifié du 12 décembre 2002.

Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours :

— les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ;

— les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ;

— les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle.

Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle).

Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale.

En application du règlement CRC 2009-03 les commissions reçues et les coûts marginaux de transaction supportés sont désormais étalés sur la durée de vie effective du crédit et sont donc intégrés à l’encours de crédit concerné.

Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les engagements par signature comptabilisés au hors bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds.

L‘application du règlement CRC n°2002-03 modifié relatif au traitement comptable du risque de crédit conduit Crédit Agricole SA à comptabiliser les créances présentant un risque d’impayé conformément aux règles suivantes. L’utilisation des systèmes de notation externes et/ou internes contribue à permettre d’apprécier l’existence d’un risque de crédit.

 

Créances restructurées . — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.), afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

Par conséquent, sont exclues des créances restructurées :

— les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité ;

— les créances dont le tableau d’amortissement théorique est modifié du fait de l’application d’une option ou clause contractuelle prévue initialement au contrat (exemple : pause et report d’échéance).

Le montant des créances restructurées en capital détenues par la Caisse régionale Sud méditerranée s’élève à 30 779 milliers d’euros au 31 décembre 2011 contre 33 038 milliers d’euros au 31 décembre 2010.

En 2011, le montant des décotes calculées par la chaîne informatique est de -20 K€ portant le stock à 642 K€.

 

Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

— il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits) ;

— la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

— il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Pour les découverts, l’ancienneté de l’impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l’établissement ou qu’il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l’établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu’il a tiré des montants sans autorisation de découvert.

Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l’établissement peut décompter l’ancienneté de l’impayé lorsque le découvert a fait l’objet de la part de l’établissement d’une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

— Créances douteuses non compromises : Ces sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

— Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Pour les créances douteuses l’enregistrement des intérêts se poursuit tant que la créance est considérée comme douteuse non compromise, il est arrêté lorsque la créance devient compromise.

 

Dépréciations au titre du risque de crédit avéré. — Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l’actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Traitement comptable des décotes et dépréciations. — La décote constatée lors d’une restructuration de créance ou la dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque. Pour les créances restructurées inscrites en encours sains, cette décote est réintégrée sur la durée de vie dans la marge d’intérêt. Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation et à l’amortissement de la décote du fait du passage du temps étant inscrites dans la marge d’intérêt.

 

Dépréciation au titre du risque de crédit non affecté individuellement. — Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté au passif de son bilan des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, tels que les provisions sectorielles ou des provisions calculées à partir des modèles Bâle II. Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non recouvrement partiel, sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement.

Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non recouvrement partiel et portent sur le marché espagnol.

 

Risques-pays. — Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par l’Autorité de Contrôle Prudentiel, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays ». (Note de la Commission Bancaire du 24 décembre 1998).

Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d’origine.

 

Passage en perte. — L'appréciation du délai de passage en perte est basée sur le jugement d’expert, la Caisse Régionale Sud Méditerranée le détermine avec sa Direction des Risques, en fonction de la connaissance qu’elle a de son activité.

 

2.2. Portefeuille-Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement CRB 90-01 modifié notamment par les règlements CRC 2005-01, 2008-07 et 2008-17 ainsi que par le règlement CRC 2002-03 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe.

Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable.

Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

Titres de placement . — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais inclus.

 

Obligations et autres titres à revenu fixe :. — Ces titres sont enregistrés pour leur prix d’acquisition coupon couru à l’achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre.

Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

 

Actions et autres titres à revenu variable. — Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat frais d'acquisition inclus.

Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique : « Revenus des titres à revenu variable ».

Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique.

A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d’acquisition et la valeur de marché. Ainsi lorsque la valeur d’inventaire d'une ligne ou d’un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins-value latente sans compensation avec les plus-values constatées sur les autres catégories de titres. Les gains, provenant des couvertures, au sens de l’article 4 du règlement 88-02 du CRB, prenant la forme d’achats ou de ventes d’instruments financiers à terme, sont pris en compte pour le calcul des dépréciations. Les plus-values potentielles ne sont pas enregistrées.

En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres :

— s’il s’agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’informations particulières sur la situation financière de l’émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ;

— s’il s’agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2. Créances et engagements par signature – Dépréciation au titre du risque de crédit avéré).

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins-values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat.

 

Titres d'investissement. — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance.

Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d’acquisition et coupons.

La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre.

Il n’est pas constitué de dépréciation des titres d’investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l’émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du règlement CRC 2002-03 sur le risque de crédit ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ».

En cas de cession de titres d’investissement, ou de transfert dans une autre catégorie de titres, pour un montant significatif, l’établissement n’est plus autorisé, pendant l’exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d’investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément au règlement CRC 2005-01, hors exceptions prévues par ce texte et par le CRC 2008-17.

 

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu’elle permet d’exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d’en assurer le contrôle.

— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d’acquisition frais inclus.

A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d’utilité.

Celle-ci représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir, compte tenu de ses objectifs de détention.

L’estimation de la valeur d’utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l’entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre.

Lorsque la valeur d’utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l’objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes.

Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ».

 

Prix de marché. — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

— les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent ;

— si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres, lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

Dates d’enregistrement. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement livraison. Les autres titres, quel que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Reclassement de titres. — Conformément au règlement CRC 2008-17 du 10 décembre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements de titres suivants :

— du portefeuille de transaction vers le portefeuille de d’investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l’établissement a l’intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance ;

— du portefeuille de placement vers le portefeuille d’investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré, en 2011, de reclassement au titre du règlement CRC 2008-17.

 

2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

En application du règlement CRC 2004-06, le coût d’acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d’achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l’acquisition pour la mise en état d’utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ».

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition.

Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’achèvement.

A l'exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

 

Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante.

 

2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes :

— dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit ;

— comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole,

— comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celle‑ci inclut notamment la clientèle financière).

Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables, emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ».

Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés ; la charge correspondante est inscrite dans la rubrique : « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes :

— soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10% du prix d'émission ;

— soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10% du prix d'émission.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique également la méthode d’étalement des frais d’emprunts dans ses comptes individuels.

Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ».

 

2.6. Provisions. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement du Comité de la réglementation comptable n°2000-06 sur les passifs concernant la comptabilisation et l’évaluation des provisions entrant dans le champ d’application de ce règlement.

Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers.

Les provisions incluent également les risques-pays. L’ensemble de ces risques fait l’objet d’un examen trimestriel.

Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d’opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement.

La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 modifié relatifs aux fonds propres, ces fonds sont constitués par la Caisse Régionale Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire.

Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice.

 

2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions des règlements CRB 88-02 et 90-15 modifiés et de l’instruction 94-04 modifiée de la Commission Bancaire.

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie :

— Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable.

Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole SA sont inscrits prorata temporis dans la rubrique : « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés.

— Opérations de marché : Les instruments négociés sur un marché organisé ou assimilé ou de gré à gré ou inclus dans un portefeuille de transaction - au sens du règlement CRB 90-15 modifié - sont évalués par référence à leur valeur de marché à la date de clôture.

Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s’il existe un marché actif, ou à l’aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l’absence de marché actif.

Pour les instruments négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

Les pertes ou profits relatifs à des instruments négociés sur des marchés peu liquides, dits de gré à gré, ou constituant des positions ouvertes isolées sont enregistrés dans les résultats au dénouement des contrats ou prorata temporis selon la nature de l'instrument. En date d'arrêté, les pertes latentes éventuelles font l'objet d'une provision.

Les gains et pertes ainsi que les mouvements de provisions relatifs à ces opérations de marché sont portés au compte de résultat sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de négociation ».

— Opérations complexes : Une opération complexe se définit comme une combinaison synthétique d’instruments (de types, natures et modes d’évaluation identiques ou différents) comptabilisée en un seul lot ou comme une opération dont la comptabilisation ne relève pas d’une réglementation explicite et qui implique, de la part de l’établissement, un choix de principe.

 

2.9. Opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan, libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction; les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.

Les dotations aux succursales, les immobilisations des implantations à l'étranger, les titres de placement, d'investissement et de participation en devises achetés contre euros sont convertis en euros au cours du jour de la transaction. Seul l'effet de change constaté sur les titres de placement est enregistré en compte de résultat.

Une provision peut cependant être constituée lorsque l’on constate une dépréciation durable du cours de change relatif aux participations de la Caisse Régionale Sud Méditerranée à l’étranger.

A chaque arrêté, les opérations de change à terme sont évaluées au cours à terme restant à courir de la devise concernée. Les gains ou les pertes constatés sont portés au compte de résultat sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de négociation – Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés ».

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF 89.01, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multi-devises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Le montant global de la position de change opérationnelle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s'établit à 9 K€.

 

2.10. Intégration de succursales à l’étranger. — Les succursales tiennent des comptabilités autonomes conformes aux règles comptables en vigueur dans les pays où elles sont implantées.

Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat des succursales sont retraités selon les règles comptables françaises, convertis en euros et intégrés à la comptabilité de leur siège après élimination des opérations réciproques.

Les règles de conversion en euros sont les suivantes :

— les postes de bilan autres que les dotations sont convertis au cours de clôture ;

— les dotations sont converties au cours de clôture ;

— les charges et les produits sont convertis au cours moyen de clôture.

Les gains ou pertes pouvant résulter de cette conversion sont enregistrés au bilan dans la rubrique « Comptes de régularisation ».

 

2.11. Engagements hors-bilan . — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus.

Le cas échéant, les engagements donnés font l’objet d’une provision lorsqu’il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Le hors bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie.

Ces éléments sont toutefois détaillés dans l’annexe, aux notes 25 et 26.

 

2.12. Participation des salariés aux fruits de l’expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l’expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né.

L’intéressement est couvert par l’accord du 16 juin 2011.

La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ».

 

2.13. Avantages au personnel postérieurs à l’emploi. :

— Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies : *La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la recommandation n° 2003-R.01 du Conseil national de la comptabilité du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Les écarts actuariels étant passés immédiatement en résultat, le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation ;

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Dans la mesure où la réforme (loi 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites) ne modifie pas les accords de branche existants mais simplement les hypothèses actuarielles d’âge de départ en retraite, elle est analysée comme une mise à jour d’hypothèses actuarielles et non comme une modification de régime. A ce titre, l’impact de la réforme doit être enregistré comme les autres écarts actuariels, intégralement en résultat.

— Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « frais de personnel ».

 

2.14. Stocks-options et souscription d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne entreprise :

— Souscription d’actions dans le cadre du plan d’épargne entreprise : Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne entreprise, avec une décote maximum de 20%, ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevées d’une période d’incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d’actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale) . — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3%.

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a signé avec Crédit Agricole SA une convention d’intégration fiscale. Aux termes des accords conclus, chacune des sociétés intégrées constate dans ses comptes la dette d’impôt dont elle aurait été redevable en l’absence d’intégration fiscale.

 

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit. – Analyse par durée residuelle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

≤ 3 mois

>3 mois ≤1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

    A vue

3 814

 

 

 

3 814

 

3 814

2 959

    A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Prêts subordonnés

 

 

 

199

199

2

201

395

        Total

3 814

0

0

199

4 013

2

4 015

3 354

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

4 015

3 354

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

32 320

 

 

 

32 320

 

32 320

25 048

Comptes et avances à terme

30 581

3 943

29 831

96 064

160 419

3 507

163 926

73 938

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

13 500

13 500

8

13 508

13 519

Prêts subordonnés

 

 

 

 

0

 

0

 

        Total

62 901

3 943

29 831

109 564

206 238

3 515

209 753

112 506

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

209 753

112 506

        Total

 

 

 

 

 

 

213 768

115 860

 

 

Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 13 700 K€

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 24 184 K€

Parmi les créances sur les établissements de crédit aucune n’est éligible au refinancement de la banque centrale.

Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole SA dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

 

Note 4.. – Opérations avec la clientèle.

 

4.1. Opérations avec la clientèle – Analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

≤3 mois

>3 mois ≤1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Créances commerciales

15 949

299

 

 

16 248

1 041

17 289

19 111

Autres concours à la clientèle

306 631

457 814

1 339 614

2 467 114

4 571 173

38 178

4 609 351

4 613 607

Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Comptes ordinaires débiteurs

33 775

 

 

 

33 775

219

33 994

39 119

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-147 918

-127 312

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

4 512 716

4 544 525

 

Commentaires :

Les prêts subordonnés et participatifs consentis à la clientèle s'élèvent à 6 897 K€.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 1 015 K€.

Parmi les créances sur la clientèle 738 740 milliers d’euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2011 contre 649,4 millions d’euros au 31 décembre 2010.

Les encours restructurés au 31 décembre 2011 s’élèvent à 30 779 milliers d’euros contre 33 038 milliers d’euros au 31 décembre 2010.

 

4.2. Opérations avec la clientèle – Analyse par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

France (y compris DOM-TOM)

4 180 067

4 152 173

Espagne

441 129

481 676

        Total en principal

4 621 196

4 633 849

Créances rattachées

39 438

37 988

Dépréciations

-147 918

-127 312

Valeur nette au bilan

4 512 716

4 544 525

 

 

4.3. Opérations avec la clientèle – Encours douteux et dépréciations par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (y compris DOM-TOM)

4 219 505

173 423

106 244

114 643

79 558

4 186 030

151 939

91 328

98 890

70 550

Espagne

441 129

84 518

42 651

33 275

22 184

485 807

87 952

46 473

28 422

19 500

    Total

4 660 634

257 941

148 895

147 918

101 742

4 671 837

239 891

137 801

127 312

90 050

 

 

4.4. Opérations avec la clientèle – Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

1 930 696

95 910

49 217

44 507

27 791

1 885 653

91 108

48 037

35 542

25 230

Agriculteurs

361 891

16 447

12 097

9 854

7 588

351 539

14 685

9 935

8 954

6 355

Autres professionnels

1 156 989

87 436

53 965

50 863

36 394

1 249 219

77 632

43 389

41 019

27 866

Société financières

41 640

691

571

539

456

64 296

603

118

355

118

Entreprises

484 116

42 649

25 725

30 777

22 285

483 407

44 748

25 276

31 349

20 457

Collectivités publiques

634 934

11 207

3 742

7 866

3 739

602 459

3 585

3 585

3 185

3 185

Autres agents économiques

50 368

3 601

3 578

3 512

3 489

35 265

7 531

7 462

6 908

6 839

    Total

4 660 634

257 941

148 895

147 918

101 742

4 671 837

239 892

137 802

127 312

90 050

 

 

Note 5. – Titres de transaction, de placement ; d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Transaction

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investissement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

 

0

1 372

    Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

    Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

Dépréciations

 

 

 

 

0

 

Valeur nette au bilan

0

0

0

0

0

1 372

Obligations et autres titres à revenu fixe (1) :

 

 

 

 

 

 

Emis par organismes publics

 

 

 

 

0

 

Autres émetteurs

 

7 204

 

56 528

63 732

57 069

    Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

    Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

32

 

1 407

1 439

1 202

Dépréciations

 

-1 785

 

-3 301

-5 086

-4 363

Valeur nette au bilan

0

5 452

0

54 634

60 086

53 907

Actions et autres titres à revenu variable

 

4 049

 

 

4 049

4 123

Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

Dépréciations

 

 

 

 

0

-3

Valeur nette au bilan

0

4 049

0

0

4 049

4 120

        Total

0

9 501

0

54 634

64 135

59 399

Valeurs estimatives

0

9 611

0

49 459

59 070

59 186

 

 

Valeurs estimatives :La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 143 K€ au 31/12/2011, contre 112 K€ au 31/12/2010.

La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

Il n’y a pas de plus-values latentes sur les titres de l’activité de portefeuille.

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d’investissement s'élève à 591 K€ au 31/12/2011, contre 1 275 K€ au 31/12/2010.

 

5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Administration et banques centrales (y compris Etats)

 

 

Établissements de crédit

55 709

50 871

Sociétés financières

3 944

3 958

Collectivités locales

 

1 401

Entreprises, assurances et autres clientèles

4 482

3 169

        Total en principal

64 135

59 399

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeur nette au bilan

64 135

59 399

 

 

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

63 732

0

4 049

67 781

58 440

0

4 123

62 563

Dont titres cotés

45 528

 

 

 

45 426

 

 

 

Dont titres non cotés (1)

18 204

 

4 049

22 253

13 014

 

4 123

17 137

Créances rattachées

1 439

 

 

1 439

1 202

 

 

1 202

Dépréciations

5 086

 

 

5 086

4 363

 

3

4 366

Valeur nette au bilan

60 086

0

4 049

64 135

55 279

0

4 120

59 399

(1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

— OPCVM français 3 944 milliers d’euros,

— dont OPCVM français de capitalisation 3 943 milliers d’euros,

— OPCVM étrangers 107 milliers d’euros,

— dont OPCVM étrangers de capitalisation 107 milliers d’euros.

 

 

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2011:

 

(En milliers d'euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

3 944

4 085

OPCVM obligataires

 

 

OPCVM actions

105

107

OPCVM autres

 

 

        Total

4 049

4 192

 

 

5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle.

  

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

≤3 mois

>3 mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

 

2 699

20 329

40 704

63 732

1 439

65 171

59 642

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-5 086

4 363

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

63 732

1 439

60 085

55 279

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur brute

 

 

 

 

0

 

0

 

Dépréciations

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

0

0

0

0

  

 

Note 6. – Titres de participation et de filiales.

 

Informations financières

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital  

Quote-part de capital détenue (en pourcentage) 

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société  

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé  

 

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos)  

 

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

Filiales et participations

Brutes

Nettes

(En milliers d’euros

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    SCI Château de Castelnou

EUR

850

1

98,61%

1 202

780

229

 

15

25

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    SAS Rue la Boetie

EUR

2 394 380

14 365 563

1,32%

227 662

227 662

12 654

 

966 668

568 510

7 909

    SAS Sacam Développement

EUR

730 622

22 242

1,35%

9 883

9 883

4 622

 

38 563

11 653

286

    Sacam Internationnal

EUR

807 036

-443

1,32%

11 893

8 349

 

 

17 327

-28 179

 

    SAS Sacam Fireca

EUR

22 510

869

1,18%

529

275

 

 

-167

-177

 

    SNC CA Titres

EUR

15 245

25 357

0,62%

362

362

 

 

114 992

5 063

 

    SAS Sofilaro

EUR

8 940

477

14,32%

1 281

1 281

3

 

 

-367

48

    Sacam Avenir

EUR

88 436

-2

1,06%

1 208

1 208

 

 

3

-19

 

    SAS Sacam Participations

EUR

62 558

2 606

1,63%

1 184

1 184

 

 

2 386

1 894

 

    FIA-NET Europe

EUR

48 815

 

1,16%

545

545

 

 

 

 

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure à 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parts dans les entreprises liées dans les établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Participations dans des établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations

 

 

 

 

2 102

1 729

 

 

 

 

17

    Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

257 851

253 258

17 508

 

1 139 787

558 403

8 260

 

 

6.1. Valeur estimative des titres de participation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

Titres non cotés

1 202

707

1 202

708

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

229

229

229

229

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

-495

 

-494

 

Valeur nette au bilan

936

936

937

937

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

Titres non cotés

256 649

259 602

247 642

373 920

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

19 164

19 164

55 412

55 412

Créances rattachées

160

160

172

172

Dépréciations

-4 098

 

-1 923

 

    Sous-total titres de participation

271 875

278 926

301 304

429 504

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres non cotés

1 349

1 349

1 349

1 349

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

    Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

1 349

1 349

1 349

Valeur nette au bilan

273 224

280 275

302 653

430 853

    Total des titres de participation

274 160

281 212

303 590

431 790

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Total valeurs brutes

 

 

 

 

Titres non cotés

257 851

 

248 844

 

Titres cotés

 

 

 

 

    Total

257 851

 

248 844

 

 

 

Les valeurs estimatives sont déterminées d’après la valeur d’utilité des titres ; celle-ci n’est pas nécessairement la valeur de marché. Concernant, la SAS Rue la Boétie, la valeur d’utilité est de 21,45 € au 31/12/2011.

 

 

Note 7. – Variation de l’actif immobilise .

 

Immobilisations financières :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2011

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2011

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

1 202

 

 

 

1 202

Avances consolidables

229

 

 

 

229

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

-494

-1

 

 

-495

Valeur nette au bilan

937

-1

 

 

937

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

 

Titres de participation

301 304

21 191

50 688

 

271 875

Valeurs brutes

301 809

17 048

44 932

 

273 925

Avances consolidables

1 245

1 125

483

 

1 887

Créances rattachées

172

5 227

5 239

 

160

Dépréciations

-1 923

-2 210

34

 

-4 098

    Sous-total titres de participation

301 304

21 191

50 688

 

271 875

Autres titres détenus à long terme

1 349

 

 

 

1 349

Valeurs brutes

1 349

 

 

 

1 349

Avances consolidables

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

    Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

 

 

 

1 349

Valeur nette au bilan

302 653

21 191

50 688

 

273 224

    Total

303 590

21 190

50 688

 

274 160

 

 

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2011

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2011

Immobilisations corporelles :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

119 089

7 693

1 629

 

125 153

    Amortissements et dépréciations

-76 662

 

 

 

-76 662

    Valeur nette au bilan

42 427

7 693

1 629

0

48 491

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

10 649

210

56

 

10 803

    Amortissements et dépréciations

-9 912

-3

 

 

-9 914

    Valeur nette au bilan

738

208

56

0

889

    Total

43 165

7 901

1 685

0

49 380

 

 

Note 8. – Comptes de régularisation et actifs divers.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Autres actifs (1)

 

 

Instruments conditionnels achetés

 

 

Comptes de stock et emplois divers

36 696

23 688

Débiteurs divers

34 362

37 677

Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

Comptes de règlement

81

66

Valeur nette au bilan

71 139

61 431

Comptes de régularisation

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

42 275

46 429

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

1

 

Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

Charges constatées d'avance

16 238

561

Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

12 913

12 947

Autres produits à recevoir

20 955

19 214

Charges à répartir

165

191

Primes d'émission et de remboursement sur emprunts obligataires

 

 

Autres comptes de régularisation

225

143

Valeur nette au bilan

92 770

79 485

    Total

163 909

140 916

 

 

Note 9. – Dépréciations inscrites en deduction de l’actif.

 

(En milliers d'euros)

Solde au 01/01/2011

Dotations

Reprises et utilisations

Désactualisation

Autres mouvements

Solde au 31/12/2011

Sur opérations interbancaires et assimilées

 

 

 

 

 

0

Sur créances clientèle

127 312

62 617

-40 188

-1 823

 

147 918

Sur opérations sur titres

4 367

743

-23

 

 

5 086

Sur valeurs immobilisées

2 417

2 677

-34

 

207

5 267

Sur autres actifs

10 647

5 581

-2 062

 

 

14 165

    Total

144 742

71 617

-42 307

-1 823

207

172 436

 

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit — Analyse par durée residuelle.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

≤ 3 mois

>3 mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

 

 

 

 

 

 

 

 

    A vue

90

 

 

 

90

 

90

396

    A terme

 

 

 

199

199

1

200

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

90

0

0

199

289

1

290

396

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

6 861

 

 

 

6 861

 

6 861

6 250

Comptes et avances à terme

474 919

884 617

819 784

756 476

2 935 796

9 667

2 945 463

2 881 197

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

481 780

884 617

819 784

756 476

2 942 657

9 667

2 952 324

2 887 447

    Total

481 870

884 617

819 784

756 675

2 942 946

9 668

2 952 614

2 887 843

 

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole SA et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale.

 

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle.

 

11.1. Comptes créditeurs de la clientèle – Analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

≤ 3 mois

>3 mois ≤1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Comptes ordinaires créditeurs

992 177

 

 

 

992 177

20

992 197

1 047 870

Comptes d'épargne à régime spécial :

9 302

0

0

0

9 302

 

9 302

9 692

    A vue

9 302

 

 

 

9 302

 

9 302

9 692

    A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes envers la clientèle :

46 422

162 956

149 072

51 361

409 811

6 933

416 744

367 817

    A vue

106

 

 

 

106

 

106

135

    A terme

46 316

162 956

149 072

51 361

409 705

6 933

416 638

367 682

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

1 047 901

162 956

149 072

51 361

1 411 289

6 953

1 418 242

1 425 380

 

 

11. 2. Comptes créditeurs de la clientèle – Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Particuliers

694 307

703 967

Agriculteurs

85 739

87 109

Autres professionnels

97 323

94 128

Sociétés financières

6 993

6 631

Entreprises

438 873

444 080

Collectivités publiques

19 311

11 184

Autres agents économiques

75 697

78 281

    Total en principal

1 418 242

1 425 380

Dettes rattachées

 

 

Valeur au bilan

1 418 242

1 425 380

 

 

Note 12. – Dettes representées par un titre.

 

12.1. Dettes représentées par un titre – Analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

≤ 3 mois

>3 mois ≤ 1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Bons de caisse

2 119

36

 

 

2 155

11

2 166

1 546

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres de créances négociables (1)

4 860

950

 

150 000

155 810

310

156 120

152 664

Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

6 979

986

0

150 000

157 965

321

158 286

154 210

 

 

Note 13. – Comptes de régularisation et passifs divers.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Autres passifs (1)

 

 

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

Instruments conditionnels vendus

3

5

Comptes de règlement et de négociation

107

194

Créditeurs divers

20 112

34 301

Versements restant à effectuer sur titres

602

896

Valeur au bilan

20 823

35 396

Comptes de régularisation

 

 

Comptes d'encaissement et de transfert

7 663

16 849

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits constatés d'avance

19 469

16 581

Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

12 481

10 704

Autres charges à payer

19 956

21 568

Autres comptes de régularisation

876

1 085

Valeur au bilan

60 445

66 786

    Total

81 268

102 182

(1) Les montants incluent les dettes rattachées.

 

 

Note 14. – Provisions.

 

(En milliers d'euro)

Solde au 01/01/2011

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au 31/12/2011

Provisions pour engagements de retraite et assimilés

 

 

 

 

 

0

Provisions pour autres engagements sociaux

490

 

 

-19

 

471

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

854

381

 

-150

 

1 085

Provisions pour litiges fiscaux (1)

620

767

-1 293

 

 

94

Provisions pour autres litiges

50

49

-25

 

 

74

Provisions pour risques de crédit (2)

45 485

6 679

 

-4 903

-1

47 260

Provisions pour impôts (3)

583

 

-155

 

 

428

Provisions pour risques opérationnels

3 269

664

-18

-1

 

3 914

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (4)

2 941

230

 

-619

 

2 552

Autres provisions (6)

2 592

2 307

-762

-1 211

 

2 926

Valeur au bilan

56 884

11 077

-2 253

-6 903

-1

58 804

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II.

(3) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale.

(4) Voir note 16 ci-après.

(5) Cette provision est destinée à couvrir les risques d’insuffisance de conception, d’organisation et de mise en œuvre des procédures d’enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d’information de l’ensemble des événements relatifs aux opérations de l’établissement.

(6) Y compris les provisions pour risques sur GIE d’investissement

 

 

Note 15. – Epargne logement.

 

Une provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision mise en œuvre par le Groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec le règlement CRC n° 2007-01 du 14 décembre 2007 sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement.

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

313 766

263 747

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

192 508

217 136

Ancienneté de plus de 10 ans

129 189

149 136

    Total plans d'épargne-logement

635 463

630 019

    Total comptes épargne-logement

88 161

92 054

    Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

723 624

722 073

 

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état.

 

Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Plans d'épargne-logement

4 960

6 610

Comptes épargne-logement

13 430

15 813

    Total encours de crédit en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

18 390

22 423

 

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

 

 

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

357

295

Ancienneté de plus de 10 ans

1 786

2 287

    Total plans d'épargne-logement

2 143

2 582

    Total comptes épargne-logement

409

359

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 552

2 941

 

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

En milliers d'euros

01/01/2011

Dotations

Reprises

31/12/2011

Plans d'épargne-logement :

2 582

121

560

2 143

Comptes épargne-logement :

359

109

59

409

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 941

230

619

2 552

 

 

Note 16. – Engagements sociaux : Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies.

 

Définitions : Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

Les régimes à prestations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

Variations de la dette actuarielle :

 

Variation dette actuarielle (en milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dette actuarielle au 31/12/N-1

10 659

9 655

Coûts des services rendus sur la période

853

770

Coût financier

415

492

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-447

-786

(Gains)/pertes actuariels(*)

50

528

Dette actuarielle au 31/12/n

11 530

10 659

 

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

Détail de la charge comptabilisée au résultat (en milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Coût des services rendus

853

770

Coût financier

415

492

Rendement attendu des actifs

-336

-322

Amortissement du coût des services passés

16

19

Gains/(pertes) actuariels net

 

 

Amortissement des gains/pertes générés par modifications, réductions et liquidations de régimes

 

 

Gains/(pertes) du(e)s au changement de limitation d'actif

 

 

Autres gains ou pertes

-466

711

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

482

1 670

 

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

Variation de juste valeur des actifs et des droits à remboursement (en milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/N-1

8 746

8 633

Rendement attendu des actifs

336

322

Gains/(pertes) actuariels

517

-183

Cotisations payées par l'employeur

2 212

760

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations payées par le fonds

-447

-786

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/n

11 364

8 746

 

 

Composition des actifs des régimes : Les actifs de régimes concernant les IFC ainsi que les régimes de retraites sont composés de :

— 84,50% d’obligations ;

— 8,80% d’actions ;

— 6,80% d’autres produits.

 

Rendement des actifs des régimes. — Le rendement attendu des actifs de régime concernant les IFC est de 4,50% et de 3,60% pour les régimes de retraites.

 

Hypothèses actuarielles utilisées. — Le taux d’actualisation utilisé est de :

— 5,37% pour les indemnités de fin de carrière ;

— 3,80% pour les régimes de retraite.

 

Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Valeur au bilan

7 557

7 557

 

 

Note 18. – Dettes subordonnées : Analyse par durée residuelle.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

≤ 3 mois

>3 mois ≤1an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total

Total

Dettes subordonnées à terme

0

0

0

0

0

0

0

4 737

    Euro

 

 

 

 

0

 

0

4 737

    Dollar

 

 

 

 

0

 

0

 

    Autres

 

 

 

 

0

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

0

0

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

 

15 000

15 000

476

15 476

15 482

Dettes subordonnées à durée indéterminée (1)

 

 

 

0

0

0

0

0

    Euro

 

 

 

 

0

 

0

 

    Dollar

 

 

 

 

0

 

0

 

    Autres

 

 

 

 

0

 

 

 

C/C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

2 034

2 034

81

2 115

2 111

Dépots de Garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

0

0

 

Valeur au bilan

0

0

0

17 034

17 034

557

17 591

22 330

 

 

Commentaires : Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 1 047 milliers d’euros au 31 décembre 2011 contre 1640 milliers d’euros au 31 décembre 2010.

 

Note 19. — Variation des capitaux propres (avant repartition).

 

Variation des capitaux propres :

 

(En milliers d'euros)

Capitaux propres

Capital (1)

Réserve légale

Réserve statutaire

Primes, autres réserves et report à nouveau (2)

Ecarts conversion/réevaluation

Provisions réglementées et subventions d'investissement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 décembre 2009

28 057

240 374

22 884

210 775

 

 

43 404

545 494

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2009

 

 

 

 

 

 

3 886

3 886

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2009

 

29 638

 

9 880

 

 

-39 518

 

Report à nouveau débiteur

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat de l’exercice 2010

 

 

 

 

 

 

39 650

39 650

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

Solde au 31 décembre 2010

28 057

270 012

22 884

220 655

 

 

39 650

581 258

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2010

 

 

 

 

 

 

3 605

-3 605

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

 

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2010

 

27 033

 

9 011

 

 

-36 045

 

Report à nouveau débiteur

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat de l’exercice 2011

 

 

 

 

 

 

28 609

28 609

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

Solde au 31 décembre 2011

28 057

297 045

22 884

229 666

 

 

28 609

606 261

(1) Dont 7 014 K€ de Certificat Coopératifs d’association souscrits par crédit Agricole SA

(2) Dont 59 035 K€ de primes d’émission et 70 590 K€ relatifs aux primes de fusion.

 

 

Note 20. – Composition des fonds propres.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Capitaux propres

606 261

581 258

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 591

22 330

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

    Total des fonds propres

631 409

611 145

 

 

Note 21. – Opérations effectuées en devises.

 

Contributions par devise au bilan :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

5 289 191

5 289 191

5 226 485

5 226 488

Autres devises de l’Union Européenne

144

144

67

66

Franc suisse

9 980

9 980

9 617

9 615

Dollar

1 223

1 223

1 475

1 475

Yen

 

 

 

 

Autres devises

85

85

 

 

Valeur brute

5 300 623

5 300 623

5 237 644

5 237 644

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

    Total

5 300 623

5 300 623

5 237 644

5 237 644

 

 

Note 22. – Opérations de change, emprunts et prets en devises.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

À recevoir

À livrer

À recevoir

À livrer

Opérations de change au comptant

0

0

0

0

    Devises

 

 

 

 

    Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

4 731

4 722

5 372

5 477

    Devises

2 473

2 473

2 667

2 667

    Euros

2 258

2 249

2 705

2 810

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

        Total

4 731

4 722

5 372

5 477

 

 

Note 23. – Opérations sur instruments financiers a terme.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total

Total

Opérations fermés

1 962 951

32 405

1 995 356

1 663 830

Opérations sur marchés organisés (1)

0

0

0

0

Contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

0

 

Contrats à terme de change

 

 

0

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

0

 

Autres contrats à terme

 

 

0

 

Opérations de gré à gré (1)

1 962 951

32 405

1 995 356

1 663 830

Swaps de taux d'intérêt

1 953 498

32 405

1 985 903

1 652 981

Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

0

 

Contrats à terme de change

9 453

 

9 453

10 849

FRA

 

 

0

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

0

 

Autres contrats à terme

 

 

0

 

Opérations conditionnelles

2 894

0

2 894

4 258

Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

Instruments de taux d'intérêt à terme

 

 

 

 

    Achetés

 

 

0

 

    Vendus

 

 

0

 

Instruments sur action et indices boursiers à terme

 

 

 

 

    Achetés

 

 

0

 

    Vendus

 

 

0

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

    Achetés

 

 

0

 

    Vendus

 

 

0

 

Opérations de gré à gré

2 894

0

2 894

4 258

Options de swap de taux

 

 

 

 

    Achetés

 

 

0

 

    Vendus

 

 

0

 

Instruments de taux d'intérêts à terme

 

 

 

 

    Achetés

 

 

0

 

    Vendus

 

 

0

 

Instruments de taux de change à terme

 

 

 

 

    Achetés

 

 

0

 

    Vendus

 

 

0

 

Instruments sur actions et indices boursiers à terme

 

 

 

 

    Achetés

 

 

0

 

    Vendus

 

 

0

 

Autres instruments à terme conditionnels

2 894

 

2 894

4 258

    Achetés

1 447

 

1 447

2 129

    Vendus

1 447

 

1 447

2 129

Dérivés de crédit

0

0

0

0

Contrats de dérivés de crédit

 

 

0

 

    Achetés

 

 

0

 

    Vendus

 

 

0

 

        Total

1 965 845

32 405

1 998 250

1 668 088

(1) Les montants indiqués sur les opérations fermes doivent correspondre au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats).

 

 

23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : Encours notionnels par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2011

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de change

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

0

0

0

 

 

 

 

 

 

FRA

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

375 000

831 685

779 218

375 000

831 685

779 218

 

 

 

Caps, floors, collars

0

2 894

0

 

2 894

 

 

 

 

Forward taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

    Sous total

375 000

834 579

779 218

375 000

834 579

779 218

0

0

0

Swaps de devises

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

9 453

0

0

9 453

 

 

 

 

 

    Sous total

9 453

0

0

9 453

0

0

0

0

0

    Total

384 453

834 579

779 218

384 453

834 579

779 218

0

0

0

 

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2010

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤1an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de change

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

0

0

0

 

 

 

 

 

 

FRA

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

160 000

708 992

783 989

160 000

708 992

783 989

 

 

 

Caps, floors, collars

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Forward taux

0

0

4 258

 

 

4 258

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

    Sous total

160 000

708 992

788 247

160 000

708 992

788 247

0

0

0

Swaps de devises

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations de change à terme

10 849

0

0

10 849

 

 

 

 

 

    Sous total

10 849

0

0

10 849

0

0

0

0

0

    Total

170 849

708 992

788 247

170 849

708 992

788 247

0

0

0

 

 

23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Total juste valeur

Encours notionnel

Total juste valeur

Encours notionnel

Futures

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

30 475

1 995 356

20 155

1 652 981

Forward taux

 

 

 

 

Caps, floors, collars

 

2 894

 

4 258

Dérivés sur actions, indices boursier et métaux précieux

 

 

 

 

    Sous total

30 475

1 998 250

20 155

1 657 239

Swaps de devises

 

 

 

 

Opérations de change à terme

 

9 453

 

10 849

    Sous total

 

9 453

 

10 849

    Total

30 475

2 007 703

20 155

1 668 088

 

 

23.3. Information sur les Swaps :

— Ventilation des contrats d’échange de taux d’intérêt :

 

(En milliers d'euros)

Position ouverte isolée

Micro-couverture

Macro-couverture

Swaps de transaction

Contrats d'échange de taux

32 405

94 498

1 859 000

 

Contrats assimilés (1)

 

 

 

 

(1) Il s’agit des contrats assimilés au sens de l’article 1er du règlement 90.15 du CRBF.

 

 

Note 24. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Engagements donnés

 

 

    Engagements de financement

593 426

518 939

        Engagements en faveur d'établissements de crédit

100 000

 

        Engagements en faveur de la clientèle

493 426

518 939

            Ouverture de crédits confirmés

405 158

410 186

                Ouverture de crédits documentaires

409

738

                Autres ouvertures de crédits confirmés

404 749

409 448

        Autres engagements en faveur de la clientèle

88 269

108 754

    Engagements de garantie

319 214

127 751

        Engagements d'ordre d'établissement de crédit

201 340

0

        Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

        Autres garanties

201 340

 

    Engagements d'ordre de la clientèle

117 874

127 751

        Cautions immobilières

10 900

10 800

        Garanties financières

76 300

86 527

        Autres garanties d'ordre de la clientèle

30 674

30 424

Engagements reçus

 

 

    Engagements de financement

350 152

350 152

        Engagements reçus d'établissements de crédit

350 152

350 152

        Engagements reçus de la clientèle

 

 

    Engagements de garantie

801 015

699 019

        Engagements reçus d'établissements de crédit

38 699

18 389

        Engagements reçus de la clientèle

762 316

544 028

    Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

140 337

136 602

    Autres garanties reçues

621 979

544 028

 

 

Les montants relatifs aux engagements des garanties Switch s’élèvent au 31 décembre 2011 à 201 340 K€.

 

Note 25. – Produits nets d’intérêts et revenus assimilés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 208

384

Sur opérations internes au Crédit Agricole

7 951

9 207

Sur opérations avec la clientèle

175 284

174 722

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

2 980

3 045

Produit net sur opérations de macro-couverture

1 009

936

Sur dettes représentées par un titre

2 863

2 392

Autres intérêts et produits assimilés

0

1 736

Intérêts et produits assimilés

191 295

192 422

Sur opérations avec les établissements de crédit

737

5

Sur opérations internes au Crédit Agricole

77 169

76 309

Sur opérations avec la clientèle

14 045

17 277

Charge nette sur opérations de macro-couverture

 

 

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Sur dettes représentées par un titre

7 248

7 151

Autres intérêts et charges assimilées

31

15

Intérêts et charges assimilées

99 230

100 757

    Total produits nets d'intérêt et revenus assimilés (1)

290 525

91 665

(1) Le montant des dettes subordonnées au 31 décembre 2011 est de 476 milliers d'euros, il était de 619 milliers d'euros au 31 décembre 2010.

 

 

Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d’opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques.

 

Note 26. – Revenus des titres.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Titres de placement

294

195

Livret développement durable

 

 

Titres d'investissement

2 687

2 851

Opérations diverses sur titres

1 009

936

Revenus des titres à revenus fixes

3 990

3 982

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme

13 590

13 902

Titres de placement et titres de l'activité de portefeuille

 

 

Opérations diverses sur titres

 

 

Revenus des titres à revenus variables

13 590

13 902

    Total des revenus sur titres

17 580

17 884

 

 

Note 27. – Produit net des commissions.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

467

-28

439

121

-26

95

Sur opérations internes au crédit agricole

13 791

-7 366

6 425

15 845

-8 527

7 318

Sur opérations avec la clientèle

18 120

-98

18 022

19 190

-75

19 115

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

8

 

8

8

 

8

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

 

 

0

 

 

0

Sur prestations de services financiers (1)

55 616

-6 557

49 059

57 965

-6 824

51 141

Provision pour risques sur commissions

259

-438

-179

906

-930

-24

    Total produit net des commissions

88 261

-14 487

73 774

94 035

-16 382

77 653

 

 

Note 28. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

1 700

-233

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

147

117

Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations

1 847

-116

 

 

Note 29. — Gains ou pertes sur operations des portefeuilles de placement et assimiles.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Titres de placement

 

 

Dotations aux dépréciations

-436

-232

Reprises de dépréciations

3

289

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-433

57

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

-1

-34

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

-1

-34

Solde des opérations sur titres de placement

-434

23

Titres de l'activité de portefeuille

 

 

Dotations aux dépréciations

 

 

Reprises de dépréciations

 

 

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

 

 

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des opérations sur titres del'activité de portefeuille

 

 

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

-434

23

 

 

Note 30. – Autres produits et charges d’exploitation bancaire.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Produits divers

147

106

Quote part des opérations faites en commun

 

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Produits accessoires

593

480

Reprises provisions

 

 

Autres produits d'exploitation bancaire

739

586

Charges diverses

714

965

Quote part des opérations faites en commun

300

22

Refacturation et transfert de charges

 

 

Dotations provisions

 

 

Autres charges d'exploitation bancaire

1 014

986

    Total autres produits et charges d'exploitation bancaire

-275

-400

 

 

Note 31. – Charges générales d’exploitation.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Frais de personnel

 

 

Salaires et traitements :

30 979

29 831

Charges sociales :

15 252

14 938

    Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies

 

 

Intéressement et participation

5 328

6 038

Impôts et taxes sur rémunérations

4 534

4 071

        Total des charges de personnel

56 093

54 878

Refacturation et transferts de charges de personnel

-1 769

-2 075

Frais de personnel nets

54 324

52 803

Frais administratifs

 

 

Impôts et taxes

4 210

3 348

Services extérieurs et autres frais administratifs

33 802

32 547

Autres frais administratifs

 

-226

        Total des charges administratives

38 012

35 669

Refacturation et transferts de charges administratives

-738

-530

Frais administratifs nets

37 274

35 139

Charges générales d'exploitation

91 598

87 942

 

 

Effectif moyen :

— Effectif par catégorie (Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) :

 

Catégories de personnel

31/12/2011

31/12/2010

Cadres

153

150

Non cadres

739

737

    Total

892

887

Dont :

 

 

    France

879

873

    Étranger

13

14

Dont : personnel mis à disposition

 

 

 

 

La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueurs dans l’institution.

Le montant global des rémunérations des organes d’administration et de direction s’élève à 1 281,3 K€.

 

 

Note 32. – Cout du risque.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dotations aux provisions et dépréciations

68 953

55 987

Dépréciations de créances douteuses

55 774

45 149

Autres provisions et dépréciations

13 179

10 838

Reprises de provisions et dépréciations

41 779

29 963

Reprises de dépréciations de créances douteuses (1)

34 519

21 191

Autres reprises de provisions et dépréciations (2)

7 260

8 772

Variation des provisions et dépréciations

27 174

26 024

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées

335

191

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (3)

10 577

3 763

Décote sur prêts restructurés

87

41

Récupérations sur créances amorties

-494

-834

Autres pertes

53

407

Coût du risque

37 731

29 593

(1) Dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses compromises :

Dont utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromises

(2) Dont 104 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif

(3) Dont 7 407 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises.

 

 

Note 33. — *Résultat net sur actifs immobilisés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Immobilisations financières

 

 

Dotations aux dépréciations

2 211

1 313

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

2 211

1 313

Reprises de dépréciations

34

43

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

34

43

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-2 177

-1 270

    Sur titres d'investissement

0

0

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-2 177

-1 270

Plus-values de cessions réalisées

0

0

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

 

 

Moins-values de cessions réalisées

-2

0

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-2

 

Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cessions

-2

0

    Sur titres d'investissement

0

0

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-2

0

Solde en perte ou en bénéfice

-2 179

-1 270

Immobilisations corporelles et incorporelles

 

 

Plus-values de cessions

3

163

Moins-values de cessions

94

10

Solde en perte ou en bénéfice

-91

153

Résultat net sur actifs immobilises

-2 270

-1 117

 

 

Note 34. – Charges et produits exceptionnels.

 

La caisse régionale n’a pas comptabilisé de charges et de produits exceptionnels sur l’exercice 2011.

 

 

Note 35. – Impôt sur les bénéfices.

 

Cet agrégat comprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l’exercice s’élève à 12 834 K€ dont 680 K€ de reprise nette de provision.

 

Intégration fiscale : La Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie à compter de l’exercice 2011, du groupe fiscal constitué par Crédit Agricole SA. A ce titre, elle a perçu un produit d’impôt résultant de la réallocation de l’économie d’IS liées au dividendes intragroupe pour 684 K€.

 

 

Note 36. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits)

 

36.1. Résultat courant par zone géographique :

— Au 31 décembre 2011 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

PNB

Charges d'exploi tation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploi tation

Résultat net sur actifs immo

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

172 032

-89 161

-6 951

75 920

-27 150

48 770

-2 269

46 501

Autres pays de l'UE

8 535

-2 904

-108

5 523

-10 581

-5 058

 

-5 058

Autres pays d’Europe

 

 

 

0

 

0

 

0

Amérique du Nord

 

 

 

0

 

0

 

0

Amérique Centrale et Latine

 

 

 

0

 

0

 

0

Afrique et Moyen-Orient

 

 

 

0

 

0

 

0

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

0

 

0

 

0

Japon

 

 

 

0

 

0

 

0

Résultat courant avant impôt

180 567

-92 065

-7 059

81 443

-37 731

43 712

-2 269

41 443

 

 

Au 31 décembre 2010 :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

PNB

Charges d'exploi tation

Dotation aux amortissements et dépréciations

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploi tation

Résultat net sur actifs immo

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

171 420

-85 822

-6 758

78 840

-18 831

60 009

-1 117

58 892

Autres pays de l'UE

11 307

-2 328

-48

8 931

-10 762

-1 832

 

-1 832

Autres pays d’Europe

 

 

 

0

 

0

 

0

Amérique du Nord

 

 

 

0

 

0

 

0

Amérique Centrale et Latine

 

 

 

0

 

0

 

0

Afrique et Moyen-Orient

 

 

 

0

 

0

 

0

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

0

 

0

 

0

Japon

 

 

 

0

 

0

 

0

Résultat courant avant impôt

182 726

-88 150

-6 806

87 770

-29 593

58 177

-1 117

57 060

 

 

Note 37. – Affectation des résultats.

 

Projet affectation du résultat au 31/12/2011 :

 

Résultat comptable à affecter

28 609 166,52 €

Distribué

2 776 978,47 €

    Intérêts aux parts sociales

631 290,98 €

    Rémunération des CCA

2 145 687,49 €

Conservé

25 832 188,05 €

    Réserves légales

19 374 141,04 €

    Autres réserves

6 458 047,01 €

 

 

Note 38. – Implantation dans des etats ou territoires non cooperatifs.

 

La Caisse régionale Sud Méditerranée ne détient aucune implantation directe ou indirecte dans un État ou un territoire non coopératif au sens de l’article 238-0 A du code général des impôts.

 

Note 39. – Publicite des honoraires de commissaires aux comptes.

 

Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse régionale Sud Méditerranée :

 

(En milliers d'euros)

Ernst & Young

%

ADG

%

Audit

 

 

 

 

    Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

130

100%

62

100%

    Missions accessoires

 

0%

 

0%

        Sous-total

130

100%

62

100%

Autres prestations

 

 

 

 

    Juridique, fiscal et social

 

0%

 

0%

    Technologie de l'information

 

0%

 

0%

    Audit interne

 

0%

 

0%

    Autres : à préciser si > à 10% des honoraires d'audit

 

0%

 

0%

        Sous-total

0

0%

0

0%

        Total

130

100%

62

100%

(1) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes.

 

 

Note 40. – Publicité.

 

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

 

IV. — Rapport des commissaires aux comptessur les comptes annuels.

Exercice clos le 31 décembre 2011

 

Aux societaires,

En execution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblee generale, nous vous presentons notre rapport relatif a l’exercice clos le 31 décembre 2011, sur :

— le controle des comptes annuels de la caisse regionale de credit agricole mutuel sud mediterranee, tels qu’ils sont joints au present rapport ;

— la justification de nos appreciations ;

— les verifications et informations specifiques prevues par la loi.

— les comptes annuels ont ete arretes par le conseil d’administration. il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectue notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en france ; ces normes requierent la mise en oeuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d’anomalies significatives. un audit consiste a verifier, par sondages ou au moyen d’autres methodes de selection, les elements justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste egalement a apprecier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la presentation d’ensemble des comptes. nous estimons que les elements que nous avons collectes sont suffisants et appropries pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des regles et principes comptables français, reguliers et sinceres et donnent une image fidele du resultat des operations de l’exercice ecoule ainsi que de la situation financiere et du patrimoine de votre caisse regionale a la fin de cet exercice.

 

II.    Justification des appreciations. — En application des dispositions de l’article l. 823-9 du code de commerce relatives a la justification de nos appreciations, nous portons a votre connaissance les elements suivants :

— Estimations comptables : Comme indique dans les notes 2.1 et 14 de l’annexe, votre caisse regionale constitue des depreciations et des provisions pour couvrir les risques de credit et les risques inherents a ses activites. dans le cadre de notre appreciation des estimations significatives retenues pour l’arrete des comptes et sur la base des informations qui nous ont ete communiquees, nos travaux ont consiste a examiner le dispositif de controle mis en place par la direction relatif aux risques de credit, à l’appreciation des risques de non-recouvrement et a leur couverture par des depreciations individuelles et des provisions individuelles et collectives.

Les parts dans les entreprises liees, les titres de participation et les autres titres detenus a long terme sont evalues par votre caisse regionale a leur valeur d’utilite en retenant une approche fondee sur les modalites decrites dans la note 2.2 de l’annexe. dans le cadre de notre appreciation de ces estimations et sur la base des informations qui nous ont ete communiquees, nos travaux ont consiste a examiner les elements ayant conduit a la determination des valeurs d’utilite pour les principales lignes du portefeuille.

Votre caisse regionale detient des titres en portefeuille. la note 2.2 de l’annexe expose les regles et methodes comptables relatives a ces titres. sur la base des informations qui nous ont ete communiquees, nos travaux ont consiste à examiner le dispositif de controle relatif au classement comptable et a la determination des parametres utilises pour la valorisation de ces positions. nous avons verifie le caractere approprie des methodes comptables retenues par votre caisse regionale et des informations fournies dans les notes annexes et nous nous sommes assures de leur correcte application.

Votre caisse regionale procède à d’autres estimations dans le cadre habituel de la preparation de ses comptes annuels qui portent, notamment, sur les engagements en matiere de retraite et d’indemnites de fin de carriere. nous avons revu les hypotheses retenues et verifie que ces estimations comptables s’appuient sur des methodes documentees conformes aux principes decrits dans les notes 2.6 et 2.13 de l’annexe.

Les appreciations ainsi portees s’inscrivent dans le cadre de notre demarche d’audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribue a la formation de notre opinion exprimee dans la premiere partie de ce rapport.

 

III. Verifications et informations specifiques. — Nous avons egalement procede, conformement aux normes d’exercice professionnel applicables en france, aux verifications specifiques prevues par la loi.

Nous n’avons pas d’observation a formuler sur la sincerite et la concordance avec les comptes annuels des informations donnees dans le rapport de gestion du conseil d’administration et dans les documents adresses aux societaires sur la situation financiere et les comptes annuels.

 

Perpignan et Toulouse, le 5 mars 2012.

 

Les commissaires aux comptes :

SGADG :

Ernst & Young et Autres :

Albert Zaragoci ;

Frank Astoux.

 

 

B. — Comptes consolidés au 31/12/2011.

 

Arrêtés par le conseil d’administration de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en date du 10 février 2012 et soumis à l’approbation de l’assemblée générale ordinaire en date du 28 mars 2012.

 

I. — Cadre général.

 

Présentation juridique de l’entité. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à Perpignan, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de commerce et des Sociétés de Perpignan sous la référence 776179335 et fait partie du groupe crédit agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole.

 

Un groupe bancaire d’essence mutualiste. — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 6,5 millions de sociétaires qui élisent quelques 32 200 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie, détenue par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole SA La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

Crédit Agricole SA en qualité d’organe central du groupe Crédit Agricole veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (Art L511-31 et Art L511-32), à la cohésion du réseau du groupe Crédit Agricole (tel que défini par l’article R512-18 du Code monétaire et financier), au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent, au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole SA dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

Relations internes au Crédit agricole

 

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe.

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA, qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit » ou « Dettes envers les établissements de crédit ».

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Épargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'Épargne-logement, plans d'épargne populaire, Livret jeune et Livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole SA et centralisées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole SA de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales leur permettant d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances - miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25%, puis 33% et, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole SA et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole SA

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA, où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole « .

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole SA : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

— Opérations en devises : Crédit Agricole SA, intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole SA, la CNCA (devenue Crédit Agricole SA) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (« FRBLS ») destiné à permettre à Crédit Agricole SA d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des affiliés qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole SA enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

En outre, depuis la mutualisation en 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole SA, les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

— Garanties Switch : Le dispositif Switch, mis en place le 23 décembre 2011, s’inscrit dans le cadre des relations financières entre Crédit Agricole SA, en qualité d’organe central, et le réseau mutualiste des Caisses régionales de Crédit Agricole.

Il permet le transfert des exigences prudentielles s’appliquant aux participations de Crédit Agricole SA dans les Caisses régionales, qui sont mises en équivalence dans les comptes consolidés de Crédit Agricole SA Ce transfert est réalisé vers les Caisses régionales via un mécanisme de garantie accordée par ces dernières à Crédit Agricole SA sur une valeur contractuelle plancher des valeurs de mises en équivalence des CCI/CCA émis par les Caisses régionales. Cette valeur est fixée à l’origine de l’opération.

La bonne fin du dispositif est garantie par la mise en place d’un dépôt de garantie versé par les Caisses régionales à Crédit Agricole SA

Ce contrat s’analyse en substance comme un droit complémentaire attaché aux 25% de CCI/CCA détenus par Crédit Agricole SA dans les Caisses régionales, et par conséquent il est lié à l’influence notable que Crédit Agricole SA exerce sur les Caisses régionales.

Ainsi, le dispositif protège Crédit Agricole SA de la baisse de valeur de mise en équivalence globale des Caisses régionales. En effet, dès lors qu’une baisse de valeur est constatée, le mécanisme de garantie est actionné et Crédit Agricole SA perçoit une indemnisation prélevée sur le dépôt de garantie. En cas de hausse ultérieure de la valeur de mise en équivalence globale, Crédit Agricole SA, de par l’application d’une clause de retour à meilleure fortune, restitue les indemnisations préalablement perçues.

La durée de la garantie est de 15 ans au bout desquels elle peut être prolongée par tacite reconduction pour une durée d’un an renouvelable. Cette garantie peut être résiliée par anticipation, dans certaines conditions et avec l’accord préalable de l’ACP.

Le dépôt de garantie est rémunéré à taux fixe aux conditions de la liquidité long terme. La garantie fait l’objet d’une rémunération fixe qui couvre le risque actualisé et le coût d’immobilisation des fonds propres par les Caisses régionales.

Dans les comptes consolidés, le traitement comptable repose sur l’analyse en substance de la transaction : cela conduit à considérer que l’indemnisation issue de la mise en jeu des garanties et son remboursement lors du retour à meilleure fortune s’analysent comme un partage des résultats dont les impacts sont enregistrés en réserves consolidées au niveau des Caisses régionales et en résultat sur sociétés mises en équivalences dans les comptes consolidés de Crédit Agricole SA, compte tenu de l’influence notable exercée par Crédit Agricole SA Le dépôt de garantie constitue une créance au coût amorti pour les Caisses régionales et symétriquement une dette au coût amorti pour Crédit Agricole SA Les rémunérations sont respectivement enregistrées en PNB, à l’exception de la rémunération de la garantie qui est affectée au résultat des sociétés mises en équivalence chez Crédit Agricole SA

 

Informations relatives aux parties liées. — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2011 et aux dirigeants. Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 53 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales. »

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 034 K€.

 

Etats financiers consolidés .

 

II. — Compte de résultat

(En milliers d'euros.)

 

 

Notes

31/12/2011

31/12/2010

Intérêts et produits assimilés

4.1

222 201

211 289

Intérêts et charges assimilées

4.1

-127 515

-120 016

Commissions (produits)

4.2

91 197

96 338

Commissions (charges)

4.2

-14 538

-15 460

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

861

1 573

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4-6.4

8 214

8 386

Produits des autres activités

4.5

750

2 999

Charges des autres activités

4.5

-1 794

-2 341

Produit net bancaire

 

179 376

182 768

Charges générales d'exploitation

4.6-7.1-7.4-7.6

-92 177

-87 365

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-6 924

-6 759

Résultat brut d’exploitation

 

80 275

88 644

Coût du risque

4.8

-37 617

-29 594

Résultat d'exploitation

 

42 658

59 050

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

-91

153

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impôt

 

42 567

59 203

Impôts sur les bénéfices

4.10

-12 496

-18 984

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

Résultat net

 

30 071

40 219

Intérêts minoritaires

 

 

 

Résultat net – part du groupe

 

30 071

40 219

 

 

III. — Résultat net et gains et pertes comptabilises directement en capitaux propres.

(En milliers d'euros.)

 

 

Notes

31/12/2011

31/12/2010

Résultat net part du groupe

 

30 071

40 219

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

 

-2 814

-1 792

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

 

44

74

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

298

-465

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du Groupe, hors entités mises en équivalence

 

-2 472

-2 183

QP gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence (1)

 

 

 

    Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du Groupe

4.11

-2 472

-2 183

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du groupe

 

27 599

38 036

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part des minoritaires

 

 

 

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

27 599

38 036

 

 

Les montants sont présentés net d’impôts.

 

IV. — Bilan.

(En milliers d'euros)

 

Actif

Notes

31/12/2011

31/12/2010

Caisse, banques centrales

6.1

29 785

30 187

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

9 186

10 503

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

96 651

51 912

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.6

266 232

260 074

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5-6.6

205 170

113 950

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5-6.6

4 494 204

4 557 460

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

52 811

13 394

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

6.6-6.8

50 148

45 045

Actifs d'impôts courants et différés

6.10

24 647

29 801

Comptes de régularisation et actifs divers

6.11

130 103

117 394

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Participation aux bénéfices différée

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

Immeubles de placement

6.12

4 443

2 121

Immobilisations corporelles

6.13

36 828

40 318

Immobilisations incorporelles

6.13

889

738

Ecarts d'acquisition

 

 

 

    Total de l'actif

 

5 401 097

5 272 897

 

 

Passif

Notes

31/12/2011

31/12/2010

Banques centrales

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

672

1 024

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

65 910

31 397

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.7

2 945 394

2 881 593

Dettes envers la clientèle

3.1-3.3-6.7

1 415 074

1 422 213

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.9

158 536

154 211

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

71 849

35 614

Passifs d'impôts courants et différés

6.10

24

17 734

Comptes de régularisation et passifs divers

6.11

71 719

76 640

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

Provisions

6.14

10 934

10 582

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.9

15 315

20 033

    Total dettes

 

4 755 427

4 651 041

Capitaux propres

6.15

645 670

621 856

Capitaux propres - part du Groupe

 

645 670

621 856

Capital et réserves liées

 

156 379

156 605

Réserves consolidées

 

457 145

420 484

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

2 075

4 548

Résultat de l'exercice

 

30 071

40 219

Intérêts minoritaires

 

 

 

    Total du passif

 

5 401 097

5 272 897

 

 

V. — Tableau de variation des capitaux propre s.

 

(En milliers d'euros)

Capital et réserves liées

Capital et Réserves consolidées part du Groupe (1)

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Résultat net part du groupe

Total des capitaux propres part du groupe

Capitaux propres part des minoritaires

Total des capitaux propres consolidés

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital (1)

Elimination des titres auto-detenus

Capitaux propres au 1er janvier 2010

26 929

550 110

 

577 039

6 731

3 842

587 612

 

587 612

Augmentation de capital

50

 

 

50

 

 

50

 

50

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Dividendes versés en 2010

 

 

 

0

 

-3 842

-3 842

 

-3 842

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Effet des acquisitions/cessions sur les minoritaires

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

50

0

0

50

0

-3 842

-3 792

0

-3 792

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

0

0

0

0

-2 183

0

-2 183

0

-2 183

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence (2)

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2010

 

 

 

0

 

40 219

40 219

 

40 219

Capitaux propres au 31 décembre 2010

26 980

550 110

0

577 090

4 548

40 219

621 857

0

621 856

Affectation du résultat 2010

 

36 660

 

36 660

 

-36 660

0

 

0

Capitaux propres au 1er janvier 2010

26 980

586 770

0

613 750

4 548

3 559

621 857

0

621 856

Augmentation de capital

-226

 

 

-226

 

 

-226

 

-226

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Dividendes versés en 2011

 

 

 

0

 

-3 559

-3 559

 

-3 559

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Effet des acquisitions/cessions sur les minoritaires

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

-226

0

0

-226

0

-3 559

-3 785

0

-3 785

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

0

0

0

0

-2 472

0

-2 472

0

-2 472

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence (2)

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2011

 

 

 

0

 

30 071

30 071

 

30 071

Autres variations

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Capitaux propres au 31 décembre 2011

26 754

586 770

0

613 524

2 075

30 071

645 670

0

645 670

(1) Les réserves consolidées sont essentiellement constituées des résultats des exercices antérieurs non distribués, des montants relatifs à la première application des normes IFRS et des retraitements de consolidation.

 

 

Les montants sortis des capitaux propres par transfert en compte de résultat et relatifs à des couvertures de flux de trésorerie sont positionnés en PNB.

 

VI. — Tableau des flux de trésorerie.

 

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en ce compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans ce compartiment.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

 

VII. — Tableau des flux de trésorerie.

(En milliers d'euros)

 

 

31/12/2011

31/12/2010

Résultat avant impôts

42 567

59 203

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

6 924

6 809

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

37 598

28 051

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

93

-153

Résultat net des activités de financement

1 073

1 665

Autres mouvements

-1 623

30

    Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

44 065

36 404

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

-25 244

-18 913

Flux liés aux opérations avec la clientèle

18 417

-64 379

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-17 735

3 001

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-20 488

-18 434

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-25 898

-11 413

Diminution/(augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

-70 948

-110 140

    Total Flux net de trésorerie généré par l'activité opérationnelle (A)

15 684

-50 937

Flux liés aux participations (1)

-1 324

-218

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-3 233

-5 133

    Total Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-4 557

-5 351

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2)

-3 785

-3 792

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (3)

-5 791

-11 551

    Total Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C)

-9 576

-15 343

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B + C + D)

1 551

-71 630

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

55 753

90 980

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

30 163

32 070

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

25 590

58 910

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

57 304

55 753

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

29 768

30 163

Solde net des comptes prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

27 536

25 590

Variation de la trésorerie nette et des equivalents de trésorerie

1 551

-35 227

(1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Les acquisitions de titres de participation portent notamment sur les opérations suivantes : SACAM AVENIR pour 271K€, FIA-NET EUROPE pour 545 K€, SAS RUE LA BOETIE pour 7 977 K€, PYRENÉES ROUSSILLON INVESTISSEMENT pour 46 K€, SAFER DU Languedoc pour 72 K€ et SUD MED IMMOBILIER pour 160 K€.

Les cessions de titres de participation portent notamment sur la liquidation du GIE ATTICA pour un montant de 46 K€ et la diminution du capital de CA INNOVE pour un montant de 12K€. Nous noterons également la libération d’actions de la SAS SACAM INTERNATIONNAL pour 507 K€.

(2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par l’entité à ses actionnaires, à hauteur de 3 559 K€ pour l’année 2011.

(3) Au cours de l’année 2011, le remboursement de dettes subordonnées s’élève à 4 600 K€.

 

 

VIII. — Notes annexes aux etats financiers.

 

1. – Principes et méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés.

 

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2011 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite « carve out »), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture.

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias/index_fr.htm.

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2010

Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2011 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2011. Celles-ci portent sur :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du

Amendement de la norme IAS 32, relatif au classement des émissions de droits de souscription d’actions

23 décembre 2009 (UE n° 1293/2009)

1er janvier 2011

Amendement des normes IFRS 1R, relatif à des exemptions de fournir des informations comparatives sur les instruments financiers pour les premiers adoptants

30 juin 2010 (UE n° 574/2010)

1er janvier 2011

Amendement de la norme IAS 24, relatif à l'information au titre des parties liées sous forme d'organisme d'État

19 juillet 2010 (UE 632/2010)

1er janvier 2011

Amendement de l’interprétation IFRIC 14, relatif à la reconnaissance des actifs de régimes à prestations définies

19 juillet 2010 (UE 633/2010)

1er janvier 2011

Interprétation d’ifric 19, relative à l’extinction de passifs financiers avec des instruments de capitaux propres

23 juillet 2010 (UE n° 662/2010)

1er janvier 2011

Amendements portant améliorations annuelles (2008-2010) modifiant les normes et interprétations suivantes : IFRS 1, IFRS 3R, IFRS 7, IAS 1, IAS 27, IAS 34, IFRIC13

18 février 2011 UE n° 149/2011

1er janvier 2011

 

 

L’application de ces nouvelles dispositions n’a pas eu d’impact significatif sur le résultat et la situation nette de la période.

Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du

Amendement d’IFRS 7 sur les transferts d’actifs financiers

22 novembre 2011 (UE n°1205/2011)

1er janvier 2012

 

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’attend pas d’effet significatif de ces applications sur son résultat et sa situation nette.

Enfin, les normes et interprétations publiées par l’IASB mais non encore adoptées par l’Union européenne n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2011.

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation CNC n°2009-R.04 du 2 juillet 2009.

 

1.3. Principes et méthodes comptables :

— Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers : De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

– les activités des marchés nationaux et internationaux ;

– les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

– la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

– les modifications de la réglementation ou de la législation.

Cette liste n’est pas exhaustive.

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

– les instruments financiers évalués à la juste valeur ;

– les participations non consolidées ;

– les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ;

– les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et d’actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance;

– les dépréciations des créances irrécouvrables ;

– les provisions ;

– les actifs d’impôts différés

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

— Instruments financiers (IAS 32 et 39) : Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne.

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

La juste valeur est définie comme le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

Titres à l’actif. — Classification des titres à l’actif

Les titres sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définies par la norme IAS 39 :

— actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

— actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

— prêts et créances ;

— actifs financiers disponibles à la vente.

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat/affectation par nature ou sur option. — Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et d’évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

A ce titre,la Caisse Régionale Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

— EMTN Confluent ;

— EMTN CALYON CMS TEC ;

— EMTN FONDS DIVIDENDE ;

— OCA LATECOERE.

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus.

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

 

Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance. — La catégorie « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » (applicable aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

— ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

— ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des actifs détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39.

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote/décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Prêts et créances. — La catégorie « Prêts et créances » enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres du portefeuille « Prêts et créances » sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote/décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles dépréciations.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

Actifs financiers disponibles à la vente. — La catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat.

L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ».

 

Dépréciation des titres. — Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette.

Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30% au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs. la Caisse Régionale Sud Méditerranée prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme.

Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de valeur supérieure à 50% ou observée pendant plus de 3 ans.

Les titres non cotés SAS Rue la Boétie, classés en AFS ont une « nature particulière » ils sont essentiels à la structure mutualiste du groupe. Leur détention permet d’assurer la stabilité et la cohésion au sein des différentes entités du Groupe. Compte tenu du contexte de crise financière et de la volatilité des marchés constatée ces dernières années, le calibrage de la durée d'observation pour ces titres stratégiques doit être modifié dans la mesure où la période de 3 ans ne permet plus – dans ce contexte - d’appréhender les caractéristiques spécifiques de ces titres, qui, par ailleurs, ne peuvent être librement cédés par les Caisses régionales sur le marché. Ainsi, une indication objective de baisse prolongée est dorénavant constatée lorsque la situation de moins-value latente de ces titres au regard de leur valeur comptable s’étend sur une période de plus de 10 ans (qui correspond mieux à la nature de ces titres particuliers).

Cette évolution est sans impact sur les états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances.

La constatation de cette dépréciation se fait :

— pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure ;

— pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

 

Date d’enregistrement des titres. — Crédit Agricole SA enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans les catégories « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » et « Prêts et créances ». Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Reclassements d’actifs financiers. — Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est autorisé d’opérer les reclassements suivants :

— des catégories « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » et « Actifs financiers disponibles à la vente » vers la catégorie « Prêts et créances », si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

— dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » vers les catégories « Actifs financiers disponibles à la vente » ou « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance », si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes.

La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l’actif financier reclassé.

Les informations sur les reclassements réalisés par la Caisse Régionale Sud Méditerranée en application de la norme IAS 39 sont données dans la note 9.

 

Acquisition et cession temporaire de titres. — Au sens de l’IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent pas les conditions de décomptabilisation d’IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis.

Les éléments d’actifs prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan.

Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire.

Une créance est enregistrée en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension.

Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat.

Activité de crédits : Les crédits sont affectés principalement à la catégorie « Prêts et créances ». Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

— Créances dépréciées : Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « Prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances. Les créances ainsi identifiées font l’objet d’une dépréciation sur base individuelle ou sur base collective. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations, égales à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

On distingue ainsi :

– les créances dépréciées sur base individuelle : il s’agit des créances assorties de dépréciations et des créances restructurées pour cause de défaillance du client assorties de décotes ;

– les créances dépréciées sur base collective : il s’agit des créances non dépréciées sur base individuelle, pour lesquelles la dépréciation est déterminée par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires. Cela concerne notamment les créances en souffrance.

Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance).

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

— Créances dépréciées sur base individuelle : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de location-financement immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits) ;

– lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

– s’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Le classement pour une contrepartie donnée d’encours en encours dépréciés entraîne par « contagion » un classement identique de la totalité de l’encours et des engagements relatifs à cette contrepartie, nonobstant l’existence de garantie ou caution.

Dans le cas d’une créance restructurée maintenue en créance dépréciée, la décote ne fait pas l’objet d’une comptabilisation séparée et est comptabilisée par le biais de la dépréciation.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue les dépréciations correspondantes, en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours dépréciés.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Dans le cas de créances restructurées, pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) du fait d’un risque de contrepartie, tout en reclassant l’encours en créances saines, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote.

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est enregistrée en coût du risque.

Cette décote correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine.

Elle est égale à l’écart constaté entre :

– la valeur nominale du prêt ;

– la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

— Créances dépréciées sur base collective : Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives telles que :

— Dépréciations sur encours en souffrance : Les dépréciations sur ces encours sont calculées à partir de modèles Bâle II.

Dans le cadre de la norme Bâle II, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues d’un coefficient correcteur, reflet du jugement expérimenté de la Direction, destiné à prendre en compte divers paramètres absents des modèles Bâle II, tels que l’extension au-delà d’un an de l’horizon de pertes attendues, ainsi que divers facteurs économiques, conjoncturels ou autres.

— Autres dépréciations sur base collective : Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché espagnol.

— Intérêts pris en charge par l’État (IAS 20) : Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole SA accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'État. En conséquence, ces entités perçoivent de l’État une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'État.

Les bonifications perçues de l’État sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

— les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ;

— les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ;

— les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe.

 

Titres au passif :

— Distinction dettes – capitaux propres : Un instrument de dettes ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

– de remettre des liquidités ou un autre actif financier ;

– d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

 

Produits de la collecte. — Les produits de collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des « Dettes envers la clientèle » malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole SA en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.17.

 

Instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

— La comptabilité de couverture : La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associés à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

– éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

– documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

– démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole SA privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite « carve out »).

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

– couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

– couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ;

– couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement.

– couverture de juste valeur: seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres AFS, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

– couverture de flux de trésorerie: l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

– couverture d'investissement net à l'étranger: Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l'investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l'investissement net à l'étranger sort du périmètre de consolidation.

— Dérivés incorporés : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les 3 conditions suivantes sont remplies :

– le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

– séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

– les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — Les justes valeurs des instruments financiers sont déterminées conformément aux dispositions d’IAS 39 et sont présentées selon la hiérarchie définie par IFRS 7.

Le Groupe applique par ailleurs la recommandation en matière de valorisation de certains instruments financiers à la juste valeur publiée par l'AMF, le CNC et l'ACAM le 15 octobre 2008.

Lorsque la méthode de valorisation d’un instrument financier est la juste valeur, la norme IAS 39 considère que la meilleure indication pour déterminer celle-ci est l’existence de cotations publiées sur un marché actif.

IAS 39 précise qu’en l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

— Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des prix cotés (non ajustés) sur un marché actif.

Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur un marché actif. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures.

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs.

— Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1.

Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles/accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché.

Sont présentés en niveau 2 :

– les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes) et fondée sur des données de marché observables ;

– les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux fondées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

— Niveau 3: justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité.

La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3.

Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché.

Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

 

Absence de technique de valorisation reconnue pour déterminer la juste valeur d’un instrument de capitaux propres. — Conformément aux principes d’IAS 39, si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » car sa juste valeur ne peut pas être déterminée de manière fiable. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS 7 en vigueur. Il s’agit principalement de titres de participation de sociétés non cotées sur un marché actif dont la détermination d’une juste valeur fiable est difficile.

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers :

— Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d'investissements nets en devises.

— Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente : Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

– les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

– les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

– les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

 

Compensation des actifs et passifs financiers. — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s’il a un droit juridiquement exécutoire à tout moment de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

 

Garanties financières données. — Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé entre :

— celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels » ; ou

— le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

Décomptabilisation des instruments financiers. — Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

— lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et ;

— lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée.

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication dans cet actif.

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie uniquement lorsque ce passif est éteint.

 

Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse Régionale Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un évènement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

Au titre des obligations autres que celles liées au risque de crédit, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

— les risques opérationnels ;

— les avantages au personnel ;

— les risques d’exécution des engagements par signature ;

— les litiges et garanties de passif ;

— les risques fiscaux ;

— les risques liés à l’épargne logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ;

— l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ;

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations :

— la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ;

— les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

Des informations détaillées sont fournies au point 6.17.

 

Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, les primes payables dans les douze mois de la clôture de l’exercice ;

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ;

— les indemnités de fin de contrat de travail ;

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

Avantages à long terme. — Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi, les indemnités de fin de contrats et avantages sur capitaux propres, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus.

Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différés de plus de douze mois.

 

Avantages postérieurs à l’emploi :

— Engagement en matière de retraite, de préretraite et d’indemnités de fin de carrière - régimes à prestations définies : La Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4).

Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over.

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n'applique pas la méthode optionnelle du corridor et impute depuis le 01/01/2010 la totalité des écarts actuariels constatés en gains et partes comptabilisés directement en capitaux propres et non plus en résultat.

Le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM.

— Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

— Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

– la comptabilisation initiale du goodwill ;

– la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

En France, les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins latentes est-elle reclassée en déduction de celles-ci.

En France, les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 10% de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

– soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ;

– soit par un regroupement d'entreprises.

Les actifs et passifs d'impôts différés sont compensés si, et seulement si :

– l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible, et

– les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

a) soit sur la même entité imposable ;

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôts différés soient réglés ou récupérés.

Les crédits d’impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole SA applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupements d’entreprises résultant de droits contractuels (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole SA suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole SA Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

— les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments :

— les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

— les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

— les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ;

— lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique « commissions » et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

a) les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes sont respectées :

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable ;

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise ;

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable ;

b) les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ;

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ;

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

a) l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et des intérêts courus à la clôture de l’exercice ;

b) la valeur nette comptable des immobilisations louées ;

c) la provision pour impôts différés.

Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci.

En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

 

S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif.

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IAS 27, 28 et 31) :

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle. Celui-ci est présumé lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20% des droits de vote existants et potentiels.

— Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole SA, dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole SA, les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

— Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le caractère significatif de cet impact est apprécié au travers de trois principaux critères exprimés en pourcentage du bilan, de la situation nette et du résultat consolidés.

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. la Caisse Régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20% ou plus des droits de vote dans une entité.

— Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28 § 1 et IAS 31 § 1, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

— l’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée ;

— l’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée ;

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable.

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des intérêts minoritaires dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

Les intérêts minoritaires correspondent aux participations ne donnant pas le contrôle telles que définies par la norme IAS 27 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe.

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote‑part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte désormais de l’évolution du goodwill.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués, sauf s’ils sont jugés non significatifs.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé.

Les plus ou moins‑values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

2. – Périmètre de consolidation.

 

Le périmètre de consolidation et ses évolutions au 31 décembre 2011 sont présentés de façon détaillée à la fin des notes annexes en note 12.

 

2.1. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement

Au 31 décembre 2011, les principales participations non consolidées pour lesquelles le pourcentage de contrôle est supérieur à 20% et dont la valeur au bilan est significative sont les suivantes :

— SAS SUD MED Immobilier ;

— SCI Château de Castelnou.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Valeur au bilan

% de capital détenu

Valeur au bilan

% de capital détenu

Titres de participations non consolidés (détail)

 

 

 

 

    Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

        SCI château de Castelnou

708

98,61

708

98,60

    Autres titres de participations

 

 

 

 

        SAS Rue la Boetie

229 440

1,32

221 621

1,32

        SA Sofilaro

1 401

14,32

1 348

14,32

        SAS Sacam Développement

10 303

1,35

11 727

1,40

        SAS Sacam Fireca

275

1,18

277

1,18

        SNC CA Titres

411

0,62

411

0,62

        SAS Sacam Internationnal

8 349

1,32

10 466

1,32

        SAS Sacam Avenir

1 208

1,06

937

1,06

        SAS Sacam Participation

1 324

1,63

1 226

1,63

        FIA-NET Europe

545

1,16

 

 

    Autres titres de participations (ensemble)

7 655

 

6 711

 

Valeur au bilan des titres de participation non consolidés

261 619

 

255 432

 

 

 

3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture.

 

La gestion des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est assurée par la direction des Finances qui est rattachée au Directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise des risques de crédit, de marchés et opérationnels ainsi que le pilotage des projets impactant ces risques.

La description de ce dispositif ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « facteurs de risque », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilation comptables continuent néanmoins de figurer dans les Etats financiers.

 

3.1. Risque de crédit. — Le risque de crédit se matérialise lorsqu’une contrepartie est dans l’incapacité de faire face à ses obligations et que celles-ci présentent une valeur d’inventaire positive dans les livres de la banque. Cette contrepartie peut être une banque, une entreprise industrielle et commerciale, un État et les diverses entités qu’il contrôle, un fonds d’investissement ou une personne physique.

L’engagement peut être constitué de prêts, titres de créances ou de propriété ou contrats d’échange de performance, garanties de bonne fin ou engagements confirmés non utilisés. Ce risque englobe également le risque de règlement livraison inhérent à toute transaction nécessitant un échange de flux (espèce ou matière) en dehors d’un système sécurisé de règlement. (cf Rapport de gestion page 13)

 

Exposition maximale au risque de crédit. — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Actifs financiers à la juste valeur par le résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte)

9 186

10 503

Instruments dérivés de couverture

96 651

51 912

Actifs disponibles à la vente (hors titres à revenu variable)

4 469

4 465

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

4 014

3 467

Prêts et créances sur la clientèle

4 494 204

4 557 460

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

50 148

45 045

Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations)

4 658 672

4 672 852

Engagements de financement donnés (hors opérations internes)

493 427

518 940

Engagements de garantie financière donnés (hors opérations internes)

116 427

126 153

Provisions - Engagements par signature

-1 085

-854

Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

608 769

644 239

    Total exposition nette

5 267 441

5 317 091

 

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques.

 

Concentrations par agents économiques de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administrations centrales

 

 

 

 

0

Banques centrales

 

 

 

 

0

Établissements de crédit

4 014

 

 

 

4 014

Institutions non établissements de crédit

680 782

11 701

8 338

 

672 444

Grandes entreprises

501 462

42 914

30 149

9 264

462 049

Clientèle de détail

3 507 139

203 326

109 432

37 996

3 359 711

    Total (*) (1)

4 693 397

257 941

147 919

47 260

4 498 218

Valeurs au bilan

 

 

 

 

4 498 218

* Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 30 779 milliers d'euros.

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les créances rattachées.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administrations centrales

 

 

 

 

0

Banques centrales

 

 

 

 

0

Établissements de crédit

3 463

 

 

 

3 463

Institutions non établissements de crédit

619 002

3 377

3 129

 

615 873

Grandes entreprises

573 855

41 153

25 359

9 894

538 602

Clientèle de détail

3 499 231

179 548

83 010

35 591

3 380 630

    Total (*)

4 695 551

224 078

111 498

45 485

4 538 568

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

22 359

Valeurs au bilan

 

 

 

 

4 560 927

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 33 038 milliers d'euros.

 

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

    Administrations centrales

 

 

    Établissement de crédit

 

 

    Institutions non établissements de crédit

114 564

126 415

    Grandes entreprises

86 890

102 708

    Clientèle de détail

291 973

289 817

        Total

493 427

518 940

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

    Administrations centrales

55 260

 

    Établissement de crédit

1 447

 

    Institutions non établissements de crédit

520

559

    Grandes entreprises

51 287

93 202

    Clientèle de détail

9 360

33 990

        Total

117 874

127 751

 

 

Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Administrations centrales

13

8

Institutions non établissements de crédit

19 299

11 098

Grandes entreprises

445 255

448 114

Clientèle de détail

950 507

954 844

    Total (1)

1 415 074

1 414 064

Dettes rattachées

 

8 149

Valeur au bilan

1 415 074

1 422 213

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les dettes rattachées.

 

 

Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 189 516

170 641

112 825

47 260

4 029 431

Autres pays de l'UE

493 041

87 254

35 085

 

457 956

    Dont Espagne

441 129

81 352

30 150

 

410 979

Autres pays d'Europe

6 046

42

5

 

6 041

Amérique du Nord

3 265

 

 

 

3 265

Amériques Centrale et du Sud

246

 

 

 

246

Afrique et Moyen Orient

1 283

4

4

 

1 279

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

0

Japon

 

 

 

 

0

Organismes supranationaux

 

 

 

 

0

    Total (*) (1)

4 693 397

257 941

147 919

47 260

4 498 218

Valeurs au bilan

 

 

 

 

4 498 218

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les créances rattachées

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 30 779 milliers d'euros.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 150 876

137 000

85 004

45 485

4 020 387

Autres pays de l'UE

533 495

87 030

26 480

 

507 015

    Dont Espagne

481 676

84 548

25 018

 

456 658

Autres pays d'Europe

5 764

41

7

 

5 757

Amérique du Nord

3 275

1

1

 

3 274

Amériques Centrale et du Sud

268

 

 

 

268

Afrique et Moyen Orient

1 871

6

6

 

1 865

Asie et Océanie (hors Japon)

1

 

 

 

1

Japon

1

 

 

 

1

Organismes supranationaux

 

 

 

 

0

    Total (*)

4 695 551

224 078

111 498

45 485

4 538 568

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

22 359

Valeurs au bilan

 

 

 

 

4 560 927

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 33 038 milliers d'euros

 

 

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

492 697

517 921

    Autres pays de l'UE

598

755

    Autres pays d'Europe

55

50

    Amérique du Nord

46

164

    Amériques Centrale et du Sud

3

8

    Afrique et Moyen Orient

25

40

    Asie et Océanie (hors Japon)

2

2

    Japon

 

 

    Total

493 426

518 940

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

116 807

127 539

    Autres pays de l'UE

922

33

    Autres pays d'Europe

 

 

    Amérique du Nord

 

34

    Amériques Centrale et du Sud

 

 

    Afrique et Moyen Orient

145

145

    Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

    Japon

 

 

        Total

117 874

127 751

 

 

— Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

France (y compris DOM-TOM)

1 372 597

1 388 253

Autres pays de l'UE

37 502

21 477

Autres pays d'Europe

2 149

1 298

Amérique du Nord

1 604

992

Amériques Centrale et du Sud

251

332

Afrique et Moyen Orient

634

1 580

Asie et Océanie (hors Japon)

333

124

Japon

4

8

Organismes supra-nationaux

 

 

    Total

1 415 074

1 414 064

Dettes rattachées

 

8 149

Valeur au bilan

1 415 074

1 422 213

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les dettes rattachées.

 

 

Information sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement :

— Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2011

31/12/2011

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement 

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés 

Garanties et autres rehaussements de crédit recçus relatifs aux actifs dépréciés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

1 403

1 312

 

Instruments de dette

 

 

 

 

 

297

3 301

 

    Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

    Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

    Établissements de crédit

 

 

 

 

 

297

3 301

 

    Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

    Grandes entreprises

 

 

 

 

 

 

 

 

    Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et avances

105 394

10 833

188

 

116 415

110 022

195 179

110 015

    Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

    Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

    Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

    Institutions non établissements de crédit

16 629

2 706

188

 

19 523

3 363

8 338

3 363

    Grandes entreprises

14 258

987

 

 

15 245

12 765

39 413

12 765

    Clientèle de détail

74 507

7 140

 

 

81 647

93 894

147 428

93 887

        Total

105 394

10 833

188

 

116 415

111 722

199 792

110 015

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

31/12/2010

31/12/2011

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés  

Garanties et autres rehaussements de crédit recçus relatifs aux actifs dépréciés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

1 290

-1 264

 

Instruments de dette

 

 

 

 

 

294

-3 128

 

    Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

    Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

    Établissements de crédit

 

 

 

 

 

294

-3 128

 

    Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

    Grandes entreprises

 

 

 

 

 

 

 

 

    Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et avances

175 307

15 353

4 456

 

195 116

112 580

-172 797

112 400

    Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

    Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

    Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

    Institutions non établissements de crédit

70 165

2 703

3 472

 

76 340

248

-3 818

248

    Grandes entreprises

20 549

419

 

 

20 968

15 794

-38 767

15 794

    Clientèle de détail

84 593

12 231

984

 

97 808

96 538

130 212

96 358

        Total

175 307

15 353

4 456

 

195 116

114 164

-177 189

112 400

 

 

— Opérations sur instruments dérivés – Risque de contrepartie : Le risque de contrepartie sur instruments dérivés est établi à partir de la valeur de marché et du risque de crédit potentiel, calculé et pondéré selon les normes prudentielles.

Pour information, les effets des accords de compensation et de collatérisation, qui réduisent ce risque, sont également présentés.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Risques sur les gouvernements et banques centrales de l'ocde et organismes assimilés

 

 

0

 

 

0

Risques sur les établissements financiers de l'OCDE et organismes assimilés

12

12

5

 

17

3

Risques sur les autres contreparties

401

401

401

664

113

389

        Total

413

413

406

664

130

392

Risques sur contrats de :

 

 

0

 

 

0

    Taux d'intérêt, change et matières premières

413

413

406

664

130

392

    Dérivés actions et sur indices

 

 

0

 

 

0

    Dérivés de crédit

 

 

0

 

 

0

        Total

413

413

406

664

130

392

Incidence des accords de compensation et de collatérisation

0

0

0

0

0

0

        Total après effets des accords de compensation et de collatérisation

413

413

406

664

130

392

(*) Calculé selon les normes prudentielles Bâle 2.

 

 

Les contrats conclus entre membres du réseau sont exclus, car ils ne présentent pas de risque de contrepartie.

 

3.2. Risque de marché. — Le risque de marché représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marchés notamment :

— les taux d’intérêts : le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financier du fait de l’évolution des taux d’intérêt ;

— les taux de change : le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise ;

— les prix : le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions. Sont notamment soumis à ce risque les titres à revenu variable, les dérivés actions et les instruments dérivés sur matières premières. (cf Rapport de gestion page 16).

 

Opérations sur instruments dérivés : Analyse par durée résiduelle. — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle.

 

Instruments dérivés de couverture – Juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché  

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

396

10 083

86 172

96 651

51 912

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

396

10 083

86 172

96 651

51 912

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

396

10 083

86 172

96 651

51 912

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

396

10 083

86 172

96 651

51 912

 

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché 

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

4 767

14 988

46 155

65 910

31 397

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

4 767

14 988

46 155

65 910

31 397

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

4 767

14 988

46 155

65 910

31 397

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

4 767

14 988

46 155

65 910

31 397

 

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché  

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

406

0

406

664

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

401

 

401

654

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

5

 

5

10

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

0

406

0

406

664

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

406

0

406

664

 

 

Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

672

0

672

1 024

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

667

 

667

1 014

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

5

 

5

10

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

0

672

0

672

1 024

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

672

0

672

1 024

 

 

Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

1 988 796

1 657 239

    Futures

 

 

    FRA

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

1 985 902

1 652 981

    Options de taux

 

 

    Caps-floors-collars

2 894

4 258

    Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

    Options de change

 

 

Autres instruments :

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

    Autres

 

 

        Sous total

1 988 796

1 657 239

Opérations de change à terme

9 454

10 849

        Total

1 998 250

1 668 088

 

 

Risque de change. — Le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise. (cf rapport de gestion page 20).

 

Contribution des différentes devises au bilan consolidé :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

5 265 086

5 265 086

5 261 738

5 261 741

Autres devises de l'ue

10 124

10 124

9 617

9 615

USD

1 223

1 223

1 475

1 475

JPY

 

 

 

 

Autres devises

85

85

67

66

    Total bilan

5 276 518

5 276 518

5 272 897

5 272 897

 

 

Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

0

15 315

0

0

19 414

0

Autres devises de l'UE

0

0

0

0

0

0

USD

0

0

0

0

0

0

JPY

0

0

0

0

0

0

Autres devises

0

0

0

0

0

0

    Total

0

15 315

0

0

19 414

0

 

 

3.3. Risque de liquidité et de financement. — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement. (cf Rapport de gestion page 21).

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

61 633

3 943

30 030

109 564

205 170

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

507 994

462 442

1 338 588

2 380 358

4 689 383

    Total (1)

569 627

466 385

1 368 618

2 489 922

4 894 553

Dépréciations

 

 

 

 

-195 179

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 699 374

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les créances rattachées.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 anà ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

57 975

4 566

25 952

21 289

109 782

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

442 457

558 219

1 347 312

2 344 100

4 692 088

    Total

500 432

562 785

1 373 264

2 365 389

4 801 870

Créances rattachées

 

 

 

 

42 337

Dépréciations

 

 

 

 

-172 797

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 671 410

 

 

Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle :

 

(en milliers d'euros)

31/12/2011

 ≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total 

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

 484 928

 884 137

 819 754

 756 575

 2 945 394

Dettes envers la clientèle

 1 055 248

 162 206

 146 259

 51 361

 1 415 074

Total (1)

 1 540 176

 1 046 343

 966 013

 807 936

 4 360 468

Valeur au bilan

 

 

 

 

4 360 468

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les dettes rattachées.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

438 476

696 171

1 010 486

726 746

2 871 879

Dettes envers la clientèle

1 109 684

135 415

163 392

5 573

1 414 064

    Total

1 548 160

831 586

1 173 878

732 319

4 285 943

Dettes rattachées

 

 

 

 

17 863

Valeur au bilan

 

 

 

 

4 303 806

 

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

2 130

36

 

 

2 166

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

    Titres de créances négociables

5 170

950

 

150 000

156 120

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

250

250

        Total (1)

7 300

986

 

150 250

158 536

Valeur au bilan

 

 

 

 

158 536

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

476

 

 

14 839

15 315

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

        Total (1)

476

 

 

14 839

15 315

Valeur au bilan

 

 

 

 

15 315

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les dettes rattachées.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

540

1 000

 

 

1 540

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

    Titres de créances négociables

550

1 900

 

150 000

152 450

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

        Total

1 090

2 900

 

150 000

153 990

Dettes rattachées

 

 

 

 

221

Valeur au bilan

 

 

 

 

154 211

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

 

4 600

 

14 814

19 414

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

        Total

 

4 600

 

14 814

19 414

Dettes rattachées

 

 

 

 

619

Valeur au bilan

 

 

 

 

20 033

 

 

3.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change. — Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi :

— de couverture de valeur,

— de couverture de résultats futurs ;

— de couverture d’un investissement net en devise.

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité. (cf rapport de gestion page 22).

 

Couverture de juste valeur. —Les couvertures de juste valeur modifient le risque de variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables.

Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

 

Couverture de flux de trésorerie. — Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

 

Couverture d’un investissement net en devise. — Les couvertures d’un investissement net en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liées à des détentions d’actifs ou de passifs dans des devises différentes de la devise de référence de l’entité.

 

Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Valeur marché

Montant Notionnel

Valeur marché

Montant Notionnel

Positive

Négative

Positive

Négative

Couverture de juste valeur

96 639

63 469

1 925 951

51 903

28 891

1 585 739

    Taux d'intérêt

96 639

63 469

1 925 951

51 903

28 891

1 585 739

    Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

    Change

 

 

 

 

 

 

    Crédit

 

 

 

 

 

 

    Matières premières

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

12

2 441

27 547

9

2 506

28 056

    Taux d'intérêt

12

2 441

27 547

9

2 506

28 056

    Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

    Change

 

 

 

 

 

 

    Crédit

 

 

 

 

 

 

    Matières premières

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

Couverture d'investissements nets dans une activité a l'etranger

 

 

 

 

 

 

        Total instruments dérivés de couverture

96 651

65 910

1 953 498

51 912

31 397

1 613 795

 

 

3.5. Risques opérationnels. — Le risque opérationnel correspond à la possibilité de subir une perte découlant d’un processus interne défaillant ou d’un système inadéquat, d’une erreur humaine ou d’un événement externe qui n’est pas lié à un risque de crédit, de marché ou de liquidité. (cf Rapport de gestion page 22).

 

3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires. — L’amendement de la norme IAS 1 adopté par l’Union européenne le 11 janvier 2006 prévoit des informations sur le capital et sa gestion. L’objectif de l’amendement est de fournir au lecteur des informations sur les objectifs, politiques et procédures de gestion du capital de l’émetteur. A ce sujet, des informations de nature qualitative et quantitative sont requises en annexe et notamment : données chiffrées récapitulatives sur les éléments gérés en tant que capital, description des éventuelles contraintes externes auxquelles l’entreprise est soumise au titre de son capital (par exemple du fait d’obligations réglementaires), indication ou non du respect des contraintes réglementaires et en cas de défaut de respect, une indication des conséquences qui en découlent.

Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et « conglomérats financiers », la Caisse Régionale Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens du règlement 90-02 et exigés par l’Autorité de contrôle prudentiel afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

L’arrêté du 20 février 2007 transpose dans la réglementation française le dispositif européen CRD (Capital Requirements Directive) (2006-48-CE et 2006-49 CE). Le texte définit les « exigences de fonds propres applicables aux établissements de crédit et aux entreprises d’investissement » et les modalités de calcul du ratio de solvabilité à compter du 1er janvier 2008.

Conformément à ces dispositions, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a intégré dès 2007, dans la gestion des fonds propres et des risques, les impacts liés au passage à la nouvelle directive européenne CRD.

Toutefois, le régulateur a prolongé jusqu’au 31 décembre 2011 les exigences additionnelles de fonds propres au titre des niveaux planchers (l’exigence Bâle II ne pouvant être inférieure à 80% de l’exigence Bâle I).

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

— les fonds propres durs (tier 1) déterminés à partir des capitaux propres du Groupe et retraités notamment des gains et pertes latents ;

— les fonds propres complémentaires (tier 2), limités à 100% du montant des fonds propres de base et composés principalement des dettes subordonnées ;

— les fonds propres surcomplémentaires admis au ratio (tier 3) composés principalement de dettes subordonnées à maturité plus courte.

Les déductions relatives notamment aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent désormais directement sur les montants du tier 1 et du tier 2, conformément à la réglementation.

 

Niveau des fonds propres prudentiels calculés conformément à la réglementation : En application de la réglementation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée doit respecter en permanence un ratio de fonds propres de base égal au moins à 4% et un ratio de solvabilité de 8%.

En 2011 comme en 2010, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a répondu aux exigences réglementaires.

 

 

4. – Notes relatives au compte de résultat.

 

4.1. Produits et charges d’intérêts :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 190

366

Sur opérations internes au Crédit Agricole

5 645

7 043

Sur opérations avec la clientèle

179 886

179 366

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 565

1 438

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

32 915

23 076

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Produits d'intérêts (1) (2)

222 201

211 289

Sur opérations avec les établissements de crédit

737

4

Sur opérations internes au Crédit Agricole

76 860

76 030

Sur opérations avec la clientèle

12 058

14 803

Sur dettes représentées par un titre

6 058

6 007

Sur dettes subordonnées

1 073

1 640

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

30 728

21 532

Sur opérations de location-financement

0

 

Autres intérêts et charges assimilées

1

 

Charges d'intérêts

127 515

120 016

(1) Dont 7 934 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2011 contre 6 009 milliers d'euros au 31 décembre 2010.

(2) Dont 1 709 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'État au 31décembre 2011 contre 1 912 milliers d'euros au 31 décembre 2010.

 

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

467

-28

439

121

-26

95

Sur opérations internes au Crédit Agricole

13 791

-7 366

6 425

15 845

-8 527

7 318

Sur opérations avec la clientèle

18 379

-362

18 017

19 433

-324

19 109

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

8

 

8

8

 

8

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

2 937

-225

2 712

2 967

-201

2 766

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers

54 232

-6 537

47 695

56 461

-6 360

50 101

Gestion d'opcvm, fiducie et activités analogues

1 383

-20

1 363

1 503

-22

1 481

Produits nets des commissions

91 197

-14 538

76 659

96 338

-15 460

80 878

 

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

1 699

-73

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par option

-700

1 526

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

164

120

Résultat de la comptabilité de couverture

-302

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

861

1 573

 

 

Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

19 920

-20 222

-302

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

2 363

-17 859

-15 496

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

17 557

-2 363

15 194

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

188 670

-188 670

 

Variations de juste valeur des éléments couverts

95 926

-92 744

3 182

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

92 744

-95 926

-3 182

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

    Total résultat de la comptabilité de couverture

208 590

-208 892

-302

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

3 022

-3 022

 

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

1 584

-1 438

146

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

1 438

-1 584

-146

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace (1)

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

110 263

-110 263

 

Variations de juste valeur des éléments couverts

52 726

-57 537

-4 811

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

57 537

-52 726

4 811

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

    Total résultat de la comptabilité de couverture

113 285

-113 285

 

 

 

4.4. Gains ou pertes nets sur actifs financiers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dividendes reçus

8 260

8 428

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente *

41

-34

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres)

-87

-8

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

8 214

8 386

(*) Hors résultat de cession sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement mentionnés en note 4.8.

 

 

Au 31/12/2011, la Caisse Régionale Sud Méditerranée à déprécié durablement les titres suivants : CA Innove pour un montant de 24 K€, SACAM SANTEFFI pour 9 K€ et SUD MED IMMOBILISATIONSpour 54 K€.

 

4.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-606

-257

Autres produits (charges) nets

-438

915

Produits (charges) des autres activités

-1 044

658

 

 

4.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Charges de personnel

54 837

52 138

Impôts et taxes

4 235

3 382

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation

33 105

31 845

Charges d'exploitation

92 177

87 365

 

 

Ce montant intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2011 est donnée ci-dessous :

 

(En milliers d'euros hors taxe)

2011

2010

E & Y

KPMG

Total

Total

Commissaires aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés

135

62

197

193

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du Commissariat aux comptes

 

 

 

 

    Total

135

62

197

193

 

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dotations aux amortissements

6 924

6 759

    Immobilisations corporelles

6 921

6 562

    Immobilisations incorporelles

3

197

Dotations aux dépréciations

 

 

    Immobilisations corporelles

 

 

    Immobilisations incorporelles

 

 

        Total

6 924

6 759

 

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-68 819

-55 987

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

-62 146

-48 290

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

-173

-166

Autres actifs

-5 581

-7 491

Engagements par signature

-381

 

Risques et charges

-538

-40

Reprises de provisions et de dépréciations

31 164

25 801

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

30 507

25 192

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Autres actifs

467

216

Engagements par signature

150

57

Risques et charges

40

336

Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-37 655

-30 186

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-257

-191

Récupérations sur prêts et créances amortis

494

834

Décotes sur crédits restructurés

-87

-41

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

-112

-10

Coût du risque

-37 617

-29 594

 

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

-91

153

Plus-values de cession

3

163

Moins-values de cession

-94

-10

Titres de capitaux propres consolidés

0

0

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

Produits (charges) nets sur opérations de regroupement

0

0

Gains ou pertes sur autres actifs

-91

153

 

 

4.10. Impôts :

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Charge d'impôt courant

12 675

17 651

Charge d'impôt différé

-179

1 333

Charge d'impôt de la période

12 496

18 984

 

 

— Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

– Au 31/12/2011 :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

42 567

Taux d'impôt théorique 36,10%

15 367

Effet des différences permanentes

 

 

-2 518

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

 

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-436

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-11

Effet des autres éléments

 

 

94

Taux et charge effectif d'impôt

 

29,34%

12 496

 

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2011.

L’application de la loi de finances rectificative pour 2011 relative à l’Impôt sur les sociétés prévoît une contribution exceptionnelle et temporaire de 5% du taux d’IS pour les entreprises ayant un chiffre d’affaires supérieur à 250 M€.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée, dont le chiffre d’affaires pour 2011 est de 315,6 M€, est concernée par cette nouvelle disposition. L’incidence de cette mesure a conduit la Caisse Régionale Sud Méditerranée à comptabiliser un complément d’IS de 671 K€ au 31/12/2011.

– Au 31/12/2010 :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

59 203

Taux d'impôt théorique 34,43%

20 384

Effet des différences permanentes

 

 

-1 173

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

263

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-467

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

17

Effet des autres éléments

 

 

-40

Taux et charge effectif d'impôt

 

32,07%

18 984

 

 

4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période, net d’impôts.

 

(En milliers d'euros)

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Total des gains/pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponibles à la vente (1)

Variation de juste valeur des dérivés de couverture

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

Variation de juste valeur

 

-2 775

44

 

-2 731

Transfert en compte de résultat

 

-39

 

 

-39

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

298

298

Variation des gains et pertes actuarielssur avantages post emploi

 

 

 

 

 

Quote part de gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

 

 

 

 

 

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2011 (part du Groupe)

 

-2 814

44

298

-2 472

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2011 (part minoritaire)

 

 

 

 

 

    Total gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2011 (1)

 

-2 814

44

298

-2 472

Variation de juste valeur

 

-1 792

74

 

-1 718

Transfert en compte de résultat

 

 

 

 

 

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

 

Variation des gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

 

 

-465

-465

Quote part de gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

 

 

 

 

 

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2010 (part du Groupe)

 

-1 792

74

-465

-2 183

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2010 (part minoritaire)

 

 

 

 

 

    Total gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2010 (1)

 

-1 792

74

-465

-2 183

 

 

 

(1) Les données « total des gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs disponibles à la vente » se décomposent comme suit :

 

 

31/12/2011

31/12/2010

Montant brut

2 685

1 628

Impôt

129

164

    Total net

2 814

1 792

 

 

5. – Informations sectorielles.

 

Définition des secteurs opérationnels. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf note 3.1).

 

 

6. – Notes relatives au bilan.

 

6.1. Caisse, Banques centrales :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

23 810

 

24 090

 

Banques centrales

5 975

 

6 073

 

    Total en principal

29 785

0

30 163

0

Créances/ dettes rattachées

 

 

24

 

Valeur au bilan

29 785

0

30 187

0

 

 

6.2. Actifs et Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

406

664

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

8 780

9 839

Valeur au bilan

9 186

10 503

    Dont Titres prêtés

 

 

 

 

— Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

0

0

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

    Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Instruments dérivés

406

664

Valeur au bilan

406

664

 

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

8 780

9 839

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

8 780

9 839

    Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Valeur au bilan

8 780

9 839

 

 

— Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

672

1 024

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

Valeur au bilan

672

1 024

 

 

— Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Titres vendus à découvert

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

672

1 024

Valeur au bilan

672

1 024

 

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêts et de change.

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Juste valeur

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Juste valeur

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 469

141

 

4 465

97

 

Actions et autres titres à revenu variable

1 456

2

 

1 526

 

-3

Titres de participation non consolidés

260 307

7 338

-3 570

254 083

7 952

-1 449

    Total des titres disponibles à la vente

266 232

7 481

-3 570

260 074

8 049

-1 452

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

    Total des créances disponibles à la vente

0

0

0

0

0

0

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

266 232

7 481

-3 570

260 074

8 049

-1 452

Impôts

 

-293

 

 

-166

1

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs financiers disponibles à la vente (net IS)

 

7 188

-3 570

 

7 883

-1 451

(1) Dont – 1 312 M€ comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

 

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle :

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Établissements de crédit :

 

 

    Comptes et prêts

3 813

2 959

        Dont comptes ordinaires débiteurs sains

3 813

2 959

        Dont comptes et prêts au jour le jour sains

 

 

    Valeurs reçues en pension

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

    Prêts subordonnés

201

395

    Titres non cotés sur un marché actif

 

113

    Autres prêts et créances

 

 

            Total (1)

4 014

3 467

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeur nette

4 014

3 467

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

    Comptes ordinaires

23 723

23 025

    Comptes et avances à terme

163 925

73 939

    Prêts subordonnés

13 508

13 519

    Titres non cotés sur un marché actif

 

 

            Total (1)

201 156

110 483

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeur nette

201 156

110 483

Valeur nette au bilan

205 170

113 950

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les créances rattachées.

 

 

Prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Opérations avec la clientèle

 

 

    Créances commerciales

17 290

17 803

    Autres concours à la clientèle

4 604 817

4 551 714

    Titres reçus en pension livrée

 

 

    Prêts subordonnés

6 897

27 000

    Titres non cotés sur un marché actif

1 024

1 015

    Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

    Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

    Avances en comptes courants d'associés

19 552

55 641

    Comptes ordinaires débiteurs

39 803

38 915

        Total (1)

4 689 383

4 692 088

Créances rattachées

 

38 169

Dépréciations

-195 179

-172 797

Valeur nette

4 494 204

4 557 460

Opérations de location financement

 

 

    Location-financement immobilier

 

 

    Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

    Total (1)

0

0

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeur nette

0

0

Valeur nette au bilan

4 494 204

4 557 460

 

 

Créances apportées en garantie. — Au cours de l’année 2011, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a apporté 1 314 483 K€ de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 1 084 440 K€ en 2010. La Caisse Régionale Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

En particulier, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a apporté :

— 722 321 K€ de créances à Crédit Agricole SA dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France contre 659 410 K€ en 2010;

— 139 413 K€ de créances à Crédit Agricole SA dans le cadre du dispositif SFEF (Société de Financement de l'Economie Française), contre 184 026 K€ en 2010;

— 166 103 K€ de créances hypothécaires à Crédit Agricole SA dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 146 212 K€ en 2010.

— 258 786 K€ de créances à Crédit Agricole SA ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 94 793 K€ en 2010.

— 27 861 K€ de créances à d’autres partenaires hors groupe.

 

6.6. Dépréciations inscrites en déduction d’actifs financiers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2011

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

172 797

69 294

46 912

 

195 179

    Dont dépréciations collectives

45 485

6 678

4 903

 

47 260

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

3 128

173

 

 

3 301

Actifs disponibles à la vente

1 264

87

39

 

1 312

Autres actifs financiers

10 647

5 581

2 062

 

14 166

        Total des dépréciations des actifs financiers

187 836

75 135

49 013

 

213 958

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2009

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2010

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

153 112

55 049

35 364

 

172 797

    Dont dépréciations collectives

49 640

3 307

7 462

 

45 485

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

2 962

166

 

 

3 128

Actifs disponibles à la vente

1 256

8

 

 

1 264

Autres actifs financiers

3 670

7 491

514

 

10 647

        Total des dépréciations des actifs financiers

161 000

62 714

35 878

 

187 836

 

 

6.7. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle :

— Dettes envers les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Établissements de crédit

 

 

    Comptes et emprunts

290

395

        Dont comptes ordinaires créditeurs

 

 

        Dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

    Valeurs données en pension

 

 

    Titres donnés en pension livrée

 

 

            Sous-total (1)

290

395

Dettes rattachées

 

1

            Total

290

396

Opérations internes au Crédit Agricole

 

 

    Comptes ordinaires créditeurs

 

 

    Comptes et avances à terme

2 945 104

2 871 484

            Sous-total (1)

2 945 104

2 871 484

Dettes rattachées

 

9 713

            Total

2 945 104

2 881 197

Valeur au bilan

2 945 394

2 881 593

 

 

— Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Comptes ordinaires créditeurs

992 197

1 047 854

Comptes d'épargne à régime spécial

9 301

9 692

Autres dettes envers la clientèle

413 082

356 518

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

494

 

        Total (1)

1 415 074

1 414 064

Dettes rattachées

 

8 149

Valeur au bilan

1 415 074

1 422 213

(1) Au 31/12/2011 les montants communiqués incluent les dettes rattachées.

 

 

6.8. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

53 449

48 173

    Total

53 449

48 173

Dépréciations

-3 301

-3 128

Valeur nette au bilan

50 148

45 045

 

6.9. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dettes représentées par un titre :

 

 

    Bons de caisse

2 166

1 540

    Titres du marché interbancaire

 

 

    Titres de créances négociables

156 120

152 450

    Emprunts obligataires

 

 

    Autres dettes représentées par un titre

250

 

    Total (1)

158 536

153 990

Dettes rattachées

 

221

Valeur au bilan

158 536

154 211

Dettes subordonnées :

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

15 315

19 414

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

        Total (1)

15 315

19 414

Dettes rattachées

 

619

Valeur au bilan

15 315

20 033

 

 

6.10. Actifs et passifs d’impôts courants et différés :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Impôts courants

4 859

10 212

Impôts différés

19 788

19 589

    Total actifs d'impôts courants et différés

24 647

29 801

Impôts courants

24

17 734

Impôts différés

 

 

    Total passifs d'impôts courants et différés

24

17 734

 

 

Le net des actifs et passifs d’impôts différés se décompose comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Décalages temporaires comptables-fiscaux

19 322

 

19 307

0

Charges à payer non déductibles

116

 

816

 

Provisions pour risques et charges non déductibles

17 383

 

16 918

 

Autres différences temporaires

1 823

 

1 573

 

Impôts différés/Réserves latentes

833

243

857

132

Actifs disponibles à la vente

 

243

 

132

Couvertures de Flux de Trésorerie

833

 

857

 

Gains et pertes/Ecarts actuariels

 

 

 

 

Impôts différés/Résultat

304

428

140

583

Effet des compensations

 

 

 

 

    Total impôts différés

20 459

671

20 304

715

 

 

Les impôts différés sont compensés au bilan par entité fiscale.

 

6.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers :

— Comptes de régularisation et actifs divers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Autres actifs

66 207

51 143

Comptes de stocks et emplois divers

36 697

23 688

Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

Débiteurs divers

29 429

27 389

Comptes de règlements

81

66

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

63 896

66 251

Comptes d'encaissement et de transfert

42 276

46 428

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

1

Produits à recevoir

20 852

19 106

Charges constatées d'avance

522

573

Autres comptes de régularisation

245

143

Valeur nette au bilan

130 103

117 394

 

 

— Comptes de régularisation et passifs divers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Autres passifs (1)

23 906

20 765

Comptes de règlements

107

194

Créditeurs divers

23 197

19 675

Versement restant à effectuer sur titres

602

896

Autres passifs d'assurance

 

 

Autres

 

 

Comptes de régularisation

47 813

55 875

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

7 663

16 848

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

Produits constatés d’avance

19 465

16 576

Charges à payer

19 819

21 376

Autres comptes de régularisation

866

1 075

Valeur au bilan

71 719

76 640

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) Les montants sont indiqués en net.

 

 

6.12. Immeubles de placement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2011

Valeur brute

2 633

3 371

 

-443

5 561

Amortissements et dépréciations

-512

-606

 

 

-1 118

Valeur nette au bilan

2 121

2 765

0

-443

4 443

 

 

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2011

Valeur brute

385

2 302

54

 

2 633

Amortissements et dépréciations

255

257

 

 

512

Valeur nette au bilan

130

2 045

54

 

2 121

 

 

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

La valeur de marché des immeubles de placements comptabilisés au coût amorti, établie « à dire d’expert », s’élève à 4 443 milliers d’euros au 31 décembre 2011 contre 2 121 milliers d’euros au 31 décembre 2010.

 

6.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2011

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

116 770

3 880

1 393

443

119 700

    Amortissements et dépréciations (1)

-76 452

-6 921

-501

 

-82 872

    Valeur nette au bilan

40 318

-3 041

892

443

36 828

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

10 649

210

56

 

10 803

    Amortissements et dépréciations

-9 911

-3

 

 

-9 914

    Valeur nette au bilan

738

207

56

 

889

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2009

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2010

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

112 038

9 280

4 548

 

116 770

    Amortissements et dépréciations (1)

-70 321

-.6 562

-431

 

-76 452

    Valeur nette au bilan

41 717

2 718

4 117

 

40 318

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

10 526

124

1

 

10 649

    Amortissements et dépréciations

-9 714

-197

 

 

-9 911

    Valeur nette au bilan

812

-73

1

 

738

(1) Y compris les amortissements sur immobilisations données en location simple.

 

 

6.14. Provisions :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2011

Risques sur les produits épargne logement

2 941

230

 

619

 

2 552

Risques d’exécution des engagements par signature

854

381

 

150

 

1 085

Risques opérationnels

3 269

664

18

1

 

3 914

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

490

 

 

19

 

471

Litiges divers

671

816

1 318

 

 

169

Participations

0

 

 

 

 

0

Restructurations

0

 

 

 

 

0

Autres risques

2 357

1 379

762

231

 

2 743

    Total

10 582

3 470

2 098

1 020

0

10 934

(1) Dont 0 K€ au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.5, dont 471 K€ au titre de la provision pour médaille du travail.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2009

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2010

Risques sur les produits épargne logement

3 372

1 068

 

1 499

 

2 941

Risques d’exécution des engagements par signature

911

 

 

57

 

854

Risques opérationnels

5 675

710

2 575

541

 

3 269

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

432

58

 

 

 

490

Litiges divers

873

551

695

58

 

671

Participations

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

0

Autres risques

2 102

573

274

44

 

2 357

    Total

13 365

2 960

3 544

2 199

0

10 582

(1) Dont 0 K€ au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7,5, dont 490 K€ au titre de la provision pour médaille du travail.

 

 

Provision épargne-logement :

— Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Plans d'épargne-logement :

 

 

    Ancienneté de moins de 4 ans

313 766

263 747

    Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

192 508

217 136

    Ancienneté de plus de 10 ans

129 189

149 136

        Total plans d'épargne-logement

635 463

630 019

        Total comptes épargne-logement

88 161

92 054

        Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

723 624

722 073

 

 

— Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Plans d'épargne-logement :

4 960

6 610

Comptes épargne-logement :

13 430

15 813

    Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

18 390

22 423

 

 

— Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Plans d'épargne-logement :

 

 

    Ancienneté de moins de 4 ans

 

 

    Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

357

295

    Ancienneté de plus de 10 ans

1 786

2 287

        Total plans d'épargne-logement

2 143

2 582

        Total comptes épargne-logement

409

359

        Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 552

2 941

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

Dotations

Reprises

31/12/2011

Plans d'épargne-logement :

2 582

121

560

2 143

Comptes épargne-logement :

359

109

59

409

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 941

230

619

2 552

 

 

L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ».

 

6.15. Capitaux propres :

 

Composition du capital au 31 décembre 2011. — La Caisse régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement et de Certificats Coopératifs d’Associés.

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2011

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2011

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

 

 

459 957

    Dont part du Public

 

 

 

 

    Dont part Crédit Agricole SA

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

12 817 434

 

 

12 669 005

    Dont 53 caisses locales

12 817 410

 

148 430

12 668 980

    Dont 24 administrateurs de la CR

23

1

 

24

    Dont Crédit Agricole SA

1

 

 

1

        Total

13 277 391

1

148 430

13 128 962

 

 

La valeur nominale des titres est de :

— 15,25 € pour les CCA ;

— 15,25 € pour les parts sociales émises par la CR ;

— 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales.

Au 31/12/2011, le capital de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 26 754 K€.

Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont composés de parts sociales et de CCA.

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

La rémunération des CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Dividendes. — L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2011 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 28 mars 2012.

— Dividendes : Pour les Caisses Régionales :

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

Montant Net

Montant Net

2008

7,11

0,05

2009

7,08

0,05

2010

6,47

0,05

Prévu 2011

4,66

0,05

 

 

Affectations du résultat et fixation du dividende 2011 :

— Projet affectation du résultat social au 31/12/2011 :

 

Résultat comptable à affecter

28 609 166,52 €

Distribué

2 776 978,47 €

Intérêts aux parts sociales

631 290,98 €

Rémunération des CCA

2 145 687,49 €

Conservé

25 832 188,05 €

Réserve légale

19 374 141,04 €

Autre réserve

6 458 047,01 €

 

 

6.16. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle. — La ventilation présentée des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle.

L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle.

Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminé ».

Les écarts de réévaluation des portefeuilles couverts en taux sont considérés comme ayant une échéance indéterminée compte tenu de l’absence de maturité définie.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indeterminé

Total

Caisse, banques centrales

29 785

 

 

 

 

29 785

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

74

6

1 750

7 356

 

9 186

Instruments dérivés de couverture

 

396

10 083

86 172

 

96 651

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

4 085

262 147

266 232

Prêts et créances sur les établissements de crédit

61 633

3 943

30 030

96 064

13 500

205 170

Prêts et créances sur la clientèle

431 230

446 026

1 307 250

2 308 682

1 015

4 494 203

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

52 811

 

 

 

 

52 811

Actifs financiers detenus jusqu'à l'échéance

1 088

993

18 205

29 862

 

50 148

    Total actifs financiers par échéance

576 621

451 364

1 367 318

2 532 221

276 662

5 204 187

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

672

 

 

672

Instruments dérivés de couverture

717

4 050

14 988

46 155

 

65 910

Dettes envers les établissements de crédit

484 928

884 137

819 754

756 575

 

2 945 394

Dettes envers la clientèle

1 055 248

162 206

146 259

51 361

 

1 415 074

Dettes représentées par un titre

7 300

986

 

150 250

 

158 536

Dettes subordonnées

476

 

 

14 839

 

15 315

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

71 849

 

 

 

 

71 849

    Total passifs financiers par échéance

1 620 518

1 051 379

981 673

1 019 180

0

4 672 750

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2010

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indeterminé

Total

Caisse, banques centrales

30 187

 

 

 

 

30 187

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

252

 

664

9 587

 

10 503

Instruments dérivés de couverture

290

1 053

6 034

44 535

 

51 912

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

260 074

260 074

Prêts et créances sur les établissements de crédit

62 143

4 566

25 952

21 289

 

113 950

Prêts et créances sur la clientèle

418 022

546 852

1 318 888

2 272 683

1 015

4 557 460

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux (1)

13 394

 

 

 

 

13 394

Actifs financiers detenus jusqu'à l'échéance

675

1 406

11 486

31 478

 

45 045

    Total actifs financiers par échéance

524 963

553 877

1 363 024

2 379 572

261 089

5 082 525

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

927

97

 

1 024

Instruments dérivés de couverture

545

2 543

3 441

24 868

 

31 397

Dettes envers les établissements de crédit

448 190

696 171

1 010 486

726 746

 

2 881 593

Dettes envers la clientèle

1 117 833

135 415

163 392

5 573

 

1 422 213

Dettes représentées par un titre

1 311

2 900

 

150 000

 

154 211

Dettes subordonnées

619

4 600

 

 

14 814

20 033

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux (1)

35 614

 

 

 

 

35 614

    Total passifs financiers par échéance

1 604 112

841 629

1 178 246

907 284

14 814

4 546 085

 

 

7. – Avantages au personnel et autres rémunérations.

 

7.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Salaires et traitements (1)

29 257

27 801

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

3 271

3 050

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

1 348

863

Autres charges sociales

11 099

10 315

Intéressement et participation

5 328

6 038

Impôts et taxes sur rémunération

4 534

4 071

    Total charges de personnel

54 837

52 138

(1) Dont indemnités liées à la retraite pour 110 milliers d’euros au 31/12/2011 contre 70 milliers d’euros au 31/12/2010 ;

    Dont médailles du travail pour -19 milliers d’euros au 31/12/2011 contre 59 milliers d’euros au 31/12/2010.

 

 

7.2. Effectif fin de période :

 

Effectifs

31/12/2011

31/12/2010

France

879

888

Etranger

13

14

    Total

892

902

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole SA n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies :

 

Variation dette actuarielle (en milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dette actuarielle au 31/12/n-1

10 659

9 655

Ecart de change

 

 

Coût des services rendus sur la période

853

770

Coût financier

415

492

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-447

-786

(Gains)/pertes actuariels *

50

528

Dette actuarielle au 31/12/n

11 530

10 659

 

 

Détail de la charge comptabilisée au résultat (en milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Coût des services rendus

853

770

Coût financier

415

492

Rendement attendu des actifs

-336

-322

Amortissement du coût des services passés

16

19

Gains/(pertes) actuariels net

 

 

Amortissement des gains/pertes générés par modifications, réductions et liquidations de régimes

 

 

Gains/(pertes) du(e)s au changement de limitation d'actifs

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

948

959

 

 

Variation de juste valeur des actifs et des Droits à remboursement (en milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/n-1

8 746

8 633

Ecart de change

 

 

Rendement attendu des actifs

336

322

Gains/(pertes) actuariels

517

-183

Cotisations payées par l'employeur

2 212

760

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Prestations payées par le fonds

-447

-786

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/n

11 364

8 746

 

 

Position nette(en milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Dette actuarielle fin de période

11 530

10 659

Coût des services passés (modification de régimes) non reconnus

166

183

Impact de la limitation d'actifs

 

 

Juste valeur des actifs fin de période

11 364

8 746

Position nette (passif)/actif fin de période

0

-1 729

 

 

Eléments reconnus immédiatement en sorie et comptabilisés dans le résultat global (en millions d'Euros)

31/12/2011

31/12/2010

Ecarts actuariels générés sur les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi

-466

710

Ajustements de plafonnement des actifs (incluant les effets d'ifric 14)

 

 

Total des éléments reconnus immédiatement en sorie dans l'année

-466

710

Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en sorie en fin d'année

-80

386

 

 

7.5. Autres avantages sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 471 € à la fin de l’exercice 2011.

 

7.6. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de Direction et d’Administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 281,3 K€.

 

 

8. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

 

Engagements donnés et reçus :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Engagements donnés :

 

 

    Engagements de financement

593 427

518 940

        Engagements en faveur d'établissements de crédit

100 000

 

        Engagements en faveur de la clientèle

493 427

518 940

            Ouverture de crédits confirmés

405 158

410 186

                Ouverture de crédits documentaires

409

738

                Autres ouvertures de crédits confirmés

404 749

409 448

            Autres engagements en faveur de la clientèle

88 269

108 754

    Engagements de garantie

319 214

127 751

        Engagements d'ordre d'établissement de crédit

201 340

0

            Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

            Autres garanties (1)

201 340

 

    Engagements d'ordre de la clientèle

117 874

127 751

        Cautions immobilières

10 900

10 800

        Garanties financières

76 300

86 527

        Autres garanties d'ordre de la clientèle

30 674

30 424

Engagements reçus :

 

 

    Engagements de financement

350 152

350 152

        Engagements reçus d'établissements de crédit

350 152

350 152

        Engagements reçus de la clientèle

 

 

    Engagements de garantie

801 015

699 019

        Engagements reçus d'établissements de crédit

38 699

18 389

        Engagements reçus de la clientèle

762 316

680 630

            Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

140 337

136 602

            Autres garanties reçues

621 979

544 028

(*) Dont 201 340 milliers d’euros relatifs aux engagements des garanties Switch.

 

 

Actifs donnés en garantie de passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Titres prêtés

-632

-473

Dépôts de garantie sur opérations de marché

 

 

Titres et valeurs donnés en pension

 

 

    Total

-632

-473

 

 

Garanties détenues. — La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Actifs non courants détenus en vue de la vente

 

 

Immobilisations corporelles

117 538

113 157

Immeubles de placement

5 561

2 633

Instruments de capitaux propres et de dettes

5 046 091

5 003 613

Autres

40 571

40 812

    Total

5 209 761

5 160 215

 

 

9. – Juste valeur des instruments financiers.

 

La juste valeur d’un instrument financier est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé ou une dette réglée entre des parties avisées, consentantes dans une transaction conclue à des conditions normales.

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

Dans la pratique, et dans une logique de continuité de l’activité, l’ensemble de ces instruments financiers pourrait ne pas faire l’objet d’une réalisation immédiate pour la valeur estimée ci-dessous.

 

9.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2011

31/12/2010

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Actifs :

 

 

 

 

    Prêts et créances sur les établissements de crédit

205 170

205 170

113 950

113 954

    Prêts et créances sur la clientèle

4 494 204

4 553 905

4 557 460

4 719 463

    Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

50 148

43 946

45 045

42 537

Passifs :

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédits

2 945 394

3 019 529

2 881 593

2 937 055

    Dettes envers la clientèle

1 415 074

1 415 074

1 422 213

1 422 213

    Dettes représentées par un titre

158 536

158 536

154 211

168 982

    Dettes subordonnées

15 315

15 315

20 033

20 033

 

 

Pour les instruments financiers, la meilleure estimation correspond au prix de marché de l’instrument lorsque celui-ci est traité sur un marché actif (cours cotés et diffusés).

En l’absence de marché ou de données fiables, la juste valeur est déterminée par une méthode appropriée conforme aux méthodologies d’évaluations pratiquées sur les marchés financiers : soit la référence à la valeur de marché d’un instrument comparable, soit l’actualisation des flux futurs, soit des modèles d’évaluation.

Dans les cas où il est nécessaire d’approcher les valeurs de marché au moyen d’évaluation, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs estimés qui est la plus couramment utilisée.

En outre, il est à noter que la Caisse Régionale Sud Méditerranée prend en compte le rapport d’experts publié par l’IASB le 31 octobre 2008 et relatif à la valorisation de certains instruments financiers à la juste valeur cotés sur des marchés qui ne sont plus actifs.

Par ailleurs, dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

— des passifs exigibles à vue ;

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

9.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur :

 

Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation :

— Actifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2011

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

406

 

406

 

    Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

    Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

    Instruments dérivés

406

 

406

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

8 780

 

8 780

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

    Titres à la juste valeur par résultat sur option

8 780

 

8 780

 

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

8 780

 

8 780

 

    Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

266 232

4 085

262 147

 

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

4 469

4 085

384

 

    Actions et autres titres à revenu variable

261 763

 

261 763

 

    Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

    Instruments dérivés de couverture

96 651

 

96 651

 

        Total actifs financiers valorisés à la juste valeur

372 069

4 085

367 984

 

 

 

— Actifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2010

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

664

 

664

 

    Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

    Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

        Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

        Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

        Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

    Instruments dérivés

664

 

664

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

9 839

 

9 839

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

        Titres à la juste valeur par résultat sur option

9 839

 

9 839

 

        Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

        Obligations et autres titres à revenu fixe

9 839

 

9 839

 

        Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

260 074

4 042

256 032

 

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

4 465

4 042

423

 

    Actions et autres titres à revenu variable

255 609

 

255 609

 

    Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

    Instruments dérivés de couverture

51 912

 

51 912

 

            Total actifs financiers valorisés à la juste valeur

322 489

4 042

318 447

 

 

 

Passifs financiers valorisés à la juste valeur. — Les montants présentés sont y compris dettes rattachées :

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2011

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

672

 

672

 

    Titres vendus à découvert

 

 

 

 

    Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

    Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

    Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

    Instruments dérivés

672

 

672

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

65 910

 

65 910

 

        Total passifs financiers valorisés à la juste valeur

66 582

 

66 582

 

 

 

(En milliers d'euros)

Total 31/12/2010

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

1 024

 

1 024

 

    Titres vendus à découvert

 

 

 

 

    Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

    Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

    Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

    Instruments dérivés

1 024

 

1 024

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

31 397

 

31 397

 

        Total passifs financiers valorisés à la juste valeur

32 421

 

32 421

 

 

 

10. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2011.

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode de consolidation au 31/12/2011

% De contrôle et d'intérêt

31/12/2011

31/12/2010

Caisse Locale à vocation départementale des P.O

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARGELES -ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BAGES - SUD REART

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TERRES DE JAUMET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BANYULS S/MER

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale porte de la salanque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CABESTANY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CARAMAY - BELESTA - TREVILLAC

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COLLIOURE - PORT VENDRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MOYEN AGLY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ILLE SUR TET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BASSIN DE L'AGLY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MAURY - LESQUERDE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MILLAS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PEZILLA - CORNEILLA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de POLLESTRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ASPRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PRADES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de RIVESALTES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST FELIU D'AVALL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de AGLY SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST NAZAIRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALEILLES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALSES - OPOUL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale les RIVES DE LA BASSE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de THUIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VINCA - TARERACH - SOURNIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARLES S/TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d' AX LES THERMES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LA BASTIDE DE SEROU

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CASTILLON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de FOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LAVELANET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LEZAT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du MAS D AZIL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de STE CROIX VOLVESTRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST GIRONS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TARASCON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VARILHES

France

Intégration Globale

100

100

 

 

IX. — Rapport des commissaires aux comptessur les comptes consolidés.

 

Aux Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2011, sur :

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— la vérification spécifique prévue par la loi.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d’ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l’ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

 

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

Comme indiqué dans la note 1.3 de l’annexe, votre Caisse régionale constitue des dépréciations pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations et provisions individuelles et collectives.

La note 1.3 de l’annexe expose les règles et méthodes comptables relatives aux actifs financiers disponibles à la vente. Nous avons examiné les évaluations retenues pour la valorisation de ces titres et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à vérifier la correcte application des principes retenus par votre Caisse régionale pour leur dépréciation et plus particulièrement celle relative aux titres de capitaux propres.

Dans le cadre de l’arrêté des comptes, votre Caisse régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur l’évaluation en juste valeur des instruments financiers. Nous avons examiné et testé les processus mis en place par la direction, les hypothèses retenues et les paramètres utilisés, et vérifié, sur la base des informations qui nous ont été communiquées que ces estimations comptables s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes retenus par votre Caisse régionale.

Votre Caisse régionale procède à d’autres estimations dans le cadre habituel de la préparation de ses comptes consolidés, comme exposé en note 1.3 de l’annexe aux états financiers, qui portent, notamment, sur les engagements en matière de retraite et d’indemnités de fin de carrière. Nos travaux ont consisté à examiner les méthodes et hypothèses retenues et à vérifier que les estimations comptables qui en résultent s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans la note 1.3 de l’annexe aux états financiers.

Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

III. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion.

Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

Perpignan et Toulouse, le 5 mars 2012.

 

Les Commissaires aux Comptes :

SGADG :

Ernst & Young et Autres :

Albert Zaragoci ;

Frank Astoux.

 

 

1201746

13/02/2012 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N2)
Numéro d'affaire : 343
Texte de l'annonce :

1200343

13 février 2012BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°19


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335. — Code APE : 651 D.

 

Situation au 31 décembre 2011.

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

29 785

Effets publics et valeurs assimilées

0

Créances sur les établissements de crédits

4 015

Opérations internes au Crédit agricole

209 753

Opérations avec la clientèle

4 512 716

Obligations et autres titres à revenu fixe

60 086

Actions et autres titres à revenu variable

4 049

Participations et autres titres détenus à long terme

273 223

Parts dans les entreprises liées

936

Immobilisations corporelles et incorporelles

42 151

Autres actifs

71 139

Comptes de régularisation

92 770

        Total de l’actif

5 300 623

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

290

Opérations internes au Crédit agricole

2 952 324

Comptes créditeurs de la clientèle

1 418 242

Dettes représentées par un titre

158 286

Autres passifs

20 823

Comptes de régularisation

89 054

Provisions pour risques et charges

58 804

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 591

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres (hors FRBG)

577 652

    Capital souscrit

28 057

    Primes d’émission

129 625

    Réserves

419 970

    Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

    Report à nouveau

0

        Total du passif

5 300 623

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

912 910

    Engagements de financements

593 426

    Engagements de garantie

319 214

    Engagements sur titres

270

Engagements reçus

1 151 438

    Engagements de financements

350 152

    Engagements de garantie

801 016

    Engagements sur titres

270

 

 

1200343

16/11/2011 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N2)
Numéro d'affaire : 6425
Texte de l'annonce :

1106425

16 novembre 2011BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°137


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE/PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335. — Code APE : 651 D.

 

Situation au 30 septembre 2011.

(En milliers d’euros).

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

30 117

Effets publics et valeurs assimilées

0

Créances sur les établissements de crédits

4 716

Opérations internes au Crédit agricole

167 590

Opérations avec la clientèle

4 521 092

Obligations et autres titres à revenu fixe

60 463

Actions et autres titres à revenu variable

4 064

Participations et autres titres détenus à long terme

314 592

Parts dans les entreprises liées

936

Immobilisations corporelles et incorporelles

41 520

Autres actifs

78 844

Comptes de régularisation

89 932

        Total de l’actif

5 313 866

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

574

Opérations internes au Crédit agricole

2 928 570

Comptes créditeurs de la clientèle

1 446 422

Dettes représentées par un titre

162 214

Autres passifs

14 263

Comptes de régularisation

99 248

Provisions pour risques et charges

60 032

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 334

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG

577 652

    Capital souscrit

28 057

    Primes d’émission

129 625

    Réserves

419 970

    Provisions règlementées et subventions d’investissement

 

    Report à nouveau

0

        Total du passif

5 313 866

 

Hors-bilan

Montant

Engagements donnés

750 564

    Engagements de financements

612 625

    Engagements de garantie

137 323

    Engagements sur titres

616

Engagements reçus

1 142 837

    Engagements de financements

350 152

    Engagements de garantie

792 069

    Engagements sur titres

616

 

 

1106425

29/08/2011 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N2)
Numéro d'affaire : 5436
Texte de l'annonce :

1105436

29 août 2011BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°103


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



 

 

 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335. Code APE : 651 D.

 

Situation au 30 juin 2011.

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Montant

Caisse, banques centrales

31 686

Effets publics et valeurs assimilées

0

Créances sur les établissements de crédits

3 049

Opérations internes au Crédit agricole

95 962

Opérations avec la clientèle

4 566 534

Obligations et autres titres à revenu fixe

62 302

Actions et autres titres à revenu variable

4 066

Participations et autres titres détenus à long terme

313 210

Parts dans les entreprises liées

937

Immobilisations corporelles et incorporelles

41 833

Autres actifs

66 158

Comptes de régularisation

77 096

        Total de l’actif

5 262 833

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit

424

Opérations internes au Crédit agricole

2 954 541

Comptes créditeurs de la clientèle

1 376 629

Dettes représentées par un titre

164 156

Autres passifs

15 371

Comptes de régularisation

87 130

Provisions pour risques et charges

62 293

Dettes subordonnées et titres participatifs

17 080

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG

577 652

    Capital souscrit

28 057

    Primes d’émission

129 625

    Réserves

419 970

    Provisions règlementées et subventions d’investissement

 

    Report à nouveau

0

        Total du passif

5 262 833

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés

666 810

    Engagements de financements

528 104

    Engagements de garantie

138 182

    Engagements sur titres

524

Engagements reçus

1 106 781

    Engagements de financements

350 296

    Engagements de garantie

755 961

    Engagements sur titres

524

 

 

 

1105436

06/06/2011 : Publications périodiques (74C)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège / Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles) (74C_N2)
Numéro d'affaire : 3191
Texte de l'annonce :

1103191

6 juin 2011BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°67


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Chiffres d'affaires et situations trimestrielles)
____________________



CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES )  

Société coopérative à capital variable régie par les dispositions du Livre V du Code Rural au Capital social de 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 PERPIGNAN CEDEX.

Numéro Siren : 776 179 335 code APE 651 D.

 

Situation au 31 Mars 2011

(En milliers d’euros)

 

Actif

Montan

Caisse, banques centrales

27 526

Effets publics et valeurs assimilées.

0

Créances sur les établissements de crédits.

2 943

Opérations internes au Crédit agricole

91 455

Opérations avec la clientèle

4 550 970

Obligations et autres titres à revenu fixe

62 110

Actions et autres titres à revenu variable.

4 089

Participations et autres titres détenus à long terme

304 252

Parts dans les entreprises liées

937

Immobilisations corporelles et incorporelles.

42 382

Autres actifs.

70 841

Comptes de régularisation.

75 196

        Total de l’actif

5 232 701

 

Passif

Montant

Banques centrales

0

Dettes envers les établissements de crédit.

5 149

Opérations internes au Crédit agricole.

2 930 187

Comptes créditeurs de la clientèle

1 349 411

Dettes représentées par un titre

163 360

Autres passifs.

37 514

Comptes de régularisation

80 610

Provisions pour risques et charges.

58 696

Dettes subordonnées et titres participatifs.

22 565

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

Capitaux propres hors FRBG.

577 652

    Capital souscrit

28 057

    Primes d’émission.

129 625

    Réserves

419 970

    Provisions règlementées et subventions d’investissement

0

    Report à nouveau

0

        Total du passif

5 232 701

 

Hors bilan

Montant

Engagements donnés.

663 057

    Engagements de financements.

525 896

    Engagements de garantie

136 347

    Engagements sur titres

814

Engagements reçus

1 084 276

    Engagements de financements.

350 000

    Engagements de garantie

733 462

    Engagements sur titres

814

 

 

 

1103191

29/04/2011 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N2)
Numéro d'affaire : 1654
Texte de l'annonce :

1101654

29 avril 2011BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°51


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

 

CAISSE REGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE (ARIEGE/PYRENÉES ORIENTALES)

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural.

Capital social au 31 décembre 2010 : 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro SIREN : 776 179 335 code APE 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2010.

 

Comptes annuels approuvés par l'Assemblée générale ordinaire du 24 mars 2011.

 

 

B. — Comptes consolidés au 31/12/ 2010.

 

Arrêtés par le conseil d’administration de Sud Méditerranée en date du 11 février 2011 et soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire en date du 24 mars 2011.

 

 

I. — Cadre général .

 

Présentation juridique de l’entité.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à Perpignan, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de commerce et des Sociétés de Perpignan sous la référence 776179335 et fait partie du groupe crédit agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole.

 

Un groupe bancaire d’essence mutualiste. — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 6,1 millions de sociétaires qui élisent quelques 32 500 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS rue La Boétie, détenue par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole SA La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

 

Crédit Agricole SA en qualité d’organe central du groupe Crédit Agricole veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (Art L511-31 et Art L511-32), à la cohésion du réseau du groupe Crédit Agricole (tel que défini par l’article R512-18 du Code monétaire et financier), au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent, au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole SA dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

 

ORGANIGRAMME ENVOYE PAR COURRIEL à insérer ici

 

 

Relations internes au Crédit agricole.

 

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe.

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit ou dettes envers les établissements de crédit ».

 

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Épargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne - logement, plans d'épargne populaire, livret jeune et livret A) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.…) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole SA et centralisées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan. Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole SA de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales leur permettant d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

 

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances - miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25%, puis 33% et, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

 

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole SA et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

 

Par ailleurs, 50% des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA.

 

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

 

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole SA.

 

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA, où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole « .

 

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole SA : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

— Opérations en devises : Crédit Agricole SA, intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

 

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole SA, la CNCA (devenue Crédit Agricole SA) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (« FRBLS ») destiné à permettre à Crédit Agricole SA d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole SA enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

 

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole SA, les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

Informations relatives aux parties liées. — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2010 et aux dirigeants. Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 58 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales. »

 

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 034 K€.

 

 

Etats financiers consolidés .

 

II. — Compte de résultat.

(En milliers d’euros.)

 

 

Notes

31/12/2010

31/12/2009

Intérêts et produits assimilés

4.1

211 289

231 160

Intérêts et charges assimilées

4.1

-120 016

-136 320

Commissions (produits)

4.2

96 338

91 788

Commissions (charges)

4.2

-15 460

-17 175

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

1 573

389

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4-6.4

8 386

9 970

Produits des autres activités

4.5

2 999

2 128

Charges des autres activités

4.5

-2 341

-2 711

Produit net bancaire

 

182 768

179 229

Charges générales d'exploitation (1)

4.6-7.1-7.4

-87 365

-84 415

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-6 759

-6 906

Résultat brut d’exploitation

 

88 644

87 908

Coût du risque

4.8

-29 594

-25 493

Résultat d'exploitation

 

59 050

62 415

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

153

555

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impôt

 

59 203

62 970

Impôts sur les bénéfices

4.10

-18 984

-19 834

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

Résultat net

 

40 219

43 136

Intérêts minoritaires

 

 

 

Résultat net – part du groupe

 

40 219

43 136

 

 

II. — Résultat net et gains et pertes comptabilises directement en ca pitaux propres.

(En milliers d’euros.)

 

 

Notes

31/12/2010

31/12/2009

Résultat net part du groupe

 

40 219

43 136

Gains et pertes sur écarts de conversion

 

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

 

-1 792

66 944

Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture

 

74

-500

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

-465

 

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du Groupe, hors entités mises en équivalence

 

-2 183

66 444

QP gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence (2)

 

 

 

        Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du Groupe

4.11

-2 183

66 444

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du groupe

 

38 036

109 580

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part des minoritaires

 

 

 

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

38 036

109 580

 

Les montants sont présentés net d’impôts.

 

 

III. — Bilan .

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2010

31/12/2009

Caisse, banques centrales

6.1

30 187

32 093

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

10 503

15 409

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

51 912

43 316

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.6

260 074

259 856

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5-6.6

113 950

205 173

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5-6.6

4 557 460

4 403 092

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

13 394

14 532

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

6.6-6.8

45 045

39 255

Actifs d'impôts courants et différés

6.10

29 801

20 767

Comptes de régularisation et actifs divers

6.11

117 394

91 528

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

Immeubles de placement

6.12

2 121

130

Immobilisations corporelles

6.13

40 318

41 717

Immobilisations incorporelles

6.13

738

812

Ecarts d'acquisition

 

 

 

        Total de l'actif

 

5 272 897

5 167 680

 

 

Passif

Notes

31/12/2010

31/12/2009

Banques centrales

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

1 024

1 206

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

31 397

24 436

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.7

2 881 593

2 958 518

Dettes envers la clientèle (1)

3.1-3.3-6.7

1 422 213

1 301 425

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.9

154 211

156 074

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

35 614

31 940

Passifs d'impôts courants et différés

6.10

17 734

1 133

Comptes de régularisation et passifs divers (1)

6.11

76 640

62 052

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

Provisions

6.14

10 582

13 365

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.9

20 033

29 919

        Total dettes

 

4 651 041

4 580 068

Capitaux propres :

6.15

621 856

587 612

    Capitaux propres - part du Groupe

 

621 856

587 612

    Capital et réserves liées

 

156 605

156 555

    Réserves consolidées

 

420 484

381 402

    Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

4 548

6 519

    Résultat de l'exercice

 

40 219

43 136

    Intérêts minoritaires

 

 

 

        Total du passif

 

5 272 897

5 167 680

(1) Les dépôts de garantie liés à certaines prestations de service, jusque là affectés à la ligne « Créditeurs divers » ont été réaffectés à la ligne « Autres dettes envers la clientèle » de la rubrique « Dettes envers la clientèle ». Le montant net de dépôts de garantie s'élève à 502 milliers d'euros au 31/12/2010 et à 507 milliers d'euros en 31/12/2009.

 

 

IV. — Tableau de variation des capitaux propres .

(En milliers d’euros.)

 

 

Capital et réserves liées

Capital et Réserves consolidées part du Groupe (2) 

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 

Résultat net part du groupe 

Total des capitaux propres part du groupe 

Capitaux propres part des minoritaires 

Total des capitaux propres consolidés 

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital

Elimination des titres auto-détenus

Capitaux propres au 1er janvier 2009

27 157

472 864

 

500 021

-59 925

42 025

482 121

 

482 121

Augmentation de capital

-227

 

 

-227

 

 

-227

 

-227

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Affectation de Résultat 2008

 

38 163

 

38 163

 

-38 163

0

 

0

Dividendes versés en 2009

 

 

 

0

 

-3 862

-3 862

 

-3 862

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Effet des acquisitions/cessions sur les minoritaires

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

-227

38 163

0

37 936

0

-42 025

-4 089

0

-4 089

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres (3)

0

0

0

0

66 444

0

66 444

0

66 444

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2009

 

 

 

0

 

43 136

43 136

 

43 136

Autres variations

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Capitaux propres au 31 décembre 2009

26 929

511 028

0

537 957

6 519

43 136

587 612

0

587 612

Affectation du résultat 2009

 

39 294

 

39 294

 

-39 294

0

 

0

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi (1)

 

-212

 

-212

212

0

0

 

0

Capitaux propres au 1er janvier 2010

26 929

550 110

0

577 040

6 731

3 842

587 612

0

587 612

Augmentation de capital

50

 

 

50

 

 

50

 

50

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Dividendes versés en 2010

 

 

 

0

 

-3 842

-3 842

 

-3 842

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Effet des acquisitions/cessions sur les minoritaires

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

50

0

0

50

0

-3 842

-3 792

0

-3 792

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

0

0

0

0

-2 183

0

-2 183

0

-2 183

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2010

 

 

 

0

 

40 219

40 219

 

40 219

Capitaux propres au 31 décembre 2010

26 980

550 110

0

577 090

4 548

40 219

621 856

0

621 856

(1) Effet du changement de méthode comptable appliqués au 1er janvier 2010 concernant les gains et pertes actuariels (IAS 19).

(2) Les réserves consolidées sont essentiellement constituées des résultats des exercices antérieurs non distribués, de montants relatifs à la première application des normes IFRS et de retraitements de consolidation.

 

Les montants sortis des capitaux propres par transfert en compte de résultat et relatifs à des couvertures de flux de trésorerie sont positionnés en PNB.

 

 

V. — Tableau des flux de trésorerie.

(En milliers d’euros.)

 

 

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

 

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en ce compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

 

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

 

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans ce compartiment.

 

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

 

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

 

2010

2009

Résultat avant impôts

59 203

61 791

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

6 809

6 918

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

28 051

26 394

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

-153

-493

Résultat net des activités de financement

1 665

2 024

Autres mouvements

30

-4 247

        Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

36 404

30 596

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

-18 913

-11 527

Flux liés aux opérations avec la clientèle

-64 379

-57 390

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

3 001

-11 368

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-18 434

-342

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-11 413

-13 956

Diminution/(augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

-110 140

-94 583

        Total Flux net de trésorerie généré par l'activité opérationnelle (A)

-50 936

-2 196

Flux liés aux participations (1)

-218

-7 782

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-5 133

-4 325

        Total Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-5 351

-12 107

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2)

-3 792

-4 089

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (3)

-11 551

-11 414

        Total Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C)

-15 343

-15 503

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B+ C + D)

-71 630

-29 806

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

90 980

120 786

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

32 070

29 655

Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

58 910

91 131

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

55 753

90 980

Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

30 163

32 070

Solde net des comptes prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

25 590

58 910

Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie

-35 227

-29 806

(*) Composé du solde net des postes « Caisses et banques centrales », hors intérêts courus, tel que détaillé en note 6.1 (y compris trésorerie des entités reclassées en activités destinées à être cédées).

(**) Composé du solde des postes « comptes ordinaires débiteurs sains » et « comptes et prêts au jour le jour sains » tel que détaillés en note 6.5 et des postes « comptes ordinaires créditeurs » et « comptes et emprunts au jour le jour » tel que détaillés en note 6.7. (Hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole).

(1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation, en particulier la libération d’actions de la SAS SACAM International pour 531 K€.

(2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par l’entité à ses actionnaires, à hauteur de 3 842 K€ pour l’année 2010.

(3) Au cours de l’année 2010, les remboursements de dettes subordonnées s’élèvent à 9 800 K€.

 

 

VI. — Notes annexes aux etats financiers

 

1. – Principes et méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés.

 

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2010 et telles qu’adoptées par l’Union européenne (version dite « carve out »), en utilisant donc certaines dérogations dans l’application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro - couverture.

 

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l’adresse suivante : http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/IAS_fr.htm#adopted-commission.

 

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2009 à l’exception du changement d’option relatif à la comptabilisation des écarts actuariels relatifs aux régimes à prestations définies postérieurs à l’emploi. En effet, selon la norme IAS 19, les écarts actuariels relatifs aux régimes à prestations définies peuvent être comptabilisés :

 

— Soit en contrepartie du résultat pour leur totalité ;

 

— Soit en contrepartie du résultat pour une fraction déterminée selon la méthode du corridor ;

 

— Soit en contrepartie des autres éléments du résultat global pour la totalité.

 

Jusqu’au 31 décembre 2009, la Caisse Régionale Sud Méditerranée imputait les écarts actuariels dans le résultat de la période pendant laquelle ils étaient constatés.

 

Afin de fournir une information plus comparable avec les principes appliqués par les autres sociétés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a décidé de les enregistrer intégralement en « gains et pertes latents comptabilisés directement en capitaux propres ». Cette méthode est appliquée de manière permanente et homogène à tous les régimes de retraite à compter du 1er janvier 2010.

 

Les normes et interprétations utilisées dans les états financiers au 31 décembre 2009 ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2010 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2010.

Celles-ci portent sur :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du

Amendement annuel visant à améliorer la norme IFRS 5, relatif aux filiales faisant l’objet d’un plan de vente entraînant la perte de contrôle, et l’amendement de la norme IFRS 1 qui en découle ;

23 janvier 2009 (CE n° 70/2009)

1er janvier 2010

Révision de la norme IAS 27 relative aux états financiers consolidés et individuels ;

3 juin 2009 (CE n° 494/2009)

1er janvier 2010

Révision de la norme IFRS 3 relative aux regroupements d’entreprises ;

3 juin 2009 (CE 495/2009)

1er janvier 2010

Amendement de la norme IAS 39, relatif aux éléments éligibles à la couverture et qui apporte notamment des clarifications quant à l’application de la comptabilité de couverture à la composante inflation des instruments financiers ;

15 septembre 2009 (CE n° 839/2009)

1er janvier 2010

Révision de la norme IFRS 1, relatifs à la première adoption des normes internationales ;

25 novembre 2009 (CE n° 1136/2009) et 23 juin 2010 (CE n°550/2010)

1er janvier 2010

Amendement annuels visant à améliorer et clarifier 9 normes et 2 interprétations et issus du règlement du 23 mars 2010 (UE n°243/2010) ;

23 mars 2009

1er janvier 2010

Amendement de la norme IFRS 2, relative aux paiements fondés sur des actions et qui incorpore en s’y substituant les interprétations IFRIC 8 et IFRIC 11 ;

23 mars 2009 (UE n° 244/2010)

1er janvier 2010

Interprétation d’IFRIC 12, relative aux accords de concession de services, et qui ne concerne pas les activités du Groupe ;

25 mars 2009 (UE n° 254/2009)

1er janvier 2010

Interprétation d’IFRIC 16 relative aux couvertures d’un investissement net dans une activité à l’étranger ;

4 juin 2009 (UE n° 460/2009)

1er janvier 2010

Interprétation d’IFRIC 15, relative aux contrats de construction de biens immobiliers traités dans les normes IAS 11, contrats de construction, et IAS18, produits des activités ordinaires ;

22 juillet 2009 (CE n°636/2009)

1er janvier 2010

Interprétation d’IFRIC 17, relative à la distribution d’actifs non monétaires aux propriétaires ;

26 novembre 2009 (CE n° 1142/2009)

1er janvier 2010

Interprétation d’IFRIC 18, relative au transfert d’actifs provenant de clients, et qui ne concerne pas les activités du Groupe

27 novembre 2009 (CE n° 1164/2009)

1er janvier 2010

 

 

Au cours de l’année 2010, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas effectué d’opération susceptible d’être concernée par ce changement de méthode comptable.

 

Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application anticipée de normes et interprétations est optionnelle sur une période, l’option n’est pas retenue par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier :

 

Normes, Amendements ou Interprétations

Date de publication par l’Union européenne

Date de 1ère application obligatoire : exercices ouverts à compter du

Amendement de la norme IAS 32, relatif au classement des émissions de droit

23 décembre 2009 (UE n° 1293/2009)

1er janvier 2011

Amendement des normes IFRS1, relatif à des exemptions de fournir des informations comparatives sur les instruments financiers pour les premiers adoptants

30 juin 2010 (UE n° 574/2010)

1er janvier 2011

Amendement de la norme IAS 24, relatif à l'information au titre des parties liées sous forme d'organisme d'État

19 juillet 2010 (UE 632/2010)

1er janvier 2011

Amendement de l’interprétation IFRIC 14, relatif à la reconnaissance des actifs de régimes à prestations définies

19 juillet 2010 (UE 633/2010)

1er janvier 2011

Interprétation d’IFRIC 19, relative à l’extinction de passifs financiers avec des instruments de capitaux propres. Cet amendement sera appliqué pour la première fois au 1er janvier 2011

23 juillet 2010 (UE n° 662/2010)

1er janvier 2011

 

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’attend pas d’effet significatif de ces applications sur son résultat et sa situation nette.

 

Enfin, les normes et interprétations publiées par l’IASB mais non encore adoptées par l’Union européenne n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2010.

 

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation CNC n°2009-R.04 du 2 juillet 2009.

 

 

1.3. Principes et méthodes comptables :

 

Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

 

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

 

— les activités des marchés nationaux et internationaux ;

 

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

 

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

 

— les modifications de la réglementation ou de la législation.

 

Cette liste n’est pas exhaustive.

 

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

 

— les instruments financiers évalués à la juste valeur ;

 

— les participations non consolidées ;

 

— les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ;

 

— les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et d’actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance;

 

— les dépréciations des créances irrécouvrables ;

 

— les provisions ;

 

— les actifs d’impôt différé.

 

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

 

Instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne.

 

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

La juste valeur est définie comme le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale.

 

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

Titres à l’actif

 

— Classification des titres à l’actif : Les titres sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définis par la norme IAS 39 :

 

– actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

 

– actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

 

– prêts et créances ;

 

– actifs financiers disponibles à la vente.

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat/affectation par nature ou sur option : Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

 

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et d’évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

 

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

 

– EMTN Confluent ;

 

– EMTN Calyon CMS TEC ;

 

– EMTN Fonds Dividende.

 

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus.

 

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

 

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

 

Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

 

— Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance : La catégorie « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » (éligible aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

 

– ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

 

– ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des placements détenus jusqu’à l’échéance.

 

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39.

 

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

 

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

 

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote/décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

— Prêts et créances : La catégorie « Prêts et créances » enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

 

Les titres du portefeuille « Prêts et créances » sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus.

 

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote/décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles dépréciations.

 

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

 

— Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

 

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

 

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

 

En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat.

 

L’amortissement des éventuelles surcotes/décotes des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ».

 

— Dépréciation des titres : Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

 

Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette.

 

Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30% au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs. La Caisse Régionale Sud Méditerranée prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme.

 

Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de valeur supérieure à 50% ou observée pendant plus de 3 ans.

 

Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances.

 

La constatation de cette dépréciation se fait :

 

– pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure ;

 

– pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

 

— Date d’enregistrement des titres : Crédit Agricole SA enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans les catégories « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » et « Prêts et créances ». Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Reclassements d’actifs financiers. — Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est autorisé d’opérer les reclassements suivants :

 

— des catégories « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » et « Actifs financiers disponibles à la vente » vers la catégorie « Prêts et créances », si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

 

— dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » vers les catégories « Actifs financiers disponibles à la vente » ou « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance », si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes.

 

La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l’actif financier reclassé.

 

Les informations sur les reclassements réalisés par la Caisse Régionale Sud Méditerranée en application de la norme IAS 39 sont données dans la note 8.

 

Acquisition et cession temporaire de titres. — Au sens de l’IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent pas les conditions de décomptabilisation d’IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis. Les éléments d’actif prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan et, le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l’égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan. Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire, mais celui-ci enregistre à son actif, en cas de revente ultérieure, le montant décaissé représentatif de sa créance sur le cédant. Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat.

 

Activité de crédits. — Les crédits sont affectés principalement à la catégorie « Prêts et créances ». Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

 

Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

 

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

 

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Créances dépréciées. — Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « Prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances. Les créances ainsi identifiées font l’objet d’une dépréciation sur base individuelle ou sur base collective. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations, égales à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

 

On distingue ainsi :

 

— les créances dépréciées sur base individuelle : il s’agit des créances assorties de dépréciations et des créances restructurées pour cause de défaillance du client assorties de décotes ;

 

— les créances dépréciées sur base collective : il s’agit des créances non dépréciées sur base individuelle, pour lesquelles la dépréciation est déterminée par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires. Cela concerne notamment les créances en souffrance.

 

Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance).

 

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

 

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

 

Créances dépréciées sur base individuelle. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

 

— lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de location - financement immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits) ;

 

— lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré;

 

— s’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

 

Le classement pour une contrepartie donnée d’encours en encours dépréciés entraîne par « contagion » un classement identique de la totalité de l’encours et des engagements relatifs à cette contrepartie, nonobstant l’existence de garantie ou caution.

 

Dans le cas d’une créance restructurée maintenue en créance dépréciée, la décote ne fait pas l’objet d’une comptabilisation séparée et est comptabilisée par le biais de la dépréciation.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue les dépréciations correspondant, en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours dépréciés.

 

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

Dans le cas de créances restructurées, pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) du fait d’un risque de contrepartie, tout en reclassant l’encours en créances saines, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote.

 

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est enregistrée en coût du risque.

 

Cette décote correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine.

 

Elle est égale à l’écart constaté entre :

 

— la valeur nominale du prêt ;

 

— la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

 

Créances dépréciées sur base collective. — Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives telles que :

 

— Dépréciations sur encours en souffrance : Les dépréciations sur ces encours sont calculées à partir de modèles Bâle II.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

 

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la direction.

 

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues d’un coefficient correcteur, reflet du jugement expérimenté de la direction, destiné à prendre en compte divers paramètres absents des modèles Bâle II, tels que l’extension au-delà d’un an de l’horizon de pertes attendues, ainsi que divers facteurs économiques, conjoncturels ou autres.

 

— Autres dépréciations sur base collective : Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non - recouvrement partiel et portent sur le marché Espagnol.

 

Intérêts pris en charge par l’État (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole SA accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'État. En conséquence, ces entités perçoivent de l’État une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

 

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'État.

 

Les bonifications perçues de l’État sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

 

— les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables.

 

— les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupe de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

 

— les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe.

 

Titres au passif :

 

— Distinction dettes – capitaux propres : Un instrument de dette ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

 

– de remettre des liquidités ou un autre actif financier ;

 

– d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

 

Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

 

Les parts sociales émises par les Caisses régionales et des Caisses locales sont considérées comme des capitaux propres au sens de l'IAS 32 et de l'interprétation IFRIC 2, et traitées comme telles dans les comptes consolidés du Groupe.

 

L’amendement IAS 32 adopté par l’Union européenne le 21 janvier 2009 permet, sous certaines conditions, la qualification en instrument de capitaux propres d’instruments financiers constituant auparavant des dettes. Ces instruments financiers sont :

 

– les instruments, émis par l’émetteur, remboursables au gré du porteur ;

 

– les instruments créant une obligation pour l’émetteur d’avoir à rembourser le porteur lors de la liquidation, sur la base de sa part dans l’actif net.

 

Ainsi, dès lors que ces conditions sont remplies, les parts d’OPCVM émises au passif doivent être classées en capitaux propres.

 

Produits de la collecte. — Les produits de collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des « Dettes envers la clientèle » malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole SA en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

 

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

 

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

 

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.16.

 

Instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

 

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

 

La comptabilité de couverture. — La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

 

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associé à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

 

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

 

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

 

— éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

 

— documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

 

— démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

 

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole SA privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite « carve out »).

 

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

 

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

 

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

 

— couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

 

— couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulé en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent.

 

Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement.

 

— couverture de juste valeur: seul l'instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L'élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres AFS, les variations de juste valeur postérieures à l'arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d'écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

 

— couverture de flux de trésorerie: l'instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu'à ce que l'élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d'écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts.

 

Dérivés incorporés. — Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les 3 conditions suivantes sont remplies :

 

— le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

 

— séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

 

— les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — Les justes valeurs des instruments financiers sont déterminées conformément aux dispositions d’IAS 39 et sont présentées selon la hiérarchie définie par IFRS 7.

 

Le Groupe applique par ailleurs la recommandation en matière de valorisation de certains instruments financiers à la juste valeur publiée par l'AMF, le CNC et l'ACAM le 15 octobre 2008.

 

Lorsque la méthode de valorisation d’un instrument financier est la juste valeur, la norme IAS 39 considère que la meilleure indication pour déterminer celle-ci est l’existence de cotations publiées sur un marché actif.

 

IAS 39 précise qu’en l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

 

— Niveau 1 : justes valeurs correspondant à des prix cotés (non ajustés) sur un marché actif. : Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur un marché actif. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotés sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures.

 

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

 

Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs.

 

— Niveau 2 : justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1.

 

Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles/accessibles publiquement et basées sur un consensus de marché.

 

Sont présentés en niveau 2 :

 

– Les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes) et fondée sur des données de marché observables.

– Les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observab

les, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux basées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

 

Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

 

— Niveau 3 : justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité.

 

La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3.

 

Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché.

 

Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

 

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

 

Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

 

Absence de technique de valorisation reconnue pour déterminer la juste valeur d’un instrument de capitaux propres.

 

Conformément aux principes d’IAS 39, si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » car sa juste valeur ne peut pas être déterminée de manière fiable. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS7 en vigueur. Il s’agit principalement de titres de participation de sociétés non cotées sur un marché actif dont la détermination d’une juste valeur fiable est difficile.

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers :

 

— Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

 

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

 

– les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

 

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

 

– les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

 

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d'investissements nets en devises.

 

— Gains ou pertes nets sur actifs disponibles à la vente : Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

 

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

 

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

 

– les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

 

– les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

 

– les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

 

Compensation des actifs et passifs financiers. — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement si il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

 

Garanties financières données. — Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette.

 

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé de :

 

— celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels » ; ou

 

— le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

 

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

Décomptabilisation des instruments financiers. — Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

 

— lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et ;

 

— lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée.

 

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

 

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication dans cet actif.

 

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie uniquement lorsque ce passif est éteint.

 

Provisions (IAS 37 et 19). — La Caisse Régionale Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

 

Au titre des obligations autres que liées au risque de crédit, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

 

— les risques opérationnels ;

 

— les avantages au personnel ;

 

— les risques d’exécution des engagements par signature ;

 

— les litiges et garanties de passif ;

 

— les risques fiscaux ;

 

— les risques liés à l’épargne logement.

 

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne - logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne -logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne - logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne - logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

 

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

 

— le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ;

 

— l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période ;

 

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

 

L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations :

 

— la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la direction ;

 

— les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

 

Des informations détaillées sont fournies au point 6.16.

 

Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

 

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, les primes payables dans les douze mois de la clôture de l’exercice ;

 

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ;

 

— les indemnités de fin de contrat de travail ;

 

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

Avantages à long terme. — Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi, les indemnités de fin de contrats et avantages sur capitaux propres, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondant ont été rendus.

 

Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différés de plus de douze mois.

 

La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestation définie.

 

Avantages postérieurs à l’emploi :

 

— Engagement en matière de retraite, de préretraite et d’indemnités de fin de carrière - régimes à prestations définies : La Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

 

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

 

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4).

 

Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over.

 

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n'applique pas la méthode optionnelle du corridor et impute depuis le 01/01/2010 les écarts actuariels constatés en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et non plus en résultat.

 

Le montant de la provision est égal à :

 

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

 

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

 

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. En conséquence la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas nécessité de constituer de provision en complément de cette souscription.

 

— Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

 

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

 

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

 

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

 

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

 

Au 31 décembre 2010, la Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du Groupe Crédit Agricole dont l'Organe Central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole SA Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS rue La Boétie, qui détient elle-même 55,86% du capital de Crédit Agricole SA, cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

 

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

 

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

 

— Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

 

– la comptabilisation initiale du goodwill ;

 

– la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

 

— Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

 

— Un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés.

 

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

 

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

 

Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt ou l’économie d’impôt réel supportée par l’entité au titre de ces plus-values ou moins latentes est-elle reclassée en déduction de ceux-ci.

 

Les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 5% de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

 

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

 

– soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ;

 

– soit par un regroupement d'entreprises.

 

— Les actifs et passifs d'impôt différés sont compensés si, et seulement si :

 

– l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ;

 

– les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

 

a) soit sur la même entité imposable ;

 

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôt exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôt différés soient réglés ou récupérés.

 

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40). — Le groupe Crédit Agricole SA applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

 

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

 

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

 

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

 

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

 

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les fonds de commerce acquis. Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

 

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

 

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole SA suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

 

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

 

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole SA Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

 

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

 

— les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

 

Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments :

 

— les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

 

— les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

 

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

 

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

 

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

 

— les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ;

 

— lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique « commissions » et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

 

a) les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

 

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes sont respectées :

 

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable ;

 

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise ;

 

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable ;

 

b) les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière. Concernant la Caisse Régionale Sud Méditerranée aucune opération de location financière n’a été recensée.

 

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IAS 27, 28 et 31) :

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle. Celui-ci est présumé lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20% des droits de vote existants et potentiels.

 

— Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société - mère et de filiales.

 

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

 

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole SA, dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code monétaire et financier.

 

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole SA, les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

 

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerrané représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société - mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

 

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société - mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

 

Cette maison - mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

 

La maison mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

 

— Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

 

Le caractère significatif de cet impact est apprécié au travers de trois principaux critères exprimés en pourcentage du bilan, de la situation nette et du résultat consolidés.

 

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

 

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

 

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. la Caisse Régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20% ou plus des droits de vote dans une entité.

 

— Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28 § 1 et IAS 31 § 1, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature de contrôle exercée par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

 

— l’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée ;

 

— l’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée ;

 

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable.

 

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des intérêts minoritaires dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

 

Les intérêts minoritaires correspondent aux participations ne donnant pas le contrôle telles que définies par la norme IAS 27 et intègrent les instruments qui sont des parts d'intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l'actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le groupe.

 

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

 

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote‑part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

 

La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte désormais de l’évolution du goodwill.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués, sauf s’ils sont jugés non significatifs.

 

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé.

 

Les plus ou moins‑values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

 

1.5. Principaux effets du changement de méthode comptable relatif aux écarts actuariels (IAS 19). — Le changement de méthode n'impacte que les écarts actuariels liés aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi, et en particuliers les régimes à prestations définies. Les écarts actuariels générés sur les autres avantages entrant dans les catégories d'avantages telles que prévues par IAS 19 ne sont pas impactés par ce changement de méthode.

 

Depuis le 01/01/2010, la Caisse Régionale Sud Méditerranée comptabilise les écarts actuariels constatés directement en capitaux propres et non plus en résultat.

 

 

2. – Périmètre de consolidation.

 

Le périmètre de consolidation au 31 décembre 2010 est présenté de façon détaillée à la fin des notes annexes.

 

 

2.1. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement.

 

Au 31 décembre 2010, les principales participations non consolidées pour lesquelles le pourcentage de contrôle est ≥ 20% sont les suivantes :

 

— SAS SUD MED Immobilier ;

 

— SCI Château de CASTELNOU :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Valeur au bilan

% de capital détenu

Valeur au bilan

% de capital détenu

Titres de participations non consolidés (détail)

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

    SCI Château de Castelnou

708

98,61

755

98,61

Autres titres de participations

 

 

 

 

    SAS Rue la Boétie

221 621

1,32

216 146

1,32

    SA Sofilaro

1 348

14,32

1 343

14,32

    SAS SACAM Développement

11 727

1,35

10 822

1,35

    SAS SACAM Fireca

277

1,18

622

1,18

    SNC CA Titres

411

0,62

411

0,62

    SAS SACAM Internationnal

10 466

1,32

11 703

1,32

    SAS SACAM Avenir

937

1,06

937

1,06

    SAS SACAM Participation

1 226

1,59

1 185

1,59

Autres titres de participations (ensemble)

6 711

 

6 105

 

Valeur au bilan des titres de participation non consolidés

255 432

 

250 029

 

 

 

3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture.

 

 

La gestion des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est assurée par la direction des Finances qui est rattachée au directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise des risques de crédit, de marchés et opérationnels ainsi que le pilotage des projets impactant ces risques.

 

La description de ce dispositif ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « facteurs de risque », comme le permet la norme IFRS7. Les tableaux de ventilation comptables continuent néanmoins de figurer dans les Etats financiers.

 

 

3.1. Risque de crédit. — Le risque de crédit se matérialise lorsqu’une contrepartie est dans l’incapacité de faire face à ses obligations et que celles-ci présentent une valeur d’inventaire positive dans les livres de la banque. Cette contrepartie peut être une banque, une entreprise industrielle et commerciale, un État et les diverses entités qu’il contrôle, un fonds d’investissement ou une personne physique.

 

L’engagement peut être constitué de prêts, titres de créances ou de propriété ou contrats d’échange de performance, garanties de bonne fin ou engagements confirmés non utilisés. Ce risque englobe également le risque de règlement livraison inhérent à toute transaction nécessitant un échange de flux (espèce ou matière) en dehors d’un système sécurisé de règlement. (cf rapport de gestion page 11)

 

Exposition maximale au risque de crédit. — L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Actifs financiers à la juste valeur par le résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte)

10 503

15 409

Instruments dérivés de couverture

51 912

43 316

Actifs disponibles à la vente (hors titres à revenu variable)

4 465

9 246

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors op. Internes)

3 467

2 219

Prêts et créances sur la clientèle

4 557 460

4 403 092

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

45 045

39 255

Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations)

4 672 852

4 512 537

Engagements de financement donnés (hors opérations internes) (1)

518 940

551 342

Engagements de garantie financière donnés (hors op. Internes) (2)

126 153

111 613

Provisions - Engagements par signature

-854

-911

Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

644 239

662 044

        Total exposition nette

5 317 091

5 174 581

(1) Les montants publiés au 31/12/2009 comprenaient les opérations internes pour un montant de 0 K€.

(2) Les montants publiés au 31/12/2009 comprenaient les opérations internes pour un montant de 1 689 K€.

 

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques

 

Concentrations par agents économiques de l’activité de crédit :

 

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administrations centrales

 

 

 

 

0

Banques centrales

 

 

 

 

0

Établissements de crédit

3 463

 

 

 

3 463

Institutions non établissements de crédit

619 002

3 377

3 129

 

615 873

Grandes entreprises

573 855

41 153

25 359

9 894

538 602

Clientèle de détail

3 499 231

179 548

83 010

35 591

3 380 630

        Total (*)

4 695 551

224 078

111 498

45 485

4 538 568

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

22 359

Valeurs au bilan

 

 

 

 

4 560 927

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 33 038 milliers d'euros.

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

Administrations centrales (1)

 

 

 

 

 

Banques centrales (1)

 

 

 

 

0

Établissements de crédit

2 218

 

 

 

2 218

Institutions non établissements de crédit

559 281

2 911

2 911

 

556 370

Grandes entreprises

531 953

30 037

20 730

13 542

497 681

Clientèle de détail

3 424 821

124 992

65 804

36 098

3 322 919

        Total (*)

4 518 273

157 940

89 445

49 640

4 379 188

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

26 122

Valeurs au bilan

 

 

 

 

4 405 310

(1) Dans les annexes consolidées au 31 décembre 2009, les opérations avec les « administrations centrales » et avec les « banques centrales » étaient présentées en cumulé sur la même ligne.

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 33 518 milliers d'euros.

 

 

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

    Administrations centrales

 

 

    Institutions non établissements de crédit

126 415

96 227

    Grandes entreprises

102 708

110 492

    Clientèle de détail

289 817

344 623

        Total

518 940

551 342

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

    Administrations centrales

 

 

    Institutions non établissements de crédit

559

1 839

    Grandes entreprises

93 202

57 703

    Clientèle de détail

33 990

53 760

        Total

127 751

113 302

 

 

— Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Administrations centrales

8

18

Institutions non établissements de crédit

11 098

9 816

Grandes entreprises

448 114

396 413

Clientèle de détail (1)

954 844

887 955

        Total

1 414 064

1 294 202

Dettes rattachées

8 149

7 223

Valeur au bilan

1 422 213

1 301 425

(1) Les dépôts de garantie liés à certaines prestations de service, jusque là affectés à la ligne « Créditeurs divers » ont été réaffectés à la ligne « Autres dettes envers la clientèle » de la rubrique « Dettes envers la clientèle ». Le montant net de dépôts de garantie s'élève à 502 milliers d'euros au 31/12/2010 et à 507 milliers d'euros en 31/12/2009.

 

 

Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit :

 

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

4 150 876

137 000

85 004

45 485

4 020 387

Autres pays de l'UE

533 495

87 030

26 480

 

507 015

    Dont Espagne

481 676

84 548

25 018

 

 

Autres pays d'Europe

5 764

41

7

 

5 757

Amérique du Nord

3 275

1

1

 

3 274

Amériques Centrale et du Sud

268

 

 

 

268

Afrique et Moyen Orient

1 871

6

6

 

1 865

Asie et Océanie (hors Japon)

1

 

 

 

1

Japon

1

 

 

 

1

Organismes supranationaux

 

 

 

 

0

        Total (*)

4 695 551

224 078

111 498

45 485

4 538 568

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

22 359

Valeurs au bilan

 

 

 

 

4 560 927

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 33 038 milliers d'euros.

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Dépréciations collectives

Total

France (y compris DOM-TOM)

3 955 088

102 510

71 083

49 640

3 834 365

Autres pays de l'UE

551 591

55 425

18 357

 

533 234

    Dont Espagne

507 118

55 377

17 934

 

489 184

Autres pays d'Europe

6 464

5

5

 

6 459

Amérique du Nord

3 282

 

 

 

3 282

Amériques Centrale et du Sud

231

 

 

 

231

Afrique et Moyen Orient

1 617

 

 

 

1 617

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

0

Japon

 

 

 

 

0

Organismes supranationaux

 

 

 

 

0

        Total (*)

4 518 273

157 940

89 445

49 640

4 379 188

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

26 123

Valeurs au bilan

 

 

 

 

4 405 311

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 33 518 milliers d'euros.

 

 

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

517 921

548 124

    Autres pays de l'UE

755

3 036

    Autres pays d'Europe

50

72

    Amérique du Nord

164

80

    Amériques Centrale et du Sud

8

4

    Afrique et Moyen Orient

40

26

    Asie et Océanie (hors Japon)

2

 

    Japon

 

 

        Total

518 940

551 342

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

127 539

112 894

    Autres pays de l'UE

33

20

    Autres pays d'Europe

 

245

    Amérique du Nord

34

 

    Amériques Centrale et du Sud

 

 

    Afrique et Moyen Orient

145

143

    Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

    Japon

 

 

        Total

127 751

113 302

 

 

— Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

France (y compris DOM-TOM) (1)

1 388 253

1 274 593

Autres pays de l'UE

21 477

14 871

Autres pays d'Europe

1 298

2 370

Amérique du Nord

992

1 317

Amériques Centrale et du Sud

332

149

Afrique et Moyen Orient

1 580

753

Asie et Océanie (hors Japon)

124

135

Japon

8

14

Organismes supra-nationaux

 

 

        Total

1 414 064

1 294 202

Dettes rattachées

8 149

7 223

Valeur au bilan

1 422 213

1 301 425

(1) Les dépôts de garantie liés à certaines prestations de service, jusque là affectés à la ligne « Créditeurs divers » ont été réaffectés à la ligne « Autres dettes envers la clientèle » de la rubrique « Dettes envers la clientèle ». Le montant net de dépôts de garantie s'élève à 502 milliers d'euros au 31/12/2010 et à 507 milliers d'euros en 31/12/2009.

 

 

Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement :

 

— Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2010

31/12/2010

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement 

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés  

Garanties et autres rehaussements de crédit reçus relatifs aux actifs dépréciés et en arriéré de paiement

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180 jours

> 180 jours ≤ 1 an

> 1 an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

1 290

-1 264

 

Instruments de dette

 

 

 

 

 

294

-3 128

 

Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

294

-3 128

 

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

 

Prêts et avances

175 307

15 353

4 456

 

195 116

112 580

-172 797

112 400

Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales

 

 

 

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Institutions non établissements de crédit

70 165

2 703

3 472

 

76 340

248

-3 818

248

Grandes entreprises

20 549

419

 

 

20 968

15 794

-38 767

15 794

Clientèle de détail

84 593

12 231

984

 

97 808

96 538

-130 212

96 358

        Total

175 307

15 353

4 456

 

195 116

114 164

-177 189

112 400

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2009

31/12/2009

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

Garanties et autres rehaussements de crédit reçus relatifs aux actifs dépréciés et en arriéré de paiement

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180 jours

> 180 jours ≤ 1 an

> 1 an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de dette

0

0

0

0

0

0

0

0

Prêts et avances

187 431

16 629

11 441

 

215 501

171 967

-153 112

0

Administrations centrales (1)

 

 

 

 

 

 

 

 

Banques centrales (1)

 

 

 

 

 

 

 

 

Établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Institutions non établissements de crédit

40 859

422

22

 

41 303

3 434

-3 434

 

Grandes entreprises

50 822

2 147

1 196

 

54 165

33 561

-37 796

 

Clientèle de détail

95 750

14 060

10 223

 

120 033

134 972

-111 882

 

        Total

187 431

16 629

11 441

 

215 501

171 967

-153 112

0

(1) Dans les annexes consolidées au 31 décembre 2009, les opérations avec les « administrations centrales » et avec les « banques centrales » étaient présentées en cumulé sur la même ligne.

 

 

Opérations sur instruments dérivés – Risque de contrepartie. — Le risque de contrepartie sur instruments dérivés est établi à partir de la valeur de marché et du risque de crédit potentiel, calculé et pondéré selon les normes prudentielles.

 

Pour information, les effets des accords de compensation et de collatérisation, qui réduisent ce risque, sont également présentés.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Valeur de marché

Risque de crédit potentiel

Total risque de contrepartie

Risques sur les gouvernements et banques centrales de l'ocde et organismes assimilés

 

 

0

 

 

0

Risques sur les établissements financiers de l'OCDE et organismes assimilés

 

17

3

 

101

20

Risques sur les autres contreparties

664

113

389

754

99

426

        Total

664

130

392

754

200

446

Risques sur contrats de :

 

 

0

 

 

0

    Taux d'intérêt, change et matières premières

664

130

392

754

200

446

    Dérivés actions et sur indices

 

 

0

 

 

0

    Dérivés de crédit

 

 

0

 

 

0

        Total

664

130

392

754

200

446

Incidence des accords de compensation et de collatérisation

0

0

0

0

0

0

        Total après effets des accords de compensation et de collatérisation

664

130

392

754

200

446

 

 

Les contrats conclus entre membres du réseau sont exclus, car ils ne présentent pas de risque de contrepartie.

 

 

3.2. Risque de marché. — Le risque de marché représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marchés notamment :

 

— les taux d’intérêts : le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financier du fait de l’évolution des taux d’intérêt ;

 

— les taux de change : le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise ;

 

— les prix : le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions. Sont notamment soumis à ce risque les titres à revenu variable, les dérivés actions et les instruments dérivés sur matières premières. (cf rapport de gestion page 14)

 

Opérations sur instruments dérivés : Analyse par durée résiduelle. — La ventilation des valeurs de marché des instruments dérivés est présentée par maturité contractuelle résiduelle.

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

1 343

6 034

44 535

51 912

43 316

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

1 343

6 034

44 535

51 912

43 316

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

1 343

6 034

44 535

51 912

43 316

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

1 343

6 034

44 535

51 912

43 316

 

 

Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

3 088

3 441

24 868

31 397

24 436

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

3 088

3 441

24 868

31 397

24 436

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous-total

0

0

0

3 088

3 441

24 868

31 397

24 436

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

3 088

3 441

24 868

31 397

24 436

 

 

Instruments dérivés de transaction – Juste valeur actif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

664

0

654

769

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

654

 

654

754

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

10

 

 

15

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

0

664

0

654

769

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

664

0

654

769

 

 

Instruments dérivés de transaction – Juste valeur passif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

927

97

1 024

1 206

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

917

97

1 014

1 191

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

10

 

10

15

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

0

927

97

1 024

1 206

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

927

97

1 024

1 206

 

 

Opérations sur instruments dérivés : Montant des engagements :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

1 657 239

997 828

    Futures

 

 

    FRA

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

1 652 981

992 258

    Options de taux

 

 

    Caps-floors-collars

4 258

5 570

    Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

    Options de change

 

 

Autres instruments :

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

    Autres

 

 

        Sous total

1 657 239

997 828

    Opérations de change à terme

10 849

11 947

        Total

1 668 088

1 009 775

 

 

Risque de change. — Le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise (cf. rapport de gestion page 17).

 

Contribution des différentes devises au bilan consolidé :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

5 261 738

5 261 741

5 158 224

5 158 224

Autres devises de l'UE

67

66

101

101

USD

1 475

1 475

1 242

1 242

JPY

 

 

 

 

Autres devises

9 617

9 615

8 114

8 114

        Total bilan

5 272 897

5 272 897

5 167 680

5 167 680

 

 

Risque de prix. — Le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions.

 

Sont notamment soumis à ce risque : les titres à revenu variable, les dérives actions et les instruments dérivés sur matières premières (voir rapport de gestion page 17).

 

 

3.3. Risque de liquidité et de financement. — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

 

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement (voir rapport de gestion page 17).

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

57 975

4 566

25 952

21 289

109 782

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

442 457

558 219

1 347 312

2 344 100

4 692 088

        Total

500 432

562 785

1 373 264

2 365 389

4 801 870

Créances rattachées

 

 

 

 

42 337

Dépréciations

 

 

 

 

-172 797

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 671 410

 

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

90 752

64 303

27 795

17 643

200 493

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

476 972

456 995

1 312 995

2 269 093

4 516 055

        Total

567 724

521 298

1 340 790

2 286 736

4 716 548

Créances rattachées

 

 

 

 

44 829

Dépréciations

 

 

 

 

-153 112

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 608 265

 

 

Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

438 476

696 171

1 010 486

726 746

2 871 879

Dettes envers la clientèle

1 109 684

135 415

163 392

5 573

1 414 064

        Total

1 548 160

831 586

1 173 878

732 319

4 285 943

Dettes rattachées

 

 

 

 

17 863

Valeur au bilan

 

 

 

 

4 303 806

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

382 415

533 739

1 332 288

698 040

2 946 482

Dettes envers la clientèle

1 108 703

83 694

100 890

915

1 294 202

        Total

1 491 118

617 433

1 433 178

698 955

4 240 684

Dettes rattachées

 

 

 

 

19 259

Valeur au bilan

 

 

 

 

4 259 943

 

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

540

1 000

 

 

1 540

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

    Titres de créances négociables

550

1 900

0

150 000

152 450

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

        Total

1 090

2 900

0

150 000

153 990

Dettes rattachées

 

 

 

 

221

Valeur au bilan

 

 

 

 

154 211

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

 

4 600

 

14 814

19 414

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

        Total

0

4 600

0

14 814

19 414

Dettes rattachées

 

 

 

 

619

Valeur au bilan

 

 

 

 

20 033

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

2 882

 

 

 

2 882

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

    Titres de créances négociables

705

2 250

0

150 000

152 955

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

        Total

3 587

2 250

0

150 000

155 837

Dettes rattachées

 

 

 

 

237

Valeur au bilan

 

 

 

 

156 074

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

 

9 800

4 600

14 789

29 189

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

        Total

0

9 800

4 600

14 789

29 189

Dettes rattachées

 

 

 

 

730

Valeur au bilan

 

 

 

 

29 919

 

 

3.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change. — Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi :

 

— de couverture de valeur,

 

— de couverture de résultats futurs ;

 

— de couverture d’un investissement net en devise.

 

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité. (cf rapport de gestion page 18)

 

Couverture de juste valeur. — Les couvertures de juste valeur modifient le risque de variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

 

Couverture de flux de trésorerie. — Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

 

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

 

Couverture d’un investissement net en devise. — Les couvertures d’un investissement net en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liés à des détentions d’actifs ou de passifs dans des devises différentes de la devise de référence de l’entité.

 

Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Valeur marché

Montant notionnel

Valeur marché

Montant notionnel

Positive

Négative

Positive

Négative

Couverture de juste valeur :

51 903

28 891

1 585 739

43 304

21 814

918 096

    Taux d'intérêt

51 903

28 891

1 585 739

43 304

21 814

918 096

    Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

    Change

 

 

 

 

 

 

    Crédit

 

 

 

 

 

 

    Matières premières

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie :

9

2 506

28 056

12

2 622

28 566

    Taux d'intérêt

9

2 506

28 056

12

2 622

28 566

    Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

    Change

 

 

 

 

 

 

    Crédit

 

 

 

 

 

 

    Matières premières

 

 

 

 

 

 

Couverture d’investissements nets dans une activité a l'étranger

 

 

 

 

 

 

        Total instruments dérivés de couverture

51 912

31 397

1 613 795

43 316

24 436

946 662

 

 

3.5. Risques opérationnels. — Le risque opérationnel correspond à la possibilité de subir une perte découlant d’un processus interne défaillant ou d’un système inadéquat, d’une erreur humaine ou d’un événement externe qui n’est pas lié à un risque de crédit, de marché ou de liquidité (cf rapport de gestion page 18).

 

En 2004, le déploiement du dispositif risques opérationnels avec dans un premier temps l’outil « EUROPA » a permis de réaliser une cartographie, pour l’ensemble des Caisses régionales et de leurs filiales, permettant par une approche qualitative et quantitative d’apprécier le niveau d’exposition d’une entité à ces risques opérationnels avérés et potentiels dans l’ensemble des métiers et fonctions (opérationnelles et support) qui la concernent et de recenser, de qualifier et de coter ces risques opérationnels.

 

En 2005, le Groupe Crédit Agricole a poursuivi la mise en œuvre du dispositif avec le déploiement de l’outil « OLIMPIA » qui permet de collecter les incidents survenus depuis le 1er janvier.

 

Cette démarche quantitative et continuelle permet de recenser et de collecter les risques opérationnels avérés et d’en mesurer les fréquences et les impacts financiers.

 

Ce dispositif permet d’évaluer le coût du risque opérationnel qui doit figurer dans le tableau de bord de l’entité, d’en analyser l’évolution et ses composantes afin d’établir des priorités en matière d’actions correctrices, d’alerter le management sur les incidents significatifs de la période nécessitant le cas échéant des mesures palliatives appropriées, ou de fournir les informations nécessaires à l’unité en charge des polices d’assurance et/ou pour adapter la politique de couverture des risques de l’entité.

 

 

3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires. — L’amendement de la norme IAS 1 adopté par l’Union européenne le 11 janvier 2006 prévoit des informations sur le capital et sa gestion. L’objectif de l’amendement est de fournir au lecteur des informations sur les objectifs, politiques et procédures de gestion du capital de l’émetteur. A ce sujet, des informations de nature qualitative et quantitative sont requises en annexe et notamment : données chiffrées récapitulatives sur les éléments gérés en tant que capital, description des éventuelles contraintes externes auxquelles l’entreprise est soumise au titre de son capital (par exemple du fait d’obligations réglementaires), indication ou non du respect des contraintes réglementaires et en cas de défaut de respect, une indication des conséquences qui en découlent.

 

Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et « conglomérats financiers », la Caisse Régionale Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

 

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens du règlement 90-02 et exigés par la Commission Bancaire afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

 

L’arrêté du 20 février 2007 transpose dans la réglementation française le dispositif européen CRD (Capital Requirements directive) (2006-48-CE et 2006-49 CE). Le texte définit les « exigences de fonds propres applicables aux établissements de crédit et aux entreprises d’investissement » et les modalités de calcul du ratio de solvabilité à compter du 1er janvier 2008.

 

Conformément à ces dispositions, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a intégré dès 2007, dans la gestion des fonds propres et des risques, les impacts liés au passage à la nouvelle directive européenne CRD.

 

Toutefois, le régulateur a prolongé jusqu’à fin 2010 les niveaux planchers de fonds propres suivants :

 

— 95% des exigences de fonds propres telles qu’elles auraient été calculées en CAD jusqu’au 31/12/2007 ;

 

— 90% de ces exigences jusqu’au 31/12/2008 ;

 

— 80% de ces exigences jusqu’au 31/12/2010.

 

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

 

— les fonds propres durs (tier 1) déterminés à partir des capitaux propres du groupe et retraités notamment des gains et pertes latents ;

 

— les fonds propres complémentaires (tier 2), limités à 100% du montant des fonds propres de base et composés principalement des dettes subordonnées ;

 

— les fonds propres surcomplémentaires admis au ratio (tier3) composés principalement de dettes subordonnées à maturité plus courte.

 

Les déductions relatives notamment aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent désormais directement sur les montants du tier 1 et du tier 2, conformément à la réglementation.

 

Niveau des fonds propres prudentiels calculés conformément à la réglementation :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Fonds propres de base (tier 1)

323 768

316 115

Fonds propres complémentaires (tier 2)

 

 

Fonds propres surcomplémentaires (tier 3)

 

 

Valeur de mise en équivalence des titres des sociétés d'assurance (si concerné)

 

 

        Total des fonds propres prudentiels

323 768

316 115

 

 

En application de la réglementation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée doit respecter en permanence un ratio de fonds propres de base égal au moins à 4% et un ratio de solvabilité de 8%.

 

En 2010 comme en 2009, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a répondu à ces exigences réglementaires. Le ratio de solvabilité « CRD » s’établit à 11,41% au 31 décembre 2010, contre 11,07% en 2009.

 

 

4. – Notes relatives au compte de résultat.

 

4.1. Produits et Charges d’intérêts :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Sur opérations avec les établissements de crédit

366

460

Sur opérations internes au Crédit Agricole

7 043

10 803

Sur opérations avec la clientèle (4)

179 366

191 445

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

 

497

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

1 438

2 996

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

23 076

24 959

Sur opérations de location -financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Produits d'intérêts (1) (2)

211 289

231 160

Sur opérations avec les établissements de crédit

4

6

Sur opérations internes au Crédit Agricole

76 030

93 878

Sur opérations avec la clientèle (3)

14 803

11 169

Sur dettes représentées par un titre

6 007

6 190

Sur dettes subordonnées

1 640

1 999

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

21 532

23 059

Sur opérations de location -financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

19

Charges d'intérêts

120 016

136 320

(1) Dont 6 009 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement au 31décembre 2010 contre 6 605 milliers d'euros au 31 décembre 2009

(2) Dont 1 912 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'État au 31décembre 2010 contre 2 051 milliers d'euros au 31 décembre 2009 :

1. Au 31 décembre 2010, les commissions prescripteurs sont désormais portées au niveau des charges d’intérêts. Elles s’élèvent 569 milliers d’euros. Elles étaient inscrites en 2009 au niveau des charges d’exploitation pour 478 milliers d’euros au 31/12/2009.

2. Au 31/12/2010, les commissions relatives au frais de dossiers liées aux crédits jusque là affectées à la ligne « commission sur opérations avec la clientèle » pour 2 803 K€ sont portées au niveau des charges d’intérêts, au 31/12/2009 ces commissions s’élevaient à 2 266 K€.

 

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

121

-26

95

110

-22

88

Sur opérations internes au Crédit Agricole

15 845

-8 527

7 318

14 673

-12 096

2 577

Sur opérations avec la clientèle (1)

19 433

-324

19 109

20 308

-270

20 038

Sur opérations sur titres

 

 

0

220

 

220

Sur opérations de change

8

 

8

9

 

9

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

2 967

-201

2 766

2 635

-196

2 439

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers

56 461

-6 360

50 101

52 758

-4 591

48 167

Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues

1 503

-22

1 481

1 075

 

1 075

Produits nets des commissions

96 338

-15 460

80 878

91 788

-17 175

74 613

(1) Au 31/12/2010, les commissions relatives au frais de dossiers liées aux crédits jusque là affectées à la ligne « Commission sur opérations avec la clientèle » pour 2 803 K€ sont portées au niveau des charges d’intérêts, au 31/12/2009 ces commissions s’élevaient à 2 266 K€.

 

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

-73

-56

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par option

1 526

325

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

120

120

Résultat de la comptabilité de couverture

 

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

1 573

389

 

 

Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

3 022

3 022

 

    Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

1 584

1 438

146

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

1 438

1 584

-146

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

110 263

110 263

 

    Variations de juste valeur des éléments couverts

52 726

57 537

-4 811

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture

57 537

52 726

4 811

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

    Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

        Total résultat de la comptabilité de couverture

113 285

113 285

 

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

366

366

 

    Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

264

102

162

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

102

264

-162

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace (1)

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

10 337

10 337

 

    Variations de juste valeur des éléments couverts

6 359

3 924

2 435

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture

3 978

6 413

-2 435

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

    Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

        Total résultat de la comptabilité de couverture

10 703

10 703

 

 

 

4.4. Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Dividendes reçus

8 428

10 017

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente *

-34

-8

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres)

-8

-39

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

8 386

9 970

(*) Hors résultat de cession sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement mentionnés en note 4.8.

 

 

4.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-257

-12

Autres produits (charges) nets

915

-571

Produits (charges) des autres activités

658

-583

 

 

4.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009(1)

Charges de personnel

52 138

52 440

Impôts et taxes

3 382

3 228

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation

31 845

28 747

Charges d'exploitation

87 365

84 415

 

 

Ce montant intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse régionale.

 

La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2010 est donnée ci-dessous :

 

(En milliers d’euros, hors taxe)

2010

2009

E & Y

ADG

Total

Total

Commissaires aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés

133

60

193

190

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du Commissariat aux comptes

 

 

 

80

        Total

133

60

193

270

 

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Dotations aux amortissements

6 759

6 906

    Immobilisations corporelles

6 562

6 588

    Immobilisations incorporelles

197

318

Dotations aux dépréciations

 

 

    Immobilisations corporelles

 

 

    Immobilisations incorporelles

 

 

        Total

6 759

6 906

 

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-55 987

-43 803

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

-48 290

-41 541

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

-166

-166

Autres actifs

-7 491

-1 199

Engagements par signature

 

-175

Risques et charges

-40

-722

Reprises de provisions et de dépréciations

25 801

18 080

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

Prêts et créances

25 192

17 900

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Autres actifs

216

94

Engagements par signature

57

 

Risques et charges

336

86

Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-30 186

-25 723

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-191

-175

Récupérations sur prêts et créances amortis

834

414

Décotes sur crédits restructurés

-41

 

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

-10

-9

Coût du risque

-29 594

-25 493

 

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

153

555

Plus-values de cession

163

575

Moins-values de cession

-10

-20

Titres de capitaux propres consolidés

0

0

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

Produits (charges) nets sur opérations de regroupement

0

0

Gains ou pertes sur autres actifs

153

555

 

 

4.10. Impôts :

 

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009(1)

Charge d'impôt courant

17 651

19 691

Charge d'impôt différé

1 333

143

Charge d'impôt de la période

18 984

19 834

 

 

— Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

 

– Au 31/12/2010 :

 

(En milliers d’euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

59 203

Taux d'impôt théorique à 34,43%

20 384

Effet des différences permanentes

 

 

-1 173

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

263

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-467

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

17

Effet des autres éléments

 

 

-40

Taux et charge effectif d'impôt

 

32,07%

18 984

 

 

Le taux d’impôt théorique est le taux d’imposition de droit commun (y compris la contribution sociale additionnelle) des bénéfices taxables en France au 31 décembre 2010.

 

– Au 31/12/2009 (1) :

 

(En milliers d’euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions, activités abandonnées et résultats des sociétés mises en équivalence

62 970

Taux d'impôt théorique à 34.43%

21 681

Effet des différences permanentes

 

 

-2 835

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

263

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-280

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-28

Effet des autres éléments

 

 

1 091

Taux et charge effectif d'impôt

 

31,50%

19 892

 

 

4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période, net d’impôts.

 

(En milliers d’euros)

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Total des gains/pertes comptabilisés directement en capitaux propres hors QP des entités mises en équivalence

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponibles à la vente (1)

Variation de juste valeur des dérivés de couverture

Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

Variation de juste valeur

 

-1 792

74

 

-1 718

Transfert en compte de résultat

 

 

 

 

0

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

0

Variation des gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

 

 

-465

-465

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2010 (part du Groupe)

0

-1 792

74

-465

-2 183

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2010 (part minoritaire)

 

 

 

 

0

        Total gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2010 (1)

0

-1 792

74

-465

-2 183

Variation de juste valeur

 

66 944

-500

 

66 444

Transfert en compte de résultat

 

 

 

 

 

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

 

Variation des gains et pertes actuariels sur avantages post emploi

 

 

 

 

 

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2009 (part du Groupe)

 

66 944

-500

 

66 444

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2009 (part minoritaire)

 

 

 

 

 

        Total gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2009 (1)

 

66 944

-500

 

66 444

 

(1) Les données « total des gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs disponibles à la vente » se décomposent comme suit :

 

 

 

31/12/2010

31/12/2009

Montant brut

3 721

5 755

Impôt

825

764

        Total net

4 547

6 519

 

 

5. – Informations sectorielles.

 

Définition des secteurs opérationnels. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois concernant l’activité crédits, il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf note 3.1).

 

 

6. – Notes relatives au bilan.

 

6.1. Caisse, Banques centrales :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

24 090

 

25 970

 

Banques centrales (1)

6 073

 

6 100

 

        Total en principal

30 163

0

32 070

0

Créances/Dettes rattachées

24

 

23

 

Valeur au bilan

30 187

0

32 093

0

(1) Les créances et dettes rattachées ne sont plus isolées ; les montants publiés au 31/12/2009 ont été reclassés en conséquence.

 

 

6.2. Actifs et Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

664

769

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

9 839

14 640

Valeur au bilan

10 503

15 409

    Dont Titres prêtés

 

 

 

 

— Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

0

0

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

    Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Instruments dérivés

664

769

Valeur au bilan

664

769

 

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

9 839

14 640

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

9 839

14 640

    Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Valeur au bilan

9 839

14 640

 

 

— Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

1 024

1 206

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

Valeur au bilan

1 024

1 206

 

 

— Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Titres vendus à découvert

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

1 024

1 206

Valeur au bilan

1 024

1 206

 

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêts et de change.

 

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009 (2)

Juste valeur

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Juste valeur

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

4 465

97

 

9 228

74

-40

Actions et autres titres à revenu variable

1 526

 

-3

1 931

 

-63

Titres de participation non consolidés

254 083

7 952

-1 449

248 679

8 576

-191

Créances disponibles à la vente

 

 

 

18

 

 

        Total des titres disponibles à la vente

260 074

8 049

-1 452

259 856

8 650

-294

        Total des créances disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

260 074

8 049

-1 452

259 856

8 650

-294

Impôts

 

-166

1

 

-168

36

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs financiers disponibles à la vente (net IS)

260 074

7 883

-1 451

259 856

8 482

-258

(1) Dont – 1 264 K€ comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

(2) Les créances rattachées ne sont plus isolées ; les montants publiés au 31/12/2009 ont été reclassés en conséquence.

 

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle :

 

— Prêts et créances sur les établissements de crédit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Établissements de crédit :

 

 

    Comptes et prêts

2 959

1 824

    Valeurs reçues en pension

 

 

    Prêts subordonnés

394

394

    Titres non cotés sur un marché actif

110

 

    Autres prêts et créances

 

 

        Total

3 463

2 218

Créances rattachées

4

1

Dépréciations

 

 

Valeur nette

3 467

2 219

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

    Comptes ordinaires

23 025

57 480

    Comptes et avances à terme

69 794

127 295

    Prêts subordonnés

13 500

13 500

    Titres non cotés sur un marché actif

 

 

        Total

106 319

198 275

Créances rattachées

4 164

4 679

Dépréciations

 

 

Valeur nette

110 483

202 954

Valeur nette au bilan

113 950

205 173

 

 

— Prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Opérations avec la clientèle :

 

 

    Créances commerciales

17 803

18 271

    Autres concours à la clientèle

4 551 714

4 360 197

    Titres reçus en pension livrée

 

 

    Prêts subordonnés

27 000

27 000

    Titres non cotés sur un marché actif

1 015

1 015

    Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

    Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

    Avances en comptes courants d'associés

55 641

58 214

    Comptes ordinaires débiteurs

38 915

51 358

        Total

4 692 088

4 516 055

Créances rattachées

38 169

40 149

Dépréciations

-172 797

-153 112

Valeur nette

4 557 460

4 403 092

Opérations de location financement :

 

 

    Location - financement immobilier

 

 

    Location - financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

        Total

0

0

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeur nette

0

0

Valeur nette au bilan

4 557 460

4 403 092

 

 

Créances apportées en garantie. — Au cours de l’année 2010, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a apporté 1 084 440 K€ de créances en garantie dans le cadre de la participation du groupe Crédit Agricole à différents mécanismes de refinancement, contre 988 345 K€ en 2009. La Caisse Régionale Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

 

En particulier, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a apporté :

 

— 659 410 K€ de créances à Crédit Agricole SA dans le cadre des opérations de refinancement du Groupe auprès de la Banque de France, contre 556 656 K€ en 2009 ;

 

— 184 026 K€ de créances à Crédit Agricole SA dans le cadre du dispositif SFEF (Société de Financement de l'Economie Française), contre 210 015 K€ en 2009 ;

 

— 146 212 K€ de créances hypothécaires à Crédit Agricole SA dans le cadre du refinancement auprès de la CRH (Caisse de Refinancement de l'Habitat), contre 179 485 K€ en 2009 ;

 

— 94 793 K€ de créances à Crédit Agricole SA ou à d'autres partenaires du Groupe dans le cadre de divers mécanismes de refinancement, contre 41 589 K€ en 2009.

 

 

6.6. Dépréciations inscrites en déduction d’actifs financiers :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2010

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

0

Créances sur la clientèle

153 112

 

55 049

35 364

 

172 797

    Dont dépréciations collectives

49 640

 

3 307

7 462

 

45 485

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

0

Titres détenus jusqu'à l'échéance

2 962

 

166

 

 

3 128

Actifs disponibles à la vente

1 256

 

8

 

 

1 264

Autres actifs financiers

3 670

 

7 491

514

 

10 647

        Total des dépréciations des actifs financiers

161 000

0

62 714

35 878

0

187 836

 

 

(En milliers d’euros)

31.12.2008

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2009

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

0

Créances sur la clientèle

132 709

 

48 407

28 004

 

153 112

    Dont dépréciations collectives

45 191

 

6 399

1 950

 

49 640

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

0

Titres détenus jusqu'à l'échéance

2 796

 

166

 

 

2 962

Actifs disponibles à la vente

1 311

 

39

94

 

1 256

Autres actifs financiers

2 565

 

1 199

94

 

3 670

        Total des dépréciations des actifs financiers

139 381

0

49 811

28 192

0

161 000

 

 

6.7. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle :

— Dettes envers les établissements de crédit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Établissements de crédit :

 

 

    Comptes et emprunts

395

395

        Dont comptes ordinaires créditeurs

 

 

        Dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

    Valeurs données en pension

 

 

    Titres donnés en pension livrée

 

 

            Sous-total

395

395

Dettes rattachées

1

3

            Total

396

398

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

    Comptes ordinaires créditeurs

 

 

    Comptes et avances à terme

2 871 484

2 946 087

            Sous-total

2 871 484

2 946 087

Dettes rattachées

9 713

12 033

            Total

2 881 197

2 958 120

Valeur au bilan

2 881 593

2 958 518

 

 

— Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Comptes ordinaires créditeurs

1 047 854

1 009 252

Comptes d'épargne à régime spécial

9 692

9 897

Autres dettes envers la clientèle (1)

356 518

275 053

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

        Total

1 414 064

1 294 202

Dettes rattachées

8 149

7 223

Valeur au bilan

1 422 213

1 301 425

(1) Les dépôts de garantie liés à certaines prestations de service, jusque là affectés à la ligne « Créditeurs divers » ont été réaffectés à la ligne « Autres dettes envers la clientèle » de la rubrique « Dettes envers la clientèle ». Le montant net de dépôts de garantie s'élève à 502 milliers d'euros au 31/12/2010 et à 507 milliers d'euros en 31/12/2009.

 

 

6.8. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009 (1)

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

48 173

42 217

        Total

48 173

42 217

Dépréciations

-3 128

-2 962

Valeur nette au bilan

45 045

39 255

(1) Les créances rattachées ne sont plus isolées ; les montants publiés au 31/12/2009 ont été reclassés en conséquence.

 

 

6.9. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Dettes représentées par un titre :

 

 

    Bons de caisse

1 540

2 882

    Titres du marché interbancaire

 

 

    Titres de créances négociables :

152 450

152 955

        Emprunts obligataires

 

 

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

            Total

153 990

155 837

Dettes rattachées

221

237

Valeur au bilan

154 211

156 074

Dettes subordonnées :

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

19 414

29 189

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

            Total

19 414

29 189

Dettes rattachées

619

730

Valeur au bilan

20 033

29 919

 

 

6.10. Actifs et passifs d’impôts courants et différés :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Impôts courants

10 212

 

Impôts différés

19 589

20 767

        Total actifs d'impôts courants et différés

29 801

20 767

Impôts courants

17 734

1 133

Impôts différés

 

 

        Total passifs d'impôts courants et différés

17 734

1 133

 

 

Les actifs et passifs d’impôts différés se décomposent comme suit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Décalages temporaires comptables -fiscaux

19 307

0

20 639

0

Charges à payer non déductibles

816

 

478

 

Provisions pour risques et charges non déductibles

16 918

 

18 920

 

Autres différences temporaires

1 573

 

1 241

 

Impôts différés/Réserves latentes

857

132

910

142

Actifs disponibles à la vente

 

132

14

142

Couvertures de Flux de Trésorerie

857

 

896

 

Gains et pertes/Ecarts actuariels

 

 

 

 

Impôts différés/Résultat

140

583

141

781

Effet des compensations

 

 

 

 

        Total impôts différés

20 304

715

21 690

923

 

 

Les impôts différés sont nettes au bilan par entité fiscale.

 

 

6.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers :

 

— Comptes de régularisation et actifs divers :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Autres actifs

51 143

38 858

Comptes de stocks et emplois divers

23 688

12 268

Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

Débiteurs divers

27 389

26 518

Comptes de règlements

66

72

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

66 251

52 670

Comptes d'encaissement et de transfert

46 428

24 127

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

1

Produits à recevoir

19 106

27 480

Charges constatés d'avance

573

734

Autres comptes de régularisation

143

328

Valeur nette au bilan

117 394

91 528

 

 

— Comptes de régularisation et passifs divers :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Autres passifs (1)

20 765

19 667

Comptes de règlements

194

543

Créditeurs divers (3)

19 675

17 697

Versement restant à effectuer sur titres

896

1 427

Autres passifs d'assurance

 

 

Autres

 

 

Comptes de régularisation

55 875

42 385

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

16 848

2 520

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

Produits constatés d’avance

16 576

13 184

Charges à payer

21 376

25 594

Autres comptes de régularisation

1 075

1 087

Valeur au bilan

76 640

62 052

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) Les montants sont indiqués en net.

(3) Les dépôts de garantie liés à certaines prestations de service, jusque là affectés à la ligne « Créditeurs divers » ont été réaffectés à la ligne « Autres dettes envers la clientèle » de la rubrique « Dettes envers la clientèle ». Le montant net de dépôts de garantie s'élève à 502 milliers d'euros au 31/12/2010 et à 507 milliers d'euros en 31/12/2009.

 

 

6.12. Immeubles de placement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2010

Valeur brute

385

2 302

54

 

2 633

Amortissements et dépréciations

-255

-257

 

 

-512

Valeur nette au bilan

130

2 045

54

0

2 121

 

 

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2009

Valeur brute

385

 

 

 

385

Amortissements et dépréciations

-243

-12

 

 

-255

Valeur nette au bilan

142

-12

0

0

130

 

 

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

 

6.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2010

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

    Valeur brute

112 038

9 280

4 548

 

116 770

    Amortissements et dépréciations

70 321

6 562

431

 

76 452

Valeur nette au bilan

41 717

2 718

4 117

0

40 318

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

    Valeur brute

10 526

124

1

 

10 649

    Amortissements et dépréciations

9 714

197

 

 

9 911

Valeur nette au bilan

812

-73

1

0

738

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2009

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

    Valeur brute

110 260

9 708

7 930

 

112 038

    Amortissements et dépréciations

66 287

6 588

2 554

 

70 321

Valeur nette au bilan

43 973

3 120

5 376

0

41 717

    Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

    Valeur brute

10 278

248

 

 

10 526

Amortissements et dépréciations

9 396

318

 

 

9 714

Valeur nette au bilan

882

-70

0

0

812

 

 

6.14. Provisions :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Variations de périmètre

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2010

Risques sur les produits épargne logement

3 372

 

1 068

 

1 499

 

2 941

Risques d’exécution des engagements par signature

911

 

 

 

57

 

854

Risques opérationnels

5 675

 

710

2 575

541

 

3 269

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

432

 

58

 

 

 

490

Litiges divers

873

 

551

695

58

 

671

Participations

 

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

 

0

Autres risques

2 102

 

573

274

44

 

2 357

        Total

13 365

0

2 960

3 544

2 199

0

10 582

(1) Dont 0 K€ au titre des avantages postérieurs à l'emploi sur des régimes à prestations définies, tels que détaillés dans la note 7.4, dont 490 K€ au titre de la provision pour médaille du travail.

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Variations de périmètre

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2009

Risques sur les produits épargne logement

5 212

 

157

 

1 997

 

3 372

Risques d’exécution des engagements par signature

736

 

175

 

 

 

911

Risques opérationnels

5 048

 

2 201

22

1 552

 

5 675

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

447

 

3

18

 

 

432

Litiges divers

1 862

 

 

942

47

 

873

Participations

 

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

 

0

Autres risques

1 260

 

1 098

181

75

 

2 102

        Total

14 565

0

3 634

1 163

3 671

0

13 365

(1) Dont 432 K€ au titre de la provision pour médaille du travail.

 

 

Provision épargne - logement :

 

— Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Plans d'épargne-logement :

 

 

    Ancienneté de moins de 4 ans

263 747

227 362

    Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

217 136

221 234

    Ancienneté de plus de 10 ans

149 136

162 598

        Total plans d'épargne-logement

630 019

611 194

        Total comptes épargne-logement

92 054

94 721

        Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

722 073

705 915

 

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

Les encours de collecte sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2010 pour les données au 31 décembre 2010 et à fin novembre 2009 pour les données au 31 décembre 2009 et hors prime d'état.

 

— Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Plans d'épargne-logement

6 610

8 219

Comptes épargne-logement

15 813

17 593

        Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

22 423

25 812

 

 

— Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Plans d'épargne-logement :

 

 

    Ancienneté de moins de 4 ans

 

 

    Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

295

391

    Ancienneté de plus de 10 ans

2 287

1 122

        Total plans d'épargne-logement

2 582

1 514

        Total comptes épargne-logement

359

1 858

        Total provision au titre des contrats épargne-logement

2 941

3 372

 

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Dotations

Reprises

Autres mouvements

31/12/2010

Plans d'épargne-logement

1 514

1 068

 

 

2 582

Comptes épargne-logement

1 858

 

1 499

 

359

        Total provision au titre des contrats épargne-logement

3 372

1 068

1 499

0

2 941

 

 

L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ».

 

 

6.15. Capitaux propres :

 

— Composition du capital au 31 décembre 2010 : La Caisse régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

 

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement et de Certificats Coopératifs d’Associés.

 

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

 

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

 

Les CCI et/ou CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

 

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

 

Les CCI sont émis au profit de titulaires n’ayant pas à justifier de la qualité de sociétaire, et sont librement négociables.

 

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2010

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2010

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

 

 

459 957

    Dont part du Public

 

 

 

 

    Dont part Crédit Agricole SA

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

12 783 378

34 057

1

12 817 434

    Dont 56 caisses locales

12 783 353

34 057

 

12 817 410

    Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

1

23

    Dont crédit agricole SA

1

 

 

1

        Total

13 243 335

34 057

1

13 277 391

 

 

La valeur nominale des titres est de :

 

– 15,25 € pour les CCA ;

 

– 15,25 € pour les parts sociales émises par la CR ;

 

– 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales.

 

Au 31/12/2010, le capital de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 26 980 K€.

 

Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

 

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA.

 

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

 

La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

 

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Dividendes :

 

Année de rattachement du dividende

Par CCI

Par CCA

Par part sociale

Montant net

Montant net

Montant net

2007

 

7,56

0,05

2008

 

7,11

0,05

2009

 

7,08

0,05

Prévu 2010

 

6,47

0,05

 

 

— Affectation du résultat et fixation du dividende 2010 : L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2010 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 24 mars 2011.

 

 

Projet d’affectation du résultat social au 31/12/2010 :

 

Résultat Comptable à affecter

39 649 570, 08 €

Distribué

3 605 008,74 €

    Intérêts aux parts Sociales

631 290,98 €

    Rémunération des CCA

2 973 717,76 €

Conservé

36 044 561,34 €

    Réserve légale

27 033 421,01 €

    Autre réserve

9 011 140,33 €

 

 

6.16. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance contractuelle. — La ventilation présentée des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle. L’échéance des instruments dérivés de transaction et de couverture correspond à leur date de maturité contractuelle. Les actions et autres titres à revenu variable sont par nature sans échéance contractuelle ; ils sont positionnés en « Indéterminé ».

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Caisse, banques centrales

30 187

 

 

 

 

30 187

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

252

 

664

9 587

 

10 503

Instruments dérivés de couverture

290

1 053

6 034

44 535

 

51 912

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

 

 

260 074

260 074

Prêts et créances sur les établissements de crédit

62 143

4 566

25 952

21 289

 

113 950

Prêts et créances sur la clientèle

418 022

546 852

1 318 888

2 272 683

1 015

4 557 460

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

13 394

 

 

 

 

13 394

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

675

1 406

11 486

31 478

 

45 045

        Total actifs financiers par échéance

524 963

553 877

1 363 024

2 379 572

261 089

5 082 525

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

927

97

 

1 024

Instruments dérivés de couverture

545

2 543

3 441

24 868

 

31 397

Dettes envers les établissements de crédit

448 190

696 171

1 010 486

726 746

 

2 881 593

Dettes envers la clientèle

1 117 833

135 415

163 392

5 573

 

1 422 213

Dettes représentées par un titre

1 311

2 900

 

150 000

 

154 211

Dettes subordonnées

619

4 600

 

 

14 814

20 033

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

35 614

 

 

 

 

35 614

        Total passifs financiers par échéance

1 604 112

841 629

1 178 246

907 284

14 814

4 546 085

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Indéterminé

Total

Caisse, banques centrales

32 093

 

 

 

 

32 093

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

769

14 640

 

15 409

Instruments dérivés de couverture

887

914

5 838

35 677

 

43 316

Actifs financiers disponibles à la vente

18

 

 

8 805

251 033

259 856

Prêts et créances sur les établissements de crédit

95 432

64 303

27 795

4 143

13 500

205 173

Prêts et créances sur la clientèle

458 767

447 253

1 287 486

2 208 571

1 015

4 403 092

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

14 532

 

 

 

 

14 532

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 828

222

9 045

27 160

 

39 255

        Total actifs financiers par échéance

604 557

512 692

1 330 933

2 298 996

265 548

5 012 726

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

1 096

110

 

1 206

Instruments dérivés de couverture

595

1 149

7 080

15 612

 

24 436

Dettes envers les établissements de crédit

394 451

533 739

1 332 288

698 040

 

2 958 518

Dettes envers la clientèle

1 115 419

83 694

100 890

915

 

1 300 918

Dettes représentées par un titre

3 824

2 250

 

150 000

 

156 074

Dettes subordonnées

730

9 800

4 600

14 789

 

29 919

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

31 940

 

 

 

 

31 940

        Total passifs financiers par échéance

1 546 959

630 632

1 445 954

879 466

0

4 503 011

 

 

7. – Avantages au personnel et autres rémunérations.

 

 

7.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Salaires et traitements (1)

27 801

27 823

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

3 050

2 962

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

863

1 053

Autres charges sociales

10 315

10 690

Intéressement et participation

6 038

6 162

Impôts et taxes sur rémunération

4 071

3 750

        Total charges de personnel

52 138

52 440

(1) Dont indemnités liées à la retraite pour 70 milliers d’euros au 31/12/2010 contre 173 milliers d’euros au 31/12/2009/

Dont médailles du travail pour 59 milliers d’euros au 31/12/2010 contre -15 milliers d’euros au 31/12/2009.

 

 

7.2. Effectif fin de période :

 

Effectifs

31/12/2010

31/12/2009

France

888

894

Etranger

14

15

        Total

902

909

 

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole SA n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies :

 

Variation dette actuarielle (en milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Dette actuarielle au 31/12/n-1

9 655

9 826

Ecart de change

 

 

Coût des services rendus sur la période

770

645

Coût financier

492

504

Cotisations employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

221

Variation de périmètre

 

 

Indemnités cess activ- fonds externes

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-786

-617

(Gains)/pertes actuariels *

528

-924

Dette actuarielle au 31/12/n

10 659

9 655

 

 

Détail de la charge comptabilisée au résultat (en milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Coût des services rendus

770

645

Coût financier

492

504

Rendement attendu des actifs

-322

-342

Amortissement du coût des services passés

19

19

Gains/(pertes) actuariels net

 

-325

Amortissement des gains/pertes générés par modifications, réductions et liquidations de régimes

 

 

Gains/(pertes) du(e)s au changement de limitation d'actifs

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

959

501

 

 

Variation de juste valeur des actifs et des Droits à remboursement (en milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/n-1

8 633

8 761

Ecart de change

 

 

Rendement attendu des actifs

322

342

Gains/(pertes) actuariels

-183

-599

Cotisations payées par l'employeur

760

747

Cotisations payées par les employés

 

 

Modifications, réductions et liquidations de régime

 

 

Variation de périmètre

 

 

Prestations payées par le fonds

-786

-617

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/n

8 746

8 634

 

 

Position nette (en milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Dette actuarielle fin de période

10 659

9 655

Coût des services passés (modification de régimes) non reconnus

183

202

Impact de la limitation d'actifs

 

 

Juste valeur des actifs fin de période

8 746

8 633

Position nette (passif)/actif fin de période

-1 729

-820

 

 

Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies (suite) :

 

Eléments reconnus immédiatement en sorie et comptabilisés dans le résultat global (en millions d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Ecarts actuariels générés sur les régimes d'avantages postérieurs à l'emploi

710

-324

Ajustements de plafonnement des actifs (incluant les effets d'IFRIC 14)

 

 

        Total des éléments reconnus immédiatement en sorie dans l'année

710

-324

Montant du stock d'écarts actuariels cumulés en sorie en fin d'année

386,42

-324,044

 

 

Information sur les actifs des régimes (1)

31/12/2010

31/12/2009

Composition des actifs :

 

 

    % d'obligations

83,6%

77,0%

    % d'actions

9,6%

15,7%

    % Autres actifs

6,8%

7,3%

 

 

Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles

31/12/2010

31/12/2009

Taux d'actualisation (2)

3,75%

4,87%

Taux de rendement attendus des actifs du régime et des droits à remboursement

3,89%

ND

Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement

 

 

Taux attendus d'augmentation des salaires (3)

4,82%

ND

Taux d'évolution des coûts médicaux

 

 

Autres (à détailler)

 

 

(1) Calculé sur la base de 8 746 K€ d'actifs sur le périmètre d’actifs au 31/12/2010 sur le périmètre de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

(2) Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over.

(3) Suivant les populations concernées (cadres ou non cadres).

 

 

7.4. Autres avantages sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 490 K€ à la fin de l’exercice 2010.

 

 

7.5. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de direction et d’Administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 197,5 K€.

 

 

8. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

 

Engagements donnés et reçus :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Engagements donnés :

 

 

    Engagements de financement

518 940

551 342

        Engagements en faveur d'établissements de crédit

 

 

        Engagements en faveur de la clientèle

518 940

551 342

            Ouverture de crédits confirmés

410 186

454 329

                Ouverture de crédits documentaires

738

579

                Autres ouvertures de crédits confirmés

409 448

543 750

            Autres engagements en faveur de la clientèle

108 754

97 013

    Engagements de garantie

127 751

113 302

        Engagements d'ordre d'établissement de crédit

0

0

            Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

            Autres garanties

 

 

        Engagements d'ordre de la clientèle

127 751

113 302

            Cautions immobilières

10 800

4 917

            Garanties financières

86 527

74 574

        Autres garanties d'ordre de la clientèle

30 424

33 811

Engagements reçus :

 

 

    Engagements de financement

350 152

152

        Engagements reçus d'établissements de crédit

350 152

152

        Engagements reçus de la clientèle

 

 

    Engagements de garantie

699 019

554 704

        Engagements reçus d'établissements de crédit

18 389

24 408

        Engagements reçus de la clientèle

680 630

530 296

            Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

136 602

138 709

            Autres garanties reçues

544 028

391 587

 

 

9. – Reclassements d’instruments financiers.

 

Principes retenus par le Groupe. — Les reclassements hors de la catégorie « actifs financiers détenus à des fins de transaction » ont été décidés puis réalisés dans le respect des conditions fixées par l'amendement IAS 39 adopté par l'Union européenne le 15 octobre 2008. Ils ont été inscrits dans leur nouvelle catégorie comptable pour leur juste valeur à la date du reclassement.

 

Comme les exercices précédents, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré 2010 de reclassement au titre de l’amendement de la norme IAS 39 adopté par l’Union européenne le 15 octobre 2008.

 

 

10. – Juste valeur des instruments financiers.

 

La juste valeur d’un instrument financier est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé ou une dette réglée entre des parties avisées, consentantes dans une transaction conclue à des conditions normales.

 

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

 

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

 

Dans la pratique, et dans une logique de continuité de l’activité, l’ensemble de ces instruments financiers pourrait ne pas faire l’objet d’une réalisation immédiate pour la valeur estimée ci-dessous.

 

 

10.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2010

31/12/2009

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Actifs :

 

 

 

 

    Prêts et créances sur les établissements de crédit

113 950

113 954

205 173

142 751

    Prêts et créances sur la clientèle

4 557 460

4 719 463

4 403 092

4 531 139

    Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

45 045

42 537

39 255

37 025

    Immeubles de placement

2 121

2 121

130

130

Passifs :

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédits

2 881 593

2 937 055

2 958 518

3 007 791

    Dettes envers la clientèle

1 422 213

1 422 213

1 301 425

1 301 425

    Dettes représentées par un titre

154 211

168 982

156 074

156 074

    Dettes subordonnées

20 033

20 033

29 919

29 919

 

 

Pour les instruments financiers, la meilleure estimation correspond au prix de marché de l’instrument lorsque celui-ci est traité sur un marché actif (cours cotés et diffusés).

 

En l’absence de marché ou de données fiables, la juste valeur est déterminée par une méthode appropriée conforme aux méthodologies d’évaluations pratiquées sur les marchés financiers : soit la référence à la valeur de marché d’un instrument comparable, soit l’actualisation des flux futurs, soit des modèles d’évaluation.

 

Dans les cas où il est nécessaire d’approcher les valeurs de marché au moyen d’évaluation, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs estimés qui est la plus couramment utilisée.

 

En outre, il est à noter que la Caisse Régionale Sud Méditerranée prend en compte le rapport d’experts publié par l’IASB le 31 octobre 2008 et relatif à la valorisation de certains instruments financiers à la juste valeur cotés sur des marchés qui ne sont plus actifs.

 

Par ailleurs, dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

 

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

 

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

 

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

 

— des passifs exigibles à vue ;

 

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

 

10.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur :

 

Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation :

 

— Actifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation :

 

(En milliers d’euros)

Total 31/12/2010

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

664

 

664

 

    Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

    Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

        Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

        Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

        Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

    Instruments dérivés

664

 

664

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

9 839

 

9 839

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

    Titres à la juste valeur par résultat sur option

9 839

 

9 839

 

        Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

        Obligations et autres titres à revenu fixe

9 839

 

9 839

 

        Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

260 074

4 042

256 032

 

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

4 465

4 042

423

 

    Actions et autres titres à revenu variable

255 609

 

255 609

 

    Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

51 912

 

51 912

 

            Total actifs financiers valorisés à la juste valeur

322 489

4 042

318 447

 

 

 

— Actifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation :

 

(En milliers d’euros)

Total 31/12/2009

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

769

 

769

 

    Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

    Titres détenus à des fins de transaction

 

 

 

 

        Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

        Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

        Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

    Instruments dérivés

769

 

769

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

14 640

 

14 640

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

    Titres à la juste valeur par résultat sur option

14 640

 

14 640

 

        Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

        Obligations et autres titres à revenu fixe

14 640

 

14 640

 

        Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

259 856

8 823

251 033

 

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

9 246

8 823

423

 

    Actions et autres titres à revenu variable

250 610

 

250 610

 

    Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

43 316

 

43 316

 

            Total actifs financiers valorisés à la juste valeur

318 581

8 823

309 758

 

 

 

— Passifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris dettes rattachées :

 

(En milliers d’euros)

Total 31/12/2010

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

1 024

0

1 024

0

    Titres vendus à découvert

0

 

 

 

    Titres donnés en pension livrée

0

 

 

 

    Dettes représentées par un titre

0

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédit

0

 

 

 

    Dettes envers la clientèle

0

 

 

 

    Instruments dérivés

1 024

 

1 024

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

31 397

 

31 397

 

        Total passifs financiers valorisés à la juste valeur

32 421

 

32 421

 

 

— Passifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris dettes rattachées :

 

(En milliers d’euros)

Total 31/12/2009

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

1 206

 

1 206

 

    Titres vendus à découvert

 

 

 

 

    Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

    Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédit

 

 

 

 

    Dettes envers la clientèle

 

 

 

 

    Instruments dérivés

1 206

 

1 206

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

24 436

 

24 436

 

        Total passifs financiers valorisés à la juste valeur

25 642

 

25 642

 

 

 

Les gains et pertes comptabilisés en résultat liés aux instruments financiers détenus à des fins de transaction et à la juste valeur par résultat sur option et aux instruments dérivés sont enregistrés en « Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat » ; les gains et pertes comptabilisés en résultat liés aux actifs financiers disponibles à la vente sont enregistrés en « Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente », excepté pour les flux de dépréciation durable des actifs financiers à revenu fixe enregistrés en « coût du risque ».

 

 

11. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2010.

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode de consolidation au 31/12/2010

% de contrôle et d'intérêt

31/12/2010

31/12/2009

Caisse Locale à vocation départementale des PO

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale DE ARGELES -ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BAGES - SUD REART

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TERRES DE JAUMET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BANYULS S/MER

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BOMPAS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CABESTANY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANOHES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CARAMAY - BELESTA - TREVILLAC

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COLLIOURE - PORT VENDRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MOYEN AGLY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ILLE SUR TET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BASSIN DE L'AGLY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MAURY - LESQUERDE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MILLAS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PEZILLA - CORNEILLA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de POLLESTRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ASPRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PRADES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de RIVESALTES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST FELIU D'AVALL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de AGLY SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST NAZAIRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALEILLES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALSES - OPOUL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LE SOLER

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de THUIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TOULOUGES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VILLELONGUE SQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VINCA - TARERACH - SOURNIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARLES S/TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d' AX LES THERMES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LA BASTIDE DE SEROU

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CASTILLON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de FOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LAVELANET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LEZAT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du MAS D AZIL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de STE CROIX VOLVESTRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST GIRONS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TARASCON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VARILHES

France

Intégration Globale

100

100

 

 

VII. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés.

 

Aux Sociétaires,

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2010, sur :

 

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

 

— la justification de nos appréciations ;

 

— la vérification spécifique prévue par la loi.

 

Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

 

 

I. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d’exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d’autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d’ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

 

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l’ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

 

Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 1.5 de l’annexe aux comptes consolidés qui expose le changement de méthode de comptabilisation des écarts actuariels relatifs aux engagements sociaux.

 

 

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

 

— Comme indiqué dans la note 1.3 de l’annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et des provisions individuelles et collectives.

 

— La note 1.3 de l’annexe expose les règles et méthodes comptables relatives aux actifs financiers disponibles à la vente. Nous avons examiné les évaluations retenues pour la valorisation de ces titres et, sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à vérifier la correcte application des principes retenus par votre caisse régionale pour leur dépréciation et plus particulièrement celle relative aux titres de capitaux propres.

 

— Dans le cadre de l’arrêté des comptes, votre caisse régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur l’évaluation en juste valeur des instruments financiers. Nous avons examiné et testé les processus mis en place par la direction, les hypothèses retenues et les paramètres utilisés, et vérifié, sur la base des informations qui nous ont été communiquées, que ces estimations comptables s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes retenus par votre caisse régionale.

 

— Votre caisse régionale procède à d’autres estimations dans le cadre habituel de la préparation de ses comptes consolidés, comme exposé en note 1.3 de l’annexe aux états financiers, qui portent, notamment, sur les engagements en matière de retraite et d’indemnités de fin de carrière. Nos travaux ont consisté à examiner les méthodes et hypothèses retenues et à vérifier que les estimations comptables qui en résultent s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans la note 1.3 de l’annexe aux états financiers.

 

Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

 

III. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion.

 

Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

 

Paris et Toulouse, le 25 février 2011.

 

Les commissaires aux comptes :

ADG International :

Ernst & Young et Autres :

Albert Zaragoci ;

Frank Astoux.

 

 

 

1101654

28/04/2010 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée (Ariège/Pyrénées Orientales)
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N2)
Numéro d'affaire : 1526
Texte de l'annonce :

1001526

28 avril 2010BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°51


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural.

Capital social au 31 décembre 2009 : 28 057 377 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335. — Code APE : 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2009.

 

A. — Comptes sociaux au 31 décembre 2009.

Arrêtés par le Conseil d’administration de Sud Méditerranée en date du 12 février 2010.

 

I. — Bilan au 31 décembre 2009.

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2009

31/12/2008

Opérations interbancaires et assimilées

 

34 312

32 350

Caisse, banques centrales

 

32 093

29 705

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

Créances sur les établissements de crédit

3

2 219

2 645

Opérations internes au Crédit Agricole

3

204 429

215 421

Opérations avec la clientèle

4

4 387 367

4 256 072

Opérations sur titres :

 

63 252

62 231

    Obligations et autres titres à revenu fixe

5

58 727

57 461

    Actions et autres titres à revenu variable

5

4 525

4 770

Valeurs immobilisées

 

347 305

334 499

Participations et autres titres détenus à long terme

6 et 7

303 674

288 495

Parts dans les entreprises liées

6 et 7

983

1 026

Immobilisations incorporelles

7

812

881

Immobilisations corporelles

7

41 836

44 097

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

105 371

111 395

Autres actifs

8

38 844

31 823

Comptes de régularisation

8

66 527

79 572

        Total actif

 

5 142 036

5 011 968

 

Passif

Notes

31/12/2009

31/12/2008

Opérations interbancaires et assimilées

 

398

422

Banques centrales

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

10

398

422

Opérations internes au Crédit Agricole

10

2 963 528

2 959 628

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 304 344

1 200 414

Dettes représentées par un titre

12

156 074

166 757

Comptes de régularisation et passifs divers

 

68 596

68 720

Autres passifs

13

17 851

17 729

Comptes de régularisation

13

50 745

50 991

Provisions et dettes subordonnées

 

96 045

102 481

Provisions

14, 15 et 16

63 783

60 776

Dettes subordonnées

18 et 20

32 262

41 705

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17 et 20

7 557

7 557

Capitaux propres hors FRBG :

19 et 20

545 494

505 989

    Capital souscrit

 

28 057

28 057

    Primes d'émission

 

129 625

129 625

    Réserves

 

344 408

304 733

    Ecart de réévaluation

 

 

 

    Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

 

 

    Report à nouveau

 

 

 

    Résultat de l'exercice

 

43 404

43 574

        Total passif

 

5 142 036

                       5 011 968

 

II. — Hors-bilan au 31 décembre 2009.

(En milliers d’euros.)

 

 

31/12/2009

31/12/2008

Engagements donnés :

 

 

    Engagements de financements

551 342

554 060

    Engagements de garantie

113 302

112 139

    Engagements sur titres

370

34

Engagements reçus :

 

 

    Engagements de financements

152

131

    Engagements de garantie

554 705

454 169

    Engagements sur titres

370

34

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

— Opérations de change au comptant et à terme : note 23 ;

— Opérations sur instruments financiers à terme : note 24.

 

III. — Compte de résultat au 31 décembre 2009.

(En milliers d’euros.)

 

 

Notes

31/12/2009

31/12/2008

Intérêts et produits assimilés

24

209 381

226 112

Intérêts et charges assimilées

24

-115 571

-148 023

Revenus des titres à revenu variable

25

14 915

17 695

Commissions (produits)

26

89 151

78 649

Commissions (charges)

26

-18 967

-11 843

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

27

120

177

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

28

581

-1 351

Autres produits d’exploitation bancaire

29

601

10 366

Autres charges d’exploitation bancaire

29

-523

-427

Produit net bancaire

 

179 688

171 355

Charges générales d’exploitation

30

-83 582

-83 439

Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

-6 913

-6 493

Résultat brut d'exploitation

 

89 193

81 423

Coût du risque

31

-25 492

-23 574

Résultat d'exploitation

 

63 701

57 849

Résultat net sur actifs immobilisés

32

330

167

Résultat courant avant impôt

 

64 031

58 016

Résultat exceptionnel

33

-906

-864

Impôt sur les bénéfices

34

-19 721

-13 578

Dotations / Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

 

 

Résultat net

 

43 404

43 574

 

IV. — Annexe.

 

Note 1. — Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice.

 

1.1. Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code Monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 58 Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’Entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2009, la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du Groupe Crédit Agricole dont l'Organe Central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole SA. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS rue La Boétie, qui détient elle-même 55,17% du capital de Crédit Agricole SA, cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole SA est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 44,39%.

Par ailleurs, Crédit Agricole SA détient 10 300 864 actions propres au 31 décembre 2009, soit 0,44% de son capital, contre 13 011 521 actions propres au 31 décembre 2008.

Pour sa part Crédit Agricole SA détient 25% des Certificats Coopératifs d’Associés émis par la Caisse régionale.

Crédit Agricole SA coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code Monétaire et financier. Du fait de son rôle d'Organe Central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit Agricole SA à hauteur de leurs fonds propres.

 

1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole. — L'appartenance de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée au groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA, qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ».

 

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Épargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne-logement, Plans d'Épargne Populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses régionales au profit de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole SA et centralisées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25% puis 33,33% et enfin, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole SA et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole SA.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole SA de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales leur permettant d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

 

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts Clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole SA : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

— Opérations en devises : Crédit Agricole SA, intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

 

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole SA, la CNCA (devenue Crédit Agricole SA) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un Protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit Agricole. Ce Protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (FRBLS) destiné à permettre à Crédit Agricole SA d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du Protocole sont détaillées au Chapitre III du document de référence de Crédit Agricole SA enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453.

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole SA, les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

1.3. Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2009 :

— Souscription à l’augmentation de capital de la SAS rue La Boétie pour 8,25 millions d’euros ;

— Liquidation de la SAS Sacam entraînant l’attribution de 1,2 millions d’euros de titres Sacam Participations et le versement de 1,5 millions d’euros de dividendes ;

— Forte progression des créances douteuses et litigieuses soit 172 millions d’euros au 31 décembre 2009, en évolution de 26,2% par rapport à 2008 (cf. annexe 4.3 et 4.4). Cette hausse est plus marquée au niveau de la succursale en Catalogne du Sud avec +109%, cela a conduit la Caisse Régionale à constituer des provisions spécifiques pour couvrir en particulier le risque éventuel sur les prêts réaménagés soit 1,3 millions d’euros ainsi que la dépréciation des biens saisis pour 1,2  M€ (cf. annexe 31) ;

— Lancement du Projet NICE (Nouvelle Informatique Convergente Evolutive) dont l’objectif est le regroupement de l’ensemble des Caisses Régionales vers un système d’information unique à horizon 2013 ;

— Forte augmentation des engagements hors bilan (créances données en garanties) qui représentent 988 millions d’euros au 31 décembre 2009 soit :

— CA Covered Bonds pour 41,6 millions d’euros ;

— CRH (Refinancement de l’Habitat) pour 179,5 millions d’euros ;

— SFEF (Financement de l’Economie Française) pour 210,6 millions d’euros ;

— TRICP (Nouvelles modalités d’utilisation des créances privées en garantie des opérations de politique monétaire et des systèmes de paiement) pour 556,7 millions d’euros.

 

Note 2. — Principes et méthodes comptables.

 

Les états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables en France aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole SA, agissant en tant qu'Organe Central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

La présentation des états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement 91-01 du Comité de la Réglementation bancaire (CRB), modifié par le règlement 2000-03 du Comité de la Réglementation comptable (CRC), relatif à l’établissement et à la publication des comptes individuels annuels des entreprises relevant du Comité de la Réglementation bancaire et Financière (CRBF) lui-même modifié.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :

— La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique à compter du 1er janvier 2009 le règlement CRC 2009-04 du 3 décembre 2009, afférent à la valorisation des swaps et modifiant le règlement CRB 90-15, relatif à la comptabilisation des contrats d’échange de taux d’intérêt ou de devises.

— La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique à compter du 1er janvier 2009, dans les conditions fixées par l’arrêté du 6 octobre 2009, l’article L. 511-45 du Code Monétaire et financier créé par la loi n° 2009-715 du 18 juin 2009, relatif à l’information sur les implantations des établissements de crédit dans les Etats ou territoires qui n’ont pas conclu avec la France de convention d’assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l’évasion fiscale permettant l’accès aux renseignements bancaires.

Ces informations sont présentées en note 37.

— La Caisse Régionale Sud Méditerranée comptabilise depuis le 01/01/2009 les frais d’acquisition sur titres (hors portefeuille de transaction) dans leur prix d’acquisition comme autorisé par le règlement CRC 2008-07 et selon les dispositions liées au changement d’option fiscale prévues à l’article 314.2 du PCG.

Ce changement n’a pas eu d’impact significatif sur le résultat et la situation nette de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la période.

 

2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement CRC 2002-03 modifié du 12 décembre 2002.

Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours :

— les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit ;

— les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole ;

— les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle.

Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle).

Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale.

Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les engagements par signature comptabilisés au hors bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds.

La mise en place du règlement CRC n°2002-03 modifié relatif au traitement comptable du risque de crédit a conduit Crédit Agricole SA à comptabiliser les créances présentant un risque d’impayé conformément aux règles suivantes :

 

— Créances restructurées : Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.), afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

Par conséquent, sont exclues des créances restructurées :

– les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité ;

– les créances dont le tableau d’amortissement théorique est modifié du fait de l’application d’une option ou clause contractuelle prévue initialement au contrat (exemple : pause et report d’échéance).

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 33 518  K€ au 31 décembre 2009 contre 24 586  K€ au 31 décembre 2008.

Une décote sur les prêts restructurées a été comptabilisée pour un montant de 633 K€.

 

— Créances douteuses : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits) ;

– la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

– il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Pour les découverts, l’ancienneté de l’impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l’établissement ou qu’il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l’établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu’il a tiré des montants sans autorisation de découvert.

Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l’établissement peut décompter l’ancienneté de l’impayé lorsque le découvert a fait l’objet de la part de l’établissement d’une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

– Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Les intérêts contractuels ne sont plus comptabilisés après le transfert en encours douteux compromis.

– Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

 

— Dépréciations au titre du risque de crédit avéré : Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale Sud Méditerranée par voie de dépréciation figurant en déduction de l’actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

— Traitement comptable des décotes et dépréciations : La décote constatée lors d’une restructuration de créance ou la dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque. Pour les créances restructurées inscrites en encours sains, cette décote est réintégrée sur la durée de vie dans la marge d’intérêt. Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation et à l’amortissement de la décote du fait du passage du temps étant inscrites dans la marge d’intérêt.

 

— Dépréciation au titre du risque de crédit non affecté individuellement : Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté au passif de son bilan des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, tels que les provisions sectorielles ou des provisions calculées à partir des modèles Bâle II. Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel, sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement.

Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché espagnol.

 

— Risques-pays : Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par la Commission Bancaire, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays ». (Note de la Commission Bancaire du 24 décembre 1998).

Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d’origine.

 

2.2. Portefeuille Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement CRB 90-01 modifié notamment par les règlements CRC 2005-01, 2008-07 et 2008-17 ainsi que par le règlement CRC 2002-03 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe.

Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable.

Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

— Titres de placement : Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

– Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d’acquisition coupon couru à l’achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre.

Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

– Actions et autres titres à revenu variable : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat frais d'acquisition inclus. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique : « Revenus des titres à revenu variable ».

Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique.

A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d’acquisition et la valeur de marché. Ainsi lorsque la valeur d’inventaire d'une ligne ou d’un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins value latente. Les plus values potentielles ne sont pas enregistrées.

En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres :

– s’il s’agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’informations particulières sur la situation financière de l’émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ;

– s’il s’agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2. Créances et engagements par signature – Dépréciation au titre du risque de crédit avéré).

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat.

 

— Titres d'investissement : Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance.

Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante, juridique ou autre, qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais et coupons inclus.

La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre.

Il n’est pas constitué de dépréciation des titres d’investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l’émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du règlement CRC 2002-03 sur le risque de crédit ; elle est enregistrée dans la rubrique « Coût du risque ».

En cas de cession de titres d’investissement, ou de transfert dans une autre catégorie de titres, pour un montant significatif, l’établissement n’est plus autorisé, pendant l’exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d’investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément au règlement CRC 2005-01, hors exceptions prévues par ce texte et par le CRC 2008-17.

 

— Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

– Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

– Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu’elle permet d’exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d’en assurer le contrôle.

– Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d’acquisition frais inclus.

A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d’utilité.

Celle-ci représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir, compte tenu de ses objectifs de détention.

L’estimation de la valeur d’utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l’entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre.

Lorsque la valeur d’utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l’objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes.

Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ».

 

— Prix de marché : Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

– les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent ;

– si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres, lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

— Dates d’enregistrement : La Caisse Régionale Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

— Reclassement de titres : Conformément au règlement CRC 2008-17 du 10 décembre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements de titres suivants :

– du portefeuille de transaction vers le portefeuille de d’investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l’établissement a l’intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance ;

– du portefeuille de placement vers le portefeuille d’investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré, en 2009, de reclassement au titre du règlement CRC 2008-17.

 

2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

 

En application du règlement CRC 2004-06, le coût d’acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d’achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l’acquisition pour la mise en état d’utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ».

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition.

Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’achèvement.

A l'exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existante.

 

2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes :

— dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit ;

— comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole,

— comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celle‑ci inclut notamment la clientèle financière).

Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables, emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ».

Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés ; la charge correspondante est inscrite dans la rubrique : « Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes :

— soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10% du prix d'émission ;

— soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10% du prix d'émission.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique également la méthode d’étalement des frais d’emprunts dans ses comptes individuels.

Les commissions de services financiers, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ».

 

2.6. Provisions. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement du Comité de la Réglementation comptable n°2000-06 sur les passifs concernant la comptabilisation et l’évaluation des provisions entrant dans le champ d’application de ce règlement.

Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers.

Les provisions incluent également les risques-pays. L’ensemble de ces risques fait l’objet d’un examen trimestriel.

Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d’opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement.

La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— Le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

— Provision pour risques sur GIE d’investissement : Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale de Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale de Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG). — Conformément aux dispositions prévues par la IVe directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 relatifs aux fonds propres, ces fonds sont constitués par la Caisse régionale Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire.

Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice.

 

2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions des règlements CRB 88-02 et 90-15 modifié et de l’instruction 94-04 modifiée de la Commission Bancaire.

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie :

— Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable.

Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole SA sont inscrits prorata temporis dans la rubrique : « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés.

— Opérations de marché : Les instruments négociés sur un marché organisé ou assimilé ou de gré à gré ou inclus dans un portefeuille de transaction - au sens du règlement CRB 90-15 modifié - sont évalués par référence à leur valeur de marché à la date de clôture.

Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s’il existe un marché actif, ou à l’aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l’absence de marché actif.

Pour les instruments négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

Les pertes ou profits relatifs à des instruments négociés sur des marchés peu liquides, dits de gré à gré, ou constituant des positions ouvertes isolées sont enregistrés dans les résultats au dénouement des contrats ou prorata temporis selon la nature de l'instrument. En date d'arrêté, les pertes latentes éventuelles font l'objet d'une provision.

Les gains et pertes ainsi que les mouvements de provisions relatifs à ces opérations de marché sont portés au compte de résultat sous la rubrique « Solde des opérations des portefeuilles de négociation ».

 

2.9. Opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction ; les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.

Les dotations aux succursales, les immobilisations des implantations à l'étranger, les titres de placement, d'investissement et de participation en devises achetés contre € sont convertis en euros au cours du jour de la transaction. Seul l'effet de change constaté sur les titres de placement est enregistré en compte de résultat.

Une provision peut cependant être constituée lorsque l’on constate une dépréciation durable du cours de change relatif aux participations de la Caisse régionale Sud Méditerranée à l’étranger.

A chaque arrêté, les opérations de change à terme sont évaluées au cours à terme restant à courir de la devise concernée. Les gains ou les pertes constatés sont portés au compte de résultat sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de négociation – Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés ».

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF 89.01, la Caisse régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multi-devises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Le montant global de la position de change opérationnelle nette de la Caisse régionale Sud Méditerranée s'établit à 12 K€.

 

2.10. Intégration de succursales à l’étranger. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée détient une succursale en Espagne tenant une comptabilité autonome conforme aux règles comptables en vigueur dans le pays où elle est implantée.

Lors de l'arrêté des comptes, les bilans et comptes de résultat de la succursale (règles comptables et devises identiques) sont intégrés à la comptabilité de la Caisse Régionale après élimination des opérations réciproques.

 

2.11. Engagements hors-bilan. — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus.

Le cas échéant, les engagements donnés font l’objet d’une provision lorsqu’il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse régionale Sud Méditerranée.

Le hors bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie.

Ces éléments sont toutefois détaillés dans l’annexe, aux notes 23 et 24.

 

2.12. Participation des salariés aux fruits de l’expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l’expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né.

L’intéressement est couvert par l’accord du 26 juin 2008.

La participation et l'intéressement figurent dans les « Frais de personnel ».

 

2.13. Avantages au personnel postérieurs à l’emploi :

— Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies : La Caisse régionale Sud Méditerranée applique la recommandation n° 2003-R.01 du Conseil national de la comptabilité du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.

A ce titre, la Caisse régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Les écarts actuariels étant passés immédiatement en résultat, le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation ;

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Les régimes à prestations définies dont la Caisse Régionale Sud Méditerranée fait bénéficier ses salariés concernent la retraite des cadres de direction et les indemnités fin de carrière de l’ensemble du personnel.

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. En conséquence la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas nécessité de constituer de provision en complément de cette souscription (cf. note 16).

— Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

Par conséquent, La Caisse régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en « Frais de personnel ».

 

2.14. Souscription d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne entreprise :

— Souscription d’actions dans le cadre du plan d’épargne entreprise : Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne entreprise, avec une décote maximum de 20%, ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevées d’une période d’incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d’actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse régionale Sud Méditerranée.

 

2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3%.

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Note 3. — Créances sur les établissements de crédit – analyse par durée résiduelle.

 

Créances (En milliers d’euros)

Durée résiduelle

 

≤ 3 mois

>3 mois ≤1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal (*)

Créances rattachées (*)

Total 31/12/2009

Total 31/12/2008

Établissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

        A vue

1 824

 

 

 

1 824

 

1 824

2 247

        A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

    Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

    Prêts subordonnés

 

 

 

394

394

1

395

397

            Total

1 824

0

0

394

2 218

1

2 219

2 644

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

2 219

2 644

Opérations internes au crédit agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Comptes ordinaires

58 955

 

 

 

58 955

10

58 965

90 241

    Comptes et avances à terme

31 055

64 303

27 775

4 163

127 296

4 648

131 944

111 659

    Prêts subordonnés

 

 

 

13 500

13 500

21

13 521

13 521

            Total

90 010

64 303

27 775

17 663

199 751

4 679

204 429

215 421

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

204 429

215 421

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 13 916 K€.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 14 050 K€.

Parmi les créances sur les établissements de crédit aucune n’est éligible au refinancement de la banque centrale.

Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole SA dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

Note 4. — Opérations avec la clientèle.

 

4.1. Opérations avec la clientèle – analyse par durée résiduelle :

 

Créances (En milliers d’euros)

Durée résiduelle

≤ 3 mois

>3 mois ≤1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal (*)

Créances rattachées (*)

Total 31/12/2009

Total 31/12/2008

Opérations avec la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Créances commerciales

15 111

436

 

2 724

18 271

1 092

19 363

21 142

    Autres concours à la clientèle

354 517

463 968

1 306 731

2 260 544

4 385 760

34 152

4 419 912

4 276 478

    Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

    Comptes ordinaires débiteurs

 

 

 

 

 

 

51 562

45 969

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-103 471

-87 518

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

4 387 367

4 256 072

 

Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis à la clientèle s'élèvent à 27 000 K€.

Parmi les créances sur la clientèle 492 147 K€ sont éligibles au refinancement de la banque centrale au 31 décembre 2009.

Les encours restructurés au 31 décembre 2009 s’élèvent à 33 518  K€ contre 24 586  K€ au 31 décembre 2008.

 

4.2. Opérations avec la clientèle – Analyse par zone géographique :

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

France (y compris DOM-TOM)

3 965 624

3 775 213

Espagne

489 765

526 847

        Total en principal

4 455 389

4 302 060

Créances rattachées

35 449

41 530

Dépréciations

-103 471

-87 518

Valeur nette au bilan

4 387 367

4 256 072

 

4.3. Opérations avec la clientèle – Encours douteux et dépréciations par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (y compris DOM-TOM)

3 980 261

113 215

77 109

82 160

61 902

3 812 410

108 019

70 246

78 001

56 088

Espagne

510 576

58 753

20 171

21 311

10 057

531 180

28 135

6 459

9 517

3 352

        Total

4 490 837

171 968

97 280

103 471

71 959

4 343 590

136 154

76 704

87 518

59 440

 

4.4. Opérations avec la clientèle – Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

1 806 240

62 231

29 263

30 147

18 085

1 744 587

48 906

20 912

31 725

14 613

Agriculteurs

337 695

12 693

8 457

8 351

5 452

320 447

13 370

8 406

7 927

5 501

Autres professionnels

1 245 236

54 224

27 571

33 077

19 059

1 206 164

45 600

25 938

28 171

20 892

Société financières

53 147

119

 

119

 

42002

 

 

 

 

Entreprises

441 041

32 409

22 076

21 633

19 484

465 782

23 848

17 787

16 369

15 389

Collectivités publiques

556 538

3 533

3 533

3 531

3 531

524 736

3 290

3 290

2 860

2 860

Autres agents économiques

50 940

6 759

6 380

6 614

6 348

39 873

1 140

371

466

185

        Total

4 490 837

171 968

97 280

103 471

71 959

4 343 590

136 154

76 704

87 518

59 440

 

Note 5. — Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Transaction

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investissement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées 

 

 

 

3 049

3 049

 

    Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

    Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

Dépréciations

 

 

 

 

0

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

3 049

3 049

0

Obligations et autres titres à revenu fixe :

 

 

 

 

 

 

    Emis par organismes publics

 

 

 

 

0

 

    Autres émetteurs

 

7 015

 

51 698

58 713

61 227

        Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

        Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

28

 

1 132

1 160

1 039

Dépréciations

 

-1 232

 

-2 962

-4 194

-4 804

Valeur nette au bilan

 

5 811

 

49 868

55 679

57 461

Actions et autres titres à revenu variable

 

4 588

 

 

4 588

4 958

    Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

    Dépréciations

 

-64

 

 

-64

-188

Valeur nette au bilan

 

4 525

 

 

4 525

4 770

            Total valeurs nettes

0

10 336

0

52 917

63 252

62 231

Valeurs estimatives

0

10 410

0

52 296

62 706

59 711

 

— Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 75 K€ au 31 décembre 2009, contre 35 K€ au 31 décembre 2008. La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

Il n’y a pas de plus value latente sur le portefeuille de titres d’investissement au 31 décembre 2009.

 

5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie :

 

(En milliers d’euros)

Encours nets 31/12/2009

Encours nets 31/12/2008

Administration et banques centrales (y compris Etats)

 

 

Établissements de crédit

47 699

42 769

Sociétés financières

3 944

11 027

Collectivités locales

3 179

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

8 429

8 436

Divers et non ventilés

 

 

        Total en principal

63 252

62 231

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeurs nettes au bilan

63 252

62 231

 

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

61 762

0

4 588

66 350

61 227

0

4 958

66 185

    Dont titres cotés

43 747

 

 

 

48 212

 

 

48 212

    Dont titres non cotés (1)

18 015

 

4 588

22 603

13 015

 

4 958

17 973

Créances rattachées

1 159

 

 

1 159

1 039

 

 

1 039

Dépréciations

-4 194

 

-64

-4 258

-4 804

 

-188

-4 992

Valeurs nettes au bilan

58 727

0

4 525

63 252

57 461

0

4 770

62 231

Commentaires :

(1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

— OPCVM français 3 944  K€ (pas d’ OPCVM français de capitalisation) ;

— OPCVM étrangers de capitalisation 581  K€.

 

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2009 :

 

 (En milliers d’euros)

 Valeur d'inventaire

 Valeur liquidative

OPCVM monétaires

3 944

4 018

OPCVM obligataires

 

 

OPCVM actions

 

 

OPCVM autres

581

582

        Total

4 525

4 600

 

5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle :

 

 

(En milliers d’euros)

 

≤3 mois

 

>3 mois ≤1 an

 

>1 an ≤5 ans

 

>5 ans

 

Total en principal

 

Créances rattachées

 

Total 31/12/2009

 

Total 31/12/2008

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

1 677

 

12 057

48 028

61 762

1 159

62 921

62 265

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

4 194

4 803

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

61 762

1 159

58 727

57 461

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur brute

 

 

 

 

0

 

0

 

Dépréciations

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

0

0

0

0

 

Note 6. — Titres de participation et de filiales.

 

Informations financières Filiales et participations

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital

Quote-part de capital détenue (en pourcentage)

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1)

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

 

 

 

 

 

Brutes

Nettes

 

 

 

 

 

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l'entité :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        SCI Château de Castelnou

EUR

850

-68

98,61%

1 202

755

229

 

18

-18

 

    Participations dans des établissements de crédit (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres parts dans les entreprises liées (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres titres de participations (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        SAS rue la Boétie

EUR

2 222 942

13 335 119

1,32%

212 076

212 076

52 041

 

115 489

32

7 049

        SAS Sacam Développement

EUR

730 622

65 922

1,35%

9 883

9 883

4 622

 

12 108

-39 839

165

        SAS Sacam Internationnal

résiduelle

900 041

428

1,32%

11 893

11 703

 

 

18 219

-44 236

 

        SAS Sacam Fireca

résiduelle

74 700

-23 642

1,18%

885

622

 

 

1 490

1 479

 

        SNC CA Titre

résiduelle

15 245

25 248

0,62%

362

362

 

 

92 607

50

 

        SAS Sofilaro

résiduelle

8 940

116

14,32%

1 281

1 281

3

 

108

326

45

        SAS Sacam Avenir

résiduelle

2 060

 

1,06%

937

937

 

 

3

-1

 

        SAS Sacam Participations

résiduelle

250

-16

1,63%

1 184

1 184

 

 

41

27

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inférieure a 1% du capital de l'entité :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres titres de participations (ensemble)

 

 

 

 

1 847

1 601

1 323

 

 

 

 

            Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

241 550

240 404

58 218

0

 

 

 

 

6.1. Valeur estimative des titres de participation :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Valeur au bilan

Valeur estimative ou d’utilité

Valeur au bilan

Valeur estimative ou d’utilité

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

    Titres non cotés

1 202

754

1 202

797

    Titres cotés

 

 

 

 

        Avances consolidables

229

229

229

229

        Créances rattachées

 

 

 

 

        Dépréciations

-448

 

-405

 

Valeur nette au bilan

983

983

1 026

1 026

Titres de participation et autres titres détenus à long terme :

 

 

 

 

    Titres de participation

 

 

 

 

        Titres non cotés

240 347

353 782

230 022

345 146

        Titres cotés

 

 

 

 

        Avances consolidables

57 986

57 986

57 451

57 451

        Créances rattachées

4 690

4 690

252

252

    Dépréciations

-699

 

-579

 

            Sous-total titres de participation

302 325

416 458

287 146

402 849

Autres titres détenus à long terme :

 

 

 

 

    Titres non cotés

1 349

1 349

1 349

1 349

    Titres cotés

 

 

 

 

    Avances consolidables

 

 

 

 

    Créances rattachées

 

 

 

 

    Dépréciations

 

 

 

 

            Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

1 349

1 349

1 349

Valeur nette au bilan

303 674

417 807

288 495

404 198

            Total des titres de participation

304 657

418 790

289 521

405 224

Total valeurs brutes :

 

 

 

 

    Titres non cotés

241 550

 

231 226

 

    Titres cotés

 

 

 

 

            Total

241 550

 

231 226

 

 

Les valeurs estimatives sont déterminées d’après la valeur d’utilité des titres, qui n’est pas nécessairement la valeur de marché.

Concernant la SAS rue La Boétie, la valeur d’utilité est de 21,08 € au 31 décembre 2009, cette dernière était de 21,25 € au 31 décembre 2008.

 

Note 7. — Variation de l’actif immobilisé.

 

— Immobilisations financières :

 

 (En milliers d’euros)

 01/01/2009

Augmentations (acquisitions)

 Diminutions (cessions, échéance)

 Autres mouvements (1)

31/12/2009

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

1 202

 

 

 

1 202

    Avances consolidables

229

 

 

 

229

    Créances rattachées

 

 

 

 

 

    Dépréciations

-404

-44

 

 

-448

Valeur nette au bilan part entreprises liées

1 027

-44

0

0

983

Titres de participation 

287 146

23 862

8 489

-74

302 325

    Valeurs brutes

286 110

19 386

8 486

 

297 010

    Avances consolidables

1 364

37

4

-74

1 323

    Créances rattachées

252

4 438

 

 

4 690

    Dépréciations

-579

-230

110

 

-699

Autres titres détenus à long terme 

1 349

0

0

0

1 349

    Valeurs brutes

1 349

 

 

 

1 349

    Avances consolidables

 

 

 

 

 

    Créances rattachées

 

 

 

 

 

    Dépréciations

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan titres participation et ATDLT

288 495

23 631

8 600

-74

303 674

        Total immobilisations financières

289 523

23 587

8 600

-74

304 657

 

— Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d’euros)

01/01/2009

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2009

Immobilisations corporelles :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

110 542

9 707

7 929

 

112 320

    Amortissements et dépréciations

-66 444

-6 595

-2 554

 

-70 485

Valeur nette au bilan

44 097

3 113

5 374

0

41 836

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

10 278

249

 

 

10 527

    Amortissements et dépréciations

-9 396

-318

 

 

-9 714

Valeur nette au bilan

881

-69

0

0

812

        Total

44 978

3 044

5 374

0

42 648

 

Note 8. — Comptes de régularisation et actifs divers.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Autres actifs (1) :

 

 

    Instruments conditionnels achetés

 

 

    Comptes de stock et emplois divers

12 268

2 669

    Débiteurs divers

26 504

29 026

    Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

    Comptes de règlement

72

129

Valeur nette au bilan

38 844

31 823

Comptes de régularisation :

 

 

    Comptes d'encaissement et de transfert

24 127

32 668

    Comptes d'ajustement et comptes d'écart

1

1

    Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

    Charges constatées d'avance

721

1 660

    Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

13 521

18 865

    Autres produits à recevoir

27 606

25 019

    Charges à répartir

216

242

    Primes d'émission et de remboursement sur emprunts obligataires

 

 

    Autres comptes de régularisation

334

1 118

Valeur nette au bilan

66 527

79 572

Valeur au bilan

105 371

111 395

(1) Les montants incluent les créances rattachées.

 

Note 9. — Dépréciations inscrites en déduction de l’actif.

 

(En milliers d’euros)

Solde au 01/01/2009

Dotations

Reprises et utilisations

Désactualisation

Autres mouvements

Solde au 31/12/2009

Dépréciations déduites de l’actif :

 

 

 

 

 

 

    Sur opérations interbancaires et assimilées

 

 

 

 

 

0

    Sur créances clientèle

87 518

42 007

24 818

1 236

 

103 471

    Opérations sur titres

5 977

2 339

2 912

 

 

5 404

    Valeurs immobilisées

2 565

1 200

95

 

 

3 670

    Autres actifs

 

 

 

 

 

0

        Total des dépréciations - Actif

96 060

45 546

27 825

1 236

0

112 545

 

Note 10. — Dettes envers les établissements de crédit - analyse par durée résiduelle.

 

 Dettes

≤3 mois  

>3 mois ≤1 an

  >1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées  

Total 31/12/2009

Total 31/12/2008

Établissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Comptes et emprunts :

 

 

 

 

 

 

 

 

        A vue

395

 

 

 

395

2

397

419

        A terme

 

 

 

 

0

1

1

3

    Valeurs données en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

    Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

395

0

0

0

395

3

398

422

Opérations internes au crédit agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Comptes ordinaires

5 408

 

 

 

5 408

1

5 409

4 639

    Comptes et avances à terme

382 021

648 739

1 217 288

698 040

2 946 088

12 032

2 958 120

2 954 989

Valeur au bilan

387 428

648 739

1 217 288

698 040

2 951 495

12 033

2 963 528

2 959 628

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole SA et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale (cf. cadre juridique et financier).

 

Note 11. — Comptes créditeurs de la clientèle.

 

11.1. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par durée résiduelle :

 

Dettes (En milliers d’euros)

≤3 mois

>3 mois ≤1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/009

Total 31/12/2008

Comptes créditeurs de la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Comptes ordinaires créditeurs

1 009 372

 

 

 

1 009 372

13

1 009 385

959 217

    Comptes d'épargne à régime spécial :

9 897

0

0

0

9 897

 

9 897

8 521

        A vue

9 897

 

 

 

9 897

 

9 897

8 521

        A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

    Autres dettes envers la clientèle

88 926

83 694

104 317

915

277 852

7 210

285 062

232 676

        A vue

 

 

 

 

0

 

0

 

        A terme

88 926

83 694

104 317

915

277 852

7 210

285 062

232 676

    Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

1 108 195

83 694

104 317

915

1 297 121

7 223

1 304 344

1 200 414

 

11.2. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par agents économiques :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Particuliers

661 999

638 250

Agriculteurs

78 510

85 093

Autres professionnels

87 878

88 230

Sociétés financières

8 447

12 448

Entreprises

392 038

312 131

Collectivités publiques

9 934

10 452

Autres agents économiques

65 538

53 809

Valeur au bilan (1)

1 304 344

1 200 414

(1) Les montants incluent les dettes rattachées.

 

Note 12. — Dettes représentées par un titre.

 

12.1. Dettes représentées par un titre – analyse par durée résiduelle :

 

Dettes (En milliers d’euros)

≤3 mois

>3 mois ≤1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/2009

Total 31/12/2008

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

2 882

 

 

 

2 882

7

2 889

2 301

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

 

0

 

    Titres de créances négociables (1)

705

2 250

 

150 000

152 955

230

153 185

164 456

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

 

0

 

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur au bilan

3 587

2 250

0

150 000

155 837

237

156 074

166 757

 

Note 13. — Comptes de régularisation et passifs divers.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Autres passifs (1) :

 

 

    Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

    Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

    Instruments conditionnels vendus

6

7

    Comptes de règlement et de négociation

543

881

    Créditeurs divers

15 875

15 128

    Versements restant à effectuer sur titres

1 427

1 713

Valeur au bilan

17 851

17 729

Comptes de régularisation :

 

 

    Comptes d'encaissement et de transfert

2 520

3 974

    Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

    Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

    Produits constatés d'avance

13 190

9 898

    Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

8 159

16 123

    Autres charges à payer

25 778

20 320

    Autres comptes de régularisation

1 097

678

Valeur au bilan

50 745

50 991

Valeur au bilan

68 596

68 720

(1) Les montants incluent les dettes rattachées.

 

Note 14. — Provisions.

 

(En milliers d’euros)

Solde au 01/01/2009

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Solde au 31/12/2009

Provisions pour engagements de retraite et assimilés

 

 

 

 

0

Provisions pour autres engagements sociaux

447

3

18

 

432

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

736

175

 

 

911

Provisions pour litiges fiscaux (1)

1 732

 

942

 

790

Provisions pour autres litiges

130

 

 

47

83

Provisions pour risques de crédit (2)

45 191

6 399

 

1 950

49 640

Provisions pour impôts (3)

1 024

 

242

 

782

Provisions pour risques opérationnels (4)

5 048

2 201

22

1 552

5 675

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (5)

5 212

157

 

1 998

3 371

Autres provisions (6)

1 257

1 098

181

75

2 099

Valeur au bilan

60 776

10 033

1 405

5 622

63 783

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II.

(3) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale.

(4) Cette provision est destinée à couvrir les risques d’insuffisance de conception, d’organisation et de mise en oeuvre des procédures d’enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d’information de l’ensemble des événements relatifs aux opérations de l’établissement.

(5) Voir note 15 ci-après.

(6) Y compris les provisions pour risques sur GIE d’investissement.

 

Note 15. — Épargne logement.

 

Une provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision mise en oeuvre par le Groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec le règlement CRC n° 2007-01 du 14 décembre 2007 sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement.

— Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Plans d'épargne-logement :

 

 

    Ancienneté de moins de 4 ans

227 362

174 204

    Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

221 234

279 000

    Ancienneté de plus de 10 ans

162 598

163 037

        Total plans d'épargne-logement

611 194

616 241

        Total comptes épargne-logement

94 721

100 136

        Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

705 915

716 377

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état.

 

— Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Plans d'épargne-logement 

8 219

7 977

Comptes épargne-logement 

17 593

18 214

        Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

25 812

26 191

 

— Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Plans d'épargne-logement :

 

 

    Ancienneté de moins de 4 ans

 

1 282

    Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

391

170

    Ancienneté de plus de 10 ans

1 122

776

        Total plans d'épargne-logement

1 513

2 227

        Total comptes épargne-logement

1 858

2 985

        Total provision au titre des contrats épargne-logement

3 371

5 212

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

(En milliers d’euros)

01/01/2009

Dotations

Reprises

31/12/2009

Plans d'épargne-logement 

2 227

 

714

1 513

Comptes épargne-logement 

2 985

157

1 284

1 858

        Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 212

157

1 998

3 371

 

Note 16. — Engagements sociaux : avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies.

 

Définitions :

— Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

— Les régimes à prestations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

— Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

Variations de la dette actuarielle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Dette actuarielle au 1er janvier

9 826

12 260

Coûts des services rendus sur la période

645

695

Effet de l'actualisation

504

608

Cotisations de l'employé

 

 

Modification/réduction/liquidation de plan

221

-4 289

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-617

-770

(Gains) / pertes actuariels (*)

-924

1 321

Dette actuarielle au 31 décembre

9 655

9 826

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Coûts des services rendus sur la période

645

695

Effet de l'actualisation

504

609

Rendement attendu des actifs sur la période

-342

-455

Amortissement du coût des services passés

-306

96

Autres gains ou pertes

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

501

946

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 1er janvier

8 761

11 198

Rendement attendu des actifs

342

455

Gains/pertes actuariels sur les actifs du régime

-599

1 225

Cotisation de l'employeur

747

942

Cotisation de l'employé

 

 

Modification/réduction/liquidation de plan

 

-4 289

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-617,4

-770

Juste valeur des actifs / droit à remboursement au 31 décembre

8 633

8 761

 

Composition des actifs des régimes. — Les actifs du régime concernant les IFC ainsi que les régimes de retraite sont composés de 77% obligations, 16% actions et 7% autres actifs.

 

Variations de la provision :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

(Provisions) / actifs au 1er janvier

-1 066

-1 062

Cotisation de l'employeur

747

942

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Paiements directs de l'employeur

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

-501

-946

(Provisions) / actifs au 31 décembre

-820

-1 066

 

Rendement des actifs des régimes. — Le rendement effectif des actifs de régime concernant les IFC est de 4,50% et de 3,75% pour les régimes de retraite.

 

Hypothèses actuarielles utilisées. — Le taux d’actualisation utilisé est de :

— 5,37% pour les indemnités de fin de carrière ;

— 4,66% pour les régimes de retraite.

 

Note 17. — Fonds pour risques bancaires généraux.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Valeur au bilan

7 557

7 557

 

Note 18. — Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d’euros)

≤3 mois

>3 mois ≤1 an

>1 an ≤5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/2009

Total 31/12/2008

Dettes subordonnées (1) :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à terme

0

14 400

0

0

14 400

730

15 130

24 545

        Euro

 

14 400

 

 

14 400

730

15 130

24 545

        Dollar

 

 

 

 

0

 

0

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

0

0

 

    Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

 

15 000

15 000

0

15 000

15 000

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

0

0

 

    C/C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

2 034

2 034

98

2 132

2 160

    Dépôts de Garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

0

0

 

Valeur au bilan

0

14 400

0

17 034

31 434

828

32 262

41 705

(1) Les dettes subordonnées doivent être ventilées par monnaie d'émission.

 

Commentaires : Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 1 999  K€ au 31 décembre 2009 contre 1 976  K€ au 31 décembre 2008.

 

Note 19. — Variation des capitaux propres (avant répartition).

 

(En milliers d’euros)

Capitaux propres

Capital (1)

Primes, réserves et report à nouveau (2)

Ecarts conversion/ réévaluation

Provisions réglementées et subventions d'investissement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 décembre 2007

28 057

392 518

 

 

46 055

466 630

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2007

 

 

 

 

-4 215

-4 215

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2007

 

41 840

 

 

-41 840

 

Report à nouveau débiteur

 

 

 

 

 

 

Résultat de l’exercice 2008

 

 

 

 

43 574

43 574

Autres variations

 

 

 

 

 

 

Solde au 31 décembre 2008

28 057

434 358

 

 

43 574

505 989

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2008

 

 

 

 

-3 899

-3 899

Variation de capital

 

 

 

 

 

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2008

 

39 675

 

 

-39 675

 

Report à nouveau débiteur

 

 

 

 

 

 

Résultat de l’exercice 2009

 

 

 

 

43 404

43 404

Autres variations

 

 

 

 

 

 

Solde au 31 décembre 2009

28 057

474 033

 

 

43 404

545 494

Commentaires :

(1) Dont 7 014 K€ de Certificats Coopératifs d’Association souscrits par Crédit Agricole SA.

(2) Dont 59 035  K€ de primes d'émission et 70 590  K€ relatifs aux primes de fusion.

 

Note 20. — Composition des fonds propres.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Capitaux propres

545 494

505 989

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

32 262

41 705

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

        Total des fonds propres

585 313

555 251

 

Note 21. — Opérations effectuées en devises.

 

Contributions par devise au bilan :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

5 132 580

5 132 580

5 002 145

5 002 149

Autres devises de l’Union Européenne

 

 

 

 

Franc Suisse

8 214

8 214

8 159

8 155

Dollar

1 242

1 242

1 590

1 590

Yen

 

 

 

 

Autres devises

 

 

74

74

Valeur brute

5 142 036

5 142 036

5 011 968

5 011 968

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

        Total

5 142 036

5 142 036

5 011 968

5 011 968

 

Note 22. — Opérations de change, emprunts et prêts en devises.

 

Opérations de change (En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

A recevoir

A livrer

A recevoir

A livrer

Opérations de change au comptant

0

0

0

0

    Devises

 

 

 

 

    Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

5 979

5 967

5 725

5 721

    Devises

2 977

2 977

2 917

2 917

    Euros

3 002

2 990

2 808

2 804

        Total

5 979

5 967

5 725

5 721

 

Note 23. — Opérations sur instruments financiers à terme.

 

Type d'opération (En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total

Total

Opérations fermes

1 004 205

0

1 004 205

991 750

    Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

    Opérations de gré à gré (1)

1 004 205

0

1 004 205

991 750

        Swaps de taux d'intérêt

992 258

 

992 258

980 305

        Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

        Contrats à terme de change

11 947

 

11 947

10 660

        FRA

 

 

 

 

        Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

        Autres contrats à terme

 

 

 

785

Opérations conditionnelles

5 570

0

5 570

6 832

    Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

    Opérations de gré à gré

5 570

0

5 570

6 832

        Options de swap de taux :

 

 

 

 

            Achetées

 

 

 

 

            Vendues

 

 

 

 

        Instruments de taux d'intérêts à terme conditionnels :

 

 

 

 

            Achetés

2 785

 

2 785

3 416

            Vendus

2 785

 

2 785

3 416

Dérives de crédit

0

0

0

0

                Total

1 009 775

0

1 009 775

998 581

(1) Les montants indiqués sur les opérations fermes doivent correspondre au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats).

 

23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

Répartition par durée restant à courir

Total 31/12/2009

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de change

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Options de taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes en devise sur marchés organisés

0

0

0

 

 

 

 

 

 

FRA

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

127 322

299 898

565 038

127 322

299 898

565 038

 

 

 

Swaps de devises

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Caps, floors, collars

1 312

4 258

0

1 312

4 258

 

 

 

 

Forward taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations conditionnelles sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

        Sous-total

128 634

304 156

565 038

128 634

304 156

565 038

0

0

0

Opérations de change à terme

11 947

 

 

11 947

 

 

 

 

 

        Total général

140 581

304 156

565 038

140 581

304 156

565 038

0

0

0

 

23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Total juste valeur

Encours notionnel

Total juste valeur

Encours notionnel

Swaps de taux d’intérêt

18 443

992 258

20 354

980 305

Swaps de devises

 

 

 

785

Caps, floors, collars

 

5 570

 

6 832

        Sous-total

18 443

997 828

20 354

987 921

Opérations de change à terme

 

11 947

 

10 660

        Total général

18 443

1 009 775

20 354

998 581

 

23.3. Information sur les Swaps. — La Caisse Régionale a l’obligation réglementaire d’utiliser un outil de mesure de son risque de taux. Ce logiciel permet de définir un niveau minimal de couverture du risque dans le cadre des préconisations émises par Crédit Agricole SA.

Les positions de macro-couverture de juste valeur couvrent les passifs à taux fixe issus de certains portefeuilles de collecte clientèle (dépôts, collecte d’épargne, émissions obligataires Groupe). Une baisse des taux génère une hausse de la valeur de marché des passifs à taux fixe, qui est couverte par la hausse de valeur de marché des dérivés de macro-couverture (actifs à taux fixe).

De même, les micro-couvertures de juste valeur de type « actif TV vs passif TF » couvrent les variations de valeur de marché de certains crédits à taux fixe.

Enfin, les micro-couvertures de juste valeur de type « actif TF vs passif TV » couvrent les variations de valeur de marché de certains crédits à taux fixe.

 

Ventilation des contrats d’échange de taux d’intérêt :

 

Contrats d'échange de taux d'intérêt et de devises (En milliers d’euros)

Position ouverte isolée

Micro-couverture

Macro-couverture

Swaps de transaction

Contrats d'échange de taux

 

92 258

900 000

 

 

Note 24. — Produits nets d’intérêts et revenus assimilés.

 

Produits nets d'intérêts (En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Intérêts et produits assimilés

209 381

226 112

    Sur opérations avec les établissements de crédit

550

1 581

    Sur opérations internes au Crédit Agricole

11 432

13 230

    Sur opérations avec la clientèle

190 138

206 863

    Sur obligations et autres titres à revenu fixe

3 498

3 337

Produit net sur opérations de macro-couverture

2 250

1 098

Autres intérêts et produits assimilés

1 513

3

Intérêts et charges assimilées

-115 571

-148 023

    Sur opérations avec les établissements de crédit

-11

-32

    Sur opérations internes au Crédit Agricole

-94 165

-125 206

    Sur opérations avec la clientèle

-15 211

-15 882

    Charge nette sur opérations de macro-couverture

 

 

    Sur obligations et autres titres à revenu fixe

-6 111

-6 778

    Autres intérêts et charges assimilées

-73

-125

        Total Produits nets d'intérêt et revenus assimilés

93 810

78 089

 

Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d’opérations. Elles sont présentées sur des lignes spécifiques.

 

Note 25. — Revenus des titres.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Titres de placement

553

527

Livret développement durable

 

 

Titres d’investissement

2 944

2 810

Opérations diverses sur titres

1

 

Revenus des titres à revenus fixes

3 498

3 337

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme

14 915

17 695

Titres de placement et titres de l’activité de portefeuille

 

 

Opérations diverses sur titres

 

 

Revenus des titres à revenus variables

14 915

17 695

        Total des revenus sur titres

18 413

21 032

 

Note 26. — Produit net des commissions.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

110

-22

88

111

-10

101

Sur opérations internes au crédit agricole

14 673

-12 096

2 577

12 686

-7 340

5 346

Sur opérations avec la clientèle

20 104

-54

20 050

21 125

-30

21 095

Sur opérations sur titres

220

 

220

218

 

218

Sur opérations de change

9

 

9

10

 

10

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

 

 

0

 

 

0

Sur prestations de services financiers (1)

53 833

-4 378

49 455

44 354

-4 295

40 059

Provision pour risques sur commissions

204

-2 418

-2 214

145

-167

-22

        Total

89 151

-18 967

70 184

78 649

-11 843

66 806

(1) Les commissions perçues au titre de l’assurance-décès-invalidité figurent désormais au niveau des commissions sur prestations de services financiers. Au 31 décembre 2009, ces commissions s’élèvent à 10 908 K€ contre 9 639 K€ au 31 décembre 2008 (inscrites en autres produits d’exploitation bancaire, cf. note 29).

 

Note 27. — Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

109

112

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

11

65

Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations

120

177

 

Note 28. — Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés.

 

Titres de placement (En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Dotations aux dépréciations

-1 900

-3 202

Reprises de dépréciations

2 802

1 374

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

902

-1 828

Plus-values de cession réalisées

 

5 471

Moins-values de cession réalisées

-320

-4 959

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

-320

512

Frais d'acquisition

 

34

Solde des opérations sur titres de placement

581

-1 351

Titres de l'activité de portefeuille

 

 

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

0

0

Solde des plus et moins-values de cession réalisées

0

0

Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille

0

0

        Total gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

581

-1 351

 

Note 29. — Autres produits et charges d’exploitation bancaire.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Autres produits d'exploitation bancaire

601

10 366

    Produits divers

601

10 366

    Quote-part des opérations faites en commun

 

 

    Refacturation et transfert de charges

 

 

    Reprises provisions

 

 

    Opérations de Crédit bail et assimilés

 

 

        Total des autres produits d'exploitation bancaire

601

10 366

Autres charges d'exploitation bancaire

-523

-427

    Charges diverses

-492

-392

    Quote-part des opérations faites en commun

-31

-35

    Refacturation et transfert de charges

 

 

    Dotations provisions

 

 

    Opérations de Crédit bail et assimilés

 

 

        Total des autres charges d'exploitation bancaire

-523

-427

 

Les commissions perçues au titre de l’assurance-décès-invalidité sont désormais inscrites au niveau des commissions sur prestations de services financiers (cf. note 26). Au 31 décembre 2009, ces commissions s’élèvent à 10 908 K€ contre 9 639 K€ au 31 décembre 2008.

 

Note 30. — Charges générales d’exploitation.

 

Charges générales d’exploitation (En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Frais de personnel :

 

 

    Salaires et traitements :

-29 248

-29 361

    Charges sociales :

-14 705

-14 147

        Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies

-4 015

-3 925

    Intéressement et participation

-6 162

-6 146

    Impôts et taxes sur rémunérations

-3 750

-3 580

            Total des charges de personnel

-53 863

-53 234

Refacturation et transferts de charges de personnel

1 781

2 021

Frais de personnel nets

-52 082

-51 213

Frais administratifs :

 

 

    Impôts et taxes

-3 213

-3 042

    Services extérieurs

-28 640

-29 720

    Autres frais administratifs

-165

257

            Total des charges administratives

-32 018

-32 505

Refacturation et transferts de charges administratives

518

279

Frais administratifs nets

-31 500

-32 226

Charges générales d'exploitation

-83 582

-83 439

 

Effectif moyen :

— Effectif par catégorie (effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) :

 

Catégorie de personnel

31/12/2009

31/12/2008

Cadres

147

150

Non cadres

748

753

            Total

895

903

    Dont :

881

888

        France

 

 

        Etranger

14

14

 

La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 172 K€.

 

Note 31. — Coût du risque.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Dotations aux provisions et dépréciations

43 804

38 220

    Dépréciations de créances douteuses

35 308

37 833

    Autres provisions et dépréciations

8 496

387

Reprises de provisions et dépréciations

22 628

17 259

    Reprises de dépréciations de créances douteuses (1)

20 473

15 860

    Autres reprises de provisions et dépréciations (2)

2 154

1 399

Variation des provisions et dépréciations

21 176

20 961

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3)

186

214

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4)

4 522

2 719

Décote sur prêts restructurés

0

163

Récupérations sur créances amorties

-414

-739

Pertes sur risques opérationnels

22

257

Coût du risque

25 492

23 574

(1) Dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses compromises : 4 289 K€ ;

Dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuse non compromises : 233 K€.

(2) Dont 22 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif.

(3) Dont 11 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises.

(4) Dont 4 289 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises.

 

Note 32. — Résultat net sur actifs immobilisés.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Immobilisations financières :

 

 

    Dotations aux dépréciations :

 

 

        De titres d'investissement

 

 

        De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-273

-56

    Reprises de dépréciations :

 

 

        De titres d'investissement

 

 

        De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

110

114

    Dotation ou reprise nette aux dépréciations :

-163

58

        De titres d'investissement

0

0

        De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-163

58

    Plus-values de cessions réalisées :

 

 

        Sur titres d'investissement

 

 

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

14

5

    Moins-values de cession réalisées :

 

 

        Sur titres d'investissement

 

 

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-76

-13

        Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

    Solde des plus et moins-values de cession :

-62

-8

        Sur titres d'investissement

0

0

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-62

-8

    Solde en perte ou en bénéfice

-225

50

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

 

    Plus-values de cession

575

128

    Moins-values de cession

-20

-12

Solde en perte ou en bénéfice

555

116

Résultat net sur actifs immobilisés

330

167

 

Note 33. — Charges et produits exceptionnels.

 

La charge exceptionnelle qui s’établit à 906 K€ est composée pour l’essentiel des coûts de migration de notre GIE Informatique EXA.

 

Note 34. — Impôt sur les bénéfices.

 

Cet agrégat comprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l’exercice s’élève à 19 721 K€ dont 1 184 K€ de reprise de provision pour impôt.

 

Note 35. — Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

 

35.1. Résultat courant par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

PNB

Charges d'exploitation

Dotation amortissement et dépréciation

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisations

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

162 655

-81 437

-6 881

74 337

-12 945

61 392

330

61 722

Autres pays de l'UE

17 034

-2 145

-32

14 857

-12 547

2 310

 

2 310

        Total

179 688

-83 582

-6 913

89 193

-25 492

63 701

330

64 031

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

PNB

Charges d'exploitation

Dotation amortissement et dépréciation

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisations

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

162 642

-80 961

-6 460

75 221

-18 017

57 205

167

57 372

Autres pays de l'UE

8 713

-2 478

-33

6 202

-5 557

645

 

645

        Total

171 355

-83 439

-6 493

81 423

-23 574

57 850

167

58 017

 

Note 36. — Affectation des résultats.

 

Projet affectation du résultat au 31 décembre 2009 (en euros) :

 

Résultat comptable

43 404 314,28

RAN

0

Résultat à affecter

43 404 314,28

Distribué

3 886 614,55

    Intérêts aux parts sociales

631 290,98

        Intérêts aux parts aux Caisses locales

631 280,00

        Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

10,98

    Rémunération des CCA

3 255 323,57

Conservé

39 517 699,73

    Réserves légales

29 638 274,79

    Autres réserves

9 879 424,93

 

Note 37. — Implantation dans des états ou territoires n'ayant pas conclu avec la France de convention d'assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l'évasion fiscales permettant l'accès aux renseignements bancaires.

 

La Caisse régionale Sud Méditerranée ne dispose d’aucune implantation directe ou indirecte détenue dans les Etats ou territoires n’ayant pas conclu avec la France de convention d’assistance administrative permettant l’accès aux renseignements bancaires : succursales, filiales (y compris entités ad hoc) et participations dans d’autres entités faisant l’objet d’un contrôle exclusif ou conjoint (ou de fait).

 

Note 38. — Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

 

Collège des commissaires aux comptes de la Caisse régionale de Sud Méditerranée :

 

(En milliers d’euros)

Ernst&Young

En %

ADG

En %

Audit :

 

 

 

 

    Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés FRANCE

89

60%

59

40%

    Succursale Espagne

37

100%

 

 

    Mission accessoire succursale

80

100%

 

 

        Total

206

 

59

 

 

Honoraires hors taxe, frais et débours exclus.

 

Note 39. — Publicité.

 

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au siège social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30, rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

V. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels.

Exercice clos le 31 décembre 2009.

 

Aux Sociétaires ;

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2009, sur :

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la caisse régionale à la fin de cet exercice.

Sans remettre en cause l'opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 2 de l’annexe qui expose le changement de méthode comptable résultant de l’application du règlement CRC 2009-04 afférent à la valorisation des swaps.

 

II. Justification des appréciations. — Les estimations comptables concourant à la préparation des états financiers au 31 décembre 2009 ont été réalisées dans un contexte économique et des conditions de marché toujours dégradés. C’est dans ce contexte que, conformément aux dispositions de l’article L. 823-9 du Code de commerce, nous avons procédé à nos propres appréciations que nous portons à votre connaissance :

— Estimations comptables :

– Comme indiqué dans les notes 2.1 et 14 de l'annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l'appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et des provisions individuelles et collectives.

– Les parts dans les entreprises liées, les titres de participation et les autres titres détenus à long terme par votre caisse régionale sont évalués à leur valeur d'utilité en retenant une approche basée sur les modalités décrites dans la note 2.2 de l'annexe. Dans le cadre de notre appréciation de ces estimations et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner les éléments ayant conduit à la détermination des valeurs d'utilité pour les principales lignes du portefeuille.

– Votre caisse régionale détient des titres en portefeuille. La note 2.2 de l'annexe expose les règles et méthodes comptables relatives à ces titres. Sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre caisse régionale et des informations fournies dans les notes annexes et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

III. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d'administration et dans les documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Paris et Toulouse, le 5 mars 2010.

Les Commissaires aux Comptes :

 

ADG INTERNATIONAL :

ERNST&YOUNG et Autres :

Albert Zaragoci ;

Frank Astoux.

 

B. — Comptes consolidés au 31 décembre 2009.

Arrêtés par le Conseil d’administration de Sud Méditerranée en date du 12 février 2010.

 

I. — Cadre général.

 

Présentation juridique de l’entité. — La caisse régionale sud méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à Perpignan, 30, rue Pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de Perpignan sous la référence 776179335 et fait partie du groupe crédit agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole :

— Un groupe bancaire d’essence mutualiste : L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 6,2 millions de sociétaires qui élisent quelque 32 600 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS rue La Boétie, détenue par les Caisses régionales, détient la majorité du capital de Crédit Agricole SA. La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

Crédit Agricole SA en qualité d’organe central du groupe Crédit Agricole veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (Art L. 511-31 et Art L. 511-32), à la cohésion du réseau du groupe Crédit Agricole (tel que défini par l’article R. 512-18 du Code monétaire et financier), au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent, au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole SA dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

II. — L’organisation du groupe Crédit Agricole et de Crédit Agricole SA.

 

 

 

 

 

Relations internes au Crédit agricole :

— Mécanismes financiers internes :

Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole sont spécifiques au Groupe.

– Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA, qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en : « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur les établissements de crédit ».

– Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (Livret d'Épargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'épargne logement, plans d'épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

– Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.…) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole SA et centralisées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25%, puis 33% et, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole SA et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole SA.

Les comptes d’épargne à régime spécial et les comptes et avances à terme permettent à Crédit Agricole SA de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales leur permettant d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

– Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA, où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

– Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole SA : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

– Opérations en devises : Crédit Agricole SA, intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

– Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

– Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole SA, la CNCA (devenue Crédit Agricole SA) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au Groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (« FRBLS ») destiné à permettre à Crédit Agricole SA d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au Chapitre III du Document de référence de Crédit Agricole SA enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R. 01-453.

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole SA, les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

— Informations relatives aux parties liées : Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2009 et aux dirigeants. Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 58 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « La consolidation des Caisses Régionales».

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales et de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 043 K€.

 

III. — Etats financiers consolidés.

 

1. — Compte de résultat.

(En milliers d’euros.)

 

 

Notes

31/12/2009

31/12/2008

Intérêts et produits assimilés

4.1

231 160

264 805

Intérêts et charges assimilées

4.1

-136 320

-186 826

Commissions (produits)

4.2

91 788

81 813

Commissions (charges)

4.2

-17 175

-12 161

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

389

-2 157

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4-6.4

9 970

12 922

Produits des autres activités

4.5

2 128

10 377

Charges des autres activités

4.5

-2 711

-424

Produit net bancaire

 

179 229

168 349

Charges générales d'exploitation

4.6-7.1-7.4-7.6

-84 415

-84 513

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-6 906

-6 485

Résultat brut d’exploitation

 

87 908

77 351

Coût du risque

4.8

-25 493

-23 520

Résultat d'exploitation

 

62 415

53 831

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

555

116

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impôt

 

62 970

53 947

Impôts sur les bénéfices

4.10

-19 834

-11 922

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

Résultat net

 

43 136

42 025

Intérêts minoritaires

 

 

 

Résultat net – part du groupe

 

43 136

42 025

 

2. — Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

 

(En milliers d’euros)

Notes

31/12/2009

31/12/2008

Ecarts de conversion

 

 

 

Actifs disponibles à la vente

 

66 944

-188 735

Instruments dérivés de couverture

 

-500

-1 199

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du Groupe, hors entités mises en équivalence

 

66 444

-189 934

QP gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

 

 

 

        Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du Groupe

4.11

66 444

-189 934

Résultat net part du groupe

 

43 136

42 025

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part du groupe

 

109 580

-147 909

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres part des minoritaires

 

 

 

Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

109 580

-147 909

 

Les montants sont présentés net d’impôts.

Les Caisses régionales de Crédit Agricole détiennent la totalité du capital de SAS rue la Boétie dont l'objet exclusif est la détention à tout moment de plus de 50% des droits de vote et du capital de Crédit Agricole SA. Les opérations sur les titres SAS rue la Boétie sont encadrées par une convention de liquidité qui fixe notamment les modalités de détermination de la valeur du titre. Ces opérations recouvrent par exemple les cessions de titres entre les Caisses régionales ou les augmentations de capital de SAS rue la Boétie.

Les modalités de valorisation du titre SAS rue la Boétie, prévues par la convention de liquidité, reposaient jusqu'à présent essentiellement sur la valorisation au cours de bourse des titres Crédit Agricole SA. Elles ont été modifiées par décision unanime des Caisses Régionales et de Crédit Agricole SA le 19 mars 2009 afin de continuer à refléter l'objet de la société.

En conséquence, la juste valeur des titres SAS rue la Boétie détenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée s'est trouvée augmentée de 70 434 K€ et les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs disponibles à la vente - net d’impôt - 70 364 K€.

Le montant de 70 364 K€ représente l’écart entre la valorisation – net d’impôt - des titres SAS rue La Boétie détenus par la Caisse Régionale dans ses comptes au 31 décembre 2009 et la valorisation qui aurait été obtenue en utilisant la méthode en vigueur au 31 décembre 2008.

 

3. — Bilan.

(En milliers d’euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2009

31/12/2008

Caisse, banques centrales

6.1

32 093

29 705

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

15 409

4 610

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

43 316

32 121

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.6

259 856

182 813

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5-6.6

205 173

217 370

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5-6.6

4 403 092

4 271 377

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

14 532

8 173

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

6.6-6.8

39 255

49 107

Actifs d'impôts courants et différés (1)

6.10

20 767

26 586

Comptes de régularisation et actifs divers

6.11

91 528

84 854

Actifs non courants destinés à être cédés

6.12

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

Immeubles de placement

6.12

130

142

Immobilisations corporelles

6.13

41 717

43 973

Immobilisations incorporelles

6.13

812

882

Ecarts d'acquisition

 

 

 

        Total de l'actif

 

5 167 680

4 951 713

(1) Au 31 décembre 2008, cette ligne se décomposait comme suit : actifs d'impôts courants pour 6 232 K€ et actifs d'impôts différés pour 20 354 K€. Les lignes « Actifs d’impôt courant » et « Actifs d’impôts différés » sont désormais regroupées sur la ligne « Actifs d’impôts courants et différés ». La présentation des données au 31 décembre 2008 a été modifiée en conséquence.

 

Passif

Notes

31/12/2009

31/12/2008

Banques centrales

6.1

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

1 206

659

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

24 436

11 682

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.7

2 958 518

2 955 414

Dettes envers la clientèle

3.1-3.3-6.7

1 300 918

1 197 115

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.9

156 074

166 758

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

31 940

28 016

Passifs d'impôts courants et différés (1)

6.10

1 133

388

Comptes de régularisation et passifs divers

6.11

62 559

55 422

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

Provisions

6.14

13 365

14 565

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.9

29 919

39 573

            Total dettes

 

4 580 068

4 469 592

Capitaux propres

6.15

 

 

    Capitaux propres - part du Groupe

 

587 612

482 121

        Capital et réserves liées

 

156 555

156 782

        Réserves consolidées

 

381 402

341 167

    Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

 

6 519

-57 853

    Résultat de l'exercice

 

43 136

42 025

Intérêts minoritaires

 

 

 

            Total capitaux propres

 

587 612

482 121

            Total du passif

 

5 167 680

4 951 713

(1) Au 31 décembre 2008, cette ligne se décomposait comme suit : passifs d'impôts courants pour 388 K€ et passifs d'impôts différés pour 0 K€. Les lignes « Passifs d’impôt courant » et « Passifs d’impôts différés » sont désormais regroupées sur la ligne « Passifs d’impôts courants et différés ». La présentation des données au 31 décembre 2008 a été modifiée en conséquence.

 

4. — Tableau de variation des capitaux propres.

(En milliers d’euros.)

 

 

Capital et réserves liées

Capital et Réserves consolidées part du Groupe

Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Résultat net part du groupe

Total des capitaux propres part du groupe

Capitaux propres part des minoritaires

Total des capitaux propres consolidés

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital (1)

Elimination des titres auto-détenus

Capitaux propres au 1er janvier 2008

27 203

428 191

 

455 394

130 009

48 826

634 229

 

634 229

Augmentation de capital

-46

 

 

-46

 

 

-46

 

-46

Affectation du résultat 2007

 

44 673

 

44 673

 

-44 673

0

 

0

Dividendes versés en 2008

 

 

 

0

 

-4 153

-4 153

 

-4 153

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

-46

44 673

0

44 627

0

-48 826

-4 199

0

-4 199

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

0

0

0

0

-189 934

0

-189 934

0

-189 934

Résultat au 31 décembre 2008

 

 

 

0

 

42 025

42 025

 

42 025

Autres variations

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Capitaux propres au 31 décembre 2008

27 157

472 864

0

500 021

-59 925

42 025

482 121

0

482 121

Affectation du résultat 2008

 

38 163

 

38 163

 

-38 163

0

 

0

Capitaux propres au 1er janvier 2009

27 157

511 028

0

538 184

-59 925

3 862

482 121

0

482 121

Augmentation de capital

-227

 

 

-227

 

 

-227

 

-227

Variation des titres auto détenus

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Dividendes versés en 2009

 

 

 

0

 

-3 862

-3 862

 

-3 862

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux stock options

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires

-227

0

0

-227

0

-3 862

-4 089

0

-4 089

Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

0

0

0

0

66 444

0

66 444

0

66 444

Résultat au 31 décembre 2009

 

 

 

0

 

43 136

43 136

 

43 136

Autres variations

 

 

 

0

 

 

0

 

0

Capitaux propres au 31 décembre 2009

26 929

511 028

0

537 957

6 519

43 136

587 612

0

587 612

 

Les réserves consolidées sont essentiellement constituées des résultats des exercices antérieurs non distribués, de montants relatifs à la première application des normes IFRS et de retraitements de consolidation.

Les montants sortis des capitaux propres par transfert en compte de résultat et relatifs à des couvertures de flux de trésorerie sont positionnés en Produit Net Bancaire.

 

5. — Tableau des flux de trésorerie.

(En milliers d’euros.)

 

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en ce compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans ce compartiment.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

 

2009

2008

Résultat avant impôts

61 791

53 947

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

6 918

6 495

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

26 394

24 596

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

-493

-108

Résultat net des activités de financement

2 024

1 926

Autres mouvements

-4 247

34 246

        Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

30 596

67 155

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

-11 527

368 541

Flux liés aux opérations avec la clientèle

-57 390

-318 822

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-11 368

73 567

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-342

9 471

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-13 956

-22 953

Diminution/(augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

-94 583

109 804

        Total Flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A)

-2 196

230 906

Flux liés aux participations (1)

-7 782

-44 342

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-4 325

-8 256

        Total Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-12 107

-52 598

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires (2)

-4 089

-4 199

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement (3)

-11 414

8 680

        Total Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C)

-15 503

4 481

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B+ C + D)

-29 806

182 789

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

120 786

-62 003

    Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

29 655

28 189

    Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

91 131

-90 192

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

90 980

120 786

    Solde net des comptes de caisse et banques centrales (*)

32 070

29 655

    Solde net des comptes prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

58 910

91 131

Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie

-29 806

182 789

(*) Composé du solde net des postes « Caisses et banques centrales », hors intérêts courus, tel que détaillé en note 6.1 (y compris trésorerie des entités reclassées en activités destinées à être cédées).

(**) Composé du solde des postes « Comptes ordinaires débiteurs sains » et « Comptes et prêts au jour le jour sains » tel que détaillés en note 6.5 et des postes « Comptes ordinaires créditeurs » et « Comptes et emprunts au jour le jour » tel que détaillés en note 6.7. (hors intérêts courus et y compris opérations internes au Crédit Agricole).

(1) Cette ligne recense les effets nets sur la trésorerie des acquisitions et des cessions de titres de participation. Ces opérations externes sont décrites dans la note 2.2. Au cours de l’année 2009, l’impact net des acquisitions sur la trésorerie de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 10 326 K€, portant notamment sur les opérations suivantes :

(2) Le flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires comprend le paiement des dividendes versés par Caisse Régionale Sud Méditerranée à ses actionnaires, à hauteur de 3 862 K€ pour l’année 2009.

(3) Au cours de l’année 2009, les émissions nettes de dettes subordonnées s’élèvent à 9 200 K€.

 

6. — Notes annexes aux états financiers.

 

1. Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés :

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606/2002, les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC telles qu’adoptées par l’Union européenne et applicables au 31 décembre 2009.

Le groupe Crédit Agricole applique ce référentiel, en utilisant les dispositions de la norme IAS 39 dans sa version retenue par l’Union européenne (version dite « carve out »), qui autorise certaines dérogations dans l’application pour la comptabilité de macro-couverture.

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission Européenne, à l’adresse suivante : http ://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias_fr.htm#adopted-commission.

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2008.

Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2009 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2009. Celles-ci portent sur :

— la norme IFRS 8 issue du règlement du 21 novembre 2007 (CE n° 1358/2007), relative aux secteurs opérationnels et remplaçant la norme IAS 14 relative à l’information sectorielle.

La première application d’IFRS 8 n’a pas entraîné de modification dans l’information sectorielle présentée par la Caisse Régionale Sud Méditerranée. En effet, le premier niveau d’information sectorielle présentée par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les exercices précédents correspond déjà en pratique aux secteurs opérationnels à présenter selon les dispositions d’IFRS 8 ;

— l’amendement de la norme IAS 23 issu du règlement du 10 décembre 2008 (CE n° 1260/2008), relative aux coûts d’emprunt ;

— l’amendement de la norme IFRS 2 issu du règlement du 16 décembre 2008 (CE n° 1261/2008), relative au paiement fondé sur des actions et portant sur les conditions d’acquisition des droits et annulations de transactions ;

— la révision de la norme IAS 1 issue du règlement du 17 décembre 2008 (CE n° 1274/2008), relative à la présentation des états financiers. En application de cet amendement un état du « résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres » est désormais présenté dans les états financiers et est complété par des notes annexes ;

— les amendements des normes IAS 32 et IAS 1, issus du règlement du 21 janvier 2009 (CE n° 53-2009), relatifs au classement de certains instruments financiers et aux informations liées à fournir ;

— 35 amendements visant à améliorer et clarifier 18 normes et issus du règlement du 23 janvier 2009 (CE n°70-2009). La date de première application de l’amendement de la norme IFRS 5, et de l’amendement de la norme IFRS 1 qui en découle, est repoussée aux exercices ouverts à compter du 1er juillet 2009 ;

— les amendements des normes IAS 39 et IFRS 7, issus du règlement du 9 septembre 2009 (CE n° 824-2009), relatifs à la date d’entrée en vigueur et à la transition pour le reclassement des actifs financiers ;

— l’amendement de la norme IFRS 7 issu du règlement du 27 novembre 2009 (CE n° 1165-2009), relative aux informations à fournir sur les instruments financiers. L’objectif principal de cet amendement est d’améliorer les informations données dans les états financiers en matière d’évaluation à la juste valeur des instruments financiers et de présentation du risque de liquidité ;

— l’interprétation IFRIC 11 issue du règlement du 1er juin 2007 (CE n° 611/2007), relative au traitement des actions propres et des transactions intra-groupe dans le cadre de la norme IFRS 2 portant sur le paiement fondé sur des actions ;

— l’interprétation IFRIC 13 issue du règlement du 16 décembre 2008 (CE n° 1262/2008), relative au programme de fidélisation des clients ;

— l’interprétation IFRIC 14 issue du règlement du 16 décembre 2008 (CE n° 1263/2008), relative au plafonnement de l’actif au titre des régimes à prestations définies, aux exigences de financement minimal et à leur interaction dans le cadre de la norme IAS 19 portant sur les avantages du personnel ;

— les amendements de l’interprétation IFRIC 9 et de la norme IAS 39 issus du règlement du 30 novembre 2009 (CE n° 1171/2009), relatifs aux dérivés incorporés et à leur réexamen lors de reclassements.

L’application de ces nouvelles dispositions n’a pas eu d’impact significatif sur le résultat et la situation nette de la période.

Néanmoins, la révision de la norme IAS 1 et l’amendement IFRS 7 ont eu des conséquences en matière de présentation des états financiers avec :

— la communication du nouvel état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres (IAS 1) ;

— la présentation en annexe des instruments comptabilisés à la juste valeur selon une hiérarchie fondée sur trois niveaux (IFRS 7).

Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application de normes et interprétations est optionnelle sur une période, celles-ci ne sont pas retenues par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier :

— l’amendement de la norme IFRS 5, issu du règlement du 23 janvier 2009 (CE n° 70-2009), relatif aux filiales faisant l’objet d’un plan de vente entraînant la perte de contrôle, et l’amendement de la norme IFRS 1 qui en découle. Ces amendements seront appliqués pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— la révision de la norme IAS 27 issue du règlement du 3 juin 2009 (CE n° 494/2009), relative aux états financiers consolidés et individuels. Cette norme révisée sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— la révision de la norme IFRS 3 issue du règlement du 3 juin 2009 (CE n° 495/2009), relative aux regroupements d’entreprises. Cette norme révisée sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— l’amendement de la norme IAS 39, issu du règlement du 15 septembre 2009 (CE n° 839/2009), relatif aux éléments éligibles à la couverture. Cet amendement sera appliqué pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— la révision de la norme IFRS 1 issue du règlement du 25 novembre 2009 (CE n° 1136/2009), relative à la première adoption des normes internationales. Cette norme révisée sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— l’amendement de la norme IAS 32, issu du règlement du 23 décembre 2009 (CE n° 1293/2009), relatif au classement des émissions de droit. Cet amendement sera appliqué pour la première fois au 1er janvier 2011 ;

— l’interprétation IFRIC 12 issue du règlement du 25 mars 2009 (CE n° 254/2009), relative aux accords de concession de services, et qui ne concerne pas les activités du Groupe. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— l’interprétation IFRIC 16 issue du règlement du 4 juin 2009 (CE n° 460/2009), relative aux couvertures d’un investissement net dans une activité à l’étranger. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— l’interprétation IFRIC 15 issue du règlement du 22 juillet 2009 (CE n° 636/2009), relative aux contrats de construction de biens immobiliers traités dans les normes IAS 11, contrats de construction, et IAS 18, produits des activités ordinaires. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— l’interprétation IFRIC 17 issue du règlement du 26 novembre 2009 (CE n° 1142/2009), relative à la distribution d’actifs non monétaires aux propriétaires. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2010 ;

— l’interprétation IFRIC 18 issue du règlement du 27 novembre 2009 (CE n° 1164/2009), relative au transfert d’actifs provenant de clients, et qui ne concerne pas les activités du Groupe. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2010.

Enfin, les normes et interprétations publiées par l’IASB mais non encore adoptées par l’Union européenne n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2009.

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres ; tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation CNC n°2009-R.04 du 2 juillet 2009 qui annule et remplace la recommandation CNC n°2004-R-03 du 27 octobre 2004.

 

1.3. Principes et méthodes comptables :

— Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers : De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

– les activités des marchés nationaux et internationaux ;

– les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

– la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

– les modifications de la réglementation ou de la législation.

Cette liste n’est pas exhaustive.

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

– les instruments financiers évalués à la juste valeur ;

– les participations non consolidées ;

– les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ;

– les dépréciations durables de titres disponibles à la vente et détenus à maturité ;

– les dépréciations des créances irrécouvrables ;

– les provisions ;

– les actifs d’impôt différé.

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

 

— Instruments financiers (IAS 32 et 39) : Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission Européenne le 19 novembre 2004 et complétée par les règlements (CE) n° 1751/2005 du 25 octobre 2005, n° 1864/2005 du 15 novembre 2005 relatif à l’utilisation de l’option de la juste valeur et n° 1004/2008 du 15 octobre 2008 relatif au reclassement d’actifs financiers.

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

La juste valeur est définie comme le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

– Titres à l’actif :

– Classification des titres à l’actif : Les titres sont classés dans les quatre catégories d’actifs financiers définis par la norme IAS 39 :

- actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

- actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance ;

- prêts et créances ;

- actifs financiers disponibles à la vente.

– Actifs financiers à la juste valeur par résultat / affectation par nature ou sur option : Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par, la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. L’option juste valeur par résultat est généralement utilisée afin d’éviter de comptabiliser et d’évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

- EMTN Confluent ;

- EMTN CALYON CMS TEC ;

- EMTN CALYON CMS I ;

- EMTN FONDS DIVIDENDE.

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus.

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

Les encours de syndication de titres destinés à être cédés sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

– Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance : La catégorie « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance » (éligible aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

- ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

- ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des placements détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance, sauf exceptions prévues par la norme IAS 39.

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote / décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

– Prêts et créances : La catégorie « Prêts et créances » enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres du portefeuille « Prêts et créances » sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus.

Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote / décote selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles dépréciations.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres » pour les titres évalués au coût amorti.

– Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie « Actifs financiers disponibles à la vente » est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Les titres classés en « Actifs financiers disponibles à la vente » sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres.

En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat.

L’amortissement des éventuelles surcotes / décotes des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

Les intérêts courus sur les titres disponibles à la vente sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Cette catégorie de titres fait l’objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique « Dépréciation des titres ».

 

– Dépréciation des titres : Une dépréciation doit être constatée lorsqu’il existe un indice objectif de dépréciation résultant d’un ou plusieurs événements intervenus après l’acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou par l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette.

Pour les titres de capitaux propres, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte de l’instrument de capitaux propres de 30% au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs. La Caisse Régionale Sud Méditerranée prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l’émetteur, perspectives à court terme…

Au-delà de ces critères, la Caisse Régionale Sud Méditerranée constate une dépréciation en cas de baisse de cours supérieure à 50% ou observée pendant plus de 2 ans.

Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s’appliquent aux prêts et créances.

La constatation de cette dépréciation se fait :

- pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure ;

- pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

 

– Date d’enregistrement des titres : Crédit Agricole SA enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans les catégories « Titres détenus jusqu’à l’échéance » et « Prêts et créances ». Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

– Reclassements d’instruments financiers : Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements suivants :

– des catégories « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » et « Actifs financiers disponibles à la vente » vers la catégorie « Prêts et créances », si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

– dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » vers les catégories « Actifs financiers disponibles à la vente » ou « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance », si les critères d’éligibilité sont respectés la date de transfert pour chacun des deux postes.

La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti selon le cas.

Les informations sur les reclassements réalisés par La Caisse Régionale Sud Méditerranée en application de la norme IAS 39 sont données dans la note 8.

 

– Activité de crédits : Les crédits sont affectés principalement à la catégorie « Prêts et créances ». Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les crédits et encours de syndication destinés à être cédés à court terme sont affectés à la catégorie « Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature » et sont évalués en mark-to-market.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

– Créances dépréciées : Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances. Les créances ainsi identifiées font l’objet d’une dépréciation sur base individuelle ou sur base collective. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations, égales à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

On distingue ainsi :

- les créances dépréciées sur base individuelle : il s’agit des créances assorties de dépréciations et des créances restructurées pour cause de défaillance du client assorties de décotes ;

- les créances dépréciées sur base collective : il s’agit des créances non dépréciées sur base individuelle, pour lesquelles la dépréciation est déterminée par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires. Cela concerne notamment les créances en souffrance.

Les encours en souffrance sont des encours pour lesquels ont été constatés des arriérés de paiement n’entraînant pas pour autant une dépréciation sur base individuelle (encours sensibles sous surveillance).

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

– Créances dépréciées sur base individuelle : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

- lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de location-financement immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits) ;

- lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

- s’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Le classement pour une contrepartie donnée d’encours en encours dépréciés entraîne par « contagion » un classement identique de la totalité de l’encours et des engagements relatifs à cette contrepartie, nonobstant l’existence de garantie ou caution.

Parmi les encours dépréciés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours dépréciés compromis des encours dépréciés non compromis :

- les créances dépréciées compromises sont les créances dépréciées dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé ;

- les créances dépréciées non compromises sont les créances dépréciées qui ne répondent pas à la définition des créances dépréciées compromises.

Dans le cas d’une créance restructurée maintenue en créance dépréciée, la décote ne fait pas l’objet d’une comptabilisation séparée et est comptabilisée par le biais de la dépréciation.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue les dépréciations correspondant, en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours dépréciés et dépréciés compromis.

Dans le cas de créances restructurées, pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) du fait d’un risque de contrepartie, tout en reclassant l’encours en créances saines, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote.

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est enregistrée en coût du risque.

Cette décote correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine.

Elle est égale à l’écart constaté entre :

- la valeur nominale du prêt ;

- la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

– Créances dépréciées sur base collective : Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non dépréciés sur base individuelle. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives telles que :

- Dépréciations sur encours non douteux et litigieux : Les dépréciations sur ces encours sont calculées à partir de modèles Bâle II.

Dans le cadre du projet Bâle II, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues d’un coefficient correcteur, reflet du jugement expérimenté de la Direction, destiné à prendre en compte divers paramètres absents des modèles Bâle II, tels que l’extension au-delà d’un an de l’horizon de pertes attendues, ainsi que divers facteurs économiques, conjoncturels ou autres.

- Autres dépréciations sur base collective : La Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché espagnol.

 

– Intérêts pris en charge par l’État (IAS 20) : Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole SA accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'État. En conséquence, ces entités perçoivent de l’État une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'État.

Les bonifications perçues de l’État sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

– Passifs financiers : La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

– les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ;

– les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupe de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ;

– les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

La valorisation des émissions comptabilisées à la juste valeur intègre la variation du risque de crédit propre du Groupe.

 

– Titres au passif :

- Distinction dettes – capitaux propres : Un instrument de dette ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

- de remettre des liquidités ou un autre actif financier ;

- d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

Les parts sociales émises par les Caisses régionales et des Caisses locales sont considérées comme des capitaux propres au sens de l'IAS 32 et de l'interprétation IFRIC 2, et traitées comme telles dans les comptes consolidés du Groupe.

L’amendement IAS 32 adopté par l’UE le 21 janvier 2009 permet, sous certaines conditions, la qualification en instrument de capitaux propres d’instruments financiers constituant auparavant des dettes. Ces instruments financiers sont :

- les instruments, émis par l’émetteur, remboursables au gré du porteur ;

- les instruments créant une obligation pour l’émetteur d’avoir à rembourser le porteur lors de la liquidation, sur la base de sa part dans l’actif net.

Ainsi, dès lors que ces conditions sont remplies, les parts d’OPCVM émises au passif doivent dorénavant être classées en capitaux propres.

Par symétrie, le groupe Crédit Agricole a revu la qualification des parts d’OPCVM détenues à l’actif. Ainsi les parts d’OPCVM Obligataires et Monétaires sont toujours considérées comme des instruments de dettes ; les autres parts D’OPCVM (Equity, mixtes, alternatives,..) sont désormais considérées comme des instruments de capitaux propres.

 

– Produits de la collecte : Les produits de collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des « Dettes envers la clientèle » malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole SA en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.16.

 

– Instruments dérivés : Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

– La comptabilité de couverture : La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associé à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

- éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

- documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

- démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le groupe Crédit Agricole SA privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite « carve out »).

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

- couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

- couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ;

- couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

– Dérivés incorporés : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les 3 conditions suivantes sont remplies :

- le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

- séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

- les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

– Détermination de la juste valeur des instruments financiers : Les justes valeurs des instruments financiers sont déterminées conformément aux dispositions d’IAS 39 et sont présentées selon la hiérarchie définie par IFRS 7.

Le Groupe applique par ailleurs la recommandation en matière de valorisation de certains instruments financiers à la juste valeur publiée par l'AMF, le CNC et l'ACAM le 15 octobre 2008.

Lorsque la méthode de valorisation d’un instrument financier est la juste valeur, la norme IAS 39 considère que la meilleure indication pour déterminer celle-ci est l’existence de cotations publiées sur un marché actif.

IAS 39 précise qu’en l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

– Niveau 1 : Justes valeurs correspondant à des prix cotés (non ajustés) sur un marché actif.

Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur un marché actif. Il s’agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange…), des parts de fonds d’investissement cotés sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures.

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée retient des cours mid-price comme base de l’établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s’agit des cours vendeurs.

– Niveau 2 : Justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1.

Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s’agit de données qui ne sont pas propres à l’entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et basées sur un consensus de marché.

Sont présentés en niveau 2 :

- Les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black et Scholes) et basée sur des données de marché observables ;

- Les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux basées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

Lorsque les modèles utilisés sont basés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

– Niveau 3 : Justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d’observabilité.

La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3.

Il s’agit pour l’essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché.

Le prix de transaction à l’origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l’ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

Ces titres, listés dans la note 2.5 spécifique, sont destinés à être conservés durablement.

 

– Gains ou pertes nets sur instruments financiers :

– Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers détenus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

- les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

- les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

- les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

- les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d'investissements nets en devises.

– Gains ou pertes nets sur actifs disponibles à la vente : Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

- les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

- les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

- les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

- les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

- les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

 

– Compensation des actifs et passifs financiers : Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement si il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

 

– Garanties financières données : Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument de dette.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé de :

– celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels » ; ou

– le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

– Décomptabilisation des instruments financiers : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

– lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et ;

– lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier sont transférés.

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication dans cet actif.

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie uniquement lorsque ce passif est éteint.

 

— Provisions (IAS 37 et 19) : La Caisse Régionale Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un événement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

Au titre des obligations autres que liées au risque de crédit, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

– les risques opérationnels ;

– les avantages au personnel ;

– les risques d’exécution des engagements par signature ;

– les litiges et garanties de passif ;

– les risques fiscaux ;

– les risques liés à l’épargne logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

– le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures ;

– l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur,établie à partir d’observations historiques de longue période ;

– la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

L’évaluation des provisions peut également faire l’objet d’estimations :

– la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction ;

– les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

Des informations détaillées sont fournies au point 6.16.

 

— Avantages au personnel (IAS 19) : Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

– les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, les primes payables dans les douze mois de la clôture de l’exercice ;

– les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice) ;

– les indemnités de fin de contrat de travail ;

– les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

– Avantages à long terme : Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l’emploi, les indemnités de fin de contrats et avantages sur capitaux propres, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l’exercice pendant lesquels les services correspondant ont été rendus.

Sont notamment concernés les bonus et autres rémunérations différées de plus de douze mois.

La méthode d’évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l’emploi relevant de la catégorie de régimes à prestation définie.

 

– Avantages postérieurs à l’emploi :

– Engagement en matière de retraite, de préretraite et d’indemnités de fin de carrière - régimes à prestations définies : La Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.4).

Les taux d'actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l'engagement, c'est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d'évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over.

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n'applique pas la méthode optionnelle du corridor et impute les écarts actuariels constatés en résultat. De fait, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a choisi de ne pas appliquer l’option ouverte par la norme IAS 19 § 93 qui consiste à comptabiliser les écarts actuariels en dehors du résultat et à les présenter en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. Par conséquent, le montant de la provision est égal à :

- la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

- diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. En conséquence la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas nécessité de constituer de provision en complément de cette souscription.

– Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

— Impôts courants et différés : Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

– la comptabilisation initiale du goodwill ;

– la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

Un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés. Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt réellement supportée par l’entité au titre de ces plus-values latentes est-elle reclassée en déduction de ceux-ci.

Les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 5% de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

– soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ;

– soit par un regroupement d'entreprises.

Les actifs et passifs d'impôt différés sont compensés si, et seulement si :

– l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ;

– les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

a) soit sur la même entité imposable ;

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôt exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôt différés soient réglés ou récupérés.

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

— Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40) : Le groupe Crédit Agricole SA applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les fonds de commerce acquis. Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole SA suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranées sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

— Opérations en devises (IAS 21) : En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole SA Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

– sur les actifs financiers disponibles à la vente, seuls la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

– les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments :

– les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

– les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

– en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

– en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

— Commissions sur prestations de services (IAS 18) : Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

– les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif ;

– lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique « commissions » et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

a) les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes est respecté :

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable ;

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise ;

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable ;

b) les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

— Contrats de location (IAS 17) : Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière. Concernant la Caisse Régionale Sud Méditerranée aucune opération de location financière n’a été recensée.

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IAS 27, 28 et 31) :

— Périmètre de consolidation : Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle. Celui-ci est présumé lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20% des droits de vote existants et potentiels.

Par exception, les entités ayant un impact non significatif sur les comptes consolidés de l’ensemble ne sont pas incluses dans le périmètre de consolidation.

Le caractère significatif de cet impact est apprécié au travers de trois principaux critères exprimés en pourcentage du bilan, de la situation nette et du résultat consolidés.

 

– Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole SA, dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole SA, les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

– Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20% ou plus des droits de vote dans une entité.

– Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28 § 1 et IAS 31 § 1, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

— Méthodes de consolidation : Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature de contrôle exercée par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

– l’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de La Caisse Régionale Sud Méditerranée ;

– l’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée ;

– la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable.

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des intérêts minoritaires dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote‑part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

 

— Retraitements et éliminations : Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués, sauf s’ils sont jugés non significatifs.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé.

Les plus ou moins-values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

2. Périmètre de consolidation. — Le périmètre de consolidation au 31 décembre 2009 est présenté de façon détaillée à la fin des notes annexes.

 

2.1. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Valeur au bilan

En % de capital détenu

Valeur au bilan

En % de capital détenu

Titres de participation non consolidés (détail)

 

 

 

 

    Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

        SCI Château de Castelnou

755

98,6

798

98,61

    Autres titres de participations

 

 

 

 

        SAS rue la Boétie

216 146

1,32

137 461

1,32

        SA Sofilaro

1 343

14,32

1 351

14,32

        GF de Font Moreau (liquidée)

 

 

38

24,11

        SAS Sacam Développement

10 822

1,4

10 641

1,4

        SAS Sacam Fireca

622

1,2

605

1,2

        SNC CA Titres

411

0,6

411

0,6

        SAS Sacam International

11 703

1,3

13 978

1,3

        SAS Sacam AVENIR

937

1,1

 

 

        SAS Sacam Participation

1 185

1,6

 

 

    Autres titres de participations (ensemble)

6 105

 

7 394

 

Valeur au bilan des titres de participation non consolidés (1)

250 028

 

172 677

 

(1) Dont 1 256 K € comptabilisés en résultat au titre de la dépréciation durable.

 

3. Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture. — La gestion des risques bancaires au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est assurée par la direction des Finances qui est rattachée au Directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise des risques de crédit, de marchés et opérationnels ainsi que le pilotage des projets impactant ces risques.

La description de ce dispositif ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « Facteurs de risque », comme le permet la norme IFRS 7. Les tableaux de ventilation comptables continuent néanmoins de figurer dans les Etats financiers.

 

3.1. Risque de crédit. — Le risque de crédit se matérialise lorsqu’une contrepartie est dans l’incapacité de faire face à ses obligations et que celles-ci présentent une valeur d’inventaire positive dans les livres de la banque. Cette contrepartie peut être une banque, une entreprise industrielle et commerciale, un État et les diverses entités qu’il contrôle, un fonds d’investissement ou une personne physique.

L’engagement peut être constitué de prêts, titres de créances ou de propriété ou contrats d’échange de performance, garanties de bonne fin ou engagements confirmés non utilisés. Ce risque englobe également le risque de règlement livraison inhérent à toute transaction nécessitant un échange de flux (espèce ou matière) en dehors d’un système sécurisé de règlement. (cf. rapport de gestion page 10).

 

— Exposition maximale au risque de crédit : L’exposition maximale au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Actifs financiers à la juste valeur par le résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrats en unités de compte)

15 409

4 610

Instruments dérivés de couverture

43 316

32 121

Actifs disponible à la vente (hors titres à revenu variable)

441

10 136

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

2 219

2 644

Prêts et créances sur la clientèle

4 403 092

4 271 377

Actif financiers détenus jusqu'à l'échéance

39 255

49 107

Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciations)

4 503 732

4 369 995

Engagements de financement donnés

551 342

554 060

Engagements de garantie financière donnés

113 302

112 140

Provisions - Engagements par signature

911

736

Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

665 555

666 936

        Total exposition nette

5 169 287

5 036 931

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques.

— Concentrations par agents économiques de l’activité de crédit :

– Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au crédit agricole) :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Total

Encours bruts non compromis

Encours bruts compromis

Sur encours non compromis

Sur encours compromis

Administrations centrales et Institution non établissements de crédit

559 281

109

2 802

109

2 802

556 370

Établissements de crédit

200 493

 

 

 

 

200 493

Grandes entreprises

531 953

11 259

18 778

1 952

18 778

511 223

Clientèle de détail

3 424 821

60 553

64 439

26 686

39 118

3 359 017

        Total (*)

4 716 548

71 921

86 019

28 747

60 698

4 627 103

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

30 802

Dépréciations sur base collective

 

 

 

 

 

-49 640

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

4 608 265

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 33 518  K€.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Total

Encours bruts non compromis

Encours bruts compromis

Sur encours non compromis

Sur encours compromis

Administrations centrales et Institution non établissements de crédit

522 202

 

2 804

 

2 804

519 398

Établissements de crédit

214 407

 

 

 

 

214 407

Grandes entreprises

555 648

7 690

16 403

753

13 494

541 401

Clientèle de détail

3 284 444

49 592

48 157

25 159

33 801

3 225 484

        Total (*)

4 576 701

57 282

67 364

25 912

50 099

4 500 690

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

33 248

Dépréciations sur base collective

 

 

 

 

 

-45 191

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

4 488 747

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 24 586  K€.

 

– Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

    Administrations centrales et Institutions non établissements de crédit

96 227

86 726

    Grandes entreprises

110 492

80 542

    Clientèle de détail

344 623

385 792

        Total

551 342

553 060

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

    Administrations centrales

 

 

    Institutions non établissements de crédit

1 839

1 316

    Grandes entreprises

57 703

67 136

    Clientèle de détail

53 760

43 688

        Total

113 302

112 140

 

– Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Administrations centrales et Institutions non établissements de crédit

9 834

10 403

Grandes entreprises

396 413

323 077

Clientèle de détail

887 448

859 206

        Total

1 293 695

1 192 686

Dettes rattachées

7 223

4 429

Valeur au bilan

1 300 918

1 197 115

 

— Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit :

– Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Total

Encours bruts non compromis

Encours bruts compromis

Sur encours non compromis

Sur encours compromis

France (y compris DOM-TOM)

4 153 363

35 054

67 456

19 063

52 020

4 082 280

Autres pays de l'UE

551 591

36 867

18 558

9 684

8 673

533 234

    Dont Espagne

507 118

36 827

18 550

9 499

8 435

489 184

Autres pays d'Europe

6 464

 

5

 

5

6 459

Amérique du Nord

3 282

 

 

 

 

3 282

Amériques Centrale et du Sud

231

 

 

 

 

231

Afrique et Moyen Orient

1 617

 

 

 

 

1 617

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

0

Japon

 

 

 

 

 

0

Organismes supranationaux

 

 

 

 

 

0

        Total (*)

4 716 548

71 921

86 019

28 747

60 698

4 627 103

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

30 802

Dépréciations sur base collective

 

 

 

 

 

-49 640

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

4 608 265

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 33 518  K€.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Encours bruts

Dont encours bruts dépréciés sur base individuelle

Dépréciations individuelles

Total

Encours bruts non compromis

Encours bruts compromis

Sur encours non compromis

Sur encours compromis

France (y compris DOM-TOM)

3 764 930

35 638

61 012

20 330

46 964

3 697 636

Autres pays de l'UE

590 209

21 641

6 286

5 580

3 069

581 560

    Dont Espagne

526 847

20 693

5 829

5 176

2 727

518 944

Autres pays d'Europe

6 283

1

58

1

58

6 224

Amérique du Nord

2 536

1

3

 

3

2 533

Amériques Centrale et du Sud

255

 

 

 

 

255

Afrique et Moyen Orient

694

 

5

 

5

689

Asie et Océanie (hors Japon)

27

1

 

1

 

26

Japon

1

 

 

 

 

1

Organismes supranationaux

 

 

 

 

 

0

        Total (*)

4 364 935

57 282

67 364

25 912

50 099

4 288 924

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

30 288

Dépréciations sur base collective

 

 

 

 

 

-45 191

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

4 274 021

(*) Dont encours clientèle sains restructurés (non dépréciés) pour 24 586  K€.

 

– Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

548 124

547 122

    Autres pays de l'UE

3 036

5 718

    Autres pays d'Europe

72

122

    Amérique du Nord

80

41

    Amériques Centrale et du Sud

4

6

    Afrique et Moyen Orient

26

42

    Asie et Océanie (hors Japon)

 

8

    Japon

 

1

        Total

551 342

553 060

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

112 894

111 803

    Autres pays de l'UE

20

193

    Autres pays d'Europe

245

 

    Amérique du Nord

 

 

    Amériques Centrale et du Sud

 

 

    Afrique et Moyen Orient

143

144

    Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

    Japon

 

 

        Total

113 302

112 140

 

– Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

France (y compris DOM-TOM)

1 274 086

1 171 995

Autres pays de l'UE

14 871

15 397

Autres pays d'Europe

2 370

2 607

Amérique du Nord

1 317

1 249

Amériques Centrale et du Sud

149

197

Afrique et Moyen Orient

753

837

Asie et Océanie (hors Japon)

135

111

Japon

14

293

Organismes supranationaux

 

 

        Total

1 293 695

1 192 686

Dettes rattachées

7 223

4 429

Valeur au bilan

1 300 918

1 197 115

 

— Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement :

– Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2009

31/12/2009

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

Garanties et autres rehaussements de crédit reçus relatifs aux actifs dépréciés et en arriéré de paiement

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180 jours

> 180 jours ≤ 1 an

> 1 an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de dette

0

0

0

0

0

0

0

0

    Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

 

    Établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

 

    Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

 

    Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

 

    Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

 

Prêts et avances

187 431

16 629

11 441

0

215 501

171 967

-153 112

0

    Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

 

    Établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

 

    Institutions non établissements de crédit

40 859

422

22

 

41 303

3 434

-3 434

 

    Grandes entreprises

50 822

2 147

1 196

 

54 165

33 561

-37 796

 

    Clientèle de détail

95 750

14 060

10 223

 

120 033

134 972

-111 882

 

        Total

187 431

16 629

11 441

0

215 501

171 967

-153 112

0

 

– Actifs financiers en souffrance ou dépréciés individuellement par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

31/12/2008

31/12/2008

Ventilation par ancienneté d'impayé des encours en souffrance

Valeur nette comptable des actifs dépréciés individuellement

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

Garanties et autres rehaussements de crédit reçus relatifs aux actifs dépréciés et en arriéré de paiement

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180 jours

> 180 jours ≤ 1 an

> 1 an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de dette

0

0

0

0

0

2 923

2 796

0

    Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

 

    Établissements de crédit

 

 

 

 

0

2 923

2 796

 

    Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

 

    Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

 

    Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

 

Prêts et avances

195 101

24 519

6 193

0

225 813

136 153

-132 709

0

    Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

 

    Établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

 

    Institutions non établissements de crédit

44 353

17

2 853

 

47 223

3 183

-3 183

 

    Grandes entreprises

39 316

1 059

 

 

40 375

26 122

-27 375

 

    Clientèle de détail

111 432

23 443

3 340

 

138 215

106 848

-102 151

 

        Total

195 101

24 519

6 193

0

225 813

139 076

-129 913

0

 

— Opérations sur instruments dérivés – Risque de contrepartie : Le risque de contrepartie sur instruments dérivés est établi à partir de la valeur de marché et du risque de crédit potentiel, calculé et pondéré selon les normes prudentielles.

Pour information, les effets des accords de compensation et de collatérisation, qui réduisent ce risque, sont également présentés.

 

3.2. Risque de marché. — Le risque de marché représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marchés notamment :

— les taux d’intérêts : le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financier du fait de l’évolution des taux d’intérêt ;

— les taux de change : le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise ;

— les prix : le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions. Sont notamment soumis à ce risque les titres à revenu variable, les dérivés actions et les instruments dérivés sur matières premières. (cf. rapport de gestion page 12).

 

— Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle :

– Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt 

0

0

0

1 801

5 838

35 677

43 316

32 121

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

1 801

5 838

35 677

43 316

32 121

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or 

0

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments 

0

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

        Sous-total

0

0

0

1 801

5 838

35 677

43 316

32 121

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

1 801

5 838

35 677

43 316

32 121

 

– Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt 

0

0

0

1 744

7 080

15 612

24 436

11 682

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

1 744

7 080

15 612

24 436

11 682

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments 

0

0

0

0

0

0

0

0

        Sous-total

0

0

0

1 744

7 080

15 612

24 436

11 682

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

1 744

7 080

15 612

24 436

11 682

 

– Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt 

0

0

0

0

769

0

769

574

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

754

 

754

546

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

0

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

15

 

15

28

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments 

0

0

0

0

0

0

0

0

        Sous-total

0

0

0

0

769

0

769

574

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

769

0

769

574

 

– Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt 

0

0

0

0

1 096

110

1 206

659

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

1 081

110

1 191

631

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

15

 

15

28

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments 

0

0

0

0

0

0

0

0

        Sous-total

0

0

0

0

1 096

110

1 206

659

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

1 096

110

1 206

659

 

— Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt 

997 828

987 138

    Futures

 

 

    FRA

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

992 258

980 306

    Options de taux

 

 

    Caps-floors-collars

5 570

6 832

    Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or 

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

    Options de change

 

 

Autres instruments 

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

    Autres

 

 

        Sous-total

997 828

987 138

    Opérations de change à terme

11 947

11 444

        Total

1 009 775

998 582

 

— Risque de taux : Le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financiers du fait de l’évolution des taux d’intérêt (voir rapport de gestion page 14).

 

— Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

0

29 189

0

0

38 628

0

    Taux fixe

 

29 189

 

 

38 628

 

    Taux variable

 

 

 

 

 

 

        Total

0

29 189

0

0

38 628

0

(Total en principal, hors dettes rattachées non ventilables).

 

— Risque de change : Le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise (voir rapport de gestion page 14).

La contribution des différentes devises au bilan consolidé s’établit comme suit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

5 158 224

5 158 224

4 941 890

4 941 894

Autres devises de l'UE

8 214

8 214

8 159

8 155

USD

1 242

1 242

1 590

1 590

JPY

 

 

 

 

Autres devises

 

 

74

74

        Total bilan

5 167 680

5 167 680

4 951 713

4 951 713

 

— Risque de prix : Le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions.

Sont notamment soumis à ce risque : les titres à revenu variable, les dérives actions et les instruments dérivés sur matières premières (voir rapport de gestion page 15).

 

3.3. Risque de liquidité et de financement. — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement (voir rapport de gestion page 15).

La Caisse Régionale Sud Méditerranée en tant qu’établissement de crédit respecte les exigences en matière de liquidité définies par les textes suivants :

— le règlement CRBF n° 88-01 du 22 février 1988 relatif à la liquidité ;

— l’instruction de la Commission bancaire n° 88-03 du 22 avril 1988 relative à la liquidité ;

— l’instruction de la Commission bancaire n° 89-03 du 20 avril 1989 relative aux conditions de prise en compte des accords de refinancement dans le calcul de la liquidité.

 

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

90 752

64 303

27 795

17 643

200 493

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

476 972

456 995

1 312 995

2 269 093

4 516 055

        Total

567 724

521 298

1 340 790

2 286 736

4 716 548

Créances rattachées

 

 

 

 

44 829

Dépréciations

 

 

 

 

-153 112

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 608 265

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

120 748

3 555

75 996

14 108

214 407

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

521 021

464 603

1 203 264

2 173 406

4 362 294

        Total

641 769

468 158

1 279 260

2 187 514

4 576 701

Créances rattachées

 

 

 

 

44 755

Dépréciations

 

 

 

 

-132 709

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 488 747

 

— Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

382 415

533 739

1 332 288

698 040

2 946 482

Dettes envers la clientèle

1 108 196

83 694

100 890

915

1 293 695

        Total

1 490 611

617 433

1 433 178

698 955

4 240 177

Dettes rattachées

 

 

 

 

19 259

Valeur au bilan

 

 

 

 

4 259 436

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

443 418

701 907

1 102 843

691 534

2 939 702

Dettes envers la clientèle

1 123 419

54 364

14 338

565

1 192 686

        Total

1 566 837

756 271

1 117 181

692 099

4 132 388

Dettes rattachées

 

 

 

 

20 141

Valeur au bilan

 

 

 

 

4 152 529

 

— Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

2 882

 

 

 

2 882

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

    Titres de créances négociables :

705

2 250

0

150 000

152 955

        Émis en France

705

2 250

 

150 000

152 955

        Émis à l'étranger

 

 

 

 

0

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

            Total

3 587

2 250

0

150 000

155 837

Dettes rattachées

 

 

 

 

237

Valeur au bilan

 

 

 

 

156 074

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

 

9 800

4 600

14 789

29 189

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

            Total

0

9 800

4 600

14 789

29 189

Dettes rattachées

 

 

 

 

730

Valeur au bilan

 

 

 

 

29 919

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

1 277

1 000

 

 

2 277

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

    Titres de créances négociables :

0

14 147

0

150 000

164 147

        Émis en France

 

14 147

 

150 000

164 147

        Émis à l'étranger

 

 

 

 

0

Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

            Total

1 277

15 147

0

150 000

166 424

Dettes rattachées

 

 

 

 

334

Valeur au bilan

 

 

 

 

166 758

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

264

9 200

14 400

14 764

38 628

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

            Total

264

9 200

14 400

14 764

38 628

Dettes rattachées

 

 

 

 

945

Valeur au bilan

 

 

 

 

39 573

 

3.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change. — Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi

— de couverture de valeur ;

— de couverture de résultats futurs ;

— de couverture d’un investissement net en devise.

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité (voir rapport de gestion page 15).

 

— Couverture de juste valeur : Les couvertures de juste valeur modifient le risque de variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

— Couverture de flux de trésorerie : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

— Couverture d’un investissement net en devise : Les couvertures d’un investissement net en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liés à des détentions d’actifs ou de passifs dans des devises différentes de la devise de référence de l’entité.

— Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Valeur marché

Montant notionnel

Valeur marché

Montant notionnel

Positive

Négative

Positive

Négative

Couverture de juste valeur

43 304

21 814

918 096

32 121

9 843

898 051

    Taux d'intérêt

43 304

21 814

918 096

32 121

9 843

898 051

    Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

    Change

 

 

 

 

 

 

    Crédit

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

12

2 622

28 566

0

1 839

29 075

    Taux d'intérêt

12

2 622

28 566

 

1 839

29 075

    Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

    Change

 

 

 

 

 

 

    Crédit

 

 

 

 

 

 

Couverture d'investissement nets dans une activité a l'étranger

 

 

 

 

 

 

        Total instruments dérivés de couverture

43 316

24 436

946 662

32 121

11 682

927 126

 

3.5. Risques opérationnels. — Le risque opérationnel correspond à la possibilité de subir une perte découlant d’un processus interne défaillant ou d’un système inadéquat, d’une erreur humaine ou d’un évènement externe qui n’est pas lié à un risque de crédit,de marché ou de liquidité (voir rapport de gestion page 16).

En 2004, le déploiement du dispositif risques opérationnels avec dans un premier temps l’outil « EUROPA » a permis de réaliser une cartographie, pour l’ensemble des Caisses régionales et de leurs filiales, permettant par une approche qualitative et quantitative d’apprécier le niveau d’exposition d’une entité à ces risques opérationnels avérés et potentiels dans l’ensemble des métiers et fonctions (opérationnelles et support) qui la concernent et de recenser, de qualifier et de coter ces risques opérationnels.

En 2005, le Groupe Crédit Agricole a poursuivi la mise en oeuvre du dispositif avec le déploiement de l’outil « OLIMPIA » qui permet de collecter les incidents survenus depuis le 1er janvier.

Cette démarche quantitative et continuelle permet de recenser et de collecter les risques opérationnels avérés et d’en mesurer les fréquences et les impacts financiers.

Ce dispositif permet d’évaluer le coût du risque opérationnel qui doit figurer dans le tableau de bord de l’entité, d’en analyser l’évolution et ses composantes afin d’établir des priorités en matière d’actions correctrices, d’alerter le management sur les incidents significatifs de la période nécessitant le cas échéant des mesures palliatives appropriées, ou de fournir les informations nécessaires à l’unité en charge des polices d’assurance et/ou pour adapter la politique de couverture des risques de l’entité.

 

3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires. — L’amendement de la norme IAS 1 adopté par l’Union européenne le 11 janvier 2006 prévoit des informations sur le capital et sa gestion. L’objectif de l’amendement est de fournir au lecteur des informations sur les objectifs, politiques et procédures de gestion du capital de l’émetteur. A ce sujet, des informations de nature qualitative et quantitative sont requises en annexe et notamment : données chiffrées récapitulatives sur les éléments gérés en tant que capital, description des éventuelles contraintes externes auxquelles l’entreprise est soumise au titre de son capital (par exemple du fait d’obligations réglementaires), indication ou non du respect des contraintes réglementaires et en cas de défaut de respect, une indication des conséquences qui en découlent.

Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droit français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et « conglomérats financiers », la Caisse Régionale Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens du règlement 90-02 et exigés par la Commission Bancaire afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

L’arrêté du 20 février 2007 transpose dans la réglementation française le dispositif européen CRD (Capital Requirements Directive) (2006-48-CE et 2006-49 CE). Le texte définit les « exigences de fonds propres applicables aux établissements de crédit et aux entreprises d’investissement » et les modalités de calcul du ratio de solvabilité à compter du 1er janvier 2008.

Conformément à ces dispositions, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a intégré dès 2007, dans la gestion des fonds propres et des risques, les impacts liés au passage à la nouvelle directive européenne CRD.

Toutefois, le régulateur a défini jusqu’à fin 2009 les niveaux planchers de fonds propres suivants :

— 95% des exigences de fonds propres telles qu’elles auraient été calculées en CAD jusqu’au 31 décembre 2007 ;

— 90% de ces exigences jusqu’au 31 décembre 2008 ;

— 80% de ces exigences jusqu’au 31 décembre 2009.

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

— les fonds propres durs (tier 1) déterminés à partir des capitaux propres du groupe et retraités notamment des gains et pertes latents ;

— les fonds propres complémentaires (tier 2), limités à 100% du montant des fonds propres de base et composés principalement des dettes subordonnées ;

— les fonds propres surcomplémentaires admis au ratio (tier 3) composés principalement de dettes subordonnées à maturité plus courte.

Les déductions relatives notamment aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent désormais directement sur les montants du tier 1 et du tier 2, conformément à la réglementation.

— Niveau des fonds propres prudentiels calculés conformément à la réglementation :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Fonds propres de base (tier 1)

316 115

280 024

Fonds propres complémentaires (tier 2)

 

 

Fonds propres surcomplémentaires (tier 3)

 

 

Valeur de mise en équivalence des titres des sociétés

 

 

        Total des fonds propres prudentiels

316 115

280 024

 

En application de la réglementation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée doit respecter en permanence un ratio de fonds propres de base égal au moins à 4% et un ratio de solvabilité de 8%.

En 2009 comme en 2008, La Caisse Régionale Sud Méditerranée a répondu à ces exigences réglementaires.

 

4. Notes relatives au compte de résultat :

4.1. Produits et Charges d’intérêts :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Sur opérations avec les établissements de crédit

460

1 471

Sur opérations internes au Crédit Agricole

10 803

12 647

Sur opérations avec la clientèle

191 445

204 812

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

497

472

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 996

2 887

Intérêts courus et échus des instruments de couverture (3)

24 959

42 516

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

Produits d'intérêts (1) (2)

231 160

264 805

Sur opérations avec les établissements de crédit

6

28

Sur opérations internes au Crédit Agricole

93 878

124 768

Sur opérations avec la clientèle

11 169

11 851

Actifs financiers disponibles à la vente

19

62

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Sur dettes représentées par un titre

6 190

6 885

Sur dettes subordonnées

1 999

1 977

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

23 059

41 255

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

 

Charges d'intérêts

136 320

186 826

(1) Dont 6 605  K€ sur créances dépréciées individuellement au 31 décembre 2009 contre 5 309  K€ au 31 décembre 2008.

(2) Dont 2 051  K€ correspondant à des bonifications reçues de l'État au 31 décembre 2009 contre 2 236  K€ au 31 décembre 2008.

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

110

-22

88

256

-177

79

Sur opérations internes au Crédit Agricole

14 673

-12 096

2 577

12 686

-7 340

5 346

Sur opérations avec la clientèle

20 308

-270

20 038

21 125

-30

21 095

Sur opérations sur titres

220

 

220

218

 

218

Sur opérations de change

9

 

9

10

 

10

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

2 635

-196

2 439

3 164

-319

2 845

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers (1) (2)

52 758

-4 591

48 167

34 220

-3 651

30 569

Gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues (1)

1 075

 

1 075

10 134

-644

9 490

Produits nets des commissions

91 788

-17 175

74 613

81 813

-12 161

69 652

(1) Certaines commissions de prestations de services financiers, jusque là affectées à la rubrique « Commissions sur gestion d'OPCVM, fiducie et activités analogues », ont été réaffectées à la rubrique « Commissions sur moyens de paiement et autres services bancaires et financiers ». Le montant net de ces commissions s'élève à 8 064  K€ en 2009 et à 8 371  K€ en 2008.

(2) Les commissions d'assurance jusque là affectées à la ligne « Autres produits (charges) nets » de la rubrique « Produits et charges nets des autres activités » (note 4.5) ont été réaffectées à la ligne « Commissions sur moyens de paiements et autres prestations de services bancaires et financiers ». Le montant net de ces commissions s'élève à 10 908  K€ en 2009 et à 9 639  K€ en 2008.

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

-56

320

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par option

325

-2 598

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

120

123

Résultat de la comptabilité de couverture

 

-2

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

389

-2 157

 

Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

366

-366

0

    Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

264

-102

162

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures) (1) (2)

102

-264

-162

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

0

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

0

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

10 337

10 337

0

    Variations de juste valeur des éléments couverts

6 359

3 924

2 435

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture

3 978

6 413

-2 435

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

    Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

        Total résultat de la comptabilité de couverture

10 703

10 703

0

 

(En milliers d’euros)

 

31/12/2008

 

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

1 548

-1 578

-30

    Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

1 548

-30

1 518

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures) (1)

 

-1 548

-1 548

Couvertures de flux de trésorerie

0

0

0

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

0

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

0

0

0

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace (1)

 

 

0

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

54 648

-54 620

28

    Variations de juste valeur des éléments couverts

9 489

-45 137

-35 648

    Variations de juste valeur des dérivés de couverture

45 159

-9 483

35 676

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

0

0

0

    Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

0

        Total résultat de la comptabilité de couverture

56 196

-56 198

-2

(1) Montants ajustés par rapport aux états financiers publiés.

 

4.4. Gains ou perte nets sur Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Dividendes reçus

10 017

15 106

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente (*)

-8

-2 174

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres de capitaux propres)

-39

-10

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

9 970

12 922

(*) Hors résultat de cession sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement.

 

4.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-12

-10

Autres produits (charges) nets (1)

-571

9 963

Produits (charges) des autres activités

-583

9 953

(1) Les commissions d'assurance jusque là affectées à la ligne « Autres produits (charges) nets » ont été réaffectées à la ligne « Commissions sur moyens de paiements et autres prestations de services bancaires et financiers » de la rubrique « Commissions nettes » (note 4.2). Le montant net de ces commissions s'élève à 10 908  K€ en 2009 et à 9 639  K€ en 2008.

 

4.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Charges de personnel

52 440

51 251

Impôts et taxes

3 228

3 062

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation (1)

28 747

30 200

Charges d'exploitation

84 415

84 513

(1) Ce montant intègre les honoraires des commissaires aux comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

La répartition par cabinet et par type de mission de ces honoraires comptabilisés dans le résultat 2009 est donnée ci-dessous :

 

(En milliers d’euros) hors taxe)

2009

2008

E&Y

ADG

Total

Total

Commissaires aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés

131

59

190

186

Autres diligences et prestations directement liées à la mission du commissaire aux comptes

80

 

80

 

        Total

211

59

270

186

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Dotations aux amortissements

6 906

6 485

    Immobilisations corporelles

6 588

5 984

    Immobilisations incorporelles

318

501

Dotations aux dépréciations

0

0

    Immobilisations corporelles

 

 

    Immobilisations incorporelles

 

 

        Total

6 906

6 485

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-43 803

-38 220

    Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

    Prêts et créances

-41 541

-34 977

    Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

-166

-2 796

    Autres actifs

-1 199

-60

    Engagements par signature

-175

-57

    Risques et charges

-722

-330

Reprises de provisions et de dépréciations

18 080

14 339

Actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe

 

 

    Prêts et créances

17 900

13 221

    Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

    Autres actifs

94

42

    Engagements par signature

 

180

    Risques et charges

86

896

Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-25 723

-23 881

    Plus ou moins-values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente à revenu fixe dépréciés durablement

 

 

    Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-175

-215

    Récupérations sur prêts et créances amortis

414

739

    Décotes sur crédits restructurés

 

-163

    Pertes sur engagements par signature

 

 

    Autres pertes

-9

 

Coût du risque

-25 493

-23 520

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

555

116

    Plus-values de cession

575

128

    Moins-values de cession

-20

-12

Titres de capitaux propres consolidés

0

0

    Plus-values de cession

 

 

    Moins-values de cession

 

 

Gains ou pertes sur autres actifs

555

116

 

4.10. Impôts :

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Charge d'impôt courant

19 691

15 226

Charge d'impôt différé

143

-3 304

Charge d'impôt de la période

19 834

11 922

 

— Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

– Au 31 décembre 2009 :

 

(En milliers d’euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions et résultats des sociétés mises en équivalence

62 970

Taux d'impôt théorique 34,43%

21 681

Effet des différences permanentes

 

 

-2 835

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

206

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-280

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-28

Effet des autres éléments

 

 

1 091

Taux et charge effectif d'impôt

 

31,50%

19 834

 

– Au 31 décembre 2008 :

 

(En milliers d’euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions et résultats des sociétés mises en équivalence

53 947

Taux d'impôt théorique 34,43%

18 574

Effet des différences permanentes

 

 

-3 788

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

-118

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-2 727

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-51

Effet des autres éléments

 

 

32

Taux et charge effectif d'impôt

 

22,10%

11 922

 

4.11. Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. — Est présenté ci-dessous le détail des produits et charges comptabilisés de la période, net d’impôts.

 

(En milliers d’euros)

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres

Total des gains / pertes comptabilisés directement en capitaux propres hors QP des entités mises en équivalence

Quote-part des gains/pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponibles à la vente (1)

Variation de juste valeur des dérivés de couverture

Variation de juste valeur

 

66 934

-500

66 434

 

Transfert en compte de résultat

 

 

 

0

 

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

0

 

Quote-part de gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

 

 

 

 

 

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2009 (part du Groupe)

0

66 934

-500

66 434

0

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2009 (part minoritaire)

 

 

 

0

 

        Total gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2009 (1)

0

66 934

-500

66 434

0

Variation de juste valeur

 

-188 735

-1 199

-189 934

 

Transfert en compte de résultat

 

 

 

0

 

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

0

 

Quote-part de gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence

 

 

 

 

 

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2008 (part du Groupe)

0

-188 735

-1 199

-189 934

0

Gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2008 (part minoritaire)

 

 

 

0

 

        Total gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres exercice 2008 (1)

0

-188 735

-1 199

-189 934

0

 

(1) Les données « Total des gains ou pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs disponibles à la vente » se décomposent comme suit :

 

 

31/12/2009

31/12/2008

Montant brut

5 755

-60 433

Impôt

764

507

        Total net

6 519

-59 926

 

5. Informations sectorielles. — La Caisse régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France ». Toutefois concernant l’activité crédits, convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (cf. note 3.1).

 

6. Notes relatives au bilan :

6.1. Caisse, Banques centrales :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

25 970

 

22 921

 

Banques centrales

6 100

 

6 734

 

        Total en principal

32 070

0

29 655

0

Créances / Dettes rattachées

23

 

50

 

Valeur au bilan

32 093

0

29 705

0

 

6.2. Actifs et Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

769

574

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

14 640

4 036

Valeur au bilan

15 409

4 610

    Dont Titres prêtés

 

 

 

— Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

0

0

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

0

0

    Actions et autres titres à revenu variable

0

0

Instruments dérivés

769

574

Valeur au bilan

769

574

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

14 640

4 036

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

14 640

4 036

        Titres cotés

 

 

        Titres non cotés

14 640

4 036

    Actions et autres titres à revenu variable

0

 

        Titres cotés

 

 

        Titres non cotés

 

 

Valeur au bilan

14 640

4 036

 

— Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

1 206

659

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

 

 

Valeur au bilan

1 206

659

 

— Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Titres vendus à découvert

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes représentées par un titre

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

1 206

659

Valeur au bilan

1 206

659

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêts et de change.

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

9 228

10 045

    Titres cotés

8 805

 

    Titres non cotés

423

10 045

Actions et autres titres à revenu variable

250 610

172 677

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

250 610

172 677

        Total des titres disponibles à la vente

259 838

182 722

        Total des créances disponibles à la vente

 

 

Créances rattachées

18

91

Valeur au bilan (1)

259 856

182 813

(1) Dont – 1 256 K€ comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

 

— Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Juste valeur

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Juste valeur

Gains comptabilisés directement en capitaux propres

Pertes comptabilisées directement en capitaux propres

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

9 228

74

-40

10 045

145

-153

Actions et autres titres à revenu variable

1 931

 

-63

1 349

 

 

Titres de participation non consolidés

248 679

8 576

-191

171 328

7 778

-66 365

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

 

 

Créances rattachées

18

 

 

91

 

 

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente

259 856

8 650

-294

182 813

7 923

-66 518

Impôts

 

-168

36

 

-178

53

Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur actifs financiers disponibles à la vente (net IS)

 

8 482

-258

 

7 745

-66 465

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit  :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Établissements de crédit :

 

 

    Comptes et prêts

1 824

2 247

    Valeurs reçues en pension

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

    Prêts subordonnés

394

394

    Titres non cotés sur un marché actif

 

 

    Autres prêts et créances

 

 

        Total

2 218

2 641

Créances rattachées

1

3

Dépréciations

 

 

Valeur nette

2 219

2 644

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

    Comptes ordinaires

57 480

89 303

    Comptes et avances à terme

127 295

108 963

    Prêts subordonnés

13 500

13 500

    Titres non cotés sur un marché actif

 

 

        Total

198 275

211 766

Créances rattachées

4 679

2 960

Dépréciations

 

 

Valeur nette

202 954

214 726

Valeur nette au bilan

205 173

217 370

 

— Prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Opérations avec la clientèle

 

 

Créances commerciales

18 271

20 061

Autres concours à la clientèle

4 360 197

4 210 903

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

27 000

27 000

Titres non cotés sur un marché actif

1 015

1 015

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

Avances en comptes courants d'associés

58 214

57 680

Comptes ordinaires débiteurs

51 358

45 635

        Total

4 516 055

4 362 294

Créances rattachées

40 149

41 792

Dépréciations

-153 112

-132 709

Valeur nette

4 403 092

4 271 377

Opérations de location financement

 

 

Location-financement immobilier

 

 

Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

        Total

0

0

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeur nette

0

0

Valeur nette au bilan

4 403 092

4 271 377

 

Au cours de l’année 2009, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a apporté 210 615 K€ de créances en garantie à Crédit Agricole SA dans le cadre de la participation du Groupe Crédit Agricole aux refinancements accordés par la Société de Financement de l'Economie Française (SFEF) contre 35 758 K€ en 2008. La Caisse Régionale Sud Méditerranée conserve l'intégralité des risques et avantages associés à ces créances

 

6.6. Dépréciations inscrites en déduction des actifs financiers :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2009

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

132 709

48 407

28 004

 

153 112

    Dont dépréciations collectives

45 191

6 399

1 950

 

49 640

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

2 796

166

 

 

2 962

Actifs disponibles à la vente

1 311

39

94

 

1 256

Autres actifs financiers

2 565

1 199

94

 

3 670

        Total des dépréciations des actifs financiers

139 381

49 811

28 192

 

161 000

 

(En milliers d’euros)

31/12/2007

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2008

Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

 

Créances sur la clientèle

112 810

39 920

20 021

 

132 709

    Dont dépréciations collectives

40 792

6 362

1 963

 

45 191

Opérations de location financement

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

 

2 796

 

 

2 796

Actifs disponibles à la vente

1 301

10

 

 

1 311

Autres actifs financiers

2 547

60

42

 

2 565

        Total des dépréciations des actifs financiers

116 658

42 786

20 063

 

139 381

 

6.7. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle :

— Dettes envers les établissements de crédit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Établissements de crédit :

 

 

    Comptes et emprunts

395

417

        Dont comptes ordinaires créditeurs

 

 

        Dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

    Valeurs données en pension

 

 

    Titres donnés en pension livrée

 

 

            Sous-total

395

417

Dettes rattachées

3

5

            Total

398

422

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

    Comptes ordinaires créditeurs

 

3

    Comptes et avances à terme

2 946 087

2 939 282

            Sous-total

2 946 087

2 939 285

Dettes rattachées

12 033

15 707

            Total

2 958 120

2 954 992

Valeur au bilan

2 958 518

2 955 414

 

— Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Comptes ordinaires créditeurs

1 009 252

959 023

Comptes d'épargne à régime spécial

9 897

8 521

Autres dettes envers la clientèle

274 546

225 142

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

        Total

1 293 695

1 192 686

Dettes rattachées

7 223

4 429

Valeur au bilan

1 300 918

1 197 115

 

6.8. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

41 066

50 938

        Total

41 066

50 938

Créances rattachées

1 151

965

Dépréciations

-2 962

-2 796

Valeur nette au bilan

39 255

49 107

 

6.9. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Dettes représentées par un titre :

 

 

    Bons de caisse

2 882

2 277

    Titres du marché interbancaire

 

 

    Titres de créances négociables :

152 955

164 147

        Émis en France

152 955

164 147

        Émis à l'étranger

 

 

    Emprunts obligataires

 

 

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

            Total

155 837

166 424

Dettes rattachées

237

334

Valeur au bilan

156 074

166 758

Dettes subordonnées :

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

29 189

38 628

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

            Total

29 189

38 628

Dettes rattachées

730

945

Valeur au bilan

29 919

39 573

 

6.10. Actifs et passifs d’impôts courants et différés :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Impôts courants

 

6 232

Impôts différés

20 767

20 354

        Total actifs d'impôts courants et différés

20 767

26 586

Impôts courants

1 133

388

Impôts différés

 

 

        Total passifs d'impôts courants et différés

1 133

388

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Impôts différés Actif

Impôts différés Passif

Actifs disponibles à la vente

14

142

 

178

Couvertures de Flux de Trésorerie

896

 

633

 

Provisions non déductibles

20 161

 

20 572

 

Charges à payer non déductibles

478

 

303

 

Autres différences temporaires

 

 

 

 

Autres Impôts différés

141

781

48

1 024

Effet des compensations

 

 

 

 

        Total impôts différés

21 690

923

21 556

1 202

 

6.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers :

— Comptes de régularisation actif  :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Autres actifs

38 858

25 566

    Comptes de stocks et emplois divers

12 268

2 669

    Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

    Débiteurs divers

26 518

22 768

    Comptes de règlements

72

129

    Capital souscrit non versé

 

 

    Autres actifs d'assurance

 

 

    Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

52 670

59 288

    Comptes d'encaissement et de transfert

24 127

32 666

    Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

1

    Produits à recevoir

27 480

24 926

    Charges constatés d'avance

734

588

    Autres comptes de régularisation

328

1 107

Valeur nette au bilan

91 528

84 854

 

— Comptes de régularisation passif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Autres passifs (1)

20 174

20 640

    Comptes de règlements

543

881

    Créditeurs divers

18 204

17 525

    Versement restant à effectuer sur titres

1 427

1 713

    Autres passifs d'assurance

 

 

    Autres

 

521

Comptes de régularisation

42 385

34 782

    Comptes d'encaissement et de transfert (2)

2 520

3 974

    Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

    Produits constatés d’avance

13 184

9 891

    Charges à payer

25 594

20 917

    Autres comptes de régularisation

1 087

 

Valeur au bilan

62 559

55 422

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) Les montants sont indiqués en nets.

 

6.12. Immeubles de placement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2009

Valeur brute

385

 

 

 

385

Amortissements et dépréciations

-243

-12

 

 

-255

Valeur nette au bilan

142

-12

 

 

130

 

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2007

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2008

Valeur brute

378

7

 

 

385

Amortissements et dépréciations

-233

-10

 

 

-243

Valeur nette au bilan

145

-3

 

 

142

 

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

6.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2009

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

110 260

9 708

7 930

 

112 038

    Créances rattachées (1)

0

 

 

 

0

    Amortissements et dépréciations

66 287

6 588

2 554

 

70 321

Valeur nette au bilan

43 973

3 120

5 376

0

41 717

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

10 278

248

 

 

10 526

    Amortissements et dépréciations

9 396

318

 

 

9 714

Valeur nette au bilan

882

-70

0

0

812

(1) Loyers courus non échus sur les immobilisations données en location simple.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2007

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2008

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

108 205

15 370

13 315

 

110 260

    Créances rattachées (1)

 

 

 

 

0

    Amortissements et dépréciations

66 204

5 984

5 901

 

66 287

Valeur nette au bilan

42 001

9 386

7 414

0

43 973

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

10 042

316

80

 

10 278

    Amortissements et dépréciations

8 975

501

80

 

9 396

Valeur nette au bilan

1 067

-185

0

0

882

 

6.14. Provisions :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2009

Risques sur les produits épargne logement

5 212

157

 

1 997

 

3 372

Risques d’exécution des engagements par signature

736

175

 

 

 

911

Risques opérationnels

5 048

2 201

22

1 552

 

5 675

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

447

3

 

18

 

432

Litiges divers

1 862

 

942

47

 

873

Participations

0

 

 

 

 

0

Restructurations

0

 

 

 

 

0

Autres risques

1 260

1 098

75

181

 

2 102

        Total

14 565

3 634

1 039

3 795

0

13 365

(1) Dont 432 K€ au titre de la provision pour médaille du travail.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2007

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2008

Risques sur les produits épargne logement

5 202

633

 

623

 

5 212

Risques d’exécution des engagements par signature

925

57

66

180

 

736

Risques opérationnels

5 173

160

256

896

867

5 048

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

496

 

49

 

 

447

Litiges divers

3 556

108

155

1 647

 

1 862

Participations

 

 

 

 

 

0

Autres risques

1 954

337

141

23

-867

1 260

        Total

17 306

1 295

667

3 369

0

14 565

(1) Dont 447 K€ au titre de la provision pour médaille du travail.

 

— Provision épargne logement :

– Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Plans d'épargne-logement 

 

 

    Ancienneté de moins de 4 ans

227 362

174 204

    Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

221 234

279 000

    Ancienneté de plus de 10 ans

162 598

163 037

        Total plans d'épargne-logement

611 194

616 241

        Total comptes épargne-logement

94 721

100 136

        Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

705 915

716 377

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2009 et 2008 et hors prime d'état.

– Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Plans d'épargne-logement 

8 219

7 977

Comptes épargne-logement 

17 593

18 214

        Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

25 812

26 191

 

– Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Plans d'épargne-logement :

 

 

    Ancienneté de moins de 4 ans

 

1 282

    Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

391

170

    Ancienneté de plus de 10 ans

1 122

776

        Total plans d'épargne-logement

1 513

2 228

        Total comptes épargne-logement

1 858

2 985

        Total provision au titre des contrats épargne-logement

3 371

5 213

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

Dotations

Reprises

31/12/2009

Plans d'épargne-logement 

2 227

 

714

1 513

Comptes épargne-logement 

2 985

157

1 284

1 858

        Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 212

157

1 998

3 371

 

L’organisation financière du groupe Crédit Agricole concernant les comptes d’épargne à régime spécial est décrite dans le paragraphe « Relations internes aux Crédit Agricole - mécanismes financiers internes » de la partie « Cadre général ».

 

6.15. Capitaux propres :

— Composition du capital au 31 décembre 2009 : La Caisse régionale de Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, et de Certificats Coopératifs d’Associés.

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

Les CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2009

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2009

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

 

 

459 957

    Dont part du Public

 

 

 

 

    Dont part Crédit Agricole SA

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

12 931 946

 

148 568

12 783 378

    Dont 56 Caisses Locales

12 931 921

 

148 568

12 783 353

    Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

 

24

    Dont Crédit Agricole SA

1

 

 

1

        Total

13 391 903

 

148 568

13 243 335

 

La valeur nominale des titres est de :

– 15,25 € pour les CCA ;

– 15,25 € pour les parts sociales émises par la CR ;

– 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales.

Pour un montant total du Capital de 26 929 au 31 décembre 2009.

Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

La rémunération des CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

Montant Net

Montant Net

2006

7,02

0,05

2007

7,56

0,05

2008

7,11

0,05

Prévu 2009

7,08

0,05

 

— Affectations du résultat et fixation du dividende 2009 :L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2009 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 24 mars 2010.

Projet affectation du résultat au 31 décembre 2009 :

 

Résultat comptable

43 404 314,28

RAN Créditeur

 

Résultat à affecter

43 404 314,28

Distribué

3 886 614,55

    Intérêts aux parts sociales

631 290,98

        Intérêts aux parts aux Caisses locales

631 280,00

        Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

10,98

    Rémunération des CCA

3 255 323,57

Conservé

39 517 699,73

    Réserves légales

29 638 274,80

    Autres réserves

9 879 424,93

 

6.16. Ventilation des actifs et passifs financiers par échéance. — La ventilation présentée des soldes au bilan des actifs et passifs financiers est réalisée par date d’échéance contractuelle.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

nd

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Caisse, banques centrales

 

32 093

 

 

 

32 093

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

 

769

14 640

15 409

Instruments dérivés de couverture

 

887

914

5 838

35 677

43 316

Actifs financiers disponibles à la vente

251 033

18

 

 

8 805

259 856

Prêts et créances sur les établissements de crédit

13 500

95 432

64 303

27 795

4 143

205 173

Prêts et créances sur la clientèle

1 015

458 767

447 253

1 287 486

2 208 571

4 403 092

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

14 532

 

 

 

14 532

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

2 828

222

9 045

27 160

39 255

        Total actifs financiers par échéance

265 548

604 557

512 692

1 330 933

2 298 996

5 012 726

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

 

1 096

110

1 206

Instruments dérivés de couverture

 

595

1 149

7 080

15 612

24 436

Dettes envers les établissements de crédit

 

394 451

533 739

1 332 288

698 040

2 958 518

Dettes envers la clientèle

 

1 115 419

83 694

100 890

915

1 300 918

Dettes représentées par un titre

 

3 824

2 250

 

150 000

156 074

Dettes subordonnées

 

730

9 800

4 600

14 789

29 919

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

31 940

 

 

 

31 940

        Total passifs financiers par échéance

0

1 546 959

630 632

1 445 954

879 466

4 503 011

 

(En milliers d’euros)

31/12/2008

nd

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Caisse, banques centrales

 

29 705

 

 

 

29 705

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

4 036

 

177

228

169

4 610

Instruments dérivés de couverture

 

258

650

3 328

27 885

32 121

Actifs financiers disponibles à la vente

172 946

91

 

 

9 776

182 813

Prêts et créances sur les établissements de crédit

 

123 711

3 555

75 996

14 108

217 370

Prêts et créances sur la clientèle

1 015

505 617

455 154

1 182 082

2 127 509

4 271 377

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

8 173

 

 

 

8 173

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

841

13 008

16 538

18 720

49 107

        Total actifs financiers par échéance

177 997

668 396

472 544

1 278 172

2 198 167

4 795 276

Banques centrales

 

 

 

 

 

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

 

314

345

659

Instruments dérivés de couverture

 

365

2 174

5 488

3 655

11 682

Dettes envers les établissements de crédit

 

459 130

701 907

1 102 843

691 534

2 955 414

Dettes envers la clientèle

 

1 127 848

54 364

14 338

565

1 197 115

Dettes représentées par un titre

 

1 611

15 147

 

150 000

166 758

Dettes subordonnées

 

1 209

9 200

14 400

14 764

39 573

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

28 016

 

 

 

28 016

        Total passifs financiers par échéance

0

1 618 179

782 792

1 137 383

860 863

4 399 217

 

7. Avantages au personnel et autres rémunérations :

7.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Salaires et traitements

27 823

27 379

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

2 962

3 044

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

1 053

881

Autres charges sociales

10 690

10 221

Intéressement et participation

6 162

6 146

Impôts et taxes sur rémunération

3 750

3 580

        Total charges de personnel

52 440

51 251

 

7.2. Effectif fin de période :

 

Effectifs

31/12/2009

31/12/2008

France

894

888

Etranger

15

15

        Total

909

903

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole SA n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Variation dette actuarielle :

 

 

 

 

 

    Dette actuarielle au 31 décembre N-1

9 826

12 260

14 420

13 147

12 737

        Ecart de change

 

 

 

 

 

        Coût des services rendus sur la période

645

695

555

621

502

        Coût financier

504

608

575

508

596

        Cotisations de l'employé

 

 

 

 

 

        Modification / Réduction / liquidation de plan

221

-4 289

 

 

 

        Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

 

 

 

        Indemnités de cessation d'activité

 

 

 

 

 

    Prestations versées (obligatoire)

-617

-770

-474

-357

-380

        (Gains) / pertes actuariels (*)

-924

1 321

-2 817

501

-308

Dette actuarielle au 31 décembre N

9 655

9 826

12 259

14 420

13 147

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Détail de la charge comptabilisée au résultat :

 

 

 

 

 

    Coût des services rendus sur l'exercice

645

695

555

621

502

    Coût financier

504

608

575

508

596

    Rendement attendu des actifs sur la période

-342

-455

-545

-448

-487

    Amortissement du coût des services passés

19

 

 

 

 

    Amortissement des gains / (pertes) actuariels

-325

96

431

390

 

    Gains / (pertes) sur les réductions et liquidations

 

 

 

 

752

    Gains / (pertes) sur la limitation de surplus

 

 

 

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

501

946

1 016

1 071

1 363

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Variation de juste valeur des actifs du régime et des Droits à remboursement :

 

 

 

 

 

    Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31 décembre N-1

8 761

11 198

13 644

11 200

11 493

        Ecart de change

 

 

 

 

 

        Rendement attendu des actifs

342

455

545

448

487

        Gains / (pertes) actuariels sur les actifs du régime

-599

1 225

-3 248

112

-1 060

        Cotisations de l'employeur

747

942

731

2 241

936

        Cotisations de l'employé

 

 

 

 

 

        Modification / Réduction / liquidation de plan

 

-4 289

 

 

 

        Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

 

 

-35

        Indemnités de cessation d'activité

 

 

 

 

 

        Prestations versées

-617

-770

-474

-357

-621

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31 décembre N

8 634

8 761

11 198

13 644

11 200

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Position nette :

 

 

 

 

 

    Dette actuarielle fin de période

9 655

9 826

12 260

14 420

13 147

        (Gains) / pertes sur la limitation de surplus

8 634

8 761

11 198

13 644

11 200

Position nette (passif) / actif fin de période

-1 021

-1 066

-1 062

-776

-1 947

 

7.5. Autres engagements sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 432 K€ à la fin de l’exercice 2009.

 

7.6. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de Direction et d’Administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 172 K€.

 

8. Engagements de financement et de garantie et autres garanties :

— Engagements donnés et reçus :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Engagements donnés :

 

 

    Engagements de financement

551 342

554 060

        Engagements en faveur d'établissements de crédit

 

1 000

        Engagements en faveur de la clientèle

551 342

553 060

            Ouverture de crédits confirmés

454 329

437 641

                Ouverture de crédits documentaires

579

189

                Autres ouvertures de crédits confirmés

453 750

437 452

            Autres engagements en faveur de la clientèle

97 013

115 419

    Engagements de garantie

113 302

112 140

        Engagements d'ordre d'établissement de crédit

0

0

            Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

            Autres garanties

 

 

        Engagements d'ordre de la clientèle

113 302

112 140

            Cautions immobilières

4 917

9 321

            Garanties financières

74 574

59 258

            Autres garanties d'ordre de la clientèle

33 811

43 561

Engagements reçus :

 

 

    Engagements de financement

152

131

        Engagements reçus d'établissements de crédit

152

131

        Engagements reçus de la clientèle

 

 

    Engagements de garantie

554 704

454 168

        Engagements reçus d'établissements de crédit

24 408

25 282

        Engagements reçus de la clientèle

530 296

428 886

            Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

138 709

132 741

            Autres garanties reçues

391 587

296 145

 

9. Reclassements d’instruments financiers. — Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements suivants :

— des catégories « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » et « Actifs financiers disponibles à la vente » vers la catégorie « Prêts et créances », si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance et si les critères d’éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ;

— dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie « Actifs financiers détenus à des fins de transaction » vers les catégories « Actifs financiers disponibles à la vente » ou « Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance », si les critères d’éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun de ces deux postes.

Au cours de l’exercice 2009, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré à de reclassement au sein de son portefeuille.

 

10. Juste valeur des instruments financiers. — La juste valeur d’un instrument financier est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé ou une dette réglée entre des parties avisées, consentantes dans une transaction conclue à des conditions normales.

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté. Celles-ci sont susceptibles de changer au cours d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

Dans la pratique, et dans une logique de continuité de l’activité, l’ensemble de ces instruments financiers pourrait ne pas faire l’objet d’une réalisation immédiate pour la valeur estimée ci-dessous.

 

10.1. Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2009

31/12/2008

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Actifs :

 

 

 

 

    Prêts et créances sur les établissements de crédit

205 173

142 751

217 370

217 370

    Prêts et créances sur la clientèle

4 403 092

4 531 139

4 271 377

4 311 210

    Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

39 255

37 025

49 107

38 495

    Immeubles de placement

130

130

142

142

Passifs :

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédits

2 958 518

3 007 791

2 955 414

2 960 509

    Dettes envers la clientèle

1 300 918

1 300 918

1 197 115

1 197 115

    Dettes représentées par un titre

156 074

156 074

166 758

166 758

    Dettes subordonnées

29 919

29 919

39 573

39 573

 

Pour les instruments financiers, la meilleure estimation correspond au prix de marché de l’instrument lorsque celui-ci est traité sur un marché actif (cours cotés et diffusés).

En l’absence de marché ou de données fiables, la juste valeur est déterminée par une méthode appropriée conforme aux méthodologies d’évaluations pratiquées sur les marchés financiers : soit la référence à la valeur de marché d’un instrument comparable, soit l’actualisation des flux futurs, soit des modèles d’évaluation.

Dans les cas où il est nécessaire d’approcher les valeurs de marché au moyen d’évaluation, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs estimés qui est la plus couramment utilisée.

En outre, il est à noter que la Caisse Régionale Sud Méditerranée prend en compte le rapport d’experts publié par l’IASB le 31 octobre 2008 et relatif à la valorisation de certains instruments financiers à la juste valeur cotés sur des marchés qui ne sont plus actifs.

Par ailleurs, dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

— des passifs exigibles à vue ;

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

10.2. Informations sur les instruments financiers évalués à la juste valeur :

— Répartition des instruments financiers à la juste valeur par modèle de valorisation :

– Actifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris créances rattachées et nets de dépréciation :

 

(En milliers d’euros)

Total 31/12/2009

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

769

0

769

0

    Créances sur les établissements de crédit

 

 

 

 

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

    Titres détenus à des fins de transaction

 

0

0

0

    Instruments dérivés

769

 

769

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

14 640

0

14 640

0

    Créances sur la clientèle

 

 

 

 

    Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

 

 

    Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

    Titres à la juste valeur par résultat sur option

14 640

0

14 640

0

        Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

        Obligations et autres titres à revenu fixe

14 640

 

14 640

 

        Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Actifs financiers disponibles à la vente

259 856

8 823

251 033

0

    Effets publics et valeurs assimilées

0

 

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

9 246

8 823

423

 

    Actions et autres titres à revenu variable

250 610

 

250 610

 

    Créances disponibles à la vente

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

43 316

 

43 316

 

        Total actifs financiers valorisés à la juste valeur

318 581

8 823

309 758

0

 

– Passifs financiers valorisés à la juste valeur : Les montants présentés sont y compris dettes rattachées :

 

(En milliers d’euros)

Total 31/12/2009

Prix cotés sur des marchés actifs pour des instruments identiques : Niveau 1

Valorisation fondée sur des données observables : Niveau 2

Valorisation fondée sur des données non observables : Niveau 3

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

1 206

0

1 206

0

    Titres vendus à découvert

0

 

 

 

    Titres donnés en pension livrée

0

 

 

 

    Dettes représentées par un titre

0

 

 

 

Dettes envers la clientèle

0

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédit

0

 

 

 

    Instruments dérivés

1 206

 

1 206

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

0

 

 

 

Instruments dérivés de couverture

24 436

 

24 436

 

        Total passifs financiers valorisés à la juste valeur

25 642

0

25 642

0

 

11. Périmètre de consolidation au 31 décembre 2009 :

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode de consolidation au 31/12/2009

En % de contrôle et d'intérêt

31/12/2009

31/12/2008

Caisse Locale à vocation départementale des PO

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARGELES -ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BAGES - SUD REART

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TERRES DE JAUMET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BANYULS S/MER

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BOMPAS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CABESTANY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANOHES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CARAMANY - BELESTA - TREVILLAC

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COLLIOURE - PORT VENDRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MOYEN AGLY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ILLE SUR TET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BASSIN DE L'AGLY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MAURY - LESQUERDE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MILLAS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PEZILLA - CORNEILLA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de POLLESTRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ASPRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PRADES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de RIVESALTES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST FELIU D'AVALL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de AGLY SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST NAZAIRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALEILLES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALSES - OPOUL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LE SOLER

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de THUIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TOULOUGES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VILLELONGUE SQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VINCA - TARERACH - SOURNIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARLES S/TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d’AX LES THERMES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LA BASTIDE DE SEROU

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CASTILLON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de FOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LAVELANET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LEZAT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du MAS D AZIL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de STE CROIX VOLVESTRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST GIRONS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TARASCON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VARILHES

France

Intégration Globale

100

100

 

7. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés.

Exercice clos le 31 décembre 2009.

 

Aux Sociétaires ;

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2009, sur :

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— la vérification spécifique prévue par la loi.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes consolidés de l'exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu'adopté par l'Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

Sans remettre en cause l'opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 1.1 de l’annexe des comptes consolidés qui décrit les nouvelles normes et interprétations que votre caisse régionale a appliquées à compter du 1er janvier 2009, notamment la norme IAS 1 révisée et l’amendement de la norme IFRS 7.

 

II. Justification des appréciations. — Les estimations comptables concourant à la préparation des états financiers au 31 décembre 2009 ont été réalisées dans un contexte économique et des conditions de marché toujours dégradés. C’est dans ce contexte que, conformément aux dispositions de l’article L. 823-9 du Code de commerce, nous avons procédé à nos propres appréciations que nous portons à votre connaissance :

— Comme indiqué dans les notes 1.3 et 3.1 de l'annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes et sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à examiner le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l'appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et collectives.

— La note 1.3 de l'annexe expose les règles et méthodes comptables relatives aux actifs financiers disponibles à la vente. Nous avons examiné les évaluations retenues pour la valorisation de ces titres et, sur la base des informations qui nous ont été communiquées, nos travaux ont consisté à vérifier la correcte application des principes retenus par la caisse régionale pour leur dépréciation et plus particulièrement celle relative aux titres de capitaux propres.

— Dans le cadre de l'arrêté des comptes, votre caisse régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur l’évaluation en juste valeur des instruments financiers. Nous avons examiné et testé les processus mis en place par la direction, les hypothèses retenues et les paramètres utilisés, et vérifié, sur la base des informations qui nous ont été communiquées, que ces estimations comptables s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes retenus par la caisse régionale.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

III. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes d’exercice professionnel applicables en France, à la vérification spécifique prévue par la loi des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

Paris et Toulouse, le 5 mars 2010.

Les Commissaires aux Comptes :

 

ADG INTERNATIONAL :

ERNST&YOUNG et Autres :

Albert Zaragoci ;

Frank Astoux.

 

 

 

 

1001526

29/04/2009 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N2)
Numéro d'affaire : 2474
Texte de l'annonce :

0902474

29 avril 2009BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°51


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural.

Capital social au 31 décembre 2008 : 21 043 033 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335. — Code APE 651 D.

(Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2008).

 

A. — Comptes sociaux au 31 décembre 2008.

I. — Bilan au 31 décembre 2008.

(En milliers d'euros).

Actif

31/12/2008

31/12/2007

Opérations interbancaires et assimilées

32 350

31 745

Caisse, banques centrales

29 705

28 261

Effets publics et valeurs assimilées (Note 5)

 

 

Créances sur les établissements de crédit (Note 3)

2 645

3 484

Opérations internes au Crédit Agricole (Note 3)

215 421

136 876

Opérations avec la clientèle (Note 4)

4 256 072

3 944 341

Opérations sur titres :

62 231

176 801

Obligations et autres titres à revenu fixe (Note 5)

57 461

89 522

Actions et autres titres à revenu variable (Note 5)

4 770

87 279

Valeurs immobilisées

334 499

236 426

Participations et autres titres détenus à long terme (Notes 6 et 7)

288 495

192 159

Parts dans les entreprises liées (Notes 6 et 7)

1 026

1 068

Immobilisations incorporelles (Note 7)

881

1 067

Immobilisations corporelles (Note 7)

44 097

42 132

Capital souscrit non versé

 

 

Actions propres

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

111 395

112 970

Autres actifs (Note 8)

31 823

22 963

Comptes de régularisation (Note 8)

79 572

90 007

    Total actif

5 011 968

4 639 159

 

Passif

31/12/2008

31/12/2007

Opérations interbancaires et assimilées

422

432

Banques centrales

 

 

Dettes envers les établissements de crédit (Note 10)

422

432

Opérations internes au Crédit Agricole (Note 10)

2 959 628

2 689 682

Comptes créditeurs de la clientèle (Note 11)

1 200 414

1 141 249

Dettes représentées par un titre (Note 12)

166 757

169 799

Comptes de régularisation et passifs divers

68 720

73 423

Autres passifs (Note 13)

17 729

15 991

Comptes de régularisation (Note 13)

50 991

57 432

Provisions et dettes subordonnées

102 481

90 387

Provisions (Notes 14, 15 et 16)

60 776

59 604

Dettes subordonnées (Note 18)

41 705

30 783

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG) (Note 17)

7 557

7 557

Capitaux propres hors FRBG : (Note 19)

505 989

466 630

    Capital souscrit

28 057

28 057

    Primes d'émission

129 625

129 625

    Réserves

304 733

262 574

    Ecart de réévaluation

 

 

    Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

 

    Report à nouveau

 

319

    Résultat de l'exercice

43 574

46 055

        Total passif

5 011 968

4 639 159

 

Hors-bilan

31/12/2008

31/12/2007

Engagements donnés

 

 

    Engagements de financements

554 060

509 247

    Engagements de garantie

112 139

103 695

    Engagements sur titres

34

19

Engagements reçus

 

 

    Engagements de financement

131

158 152

    Engagements de garantie

454 169

359 597

    Engagements sur titres

34

19

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

— Opérations de change au comptant et à terme : note 22

— Opérations sur instruments financiers à terme : note 23

 

II. — Compte de résultat au 31 décembre 2008.

(En milliers d'euros).

 

31/12/2008

31/12/2007

Intérêts et produits assimilés (Notes 24 et 25)

226 112

194 636

Intérêts et charges assimilées (Note 24)

-148 023

-120 043

Revenus des titres à revenu variable (Note 25)

17 695

14 830

Commissions (produits) (Note 26)

78 649

75 842

Commissions (charges) (Note 26)

-11 843

-8 829

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation (Note 27)

177

225

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés (Note 28)

-1 351

1 740

Autres produits d’exploitation bancaire (Note 29)

10 366

9 273

Autres charges d’exploitation bancaire (Note 29)

-427

-318

    Produit net bancaire

171 355

167 356

Charges générales d’exploitation (Note 30)

-83 439

-81 472

Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles

-6 493

-6 473

    Résultat brut d'exploitation

81 423

79 411

Coût du risque (Note 31)

-23 574

-12 914

    Résultat d'exploitation

57 849

66 497

Résultat net sur actifs immobilisés (Note 32)

167

2 139

Résultat courant avant impôt

58 016

68 636

Résultat exceptionnel (Note 33)

-864

-1 069

Impôt sur les bénéfices (Note 34)

-13 578

-21 819

Dotations, Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

307

    Résultat net

43 574

46 055

 

III. — Annexes aux comptes sociaux.

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice.

1.1. Cadre juridique et financier. — La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code Monétaire et Financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée, 59 Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’Entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

On notera également que les comptes de la Caisse Régionale intègre l’activité d’une succursale en Espagne dont l’activité est essentiellement dans la distribution de crédits habitat aux particuliers en Catalogne et plus particulièrement à Barcelone.

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2008, la Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses régionales, du Groupe Crédit Agricole dont l'Organe Central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole s.a. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même 54,78 % du capital de Crédit Agricole S.A. cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole s.a. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 44,64 %.

Par ailleurs, Crédit Agricole s.a. détient 13 011 521 actions propres au 31 décembre 2008, soit 0,58 % de son capital, contre 12 552 962 actions propres au 31 décembre 2007.

Pour sa part Crédit Agricole S.A. détient 25% des Certificats Coopératifs d’Associés émis par la Caisse régionale.

Crédit Agricole s.a. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code Monétaire et Financier. Du fait de son rôle d'Organe Central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit Agricole S.A. à hauteur de leurs fonds propres.

 

1.2. Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole. — L'appartenance de la Caisse régionale Sud Méditerranée au Groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

 

Comptes ordinaires des Caisses régionales. — Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A, qui enregistre les mouvements de fonds correspondant aux relations financières internes. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires ».

 

Comptes et avances à terme. — Les ressources d'épargne (emprunts obligataires, bons et comptes à terme assimilés, comptes et plans d'épargne-logement, comptes sur livrets, PEP, etc.) sont collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole s.a. Elles sont transférées à Crédit Agricole s.a. et figurent à ce titre à son bilan. Elles financent les avances faites aux Caisses régionales pour leur permettre d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre réformes financières internes ont été successivement mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites "avances-miroir" (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33,33 % et enfin 50 % depuis le 31 décembre 2001, des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des crédits entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Deux autres types d'avances sont à distinguer :

— Les avances pour prêts bonifiés qui refinancent les prêts à taux réduits fixés par l'Etat : ce dernier verse à Crédit Agricole s.a. une bonification (reversée aux Caisses régionales pour les avances souscrites depuis le 1er janvier 2004) pour combler la différence entre le coût de la ressource et le taux des prêts accordés ;

— Les avances pour autres prêts qui refinancent à hauteur de 50 % (depuis le 31 décembre 2001) les prêts non bonifiés : ces avances de Crédit Agricole s.a. sont accordées aux Caisses régionales sur justification de leurs engagements.

 

Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales. — Les ressources d'origine monétaire des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non réglementés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole s.a. où ils sont enregistrés dans des comptes ordinaires ou des comptes à terme parmi les "Opérations internes au Crédit Agricole".

 

Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. — Les excédents peuvent être investis chez Crédit Agricole s.a. sous forme de placements de 3 à 10 ans dont toutes les caractéristiques sont identiques à celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

Opérations en devises. — Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

Comptes d'épargne à régime spécial. — Les ressources d'épargne à régime spécial (comptes sur livrets, livrets d'épargne manuelle, d'épargne-entreprise, d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. — Ceux-ci sont placés principalement par les Caisses régionales et figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

 

Couverture des risques de liquidité et de solvabilité. — Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un Protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au Groupe Crédit Agricole. Ce Protocole prévoit en particulier la constitution d’un fonds pour risques de liquidité et de solvabilité destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du Protocole sont détaillées au Chapitre III du document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

1.3. Evénements significatifs relatifs à l’exercice 2008. — Souscription à l’augmentation de capital de la SAS Rue La Boétie pour 44,4 Millions d’€uros ainsi qu’à une avance en compte courant de 53,03 Millions d’euros.

— Poursuite du programme de rénovation par le plan immobilier agences nouveau concept et la rénovation du siège social.

— Dépréciation des titres d’investissements Lehman’s Brothers pour 2 796 milliers d’€uros soit 90 % du nominal.

— Emission d’un prêt subordonnée pour 15 Millions d’€uros (cf. Note 18)

— Résiliation de l’engagement hors bilan sur les CDS ENEE pour 89 108 milliers d’€uros.

— Au cours de l’exercice 2008, une charge exceptionnelle a été constatée, représentative de la quote-part de la CR aux coûts de migration de notre GIE informatique Exaprod et Apis regroupant 8 Caisses régionales sur la plate forme EXA.

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

Les états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'Organe Central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

La présentation des états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conforme aux dispositions du règlement 91-01 du Comité de la Réglementation Bancaire (CRB), modifié par le règlement 2000-03 du Comité de la Réglementation Comptable (CRC), relatif à l’établissement et à la publication des comptes individuels annuels des entreprises relevant du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière (CRBF) lui-même modifié par les règlements CRC 2004-16, 2005-04 et 2007-05 et 2008-02.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :

— Les règlements CRC 2008-01 et 2008-02 du 3 avril 2008, afférents au traitement des opérations de fiducie et aux informations.

— Le règlement CRC 2008-07 du 3 avril 2008, afférent à la comptabilisation des frais d’acquisition de titres et modifiant le règlement CRB 90-01 modifié relatif à la comptabilisation des opérations sur titres.

— Le règlement CRC 2008-15 du 4 décembre 2008, afférent au traitement comptable des plans d’options d’achat ou de souscription d’actions et des plans d’attribution d’actions gratuites aux employés.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’est pas concernée par ces nouveaux règlements.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique au plus tôt à compter du 1er juillet 2008, et à la même date que le règlement européen CE 1004-2008, le règlement CRC 2008-17 du 10 décembre 2008, afférent aux transferts de titres hors de la catégorie "titres de transaction" et hors de la catégorie "titres de placement" et à la comptabilisation des plans d’options d’achat ou de souscription d’actions et des plans d’attribution d’actions gratuites aux employés et modifiant le règlement CRB 90-01 relatif à la comptabilisation des opérations sur titres modifié par le règlement CRB 95-04 et les règlements CRC 2000-02, 2002-01, 2005-01 et 2008-07.

En 2008, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas effectué de reclassement de titres en application du règlement CRC 2008-17 et du règlement européen CE 1004-2008.

 

2.1. Créances et engagements par signature. — Les créances sur les établissements de crédit, les entités du groupe Crédit Agricole et la clientèle sont régies par le règlement CRC 2002-03 du 12 décembre 2002, modifié par les règlements CRC 2005-03 et 2007-06, relatifs au traitement comptable du risque de crédit dans les entreprises relevant du CRBF.

Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours :

— Les créances à vue et à terme pour les établissements de crédit,

— Les comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole,

— Les créances commerciales, autres concours et comptes ordinaires pour la clientèle.

Conformément aux dispositions réglementaires, la rubrique clientèle comporte en outre les opérations réalisées avec la clientèle financière.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie (interbancaire, Crédit Agricole, clientèle).

Les créances sont inscrites au bilan à leur valeur nominale.

Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les engagements par signature comptabilisés au hors bilan correspondent à des engagements irrévocables de concours en trésorerie et à des engagements de garantie qui n'ont pas donné lieu à des mouvements de fonds.

La mise en place du règlement CRC n° 2002-03 relatif au traitement comptable du risque de crédit a conduit Crédit Agricole S.A. à comptabiliser les créances présentant un risque d’impayé conformément aux règles suivantes :

 

Créances restructurées. — Ce sont des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.), afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

Par conséquent, sont exclues des créances restructurées :

— Les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité,

— Les créances dont le tableau d’amortissement théorique est modifié du fait de l’application d’une option ou clause contractuelle prévue initialement au contrat (exemple : pause et report d’échéance).

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 24 586 milliers d’euros au 31 décembre 2008 contre 22 264 milliers d’euros au 31 décembre 2007.

Par rapport à l’encours de crédits comptabilisé au bilan de la Caisse Régionale Sud Méditerranée le montant des crédits restructurés étant significatif, une décote a été comptabilisée lors de l’enregistrement de tels prêts pour un montant de 633 K€.

 

Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

— Il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits),

— La situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré,

— Il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Pour les découverts, l’ancienneté de l’impayé est décomptée dès que le débiteur a dépassé une limite autorisée qui a été portée à sa connaissance par l’établissement ou qu’il a été averti que son encours dépasse une limite fixée par l’établissement dans le cadre de son dispositif de contrôle interne, ou qu’il a tiré des montants sans autorisation de découvert.

Sous condition, en lieu et place des critères susvisés, l’établissement peut décompter l’ancienneté de l’impayé lorsque le découvert a fait l’objet de la part de l’établissement d’une demande de remboursement total ou partiel auprès du débiteur.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

 

— Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

 

— Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Les intérêts contractuels ne sont plus comptabilisés après le transfert en encours douteux compromis.

Règles retenues pour le passage en compromis : créances douteuses depuis plus d’un an, créances douteuses déchues du terme, créances restructurées dès le premier retard, provision au dossier

 

Dépréciations au titre du risque de crédit avéré. — Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale par voie de dépréciation figurant en déduction de l’actif du bilan. Ces dépréciations correspondent à la différence entre la valeur comptable de la créance et les flux futurs estimés actualisés au taux du contrat, en prenant en considération la situation financière de la contrepartie, ses perspectives économiques ainsi que les garanties éventuelles sous déduction de leurs coûts de réalisation.

La Caisse régionale Sud Méditerranée constitue les provisions correspondant, en valeur actualisée, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours douteux et douteux compromis.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

 

Traitement comptable des décotes et dépréciations. — La décote constatée lors d’une restructuration de créance ou la dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque. Pour les créances restructurées inscrites en encours sains, cette décote est réintégrée sur la durée de vie dans la marge d’intérêt. Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation et à l’amortissement de la décote du fait du passage du temps étant inscrites dans la marge d’intérêt.

 

Dépréciation au titre du risque de crédit non affecté individuellement. — Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté au passif de son bilan des provisions destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, tels que les provisions sectorielles ou des provisions calculées à partir des modèles Bâle II. Ces dernières visent à couvrir des risques identifiés pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel, sur des encours non classés en douteux ou non dépréciés individuellement.

Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté au passif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché espagnol.

 

2.2. Portefeuille Titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement CRB 90-01 modifié notamment par les règlements CRC 2005-01, 2008-07 et 2008-17 ainsi que par le règlement CRC 2002-03 pour la détermination du risque de crédit et la dépréciation des titres à revenu fixe.

Les titres sont présentés dans les états financiers en fonction de leur nature : effets publics (Bons du Trésor et titres assimilés), obligations et autres titres à revenu fixe (titres de créances négociables et titres du marché interbancaire), actions et autres titres à revenu variable.

Ils sont classés dans les portefeuilles prévus par la réglementation (transaction, placement, investissement, activité de portefeuille, autres titres détenus à long terme, participation) en fonction de l'intention initiale de détention des titres qui a été identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

Titres de placement. — Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais exclus.

 

— Obligations et autres titres à revenu fixe : Ces titres sont enregistrés pour leur prix d’acquisition coupon couru à l’achat inclus. La différence entre le prix d'acquisition et la valeur de remboursement est étalée de façon actuarielle sur la durée de vie résiduelle du titre.

Les revenus sont enregistrés en compte de résultat dans la rubrique : « Intérêts et produits assimilés sur obligations et autres titres à revenu fixe ».

— Actions et autres titres à revenu variable : Les actions sont inscrites au bilan pour leur valeur d'achat hors frais d'acquisition. Les revenus de dividendes attachés aux actions sont portés au compte de résultat dans la rubrique : « Revenus des titres à revenu variable ».

Les revenus des SICAV et des Fonds Communs de Placement sont enregistrés au moment de l'encaissement dans la même rubrique.

A la clôture de l'exercice, les titres de placement sont évalués pour leur valeur la plus faible entre le coût d’acquisition et la valeur de marché. Ainsi lorsque la valeur d’inventaire d'une ligne ou d’un ensemble homogène de titres (calculée par exemple à partir des cours de bourse à la date d'arrêté) est inférieure à la valeur comptable, il est constitué une dépréciation au titre de la moins value latente. Les plus values potentielles ne sont pas enregistrées.

En outre, pour les titres à revenu fixe, des dépréciations destinées à prendre en compte le risque de contrepartie et comptabilisées en coût du risque, sont constituées sur cette catégorie de titres :

— s’il s’agit de titres cotés, sur la base de la valeur de marché qui tient intrinsèquement compte du risque de crédit. Cependant, si la Caisse régionale Sud Méditerranée dispose d’informations particulières sur la situation financière de l’émetteur qui ne sont pas reflétées dans la valeur de marché, une dépréciation spécifique est constituée ;

— s’il s’agit de titres non cotés, la dépréciation est constituée de manière similaire à celle des créances sur la clientèle au regard des pertes probables avérées (cf. note 2. Créances et engagements par signature – Dépréciation au titre du risque de crédit non affecté individuellement).

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

Les dotations et les reprises de dépréciation ainsi que les plus ou moins values de cession des titres de placement sont enregistrées sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de placement et assimilés » du compte de résultat.

 

Titres d'investissement. — Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance.

Ne sont comptabilisés dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante juridique ou autre qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais d’acquisition exclus et coupons inclus.

La différence entre le prix d'acquisition et le prix de remboursement est étalée sur la durée de vie résiduelle du titre.

Il n’est pas constitué de dépréciation des titres d’investissement si leur valeur de marché est inférieure à leur prix de revient. En revanche, si la dépréciation est liée à un risque propre à l’émetteur du titre, une dépréciation est constituée conformément aux dispositions du règlement CRC 2002-03 sur le risque de crédit ; elle est enregistrée dans la rubrique « Résultat net sur actifs immobilisés ».

En cas de cession de titres d’investissement, ou de transfert dans une autre catégorie de titres, pour un montant significatif, l’établissement n’est plus autorisé, pendant l’exercice en cours et pendant les deux exercices suivants, à classer en titres d’investissement des titres antérieurement acquis et les titres à acquérir conformément au règlement CRC 2005-01, hors exceptions prévues par ce CRC et par le CRC 2008-17.

 

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement, notamment parce qu’elle permet d’exercer une influence sur la société émettrice des titres ou d’en assurer le contrôle.

— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des titres détenus dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

Ces titres sont comptabilisés pour leur prix d’acquisition frais exclus.

A la clôture de l'exercice, ces titres sont évalués, titre par titre, en fonction de leur valeur d'usage et figurent au bilan au plus bas de leur coût historique ou de cette valeur d’utilité.

Celle-ci représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir, compte tenu de ses objectifs de détention.

L’estimation de la valeur d’utilité peut se fonder sur divers éléments tels que la rentabilité et les perspectives de rentabilité de l’entreprise émettrice, ses capitaux propres, la conjoncture économique ou encore le cours moyen de bourse des derniers mois ou la valeur mathématique du titre.

Lorsque la valeur d’utilité de titres est inférieure au coût historique, ces moins-values latentes font l’objet de dépréciations sans compensation avec les plus-values latentes.

Les dotations et reprises de dépréciations ainsi que les plus ou moins values de cession relatives à ces titres sont enregistrées sous la rubrique «Résultat net sur actifs immobilisés».

 

Prix de marché. — Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

— Les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent,

— Si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine la valeur probable de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres, lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

Dates d’enregistrement. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation

 

Reclassement de titres. — Conformément au règlement CRC 2008-17 du 10 décembre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements de titres suivants :

— du portefeuille de transaction vers le portefeuille de d’investissement ou de placement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif et si l’établissement a l’intention et la capacité de les détenir dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance

— du portefeuille de placement vers le portefeuille d’investissement, en cas de situation exceptionnelle de marché ou pour les titres à revenu fixe, lorsqu’ils ne sont plus négociables sur un marché actif.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré, en 2008, de reclassement au titre du règlement CRC 2008-17.

 

2.3. Immobilisations. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Conformément au règlement CRC 2004-06, le coût d’acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d’achat, les frais accessoires, c'est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l’acquisition pour la mise en état d’utilisation du bien ou pour son entrée « en magasin ».

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition.

Les immeubles et le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur date d’achèvement.

A l'exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Enfin, les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existant.

 

2.4. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle. — Les dettes envers les établissements de crédit, les entités du Crédit Agricole et la clientèle sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes :

— Dettes à vue ou à terme pour les établissements de crédit,

— Comptes ordinaires, comptes et avances à terme pour les opérations internes au Crédit Agricole,

— Comptes d'épargne à régime spécial et autres dettes pour la clientèle (celle-ci inclut notamment la clientèle financière).

Les opérations de pension, matérialisées par des titres ou des valeurs sont incluses dans ces différentes rubriques, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les intérêts courus sur ces dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

2.5. Dettes représentées par un titre. — Les dettes représentées par un titre sont présentées selon la nature de leur support : bons de caisse, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables, emprunts obligataires, à l'exclusion des titres subordonnés qui sont classés dans la rubrique du passif « Dettes subordonnées ».

Les intérêts courus non échus sont enregistrés en comptes de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les primes d'émission ou de remboursement des emprunts obligataires sont amorties sur la durée de vie des emprunts concernés ; la charge correspondante est inscrite dans la rubrique : "Intérêts et charges assimilées sur obligations et autres titres à revenu fixe".

Les primes de remboursement peuvent être amorties selon deux méthodes :

— Soit au prorata des intérêts courus pour les obligations émises avant le 1er Janvier 1993, ou pour celles dont la prime de remboursement est inférieure à 10 % du prix d'émission ;

— Soit de façon actuarielle pour les emprunts émis depuis le 1er Janvier 1993 dont la prime de remboursement excède 10 % du prix d'émission.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique également la méthode d’étalement des frais d’emprunts dans ses comptes individuels.

Les commissions de service financier, versées aux Caisses régionales, sont comptabilisées en charges dans la rubrique « Commissions (charges) ».

 

2.6. Provisions. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement du Comité de la Réglementation Comptable n° 2000-06 sur les passifs concernant la comptabilisation et l’évaluation des provisions entrant dans le champ d’application de ce règlement.

Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers.

Les provisions incluent également les risques-pays. L’ensemble de ces risques fait l’objet d’un examen trimestriel.

Les risques pays sont provisionnés après analyse des types d’opérations, de la durée des engagements, de leur nature (créances, titres, produits de marché) ainsi que de la qualité du pays.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée a partiellement couvert les provisions constituées sur ces créances libellées en monnaies étrangères par achat de devises pour limiter l'incidence de la variation des cours de change sur le niveau de provisionnement.

La provision pour risque de déséquilibre du contrat épargne-logement est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— Le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision sont établies en conformité avec le règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

2.7. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF 90-02 du 23 février 1990 relatifs aux fonds propres, ces fonds sont constitués par La Caisse Régionale Sud Méditerranée à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l'activité bancaire. (cf. note 17)

Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d'exercice.

 

2.8. Opérations sur les Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les opérations de couverture et de marché sur des instruments financiers à terme de taux, de change ou d'actions sont enregistrées conformément aux dispositions des règlements CRB 88 02 et 90-15 modifié et de l’instruction 94-04 de la Commission Bancaire.

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits au hors bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

Les résultats afférents à ces opérations sont enregistrés en fonction de la nature de l'instrument et de la stratégie suivie :

 

— Opérations de couverture : Les gains ou pertes réalisés sur opérations de couverture affectées sont rapportés au compte de résultat symétriquement à la comptabilisation des produits et charges de l'élément couvert et dans la même rubrique comptable.

Les charges et les produits relatifs aux instruments financiers à terme ayant pour objet la couverture et la gestion du risque de taux global de Crédit Agricole S.A. sont inscrits prorata temporis dans la rubrique : « Intérêts et produits (charges) assimilé(e)s – Produit (charge) net(te) sur opérations de macro-couverture ». Les gains et les pertes latents ne sont pas enregistrés.

 

— Opérations de marché : Les instruments négociés sur un marché organisé ou assimilé ou de gré à gré ou inclus dans un portefeuille de transaction - au sens du règlement CRB 90-15 modifié - sont évalués par référence à leur valeur de marché à la date de clôture.

Celle-ci est déterminée à partir des prix de marché disponibles, s’il existe un marché actif, ou à l’aide de méthodologies et de modèles de valorisation internes, en l’absence de marché actif.

Pour les instruments négociés sur des marchés organisés ou assimilés, l’ensemble des gains et pertes (réalisés ou latents) sont comptabilisés.

Les pertes ou profits relatifs à des instruments négociés sur des marchés peu liquides, dits de gré à gré, ou constituant des positions ouvertes isolées sont enregistrés dans les résultats au dénouement des contrats ou prorata temporis selon la nature de l'instrument. En date d'arrêté, les pertes latentes éventuelles font l'objet d'une provision.

 

2.9. Opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction ; les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.

Les dotations aux succursales, les immobilisations des implantations à l'étranger, les titres de placement, d'investissement et de participation en devises achetés contre euros sont convertis en euros au cours du jour de la transaction. Seul l'effet de change constaté sur les titres de placement est enregistré en compte de résultat.

A chaque arrêté, les opérations de change à terme sont évaluées au cours à terme restant à courir de la devise concernée. Les gains ou les pertes constatés sont portés au compte de résultat sous la rubrique : « Solde des opérations des portefeuilles de négociation – Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés ».

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF 89.01, La Caisse Régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multi-devises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Le montant global de la position de change opérationnelle de La Caisse Régionale Sud Méditerranée s'établit à 5 725 K€.

 

2.10. Engagements hors-bilan. — Le hors-bilan retrace notamment les engagements de financement pour la partie non utilisée et les engagements de garantie donnés et reçus

Le cas échéant, les engagements donnés font l’objet d’une provision lorsqu’il existe une probabilité de mise en jeu entraînant une perte pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Le hors bilan publiable ne fait mention ni des engagements sur instruments financiers à terme, ni des opérations de change. De même, il ne comporte pas les engagements reçus concernant les Bons du Trésor, les valeurs assimilées et les autres valeurs données en garantie.

Ces éléments sont toutefois détaillés dans l’annexe, aux notes 23 et 24.

 

2.11. Participation des salariés aux fruits de l’expansion et intéressement. — La participation des salariés aux fruits de l’expansion est constatée dans le compte de résultat de l'exercice au titre duquel le droit des salariés est né.

L’intéressement et la participation de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est couvert par l’accord du 26 Juin 2008.

La participation et l'intéressement figurent dans les «Frais de personnel».

 

2.12. Avantages au personnel postérieurs à l’emploi :

 

Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la recommandation n° 2003-R.01 du Conseil National de la Comptabilité du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.

A ce titre, La Caisse Régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Les écarts actuariels étant passés immédiatement en résultat, le montant de la provision est égal à :

— La valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation,

— Diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Les régimes à prestations définies dont la Caisse Régionale Sud Méditerranée fait bénéficier ses salariés concernent la retraite des cadres de direction et les indemnités fin de carrière de l’ensemble du personnel. Les engagements sont couverts par des polices d’assurance et valorisés dans la note 16.

 

Souscription d’actions dans le cadre du plan d’épargne entreprise. — Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne entreprise, avec une décote maximum de 20%, ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevées d’une période d’incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d’actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

2.15. Charges et produits exceptionnels. — Ils représentent les charges et produits qui surviennent de manière exceptionnelle et relatifs à des opérations ne relevant pas du cadre des activités courantes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

2.16. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %.

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit – analyse par durée résiduelle.

Créances (en milliers d'euros)

Durée résiduelle

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total 31/12/2008

Total 31/12/2007

Etablissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

    A vue

2 247

 

 

 

2 247

 

2 247

3 090

    A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Prêts subordonnés

 

 

 

394

394

3

397

394

    Total

2 247

0

0

394

2 641

3

2 645

3 484

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

2 645

3 484

Operations internes au crédit agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

89 998

 

 

 

89 998

243

90 241

2 034

Comptes et avances à terme

29 198

3 412

75 424

929

108 963

2 696

111 659

121 320

Prêts subordonnés

 

 

 

13 500

13 500

21

13 521

13 523

    Total

119 196

3 412

75 424

14 429

212 461

2 960

215 421

136 876

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

215 421

136 876

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 13 918 K€

 

Opérations internes au Crédit Agricole. — En matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole s.a. dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

Note 4. – Opérations avec la clientèle.

4.1. Opérations avec la clientèle – analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

Durée résiduelle

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

(*) Total en principal

(*) Créances rattachées

Total 31/12/2008

Total 31/12/2007

Operations avec la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

Créances commerciales

19 551

510

 

 

20 061

1 081

21 142

21 585

Autres concours à la clientèle

378 716

454 047

1 207 920

2 195 679

4 236 362

40 116

4 276 478

3 933 306

Comptes ordinaires débiteurs

 

 

 

 

 

 

45 969

61 412

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-87 518

-71 962

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

4 256 072

3 944 341

 

Commentaires : Les prêts subordonnés et participatifs consentis à la clientèle s'élèvent à 27 000 K€.

Les encours restructurés au 31 décembre 2008 s’élèvent à 24 586 milliers d’euros contre 22 264 milliers d’euros au 31 décembre 2007.

 

4.2. Opérations avec la clientèle – Analyse par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

France (y compris DOM-TOM)

3 775 213

3 503 216

Espagne

526 847

477 555

    Total en principal

4 302 060

3 980 771

Créances rattachées

41 530

35 532

Dépréciations

-87 518

-71 962

    Valeurs nettes au bilan

4 256 072

3 944 341

 

4.3. Opérations avec la clientèle – Encours douteux et dépréciations par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (y compris DOM-TOM)

3 812 410

108 019

70 246

78 001

56 088

3 536 118

95 337

60 340

69 165

51 904

Espagne

531 180

28 135

6 459

9 517

3 352

480 185

7 550

3 197

2 797

2 071

    Total

4 343 590

136 154

76 704

87 518

59 440

4 016 303

102 886

63 537

71 962

53 975

 

4.4. Opérations avec la clientèle – Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Encours brut

Dont encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

1 744 587

48 906

20 912

31 725

14 613

1 611 380

28 039

16 339

22 566

13 156

Agriculteurs

320 447

13 370

8 406

7 927

5 501

309 764

12 603

7 502

7 254

5 321

Autres professionnels

1 206 164

45 600

25 938

28 171

20 892

1 031 019

34 008

19 476

22 077

17 127

Société financières

42 002

 

 

 

 

28 629

11

10

11

10

Entreprises

465 782

23 848

17 787

16 369

15 389

493 029

24 325

16 724

17 181

15 515

Collectivités publiques

524 736

3 290

3 290

2 860

2 860

501 380

3 122

3 122

2 670

2 670

Autres agents économiques

39 873

1 140

371

466

185

41 103

778

363

203

177

    Total

4 343 590

136 154

76 704

87 518

59 440

4 016 303

102 886

63 537

71 962

53 975

 

Note 5. – Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Transaction

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investissement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

Dépréciations

 

 

 

 

0

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

0

0

Obligations et autres titres à revenu fixe :

 

 

 

 

 

 

    Emis par organismes publics

 

 

 

 

0

 

    Autres émetteurs

 

7 015

 

54 212

61 227

89 035

Créances rattachées

 

101

 

938

1 039

774

Dépréciations

 

-2 008

 

-2 796

-4 804

-287

    Valeurs nettes au bilan

 

5 108

 

52 354

57 461

89 522

Actions et autres titres à revenu variable

 

4 958

 

 

4 958

87 361

Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

Dépréciations

 

-188

 

 

-188

-82

    Valeurs nettes au bilan

 

4 770

 

0

4 770

87 279

    Total valeurs nettes

0

9 878

0

52 354

62 232

176 801

Valeurs estimatives

0

9 814

0

49 897

59 711

182 696

 

Valeurs estimatives : La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 35 K€ au 31 décembre 2008, contre 9 149 K€ au 31 décembre 2007.La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

Il n’y a pas de plus-values latentes sur le portefeuille de titres d’investissement au 31 décembre 2008, celles-ci s’élevaient à 1 040 K€ au 31 décembre 2007.

 

5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie :

 

(En milliers d'euros)

Encours nets 31/12/2008

Encours nets 31/12/2007

Administration et banques centrales (y compris Etats)

 

 

Etablissements de crédit

42 769

70 220

Sociétés financières

11 027

94 353

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

8 436

12 228

Divers et non ventilés

 

 

    Total en principal

62 232

176 801

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeurs nettes au bilan

62 232

176 801

 

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 19 874 K€.

 

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable (1)

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

61 227

0

4 958

66 185

89 035

0

87 361

176 396

Dont titres cotés

48 212

 

 

48 212

42 026

 

 

46 026

Dont titres non cotés

13 015

 

4 958

17 973

47 009

 

87 361

134 370

Créances rattachées

1 039

 

 

1 039

773

 

 

773

Dépréciations

-4 804

 

-188

-4 992

-287

 

-82

-369

Valeurs nettes au bilan

57 462

0

4 770

62 232

89 521

0

87 279

176 801

 

Commentaires :

(1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

— OPCVM français 3 958 milliers d’euros (dont 14 K€. OPCVM français de capitalisation).

— OPCVM étrangers de capitalisation 812 milliers d’euros.

 

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2008 :

 

(En milliers d'euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

3 944

3 979

OPCVM obligataires

 

 

OPCVM actions

 

 

OPCVM autres

1 014

826

    Total

4 958

4 805

 

5.3. Effets Publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

(*) Total en principal

(*) Créances rattachées

Total 31/12/2008

Total 31/12/2007

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

 

4 573

8 697

47 956

61 226

1 039

62 265

89 808

Dépréciations

 

 

 

 

0

 

4 803

287

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

61 226

1 039

57 462

89 521

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur brute

 

 

 

 

0

 

0

 

Dépréciations

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

0

0

0

0

 

Note 6. – Titres de participation et de filiales.

Informations financières filiales et participations

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital

Quote-part de capital détenue (en pourcentage)

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1)

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

Brutes

Nettes

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SCI Château de Castelnou

EUR

850

-24

98,61 %

1 202

798

229

 

14

-18

 

    Participations dans des établissements de crédit (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres parts dans les entreprises liées (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres titres de participations (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    SAS Rue la Boétie

EUR

1 746 362

10 452 406

1,32 %

203 826

203 826

53 035

 

1 229 695

1 099 618

14 537

    SAS Sacam développement

EUR

730 622

46 028

1,35 %

9 883

9 883

3 053

 

45 358

34 583

199

    Sas Sacam international

EUR

901 102

90

1,32 %

11 893

11 893

 

 

8 063

7 537

8

    SAS Sacam Fireca

EUR

74 700

-25 594

1,18 %

885

605

 

 

2 026

1 952

 

    SNC CA titre

EUR

15 245

8 641

0,62 %

362

362

 

 

82 776

618

 

    SAS Sofilaro

EUR

8 940

620

14,32 %

1 281

1 281

3

 

294

124

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inferieure à 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres titres de participations (ensemble)

EUR

 

 

 

1 892

1 592

1 366

 

 

 

 

    Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

231 224

230 240

57 683

0

 

 

 

 

6.1. Valeur estimative des titres de participation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Valeur au bilan

Valeur estimative ou d’utilité

Valeur au bilan

Valeur estimative ou d’utilité

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

    Titres non cotés

1 202

797

1 202

839

Titres cotés

 

 

 

 

    Avances consolidables

229

229

229

229

    Créances rattachées

 

 

 

 

    Dépréciations

-405

 

-363

 

Valeur nette

1 026

1 026

1 068

1 068

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

    Titres non cotés

230 022

345 146

185 688

313 670

    Titres cotés

 

 

 

 

    Avances consolidables

57 451

57 451

5 585

5 585

    Créances rattachées

252

252

216

216

    Dépréciations

-579

 

-679

 

        Sous-total titres de participation

287 146

402 849

190 810

319 471

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

    Titres non cotés

1 349

1 349

1 349

1 349

    Titres cotés

 

 

 

 

    Avances consolidables

 

 

 

 

    Créances rattachées

 

 

 

 

    Dépréciations

 

 

 

 

        Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

1 349

1 349

1 349

Valeur nette

288 495

404 198

192 159

320 820

        Total des titres de participation

289 521

405 224

193 227

321 888

        Total valeurs brutes

 

 

 

 

    Titres non cotés

231 226

 

188 239

 

    Titres cotés

 

 

 

 

        Total

231 226

 

188 239

 

 

Note 7. – Variation de l’actif immobilisé.

— Immobilisations financières :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2008

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements (1)

31/12/2008

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

1 202

 

 

 

1 202

    Avances consolidables

229

 

 

 

229

    Créances rattachées

 

 

 

 

0

    Dépréciations

-363

-41

 

 

-404

    Valeur nette au bilan part entreprises liées

1 068

-41

0

0

1 026

Titres de participation :

190 810

99 573

3 236

0

287 147

    Valeurs brutes

188 741

99 425

2 056

 

286 110

    Avances consolidables

2 532

126

1 294

 

1 364

    Créances rattachées

216

36

 

 

252

    Dépréciations

-679

-14

114

 

-579

Autres titres détenus à long terme :

1 349

0

0

0

1 349

    Valeurs brutes

1 349

 

 

 

1 349

    Avances consolidables

 

 

 

 

 

    Créances rattachées

 

 

 

 

 

    Dépréciations

 

 

 

 

 

    Valeur nette au bilan titres participation et ATDLT

192 159

99 573

3 236

0

288 495

    Total immobilisations financières

193 227

99 532

3 236

0

289 523

 

La rubrique autres mouvements présente notamment l’effet des variations de cours de change sur la valeur des actifs immobilisés en devises.

 

— Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

01/01/2008

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions, échéance)

Autres mouvements

31/12/2008

Immobilisations corporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

108 487

15 370

13 314

 

110 541

Amortissements et dépréciations

-66 355

-5 991

-5 902

 

-66 444

Valeur nette au bilan

42 132

9 379

7 412

0

44 097

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

10 042

316

80

 

10 278

Amortissements et dépréciations

-8 975

-501

80

 

-9 396

Valeur nette au bilan

1 067

-185

0

0

881

Total

43 198

9 194

7 412

0

44 978

 

Note 8. – Autres actifs et comptes de régularisation.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Autres actifs (1) :

 

 

    Instruments conditionnels achetés

 

 

    Comptes de stock et emplois divers

2 669

1 955

    Débiteurs divers

29 026

20 944

    Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

    Comptes de règlement

129

64

    Valeur nette au bilan

31 823

22 963

Comptes de régularisation :

 

 

    Comptes d'encaissement et de transfert

32 668

43 368

    Comptes d'ajustement et comptes d'écart

1

 

    Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

    Charges constatées d'avance

1 660

387

    Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

18 865

19 022

    Autres produits à recevoir

25 019

22 780

    Charges à répartir

242

 

    Primes d'émission et de remboursement sur emprunts obligataires

 

 

    Autres comptes de régularisation

1 118

4 450

    Valeur nette au bilan

79 572

90 007

        Total comptes de régularisation et actifs divers

111 395

112 970

(1) les montants incluent les créances rattachées.

 

Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l’actif.

(En milliers d'euros)

Solde au 01/01/2008

Dotations

Reprises et utilisations

Désactualisation

Autres mouvements

Solde au 31/12/2008

Dépréciations déduites de l’actif :

 

 

 

 

 

 

    Sur interbancaire

 

 

 

 

 

 

    Sur créances clientèle

71 962

33 559

-17 029

-974

 

87 518

    Opérations sur titres

1 411

6 054

-1 488

 

 

5 977

    Autres valeurs immobilisées

2 548

59

-42

 

 

2 565

        Total des dépréciations - Actif

75 921

39 672

18 559

974

 

96 060

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit analyse par durée résiduelle.

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31.12.2008

Total 31.12.2007

Etablissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

 

 

 

 

 

 

 

 

    A vue

417

 

 

 

417

2

419

432

    A terme

 

 

 

 

0

3

3

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

    Valeurs au bilan

417

0

0

0

417

5

422

432

Operations internes au crédit agricole

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

4 639

 

 

 

4 639

 

4 639

98 724

Comptes et avances à terme

442 998

701 907

1 102 843

691 534

2 939 282

15 707

2 954 989

2 590 958

Valeurs au bilan

447 637

701 907

1 102 843

691 534

2 943 921

15 707

2 959 628

2 689 682

 

Opérations internes au Crédit Agricole. — Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole s.a. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale. [Cf. Cadre Juridique et Financier)].

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle.

11.1. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par durée résiduelle (en milliers d'euros) :

 

Dettes

<3mois

>3mois <1an

>1 an < 5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/2008

Total 31/12/2007

Comptes créditeurs de la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

959 187

 

 

 

959 187

30

959 217

973 822

Comptes épargne à régime spécial

8 521

0

0

0

8 521

 

8 521

12 315

    A vue

8 521

 

 

 

8 521

 

8 521

12 315

    A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes envers la clientèle

155 710

54 364

17 638

565

228 277

 

228 277

155 112

    A vue

 

 

 

 

0

 

0

 

    A terme

155 710

54 364

17 638

565

228 277

4 399

232 676

155 112

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeurs au bilan

1 123 418

54 364

17 638

565

1 195 985

4 429

1 200 414

1 141 249

 

11.2. Comptes créditeurs de la clientèle – analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Particuliers

638 250

651 683

Agriculteurs

85 093

77 983

Autres professionnels

88 230

82 656

Sociétés financières

12 448

4 921

Entreprises

312 131

261 540

Collectivités publiques

10 452

8 781

Autres agents économiques

53 809

53 684

    Total en principal

1 200 414

1 141 249

Dettes rattachées

 

 

    Total

1 200 414

1 141 249

 

Note 12. – Dettes représentées par un titre.

12.1. Dettes représentées par un titre – analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/2008

Total 31/12/2007

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

1 277

1 000

 

 

2 277

24

2 301

2 332

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres de créances négociables (1)

7 055

7 092

 

150 000

164 146

310

164 456

167 467

Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

 

0

 

    Valeurs au bilan

8 332

8 092

0

150 000

166 423

334

166 757

169 799

 

Note 13. – Autres passifs et comptes de régularisation.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Autres passifs (1)

 

 

    Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

    Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

    Instruments conditionnels vendus

7

9

    Comptes de règlement et de négociation

881

275

    Créditeurs divers

15 128

13 995

    Versements restant à effectuer sur titres

1 713

1 713

    Valeurs nettes au bilan

17 729

15 991

Comptes de régularisation

 

 

    Comptes d'encaissement et de transfert

3 974

7 305

    Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

    Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

    Produits constatés d'avance

9 898

7 635

    Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

16 123

21 931

    Autres charges à payer

20 320

19 689

    Autres comptes de régularisation

678

874

    Valeurs nettes au bilan

    

57 432

        Total comptes de régularisation et passifs divers

68 720

73 423

(1) les montants incluent les dettes rattachées.

 

Note 14. – Provisions.

(En milliers d'euros)

Solde au 01/01/2008

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au 31/12/2008

Provisions pour engagements de retraite et assimilés

 

 

 

 

 

0

Provisions pour autres engagements sociaux

496

 

50

 

 

447

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

925

57

66

180

 

736

Provisions pour litiges fiscaux (1)

3 556

108

155

1 647

 

1 862

Provisions pour autres litiges

 

 

 

 

 

0

Provisions pour risques de crédit (2)

40 792

6 362

 

1 963

 

45 191

Provisions pour impôts (3)

1 509

 

209

276

 

1 024

Provisions pour risques opérationnels (4)

5 173

160

257

896

867

5 047

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (5)

5 202

633

 

623

 

5 212

Autres provisions (6)

1 951

337

141

24

-867

1 256

    Valeur au bilan

59 604

7 658

878

5 609

0

60 776

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) Ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II pour les encours en France. Concernant la provision filière (marché Espagnol), elle est calculée à partir d’un modèle basé sur l’espérance de recouvrement.

(3) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale.

(4) Cette provision est destinée à couvrir les risques opérationnels liés aux traitements ou à l’instruction d’opérations de l la Caisse Régionale.

(5) Voir note 15 ci-après (6) y compris les provisions pour risques sur GIE d’investissement.

 

Note 15. – Epargne logement.

Une provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— Le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision mise en oeuvre par le Groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec le règlement CRC n° 2007-01 du 14 décembre 2007 sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement.

 

— Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

174 204

131 296

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

290 030

328 801

Ancienneté de plus de 10 ans

169 594

233 398

    Total plans d'épargne-logement

633 828

693 495

    Total comptes épargne-logement

100 136

110 663

    Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

733 964

804 158

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état

 

— Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Plans d'épargne-logement :

7 977

8 429

Comptes épargne-logement :

18 214

18 665

    Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

26 191

27 094

 

— Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

1 282

1 231

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

170

39

Ancienneté de plus de 10 ans

776

1 038

    Total plans d'épargne-logement

2 227

2 308

    Total comptes épargne-logement

2 985

2 894

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 212

5 202

 

L'ancienneté est déterminée conformément au règlement CRC 2007-01 du 14 décembre 2007.

 

(En milliers d'euros)

01/01/2008

Dotations

Reprises

31/12/2008

Plans d'épargne-logement :

2 308

273

354

2 228

Comptes épargne-logement :

2 894

360

270

2 985

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 202

633

623

5 212

 

Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies.

Définitions. — Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

Les régimes à prestations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

Sur les modalités pratiques de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires, la caisse régionale Sud Méditerranée se référera à la lettre jaune N° 2004-1076 du 17 décembre 2004.

D’autre part, la recommandation n° 2003-R.01 du 1er avril 2003 reprend les dispositions de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel, à l’exception de celles relatives aux avantages à court terme et à ceux payés sous forme d’instrument de capitaux propres.

Aussi, il convient également de se référer au guide opératoire « IAS 19 – Engagements sociaux » pour de plus amples informations sur le calcul des engagements au titre des régimes à prestations définies ainsi que sur le service des tableaux annexes décrits ci-après.

D’autre part, la recommandation n° 2003-R.01 du 1er avril 2003 reprend les dispositions de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel, à l’exception de celles relatives aux avantages à court terme et à ceux payés sous forme d’instrument de capitaux propres.

 

— Variations de la dette actuarielle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Dettes actuarielles au 1er janvier

12 260

14 420

Coûts des services rendus sur la période

695

555

Effet de l'actualisation

608

575

Cotisations de l'employé

 

 

Modification, réduction, iquidation de plan

-4 289

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-770

-474

(Gains) pertes actuariels *

1 321

-2 817

    Dettes actuarielles au 31 décembre

9 826

12 260

 

— Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Coûts des services rendus sur la période

695

555

Effet de l'actualisation

609

575

Rendement attendu des actifs sur la période

-455

-545

Amortissement du coût des services passés

96

431

Autres gains ou pertes

 

 

    Charge nette comptabilisée au compte de résultat

946

1 016

 

— Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Juste valeur des actifs, droits à remboursement au 1er janvier

11 198

13 644

Rendement attendu des actifs

455

545

Gains, pertes actuariels sur les actifs du régime

1 225

-3 248

Cotisation de l'employeur

942

731

Cotisation de l'employé

 

 

Modification, réduction, liquidation de plan

-4 289

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-770

-474

    Juste valeur des actifs, droit à remboursement au 31 décembre

8 761

11 198

 

— Composition des actifs des régimes : Les actifs du régime concernant les IFC ainsi que les régimes de retraite sont composés de 81% obligations, 9% actions et 10 % autres actifs

 

— Variations de la provision :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

(Provisions), actifs au 1er janvier

-1 062

-777

Cotisation de l'employeur

942

731

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Paiements directs de l'employeur

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

-946

-1 016

    (Provisions) actifs au 31 décembre

-1 066

-1 062

 

— Rendement des actifs des régimes : Le rendement effectif des actifs de régime concernant les IFC ainsi que les régimes de retraite est de 4,15 %.

 

— Hypothèses actuarielles utilisées :

Le taux d’actualisation utilisé est de :

– 5,25 % pour les indemnités de fin de carrière

– 4,71 % pour les régimes de retraite.

 

Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

    Valeurs au bilan

7 557

7 557

 

Note 18. – Dettes subordonnées : analyse par durée résiduelle.

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/2008

Total 31/12/2007

Dettes subordonnées (1) (2) :

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à terme

0

9 200

14 400

0

23 600

945

24 545

28 639

Euro

 

9 200

14 400

 

23 600

945

24 545

 

Dollar

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

0

0

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

 

15 000

15 000

0

15 000

 

Dettes subordonnées à durée indéterminée (3)

 

 

 

 

0

0

0

 

C.C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

2 034

2 034

126

2 160

2 144

Dépôts Gtie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

0

0

 

    Valeurs au bilan

0

9 200

14 400

17 034

40 634

1 071

41 705

30 783

(1) Les dettes subordonnées doivent être ventilées par monnaie d'émission.

(2) Il s'agit d'indiquer si le taux d’intérêt est fixe ou variable.

(3) durée résiduelle des dettes subordonnées à durée indéterminées positionnées par défaut en > 5 ans.

 

Commentaires : Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 1 976 milliers d’euros au 31 décembre 2008 contre 1 497 milliers d’euros au 31 décembre 2007.

 

Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition).

(En milliers d'euros)

Capitaux propres

Capital (1)

Primes, réserves et report à nouveau (2)

Ecarts conversion réévaluation

Provisions réglementées & subventions d'investissement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 décembre 2006

28 057

353 086

 

307

43 081

424 531

    Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2006

 

 

 

 

-3 968

-3 968

    Variation de capital

 

39 113

 

 

-39 113

 

    Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

    Affectation du résultat social 2006

 

 

 

 

 

 

    Report à nouveau créditeur

 

319

 

 

 

319

    Résultat de l’exercice 2007

 

 

 

 

46 055

46 055

    Autres variations

 

 

 

-307

 

-307

Solde au 31 décembre 2007

28 057

392 518

 

 

46 055

466 630

    Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de 2007

 

 

 

 

-4 215

-4 215

    Variation de capital

 

41 840

 

 

-41 840

 

    Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

    Affectation du résultat social 2007

 

 

 

 

 

 

    Report à nouveau débiteur

 

 

 

 

 

 

    Résultat de l’exercice 2008

 

 

 

 

43 574

43 574

    Autres variations

 

 

 

 

 

 

Solde au 31 Décembre 2008

28 057

434 358

 

 

43 574

505 989

 

Commentaires :

(1) Dont 7 014K€ de Certificats Coopératifs d'Association souscrit par Crédit Agricole S.A.

(2) Dont 59 035 milliers d'euros de primes d'émission, dont 70 590 milliers d'euros primes de fusion.

 

Note 20. – Composition des fonds propres.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Capitaux propres

505 989

466 630

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

41 705

30 783

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

    Total des Fonds Propres

555 251

504 970

 

Note 21. – Opérations effectuées en devises.

Contributions par devise au bilan :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

5 002 145

5 002 149

4 629 766

4 629 765

Autres devises de l’Union Europ

 

 

 

 

Franc suisse

8 159

8 155

7 663

7 637

Dollar

1 590

1 590

1 300

1 327

Yen

 

 

 

 

Autres devises

74

74

430

430

    Valeur brute

5 011 968

5 011 968

4 639 159

4 639 159

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

    Total

5 011 968

5 011 968

4 639 159

4 639 159

 

Note 22. – Opérations de change, emprunts et prêts en devises.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

à recevoir

à livrer

à recevoir

à livrer

Opérations de change au comptant :

0

0

0

0

    Devises

 

 

 

 

    Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme :

5 725

5 721

5 237

5 234

    Devises

2 917

2 917

2 533

2 533

    Euros

2 808

2 804

2 704

2 701

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

        Total

5 725

5 721

5 237

5 234

 

Note 23. – Opérations sur instruments financiers a terme.

(En milliers d'euros).

Type d'opération

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total 31/12/2008

Total 31/12/2007

Opérations fermes

980 305

0

980 305

1 082 399

Opérations sur marchés organisés (1)

0

0

0

0

Opérations de gré à gré (1)

980 305

0

980 305

1 082 399

    Swaps de taux d'intérêt

980 305

 

980 305

1 082 399

    Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

0

 

    Contrats à terme de change

 

 

0

 

    FRA

 

 

0

 

    Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

0

 

    Autres contrats à terme

 

 

0

 

Opérations conditionnelles

6 832

0

6 832

8 044

Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

Opérations de gré à gré

6 832

0

6 832

8 044

    Options de swap de taux :

 

 

0

 

Achetés

 

 

 

 

Vendues

 

 

0

 

    Instr. De taux d'intérêts à terme conditionnels :

 

 

 

 

Vendus

3 416

 

3 416

4 022

 

3 416

 

3 416

4 022

    Instr.de taux de change à terme conditionnels :

 

 

0

 

    Instr. Sur actions et indices bours. A terme cond. :

 

 

0

 

    Autres instruments à terme conditionnels :

 

 

0

 

Dérivés de crédit :

0

0

0

88 315

    Contrats de dérivés de crédit :

 

 

 

 

    Achetés

 

 

 

 

    Vendus

 

 

 

88 315

        Total

987 137

0

987 137

1 178 758

 

23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

Répartition par durée restant à courir

Total 31/12/2008

dont opérations effectuées de gré à gré

dont opérations sur marchés organisés et assimilés

< 1an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

< 1an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

< 1an

de 1 à 5 ans

> 5 ans

FRA

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

199 942

382 835

397 528

199 942

382 835

397 528

 

 

 

Swaps de devises

0

785

0

 

785

 

 

 

 

Caps, floors, collars

1 261

5 570

0

1 261

5 570

 

 

 

 

Forward taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Opérations fermes sur actions et indices

0

0

0

 

 

 

 

 

 

    Sous total

201 203

389 190

397 528

201 203

389 190

397 528

0

0

0

Opérations de change à terme

10 660

 

 

10 660

 

 

 

 

 

    Total général

211 863

389 190

397 528

211 863

389 190

397 528

0

0

0

 

23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Total juste valeur

Encours notionnel

Total juste valeur

Encours notionnel

Swaps de taux d’intérêt

20 354

980 305

-18 939

1 082 399

Swaps de devises

 

785

 

 

Caps (1)

 

6 831

 

8 044

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

0

 

10

88 315

    Sous total

20 354

987 921

-18 929

1 178 758

Opérations de change à terme

 

10 660

 

 

    Total général

20 354

998 581

-18 929

1 178 758

(1) Juste valeur nulle, toutes les positions sont retournées.

 

23.3. Information sur les Swaps. — La Caisse Régionale a l’obligation réglementaire d’utiliser un outil de mesure de son risque de taux. Ce logiciel permet de définir un niveau minimal de couverture du risque dans le cadre des préconisations émises par Crédit Agricole SA.

Les positions de macro-couverture de juste valeur couvrent les passifs à taux fixe issus de certains portefeuilles de collecte clientèle (dépôts, collecte d’épargne, émissions obligataires Groupe). Une baisse des taux génère une hausse de la valeur de marché des passifs à taux fixe, qui est couverte par la hausse de valeur de marché des dérivés de macro-couverture (actifs à taux fixe).

De même, les micro-couvertures de juste valeur de type « actif TV vs passif TF » couvrent les variations de valeur de marché de certains crédits à taux fixe.

Enfin, les micro-couvertures de juste valeur de type « actif TF vs passif TV » couvrent les variations de valeur de marché de certains crédits à taux fixe.

 

Ventilation des contrats d’échange de taux d’intérêt.

(En milliers d'euros).

Contrats d'échange de taux d'intérêt et de devises

Position ouverte isolée

Micro-couverture

Macro-couverture

Swaps de transaction

Contrats d'échange de taux

 

112 138

875 000

 

 

Note 24. – Produits nets d’intérêts et revenus assimilés.

 

31/12/2008

31/12/2007

Intérêts et produits assimilés

226 112

194 636

    Sur opérations avec les établissements de crédit

1 581

1 366

    Sur opérations internes au Crédit Agricole

13 230

10 422

    Sur opérations avec la clientèle

206 863

179 320

    Sur obligations et autres titres à revenu fixe

3 337

2 952

    Produit net sur opérations de macro-couverture (1)

1 098

 

    Autres intérêts et produits assimilés

3

576

Intérêts et charges assimilées

-148 023

-120 043

    Sur opérations avec les établissements de crédit

-32

-17

    Sur opérations internes au Crédit Agricole

-125 206

-107 300

    Sur opérations avec la clientèle

-15 882

-10 359

    Charge nette sur opérations de macro-couverture (1)

 

 

    Sur obligations et autres titres à revenu fixe

-6 778

-291

    Autres intérêts et charges assimilées

-125

-2 076

        Total Produits nets d'intérêt et revenus assimilés

78 089

74 593

(1) Les opérations de macro-couverture portent sur l'ensemble du portefeuille et sont, par nature, non affectables à un type d’opérations. Elles sont donc désormais présentées sur des lignes spécifiques.

Au 31 décembre 2007, le montant du produit net sur opérations de couverture s’élevait à 1 963 milliers d’euros.

 

Note 25. – Revenus des titres.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Titres de placement

527

316

Livret développement durable

 

 

Titres d’investissement

2 810

2 636

Operations diverses sur titres

 

 

    Revenus des titres a revenus fixes

3 337

2 952

Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus a long terme

17 695

14 830

Titres de placement et titres de l’activité de portefeuille

 

 

Operations diverses sur titres

 

 

    Revenus des titres a revenus variables

17 695

14 830

        Total des revenus sur titres

21 032

17 782

 

Note 26. – Produit net des commissions.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

111

-10

101

132

-7

125

Sur opérations internes au crédit agricole

12 686

-7 340

5 346

10 426

-4 201

6 225

Sur opérations avec la clientèle

21 125

-30

21 095

19 270

-36

19 234

Sur opérations sur titres

218

 

218

 

 

 

Sur opérations de change

10

 

10

8

 

8

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

 

 

0

 

 

 

Sur prestations de services financiers (1)

44 354

-4 295

40 059

45 920

-4 469

41 451

Provision pour risques sur commissions

145

-167

-22

86

-116

-30

    Total

78 649

-11 843

66 806

75 842

-8 829

67 013

 

Note 27. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

65

102

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

112

123

    Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociations

177

225

 

Note 28. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Titres de placement :

 

 

    Dotations aux dépréciations

-3 202

-369

    Reprises de dépréciations

1 374

14

    Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-1 828

-355

    Plus-values de cession réalisées

5 471

2 253

    Moins-values de cession réalisées

-4 959

-152

    Solde des plus et moins-values de cession réalisées

512

2 101

    Frais d'acquisition

34

7

        Solde des opérations sur titres de placement

-1 351

1 740

Titres de l'activité de portefeuille :

 

 

    Dotations aux dépréciations

 

 

    Reprises de dépréciations

 

 

    Dotation ou reprise nette aux dépréciations

0

0

    Plus-values de cession réalisées

 

 

    Moins-values de cession réalisées

 

 

    Solde des plus et moins-values de cession réalisées

0

0

    Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille

0

0

        Total gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimiles

-1 351

1 740

 

Note 29. – Autres produits et charges d’exploitation bancaire.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Autres produits d'exploitation bancaire

10 366

9 273

Produits divers

10 366

9 273

Quote-part des opérations faites en commun

 

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Reprises provisions

 

 

Opérations de Crédit bail et assimilés

 

 

    Total des autres produits d'exploitation bancaire

10 366

9 273

Autres charges d'exploitation bancaire

-427

-318

Charges diverses

-392

-294

Quote-part des opérations faites en commun

-35

-24

Refacturation et transfert de charges

 

 

Dotations provisions

 

 

Opérations de Crédit bail et assimilés

 

 

    Total des autres charges d'exploitation bancaire

-427

-318

 

Note 30. – Charges générales d’exploitation.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Frais de personnel :

 

 

    Salaires et traitements :

-29 361

-28 496

    Charges sociales :

-14 147

-13 290

        Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies

-3 925

-3 371

    Intéressement et participation

-6 146

-6 019

    Impôts et taxes sur rémunérations

-3 580

-3 226

        Total des charges de personnel

-53 234

-51 031

    Refacturation et transferts de charges de personnel

2 021

1 131

    Frais de personnel nets

-51 213

-49 901

Frais administratifs :

 

 

    Impôts et taxes

-3 042

-2 878

    Services extérieurs

-29 720

-28 845

    Autres frais administratifs

257

-2

        Total des charges administratives

-32 505

-31 725

    Refacturation et transferts de charges administratives

279

154

    Frais administratifs nets

-32 226

-31 571

        Valeur nette au bilan

-83 439

-81 472

 

Effectif moyen.

Effectif par catégorie (effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité) :

 

Catégorie de personnel

31/12/2008

31/12/2007

Cadres

150

148

Non cadres

753

748

        Total

903

896

Dont :

 

 

    France

888

882

    Etranger

15

14

 

La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’Institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 058 K€.

 

Note 31. – Cout du risque.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Dotations aux provisions et dépréciations

38 220

32 942

Dépréciations de créances douteuses

37 833

31 890

Autres provisions et dépréciations

387

1 052

Reprises de provisions et dépréciations

17 259

27 744

Reprises de dépréciations de créances douteuses (1)

15 860

23 273

Autres reprises de provisions et dépréciations (2)

1 399

4 471

Variation des provisions et dépréciations

20 961

5 198

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3)

214

252

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4)

2 719

3 478

Décote sur prêts restructurés

163

606

Récupérations sur créances amorties

-739

-604

Pertes sur risques opérationnels

257

3 984

Coût du risque

23 574

12 914

(1) Dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses compromises : 2 166 milliers d’euros.

     Dont utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromises : 553 milliers d’euros.

(2) Dont 323 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif.

(3) Dont 17 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises.

(4) Dont 2 166 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises.

 

Note 32. – Résultat net sur actifs immobilisés. 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Immobilisations financières :

 

 

Dotations aux dépréciations :

 

 

    De titres d'investissement

 

 

    De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-56

-61

Reprises de dépréciations :

 

 

    De titres d'investissement

 

 

    De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

114

1 855

Dotation ou reprise nette aux dépréciations :

58

1 794

    De titres d'investissement

0

0

    De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

58

1 794

Plus-values de cessions réalisées :

 

 

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

5

204

Moins-values de cession réalisées :

 

 

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-13

-623

    Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cession

-8

-419

    Sur titres d'investissement

0

0

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-8

-419

    Solde en perte ou en bénéfice

50

1 375

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

 

    Plus-values de cession

128

843

    Moins-values de cession

-12

-80

    Solde en perte ou en bénéfice

116

763

    Résultat net sur actifs immobilises

167

2 139

 

Note 33. – Charges et produits exceptionnels.

La charge exceptionnelle qui s’établit à 864 K€, est composée des coûts de migration du GIE informatique EXA.

 

Note 34. – Impôt sur les bénéfices.

Cet agrégat comprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l’exercice s’élève à 13 578 K€ dont 2 125 K€ de reprise de provision pour impôt.

 

Note 35. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits)

 

36. – Résultat courant par zone géographique.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

PNB

Charges d'exploitation

Dot. Amort et dép.

RBE

Coût du risque

Résultat exploitation

Résultat net sur actifs immo.

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

162 642

-80 961

-6 460

75 221

-18 017

57 205

167

57 372

Autres pays de l'U.E.

8 713

-2 478

-33

6 202

-5 557

645

 

645

    Totaux

171 355

-83 439

-6 493

81 423

-23 574

57 850

167

58 017

 

 

31.12.2007

 

PNB

Charges d'exploitation

Dot. Amort et dép.

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immo.

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

161 475

-78 650

-6 438

76 387

-12 572

63 816

2 139

65 955

Autres pays de l'U.E.

5 881

-2 822

-35

3 024

-342

2 682

 

2 682

Totaux

167 356

-81 472

-6 473

79 411

-12 914

66 497

2 139

68 637

 

Note 37. – Affectation des résultats.

Projet affectation du résultat au 31/12/2008

 

Résultat comptable à affecter

43 574 131,48 €

Distribué

3 899 361,82 €

Intérêts aux parts sociales

631 301,96 €

Intérêts aux parts aux Caisses locales

631 290,98 €

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

10,98 €

Rémunération des CCA

3 268 059,86 €

Conservé

39 674 769,66 €

Réserves légales

29 756 077,24 €

Autres réserves

9 918 692,41 €

 

Note 37. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse régionale de Sud Méditerranée

 

(En milliers d'euros)

Ernst & Young

%

ADG

%

Audit :

 

 

 

 

    Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés France

87

60 %

58

40 %

    Succursale Espagne

36

100 %

 

 

        Total

123

 

58

 

(1) Honoraires hors taxe, frais et débours exclus.

 

Note 38. – Publicité.

Le Rapport de Gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30, rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

IV. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes annuels.

Aux Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2008, sur :

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

 

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de votre caisse régionale à la fin de cet exercice.

 

Sans remettre en cause l'opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur les changements de méthode comptable exposés dans la note 2 de l'annexe relatifs à de nouveaux règlements du comité de la réglementation comptable applicables à compter de l'exercice 2008.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l'article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

 

— Changements de méthode comptable : Ainsi qu'il est mentionné dans la note 2 de l'annexe, des changements de méthode comptable sont intervenus au cours de l'exercice clos le 31 décembre 2008 relatifs à de nouveaux règlements du comité de la réglementation comptable. Dans le cadre de notre appréciation des règles et principes comptables suivis par votre caisse régionale, nous nous sommes assurés de la correcte application de ces changements de méthode comptable et du caractère approprié de la présentation qui en est faite.

 

— Estimations comptables :

– Comme indiqué dans les notes 2.1 et 14 de l'annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes, nous avons examiné le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l'appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et des provisions individuelles et collectives.

– Les parts dans les entreprises liées, les titres de participation et les autres titres détenus à long terme par votre caisse régionale sont évalués à leur valeur d'utilité en retenant une approche multicritère comme indiqué dans la note 2.2 de l'annexe. Dans le cadre de notre appréciation de ces estimations, nous avons examiné les éléments ayant conduit à la détermination des valeurs d'utilité pour les principales lignes du portefeuille.

– Votre caisse régionale détient des titres en portefeuille. La note 2.2 de l'annexe expose les règles et méthodes comptables relatives à ces titres. Nous avons examiné le dispositif de contrôle relatif au classement comptable et à la détermination des paramètres utilisés pour la valorisation de ces positions. Nous avons vérifié le caractère approprié des méthodes comptables retenues par votre caisse régionale et des informations fournies dans les notes annexes et nous nous sommes assurés de leur correcte application.

Sur la base des informations disponibles à ce jour, nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d'administration et dans les documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Paris et Paris-La Défense, le 9 mars 2009.

 

Les Commissaires aux Comptes :

ADG International :

Ernst & Young Audit :

Albert Zaragoci ;

Bernard Heller Frank Astoux.

 

B. — Comptes consolides au 31 décembre 2008.

I. — Cadre général.

Présentation juridique de l’entité.

La caisse régionale sud méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège est situé à PERPIGNAN, 30 rue pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335 et fait partie du groupe crédit agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole :

— Un groupe bancaire d’essence mutualiste : L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 6,2 millions de sociétaires qui élisent quelques 32 900 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les caisses locales détiennent la majeure partie du capital des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie est détenue par les Caisses régionales et détient la majorité du capital de Crédit Agricole s.a. La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du groupe Crédit Agricole veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (Art L511-31 et Art L511-32), à la cohésion du réseau du Groupe Crédit Agricole (tel que défini par l’article R512-18 du Code monétaire et financier), au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le composent, au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole s.a. dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

L’organisation du groupe Crédit Agricole et de Crédit Agricole S.A.

 

 

Relations internes au Crédit agricole

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole lui sont spécifiques au Groupe.

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements financiers correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en : « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur établissements de crédit ».

 

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (comptes sur Livret d'Epargne Populaire, Livret de Développement Durable, comptes et plans d'Epargne-Logement, Plans d'Epargne Populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole s.a. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (comptes sur livrets, emprunts obligataires, bons et certains comptes à terme et assimilés, etc.) sont également collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole s.a. et centralisées à Crédit Agricole S.A. et figurent à ce titre à son bilan.

Elles permettent à Crédit Agricole S.A. de réaliser les « avances » (prêts) faites aux Caisses régionales leur permettant d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre principales réformes financières internes ont été successivement mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances - miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 %, puis 33 % et, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte centralisée (collecte non restituée sous forme d’avances miroirs) sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des nouveaux crédits réalisés depuis le 1er janvier 2004 et entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Ainsi, deux types d'avances coexistent à ce jour : celles régies par les règles financières d’avant le 1er janvier 2004 et celles régies par les nouvelles règles.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

 

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine « monétaire » des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non centralisés et certificats de dépôt négociables) peuvent être utilisées par celles-ci pour le financement de leurs prêts Clients. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés en comptes ordinaires ou en comptes à terme dans les rubriques « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents disponibles de fonds propres des Caisses régionales peuvent être investis chez Crédit Agricole s.a. sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France centralise leurs opérations de change.

 

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés sur le marché ou par les Caisses régionales auprès de leurs clients. Ils figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

 

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un Protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au Groupe Crédit Agricole. Ce Protocole prévoit en particulier la constitution d’un Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité (« FRBLS ») destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du Protocole sont détaillées au Chapitre III du document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

Informations relatives aux parties liées. — Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2008 et aux dirigeants. Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 59 Caisses Locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales. »

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales et de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 043 K€

 

II. — Compte de résultat.

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2008

31/12/2007

Intérêts et produits assimilés

4.1

264 805

224 236

Intérêts et charges assimilées

4.1

-186 826

-151 437

Commissions (produits)

4.2

81 813

78 126

Commissions (charges)

4.2

-12 161

-9 248

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

4.3

-2 157

-366

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

4.4

12 922

16 998

Produits des autres activités

4.5

10 377

9 862

Charges des autres activités

4.5

-424

-328

    Produit net bancaire

 

168 349

167 843

Charges générales d'exploitation

4.6-7.1-7.4-7.6

-84 513

-82 713

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

4.7

-6 485

-6 465

    Résultat brut d’exploitation

 

77 351

78 665

Coût du risque

4.8

-23 520

-12 227

    Résultat d'exploitation

 

53 831

66 438

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

4.9

116

763

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

    Résultat avant impôt

 

53 947

67 201

Impôts sur les bénéfices

4.10

-11 922

-18 375

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

    Résultat net

 

42 025

48 826

Intérêts minoritaires

 

 

 

    Résultat net – part du groupe

 

42 025

48 826

 

III. — Bilan au 31 décembre 2008.

(En milliers d'euros).

Actif

Notes

31/12/2008

31/12/2007

Caisse, banques centrales

6.1

29 705

28 261

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

4 610

42 278

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

32 121

2 207

Actifs financiers disponibles à la vente

6.4-6.6

182 813

413 371

Prêts et créances sur les établissements de crédit

3.1-3.3-6.5-6.6

217 370

140 361

Prêts et créances sur la clientèle

3.1-3.3-6.5-6.6

4 271 377

3 910 530

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

3.4

8 173

-1 310

Actifs financiers détenus jusqu'a l'échéance

6.6-6.8

49 107

48 001

Actifs d'impôts courants

 

6 232

703

Actifs d'impôts différés

6.10

20 354

13 720

Comptes de régularisation et actifs divers

6.11

84 854

92 667

Actifs non courants destines à être cédés

 

0

0

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

0

0

Immeubles de placement

6.12

142

145

Immobilisations corporelles

6.13

43 973

42 001

Immobilisations incorporelles

6.13

882

1 067

    Total de l'actif

 

4 951 713

4 734 002

 

Passif

Notes

31/12/2008

31/12/2007

Banques centrales

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

6.2

659

1 266

Instruments dérivés de couverture

3.2-3.4

11 682

20 844

Dettes envers les établissements de crédit

3.3-6.7

2 955 414

2 686 711

Dettes envers la clientèle

3.1-3.3-6.7

1 197 115

1 138 000

Dettes représentées par un titre

3.2-3.3-6.9

166 758

169 799

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

3.4

28 016

-17 113

Passifs d'impôts courants

 

388

 

Passifs d'impôts différés

 

 

 

Comptes de régularisation et passifs divers

6.11

55 422

54 087

Dettes liées aux actifs non courants destines à être cédés

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

Provisions

6.14

14 565

17 306

Dettes subordonnées

3.2-3.3-6.9

39 573

28 873

    Total dettes

 

4 469 592

4 099 773

Capitaux propres

 

 

 

Capitaux propres part du groupe

 

482 121

634 229

Capital et réserves liées

 

156 782

156 828

Réserves consolidées

 

341 167

296 377

Gains ou pertes latents ou différés

 

-57 853

132 198

Résultat de l'exercice

 

42 025

48 826

    Total capitaux propres

6.15

482 121

634 229

    Total du passif

 

4 951 713

4 734 002

 

IV. — Tableau de variation des capitaux propres.

(En milliers d'euros)

Capital et réserves liées

Réserves consolidées part du Groupe

Gains, pertes latents ou différés

Résultat net part du groupe

Total des capitaux propres part du groupe

Capitaux propres part des minoritaires

Total des capitaux propres consolidés

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital

Elimination des titres auto-détenus

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponibles à la vente (*)

Variation de juste valeur des dérivés de couverture

Capitaux propres au 1er janvier 2007

26 258

129 625

 

295 965

 

231 477

2 189

3 834

689 348

 

689 348

Augmentation de capital

945

 

 

 

 

 

 

 

945

 

945

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Distributions versés en 2007

 

 

 

 

 

 

 

-3 834

-3 834

 

-3 834

Effet des acquisitions, cessions sur les minoritaires

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de juste valeur des titres disponibles à la vente (IAS 39)

 

 

 

 

 

-101 462

 

 

-101 462

 

-101 462

Variation de juste valeur

 

 

 

 

 

-7

 

 

-7

 

-7

Résultat au 31 décembre 2007

 

 

 

 

 

 

 

48 826

48 826

 

48 826

Autres variations

 

 

 

412

 

 

 

 

412

 

412

Capitaux propres au 31 décembre 2007

27 203

129 625

0

296 377

0

130 009

2 189

48 826

634 229

0

634 229

Affectation du résultat 2007

 

 

 

44 790

 

 

-117

-44 673

0

 

 

Capitaux propres au 1er janvier 2008

27 203

129 625

0

341 167

0

130 009

2 072

4 153

634 229

0

634 229

Augmentation de capital

-46

 

 

 

 

 

 

 

-46

 

-46

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Distributions versés en 2007

 

 

 

 

 

 

 

-4 153

-4 153

 

-4 153

Variation de juste valeur des titres disponibles à la vente (IAS 39)

 

 

 

 

 

-188 735

 

 

-188 735

 

-188 735

Variation de juste valeur

 

 

 

 

 

-1 199

 

 

-1 199

 

-1 199

Transfert en compte de résultat

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Résultat au 31 décembre 2008

 

 

 

 

 

 

 

42 025

42 025

 

42 025

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Capitaux propres au 31 décembre 2008

27 157

129 625

0

341 167

0

-59 925

2 072

42 025

482 121

0

482 121

 

Les réserves consolidées sont essentiellement constituées des résultats des exercices antérieurs non distribués, de montants relatifs à la première application des normes IFRS et de retraitements de consolidation.

Les montants sortis des capitaux propres par transfert en compte de résultat et relatifs à des couvertures de flux de trésorerie sont positionnés en Produit Net Bancaire.

(*) La variation de juste valeur des titres AFS provient essentiellement de la SAS La Boétie.

 

V. — Tableau des flux de trésorerie.

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en ce compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans ce compartiment.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

VI. — Tableau des flux de trésorerie.

(En milliers d'euros)

2008

2007

Résultat avant impôts

53 947

67 201

Dotations nettes aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles

6 495

6 475

Dépréciations des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations et aux provisions

24 596

2 890

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Résultat net des activités d'investissement

-108

-344

Résultat net des activités de financement

1 926

1 497

Autres mouvements

34 246

-4 559

    Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

67 155

5 959

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

368 541

288 502

Flux liés aux opérations avec la clientèle

-318 822

-341 246

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

73 567

144 882

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

9 471

-13 214

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-22 953

-24 665

    Diminution (augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

109 804

54 259

    Total Flux nets de trésorerie générés par l'activité OPERATIONNELLE (A)

230 906

127 419

Flux liés aux participations

-44 342

-27 988

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-8 256

-5 855

    Total Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-52 598

-33 843

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires

-4 199

-2 890

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement

8 680

-1 497

    Total Flux net de trésorerie lié aux opérations de FINANCEMENT (C)

4 481

-4 387

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

    Augmentation (diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B+ C + D)

182 789

89 189

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

-62 003

-151 192

Solde net des comptes de caisse et banques centrales *

28 189

49 673

Solde net des comptes, prêts emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

-90 192

-200 865

    Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

120 786

-62 003

Solde net des comptes de caisse et banques centrales *

29 655

28 189

Solde net des comptes prêts emprunts à vue auprès des établissements de crédit (**)

91 131

-90 192

    Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie

182 789

89 189

 

VII. — Notes annexes aux états financiers.

1. – Principes et Méthodes applicables dans le groupe, jugements et estimations utilisés.

1.1. Normes applicables et comparabilité. — En application du règlement CE n° 1606.2002, les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS.IFRS et aux interprétations IFRIC telles qu’adoptées par l’Union européenne et applicables au 31 décembre 2008.

Le Groupe Crédit Agricole applique ce référentiel, en utilisant les dispositions de la norme IAS 39 dans sa version retenue par l’Union européenne (version dite « carve out »), qui autorise certaines dérogations dans l’application pour la comptabilité de macro-couverture.

Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission Européenne, à l’adresse suivante : http:ec.europa.eu.internal_market.accounting.ias_fr.htm#adopted-commission.

Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2007.

Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu’adoptées par l’Union Européenne au 31.12.08 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2008. Celles-ci portent sur :

— L’amendement de la norme IAS 39 issu du règlement CE n° 1004.2008 du 15 octobre 2008 permettant de reclasser dans d’autres catégories certains instruments financiers initialement détenus à des fins de transaction ou classés en « disponibles à la vente »

— L’amendement de la norme IFRS 7 relatif aux informations à fournir sur ces reclassements.

En 2008, La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas reclassé d’actifs financiers en application de l’amendement de la norme IAS 39 du 15 octobre 2008.

Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application de normes et interprétations est optionnelle sur une période, celles-ci ne sont pas retenues par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier :

— l’interprétation IFRIC 11 issue du règlement du 1er juin 2007 (CE n° 611.2007) et relative au traitement des actions propres et des transactions intra-groupe dans le cadre de la norme IFRS 2 portant sur le paiement fondé sur des actions. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois à compter du 1er janvier 2009,

— la norme IFRS 8 issue du règlement du 21 novembre 2007 (CE n° 1358.2007), relative aux secteurs opérationnels et remplaçant la norme IAS 14 relative à l’information sectorielle. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois à compter du 1er janvier 2009.

— L’amendement de la norme IAS 23 issu du règlement du 10 décembre 2008 (CE n° 1260.2008), relative aux coûts d’emprunt. Cet amendement sera appliqué pour la première fois à compter du 1er janvier 2009.

— L’amendement de la norme IFRS 2 issu du règlement du 16 décembre 2008 (CE n° 1261.2008), relative au paiement fondé sur des actions. Cet amendement sera appliqué pour la première fois à compter du 1er janvier 2009.

— L’interprétation IFRIC 13 issue du règlement du 16 décembre 2008 (CE n° 1262.2008), relative au programme de fidélisation des clients. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois à compter du 1er janvier 2009

— L’interprétation IFRIC 14 issue du règlement CE n° 1263.2008 du 16 décembre 2008 et relative au plafonnement de l’actif au titre des régimes à prestations définies, aux exigences de financement minimal et à leur interaction dans le cadre de la norme IAS 19 portant sur les avantages du personnel

— L’amendement de la norme IAS 1 issu du règlement du 17 décembre 2008 (CE n° 1274.2008), relative à la présentation des états financiers. Cet amendement sera appliqué pour la première fois à compter du 1er janvier 2009.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’attend pas d’effet significatif de ces applications sur son résultat et sa situation nette

Enfin, les normes et interprétations publiées par l’IASB mais non encore adoptées par l’Union européenne n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2008.

 

1.2. Format de présentation des états financiers. — En l’absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation CNC n° 2004-R.03 du 27 octobre 2004.

 

1.3. Principes et méthodes comptables. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux,

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change,

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays,

— les modifications de la réglementation ou de la législation.

Cette liste n’est pas exhaustive.

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

— les dépréciations des créances irrécouvrables,

— les dépréciations durables de titres,

— les provisions,

— les participations non consolidées,

— les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs,

— les plans de stock-option,

— les instruments financiers des activités de marché évalués à la juste valeur,

— les actifs d’impôt différé

Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après.

 

Instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission Européenne le 19 novembre 2004 et complétée par les règlements (CE) n° 1751.2005 du 25 octobre 2005, n° 1864.2005 du 15 novembre 2005 relatif à l’utilisation de l’option de la juste valeur et n° 1004.2008 du 15 octobre 2008 relatif au reclassement d’actifs financiers.

Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l’exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d’intérêt effectif.

La juste valeur est définie comme le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

 

Titres à l’actif :

Classification des titres à l’actif. — Les titres sont classés dans les quatre catégories d’actifs financiers définis par la norme IAS 39 :

– Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option,

– Placements détenus jusqu’à l’échéance,

– Prêts et créances.

– Actifs financiers disponibles à la vente,

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat, affectation par nature ou sur option : Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale Sud Méditerranée

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de les céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. L’option juste valeur par résultat est généralement utilisée afin d’éviter de comptabiliser et d’évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

Les titres contenants des dérivés incorporés

– EMTN Confluent

– EMTN Long short MAP

– EMTN Goldman Sachs

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (qui sont passés directement en résultat) et coupons courus inclus.

Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

 

— Placements détenus jusqu’à l’échéance : La catégorie « Placements détenus jusqu’à l’échéance » (éligible aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

– ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat,

– ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des placements détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance (sous peine d’entraîner le déclassement de l’ensemble du portefeuille en actif disponible à la vente et d’interdire l’accès à cette catégorie pendant 2 ans).

Néanmoins des exceptions à cette règle de déclassement peuvent exister lorsque :

– la vente est proche de l’échéance (moins de 3 mois),

– la cession intervient après que l’entreprise ait déjà encaissé la quasi-totalité du principal de l’actif (environ 90 % du principal de l’actif),

– la vente est justifiée par un événement externe, isolé ou imprévisible,

– si l’entité n’escompte pas récupérer substantiellement son investissement en raison d’une détérioration de la situation de l’émetteur (auquel cas l’actif est classé dans la catégorie des actifs disponibles à la vente).

La couverture du risque de taux pour cette catégorie de titres n’est pas éligible à la comptabilité de couverture définie par la norme IAS 39.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus.

Ces titres sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti au taux d’intérêt effectif.

En cas de signes objectifs de dépréciation, celle-ci est constatée pour la différence entre la valeur comptable et la valeur de recouvrement estimée actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine. En cas d’amélioration ultérieure, la dépréciation excédentaire est reprise.

 

— Titres du portefeuille « prêts et créances » : La catégorie «Prêts et créances» enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus, et par la suite au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles dépréciations.

En cas de signes objectifs de dépréciation, celle-ci est constatée pour la différence entre la valeur comptable et la valeur de recouvrement estimée en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine.

 

— Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie Actifs disponibles à la vente est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les principes de comptabilisation des titres classés en "Actifs disponibles à la vente" sont les suivants :

– les titres disponibles à la vente sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus,

– les intérêts courus sur les titres disponibles à la vente sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat,

– les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables. En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat. L’amortissement des éventuelles surcotes. Décotes des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif,

– en cas de signes objectifs de dépréciation, significative ou durable pour les titres de capitaux propres, et matérialisée par la survenance d’un risque de crédit pour les titres de dettes, la moins value latente initialement comptabilisée en capitaux propres est reprise et la dépréciation durable comptabilisée dans le résultat de l’exercice. En cas de variation de juste valeur positive ultérieure, cette dépréciation fait l’objet d’une reprise par résultat pour les instruments de dette (dans le cas d’une amélioration du risque de contrepartie) et par capitaux propres pour les instruments de capitaux propres.

 

Dépréciation des titres. — Une dépréciation est constatée en cas de signes objectifs de dépréciation des actifs autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

Elle est matérialisée par une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou par l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette.

Ce critère de baisse significative ou durable de la valeur du titre est une condition nécessaire mais non suffisante pour justifier l’enregistrement d’une dépréciation. Cette dernière n’est constituée que dans la mesure où elle se traduira par une perte probable de tout ou partie du montant investi.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise un critère guide de nature quantitative pour identifier les baisses significatives ou durables : une dépréciation est présumée nécessaire lorsque l’instrument de capitaux propres a perdu 30 % au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs.

La Direction peut être amenée à prendre en considération d’autres facteurs (types de placement, situation financière de l’émetteur, perspectives à court terme, …) ; ceux-ci n’ont pas de caractère intangible.

La constatation de cette dépréciation se fait :

– pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure,

– pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure de la valeur des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes.

 

Date d’enregistrement des titres. — Crédit Agricole s.a. enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans les catégories « Titres détenus jusqu’à l’échéance » et « Prêts et créances ». Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Titres au passif (IAS 32) :

Distinction dettes – capitaux propres. — Un instrument de dette ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

– de remettre des liquidités ou un autre actif financier,

– d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

Les parts sociales émises par les Caisses régionales et des Caisses locales sont considérées comme des capitaux propres au sens de l'IAS 32 et de l'interprétation IFRIC 2, et traitées comme telles dans les comptes consolidés du Groupe.

Par ailleurs, l’IFRIC a communiqué en novembre 2006 l’état de ses interprétations et commentaires sur la norme IAS 32 sur laquelle elle avait été sollicitée. Cela concerne la qualification de certains instruments financiers en instruments de dettes ou de capitaux propres. Néanmoins, il a rappelé que pour que ses analyses soient opérationnelles, il convenait de poursuivre un processus réglementaire inachevé à ce jour.

 

Reclassements d’instruments financiers. — Conformément à l’amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l’Union européenne en octobre 2008, il est désormais autorisé d’opérer les reclassements suivants :

— des catégories « actifs financiers à la juste valeur par résultat » et « actifs financiers disponibles à la vente » vers la catégorie « prêts et créances », si l’entité a désormais l’intention et la capacité de conserver l’actif financiers concerné dans un avenir prévisible ou jusqu’à l’échéance

— dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie « actifs financiers à la juste valeur par résultat » vers les catégories « actifs financiers disponibles à la vente » ou « actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance », si les critères d’éligibilité sont respectés.

Le Groupe n’a pas utilisé cette dernière possibilité de reclassement lié à des circonstances rares.

Les reclassements sont comptabilisés à compter du 1er juillet 2008 et jusqu’au 31 octobre 2008 pour les transferts effectués avant le 1er novembre 2008, et à la date du transfert à compter de cette date.

L’actif financier est reclassé à sa juste valeur à la date du reclassement.

Cette juste valeur devient son nouveau coût ou son nouveau coût amorti selon le cas.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré, en 2008, de reclassement au titre de l’amendement de la norme IAS 39.

 

Activité de crédits. — Les crédits sont affectés principalement à la catégorie "Prêts et créances". Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

 

Créances dépréciées. — Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances. Les créances ainsi identifiées font l’objet d’une dépréciation sur base individuelle ou sur base collective. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations, égales à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

On distingue ainsi :

— les créances dépréciées sur base individuelle : il s’agit des créances assorties de dépréciations et des créances restructurées pour cause de défaillance du client assorties de décotes,

— les créances dépréciées sur base collective : il s’agit des créances non dépréciées sur base individuelle, pour lesquelles la dépréciation est déterminée par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires.

L’évaluation d’une dépréciation sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

Les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque ; l’augmentation de la valeur comptable des créances du fait de la désactualisation de la dépréciation et de l’amortissement de la décote des créances restructurées est inscrite dans la marge d’intérêts.

 

— Créances dépréciées sur base individuelle : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de location-financement immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales), compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits,

– lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré,

– s’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Le classement pour une contrepartie donnée des encours en encours dépréciés entraîne par « contagion » un classement identique de la totalité de l’encours et des engagements relatifs à cette contrepartie, nonobstant l’existence de garantie ou caution.

Parmi les encours dépréciés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours dépréciés compromis des encours dépréciés non compromis :

– les créances dépréciées compromises sont les créances dépréciées dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé,

– les créances dépréciées non compromises sont les créances dépréciées qui ne répondent pas à la définition des créances dépréciées compromises.

Dans le cas d’une créance restructurée maintenue en créance dépréciée, la décote ne fait pas l’objet d’une comptabilisation séparée et est comptabilisée par le biais de la dépréciation.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue les dépréciations correspondant, en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours dépréciés et dépréciés compromis.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Dans le cas de créances restructurées, pour lesquelles l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) du fait d’un risque de contrepartie, tout en reclassant l’encours en créances saines, la réduction des flux futurs accordée à la contrepartie lors de la restructuration donne lieu à l’enregistrement d’une décote.

La décote constatée lors d’une restructuration de créance est enregistrée en coût du risque.

Cette décote correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux effectif d’origine.

Elle est égale à l’écart constaté entre :

– la valeur nominale du prêt,

– la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

 

— Créances dépréciées sur base collective : Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non classés en dépréciés. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, La Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives telles que dépréciations sur encours sensibles (encours sous surveillance), calculées à partir de modèles Bâle II, les dépréciations sectorielles et les dépréciations sur pays à risque :

 

Dépréciations sur encours sensibles : Dans le cadre du projet Bâle II, la Direction des risques de la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

L’évaluation de la dépréciation fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

Le montant de cette dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues d’un coefficient correcteur, reflet du jugement expérimenté de la Direction, destiné à prendre en compte divers paramètres absents des modèles Bâle II, tels que l’extension au-delà d’un an de l’horizon de pertes attendu, ainsi que divers facteurs économiques, conjoncturels ou autres.

 

Autres dépréciations sur base collective : La Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles ou les dépréciations sur pays à risque. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché espagnol.

 

Intérêts pris en charge par l’Etat (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du Groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat.

Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Passifs financiers : La norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

– Les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables.

– Les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupe de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

– Les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

Produits de la collecte : Les produits de collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des « Dettes envers la clientèle» malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le Groupe Crédit Agricole, avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature considérés comme étant à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 6.16.

 

Instruments dérivés : Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est un compte de résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

 

La comptabilité de couverture. — La couverture de juste valeur a pour objet de protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associé à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’euro.

Dans le cadre d’une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

— éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert,

— documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert,

— démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine, prospectivement et rétrospectivement, à travers des tests effectués à chaque arrêté.

Pour les couvertures d’exposition au risque de taux d’intérêt d’un portefeuille d’actifs financiers ou de passifs financiers, le Groupe Crédit Agricole S.A. privilégie une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne (version dite « carve out »).

De plus, le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité de ces relations de couverture s’effectue par le biais d’échéanciers.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

— couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture,

— couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de capitaux propres recyclables pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où l’élément couvert impacte le résultat,

— couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

 

— Dérivés incorporés : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les 3 conditions suivantes sont remplies :

– le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat,

– séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé,

– les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Détermination de la juste valeur des instruments financiers. — Pour les instruments financiers évalués à la juste valeur, la meilleure indication de celle-ci est constituée par l’existence de cotations publiées sur un marché actif.

En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation.

 

— Instruments traités sur un marché actif : Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

S’il existe un marché actif, les prix disponibles sur ce marché constituent la méthode d’évaluation de base.

Les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs pour les positions nettes vendeuses et aux cours vendeurs pour les positions nettes acheteuses. Par ailleurs, ces valeurs tiennent compte des risques de contrepartie.

Si, en date de valorisation, le prix côté n’est pas disponible, La Caisse Régionale Sud Méditerranée se référera notamment au prix des transactions les plus récentes.

 

— Instruments traités sur des marchés non actifs : En l’absence de marché actif, la juste valeur est déterminée en utilisant une technique de valorisation basée sur des données de marché « observables » ou « non observables ».

Ces méthodologies et ces modèles de valorisation intègrent tous les facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant.

La détermination de ces justes valeurs tient compte du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

 

— Instruments valorisés à partir de modèles internes utilisant des données de marché observables : Pour la plupart des instruments négociés de gré à gré, l’évaluation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c'est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux basées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

Lorsque les modèles utilisés sont basés notamment sur des modèles standards (tels que des méthodes d’actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes), et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite des options), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l’initiation.

Pour l’évaluation d’autres instruments financiers, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs de trésorerie qui sera souvent retenue.

 

— Instruments valorisés à partir de modèles internes utilisant des données de marché non observables : La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose, quant à elle, sur des techniques d'évaluation utilisant des paramètres non observables, c'est-à-dire non directement comparables à des données de marché.

Le prix de transaction est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée.

La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

Lorsqu’il n’y a pas de prix coté sur un marché actif pour un titre de capitaux propres et qu’il n’existe pas de technique de valorisation reconnue, la Caisse Régionale Sud Méditerranée retient, lorsque cela est possible, des techniques reposant sur des indications objectives et vérifiables telles que la détermination de l’actif net réévalué ou tout autre méthode de valorisation des titres de capitaux propres.

 

— Absence de technique de valorisation reconnue : Si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « titres disponibles à la vente ». Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de Juste Valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS7 en vigueur. Il s’agit principalement de titres de participation de sociétés non cotées sur un marché actif et non consolidées, dont l’évaluation à la juste valeur est rendue difficile par le caractère non significatif de leur importance au sein du Groupe ou par la faiblesse du pourcentage de contrôle

Ces titres, listés dans la note 2.5 spécifique, sont destinés à être conservés durablement.

 

Gains ou pertes nets sur instruments financiers :

— Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers conclus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat,

– les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat,

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat,

– les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d'investissements nets en devises.

 

— Gains ou pertes nets sur actifs disponibles à la vente : Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente,

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente,

– les pertes de valeur des titres à revenu variable,

– les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé.

 

Compensation des actifs et passifs financiers. — Conformément à la norme IAS 32, la Caisse Régionale Sud Méditerranée compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement si il a un droit juridiquement exécutoire de compenser les montants comptabilisés et a l’intention de régler le montant net ou de réaliser l’actif et de réaliser le passif simultanément.

 

Garanties financières données. — Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument d’emprunt.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé de :

— celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « provisions, passifs éventuels et actifs éventuels », ou

— le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

Décomptabilisation des instruments financiers. — Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

— lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et

— lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier sont transférés.

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication dans cet actif.

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie uniquement lorsque ce passif est éteint.

 

Provisions (IAS 37,19). — La Caisse Régionale Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un évènement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

Au titre des obligations autres que liées au risque de crédit, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

— les risques opérationnels,

— les avantages au personnel,

— les risques d’exécution des engagements par signature,

— les litiges et garanties de passif,

— les risques fiscaux,

— les risques liés à l’épargne logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement modélisé des souscripteurs, en utilisant des hypothèses d’évolution de ces comportements, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité de ces évolutions futures,

— l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur, établie à partir d’observations historiques de longue période,

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

L’évaluation des provisions suivantes peut également faire l’objet d’estimations :

— la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction.

— les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession à la date d’arrêté des comptes.

Des informations détaillées sont fournies au point 6.16

 

Avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, les primes payables dans les douze mois de la clôture de l’exercice,

— Les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice),

— Les indemnités de fin de contrat de travail,

— Les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

Engagement en matière de retraite, de préretraite et d’indemnités de fin de carrière - régimes à prestations définies. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs (cf. note 7.3).

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n'applique pas la méthode optionnelle du corridor et impute les écarts actuariels constatés en résultat. De fait, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a choisi de ne pas appliquer l’option ouverte par la norme IAS 19 § 93 qui consiste à comptabiliser les écarts actuariels en dehors du résultat et à les présenter dans un état des variations des capitaux propres spécifique. Par conséquent, le montant de la provision est égal à :

— la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19,

— diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale de Caisse Régionale Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. En conséquence la Caisse régionale Sud Méditerranée n’a pas la nécessité de constituer de provision en complément de cette souscription.

 

Plans de retraite – régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

— la comptabilisation initiale du goodwill,

— la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui n'est pas un regroupement d'entreprises et n’affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

 

Un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’ elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt réellement supportée par l’entité au titre de ces plus-values latentes est reclassée en déduction de ceux-ci.

Les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 5% de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice génèrent une différence temporelle donnant lieu à constatation d’impôts différés à hauteur de cette quote-part.

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

— Soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres,

— Soit par un regroupement d'entreprises.

Les actifs et passifs d'impôt différés sont compensés si, et seulement si :

— L'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible, et

— Les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

a) soit sur la même entité imposable,

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôt exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôt différés soient réglés ou récupérés.

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38, 40). — Le Groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les fonds de commerce acquis. Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le Groupe Crédit Agricole S.A. suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations corporelles par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires et non monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du Groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés pour les actifs monétaires en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— Sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres,

— Les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

Les traitements relatifs aux actifs non monétaires diffèrent selon la nature de ces actifs :

— Les actifs au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction,

— Les actifs à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— En résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat,

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent :

— Les commissions qui font partie intégrante du rendement d’un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d’intérêt effectif,

— Lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique « commissions » et en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

a) Les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat.

Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l’ensemble des conditions suivantes sont respectées :

i) le montant des commissions peut être évalué de façon fiable,

ii) il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise,

iii) le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable.

b) Les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue.

 

Contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière. Concernant la Caisse

Aucune opération de location financière n’a été recensée concernant la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

1.4. Principes et méthodes de consolidation (IAS 27, 28, 31) :

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle. Celui-ci est présumé lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20 % des droits de vote existants et potentiels.

Par exception, les entités ayant un impact non significatif sur les comptes consolidés de l’ensemble ne sont pas incluses dans le périmètre de consolidation.

Le caractère significatif de cet impact peut notamment être apprécié au travers de divers critères tels que l’importance du résultat ou des capitaux propres de la société à consolider par rapport au résultat ou aux capitaux propres de l’ensemble consolidé, l’impact sur la structure des états financiers, ou sur le total du bilan, présumé significatif s’il excède 1 % du total de bilan de la Caisse Régionale Sud Méditerranée consolidée qui détient ses titres.

 

— Consolidation des Caisses régionales : Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le Groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du Groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la communauté régionale du Crédit Agricole de Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le Groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale de Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

 

— Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20% ou plus des droits de vote dans une entité.

 

— Exclusions du périmètre de consolidation : Conformément aux dispositions prévues par les normes IAS 28 § 1 et IAS 31 § 1, les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat soit par nature soit sur option.

 

Méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature de contrôle exercée par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale.

— l’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse régionale Sud Méditerranée,

— l’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse régionale Sud Méditerranée,

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable.

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des intérêts minoritaires dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultats consolidés.

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

 

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote-part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués, sauf s’ils sont jugés non significatifs.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé.

Les plus ou moins-values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l’occasion d’une cession interne sont constatées.

 

2. – Périmètre de consolidation.

Le périmètre de consolidation au 31 décembre 2008 est resté inchangé par rapport au 31 décembre 2007 et est présenté à la fin des notes annexes.

 

2.1. Participations non consolidées. — Ces titres enregistrés au sein du portefeuille « Actifs disponibles à la vente », sont des titres à revenu variable représentatifs d’une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Valeur au bilan

% de capital détenu par le Groupe

Valeur au bilan

% de capital détenu par le Groupe

Titres de participation non consolidés (détail)

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

    SCI Château de Castelnou

798

98,61

839

98,61

Autres titres de participations

 

 

 

 

    Sas rue la Boétie

137 461

1,32

280 821

1,32

    Sa Sofilaro

1 351

14,32

1 433

14,32

    GF de Font Moreau

38

24,11

37

24,11

    Sas développement

10 641

1,35

12 749

1,35

    Sas Fireca

605

1,18

582

1,18

    SNC ca titres

411

0,69

398

0,69

    Sas international

13 978

1,32

11 893

1,32

Autres titres de participations (ensemble)

7 394

 

7 107

 

    Valeur au bilan des titres de participation non consolidés (1)

172 677

 

315 859

 

 

3. – Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture.

La gestion du risque bancaire au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est assuré par la direction des Finances et des Risques qui est rattachée au Directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise des risques de crédit, de marchés et opérationnels ainsi que le pilotage des projets impactant ces risques.

La description de ce dispositif ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, chapitre « facteurs de risque », comme le permet la norme IFRS7. Les tableaux de ventilation comptables continuent néanmoins de figurer dans les Etats financiers.

 

3.1. Risque de crédit. — Le risque de crédit désigne la possibilité de subir une perte si un emprunteur, un garant ou une contrepartie ne respecte pas son obligation de rembourser un prêt ou de s’acquitter de toute obligation financière (voir rapport de gestion page10)

En tant qu’établissement de crédit soumis à la loi bancaire, La Caisse Régionale Sud Méditerranée assume la responsabilité des opérations qu’elle initie. Toutefois au titre de ses missions d’organe central du réseau, Crédit Agricole S.A. garantit la liquidité et la solvabilité des Caisses régionales.

La Caisse régionale présente à la garantie de FONCARIS (Fonds de garantie interne du Groupe Crédit Agricole, établissement de crédit, filiale à 100 % de Crédit Agricole S.A.) tous les risques qu’elle prend sur un emprunteur donné dès lors que leur montant global atteint un seuil d’éligibilité contractualisé pour une période de 6 ans.

Après examen du dossier au sein d'un Comité ad hoc, FONCARIS peut décider de garantir la Caisse régionale, en règle générale à hauteur de 50 %. En cas de défaut effectif, la Caisse régionale est indemnisée, dans la limite du taux de couverture, sur la perte résiduelle après épuisement des procédures de recouvrement et mise en jeu de toutes les sûretés".

 

Exposition maximum au risque de crédit : L’exposition maximum au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Actifs financiers à la juste valeur par le résultat (hors titres à revenu variable et actifs représentatifs de contrat en unités de compte)

4 610

42 278

Instruments dérivés de couverture

32 121

2 206

Actifs disponibles à la vente (hors titres à revenu variable)

10 136

97 512

Prêts et créances sur les établissements de crédit (hors opérations internes)

2 644

3 484

Prêts et créances sur la clientèle (*)

4 271 377

3 910 730

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

49 107

48 001

    Exposition des engagements de bilan (nets de dépréciation)

4 369 995

4 104 211

Engagements de financement donnés

554 060

509 246

Engagements de garantie financière donnés

112 140

103 694

Provisions - Engagements par signature

736

925

    Exposition des engagements hors bilan (nets de provisions)

666 936

613 865

    TOTAL Exposition nette

5 036 931

4 718 076

(*) Dont 526 847 milliers d’€uros au 31 décembre 2008 de créances clientèle en Espagne contre 477 555 milliers d’€uros au 31 décembre 2007.

 

La présentation de diverses concentrations de risques permet de donner une information sur la diversification de cette exposition aux risques

 

Concentrations par agents économiques de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique (hors opérations internes au crédit agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (Hors opérations internes au Crédit Agricole)

2 247

 

 

394

2 641

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

521 021

464 603

1 203 264

2 173 406

4 362 294

    Total

523 268

464 603

1 203 264

2 173 800

4 364 935

Créances rattachées

 

 

 

 

41 795

Dépréciations

 

 

 

 

-132 709

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 274 021

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (Hors opérations internes au Crédit Agricole)

3 090

 

 

394

3 484

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

361 388

431 675

1 190 125

2 004 403

3 987 591

    Total

364 478

431 675

1 190 125

2 004 797

3 991 075

Créances rattachées

 

 

 

 

35 749

Dépréciations

 

 

 

 

-112 810

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

3 914 014

 

— Dettes envers la clientèle -Ventilation par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31.12.2008

31.12.2007

Administrations centrales et institutions non établissements de crédit

10 403

8 780

Grandes entreprises

323 077

296 145

Clientèle de détail

859 206

830 652

    Total

1 192 686

1 135 577

Dettes rattachées

4 429

2 423

    Valeur au bilan

1 197 115

1 138 000

 

Concentrations par zone géographique de l’activité de crédit :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

Encours bruts

dont Encours douteux

dépréciations, encours douteux

dont Encours douteux compromis

dépréciations, encours douteux compromis

Total

France (y compris DOM-TOM)

3 764 930

35 638

20 330

61 012

46 964

3 697 636

Autres pays de l'UE

590 209

21 641

5 580

6 286

3 069

581 560

Dont Espagne

526 847

20 693

5 176

5 829

2 727

518 944

Autres pays d'Europe

6 283

1

1

58

58

6 224

Amérique du Nord

2 536

1

 

3

3

2 533

Amériques Centrale et du Sud

255

 

 

 

 

255

Afrique et Moyen Orient

694

 

 

5

5

689

Asie et Océanie (hors Japon)

27

1

1

 

 

26

Japon

1

 

 

 

 

1

    Total (*)

4 364 935

57 282

25 912

67 364

50 099

4 288 924

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

30 288

Dépréciations sur base collective

 

 

 

 

 

-45 191

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

4 274 021

(*) Dont encours clientèle sains restructurés pour 24 586 milliers d'euros.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

Encours bruts

dont Encours douteux

dépréciations, encours douteux

dont Encours douteux compromis

dépréciations, encours douteux compromis

Total

France (y compris DOM-TOM)

3 453 795

33 815

16 402

51 728

43 299

3 394 094

Autres pays de l'UE

527 574

4 487

553

3 084

1 951

525 070

Dont Espagne

477 555

4 177

549

2 876

1 750

475 256

Autres pays d'Europe

6 099

19

9

58

58

6 032

Amérique du Nord

2 227

 

 

2

2

2 225

Amériques Centrale et du Sud

390

 

 

 

 

390

Afrique et Moyen Orient

826

6

 

6

6

820

Asie et Océanie (hors Japon)

164

 

 

 

 

164

Japon

 

 

 

 

 

0

    Total (*)

3 991 075

38 327

16 964

54 878

45 316

3 928 795

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

26 011

Dépréciations sur base collective

 

 

 

 

 

-40 792

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 914 014

(*) Dont encours clientèle sains restructurés pour 22 264 milliers d'euros.

 

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

547 122

504 607

    Autres pays de l'UE

5 718

3 694

    Autres pays d'Europe

122

463

    Amérique du Nord

41

336

    Amériques Centrale et du Sud

6

7

    Afrique et Moyen Orient

42

37

    Asie et Océanie (hors Japon)

8

11

    Japon

1

1

        Total

553 060

509 156

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

111 803

103 246

    Autres pays de l'UE

193

306

    Autres pays d'Europe

 

 

    Amérique du Nord

 

 

    Amériques Centrale et du Sud

 

 

    Afrique et Moyen Orient

144

142

    Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

    Japon

 

 

        Total

112 140

103 694

 

— Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

France (y compris DOM-TOM)

1 171 995

1 116 257

Autres pays de l'UE

15 397

15 887

Autres pays d'Europe

2 607

1 599

Amérique du Nord

1 249

814

Amériques Centrale et du Sud

197

197

Afrique et Moyen Orient

837

691

Asie et Océanie (hors Japon)

111

85

Japon

293

47

Organismes supra-nationaux

 

 

    Total

1 192 686

1 135 577

Dettes rattachées

4 429

2 423

    Valeur au bilan

1 197 115

1 138 000

 

Informations sur les actifs financiers en souffrance ou dépréciés :

— Actifs financiers en souffrance ou dépréciés par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2008

Arriérés de paiement sur créances non dépréciées

Valeur nette comptable des actifs dépréciés

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de dette

0

0

0

0

0

2 923

2 796

Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

2 923

2 796

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

    Prêts et avances

195 101

24 519

6 193

0

225 813

136 153

-132 709

Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Institutions non établissements de crédit

44 353

17

2 853

 

47 223

3 183

-3 183

Grandes entreprises

39 316

1 059

 

 

40 375

26 122

-27 375

Clientèle de détail

111 432

23 443

3 340

 

138 215

106 848

-102 151

Autres actifs financiers

 

 

 

 

0

 

 

    Total

195 101

24 519

6 193

0

225 813

139 076

-129 913

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2007

Arriérés de paiement sur créances non dépréciées

Valeur nette comptable des actifs dépréciés

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

Valeur comptable des actifs financiers en souffrance

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

 

3 061

-1 301

Instruments de dette

0

0

0

0

0

0

0

Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Grandes entreprises

 

 

 

 

0

 

 

Clientèle de détail

 

 

 

 

0

 

 

    Prêts et avances

159 949

15 806

2 104

1 178

179 037

102 943

-112 810

Administrations centrales

 

 

 

 

0

 

 

Etablissements de crédit

 

 

 

 

0

 

 

Institutions non établissements de crédit

16 889

1 297

138

171

18 495

3 051

-4 170

Grandes entreprises

55 977

2 984

96

3

59 060

27 611

-32 491

Clientèle de détail

87 083

11 525

1 870

1 004

101 482

72 281

-76 149

Autres actifs financiers

 

 

 

 

0

 

 

    Total

159 949

15 806

2 104

1 178

179 037

106 004

-114 111

 

Opérations sur instruments dérivés – Risque de contrepartie. — Le risque de contrepartie sur instruments dérivés est représenté par le risque de crédit potentiel, calculé et pondéré selon les normes prudentielles.

Pour information, les effets des accords de compensation, qui réduisent ce risque, sont également présentés.

 

3.2. Risques de marché. — Le risque de marchés représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marchés notamment : les taux d’intérêts, les taux de change, le cours des actions, le prix des matières premières, ainsi que de leur volatilité implicite (voir rapport de gestion page11).

 

Opérations sur instruments dérivés : analyse par durée résiduelle :

— Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

 

 

 

908

3 328

27 885

32 121

2 207

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

908

3 328

27 885

32 121

2 207

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

. Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous total

 

 

 

908

3 328

27 885

32 121

2 207

. Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

908

3 328

27 885

32 121

2 207

 

— Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

 

 

 

177

228

169

546

963

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

177

200

169

546

927

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

28

 

 

36

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

 

 

 

177

228

169

546

963

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

177

228

169

546

963

 

— Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

2 539

5 488

3 655

11 682

20 844

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

2 539

5 488

3 655

11 682

20 844

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

0

0

0

2 539

5 488

3 655

11 682

20 844

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

2 539

5 488

3 655

11 682

20 844

 

— Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

314

345

659

1 266

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

286

345

631

1 230

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

28

 

28

36

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

0

0

0

0

314

345

659

1 266

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

314

345

659

1 266

 

— Opérations sur instruments dérivés : montant des engagements :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

987 138

1 090 443

    Futures

 

 

    Fra

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

980 306

1 082 399

    Options de taux

 

 

    Caps-floors-collars

6 832

8 044

    Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

    Options de change

 

 

Autres instruments :

0

88 315

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

    Dérivés de crédits

 

88 315

    Autres

 

 

        Sous total

987 138

1 178 758

    Opérations de change à terme

11 444

10 471

        Total

998 582

1 189 229

 

Risques de taux. — Le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financiers du fait de l’évolution des taux d’intérêt (voir rapport de gestion page 12)

 

Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

0

38 628

0

0

28 407

 

    Taux fixe

 

38 628

 

 

28 407

 

    Taux variable

 

 

 

 

 

 

        Total

0

38 628

0

0

28 407

0

(Total en principal, hors dettes rattachées non ventilables).

 

Risque de change

Le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise (voir rapport de gestion page 13)

 

La contribution des différentes devises au bilan consolidé s’établit comme suit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

4 941 890

4 941 894

4 724 609

4 724 878

Autres devises de l'UE

8 159

8 155

7 663

7 367

USD

1 590

1 590

1 300

1 327

JPY

 

 

 

 

Autres devises

74

74

430

430

    Total bilan

4 951 713

4 951 713

4 734 002

4 734 002

 

Risque de prix. — Le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions.

Sont notamment soumis à ce risque : les titres à revenu variable, les dérives actions et les instruments dérivés sur matières premières (voir rapport de gestion page 13).

 

3.3. Risque de liquidité et de financement. — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement (voir rapport de gestion page 13).

Dans le contexte de crise financière de 2008, la Caisse Régionale Sud Méditerranée en tant qu’établissement de crédit respecte les exigences en matière de liquidité définies par les textes suivants :

— Le règlement CRBF n° 88-01 du 22 février 1988 relatif à la liquidité,

— L’instruction de la Commission bancaire n° 88-03 du 22 avril 1988 relative à la liquidité,

— L’instruction de la Commission bancaire n° 89-03 du 20 avril 1989 relative aux conditions de prise en compte des accords de refinancement dans le calcul de la liquidité.

 

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

120 748

3 555

75 996

14 108

214 407

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

521 021

464 603

1 203 264

2 173 406

4 362 294

    Total

641 769

468 158

1 279 260

2 187 514

4 576 701

Créances rattachées

 

 

 

 

44 755

Dépréciations

 

 

 

 

-132 709

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 488 747

 

(En milliers d'euros)

31.12.2007

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

36 259

26 876

74 798

394

138 327

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont location financement)

361 388

431 675

1 190 125

2 004 403

3 987 591

    Total

397 647

458 551

1 264 923

2 004 797

4 125 918

Créances rattachées

 

 

 

 

37 783

Dépréciations

 

 

 

 

-112 810

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

4 050 891

 

— Dettes des établissements de crédit et de la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

≤ 3 mois

> 3 mois à > 1 an

> 1 an à > 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (y compris opérations internes au Crédit Agricole)

443 418

701 907

1 102 843

691 534

2 939 702

Dettes envers la clientèle

1 123 419

54 364

14 338

565

1 192 686

    Total

1 566 837

756 271

1 117 181

692 099

4 132 388

Dettes rattachées

 

 

 

 

20 141

    Valeur au bilan

 

 

 

 

4 152 529

 

(En milliers d'euros)

31.12.2007

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (yc opérations internes au Crédit Agricole)

598 598

533 912

886 356

657 538

2 676 404

Dettes envers la clientèle

1 094 159

34 871

6 038

509

1 135 577

    Total

1 692 757

568 783

892 394

658 047

3 811 981

Dettes rattachées

 

 

 

 

12 730

    Valeur au bilan

 

 

 

 

3 824 711

 

— Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

1 277

1 000

 

 

2 277

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

    Titres de créances négociables :

 

14 147

 

150 000

164 147

        Émis en France

 

14 147

 

150 000

164 147

        Émis à l'étranger

 

 

 

 

 

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

        Total

1 277

15 147

 

150 000

166 424

    Dettes rattachées

 

 

 

 

334

    Valeur au bilan

 

 

 

 

166 758

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

264

9 200

14 400

14 764

38 628

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

        Total

264

9 200

14 400

14 764

38 628

    Dettes rattachées

 

 

 

 

945

    Valeur au bilan

 

 

 

 

39 573

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

2 308

 

 

 

2 308

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

    Titres de créances négociables :

 

17 204

 

150 000

167 204

        Émis en France

 

17 204

 

150 000

167 204

        Émis à l'étranger

 

 

 

 

 

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

        Total

2 308

17 204

 

150 000

169 512

    Dettes rattachées

 

 

 

 

287

    Valeur au bilan

 

 

 

 

169 799

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

234

4 573

23 600

 

28 407

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

        Total

234

4 573

23 600

0

28 407

    Dettes rattachées

 

 

 

 

466

    Valeur au bilan

 

 

 

 

28 873

 

3.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change. — Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi

— de couverture de valeur,

— de couverture de résultats futurs,

— de couverture d’un investissement net en devise.

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité (voir rapport de gestion page 14)

 

— Couverture de juste valeur : Les couvertures de juste valeur modifient le risque de variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

 

— Couverture de flux de trésorerie : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

 

— Couverture d’un investissement net en devise : Les couvertures d’un investissement net en devises modifient le risque inhérent aux fluctuations des taux de change liés à des détentions d’actifs ou de passifs dans des devises différentes de la devise de référence de l’entité.

 

— Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Valeur marché

Montant

Notionnel

Valeur marché

Montant

Notionnel

positive

négative

positive

négative

Couverture de juste valeur

32 121

9 843

898 051

2 207

20 778

993 829

    Taux d'intérêt

32 121

9 843

898 051

2 207

20 778

993 829

    Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

    Change

 

 

 

 

 

 

    Crédit

 

 

 

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

0

1 839

29 075

0

66

20 584

    Taux d'intérêt

 

1 839

29 075

 

66

20 584

    Capitaux propres

 

 

 

 

 

 

    Change

 

 

 

 

 

 

    Crédit

 

 

 

 

 

 

    Couverture d’investissement net dans une activité a l'étranger

 

 

 

 

 

 

    Total instruments dérivés de couverture

32 121

11 682

927 126

2 207

20 844

1 014 413

 

3.5. Risques opérationnels. — Le risque opérationnel est le risque de pertes dues à une inadéquation ou à une défaillance des procédures, personnels, systèmes interne ou à des évènements externes et qui n’est pas lié à un risque de crédit, de marché ou de liquidité (voir rapport de gestion page 14)

En 2004, le déploiement du dispositif risques opérationnels avec dans un premier temps l’outil « EUROPA » a permis de réaliser une cartographie, pour l’ensemble des Caisses régionales et de leurs filiales, permettant par une approche qualitative et quantitative d’apprécier le niveau d’exposition d’une entité à ces risques opérationnels avérés et potentiels dans l’ensemble des métiers et fonctions (opérationnelles et support) qui la concernent et de recenser, de qualifier et de coter ces risques opérationnels.

En 2005, le Groupe Crédit Agricole a poursuivi la mise en oeuvre du dispositif avec le déploiement de l’outil « OLIMPIA » qui permet de collecter les incidents survenus depuis le 1er janvier.

Cette démarche quantitative et continuelle permet de recenser et de collecter les risques opérationnels avérés et d’en mesurer les fréquences et les impacts financiers.

Ce dispositif permet d’évaluer le coût du risque opérationnel qui doit figurer dans le tableau de bord de l’entité, d’en analyser l’évolution et ses composantes afin d’établir des priorités en matière d’actions correctrices, d’alerter le management sur les incidents significatifs de la période nécessitant le cas échéant des mesures palliatives appropriées, ou de fournir les informations nécessaires à l’unité en charge des polices d’assurance et/ou pour adapter la politique de couverture des risques de l’entité.

 

3.6. Gestion du capital et ratios réglementaires. — L’amendement de la norme IAS 1 adopté par l’Union européenne le 11 janvier 2006 prévoit des informations sur le capital et sa gestion. L’objectif de l’amendement est de fournir au lecteur des informations sur les objectifs, politiques et procédures de gestion du capital de l’émetteur. A ce sujet, des informations de nature qualitative et quantitative sont requises en annexe et notamment : données chiffrées récapitulatives sur les éléments gérés en tant que capital, description des éventuelles contraintes externes auxquelles l’entreprise est soumise au titre de son capital (par exemple du fait d’obligations réglementaires), indication ou non du respect des contraintes réglementaires et en cas de défaut de respect, une indication des conséquences qui en découlent.

Conformément à la réglementation prudentielle bancaire qui transpose en droits français les directives européennes « adéquation des fonds propres des entreprises d’investissement et des établissements de crédit » et «conglomérats financiers », La Caisse Régionale Sud Méditerranée est soumise au respect du ratio de solvabilité et des ratios relatifs à la liquidité, la division des risques ou les équilibres de bilan.

La gestion des fonds propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est conduite de façon à respecter les niveaux de fonds propres prudentiels au sens du règlement 90-02 et exigés par la Commission Bancaire afin de couvrir les risques pondérés au titre des risques de crédit, des risques opérationnels et des risques de marché.

L’arrêté du 20 février 2007 transpose dans la réglementation française le dispositif européen CRD (Capital Requirements Directive) (2006-48-CE et 2006-49 CE). Le texte définit les « exigences de fonds propres applicables aux établissements de crédit et aux entreprises d’investissement » et les modalités de calcul du ratio de solvabilité à compter du 1er janvier 2008.

Conformément à ces dispositions, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a intégré dès 2007, dans la gestion des fonds propres et des risques, les impacts liés au passage à la nouvelle directive européenne CRD.

Toutefois, le régulateur a défini jusqu’à fin 2009 les niveaux planchers de fonds propres suivants :

— 95 % des exigences de fonds propres telles qu’elles auraient été calculées en CAD jusqu’au 31.12.2007 ;

— 90 % de ces exigences jusqu’au 31.12.2008 ;

— 80 % de ces exigences jusqu’au 31.12.2009.

Les fonds propres sont répartis en trois catégories :

– les fonds propres durs (tier 1) déterminés à partir des capitaux propres du groupe et retraités notamment des gains et pertes latents,

– les fonds propres complémentaires (tier 2), limités à 100 % du montant des fonds propres de base et composés principalement des dettes subordonnées,

– Les fonds propres surcomplémentaires admis au ratio (tier 3), composés principalement de dettes subornées à maturité plus courte.

Les déductions relatives notamment aux participations dans d’autres établissements de crédit viennent minorer le total de ces fonds propres et s’imputent désormais directement sur les montants du tier 1 et du tier 2, conformément à la réglementation.

 

Niveau des fonds propres prudentiels calculés conformément à la réglementation (données non audités) :

 

 

31/12/2008

31/12/2007

Fonds propres de base (tier 1)

280 024

339 641

Fonds propres complémentaires (tier 2)

0

0

Fonds propres surcomplémentaires (tier 3)

 

 

Valeur de mise en équivalence des titres des sociétés d’assurance (si concerné)

N.A

N.A

    Total des Fonds Propres Prudentiels

280 024

339 641

 

En application de la réglementation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée doit respecter en permanence un ratio de fonds propres de base égal au moins à 4 % et un ratio de solvabilité de 8 %.

Au 31 décembre 2008, comme au 31 décembre 07, la Caisse Régionale Sud Méditerranée répond à ces exigences réglementaires.

 

4. – Notes relatives au compte de résultat.

4.1. Produits et Charges d’intérêts :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 471

1 276

Sur opérations internes au Crédit Agricole

12 647

8 802

Sur opérations avec la clientèle

204 812

175 861

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

472

316

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 887

2 719

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

42 516

35 262

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

 

    Produits d'intérêts (1) (2)

264 805

224 236

Sur opérations avec les établissements de crédit

28

12

Sur opérations internes au Crédit Agricole

124 768

105 635

Sur opérations avec la clientèle

11 851

6 793

Actifs financiers disponibles à la vente

62

42

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Sur dettes représentées par un titre

6 885

369

Sur dettes subordonnées

1 977

1 497

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

41 255

37 089

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

 

    Charges d'intérêts

186 826

151 437

(1) Dont 5 309 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement (total PCCO 707090 et 705190).

(2) Dont 2 236 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l'Etat.

 

4.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

256

-177

79

218

-123

95

Sur opérations internes au Crédit Agricole

12 686

-7 340

5 346

10 426

-4 201

6 225

Sur opérations avec la clientèle

21 125

-30

21 095

19 270

-36

19 234

Sur opérations sur titres

218

 

218

 

 

0

Sur opérations de change

10

 

10

8

 

8

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

3 164

-319

2 845

2 283

-419

1 864

Sur moyens de paiement et autres prestations de services bancaires et financiers

34 220

-3 651

30 569

11 134

-517

10 617

Gestion d'opcvm, fiducie et activités analogues

10 134

-644

9 490

34 787

-3 952

30 835

    Produits nets des commissions

81 813

-12 161

69 652

78 126

-9 248

68 878

 

4.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

320

102

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par option

-2 598

173

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

123

105

Résultat de la comptabilité de couverture

-2

-746

    Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

-2 157

-366

 

Profit net ou perte nette résultant de la comptabilité de couverture. — Le résultat de la comptabilité de couverture se décompose comme suit :

 

(En milliers d'euros)

2008

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

1 548

1 578

-30

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

1 548

30

1 518

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

 

1 548

-1 548

    Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

    Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

    Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

54 648

54 620

28

Variations de juste valeur des éléments couverts

9 489

45 137

-35 648

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

45 159

9 483

35 676

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Cessation de la comptabilité de couverture dans le cas d'une couverture de flux de trésorerie

 

 

 

    Total résultat de la comptabilité de couverture

56 196

56 198

-2

 

(En milliers d'euros)

2007

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

624

687

-63

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

200

487

-287

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

424

200

224

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

7 535

8 218

-683

Variations de juste valeur des éléments couverts

188

934

-746

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

7 347

7 284

63

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie efficace

 

 

 

Cessation de la comptabilité de couverture dans le cas d'une couverture de flux de trésorerie

 

 

 

    Total résultat de la comptabilité de couverture

8 159

8 905

-746

 

4.4. Gains ou perte nets sur Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Dividendes reçus

15 106

14 385

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente

-2 174

2 686

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres à revenu variable)

-10

-73

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

    Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

12 922

16 998

 

4.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d'euros)

31.12.2008

31.12.2007

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-10

-10

Autres produits (charges) nets

9 963

9 544

    Produits (charges) des autres activités

9 953

9 534

 

4.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Charges de personnel

51 251

50 413

Impôts et taxes

3 062

2 905

Services extérieurs et autres charges générales d'exploitation

30 200

29 395

    Charges d'exploitation

84 513

82 713

 

4.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Dotations aux amortissements

6 485

6 465

Dotations aux dépréciations

 

 

    Total

6 485

6 465

 

4.8. Coût du risque :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-38 220

-32 941

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Prêts et créances

-34 977

-31 889

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

-2 796

 

Autres actifs

-60

 

Engagements par signature

-57

 

Risques et charges

-330

-1 052

    Reprises de provisions et de dépréciations

14 339

20 968

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Prêts et créances

13 221

20 274

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Autres actifs

42

208

Engagements par signature

180

76

Risques et charges

896

410

    Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-23 881

-11 973

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-215

-252

Récupérations sur prêts et créances amortis

739

604

Décotes sur crédits restructurés

-163

-606

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

 

 

    Coût du risque

-23 520

-12 227

 

4.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

116

763

Plus-values de cession

128

843

Moins-values de cession

-12

-80

Titres de capitaux propres consolidés

 

 

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

    Gains ou pertes sur autres actifs

116

763

 

4.10. Impôts :

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Charge d'impôt courant

15 226

21 640

Charge d'impôt différé

-3 304

-3 265

Charge d'impôt de la période

11 922

18 375

 

— Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

Au 31.12.2008 :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions et résultats des sociétés mises en équivalence

53 947

Taux d’impôt théorique 34,43 %

18 574

Effet des différences permanentes

 

 

-3 788

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

-118

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-2 727

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-51

Effet des autres éléments

 

 

32

    Taux et charge effectif d'impôt

 

22,10 %

11 922

 

— Au 31.12.2007 :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, dépréciations d'écarts d'acquisitions et résultats des sociétés mises en équivalence

67 201

34,43 %

23 137

Effet des différences permanentes

 

 

-5 351

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

20

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

423

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-144

Effet des autres éléments

 

 

290

Taux et charge effectif d'impôt

 

27,34 %

18 375

 

5. – Informations sectorielles.

La Caisse régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France», toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (Distribution de crédits).

 

6. – Notes relatives au bilan.

6.1. Caisse, Banques centrales :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

22 921

 

21 556

 

Banques centrales

6 734

 

6 705

 

    Total en principal

29 655

 

28 261

 

Créances, Dettes rattachées

50

 

 

 

    Valeur au bilan

29 705

 

28 261

 

 

6.2. Actifs et Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31.12.2008

31.12.2007

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

574

973

Actifs financiers à la Juste Valeur par résultat sur option

4 036

41 305

Juste valeur au bilan

4 610

42 278

Dont Titres prêtés

 

 

 

Les montants relatifs aux titres reçus en pension livrée comprennent ceux que l’entité est autorisée à redonner en garantie.

 

— Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

        Titres cotés

 

 

        Titres non cotés

 

 

    Actions et autres titres à revenu variable

 

 

        Titres cotés

 

 

        Titres non cotés

 

 

Instruments dérivés

574

973

Juste valeur au bilan

574

973

 

— Actifs financiers à la Juste Valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres à la juste valeur par résultat sur option

4 036

41 305

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

        Titres cotés

 

 

        Titres non cotés

 

 

    Actions et autres titres à revenu variable

4 036

41 305

        Titres cotés

 

 

        Titres non cotés

4 036

41 305

Juste valeur au bilan

4 036

41 305

 

— Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Passifs financiers détenus à des fins de transaction

659

1 266

Passifs financiers à la Juste Valeur par résultat sur option

 

 

Juste valeur au bilan

659

1 266

 

— Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Titres vendus à découvert

 

 

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

659

1 266

    Juste valeur au bilan

659

1 266

 

Une information détaillée sur les instruments dérivés de transaction est fournie à la note 3.2 relative au risque de marché, notamment sur taux d’intérêts

 

6.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 3.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêts et de change

 

6.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

10 045

97 467

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

10 045

97 467

Actions et autres titres à revenu variable

172 677

315 859

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

172 677

315 859

        Total des titres disponibles à la vente

182 722

413 326

        Total des créances disponibles à la vente

 

 

Créances rattachées

91

45

    Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

182 813

413 371

(1) Dont -1,3 M€ comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

 

— Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Juste valeur

Gains latents

Pertes latentes

Juste valeur

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

10 045

145

-153

97 467

Actions et autres titres à revenu variable

1 349

 

 

1 349

Titres de participation non consolidés

171 328

7 778

-66 365

314 510

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Créances rattachées

91

 

 

45

    Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente

182 813

7 923

-66 518

413 371

Impôts

 

-178

53

 

    Gains et pertes latents sur actifs financiers disponibles à la vente (net IS)

 

7 745

-66 465

 

 

6.5. Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Etablissements de crédit :

 

 

    Comptes et prêts

2 247

3 090

        Dont comptes ordinaires débiteurs sains

 

 

        Dont comptes et prêts au jour le jour sains

 

 

    Valeurs reçues en pension

 

 

    Titres reçus en pension livrée

 

 

    Prêts subordonnés

394

394

    Titres non cotés sur un marché actif

 

 

    Autres prêts et créances

 

 

        Total

2 641

3 484

    Créances rattachées

3

 

    Dépréciations

 

 

    Valeurs nettes

2 644

3 484

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

    Comptes ordinaires

89 303

2 034

    Comptes et avances à terme

108 963

119 309

    Prêts subordonnés

13 500

13 500

    Titres non cotés sur un marché actif

 

 

        Total

211 766

134 843

    Créances rattachées

2 960

2 034

    Dépréciations

 

 

    Valeurs nettes

214 726

136 877

    Valeur nette au bilan

217 370

140 361

 

— Prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Opérations avec la clientèle :

 

 

    Créances commerciales

20 061

20 752

    Autres concours à la clientèle

4 210 903

3 871 851

    Titres reçus en pension livrée

 

 

    Prêts subordonnés

27 000

27 000

    Titres non cotés sur un marché actif

1 015

1 015

    Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

    Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

    Avances en comptes courants d'associés

57 680

5 813

    Comptes ordinaires débiteurs

45 635

61 160

        Total

4 362 294

3 987 591

    Créances rattachées

41 792

35 749

    Dépréciations

-132 709

-112 810

    Valeurs nettes

4 271 377

3 910 530

Opérations de location financement :

 

 

    Location-financement immobilier

 

 

    Location-financement mobilier, location simple et opérations assimilées

 

 

        Total

 

 

    Créances rattachées

 

 

    Dépréciations

 

 

    Valeurs nettes

 

 

    Valeur nettes au bilan

4 271 377

3 910 530

 

A noter : La Caisse régionale Sud Méditerranée a donné pour 35 758 milliers d’euros de créances en garantie de ses passifs à Crédit Agricole S.A dans le cadre de la participation du Groupe Crédit Agricole aux refinancements accordés par la Société de Financement de l’Economie Française (SFEF). La Caisse régionale Sud Méditerranée conserve l’intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

 

6.6. Dépréciations inscrites en déduction des actifs financiers :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2008

Créances sur établissements de crédit

 

 

 

 

0

Créances clientèle

112 810

39 920

20 021

 

132 709

Dont dépréciations collectives

40 792

6 362

1 963

 

45 191

Opérations de location financement

 

 

 

 

0

Titres détenus jusqu'à l'échéance

 

2 796

 

 

2 796

Actifs disponibles à la vente

1 301

10

 

 

1 311

Autres actifs financiers

2 547

60

42

 

2 565

    Total des dépréciations des actifs financiers

116 658

42 786

20 063

 

139 381

 

(En milliers d'euros)

31.12.2006

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31.12.2007

Créances sur établissements de crédit

 

 

 

 

0

Créances clientèle

104 681

34 786

26 657

 

112 810

Dont dépréciations collectives

31 974

8 818

 

 

40 792

Opérations de location financement

 

 

 

 

0

Titres détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

0

Actifs disponibles à la vente

2 232

73

1 004

 

1 301

Autres actifs financiers

2 746

9

208

 

2 547

    Total des dépréciations des actifs financiers

109 659

34 868

27 869

 

116 658

 

6.7. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle :

— Dettes envers les établissements de crédit

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Etablissements de crédit :

 

 

    Comptes et emprunts

417

430

        Dont comptes ordinaires créditeurs

 

 

        Dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

    Valeurs données en pension

 

 

    Titres donnés en pension livrée

 

 

        Total

417

430

    Dettes rattachées

5

2

    Valeur au bilan

422

432

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

    Comptes ordinaires créditeurs

3

94 922

    Comptes et avances à terme

2 939 282

2 581 052

        Total

2 939 285

2 675 974

    Dettes rattachées

15 707

10 305

    Valeur au bilan

2 954 992

2 686 279

    Valeur au bilan des dettes envers les établissements de crédit

2 955 414

2 686 711

 

— Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Comptes ordinaires créditeurs

959 023

973 726

Comptes d'épargne à régime spécial

8 521

12 315

Autres dettes envers la clientèle

225 142

149 536

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

    Total

1 192 686

1 135 577

Dettes rattachées

4 429

2 423

    Valeur au bilan

1 197 115

1 138 000

 

6.8. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

50 938

47 240

    Total

50 938

47 240

Créances rattachées

965

761

Dépréciations

-2 796

 

    Valeurs nettes au bilan

49 107

48 001

 

6.9. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Dettes représentées par un titre :

 

 

    Bons de caisse

2 277

2 308

    Titres du marché interbancaire

 

 

    Titres de créances négociables :

164 147

167 204

        Émis en France

164 147

167 204

        Émis à l'étranger

 

 

    Emprunts obligataires

 

 

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

        Total

166 424

169 512

    Dettes rattachées

334

287

    Valeur au bilan

166 758

169 799

Dettes subordonnées :

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

38 628

28 407

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

        Total

38 628

28 407

    Dettes rattachées

945

466

    Valeur au bilan

39 573

28 873

 

6.10. Actifs et passifs d’impôts différés :

 

Impôts différés – Actif

31/12/2008

31/12/2007

(En milliers d'euros)

 

 

Provisions pour risques et charges non déductibles

20 571

18 051

Charges à payer non déductibles

303

623

Couvertures de Flux de Trésorerie

633

4

Autres impôts différés actif

13 313

6 911

    Total impôt différé actif

34 821

25 589

 

Impôts différés - Passif

31.12.2008

31.12.2007

(En milliers d'euros)

 

 

Actifs disponibles à la vente

178

2 394

Couvertures de Flux de Trésorerie

 

 

Autres différences temporaires

 

 

Autres impôts différés passif

13 265

9 475

Total impôt différé passif

13 443

11 869

 

6.11. Comptes de régularisation active, passive et diverse :

— Comptes de régularisation actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Autres actifs

25 566

21 774

Comptes de stocks et emplois divers

2 669

1 956

Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

Débiteurs divers

22 768

19 754

Comptes de règlements

129

64

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

    Comptes de régularisation

59 288

70 893

Comptes d'encaissement et de transfert

32 666

43 367

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

1

 

Produits à recevoir

24 926

22 687

Charges constatés d'avance

588

393

Autres comptes de régularisation

1 107

4 446

    Valeur nette au bilan

84 854

92 667

 

— Comptes de régularisation passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Autres passifs (1)

20 640

18 772

Comptes de règlements

881

275

Créditeurs divers

17 525

16 256

Versement restant à effectuer sur titres

1 713

1 713

Autres

521

528

    Comptes de régularisation

34 782

35 315

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

3 974

7 305

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

 

Produits constatés d’avance

9 891

7 635

Charges à payer

20 917

20 375

Autres comptes de régularisation

 

 

    Valeur au bilan

55 422

54 087

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) Les montants sont indiqués en nets.

 

6.12. Immeubles de placement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2008

Valeur brute

378

7

 

 

385

Amortissements et dépréciations

-233

-10

 

 

-243

    Valeur nette au bilan

145

-3

 

 

142

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

(En milliers d'euros)

31.12.2006

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31.12.2007

Valeur brute

1 510

 

-1 132

 

378

Amortissements et dépréciations

-223

-10

 

 

-233

Valeur nette au bilan

1 287

-10

-1 132

 

145

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

6.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2008

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

Valeur brute

108 205

15 370

13 315

 

110 260

Créances rattachées (1)

 

 

 

 

0

Amortissements et dépréciations

66 204

5 984

5 901

 

66 287

    Valeur nette au bilan

42 001

9 386

7 414

0

43 973

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

Valeur brute

10 042

316

80

 

10 278

Amortissements et dépréciations

8 975

501

80

 

9 396

    Valeur nette au bilan

1 067

-185

 

0

882

(1) Loyers courus non échus sur les immobilisations données en location simple.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2007

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

104 704

9 677

5 925

-251

108 205

    Créances rattachées (1)

 

 

 

 

0

    Amortissements et dépréciations

62 715

5 695

2 206

 

66 204

    Valeur nette au bilan

41 989

3 982

3 719

-251

42 001

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

    Valeur brute

9 291

753

2

 

10 042

    Amortissements et dépréciations

8 205

770

 

 

8 975

    Valeur nette au bilan

1 086

-17

2

0

1 067

(1) Loyers courus non échus sur les immobilisations données en location simple.

 

6.14. Provisions :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2008

Risques sur les produits épargne logement

5 202

633

 

623

 

5 212

Risques d’exécution des engagements par signature

925

57

66

180

 

736

Risques opérationnels

5 173

160

256

896

867

5 048

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

496

 

49

 

 

447

Litiges divers

3 556

108

155

1 647

 

1 862

Participations

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

0

Autres risques

1 954

337

141

23

-867

1 260

    Provisions

17 306

1 295

667

3 369

 

14 565

Dont 447 milliers d’euros au titre de la provision pour médaille du travail.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2007

Risques sur les produits épargne logement

5 322

722

842

 

 

5 202

Risques d’exécution des engagements par signature

1 001

 

 

76

 

925

Risques opérationnels

4 600

502

611

3 997

4 679

5 173

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

535

 

 

39

 

496

Litiges divers

5 772

279

 

2 495

 

3 556

Participations

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

0

Autres risques

6 418

675

366

94

-4 679

1 954

    Provisions

23 648

2 178

1 819

6 701

 

17 306

Dont 496 milliers d’euros au titre de la provision pour médaille du travail.

 

Provision épargne logement. — Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

174 204

131 296

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

290 030

328 801

Ancienneté de plus de 10 ans

169 594

233 398

    Total plans d'épargne-logement

633 828

693 495

    Total comptes épargne-logement

100 136

110 663

    Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

733 964

804 158

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007

Les encours de collecte sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2008 et hors prime d'état

 

— Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Plans d'épargne-logement :

7 977

8 429

Comptes épargne-logement :

18 214

18 665

    Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

26 191

27 094

 

— Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31.12.2008

31.12.2007

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

1 282

1 231

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

170

39

Ancienneté de plus de 10 ans

776

1 038

    Total plans d'épargne-logement

2 228

2 308

    Total comptes épargne-logement

2 985

2 894

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 213

5 202

 

L'ancienneté est déterminée conformément au CRC 2007-01 du 14 décembre 2007

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

Dotations

Reprises

Autres mouvements

31/12/2008

Plans d'épargne-logement :

2 308

273

354

 

2 228

Comptes épargne-logement :

2 894

360

270

 

2 985

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 202

633

623

 

5 212

 

6.15. Capitaux propres :

 

Composition du capital au 31 décembre 2008. — La Caisse régionale de Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L.231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires, de Certificats Coopératifs d’Investissement et de Certificats Coopératifs d’Associés.

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

Les CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2008

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2008

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

 

 

459 957

    Dont part du Public

 

 

 

 

    Dont part Crédit Agricole S.A.

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

12 957 932

 

25 986

12 931 946

    Dont 59 caisses locales

12 957 907

 

25 986

12 931 921

    Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

 

24

    Dont crédit agricole S.A.

1

 

 

1

        Total

13 417 889

0

25 986

13 391 903

 

La valeur nominale des titres est de :

— 15,25 € pour les CCA

— 15,25 € pour les parts sociales émises par la CR.

— 1.53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales

Pour un montant total du Capital de 27 158 au 31.12.2008

Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale Sud Méditerranée sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA.

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

Montant Net

Montant Net

2005

6,12

0,05

2006

7,02

0,05

2007

7,56

0,05

Prévu 2008

7,11

0,05

 

Affectations du résultat et fixation du dividende 2008. — L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2008 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 26 Mars 2009.

 

Projet affectation du résultat au 31 décembre 2008

 

Résultat comptable

43 574 131,48

Ran créditeur

 

Résultat à affecter

43 574 131,48

Distribué

3 899 361,82

Intérêts aux parts sociales

631 301,96

Intérêts aux parts aux Caisses locales

631 290,98

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

10,98

Rémunération des CCA

3 268 059,86

Conservé

39 674 769,66

Réserves légales

29 756 077,24

Autres réserves

9 918 692,41

 

7. – Avantages au personnel et autres rémunérations.

7.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Salaires et traitements

27 379

27 877

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

3 044

2 900

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

881

471

Autres charges sociales

10 221

9 919

Intéressement et participation

6 146

6 020

Impôts et taxes sur rémunération

3 580

3 226

    Total charges de personnel

51 251

50 413

 

7.2. Effectif fin de période :

 

Effectifs

31/12/2008

31/12/2007

France

888

882

Etranger

15

14

    Total

903

896

 

7.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

7.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies (en milliers d’euros) :

 

Variation dette actuarielle

31/12/2008

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Dette actuarielle au 31/12.n-1

12 260

14 420

13 147

12 737

Ecart de change

 

 

 

 

Coût des services rendus sur la période

695

555

621

502

Coût financier

608

575

508

596

Cotisations de l'employé

 

 

 

 

Modification. Réduction. liquidation de plan

-4 289

 

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-770

-474

-357

-380

(Gains) pertes actuariels *

1 321

-2 817

501

-308

    Dette actuarielle au 31/12/n

9 826

12 259

14 420

13 147

 

Détail de la charge comptabilisée au résultat

31/12/2008

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Coût des services rendus sur l'exercice

695

555

621

502

Coût financier

608

575

508

596

Rendement attendu des actifs sur la période

-455

-545

-448

-487

Amortissement du coût des services passés

96

431

390

 

Amortissement des gains. (pertes) actuariels

 

 

 

 

Gains. (pertes) sur les réductions et liquidations

 

 

 

752

Gains. (pertes) sur la limitation de surplus

 

 

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

946

1 016

1 071

1 363

 

Variation de juste valeur des actifs du régime et des Droits à remboursement

31/12/2008

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Juste valeur des actifs. droits à remboursement au 31/12/n-1

11 198

13 644

11 200

11 493

Ecart de change

 

 

 

 

Rendement attendu des actifs

455

545

448

487

Gains. (pertes) actuariels sur les actifs du régime

1 225

-3 248

112

-1 060

Cotisations de l'employeur

942

731

2 241

936

Cotisations de l'employé

 

 

 

 

Modification. Réduction. liquidation de plan

-4 289

 

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

 

-35

Indemnités de cessation d'activité

 

 

 

 

Prestations versées

-770

-474

-357

-621

    Juste valeur des actifs droits à remboursement au 31/12/n

8 761

11 198

13 644

11 200

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Position nette

 

 

 

 

Dette actuarielle nette fin de période

9 826

12 260

14 420

13 147

Juste valeur des actifs. Droits à remboursement fin de période

8 761

11 198

13 644

11 200

Position nette (passif). actif fin de période

-1 066

-1 062

-776

-1 947

 

7.5. Autres engagements sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 447 K€ à la fin de l’exercice 2008.

 

7.6. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de Direction et d’Administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 058 K€.

 

8. – Résultat courant par zone géographique.

(En milliers d'euros)

31/12/2008

PNB

Charges d'exploitation

Dot. Amort et dép.

RBE

Coût du risque

Résultat exploitation

Résultat net sur actifs immo.

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

159 636

-82 035

-6 452

71 149

-17 963

53 186

116

53 302

Espagne

8 713

-2 478

-33

6 202

-5 557

645

 

645

    Totaux

168 349

-84 513

-6 485

77 351

-23 520

53 831

116

53 947

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

PNB

Charges d'exploitation

Dot. Amort et dép.

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immo.

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

161 962

-79 891

-6 430

75 641

-11 885

63 756

763

64 519

Espagne

5 881

-2 822

-35

3 024

-342

2 682

 

2 682

    Totaux

167 843

-82 713

-6 465

78 665

-12 227

66 438

763

67 201

 

A noter, le détail des encours par zone géographique, en particulier sur l’Espagne figure en Annexe 3.1 page 39.

 

9. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

9.1. Engagements donnés et reçus :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Engagements donnés :

 

 

    Engagements de financement

554 060

509 246

        Engagements en faveur d'établissements de crédit

1 000

90

        Engagements en faveur de la clientèle

553 060

509 156

    Ouverture de crédits confirmés

437 641

384 164

        Ouverture de crédits documentaires

189

348

        Autres ouvertures de crédits confirmés

437 452

383 816

    Autres engagements en faveur de la clientèle

115 419

124 992

    Engagements de garantie

112 140

103 694

        Engagements d'ordre d'établissement de crédit

0

0

    Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

    Autres garanties

 

 

        Engagements d'ordre de la clientèle

112 140

103 694

    Cautions immobilières

9 321

14 092

    Garanties financières

102 819

89 602

    Autres garanties d'ordre de la clientèle

 

 

Engagements reçus

 

 

    Engagements de financement

131

158 152

        Engagements reçus d'établissements de crédit

131

158 152

        Engagements reçus de la clientèle

 

 

    Engagements de garantie

454 168

359 597

        Engagements reçus d'établissements de crédit

25 282

24 895

        Engagements reçus de la clientèle

428 886

334 702

    Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

132 741

132 380

    Autres garanties reçues

296 145

202 322

 

La Caisse régionale Sud Méditerranée a donné pour 35 758 milliers d’euros de créances en garantie de ses passifs à Crédit Agricole S.A. dans le cadre de la participation du Groupe Crédit Agricole aux refinancements accordés par la Société de Financement de l’Economie Française (SFEF). La Caisse régionale Sud Méditerranée conserve l’intégralité des risques et avantages associés à ces créances.

 

10. – Juste valeur des instruments financiers.

La juste valeur d’un instrument financier est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé ou une dette réglée entre des parties avisées, consentantes dans une transaction conclue à des conditions normales.

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté. Celles-ci sont susceptibles de changer dans d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

Dans la pratique, et dans une logique de continuité de l’activité, l’ensemble de ces instruments financiers pourrait ne pas faire l’objet d’une réalisation immédiate pour la valeur estimée ci-dessous.

 

Juste valeur des actifs et passifs financiers comptabilisés au coût (données non auditées) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2008

31/12/2007

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Actifs :

 

 

 

 

    Prêts et créances sur les établissements de crédit

217 370

217 370

140 361

140 361

    Prêts et créances sur la clientèle

4 271 377

4 311 210

3 910 530

3 883 384

    Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

49 107

38 495

48 001

44 784

    Immeubles de placement

142

142

145

145

Passifs :

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédits

2 955 414

2 960 509

2 686 711

2 683 925

    Dettes envers la clientèle

1 197 115

1 197 115

1 138 000

1 138 000

    Dettes représentées par un titre

166 758

166 758

169 799

169 799

    Dettes subordonnées

39 573

39 573

28 873

28 873

 

Pour les instruments financiers, la meilleure estimation correspond au prix de marché de l’instrument lorsque celui-ci est traité sur un marché actif (cours cotés et diffusés).

En l’absence de marché ou de données fiables, la juste valeur est déterminée par une méthode appropriée conforme aux méthodologies d’évaluations pratiquées sur les marchés financiers : soit la référence à la valeur de marché d’un instrument comparable, soit l’actualisation des flux futurs, soit des modèles d’évaluation.

Dans les cas où il est nécessaire d’approcher les valeurs de marché au moyen d’évaluation, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs estimés qui est la plus couramment utilisée.

Par ailleurs, dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— Des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché,

— Des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché,

— Des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics,

— Des passifs exigibles à vue, des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables. Périmètre de consolidation au 31 décembre 2008 liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

 

11. – Périmètre de consolation au 31 décembre 2008.

Liste des filiales, co-entreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode de consolidation au 31/12/2008

% De contrôle et d'intérêt

31/12/2008

31/12/2007

Caisse Locale à vocation départementale des P.O

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARGELES -ST ANDRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BAGES - SUD REART

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BAIXAS - PEYRESTORTES - CALCE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BANYULS S.MER

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BOMPAS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CERDAGNE CAPCIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CABESTANY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANET - STE MARIE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CANOHES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CARAMANY - BELESTA - TREVILLAC

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PORTE DU VALLESPIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de COLLIOURE - PORT VENDRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PLAINE DU TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ESPIRA - CASES DE PENE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MOYEN AGLY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ILLE SUR TET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de BASSIN DE L'AGLY

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MAURY - LESQUERDE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MILLAS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PERPIGNAN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PEZILLA - CORNEILLA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de POLLESTRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ASPRES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PRADES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de RIVESALTES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAINT-CYPRIEN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du RIBERAL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST FELIU D'AVALL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des ALBERES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de AGLY SALANQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST NAZAIRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des FENOUILLEDES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALEILLES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SALSES - OPOUL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LE SOLER

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VERDOUBLE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de THUIR

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TOULOUGES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VILLELONGUE SQUE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VINCA - TARERACH - SOURNIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ARLES S.TECH

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d' AX LES THERMES

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LA BASTIDE DE SEROU

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de CASTILLON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de FOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LAVELANET

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de LEZAT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du MAS D AZIL

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de MIREPOIX

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de PAMIERS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de QUERIGUT

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de STE CROIX VOLVESTRE

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de ST GIRONS

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de SAVERDUN

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de TARASCON

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de VARILHES

France

Intégration Globale

100

100

 

VIII. — Rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés.

Aux Sociétaires,

 

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2008, sur :

— le contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— la vérification spécifique prévue par la loi.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes consolidés. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion.

Nous certifions que les comptes consolidés de l'exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu'adopté dans l'Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l'article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

— Comme indiqué dans les notes 1.3 et 6.14 de l'annexe, votre caisse régionale constitue des dépréciations pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes, nous avons examiné le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l'appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et collectives.

— La note 1.3 de l'annexe expose les règles et méthodes comptables relatives aux actifs financiers disponibles à la vente. Nous avons examiné les évaluations retenues pour la valorisation de ces titres et avons vérifié la correcte application des principes retenus par votre caisse régionale pour leur dépréciation et plus particulièrement celle relative aux titres de capitaux propres.

— Dans le cadre de l'arrêté des comptes, votre caisse régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur l’évaluation en juste valeur des instruments financiers. Nous avons revu et testé les processus mis en place par la direction, les hypothèses retenues et paramètres utilisés, et vérifié que ces estimations comptables s’appuient sur des méthodes documentées conformes aux principes retenus par votre caisse régionale.

Sur la base des informations disponibles à ce jour, nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé à la vérification spécifique prévue par la loi des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

Paris et Paris-La Défense, le 9 mars 2009.

 

Les Commissaires aux Comptes :

ADG International :

Ernst & Young Audit :

Albert Zaragoci ;

Bernard Heller Frank Astoux.

 

 

0902474

30/04/2008 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N2)
Numéro d'affaire : 4617
Texte de l'annonce :

0804617

30 avril 2008BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°52


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)

 

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Livre V du Code Rural.

Capital social au 31 décembre 2007 : 21 043 033 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923 66 832 Perpignan Cedex.

Numéro Siren : 776 179 335. — Code APE 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2007.

 

 

A. — Comptes sociaux au 31 décembre 2007.  

I. — Bilan au 31 décembre 2007.

(En milliers d'euros.)

 

Actif

Notes

2007

2006

Opérations interbancaires et assimilées

 

31 745

52 520

Caisse, banques centrales (*)

 

28 261

49 731

Effets publics et valeurs assimilées

5

 

 

Créances sur les établissements de crédit

3

3 484

2 789

Opérations internes au Crédit Agricole

3

136 877

144 381

Opérations avec la clientèle

4

3 944 341

3 482 130

Opérations sur titres :

 

176 801

150 741

Obligations et autres titres à revenu fixe

5

89 522

82 675

Actions et autres titres à revenu variable

5

87 279

68 066

Valeurs immobilisées

 

236 424

236 393

Participations et autres titres détenus à long terme

6-7

192 159

191 134

Parts dans les entreprises liées

6-7

1 068

914

Immobilisations incorporelles

7

1 067

1 086

Immobilisations corporelles

7

42 132

43 259

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

112 970

89 527

Autres actifs

8

22 963

16 908

Comptes de régularisation

8

90 007

72 619

    Total actif

 

4 639 159

4 155 692

(*) Les opérations ayant comme contrepartie la banque postale (ex CCP) sont désormais rattachées a la rubrique « créances sur établissement de crédit »

 

 

Passif

Notes

2007

2006

Opérations interbancaires et assimilées

 

432

463

Banques centrales (*)

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédits

10

432

463

Opérations internes au Crédit Agricole

10

2 689 682

2 488 001

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 141 249

1 079 385

Dettes représentées par un titre

12

169 799

1 484

Comptes de régularisation et passifs divers

 

73 423

66 141

Autres passifs

13

15 991

22 881

Comptes de régularisation

13

57 432

43 260

Provisions et dettes subordonnées

 

90 387

88 130

Provisions

14-15

59 604

57 366

Dettes subordonnées

18

30 783

30 764

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17

7 557

7 557

Capitaux propres hors FRBG

19

466 630

424 531

    Capital souscrit

 

28 057

28 057

    Primes d'émission

 

129 625

129 625

    Réserves

 

262 574

223 461

    Ecart de réévaluation

 

 

 

    Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

0

307

    Report à nouveau

 

319

 

    Résultat de l'exercice

 

46 055

43 081

        Total passif

 

4 639 159

4 155 692

(*) Les opérations ayant comme contrepartie la Banque Postale (ex CCP) sont désormais rattachées à la rubrique « Dettes sur Etablissement de crédit »

 

 

Hors bilan

2007

2006

Engagements donnés :

 

 

    Engagements de financements

509 247

494 555

    Engagements de garantie

103 695

91 781

    Engagements sur titres

19

3

Engagements reçus :

 

 

    Engagements de financement

158 152

175 000

    Engagements de garantie

359 597

293 223

    Engagements sur titres

19

3

 

Notes concernant le Hors-bilan (autres informations) :

— Opérations de change au comptant et à terme : note 22.

— Opérations sur instruments financiers à terme : note 23.

 

 

II. — Compte de Résultat au 31 décembre 2007.

(En milliers d'euros.)

 

 

Note

2007

2006

Intérêts et produits assimilés

24

194 636

167 968

Intérêts et charges assimilées

24

-120 043

-88 041

Revenus des titres à revenu variable

25

14 830

10 886

Commissions (produits)

26

75 842

68 747

Commissions (charges)

26

-8 829

-7 086

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

27

225

144

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

28

1 740

1 126

Autres produits d’exploitation bancaire

29

9 273

7 827

Autres charges d’exploitation bancaire

29

-318

-317

    Produit net bancaire

 

167 356

161 254

Charges générales d’exploitation

30

-81 472

-78 940

Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

-6 473

-6 471

    Résultat brut d'exploitation

 

79 411

75 843

Coût du risque

31

-12 914

-8 827

    Résultat d'exploitation

 

66 497

67 016

Résultat net sur actifs immobilisés

32

2 139

202

    Résultat courant avant impôt

 

68 636

67 218

Résultat exceptionnel

 

-1 069

-1 229

Impôt sur les bénéfices

 

-21 819

-24 376

Dotations / Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

307

1 468

    Résultat net

 

46 055

43 081

 

 

III. — Annexe aux comptes sociaux.

 

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice.

 

A. – Cadre juridique et financier.

 

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code Monétaire et Financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée, 59 Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse Régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’Entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2007, la Caisse Régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 38 autres Caisses Régionales, du Groupe Crédit Agricole dont l'Organe Central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole s.a. Les Caisses Régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue la Boétie, qui détient elle-même 54,73% du capital de Crédit Agricole s.a., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole s.a. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 44,26%.

Par ailleurs, Crédit Agricole S.A. détient 15 144 404 actions propres, soit 1,01%.

Pour sa part Crédit Agricole S.A. détient 25% des Certificats Coopératifs d’Associés émis par la Caisse Régionale.

 

Crédit Agricole S.A. coordonne l'action des Caisses Régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code Monétaire et Financier. Du fait de son rôle d'Organe Central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse Régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses Régionales garantissent le passif de Crédit Agricole S.A. à hauteur de leurs fonds propres.

 

Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole.

 

L'appartenance de la Caisse Régionale Sud Méditerranée au Groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

 

1.1. Comptes ordinaires des Caisses Régionales. — Les Caisses Régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements de fonds correspondant aux relations financières internes. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en "Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires".

 

1.2. Comptes et avances à terme. — Les ressources d'épargne (emprunts obligataires, bons et comptes à terme assimilés, comptes et plans d'épargne-logement, comptes sur livrets, PEP, etc.) sont collectées par les Caisses Régionales au nom de Crédit Agricole S.A. Elles sont transférées à Crédit Agricole S.A. et figurent à ce titre à son bilan. Elles financent les avances faites aux Caisses Régionales pour leur permettre d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre réformes financières internes ont été successivement mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses Régionales, sous forme d'avances dites "avances-miroir" (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25% puis 33,33% et enfin 50% depuis le 31 décembre 2001, des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte , sont partagées entre les Caisses Régionales et Crédit Agricole S.A., et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des crédits entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et la Caisse Régionale peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole s.a.

Deux autres types d'avances sont à distinguer :

— Les avances pour prêts bonifiés qui refinancent les prêts à taux réduits fixés par l'Etat : celui-ci verse à Crédit Agricole s.a. une bonification (reversée aux Caisses Régionales pour les avances souscrites depuis le 1er janvier 2004) pour combler la différence entre le coût de la ressource et le taux des prêts ;

— Les avances pour autres prêts qui refinancent à hauteur de 50% (depuis le 31 décembre 2001) les prêts non bonifiés : ces avances de Crédit Agricole s.a. sont accordées aux Caisses Régionales sur justification de leurs engagements.

 

1.3. Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses Régionales. — Les ressources d'origine monétaire des Caisses Régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non réglementés et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci au financement de leurs prêts. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole s.a. où ils sont enregistrés dans des comptes ordinaires ou des comptes à terme parmi les « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

1.4. Placement des excédents de fonds propres des Caisses Régionales auprès de Crédit Agricole S.A. — Les excédents peuvent être investis chez Crédit Agricole s.a. sous forme de placements de 3 à 7 ans dont toutes les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

1.5. Opérations en devises. — Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses Régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

 

1.6. Comptes d'épargne à régime spécial. — Les ressources d'épargne à régime spécial (comptes sur livrets, livrets d'épargne manuelle, d'épargne-entreprise, d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses Régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en "Comptes créditeurs de la clientèle".

 

1.7. Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. — Ceux-ci sont placés principalement par les Caisses Régionales et figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

 

B. – Faits caractéristiques de l'exercice.

 

— Pour des besoins de liquidité (déséquilibre Emplois - Ressources), la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’est doté d’un programme d’émission de Titres de Créances Négociables avec un plafond de :

  – 50 M€ de CDN dont 17,2 M€ réalisés au 31 décembre 2007,

  – 200 M€ de BMTN dont 150 M€ réalisés au 31 décembre 2007.

— Poursuite du programme de rénovation par le plan immobilier agences nouveau concept et la rénovation du siège social.

— Capitalisation de l’avance en compte courant de la SAS Rue La Boétie pour 29,2 M€.

— La CR Sud Méditerranée a modifié l’enregistrement de la charge fiscale relative au crédit d’impôt conformément à l’avis 2007-B du comité d’urgence du CNC du 2 mai 2007. Cette charge est désormais étalée sur la durée de vie du prêt conduisant à un changement de méthode comptable pour les exercices 2005 et 2006 (Report à nouveau créditeur de 319 K€). Ainsi, il n’existe plus de divergence entre les comptes sociaux et les normes IFRS.

— Au cours de l’exercice 2007, une charge exceptionnelle a été constatée, représentative de la quote-part de la CR aux coûts de migration de notre GIE informatique Exaprod et Apis regroupant 8 Caisses Régionales sur la plate forme EXA.

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

 

Les états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole s.a., agissant en tant qu'Organe Central et chargée d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent le point suivant :

— La Caisse Régionale applique l’avis du comité d’urgence du CNC n° 2007-B du 2 mai 2007 relatif à la comptabilisation du crédit d’impôt lié aux avances remboursables sans intérêt pour l’acquisition ou la construction de logements en accession à la propriété.

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a comptabilisé un report à nouveau créditeur de 319 K€.

 

Note 2.1. Crédits à la clientèle. — Les crédits à la clientèle sont inscrits au bilan à leur valeur nominale.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement du CRC n° 2005-03 du 3 novembre 2005 modifiant le règlement CRC n° 2002-03 du 12 décembre 2002 sur le risque de crédit. En application de celui-ci, les créances présentant un risque d’impayé sont comptabilisées conformément aux règles suivantes :

 

— Créances restructurées : La Caisse Régionale Sud Méditerranée définit les créances restructurées comme étant des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.), afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

Par conséquent, sont exclues des créances restructurées :

  – les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité,

  – les créances dont le tableau d’amortissement théorique est modifié du fait de l’application d’une option ou clause contractuelle prévue initialement au contrat (exemple : pause et report d’échéance).

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 22 264 milliers d’euros.

Par rapport à l’encours de crédits comptabilisé au bilan de la Caisse Régionale de Sud Méditerranée, le montant des crédits restructurés étant significatif, une décote a été comptabilisée lors de l’enregistrement de tels prêts pour un montant de 606 K€ avant amortissement.

 

— Créances douteuses : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

  – lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits),

  – lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré,

  – s’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Les découverts sont qualifiés d’encours douteux au plus tard à l’issue d’une période de trois mois de dépassement continu des limites portées à la connaissance de la clientèle de particuliers et des limites résultant de convention de droit ou de fait entre le commerçant et la banque pour ses autres clientèles.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

  – Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

  – Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Les intérêts contractuels ne sont plus comptabilisés après le transfert en encours douteux compromis.

  – Dépréciations au titre du risque de crédit avéré : Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale par voie de provisions figurant en déduction de l’actif du bilan. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue les provisions correspondant, en valeur actualisée, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours douteux et douteux compromis.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

  – Traitement des décotes et dépréciations : La décote constatée lors d’une restructuration de créance ou la dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque. Pour les créances restructurées en encours sains, cette décote est réintégrée sur la durée de vie dans la marge d’intérêt. Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non-recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation et à l’amortissement de la décote du fait du passage du temps étant inscrites dans la marge d’intérêt.

 

— Provisionnement du risque de crédit non avéré : Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté au passif de son bilan des provisions pour risques et charges destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, tels que les provisions sectorielles ou des provisions calculées à partir des modèles Bâle II. Ces dernières visent à couvrir des risques précis pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel, sur des encours non classés en douteux.

 

Note 2.2. Opérations sur titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement 90-01 du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière modifié par le règlement 95-04 du CRBF, le règlement 2000-02 du Comité de la réglementation comptable et le règlement CRC n° 2005-01, ainsi que par le règlement 2002-03 du Comité de la Réglementation Comptable en matière de détermination du risque de crédit et de la dépréciation concernant les titres à revenu fixe.

La répartition des titres entre les 4 catégories de portefeuille (transaction, placement, investissement, et titres de l’activité de portefeuille) est faite en fonction de l'intention initiale d'utilisation des titres, intention identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

— Titres de placement : Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais exclus.

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

La valeur d'inventaire est le prix de marché.

Les moins-values latentes constatées à l'arrêté comptable font l'objet d’une dépréciation.

 

— Titres d'investissement : Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés également dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante juridique ou autre qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais exclus. En ce qui concerne les titres à revenu fixe acquis ou souscrits à un prix différent de leur valeur de remboursement, il convient de suivre les mêmes règles que celles retenues pour les titres de placement.

Conformément aux règlements n° 90.01 et 95.04 et à l'instruction n° 94.05 de la Commission Bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas opéré de dépréciation au titre des moins-values latentes.

Toutefois, les moins-values peuvent être provisionnées lorsque, à la date d'arrêté des comptes, il existe un risque de contrepartie.

Les titres d’investissement sont soumis aux dispositions du règlement du CRC 2002-03 concernant l’identification du risque de crédit et le provisionnement des pertes avérées.

Conformément aux dispositions du règlement CRC n° 2005-01, les cessions de titres d'investissement intervenues avant l'échéance, ou les transferts vers la catégorie des titres de placement, ne portent que sur la période du 1er janvier à la date de publication du présent règlement du Comité de la réglementation comptable. Le montant de ces cessions ou ces transferts fait l'objet d'informations complémentaires dans la note 5 de cette présente annexe.

 

— Prix de marché : Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

  – les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent,

  – si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale détermine la valeur probable du titre de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres, lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

— Dates d’enregistrement : La Caisse Régionale enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation

 

Note 2.3. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement de crédit.

— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des investissements réalisés dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

L'ensemble de ces titres est comptabilisé au coût historique. Les frais accessoires à l'achat et à la vente sont enregistrés en charges d'exploitation. A la clôture de l'exercice, ces titres peuvent ou non faire l'objet individuellement de dépréciation lorsque leur valeur d’utilité est inférieure au coût historique.

La valeur d’utilité de ces titres représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir, compte tenu de ses objectifs de détention. Les éléments qui peuvent être pris en compte pour l’estimation de la valeur d’utilité sont la rentabilité, actuelle ou attendue, les capitaux propres, les cours moyens de bourse des derniers mois.

 

Note 2.4. Immobilisations. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement du CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée applique à ce titre la méthode de comptabilisation des actifs par composants. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Par ailleurs, les éléments dont dispose la Caisse Régionale sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existant.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation.

Les durées d’amortissement appliquées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont les suivantes :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

A l’exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de dépréciation.

 

Note 2.5. Conventions de garantie internes. — Aux termes de conventions de garantie conclues par les Caisses Régionales de Crédit Agricole, au profit de Crédit Agricole s.a., la Caisse Régionale Sud Méditerranée est engagée, dans la limite de ses fonds propres, à couvrir une éventuelle insuffisance d'actif de Crédit Agricole s.a. au bénéfice des tiers, créanciers de celle-ci.

A contrario, Crédit Agricole s.a. (dans le cadre de la mission qui lui a été confiée par le Code Monétaire et Financier) garantit la liquidité et la solvabilité des Caisses Régionales.

A ce titre, il a été constitué par Crédit Agricole s.a., au cours de l’exercice 2001, un « Fonds pour Risques Bancaires de Liquidité et de Solvabilité ».

 

Note 2.6. Engagements en matière de retraite, de pré-retraite, d’indemnités de fin de carrière. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la recommandation n° 2003-R.01 du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Les écarts actuariels étant passés immédiatement en résultat, le montant de la provision est égal à :

— la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation,

— diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Le régime de retraite des salariés de la Caisse Régionale étant celui de la MSA, à cotisations définies, celle-ci ne porte pas dans ses comptes d'engagements "retraite" mais enregistre en « Frais de personnel » le montant des cotisations correspondantes.

Les régimes à prestations définies dont la Caisse Régionale Sud Méditerranée fait bénéficier ses salariés concernent la retraite des cadres de direction et les indemnités fin de carrière de l’ensemble du personnel. Les engagements sont couverts par des polices d’assurances et valorisés dans la Note 16.

 

Note 2.7. Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse Régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse Régionale Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

Note 2.8. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3%.

 

Note 2.9. Conversion des opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors-bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction ; les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF n° 89.01 et 89.02 et des instructions 89.04 et 89.05 de la Commission Bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multidevises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Le montant global de la position de change opérationnelle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s'établit à 5 237 K€.

 

Note 2.10. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — En application du règlement 90.02 du CRBF, sont enregistrées dans le compte « Fonds pour risques bancaires généraux », la provision pour risques de crédits non encore avérés et les autres provisions pour risques bancaires généraux. (cf. note 17)

 

Note 2.11. Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les principes comptables appliqués sont essentiellement fonction de l’intention avec laquelle les opérations sont effectuées.

 

— Opérations d’échange de taux d’intérêt ou de devises (swaps) : La Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les swaps de taux d’intérêt ou de devises essentiellement aux fins suivantes :

  – Maintien de positions ouvertes isolées destinées à bénéficier de l'évolution des taux d'intérêts, ou ne répondant à aucune des catégories définies ci-après. Les charges et les produits relatifs à ces opérations sont comptabilisés prorata temporis. Les pertes latentes relatives à des ensembles homogènes de contrats font l'objet d'une provision.

  – Couverture du risque de taux d'intérêt affectant un élément ou un ensemble d'éléments homogènes. Ces contrats sont valorisés symétriquement à l'élément ou à l'ensemble d'éléments couverts.

  – Couverture des risques de taux global de l'établissement sur l'actif, le passif et le hors bilan. Les charges et les produits relatifs à ces contrats sont inscrits prorata temporis en compte de résultat.

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits dans les comptes de hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

Sauf exception (ou montant non significatif), les règles du groupe préconisent en matière d’enregistrement comptable d’une opération complexe, une décomposition des instruments composant l’opération, et l’enregistrement comptable distinct de chacun des instruments.

 

Note 2.12. Emprunts obligataires. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la méthode préférentielle d’étalement des frais d’émission des dettes représentées par un titre, prévue au paragraphe 300 du Règlement 99-07 du 24 novembre 1999.

 

Note 2.13. Souscription d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne. — Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’épargne entreprise, avec une décote maximum de 20%, ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevées d’une période d’incessibilité de 5 ans. Ces souscriptions d’actions sont comptabilisées conformément aux dispositions relatives aux augmentations de capital.

 

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

Durée résiduelle

 

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

(*) Total en principal

(*) Créances rattachées

Total 2007

Total 2006

Etablissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

    A vue

3 090

 

 

 

3 090

 

3 090

2 389

    A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts subordonnés

 

 

 

394

394

 

394

400

    Total

3 090

 

 

394

3 484

 

3 484

2 789

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

3 484

2 789

Operations internes au crédit agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

2 034

 

 

 

2 034

 

2 034

10 511

Comptes et avances à terme

31 135

17 676

70 498

 

119 309

2 011

121 320

93 347

Prêts subordonnés

 

 

 

13 500

13 500

23

 

40 523

    Total

33 169

17 676

70 498

13 500

134 843

2 034

136 877

144 381

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

136 877

144 381

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis aux établissements de crédit s'élèvent à 40 917 K€

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 19 311 K€

— Opérations internes au Crédit Agricole : en matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse Régionale auprès de Crédit Agricole s.a. dans le cadre des Relations Financières Internes.

 

Note 4. – Operations avec la clientèle - Analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

Durée résiduelle

 

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

*Total en principal

*Créances rattachées

Total 2007

Total 2006

Operations avec la clientèle

 

 

 

 

 

 

 

 

Créances commerciales

20 421

331

 

 

20 752

833

21 585

20 165

Autres concours à la clientèle

276 699

431 015

1 162 243

2 028 902

3 898 859

34 447

3 933 306

3 506 870

Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires débiteurs

 

 

 

 

 

 

61 412

27 060

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

-71 962

-71 965

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

3 944 341

3 482 130

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis à la clientèle s'élèvent à 27 000 K€

Parmi les créances sur la clientèle 162 136 milliers d’euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale.

Le montant des créances restructurées détenues par la CR Sud Méditerranée au 31 décembre 2007 s’élèvent à 22 264 milliers d’euros.

 

Note 4.1. Opérations avec la clientèle : analyse par zone géographie :

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

France (y compris DOM-TOM)

3 503 216

3 129 039

Autres pays de L'U.E.

477 555

394 766

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amérique Centrale et Latine

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Non ventilés et organismes internationaux

 

 

        Total en principal

3 980 771

3 523 805

Créances rattachées

35 532

30 290

Dépréciations

-71 962

-71 965

Valeurs nettes au bilan

3 944 341

3 482 130

 

Note 4.2. Opérations avec la clientèle – Encours douteux et provisions par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

 

En cours brut

Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

En cours brut

Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

France (y compris DOM-TOM)

3 536 118

95 337

60 340

69 165

51 904

3 157 690

94 345

52 869

69 775

45 005

Autres pays de L'U.E.

480 185

7 550

3 197

2 797

2 071

396 406

5 754

3 547

2 190

1 897

    Total

4 016 303

102 887

63 537

71 962

53 975

3 554 096

100 099

56 416

71 965

46 902

 

Note 4.3. Opérations avec la clientèle : analyse par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

 

En cours brut

Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

En cours brut

Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Dépréciations des encours douteux

Dépréciations des encours douteux compromis

Particuliers

1 611 380

28 039

16 339

22 566

13 156

1 417 479

26 775

17 431

22 621

14 698

Agriculteurs

1 031 019

34 008

19 476

22 077

17 127

302 179

15 237

8 820

8 862

5 962

Autres professionnels

28 629

11

10

11

10

895 436

27 949

14 794

19 592

14 694

Société financières

493 029

24 325

16 724

17 181

15 515

1 018

 

 

 

 

Entreprises

501 380

3 122

3 122

2 670

2 670

415 566

26 811

15 004

17 821

11 418

Collectivités publiques

309 764

12 603

7 502

7 254

5 321

487 336

2 930

 

2 930

 

Autres agents économiques

41 103

778

363

203

177

35 082

397

367

140

130

    Total

4 016 303

102 886

63 536

71 962

53 976

3 554 096

100 099

56 416

71 965

46 902

 

Note 5. – Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

 

Transaction

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investis-
sement

Total 2007

Total 2006

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe :

 

 

 

 

 

 

    Emis par organismes publics

 

 

 

 

 

 

    Autres émetteurs

 

34 009

 

55 026

89 035

81 822

Créances rattachées

 

45

 

729

774

868

Dépréciations

 

287

 

 

287

14

Valeurs nettes au bilan

 

33 767

 

55 755

89 522

82 675

Actions et autres titres à revenu variable

 

87 279

 

 

87 279

68 066

Créances rattachées

 

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

87 729

 

 

87 279

68 066

Valeurs estimatives

 

130 150

 

52 546

182 696

158 803

 

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 9 149 K€ au 31 décembre 2007, contre 7 595 K€ au 31 décembre 2006

La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d’investissement s'élève à 1 040 K€ au 31 décembre 2007, contre 1 334 K€ au 31 décembre 2006 .

 

Note 5.1. Titres de transaction, de placements, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : ventilation par grandes catégories de contrepartie :

 

(En milliers d'euros)

Encours nets 2007

Encours nets 2006

Administration et banques centrales (y compris Etats)

 

 

Etablissements de crédit

70 220

60 033

Sociétés financières

94 353

75 963

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

12 228

14 745

Divers et non ventilés

 

 

    Total en principal

176 801

150 741

Créances rattachées

 

 

Dépréciations

 

 

Valeurs nettes au bilan

176 801

150 741

 

Note 5. 2. Ventilation des tires cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d'euros)

Année 2007

Année 2006

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres à revenu fixe ou variable

89 035

 

87 361

176 396

81 822

 

68 066

149 888

Dont titres cotés

42 026

 

 

 

59 130

 

 

59 130

Dont titres non cotés (1)

47 009

 

87 361

134 370

22 692

 

68 066

22 692

Créances rattachées

773

 

 

773

868

 

 

868

Dépréciations

287

 

82

369

14

 

 

14

Valeurs nettes au bilan

89 521

 

87 279

176 800

82 676

 

68 066

150 741

 

(1) La répartition des parts d'OPCVM est la suivante :

– OPCVM français de capitalisation : 78 361 milliers d’euros

– OPCVM étrangers de capitalisations : 9 000 milliers d’euros

Les OPCVM sous contrôle exclusif figurent à l’actif du bilan pour 86 376 K€ milliers d’euros. Leur valeur estimative au 31 décembre 2007 s’élève à 93 293 K€ milliers d’euros.

 

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2007 :

 

(En milliers d'euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

53 710

56 096

OPCM obligataires

7 521

7 576

OPCM actions

5 652

6 427

OPCM autres

20 478

22 165

    Total

87 361

92 265

 

Note 5.3. Effets publics, obligations et autres titres à revenu fixe : analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

(*) Total en principal

(*) Créances rattachées

Total 2007

Total 2006

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

 

5 964

22 362

60 709

89 035

773

89 808

82 689

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

287

14

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

89 035

773

89 521

82 675

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

 

 

 

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Note 6. – Tableau des titres de participation et de filiales.

(En milliers d'euros.)

 

Informations financières

Devise

Capital

Capitaux propres autres que le capital

Quote-part de capital détenue (en pourcentage)

Valeurs
comptables
des titres
détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés

Montant des cautions et avals donnés par la société

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1)

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice

 

 

 

 

 

Brutes

Nettes

 

 

 

 

 

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l'entité :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SCI Château de Castelnou

EUR

850

-180

98,61%

1 202

839

229

 

13

182

 

    Autres titres de participations (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    SAS Rue la Boétie

EUR

1 746 362

10 449 232

1,32%

159 431

159 431

 

 

1 062 823

1 035 783

13 730

    SAS Sacam développement

EUR

730 622

23 672

1,35%

9 883

9 883

3 053

 

77 811

52 114

490

    SAS Sacam international

EUR

900 040

-6

1,32%

11 893

11 893

 

 

 

97

 

    SAS Fireca

EUR

74 700

-25 558

1,18%

885

582

 

 

-28

-36

 

    SNC Ca Titre

EUR

15 245

7 603

0,69%

398

398

 

 

76 964

1 038

 

    SAS Sofilaro

EUR

8 940

962

14,32%

1 281

1 281

3

 

270

107

 

    Autres titres de participations (détail)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inferieure à 1% du capital de l'entité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations (ensemble)

EUR

 

 

 

3 266

2 947

2 529

 

 

 

 

    Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

 

188 239

187 254

5 814

 

 

 

 

(1) Attention : L'information « Résultat du dernier exercice » concerne le résultat du dernier exercice clos soit celui au 31 décembre 2006.

 

  

(En milliers d'euros)

Année 2007

Année 2006

 

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

    Titres non cotés

1 202

839

1 586

685

    Titres cotés

 

 

 

 

    Avances consolidables

229

229

915

230

    Créances rattachées

 

 

 

 

    Dépréciations

-363

 

-1 586

 

    Valeur nette au bilan

1 068

1 068

914

914

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

Titres de participation

 

 

 

 

    Titres non cotés

185 688

313 670

157 487

388 524

    Titres cotés

 

 

 

 

    Avances consolidables

5 585

5 585

34 677

34 621

    Créances rattachées

216

216

222

 

    Dépréciations

-679

 

-1 251

 

    Sous-total titres de participation

190 810

319 471

191 134

423 145

Autres titres détenus à long terme

 

 

 

 

    Titres non cotés

1 349

1 349

 

 

    Titres cotés

 

 

 

 

    Avances consolidables

 

 

 

 

    Créances rattachées

 

 

 

 

    Dépréciations

 

 

 

 

    Sous-total autres titres détenus à long terme

1 349

1 349

 

 

Valeur nette au bilan

192 159

320 820

191 134

423 145

    Total des titres de participations

193 227

321 888

192 048

424 059

    Total valeurs brutes

 

 

 

 

Titres non cotés

188 239

 

159 073

 

Titres cotés

0

 

0

 

    Total

188 239

 

159 073

 

 

Note 7. – Variation de l’actif immobilise.

 

Note 7.1. Immobilisations financières :

 

(En milliers d'euros)

2007

 

Valeur en début d'exercice

Augmentations (Acquisitions)

Diminutions (cession, échéance)

Autres mouvements (1)

Valeur à la fin de l'exercice

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

1 586

 

384

 

1 202

Avances consolidables

915

 

686

 

229

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

-1 587

 

-1 223

 

-363

    Valeur nette au bilan part entreprises liées

915

 

-153

 

1 068

Titres de participation :

191 134

30 095

30 675

255

190 810

Valeurs brutes

189 702

29 336

30 548

251

188 741

Avances consolidables

2 461

604

537

4

2 532

Créances rattachées

222

216

222

 

216

Dépréciations

-1 251

-61

-632

 

-679

Autres titres détenus à long terme :

 

 

 

1 349

1 349

Valeurs brutes

 

 

 

1 349

1 349

Avances consolidables

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

 

    Valeur nette au bilan titres participation et ATDLT

191 134

30 095

30 675

1 604

192 159

    Total immobilisations financières

192 047

30 095

30 521

1 604

193 227

 

La rubrique autre mouvements correspond aux reclassements effectués sur l’exercice.

 

Note 7.2. Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

2007

 

Valeur en début d'exercice

Augmentations (Acquisitions)

Diminutions (cession, échéance)

Autres mouvements

Valeur à la fin de l'exercice

Immobilisations corporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

106 118

9 677

7 054

-255

108 487

Amortissements et dépréciations

-62 858

-5 703

-2 206

 

-66 355

Valeur nette au bilan

43 259

3 974

4 848

-255

42 132

Immobilisations incorporelles

 

 

 

 

 

Valeurs brutes

9 291

753

2

 

10 042

Amortissements et dépréciations

-8 205

-770

 

 

-8 975

Valeur nette au bilan

1 086

-17

2

 

1 067

    Total

44 345

3 957

4 850

-255

43 199

(1) La rubrique autres mouvements correspond aux reclassements effectués sur l’exercice.

 

Note 8. – Autres actifs et comptes de régularisation.

 

(En milliers d'euros)

Montant 2007

Montant 2006

Autres actifs (1)

 

 

    Instruments conditionnels achetés

 

 

    Comptes de stock et emplois divers

1 955

1 605

    Débiteurs divers

20 943

15 110

    Gestion collective des titres Livret de développement durable

 

 

    Comptes de règlement

64

193

Valeur nette au bilan

22 963

16 908

Comptes de régularisation

 

 

    Comptes d'encaissement et de transfert (1)

43 368

30 191

    Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

    Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

    Charges constatées d'avance

387

1 458

    Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme

19 022

17 542

    Autres produits à recevoir

22 780

21 935

    Charges à répartir

 

 

    Primes d'émission et de remboursement sur emprunts obligataires

 

 

    Autres comptes de régularisation

4 450

1 493

Valeur nette au bilan

90 007

72 619

    Total comptes de régularisations et actifs divers

112 970

89 527

(1) Les montants sont indiqués en net et incluent les créances rattachées.

 

Note 9. – Dépréciations inscrites en déduction de l’actif.

 

(En milliers d'euros)

Solde au 31/12/2006

Dotations

Reprises et utilisations

Dés actualisation

Autres mouvements

Solde au
31/12/2007

Dépréciations déduites de l’actif :

 

 

 

 

 

 

    Sur interbancaire

 

 

 

 

 

 

    Sur créances clientèle

71 965

25 967

25 294

677

1

71 962

    Opérations sur titres

2 851

429

1 869

 

 

1 411

    Autres valeurs immobilisées

2 746

9

207

 

 

2 548

        Total des dépréciations - actif

77 562

26 405

27 370

677

1

75 921

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 2007

Total 2006

Etablissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

 

 

 

 

 

 

 

 

    A vue

430

 

 

 

430

2

432

463

    A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs au bilan

430

 

 

 

430

2

432

463

Operations internes au Crédit Agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

98 325

 

 

 

98 325

399

98 724

215 829

Comptes et avances à terme

388 640

708 512

826 756

657 144

2 581 052

9 906

2 590 958

2 272 172

Valeurs au bilan

486 965

708 512

826 756

657 144

2 679 377

10 305

2 689 682

2 488 001

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole s.a. et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse Régionale. (cf. Cadre Juridique et Financier).

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle - analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an 5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 2007

Total 2006

Comptes créditeurs de la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

973 797

 

 

 

973 797

25

973 822

962 584

Comptes d'épargne à régime spécial :

12 315

 

 

 

12 315

 

12 315

14 232

    A vue

12 315

 

 

 

12 315

 

12 315

14 232

    A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes envers la clientèle

108 059

34 860

9 286

509

152 714

2 398

155 112

102 570

    A vue

 

 

 

 

 

 

 

 

    A terme

108 059

34 860

9 286

509

152 714

2 398

155 112

102 570

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs au bilan

1 094 171

34 860

9 286

509

1 138 826

2 423

1 141 249

1 079 385

 

Note 11.1. Comptes créditeurs de la clientèle par agents économiques :

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Particuliers

651 683

613 292

Agriculteurs

77 983

75 370

Autres professionnels

82 656

79 613

Société financières

4 921

2 276

Entreprises

261 540

245 208

Collectivités publiques

8 781

8 660

Autres agents économiques

53 684

54 966

    Total en principal

1 141 248

1 079 385

Dettes rattachées

 

 

    Total

1 141 248

1 079 385

 

Note 12. –Dettes représentées par un titre : Analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 2007

Total 2006

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

2 308

 

 

 

2 308

24

2 332

1 484

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres de créances négociables (1)

15 729

1 475

 

150 000

167 204

263

167 467

 

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs au bilan

18 037

1 475

 

150 000

169 512

287

169 799

1 484

 

Note 13. – Autres passifs et comptes de régularisation.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Autres passifs (1)

 

 

    Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

    Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

    Instruments conditionnels vendus

9

10

    Comptes de règlement et de négociation

275

212

    Créditeurs divers

13 995

13 297

    Versements restant à effectuer sur titres

1 713

9 362

Valeurs nettes au bilan

15 991

22 881

Comptes de régularisation

 

 

    Comptes d'encaissement et de transfert (2)

7 305

6 200

    Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

    Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

    Produits constatés d'avance

7 635

6 308

    Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme

21 931

13 556

    Autres charges à payer

19 689

16 665

    Autres comptes de régularisation

874

532

Valeurs nettes au bilan

57 432

43 260

        Total comptes de régularisation et passifs divers

73 423

66 141

(1) Les montants incluent les dettes rattachées

(2) Les montants sont indiqués en net

 

Note 14. – Provisions.

 

(En milliers d'euros)

Solde au 31/12/2006

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au 31/12/2007

Provisions / autres engagements sociaux

535

 

38

 

 

496

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

1 001

 

76

 

 

925

Provisions pour litiges fiscaux (1)

5 773

279

2 496

 

 

3 556

Provisions pour risques de crédit (2)

31 974

8 819

 

 

 

40 792

Provisions pour impôts (3)

1 747

 

239

 

 

1 508

Provisions sur participations

 

 

 

 

 

 

Provisions / risques opérationnels (4)

4 600

502

3 996

611

4 679

5 174

Provisions épargne logement (5)

5 322

722

 

842

 

5 202

Autres provisions (6)

6 415

875

94

566

-4 679

1 951

Valeur au bilan

57 366

11 197

6 939

2 019

 

59 604

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) ces provisions sont établies sur base collective à partir notamment des estimations découlant des modèles Bâle II.

(3) Comprend notamment les impôts dus aux filiales dans le cadre de l'intégration fiscale

(4) Cette provision est destinée à couvrir les risques d’insuffisance de conception, d’organisation et de mise en oeuvre des procédures d’enregistrement dans le système comptable et plus généralement dans les systèmes d’information de l’ensemble des événements relatifs aux opérations de l’établissement.

(5) Voir note 15 ci-après

(6) y compris les provisions pour risques sur GIE d’investissement

 

Note 15. – Epargne logement.

 

Une provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— Le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision mise en oeuvre par le Groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec l’avis CNC n° 2006-12 du 31 mars 2006 sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement.

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

131 296

100 887

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

328 801

414 280

Ancienneté de plus de 10 ans

233 398

247 194

    Total plans d'épargne-logement

693 495

762 361

    Total comptes épargne-logement

110 663

116 721

    Total encours collectes au titre des contrats épargne-logement

804 158

879 082

 

L'ancienneté est déterminée par rapport à la date de milieu d'existence de la génération des plans à laquelle ils appartiennent.

Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état

 

Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Plans d'épargne-logement :

8 429

11 171

Comptes épargne-logement :

18 665

20 631

    Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logements

27 094

31 802

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

1 231

528

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

39

613

Ancienneté de plus de 10 ans

1 038

2 009

    Total plans d'épargne-logement

2 308

3 150

    Total comptes épargne-logement

2 894

2 172

    Total provision au titre des contrats épargne-logements

5 202

5 322

 

L'ancienneté est déterminée par rapport à la date de milieu d'existence de la génération des plans à laquelle ils appartiennent.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

Dotations

Reprises

Autres mouvements

31/12/2007

Plans d'épargne-logement :

3 150

 

842

 

2 308

Comptes épargne-logement :

2 172

722

 

 

2 894

    Total provision au titre des contrats épargne-logements

5 322

722

842

 

5 202

 

Note 16. – Engagements sociaux : avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies

 

Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entreprise verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

Les régimes à prestations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

Les régimes à cotisations définies désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entreprise verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs.

 

— Variations de la dette actuarielle :

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Dettes actuarielle au 31 décembre/n-1

14 420

13 147

Coûts des services rendus sur la période

555

621

Effet de l'actualisation

575

508

Cotisations de l'employé

 

 

Modification/réduction/liquidation de plan

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-474

-357

(Gains) / pertes actiariels (*)

-2 817

501

    Dettes actuarielles au 31 décembre/n

12 260

14 420

 

— Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Coûts des services rendus sur la période

555

621

Effet de l'actualisation

575

508

Rendement attendu des actifs sur la période

-545

-448

Amortissement du coût des services passés

431

390

Autres gains ou pertes

 

 

    Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 016

1 072

 

— Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31 décembre/n-1

13 644

11 200

Rendement attendu des actifs

545

448

Gains/5pertes actuariels sur les actifs du régime

-3 248

112

Cotisation de l'employeur

 

2 241

Cotisation de l'employé

 

 

Modification/réduction/liquidation de plan

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-474

-357

    Juste valeur des actifs/droit a remboursement au 31 décembre/n

10 467

13 644

 

Les actifs du régime sont composés :

– Pour les IFC : 71 % obligations, 19 % actions et 10 % d’autres actifs.

– Pour les régimes de retraites : 75 % obligations, 17% actions et 8 % d’autres actifs.

 

— Variations de la provision :

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

(Provisions) / actifs au 31 décembre/n-1

-776

-1 947

Cotisation de l'employeur

 

2 241

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Paiements directs de l'employeur

 

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

-1 016

-1 072

(Provisions) actifs au 31 décembre/n

-1 792

-777

 

— Rendement des actifs des régimes :

Le rendement effectif des actifs des régimes est de :

– 4 % pour les indemnités de fin de carrière

– 4,15 pour les régimes de retraites

 

— Hypothèses actuarielles utilisées

Le taux d’actualisation utilisé est de :

– 4.28 % pour les indemnités de fin de carrière

– 4,73 % pour les régimes de retraite

 

Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Valeurs au bilan

7 557

7 557

 

Note 18. – Dettes subordonnées : Analyse par durée résiduelle.

 

(En milliers d'euros)

<3mois

>3mois <1an

>1 an <5 ans

>5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Montant 2007

Montant 2006

Dettes subordonnées (1) (2)

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à terme

 

4 573

23 600

 

28 173

466

28 639

28 639

Euros

 

4 573

23 600

 

 

466

 

 

Dollar

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

 

 

 

C/C bloqués des Caisses Locales

 

 

 

2 034

2 034

110

2 144

2 125

Dépôts Gtie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs au bilan

 

4 573

23 600

2 034

30 207

576

30 783

30 764

(1) Les dettes subordonnées doivent être ventilées par monnaie d'émission. La répartition par devise doit correspondre à celle retenue en note 20.

(2) Il s'agit d'indiquer si le taux d’intérêt est fixe ou variable

(3) durée résiduelle des dettes subordonnées à durée indéterminées positionnées par défaut en > 5 ans

 

Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 1 497 K€

 

Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition)

 

(En milliers d'euros)

Capitaux propres

 

Capital (1) (2)

Primes, réserves et report à nouveau

Ecarts conversion/ réévaluation

Provisions réglementées& subventions d'investis-
sement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 décembre 2005

27 205

317 013

 

1 025

39 593

384 836

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de N-2

 

 

 

 

-3 520

-3 520

Variation de capital

852

 

 

 

 

852

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social N-2

 

34 001

 

 

-34 001

 

Report à nouveau débiteur

 

2 072

 

 

-2 072

 

Résultat de l’exercice

 

 

 

 

43 081

43 081

Autres variations

 

 

 

-718

 

-718

    Solde au 31 décembre 2006

28 057

353 086

 

307

43 081

424 531

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de N-1

 

 

 

 

-3 968

-3 968

Variation de capital

 

39 113

 

 

-39 113

 

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social N-1

 

 

 

 

 

 

Report à nouveau créditeur

 

319

 

 

 

319

Résultat de l’exercice

 

 

 

 

46 055

46 055

Autres variations

 

 

 

-307

 

-307

    Solde au 31 Décembre 2007

28 057

392 518

 

 

46 055

466 630

(1) Dont 7 014 milliers d’euros de Certificats Coopératifs d’associés souscrits par crédit Agricole S.A

(2) Dont prime d’émission sur Certificats Coopératifs d’associés souscrits par crédit Agricole S.A pour 59 035 milliers d’euros et prime de fusion de 70 590 milliers d’euros

 

Note 20. – Composition des fonds propres.

 

(En milliers d'euros)

2 007

2 006

Capitaux propres

466 630

424 531

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

7 557

Dettes subordonnées et titres participatifs

30 783

30 764

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

Total des fonds propres

504 970

462 852

 

Note 21. – Operations effectuées en devises.

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

4 629 766

4 629 765

4 148 134

4 148 134

Autres devises de l’Union Europ

7 663

7 637

7 532

7 532

Dollar

1 300

1 327

26

26

Autres devises

430

430

 

 

Valeur brute

4 639 159

4 639 159

4 155 692

4 155 692

Créances, dettes rattachées et comptes de régularisation

 

 

 

 

Dépréciations

 

 

 

 

    Total

4 639 159

4 639 159

4 155 692

4 155 692

 

Note 22. – Operations de change, emprunts et prêts en devises.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

 

à recevoir

à livrer

à recevoir

à livrer

Opérations de change au comptant :

 

 

 

 

    Devises

 

 

 

 

    Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

5 237

5 234

4 081

4 078

    Devises

2 533

2 533

2 019

2 019

    Euros

2 704

2 701

2 062

2 059

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

        Total

5 237

5 234

4 081

4 078

 

Note 23. – Operations sur instruments financiers a terme.

 

(En milliers d'euros)

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total 2007

Total 2006

Operations fermes :

 

 

 

 

Opérations sur marchés organisés (1) :

 

 

 

 

Opérations de gré à gré (1)

1 082 399

 

1 082 399

936 222

    Swaps de taux d'intérêt

1 082 399

 

1 082 399

936 222

    Autres contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

 

 

    Contrats à terme de change

 

 

 

 

    Fra

 

 

 

 

    Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

    Autres contrats à terme

 

 

 

 

Operations conditionnelles

 

 

 

 

Opérations sur marchés organisés

 

 

 

 

Opérations de gré à gré

8 044

 

8 044

9 210

    Options de swap de taux :

 

 

 

 

    Instr. De taux d'intérêts à terme conditionnels :

 

 

 

 

Achetées

4 022

 

4 022

4 605

Vendus

4 022

 

4 022

4 605

    Instr.de taux de change à terme conditionnels :

 

 

 

 

    Instr. Sur actions et indices bours. A terme cond. :

 

 

 

 

    Autres instruments à terme conditionnels :

 

 

 

 

Dérivés de crédit

 

88 315

88 315

89 108

    Contrats de dérivés de crédit :

 

 

 

 

Achetés

 

 

 

 

Vendus

 

88 315

 

89 108

        Total

1 090 443

88 315

1 178 758

1 034 540

(1) : Les montants indiqués sur les opérations fermes doivent correspondre au cumul des positions prêteuses et emprunteuses (swaps de taux et options de swap de taux), ou au cumul des achats et ventes de contrats (autres contrats)

 

Note 23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : encours notionnels par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

Total

Dont opérations effectuées
de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

 

< 1 an

de 1à 5 ans

> 5 ans

< 1an

de 1à 5 ans

> 5 ans

< 1 an

de 1à 5 ans

> 5 ans

F.R.A.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

246 448

502 490

333 461

246 448

502 490

333 461

 

 

 

Caps, floors, collars

1 213

5 436

1 396

1 213

5 436

1 396

 

 

 

Autres instruments et métaux précieux

 

88 315

 

 

88 315

 

 

 

 

    Sous total

247 661

596 241

334 857

247 661

596 241

334 857

 

 

 

Opérations de change à terme

10 471

 

 

10 471

 

 

 

 

 

    Total général

258 132

596 241

334 857

258 132

596 241

334 857

 

 

 

 

Note 23.2. Instruments financiers à terme : juste valeur :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

 

Total juste valeur

Encours notionnel

Swaps de taux d’intérêt

-18 939

1 082 399

Caps, floors, collars

 

8 045

Dérivés de crédits

10

88 315

    Sous total

-18 929

1 178 758

Opérations de change à terme

 

 

    Total général

-18 929

1 178 758

 

Les montant indiqués correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses ou au cumul des achats ou ventes de contrats.

NB : Les montants ventilés sont établis à partir des engagements notionnels sur instruments financiers à terme.

 

Note 23.3. Information sur les SWAPS. — La Caisse Régionale a l’obligation réglementaire d’utiliser un outil de mesure de son risque de taux. Ce logiciel permet de définir un niveau minimal de couverture du risque dans le cadre des préconisations émises par Crédit Agricole SA.

Les positions de macro-couverture de juste valeur couvrent les passifs à taux fixe issus de certains portefeuilles de collecte clientèle (dépôts, collecte d’épargne, émissions obligataires Groupe). Une baisse des taux génère une hausse de la valeur de marché des passifs à taux fixe, qui est couverte par la hausse de valeur de marché des dérivés de macro-couverture (actifs à taux fixe).

De même, les micro-couvertures de juste valeur de type « actif TV vs passif TF » couvrent les variations de valeur de marché de certains crédits à taux fixe.

Enfin, les micro-couvertures de juste valeur de type « actif TF vs passif TV » couvrent les variations de valeur de marché de certains crédits à taux fixe.

 

Note 24. – Produits nets d’intérêts et revenus assimiles.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Intérêts et produits assimilés

194 636

167 968

    Sur opérations avec les établissements de crédit

1 366

887

    Sur opérations internes au Crédit Agricole

10 422

12 032

    Sur opérations avec la clientèle

179 320

149 401

    Sur obligations et autres titres à revenu fixe (*)

2 952

2 844

    Autres intérêts et produits assimilés

576

2 804

Intérêts et charges assimilées

-120 043

-88 041

    Sur opérations avec les établissements de crédit

-17

-15

    Sur opérations internes au Crédit Agricole

-107 300

-80 891

    Sur opérations avec la clientèle

-10 359

-7 051

    Sur obligations et autres titres à revenu fixe

-291

-53

Autres intérêts et charges assimilées

-2 076

-31

        Total produits nets d’intérêt revenus assimiles

74 593

79 927

(*) Les produits / titres à revenus fixes sont détaillés au niveau de la note 25

 

Note 25. – Revenus des titres.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Titres de placement

316

75

Livret développement durable

 

 

Titres d’investissement

2 636

2 769

Opérations diverses sur titres

 

 

    Revenus des titres à revenus fixes

2 952

2 844

Parts dans les entreprises liées

 

120

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

14 830

10 766

Titres de placements et titres de l’activité de portefeuille

 

 

Opérations diverses sur titres

 

 

    Revenus des titres à revenus variables

14 830

10 886

        Total des revenus sur titres

17 782

13 730

 

Note 26. – Produit net des commissions.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

 

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

132

-7

125

51

-6

45

Sur opérations internes au crédit agricole

10 426

-4 201

6 225

9 186

-2 296

6 890

Sur opérations avec la clientèle

19 270

-36

19 234

16 324

-133

16 191

Sur opérations sur titres

 

 

 

 

 

 

Sur opérations de change

8

 

8

4

 

4

Sur prestations de services financiers (1)

45 920

-4 469

41 451

43 161

-4 587

38 574

Provision pour risques sur commissions

86

-116

-30

20

-64

-44

    Total

75 842

-8 829

67 013

68 747

-7 086

61 661

(1) Dont prestations d’assurance-vie : 9 827 milliers d’euros

 

Note 27. – Gains ou pertes des opérations sur portefeuilles de négociation.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

102

37

Solde des autres opérations sur instruments financiers à terme

123

107

    Gains ou pertes des opérations sur portefeuille de négociation

225

144

 

Note 28. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placements et assimiles

 

(En milliers d'euros)

Montant 2007

Montant 2006

Dotations aux dépréciations

-369

-17

Reprises de dépréciations

14

7

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

-355

-10

Plus-values de cession réalisées

2 253

1 136

Moins-values de cession réalisées

-152

 

Solde des plus et moins-values de cessions réalisées

2 101

1 136

Frais d'acquisition

-7

 

Solde des opérations sur titres de placement

1 740

1 126

Titres de l'activité de portefeuille :

 

 

Dotations aux dépréciations

 

 

Reprises de dépréciations

 

 

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

 

 

Plus-values de cession réalisées

 

 

Moins-values de cession réalisées

 

 

Solde des plus et moins-values de cessions réalisées

 

 

Solde des opérations sur titres de l'activité de portefeuille

 

 

    Total gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimiles

1 740

1 126

 

Note 29. – Autres produits et charges d’exploitation bancaire.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Autres produits d'exploitation bancaire

9 273

7 827

Produits divers

8 770

7 317

Produits accessoires

504

509

Quote-part des opérations faites en commun

 

 

Refacturation et transfert de charges

 

 

Reprises provisions

 

 

Opérations de Crédit bail et assimilés

 

 

    Total des autres produits d'exploitation bancaire

9 273

7 827

Autres charges d'exploitation bancaire

-318

-317

Charges diverses

-294

-288

Quote-part des opérations faites en commun

-24

-29

Refacturation et transfert de charges

 

 

Dotations provisions

 

 

Opérations de Crédit bail et assimilés

 

 

    Total des autres charges d'exploitation bancaire

-318

-317

    Total des autres produits et charges d’exploitation bancaire

8 955

7 510

 

Note 30. – Charges générales d’exploitation.

 

(En milliers d'euros)

Montant 2007

Montant 2006

Frais de personnel :

 

 

    Salaires et traitements (1):

-27 366

-26 340

    Charges sociales :

-13 290

-13 156

        Dont cotisations au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi à cotisations définies

-3 371

-3 689

    Intéressement et participation

-6 019

-6 019

    Impôts et taxes sur rémunérations

-3 226

-3 000

            Total des frais de personnel

-49 901

-48 515

Frais administratifs :

 

 

    Impôts et taxes

-2 878

-3 003

    Services extérieurs

-28 691

-27 583

    Autres frais administratifs

-2

162

        Total des frais administratifs

-31 571

-30 425

Valeur nette au bilan

-81 472

-78 940

(1) Les refacturations de charges de frais de personnel sont déduites du poste "salaires et traitements "

 

Effectif par catégorie

(Effectif moyen du personnel en activité au prorata de l'activité)

 

Catégorie de personnel

2007

2006

Cadres

148

150

Non cadres

749

726

        Total

896

876

Dont :

 

 

    France

882

863

    Etranger

14

13

 

La rémunération des organes de Direction et d’administration est conforme à la convention collective des Cades de Direction et aux textes en vigueur dans l’Institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 021 K€.

 

Note 31. – Cout du risque.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Dotations aux provisions et dépréciations

32 942

40 350

Dépréciations de créances douteuses

31 890

40 132

Autres provisions et dépréciations

1 052

218

Reprises de provisions et dépréciations

27 744

34 497

Reprises de dépréciations de créances douteuses (1)

23 273

32 766

Autres reprises de provisions et dépréciations (2)

4 471

1 731

    Variation des provisions et dépréciations

5 198

5 852

Pertes sur créances irrécouvrables non dépréciées (3)

252

292

Pertes sur créances irrécouvrables dépréciées (4)

3 478

3 578

Décote sur prêts restructurés

606

 

Récupérations sur créances amorties

604

1 026

Pertes sur risques opérationnels

3 984

131

    Coût du risque

12 914

8 827

(1) Dont utilisées en couverture de pertes sur créances douteuses compromises : 1 887 milliers d’euros Dont utilisées en couverture de perte sur créances douteuse non compromises : 1 591 milliers d’euros

(2) Dont 4 072 milliers d'euros utilisés en couverture de risques provisionnés au passif

(3) Dont 36 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises

(4) Dont 1 887 milliers d'euros sur les créances douteuses compromises

 

Note 32. – Résultat net sur actifs immobilises.

 

(En milliers d'euros)

2007

2006

Immobilisations financières

 

 

Dotations aux dépréciations

 

 

    De titres d'investissement

 

 

    De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-61

122

Reprises de dépréciations

 

 

    De titres d'investissement

 

 

    De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

1 855

53

Dotation ou reprise nette aux dépréciations

1 794

-69

    De titres d'investissement

 

 

    De parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

1 794

-69

Plus-values de cessions réalisées

 

 

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

204

4

Moins-values de cession réalisées

 

 

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-623

15

    Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cession

-419

-11

    Sur titres d'investissement

 

 

    Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-419

-11

Solde en perte ou en bénéfice

1 375

-80

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

 

    Plus-values de cession

843

351

    Moins-values de cession

-80

69

    Solde en perte ou en bénéfice

763

282

(*) Résultat net sur actifs immobilises

2 139

202

 

Note 33. – Charges et produits exceptionnels.

 

La charge exceptionnelle qui s’établit à 1 069 K€, est composée pour l’essentiel des coûts de migration des GIE informatiques Exaprod et APIS.

 

Note 34. – Impôt sur les bénéfices.

 

Cet agrégat comprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que les provisions pour risques fiscaux. La charge fiscale de l’exercice s’élève à 21 819 K€ dont 2 472 K€ de reprise de provision pour impôt.

 

Note 35. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

 

 

(En milliers d'euros)

2007

 

PNB

Charges d'exploitation

Dot. Amort et dép.

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immo

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

161 475

-78 650

-6 438

76 387

-12 572

63 816

2 139

65 955

Autres pays de l'U.E.

5 881

-2 822

-35

3 024

-342

2 682

 

2 682

    Totaux

167 356

-81 472

-6 473

79 411

-12 914

66 498

2 139

68 637

 

(En milliers d'euros)

2006

 

PNB

Charges d'exploitation

Dot. Amort et dép.

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immo

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

156 481

-76 451

-6 444

73 586

-9 018

64 568

202

64 770

Autres pays de l'U.E.

4 772

-2 486

-29

2 257

191

2 448

 

2 448

    Totaux

161 253

-78 937

-6 473

75 843

-8 827

67 016

202

67 218

 

Note 36. – Affectation des résultats.

 

Projet affectation du résultat :

 

Résultat comptable

46 055 206,44 €

Ran créditeur

319 148,16 €

Résultat à affecter

46 374 354,60 €

Distribué

4 214 582,75 €

Intérêts aux parts sociales

736 506,15 €

Intérêts aux parts aux Caisses locales

736 492,81 €

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

13,34 €

Rémunération des CCA

3 478 076,60 €

Conservé

42 159 771,86 €

Réserves légales

31 619 828,89 €

Autres réserves

10 539 942,96 €

 

Note 37. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

 

Collège des Commissaires aux Comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

 

(En milliers d'euros)

Ernst & Young

Audit :

 

    Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

153

    Missions accessoires

 

        Total

153

(*) Honoraires hors taxe, frais et débours exclus.

 

Note 38. – Publicité.

 

Le Rapport de Gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

 

B. — Rapport général du commissaire aux comptes sur les comptes annuels.

 

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2007, sur :

— Le contrôle des comptes annuels de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport,

— La Justification De Nos Appréciations,

— Les vérifications spécifiques et les informations prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d’ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l’opinion exprimée ci-après.

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la caisse régionale à la fin de cet exercice.

Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note2 de l’annexe qui expose le changement de méthode résultant de l’application de l’avis CNC n°2007-B du Comité d’urgence, relatif à la comptabilisation du crédit d’impôt lié aux avances remboursables sans intérêt pour l’acquisition ou la construction de logements en accession à la propriété.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

— Changement de méthode comptable : Ainsi qu’il est mentionné dans la note 2 de l’annexe, un changement de méthode comptable est intervenu au cours de l’exercice clos le 31 décembre 2007. Dans le cadre de notre appréciation des règles et des principes comptables suivis par votre caisse régionale, nous nous sommes assurés du bien-fondé du changement de méthode comptable mentionné ci-dessus et de sa présentation.

— Estimations comptables :

– Comme indiqué dans la note 2.1 de l’annexe, la caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, nous avons examiné le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des dépréciations individuelles et des provisions individuelles et collectives.

– Comme indiqué dans les notes 2.2 et 2.3 de l’annexe, la caisse régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur la valorisation des titres de participation et les risques opérationnels. Nous avons revu les hypothèses retenues, la cohérence des méthodes et les évaluations qui justifient les estimations comptables retenues.

Sur la base des informations disponibles à ce jour, nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.

Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

Nous n’avons pas d’observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d’administration et dans les documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Toulouse, le 29 février 2008

Le Commissaire aux Comptes :

Ernst & Young Audit :

Frank Astoux.

 

 

C. — Comptes consolides au 31 décembre 2007.  

I. — Cadre général.

 

Présentation juridique de l’entité. — La Caisse régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège social est situé à PERPIGNAN, 30 rue Pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de Commerce et des Sociétés de PERPIGNAN sous la référence 776179335 et fait partie du Groupe Crédit Agricole au même titre que les 38 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du Groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Crédit Agricole :

— Un groupe bancaire d’essence mutualiste : L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 5,7 millions de sociétaires qui élisent quelques 34 200 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les caisses locales détiennent la majeure partie des Caisses régionales, sociétés coopératives à capital variable et banques régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie est détenue par les Caisses régionales et détient la majorité du capital de Crédit Agricole s.a. La Fédération Nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

Crédit Agricole s.a. en qualité d’organe central du Groupe Crédit Agricole veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (Art L511-31 et Art L511-32) à la cohésion du réseau du Groupe Crédit Agricole (tel que défini par l’article R512-18 du Code monétaire et financier), au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le compose, au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole s.a. dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

L’organisation du groupe Crédit Agricole et de Crédit Agricole S.A.

 

 

 

 

 

Relations internes au Crédit agricole :

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole lui sont spécifiques.

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements de fonds correspondant aux relations financières internes au groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en : « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur établissements de crédit ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (emprunts obligataires, bons et comptes à terme assimilés, comptes et plans d'épargne-logement, comptes sur livrets, PEP, etc.) sont collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole s.a. Elles sont transférées à Crédit Agricole S.A. et figurent à ce titre à son bilan. Elles financent les avances faites aux Caisses régionales pour leur permettre d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre réformes financières internes ont été successivement mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25%, puis 33% et, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la gestion de la collecte sont partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A. et sont déterminées par référence à l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des crédits entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et les Caisses régionales peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Deux autres types d'avances sont à distinguer :

– les avances pour prêts bonifiés qui refinancent les prêts à taux réduits fixés par l'Etat : celui-ci verse à Crédit Agricole s.a. une bonification (reversée aux Caisses régionales pour les avances souscrites depuis le 1er janvier 2004) pour combler la différence entre le coût de la ressource et le taux des prêts

– les avances pour autres prêts qui refinancent, à hauteur de 50%, les prêts non bonifiés : ces avances de Crédit Agricole s.a. sont accordées aux Caisses régionales sur justification de leurs engagements.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine monétaire des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme non réglementés et certificats de dépôt négociables), peuvent être utilisées par celles-ci au financement de leurs prêts. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés dans des comptes ordinaires ou des comptes à terme parmi les « Opérations internes au Crédit Agricole »

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents peuvent être investis chez Crédit Agricole s.a. sous la forme de placements de 3 à 10 ans dont toutes les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A., intermédiaire des Caisses régionales auprès de la Banque de France, centralise leurs opérations de change.

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (comptes sur livrets, d'épargne-entreprise, d'épargne populaire, Livret de développement durable, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés principalement par les Caisses régionales et figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole s.a.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un Protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au Groupe Crédit agricole. Ce Protocole prévoit en particulier la constitution d’un fonds pour risques de liquidité et de solvabilité destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du Protocole sont détaillées au Chapitre III du document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

Autres relations internes :

— Informations relatives aux parties liées : Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2007 et aux dirigeants (cf. note 5.5). Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 59 Caisses locales qui lui sont affilées, selon les principes énoncés au paragraphe « la consolidation des Caisses Régionales. »

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 034K€.

 

II. — Compte de résultat.

 

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2007

31/12/2006

Intérêts et produits assimilés

5.1

224 236

184 292

Intérêts et charges assimilées

5.1

-151 437

-105 700

Commissions (produits)

5.2

78 126

70 990

Commissions (charges)

5.2

-9 248

-7 476

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

5.3

-366

231

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

5.4

16 998

11 587

Produits des autres activités

5.5

9 862

7 856

Charges des autres activités

5.5

-328

-327

    Produit net bancaire

 

167 843

161 453

Charges générales d'exploitation

5.6

-82 713

-80 374

Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles

5.7

-6 465

-6 464

    Résultat brut d’exploitation

 

78 665

74 615

Coût du risque

5.8

-12 227

-8 828

    Résultat d’exploitation

 

66 438

65 787

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

5.9

763

263

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

Résultat avant impôt

 

67 201

66 050

Impôts sur les bénéfices

5.10

-18 375

-21 298

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

    Résultat net

 

48 826

44 752

Intérêts minoritaires

 

 

 

Résultat net – part du groupe

 

48 826

44 752

 

 

III. — Bilan au 31 décembre 2007.

(En milliers d'euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2007

31/12/2006

Caisse, banques centrales (*)

7.1

28 261

49 726

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

7.2

42 278

36 958

Instruments dérivés de couverture

4.4

2 207

2 866

Actifs financiers disponibles à la vente

7.4

413 371

466 824

Prêts et créances sur les établissements de crédit

7.5

140 361

120 331

Prêts et créances sur la clientèle

7.5

3 910 530

3 512 644

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

-1 310

11 286

Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance

7.8

48 001

45 885

Actifs d’impôts courant

 

703

 

Actifs d’impôts différés

7.10

13 720

8 571

Comptes de régularisation et actifs divers

7.11

92 667

71 904

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

Immeubles de placement

7.12

145

1 287

Immobilisations corporelles

7.13

42 001

41 989

Immobilisations incorporelles

7.13

1 067

1 086

Ecarts d’acquisition

 

 

 

Total de l'actif

 

4 734 002

4 371 357

(*) Les opérations ayant comme contrepartie la Banque Postale (ex CCP) sont désormais rattachées à la rubrique « Créances sur les établissements de crédit »

 

 

 

 

 

Passif

Notes

31/12/2007

31/12/2006

Banques centrales (*)

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

7.2

1 266

425

Instruments dérivés de couverture

4.4

20 844

9 630

Dettes envers les établissements de crédit

7.7

2 686 711

2 485 096

Dettes envers la clientèle

7.7

1 138 000

1 076 514

Dettes représentées par un titre

7.9

169 799

1 484

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

-17 113

754

Passifs d’impôts courants

 

 

1 143

Passifs d’impôts différés

 

 

 

Comptes de régularisation et passifs divers

7.11

54 087

54 242

Dettes liées aux actifs non courant destinés à être cédés

 

 

 

Provisions techniques des contrats d’assurance

 

 

 

Provisions

7.14

17 306

23 648

Dettes subordonnées

7.9

28 873

29 072

Capitaux propres

7.15

 

 

Capitaux propres part du groupe

 

634 229

689 349

Capital et réserves libres

 

156 828

155 884

Réserves consolidées

 

298 566

257 236

Gains ou pertes latents ou différés

 

130 009

231 477

Résultat de l’exercice

 

48 826

44 752

Intérêts minoritaires

 

 

 

    Total du passif

 

4 734 002

4 371 357

(*) Les opérations ayant comme contrepartie la Banque Postale (ex CCP) sont désormais rattachées à la rubrique « Dettes sur les établissements de crédit »

 

 

IV. — Tableau de variation des capitaux propres.

 

(En milliers d'Euros)

Capital et réserves liées

Réserves consolidées part du Groupe

Gains/pertes latents ou différés

Résultat net part du groupe

Total des capitaux propres part du groupe

Capitaux propres part des minoritaires

Total des capitaux propres consolidés

 

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital

Elimination des titres auto-détenus

 

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponibles à la vente

Variation de juste valeur des dérivés de couverture

 

 

 

 

Capitaux propres au 1er janvier 2006

25 039

129 625

 

217 197

 

129 840

1 817

41 632

545 150

 

545 150

Augmentation de capital

1 219

 

 

 

 

 

 

 

1 219

 

1 219

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation résultat N-1

 

 

 

37 929

 

 

293

-38 222

 

 

 

Dividendes versés en 2006

 

 

 

 

 

 

 

-3 410

-3 410

 

-3 410

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Variation de valeurs des titres disponibles à la vente (IAS 39)

 

 

 

 

 

101 637

 

 

101 637

 

101 637

Couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat au 31 décembre 2006

 

 

 

 

 

 

 

44 752

44 752

 

44 752

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Capitaux propres au 31 décembre 2006

26 258

129 625

 

255 126

 

231 477

2 110

44 752

689 348

 

689 348

Changement de méthodes comptables

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat 2006

 

 

 

40 839

 

 

79

-40 918

 

 

 

Capitaux propres au 1er janvier 2007

26 258

129 625

 

295 965

 

231 477

2 189

3 834

689 348

 

689 348

Augmentation de capital

945

 

 

 

 

 

 

 

945

 

945

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dividendes versés en 2007

 

 

 

 

 

 

 

-3 834

-3 834

 

-3 834

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Variation de valeurs des titres disponibles à la vente (IAS 39)

 

 

 

 

 

-101 462

 

 

-101 462

 

-101 462

Variation de juste valeur

 

 

 

 

 

-7

 

 

-7

 

-7

Transfert en compte de résultat

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultat au 31 décembre 2007

 

 

 

 

 

 

 

48 826

48 826

 

48 826

Autres variations

 

 

 

412

 

 

 

 

412

 

412

Capitaux propres au 31 décembre 2007

27 203

129 625

 

296 377

 

130 008

2 189

48 826

634 228

 

634 228

 

 

V. — Tableau des flux de trésorerie.

 

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en ce compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans ce compartiment.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

VI. — Tableau des flux de trésorerie.

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Résultat avant impôts

67 201

66 050

Dotations nettes aux amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles

6 475

6 474

Dépréciation des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

 

 

Dotations nettes aux dépréciations

2 890

3 623

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Perte nette/gain net des activités d'investissement

-344

-252

(Produits)/charges des activités de financement

1 497

1 515

Autres mouvements

-4 559

-13 745

    Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

5 959

-2 385

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

288 502

130 243

Flux liés aux opérations avec la clientèle

-341 246

-375 698

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

144 882

-25 354

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-13 214

4 160

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-24 665

-27 432

    Diminution/(augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

54 259

-294 081

    Total Flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A)

127 419

-230 416

Flux liés aux participations

-27 988

-2 956

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-5 855

-5 818

    Total Flux net de trésorerie lié aux opérations d’investissement (B)

-33 843

-8 774

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires

-2 890

-2 190

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement

-1 497

-2 533

    Total Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C )

-4 387

-4 723

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

    Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A+B +C+D)

89 189

-243 913

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

-151 192

92 721

Caisse, banques centrales (actif et passif)

49 673

43 055

Comptes (actif et passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit

-200 865

49 666

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

-62 003

-151 192

Caisse, banques centrales (actif et passif)

28 189

49 673

Comptes (actif et passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit

-90 192

-200 865

Variation de la trésorerie nette

89 189

-243 913

 

VII. — Notes annexes aux états financiers.

 

1. – Principes et Méthodes applicables dans le groupe.

 

Cadre réglementaire. — L'Union Européenne a adopté le 19 juillet 2002 le règlement (CE n°1606/2002) imposant aux entreprises européennes dont les titres sont admis à la négociation sur un marché réglementé, de produire des comptes consolidés selon le référentiel IFRS à partir de 2005.

Ce règlement a été complété, par le règlement du 29 septembre 2003 (CE n°1725/2003) portant application des normes comptables internationales, et par le règlement du 19 novembre 2004 (CE n°2086/2004) permettant l'adoption de la norme IAS 39 dans un format amendé, ainsi que par les règlements du 29 décembre 2004 (CE n° 2236/2004, 2237/2004, 2238/2004), du 4 février 2005 (CE n° 211/2005), du 7 juillet 2005 (CE n° 1073/2005), du 25 octobre 2005 (CE n° 1751/2005), du 15 novembre 2005 (CE n° 1864/2005), du 8 novembre 2005 (CE n° 1910/2005), du 21 décembre 2005 (CE n° 2106/2005), du 11 janvier 2006 (CE n° 108/2006), du 8 mai 2006 (CE n° 708/2006), du 8 septembre 2006 (CE n° 1329/2006), du 1er juin 2007 (CE n° 610/2007 et n° 611/2007) et du 21 novembre 2007 (CE n° 1358/2007).

 

Normes applicables et comparabilité. — Les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC telles qu’adoptées par l’Union Européenne et applicables au 31 décembre 2007.

 

Celles-ci sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2006, à l’exception du changement de méthode relatif au traitement des intérêts minoritaires décrit en note 1.2. Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS et interprétations de l’IFRIC telles qu’adoptées par l’Union Européenne au 31/12/07 et dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2007. Celles-ci portent sur :

— la norme IFRS 7 relative aux informations à fournir sur les instruments financiers. Cette nouvelle norme a principalement comme impact d'ajouter des informations quantitatives et qualitatives sur les instruments financiers pour l'entité ainsi que la nature et l'ampleur des risques en découlant et leur gestion

 

— l’amendement de la norme IAS 1 « présentation des états financiers » relatif aux informations complémentaires quantitatives et qualitatives à fournir sur les capitaux propres

— l’interprétation IFRIC 7 relative aux modalités de retraitement des états financiers selon la norme IAS 29 portant sur les informations financières dans les économies hyperinflationnistes

— l’interprétation IFRIC 8 relative au champ d’application de la norme IFRS 2 portant sur le paiement fondé sur des actions

— l’interprétation IFRIC 9 relative à la réévaluation des dérivés incorporés

— l’interprétation IFRIC 10 relative au traitement des pertes de valeur (dépréciation) dans l’information financière intermédiaire

L’application de ces nouvelles normes et interprétations n’a pas eu d’impact significatif sur le résultat et la situation nette de la période.

Par ailleurs, il est rappelé que lorsque l’application de normes et interprétations est optionnelle sur une période, celles-ci ne sont pas retenues par le Groupe, sauf mention spécifique. Ceci concerne en particulier :

— l’interprétation IFRIC 11 issue du règlement du 1er juin 2007 (CE n° 611/2007) et relative au traitement des actions propres et des transactions intra-groupe dans le cadre de la norme IFRS 2 portant sur le paiement fondé sur des actions. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2008.

— la norme IFRS 8 issue du règlement du 21 novembre 2007 (CE n° 1358/2007), relative aux secteurs opérationnels et remplaçant la norme IFRS 14 relative à l’information sectorielle. Cette interprétation sera appliquée pour la première fois au 1er janvier 2009.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’attend pas d’effet significatif de ces applications sur son résultat et sa situation nette.

Enfin, les normes et interprétations publiées par l’IASB mais non encore adoptées par l’Union Européenne n’entreront en vigueur d’une manière obligatoire qu’à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre 2007.

 

Format de présentation des états financiers. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation CNC n°2004-R.03 du 27 octobre 2004.

 

1.1. Principes et méthodes comptables :

Les instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission Européenne le 19 novembre 2004 et complétée par les règlements (CE) n° 1751/2005 du 25 octobre 2005 et n° 1864/2005 du 15 novembre 2005 relatif à l’utilisation de l’option de la juste valeur.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

La juste valeur est définie comme le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale. L’existence de cotations publiées sur un marché actif constitue la meilleure indication de la juste valeur des instruments financiers. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation reconnues utilisant des données de marché « observables » et « non observables ».

 

Les titres

 

Classification des titres à l’actif. — Ceux-ci sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définis par la norme IAS 39 :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option.

— Actifs financiers disponibles à la vente.

— Placements détenus jusqu’à l’échéance

— Prêts et créances.

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat / affectation par nature ou sur option :

Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend les titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de le céder à court terme ou qui font partie d’un portefeuille d’instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de Groupe d’actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

A ce titre, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a utilisé cette comptabilisation à la juste valeur par option pour les actifs suivants :

Bons à Moyens Terme Négociables :

— BMTN Indexé

— BMTN Cartouche

— BMTN Multitracker

Les titres contenant des dérivés incorporés :

— EMTN Crédit Sail

— EMTN Océan Finance

— EMTN Confluent

— EMTN Long Short Value

— EMTN Calyon

— EMTN Solys Calyon

— EMTN Goldman Sachs

— EMTN Long Short Value 5 ans

— EMTN Long Short Map

— EMTN Calyon Finance Magnum

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (qui sont passés directement en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat. Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de dépréciations.

 

Placements détenus jusqu’à l’échéance : La catégorie "Placements détenus jusqu’à l’échéance" (éligibles aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

— ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat.

— ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des placements détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance (sous peine d’entraîner le déclassement de l’ensemble du portefeuille en actif disponible à la vente et d’interdire l’accès à cette catégorie pendant 2 ans).

 

Néanmoins des exceptions à cette règle de déclassement peuvent exister lorsque :

— la vente est proche de l’échéance (moins de 3 mois) ;

— la cession intervient après que l’entreprise ait déjà encaissé la quasi-totalité du principal de l’actif (environ 90% du principal de l’actif) ;

— la vente est justifiée par un événement externe, isolé ou imprévisible ;

— si l’entité n’escompte pas récupérer substantiellement son investissement en raison d’une détérioration de la situation de l’émetteur (auquel cas l’actif est classé dans la catégorie des actifs disponibles à la vente).

La couverture du risque de taux de ces titres n’est pas autorisée.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus. Ces titres sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti au taux d’intérêt effectif.

En cas de signe objectif de dépréciation, celle-ci est constatée pour la différence entre la valeur comptable et la valeur de recouvrement estimée actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine. En cas d’amélioration ultérieure, la dépréciation excédentaire est reprise.

 

Titres du portefeuille « Prêts et créances » : La catégorie «Prêts et créances» enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables.

Les titres sont comptabilisés initialement pour leur prix d’acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus, et par la suite au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles dépréciations.

En cas de signes objectifs de dépréciation, celle-ci est constatée pour la différence entre la valeur comptable et la valeur de recouvrement estimée en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine.

 

Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie Actifs disponibles à la vente est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation.

Les principes de comptabilisation des titres classés en "Actifs disponibles à la vente" sont les suivants :

— les titres disponibles à la vente sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus,

— les intérêts courus sur les titres disponibles à la vente sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

— les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables. En cas de cession, ces variations sont extournées et constatées en résultat. L’amortissement dans le temps de l’éventuelle surcote / décote des titres à revenu fixe est comptabilisée en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

— en cas de signe objectif de dépréciation, significative ou durable pour les titres de capitaux propres, et matérialisée par la survenance d’un risque de crédit pour les titres de dettes, la moins value latente initialement comptabilisée en capitaux propres est extournée et la dépréciation durable comptabilisée dans le résultat de l’exercice. En cas de variation de juste valeur positive ultérieure, cette dépréciation fait l’objet d’une reprise par résultat pour les instruments de dette et par capitaux propres pour les instruments de capitaux propres.

 

Evaluation des titres. — La juste valeur est la méthode d’évaluation retenue pour l’ensemble des instruments financiers classés dans les catégories « Actifs financiers à la juste valeur par résultat » ou "disponibles à la vente".

Les prix cotés sur un marché actif constituent la méthode d’évaluation de base. A défaut, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation reconnues en se référant notamment à des transactions récentes.

Lorsqu’il n’y a pas de prix coté sur un marché actif pour un titre de capitaux propres et qu’il n’existe pas de technique de valorisation reconnue, la Caisse Régionale Sud Méditerranée retient, lorsque cela est possible, des techniques reposant sur des indications objectives et vérifiables telles que la détermination de l’actif net réévalué ou toute autre méthode de valorisation des titres de capitaux propres.

Si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « titres disponibles à la vente. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de Juste Valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS7 en vigueur. Il s’agit principalement de titres de participation de sociétés non cotées sur un marché actif et non consolidées, dont l’évaluation à la juste valeur est rendue difficile par le caractère non significatif de leur importance au sein du Groupe ou par la faiblesse du pourcentage de contrôle.

 

Dépréciation des titres. — Une dépréciation est constatée en cas de signes objectifs de dépréciation des actifs autres que ceux classés en juste valeur par résultat.

Elle est matérialisée par une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou par l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non-recouvrement pour les titres de dette.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise un critère guide de nature quantitative pour identifier les baisses significatives ou durables : une provision est présumée nécessaire lorsque l’instrument de capitaux propres a perdu 30% au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs.

Ce critère de baisse significative ou durable de la valeur du titre est une condition nécessaire mais non suffisante pour justifier l’enregistrement d’une dépréciation. Cette dernière n’est constituée que dans la mesure où elle se traduira par une perte probable de tout ou partie du montant investi.

La constatation de cette dépréciation se fait

— pour les titres évalués au coût amorti via l’utilisation d’un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d’amélioration ultérieure

— pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, en cas d’amélioration ultérieure du cours des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient pour les instruments de dettes

 

Date d’enregistrement des titres. — Crédit Agricole s.a. enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans la catégorie « Titres détenus jusqu’à l’échéance ». Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation.

 

Titres au passif (IAS 32) :

Distinction dettes – capitaux propres :

Un instrument de dette ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

– de remettre des liquidités ou un autre actif financier,

– d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables,

Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

Les parts sociales émises par les Caisses régionales et des Caisses locales sont considérées comme des capitaux propres au sens de l'IAS 32 et de l'interprétation IFRIC 2, et traitées comme telles dans les comptes consolidés du Groupe.

Par ailleurs, l’IFRIC a communiqué en novembre 2006 l’état de ses interprétations et commentaires sur la norme IAS 32 sur laquelle elle avait été sollicitée. Cela concerne la qualification de certains instruments financiers en instruments de dettes ou de capitaux propres. Néanmoins, il a rappelé que pour que ses analyses soient opérationnelles, il convenait de poursuivre un processus réglementaire inachevé à ce jour.

 

L’activité de crédits :

Les crédits sont affectés principalement à la catégorie "Prêts et créances". Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les revenus calculés sur la base du taux d’intérêt effectif sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les avances accordées par Crédit Agricole s.a. aux Caisses régionales ne présentent pas pour Crédit Agricole s.a. un risque direct sur les bénéficiaires des prêts à la clientèle distribuée par les Caisses régionales, mais éventuellement un risque indirect sur la solidité financière de celles-ci. A ce titre, Crédit Agricole s.a. n'a pas constitué de dépréciation sur les avances aux Caisses régionales.

Le Groupe Crédit Agricole distingue, parmi ses créances dépréciées au sens des normes internationales, les créances douteuses compromises, les créances douteuses non compromises et les créances restructurées pour cause de défaillance du client.

 

Créances dépréciées. — Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances. Les créances ainsi identifiées font l’objet d’une dépréciation sur base individuelle ou sur base collective. Les pertes prévisibles sont ainsi appréhendées à travers l’enregistrement de dépréciations, égales à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine, ou sous forme de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

 

On distingue ainsi :

— les créances dépréciées sur base individuelle : il s’agit des créances douteuses assorties de dépréciations et des créances restructurées pour cause de défaillance du client assorties de décotes ;

— les créances dépréciées sur base collective : il s’agit des créances non dépréciées sur base individuelle, pour lesquelles la dépréciation est déterminée par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires.

Parmi les créances dépréciées sur base individuelle la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les créances douteuses, elles-mêmes réparties en créances douteuses compromises et non compromises, et les créances restructurées non douteuses.

 

Créances douteuses : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

— lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de location-financement immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales), compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits ;

— lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

— s’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Le classement pour une contrepartie donnée des encours en encours douteux entraîne par « contagion » un classement identique de la totalité de l’encours et des engagements relatifs à cette contrepartie, nonobstant l’existence de garantie ou caution.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis :

Les créances douteuses compromises sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

 

Créances restructurées non douteuses : Ce sont les créances dont l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) du fait d’un risque de contrepartie, tout en reclassant l’encours en créances non douteuses. La réduction des flux futurs accordée à la contrepartie lors de la restructuration donne lieu à enregistrement d’une décote.

 

Prise en compte du risque de crédit sur base individuelle. — Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale Sud Méditerranée par voie de dépréciation. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue les dépréciations correspondant, en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours douteux et douteux compromis.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

Traitement des décotes et dépréciations. — La décote constatée lors d’une restructuration de créance ou la dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque.

Cette décote correspond au manque à gagner de flux de trésorerie futurs, actualisés au taux de marché.

Elle est égale à l’écart constaté entre :

— la valeur nominale du prêt,

— la somme des flux de trésorerie futurs théoriques du prêt restructuré, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine (défini à la date de l’engagement de financement).

Pour les créances restructurées en encours sains, cette décote est réintégrée sur la durée de vie dans la marge d’intérêt. Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non-recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation et à l’amortissement de la décote du fait de la désactualisation étant inscrite dans la marge d’intérêts.

 

Prise en compte du risque de crédit sur base collective. — Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du groupe démontrent l’existence de risques avérés de non-recouvrement partiel sur les encours non classés en douteux. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses dépréciations sur bases collectives telles que dépréciations sur encours sensibles (encours sous surveillance), calculées à partir de modèles Bâle II, les dépréciations sectorielles et les dépréciations sur pays à risque :

— Dépréciations sur encours sensibles : Dans le cadre du projet Bâle II, la direction des risques de la Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an, en fonction de multiples critères d’observation qui répondent à la définition de l’événement de perte au sens de la norme IAS 39.

Le montant de la dépréciation est obtenu par l’application au montant de pertes attendues d’un coefficient correcteur, reflet du jugement expérimenté de la direction, destiné à prendre en compte divers paramètres absents des modèles Bâle II, tels que l’extension au-delà d’un an de l’horizon de pertes attendu, ainsi que divers facteurs économiques, conjoncturels ou autres.

— Autres dépréciations sur base collective : La Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des dépréciations sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les dépréciations sectorielles. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle ou géographique pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché habitat espagnol.

 

Les intérêts pris en charge par l’état (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du Groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat.

Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Les passifs financiers :

La norme IAS 39 adoptée par l’Union Européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

Les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables.

— Les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de Groupe de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

— Les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

Les produits de la collecte :

Les produits de collecte sont comptabilisés en totalité dans la catégorie des « Dettes envers la clientèle» malgré les caractéristiques du circuit de collecte dans le Groupe Crédit Agricole avec une centralisation de la collecte chez Crédit Agricole S.A. en provenance des Caisses régionales. La contrepartie finale de ces produits de collecte pour le Groupe reste en effet la clientèle.

L’évaluation initiale est faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée dans la note 7.18.

 

Les instruments dérivés :

Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est un compte de résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

 

La comptabilité de couverture :

La couverture de juste valeur a pour objet de réduire le risque de variation de juste valeur d’un actif ou d’un passif comptabilisé ou d’un engagement ferme non comptabilisé.

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de réduire le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associé à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d’intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable.

La couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger a pour objet de réduire le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d’un investissement réalisé à l’étranger dans une monnaie autre que l’Euro.

Dans le cadre d’une intention de gestion de micro-couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

– éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert.

– documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert.

– démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

– couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé est inscrite en résultat symétriquement à la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert et il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture.

– couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de capitaux propres recyclables pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulé en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat symétriquement aux opérations couvertes.

– couverture d’un investissement net dans une activité à l’étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte d’écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat.

Dans le cadre d’une intention de gestion de macro-couverture de taux (c’est à dire la couverture d’un groupe d’actifs ou de passifs présentant la même exposition aux risques désignée comme étant couverte), le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité des relations de macro-couverture se fait par le biais d’échéanciers. Par ailleurs, la mesure de l’efficacité des relations de couverture doit se faire au travers de tests prospectifs et rétrospectifs.

Suivant qu’une relation de macro-couverture de flux de trésorerie ou de juste valeur a été documentée, l’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait selon les mêmes principes que ceux décrits précédemment dans le cadre de la micro-couverture. Toutefois, le groupe Crédit Agricole S.A. privilégie pour les relations de macro-couverture, une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union Européenne (version dite « carve out »).

 

Dérivés incorporés : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les 3 conditions suivantes sont remplies :

– le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

– séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

– les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Prise en compte des marges à l’origine sur les instruments financiers structurés : Selon la norme IAS 39, la constatation dès l’origine en résultat des marges sur les produits structurés et sur les instruments financiers complexes n’est possible qu’à la condition que ces instruments financiers puissent être évalués de manière fiable dès leur initiation. Cette condition est respectée seulement lorsque ces instruments sont évalués en fonction de cours constatés sur un marché actif, ou en fonction de modèles internes « standards » utilisant des données de marché « observables ».

 

Instruments traités sur un marché actif. — S’il existe un marché actif, les prix disponibles sur ce marché sont retenus.

Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d’une bourse, d’un courtier, d’un négociateur, d’un service d’évaluation des prix ou d’une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale.

Les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs pour les positions nettes vendeuses et aux cours vendeurs pour les positions nettes acheteuses. Par ailleurs, ces valeurs tiennent compte des risques de contrepartie.

Instruments traités sur des marchés non actifs. — En l’absence de marché actif, la juste valeur est déterminée grâce à l’utilisation de méthodologies et de modèles de valorisation intégrant tous les facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix.

La détermination de ces justes valeurs tient compte du risque de liquidité et du risque de contrepartie.

Ces modèles doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant

 

— Instruments valorisés à partir de modèles internes utilisant des données de marché observables : Lorsque les modèles utilisés sont basés notamment sur des modèles standards (tels que des méthodes d’actualisations de flux futurs, le modèle de Black & Scholes), et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite des options), la marge à l’origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée immédiatement en compte de résultat.

— Instruments valorisés en fonction de modèles internes utilisant des données de marché non observables : Dans le cas d’instruments valorisés à partir de modèles utilisant des données non observables, le prix de transaction est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée. La marge est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent « observables », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

 

Gains ou pertes nettes sur instruments financiers :

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers conclus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat ;

– les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n'entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie.

Ce poste comprend également l'inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d'investissements nets en devises.

 

Gains ou pertes nets sur actifs disponibles à la vente :

Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants :

– les dividendes et autres revenus provenant d'actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

– les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente ;

– les pertes de valeur des titres à revenu variable ;

– les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l'élément couvert est cédé ;

– les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu'à l'échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39.

 

Les garanties financières : Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes initiaux ou modifiés de l’instrument d’emprunt.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé de :

– celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « provisions, passifs éventuels et actifs éventuels », ou

– le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

Les engagements de financement qui ne sont pas désignés comme actifs à la juste valeur par résultat ou qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

Décomptabilisation des instruments financiers : Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier sont transférés.

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication dans cet actif.

Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie uniquement lorsque ce passif est éteint.

 

Les provisions (IAS 37,19). — La Caisse Régionale Sud Méditerranée identifie les obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un évènement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l’effet est significatif.

Au titre des obligations autres que liées au risque de crédit, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions qui couvrent notamment :

— les risques opérationnels,

— les avantages au personnel,

— les risques d’exécution des engagements par signature,

— les litiges et garanties de passif,

— les risques fiscaux,

— les risques liés à l’épargne logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

 

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement modélisé des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision mise en oeuvre par le Groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec l’avis CNC n° 2006-02 du 31 mars 2006 sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement.

Des informations détaillées sont fournies au point 7.18

 

Les avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, les primes payables dans les douze mois de la clôture de l’exercice,

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice),

— les indemnités de fin de contrat de travail,

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

Engagement en matière de retraite, de préretraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies :

La Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine à chaque arrêté ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n'applique pas la méthode optionnelle du corridor et impute les écarts actuariels constatés en résultat. De fait, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a choisi de ne pas appliquer l’option ouverte par la norme IAS 19 § 93 qui consiste à comptabiliser les écarts actuariels en dehors du résultat et à les présenter dans un état des variations des capitaux propres spécifique.

Par conséquent, le montant de la provision est égal à :

— la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19,

— diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a souscrit des assurances auprès de Prédica et d’ADICAM. En conséquence la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas la nécessité de constituer de provision en complément de cette souscription.

 

Plans de retraite – régimes à cotisations définies :

Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Les impôts courants et différés. — Conformément à la norme IAS 12, l’impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu’ils soient exigibles ou différés.

Celle-ci définit l’impôt exigible comme « le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d’un exercice ». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d’un exercice déterminé selon les règles établies par l’administration fiscale.

Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d’impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d’implantation des sociétés du Groupe.

L’impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n’est pas subordonné à la réalisation d’opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices.

L’impôt exigible, tant qu’il n’est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l’exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l’excédent doit être comptabilisé en tant qu’actif.

Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l’entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l’impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles.

La norme impose la comptabilisation d’impôts différés dans les cas suivants :

— Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

– la comptabilisation initiale du goodwill ;

– la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui :

a) n'est pas un regroupement d'entreprises ; et

b) n'affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible.

Un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

Les plus-values latentes sur titres, lorsqu’elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d’impôts différés. A noter : lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d’impôt réellement supportée par l’entité au titre de ces plus-values latentes est-elle reclassée en déduction de ceux-ci.

Les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 (à l’exception d’une quote-part de 5% de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice ne génèrent-elles pas non plus de différences temporelles devant donner lieu à constatation d’impôts différés.

L'impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

– soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres;

– soit par un regroupement d'entreprises.

Les actifs et passifs d'impôt différés sont compensés si, et seulement si :

– l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et

– les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

a) soit sur la même entité imposable ;

b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôt exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôt différés soient réglés ou récupérés.

Les crédits d’impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu’ils sont effectivement utilisés en règlement de l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d’impôt correspondante est maintenue dans la rubrique « Impôts sur le bénéfice » du compte de résultat.

 

Le traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38, 40). — Le Groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles et incorporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatées depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatées depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les fonds de commerce acquis. Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondant ou du potentiel des services attendus.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le Groupe Crédit Agricole S.A. suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans

Matériel spécialisé

4 à 5 ans

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Les opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du Groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres,

— les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

Les traitements relatifs aux actifs non monétaires diffèrent selon la nature de ces actifs :

— les actifs au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction,

— les actifs à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat,

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

Les commissions sur prestations de services (IAS 18). — Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent.

Lorsque le résultat d'une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé en fonction du degré d'avancement de la transaction à la date de clôture :

— les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat. Les commissions de placement entrent notamment dans cette catégorie,

— les commissions rémunérant des services continus (commissions sur moyens de paiement, par exemple) sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue,

— les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d’un objectif de performance ne sont comptabilisées que pour autant que l’ensemble des conditions suivantes soient respectées :

– le montant des commissions peut être évalué de façon fiable,

– il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l’entreprise,

– le degré d’avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable.

 

Les contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus,

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier,

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

— l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et des intérêts courus à la clôture de l’exercice,

— la valeur nette comptable des immobilisations louées,

— la provision pour impôts différés.

Dans les comptes du locataire, les contrats de location-financement font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit, par la constatation d’une dette financière, l’enregistrement du bien acheté à l’actif de son bilan et l’amortissement de celui-ci.

En conséquence, dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

S’agissant d’opérations de location simple, le preneur comptabilise les charges de paiement et le bailleur enregistre les produits réciproques correspondant aux loyers, ainsi que les biens loués à son actif.

 

1.2. Les principes et méthodes de consolidation (IAS 27, 28, 31) :

— Changements de méthode comptable : A compter du 1er janvier 2007, dans un souci de comparabilité avec des pratiques de place, l’écart entre le coût d’acquisition et la quote-part d’actif net lié à l’augmentation du pourcentage d’intérêt dans une entité déjà contrôlée de manière exclusive est désormais constaté en diminution du poste « réserves consolidées part du Groupe ».

De façon symétrique, en cas de diminution du pourcentage d’intérêt de la Caisse Régionale Sud Méditerranée dans une entité restant contrôlée de manière exclusive, l’écart entre le prix de cession et la valeur comptable des intérêts minoritaires cédés est également constaté directement en réserves consolidées part du Groupe.

Compte tenu de son caractère non significatif, ce changement de méthode est sans incidence sur les comptes de l’entité.

En corollaire, le traitement comptable des options de vente accordées aux actionnaires minoritaires est donc désormais le suivant :

– lorsqu’une option de vente est accordée à des actionnaires minoritaires d’une filiale consolidée par intégration globale, une dette est enregistrée au passif du bilan ; sa comptabilisation initiale intervient pour la valeur présente estimée du prix d’exercice des options consenties aux actionnaires minoritaires ;

– en contrepartie de cette dette, la quote-part d’actif net revenant aux minoritaires concernés est ramenée à zéro et le solde est inscrit en réduction des capitaux propres ;

– les variations ultérieures de la valeur estimée du prix d’exercice modifient le montant de la dette enregistrée au passif, en contrepartie de l’ajustement des capitaux propres ;

– la quote-part de résultat revenant aux actionnaires minoritaires s’impute en réduction des capitaux propres.

 

Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle.

Celui-ci est présumé lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20 % de des droits de vote existants et potentiels

Par exception, les entités ayant un impact non significatif sur les comptes consolidés de l’ensemble ne sont pas incluses dans le périmètre de consolidation.

Le caractère significatif de cet impact peut notamment être apprécié au travers de divers critères tels que l’importance du résultat ou des capitaux propres de la société à consolider par rapport au résultat ou aux capitaux propres de l’ensemble consolidé, l’impact sur la structure des états financiers, ou sur le total du bilan, présumé significatif s’il est supérieur à 10 millions d’euros ou excède 1 % du total de bilan de la Caisse Régionale Sud Méditerranée consolidée qui détient ses titres.

Le périmètre de consolidation au 31 décembre 2007 est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 59 Caisses locales qui lui sont affilées, selon les principes énoncés au paragraphe suivant : « La consolidation des Caisses Régionales ».

 

La consolidation des Caisses régionales. — Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le Groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse Nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code Monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du Groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la Caisse Régionale Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le Groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

 

Les notions de contrôle. — Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d’une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20% ou plus des droits de vote dans une entité.

 

— Les exclusions du périmètre de consolidation : Les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option.

 

Les méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature de contrôle exercée par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale.

– l’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée,

– l’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée,

– la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable.

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des intérêts minoritaires dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultats consolidés.

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote-part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués, sauf s’ils sont jugés non significatifs.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé.

Les plus ou moins-values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les moins-values obtenues sur la base d’un prix de référence externe sont maintenues.

 

2. – Jugements et estimations utilisés dans la préparation des états financiers.

 

De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers au 31 décembre 2007 exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur.

Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change,

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays,

— les modifications de la réglementation ou de la législation,

Cette liste n’est pas exhaustive.

 

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

 

— Instruments financiers évalués à leur juste valeur : Pour la plupart des instruments négociés de gré à gré, l’évaluation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux basées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté.

Pour l’évaluation d’autres instruments financiers, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs de trésorerie qui sera souvent retenue.

La détermination de la juste valeur des instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques d'évaluation. Comme décrit dans la note relative aux principes comptables, seuls les produits dont les modèles de valorisation n'intègrent que des paramètres jugés observables, voient leur marge reconnue comptablement en résultat dès l'initiation.

Les participations non consolidées peuvent être évaluées au coût historique et non à la juste valeur si celle-ci ne peut pas être déterminée directement par référence à un marché actif ni évaluée par la Caisse Régionale Sud Méditerranée selon d’autres méthodes de valorisation. Ces titres, listés dans la note 3.5 spécifique, sont destinés à être conservés durablement.

 

— Régimes de retraites et autres avantages sociaux futurs : Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs.

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

 

— Les dépréciations durables : Les titres de capitaux propres en portefeuilles (autres que ceux de transaction) font l’objet d’une dépréciation en cas de baisse durable ou significative de la valeur du titre. En général, une baisse significative et durable est présumée lorsque l’instrument a perdu 30% au moins de sa valeur sur une période de six mois consécutifs. Cependant, la direction peut être amenée à prendre en considération d’autres facteurs (types de placement, situation financière de l’émetteur, perspectives à court terme, …) ; ceux-ci n’ont pas de caractère intangible.

 

— Dépréciations des créances irrécouvrables : La valeur du poste « Prêts et créances » est ajustée par une dépréciation relative aux créances dépréciées lorsque le risque de non-recouvrement de ces créances est avéré.

L’évaluation de cette provision sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la dépréciation.

Une dépréciation collective sur encours sain est également dotée. L’évaluation de cette provision fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la Direction.

 

— Provisions :

L’évaluation des provisions peut également faire l’objet d’estimations :

– La provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction.

– Les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte tenu des éléments en sa possession au 31 décembre 2007,

– Les provisions épargne-logement qui utilisent des hypothèses d’évolution des comportements des clients, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité des évolutions futures de ces comportements.

 

— Constatation d’actif d’impôt différé : Un actif d’impôt différé est comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles à condition que soit jugée probable la disponibilité future d’un bénéfice imposable sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées.

 

3. – Périmètre de consolidation.

 

Le périmètre de consolidation au 31 décembre 2007 est inchangé par rapport au 31/12/2006 et est présenté de façon détaillée à la fin des notes annexes.

Les participations non consolidées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Valeur au bilan

% de capital détenu par l’entité

Valeur au bilan

% de capital détenu par l’entité

Titres de participation non consolidés (détail)

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

    SCI Château de Castelnou

839

98,61

685

98,61

Autres titres de participations

 

 

 

 

    SAS rue la boétie

280 821

1,32

358 629

1,32

    SA Sofilaro

1 433

14,32

1 289

14,32

    GF de Font Moreau

37

24,11

570

24,11

    SAS Développement

12 749

1,35

10 719

1,35

    SAS Fireca

582

1,18

582

1,18

    SNC Ca titres

398

0,69

398

0,69

    SAS International

11 893

1,69

11 893

1,69

Autres titres de participation (ensemble)

7 107

 

4 568

 

Valeur au bilan des titres de participation non consolidés (1)

315 859

 

389 333

 

(1) Dont 1 301 milliers d’euros comptabilisés en résultat au titre de la dépréciation durable.

 

4. – La gestion financière, l’exposition aux risques et politique de couverture.

 

La gestion du risque bancaire au sein de la Caisse Régionale Sud Méditerranée est assuré par la direction des Finances et des Risques qui est rattachée au Directeur général et qui a pour mission d’assurer la maîtrise des risques de crédit, de marchés et opérationnels ainsi que le pilotage des projets impactant ces risques.

La description de ce dispositif ainsi que les informations narratives figurent désormais dans le rapport de gestion, au chapitre des « Risque », comme le permet la norme IFRS7. Les tableaux de ventilation comptables continuent néanmoins de figurer dans les Etats financiers.

 

4.1. Risque de crédit. — Le risque de crédit désigne la possibilité de subir une perte si un emprunteur, un garant ou une contrepartie ne respecte pas son obligation de rembourser un prêt ou de s’acquitter de toute obligation financière (voir rapport de gestion)

En tant qu’établissement de crédit soumis à la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée assume la responsabilité des opérations qu’elle initie. Toutefois au titre de ses missions d’organe central du réseau, Crédit Agricole S.A. garantit la liquidité et la solvabilité des Caisses régionales.

Ainsi, dans le cas de risques importants dépassant des limites contractualisées une Caisse régionale, présente ses dossiers à Foncaris, établissement de crédit filiale à 100% de Crédit Agricole S.A.

Après examen, au sein d’un comité ad-hoc, Foncaris peut décider de garantir la Caisse régionale (en général à 50%).

La Caisse régionale détermine pour une période de 6 ans le seuil d’éligibilité de ses engagements à la couverture de Foncaris.

En cas de défaut effectif, la Caisse régionale est indemnisée à hauteur de 50% de sa perte résiduelle après mise en jeu des sûretés et épuisements de tous les recours.

Les tableaux ci-dessous présentent l’exposition des différentes catégories d’actifs financiers ainsi que les dettes clientèle selon diverses concentrations de risques.

L’exposition maximum au risque de crédit d’une entité correspond à la valeur brute comptable, nette de tout montant compensé et de toute perte de valeur comptabilisée.

 

Concentrations par agents économiques : Les informations relatives à une ventilation par agent économique de contrepartie suivent désormais les règles lexicales et de correspondances définies dans le reporting FINREP.

Les agents économiques sont modifiés comme suit :

 

Ancien agent économique

Nouvel agent économique correspondant

« Etats, Administrations et collectivités publiques »

« Administrations centrales et institutions non établissements de crédit »

« Institutions financières »

« Etablissements de crédit »

« Particuliers et professionnels »

« Clientèle de détail »

« Entreprises et autres agents économiques »

« Grandes entreprises »

 

La seule modification de correspondance identifiée concerne l’ancien agent économique « Institutions financières », qui était constitué de la contrepartie « Etablissements de crédit » et de la contrepartie « Institutions de secteur financier issues des créances sur la clientèle» ; cette dernière contrepartie est désormais rattachée à l’agent économique « Grandes entreprises ». L’impact de cette modification sur les ventilations 2006 est mis en exergue dans le tableau correspondant.

 

Actifs financiers par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2007

 

Arriérés de paiement sur créances non dépréciées

Valeur nette comptable des actifs dépréciés

Dépréciations d'actifs financiers individuellement et collectivement testés

Garanties et autres rehaussements de crédit reçus relatifs aux actifs dépréciés et en arriéré de paiement

 

≤ 90 jours

> 90 jours ≤ 180jours

> 180 jours ≤ 1an

> 1an

 

 

 

Instruments de capitaux propres

 

 

 

 

3 061

-1 301

 

Instruments de dette

 

 

 

 

 

 

 

    Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

    Etablissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

    Institutions non établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

    Grandes entreprises

 

 

 

 

 

 

 

    Clientèle de détail

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et avances

159 949

15 806

2 104

1 178

102 943

-112 810

 

    Administrations centrales

 

 

 

 

 

 

 

    Etablissements de crédit

 

 

 

 

 

 

 

    Institutions non établissements de crédit

16 889

1 297

138

171

3 051

-4 170

 

    Grandes entreprises

55 977

2 984

96

3

27 611

-32 491

 

    Clientèle de détail

87 083

11 525

1 870

1 004

72 281

-76 149

 

Autres actifs financiers

 

 

 

 

 

 

 

    Total

159 949

15 806

2 104

1 178

106 004

-114 111

 

Garanties non affectées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique : détail des douteux et dépréciations :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

 

Encours bruts

dont Encours douteux

dépréciations / encours douteux

dont Encours douteux compromis

dépréciations / encours douteux compromis

Total

Administrations centrales et institutions non établissements de crédit

477 540

 

 

2 804

2 804

474 736

Etablissements de crédit

138 327

 

 

 

 

138 327

Grandes entreprises

661 347

8 952

2 839

16 021

16 021

642 487

Clientèle de détail

2 848 704

29 375

14 125

36 053

26 491

2 808 088

    Total

4 125 918

38 327

16 964

54 878

45 316

4 063 638

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

28 045

Provisions collectives

 

 

 

 

 

-40 792

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

4 050 891

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

 

Encours bruts

dont Encours douteux

dépréciations / encours douteux

dont Encours douteux compromis

dépréciations / encours douteux compromis

Total

Administrations centrales et institutions non établissements de crédit

480 267

2 805

2 805

 

 

477 462

Etablissements de crédit (1)

117 840

 

 

 

 

117 840

Grandes entreprises (1)

475 791

12 355

6 925

13 913

10 881

457 985

Clientèle de détail

2 630 749

28 326

15 136

34 381

27 900

2 587 713

    Total

3 704 647

43 486

24 866

48 294

38 781

3 641 000

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

23 949

Provisions collectives

 

 

 

 

 

-31 974

Valeur nette au bilan

 

 

 

 

 

3 632 975

(1) dont reclassement des « institutions de secteur financier »

60 528

 

 

 

 

60 528

 

La seule modification de correspondance identifiée concerne l’ancien agent économique « Institutions financières », qui était constitué de la contrepartie « Etablissements de crédit » et de la contrepartie « Institutions de secteur financier issues des créances sur la clientèle» ; cette dernière contrepartie est désormais rattachée à l’agent économique « Grandes entreprises ». L’impact de cette modification sur les ventilations 2006 est mis en exergue dans le tableau correspondant.

Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Engagements de financement en faveur de la clientèle

 

 

Administrations centrales et institutions non établissements de crédit

100 458

74 162

Etablissements de crédit (1)

 

 

Grandes entreprises (1)

91 533

72 973

Clientèle de détail

317 165

311 442

    Total

509 156

458 577

Engagements de garantie en faveur de la clientèle

 

 

Administrations centrales et institutions non établissements de crédit

1 286

360

Etablissements de crédit (1)

 

 

Grandes entreprises (1)

61 423

59 148

Clientèle de détail

40 985

41 633

    Total

103 694

101 141

(1) dont reclassement des « institutions de secteur financier »

 

Dettes envers la clientèle -Ventilation par agent économique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Administrations centrales et institutions non établissements de crédit

8 780

8 660

Etablissements de crédit (1)

 

 

Grandes entreprises (1)

296 145

247 047

Clientèle de détail

830 652

819 388

    Total

1 135 577

1 075 095

Dettes rattachées

2 423

1 419

Valeur au bilan

1 138 000

1 076 514

(1) dont reclassement des « institutions de secteur financier »

 

Concentrations par zone géographique.

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique (Hors opérations internes au Crédit Agricole) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

 

Encours bruts

dont Encours douteux

Dépréciations / encours douteux

dont Encours douteux compromis

Dépréciations / encours douteux compromis

Total

France (y compris DOM-TOM)

3 453 795

33 815

16 402

51 728

43 299

3 394 094

Autres pays de l'UE

527 574

4 487

553

3 084

1 951

525 070

Autres pays d'Europe

6 099

19

9

58

58

6 032

Amérique du Nord

2 227

 

 

2

2

2 225

Amériques Centrale et du Sud

390

 

 

 

 

390

Afrique et Moyen Orient

826

6

 

6

6

820

Asie et Océanie (hors Japon)

164

 

 

 

 

164

Japon

 

 

 

 

 

 

Non ventilé

 

 

 

 

 

 

    Total

3 991 075

38 327

16 964

54 878

45 316

3 928 795

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

26 011

Provisions collectives

 

 

 

 

 

40 792

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 914 014

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

 

Encours bruts

dont Encours douteux

Dépréciations / encours douteux

dont Encours douteux compromis

Dépréciations / encours douteux compromis

Total

France (y compris DOM-TOM)

3 153 401

41 113

24 363

44 764

35 251

3 093 787

Autres pays de l'UE

430 314

2 340

499

3 455

3 455

426 360

Autres pays d'Europe

2 309

7

 

61

61

2 248

Amérique du Nord

1 824

 

 

1

1

1 823

Amériques Centrale et du Sud

478

 

 

 

 

478

Afrique et Moyen Orient

1 088

26

4

13

13

1 071

Asie et Océanie (hors Japon)

176

 

 

 

 

176

Japon

 

 

 

 

 

 

Non ventilé

 

 

 

 

 

 

    Total

3 589 590

43 486

24 866

48 294

38 781

3 525 943

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

21 464

Provisions collectives

 

 

 

 

 

31 974

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 515 433

(*) A noter les créances sur établissements de crédit sont inscrites hors opérations internes au réseau Crédit agricole. Celles-ci s’élèvent à 117,5 million d’euros sur l’exercice 2006 et 140,4 million d’euros au 31 décembre 2007.

 

Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

504 607

455 743

    Autres pays de l'UE

3 694

2 441

    Autres pays d'Europe

463

96

    Amérique du Nord

336

241

    Amériques Centrale et du Sud

7

7

    Afrique et Moyen Orient

37

41

    Asie et Océanie (hors Japon)

11

7

    Japon

1

1

    Non ventilé

 

 

        Total

509 156

458 577

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

    France (y compris DOM-TOM)

103 246

100 716

    Autres pays de l'UE

306

424

    Autres pays d'Europe

 

 

    Amérique du Nord

 

 

    Amériques Centrale et du Sud

 

 

    Afrique et Moyen Orient

142

1

    Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

    Apon

 

 

    Non ventilé

 

 

        Total

103 694

101 141

 

Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

France (y compris DOM-TOM)

1 116 257

1 056 621

Autres pays de l'UE

15 887

14 287

Autres pays d'Europe

1 599

1 879

Amérique du Nord

814

1 009

Amériques Centrale et du Sud

197

187

Afrique et Moyen Orient

691

1 019

Asie et Océanie (hors Japon)

85

87

Japon

47

6

Non ventilé

 

 

    Total

1 135 577

1 075 095

Dettes rattachées

2 423

1 419

Valeur au bilan

1 138 000

1 076 514

 

4.2. Risque de marchés. — Le risque de marchés représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marchés notamment : les taux d’intérêts, les taux de change, le cours des actions, le prix des matières premières, ainsi que de leur volatilité implicite (voir rapport de gestion)

 

Risque de taux : Le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financier du fait de l’évolution des taux d’intérêt (voir rapport de gestion)

 

Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

 

 

28 407

 

28 606

 

    Taux fixe

 

 

28 407

 

28 606

 

        Total

 

 

28 407

 

28 606

 

    Taux fixe

 

 

28 407

 

28 606

 

    Taux variable

 

 

 

 

 

 

(Total en principal, hors dettes rattachées non ventilables)

 

Opérations sur instruments financiers à terme : analyse par durée résiduelle :

— Instruments dérivés de couverture – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

 

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

 

 

Instruments de taux d'intérêt :

 

 

 

2 207

 

 

2 207

2 866

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

2 207

 

 

2 207

2 866

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

 

 

 

2 207

 

 

2 207

2 866

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

2 207

 

 

2 207

2 866

 

— Instruments dérivés de transaction – juste valeur actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

 

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

 

 

Instruments de taux d'intérêt :

 

 

 

963

 

 

963

791

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

927

 

 

927

791

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

36

 

 

36

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

 

 

 

10

 

 

 

 

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

10

 

 

 

 

    Sous total

 

 

 

973

 

 

963

791

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

973

 

 

963

791

 

— Instruments dérivés de couverture – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

 

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

 

 

Instruments de taux d'intérêt :

 

 

 

20 844

 

 

20 844

9 630

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

20 844

 

 

20 844

9 630

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

 

 

 

20 844

 

 

20 844

9 630

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

20 844

 

 

20 844

9 630

 

— Instruments dérivés de transaction – juste valeur passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

 

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

 

 

Instruments de taux d'intérêt :

 

 

 

1 266

 

 

1 266

425

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

    Fra

 

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

1 230

 

 

1 230

413

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

36

 

 

36

12

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

 

 

 

1 266

 

 

1 266

425

    Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

1 266

 

 

1 266

425

 

Opérations sur instruments financiers à terme : montant des engagements

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

1 090 443

945 432

    Futures

 

 

    Fra

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

1 082 399

936 222

    Options de taux

 

 

    Caps-floors-collars

8 044

9 210

    Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et Or :

 

 

Autres instruments :

88 315

89 108

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

    Dérivés de crédits

88 315

89 108

    Autres

 

 

        Sous total

1 178 758

1 034 540

    Opérations de change à terme

10 471

8 159

        Total

1 189 229

1 042 699

 

Risque de change : Le risque de change correspond au risque de variation de juste valeur d’un instrument financier du fait de l’évolution du cours d’une devise (voir rapport de gestion)

 

Contribution des devises au bilan consolidé :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

 

31/12/2006

 

 

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

4 724 609

4 724 878

4 363 785

4 363 783

Autres devises de l'UE

7 663

7 367

7 547

7 548

USD

1 300

1 327

25

26

Autres devises

430

430

 

 

Total bilan

4 734 002

4 734 002

4 371 357

4 371 357

 

Risque de prix : Le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions.

Sont notamment soumis à ce risque : les titres à revenu variable, les dérives actions et les instruments dérivés sur matières premières (voir rapport de gestion)

 

4.3. Risque de liquidité et de financement. — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement (voir rapport de gestion)

 

Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

 

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (Hors opérations internes au Crédit Agricole)

3 090

 

 

394

3 484

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont Crédit bail)

361 388

431 675

1 190 125

2 004 403

3 987 591

    Total

364 478

431 675

1 190 125

2 004 797

3 991 075

Créances rattachées

 

 

 

 

35 749

Dépréciations

 

 

 

 

112 810

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

3 914 014

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

 

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (Hors opérations internes au Crédit Agricole)

2 389

 

 

394

2 783

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont Crédit bail)

322 209

433 938

1 075 191

1 755 469

3 586 807

    Total

324 598

433 938

1 075 191

1 755 863

3 589 590

Créances rattachées

 

 

 

 

30 524

Dépréciations

 

 

 

 

-104 681

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

3 515 433

 

Dettes des établissements de crédit et de la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

 

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (dont opérations internes au Crédit Agricole)

598 598

533 912

886 356

657 538

2 676 404

Dettes envers la clientèle

1 094 159

34 871

6 038

509

1 135 577

    Total

1 692 757

568 783

892 394

658 047

3 811 981

Dettes rattachées

 

 

 

 

12 730

Valeur au bilan

 

 

 

 

3 824 711

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

 

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (dont opérations internes au Crédit Agricole)

564 293

581 392

762 607

569 715

2 478 007

Dettes envers la clientèle

1 047 127

22 358

5 088

522

1 075 095

    Total

1 611 420

603 750

767 695

570 237

3 553 102

Dettes rattachées

 

 

 

 

8 508

Valeur au bilan

 

 

 

 

3 561 610

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

 

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

2 308

 

 

 

2 308

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

    Titres de créances négociables :

 

17 204

 

150 000

167 204

        Émis en France

 

17 204

 

150 000

167 204

        Émis à l'étranger

 

 

 

 

 

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

            Total

2 308

17 204

 

150 000

169 512

    Dettes rattachées

 

 

 

 

287

    Valeur au bilan

 

 

 

 

169 799

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

234

4 573

23 600

 

28 407

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

            Total

234

4 573

23 600

 

28 407

    Dettes rattachées

 

 

 

 

466

    Valeur au bilan

 

 

 

 

28 873

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

 

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

1 473

 

 

 

1 473

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

    Titres de créances négociables :

 

 

 

 

 

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

        Total

1 473

 

 

 

1 473

    Dettes rattachées

 

 

 

 

11

    Valeur au bilan

 

 

 

 

1 484

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

 

 

28 606

 

28 606

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

        Total

 

 

28 606

 

28 606

    Dettes rattachées

 

 

 

 

466

    Valeur au bilan

 

 

 

 

29 072

 

4.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change. — Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi

— de couverture de valeur,

— de couverture de résultats futurs,

— de couverture d’un investissement net en devise

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité (voir rapport de gestion )

  

Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

 

Valeur de marché

Montant

Notionnel

 

positive

négative

 

Couverture de juste valeur

2 206

20 778

993 829

    Taux d'intérêt

2 206

20 778

993 829

    Capitaux propres

 

 

 

    Change

 

 

 

    Crédit

 

 

 

Couverture de flux de trésorerie

 

66

20 584

    Taux d'intérêt

 

66

20 584

    Capitaux propres

 

 

 

    Change

 

 

 

    Crédit

 

 

 

Couverture d’investissements nets dans une activité à l’étranger

 

 

 

    Total instruments dérivés de couverture

2 206

20 844

1 014 413

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

 

Valeur de marché positive

Valeur de marché négative

Micro-couverture

 

 

    Dont couverture de juste valeur

 

 

    Dont couverture de flux de trésorerie

 

 

    Dont couverture d’investissements nets à l’étranger

 

 

Couverture en taux de portefeuille (macro-couverture de juste valeur)

2 866

9 630

Couverture en taux de portefeuille (macro-couverture de flux trésorerie)

 

 

        Total instruments dérivés de couverture

2 866

9 630

 

4.5. Risques opérationnels. — Le risque opérationnel correspond à la possibilité de subir une perte découlant d’un processus interne défaillant ou d’un système inadéquat, d’une erreur humaine ou d’un évènement externe qui n’est pas lié à un risque de crédit, de marché ou de liquidité(voir rapport de gestion)

 

4.6. Assurances et couverture des risques. — La Caisse Régionale a souscrit principalement deux contrats d’assurance auprès de CMCA afin de couvrir le risque concernant son activité bancaire :

— L’assurance globale de banque qui garantit les risques liés aux escroqueries, hold-up et autres détournements.

— Un contrat couvre la responsabilité civile de l’organisme bancaire, du courtier concernant l’activité d’assurance ainsi que celle du banquier et des dirigeants sociaux.

 

5. – Notes relatives au compte de résultat.

 

5.1. Produits et Charges d’intérêts :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Sur opérations avec les établissements de crédit

1 276

835

Sur opérations internes au Crédit Agricole

8 802

8 250

Sur opérations avec la clientèle

175 861

146 122

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

316

75

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 719

2 856

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

35 262

26 728

Intérêts sur obligations et autres titres à revenus fixes

 

 

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

 

-574

    Produits d'intérêts (1) (2)

224 236

184 292

Sur opérations avec les établissements de crédit

12

8

Sur opérations internes au Crédit Agricole

105 635

77 202

Sur opérations avec la clientèle

6 793

3 223

Actifs financiers disponibles à la vente

42

31

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Sur dettes représentées par un titre

369

53

Sur dettes subordonnées

1 497

1 515

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

37 089

23 668

Intérêts sur obligations et autres titres à revenus fixes

 

 

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

 

    Charges d'intérêts

151 437

105 700

(1) dont 5 306 milliers d'euros sur créances dépréciées individuellement.

(2) dont 2 501 milliers d'euros correspondant à des bonifications reçues de l’Etat

 

5.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

218

-123

95

71

-70

1

Sur opérations internes au Crédit Agricole

10 426

-4 201

6 225

9 186

-2 296

6 890

Sur opérations avec la clientèle

19 270

-36

19 234

16 324

-133

16 191

Sur opérations sur titres

 

 

 

 

 

 

Sur opérations de change

8

 

8

4

 

4

Sur opérations sur instruments dérivés et autres opérations de hors bilan

2 283

-419

1 864

2 246

-390

1 856

Sur moyens de paiement

11 134

-517

10 617

12 970

-540

12 430

Fiducie et activités analogues

34 787

-3 952

30 835

30 189

-4 047

26 142

    Produits nets des commissions

78 126

-9 248

68 878

70 990

-7 476

63 514

 

5.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par nature

102

36

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat par option

173

1 377

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés (hors résultat des couvertures d'investissements nets des activités à l'étranger)

105

85

Résultat de la comptabilité de couverture

-746

-1 267

    Gains ou pertes nets sur instruments financiers a la juste valeur par résultat

-366

231

 

Profit net ou perte nette résultant de la comptabilité de couverture :

 

(En milliers d'euros)

2007

 

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

624

687

-63

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

200

487

-287

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

424

200

224

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

7 535

8 218

-683

Variations de juste valeur des éléments couverts

188

934

-746

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

7 347

7 284

63

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Cessation de la comptabilité de couverture dans le cas d'une couverture de flux de trésorerie

 

 

 

    Total résultat de la comptabilite de couverture

8 159

8 905

-746

 

 

(En milliers d'euros)

2006

 

Profits

Pertes

Net

Couvertures de juste valeur

666

603

63

Variations de juste valeur des éléments couverts attribuables aux risques couverts

666

 

666

Variations de juste valeur des dérivés de couverture (y compris cessations de couvertures)

 

603

-603

Couvertures de flux de trésorerie

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures d'investissements nets dans une activité à l'étranger

 

 

 

Variations de juste valeur des dérivés de couverture - partie inefficace

 

 

 

Couvertures de la juste valeur de l'exposition au risque de taux d'intérêt d'un portefeuille d'instruments financiers

16 915

18 245

-1 330

Variations de juste valeur des éléments couverts

1 547

2 814

-1 267

Variations de juste valeur des dérivés de couverture

15 368

15 431

-63

Couvertures de l'exposition des flux de trésorerie d'un portefeuille d'instruments financiers au risque de taux d'intérêt

 

 

 

Variations de juste valeur de l'instrument de couverture - partie inefficace

 

 

 

Cessation de la comptabilité de couverture dans le cas d'une couverture de flux de trésorerie

 

 

 

    Total résultat de la comptabilite de couverture

17 581

18 848

-1 267

 

5.4. Gains ou perte nets sur Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Dividendes reçus

14 385

10 566

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente

2 686

1 143

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres à revenu variable)

-73

-122

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance et sur prêts et créances

 

 

    Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles a la vente

16 998

11 587

 

5.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

-10

9

Autres produits (charges) nets

9 544

7 520

    Produits (charges) des autres activités

9 534

7 529

 

5.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Charges de personnel

50 413

48 920

Impôts et taxes

2 905

3 140

Services extérieurs et autres charges

29 395

28 314

    Charges d'exploitation

82 713

80 374

 

5.7. Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

 

 

Dotations aux amortissements

6 465

6 464

Dotations aux dépréciations

 

 

    Total

6 465

6 464

 

5.8. Coût du risque :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Dotations aux provisions et aux dépréciations

-32 941

-40 350

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Prêts et créances

-31 889

-40 132

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

 

Engagements par signature

 

-76

Risques et charges

-1 052

-142

    Reprises de provisions et de dépréciations

20 968

30 919

Actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Prêts et créances

20 274

29 148

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

208

39

Engagements par signature

76

 

Risques et charges

410

1 732

    Dotations nettes de reprises des dépréciations et provisions

-11 973

-9 431

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente

 

 

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non dépréciés

-252

-292

Récupérations sur prêts et créances amorties

604

1 026

Pertes sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

Décotes sur crédits restructurés

-606

 

Pertes sur engagements par signature

 

 

Autres pertes

 

-131

    Cout du risque

-12 227

-8 828

 

5.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

763

263

Plus-values de cession

843

332

Moins-values de cession

-80

-69

Titres de capitaux propres consolidés

 

 

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

    Gains ou pertes sur autres actifs

763

263

 

5.10. Impôts :

— Charge d’impôt :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Charge d'impôt courant

21 640

24 406

Charge d'impôt différé

-3 265

-3 108

    Charge d'impôt de la période

18 375

21 298

 

— Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

 

(En milliers d'euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, provisions sur écarts d'acquisitions et résultats des sociétés mises en équivalence

67 201

Taux d'impôt théorique à 34.44%

23 137

Effet des différences permanentes

 

 

-5 351

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

20

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

423

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-144

Effet des autres éléments

 

 

290

    Taux et charge effectif d'impôt

 

27,34 %

18 375

 

6. – Informations sectorielles.

 

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

 

7. – Notes relatives au bilan au 31 décembre 2007.

 

7.1. Caisse, Banques centrales :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

21 556

 

18 593

 

Banques centrales

6 705

 

31 133

 

Total en principal

28 261

 

49 726

 

Créances rattachées

 

 

 

 

Valeur au bilan

28 261

 

49 726

 

 

7.2. Actifs et Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

973

791

Actifs financiers à la Juste Valeur par résultat sur option

41 305

36 167

Juste valeur au bilan

42 278

36 958

Dont Titres prêtés

 

 

 

— Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

    Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Instruments dérivés

973

791

    Juste valeur au bilan

973

791

 

Actifs financiers à la Juste Valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Créances sur la clientèle

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

41 305

36 167

    Effets publics et valeurs assimilées

 

 

    Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

    Actions et autres titres à revenu variable

41 305

36 167

        Titres cotés

 

 

        Titres non cotés

41 305

36 167

Juste valeur au bilan

41 305

36 167

 

— Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Titres vendus à découvert

 

 

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

1 266

425

Juste valeur au bilan

1 266

425

 

— Instruments dérivés de transaction : L’information détaillée est fournie à la note 4.2 relative au risque de marché, notamment sur taux d’intérêts

 

7.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie à la note 4.4 relative à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêts et de change

 

7.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

97 467

77 466

    Titres cotés

 

73 092

    Titres non cotés

97 467

4 374

Actions et autres titres à revenu variable

315 859

389 333

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

315 859

389 333

        Total des titres disponibles à la vente

413 326

466 799

        Total des créances disponibles à la vente

 

 

Créances rattachées

45

25

Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

413 371

466 824

(1) dont - 1,3 million d’euros comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Juste valeur

Gains latents

Pertes latentes

Juste valeur

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

97 467

5 046

-1 736

77 466

Actions et autres titres à revenu variable

1 349

 

 

 

Titres de participation non consolidés

314 510

128 919

-2 214

389 333

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Créances rattachées

45

 

 

25

    Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente

413 371

133 965

-3 950

466 824

Impôts différés

 

 

 

 

    Gains et pertes latents sur actifs financiers disponibles à la vente

 

133 965

-3 950

 

 

7.5. Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle :

— Prêts et créances sur établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Etablissements de crédit :

 

 

Comptes et prêts

3 090

2 389

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

394

394

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Autres prêts et créances

 

 

    Total

3 484

2 783

Créances rattachées

 

6

Dépréciations

 

 

    Valeurs nettes

3 484

2 789

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

Comptes ordinaires

2 034

9 658

Comptes et avances à terme

119 309

90 885

Prêts subordonnés

13 500

14 514

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

    Total

134 843

115 057

Créances rattachées

2 034

2 485

Dépréciations

 

 

    Valeurs nettes

136 877

117 542

    Valeurs nettes au bilan

140 361

120 331

 

Prêts et créances sur la clientèle

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Opérations avec la clientèle :

 

 

Créances commerciales

20 752

19 582

Autres concours à la clientèle

3 871 851

3 477 826

Prêts subordonnés

27 000

27 000

Titres non cotés sur un marché actif

1 015

 

Avances en comptes courants d'associés

5 813

35 592

Comptes ordinaires débiteurs

61 160

26 807

    Total

3 987 591

3 586 807

Créances rattachées

35 749

30 518

Dépréciations

112 810

104 681

    Valeurs nettes au bilan

3 910 530

3 512 644

Opérations de crédit bail :

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

    Total

3 910 530

3 512 644

 

7.6. Dépréciations inscrites en déduction de l’actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2007

Créances sur établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

Créances clientèle

104 681

 

34 786

26 657

 

112 810

    Dont provisions collectives

31 974

 

8 818

 

 

40 792

Opérations de crédit-bail

 

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

Actifs disponibles à la vente

2 232

 

73

1 004

 

1 301

Autres actifs

2 746

 

9

208

 

2 547

    Total des dépréciations sur l’actif

109 659

 

34 868

27 869

 

116 658

 

 

(En milliers d'euros)

01/01/2006

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

31/12/2006

Créances sur établissements de crédit

 

 

 

 

 

 

Créances clientèle

98 308

 

44 092

37 719

 

104 681

    Dont provisions collectives

25 678

 

6 296

 

 

31 974

Opérations de crédit-bail

 

 

 

 

 

 

Titres détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

Actifs disponibles à la vente

2 128

 

122

18

 

2 232

Autres actifs

2 746

 

39

39

 

2 746

    Total des dépréciations sur l’actif

103 182

 

44 253

37 776

 

109 659

 

7.7. Dettes sur établissements de crédit et sur la clientèle :

— Dettes envers les établissements de crédit :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Etablissements de crédit :

 

 

Comptes et emprunts

430

461

Dont comptes ordinaires créditeurs

 

 

Dont comptes et emprunts au jour le jour

 

 

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

    Total

430

461

Dettes rattachées

2

2

    Valeur au bilan

432

463

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

94 922

212 524

Comptes et avances à terme

2 581 052

2 265 040

    Total

2 675 974

2 477 564

Dettes rattachées

10 305

7 069

    Valeur au bilan

2 686 279

2 484 633

    Valeur au bilan des dettes envers les établissements de crédits

2 686 711

2 485 096

 

— Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Comptes ordinaires créditeurs

973 726

962 345

Comptes d'épargne à régime spécial

12 315

14 232

Autres dettes envers la clientèle

149 536

98 518

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

    Total

1 135 577

1 075 095

Dettes rattachées

2 423

1 419

    Valeur au bilan

1 138 000

1 076 514

 

7.8. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

47 240

45 011

    Total

47 240

45 011

Créances rattachées

761

874

Dépréciations

 

 

    Valeurs nettes au bilan

48 001

45 885

 

7.9. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Dettes représentées par un titre

 

 

Bons de caisse

2 308

1 473

Titres du marché interbancaire

 

 

Titres de créances négociables :

167 204

 

    Émis en France

167 204

 

    Émis à l'étranger

 

 

Emprunts obligataires

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

        Total

169 512

1 473

Dettes rattachées

287

11

    Valeur au bilan

169 799

1 484

Dettes subordonnées :

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

28 407

28 606

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

        Total

28 407

28 606

Dettes rattachées

466

466

    Valeur au bilan

28 873

29 072

 

7.10. Actifs et passifs d’impôts différés :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Actifs disponibles à la vente

2 394

5 378

Couvertures de Flux de Trésorerie

 

 

Autres différences temporaires

 

106

Autres impôts différés passif

9 475

7 421

    Total impôt différé passif

11 869

12 905

 

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Provisions pour risques et charges non déductibles

18 051

14 965

Charges à payer non déductibles

623

653

Couvertures de Flux de Trésorerie

4

 

Autres impôts différés actif

6 911

5 858

    Total impôt différé actif

25 589

21 476

 

Les actifs et passifs d’impôts différés sont enregistrés pour leur valeur nette à l’actif du bilan soit 13 720 K€ au 31/12/2007 et 8 571 au 31/12/2006.

 

7.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers :

7.11.1. Comptes de régularisation actif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Autres actifs

21 774

16 922

Comptes de stocks et emplois divers

1 956

1 605

Gestion collective des titres Livret développement durable

 

 

Débiteurs divers

19 754

15 124

Comptes de règlements

64

193

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

    Comptes de régularisation

70 893

54 982

Comptes d'encaissement et de transfert

43 367

30 191

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

3

Produits à recevoir

22 687

21 848

Charges constatées d'avance

393

1 458

Autres comptes de régularisation

4 446

1 482

    Valeur nette au bilan

92 667

71 904

 

7.11.2. Comptes de régularisation passif :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Autres passifs (1)

18 772

24 637

Comptes de règlements

275

212

Créditeurs divers

16 256

14 530

Versement restant à effectuer sur titres

1 713

9 362

Autres

528

533

    Comptes de régularisation

35 315

29 605

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

7 305

6 200

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

 

2

Produits constatés d’avance

7 635

6 308

Charges à payer

20 375

17 095

Autres comptes de régularisation

 

 

    Valeur nette au bilan

54 087

54 242

(1) Les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) Les montants sont indiqués en nets.

 

7.12. Immeubles de placement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2007

Immeubles de placement

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

1 510

 

 

-1 132

 

378

Amortissements et dépréciations

-223

 

-10

 

 

-233

    Valeur nette au bilan

1 287

 

-10

-1 132

 

145

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

 

(En milliers d'euros)

01/01/2006

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2006

Immeubles de placement

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

402

 

2 274

-1 166

 

1 510

Amortissements et dépréciations

-226

 

-10

13

 

-223

    Valeur nette au bilan

176

 

2 264

-1 153

 

1 287

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

7.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2007

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

104 704

 

9 677

5 925

-251

108 205

Créances rattachées (1)

 

 

 

 

 

 

Amortissements et dépréciations

62 715

 

5 695

2 206

 

66 204

    Valeur nette au bilan

41 989

 

3 982

3 719

-251

42 001

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

9 291

 

753

2

 

10 042

Amortissements et dépréciations

8 205

 

770

 

 

8 975

    Valeur nette au bilan

1 086

 

-17

2

 

1 067

 

 

(En milliers d'euros)

01/01/2006

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Autres mouvements

Solde 31/12/2006

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

99 659

 

11 048

6 003

 

104 704

Créances rattachées (1)

 

 

 

 

 

 

Amortissements et dépréciations

58 120

 

5 572

977

 

62 715

    Valeur nette au bilan

41 539

 

5 476

5 026

 

41 989

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

9 240

 

59

8

 

9 291

Amortissements et dépréciations

7 321

 

892

8

 

8 205

    Valeur nette au bilan

1 919

 

-833

 

 

1 086

 

7.14. Provisions :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2006

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31/12/2007

Risques sur les produits épargne logement

5 322

722

842

 

 

5 202

Risques d’exécution des engagements par signature

1 001

 

 

76

 

925

Risques opérationnels

4 600

502

611

3 997

4 679

5 173

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

535

 

 

39

 

496

Litiges divers

5 772

279

 

2 495

 

3 556

Autres risques

6 418

675

366

94

-4 679

1 954

    Provisions

23 648

2 178

1 819

6 701

 

17 306

(1) dont 496 milliers d’euros au titre de la provision pour médaille du travail

 

Provision épargne logement :

Encours collectés au titre des comptes et plans d'épargne-logement sur la phase d'épargne :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

131 296

100 887

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

328 801

414 280

Ancienneté de plus de 10 ans

233 398

247 194

    Total plans d'épargne-logement

693 495

762 361

    Total comptes épargne-logement

110 663

116 721

    Total encours collectes au titre des contrats épargne logements

804 158

879 082

 

L'ancienneté est déterminée par rapport à la date de milieu d'existence de la génération des plans à laquelle ils appartiennent.

Les encours de collecte sont des encours sur base d'inventaire à fin novembre 2007 et hors prime d'état

 

Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d'épargne-logement :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Plans d'épargne-logement :

8 429

11 171

Comptes épargne-logement :

18 665

20 631

    Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargnes logement

27 094

31 802

 

Provision au titre des comptes et plans d'épargne-logement :

 

En milliers d'euros

31/12/2007

31/12/2006

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

1 231

528

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

39

613

Ancienneté de plus de 10 ans

1 038

2 009

    Total plans d'épargne-logement

2 308

3 150

    Total comptes épargne-logement

2 894

2 172

    Total provision au titre des contrats épargne logement

5 202

5 322

 

L'ancienneté est déterminée par rapport à la date de milieu d'existence de la génération des plans à laquelle ils appartiennent.

 

En milliers d'euros

31/12/2006

Dotations

Reprises

Autres mouvements

31/12/2007

Plans d'épargne-logement :

3 150

 

842

 

2 308

Comptes épargne-logement :

2 172

722

 

 

2 894

Total provision au titre des contrats épargne logement

5 322

722

842

 

5 202

 

7.15. Capitaux propres :

— Composition du capital au 31 décembre 2007 : La Caisse régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires et de Certificats Coopératifs d’Associés.

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

Les CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2007

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2007

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

 

 

459 957

    Dont part du Public

 

 

 

 

    Dont part Crédit Agricole S.A.

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

12 573 022

384 910

 

12 957 932

    Dont 59 caisses locales

12 572 997

384 910

 

12 957 907

    Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

 

24

    Dont crédit agricole S.A.

1

 

 

1

Total

13 032 979

384 910

 

13 417 889

 

La valeur nominale des titres est de :

— 15,25 € pour les CCA

— 15,25 € pour les parts sociales émises par la CR

— 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses Locales

Pour un montant total du capital de 27 203 K€ au 31/12/2007

 

Résultat par action. — Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale Sud Méditerranée sont composés de parts sociales et de CCA.

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

La rémunération des CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

 

Montant Net

Montant Net

2003

4,44

0,05

2004

5,11

0,05

2005

6,12

0,05

2006

7,02

0,05

Prévu 2007

7,56

0,05

 

Dividendes :

Dividendes payés au cours de l’exercice : Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres.

 

Affectations du résultat et fixation du dividende 2007. — L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2007 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse régionale Sud Méditerranée du 27 Mars 2008.

 

Projet affectation du résultat

Résultat comptable

46 055 206,44 €

Ran créditeur

319 148,16 €

Résultat à affecter

46 374 354,60 €

Distribué

4 214 582,75 €

Intérêts aux parts sociales

736 506,15 €

Intérêts aux parts aux Caisses locales

736 492,81 €

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

13,34 €

Rémunération des CCA

3 478 076,60 €

Conservé

42 159 771,86 €

Réserves légales

31 619 828,89 €

Autres réserves

10 539 942,96 €

 

8. – Avantages au personnel et autres rémunérations.

 

8.1. Détail des charges de personnel :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Salaires et traitements

27 877

26 744

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

2 900

2 754

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

471

936

Autres charges sociales

9 919

9 467

Intéressement et participation

6 020

6 019

Impôts et taxes sur rémunération

3 226

3 000

    Total charges de personnels

50 413

48 920

 

8.2. Effectif fin de période :

 

Effectifs

31/12/2007

31/12/2006

France

882

861

Etranger

14

14

    Total

896

875

 

8.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

8.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies (en milliers d'euros) :

 

Variation dette actuarielle

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Dette actuarielle au 31 décembre/n-1

14 420

13 147

12 737

Ecart de change

 

 

 

Coût des services rendus sur la période

555

621

502

Coût financier

575

508

596

Cotisations de l'employé

 

 

 

Modification / Réduction / liquidation de plan

 

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

 

Prestations versées (obligatoire)

-474

-357

-380

(Gains) / pertes actuariels (*)

-2 817

501

-308

    Dette actuarielle au 31 décembre/n

12 259

14 420

13 147

 

 

Détail de la charge comptabilisée au résultat

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Coût des services rendus sur l'exercice

555

621

502

Coût financier

575

508

596

Rendement attendu des actifs sur la période

-545

-448

-487

Amortissement du coût des services passés

431

390

 

Amortissement des gains / (pertes) actuariels

 

 

 

Gains / (pertes) sur les réductions et liquidations

 

 

752

Gains / (pertes) sur la limitation de surplus

 

 

 

    Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 016

1 072

1 363

 

 

Variation de juste valeur des actifs du régime et des Droits à remboursement

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31 décembre/n-1

13 644

11 200

11 493

Ecart de change

 

 

 

Rendement attendu des actifs

545

448

487

Gains / (pertes) actuariels sur les actifs du régime

-3 248

112

-1 060

Cotisations de l'employeur

 

2 241

936

Cotisations de l'employé

 

 

 

Modification / Réduction / liquidation de plan

 

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

-35

Indemnités de cessation d'activité

 

 

 

Prestations versées

-474

-357

-621

    Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31 décembre/n

10 467

13 644

11 200

 

 

Position nette

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Dette actuarielle fin de période

12 259

14 420

13 147

Coût des services passés non comptabilisés

 

 

 

(Gains) / pertes sur la limitation de surplus

 

 

 

    Dette actuarielle nette fin de période

12 259

14 420

13 147

Juste valeur des actifs / Droits à remboursement fin de période

10 467

13 644

11 200

    Position nette (passif) / actif fin de période

-1 792

-777

-1 947

 

8.5. Autres engagements sociaux. — Les provisions constituées par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au titre de ces engagements sociaux s’élèvent à 496 K€ à la fin de l’exercice 2007.

 

8.6. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de Direction et d’Administration est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de Direction s’élèvent à 1 021 K€.

 

9. – Engagements de financement et de garantie et autres garanties.

 

Engagements donnés et reçus et actifs donnés en garantie :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

Engagements donnés :

 

 

Engagements de financement

509 246

485 197

    Engagements en faveur d'établissements de crédit

90

26 620

    Engagements en faveur de la clientèle

509 156

458 577

        Ouverture de crédits confirmés

384 164

343 818

            Ouverture de crédits documentaires

348

152

            Autres ouvertures de crédits confirmés

383 816

343 666

Autres engagements en faveur de la clientèle

124 992

114 759

Engagements de garantie

103 694

101 141

    Engagements d'ordre d'établissement de crédit

 

 

        Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

        Autres garanties

 

 

    Engagements d'ordre de la clientèle

103 694

101 141

        Cautions immobilières

14 092

14 914

        Garanties financières

 

 

        Autres garanties d'ordre de la clientèle

89 602

86 227

Engagements reçus :

 

 

Engagements de financement

158 152

175 000

    Engagements reçus d'établissements de crédit

158 152

175 000

    Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

359 597

293 222

    Engagements reçus d'établissements de crédit

24 895

23 487

    Engagements reçus de la clientèle

334 702

269 735

        Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

132 380

125 232

        Autres garanties reçues

202 322

144 503

 

La plus grande partie des garanties et rehaussements détenus correspond à des hypothèques, des nantissements ou des cautionnements reçus, quelle que soit la qualité des actifs garantis

 

10. – Juste valeur des instruments financiers.

 

La juste valeur d’un instrument financier est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé ou une dette réglée entre des parties avisées, consentantes dans une transaction conclue à des conditions normales.

 

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté. Celles-ci sont susceptibles de changer dans d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

Dans la pratique, et dans une logique de continuité de l’activité, l’ensemble de ces instruments financiers pourrait ne pas faire l’objet d’une réalisation immédiate pour la valeur estimée ci-dessous.

 

Juste valeur des actifs et passifs comptabilisés au coût :

 

(En milliers d'euros)

31/12/2007

31/12/2006

 

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Actifs :

 

 

 

 

    Prêts et créances sur les établissements de crédit

140 361

140 361

120 331

120 331

    Prêts et créances sur la clientèle

3 910 530

3 883 384

3 512 644

3 628 429

    Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

48 001

44 784

45 885

46 062

    Immeubles de placement

145

145

1 287

1 287

Passifs :

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédits

2 686 711

2 683 925

2 485 096

2 484 754

    Dettes envers la clientèle

1 138 000

1 138 000

1 076 514

1 076 514

    Dettes représentées par un titre

169 799

169 799

1 484

1 484

    Dettes subordonnées

28 873

28 873

29 072

29 072

 

Pour les instruments financiers, la meilleure estimation correspond au prix de marché de l’instrument lorsque celui-ci est traité sur un marché actif (cours cotés et diffusés).

En l’absence de marché ou de données fiables, la juste valeur est déterminée par une méthode appropriée conforme aux méthodologies d’évaluations pratiquées sur les marchés financiers : soit la référence à la valeur de marché d’un instrument comparable, soit l’actualisation des flux futurs, soit des modèles d’évaluation.

Dans les cas ou il est nécessaire d’approcher les valeurs de marché au moyen d’évaluation, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs estimés qui est la plus couramment utilisée.

La valeur des immeubles de placement est, quant à elle, estimée « à dire d’expert ».

Par ailleurs, dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché,

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché,

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics,

— des passifs exigibles à vue,

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

11. – Périmètre de consolidation au 31 décembre 2007.

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode de consolidation au 31/12/2007

% De contrôle et d'intérêt

 

 

 

31/12/2007

31/12/2006

Caisse Locale à vocation départementale des P.O

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Argeles -St André

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Bages - Sud Reart

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Baixas - Peyrestortes - Calce

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Banyuls S/Mer

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Bompas

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Cerdagne Capcir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Cabestany

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Canet - Ste Marie

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Canohes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Caramany - Belesta - Trevillac

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Porte Du Vallespir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Collioure - Port Vendres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Plaine du Tech

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Espira - Cases De Pene

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Moyen Agly

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Ille Sur Tet

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Bassin de l'Agly

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Maury - Lesquerde

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Millas

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Perpignan

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Pezilla - Corneilla

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Pia

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Pollestres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des Aspres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Prades

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Rivesaltes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Saint-Cyprien

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du Riberal

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de St Feliu d'Avall

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des Alberes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Agly Salanque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de St Nazaire

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale des Fenouilledes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Saleilles

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Salses - Opoul

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Le Soler

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Verdouble

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Thuir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Toulouges

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Villelongue Sque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Vinca - Tarerach - Sournia

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Arles S/Tech

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale d' Ax Les Thermes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de La Bastide de Serou

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Castillon

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Foix

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Lavelanet

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Lezat

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale du Mas d Azil

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Mirepoix

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Pamiers

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Querigut

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Ste Croix Volvestre

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de St Girons

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Saverdun

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Tarascon

France

Intégration Globale

100

100

Caisse Locale de Varilhes

France

Intégration Globale

100

100

 

 

 

D. — Rapport du commissaire aux comptessur les comptes consolidés

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons procédé au contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2007, tels qu’ils sont joints au présent rapport.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

 

1. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d’ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l’opinion exprimée ci-après.

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l’ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

 

2. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

— Estimations comptables :

– Comme indiqué dans les notes 1.1 et 2 de l’annexe, la caisse régionale constitue des dépréciations et des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, nous avons examiné le dispositif de contrôle mis en place par la direction relatif aux risques de crédit, à l’appréciation des risques de non-recouvrement et à leur couverture par des provisions individuelles et des dépréciations individuelles et collectives.

– Comme indiqué dans les notes 1.1 et 2 de l’annexe, la caisse régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur les actifs financiers disponibles à la vente et les risques opérationnels.

Sur la base des informations disponibles à ce jour, nous avons revu les hypothèses retenues, la cohérence des méthodes et les évaluations qui justifient les estimations comptables retenues et nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.

Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

3. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, à la vérification des informations données dans le rapport sur la gestion du groupe. Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

 

Toulouse, le 29 février 2008.

Le Commissaire aux Comptes :

ERNST & YOUNG Audit

Frank Astoux.

 

0804617

23/04/2007 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N2)
Numéro d'affaire : 4420
Texte de l'annonce :

0704420

23 avril 2007BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°49


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE/PYRENÉES ORIENTALES)  
 

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du livre V du Code rural au capital social de 21 043 033 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.

776 179 335, code APE — 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2006.

 

Documents comptables annuels.

 

A. — Comptes sociaux au 31 décembre 2006.

I. — Bilan au 31 décembre 2006.

(En milliers d’euros.)

Actif

Note

2006

2005

Opérations interbancaires et assimilées

 

52 520

49 175

Caisse, Banques centrales, CCP

 

49 731

43 055

Effets publics et valeurs assimilées

5

 

1 600

Créances sur les établissements de crédit

3

2 789

4 520

Opérations internes au CA

3

144 381

183 167

Opérations avec la clientèle

4

3 482 130

3 068 066

Opérations sur titres :

 

150 741

117 373

Obligations et autres titres à revenu fixe

5

82 675

68 598

Actions et autres titres à revenu variable

5

68 066

48 775

Valeurs immobilisées

 

236 393

196 719

Participations et autres titres détenus à

 

191 134

152 141

Long terme

6-7

 

 

Parts dans les entreprises liées

6-7

914

963

Immobilisations incorporelles

7

1 086

1 919

Immobilisations corporelles

7

43 259

41 696

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

 

89 527

77 162

Autres actifs

8

16 908

12 346

Comptes de régularisation

8

72 619

64 816

    Total actif

 

4 155 692

3 691 662

 

Passif

Note

2006

2005

Opérations interbancaires et assimilées

 

463

441

Banques centrales, CCP

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

10

463

441

Opérations internes au CA

10

2 488 001

2 172 997

Comptes créditeurs de la clientèle

11

1 079 385

989 979

Comptes d'épargne à régime spécial

 

14 232

9 528

Autres dettes

 

1 065 153

980 451

Dettes représentées par un titre

12

1 484

2 067

Comptes de régularisation et passifs divers

 

66 141

49 713

Autres passifs

13

22 881

14 917

Comptes de régularisation

13

43 260

34 796

Provisions et dettes subordonnées

 

88 130

83 322

Provisions pour risques et charges

14

57 366

52 582

Dépôts de garantie à caractère Mutuel

 

 

 

Dettes subordonnées

18

30 764

30 740

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

17

7 557

8 307

Capitaux propres hors FRBG :

19

424 531

384 836

Capital souscrit

 

28 057

27 205

Primes d'émission

 

129 625

129 625

Réserves

 

223 461

189 460

Ecart de réévaluation

 

 

 

Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

307

1 025

Report à nouveau (+/-)

 

 

-2 072

Résultat de l'exercice

 

43 081

39 593

    Total passif

 

4 155 692

3 691 662

 

Hors bilan

2006

2005

Engagements donnés :

 

 

Engagements de financements

494 555

429 125

Engagements en faveur d'établissements de crédit

 

 

Engagements internes au Crédit Agricole

 

 

Engagements en faveur de la clientèle

494 555

429 125

Engagements de garantie

91 781

82 834

Engagements d'ordre d'établissements de crédit

 

 

Engagements internes au Crédit Agricole

 

 

Engagements d'ordre à la clientèle

91 781

82 834

Engagements sur titres

3

6

Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Titres à livrer au Crédit Agricole

 

 

Autres engagements donnés

3

6

Engagements reçus :

 

 

Engagements de financement

175 000

175

Engagements reçus d'établissements de crédit

 

 

Engagements internes au Crédit Agricole

175 000

175

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

293 223

206 537

Engagements reçus d'établissements de crédit

23 488

16 948

Engagements internes au Crédit Agricole

 

445

Engagements reçus de la clientèle

269 735

189 144

Engagements sur titres

3

6

Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

Titres à recevoir du Crédit Agricole

 

 

Autres engagements reçus

3

6

 

 

II. — Compte de résultat au 31 décembre 2006.  

(En milliers d’euros.)

 

Note

2006

2005

Intérêts et produits assimilés

24

167 968

155 058

Intérêts et charges assimilées

24

88 041

74 758

Revenus des titres à revenu variable

25

10 886

8 377

Commissions (produits)

26

68 747

62 665

Commissions (charges)

26

7 086

7 046

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

27

144

115

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

28

1 126

1 762

Autres produits d’exploitation bancaire

 

7 827

7 112

Autres charges d’exploitation bancaire

 

317

482

    Produit net bancaire

 

161 254

152 803

Charges générales d’exploitation

 

78 940

75 300

Frais de personnel

29.1

48 516

46 830

Autres frais administratifs

29.3

30 424

28 470

Dotations aux amortissements et aux provisions sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

6 471

6 537

    Résultat brut d'exploitation

 

75 843

70 966

Coût du risque

30

-8 827

-10 380

    Résultat d'exploitation

 

67 016

60 586

Résultat net sur actifs immobilisés

31

202

53

Résultat courant avant impôt

 

67 218

60 639

Résultat exceptionnel

32

-1 229

-29 117

Impôt sur les bénéfices

33

24 376

20 221

Dotations/Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

1 468

28 292

    Résultat net

 

43 081

39 593

 

 

III. — Annexe aux comptes sociaux. 

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l'exercice.

 

A. – Le cadre juridique et financier.

(Paragraphe IV.2 de l’annexe 1 du règlement 2000.03 du CRC.)

La Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée, 59 Caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse Régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’Entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

De par la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2006, la Caisse Régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 40 autres Caisses Régionales, du Groupe Crédit Agricole dont l'organe central, au titre de la loi bancaire, est Crédit Agricole SA Les Caisses Régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue la Boétie, qui détient elle-même 54,73% du capital de Crédit Agricole SA, cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit Agricole SA est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 44,26%.

Par ailleurs, Crédit Agricole SA détient 15 144 404 actions propres, soit 1,01%.

Pour sa part Crédit Agricole SA détient l’ensemble des Certificats Coopératifs d’Associés émis par la Caisse Régionale représentant 25% de son capital.

Crédit Agricole SA coordonne l'action des Caisses Régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse Régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses Régionales garantissent le passif de Crédit Agricole SA à hauteur de leurs fonds propres.

 

Mécanismes financiers internes au Crédit Agricole.

L'appartenance de la Caisse Régionale Sud Méditerranée au Groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

 

1.1. Comptes ordinaires des Caisses Régionales. — Les Caisses Régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA, qui enregistre les mouvements de fonds correspondant aux relations financières internes. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole – Comptes ordinaires ».

 

1.2. Comptes et avances à terme. — Les ressources d'épargne (emprunts obligataires, bons et comptes à terme assimilés, comptes et plans d'épargne-logement, comptes sur livrets, PEP, etc.) sont collectées par les Caisses Régionales au nom de Crédit Agricole SA Elles sont transférées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan. Elles financent les avances faites aux Caisses Régionales pour leur permettre d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre réformes financières internes successives ont été mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses Régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25% puis 33,33% et enfin 50% depuis le 31 décembre 2001, des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la collecte, partagées entre les Caisses Régionales et Crédit Agricole SA, sont déterminées par l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des crédits entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et la Caisse Régionale peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA

Deux autres types d'avances sont à distinguer :

— les avances pour prêts bonifiés qui refinancent les prêts à taux réduits fixés par l'État : celui-ci verse à Crédit Agricole SA une bonification pour combler la différence entre le coût de la ressource et le taux des prêts ;

— les avances pour autres prêts qui refinancent à hauteur de 50% (depuis le 31 décembre 2001) les prêts non bonifiés : ces avances de Crédit Agricole SA sont accordées aux Caisses Régionales sur justification de leurs engagements et ne peuvent être affectées qu'à la réalisation des prêts pour lesquels un accord préalable a été obtenu. Elles sont reversées au fur et à mesure du remboursement des prêts accordés.

 

1.3. Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses Régionales. — Les ressources d'origine monétaire des Caisses Régionales (dépôts à vue, dépôts à terme et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci au financement de leurs prêts. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA où ils sont enregistrés dans des comptes ordinaires ou des comptes à terme parmi les « Opérations internes au Crédit Agricole ».

 

1.4. Placement des excédents de fonds propres des Caisses Régionales auprès de Crédit Agricole SA. — Les excédents peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous forme de placements de 3 à 7 ans dont toutes les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

1.5. Opérations en devises. — Crédit Agricole SA étant leur intermédiaire auprès de la Banque de France, les Caisses Régionales s'adressent à elle pour leurs opérations de change.

 

1.6. Comptes d'épargne à régime spécial. — Les ressources d'épargne à régime spécial (comptes sur livrets, livrets d'épargne manuelle, d'épargne-entreprise, d'épargne populaire, Codevi, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses Régionales pour le compte de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

 

1.7. Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA. — Ceux-ci sont placés principalement par les Caisses Régionales et figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

 

B. – Les faits caractéristiques de l'exercice.

La Caisse Régionale a suivi les opérations financières nécessaires au développement du Groupe Crédit Agricole à l’international en participant pour sa quote-part à l’augmentation de capital émise par Crédit Agricole SA soit 28,9 millions d’euros dans SAS la Boétie et 11,9 millions d’euros dans SAS SACAM International (structure qui reGroupe l’ensemble des Caisses Régionales et dont la vocation est de détenir une partie du capital des établissements bancaires acquis par Crédit Agricole SA à l’étranger), de plus un engagement de garantie pour couvrir le risque sur un portefeuille de crédit titrisé par Crédit Agricole SA pour 89 M€.

Nos investissements immobiliers ont été marqués par l’acquisition et l’aménagement de notre Centre d’affaires et la rénovation du siège social.

Au cours de l’exercice 2006, une charge exceptionnelle a été constatée représentant la quote–part de la CR aux coûts de migration de notre GIE Informatique Armoni vers Exaprod regroupant 7 Caisses Régionales.

 

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

Les états financiers de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole SA, agissant en tant qu'organe central et chargée d'adapter les principes généraux aux spécificités du Groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse Régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique à compter du 1er janvier 2006 l’avis CNC n°2006-02 du 31 mars 2006 relatif à la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement. Les dispositions de cet avis relatives aux modalités de constitution de la provision ont été anticipées sur l’exercice 2005, aussi les seuls changements sur l’exercice 2006 induits par le présent avis concernent l’information fournie en annexe (voir note 15 ci-après).

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique également à compter du 1er janvier 2006 l’avis CNC n°2006-05 relatif à la comptabilisation de l’imposition forfaitaire annuelle. Cet avis tire les conséquences comptables de la suppression de la déductibilité de l’imposition forfaitaire annuelle sur l’impôt sur les sociétés. Celle-ci devient une charge déductible du résultat imposable à compter du montant payé en 2006. En conséquence, cette charge est désormais comptabilisée dans la rubrique « Impôts et taxes ».

Egalement dans le cadre de l’adaptation à la législation fiscale, la Caisse Régionale applique à compter du 1er janvier 2006 l’avis CNC n°2006-12 relatif aux modalités de reprise des dépréciations comptables et de neutralisation des incidences fiscales dans les comptes individuels. Pour permettre la déductibilité fiscale d’une dépréciation constatée sur une immobilisation amortissable, la solution consiste à transférer la dépréciation en compte d’amortissement, à hauteur du montant définitivement acquis à chaque clôture. Le montant du transfert est égal à la différence entre le montant des dotations aux amortissements calculé sur la nouvelle base amortissable, et le montant des dotations aux amortissements qui aurait été comptabilisé en l’absence de dépréciation.

Par ailleurs, La Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas conclu, au cours de l’exercice 2006, de contrat de garantie financière assorti d’un droit de réutilisation. Aussi n’a-t-elle pas eu à appliquer l’avis CNC n°2006-10 du 30 juin 2006 relatif à la comptabilisation des actifs donnés en garantie dans le cadre de ces contrats.

En application du règlement CRC 2005.04 du 3 novembre 2005, et afin d'assurer la comparaison avec les états financiers 2005, les termes « provisions pour dépréciations, provisions pour risques et charges et mouvements des provisions sur risques de contrepartie » utilisés dans les présents états financiers » correspondent, respectivement aux termes « dépréciations, provisions, mouvements de dépréciation liés à un risque de contrepartie » tels que prévus dans le règlement susvisé.

 

Note 2.1. Crédits à la clientèle. — Les crédits à la clientèle sont inscrits au bilan à leur valeur nominale.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique le règlement du CRC n°2005-03 du 3 novembre 2005 modifiant le règlement CRC n°2002-03 du 12 décembre 2002 sur le risque de crédit. En application de celui-ci, les créances présentant un risque d’impayé sont comptabilisées conformément aux règles suivantes :

— Créances restructurées : La Caisse Régionale Sud Méditerranée définit les créances restructurées comme étant des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.), afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

Par conséquent, sont exclues des créances restructurées :

– les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité ;

– les créances dont le tableau d’amortissement théorique est modifié du fait de l’application d’une option ou clause contractuelle prévue initialement au contrat (exemple : pause et report d’échéance).

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale Sud Méditerranée s’élève à 22 268 K€.

Par rapport à l’encours de crédits comptabilisé au bilan de la Caisse Régionale Sud Méditerranée, le montant des crédits restructurés n’étant pas significatif, aucune décote n’a été comptabilisée lors de l’enregistrement de tels prêts.

— Créances douteuses : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits) ;

– lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

– s’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Les découverts sont qualifiés d’encours douteux au plus tard à l’issue d’une période de trois mois de dépassement continu des limites portées à la connaissance de la clientèle de particuliers et des limites résultant de convention de droit ou de fait entre le commerçant et la Banque pour ses autres clientèles.

Parmi les encours douteux, La Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.

– Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

– Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

Les intérêts contractuels ne sont plus comptabilisés après le transfert en encours douteux compromis.

— Provisionnement du risque de crédit avéré : Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale par voie de provision. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue les provisions correspondant, en valeur actualisée, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours douteux et douteux compromis.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

— Traitement des dépréciations : La dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque. Pour les créances douteuses les dotations et reprises pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrites dans la marge d’intérêt.

— Provisionnement du risque de crédit non avéré : Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté au passif de son bilan des provisions pour risques et charges destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, tels que les provisions sectorielles ou les provisions collectives calculées à partir du modèle Bale 2. Ces dernières visent à couvrir des risques précis pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel, sur des encours non classés en douteux.

 

Note 2.2. Opérations sur titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement 90-01 du Comité de la réglementation bancaire et financiere modifié par le règlement 95-04 du CRBF, le règlement 2000-02 du Comité de la réglementation comptable et le règlement CRC n°2005-01, ainsi que par le règlement 2002-03 du Comité de la réglementation comptable en matière de détermination du risque de crédit et du provisionnement concernant les titres à revenu fixe.

La répartition des titres entre les 4 catégories de portefeuille (transaction, placement, investissement, et titres de l’activité de portefeuille) est faite en fonction de l'intention initiale d'utilisation des titres, intention identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

— Titres de placement : Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres.

Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais exclus.

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

La valeur d'inventaire est le prix de marché.

Les moins-values latentes constatées à l'arrêté comptable font l'objet de provision pour dépréciation.

— Titres d'investissement : Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés également dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante juridique ou autre qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais exclus. En ce qui concerne les titres à revenu fixe acquis ou souscrits à un prix différent de leur valeur de remboursement, il convient de suivre les mêmes règles que celles retenues pour les titres de placement.

Conformément aux règlements n°90-01 et 95-04 et à l'instruction n°94-05 de la Commission bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’a pas provisionné les moins-values latentes.

Toutefois, les moins-values peuvent être provisionnées lorsque, à la date d'arrêté des comptes, il existe un risque de contrepartie.

Les titres d’investissement sont soumis aux dispositions du règlement du CRC 2002-03 concernant l’identification du risque de crédit et le provisionnement des pertes avérées.

— Prix de marché : Le prix de marché auquel sont évaluées, le cas échéant, les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

– les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent ;

– si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif, ou si le titre n’est pas coté, la Caisse Régionale détermine la valeur probable du titre de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant, la Caisse Régionale utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres, lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

— Dates d’enregistrement : La Caisse Régionale enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation

 

Note 2.3. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable.

— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement de crédit.

— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des investissements réalisés dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

L'ensemble de ces titres est comptabilisé au coût historique. Les frais accessoires à l'achat et à la vente sont enregistrés en charges d'exploitation. A la clôture de l'exercice, ces titres peuvent ou non faire l'objet individuellement de provisions pour dépréciation lorsque leur valeur d’utilité est inférieure au coût historique.

La valeur d’utilité de ces titres représente ce que l’établissement accepterait de déCaisser pour les acquérir, compte tenu de ses objectifs de détention. Les éléments qui peuvent être pris en compte pour l’estimation de la valeur d’utilité sont la rentabilité, actuelle ou attendue, les capitaux propres, les cours moyens de bourse des derniers mois.

 

Note 2.4. Immobilisations. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique depuis le 1er janvier 2004, le règlement du CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée applique à ce titre la méthode de comptabilisation des actifs par composants. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

 

Par ailleurs, les éléments dont dispose la Caisse Régionale sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existant au 31 décembre 2006.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse Régionale Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation.

Les durées d’amortissement appliquées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont les suivantes :

— A l'exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de provisions pour dépréciation.

 

Note 2.5. Conventions de garantie internes. — Aux termes de conventions de garantie conclues par les Caisses Régionales de Crédit Agricole, au profit de Crédit Agricole SA, la Caisse Régionale Sud Méditerranée est engagée, dans la limite de ses fonds propres, à couvrir une éventuelle insuffisance d'actif de Crédit Agricole SA au bénéfice des tiers, créanciers de celle-ci.

A contrario, Crédit Agricole SA (dans le cadre de la mission qui lui a été confiée par le Code monétaire et financier) garantit la liquidité et la solvabilité des Caisses Régionales.

A ce titre, il a été constitué par Crédit Agricole SA, au cours de l’exercice 2001, un « Fonds pour risques bancaires de liquidité et de solvabilité ».

 

Note 2.6. Engagements en matière de retraite, de préretraite, d’indemnités de fin de carrière. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la recommandation n°2003-R.01 du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.

A ce titre, La Caisse Régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Les écarts actuariels étant passés immédiatement en résultat, le montant de la provision est égal à :

— la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation ;

— diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante) ;

Le régime de retraite des salariés de la Caisse Régionale étant celui de la MSA, à cotisations définies, celle-ci ne porte pas dans ses comptes d'engagements « retraite » mais enregistre en « Frais de personnel » le montant des cotisations correspondantes.

Les régimes à prestations définies dont la Caisse Régionale Sud Méditerranée fait bénéficier ses salariés concernent la retraite des cadres de direction et les indemnités fin de carrière de l’ensemble du personnel. Les engagements sont couverts par des polices d’assurances et valorisés dans la Note 16.

 

Note 2.7. Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse Régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter La Caisse Régionale Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

Note 2.8. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3%.

 

Note 2.9. Conversion des opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors-bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction ; les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF n°89.01 et 89.02 et des instructions 89.04 et 89.05 de la Commission bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multidevises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Le montant global de la position de change opérationnelle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée s'établit à 4 081 K€.

 

Note 2.10. Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG). — En application du règlement 90-02 du CRBF, sont enregistrées dans le compte « Fonds pour risques bancaires généraux », la provision pour risques de crédits non encore avérés et les autres provisions pour risques bancaires généraux (cf. note 17).

 

Note 2.11. Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les principes comptables appliqués sont essentiellement fonction de l’intention avec laquelle les opérations sont effectuées.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les swaps de taux d’intérêt ou de devises essentiellement aux fins suivantes :

— Couverture du risque de taux d'intérêt affectant un élément ou un ensemble d'éléments homogènes.

— Couverture des risques de taux global de l'établissement sur l'actif, le passif et le hors bilan. Les charges et les produits relatifs à ces contrats sont inscrits prorata temporis en compte de résultat.

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits dans les comptes de hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

 

Note 2.12. Emprunts obligataires. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée applique la méthode préférentielle d’étalement des frais d’émission des dettes représentées par un titre, prévue au paragraphe 300 du règlement 99-07 du 24 novembre 1999.

 

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit : Analyse par durée résiduelle.

(En milliers d’euros.) 

 

Créances

 

 

Durée résiduelle

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total 2006

Total 2005

Établissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

2 389

 

 

 

2 389

 

2 389

4 121

A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

0

 

0

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Prêts subordonnés

 

 

 

394

394

6

400

399

    Total

2 389

0

0

394

2 783

6

2 789

4 520

Provisions

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

2 789

4 520

Opérations internes au crédit Agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

10 511

 

 

 

10 511

 

10 511

47 069

Comptes et avances à terme

5 536

6 983

78 366

 

90 885

2 462

93 347

92 170

Prêts subordonnés

 

 

 

40 500

40 500

23

40 523

43 928

    Total

16 047

6 983

78 366

40 500

141 896

2 485

144 381

183 167

Provisions

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

144 381

183 167

 

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis à Crédit Agricole SA s'élèvent à 40 523 K€.

Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 19 331 K€.

 

Opérations internes au Crédit Agricole : En matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse Régionale auprès de Crédit Agricole SA dans le cadre des relations financières internes.

 

Note 4. – Opérations avec la clientèle : Analyse par durée résiduelle.

(En milliers d’euros.) 

Créances

Durée résiduelle

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total 2006

Total 2005

Opérations avec la clientèle

 

 

 

 

 

 

 

 

Créances commerciales

19 261

321

 

 

19 582

583

20 165

22 757

Autres concours à la clientèle

276 140

433 617

1 075 191

1 692 467

3 477 415

29 455

3 506 870

3 094 560

Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

Crédit bail et location avec option d’achat

 

 

 

 

0

 

0

 

Location simple

 

 

 

 

0

 

0

 

    Sous-total

295 401

433 938

1 075 191

1 692 467

3 496 997

30 038

3 527 035

3 117 318

Comptes ordinaires débiteurs

26 808

 

 

 

26 808

252

27 060

22 634

Provisions

 

 

 

 

 

 

-71 965

-71 886

    Valeurs nettes au bilan

322 209

433 938

1 075 191

1 692 467

3 523 805

30 290

3 482 130

3 068 066

 

 

Parmi les créances sur la clientèle 0,5 millions d’euros sont éligibles au refinancement de la Banque centrale.

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse Régionale Sud Méditerranée au 31 décembre 2006 s’élève à 22 268 K€, dont 4 838 K€ relatifs aux crédits restructurés dans le cadre de la loi Neiertz.

 

Note 4.1. Opérations avec la clientèle : Analyse par zone géographique :

(En milliers d’euros)

2006

2005

France (y compris DOM-TOM)

3 129 039

2 766 616

Autres pays de l'UE

394 766

345 145

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amérique Centrale et Latine

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

    Total en principal

3 523 805

3 111 762

Créances rattachées

30 290

28 190

Provisions

-71 965

-71 886

    Valeurs nettes au bilan

3 482 130

3 068 066

 

 

Note 4.2. Opérations avec la clientèle –Encours douteux et provisions par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

 

2006

2005

En cours brut

Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provision sur encours douteux

Provision sur encours douteux compromis

En cours brut

Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provision sur encours douteux

Provision sur encours douteux compromis

France (y compris DOM-TOM)

3 157 690

94 345

52 869

69 776

45 005

2 793 507

91 316

53 514

69 570

43 712

Autres pays de l’UE

396 406

5 754

3 547

2 190

1 897

346 444

5 774

3 860

2 316

2 148

Autres pays d'Europe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Amérique du Nord

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Amérique Centrale et Latine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Total en principal

3 554 096

100 099

56 416

71 965

46 902

3 139 952

97 090

57 374

71 886

45 860

 

 

Note 4.3 : Opérations avec la clientèle : Analyse par agents économiques :

 

(En milliers d’euros)

 

 

2006

2005

En cours brut

Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provision sur encours douteux

Provision sur encours douteux compromis

En cours brut

Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provision sur encours douteux

Provision sur encours douteux compromis

Particuliers

1 417 479

26 775

17 431

22 621

14 698

1 222 149

25 016

17 011

20 875

12 900

Agriculteurs

302 179

15 237

8 820

8 862

5 962

284 873

14 974

9 076

7 816

4 864

Autres professionnels

895 436

27 949

14 794

19 592

14 694

737 726

25 478

16 185

18 409

15 196

Société financières

1 018

 

 

 

 

957

 

 

 

 

Entreprises

415 566

26 811

15 004

17 821

11 418

406 571

28 257

14 630

21 789

12 728

Collectivités publiques

487 336

2 930

 

2 930

 

452 617

2 860

 

2 822

 

Autres agents économiques

35 082

397

367

140

130

35 060

505

472

175

172

Intérêts et divers

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Total y compris créances rattachées

3 554 096

100 099

56 416

71 965

46 902

3 139 952

97 090

57 374

71 886

45 860

 

 

Note 5. – Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

 

(En milliers d’euros)

2006

2005

Transaction (*)

Placement

Titres de l'activité de portefeuille

Investissement

Total

Total

Effets publics et valeurs assimilées :

 

 

 

 

0

1 524

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

 

 

 

0

76

Provisions

 

 

 

 

0

 

    Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

0

1 600

Obligations et autres titres à revenu fixe :

 

 

 

 

 

 

Emis par organismes publics

 

 

 

 

0

 

Autres émetteurs

 

29 048

 

52 774

81 822

67 369

Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

0

 

Créances rattachées

 

25

 

843

868

1 234

Provisions

 

14

 

 

14

-5

    Valeurs nettes au bilan

0

29 059

0

53 617

82 676

68 598

Actions et autres titres à revenu variable

 

68 066

 

 

68 066

48 775

Créances rattachées

 

 

 

 

0

 

Provisions

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

0

68 066

0

0

68 066

48 775

Valeurs estimatives

 

104 695

 

54 108

158 803

125 241

 

 

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres de placement s'élève à 7 595 K€ au 31 décembre 2006, contre 4 294 K€ au 31 décembre 2005.

La valeur estimative des titres de placement correspond au dernier cours de bourse.

La valeur estimée des plus-values latentes sur le portefeuille de titres d’investissement s'élève à 1 334 au 31 décembre 2006, contre 3 283 K€ au 31 décembre 2005.

 

Note 5.1 Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) : Ventilation par grandes catégories de contrepartie :

 

2006

2005

Administration et Banques centrales (y compris Etats)

 

 

Établissements de crédit

60 033

42 566

Sociétés financières

75 963

58 136

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

14 745

16 672

Divers et non ventilés

 

 

    Valeurs nettes au bilan

150 741

117 373

 

 

Note 5.2. Ventilation des titres cotes et non cotes a revenu fixe ou variable :

(En milliers d’euros)

2006

2005

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres cotés

59 130

 

68 066

127 196

43 354

1 524

48 775

93 653

Titres non cotés (1)

22 692

 

 

22 692

24 015

 

 

24 015

Créances rattachées

868

 

 

868

1 234

76

 

1 310

Provisions

-14

 

 

-14

-5

 

 

-5

    Valeurs nettes au bilan

82 676

0

68 066

150 741

68 598

1 600

48 775

118 973

 

 

Dont OPCVM français de capitalisation 68 066 K€.

La répartition de l’ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2006.

2006 (en milliers d’euros)

Valeur d'inventaire

Valeur liquidative

OPCVM monétaires

68 066

72 243

OPCM obligataires

 

 

OPCM actions

 

 

OPCM autres

 

 

    Total

68 066

72 243

 

 

Note 5.3. Effets publics, obligations et autres titres a revenu fixe : Analyse par durée résiduelle :

(En milliers d’euros)

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total 2006

Total 2005

Obligations et autres titres à revenu fixe

762

3 811

28 601

48 647

81 821

868

82 689

68 603

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

0

1 600

Provisions

 

 

 

 

 

 

14

5

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

82 675

70 198

 

 

Note 6. – Tableau des titres de participation et de filiales.

(En milliers d’euros)

 

Informations financières

 

 

Capital 

Réserve et report à nouveau avant affectation des résultats 

Quote-part de capital détenue (en pourcentage) 

Valeurs comptables des titres détenus

Prêts et avances consentis par la société et non encore remboursés 

Montant des cautions et avals donnés par la société 

PNB ou chiffre d'affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoulé 

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1) 

Dividendes encaissés par la société au cours de l'exercice 

Brutes

Nettes

Participations dont la valeur d'inventaire excède 1% du capital de l'entité :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SCI Château de Castelnou

851

-131

98,61%

1 202

685

229

 

13

-25

0

SARL Ampeyre

76

-170

100,00%

383

0

686

 

0

-3

 

Autres titres de participations :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SAS Rue la Boétie

1 615 917

8 369 932

1,32%

130 268

130 268

29 163

 

783 849

767 590

10 143

SA Sofilaro

5 600

891

20,59%

1 154

1 154

3

 

119

-228

 

GF Font Moreau

2 225

119

24,11%

537

537

 

 

 

22

5

SAS Sacam Fireca

74 700

-23 828

1,18%

885

582

 

 

-1 722

-1 730

 

SAS Sacam Développement

730 622

2 811

1,35%

9 883

9 883

3 053

 

69 679

40 129

261

SNC CA Titre

15 245

6 489

0,69%

398

398

 

 

75 011

1 113

 

SAS Sacam Internationnal

900 040

-5

1,69%

11 893

11 893

 

 

0

-1

 

Participations dont la valeur d'inventaire est inferieure à 1% du capital de l'entite

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres titres de participations (ensemble)

 

 

 

2 468

1 576

2 458

 

 

 

 

Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

 

159 071

156 976

35 592

0

 

 

 

 

 

Note 6.1. Valeur estimative des titres de participation :

 

Année 2006

Année 2005

 

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

Titres non cotés

1 586

685

1 586

734

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

915

230

915

230

Créances rattachées

 

 

 

 

Provisions

-1 586

 

-1 537

 

    Sous-total parts dans les entreprises liées

914

914

963

963

Titres de participation :

 

 

 

 

Titres non cotés

157 487

388 524

145 621

271 247

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

34 677

34 621

7 241

7 185

Créances rattachées

222

 

184

184

Provisions

-1 251

 

-1 232

 

    Sous-total titres de participation

191 134

423 145

151 814

278 616

Autres titres détenus à long terme :

 

 

 

 

Titres non cotés

 

 

328

328

Titres cotés

 

 

 

 

Avances consolidables

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

Provisions

 

 

 

 

Sous-total autres titres détenus à long terme

0

0

328

328

    Total

192 048

424 059

153 105

279 907

 

 

Note 7. – Variation de l’actif immobilisé.

Note 7.1. Immobilisations financières :

 

 

(En milliers d’euros)

 

 

2006

Valeur en début d'exercice

Augmentations (Acquisitions)

Diminutions (cession, échéance)

Autres mouvements

Valeur à la fin de l'exercice

Parts dans les entreprises liées :

963

-50

0

0

914

Valeurs brutes

1 586

 

 

 

1 586

Avances consolidables

915

 

 

 

915

Provisions

-1 537

-50

 

 

-1 587

Titres de participation :

151 630

41 167

1 885

0

190 912

Valeurs brutes

150 181

40 824

1 303

 

189 702

Avances consolidables

2 681

415

635

 

2 461

Provisions

-1 232

-72

-53

 

-1 251

Autres titres détenus à long terme :

328

0

328

0

0

Valeurs brutes

 

 

 

 

 

Avances consolidables

328

 

328

 

0

Provisions

 

 

 

 

 

Créances rattachées

184

222

184

 

222

    Valeurs nettes au bilan

153 105

41 339

2 397

0

192 047

 

 

Note 7.2. Immobilisations corporelles et incorporelles :

Rubriques

Valeur en début d'exercice

Augmentations (Acquisitions)

Diminutions (cession, échéance)

Autres mouvements (2)

Valeur à la fin de l'exercice

Immobilisations corporelles d’exploitation

41 696

7 743

6 180

0

43 259

Valeurs brutes

99 965

13 322

7 169

 

106 117

Amortissements et provisions

58 269

5 579

989

 

62 858

Immobilisations corporelles données en location

0

0

0

0

0

Valeurs brutes

 

 

 

 

0

Amortissements et provisions

 

 

 

 

0

Immobilisations incorporelles

1 919

-833

0

0

1 086

Valeurs brutes

9 240

59

8

 

9 291

Amortissements et provisions

7 321

892

8

 

8 205

Créances rattachées (1)

0

0

0

0

0

Valeurs brutes

 

 

 

 

0

Provisions

 

 

 

 

0

     Valeurs nettes au bilan

43 615

6 910

6 180

0

44 345

 

 

Note 8. – Autres actifs et comptes de régularisation.

(En milliers d’euros)

Montant 2006

Montant 2005

Autres actifs

16 908

12 346

Instruments conditionnels achetés

 

 

Comptes de stock et emplois divers

1 605

1 850

Débiteurs divers

15 110

10 459

Comptes de règlement

193

37

Actions propres

 

 

Comptes de régularisation

72 619

64 816

Comptes d'enCaissement et de transfert

30 191

29 309

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits à recevoir et charges constatées d'avance

40 934

34 898

Charges à répartir

 

 

Autres comptes de régularisation

1 493

608

    Valeurs nettes au bilan

89 527

77 162

(1) Les montants sont indiqués en net et incluent les créances rattachées.

 

 

Note 9. – Provisions inscrites en déduction de l’actif.

(En milliers d’euros)

Solde au 31 décembre 2005

Dotations

Reprises et utilisations

Désactualisation

Autres mouvements

Solde au 31 décembre 2006

Provisions déduites de l’actif :

 

 

 

 

 

 

Sur interbancaire

 

 

 

 

 

0

Sur créances clientèle

71 887

37 796

36 579

1 138

 

71 966

Sur opérations de crédit-bail

 

 

 

 

 

0

Sur portefeuilles titres (placement, TAP et investissement)

5

16

7

 

 

14

Sur participations et autres titres détenus à long terme

2 768

122

53

 

 

2 837

Autres

2 746

39

39

 

 

2 746

    Total des provisions – Actif

77 406

37 973

36 678

1 138

0

77 563

 

 

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit : Analyse par durée résiduelle.

(En milliers d’euros.)

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 2006

Total 2005

Établissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

460

 

 

 

460

2

463

441

A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

    Total

460

 

 

 

460

2

463

441

Valeurs au bilan

 

 

 

 

 

 

463

441

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

215 829

 

 

 

215 829

 

215 829

3 119

Comptes et avances à terme

351 784

581 392

762 607

569 321

2 265 104

7 069

2 272 172

2 169 878

    Total

567 613

581 392

762 607

569 321

2 480 933

7 069

2 488 001

2 172 997

        Valeurs au bilan

 

 

 

 

 

 

2 488 001

2 172 997

 

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole SA et nécessaires au financement de l'encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse Régionale. (Cf. Cadre juridique et financier).

 

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle : Analyse par durée résiduelle.

(En milliers d’euros.)

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 2006

Total 2005

Comptes créditeurs de la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

962 559

 

 

 

962 559

25

962 584

935 824

Comptes d'épargne à régime spécial :

14 232

0

0

0

14 232

 

14 232

9 528

A vue

14 232

 

 

 

14 232

 

14 232

9 528

A terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres dettes envers la clientèle

70 336

22 358

7 960

522

101 176

 

101 176

44 626

A vue

 

 

 

 

0

 

0

 

A terme

70 336

22 358

7 960

522

101 176

1 394

102 570

44 626

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

0

 

0

 

    Total

1 047 127

22 358

7 960

522

1 077 966

1 419

1 079 385

 

        Valeurs au bilan

 

 

 

 

 

 

1 079 385

989 979

 

 

Note 11.1. Comptes créditeurs de la clientèle par agents économiques :

(En milliers d’euros)

2006

2005

Particuliers

613 292

599 094

Agriculteurs

75 370

68 445

Autres professionnels

79 613

71 994

Société financières

2 276

165

Entreprises

245 208

195 348

Collectivités publiques

8 660

3 118

Autres agents économiques

54 966

51 814

Divers

 

 

    Total

1 079 385

989 979

 

 

Note 12. – Dettes représentées par un titre : Analyse par durée résiduelle.

(En milliers d’euros.)

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 2006

Total 2005

Dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

 

 

Bons de Caisse

1 473

 

 

 

1 473

11

1 484

2 067

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres de créances négociables :

 

 

 

 

 

 

 

 

Emis en France (1)

 

 

 

 

 

 

 

 

Emis à l’étranger

 

 

 

 

 

 

 

 

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

 

 

    Total valeurs au bilan

1 473

0

0

0

1 473

11

1 484

2 067

 

 

Note 13. – Autres passifs et comptes de régularisation.

(En milliers d’euros.)

Rubriques

Montant 2006

Montant 2005

Autres passifs :

22 881

14 917

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

Instruments conditionnels vendus

10

 

Comptes de règlement

212

242

Créditeurs divers

13 297

14 233

Versements restant à effectuer sur titres

9 362

442

Autres

 

 

Comptes de régularisation :

43 260

34 796

Comptes d'enCaissement et de transfert

6 200

4 050

Comptes d'ajustement et comptes d'écart

 

 

Gains latents et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits constatés d'avance

 

 

Charges à payer

36 529

29 734

Autres comptes de régularisation

532

1 012

    Valeurs au bilan

66 141

49 713

 

 

Note 14. – Provisions pour risques et charges.

(En milliers d’euros)

Solde au

31 décembre

2005

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au

31 décembre

2006

Provisions pour engagements de retraite et assimilés

 

 

 

 

 

0

Provisions pour autres engagements sociaux

 

21

27

 

541

535

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

925

76

 

 

 

1 001

Provisions pour risques fiscaux (1)

4 011

2 367

 

771

 

5 606

Provision pour risques pays

 

 

 

 

 

0

Provisions pour risques de crédit (2)

25 678

6 296

 

 

 

31 974

Provisions pour mise au rebut de l'ancien système informatique

 

 

 

 

 

0

Provisions pour restructurations

 

 

 

 

 

0

Provisions pour impôts

2 000

 

253

 

 

1 747

Provisions pour litiges et garanties de passif

147

20

 

 

 

166

Provisions sur participations

 

 

 

 

 

0

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (3)

6 495

 

 

1 173

 

5 322

Provisions pour risques opérationnels

4 824

 

119

229

124

4 600

Autres provisions pour risques et charges

8 502

216

448

1 190

-665

6 415

    Valeur au bilan

52 582

8 996

847

3 363

0

57 366

(1) Provisions couvrant des redressements fiscaux déjà notifiés.

(2) Dont 24,0 M€ relatifs à une provision établie sur base collective calculée au moyen d’un outil Bâle 2 qui classe les encours sains par marchés et classe de risques. Cette provision est calculée en fonction de la probabilité de pertes en cas de défaut ;

Dont 8,0 M€ de provision sectorielle Espagne.

(3) Cette provision est décrite en note 15.

 

 

Note 15. – Epargne logement.

Une provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— Le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période.

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision mise en oeuvre par le Groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec l’avis CNC n°2006-12 du 31 mars 2006 sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement.

 

Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

(En milliers d’euros)

2006

2005

Plans d'épargne- logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

100 887

348 510

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

414 280

149 179

Ancienneté de plus de 10 ans

247 194

308 513

   Total plans d'épargne-logement

762 361

806 202

Total comptes épargne-logement

116 721

118 862

    Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

879 082

925 064

 

 

L'ancienneté est déterminée par rapport à la date de milieu d'existence de la génération des plans à laquelle ils appartiennent. Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état.

 

Encours de crédits octroyés au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

(En milliers d’euros)

2006

2005

Plans d'épargne-logement

11 171

15 101

Comptes épargne-logement

20 631

23 931

    Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

31 802

39 032

 

 

Provision au titre des comptes et plans d’épargne-logement :

(En milliers d’euros)

2006

2005

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

528

399

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

613

858

Ancienneté de plus de 10 ans

2 009

3 351

    Total plans d'épargne-logement

3 150

4 608

Total comptes épargne-logement

2 172

1 887

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 322

6 495

 

 

L'ancienneté est déterminée par rapport à la date de milieu d'existence de la génération des plans à laquelle ils appartiennent.

(En milliers d’euros)

2005

Dotations

Reprises

2006

Plans d'épargne-logement

4 608

 

1 458

3 150

Comptes épargne-logement

1 887

 

-285

2 172

    Total provision épargne-logement

6 495

0

1 173

5 322

 

 

Note 16. – Engagements sociaux : Avantages postérieurs a l’emploi, régimes a prestations définies.

Variations de la dette actuarielle :

 

2006

2005

Dettes actuarielles au 31 décembre/n-1

13 147

12 737

Coûts des services rendus sur la période

621

502

Effet de l'actualisation

508

596

Cotisations de l'employé

 

 

Modification/réduction/liquidation de plan

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-357

-380

(Gains)/pertes actuariels

501

-308

    Dettes actuarielle au 31 décembre/n

14 420

13 147

 

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

2006

2005

Coûts des services rendus sur la période

621

502

Effet de l'actualisation

508

596

Rendement attendu des actifs sur la période

-448

-487

Amortissement du coût des services passés

390

 

Autres gains ou pertes

 

752

    Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 072

1 363

 

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

2006

2005

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31 décembre/n-1

11 200

11 493

Rendement attendu des actifs

448

487

Gains/pertes actuariels sur les actifs du régime

112

-1 060

Cotisation de l'employeur

2 241

936

Cotisation de l'employé

 

 

Modification/réduction/liquidation de plan

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

-35

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-357

-621

    Juste valeur des actifs/droit à remboursement au 31 décembre/n

13 644

11 200

 

 

Variations de la provision :

 

2006

2005

(Provisions)/actifs au 31 décembre/n-1

-1 947

-1 244

Cotisation de l'employeur

2 241

937

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

-35

Paiements directs de l'employeur

 

-241

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

-1 072

-1 363

    (Provisions) actifs au 31 décembre/n

-777

-1 947

 

 

Rappel : le montant de la provision au 31 décembre/n est égal ici à la dette actuarielle au 31 décembre/n diminuée de la juste valeur des actifs du régime ou des droits à remboursement à cette même date.

 

Rendement des actifs des régimes. — Le rendement effectif des actifs des régimes est de 4%.

 

Hypothèses actuarielles utilisées. — Le taux d’actualisation utilisé est de 3,82% pour les IFC et de 3,57% pour les régimes de retraite.

 

Note 17. – Fonds pour risques bancaires généraux.

(En milliers d’euros)

2006

2005

Autres FRBG

7 557

8 307

    Valeurs au bilan

7 557

8 307

 

 

Note 18. – Dettes subordonnées : Analyse par durée résiduelle.

(En milliers d’euros)

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Montant 2006

Montant 2005

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à terme

 

 

28 173

 

28 173

466

28 639

28 621

Emprunts participatifs

 

 

 

 

0

 

0

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

 

 

0

 

0

 

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

 

0

 

C/C bloqués des Caisses locales

 

 

 

2 034

2 034

91

2 125

2 120

    Valeurs au bilan

0

0

28 173

2 034

30 207

557

30 764

30 740

 

 

Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 1 609 K€.

 

Note 19. – Variation des capitaux propres (avant répartition).

(En milliers d’euros)

 

Capitaux propres

Capital (1)

Primes et réserves (2)

Ecarts conversion/Réévaluation

Provisions réglementées et subventions d'investissement

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 décembre 2004

27 030

287 738

 

1 131

35 030

350 929

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de N-2

 

 

 

 

-3 107

-3 107

Variation de capital

175

 

 

 

 

175

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2002

 

28 997

 

 

-28 997

-0

Report à nouveau à l'ouverture

 

2 926

 

 

-2 926

-0

Report à nouveau débiteur

 

-2 072

 

 

 

-2 072

Résultat de l’exercice N-1

 

 

 

 

39 593

39 593

Autres variations

 

-575

 

-106

 

-681

    Solde au 31 décembre 2005

27 205

317 013

 

1 025

39 593

384 836

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de N-1

 

 

 

 

-3 521

-3 521

Variation de capital

852

 

 

 

 

852

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social N-1

 

34 001

 

 

-34 001

 

Report à nouveau à l'ouverture

 

2 072

 

 

-2 072

 

Résultat de l’exercice N

 

 

 

 

43 081

43 081

Autres variations

 

 

 

-718

 

-718

    Solde au 31 décembre N

28 057

353 086

 

307

43 081

424 531

(1) Dont 7 014 K€ de Certificats coopératifs d’associés souscrits par Crédit Agricole SA.

(2) Dont prime d’émission sur Certificats coopératifs d’associés souscrits par Crédit Agricole SA pour 59 035 K€ et prime de fusion pour 70 590 K€.

 

 

Note 20. – Composition des fonds propres.

(En milliers d’euros)

2006

2005

Capitaux propres

424 531

384 836

Fonds pour risques bancaires généraux

7 557

8 307

Dettes subordonnées

30 764

30 740

Dépôts de garantie à caractère Mutuel

 

 

    Total des fonds propres

462 852

423 884

 

 

Note 21. – Opérations effectuées en devises.

 

2006

2005

 

Actif

Passif

Actif

Passif

Euro

4 148 134

4 148 134

3 682 235

3 682 237

Autres devises de l’Union européenne

7 532

7 532

7 871

7 873

Dollar

26

26

1 556

1 552

Yen

 

 

 

 

Autres devises

 

 

 

 

    Total

4 155 692

4 155 692

3 691 662

3 691 662

 

 

Note 22. – Opérations à terme en devises non dénouées.

(En milliers d’euros.)

 

Opérations de change

2006

2005

A recevoir

A livrer

A recevoir

A livrer

Opérations de change au comptant

0

0

0

0

Devises

 

 

 

 

Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

4 081

4 078

1 833

1 831

Devises

2 019

2 019

929

929

Euros

2 062

2 059

904

902

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

    Total

4 081

4 078

1 833

1 831

 

 

Note 23. – Opérations sur instruments financiers à terme.

(En milliers d’euros.)

Type d'opération

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total 2006

Total 2005

Opérations fermes :

 

 

 

 

Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

Contrats à terme de taux d'intérêt

 

 

0

 

Contrats à terme de change

 

 

0

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

0

 

Autres contrats à terme

 

 

0

 

Opérations de gré à gré

936 222

0

936 222

741 785

Swaps de taux d'intérêt

936 222

 

936 222

741 785

FRA

 

 

0

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

0

 

Autres contrats à terme

 

 

0

 

Opérations conditionnelles :

 

 

 

 

Opérations sur marchés organisés

0

0

0

0

Instruments de taux d'intérêt à terme conditionnels :

 

 

 

 

Achetés

 

 

0

 

Vendus

 

 

0

 

Instruments sur action et indices boursières à terme conditionnels :

 

 

 

 

Achetés

 

 

0

 

Vendus

 

 

0

 

Instruments de taux de change à terme conditionnels :

 

 

 

 

Achetés

 

 

0

 

Vendus

 

 

0

 

Opérations de gré à gré

9 210

89 108

98 318

0

Options de swap de taux :

 

 

 

 

Achetés

 

 

0

 

Vendus

 

 

0

 

Instruments de taux d'intérêts à terme conditionnels :

 

 

 

 

Achetés

4 605

 

4 605

 

Vendus

4 605

 

4 605

 

Instruments de taux de change à terme conditionnels :

 

 

 

 

Achetés

 

 

0

 

Vendus

 

 

0

 

Instruments sur actions et indices boursières à terme conditionnels :

 

 

 

 

Achetés

 

 

0

 

Vendus

 

 

0

 

Autres instruments à terme conditionnels :

 

 

 

 

Achetés

 

 

0

 

Vendus

 

89 108

89 108

 

    Total

945 432

89 108

1 034 540

741 785

 

 

Note 23.1. Opérations sur instruments financiers à terme : Encours notionnels par durée résiduelle.

 

 

Répartition par durée restant à courir

 

Total

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

 

< 1 an

De 1à 5 ans

> 5 ans

< 1 an

De 1à 5 ans

> 5 ans

< 1 an

1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

241 142

422 410

272 669

241 142

422 410

272 669

 

 

 

Options de change

1 166

5 150

2 894

1 166

5 150

2 894

 

 

 

Options de taux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

FRA

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Swaps de devises

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Caps, floors, collars

0

0

0

 

 

 

 

 

 

Autres instruments

0

89 108

0

 

89 108

 

 

 

 

Dérivés sur actions, indices boursier et métaux précieux

0

0

0

 

 

 

 

 

 

    Sous total

242 308

516 668

275 563

242 308

516 668

275 563

0

0

0

Opérations de change à terme

8 159

 

 

8 159

 

 

 

 

 

    Total général

250 467

516 668

275 563

250 467

516 668

275 563

0

0

0

 

 

Note 23.2. Instruments financiers à terme : Juste valeur :

 

 

31 décembre 2006

 

Total juste valeur

Encours notionnel

Futures

 

 

Options de change

 

 

Options de taux

 

 

FRA

 

 

Swaps de taux d’intérêt

-11 173

936 221

Swaps de devises

 

 

Caps, floors, collars

 

9 210

Autres instruments

 

89 108

Dérivés sur actions, indices boursier

 

 

    Sous total

-11 173

1 034 540

Opérations de change à terme

 

8 159

    Total général

-11 173

1 042 699

 

 

Les montants indiqués correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses ou au cumul des achats ou ventes de contrats.

NB : Les montants ventilés sont établis à partir des engagements notionnels sur instruments financiers à terme<

 

Note 23.3. Information sur les swaps. — La Caisse Régionale a l’obligation réglementaire d’utiliser un outil de mesure de son risque de taux. Ce logiciel permet de définir un niveau minimal de couverture du risque dans le cadre des préconisations émises par Crédit Agricole SA.

Les positions de macro-couverture de juste-valeur couvrent les passifs à taux fixe issus de certains portefeuilles de collecte clientèle (Dépôts, collecte d’épargne, émissions obligataires Groupe). Une baisse des taux génère une hausse de la valeur de marché des passifs à taux fixe, qui est couverte par la hausse de la valeur de marché des dérivés de macro-couverture (actifs à taux fixe).

De même, les micro-couvertures de juste valeur de type « Actif TF vs passif TV » couvrent les variations de valeur de marché des passifs à taux fixe désignés.

Enfin, les micro-couvertures de juste valeur de type « Actif TV vs passif TF » couvrent les variations de valeur de marché de certains crédits à taux fixe.

 

Notes sur le compte de résultat. 

Note 24. – Produits nets d’intérêts et revenus assimilés.

 

Produits nets d'intérêts :

(En milliers d’euros)

2006

2005

Produits d'intérêts :

167 968

155 058

Sur opérations avec les établissements de crédit

887

690

Sur opérations internes au Crédit Agricole

12 032

8 499

Sur opérations avec la clientèle

149 401

137 116

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

2 844

2 707

Autres intérêts et produits assimilés

2 804

6 046

Charges d'intérêts :

88 041

74 758

Sur opérations avec les établissements de crédit

15

16

Sur opérations internes au Crédit Agricole

80 891

66 305

Sur opérations avec la clientèle

7 051

8 361

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

53

53

Autres intérêts et charges assimilées

31

23

    Total produits nets d'intérêt et revenus assimilés

79 927

80 300

 

 

Note 25. – Revenus des titres.

(En milliers d’euros.)

Titres à revenus fixes

2006

2005

Titres de placement

75

57

Codevi

 

 

Titres d’investissement

2 769

2 650

Opérations diverses sur titres

 

 

    Revenus des titres a revenus fixes

2 844

2 707

 

Titres à revenus variables

2006

2005

Parts dans les entreprises liées

120

2

Titres de participation et autres titres détenus a long terme

10 766

8 375

Titres de placement et titres de l’activité de portefeuille

 

 

Opérations diverses sur titres

 

 

    Revenus des titres a revenus variables

10 886

8 377

 

 

Note 26. – Produit net des commissions.

 

(En milliers d’euros)

 

 

2006

2005

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

51

6

45

40

6

34

Sur opérations internes au crédit Agricole

9 186

2 296

6 890

9 177

2 625

6 552

Sur opérations avec la clientèle

16 324

133

16 191

14 510

64

14 446

Sur opérations sur titres

 

 

 

 

 

 

Sur opérations de change

4

 

4

3

 

3

Sur opérations Sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

 

 

 

 

 

 

Sur prestations de services financiers (1)

43 161

4 587

38 574

38 935

4 351

34 584

Dotations/Reprises risques et charges

20

64

-44

 

 

 

    Total

68 747

7 086

61 661

62 665

7 046

55 619

(1) Dont prestations d’assurance-vie : 9 256 K€.

 

 

Note 27. – Solde des opérations sur portefeuilles de négociation.

(En milliers d’euros)

2006

2005

Solde des opérations sur titres de transaction

 

 

Solde des opérations sur instruments financiers à terme

37

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

107

115

    Solde des opérations sur portefeuille de négociation

144

115

 

 

Note 28. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés.

(En milliers d’euros.)

 

 Titres de placement

 2006

 2005

 Dotations aux provisions

 - 17

 

 Dotation ou reprise nette aux provisions

 - 10

 1 557

 Plus-values de cession réalisées

 1 136

 254

 Moins-values de cession réalisées

 

 49

 Solde des plus et moins-values de cession réalisées

 1 136

 205

     Solde des opérations sur titres de placement

 1 126

 1 762

 

 

Note 29. – Charges générales d’exploitation.

Note 29.1. Frais de personnel (en milliers d’euros) :

Frais de personnel

2006

2005

Salaires et traitements (1):

26 341

24 919

Charges sociales :

13 156

13 449

Dont cotisations au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi à cotisations définies

2 617

2 625

Intéressement

4 409

3 988

Participation

1 610

1 560

Impôts et taxes sur rémunérations

3 000

2 916

    Total des frais de personnel

48 516

46 830

(1) Les refacturations de charges de frais de personnel sont déduites du poste « Salaires et traitements »

 

 

Note 29.2. Effectif :

Catégorie de personnel

2006

2005

Cadres

150

153

Tam

383

358

Employés

343

355

    Total

876

866

Dont :

 

 

France

863

853

Etranger

13

13

 

 

La rémunération des organes de direction et d’administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’Institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 134 K€.

 

Note 29.3. Autres frais administratifs (en milliers d’euros) :

Autres frais administratifs

2006

2005

Impôts et taxes

3 003

2 679

Services extérieurs

27 808

25 874

Autres frais administratifs

-387

-84

    Total des frais administratifs

30 424

28 470

 

 

Note 30. – Cout du risque.

 

(En milliers d’euros)

2006

2005

Dotations aux provisions

40 350

41 686

Provisions sur créances douteuses

40 132

36 809

Autres provisions

218

4 877

Reprises de provisions

34 497

36 329

Reprises de provisions sur créances douteuses

32 766

34 179

Autres reprises de provisions

1 731

2 150

Variation des provisions

5 852

5 357

Pertes sur créances irrécouvrables non provisionnées (1)

292

298

Pertes sur créances irrécouvrables provisionnées (2)

3 578

5 235

Décote sur prêts restructurés

 

 

Récupérations sur créances amorties

1 026

775

Pertes/risques opérationnels

131

264

    Coût du risque

8 827

10 380

(1) Dont 63 K€ sur les créances douteuses compromises.

(2) Dont 2 522 K€ sur les créances douteuses compromises.

 

 

Note 31. – Résultat net sur actifs immobilises.

(En milliers d’euros)

2006

2005

Immobilisations financières :

 

 

Dotations aux provisions :

 

 

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

122

91

Reprises de provisions

 

 

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

53

226

Dotation ou reprise nette aux provisions

-69

135

Sur titres d'investissement

0

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-69

135

Plus-values de cessions réalisées

 

 

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

4

53

Moins-values de cession réalisées

 

 

Sur titres d'investissement

 

 

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

15

116

Pertes sur créances liées à des titres de participation

 

 

Solde des plus et moins-values de cession

-11

-63

Sur titres d'investissement

0

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-11

-63

    Solde en perte ou en bénéfice

-80

72

Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

 

Plus-values de cession

351

3

Moins-values de cession

69

23

    Solde en perte ou en bénéfice

282

-20

        Résultat net sur actifs immobilises

202

53

 

 

Note 32. – Charges et produits exceptionnels.

La charge exceptionnelle qui s’établit à 1,2 M€, est composée pour l’essentiel des coûts relatifs aux reGroupements des GIE Informatique.

 

Note 33. – Impôt sur les bénéfices.

 

Cette rubrique reprend la charge relative à l’impôt sur les bénéfices ainsi que des provisions pour risques fiscaux.

 

Note 34. – Informations relatives aux résultats des activités bancaires.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

Le détail du résultat courant par zone géographique est présenté ci-dessous :

 

2006

 

PNB

Charges d'exploitation

Dotations, amortissements et provisions

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

156 481

-76 451

-6 444

73 586

-9 018

64 568

202

64 770

Autres pays de l'UE

4 772

-2 486

-29

2 257

191

2 448

0

2 448

    Total

161 253

-78 937

-6 473

75 843

-8 827

67 016

202

67 218

 

 

(En milliers d’euros)

 

2005

PNB

Charges d'exploitation

Dotations, amortissements et provisions

RBE

Coût du risque

Résultat d'exploitation

Résultat net sur actifs immobilisés

Résultat courant avant impôt

France (y compris DOM-TOM)

147 748

-72 871

-6 511

68 366

-10 801

57 565

53

57 618

Autres pays de l'UE

5 056

-2 430

-26

2 600

421

3 021

0

3 021

    Total

152 804

-75 301

-6 537

70 966

-10 380

60 586

53

60 639

 

 

Note 35. – Affectation des résultats.

Projet affectation du résultat :

Résultat à affecter :

43 080 648,12 €

Distribué

3 967 554,76 €

Intérêts aux parts aux Caisses locales

736 492,81 €

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

13,34 €

Rémunération des CCA

3 231 048,61 €

Conservé

39 113 093,36 €

Réserves légales

29 334 820,02 €

Autres réserves

9 778 273,34 €

 

 

Note 36. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

(En milliers d’euros)

Ernst & Young

Audit :

 

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

152

Missions accessoires

 

    Sous-total

152

Autres prestations :

 

Juridique, fiscal et social

 

Technologie de l'information

 

Audit interne

 

Autres : à préciser si > à 10% des honoraires d'audit

 

    Sous-total

 

        Total

152

(1) Y compris les prestations d'experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes.

 

 

Note 37. – Publicité.

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

 

B. — Rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels.

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 décembre 2006, sur :

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud-Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ; — la justification de nos appréciations,

— les vérifications spécifiques et les informations prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d'ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l'opinion exprimée ci-après.

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la Caisse Régionale à la fin de cet exercice.

Sans remettre en cause l'opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur les points suivants exposés dans la note 2 de l’annexe concernant :

— le changement de méthode relatif à l’application de l’avis CNC n°2006-02, à partir du 1er janvier 2006, lié à la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement ;

— le changement de méthode relatif à l'application de l'avis CNC n°2006-05, à partir du 1er janvier 2006, lié à la comptabilisation de l'imposition forfaitaire annuelle ;

— le changement de méthode relatif à l'application de l'avis CNC n°2006-12, lié aux modalités de reprise des dépréciations comptables et de neutralisation des incidences fiscales.

 

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l'article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

— Changements de méthodes comptables : Ainsi qu'il est mentionné dans la note 2 de l'annexe, des changements de méthodes comptables sont intervenus au cours de l'exercice clos le 31 décembre 2006. Dans le cadre de notre appréciation des règles et principes comptables suivis par votre Caisse Régionale, nous nous sommes assurés du bien-fondé des changements de méthodes comptables mentionnés ci-dessus et de leur présentation.

— Estimations comptables : Comme indiqué dans la note 2.1 de l’annexe, la Caisse Régionale constitue des provisions pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes, nous avons revu les processus mis en place par la direction pour identifier et évaluer les risques de non recouvrement et leur couverture par des provisions individuelles ou collectives.

Comme indiqué dans les notes 2.2, 2.3 et 14 de l'annexe, la Caisse Régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur la valorisation des titres de participation, la valorisation des titres de l’activité de portefeuille et les risques opérationnels. Nous avons revu les hypothèses retenues, la cohérence des méthodes et les évaluations qui justifient les estimations comptables retenues.

Sur la base des informations disponibles à ce jour, nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

III. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d’administration et dans les documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Toulouse, le 7 mars 2007.  

Le commissaire aux comptes : 

Ernst & Young Audit. 

 

C. — Comptes consolidés au 31 décembre 2006 arrêté par le conseil d’administration de Sud Méditerranée en date du 16 février 2007.

I. — Préambule.

Cadre réglementaire. — L'Union européenne a adopté le 19 juillet 2002 le règlement (CE n°1606/2002) imposant aux entreprises européennes dont les titres sont admis à la négociation sur un marché réglementé, de produire des comptes consolidés selon le référentiel IFRS à partir de 2005.

Ce règlement a été complété, par le règlement du 29 septembre 2003 (CE n°1725/2003) portant application des normes comptables internationales, et par le règlement du 19 novembre 2004 (CE n°2086/2004) permettant l'adoption de la norme IAS 39 dans un format amendé, ainsi que par les règlements du 29 décembre 2004 (CE n°2236/2004, 2237/2004, 2238/2004), du 4 février 2005 (CE n°211/2005), du 7 juillet 2005 (CE n°1073/2005), du 25 octobre 2005 (CE n°1751/2005), du 15 novembre 2005 (CE n°1864/2005), du 8 novembre 2005 (CE n°1910/2005), du 21 décembre 2005 (CE n°2106/2005), du 11 janvier 2006 (CE n°108/2006) et du 8 mai 2006 (CE n°708/2006).

L'ordonnance du ministère des finances du 20 décembre 2004 (n°2004/1382) permet aux entreprises d'opter pour le référentiel IAS pour établir leurs comptes consolidés à partir de 2005, même lorsqu'elles ne sont pas cotées. Cette option a été retenue pour l'ensemble des entités du Groupe Crédit Agricole.

 

Normes applicables et comparabilité. — Les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC telles qu’adoptées par l’Union européenne et applicables au 31 décembre 2006.

Celles-ci sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe au 31 décembre 2005, et complétées par les dispositions des normes et interprétations dont l’application est obligatoire pour la première fois sur l’exercice 2006. Celles-ci portent sur :

— la révision de la norme IAS 19 relative aux avantages du personnel et concernant les écarts actuariels ainsi que les régimes Groupe ;

— les révisions de la norme IAS 39 relative aux instruments financiers et concernant la couverture de flux de trésorerie au titre des transactions intra-Groupe futures, d’une part, ainsi que les conditions de l’utilisation de l’option juste valeur d’autre part ;

— les révisions de la norme IAS 39 relative aux instruments financiers et de la norme IFRS 4 relative aux contrats d’assurance et portant sur les contrats de garantie financière.

— l’interprétation IFRIC 4 qui porte sur les conditions permettant de déterminer si un accord contient une location.

L’application de ces nouvelles dispositions n’a pas eu d’impact significatif sur la période.

Par ailleurs, il est rappelé que le Groupe n’applique pas les normes, interprétations et amendements dont l’application n’est qu’optionnelle sur l’exercice.

Ceci concerne en particulier :

— la norme IFRS 7 relative aux informations à fournir sur les instruments financiers ;

— l’amendement de la norme IAS 1 relatif aux informations complémentaires à fournir sur le capital ;

— l’interprétation IFRIC 7 relative aux modalités pratiques de retraitement des états financiers selon la norme IAS 29 ;

— l’interprétation IFRIC 8 relative au champ d’application de la norme IFRS 2 ;

— l’interprétation IFRIC 9 relative à la réévaluation des dérivés incorporés.

 

Format de présentation des états financiers. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation CNC n°2004-R.03 du 27 octobre 2004.

En application du règlement CRC 2005/04 du 3 novembre 2005, et afin d'assurer la comparaison avec les états financiers 2005, les termes « provisions pour dépréciations, provisions pour risques et charges et mouvements des provisions sur risques de contrepartie » utilisés dans les présents états financiers » correspondent, respectivement aux termes « dépréciations, provisions, mouvements de dépréciation liés à un risque de contrepartie » tels que prévus dans le règlement susvisé.

 

II. –— Cadre général.

Présentation juridique de l’entité. — La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège social est situé à Perpignan, 30, rue Pierre Bretonneau. Elle est inscrite au registre de commerce et des sociétés de Perpignan sous la référence 776179335 et fait partie du Groupe Crédit Agricole au même titre que les 40 autres Caisses Régionales figurant dans l’organigramme du Groupe décrit ci-après.

 

Organigramme simplifié du Groupe Crédit Agricole.

Un Groupe bancaire d’essence mutualiste. — L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un Groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du Groupe. Leur capital social est détenu par 5,7 millions de sociétaires qui élisent quelques 34 200 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les Caisses locales détiennent la majeure partie des Caisses Régionales, sociétés coopératives à capital variable et Banques Régionales de plein exercice. La SAS Rue La Boétie reGroupe les Caisses Régionales et détient la majorité du capital de Crédit Agricole SA. La Fédération nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses Régionales.

Crédit Agricole SA en qualité d’organe central du Groupe Crédit Agricole veille, conformément aux dispositions du Code monétaire et financier (Article L.511-31 et L.511-32) à la cohésion du réseau du Groupe Crédit Agricole (tel que défini par l’article R.512-18 du Code monétaire et financier), au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le compose, au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. A ce titre, Crédit Agricole SA dispose des attributs du pouvoir et a la capacité d’intervenir pour garantir la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

 

Relations internes au Crédit Agricole.

Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole lui sont spécifiques.

— Comptes ordinaires des Caisses Régionales : Les Caisses Régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole SA, qui enregistre les mouvements de fonds correspondant aux relations financières internes au Groupe. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en : « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires » et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur établissements de crédit ».

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (emprunts obligataires, bons et comptes à terme assimilés, comptes et plans d'épargne-logement, comptes sur livrets, PEP, etc.) sont collectées par les Caisses Régionales au nom de Crédit Agricole SA Elles sont transférées à Crédit Agricole SA et figurent à ce titre à son bilan. Elles financent les avances faites aux Caisses Régionales pour leur permettre d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre réformes financières internes successives ont été mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses Régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25%, puis 33% et, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collectées et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la collecte, partagées entre les Caisses Régionales et Crédit Agricole SA, sont déterminées par l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des crédits entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole SA et la Caisse Régionale peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole SA.

Deux autres types d'avances sont à distinguer :

– les avances pour prêts bonifiés qui refinancent les prêts à taux réduits fixés par l'État : celui-ci verse à Crédit Agricole SA une bonification pour combler la différence entre le coût de la ressource et le taux des prêts ;

– les avances pour autres prêts qui refinancent, à hauteur de 50%, les prêts non bonifiés : ces avances de Crédit Agricole SA sont accordées aux Caisses Régionales sur justification de leurs engagements et ne peuvent être affectées qu'à la réalisation des prêts pour lesquels un accord préalable a été obtenu. Elles sont reversées au fur et à mesure du remboursement des prêts accordés.

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses Régionales par Crédit Agricole SA

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses Régionales : Les ressources d'origine monétaire des Caisses Régionales (dépôts à vue, dépôts à terme et certificats de dépôt négociables), peuvent être utilisées par celles-ci au financement de leurs prêts. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole SA, où ils sont enregistrés dans des comptes ordinaires ou des comptes à terme parmi les « Opérations internes au Crédit Agricole ».

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses Régionales auprès de Crédit Agricole SA : Les excédents peuvent être investis chez Crédit Agricole SA sous la forme de placements de 3 à 7 ans dont toutes les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

— Opérations en devises : Crédit Agricole SA étant leur intermédiaire auprès de la Banque de France, les Caisses Régionales s'adressent à elle pour leurs opérations de change.

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (comptes sur livrets, d'épargne-entreprise, d'épargne populaire, Codevi, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses Régionales pour le compte de Crédit Agricole SA, où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole SA les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole SA : Ceux-ci sont placés principalement par les Caisses Régionales et figurent au passif du bilan de Crédit Agricole SA, en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Dettes subordonnées ».

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole SA, la CNCA (devenue Crédit Agricole SA) a conclu en 2001 avec les Caisses Régionales un protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au Groupe Crédit Agricole. Ce protocole prévoit en particulier la constitution d’un fonds pour risques de liquidité et de solvabilité destiné à permettre à Crédit Agricole SA d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses Régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du protocole sont détaillées au chapitre III du document de référence de Crédit Agricole SA enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole SA, les Caisses Régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses Régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

Autres relations internes :

— Informations relatives aux parties liées : Les parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé au 31 décembre 2006 et aux dirigeants (cf. note 5.5). Ce dernier est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 59 Caisses locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe « La consolidation des Caisses Régionales ».

Le montant du capital détenu par les Caisses Locales est de 21 043 K€ et les comptes courants bloqués s’élèvent à 2 034 K€.

 

III. — Compte de résultat.

(En milliers d’euros.)

 

Note

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Intérêts et produits assimilés

2.1

184 292

160 679

Intérêts et charges assimilées

2.1

-105 700

-82 271

Commissions (produits)

2.2

70 990

65 913

Commissions (charges)

2.2

-7 476

-7 776

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

2.3

231

2 147

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

2.4

11 587

8 107

Produits des autres activités

2.5

7 856

7 124

Charges des autres activités

2.5

-327

-491

    Produit net bancaire

 

161 453

153 432

Charges générales d'exploitation

2.6

-80 374

-76 524

Dotations aux amortissements et aux provisions pour dépréciation des immobilisations incorporelles et corporelles

2.7

-6 464

-6 540

    Résultat brut d’exploitation

 

74 615

70 368

Coût du risque

2.8

-8 828

-10 380

    Résultat d'exploitation

 

65 787

59 988

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

2.9

263

-20

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

    Résultat avant impôt

 

66 050

59 968

Impôts sur les bénéfices

 

-21 298

-18 335

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

 

    Résultat net

 

44 752

41 633

Intérêts minoritaires

 

 

 

    Résultat net – part du Groupe

 

44 752

41 633

 

 

IV. — Bilan consolidé.

(En milliers d’euros.)

Actif

Note

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Caisse, Banques centrales, CCP

4.1

49 726

43 055

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

4.2

36 958

26 236

Instruments dérivés de couverture

4.3

2 866

4 011

Actifs financiers disponibles a la vente

4.4 – 4.6

466 824

329 607

Prêts et créances sur les établissements de crédit

4.5

120 331

188 133

Prêts et créances sur la clientèle

4.5 – 4.6

3 512 644

3 052 282

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

11 286

 

Actifs financiers détenus jusqu'a l'échéance

4.8

45 885

43 517

Actifs d'impôts courants

 

 

 

Actifs d'impôts différés (1)

4.10

8 571

16 083

Comptes de régularisation et actifs divers

4.11

71 904

77 169

Actifs non courants destines à être cédés

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

 

 

Immeubles de placement

4.12

1 287

176

Immobilisations corporelles

4.13

41 989

41 539

Immobilisations incorporelles

4.13

1 086

1 919

Ecarts d'acquisition

 

 

 

    Total de l'actif

 

4 371 357

3 823 727

(1) A compter de décembre 2006 ; les impôts différés sont enregistrés en net.

Comparativement au 31 décembre 2005, les actifs d’impôts différés nets seraient de 9 680 K€, pour un total bilan de 3 817 324 K€.

 

Passif

Notes

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Banques centrales, CCP

 

 

 

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

4.2

425

 

Instruments dérivés de couverture

4.3

9 630

1 971

Dettes envers les établissements de crédit

4.5

2 485 096

2 170 832

Dettes envers la clientèle

4.5 – 4.7

1 076 514

987 809

Dettes représentées par un titre

4.9

1 484

2 067

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

754

2 974

Passifs d'impôts courants

 

1 143

5 512

Passifs d'impôts différés (1)

4.10

 

6 403

Comptes de régularisation et passifs divers

4.11

54 242

46 445

Dettes liées aux actifs non courants destines à être cédés

 

 

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

Provisions pour risques et charges

4.14

23 648

24 907

Dettes subordonnées

4.9

29 072

29 657

Capitaux propres part du Groupe

4.15

689 349

545 150

Capital et réserves liées

 

155 884

154 664

Réserves consolidées

 

257 236

219 014

Gains ou pertes latents ou différés

 

231 477

129 840

Résultat de l'exercice

 

44 752

41 632

    Total du passif

 

4 371 357

3 823 727

(1) A compter de décembre 2006 ; les impôts différés sont enregistrés en net.

L’application de cette méthode au 31 décembre 2005 aurait entraîné une baisse du total bilan de 6 403 K€ qui s’élèverait à 3 817 324 K€.

 

 

V. — Tableau de variation des capitaux propres.

(En milliers d’euros.)


 

Capital et réserves liées

Réserves consolidées part du Groupe

 

Gains/pertes latents ou différés

Résultat net part du Groupe

 

Total des capitaux propres part du Groupe

 

Capitaux propres part des minoritaires

 

Total des capitaux propres consolidés

Capital

Primes et Réserves consolidées liées au capital

Elimination des titres auto-détenus

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponibles à la vente

Variation de juste valeur des dérivés de couverture

Capitaux propres au 1er janvier 2005

24 865

129 625

 

185 122

 

109 030

1 817

36 180

486 639

 

486 639

Augmentation de capital

174

 

 

 

 

 

 

 

174

 

174

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Affectation résultat N-1

 

 

 

33 072

 

 

 

-33 072

0

 

 

Dividendes versés en 2005

 

 

 

 

 

 

 

-3 108

-3 108

 

-3 108

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Effet des acquisitions/cessions sur les minoritaires

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de valeurs des titres disponibles à la vente (IAS 39)

 

 

 

 

 

20 810

 

 

20 810

 

20 810

Couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Résultat au 31 décembre 2005

 

 

 

 

 

 

 

41 632

41 632

 

41 632

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Autres variations

 

 

 

-997

 

 

 

 

-997

 

-997

    Capitaux propres au 31 décembre 2005

25 039

129 625

0

217 197

0

129 840

1 817

41 632

545 150

0

545 150

Augmentation de capital

1 219

 

 

 

 

 

 

 

1 219

 

1 219

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Affectation résultat N-1

 

 

 

37 929

 

 

293

-38 222

0

 

0

Dividendes versés en 2006

 

 

 

 

 

 

 

-3 410

-3 410

 

-3 410

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Effet des acquisitions/cessions sur les minoritaires

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de valeurs des titres disponibles à la vente (IAS 39)

 

 

 

 

 

101 637

 

 

101 637

 

101 637

Couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Résultat au 31 décembre 2006

 

 

 

 

 

 

 

44 752

44 752

 

44 752

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Autres variations

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

    Capitaux propres au 31 décembre 2006

26 258

129 625

0

255 126

0

231 477

2 110

44 752

689 349

0

689 349

 

 

VI. — Tableau des flux de trésorerie.

(En milliers d’euros.)

Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte.

Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse Régionale Sud Méditerranée en ce compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles.

Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « Actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans ce compartiment.

Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme.

La notion de trésorerie nette comprend la Caisse, les créances et dettes auprès des Banques centrales et CCP, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

2006

2005

Résultat avant impôts

66 050

62 000

Dotations nettes aux amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles

6 474

6 340

Dépréciation des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

0

0

Dotations nettes aux provisions

3 623

-887

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

0

0

Perte nette/gain net des activités d'investissement

-252

83

(Produits)/charges des activités de financement

1 515

2 079

Autres mouvements

-13 745

1 911

    Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

-2 385

9 526

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

130 243

253 566

Flux liés aux opérations avec la clientèle

-375 698

-261 929

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-25 354

-40 412

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

4 160

-2 653

Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence

 

 

Impôts versés

-27 432

-15 012

    Diminution/ (augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

-294 081

-66 440

        Total flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A)

-230 416

5 086

Flux liés aux participations

-2 956

-10 093

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-5 818

-6 684

    Total flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-8 774

-16 777

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires

-2 190

-2 646

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement

-2 533

-2 104

    Total flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C)

-4 723

-4 750

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

 

 

    Augmentation/ (diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A + B+ C + D)

-243 913

-16 441

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

92 721

108 465

Caisse, Banques centrales, CCP (actif et passif)

43 055

42 380

Comptes (actif et passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit

49 666

66 085

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

-151 192

92 024

Caisse, Banques centrales, CCP (actif et passif)

49 673

43 055

Comptes (actif et passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit

-200 865

48 969

    Variation de la trésorerie nette

-243 913

-16 441

 

 

VII. — Notes annexes aux états financiers.

1. – Principes et méthodes applicables dans le Groupe.

1.1. Principes et méthodes comptables :

Le traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38, 40). — Le Groupe Crédit Agricole SA applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles et incorporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des provisions pour dépréciation constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatées depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatées depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les fonds de commerce acquis. Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondant ou du potentiel des services attendus.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le Groupe Crédit Agricole SA suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

Les durées d’amortissement appliquées à la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont les suivantes :

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans

Matériel spécialisé

4 à 5 ans

 

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

Les éléments dont dispose la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

Les avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se reGroupent en quatre catégories :

— les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociales, les primes payables dans les douze mois de la clôture de l’exercice ;

— les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice ;

— les indemnités de fin de contrat de travail ;

— les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

— Engagement en matière de retraite, de préretraite et d’indemnités de fin de carrière – Régimes à prestations définies : La Caisse Régionale Sud Méditerranée couvre ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse Régionale a souscrit des assurances auprès de Predica et Adicam ; en conséquence la Caisse Régionale n’a pas la nécessité de constituer de provision en complément de cette souscription.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée n'applique pas la méthode optionnelle du corridor et impute les écarts actuariels constatés en résultat. De fait, elle a choisi de ne pas appliquer l’option ouverte par la norme IAS 19 § 93 qui consiste à comptabiliser les écarts actuariels en dehors du résultat et à les présenter dans un état des variations des capitaux propres spécifique. Par conséquent, le montant de la provision est égal à :

– la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

– diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

— Plans de retraite – Régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse Régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l’exercice écoulé.

 

Les instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers annuels 2006 selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la commission européenne le 19 novembre 2004 et complétée par les règlements (CE) n°1751/2005 du 25 octobre 2005 et n°1864/2005 du 15 novembre 2005 relatif à l’utilisation de l’option de la juste valeur. Il est toutefois précisé que le Groupe Crédit Agricole n’a pas utilisé l’option de juste valeur sur ses passifs financiers au 31 décembre 2006.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les déCaissements ou enCaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

La juste valeur est définie comme le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale. L’existence de cotations publiées sur un marché actif constitue la meilleure indication de la juste valeur des instruments financiers. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation reconnues utilisant des données de marché « observables ».

 

Les titres.

Classification des titres à l’actif. — Ceux-ci sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définis par la norme IAS 39 :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option.

— Actifs financiers disponibles à la vente.

— Placements détenus jusqu’à l’échéance

— Prêts et créances.

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat/affectation par nature ou sur option. — Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse Régionale Sud Méditerranée.

Les actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs ou passifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, permet de ne pas comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (qui sont passés directement en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat. Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de provisions pour dépréciation.

 

Placements détenus jusqu’à l’échéance. — La catégorie « Placements détenus jusqu’à l’échéance » (éligibles aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

— ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat.

— ceux que la Caisse Régionale Sud Méditerranée a désignés comme des actifs disponibles à la vente ;

— ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des placements détenus jusqu’à l’échéance.

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance (sous peine d’entraîner le déclassement de l’ensemble du portefeuille en actif disponible à la vente et d’interdire l’accès à cette catégorie pendant 2 ans).

Néanmoins des exceptions à cette règle de déclassement peuvent exister lorsque :

— la vente est proche de l’échéance (moins de 3 mois) ;

— la cession intervient après que l’entreprise ait déjà encaissé la quasi-totalité du principal de l’actif (environ 90% du principal de l’actif) ;

— la vente est justifiée par un événement externe, isolé ou imprévisible ;

— si l’entité n’escompte pas récupérer substantiellement son investissement en raison d’une détérioration de la situation de l’émetteur (auquel cas l’actif est classé dans la catégorie des actifs disponibles à la vente).

La couverture du risque de taux de ces titres n’est pas autorisée.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus. Ces titres sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti au taux d’intérêt effectif.

En cas de signe objectif de dépréciation, une provision est constatée pour la différence entre la valeur comptable et la valeur de recouvrement estimée actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine. En cas d’amélioration ultérieure, la provision excédentaire est reprise.

 

Titres du portefeuille « Prêts et créances ». — La catégorie « Prêts et créances » enregistre les actifs financiers non cotés à revenus fixes ou déterminables.

Les titres sont comptabilisés au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles provisions pour dépréciation.

En cas de signes objectifs de dépréciation, une provision doit être constatée pour la différence entre la valeur comptable et la valeur de recouvrement estimée en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine.

 

Actifs financiers disponibles à la vente. — La catégorie « Disponibles » à la vente est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut.

Selon les dispositions de la norme IAS 39, les principes de comptabilisation des titres classés en « Disponibles à la vente » sont les suivants :

— les titres disponibles à la vente sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus ;

— les intérêts courus sur les titres disponibles à la vente sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat ;

— les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables. En cas de cession, ces variations sont extournées et constatées en résultat. L’amortissement dans le temps de l’éventuelle surcote/décote des titres à revenu fixe est comptabilisée en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

— en cas de signe objectif de dépréciation, significative ou durable pour les titres de capitaux propres, et matérialisée par la survenance d’un risque de crédit pour les titres de dettes, la moins value latente initialement comptabilisée en capitaux propres est extournée et la dépréciation durable comptabilisée dans le résultat de l’exercice. En cas d’amélioration ultérieure cette dépréciation fait l’objet d’une reprise par résultat pour les instruments de dette mais pas pour les instruments de capitaux propres. En revanche, pour ces derniers, la variation de juste valeur positive en cas de reprise est comptabilisée dans un compte de capitaux propres.

 

Evaluation des titres. — La juste valeur est la méthode d’évaluation retenue pour l’ensemble des instruments financiers classés dans les catégories « Actifs financiers à la juste valeur par résultat » ou « Disponibles à la vente ».

Les prix cotés sur un marché actif constituent la méthode d’évaluation de base. A défaut, la Caisse Régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation reconnues en se référant notamment à des transactions récentes.

Lorsqu’il n’y a pas de prix coté pour un titre de capitaux propres et qu’il n’existe pas de technique de valorisation reconnue, la Caisse Régionale Sud Méditerranée retient des techniques reposant sur des indications objectives et vérifiables telles que la détermination de l’actif net réévalué ou tout autre méthode de valorisation des titres de capitaux propres.

Si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « titres disponibles à la vente ».

 

Dépréciation. — Une dépréciation est constatée en cas de signes objectifs de dépréciation des actifs autres que ceux classés en transaction.

Elle est matérialisée par une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou par l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette.

Sauf exception, la Caisse Régionale Sud Méditerranée considère qu’une baisse significative ou durable est présumée lorsque l’instrument de capitaux propres a perdu 30% au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs.

Ce critère de baisse significative ou durable de la valeur du titre est une condition nécessaire mais non suffisante pour justifier l’enregistrement d’une dépréciation. Cette dernière n’est constituée que dans la mesure où elle se traduira par une perte probable de tout ou partie du montant investi.

 

Date d’enregistrement. — Crédit Agricole SA enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans la catégorie « Titres détenus jusqu’à l’échéance ». Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

Titres au passif (IAS 32). — Un instrument de dette ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

— de remettre des liquidités ou un autre actif financier ;

— d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables.

Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

En application de ces définitions, les parts sociales émises par les Caisses Régionales et des Caisses locales sont considérées comme des capitaux propres au sens de l'IAS 32 et de l'interprétation IFRIC 2, et traitées comme telles dans les comptes consolidés du Groupe.

 

L’activité de crédit.

Les crédits sont affectés principalement à la catégorie « Prêts et créances ». Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les intérêts courus sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les avances accordées par Crédit Agricole SA aux Caisses Régionales ne présentent pas pour Crédit Agricole SA un risque direct sur les bénéficiaires des prêts à la clientèle distribués par les Caisses Régionales, mais éventuellement un risque indirect sur la solidité financière de celles-ci. A ce titre, Crédit Agricole SA n'a pas constitué de provision sur les avances aux Caisses Régionales.

En complément aux éléments d’information requis par les normes IAS, le Groupe Crédit Agricole a maintenu les informations antérieurement requises par le règlement CRC 2002-03, applicable aux comptes individuels.

Ainsi, le Groupe Crédit Agricole distingue, parmi ses créances dépréciées au sens des normes internationales, les créances douteuses compromises, les créances douteuses non compromises et les créances restructurées pour cause de défaillance du client.

 

Créances dépréciées. — Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances. Les créances ainsi identifiées font l’objet d’une dépréciation sur base individuelle ou sur base collective. Les dépréciations sont constituées à hauteur de la perte encourue, égale à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine. Les dépréciations sont enregistrées sous forme de provisions ou de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

On distingue ainsi :

— les créances dépréciées sur base individuelle : il s’agit des créances douteuses assorties de provisions et des créances restructurées pour cause de défaillance du client assorties de décotes ;

— les créances dépréciées sur base collective : il s’agit des créances non dépréciées sur base individuelle, pour lesquelles la dépréciation est déterminée par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires. Il existe deux provisions sur base collective :

– une provision collective issue du dispositif réglementaire Bâle II dont le calcul est effectué à partir d’une probabilité de défaut en fonction d’une durée moyenne et d’un taux de provisionnement observé ;

– une provision sectorielle sur le marché habitat espagnol.

Parmi les créances dépréciées sur base individuelle la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les créances douteuses, elles-mêmes réparties en créances douteuses compromises et non compromises.

 

Créances douteuses. — Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

— lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales), compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits ;

— lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

— s’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

Le classement pour une contrepartie donnée des encours en encours douteux entraîne par « contagion » un classement identique de la totalité de l’encours et des engagements relatifs à cette contrepartie, nonobstant l’existence de garantie ou caution.

Parmi les encours douteux, la Caisse Régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis :

— Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.

— Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

— Créances restructurées non douteuses :

Ce sont les créances dont l’entité a modifié les conditions financières initiales (taux d’intérêt, durée) du fait d’un risque de contrepartie, tout en reclassant l’encours en créances non douteuses. Le montant des créances restructurées au 31 décembre 2006 pour la Caisse Régionale Sud Méditerranée n’est pas significatif, ainsi il n’a pas été comptabilisé de décotes.

— Provisionnement du risque de crédit sur base individuelle : Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse Régionale Sud Méditerranée par voie de provision. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée constitue les provisions correspondant, en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours douteux et douteux compromis.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

— Traitement des dépréciations : Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrite dans la marge d’intérêts

— Provisionnement du risque de crédit sur base collective : Les séries statistiques et historiques des défaillances clientèle du Groupe, démontrent l’existence de risques avérés de non recouvrement partiel sur les encours non classés en douteux. Afin de couvrir ces risques par nature non individualisés, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constaté à l’actif de son bilan, selon des modèles élaborés à partir de ces séries statistiques, diverses provisions sur bases collectives telles que les provisions sectorielles, les provisions sur encours sensibles (encours sous surveillance), ces dernières étant calculées à partir des modèles Bâle II.

Dans le cadre du projet Bâle II, la direction des risques de Caisse Régionale Sud Méditerranée détermine, à partir d’outils et de bases statistiques, un montant de pertes attendues à horizon d’un an.

Le montant de la provision est obtenu par l’application au montant de pertes attendues d’un coefficient correcteur, reflet du jugement expérimenté de la direction, destiné à prendre en compte divers paramètres absents des modèles Bâle II, tels que l’extension au-delà d’un an de l’horizon de pertes attendu, ainsi que divers facteurs économiques, conjoncturels ou autres.

Par ailleurs, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des provisions sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les provisions sectorielles. Ces dernières visent à couvrir des risques estimés sur une base sectorielle pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel et portent sur le marché habitat espagnol..

 

Les Intérêts pris en charge par l’état (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur Agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du Groupe Crédit Agricole SA accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'État. En conséquence, ces entités perçoivent de l’État une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'État.

Les bonifications perçues de l’État sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

Les passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union Européenne reconnaît deux catégories de passifs financiers :

— Les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables. Il est toutefois précisé que le Groupe Crédit Agricole n’utilise pas l’option de juste valeur sur ses passifs financiers.

— Les autres passifs financiers : cette catégorie reGroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

Les produits de la collecte. — Compte tenu des caractéristiques des produits de collecte dans le Groupe Crédit Agricole SA, ils sont comptabilisés dans la catégorie des « Autres passifs ».

L’évaluation initiale est donc faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée au paragraphe 4.14.

 

Les instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est un compte de résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

— La comptabilité de couverture : La couverture de juste valeur a pour objet de réduire le risque de variation de juste valeur d’un instrument financier.

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de réduire le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers.

Dans le cadre d’une intention de gestion de micro-couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

– éligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

– documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

– démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement.

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

– couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé est inscrite en résultat symétriquement à la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert et il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

– couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de capitaux propres recyclables pour la partie efficace et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les intérêts courus du dérivé sont enregistrés en résultat symétriquement aux opérations couvertes.

Dans le cadre d’une intention de gestion de macro-couverture (c’est à dire la couverture d’un Groupe d’actifs ou de passifs présentant la même exposition aux risques désignée comme étant couverte), le Groupe documente ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité des relations de macro-couverture se fait par le biais d’échéanciers. Par ailleurs, la mesure de l’efficacité des relations de couverture doit se faire au travers de tests prospectifs et rétrospectifs.

Suivant qu’une relation de macro-couverture de flux de trésorerie ou de juste valeur a été documentée, l’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait selon les mêmes principes que ceux décrits précédemment dans le cadre de la micro-couverture. Toutefois, le Groupe Crédit Agricole SA privilégie pour les relations de macro-couverture, une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée par l’Union européenne.

— Dérivés incorporés : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les 3 conditions suivantes sont remplies :

— le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

— séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

— les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

Les garanties financières et engagements de financement. — Un contrat de garantie financière est un contrat qui impose à l’émetteur d’effectuer des paiements spécifiés pour rembourser le titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance aux termes de l’instrument d’emprunt initiaux ou modifiés.

Les contrats de garantie financière sont évalués initialement à la juste valeur puis ultérieurement au montant le plus élevé de :

— celui déterminé conformément aux dispositions de la norme IAS 37 « provisions, passifs éventuels et actifs éventuels », ou

— le montant initialement comptabilisé, diminué le cas échéant des amortissements comptabilisés selon la norme IAS 18 « Produits des activités ordinaires ».

 

Décomptabilisation des instruments financiers. — Un actif financier (ou Groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

— lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration, sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires finaux, et

— lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier sont transférés.

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication dans cet actif.

 

Les impôts différés (IAS 12). — Un passif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d'impôt différé est généré par :

— la comptabilisation initiale du goodwill ;

— la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui :

– n'est pas un reGroupement d'entreprises ; et

– n'affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

Un actif d'impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d'un actif ou d'un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est probable qu'un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible, à moins que l'actif d'impôt différé ne soit généré par la comptabilisation initiale d'un actif ou d'un passif dans une transaction qui :

— n'est pas un reGroupement d'entreprises ; et

— au moment de la transaction, n'affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale).

Un actif d'impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d'impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l'on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d'impôt non utilisés pourront être imputés.

Les taux d’imposition utilisés pour l’évaluation sont ceux dont l’application est attendue lors de la réalisation de l’actif ou du règlement du passif, dans la mesure où ces taux ont été adoptés ou quasi adoptés à la date de clôture.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

Les plus-values latentes sur OPCVM, dans la mesure où elles sont taxables, ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l’actif et la base fiscale.

Les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007. Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l’exercice ne génèrent-elles pas non plus de différences temporelles devant donner lieu à constatation d’impôts différés à l’exception de la quote-part de 5% de frais et charges taxées au taux normal.

L'impôt différé est comptabilisé dans le résultat net de l'exercice sauf dans la mesure où l'impôt est généré :

— soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres;

— soit par un reGroupement d'entreprises.

Les actifs et passifs d'impôt différés sont compensés si, et seulement si :

— l'entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d'impôt exigible ; et

— les actifs et passifs d'impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale :

– soit sur la même entité imposable ;

– soit sur des entités imposables différentes qui ont l'intention, soit de régler les passifs et actifs d'impôt exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s'attend à ce que des montants importants d'actifs ou de passifs d'impôt différés soient réglés ou récupérés.

 

Les provisions pour risques et charges (IAS 37,19). — La Caisse Régionale Sud Méditerranée a identifié l’ensemble de ses obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un évènement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable.

Au titre de ces obligations, la Caisse Régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions pour risques et charges qui couvrent notamment :

— les risques opérationnels ;

— les engagements sociaux ;

— les risques d’exécution des engagements par signature ;

— les litiges et garanties de passif ;

— les risques fiscaux ;

— les risques liés à l’épargne logement.

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— Le comportement modélisé des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période ;

— La courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

Les modalités de calcul de cette provision mise en oeuvre par le Groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec l’avis CNC n°2006-02 du 31 mars 2006 sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement.

Des informations détaillées sont fournies au point 4.14.

 

Les contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ;

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ;

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

– l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et des intérêts courus à la clôture de l’exercice ;

– la valeur nette comptable des immobilisations louées ;

– la provision pour impôts différés.

Dans les comptes du locataire, les contrats de crédit-bail et de location avec option d’achat font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit.

Dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

 

Les opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du Groupe Crédit Agricole SA Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

— les écarts de change sur les éléments monétaires désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

Les traitements relatifs aux actifs non monétaires diffèrent selon la nature de ces actifs :

— les actifs au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

— les actifs à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

1.2. Les principes et méthodes de consolidation (IAS 27, 28, 31) :

— Périmètre de consolidation : Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, la Caisse Régionale Sud Méditerranée dispose d’un pouvoir de contrôle, qui figurent à ce titre dans le périmètre de consolidation de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et qui ont un impact significatif sur les comptes consolidés de l’ensemble.

En application de ces principes généraux, tels que définis par les normes IAS 27, IAS 28 (participations dans les entreprises associées) et IAS 31 (participations dans les coentreprises), le caractère significatif de cet impact peut notamment être apprécié au travers de divers critères tels que l’importance du résultat ou des capitaux propres de la société à consolider par rapport au résultat ou aux capitaux propres de l’ensemble consolidé.

En particulier, le caractère significatif d’une société est présumé lorsqu’elle satisfait aux conditions suivantes :

– le total du bilan est supérieur à 10 M€ ou excède 1% du total de bilan de la filiale consolidée qui détient ses titres ;

– la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20% de ses droits de vote existants et potentiels.

Le périmètre de consolidation au 31 décembre 2006 est composé de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des 59 Caisses locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe suivant : « La consolidation des Caisses Régionales »

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

 

Pays d'implantation 

Méthode de consolidation au 31 décembre 2006 

% de contrôle et d'intérêt

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Caisse locale à vocation départementale des PO

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Argeles -Saint-André

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Bages – Sud Reart

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Baixas – Peyrestortes – Calce

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Banyuls-sur-Mer

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Bompas

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Cerdagne Capcir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Cabestany

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Canet - Sainte Marie

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Canohes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Caramany - Belesta - Trevillac

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Porte-du-Vallespir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Collioure - Port Vendres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Plaine du Tech

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Espira - Cases de Pêne

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Moyen Agly

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Ille-sur-Tet

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Bassin de l'Agly

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Maury - Lesquerde

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Millas

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Perpignan

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Pezilla - Corneilla

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de PIA

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Pollestres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale des Aspres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Prades

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Rivesaltes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saint-Cyprien

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale du Riberal

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saint Feliu d'Avall

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale des Alberes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale d’Agly Salanque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saint Nazaire

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale des Fenouilledes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saleilles

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Salses - Opoul

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Le Soler

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Verdouble

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Thuir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Toulouges

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Villelongue Sque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Vinca - Tarerach - Sournia

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale d’Arles-sur-Tech

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale d'Ax-les-Thermes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de La Bastide de Serou

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Castillon

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Foix

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Lavelanet

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Lezat

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale du Mas d’Azil

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Mirepoix

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Pamiers

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Querigut

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Sainte Croix Volvestre

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saint Girons

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saverdun

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Tarascon

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Varilhes

France

Intégration Globale

100

100

 

 

La consolidation des Caisses Régionales. — Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des Groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le Groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses Régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office national du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole SA, dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole SA, les Caisses Régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du Groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la Caisse Régionale Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le Groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle Régionale est constituée de la Caisse Régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes consolidés sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

 

Les notions de contrôle. — Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque la Caisse Régionale Sud Méditerranée détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote d’une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse Régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20% ou plus des droits de vote dans une entité.

— Les exclusions du périmètre de consolidation : Une entité contrôlée ou sous influence notable est exclue du périmètre de consolidation lorsque dès son acquisition, les titres de cette entité sont détenus uniquement en vue d'une cession ultérieure à brève échéance. Ces titres sont comptabilisés dans la catégorie des actifs destinés à être cédés. Ceux-ci sont évalués à la juste valeur par résultat.

Les participations minoritaires détenues par des entités de capital-risque sont également exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option.

 

Les méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature de contrôle exercée par la Caisse Régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale.

— l’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée

— l’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse Régionale Sud Méditerranée

— la mise en équivalence, pour les entités sous influence

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des intérêts minoritaires dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés.

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote‑part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

 

Retraitements et éliminations. — Les retraitements significatifs nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé.

Les plus ou moins‑values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées. Toutefois, les moins‑values obtenues sur la base d’un prix de référence externe sont maintenues.

 

1.3. Jugements et estimations utilisés dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers au 31 décembre 2006 exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quand à leur réalisation dans le futur.

Les résultats réels peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux ;

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

— les modifications de la réglementation ou de la législation ;

Cette liste n’est pas exhaustive.

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

 

Instruments financiers évalués à leur juste valeur. — Pour la plupart des instruments négociés de gré à gré, l’évaluation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux basées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté. Pour l’évaluation d’autres instruments financiers, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs de trésorerie qui sera retenue.

Il arrive cependant que des marges constatées à l’origine sur certains produits structurés et instruments financiers complexes soient établies à partir de modèles internes utilisant des données de marché non « observables ». Dans ce cas particulier, les marges sont constatées au bilan et reprises en résultat par étalement, puis, lorsque les données deviennent observables et que les modèles se standardisent, la marge résiduelle est constatée en résultat.

 

Régimes de retraites et autres avantages sociaux futurs. — Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs.

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

 

Les dépréciations durables. — Les titres de capitaux propres en portefeuilles (autres que ceux de transaction) font l’objet d’une dépréciation en cas de baisse durable ou significative de la valeur du titre. En général, une baisse significative et durable est présumée lorsque l’instrument a perdu 30% au moins de sa valeur sur une période de six mois consécutifs. Cependant, la direction peut être amenée à prendre en considération d’autres facteurs (types de placement, situation financière de l’émetteur, perspectives à court terme) qui peuvent soit évoluer, soit se révéler inexacts lors des exercices ultérieurs.

 

Provisions pour créances irrécouvrables. — La valeur du poste « Prêts et créances » est ajustée par une provision relative aux créances dépréciées lorsque le risque de non recouvrement de ces créances est avéré.

L’évaluation de cette provision sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la provision.

Une provision collective sur encours sain est également dotée. L’évaluation de cette provision fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la direction.

 

Provisions pour risques et charges. — L’évaluation d’autres provisions pour risques et charges peuvent également faire l’objet d’estimations :

— La provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la direction.

— Les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la direction, compte tenu des éléments en sa possession au 31 décembre 2006 ;

— Les provisions épargne-logement qui utilisent des hypothèses d’évolution des comportements des clients, fondées sur des observations historiques et susceptibles de ne pas décrire la réalité des évolutions futures de ces comportements.

 

Constatation d’actif d’impôt différé. — Un actif d’impôt différé est comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles à condition que soit jugée probable la disponibilité future d’un bénéfice imposable sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées.

 

1.4. Périmètre de consolidation. — Le périmètre de consolidation au 31 décembre 2006 est présenté de façon détaillée à la note annexe 1.2, il reste inchangé par rapport au 31 décembre 2005.

 

Les participations non consolidées :

 

(En milliers d’euros)

 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Valeur au bilan

% de capital détenu par le Groupe

Valeur au bilan

% de capital détenu par le Groupe

Titres de participation non consolidés (détail) :

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

SCI Château de Castelnou

685

98,6

735

98,61

Autres titres de participations

 

 

 

 

SAS Rue la Boétie

358 629

1,32

254 424

1,32

SA Sofilaro

1 289

20,59

1 338

20,39

GF de Font Moreau

570

24,11

572

24,11

SAS Sacam Développement

10 719

1,35

10 806

1,35

SAS Sacam Fireca

582

1,18

603

1,18

SNC CA Titres

398

0,69

398

0,69

SAS Sacam International

11 893

1,69

 

 

Autres titres de participation (ensemble)

4 568

 

4 360

 

    Valeur au bilan des titres de participation non consolidés (1)

389 333

 

273 236

 

(1) Dont 2 232 K € comptabilisés en résultat au titre de la dépréciation durable.

 

 

1.5. La gestion financière, l’exposition aux risques et politique de couverture. — La Caisse Régionale de Sud Méditerranée met en oeuvre des processus et dispositifs de mesure, de surveillance et de maîtrise de ses risques mesurables (risques de contrepartie, de marché, de placement et d’investissement, de taux d’intérêt global, de liquidité, opérationnels) adaptés à ses activités, ses moyens et à son organisation et intégrés au dispositif de contrôle interne. Les principaux facteurs de risques auxquels est exposé la Caisse Régionale de Sud Méditerranée, à savoir les dossiers succursale Espagne, filières Agricoles et plus précisément viticulture, filière Promotion Immobilière, risques de contreparties, sont clairement identifiés. En outre, les principales expositions en matière de risques de crédit peuvent bénéficier d’un mécanisme de contre-garantie interne au Groupe.

Pour chaque facteur de risque mentionné ci-dessus, la Caisse Régionale de Sud Méditerranée a défini de façon précise les limites et procédures lui permettant d’encadrer a priori, de mesurer et de maîtriser les risques.

Ainsi, pour chacun des facteurs de risque identifié, il existe un dispositif de limites qui comporte :

— des limites globales, formalisées sous la forme de Politique Risque, de règles de division des risques. Ces limites, établies en référence aux fonds propres et autres ratios de la Caisse Régionale de Sud Méditerranée ont été validées par l’organe exécutif et présentées à l’organe délibérant ;

— des limites opérationnelles (contreparties/Groupe de contreparties, tables, opérateurs) cohérentes avec les précédentes, accordées dans le cadre de procédures strictes : décisions sur la base d’analyses formalisées, notations, délégations, double regard (double lecture et double signature) lorsqu’elles atteignent des montants ou des niveaux de risque le justifiant.

La Caisse Régionale de Sud Méditerranée mesure ses risques de manière exhaustive et précise, c’est-à-dire en intégrant l’ensemble des catégories d’engagements (bilan, hors-bilan) et des positions, en consolidant les engagements sur les sociétés appartenant à un même Groupe, en agrégeant l’ensemble des portefeuilles et en distinguant les niveaux de risques.

Ces mesures sont complétées d’une évaluation régulière basée sur des « scénarios catastrophes », appliqués aux expositions réelles et aux limites.

Les méthodologies de mesure sont documentées et justifiées. Elles sont soumises à un réexamen périodique afin de vérifier leur pertinence et leur adaptation aux risques encourus.

 

 

La Caisse Régionale de Sud Méditerranée assure la maîtrise des risques engagés. Cette surveillance passe par un suivi permanent du fonctionnement des comptes, des dépassements de limites et de leur régularisation, par une revue régulière des principaux risques et portefeuilles, portant en particulier sur les « affaires sensibles », et par une révision au moins annuelle de tous les autres. La correcte classification des créances fait l’objet d’un examen trimestriel au regard de la réglementation en vigueur (créances douteuses notamment). L’adéquation du niveau de provisionnement aux niveaux de risques est mesurée à intervalles réguliers par le Comité des risques.

1.5.1. Risque de crédit et contrepartie : Le risque de crédit et de contrepartie désigne la possibilité de subir une perte si un emprunteur, un garant ou une contrepartie ne respecte pas son obligation de rembourser un prêt ou de s’acquitter de toute obligation financière

La fonction risques est rattachée à la direction finances et risques de la Caisse Régionale. Elle est décentralisée en agence et dans les directions de marchés de proximité qui constituent le premier niveau de recouvrement amiable.

Le dispositif de surveillance est organisé autour d’un Comité des risques, composé de la direction générale, du directeur des finances et des risques, du directeur du marche des professionnels et des entreprises, du responsable du département risques et juridique et du responsable de contrôle Interne qui se réunit mensuellement. Il a pour objet:

— la révision régulière du portefeuille des dossiers contentieux importants ;

— la révision régulière des principaux dossiers (sains ou CDL) par secteur d’activité ;

— la définition de la conduite à tenir sur la gestion de l’ensemble de ces dossiers ;

— la prise de décision sur les dossiers marchands de biens importants ;

— la validation des dotations et reprises de provisions pour les arrêtés semestriels ;

— la décision de passage en pertes des dossiers de crédit ;

— la validation mensuelle des décisions « Risques » prises par les délégataires (passage à pertes, provisionnement, mise à prix) ;

— l’analyse trimestrielle approfondie de la situation globale de la Caisse Régionale au regard du risque crédit.

En tant qu’établissement de crédit soumis à la loi bancaire, la Caisse Régionale Sud Méditerranée assume la responsabilité des opérations qu’elle initie. Toutefois au titre de ses missions d’organe central du réseau, Crédit Agricole SA garantit la liquidité et la solvabilité des Caisses Régionales.

Ainsi, dans le cas de risques importants dépassant des limites contractualisées une Caisse Régionale, présente ses dossiers à Foncaris, établissement de crédit filiale à 100% de Crédit Agricole SA

Après examen, au sein d’un comité ad hoc, Foncaris peut décider de garantir la Caisse Régionale (en général à 50%).

La Caisse Régionale détermine pour une période de 6 ans le seuil d’éligibilité de ses engagements à la couverture de Foncaris.

En cas de défaut effectif, la Caisse Régionale est indemnisée à hauteur de 50% de sa perte résiduelle après mise en jeu des sûretés et épuisements de tous les recours.

Les tableaux ci-dessous présentent l’exposition des prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle ainsi que les dettes clientèle selon diverses concentrations de risques.

 

Concentrations par agents économiques :

— Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

Encours bruts

Dont encours douteux

Provisions/Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provisions/Encours douteux compromis

Total

État, administrations et collectivités publiques

480 267

2 805

2 805

 

 

477 462

Agriculteurs

295 726

12 112

5 661

5 833

2 899

290 065

Institutions financières

178 368

 

 

 

 

178 368

Particuliers et professionnels

2 300 079

50 262

37 271

28 215

24 904

2 262 808

Entreprises (y compris les assurances) et autres agents économiques

450 207

26 601

17 910

14 246

10 978

432 297

Non ventilé

 

 

 

 

 

0

    Total

3 704 647

91 780

63 647

48 294

38 781

3 641 000

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

23 949

Provisions collectives

 

 

 

 

 

-31 974

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 632 975

 

 

(En milliers d’euros)

31 décembre 2005

Encours bruts

Dont encours douteux

Provisions/Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provisions/Encours douteux compromis

Total

État, administrations et collectivités publiques

445 243

2 848

2 812

 

 

442 431

Agriculteurs

282 895

13 599

6 928

7 827

4 026

275 967

Institutions financières

186 556

 

 

 

 

186 556

Particuliers et professionnels

1 945 388

45 279

41 704

36 146

26 833

2 186 579

Entreprises (y compris les assurances) et autres agents économiques

447 923

26 450

19 201

13 330

11 129

428 722

Non ventilé

 

 

 

 

 

0

    Total

3 308 005

88 176

63 717

49 476

37 962

3 244 288

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

21 805

Provisions collectives

 

 

 

 

 

-25 678

     Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 240 415

 

 

— Dettes envers la clientèle – Ventilation par agent économique :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

État, administrations et collectivités publiques

8 660

3 118

Agriculteur

75 316

68 445

Institutions financières

2 276

165

Particuliers et professionnels

689 124

681 460

Entreprises (y compris les assurances) et autres agents économiques

299 719

233 595

Non ventilé

 

 

    Total

1 075 095

986 783

Dettes rattachées

1 419

1 026

    Valeur au bilan

1 076 514

987 809

 

 

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par agent économique :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

État, administrations et collectivités publiques

74 162

 

Agriculteurs

28 702

 

Institutions financières

4

 

Particuliers et professionnels

282 740

 

Entreprises (y compris les assurances) et autres agents économiques

72 969

 

Non ventilé

 

427 038

     Total

458 577

427 038

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

État, administrations et collectivités publiques

 

 

Agriculteurs

19 025

 

Institutions financières

2 695

 

Particuliers et professionnels

22 608

 

Entreprises (y compris les assurances) et autres agents économiques

56 813

 

Non ventilé

 

92 357

    Total

101 141

92 357

 

 

Au 31 décembre 2005, ventilation non disponible/système d’information.

 

Concentrations par zone géographique :

— Prêts et créances sur les établissements de crédit et sur la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

Encours bruts

Dont encours douteux

Provisions/Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provisions/Encours douteux compromis

Total

France (y compris DOM-TOM)

3 268 458

85 877

59 614

44 764

35 251

3 208 844

Autres pays de l'UE

430 314

5 795

3 954

3 455

3 455

426 360

Autres pays d'Europe

2 309

68

61

61

61

2 248

Amérique du Nord

1 824

1

1

1

1

1 823

Amériques Centrale et du Sud

478

 

 

 

 

478

Afrique et Moyen Orient

1 088

39

17

13

13

1 071

Asie et Océanie (hors Japon)

176

 

 

 

 

176

Japon

 

 

 

 

 

0

Non ventilé

 

 

 

 

 

0

    Total

3 704 647

91 780

63 647

48 294

38 781

3 641 000

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

23 949

Provisions collectives

 

 

 

 

 

31 974

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 632 975

 

 

(En milliers d’euros)

31 décembre 2005

Encours bruts

Dont encours douteux

Provisions/Encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provisions/Encours douteux compromis

Total

France (y compris DOM-TOM)

2 951 148

82 829

61 854

46 033

36 227

2 889 294

Autres pays de l'UE

349 143

5 347

1 863

3 443

1 735

347 280

Autres pays d'Europe

7 714

 

 

 

 

7 714

Amérique du Nord

 

 

 

 

 

0

Amériques Centrale et du Sud

 

 

 

 

 

0

Afrique et Moyen Orient

 

 

 

 

 

0

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

0

Japon

 

 

 

 

 

0

Non ventilé

 

 

 

 

 

0

    Total

3 308 005

88 176

63 717

49 476

37 962

3 244 288

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

21 805

Provisions collectives

 

 

 

 

 

25 678

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 240 415

 

 

— Dettes envers la clientèle par zone géographique :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

France (y compris DOM-TOM)

1 056 621

986 783

Autres pays de l'UE

14 287

 

Autres pays d'Europe

1 879

 

Amérique du Nord

1 009

 

Amériques Centrale et du Sud

187

 

Afrique et Moyen Orient

1 019

 

Asie et Océanie (hors Japon)

87

 

Japon

6

 

Non ventilé

 

 

    Total

1 075 095

986 783

Dettes rattachées

1 419

1 026

    Valeur au bilan

1 076 514

987 809

 

 

Au 31 décembre 2005, ventilation non disponible/système d’information.

— Engagements donnés en faveur de la clientèle par zone géographique :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Engagements de financement en faveur de la clientèle :

 

 

France (y compris DOM-TOM)

455 743

 

Autres pays de l'UE

2 441

 

Autres pays d'Europe

96

 

Amérique du Nord

241

 

Amériques Centrale et du Sud

7

 

Afrique et Moyen Orient

41

 

Asie et Océanie (hors Japon)

7

 

Japon

1

 

Non ventilé

 

427 038

    Total

458 577

427 038

Engagements de garantie en faveur de la clientèle :

 

 

France (y compris DOM-TOM)

100 716

 

Autres pays de l'UE

424

 

Autres pays d'Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amériques Centrale et du Sud

 

 

Afrique et Moyen Orient

1

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Japon

 

 

Non ventilé

 

92 357

    Total

101 141

92 357

 

 

Au 31 décembre 2005, ventilation non disponible/système d’information

— Opérations sur Instruments financiers à terme – Risque de contrepartie : Les opérations sur instruments financiers sont réalisées pour l’essentiel avec Crédit Agricole SA.

1.5.2. Risque de marchés : Le risque de marchés représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marchés notamment : les taux d’intérêts, les taux de change, le cours des actions, le prix des matières premières, ainsi que de leur volatilité implicite.

La politique générale d’intervention sur les marchés financiers de la Caisse Régionale, approuvée par le conseil d’administration, sur proposition de la direction Générale, définit les objectifs de contribution de l’activité à la performance globale de l’entreprise et autorise un niveau de risque associé.

Les orientations majeures adoptées dans le cadre de cette politique générale d’intervention sont :

— Contribuer de manière progressive aux résultats ;

— Pérenniser et optimiser le PNB des exercices futurs ;

— Préserver la valeur patrimoniale des actifs gérés.

Ces orientations stratégiques, définies par la direction Générale, sont les paramètres initiaux de la modélisation statistique « Value at Risk » qui permet de présenter une allocation cible annuelle des portefeuilles de titres de la Caisse Régionale.

Pour maintenir une volatilité estimée des excédents du compartiment Fonds Propres proche de 3,5%, la Caisse Régionale s’autorise une exposition en risque « actions » comprise entre 15 et 25% maximum. Elle dispose d’un portefeuille de titres d’investissement et d’un portefeuille de titres de placements, mais ne s’autorise pas la détention de titres de transactions. Elle recourt à des produits structurés dans le but de diminuer la volatilité des sous-jacents investis (ex : TCN indexés actions/protection du capital).

Les opérations traitées sont exécutées dans le cadre strict des décisions du Comité financier. Elles sont soumises à la signature exclusive de la direction générale ou du directeur financier.

La valorisation du portefeuille, effectuée à la trésorerie mensuellement, s’opère en 2 étapes :

— L’ensemble des valeurs liquidatives des titres détenus est imprimé à partir des supports d’information mis à disposition par les contreparties (WEB, fax, mail). Les titres qui le permettent (TCN indexés) font l’objet d’une cotation en interne afin d’effectuer un contrôle de cohérence.

— La valorisation du portefeuille est ensuite communiquée, les valeurs liquidatives sont archivées et restent à la disposition des différents niveaux de contrôle.

Les services comptables enregistrent les éventuelles variations de valeur de marché.

La Caisse Régionale s’est dotée de limites de moins values sur son portefeuille de titres de placement :

— Limite globale de moins value nette de 2% des Fonds Propres.

— Limite par nature de placement de 20% de la valeur de souscription.

Dans le cas où la valorisation du portefeuille concerné approcherait ces limites, le Comité Financier adopte les mesures nécessaires pour assurer le respect de ces limites (couverture du risque, activation d’un stop-loss)

1.5.3. Risques de taux : Le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financiers du fait de l’évolution des taux d’intérêt.

— Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d’euros)

 

 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

EUR

 

28 606

 

 

29 209

 

Taux fixe

 

28 606

 

 

29 209

 

Taux variable

 

 

 

 

 

 

    Total

 

28 606

 

 

29 209

 

Taux fixe

 

28 606

 

 

29 209

 

Taux variable

 

 

 

 

 

 

 

 

(Total en principal, hors dettes rattachées non ventilables).

 

Opérations sur instruments financiers à terme : Analyse par durée résiduelle :

— Instruments dérivés de couverture – Juste valeur actif :

(En milliers d’euros)

 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché

 

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

1 294

899

673

2 866

4 011

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

1 294

899

673

2 866

4 011

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

0

0

0

1 294

899

673

2 866

4 011

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

0

0

0

1 294

899

673

2 866

4 011

 

 

Instruments dérivés de transaction – Juste valeur actif :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

 

Total en valeur de marché

 

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

317

474

791

1 480

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

317

474

791

1 480

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

0

0

0

0

317

474

791

1 480

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

317

474

791

1 480

 

 

— Instruments dérivés de couverture – Juste valeur passif :

(En milliers d’euros) 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché 

Total en valeur de marché 

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

23

4 977

4 630

9 630

1 971

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

23

4 977

4 630

9 630

1 971

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

     Sous total

0

0

0

23

4 977

4 630

9 630

1 971

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

0

0

0

23

4 977

4 630

9 630

1 971

 

 

— Instruments dérivés de transaction – Juste valeur passif :

 

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

 

Total en valeur de marché 

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

12

413

425

0

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

 

413

413

0

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

12

 

12

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

0

0

0

0

12

413

425

0

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

12

413

425

0

 

 

Opérations sur instruments financiers à terme : Montant des engagements :

 (En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Total encours notionnel

Total encours notionnel

Instruments de taux d'intérêt :

945 432

741 785

Futures

 

 

FRA

 

 

Swaps de taux d'intérêts

936 222

741 785

Options de taux

 

 

Caps-floors-collars

9 210

 

Autres instruments conditionnels

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

Opérations fermes de change

 

 

Options de change

 

 

Autres instruments :

89 108

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

Dérivés de crédits

89 108

 

Autres

 

 

    Sous total

1 034 540

741 785

Opérations de change à terme

8 159

3 664

    Valeurs nettes au bilan

1 042 699

745 449

 

 

Les montants indiqués correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses ou au cumul des achats ou ventes de contrats.

NB : Les montants ventilés sont établis à partir des engagements notionnels sur instruments financiers à terme.

1.5.4. Risque de change : La contribution des différentes devises au bilan consolidé s’établit comme suit :

 (En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Actif

Passif

Actif

Passif

EUR

4 363 785

4 363 783

3 814 510

3 814 510

Autres devises de l'UE

7 547

7 548

7 752

7 752

USD

25

26

1 465

1 465

JPY

 

 

 

 

Autres devises

 

 

 

 

    Total bilan

4 371 357

4 371 357

3 823 727

3 823 727

 

 

1.5.5. Risque de prix : Le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions.

Sont notamment soumis à ce risque : les titres à revenu variable, les dérives actions et les instruments dérivés sur matières premières.

Dans le cadre de sa politique générale de risque de marché, la Caisse Régionale mesure sa perte probable de PNB à l’intérieur d’un scénario catastrophe selon des hypothèses émises par le Groupe.

En outre, les allocations de portefeuilles « titres » sont établies à partir du modèle statistique « Value at Risk » qui définit, en fonction de l’exposition choisie sur chaque classe d’actifs, la distribution des couples rendement-risque. Le modèle peut ainsi indiquer la perte maximale que peut générer le portefeuille pour un intervalle de confiance donné

1.5.6. Risque de liquidité et de financement : Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement.

La Caisse Régionale Sud Méditerranée en tant qu’établissement de crédit respecte les exigences en matière de liquidité définies par les textes suivants :

— Le règlement CRBF n°88-01 du 22 février 1988 relatif à la liquidité ;

— L’instruction de la Commission bancaire n°88-03 du 22 avril 1988 relative à la liquidité ;

— L’instruction de la Commission bancaire n°89-03 du 20 avril 1989 relative aux conditions de prise en compte des accords de refinancement dans le calcul de la liquidité.

Le risque de liquidité fait, au sein de la Caisse Régionale, l’objet d’un double contrôle.

Un premier contrôle s’exerce mensuellement dans des traitements BAFI, par la déclaration réglementaire RL qui mesure le ratio de liquidité à 1 mois. Le Groupe préconise le pilotage du ratio en Caisse Régionale autour de 130%, pour un niveau de sécurité satisfaisant par rapport à la limite de 100% autorisée.

Le second contrôle, est une mesure du ratio de liquidité à moyen et long terme, publié par Crédit Agricole SA pour chaque Caisse Régionale.

— Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 (En milliers d’euros)

31 décembre 2006

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (dont opérations internes au Crédit Agricole)

18 436

6 983

78 366

14 055

117 840

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont Crédit bail)

322 209

433 938

1 075 191

1 755 469

3 586 807

    Total

340 645

440 921

1 153 557

1 769 524

3 704 647

Créances rattachées

 

 

 

 

33 009

Provisions

 

 

 

 

-104 681

     Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

3 632 975

 

 (En milliers d’euros)

31 décembre 2005

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (dont opérations internes au Crédit Agricole)

55 787

6 536

78 989

44 294

185 606

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont Crédit bail)

316 903

316 338

1 037 326

1 451 832

3 122 399

    Total

372 690

322 874

1 116 315

1 496 126

3 308 005

Créances rattachées

 

 

 

 

30 718

Provisions

 

 

 

 

98 308

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

3 240 415

 

 

— Dettes des établissements de crédit et de la clientèle par durée résiduelle :

 (En milliers d’euros)

31 décembre 2006

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (dont opérations internes au Crédit Agricole)

564 293

581 392

762 607

569 715

2 478 007

Dettes envers la clientèle

1 047 127

22 358

5 088

522

1 075 095

    Total

1 611 420

603 750

767 695

570 237

3 553 102

Dettes rattachées

 

 

 

 

8 508

     Valeur au bilan

 

 

 

 

3 561 610

 

 (En milliers d’euros)

31 décembre 2005

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (dont opérations internes au Crédit Agricole)

371 433

646 913

688 901

457 833

2 165 080

Dettes envers la clientèle

976 515

3 022

6 808

438

986 783

    Total

1 347 948

649 935

695 709

458 271

3 151 863

Dettes rattachées

 

 

 

 

6 778

    Valeur au bilan

 

 

 

 

3 158 641

 

 

— Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 (En milliers d’euros)

31 décembre 2006

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

Bons de Caisse

1 473

 

 

 

1 473

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

 

 

 

 

 

Émis en France

 

 

 

 

 

Émis à l'étranger

 

 

 

 

 

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

    Total

1 473

 

 

 

1 473

Dettes rattachées

 

 

 

 

11

Valeur au bilan

 

 

 

 

1 484

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

 

 

28 606

 

28 606

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

Dépôt de garantie à caractère Mutuel

 

 

 

 

0

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

    Total

 

 

28 606

 

28 606

Dettes rattachées

 

 

 

 

466

    Valeur au bilan

 

 

 

 

29 072

 

 

— Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d’euros)

 

31 décembre 2005

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

Bons de Caisse

1 538

520

 

 

2 058

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

Titres de créances négociables :

 

 

 

 

 

Émis en France

 

 

 

 

 

Émis à l'étranger

 

 

 

 

 

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

    Total

1 538

520

 

 

2 058

Dettes rattachées

 

 

 

 

9

Valeur au bilan

 

 

 

 

2 067

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

 

 

8 300

20 909

29 209

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

Dépôt de garantie à caractère Mutuel

 

 

 

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

 

    Total

 

 

8 300

20 909

29 209

Dettes rattachées

 

 

 

 

448

    Valeur au bilan

 

 

 

 

29 657

 

 

1.5.7. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change : Les instruments financiers dérivés utilisés dans le cadre d’une relation de couverture sont désignés en fonction de l’objectif poursuivi :

— de couverture de valeur ;

— de couverture de résultats futurs ;

— de couverture d’un investissement net en devise.

Chaque relation de couverture fait l’objet d’une documentation formelle décrivant la stratégie, l’instrument couvert et l’instrument de couverture ainsi que la méthodologie d’appréciation de l’efficacité.

— Couverture de juste valeur : Les couvertures de juste valeur modifient le risque de variations de juste valeur d’un instrument à taux fixe causées par des changements de taux d’intérêts. Ces couvertures transforment des actifs ou des passifs à taux fixe en éléments à taux variables. Les couvertures de juste valeur comprennent notamment la couverture de prêts, de titres, de dépôts et de dettes subordonnées à taux fixe.

— Couverture de flux de trésorerie : Les couvertures de flux de trésorerie modifient notamment le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie liés à des instruments portant intérêt à taux variable.

Les couvertures de flux de trésorerie comprennent notamment les couvertures de prêts et de dépôts à taux variable.

— Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d’euros)

 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Valeur de marché positive

Valeur de marché négative

Valeur de marché positive

Valeur de marché négative

Instruments dérivés de couverture :

 

 

 

 

Micro-couverture

 

 

 

 

Dont couverture de juste valeur

 

 

 

 

Dont couverture de flux de trésorerie

 

 

 

 

Dont couverture d’investissements nets à l’étranger

 

 

 

 

Couverture en taux de portefeuille (macro-couverture de juste valeur)

2 866

9 630

4 011

1 971

Couverture en taux de portefeuille (macro-couverture de flux trésorerie)

 

 

 

 

    Total instruments dérivés de couverture

2 866

9 630

4 011

1 971

 

 

1.6. Autres risques. — Les risques décrits ci-dessous font l’objet d’une évaluation et sont comptabilisés au passif du bilan dans la rubrique « Provisions pour risques et charges ».

1.6.1. Risques opérationnels : En 2004, le déploiement du dispositif risques opérationnels « Europa » a permis de réaliser une cartographie, pour l’ensemble des Caisses Régionales et de leurs filiales, permettant ainsi de recenser et de qualifier les risques opérationnels avérés et potentiels.

En 2005, le Groupe Crédit Agricole a poursuivi la mise en oeuvre du dispositif avec le déploiement de l’outil « Olimpia » qui permet de collecter les incidents survenus depuis le 1er janvier.

Cette démarche quantitative et uniquement rétrospective permet de mesurer les fréquences des incidents ainsi que leurs impacts financiers.

Ce dispositif permet d’évaluer le coût du risque opérationnel, d’en analyser l’évolution et les composantes, afin d’établir des priorités en matière d’actions correctrices ou de politique de couverture via la mise en place de polices d’assurance.

1.6.2. Assurances et couverture des risques : La Caisse Régionale a souscrit principalement deux contrats d'assurance auprès de CAMCA afin de couvrir le risque concernant son activité bancaire :

— L’assurance globale de Banque qui garantit les risques liés aux escroqueries, hold-up et autres détournements ;

— Un contrat couvre la responsabilité civile de l'organisme bancaire, du courtier concernant l’activité d’assurance ainsi que celle du banquier et des dirigeants sociaux.

 

2. – Notes relatives au compte de résultat.

2.1. Produits et charges d’intérêts :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Sur opérations avec les établissements de crédit

835

579

Sur opérations internes au Crédit Agricole

8 250

8 077

Sur opérations avec la clientèle

146 122

128 302

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

75

57

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 856

2 897

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

26 728

16 154

Intérêts sur obligations et autres titres à revenus fixes

 

 

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

-574

4 613

    Produits d'intérêts

184 292

160 679

Sur opérations avec les établissements de crédit

8

5

Sur opérations internes au Crédit Agricole

77 202

67 134

Sur opérations avec la clientèle

3 223

1 311

Actifs financiers disponibles à la vente

31

161

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

23

Sur dettes représentées par un titre

53

44

Sur dettes subordonnées

1 515

1 993

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

23 668

11 600

Intérêts sur obligations et autres titres à revenus fixes

 

 

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

 

   Charges d'intérêts

105 700

82 271

 

 

2.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d’euros)

 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

71

70

1

40

6

34

Sur opérations internes au Crédit Agricole

9 186

2 296

6 890

9 177

2 625

6 552

Sur opérations avec la clientèle

16 324

133

16 191

14 512

64

14 448

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

4

 

4

3

 

3

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors bilan

2 246

390

1 856

3 245

730

2 515

Prestations de services bancaires et financiers dont :

 

 

0

 

 

0

Produits nets de gestion d'OPCVM

 

 

0

1 209

 

1 209

Produits nets sur moyens de paiement

24 380

4 047

20 333

21 687

3 886

17 801

Autres

18 779

540

18 239

16 040

465

15 575

    Produits nets des commissions

70 990

7 476

63 514

65 913

7 776

58 137

 

 

2.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat

1 413

2 032

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

-1 182

115

Inefficacité des couvertures de juste valeur

 

 

Inefficacité des couvertures de flux de trésorerie

 

 

    Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

231

2 147

 

 

2.4. Gains ou perte nets sur Actifs financiers disponibles à la vente :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Dividendes reçus

10 566

7 931

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente

1 125

267

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres à revenu variable)

-104

-91

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

    Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

11 587

8 107

 

 

2.5. Produits et charges nets des autres activités :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

9

 

Autres produits (charges) nets

7 520

6 633

    Produits (charges) des autres activités

7 529

6 633

 

 

2.6. Charges générales d’exploitation :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Charges de personnel

48 920

47 578

Impôts et taxes

3 140

2 701

Services extérieurs et autres charges

28 314

26 245

    Charges d'exploitation

80 374

76 524

 

 

2.7. Dotations aux amortissements et aux provisions pour dépréciation des immobilisations corporelles et incorporelles :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation :

 

 

Dotations aux amortissements

6 464

6 540

Dotations aux provisions pour dépréciation

 

 

    Total

6 464

6 540

 

 

2.8. Coût du risque :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Dotations aux provisions

-40 350

-41 687

Provisions pour dépréciation des prêts et créances

-40 208

-36 810

Provisions pour dépréciation des titres détenus jusqu'à l'échéance (hors risque de taux)

 

 

Provisions pour risques et charges

-142

-4 877

Reprises de provisions

34 498

36 329

Provisions pour dépréciation des prêts et créances

32 766

34 179

Provisions pour dépréciation des titres détenus jusqu'à l'échéance (hors risque de taux)

 

 

Provisions pour risques et charges

1 732

2 150

Variation des provisions

-5 852

-5 358

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non provisionnées

-3 871

-5 533

Récupérations sur prêts et créances amorties

1 026

775

Autres pertes

-131

-264

    Coût du risque

-8 828

-10 380

 

 

2.9. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

263

-20

Plus-values de cession

332

3

Moins-values de cession

-69

-23

Titres de capitaux propres consolidés

0

0

Plus-values de cession

 

 

Moins-values de cession

 

 

    Gains ou pertes sur autres actifs

263

-20

 

 

2.10. Impôts :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Charge d'impôt courant

24 406

18 822

Charge d'impôt différé

-3 108

-37 157

    Charge d'impôt de la période

21 298

-18 335

 

 

Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

(En milliers d’euros)

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, provisions sur écarts d'acquisitions et résultats des sociétés mises en équivalence

66 050

IS Théorique à 34,43%

22 741

Effet des différences permanentes

 

 

-4 104

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

18

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-1 422

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

17

Effet des autres éléments

 

 

4 048

Taux et charge effectif d'impôt

 

32,24%

21 298

 

 

3. – Informations sectorielles.

La Caisse Régionale Sud Méditerrané exerce son activité essentiellement dans le secteur « Banque de proximité en France », toutefois il convient de noter l’activité de sa succursale à Barcelone (distribution de crédits).

 

4. – Notes relatives au bilan au 31 décembre 2006.

4.1. Caisse, Banques centrales, CCP :

(En milliers d’euros)

 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

18 593

 

17 911

 

Banques centrales, CCP

31 133

 

25 144

 

    Total

49 726

0

43 055

0

 

 

4.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

791

1 480

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

36 167

24 756

    Juste valeur au bilan

36 958

26 236

Dont titres prêtés

 

 

 

 

— Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

 

 

Instruments dérivés

791

1 480

    Juste valeur au bilan

791

1 480

 

 

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de compte

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

36 167

24 756

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

36 167

24 756

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

36 167

24 756

Actions et autres titres à revenu variable

0

0

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

 

 

    Juste valeur au bilan

36 167

24 756

 

 

— Passifs financiers détenus à des fins de transaction :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Titres vendus à découvert

 

 

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes envers la clientèle

 

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

 

Instruments dérivés

425

 

    Juste valeur au bilan

425

0

 

 

Instruments dérivés de transaction :

— Instruments dérivés de transaction – Juste valeur actif :

(En milliers d’euros)
 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché 

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

317

474

791

1 480

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

317

474

791

1 480

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

    Sous total

0

0

0

0

317

474

791

1 480

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

     Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

317

474

791

1 480

 

 

— Instruments dérivés de transaction – Juste valeur passif :

 

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total en valeur de marché

Total en valeur de marché 

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤ 1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

0

12

413

425

0

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

 

 

413

413

0

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps-floors-collars

 

 

 

 

12

 

12

 

Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

0

Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de change

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

0

Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres

 

 

 

 

 

 

 

 

     Sous total

0

0

0

0

12

413

425

0

Opérations de change à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

0

0

0

0

12

413

425

0

 

 

4.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie dans le paragraphe relatif à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêts et de change.

 

4.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Titres évalués à la juste valeur

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

77 466

56 371

Titres cotés

73 092

56 371

Titres non cotés

4 374

 

Actions et autres titres à revenu variable

389 333

273 236

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

389 333

273 236

    Total des titres disponibles à la vente

466 799

329 607

Total des créances disponibles à la vente

 

 

Créances rattachées

25

 

    Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

466 824

329 607

(1) Dont - 2 232 K€ au 31 décembre 2006 comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

 

 

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Juste valeur

Gains latents

Pertes latentes

Gains latents

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

77 466

4 376

 

2 638

Actions et autres titres à revenu variable

389 333

232 478

 

128 157

Titres de participation non consolidés

 

 

 

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

 

    Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente

466 799

236 854

0

130 795

Impôts différés

 

-5 378

 

-908

    Gains et pertes latents sur actifs financiers disponibles à la vente (net IS)

 

231 476

 

129 887

 

 

4.5. Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle :

— Prêts et créances sur établissements de crédit :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Établissements de crédit :

 

 

Comptes et prêts

2 389

4 121

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

394

394

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Autres prêts et créances

 

 

    Total

2 783

4 515

Créances rattachées

6

5

Provisions

 

 

Valeur nette

2 789

4 520

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

Comptes ordinaires

9 658

46 489

Comptes et avances à terme

90 885

89 687

Prêts subordonnés (1)

14 514

44 915

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

    Total

115 057

181 091

Créances rattachées

2 485

2 522

Provisions

 

 

    Valeur nette

117 542

183 613

        Valeur nette au bilan

120 331

188 133

(1) A noter au 31 décembre 2006, reclassement des prêts/SNC Courcelles (T3CJ) pour 27 000 K€ vers les prêts et créances/Clientèle.

 

 

— Ventilation des prêts et créances sur la clientèle :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Opérations avec la clientèle :

 

 

Créances commerciales

19 582

22 353

Autres concours à la clientèle

3 477 826

3 068 795

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés (1)

27 000

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

Avances en comptes courants d'associés

35 592

8 667

Comptes ordinaires débiteurs

26 807

22 584

    Total

3 586 807

3 122 199

Créances rattachées

30 518

28 191

Provisions

104 681

98 308

    Valeurs nettes au bilan

3 512 644

3 052 282

Opérations de crédit bail :

 

 

Crédit-bail immobilier

 

 

Crédit-bail mobilier, LOA et opérations assimilées

 

 

    Total

 

 

Créances rattachées

 

 

Provisions

 

 

    Valeurs nettes au bilan

 

 

        Total

3 512 644

3 052 282

(1) A noter au 31 décembre 2005, les prêts/SNC Courcelles (T3CJ) étaient enregistrés en Prêts et créances/Établissements de crédits.

 

 

4.6. Provisions inscrites en déduction de l’actif :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2005

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

Ecart de conversion

Autres mouvements

31 décembre 2006

Sur créances interbancaire

 

 

 

 

 

 

0

Sur créances clientèle

98 308

 

44 092

37 719

 

 

104 681

Dont provisions collectives

25 678

 

6 296

 

 

 

31 974

Sur opérations de crédit-bail

 

 

 

 

 

 

0

Sur titres détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

0

Sur actifs disponibles à la vente

2 128

 

122

18

 

 

2 232

Sur autres actifs

2 746

 

39

39

 

 

2 746

    Total des provisions sur l'actif

103 182

 

44 253

37 776

 

 

109 659

 

(En milliers d’euros)

1 er janvier 2005

Variation de périmètre

Dotations

Reprises et utilisations

Ecart de conversion

Autres mouvements

31 décembre 2005

Sur créances interbancaire

 

 

 

 

 

 

 

Sur créances clientèle

94 872

 

45 251

43 886

 

2 071

98 308

Dont provisions collectives

21 744

 

3 934

 

 

 

25 678

Sur opérations de crédit-bail

 

 

 

 

 

 

 

Sur titres détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

 

Sur actifs disponibles à la vente

2 026

 

102

 

 

 

2 128

Sur autres actifs

3 145

 

135

534

 

 

2 746

    Total des provisions sur l'actif

100 043

 

45 488

44 420

 

2 071

103 182

 

 

4.7. Dettes sur établissements de crédit et sur la clientèle :

— Dettes envers les établissements de crédit :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Établissements de crédit

 

 

Comptes et emprunts

461

434

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

    Total

461

434

Dettes rattachées

2

7

Valeur au bilan

463

441

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

212 524

510

Comptes et avances à terme

2 265 040

2 164 138

    Total

2 477 564

2 164 648

Dettes rattachées

7 069

5 743

    Valeur au bilan

2 484 633

2 170 391

        Valeur au bilan des dettes envers les établissements de crédit

2 485 096

2 170 832

 

 

— Dettes envers la clientèle :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Comptes ordinaires créditeurs

962 345

935 463

Comptes d'épargne à régime spécial

14 232

9 528

Autres dettes envers la clientèle

98 518

41 792

Titres donnés en pension livrée

 

 

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

 

 

Dettes nées d'opérations de réassurance

 

 

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

 

    Total

1 075 095

986 783

Dettes rattachées

1 419

1 026

    Valeur au bilan

1 076 514

987 809

 

 

4.8. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

45 011

42 183

    Total

45 011

42 183

Créances rattachées

874

1 334

Provisions

 

 

    Valeurs nettes au bilan

45 885

43 517

 

 

4.9. Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Dettes représentées par un titre :

 

 

Bons de Caisse

1 473

2 058

Titres du marché interbancaire

 

 

Titres de créances négociables :

0

0

Émis en France

 

 

Émis à l'étranger

 

 

Emprunts obligataires

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

    Total

1 473

2 058

Dettes rattachées

11

9

    Valeur au bilan

1 484

2 067

Dettes subordonnées :

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

28 606

29 209

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

Dépôt de garantie à caractère Mutuel

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

    Total

28 606

29 209

Dettes rattachées

466

448

    Valeur au bilan

29 072

29 657

 

 

4.10. Actifs et passifs d’impôts différés :

Impôts différés – Passif(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Actifs disponibles à la vente

5 378

956

Couvertures de flux de trésorerie

5 674

2 569

Autres différences temporaires

106

353

Autres impôts différés passif

1 747

2 525

    Total impôts différés passif (1)

12 905

6 403

 

Impôts différés – Actif(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Provisions pour risques et charges non déductibles

14 965

698

Charges à payer non déductibles

653

13 355

Couvertures de flux de trésorerie

3 371

2 030

Autres impôts différés actif

2 487

 

    Total impôts différés actif (1)

21 476

16 083

(1) Au 31 décembre 2006, les impôts différés sont enregistrés en net soit à l’actif pour 8 571 K€.

 

 

4.11. Comptes de régularisation actif, passif et divers :

4.11.1. Comptes de régularisation et actifs divers :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Autres actifs

16 922

12 346

Comptes de stocks et emplois divers

1 605

4 336

Gestion collective des titres CODEVI

 

 

Débiteurs divers

15 124

7 973

Comptes de règlements

193

37

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

Comptes de régularisation

54 982

64 823

Comptes d'enCaissement et de transfert

30 191

29 311

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

3

10

Produits à recevoir

21 848

33 938

Charges constatés d'avance

1 458

1 475

Autres comptes de régularisation

1 482

89

    Valeur nette au bilan

71 904

77 169

 

 

4.11.2. Comptes de régularisation et passifs divers :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Autres passifs

24 637

11 583

Comptes de règlements

212

242

Créditeurs divers

14 530

10 259

Versement restant à effectuer sur titres

9 362

442

Autres

533

640

Comptes de régularisation :

29 605

34 862

Comptes d'enCaissement et de transfert (2)

6 200

4 051

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

2

 

Produits constatés d’avance

6 308

4 542

Charges à payer

17 095

26 269

Autres comptes de régularisation

 

 

    Valeur au bilan

54 242

46 445

 

 

4.12. Immeubles de placement :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2005

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

Solde 31 décembre 2006

Immeubles de placement

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

402

 

2 274

-1 166

 

 

1 510

Amortissements et provisions

-226

 

-10

13

 

 

-223

    Valeur nette au bilan

176

 

2 264

-1 153

 

 

1 287

 

 

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

(En milliers d’euros)

1er janvier 2005

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

Solde 31 décembre 2005

Immeubles de placement

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

421

 

2 648

-2 667

 

 

402

Amortissements et provisions

-216

 

-10

 

 

 

-226

    Valeur nette au bilan

205

 

2 638

-2 667

 

 

176

 

 

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

4.13. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2005

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, reGroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

Solde 31 décembre 2006

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

99 659

 

11 048

6 003

 

 

104 704

Créances rattachées

 

 

 

 

 

 

 

Amortissements et provisions

58 120

 

5 572

977

 

 

62 715

    Valeur nette au bilan

41 539

 

5 476

5 026

 

 

41 989

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

9 240

 

59

8

 

 

9 291

Amortissements et provisions

7 321

 

892

8

 

 

8 205

    Valeur nette au bilan

1 919

 

-833

 

 

 

1 086

 

(En milliers d’euros)

1 er janvier 2005

Variations de périmètre

Augmentations (Acquisitions, reGroupements d'entreprises

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

Solde 31 décembre 2005

Immobilisations corporelles d'exploitation :

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

93 436

 

8 161

1 938

 

 

99 659

Créances rattachées

 

 

 

 

 

 

 

Amortissements et provisions

52 914

 

5 405

199

 

 

58 120

    Valeur nette au bilan

40 522

 

2 756

1 739

 

 

41 539

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

8 799

 

503

62

 

 

9 240

Amortissements et provisions

6 197

 

1 124

 

 

 

7 321

    Valeur nette au bilan

2 602

 

-621

62

 

 

1 919

 

 

4.14. Provisions pour risques et charges :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2005

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

31 décembre 2006

Risques sur les produits épargne logement

6 495

 

 

1 173

 

5 322

Risques d’exécution des engagements par signature

925

76

 

 

 

1 001

Risques opérationnels

4 824

 

119

229

124

4 600

Engagements sociaux (retraites) et assimilés (1)

541

21

27

 

 

535

Litiges divers

4 157

2 387

 

772

 

5 772

Participations

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

0

Coûts de mise en oeuvre des synergies

 

 

 

 

 

0

Autres risques

7 965

216

449

1 190

-124

6 418

    Provisions pour risques et charges

24 907

2 700

595

3 364

0

23 648

(1) Au titre de la provision pour médaille du travail.

 

 

Provision épargne logement :

— Encours collectés au titre des comptes et plans d’épargne-logement sur la phase d’épargne :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

100 887

348 510

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

414 280

149 179

Ancienneté de plus de 10 ans

247 194

308 513

    Total plans d'épargne-logement

762 361

806 202

Total comptes épargne-logement

116 721

118 862

    Total encours collectés au titre des contrats épargne-logement

879 082

925 064

 

 

L'ancienneté est déterminée par rapport à la date de milieu d'existence de la génération des plans à laquelle ils appartiennent. Les encours de collecte sont des encours hors prime d'état.

— Encours de crédits en vie octroyés au titre des comptes et plans d'épargne-logement :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Plans d'épargne-logement :

11 171

15 101

Comptes épargne-logement :

20 631

23 931

    Total encours de crédits en vie octroyés au titre des contrats épargne-logement

31 802

39 032

 

 

— Provision au titre des comptes et plans d'épargne-logement :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Plans d'épargne-logement :

 

 

Ancienneté de moins de 4 ans

528

399

Ancienneté de plus de 4 ans et de moins de 10 ans

613

858

Ancienneté de plus de 10 ans

2 009

3 351

    Total plans d'épargne-logement

3 150

4 608

Total comptes épargne-logement

2 172

1 887

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

5 322

6 495

 

 

L'ancienneté est déterminée par rapport à la date de milieu d'existence de la génération des plans à laquelle ils appartiennent.

(En milliers d’euros)

31 décembre 2005

Dotations

Reprises

Autres mouvements

31 décembre 2006

Plans d'épargne-logement

4 608

 

1 458

 

3 150

Comptes épargne-logement

1 887

 

-285

 

2 172

    Total provision au titre des contrats épargne-logement

6 495

 

1 173

 

5 322

 

 

4.15. Capitaux propres :

— Composition du capital au 31 décembre 2006 : La Caisse Régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L.512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit Agricole, aux articles L.231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n°47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires et de Certificats Coopératifs d’Associés.

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse Régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

Les CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse Régionale et des Caisses locales qui lui sont affiliées.

Répartition du capital de l’entité consolidante

Nombre de titres au 31 décembre 2005

Variation de titres

Nombre de titres au 31 décembre 2006

Certificats Coopératifs d'associés (CCA)

459 957

 

459 957

Dont part du Public

 

 

 

Dont part Crédit Agricole SA

459 957

 

459 957

Parts sociales

 

 

 

Emises par la Caisse Régionale

25

 

25

Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

24

Dont crédit Agricole SA

1

 

1

Emises par les 59 Caisses locales

11 776 697

796 300

12 572 997

Dont sociétaires des Caisses Locales

11 776 697

796 300

12 572 997

    Total

12 236 679

796 300

13 032 979

 

 

La valeur nominale des titres est de :

— 15,25 € pour les CCA ;

— 15,25 € pour les parts sociales émises par la CR ;

— 1,53 € pour les parts sociales émises par les Caisses locales.

Pour un montant total du capital de 26 258 K€ au 31 décembre 2006.

— Résultat par action : Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse Régionale Sud Méditerranée sont composés de parts sociales et de CCA.

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n°47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

La rémunération des CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

Année de rattachement du dividende

Par CCA

Par part sociale

 

Montant net

Montant net

2003

4,44

0,05

2004

5,11

0,05

2005

6,12

0,05

Prévu 2006

7,02

0,05

 

 

— Dividendes : Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres.

— Affectations du résultat et fixation du dividende 2006 : L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2006 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse Régionale Sud Méditerranée du 23 mars 2007.

— Projet affectation du résultat :

Résultat à affecter

43 080 648,12 €

Distribué

3 967 554,76 €

Intérêts aux parts aux Caisses locales

736 492,81 €

Intérêts aux parts aux autres souscripteurs

13,34 €

Rémunération des CCA

3 231 048,61 €

Conservé

39 113 093,36 €

Réserves légales

29 334 820,02 €

Autres réserves

9 778 273,34 €

 

 

5. – Avantages au personnel et autres rémunérations.

 

5.1. Détail des charges de personnel :

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Salaires et traitements

26 744

25 665

Cotisation au titre des retraites (régimes à cotisations définies)

2 754

2 791

Cotisation au titre des retraites (régimes à prestations définies)

936

1 177

Autres charges sociales

9 467

9 481

Intéressement et participation

6 019

5 548

Impôts et taxes sur rémunération

3 000

2 916

    Total charges de personnel

48 920

47 578

 

 

5.2. Effectifs fin de période :

Effectifs

31 décembre 2006

31 décembre 2005

France

861

852

Etranger

14

14

    Total

875

866

 

 

5.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du Groupe Crédit Agricole SA n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

5.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies :

— Variations de la dette actuarielle :

 

2006

2005

Dettes actuarielles au 31 décembre/n-1

13 147

12 737

Coûts des services rendus sur la période

621

502

Effet de l'actualisation

508

596

Cotisations de l'employé

 

 

Modification/réduction/liquidation de plan

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

 

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-357

-380

(Gains)/pertes actuariels

501

-308

    Dettes actuarielles au 31 décembre/n

14 420

13 147

 

 

— Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

 

2006

2005

Coûts des services rendus sur la période

621

502

Effet de l'actualisation

508

596

Rendement attendu des actifs sur la période

-448

-487

Amortissement du coût des services passés

390

 

Autres gains ou pertes

 

752

    Charge nette comptabilisée au compte de résultat

1 072

1 363

 

 

— Variations de juste valeur des actifs des régimes :

 

2006

2005

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31 décembre /n-1

11 200

11 493

Rendement attendu des actifs

448

487

Gains/pertes actuariels sur les actifs du régime

112

-1 060

Cotisation de l'employeur

2 241

936

Cotisation de l'employé

 

 

Modification/réduction/liquidation de plan

 

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

-35

Indemnités de cessation d'activité

 

 

Prestations versées

-357

-621

    Juste valeur des actifs/droit à remboursement au 31 décembre/n

13 644

11 200

 

 

— Position nette :

 

2006

2005

Dette actuarielle fin de période

14 420

13 147

Coût des services passés non comptabilisés

 

 

(Gains)/pertes sur la limitation de surplus

 

 

Dette actuarielle nette fin de période

14 420

13 147

Juste valeur des actifs/Droits à remboursement fin de période

13 644

11 200

    Position nette (passif)/actif fin de période

-776

-1 947

 

 

Rendement des actifs des régimes. — Le rendement effectif des actifs des régimes est de 4%.

 

Hypothèses actuarielles utilisées. — Le taux d’actualisation utilisé est de 3,82% pour les IFC et de 3,57% pour les régimes de retraite.

 

5.5. Rémunérations de dirigeants. — La rémunération des organes de direction et d’administration est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution. Le montant global des rémunérations des membres des organes d’administration et de direction s’élèvent à 1 134 K€.

 

6. – Engagements de financement et de garantie.

(En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Engagements donnés

586 338

521 480

Engagements de financement :

485 197

429 123

Engagements en faveur d'établissements de crédit

26 620

2 085

Engagements en faveur de la clientèle

458 577

427 038

Ouverture de crédits confirmés

343 818

320 552

Ouverture de crédits documentaires

152

11

Autres ouvertures de crédits confirmés

343 666

320 541

Autres engagements en faveur de la clientèle

114 759

106 486

Engagements de garantie

101 141

92 357

Engagements d'ordre d'établissement de crédit

0

0

Engagements d'ordre de la clientèle

101 141

92 357

Cautions, avals et autres garanties

35 386

23 093

Cautions immobilières

14 914

9 533

Garanties/Remboursement crédits

10 104

10 355

Autres garanties d'ordre de la clientèle

40 737

49 376

Engagements reçus

468 222

206 712

Engagements de financement

175 000

175

Engagements reçus d'établissements de crédit

175 000

175

Engagements reçus de la clientèle

 

 

Engagements de garantie

293 222

206 537

Engagements reçus d'établissements de crédit

23 487

17 393

Engagements reçus de la clientèle

269 735

189 144

Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

125 232

118 692

Autres garanties reçues

144 503

70 452

 

 

7. – Juste valeur des actifs et passifs comptabilisés au coût amorti.

La juste valeur d’un instrument financier est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé ou une dette réglée entre des parties avisées, consentantes dans une transaction conclue à des conditions normales.

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté. Celles-ci sont susceptibles de changer dans d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

Dans la pratique, et dans une logique de continuité de l’activité, l’ensemble de ces instruments financiers pourrait ne pas faire l’objet d’une réalisation immédiate pour la valeur estimée ci-dessous.

— Juste valeur des actifs et passifs comptabilisés au coût :

 (En milliers d’euros)

31 décembre 2006

31 décembre 2005

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Actifs :

 

 

 

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit

120 331

120 331

188 133

188 133

Prêts et créances sur la clientèle

3 512 644

3 628 429

3 052 282

3 142 008

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

45 885

46 062

43 517

46 739

Immeubles de placement

1 287

1 287

176

176

Passifs :

 

 

 

 

Dettes envers les établissements de crédits

2 485 096

2 484 754

2 170 832

2 184 910

Dettes envers la clientèle

1 076 514

1 076 514

987 809

987 809

Dettes représentées par un titre

1 484

1 484

2 067

2 067

Dettes subordonnées

29 072

29 072

29 657

29 657

 

 

Pour les instruments financiers, la meilleure estimation correspond au prix de marché de l’instrument lorsque celui-ci est traité sur un marché actif (cours cotés et diffusés).

En l’absence de marché ou de données fiables, la juste valeur est déterminée par une méthode appropriée conforme aux méthodologies d’évaluations pratiquées sur les marchés financiers : soit la référence à la valeur de marché d’un instrument comparable, soit l’actualisation des flux futurs, soit des modèles d’évaluation.

Dans les cas ou il est nécessaire d’approcher les valeurs de marché au moyen d’évaluation, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs estimés qui est la plus couramment utilisée.

La valeur des immeubles de placement est, quant à elle, estimée « à dire d’expert ».

Par ailleurs, dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

— des passifs exigibles à vue ;

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

 

D. — Rapport des commissaires aux comptes sur les états consolidés.

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons procédé au contrôle des comptes consolidés de la Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud-Méditerranée relatifs à l'exercice clos le 31 décembre 2006, tels qu'ils sont joints au présent rapport.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d'ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l'opinion exprimée ci-après.

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

 

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l'article L.823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

— Estimations comptables : Comme indiqué dans la note 1.1 de l’annexe, la Caisse Régionale constitue des provisions pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes, nous avons revu les processus mis en place par la direction pour identifier et évaluer les risques de non recouvrement et leur couverture par des provisions individuelles ou collectives.

Comme indiqué dans les notes 1.1 et 1.3 de l'annexe, la Caisse Régionale procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur la valorisation des titres de participation non consolidés, la recouvrabilité d'impôts différés actifs et les risques opérationnels.

Sur la base des informations disponibles à ce jour, nous avons revu les hypothèses retenues, la cohérence des méthodes et les évaluations qui justifient les estimations comptables retenues et nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes consolidés pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

III. Vérification spécifique. — Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, à la vérification des informations données dans le rapport sur la gestion du Groupe. Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

 

Toulouse, le 7 mars 2007.

Le commissaire aux comptes :

Ernst & Young Audit.

 

 

 

0704420

09/06/2006 : Publications périodiques (74B)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud Méditerranée
Catégorie 2 : Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels) (74B_N2)
Numéro d'affaire : 7167
Texte de l'annonce :

0607167

9 juin 2006BULLETIN DES ANNONCES LEGALES OBLIGATOIRES Bulletin n°69


Publications périodiques
____________________

Sociétés commerciales et industrielles (Comptes annuels)
____________________



 

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE

(ARIEGE / PYRENEES ORIENTALES)  

 

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du livre V du code rural.

Capital social au 31 décembre 2005 : 20 190 436 €.

Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.

Siren : 776 179 335. — Code APE 651 D.

Exercice social : 1er janvier au 31 décembre 2005.

 

Documents comptables annuels.

Comptes sociaux.

I. — Bilan au 31 décembre 2005.

(En euros.)

 

Actif

Notes

31/12/2005

31/12/2004

Opérations interbancaires et assimilées

 

49 175

46 284

    Caisse, banques centrales, CCP

 

43 055

42 380

    Effets publics et valeurs assimilées

 

1 600

1 600

    Créances sur les établissements de crédit

 

4 520

2 304

Opérations internes au CA

3

183 167

137 919

Opérations avec la clientèle

4

3 068 066

2 736 349

Opérations sur titres

5

117 373

77 361

    Obligations et autres titres à revenu fixe

 

68 598

59 589

    Actions et autres titres à revenu variable

 

48 775

17 772

Valeurs immobilisées

6 et 7

196 719

188 735

    Participations et autres titres détenus à long terme

 

152 141

144 412

    Parts dans les entreprises liées

 

963

1 015

    Immobilisations incorporelles

 

1 919

2 602

    Immobilisations corporelles

 

41 696

40 706

Capital souscrit non versé

 

 

 

Actions propres

 

 

 

Comptes de régularisation et actifs divers

8

77 162

71 295

    Autres actifs

 

12 346

11 282

    Comptes de régularisation

 

64 816

60 013

    Total actif

 

3 691 662

3 257 943

 

Passif

Notes

31/12/2005

31/12/2004

Opérations interbancaires et assimilées

10

441

288

    Caisse, banques centrales, CCP

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédit

 

441

288

Opérations internes au CA

10

2 172 997

1 853 253

    Comptes créditeurs de la clientèle

11

989 979

922 530

    Comptes d’épargne à régime spécial

 

9 528

8 358

    Autres dettes

 

980 451

914 172

Dettes représentées par un titre

12

2 067

2 224

Comptes de régularisation et passifs divers

13

49 713

43 120

    Autres passifs

 

14 917

10 412

    Comptes de régularisation

 

34 796

32 708

Provisions et dettes subordonnées

 

83 322

49 107

    Provisions pour risques et charges

14

52 582

18 341

    Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

 

    Dettes subordonnées

17

30 740

30 766

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

16

8 307

36 492

Capitaux propres hors FRBG

18

384 836

350 929

    Capital souscrit

 

27 205

27 030

    Primes d’émission

 

129 625

129 625

    Réserves

 

189 460

161 039

    Ecart de réévaluation

 

 

 

    Provisions réglementées et subventions d’investissement

 

1 025

1 131

    Report à nouveau (+/-)

 

-2 072

-2 926

    Résultat de l’exercice

 

39 593

35 030

    Total passif

 

3 691 662

3 257 943

 

Hors bilan

2005

2004

Engagements donnés :

 

 

    Engagements de financement

429 125

428 834

        Engagement en faveur d’établissements de crédits

 

 

        Engagements internes au Crédit Agricole

0

25 760

        Engagements en faveur de la clientèle

429 125

403 074

    Engagements de garantie

82 834

84 586

        Engagements d’ordre d’établissements de crédit

 

 

        Engagements internes au Crédit Agricole

 

 

        Engagements d’ordre de la clientèle

82 834

84 586

    Engagements sur titres

6

63

        Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

        Titres à livrer au Crédit Agricole

 

 

        Autres engagements donnés

6

63

Engagements reçus :

 

 

    Engagements de financement

175

379

        Engagements reçus d’établissements de crédit

0

0

        Engagements internes de la clientèle

175

379

    Engagements de garantie

206 537

179 763

        Engagements reçus d’établissements de crédit

16 948

14 019

        Engagements internes au Crédit Agricole

445

537

        Engagements reçus de la clientèle

189 144

165 207

    Engagements sur titres

6

63

        Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise

 

 

        Titres à recevoir du Crédit Agricole

 

 

        Autres engagements reçus

6

63

 

II. — Compte de Résultat au 31 décembre 2005.

(En euros.)

 

 

Notes

31/12/2005

31/12/2004

Intérêts et produits assimilés

23

155 058

148 244

Intérêts et charges assimilées

23

74 758

70 913

Revenus des titres à revenu variable

24

8 377

6 245

Commissions (produits)

25

62 665

60 448

Commissions (charges)

25

7 046

6 378

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

26

115

107

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placements et assimilés

27

1 762

1 783

Autres produits d’exploitation bancaire

 

7 112

6 455

Autres charges d’exploitation bancaire

 

482

275

Produit net bancaire

 

152 803

145 716

Charges générales d’exploitation

 

75 300

73 007

    Frais de personnel

28-1

46 830

45 340

    Autres frais administratifs

28-3

28 470

27 667

Dotations aux amortissements et aux provisions sur immobilisations incorporelles et corporelles

 

6 537

6 085

Résultat brut d’exploitation

 

70 966

66 624

Coût du risque

29

-10 380

-5 545

Résultat d’exploitation

 

60 586

61 079

Résultat net sur actifs immobilisés

30

53

314

Résultat courant avant impôt

 

60 639

61 393

Résultat exceptionnel

31

-29 117

-9 299

Impôt sur les bénéfices

 

20 221

15 926

Dotations/Reprises de FRBG et provisions réglementées

 

28 292

-1 138

Résultat net

 

39 593

35 030

 

III. — Annexes aux comptes sociaux.

  

Note 1. — Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l’exercice.

 

A. — Le cadre juridique et financier. (Paragraphe IV.2 de l’annexe 1 du règlement 2000.03 du CRC).

 

La Caisse régionale de crédit agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l'activité des établissements de crédit.

Sont rattachées à la Caisse régionale Sud Méditerranée, 59 caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.

Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’entité consolidante, intègrent également les comptes des Caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.

De par la loi bancaire, la Caisse régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.

Au 31 décembre 2005, la Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 40 autres Caisses régionales, du groupe Crédit agricole dont l'Organe Central, au titre de la loi bancaire, est Crédit agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS rue la Boétie, qui détient elle-même 54,73 % du capital de Crédit Agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.

Le solde du capital de Crédit agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 43,51 %.

Par ailleurs, Crédit agricole S.A. détient 26 312 207 actions propres, soit 1,76 %.

Pour sa part, Crédit Agricole S.A. détient l’ensemble des Certificats Coopératifs d’Associés émis par la Caisse régionale représentant 25 % de son capital.

Crédit agricole S.A. coordonne l'action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d'organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu'au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit Agricole S.A. à hauteur de leurs fonds propres.

 

Mécanismes financiers internes au Crédit agricole.

L'appartenance de la Caisse régionale Sud Méditerranée au groupe Crédit Agricole se traduit en outre par l'adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

 

Note 1.1. Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements de fonds correspondant aux relations financières internes. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit Agricole – Comptes ordinaires ».

 

Note 1.2. Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (emprunts obligataires, bons et comptes à terme assimilés, comptes et plans d'épargne-logement, comptes sur livrets, PEP, etc.) sont collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. Elles sont transférées à Crédit Agricole S.A. et figurent à ce titre à son bilan. Elles financent les avances faites aux Caisses régionales pour leur permettre d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre réformes financières internes successives ont été mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances dites « avances-miroir» (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33,33 % et enfin 50 % depuis le 31 décembre 2001, des ressources d'épargne qu'elles ont collecté et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la collecte, partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A., sont déterminées par l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50 % des crédits entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et la Caisse régionale peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Deux autres types d'avances sont à distinguer :

— Les avances pour prêts bonifiés qui refinancent les prêts à taux réduits fixés par l'Etat : celui-ci verse à Crédit Agricole S.A. une bonification pour combler la différence entre le coût de la ressource et le taux des prêts ;

— Les avances pour autres prêts qui refinancent à hauteur de 50 % (depuis le 31 décembre 2001) les prêts non bonifiés : ces avances de Crédit Agricole S.A. sont accordées aux Caisses régionales sur justification de leurs engagements et ne peuvent être affectées qu'à la réalisation des prêts pour lesquels un accord préalable a été obtenu. Elles sont reversées au fur et à mesure du remboursement des prêts accordés.

 

Note 1.3. Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine monétaire des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci au financement de leurs prêts. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A. où ils sont enregistrés dans des comptes ordinaires ou des comptes à terme parmi les « Opérations internes au Crédit Agricole».

 

Note 1.4. Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. : Les excédents peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 7 ans dont toutes les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

 

Note 1.5. Opérations en devises : Crédit Agricole S.A. étant leur intermédiaire auprès de la Banque de France, les Caisses régionales s'adressent à elle pour leurs opérations de change.

 

Note 1.6. Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (comptes sur livrets, livrets d'épargne manuelle, d'épargne entreprise, d'épargne populaire, Codevi, comptes et plans d'épargne logement, plans d'épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A. où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle».

 

Note 1.7. Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés principalement par les Caisses régionales et figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

  

B. — Les faits caractéristiques de l’exercice.

  

Normes IFRS. — Au cours de l’exercice 2005, la Caisse régionale Sud Méditerranée a terminé les travaux comptables lui permettant d’élaborer les comptes consolidés selon le référentiel IFRS.

 

Système d’information. — Au cours de l’exercice 2005, la Caisse régionale Sud Méditerranée a abouti sa migration vers EXA par le déploiement du poste opérationnel agence. 

 

Note 2. — Principes et méthodes comptables.

 

Les états financiers de la Caisse régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit Agricole S.A., agissant en tant qu'Organe Central et chargé d'adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit Agricole.

Compte tenu de l’intégration de ses Caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :

La Caisse régionale Sud Méditerranée applique à compter du 1er janvier 2005 le règlement CRC n° 2004-06 du 23 novembre 2004 relatif à la définition, la comptabilisation et l’évaluation des actifs. L’application de ce nouveau règlement n’a pas eu d’impact significatif sur l’exercice 2005.

Conformément aux dispositions du règlement CRC n° 2002-03, la Caisse régionale Sud Méditerranée calcule à compter du 1er janvier 2005 ses provisions sur créances douteuses sur la base des flux futurs actualisés.

Les effets qui découlent de l’actualisation de ces provisions constituent un changement de méthode. Celui-ci est évalué 2 072 K€ et a été constaté au bilan d’ouverture en contrepartie des capitaux propres.

La Caisse régionale Sud Méditerranée applique par anticipation à compter du 1er janvier 2005 le règlement CRC n° 2005-03 du 3 novembre 2005. Celui-ci modifie le règlement CRC n° 2002-03 relatif au risque de crédit. A ce titre, les décotes sur prêts restructurés sont désormais calculées par référence au taux effectif d’origine. Ce changement n’a pas eu d’impact sur les comptes de la Caisse régionale Sud Méditerranée compte tenu du faible encours des volumes concernés.

La Caisse régionale Sud Méditerranée applique par anticipation à compter du 1er janvier 2005 le règlement CRC n° 2005-01 du 3 novembre 2005 relatif à la comptabilisation des opérations sur titres. Ce règlement modifie notamment le règlement CRB n° 90-01 et l’annexe au règlement CRC n° 2000-03 relatif aux documents de synthèse individuels, afin de faire converger certaines dispositions de ces textes avec celles de la norme IAS 39, notamment celles relatives aux titres de transaction et d’investissement.

L’application de ce nouveau règlement n’a pas eu d’impact significatif sur l’exercice 2005.

Par ailleurs, afin d’assurer la cohérence entre les comptes consolidés établis conformément aux normes IAS et ses comptes individuels, la Caisse régionale Sud Méditerranée a constitué différentes provisions pour risques et charges destinées à couvrir des risques déjà identifiés et antérieurement couverts par des fonds pour risques bancaires généraux.

Ces provisions ont été dotées par le résultat exceptionnel et concernent :

— le risque de déséquilibre du contrat épargne logement, pour lequel une provision a été dotée à hauteur de 6 312 K€ ;

— le risque de crédit, correspondant aux provisions sur bases collectives et/ou sectorielles, pour lequel une provision a été dotées à hauteur de 21 744 K€.

Le montant des FRBG repris en contrepartie de ces dotations s’élève à 28 056 K€.

 

Note 2.1. Crédits à la clientèle : Les crédits à la clientèle sont inscrits au bilan à leur valeur nominale. La Caisse régionale Sud Méditerranée applique par anticipation à compter du 1er janvier 2005 le règlement du CRC n° 2005-03 du 3 novembre 2005 modifiant le règlement CRC n° 2002-03 du 12 décembre 2002 sur le risque de crédit. En application de celui-ci, les créances présentant un risque d’impayé sont comptabilisées conformément aux règles suivantes :

 

— Créances restructurées : La Caisse régionale Sud Méditerranée définit les créances restructurées comme étant des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc.), afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.

Par conséquent, sont exclues des créances restructurées :

– Les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité,

– Les créances dont le tableau d’amortissement théorique est modifié du fait de l’application d’une option ou clause contractuelle prévue initialement au contrat (exemple : pause et report d’échéance).

 

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse régionale Sud Méditerranée s’élève à 19 700 milliers d’euros, dont 4 496 milliers d’euros relatifs aux crédits restructurés dans le cadre de la loi Neiertz.

Par rapport à l’encours de crédits comptabilisé au bilan de la Caisse régionale Sud Méditerranée, le montant des crédits restructurés n’étant pas significatif, aucune décote n’a été comptabilisée lors de l’enregistrement de tels prêts ;

 

— Créances douteuses : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– Lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits),

– Lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré,

– S’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

 

Les découverts sont qualifiés d’encours douteux au plus tard à l’issue d’une période de trois mois de dépassement continu des limites portées à la connaissance de la clientèle de particuliers et des limites résultant de convention de droit ou de fait entre le commerçant et la banque pour ses autres clientèles.

Parmi les encours douteux, la Caisse régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis ;

 

— Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises ;

 

— Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé. Les intérêts contractuels ne sont plus comptabilisés après le transfert en encours douteux compromis ;

 

— Provisionnement du risque de crédit avéré : Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse régionale par voie de provision. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

La Caisse régionale Sud Méditerranée constitue les provisions correspondant, en valeur actualisée, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours douteux et douteux compromis.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles ;

— Traitement des décotes et dépréciations : La dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque. Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrite dans la marge d’intérêts ;

 

— Provisionnement du risque de crédit non avéré : Par ailleurs, la Caisse régionale Sud Méditerranée a également constaté au passif de son bilan des provisions pour risques et charges destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, tels que les provisions sectorielles. Ces dernières visent à couvrir des risques précis pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement une probabilité de non-recouvrement partiel, sur des encours non classés en douteux ;

 

— Risques-pays : Les risques-pays (ou risques sur engagements internationaux) sont constitués « du montant total des engagements non compromis, de bilan ou de hors bilan, portés par un établissement directement ou au travers de structures dites de défaisance, sur des débiteurs privés ou publics résidant dans les pays recensés par la Commission bancaire, ou dont la bonne fin dépend de la situation de débiteurs privés ou publics résidant dans de tels pays »(note de la Commission bancaire du 24 décembre 1998).

Lorsque ces créances ne sont pas qualifiées de douteuses, elles demeurent dans leur poste d’origine.

 

Note 2.2. Opérations sur titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement 90-01 du Comité de la réglementation bancaire et Financière modifié par le règlement 95-04 du CRBF, le règlement 2000-02 du Comité de la réglementation comptable et le règlement CRC n° 2005-01, ainsi que par le règlement 2002-03 du Comité de la réglementation comptable en matière de détermination du risque de crédit et du provisionnement concernant les titres à revenu fixe.

La répartition des titres entre les 4 catégories de portefeuille (transaction, placement, investissement, et titres de l’activité de portefeuille) est faite en fonction de l'intention initiale d'utilisation des titres, intention identifiée dans le système d'information comptable dès leur acquisition.

 

— Titres de placement : Cette catégorie concerne les titres qui ne sont pas inscrits parmi les autres catégories de titres. Les titres sont enregistrés pour leur prix d'acquisition, frais exclus.

Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.

La valeur d'inventaire est le prix de marché.

Les moins-values latentes constatées à l'arrêté comptable font l'objet de provision pour dépréciation.

 

— Titres d'investissement : Sont enregistrés en titres d'investissement, les titres à revenu fixe assortis d’une échéance fixée qui ont été acquis ou reclassés dans cette catégorie avec l'intention manifeste de les détenir jusqu'à l'échéance. Ne sont comptabilisés également dans cette catégorie que les titres pour lesquels la Caisse régionale Sud Méditerranée dispose de la capacité de financement nécessaire pour continuer de les détenir jusqu’à leur échéance et n’est soumise à aucune contrainte existante juridique ou autre qui pourrait remettre en cause son intention de détenir ces titres jusqu’à leur échéance.

Les titres d'investissement sont comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais exclus. En ce qui concerne les titres à revenu fixe acquis ou souscrits à un prix différent de leur valeur de remboursement, il convient de suivre les mêmes règles que celles retenues pour les titres de placement.

Conformément aux règlements n° 90.01 et 95.04 et à l'instruction n° 94.05 de la Commission bancaire, la Caisse régionale Sud Méditerranée n'a pas provisionné les moins-values latentes.

Toutefois, les moins-values peuvent être provisionnées lorsque, à la date d'arrêté des comptes, s’il existe un risque de contrepartie.

Les titres d’investissement sont soumis aux dispositions du règlement du CRC 2002-03 concernant l’identification du risque de crédit et le provisionnement des pertes avérées.

Conformément aux dispositions du règlement CRC n° 2005-01, les cessions de titres d'investissement intervenues avant l'échéance ou les transferts vers la catégorie des titres de placement ne portent que sur la période du 1er janvier à la date de publication du présent règlement du Comité de la réglementation comptable.

 

— Prix de marché : Le prix de marché auquel sont évalués le cas échéant les différentes catégories de titres, est déterminé de la façon suivante :

– Les titres négociés sur un marché actif sont évalués au cours le plus récent,

– Si le marché sur lequel le titre est négocié n’est pas ou plus considéré comme actif ou si le titre n’est pas coté, la Caisse régionale détermine la valeur probable du titre de négociation du titre concerné en utilisant des techniques de valorisation. En premier lieu, ces techniques font référence à des transactions récentes effectuées dans des conditions normales de concurrence. Le cas échéant la Caisse régionale utilise des techniques de valorisation couramment employées par les intervenants sur le marché pour évaluer ces titres, lorsqu’il a été démontré que ces techniques produisent des estimations fiables des prix obtenus dans des transactions sur le marché réel.

 

— Dates d’enregistrement : La Caisse régionale enregistre les titres classés en titres d’investissement à la date de règlement-livraison. Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

 

Note 2.3. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :

 

— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d'être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable ;

— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'établissement de crédit ;

— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des investissements réalisés dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.

 

L'ensemble de ces titres est comptabilisé au coût historique. Les frais accessoires à l'achat et à la vente sont enregistrés en charges d'exploitation. A la clôture de l'exercice, ces titres peuvent ou non faire l'objet individuellement de provisions pour dépréciation lorsque leur valeur d’utilité est inférieure au coût historique.

La valeur d’utilité de ces titres représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir, compte tenu de ses objectifs de détention. Les éléments qui peuvent être pris en compte pour l’estimation de la valeur d’utilité sont la rentabilité, actuelle ou attendue, les capitaux propres, les cours moyens de bourse des derniers mois.

 

Note 2.4. Immobilisations. — La Caisse régionale Sud Méditerranée applique par anticipation à compter du 1er janvier 2004 le règlement du CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.

Par conséquent, la Caisse régionale Sud Méditerranée applique à ce titre la méthode de comptabilisation des actifs par composants. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Par ailleurs, les éléments dont dispose la Caisse régionale sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existant au 31 décembre 2004.

L’application anticipée de ce nouveau règlement n’a pas eu d’impact significatif sur l’exercice 2004.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse régionale Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation.

Ce tableau est donné à titre indicatif, les fourchettes devront être adaptées par chaque entité si les durées d’amortissement sont plus rapprochées que celles figurant ci-dessous :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (linéaire)

 

A l'exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l'objet d'amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l'objet de provisions pour dépréciation.

 

Note 2.5. Conventions de Garanties Internes. — Aux termes de conventions de garantie conclues par les Caisses régionales de Crédit Agricole, au profit de Crédit Agricole S.A., la Caisse régionale Sud Méditerranée est engagé dans la limite de ses fonds propres à couvrir une éventuelle insuffisance d'actif de Crédit Agricole S.A. au bénéfice des tiers, créanciers de celle-ci.

A contrario, Crédit Agricole S.A. (dans le cadre de la mission qui lui a été confiée par le Code monétaire et financier) garantit la liquidité et la solvabilité des Caisses régionales.

A ce titre, il a été constitué par Crédit Agricole S.A., au cours de l’exercice 2001, un « Fonds pour risques bancaires de Liquidité et de Solvabilité ».

 

Note 2.6. Engagements en matière de retraite, de préretraite, d’indemnités de fin de carrière. — La Caisse régionale Sud Méditerranée applique à compter du 1er janvier 2004 la recommandation n° 2003-R.01 du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires. A ce titre, la Caisse régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Les écarts actuariels étant passés immédiatement en résultat, le montant de la provision est égal à :

— la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation ;

— diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

 

Le régime de retraite des salariés de la Caisse régionale étant celui de la MSA, à cotisations définies, celle-ci ne porte pas dans ses comptes d'engagements « retraite» mais enregistre en « Frais de personnel » le montant des cotisations correspondantes.

Les régimes à prestations définies dont la Caisse régionale Sud Méditerranée fait bénéficier ses salariés concernent la retraite des cadres de direction et les indemnités de fin de carrière de l’ensemble du personnel. Les engagements sont couverts par des polices d’assurances et valorisés dans la note 15.

 

Note 2.7. Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l'incidence temporaire sur la charge d'impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d'exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d'impôts que devra acquitter la Caisse régionale Sud Méditerranée au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l'impact de ces opérations sur le résultat net.

 

Note 2.8. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.

La charge d'impôt figurant au compte de résultat correspond à l'impôt sur les sociétés dû au titre de l'exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution additionnelle de 1,5 % et de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3%.

 

Note 2.9. Conversion des opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors-bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d'arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.

Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction ; les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.

Dans le cadre de l'application des règlements CRBF n° 89.01 et 89.02 et des instructions 89.04 et 89.05 de la Commission bancaire, la Caisse régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multidevises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Le montant global de la position de change opérationnelle de la Caisse régionale Sud Méditerranée s'établit à 1 820 €.

 

Note 2.10. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — En application du règlement 90.02 du CRBF, sont enregistrées dans le compte « Fonds pour risques bancaires généraux», la provision de propre assureur, la provision pour risques de crédits non encore avérés et les autres provisions pour risques bancaires généraux.

 

Note 2.11. Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les principes comptables appliqués sont essentiellement fonction de l’intention avec laquelle les opérations sont effectuées.

La Caisse régionale Sud Méditerranée utilise les swaps de taux d’intérêt ou de devises essentiellement aux fins suivantes :

— Couverture du risque de taux d'intérêt affectant un élément ou un ensemble d'éléments homogènes. Ces contrats sont valorisés symétriquement à l'élément ou à l'ensemble d'éléments couverts ;

— Couverture des risques de taux global de l'établissement sur l'actif, le passif et le hors bilan. Les charges et les produits relatifs à ces contrats sont inscrits prorata temporis en compte de résultat.

 

Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits dans les comptes de hors-bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

 

Note 2.12. Emprunts obligataires. — La Caisse régionale Sud Méditerranée applique la méthode préférentielle d’étalement des frais d’émission des dettes représentées par un titre, prévue au paragraphe 300 du Règlement 99-07 du 24 novembre 1999.

 

Note 3. — Créances sur les établissements de crédit.

Analyse par durée résiduelle :

 

Créances

 (en milliers d’euros)

Durée résiduelle

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total 2005

Total 2004

Etablissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Comptes et prêts :

 

 

 

 

 

 

 

 

        A vue

4 121

 

 

 

4 121

 

4 121

2 016

        A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs reçues en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

    Titres en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

    Prêts subordonnés

 

 

 

394

394

5

399

288

    Provisions

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes au bilan

4 121

 

 

394

4 515

5

4 520

2 304

    Operations internes au crédit agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Comptes ordinaires

47 069

 

 

 

47 069

 

47 069

65 171

    Comptes et avances à terme

5 177

6 536

77 974

0

89 687

2 483

92 170

28 820

    Prêts subordonnés

 

 

 

43 900

43 900

28

43 928

43 928

            Valeurs brutes

52 246

6 536

77 974

43 900

180 656

2 511

183 167

137 919

Provisions

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs nettes

 

 

 

 

 

 

183 167

137 919

 

Les prêts subordonnés et participatifs consentis à Crédit agricole SA s'élèvent à 43 928 K€. Les titres subordonnés en portefeuille s'élèvent à 9 304 K€.

Opérations internes au Crédit Agricole : En matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit Agricole SA dans le cadre des relations financières internes.

 

Note 4. — Opérations avec la clientèle.

Analyse par durée résiduelle :

 

Créances

(en milliers d’euros) 

Durée résiduelle

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total 2005

Total 2004

Operations avec la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

    Créances commerciales

22 260

93

0

0

22 353

404

22 757

22 621

    Autres concours à la clientèle

272 059

316 245

1 026 688

1 451 833

3 066 825

27 735

3 094 560

2 761 144

    Valeurs reçues en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

    Crédit bail et location avec option d’achat

 

 

 

 

 

 

 

 

    Location simple

 

 

 

 

 

 

 

 

          Sous-total

294 319

316 338

1 026 688

1 451 833

3 089 178

28 139

3 117 317

2 783 765

Comptes ordinaires débiteurs

22 583

 

 

 

22 583

51

22 634

24 970

Valeurs brutes

316 902

316 338

1 026 688

1 451 833

3 111 761

28 190

3 139 951

2 808 735

Provisions

 

 

 

 

 

 

71 887

72 386

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

3 068 064

2 736 349

 

Parmi les créances sur la clientèle 17,6 millions d’euros sont éligibles au refinancement de la banque centrale.

Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse régionale Sud Méditerranée au 31/12/2005 s’élève à 19 700 milliers d’euros, dont 4 496 milliers d’euros relatifs aux crédits restructurés dans le cadre de la loi Neiertz.

 

Note 4.1. Opérations avec la clientèle. — Analyse par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

France (y compris DOM-TOM)

2 766 616

2 468 891

Autres pays de l’U.E.

345 145

310 873

Autres pays d’Europe

 

 

Amérique du Nord

 

 

Amérique centrale et du Sud

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

Non ventilés et organismes internationaux

 

 

    Total en principal

3 111 761

2 779 764

Créances rattachées

28 190

28 971

Provisions

71 887

72 386

    Valeurs nettes au bilan

3 068 064

2 736 349

 

Note 4.2. Opérations avec la clientèle. — Encours douteux et provisions par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Encours douteux

Provisions

Encours douteux

Provisions

France (y compris DOM-TOM)

91 316

69 570

94 960

68 807

Autres pays de l’UE

5 774

2 317

8 455

3 579

Autres pays d’Europe

 

 

 

 

Amérique du Nord

 

 

 

 

Amérique centrale et du Sud

 

 

 

 

Afrique et Moyen-Orient

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

Non ventilés et organismes internationaux

 

 

 

 

    Total

97 090

71 887

103 415

72 386

 

 

Note 4.3. Opérations avec la clientèle. — Analyse par agents économiques :

  

(En milliers d’euros) 

31/12/2005

31/12/2004

Encours brut

Encours douteux

Dont Encours douteux compromis

Provisions sur encours douteux

Dont Provisions sur encours douteux compromis

Encours Brut

Encours douteux

Provisions

Particuliers

1 222 149

25 016

17 011

20 875

12 900

1 081 264

26 940

16 898

Agriculteurs

284 873

14 974

9 076

7 816

4 864

252 364

17 599

11 507

Autres professionnels

737 326

25 478

16 185

18 409

15 196

609 287

30 601

22 558

Sociétés financières

957

0

0

0

0

97

0

0

Entreprises

406 571

28 257

14 630

21 789

12 728

403 841

22 046

15 569

Collectivités publiques

452 617

2 860

0

2 822

0

433 103

5 672

5 672

Autres agents Economiques

35 060

505

472

175

172

28 779

557

183

    Total

3 139 953

97 090

57 374

71 886

45 860

2 808 735

103 415

72 387

  

Note 5. — Titres de transactions, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

 

(En milliers d’euros) 

31/12/2005

31/12/2004

Transactions

Placements

Titres de l’activité de portefeuille

Investissement

Total 2005

Total 2004

Titres de transaction :

 

 

 

 

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

1 524

1 524

1 524

    Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

 

 

    Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

 

 

76

76

76

Provisions

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

1 600

1 600

1 600

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

24 015

 

43 354

67 369

60 005

Emis par organismes publics

 

 

 

 

 

 

Autres émetteurs

 

 

 

 

 

 

    Dont surcote restant à amortir

 

 

 

 

 

 

    Dont décote restant à amortir

 

 

 

 

 

 

Créances rattachées

 

9

 

1 225

1 234

1 096

Provisions

 

5

 

0

5

1 512

    Valeurs nettes au bilan

 

24 019

 

44 579

68 598

59 589

Actions et autres titres de revenu variable

 

48 775

 

0

48 775

17 822

Créances rattachées

 

 

 

 

 

 

Provisions

 

 

 

 

 

50

    Valeurs nettes au bilan

 

48 775

 

0

48 775

17 772

Valeurs estimatives

 

77 080

 

48 161

125 241

83 345

Nota : Un titre d’investissement pour un nominal de 5 M€ a été résilié à l’initiative de l’émetteur.

 

Note 5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) :

 

Ventilation par grandes catégories de contrepartie :

 

(En milliers d’euros)

Encours nets au

31/12/2005

Encours nets au

31/12/2004

Administrations et banques centrales (y compris Etats)

 

 

Etablissements de crédit

42 566

31 188

Sociétés financières

58 136

26 432

Collectivités locales

 

 

Entreprises, assurances et autres clientèles

16 672

19 741

Divers et non ventilés

 

 

    Valeur nette au bilan

117 374

77 361

  

Note 5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Total

Titres cotés

43 354

1 524

 

44 878

38 990

1 524

 

40 514

Titres non cotés

24 015

 

48 775

72 790

21 015

 

17 822

38 837

Créances rattachées

1 234

76

 

1 310

1 096

76

 

1 172

Provisions

5

 

 

5

1 512

 

50

1 562

    Valeurs nettes au bilan

68 598

1 600

48 775

118 973

59 589

1 600

17 772

78 961

OPCVM français de capitalisation 48 775 milliers d’euros.

 

Note 5.3. Effets publics, obligations et autres titres à revenu fixe - analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total

31/12/2005

Total

31/12/2004

Obligations et autres titres à revenu fixe

1 857

3 811

22 291

39 410

67 369

1 234

68 603

61 100

Effets publics et valeurs assimilées

0

1 524

0

0

1 524

76

1 600

1 600

Provisions

 

 

 

 

 

 

5

1 512

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

 

70 198

61 188

 

Note 6. — Tableau des titres des participations et des filiales.

 

 

Quote-part du capital détenu (en %)

Valeurs nettes comptables des titres détenus

Valeurs nettes comptables des prêts et avances consentis

Montant des cautions et avals donnés par la société

Résultats (bénéfice ou perte du dernier exercice clos)

Participation dont la valeur d’inventaire excède 1 % du capital de l’entité :

 

 

 

 

 

Participation dans des établissements de crédit (détail)

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées

 

 

 

 

 

SCI Château de Castelnou

98,61

735

228

 

-26

Autres titres de participations

 

 

 

 

 

Sas rue la boétie

1,32

130 268

1 507

 

528 279

Sa Sofilaro

20,39

1 154

3

 

-154

Gf font moreau

24,11

536

 

 

8

Sas Sacam développement

1,35

9 882

3 053

 

27 381

Sas Sacam Fireca

1,18

603

 

 

-2 245

SNC CA Titres

 

398

 

 

2 998

Participations dont la valeur d’inventaire est inferieure à 1% du capital de l’entité :

 

 

 

 

 

Autres parts dans les entreprises liées (ensemble)

 

 

 

 

 

Autres titres de participation (ensemble)

 

1 603

2 950

 

 

        Total parts dans les entreprises liées et participations

 

 

145 179

 

7 741

 

 

 

Note 6.1. Valeur estimative des titres de participation :

 

 

 

31/12/2005

31/12/2004

Valeur au bilan

Valeur estimative

Valeur au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées :

 

 

 

 

Titres non cotés

1 586

734

1 586

786

Titres cotés

 

 

 

 

Avances en comptes courants d’associés

915

230

915

228

Créances rattachées

 

 

0

0

Provisions

1 537

 

1 486

 

      Sous-total parts dans les entreprises liées

964

964

1 015

1 014

Titres de participation :

 

 

 

 

Titres non cotés

150 181

275 807

142 783

242 482

Titres cotés

 

 

 

 

Avances en comptes courants d’associés

2 681

2 625

2 305

2 249

Créances rattachées

184

184

207

207

Provisions

1 232

 

1 418

 

    Sous-total titres de participation

151 814

278 616

143 877

244 938

Autres titres détenus à long terme :

 

 

 

 

Titres non cotés

 

 

 

 

Titres cotés

 

 

 

 

Avances en comptes courants d’associés

328

328

535

535

Créances rattachées

 

 

 

 

Provisions

 

 

 

 

    Sous-total autres titres détenus à long terme

328

328

535

535

        Total

153 106

279 908

145 427

246 487

 

 Note 7. — Variation de l’actif immobilisé.

Note 7.1. Immobilisations financières :

 

Rubriques

(En milliers d’euros)

31/12/2005

Valeur en début d’exercice

Augmentations (Acquisitions)

Diminutions (Cessions) (Echéances)

Autres mouvements

Valeur à la fin de l’exercice

Parts dans les entreprises liées

1 015

-51

 

 

964

Valeurs brutes

1 586

 

 

 

1 586

Avances en comptes

915

 

 

 

915

Comptes courants associés

 

 

 

 

 

Provisions

 1 486

 51

 

 

1 537 

Avances consolidables

 

 

 

 

 

Titres de participation

143 670

18 774

10 814

 

151 630

Valeurs brutes

135 766

10 491

636

 

145 621

Avances en comptes

9 322

8 323

10 404

 

7 241

Provisions

1 418

40

226

 

1 232

Autres titres détenus à long terme

535

 

207

 

328

Valeurs brutes

 

 

 

 

 

Avances en comptes

 

 

 

 

 

Comptes courants associés

 

 

 

 

 

Provisions

 

 

 

 

 

Avances consolidables

535

 

207

 

328

Créances rattachées

207

184

207

 

184

    Valeurs nettes au bilan

145 427

18 907

11 228

 

153 106

 

Note 7.2. Immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

Valeur en début d’exercice

Augmentation (Acquisitions)

Diminutions (Cessions) (Echéances)

Autres mouvements

Valeur à la fin de l’exercice

Immobilisations corporelles d’exploitation :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

93 761

10 808

4 604

 

99 965

    Amortissements et provisions

53 055

5 413

199

 

58 269

Immobilisations corporelles données en location :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

 

 

 

 

 

    Amortissements et provisions

 

 

 

 

 

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

    Valeurs brutes

8 799

503

63

 

9 240

    Amortissements et provisions

6 197

1 124

 

 

7 321

        Valeurs nettes au bilan

43 308

4 774

4 468

 

43 614

 

Note 8. — Autres actifs et comptes de régularisation. 

(En milliers d’euros.)

 

Rubriques

Montant 31/12/2005

Montant 31/12/2004

    Autres actifs

12 346

11 282

Instruments conditionnels achetés

 

 

Comptes de stock et emplois divers

1 850

1 684

Comptes de règlement

37

50

Débiteurs divers

10 459

9 548

Capital souscrit non versé

 

 

Actions propres

 

 

    Comptes de régularisation

64 815

60 013

Comptes d’encaissement et de transfert

29 309

30 208

Comptes d’ajustement et comptes d’écarts

 

 

Gains latents et pertes à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits à recevoir et charges constatées d’avance

34 898

28 766

Charges à répartir

 

 

Autres comptes de régularisation

608

1 039

    Valeurs nettes au bilan

77 161

71 295

   

Note 9. — Provisions inscrites en déduction de l’actif.

(En milliers d’euros.)

 

 

Solde au 31/12/04

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

Solde au 31/12/05

Provisions déduites de l’actif

 

 

 

 

 

    Sur interbancaire

 

 

 

 

 

    Sur créances clientèle

72 386

41 316

43 887

2 072

71 887

    Sur opérations de crédit-bail

 

 

 

 

 

    Sur portefeuilles-titres (placements TAP et investissements)

1 562

0

1 557

 

5

    Sur participations et autres titres détenus à long terme

2 904

91

226

 

2 769

    Autres

3 145

135

534

 

2 746

        Total provisions actif

79 997

41 542

46 204

2 072

77 407

 

Note 10. — Dettes envers les établissements de crédit – Analyse par durée résiduelle.

(En milliers d’euros.)

 

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 mois

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/05

Total 31/12/04

Etablissements de crédit :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes et emprunts :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

434

 

 

 

434

7

441

288

A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs données en pension

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

    Valeurs au bilan

434

 

 

 

434

7

441

288

Operations internes au Crédit agricole :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires

3 119

 

 

 

3 119

 

3 119

2 053

Comptes et avances à terme

370 488

646 913

688 901

457 833

2 164 135

5 743

2 169 878

1 851 200

    Valeurs au bilan

373 607

646 913

688 901

457 833

2 167 254

5 743

2 172 997

1 853 253

            Total valeurs au bilan

374 041

646 913

688 901

457 833

2 167 688

5 750

2 173 438

1 853 541

 

Opérations internes au Crédit Agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit Agricole S.A. et nécessaires au financement de l’encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale (cf. Cadre juridique et financier).

 

Note 11. — Comptes créditeurs de la clientèle.

Analyse par durée résiduelle (en milliers d’euros) :

 

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 mois

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/05

Total 31/12/04

Comptes créditeurs de la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

 

935 784

 

 

 

 

935 784

 

40

 

935 824

 

865 971

Comptes d’épargne à régime spécial :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

9 528

 

 

 

9 528

0

9 528

8 358

A terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes envers la clientèle :

 

 

 

 

 

 

 

 

A vue

 

 

 

 

 

 

 

 

A terme

31 203

5 192

6 808

437

43 640

986

44 626

48 202

Valeurs données en pension livrée

 

 

 

 

 

 

 

 

        Total valeurs au bilan

 

976 515

 

5 192

 

6 808

 

437

 

988 952

 

1 026

 

989 978

 

922 531

 

Note 11.1. Comptes créditeurs de la clientèle par agents économiques :

 

En milliers d’euros

Montant 31/12/2005

Montant 31/12/2004

Particuliers

599 094

565 818

Agriculteurs

68 445

53 536

Autres professionnels

71 994

63 492

Sociétés financières

165

128

Entreprises

195 348

185 632

Collectivités publiques

3 118

2 625

Autres agents économiques

51 814

51 300

Divers

 

 

    Total

989 978

922 531

 

Note 12. — Dettes représentées par un titre.

Analyse par durée résiduelle (en milliers d’euros) :

 

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 mois

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total 31/12/05

Total 31/12/04

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

 

 

 

Bons de caisse

1 538

520

0

0

2 058

9

2 067

2 224

Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres de créances négociables :

 

 

 

 

 

 

 

 

Emis en France

 

 

 

 

 

 

 

 

Emis à l’étranger

 

 

 

 

 

 

 

 

Emprunts obligataires

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

 

 

 

 

    Total valeurs au bilan

1 538

520

0

0

2 058

9

2 067

2 224

 

Note 13. — Autres passifs et comptes de régularisation.

(En milliers d’euros.)

 

Rubriques

Montant 31/12/2005

Montant 31/12/2004

    Autres passifs

14 917

10 412

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

 

 

Dettes représentatives de titres empruntés

 

 

Instruments conditionnels vendus

 

 

Compte de règlement

 

 

Créditeurs divers

242

261

Versements restant à effectuer sur titres

14 233

9 709

Autres

442

442

    Comptes de régularisation

34 798

32 707

Comptes d’encaissement et de transfert

4 051

2 139

Comptes d’ajustement et comptes d’écart

 

 

Pertes latentes et gains à étaler sur instruments financiers

 

 

Produits constatés d’avance et charges à payer

29 735

28 604

Autres comptes de régularisation

1 012

1 964

    Valeurs au bilan

49 715

43 119

 

Note 14. — Provisions pour risques et charges.

 

(En milliers d’euros)

Solde au 31/12/04

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde au 31/12/05

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

 1 301

 133

 0

 308

 -1

 925

Provisions pour risques fiscaux

4 011

 0

  0

0

 0

 4 011

Provisions pour passage à l’euro

 

 

 

 

 

 

Provisions pour risques de crédit (1)

 0

 8 934

 

 

 21 744

 25 678

Provisions pour impôts

2 247

 0

 247

 0

0

 2 000

Provisions pour litiges et garanties de passif

 

 

 

 

 

 

Provisions pour risques opérationnels

  3 081

 1 950

  93

  114

 6 312

4 824

Provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement (2)

 0

 293

 0

 110

 

 6 4 95

Autres provisions pour risques et charges

 7 701

 2 837

 100

 1 790

 1

 8 649

    Valeurs au bilan

18 341

9 147

440

2 522

28 056

52 582

(1) - dont 14,9 M€ relatifs à une provision établie sur base collective calculée au moyen d’un outil Bâle 2 qui classe les encours sains par marchés et classe de risques. Cette provision est calculée en fonction de la probabilité de pertes en cas de défaut.

- dont 6,8 M€ de provision sectorielle Espagne.

(2) Cette provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat .

 

 

Note 15. — Engagements sociaux : avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies.

 

Variation de la dette actuarielle

2005

Dette actuarielle au 31/12/2004

9 124

Coût des services rendus sur la période

332

Effet de l’actualisation

412

Cotisations de l’employé

 

Modification / réduction / liquidation du plan

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

 

Indemnités de cessation d’activité

 

Prestations versées

-299

Gains / Pertes actuarielles

-467

    Dette actuarielle au 31/12/2005

9 102

 

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat

2005

Coût des services rendus sur l’exercice

332

Effet de l’actualisation

412

Rendement attendu des actifs sur la période

-394

Amortissement du coût des services passés

 

Autres gains ou pertes

585

    Charge nette comptabilisée au compte de résultat

936

 

Variations de juste valeur des actifs des régimes

2005

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31/12/2004

9 178

Rendement attendu des actifs

394

Gains / (pertes) actuariels sur les actifs du régime

-1 052

Cotisations de l’employeur

936

Cotisations de l’employé

 

Modification /réduction / liquidation de plan

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

-35

Indemnités de cessation d’activité

 

Prestations versées

-299

    Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/2005

9 121

 

Variation de la provision

2005

Provisions / actifs au 31/12/2004

54

Cotisations de l’employeur

936

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

-35

Paiements directs de l’employeur

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

-936

    (Provisions) / actif au 31/12/2005

19

 

— Rendement des actifs des régimes : Le rendement effectif des actifs des régimes est de 4%.

 — Hypothèses actuarielles utilisées : Le taux d’actualisation utilisé est de 3,82% pour les IFC et de 3,75% pour les régimes de retraite.

 

Note 16. — Fonds pour risques bancaires généraux.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Epargne logement

 

6 178

Risque de crédit non avéré

 

9662

Autres

8 307

20 652

    Valeur au bilan

8 307

36 492

 

Note 17. — Dettes subordonnées – Analyse par durée résiduelle.

(En milliers d’euros.)

 

(En milliers d’euros)

< 3 mois

< 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Montant

31/12/2005

Montant

31/12/2004

Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à terme

 

 

 

28 173

28 173

448

28 621

28 639

Emprunts participatifs

 

 

 

 

 

 

 

 

Autres emprunts subordonnés à terme

 

 

 

 

 

 

 

 

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

 

 

 

 

C.C. bloqués des Caisses locales

2 034

 

 

 

2 034

86

2 120

2 127

    Valeurs au bilan

2 034

 

 

28 173

30 207

534

30 741

30 766

Le montant des charges relatives aux dettes subordonnées s'élève à 1 479 K€.

   

Note 18. — Variation des capitaux propres.

 

(En milliers d’euros)

Capitaux propres

Capital (1)

Primes et réserves (2)

Ecarts réévaluation

Provisions réglementées

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 décembre 2003

27 194

262 356

 

260

31 366

321 176

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versées au titre de 2003

 

 

 

 

-3 058

-3 058

Variation de capital

-164

 

 

 

 

-164

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2003

 

28 308

 

 

-28 308

 

Report à nouveau débiteur

 

-2 926

 

 

 

-2 926

Résultat de l’exercice 2004

 

 

 

 

35 030

35 030

Autres variations

 

 

 

871

 

871

    Solde au 31 décembre 2004

27 030

287 738

 

1 131

35 030

350 929

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versées au titre de 2004

 

 

 

 

-3 107

-3 107

    Variation de capital

175

 

 

 

 

175

Variation des primes et réserves

 

 

 

 

 

 

Affectation du résultat social 2004

 

28 997

 

 

-28 997

 

Report à nouveau à l’ouverture

 

2 926

 

 

-2 926

 

Report à nouveau débiteur

 

-2 072

 

 

 

-2 072

Résultat de l’exercice 2005

 

 

 

 

39 593

39 593

Autres variations

 

-575

 

-106

 

-681

    Solde au 31 décembre 2005

27 205

317 014

 

1 025

39 593

384 837

(1) Dont 7 014 milliers d’euros de Certificats Coopératifs d’Associés souscrits par CA SA.

(2) Dont prime d’émission sur Certificats Coopératifs d’Associés souscrits par CA SA pour 59 035 milliers d’euros et prime de fusion pour 70 590 milliers d’euros.

   

Note 19. — Composition des fonds propres.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Capitaux propres

384 837

350 929

Fonds pour risques bancaires généraux

8 307

36 492

Dettes subordonnées

30 740

30 766

Dépôts de garantie à caractère mutuel

 

 

    Total des fonds propres

423 884

418 187

 

Note 20. — Opérations effectues en devises.

 

Le montant global en euros libellé en devises au 31/12/2005 s’élève à :

— 9 437 K€ pour les éléments d’actif ;

— 10 934 K€ pour les éléments de passif.

 Note 21. — Opérations à terme en devises non dénouées.

(En milliers d’euros.)

 

Opérations de change

31/12/2005

31/12/2004

A recevoir

A livrer

A recevoir

A livrer

Opérations de change au comptant :

 

 

 

 

Devises

 

 

 

 

Euros

 

 

 

 

Opérations de change à terme

1 833

1 831

825

824

Devises

929

929

390

390

Euros

904

902

435

434

Prêts et emprunts en devises

 

 

 

 

    Total

1 833

1 831

825

824

 

Note 22. — Opérations sur instruments financiers à terme.

(En milliers d’euros.)

 

Type d’opération

Opérations de couverture

Opérations autres que de couverture

Total 31/12/05

Total 31/12/04

Operations fermes

741 785

 

741 785

402 538

Opérations sur marchés organisés

 

 

 

 

Opérations de gré à gré

741 785

 

741 785

402 538

Swaps de taux d’intérêt

741 785

 

741 785

402 538

FRA

 

 

 

 

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

Autres contrats à terme

 

 

 

 

Operations conditionnelles

 

 

 

 

Opérations sur marchés organisés

 

 

 

 

Opérations de gré à gré

 

 

 

 

   

Note 22.1. Opérations sur instruments financiers à terme. — Encours notionnels par durée résiduelle :

 

 

 

Total

Dont opérations Effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés Organisés et assimilés

< 1 an

De 1 à 5 ans

> 5 ans

< 1 an

De 1 à 5 ans

> 5 ans

< 1 an

De 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de changes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FRA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Swaps de taux d’intérêt

200 865

338 047

202 873

200 865

338 047

202 873

 

 

 

Swaps de devises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Caps, floors, collars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dérivés sur actions

 

 

 

 

 

 

 

 

 

      Sous-total

200 865

338 047

202 873

200 865

338 047

202 873

 

 

 

Opérations de change à terme

3 664

 

 

3 664

 

 

 

 

 

        Total général

204 529

338 047

202 873

204 529

338 047

202 873

 

 

 

 

Note 22.2. Instruments financiers à terme. — Juste valeur :

 

(En millier d’euros)

31/12/2005

Total juste valeur

Encours notionnel

Futures

 

 

Options de change

 

 

Options de taux

 

 

F.R.A.

 

 

Swaps de taux d’intérêt

3 520

416 038

Swaps de devises

 

 

Caps, floors, collars

 

 

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

 

 

Autres

 

 

  Sous total

3 520

416 038

Opérations de change à terme

 

 

    Total général

3 520

416 038

   

Notes sur le compte de résultat.

 

    Note 23. — Produits nets d’intérêts et revenus assimilés.

Produits nets d’intérêts :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Produits d’intérêts

155 058

148 244

    Sur opérations avec les établissements de crédit

690

988

    Sur opérations interne au Crédit Agricole

8 499

9 115

    Sur opérations avec la clientèle

137 116

129 205

    Sur obligations et autres titres à revenu fixe

2 707

2 628

Autres intérêts et produits assimilés

6 046

6 308

Charges d’intérêts

74 758

70 913

    Sur opérations avec les établissements de crédit

16

184

    Sur opérations interne au Crédit Agricole

66 305

62 581

    Sur opérations avec la clientèle

8 361

8 079

    Sur obligations et autres titres à revenu fixe

53

60

Autres intérêts et produits assimilés

23

9

        Total produits nets d’intérêts et revenus assimilés

80 300

77 331

 

Note 24. — Revenus des titres.

Titres à revenus fixes :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Titres de placement

57

61

Codevi

 

 

Titres d’investissement

2 650

2 567

Operations diverses sur titres

 

 

    Revenus des titres à revenus fixes

2 707

2 628

 

Titres à revenus variables :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Parts dans les entreprises liées

2

 

Autres titres de participation et autres titres détenus a long terme

 8 375

 6 245

Titres de placement et titre de l’activité de portefeuille

 

 

Operations diverses sur titres

 

 

    Revenus des titres a revenus fixes

8 377

6 245

 

Note 25. — Produit net des commissions.

 

Type de commissions (en milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

40

6

34

64

6

58

Sur opérations internes au Crédit Agricole

9 177

2 625

6 552

6 909

2 027

4 882

Sur opérations avec la clientèle

14 510

64

14 446

15 438

64

15 374

Sur opérations sur titres

 

 

 

 

 

 

Sur opérations de change

3

 

3

40

0

40

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan

 

 

 

 

 

 

Sur prestations de services financiers (1)

38 935

4 351

34 584

37 997

4 281

33 716

    Total

62 665

7 046

55 619

60 448

6 378

54 070

(1) Dont prestations d’assurance-vie :8 350 K€.

   

Note 26. — Solde des opérations sur portefeuille de négociations.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Solde des opérations sur titres de transactions

 

 

Solde des opérations sur instruments financiers à terme

 

 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

115

107

    Total

115

107

   

Note 27. — Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placements et assimiles.

(En milliers d’euros.)

  

Titres de placements

31/12/ 2005

31/12/ 2004

Dotations aux provisions

0

117

Reprises de provisions

1 557

1 077

    Dotation ou reprise nette aux provisions

1 557

960

Plus-values de cessions réalisées

254

823

Moins values de cessions réalisées

49

 

    Solde des plus et moins values de cessions réalisées

205

823

    Solde des opérations sur titres de placements

1 762

1 783

 

 Note 28. — Charges générales d’exploitation. 

 Note 28.1. Frais de personnel :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/ 2004

Salaires et traitements (1)

24 919

24 925

Charges sociales :

13 449

12 579

Intéressement

3 988

4 033

Participation

1 560

832

Impôts et taxes sur rémunération

2 916

2 972

    Total des frais de personnel

46 832

45 341

(1) Les refacturations de charges de frais de personnel sont déduites du poste « salaires et traitements ».

 

Note 28.2. Effectif :

 

Catégories de personnel

31/12/2005

31/12/2004

Cadres

153

154

Tam

358

346

Employés

355

382

    Total

866

882

        Dont France

853

868

        Etranger

13

14

 

La rémunération des organes de direction est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’Institution. Le montant global des avances et crédits accordés pendant l’exercice à l’ensemble des membres des organes d’administration ainsi que les rémunérations s’élèvent à 3 134 K€.

 

Note 28.3. Autres frais administratifs :

 

Autres frais administratifs

Montant 31/12/2005

Montant 31/12/2004

Impôts et taxes

2 679

2 539

Services extérieurs

25 874

28 552

Autres frais administratifs

-84

-3 424

    Total des frais administratifs

28 469

27 667

 

 Note 29. — Coût du risque.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Dotations aux provisions

41 686

27 711

Provisions sur créances douteuses

36 809

25 924

Autres provisions

4 877

1 787

Reprises de provisions

36 329

29 645

Reprises de provisions sur créances douteuses

34 179

28 236

Autres reprises de provisions

2 150

1 409

Variation des provisions

5 357

-1 934

Pertes sur créances douteuses irrécouvrables non provisionnées

298

170

Pertes sur créances douteuses irrécouvrables provisionnées

5 235

8 079

Récupérations sur créances amorties

775

770

Pertes / risques opérationnels

264

 

    Coût du risque

10 379

5 545

 

Note 30. — Résultat net sur actifs immobilisés.

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004

Immobilisations financières :

 

 

    Dotations aux provisions :

 

 

        Sur titres d’investissement

 

 

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

91

127

    Reprises de provisions :

 

 

        Sur titres d’investissement

 

 

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

226

12

    Dotation ou reprise nette aux provisions :

 

 

        Sur titres d’investissement

 

 

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

135

-115

    Plus-values de cessions réalisées

 

 

        Sur titres d’investissement

0

167

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

53

0

    Moins-values de cessions réalisées :

 

 

        Sur titres d’investissement

 

 

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

116

0

    Solde des plus et moins-values de cessions

 

 

        Sur titres d’investissement

0

167

        Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

-63

 

    Solde en perte ou en bénéfice

72

52

Immobilisations corporelles et incorporelles

 

 

    Plus-values de cession

3

283

    Moins-values de cession

23

21

        Solde en perte ou en bénéfice

-20

262

Résultat net sur actifs immobilises

52

314

 

Note 31. — Résultat exceptionnel – FRBG.

 

La charge exceptionnelle qui s’établit à 29,1 M€, est composée :

— de la dotation sur le risque crédit correspondant aux provisions sur bases collectives pour 21 744 K€ et de la dotation pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement pour 6 312 K€, en contrepartie une reprise de 28 056 K€ de FRBG a été effectuée ;

— de 1 031 K€ de charge relative au solde de la migration informatique.

 

 Note 32. — Affectation des résultats.

(En milliers d’euros.)

 

 

Montants

Résultat de l’exercice

39 593

Distribution

3 521

Report à nouveau

2 072

Réserve légale

25 500

Autres réserves

8 500

 

Note 33. — Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

 

(En milliers d’euros)

Ernst & Young

Audit :

 

    Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

149

    Missions accessoires

 

          Sous-total

149

Autres prestations :

 

    Juridique, fiscal et social

 

    Technologie de l’information

 

    Audit interne

 

    Autres : à préciser si > à 10% des honoraires d’audit

 

          Sous-total

0

                Total

149

(1) Y compris les prestations d’experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes.

 

Note 34. — Publicité.

 Le Rapport de Gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au Siège Social de la Caisse régionale de Crédit Agricole Sud Méditerranée, 30 rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

 

 Note 35. — Rapport du commissaire aux comptes.

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2005, sur :

— le contrôle des comptes annuels de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud-Méditerranée, tels qu'ils sont joints au présent rapport ;

— la justification de nos appréciations ;

— les vérifications spécifiques et les informations prévues par la loi.

Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes.

 

I. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d'ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l'opinion exprimée ci-après.

Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice.

Sans remettre en cause l'opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur les points suivants exposés dans la note 2 de l’annexe concernant :

— le changement de méthode lié à l’application de l’article 13 du règlement CRC n° 2002-03 relatif au traitement comptable du risque de crédit dans les entreprises relevant du Comité de la règlementation bancaire et financière concernant l'actualisation des flux futurs de recouvrement relatifs au provisionnement des encours douteux et douteux compromis ;

— le changement de méthode lié à l'application, par anticipation à compter du 1er janvier 2005, de l'article 6 du règlement CRC n° 2005-03, concernant le calcul des décotes sur prêts restructurés ;

— le changement de méthode lié à l'application, à partir du 1er janvier 2005, du règlement CRC n° 2004-06 relatif à la définition, la comptabilisation et l'évaluation des actifs ;

— le changement de méthode lié à l'application, par anticipation à compter du 1er janvier 2005, du règlement CRC n° 2005-01, relatif à la comptabilisation des opérations sur titres ;

— les principes retenus par votre établissement dans une optique de convergence avec le référentiel IFRS pour la comptabilisation des provisions collectives pour risques de crédit et des provisions pour risque de déséquilibre du contrat épargne logement.

 

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l'article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

— Changements de méthodes comptables : Ainsi qu'il est mentionné dans la note 2.A de l'annexe, des changements de méthodes comptables sont intervenus au cours de l'exercice clos le 31 décembre 2005. Dans le cadre de notre appréciation des règles et principes comptables suivis par votre caisse régionale, nous nous sommes assurés du bien-fondé des changements de méthodes comptables mentionnés ci-dessus et de leur présentation ;

— Estimations comptables : Comme indiqué dans les notes 2.A et 2.A.1 de l’annexe, la caisse régionale constitue des provisions pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes, nous avons revu les processus mis en place par la direction pour identifier et évaluer les risques de non recouvrement et leur couverture par des provisions individuelles ou collectives.

 

La caisse régionale constitue une provision pour couvrir le risque de déséquilibre du contrat épargne logement. Nous avons revu le processus mis en œuvre pour déterminer le montant de cette provision qui, comme indiqué en annexe, a été établie selon une méthodologie commune au groupe Crédit Agricole en conformité avec les dispositions rendues publiques dans le communiqué du CNC du 12 décembre 2005.

Sur la base des informations disponibles à ce jour, nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations.

Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport.

 

III. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d'administration et dans les documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.

 

Toulouse, le 17 mars 2006.

 

Comptes annuels sur base consolidée au 31/12/2005 établis conformément aux normes comptables IFRS adoptées par l’Union européenne.

 

Arrêté par le Conseil d’administration de Sud Méditerranée en date du 17 février 2006.

 1. Préambule.

 

1.1. Cadre réglementaire. — L'Union Européenne a adopté le 19 juillet 2002 le règlement (CE n°1606/2002) imposant aux entreprises européennes dont les titres sont admis à la négociation sur un marché réglementé, de produire des comptes consolidés selon le référentiel IFRS à partir de 2005.

Ce règlement a été complété, par le règlement du 29 septembre 2003 (CE n°1725/2003) portant application des normes comptables internationales, et par le règlement du 19 novembre 2004 (CE n°2086/2004) permettant l'adoption de la norme IAS 39 dans un format amendé, ainsi que par les règlements du 29 décembre 2004 (CE n° 2236/2004, 2237/2004, 2238/2004), du 4 février 2005 (CE n° 211/2005), du 7 juillet 2005 (CE n° 1073/2005), du 25 octobre 2005 (CE n° 1751/2005), du 15 novembre 2005 (CE n° 1864/2005), du 8 novembre 2005 (CE n° 1910/2005) et du 21 décembre 2005 (CE n° 2106/2005).

L'ordonnance du Ministère des finances du 20 décembre 2004 (n°2004/1382) permet aux entreprises d'opter pour le référentiel IAS pour établir leurs comptes consolidés à partir de 2005, même lorsqu'elles ne sont pas cotées. Cette option a été retenue pour l'ensemble des entités du groupe Crédit Agricole.

 

1.2. Transition aux normes internationales. — Dans le cadre de la préparation de la transition aux normes internationales, le groupe Crédit Agricole applique la recommandation émise par le Comité des régulateurs de valeurs mobilières (CESR) du 30 décembre 2003, et reprise par la recommandation AMF du 6 juillet 2004 sur la transition aux normes IFRS. Cette dernière recommandation formule les conditions dans lesquelles les sociétés soumises aux normes internationales communiquent leurs informations financières pendant la période de transition.

La date d’adoption étant le 31 décembre 2005, le groupe Crédit Agricole publie pour la première fois à compter de cette date ses premiers états financiers IFRS conformément aux normes IAS/IFRS, telles qu’adoptées par l’Union Européenne.

 

Par ailleurs, la date de transition aux IFRS étant le 1er janvier 2004 pour l’ensemble des normes à l’exception des normes IAS 32, 39 et IFRS 4, le groupe Crédit Agricole présente des informations comparatives complètes selon les normes IAS/IFRS à compter de cette date. Il est précisé que la date de transition des normes IAS 32, 39 et IFRS 4 est le 1er janvier 2005.

 

1.3. Normes applicables et comparabilité. — Pour établir le bilan d’ouverture et les comptes annuels de l’exercice 2005, les seules règles comptables publiées au journal officiel de l’union européenne et applicables à la date de clôture ont été utilisées. En revanche, les normes et interprétations dont la date d’entrée en vigueur est postérieure à l’exercice 2005 n’ont pas été retenues.

Du fait de la mise en oeuvre réglementaire à compter du 1er janvier 2005 des normes IAS 32, 39 sur les instruments financiers et IFRS 4 sur les passifs d’assurance, les états financiers concernant l’exercice 2004 sont présentés sans intégrer les impacts de ces normes. En conséquence, les actifs et passifs relatifs à l’activité d’assurance et les instruments financiers sont comptabilisés et évalués selon les règles françaises telles que décrites dans les principes et méthodes comptables présentés dans les états financiers 2004. Dans ces conditions, les paragraphes 8.1.5 et 8.1.7 ci-après ne s’appliquent pas aux données relatives à l’exercice 2004.

Pour faciliter la compréhension et l’analyse des informations financières 2005, des données financières consolidées à normes constantes ont également été préparées : elles comprennent des données comparatives 2004 incorporant une simulation d’application des normes IAS 32 et 39 et IFRS 4. Ces informations complémentaires ne figurent pas dans les états réglementaires.

 

1.4. Format de présentation des états financiers. — La Caisse régionale Sud Méditerranée utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation CNC n°2004-R.03 du 27 octobre 2004.

 

2. Cadre général.

 

2.1. Présentation juridique de l’entité. — La Caisse régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à personnel et capital variable dont le siège social est situé à Perpignan, 30 rue Pierre Bretonneau. Elle est inscrite au Registre de commerce et des sociétés de Perpignan sous la référence 776179335 et fait partie du groupe Crédit Agricole au même titre que les 40 autres Caisses régionales figurant dans l’organigramme du groupe décrit ci-après.

2.2. Organigramme simplifié du groupe Crédit Agricole.

— Un groupe bancaire d’essence mutualiste : L’organisation du Crédit Agricole fait de lui un groupe uni et décentralisé : sa cohésion financière, commerciale et juridique va de pair avec la décentralisation des responsabilités. Les Caisses locales forment le socle de l’organisation mutualiste du groupe. Leur capital social est détenu par 5,7 millions de sociétaires qui élisent quelques 34 200 administrateurs. Elles assurent un rôle essentiel dans l’ancrage local et la relation de proximité avec les clients. Les caisses locales détiennent la majeure partie des Caisses régionales, sociétés coopératives et banques régionales de plein exercice. Les caisses régionales via la SAS rue la Boétie, contrôlent majoritairement le capital de Crédit Agricole S.A. La Fédération nationale du Crédit Agricole (FNCA) constitue une instance d’information, de dialogue et d’expression pour les Caisses régionales.

Crédit Agricole S.A. en qualité d’organe central du groupe Crédit Agricole veille, conformément aux dispositions du code monétaire et financier (Art L511-31 et Art 512-20) à la cohésion du réseau du groupe Crédit Agricole, au bon fonctionnement des établissements de crédit qui le compose, au respect des dispositions législatives et réglementaires qui leur sont propres en exerçant sur ceux-ci un contrôle administratif, technique et financier. Crédit Agricole S.A. garantit la liquidité et la solvabilité tant de l’ensemble du réseau que de chacun des établissements qui lui sont affiliés.

 

 

2.3. Relations internes au Crédit agricole.

 

2.3.1. Mécanismes financiers internes. — Les mécanismes financiers qui régissent les relations réciproques au sein du Crédit Agricole lui sont spécifiques :

 

— Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit Agricole S.A., qui enregistre les mouvements de fonds correspondant aux relations financières internes. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en : « Opérations internes au Crédit Agricole - Comptes ordinaires» et intégré sur la ligne « Prêts et créances sur établissements de crédit » ;

— Comptes et avances à terme : Les ressources d'épargne (emprunts obligataires, bons et comptes à terme assimilés, comptes et plans d'épargne-logement, comptes sur livrets, PEP, etc.) sont collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit Agricole S.A. Elles sont transférées à Crédit Agricole S.A. et figurent à ce titre à son bilan. Elles financent les avances faites aux Caisses régionales pour leur permettre d'assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.

Quatre réformes financières internes successives ont été mises en oeuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d'avances, dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d'épargne collectées), 15%, 25%, puis 33% et, depuis le 31 décembre 2001, 50% des ressources d'épargne qu'elles ont collecté et dont elles ont désormais la libre disposition.

Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la collecte, partagées entre les Caisses régionales et Crédit Agricole S.A., sont déterminées par l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.

Par ailleurs, 50% des crédits entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit Agricole S.A. et la Caisse régionale peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit Agricole S.A.

Deux autres types d'avances sont à distinguer :

– Les avances pour prêts bonifiés qui refinancent les prêts à taux réduits fixés par l'Etat : celui-ci verse à Crédit Agricole S.A. une bonification pour combler la différence entre le coût de la ressource et le taux des prêts,

– Les avances pour autres prêts qui refinancent, à hauteur de 50%, les prêts non bonifiés : ces avances de Crédit Agricole S.A. sont accordées aux Caisses régionales sur justification de leurs engagements et ne peuvent être affectées qu'à la réalisation des prêts pour lesquels un accord préalable a été obtenu. Elles sont reversées au fur et à mesure du remboursement des prêts accordés.

 

Par ailleurs, des financements complémentaires à taux de marché peuvent être accordés aux Caisses régionales par Crédit Agricole S.A.

 

— Transfert de l'excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d'origine monétaire des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme et certificats de dépôt négociables), peuvent être utilisées par celles-ci au financement de leurs prêts. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit Agricole S.A., où ils sont enregistrés dans des comptes ordinaires ou des comptes à terme parmi les « Opérations internes au Crédit Agricole » ;

— Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit Agricole S.A. — Les excédents peuvent être investis chez Crédit Agricole S.A. sous la forme de placements de 3 à 7 ans dont toutes les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire ;

— Opérations en devises : Crédit Agricole S.A. étant leur intermédiaire auprès de la Banque de France, les Caisses régionales s'adressent à elle pour leurs opérations de change ;

— Comptes d'épargne à régime spécial : Les ressources d'épargne à régime spécial (comptes sur livrets, d'épargne-entreprise, d'épargne populaire, Codevi, comptes et plans d'épargne-logement, plans d'épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit Agricole S.A., où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit Agricole S.A. les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle» ;

— Titres à moyen et long terme émis par Crédit Agricole S.A. : Ceux-ci sont placés principalement par les Caisses régionales et figurent au passif du bilan de Crédit Agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre» ou « Provisions et dettes subordonnées» ;

— Couverture des risques de liquidité et de solvabilité : Dans le cadre de l’introduction en bourse de Crédit Agricole S.A., la CNCA (devenue Crédit Agricole S.A.) a conclu en 2001 avec les Caisses régionales un Protocole ayant notamment pour objet de régir les relations internes au groupe Crédit agricole. Ce Protocole prévoit en particulier la constitution d’un fonds pour risques de liquidité et de solvabilité destiné à permettre à Crédit Agricole S.A. d’assurer son rôle d’organe central en intervenant en faveur des Caisses régionales qui viendraient à connaître des difficultés. Les principales dispositions du Protocole sont détaillées au Chapitre III du document de référence de Crédit Agricole S.A. enregistré auprès de la Commission des opérations de bourse le 22 octobre 2001 sous le numéro R.01-453.

En outre, depuis la mutualisation de 1988 de la CNCA, dans l’éventualité d’une insolvabilité ou d’un évènement similaire affectant Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales se sont engagées à intervenir en faveur de ses créanciers pour couvrir toute insuffisance d’actif. L’engagement potentiel des Caisses régionales au titre de cette garantie est égal à la somme de leur capital social et de leurs réserves.

 

2.3.2. Autres parties liées. — Les autres parties liées correspondent aux entités constituant le périmètre consolidé et aux dirigeants dont la rémunération est précisée au paragraphe 8.11.5.

 

3. Compte de résultat :

 

(En millions d'euros)

Notes

31/12/2005

31/12/2004 hors 32, 39

et IFRS 4

Intérêts et produits assimilés

 

160 679

152 766

Intérêts et charges assimilées

 

-82 271

-75 963

Commissions (produits)

 

65 913

62 012

Commissions (charges)

 

-7 776

-6 897

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

 

2 147

 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

 

8 107

 

Résultat sur opérations financières

 

 

7 857

Marge brute des sociétés d'assurance

 

 

 

Produits des autres activités

 

7 124

6 465

Charges des autres activités

 

-491

-274

Produit net bancaire

 

153 432

145 966

Charges générales d'exploitation

 

-76 524

-82 511

Dotations aux amortissements et aux provisions pour dépréciation des immobilisations incorporelles et corporelles

 

 

-6 540

 

-6 088

Résultat brut d’exploitation

 

70 368

57 367

Coût du risque

 

-10 380

-5 812

Résultat d’exploitation

 

59 988

51 555

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

0

 

Gains ou pertes nets sur autres actifs

 

-20

262

Coûts liés au rapprochement

 

 

 

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

0

 

Résultat avant impôt

 

59 968

51 817

Impôts sur les bénéfices

 

-18 335

-16 714

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

0

 

Résultat net

 

41 633

35 103

Intérêts minoritaires

 

0

 

Résultat net – part du groupe

 

41 633

35 103

Résultat par action

 

 

 

Résultat dilué par action

 

 

 

 

4. Bilan. — Actif :

 

(En millions d'euros)

Notes

31/12/2005

31/12/2004

(hors 32, 39 et IFRS 4)

Caisse, banques centrales, C.C.P.

 

43 055

42 380

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

 

26 236

 

Instruments dérivés de couverture

 

4 011

 

Actifs financiers disponibles à la vente

 

329 607

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit

 

188 133

140 090

Prêts et créances sur la clientèle

 

3 052 282

2 746 586

Portefeuilles titres

 

 

216 487

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

 

 

Actifs financiers détenus jusqu'a l'échéance

 

43 517

 

Actifs d'impôts courants

 

0

0

Actifs d'impôts différés

 

16 083

4 638

Comptes de régularisation et actifs divers

 

77 169

71 226

Actifs non courants destines à être cédés

 

0

 

Placements des entreprises d'assurance

 

 

 

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

0

0

Immeubles de placement

 

176

205

Immobilisations corporelles

 

41 539

40 522

Immobilisations incorporelles

 

1 919

2 602

Ecarts d'acquisition

 

0

0

    Total de l'actif

 

3 823 727

3 264 736

 

5. Bilan passif :

 

(En millions d'euros)

Notes

31/12/2005

31/12/2004

(hors 32, 39 et IFRS 4)

Banques centrales, CCP

 

0

0

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

0

 

Instruments dérivés de couverture

 

1 971

 

Dettes envers les établissements de crédit

 

2 170 832

1 851 487

Dettes envers la clientèle

 

987 809

920 409

Dettes représentées par un titre

 

2 067

2 224

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

2 974

 

Passifs d'impôts courants

 

5 512

1 702

Passifs d'impôts différés

 

6 403

2 642

Comptes de régularisation et passifs divers

 

46 445

44 153

Dettes liées aux actifs non courants destines à être cédés

 

0

 

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

0

 

Provisions pour risques et charges

 

24 907

22 409

Dettes subordonnées

 

29 657

28 639

Capitaux propres

 

545 150

 

        Capitaux propres part du groupe

 

545 150

391 071

        Capital et réserves liées

 

154 664

154 490

        Réserves consolidées

 

219 014

201 478

        Gains ou pertes latents ou différés

 

129 840

0

        Résultat de l'exercice

 

41 632

35 103

Intérêts minoritaires

 

0

 

    Total du passif

 

3 823 727

3 264 736

 

6. Tableau de variation des capitaux propres :

 

(En millions d'euros)

Capital et réserves liées

Réserves consoli-

dées part du groupe

 

Gains / pertes latents ou différés

Résultat net part du groupe

 

Total des capitaux propres part du groupe

 

Capitaux propres part des minori-

taires

 

Total des capitaux propres consolidés

 

Capital

Primes et Réserves liées au capital (1)

Elimina-

tion des titres auto-détenus

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponi-

bles à la vente

Variation de juste valeur des dérivés de couver-

ture

Capitaux propres au 31 décembre 2003 – Normes françaises

25 006

129 625

 

143 401

 

 

 

30 664

328 696

 

328 696

Changement de méthodes comptables

 

 

 

-1 969

 

 

 

 

-1 969

 

-1 969

Incidence de l'adoption des normes IFRS (hors 32-39 et IFRS 4)

 

 

 

31 920

 

 

 

 

31 920

 

31 920

    Capitaux propres au 1er janvier 2004

25 006

129 625

0

173 352

0

0

0

30 664

358 647

0

358 647

Augmentation de capital

-164

 

 

 

 

 

 

 

-164

 

-164

Variation des titres auto-détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation des réserves de ré-estimation

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Affectation résultat n-1

 

 

 

27 692

 

 

 

-27 692

 

 

0

Dividendes versés en 2004

 

 

 

 

 

 

 

-2 972

-2 972

 

-2 972

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2004

 

 

 

 

 

 

 

35 103

35 103

 

35 103

Effet des acquisitions / cessions sur les minoritaires

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Restructuration des lignes métier du groupe

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Autres variations

23

 

 

434

 

 

 

 

457

 

457

    Capitaux propres au 31 décembre 2004 (hors normes 32, 39 et IFRS 4)

24 865

129 625

0

201 478

0

0

0

35 103

391 071

0

391 071

Changement de méthodes comptables

 

 

 

-1 359

 

 

 

 

-1 359

 

-1 359

Incidence de l'adoption des normes IFRS (32,39 et IFRS 4)

 

 

 

-14 997

 

109 030

1 817

1 077

96 927

 

96 927

    Capitaux propres au 1er janvier 2005

24 865

129 625

0

185 122

0

109 030

1 817

36 180

486 639

0

486 639

Augmentation de capital

174

 

 

 

 

 

 

 

174

 

174

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Emission d'actions de préférence

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Affectation résultat n-1

 

 

 

33 072

 

 

 

-33 072

 

 

0

Dividendes versés en 2005

 

 

 

 

 

 

 

-3 108

-3 108

 

-3 108

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de valeurs des titres disponibles à la vente (IAS 39)

 

 

 

 

 

20 810

 

 

20 810

 

20 810

Couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2005

 

 

 

 

 

 

 

41 632

41 632

 

41 632

Effet des acquisitions / cessions sur les minoritaires

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Autres variations

 

 

 

-997

 

 

0

 

-997

 

-997

    Capitaux propres au 31 décembre 2005

25 039

129 625

0

217 197

0

129 840

1 817

41 632

545 150

0

545 150

(1) Comprend les primes d'émission et la réserve légale de la société mère.

 

Les notes détaillant les incidences des normes IAS/IFRS au 01/01/2004 et au 01/01/2005 sont présentées dans le chapitre « Impacts de la conversion aux normes IAS/IFRS ».

 

7. Tableau des flux de trésorerie. — Le tableau de flux de trésorerie est présenté selon le modèle de la méthode indirecte :

— Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits de la Caisse régionale Sud Méditerranée en ce compris les actifs recensés dans le portefeuille de placements détenus jusqu’à l’échéance.

Les flux d’impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles ;

— Les activités d’investissement représentent les flux de trésorerie pour l’acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille « actifs financiers disponibles à la vente » sont compris dans ce compartiment.

— Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme ;

— La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales et CCP, ainsi que les comptes (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit.

 

Tableau des flux de trésorerie

2005

2004

(hors 32, 39 et IFRS 4)

Résultat avant impôts

62 000

51 817

Dotations nettes aux amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles

6 340

4 926

Dépréciation des écarts d'acquisition et des autres immobilisations

0

0

Dotations nettes aux provisions

-887

-6 131

Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence

 

 

Perte nette/gain net des activités d'investissement

83

-262

Produits/charges des activités de financement

2 079

1 594

Autres mouvements

1 911

-305

    Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements

9 526

-178

Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit

253 566

139 265

Flux liés aux opérations avec la clientèle

-261 929

-151 200

Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers

-40 412

-5 618

Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers

-2 653

-1 096

Impôts versés

-15 012

-14 064

Diminution / augmentation nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles

-66 440

-32 713

    Total flux nets de trésorerie générés par l'activité opérationnelle (A)

5 086

18 926

Flux liés aux participations

-10 093

-1 946

Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles

-6 684

-5 576

Total flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement (B)

-16 777

-7 522

Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires

-2 646

-3 277

Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement

-2 104

-1 663

    Total flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C)

-4 750

-4 940

Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D)

0

0

Augmentation/diminution nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A+B+C+D)

-16 441

6 464

Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture

108 465

101 970

Caisse, banques centrales, CCP (actif et passif)

42 380

41 843

Comptes (actif et passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit

66 085

60 127

Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture

92 024

108 437

Caisse, banques centrales, CCP (actif et passif)

43 055

42 380

Comptes (actif et passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit

48 969

66 057

Variation de la trésorerie nette

-16 441

6 467

 

8. Notes annexes aux états financiers.

 

8.1. Principes et méthodes comptables.

 

8.1.1. Règles spécifiques de première application (IFRS 1). — La norme IFRS 1 s'applique aux entités qui présentent pour la première fois leurs états financiers selon les nouvelles normes, ceux-ci devant être préparés en appliquant les principes comptables IFRS en vigueur à la date de clôture de l'exercice.

Par principe, les normes s'appliquent de façon rétrospective aux périodes précédentes et donc au bilan d'ouverture. Cependant, la norme IFRS 1 prévoit des exemptions facultatives ou obligatoires à ce principe d'application rétrospective.

Les choix retenus par le groupe Crédit Agricole concernant les exemptions facultatives sont les suivants :

— Regroupements d'entreprises : le groupe Crédit Agricole conserve le traitement appliqué dans les comptes publiés conformément aux normes françaises, aux regroupements d'entreprises antérieurs au 1er janvier 2004. Les écarts d’acquisition résiduels à cette date ne sont plus amortis et font l'objet d'un test de dépréciation ;

— Utilisation de la juste valeur ou d'une réévaluation comme coût présumé des immobilisations au moment de la conversion : cette option peut s’appliquer à toute immobilisation corporelle, tout actif incorporel qui satisfait les critères de réévaluation, ou tout immeuble de placement évalué sur la base du coût.

Le groupe Crédit Agricole a choisi de ne pas réévaluer ses immobilisations ;

— Avantages au personnel : l’option permettant la constatation immédiate des écarts actuariels n’a pas été retenue par le groupe Crédit Agricole ;

— Ecarts de conversion cumulés : Crédit Agricole a choisi de considérer qu'à la date de transition, le montant cumulé des écarts de conversion est nul pour toutes ses activités à l’étranger. En conséquence, seuls les écarts de conversion postérieurs à la date de transition, qui seront classés en capitaux propres conformément à la norme IAS 21, seront pris en compte dans la détermination du résultat de cession ultérieur des activités concernées ;

— Instruments financiers hybrides : Dans le cas d'émissions d'instruments financiers ayant à la fois une composante dette et une composante capitaux propres, une entité peut ne pas identifier séparément les valeurs d'origine des deux composants si la partie dette est nulle à la date de transition. Le groupe Crédit Agricole a retenu cette option, qui n’a pas de conséquence significative sur le bilan d’ouverture ;

— Actifs et passifs de filiales, d’entreprises associées et de coentreprises : ces dispositions traitent des impacts de la date de transition aux IFRS au sein d’un groupe, pour le cas où une filiale adopte les IFRS, soit antérieurement, soit postérieurement, à la date d’adoption choisie par la maison mère. Au sein du groupe Crédit Agricole, l’ensemble des entités appartenant au périmètre de consolidation produit des comptes consolidés en normes IFRS à compter de l’exercice ouvert au 01/01/2005 ;

— Désignation d’instruments financiers précédemment comptabilisés (dans un autre référentiel) : une entité présentant ses premiers états financiers IFRS est autorisée, au début de sa première période de publication IFRS, à désigner à cette même date à la juste valeur tout actif ou passif financier qui remplit les conditions d’une telle désignation conformément aux dispositions de la norme IAS 39 amendée. Le groupe Crédit Agricole applique cette exception prévue par l’IFRS 1 ;

— Passifs relatifs au démantèlement inclus dans le coût d’une immobilisation corporelle : Le groupe Crédit Agricole n’a pas choisi d’appliquer rétrospectivement au 01 janvier 2005 l’interprétation IFRIC 1 sur la norme IFRS 5 ;

— Contrats de location simple et de location financière : un premier adoptant peut déterminer si un accord conclu antérieurement et existant à la date de transition aux IFRS contient un contrat de location au sens de la norme IAS17. Ces dispositions transitoires prévues par l’IFRIC 4 n’ont pas été retenues par le groupe Crédit Agricole ;

— Evaluation à la juste valeur des actifs financiers ou des passifs financiers lors de la comptabilisation initiale : selon la norme IAS 39, la constatation dès l’origine en résultat des marges sur les produits structurés et sur les instruments financiers complexes n’est possible qu’à la condition que ces instruments financiers puissent être évalués de manière fiable dès leur initiation. Dans le cas contraire, ces marges sont constatées au bilan et reprises en résultat par étalement. Le groupe Crédit Agricole a décidé d’appliquer rétroactivement ces dispositions à tous les contrats en cours au 1er janvier 2005.

 

Précisions sur les impacts qui modifient les capitaux propres à l’ouverture :

— Toute correction de valeur qui aurait dû impacter le résultat si les normes IAS/IFRS avaient toujours été appliquées, est constitutive de capitaux propres non recyclables. Exemple : FRBG et provisions générales non reconnus, valorisation des dérivés non éligibles à la comptabilité de couverture ;

— Toute correction de valeur qui aurait dû impacter les réserves de réévaluation IAS/IFRS si les normes IAS/IFRS avaient toujours été appliquées, est constitutive de capitaux propres à caractère variable. Exemple : réévaluation à la juste valeur des titres « disponibles à la vente », valorisation des dérivés en couverture de flux de trésorerie ;

— Tout résultat qui aurait dû être différé si les normes IAS/IFRS avaient toujours été appliquées est constitutif de capitaux propres à caractère amortissable. Exemple : étalement de certaines commissions.

 

8.1.2. Le traitement des immobilisations (IAS 16, 36, 38, 40). — Le groupe Crédit Agricole S.A. applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l’ensemble de ses immobilisations corporelles et incorporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.

Les terrains sont enregistrés à leur coût d'acquisition, diminué des dépréciations éventuelles.

Les immeubles d’exploitation et de placement, ainsi que le matériel d'équipement sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des provisions pour dépréciation constitués depuis leur mise en service.

Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d’acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatées depuis leur date d’acquisition.

Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatées depuis leur date d’achèvement.

Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les fonds de commerce. Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondant ou du potentiel des services attendus.

Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d’utilisation.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par le groupe Crédit Agricole S.A. suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement sont adaptées à la nature de la construction et à sa localisation :

 

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros oeuvre

25 ans

Second oeuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans

Matériel spécialisé

4 à 5 ans

 

Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l’actif, sont annulés dans les comptes consolidés.

Les éléments dont dispose la Caisse régionale Sud Méditerranée sur la valeur de ses immobilisations (hors écarts d’acquisition) lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan.

 

8.1.3. Les avantages au personnel (IAS 19). — Les avantages au personnel, selon la norme IAS 19, se regroupent en quatre catégories :

— Les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociales, les primes payables dans les douze mois de la clôture de l’exercice ;

— Les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus à la clôture de l’exercice ;

— Les indemnités de fin de contrat de travail ;

— Les avantages postérieurs à l’emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies.

 

8.1.3.1. Engagement en matière de retraite, de préretraite et d’indemnités de fin de carrière – régimes à prestations définies : — La Caisse régionale Sud Méditerranée couvre ses engagements de retraite et avantages similaires ainsi que l’ensemble des avantages sociaux accordés au personnel et relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.

Afin de couvrir ses engagements, la Caisse régionale a souscrit un fonds auprès de Predica ; en conséquence la Caisse régionale n’a pas la nécessité de constituer de provision en complément de cette souscription.

Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d’un ensemble d’hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d’activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l’exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée.

Le groupe Crédit Agricole S.A. n'applique pas la méthode optionnelle du corridor et impute les écarts actuariels constatés en résultat. Par conséquent, le montant de la provision est égal à :

— la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ;

— diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).

 

8.1.3.2. Plans de retraite – régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, la Caisse régionale Sud Méditerranée n'a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

8.1.4. Les paiements fondés sur des actions (IFRS 2). — La norme IFRS 2 « Paiements en actions et assimilés » impose l’évaluation des transactions rémunérées par paiements en actions et assimilés dans les résultats et au bilan de l’entreprise. Cette norme, qui s’applique aux plans accordés après le 07/11/2002 et dont les droits ne sont pas encore acquis au 01/01/2005, concerne deux cas de figure :

— Les transactions dont le paiement est fondé sur les actions et qui sont réglées en instruments de capitaux propres ;

— Les transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en trésorerie.

 

Les souscriptions d’actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d’Epargne Entreprise relèvent également des dispositions de la norme IFRS 2. Les actions sont proposées avec une décote maximum de 20 %. Ces plans ne comportent pas de période d’acquisition des droits mais sont grevés d’une période d’incessibilité de 5 ans. L’avantage consenti aux salariés se mesure comme étant la différence entre la juste valeur de l’action acquise en tenant compte de la condition d’incessibilité et le prix d’acquisition payé par le salarié à la date de souscription multipliée par le nombre d’actions souscrites. La charge correspondant à cet avantage, étant non significative au niveau du groupe, n’a pas été comptabilisée.

 

8.1.5. Les instruments financiers (IAS 32 et 39). — Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers annuels 2005 selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu’adoptée par la Commission européenne le 19 novembre 2004 et complétée par les règlements (CE) n° 1751/2005 du 25 octobre 2005 et n° 1864/2005 du 15 novembre 2005 relatif à l’utilisation de l’option de la juste valeur. Il est toutefois précisé que le groupe Crédit Agricole n’a pas utilisé l’option de juste valeur sur ses passifs financiers au 31 décembre 2005.

Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l’instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l’actif ou du passif financier.

La juste valeur est définie comme le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale. L’existence de cotations publiées sur un marché actif constitue la meilleure indication de la juste valeur des instruments financiers. En l’absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l’application de techniques de valorisation reconnues utilisant des données de marché « observables ».

 

8.1.5.1. Les titres.

 

8.1.5.1.1. Classification des titres à l’actif. — Ceux-ci sont classés selon les quatre catégories d’actifs applicables aux titres définis par la norme IAS 39 :

— Actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ;

— Actifs financiers disponibles à la vente ;

— Placements détenus jusqu’à l’échéance ;

— Prêts et créances.

 

8.1.5.1.1.1. Actifs financiers à la juste valeur par résultat / affectation par nature ou sur option. — Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend Ies titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d’une réelle intention de transaction – affectation par nature, soit d’une option prise par la Caisse régionale Sud Méditerranée.

Les actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs ou passifs acquis ou générés par l’entreprise principalement dans l’objectif de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d’arbitragiste.

La comptabilisation d’actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, permet de ne pas comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides.

Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l’acquisition (qui sont passés directement en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat. Cette catégorie de titres ne fait pas l’objet de provisions pour dépréciation.

 

8.1.5.1.1.2. Placements détenus jusqu’à l’échéance. — La catégorie « Placements détenus jusqu’à l’échéance» (éligibles aux titres à maturité définie) est ouverte aux titres à revenu fixe ou déterminable que la Caisse régionale Sud Méditerranée a l’intention et la capacité de conserver jusqu’à leur échéance, autres que :

— ceux que la Caisse régionale Sud Méditerranée a désignés lors de leur comptabilisation initiale comme des actifs évalués en juste valeur en contrepartie du résultat ;

— ceux que la Caisse régionale Sud Méditerranée a désignés comme des actifs disponibles à la vente ;

— ceux qui répondent à la définition des prêts et créances. Ainsi, les titres de dettes non cotés sur un marché actif ne peuvent pas être classés dans la catégorie des placements détenus jusqu’à l’échéance.

 

Le classement dans cette catégorie entraîne l’obligation impérative de respecter l’interdiction de céder des titres avant leur échéance (sous peine d’entraîner le déclassement de l’ensemble du portefeuille en actif disponible à la vente et d’interdire l’accès à cette catégorie pendant 2 ans).

Néanmoins des exceptions à cette règle de déclassement peuvent exister lorsque :

— la vente est proche de l’échéance (moins de 3 mois) ;

— la cession intervient après que l’entreprise ait déjà encaissé la quasi-totalité du principal de l’actif (environ 90% du principal de l’actif) ;

— la vente est justifiée par un événement externe, isolé ou imprévisible ;

— si l’entité n’escompte pas récupérer substantiellement son investissement en raison d’une détérioration de la situation de l’émetteur (auquel cas l’actif est classé dans la catégorie des actifs disponibles à la vente).

 

La couverture du risque de taux de ces titres n’est pas autorisée.

Les titres détenus jusqu’à l’échéance sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus. Ces titres sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti au taux d’intérêt effectif.

En cas de signe objectif de dépréciation, une provision est constatée pour la différence entre la valeur comptable et la valeur de recouvrement estimée actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine. En cas d’amélioration ultérieure, la provision excédentaire est reprise.

 

8.1.5.1.1.3. Titres du portefeuille « Prêts et créances ». — La catégorie «Prêts et créances» enregistre les actifs financiers non cotés à revenus fixes ou déterminables.

Les titres sont comptabilisés au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif corrigé d’éventuelles provisions pour dépréciation.

En cas de signes objectifs de dépréciation, une provision doit être constatée pour la différence entre la valeur comptable et la valeur de recouvrement estimée en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine.

 

8.1.5.1.1.4. Actifs financiers disponibles à la vente. — La catégorie Disponibles à la vente est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut.

Selon les dispositions de la norme IAS 39, les principes de comptabilisation des titres classés en « Disponibles à la vente» sont les suivants :

— Les titres disponibles à la vente sont initialement comptabilisés pour leur prix d'acquisition, frais de transaction directement attribuables à l’acquisition et coupons courus inclus ;

— Les intérêts courus sur les titres disponibles à la vente sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat ;

— Les variations de juste valeur sont enregistrées en capitaux propres recyclables. En cas de cession, ces variations sont extournées et constatées en résultat. L’amortissement dans le temps de l’éventuelle surcote / décote des titres à revenu fixe est comptabilisée en résultat selon la méthode du taux d’intérêt effectif ;

— En cas de signe objectif de dépréciation, significative ou durable pour les titres de capitaux propres, et matérialisée par la survenance d’un risque de crédit pour les titres de dettes, la moins value latente comptabilisée en capitaux propres est extournée et comptabilisée dans le résultat de l’exercice. En cas d’amélioration ultérieure cette dépréciation fait l’objet d’une reprise par résultat pour les instruments de dette mais pas pour les instruments de capitaux propres. En revanche, pour ces derniers, la variation de juste valeur positive en cas de reprise est comptabilisée dans un compte de capitaux propres variables.

 

8.1.5.1.2. Evaluation des titres. — La juste valeur est la méthode d’évaluation retenue pour l’ensemble des instruments financiers classés dans les catégories « Actifs financiers à la juste valeur par résultat» ou « Disponibles à la vente».

Les prix cotés sur un marché actif constituent la méthode d’évaluation de base. A défaut, la Caisse régionale Sud Méditerranée utilise des techniques de valorisation reconnues en se référant notamment à des transactions récentes.

Lorsqu’il n’y a pas de prix coté pour un titre de capitaux propres et qu’il n’existe pas de technique de valorisation reconnue, la Caisse régionale Sud Méditerranée retient des techniques reposant sur des indications objectives et vérifiables telles que la détermination de l’actif net réévalué ou tout autre méthode de valorisation des titres de capitaux propres.

Si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie « titres disponibles à la vente ». Toutefois, une information est fournie en annexe.

 

8.1.5.1.3. Dépréciation. — Une dépréciation est constatée en cas de signes objectifs de dépréciation des actifs autres que ceux classés en transaction.

Elle est matérialisée par une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou par l’apparition d’une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette.

Sauf exception, la Caisse régionale Sud Méditerranée considère qu’une baisse significative ou durable est présumée lorsque l’instrument de capitaux propres a perdu 30% au moins de sa valeur sur une période de 6 mois consécutifs.

Ce critère de baisse significative ou durable de la valeur du titre est une condition nécessaire mais non suffisante pour justifier l’enregistrement d’une provision. Cette dernière n’est constituée que dans la mesure où la dépréciation se traduira par une perte probable de tout ou partie du montant investi.

 

8.1.5.1.4. Date d’enregistrement. — Crédit Agricole S.A. enregistre à la date de règlement livraison les titres classés dans la catégorie « Titres détenus jusqu’à l’échéance ». Les autres titres, quelque soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés sont enregistrés à la date de négociation.

 

8.1.5.1.5. Titres au passif (IAS 32) distinction dettes – capitaux propres. — Un instrument de dette ou un passif financier constitue une obligation contractuelle :

— de remettre des liquidités ou un autre actif financier ;

— d’échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables ;

— un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net).

 

En application de ces définitions, les parts sociales émises par les Caisses régionales et des Caisses locales sont considérées comme des capitaux propres au sens de l'IAS 32 et de l'interprétation IFRIC 2, et traitées comme telles dans les comptes consolidés du groupe.

 

8.1.5.2. L’activité de crédit. — Les crédits sont affectés principalement à la catégorie « Prêts et créances». Ainsi, conformément à la norme IAS 39, ils sont évalués à l’initiation à la juste valeur, et ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif. Le taux d’intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les flux de trésorerie futurs à l’encours net d’origine. Ce taux inclut les décotes ainsi que les produits et coûts de transaction intégrables au taux d’intérêt effectif, le cas échéant.

Les prêts subordonnés, de même que les opérations de pension (matérialisées par des titres ou des valeurs), sont intégrés dans les différentes rubriques de créances, en fonction de la nature de la contrepartie.

Les intérêts courus sur les créances sont portés au compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat.

Les avances accordées par Crédit Agricole S.A. aux Caisses régionales ne présentent pas pour Crédit Agricole S.A. un risque direct sur les bénéficiaires des prêts distribués à la clientèle par les Caisses régionales, mais éventuellement un risque indirect sur la solidité financière de celles-ci. A ce titre, Crédit Agricole S.A. n'a pas constitué de provision sur les avances aux Caisses régionales.

En complément aux éléments d’information requis par les normes IAS, le groupe Crédit Agricole a maintenu les informations antérieurement requises par le règlement CRC 2002-03, applicable aux comptes individuels.

Ainsi, le groupe Crédit Agricole distingue, parmi ses créances dépréciées au sens des normes internationales, les créances douteuses compromises, les créances douteuses non compromises et les créances restructurées pour cause de défaillance du client.

 

— Créances dépréciées : Conformément à la norme IAS 39, les créances affectées en « prêts et créances » sont dépréciées lorsqu’elles présentent un ou plusieurs événements de perte intervenus après la réalisation de ces créances. Les créances ainsi identifiées font l’objet d’une dépréciation sur base individuelle ou sur base collective. Les dépréciations sont constituées à hauteur de la perte encourue, égale à la différence entre la valeur comptable des prêts (coût amorti) et la somme des flux futurs estimés, actualisés au taux d’intérêt effectif d’origine. Les dépréciations sont enregistrées sous forme de provisions ou de décotes sur prêts restructurés pour cause de défaillance du client.

On distingue ainsi :

– Les créances dépréciées sur base individuelle : il s’agit des créances douteuses assorties de provisions et des créances restructurées pour cause de défaillance du client assorties de décotes ;

– Les créances dépréciées sur base collective : il s’agit des créances non dépréciées sur base individuelle, pour lesquelles la dépréciation est déterminée par ensemble homogène de créances dont les caractéristiques de risque de crédit sont similaires. Il existe deux provisions sur base collective :

– Une provision collective issue du dispositif réglementaire Bâle II dont le calcul est effectué à partir d’une probabilité de défaut en fonction d’une durée moyenne et d’un taux de provisionnement observé,

– Une provision sectorielle sur le marché habitat espagnol.

 

Parmi les créances dépréciées sur base individuelle la Caisse régionale Sud Méditerranée distingue les créances douteuses, elles-mêmes réparties en créances douteuses compromises et non compromises.

 

— Créances douteuses : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :

– Lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales), compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits ;

– Lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;

– S’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.

 

Le classement pour une contrepartie donnée des encours en encours douteux entraîne par « contagion » un classement identique de la totalité de l’encours et des engagements relatifs à cette contrepartie, nonobstant l’existence de garantie ou caution.

 

Parmi les encours douteux, la Caisse régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis :

– Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises ;

– Créances douteuses compromises : Ce sont les créances douteuses dont les perspectives de recouvrement sont fortement dégradées et pour lesquelles un passage en perte à terme est envisagé.

 

— Provisionnement du risque de crédit sur base individuelle : Dès lors qu’un encours est douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse régionale Sud Méditerranée par voie de provision. Les pertes probables relatives aux engagements hors bilan sont prises en compte par voie de provisions figurant au passif du bilan.

La Caisse régionale Sud Méditerranée constitue les provisions correspondant, en valeur actualisée au taux d’intérêt effectif d’origine, à l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours douteux et douteux compromis.

Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

 

— Traitement des décotes et dépréciations : La dépréciation calculée sur une créance douteuse est enregistrée en coût du risque. Pour les créances restructurées ayant un caractère douteux et pour les créances douteuses non restructurées, les dotations et reprises de dépréciation pour risque de non recouvrement sont inscrites en coût du risque, l’augmentation de la valeur comptable liée à la reprise de dépréciation du fait du passage du temps étant inscrite dans la marge d’intérêts.

 

— Provisionnement du risque de crédit sur base collective : Par ailleurs, la Caisse régionale Sud Méditerranée a également constaté à l’actif de son bilan des provisions sur bases collectives destinées à couvrir des risques clientèle non affectés individuellement, telles que les provisions sectorielles. Ces dernières visent à couvrir des risques précis pour lesquels il existe statistiquement ou historiquement un risque de non-recouvrement partiel, sur des encours non classés en douteux.

 

8.1.5.3. Intérêts pris en charge par l'Etat (IAS 20). — Dans le cadre de mesures d’aides au secteur agricole et rural, ainsi qu’à l’acquisition de logement, certaines entités du groupe Crédit Agricole S.A. accordent des prêts à taux réduits, fixés par l'Etat. En conséquence, ces entités perçoivent de l’Etat une bonification représentative du différentiel de taux existant entre le taux accordé à la clientèle et un taux de référence prédéfini. En conséquence, il n’est pas constaté de décote sur les prêts qui bénéficient de ces bonifications.

Les modalités de ce mécanisme de compensation sont réexaminées périodiquement par l'Etat.

Les bonifications perçues de l’Etat sont enregistrées sous la rubrique « Intérêts et produits assimilés » et réparties sur la durée de vie des prêts correspondants, conformément à la norme IAS 20.

 

8.1.5.4. Les passifs financiers. — La norme IAS 39 adoptée par l’Union Européenne reconnaît deux catégories de passifs financiers :

— Les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables. Il est toutefois précisé que le groupe Crédit Agricole n’utilise pas l’option de juste valeur sur ses passifs financiers ;

— Les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l'origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d’intérêt effectif.

 

8.1.5.5. Les produits de la collecte. — Compte tenu des caractéristiques des produits de collecte dans le groupe Crédit Agricole S.A., ils sont comptabilisés dans la catégorie des « Autres passifs ».

L’évaluation initiale est donc faite à la juste valeur, l’évaluation ultérieure au coût amorti.

Les produits d’épargne réglementée sont par nature à taux de marché.

Les plans d’épargne logement et les comptes d’épargne logement donnent lieu le cas échéant à une provision telle que détaillée au paragraphe 8.1.8.

 

8.1.5.6. Les instruments dérivés. — Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l’origine de l’opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu’ils soient détenus à des fins de transaction ou qu’ils entrent dans une relation de couverture.

La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est un compte de résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie).

 

— La comptabilité de couverture : La couverture de juste valeur a pour objet de réduire le risque de variation de juste valeur d’un instrument financier.

La couverture de flux de trésorerie a pour objet de réduire le risque inhérent à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers.

Dans le cadre d’une intention de gestion de micro-couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture :

– Eligibilité de l'instrument de couverture et de l'instrument couvert ;

– Documentation formalisée dès l'origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l'élément couvert, de l'instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert ;

– Démonstration de l’efficacité de la couverture, à l’origine et rétrospectivement.

 

L’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante :

– Couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé est inscrite en résultat symétriquement à la réévaluation de l’élément couvert à hauteur du risque couvert et il n’apparaît, en net en résultat, que l’éventuelle inefficacité de la couverture ;

– Couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d’un compte spécifique de capitaux propres recyclables et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les intérêts courus du dérivé sont enregistrés en résultat symétriquement aux opérations couvertes.

 

Dans le cadre d’une intention de gestion de macro-couverture (c’est à dire la couverture d’un groupe d’actifs ou de passifs présentant la même exposition aux risques désignée comme étant couverte), le groupe a privilégié une documentation de ces relations de couverture sur la base d’une position brute d’instruments dérivés et d’éléments couverts.

La justification de l’efficacité des relations de macro-couverture se fait par le biais d’échéanciers établis en encours moyen. Par ailleurs, la mesure de l’efficacité des relations de couverture doit se faire au travers de tests prospectifs et rétrospectifs.

Suivant qu’une relation de macro-couverture de flux de trésorerie ou de Juste Valeur a été documentée, l’enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait selon les mêmes principes que ceux décrits précédemment dans le cadre de la micro-couverture. Toutefois, le groupe Crédit Agricole S.A. privilégie pour les relations de macro-couverture, une documentation de couverture en juste valeur telle que permise par la norme IAS 39 adoptée de façon partielle par l’Union européenne.

 

— Dérivés incorporés : Un dérivé incorporé est la composante d’un contrat hybride qui répond à la définition d’un produit dérivé. Le dérivé incorporé doit être comptabilisé séparément du contrat hôte si les 3 conditions suivantes sont remplies :

– Le contrat hybride n’est pas évalué à la juste valeur par résultat ;

– Séparé du contrat hôte, l’élément incorporé possède les caractéristiques d’un dérivé ;

– Les caractéristiques du dérivé ne sont pas étroitement liées à celle du contrat hôte.

 

— Prise en compte des marges à l’origine sur les instruments financiers structurés : Selon la norme IAS 39, la constatation dès l’origine en résultat des marges sur les produits structurés et sur les instruments financiers complexes n’est possible qu’à la condition que ces instruments financiers puissent être évalués de manière fiable dès leur initiation. Cette condition est respectée lorsque ces instruments sont évalués en fonction de cours constatés sur un marché actif, ou en fonction de modèles internes « standards » utilisant des données de marché « observables ». Dans le cas contraire ces marges sont constatées au bilan et reprises en résultat par étalement. Lorsque les données de marché deviennent « observables » et que les modèles deviennent « standards », la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat.

Le groupe Crédit Agricole a décidé d’appliquer ces dispositions en retraitant de façon rétroactive tous les contrats en stock au 1er janvier 2005.

 

8.1.5.7. Garanties financières et engagements de financement. — Les garanties financières répondent à la définition d’un contrat d’assurance lorsqu’elles prévoient des paiements spécifiques à effectuer pour rembourser son titulaire d’une perte qu’il encourt en raison de la défaillance d’un débiteur spécifié à effectuer un paiement à l’échéance en vertu d’un instrument de dette.

Ces garanties financières, en application de la norme IFRS 4, demeurent évaluées conformément aux normes françaises, en attendant un complément normatif qui devrait parfaire le dispositif actuel. Ces garanties font donc l’objet d’une provision au passif en cas de sortie de ressource probable.

En revanche, les contrats de garanties financières qui prévoient des paiements en réponse aux variations d’une variable financière (prix, notation ou indice de crédit,…) ou d’une variable non financière, à condition que dans ce cas la variable ne soit pas spécifique à une des parties au contrat, entrent dans le champ d’application d’IAS 39. Ces garanties sont traitées comme des instruments dérivés.

Les engagements de financement qui ne sont pas considérés comme des instruments dérivés au sens de la norme IAS 39 ne figurent pas au bilan. Ils font toutefois l’objet de provisions conformément aux dispositions de la norme IAS 37.

 

8.1.5.8. Décomptabilisation des instruments financiers. — Un actif financier (ou groupe d’actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie :

— lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration, sont transférés ou considérés comme tels parce qu’ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires finaux, et ;

— lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier sont transférés.

 

Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs.

Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l’entité continue à comptabiliser l’actif financier dans la mesure de son implication dans cet actif.

 

8.1.6. Les impôts différés (IAS 12). — Cette norme impose la comptabilisation d’impôts différés sur l’ensemble des différences temporaires observées entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et sa base fiscale.

Les taux d’imposition utilisés pour l’évaluation sont ceux dont l’application est attendue lors de la réalisation de l’actif ou du règlement du passif, dans la mesure où ces taux ont été adoptés ou quasi adoptés à la date de clôture.

Les taux d’impôts de chaque pays sont retenus selon les cas.

Le calcul des impôts différés ne fait pas l’objet d’une actualisation.

 

8.1.7. Les provisions pour risques et charges (IAS 37,19). — Le groupe Crédit Agricole S.A. a identifié l’ensemble de ses obligations (juridiques ou implicites), résultant d’un évènement passé, dont il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l’échéance ou le montant sont incertains mais dont l’estimation peut être déterminée de manière fiable.

Au titre de ces obligations, la Caisse régionale Sud Méditerranée a constitué des provisions pour risques et charges qui couvrent notamment :

— les risques opérationnels ;

— les engagements sociaux ;

— les risques d’exécution des engagements par signature ;

— les litiges et garanties de passif ;

— les risques fiscaux ;

— les risques liés à l’épargne logement.

 

Cette dernière provision est constituée afin de couvrir les engagements aux conséquences défavorables des contrats épargne-logement. Ces engagements sont relatifs, d’une part, à l’obligation de rémunérer l’épargne dans le futur à un taux fixé à l’ouverture du contrat pour une durée indéterminée, et, d’autre part, à l’octroi d’un crédit aux souscripteurs des comptes et plans d’épargne-logement à un taux déterminé fixé à l’ouverture du contrat. Cette provision est calculée par génération de plan épargne-logement et pour l’ensemble des comptes d’épargne-logement, sachant qu’il n’y a pas de compensation possible entre les engagements relatifs à des générations différentes.

Les engagements sont établis en prenant en compte, notamment :

— le comportement des souscripteurs, ainsi que l’estimation du montant et de la durée des emprunts qui seront mis en place dans le futur. Ces estimations sont établies à partir d’observations historiques de longue période ;

— la courbe des taux observables sur le marché et ses évolutions raisonnablement anticipées.

 

Les modalités de calcul de cette provision mise en œuvre par le groupe Crédit Agricole ont été établies en conformité avec les dispositions du règlement CRC sur la comptabilisation des comptes et plans d’épargne-logement en cours d’adoption par le CNC.

 

8.1.8. Les contrats de location (IAS 17). — Conformément à la norme IAS 17, les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière.

S’agissant d’opérations de location financière, elles sont assimilées à une acquisition d’immobilisation par le locataire, financée par un crédit accordé par le bailleur.

Dans les comptes du bailleur, l’analyse de la substance économique des opérations conduit à :

— constater une créance financière sur le client, amortie par les loyers perçus ;

— décomposer les loyers entre, d’une part les intérêts et, d’autre part l’amortissement du capital, appelé amortissement financier ;

— constater une réserve latente nette. Celle-ci est égale à la différence entre :

– l’encours financier net : dette du locataire constituée du capital restant dû et des intérêts courus à la clôture de l’exercice,

– la valeur nette comptable des immobilisations louées,

– la provision pour impôts différés.

 

Dans les comptes du locataire, les contrats de crédit-bail et de location avec option d’achat font l’objet d’un retraitement qui conduit à la comptabilisation comme s’ils avaient été acquis à crédit.

Dans le compte de résultat, la dotation théorique aux amortissements (celle qui aurait été constatée si le bien avait été acquis) ainsi que les charges financières (liées au financement du crédit) sont substituées aux loyers enregistrés.

 

8.1.9. Les opérations en devises (IAS 21). — En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires.

A la date d’arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement du groupe Crédit Agricole S.A. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions :

— Sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l’écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres ;

— Les écarts de change sur les éléments monétaires désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d’un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres.

 

Les traitements relatifs aux actifs non monétaires diffèrent selon la nature de ces actifs :

— Les actifs au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction ;

— Les actifs à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture.

 

Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés :

— en résultat si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en résultat ;

— en capitaux propres si le gain ou la perte sur l’élément non monétaire est enregistré en capitaux propres.

 

8.2. Les principes et méthode de consolidation (IAS 27, 28, 31).

 

8.2.1. Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse régionale Sud Méditerranée et ceux de toutes les sociétés dont la consolidation a un impact significatif sur les comptes consolidés de l’ensemble.

En application de ces principes généraux, tels que définis par les normes IAS 27, IAS 28 (participations dans les entreprises associées) et IAS 31 (participations dans les coentreprises), le caractère significatif de cet impact peut notamment être apprécié au travers de divers critères tels que l’importance du résultat ou des capitaux propres de la société à consolider par rapport au résultat ou aux capitaux propres de l’ensemble consolidé.

En particulier, le caractère significatif d’une société est présumé lorsqu’elle satisfait aux conditions suivantes :

— Le total du bilan est supérieur à 10 millions d’euros ou excède 1 % du total de bilan de la filiale consolidée qui détient ses titres ; à ce titre les SCI Immobilières détenues par la Caisse régionale Sud Méditerranée ne sont pas consolidées ;

— La Caisse régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement, au moins 20 % de ses droits de vote existants et potentiels.

 

Le périmètre de consolidation au 31 décembre 2005 est composé de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des 59 Caisses locales qui lui sont affiliées, selon les principes énoncés au paragraphe 8.2.2.

 

Liste des filiales, coentreprises et entreprises associées

Pays d'implantation

Méthode de consolidation au 31/12/2005

% de contrôle et d'intérêt

31/12/2005

31/12/2004

Caisse locale à vocation départementale des P.O.

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Argeles -St André

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Bages - Sud Reart

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Baixas - Peyrestortes - Calce

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Banyuls S/Mer

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Bompas

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Cerdagne Capcir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Cabestany

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Canet - Ste Marie

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Canohes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Caramany - Belesta - Trevillac

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Porte Du Vallespir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Collioure - Port Vendres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Plaine Du Tech

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Espira - Cases De Pene

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Moyen Agly

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale d’Ille Sur Tet

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Bassin De L'Agly

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Maury - Lesquerde

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Millas

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Perpignan

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Pezilla - Corneilla

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Pia

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Pollestres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale des Aspres

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Prades

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Rivesaltes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saint-Cyprien

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale du Riberal

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de St Feliu D'avall

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale des Alberes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale d’Agly Salanque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de St Nazaire

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale des Fenouilledes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saleilles

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Salses - Opoul

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Le Soler

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Verdouble

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Thuir

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Toulouges

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Villelongue Sque

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Vinca - Tarerach - Sournia

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Arles S/Tech

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale à vocation départementale de l'Ariège

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale d’Ax les Thermes

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de La Bastide De Serou

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Castillon

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Foix

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Lavelanet

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Lezat

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale du Mas D Azil

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Mirepoix

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Pamiers

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Querigut

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Ste Croix Volvestre

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de St Girons

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Saverdun

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Tarascon

France

Intégration Globale

100

100

Caisse locale de Varilhes

France

Intégration Globale

100

100

 

8.2.2. La consolidation des Caisses régionales. — Les normes de consolidation existant dans le référentiel international, sont définies en référence à des groupes ayant des structures juridiques intégrant les notions classiques de société-mère et de filiales.

Le groupe Crédit Agricole, qui repose sur une organisation mutualiste, ne s'inscrit pas directement et simplement dans le cadre de ces règles, compte tenu de sa structure dite de pyramide inversée.

Le Crédit Agricole Mutuel a été organisé, par la loi du 5 novembre 1894, qui a posé le principe de la création des Caisses locales de Crédit Agricole, la loi du 31 mars 1899 qui fédère les Caisses locales en Caisses régionales de Crédit Agricole et la loi du 5 août 1920 qui crée l'Office National du Crédit Agricole, transformé depuis en Caisse nationale de Crédit Agricole, puis Crédit Agricole S.A., dont le rôle d'organe central a été rappelé et précisé par le Code monétaire et financier.

Ces différents textes expliquent et organisent la communauté d'intérêts qui existent, au niveau juridique, financier, économique et politique, entre Crédit Agricole S.A., les Caisses régionales et les Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel. Cette communauté repose, notamment, sur un même mécanisme de relations financières, sur une politique économique et commerciale unique, et sur des instances décisionnaires communes, constituant ainsi, depuis plus d'un siècle, le socle du groupe Crédit Agricole.

Ces différents attributs, déclinés au niveau régional et attachés à la Caisse régionale Sud Méditerranée représentent les éléments principaux qui caractérisent généralement la notion de société-mère : valeurs, objectifs et idéal communs, centralisation financière et prises de décisions politique commerciale communes, histoire partagée.

C'est pourquoi, en accord avec les autorités de régulation française, le Crédit Agricole a défini une société-mère conventionnelle et existant à deux niveaux, national et régional.

Cette maison-mère conventionnelle étant définie, le groupe Crédit Agricole applique les normes de consolidation prévues dans le référentiel international.

La maison-mère conventionnelle régionale est constituée de la Caisse régionale Sud Méditerranée et des Caisses locales de Crédit Agricole Mutuel qui lui sont affiliées ; ses comptes sont constitués de l'agrégation des comptes de ces différentes entités après élimination des opérations réciproques.

 

8.2.3. Les notions de contrôle. — Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu'elles n'entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après.

Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque la Caisse régionale Sud Méditerranée détient, directement ou indirectement par l’intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote d’une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque la Caisse régionale Sud Méditerranée, détenant la moitié ou moins de la moitié des droits de vote d’une entité dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction.

Le contrôle conjoint s’exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint.

L’influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d’une entreprise sans en détenir le contrôle. La Caisse régionale Sud Méditerranée est présumée avoir une influence notable lorsqu’elle détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20% ou plus des droits de vote dans une entité.

 

— La consolidation des entités ad hoc : La consolidation des entités ad-hoc et plus particulièrement des fonds sous contrôle exclusif, a été précisée par le SIC 12. En application de ce texte les OPCVM dédiés sont consolidés.

— Les exclusions du périmètre de consolidation : Une entité contrôlée ou sous influence notable est exclue du périmètre de consolidation lorsque dès son acquisition, les titres de cette entité sont détenus uniquement en vue d'une cession ultérieure à brève échéance. Ces titres sont comptabilisés dans la catégorie des actifs destinés à être cédés. Ceux-ci sont évalués à la juste valeur par résultat.

Les participations (hors participations majoritaires) détenues par des entités de capital-risque sont également exclues du périmètre de consolidation dans la mesure où elles sont classées en actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option.

 

8.2.4. Les méthodes de consolidation. — Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, 28 et 31. Elles résultent de la nature de contrôle exercée par la Caisse régionale Sud Méditerranée sur les entités consolidables, quelle qu’en soit l’activité et qu’elles aient ou non la personnalité morale :

— L’intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse régionale Sud Méditerranée ;

— L’intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, y compris les entités à structure de comptes différente, même si leur activité ne se situe pas dans le prolongement de celle de la Caisse régionale Sud Méditerranée ;

— La mise en équivalence, pour les entités sous influence notable ou pour les entités sous contrôle conjoint. Lorsqu’une entité sous contrôle conjoint est mise en équivalence, l’information est communiquée en annexe.

 

L'intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d'actif et de passif de chaque filiale. La part des intérêts minoritaires dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidé.

L’intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée.

La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote‑part du groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées.

 

8.2.5. Retraitements et éliminations. — Les retraitements significatifs nécessaires à l'harmonisation des méthodes d'évaluation des sociétés consolidées sont effectués.

L'effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au groupe est éliminé.

Les plus ou moins‑values provenant de cessions d'actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées. Toutefois, les moins-values obtenues sur la base d’un prix de référence externe sont maintenues.

 

8.3. Jugements et estimations utilisés dans la préparation des états financiers. — De par leur nature, les évaluations nécessaires à l’établissement des états financiers au 31 décembre 2005 exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quand à leur réalisation dans le futur.

Les résultats réels peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment :

— les activités des marchés nationaux et internationaux ;

— les fluctuations des taux d’intérêt et de change ;

— la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d’activité ou pays ;

— les modifications de la réglementation ou de la législation ;

— Cette liste n’est pas exhaustive.

 

Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d’hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes :

— Instruments financiers évalués à leur juste valeur : Pour la plupart des instruments négociés de gré à gré, l’évaluation est faite à l’aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d’intérêt est généralement déterminée à l’aide de courbes de taux basées sur les taux d’intérêt du marché observés à la date d’arrêté. Pour l’évaluation d’autres instruments financiers, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs de trésorerie qui sera retenue.

Il arrive cependant que des marges constatées à l’origine sur certains produits structurés et instruments financiers complexes soient établies à partir de modèles internes utilisant des données de marché non « observables ». Dans ce cas particulier, les marges sont constatées au bilan et reprises en résultat par étalement, puis, lorsque les données deviennent observables et que les modèles se standardisent, la marge résiduelle est constatée en résultat ;

— Régimes de retraites et autres avantages sociaux futurs ainsi que les plans de stock-option : Les calculs relatifs aux charges liées aux prestations de retraites et avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d’actualisation, de taux de rotation du personnel ou d’évolution des salaires et charges sociales élaborées par la direction. Si les chiffres réels diffèrent des hypothèses utilisées, la charge liée aux prestations de retraite peut augmenter ou diminuer lors des exercices futurs.

Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations.

 

Les plans de paiements fondés sur des actions sont évalués à la juste valeur selon le modèle Black & Scholes. Une description des plans attribués et des modes de valorisation est détaillée au paragraphe « paiements à base d’actions » ;

— Les moins-values durables : Les titres de capitaux propres en portefeuilles (autres que ceux de transaction) font l’objet d’une dépréciation en cas de baisse durable ou significative de la valeur du titre. En général, une baisse significative et durable est présumée lorsque l’instrument a perdu 30% au moins de sa valeur sur une période de six mois consécutifs. Cependant, la direction peut être amenée à prendre en considération d’autres facteurs (types de placement, situation financière de l’émetteur, perspectives à court terme, …) qui peuvent soit évoluer, soit se révéler inexacts lors des exercices ultérieurs ;

— Provisions pour créances irrécouvrables : La valeur du poste « Prêts et créances » est ajustée par une provision relative aux créances dépréciées lorsque le risque de non recouvrement de ces créances est avéré.

L’évaluation de cette provision sur base actualisée est estimée en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment économiques ou sectoriels. Il est possible que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent de façon significative des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution du montant de la provision.

Une provision collective sur encours sain est également dotée. L’évaluation de cette provision fait appel à la probabilité de défaillance affectée à chaque classe de notation attribuée aux emprunteurs mais fait également appel au jugement expérimenté de la direction ;

— Provisions pour risques et charges : L’évaluation d’autres provisions pour risques et charges peuvent également faire l’objet d’estimations. Il en est ainsi de la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l’objet d’un recensement des risques avérés, l’appréciation de la fréquence de l’incident et le montant de l’impact financier potentiel intègre le jugement de la direction ;

— Constatation d’actif d’impôt différé : Un actif d’impôt différé est comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles à condition que soit jugée probable la disponibilité future d’un bénéfice imposable sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées.

 

8.4. Impacts de la conversion aux normes IAS / IFRS.

 

8.4.1. Passage du résultat normes françaises au résultat normes IFRS au 31/12/2004 (hors normes IAS 32, 39 et IFRS 4) :

 

Passage du résultat normes françaises au résultat normes IFRS au 31/12/2004(hors normes IAS 32, 39 et IFRS 4) :

 

(En milliers d’euros)

Normes françaises 31/12/2004

Reclassements IFRS

Impacts résultats

Normes IFRS 31/12/2004 (hors IAS 32-39 et IFRS 4)

Produit net bancaire

145 914

52

0

145 966

Charges générales d'exploitation

-73 212

 

-9 299

-82 511

Dotations / reprises sur amortissement et provisions des Immobilisations d'exploitation

-6 088

 

 

-6 088

Résultat brut d'exploitation

66 614

52

-9 299

57 367

Coût du risque

-5 546

-266

 

-5 812

Résultat d'exploitation

61 068

-214

-9 299

51 555

Quote-part des résultats net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

0

Gains ou pertes sur autres actifs

314

-52

 

262

Coûts liés au rapprochement

 

 

 

0

Résultat exceptionnel

-9 299

 

9 299

0

Variation de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

 

Reprise des fonds pour risques bancaires généraux

-266

266

 

0

Résultat avant impôts

51 817

0

0

51 817

Impôt sur le résultat

-16 545

 

-169

-16 714

Résultat net de l'exercice

35 272

0

-169

35 103

Intérêts minoritaires

 

 

 

0

Résultat net - part du groupe

35 272

0

-169

35 103

 

Les principaux reclassements effectués concernent les charges exceptionnelles générées par la migration informatique, charges qui font partie du résultat brut d’exploitation en normes IFRS.

 

8.4.2. Impacts sur les Capitaux propres part du groupe hors normes IAS 32, 39 et IFRS 4 au 1er janvier 2004 :

 

(En milliers d’euros)

Montants

Impacts sur capitaux propres non recyclables

31 920

FRBG et provisions pour risques et charges (IAS 30, 37)

29 659

Badwill et goodwill (IFRS 3)

0

Impôts différés (IAS 12)

2 261

Actions propres (IFRS 2)

0

Subventions (IAS 20)

0

Autres

0

Impacts sur capitaux propres variables

0

Impacts sur Capitaux Propres Amortissables

0

Commissions (IAS 18)

0

Autres impacts

0

Quote-part des impacts IAS/IFRS des sociétés mises en équivalence

0

    Impacts IAS/IFRS hors normes 32, 39 et IFRS 4 au 01/01/04

31 920

 

L’impact sur les capitaux propres correspond aux FRBG non documentés (en milliers d’euros) :

 

FRBG Risque crédit

9 007

FRBG Risque opérationnel

3 994

FRBG Risques divers

16 658

 

Les impôts différés sont relatifs à la provision épargne logement.

 

8.4.3. Impacts sur les capitaux propres part du groupe au 1er janvier 2005 :

 

(En milliers d’euros)

Montants

Impacts sur capitaux propres non recyclables

-12 103

FRBG et Provisions pour risques et charges (IAS 39)

-21 744

Réévaluation des titres : classification en trading, dépréciation durable (IAS 39)

0

Réévaluation des dérivés (IAS 39)

1 817

Couverture de juste valeur (IAS 39)

0

Impôts différés (IAS 12)

6 747

Actions propres et stocks options (IFRS 2 - IAS 32)

0

Autres

1 077

Impacts sur capitaux propres variables

109 030

Titres disponibles à la vente (IAS 39)

109 030

Micro couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

0

Macro couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

0

Impacts sur capitaux propres amortissables

0

Day one profit (IAS 39)

0

Commissions (IAS 39)

0

Provisions sur risque de crédit - Actualisation (IAS 39)

0

Autres impacts

0

Quote-part des impacts IAS/IFRS des sociétés mises en équivalence

0

    Impacts IAS/IFRS des normes IAS 32, 39 et IFRS 4 au 01/01/05

96 927

 

Les capitaux propres non recyclables sont affectés des FRBG qui ont été documentés en provisions pour risques et charges à hauteur de 21 744 K€.

Les capitaux propres variables sont essentiellement augmentés de la prise en compte de la plus value latente sur le titre SAS rue la Boétie.

 

8.4.4. Transition du bilan au 31 décembre 2004 et au 1er janvier 2005 (en millions d’euros) :

 

Actif

31/12/2004 Normes françaises

Transition aux normes IAS/IFRS (hors normes IAS 32, 39 et IFRS 4)

31/12/2004 Normes IAS/IFRS hors IAS 32, 39 et IFRS 4

 

Transition aux normes IAS/IFRS (des normes IAS 32, 39 et IFRS 4)

01/01/2005 référentiel IAS/IFRS y compris IAS 32, 39 et IFRS 4

Reclassements IFRS

Impacts IFRS

Reclassements IFRS

Impacts IFRS

Caisses, Banques centrales, CCP

42 380

 

 

42 380

 

 

42 380

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

 

 

 

0

18 488

2 188

20 676

Instruments dérivés de couverture

 

 

 

0

 

9 254

9 254

Actifs financiers disponibles à la vente

 

172 607

 

172 607

-14 688

108 778

266 697

Prêts et créances sur établissements de crédit

140 090

 

 

140 090

1 026

 

141 116

    Dont opérations internes au Crédit agricole

 

 

 

0

 

 

0

Prêts et créances sur la clientèle

2 736 348

10 237

 

2 746 585

-21 744

2 219

2 727 060

    Dont opérations de crédit Bail internes au Crédit agricole

 

 

 

0

 

 

0

Portefeuille titres

81 297

 

 

81 297

 

 

81 297

Effets publics et valeurs assimilées

1 616

-1 616

 

0

 

 

0

Opérations sur titres

79 681

-79 681

 

0

 

 

0

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

 

 

0

 

 

0

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

43 880

 

43 880

-4 826

 

39 054

Actifs d'impôts courant

 

 

 

0

 

 

0

Actifs d'impôts différés

 

2 634

2 005

4 639

 

12 185

16 824

Actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

0

 

 

0

Placement des entreprises d'assurance

0

 

 

0

 

 

0

Titres de participation et autres titres détenus à long terme

145 427

-145 427

 

0

 

 

0

Titres mis en équivalence

0

 

 

0

 

 

0

Immeubles de placement

 

205

 

205

 

 

205

Immobilisations corporelles et incorporelles

43 329

-205

 

43 124

 

 

43 124

Ecarts d'acquisition

 

 

 

0

 

 

0

Comptes de régularisation et actifs divers

71 226

 

 

71 226

 

 

71 226

    Total

3 260 097

2 634

2 005

3 264 736

-21 744

134 624

3 377 616

 

Passif

 

31/12/2004 Normes françaises

Transition aux normes IAS/IFRS (hors normes IAS 32, 39 et IFRS 4)

31/12/2004 Normes IAS/IFRS hors IAS 32, 39 et IFRS 4

Transition aux normes IAS/IFRS (des normes IAS 32, 39 et IFRS 4)

01/01/2005 référentiel IAS/IFRS y compris 32, 39 et IFRS 4

Reclassements IFRS

 

Impacts IFRS

 

Reclassements IFRS

 

Impacts IFRS

 

Caisses, Banques centrales, CCP

 

 

 

0

 

 

0

Passifs à la juste valeur par résultat

 

 

 

 

 

 

0

Instruments dérivés de couverture

 

 

 

 

 

2 219

2 219

Dettes envers les établissements de crédit

1 851 487

 

 

1 851 487

 

1

1 851 488

    Dont opérations internes au Crédit agricole

 

 

 

0

 

 

0

Comptes créditeurs de la clientèle

922 529

-2 120

 

920 409

 

 

920 409

Dettes représentées par un titre

2 224

 

 

2 224

 

 

2 224

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

 

 

 

 

7 330

7 330

Passifs d'impôt courant

 

1 702

 

1 702

 

5 058

6 760

Passifs d'impôt différé

 

2 642

 

2 642

 

 

2 642

Comptes de régularisation et passifs divers

43 743

410

 

44 153

 

 

44 153

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

0

 

 

0

Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés

 

 

 

0

 

 

0

Provisions pour risque et charges

16 097

36 492

-30 180

22 409

 

 

22 409

Dettes subordonnées

28 639

 

 

28 639

 

1 345

29 984

Fonds pour risques bancaires généraux

36 492

-36 492

 

0

 

 

0

Capitaux propres part du groupe

358 886

 

32 185

391 071

-21 744

118 671

487 998

Résultat de la période

35 272

 

-169

35 103

 

1 077

36 180

Réserves consolidées

169 124

 

32 354

201 478

-21 744

8 564

188 298

Intérêts minoritaires

 

 

 

0

 

 

0

    Total

3 260 097

2 634

2 005

3 264 736

-21 744

134 624

3 377 616

 

 8.5. Participations :

 

(En milliers d’euros)

Quote-part du capital détenu (en %)

Valeurs de marché des titres détenus

Participation dont la valeur d’inventaire excède 1 % du capital de l’entité :

 

 

    Participation dans des établissements de crédit (détail)

 

 

        Autres parts dans les entreprises liées

 

 

            SCI Château de Castelnou

98,61

735

        Autres titres de participations

 

 

            SAS rue la Boétie

1,32

254 424

            SA Sofilaro

20,39

1 338

            GF Font Moreau

2 411

572

            SAS Sacam Développement

1,35

10 806

            SAS Sacam Fireca

1,18

603

            SNC CA Titres

 

398

Participations dont la valeur d’inventaire est inferieure à 1% du capital de l’entité

 

 

    Autres parts dans les entreprises liées (ensemble)

 

 

    Autres titres de participation (ensemble)

 

4 360

        Total parts dans les entreprises liées et participations

 

273 236

 

8.6. La gestion des risques financiers et politique de couverture. — La Caisse régionale de Sud Méditerranée met en oeuvre des processus et dispositifs de mesure, de surveillance et de maîtrise de ses risques mesurables (risques de contrepartie, de marché, de placement et d’investissement, de taux d’intérêt global, de liquidité, opérationnels) adaptés à ses activités, ses moyens et à son organisation et intégrés au dispositif de contrôle interne. Les principaux facteurs de risques auxquels est exposé la Caisse régionale de Sud Méditerranée, à savoir les dossiers succursale Espagne, filières agricoles et plus précisément viticulture, filière Promotion Immobilière, risques de contreparties, sont clairement identifiés. En outre, les principales expositions en matière de risques de crédit peuvent bénéficier d’un mécanisme de contre-garantie interne au groupe.

Pour chaque facteur de risque mentionné ci-dessus, la Caisse régionale de Sud Méditerranée a défini de façon précise les limites et procédures lui permettant d’encadrer a priori, de mesurer et de maîtriser les risques.

Ainsi, pour chacun des facteurs de risque identifié, il existe un dispositif de limites qui comporte :

— des limites globales, formalisées sous la forme de Politique Risque, de règles de division des risques. Ces limites, établies en référence aux fonds propres et autres ratios de la Caisse régionale de Sud Méditerranée ont été validées par l’organe exécutif et présentées à l’organe délibérant ;

— des limites opérationnelles (contreparties, groupe de contreparties, tables, opérateurs) cohérentes avec les précédentes, accordées dans le cadre de procédures strictes : décisions sur la base d’analyses formalisées, notations, délégations, double regard (double lecture et double signature) lorsqu’elles atteignent des montants ou des niveaux de risque le justifiant.

 

La Caisse régionale de Sud Méditerranée mesure ses risques de manière exhaustive et précise, c’est-à-dire en intégrant l’ensemble des catégories d’engagements (bilan, hors-bilan) et des positions, en consolidant les engagements sur les sociétés appartenant à un même groupe, en agrégeant l’ensemble des portefeuilles et en distinguant les niveaux de risques.

Ces mesures sont complétées d’une évaluation régulière basée sur des « scénarios catastrophes », appliqués aux expositions réelles et aux limites.

Les méthodologies de mesure sont documentées et justifiées. Elles sont soumises à un réexamen périodique afin de vérifier leur pertinence et leur adaptation aux risques encourus.

La Caisse régionale de Sud Méditerranée assure la maîtrise des risques engagés. Cette surveillance passe par un suivi permanent du fonctionnement des comptes, des dépassements de limites et de leur régularisation, par une revue régulière des principaux risques et portefeuilles, portant en particulier sur les « affaires sensibles », et par une révision au moins annuelle de tous les autres. La correcte classification des créances fait l’objet d’un examen trimestriel au regard de la réglementation en vigueur (créances douteuses notamment). L’adéquation du niveau de provisionnement aux niveaux de risques est mesurée à intervalles réguliers par le Comité des risques.

 

8.6.1. Risque de crédit et de contrepartie. — Le risque de crédit et de contrepartie désigne la possibilité de subir une perte si un emprunteur, un garant ou une contrepartie ne respecte pas son obligation de rembourser un prêt ou de s’acquitter de toute obligation financière.

La fonction risques est rattachée à la Direction finances et risques de la Caisse régionale. Elle est décentralisée en agence et dans les directions de marchés de proximité qui constituent le premier niveau de recouvrement amiable.

Le dispositif de surveillance est organisé autour d’un Comité des Risques, composé de la Direction générale, du directeur des finances et des risques, du directeur du marché des professionnels et des entreprises, du responsable du département risques et juridique et du responsable de contrôle interne qui se réunit mensuellement. Il a pour objet :

— la révision régulière du portefeuille des dossiers contentieux importants ;

— la révision régulière des principaux dossiers (sains ou CDL) par secteur d’activité ;

— la définition de la conduite à tenir sur la gestion de l’ensemble de ces dossiers ;

— la prise de décision sur les dossiers marchands de biens importants ;

— la validation des dotations et reprises de provisions pour les arrêtés semestriels ;

— la décision de passage en pertes des dossiers de crédit ;

— la validation mensuelle des décisions « Risques» prises par les délégataires (passage à pertes, provisionnement, mise à prix) ;

— l’analyse trimestrielle approfondie de la situation globale de la Caisse régionale au regard du risque crédit.

 

En tant qu’établissement de crédit soumis à la loi bancaire, la Caisse régionale Sud Méditerranée assume la responsabilité des opérations qu’elle initie. Toutefois au titre de ses missions d’organe central du réseau, Crédit Agricole S.A. garantit la liquidité et la solvabilité des Caisses régionales.

Ainsi, dans le cas de risques importants dépassant des limites contractualisées une Caisse régionale, présente ses dossiers à Foncaris, établissement de crédit filiale à 100% de Crédit Agricole S.A.

Après examen, au sein d’un comité ad-hoc, Foncaris peut décider de garantir la Caisse régionale (en général à 50%).

La Caisse régionale détermine pour une période de 6 ans le seuil d’éligibilité de ses engagements à la couverture de Foncaris.

En cas de défaut effectif, la Caisse régionale est indemnisée à hauteur de 50% de sa perte résiduelle après mise en jeu des sûretés et épuisements de tous les recours.

 

Les tableaux ci-dessous présentent l’exposition des prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle ainsi que les dettes clientèle selon diverses concentrations de risques.

 

— Concentrations par agents économiques :

 

Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Encours bruts

Dont encours douteux non compromis

Provisions / encours douteux non compromis

Dont encours douteux compromis

Provisions / encours douteux compromis

Total

Encours bruts

Dont encours douteux non compromis

provisions / encours douteux non compromis

Dont encours douteux compromis

Provisions / encours douteux compromis

Total

Etat, Administrations et collectivités publiques

445 243

2 848

2 812

 

 

442 431

428 652

5 277

5 080

 

 

423 571

Institutions financières

186 556

 

 

 

 

186 556

138 200

 

 

 

 

138 200

Particuliers et professionnels

2 228 283

22 732

14 871

36 146

26 833

2 186 579

1 933 173

27 681

16 058

39 386

26 884

1 892 148

Entreprises (y compris les assurances) et autres agents économiques

 413 004

 13 091

 8 072

 12 903

 11 001

393 931

399 692

12 895

8 458

7 101

5 174

386 059

Collectivités publiques

 

 

 

 

 

0

 

 

 

 

 

0

Autres agents économiques

34 919

29

 

427

128

34 791

28 483

177

10

319

142

28 332

    Total

3 308 005

38 700

25 755

49 476

37 962

3 244 288

2 928 200

46 029

29 606

46 805

32 199

2 866 395

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

21 805

 

 

 

 

 

20 281

Provisions collectives

 

 

 

 

 

-25 678

 

 

 

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 240 415

 

 

 

 

 

2 886 676

 

Dettes envers la clientèle par agent économique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Etat, administrations et collectivités publiques

3 118

2 625

Institutions financières

165

128

Particuliers et professionnels

749 905

625 885

Entreprises (y compris les assurances) et autres agents économiques

233 595

290 468

    Total

986 783

919 106

Dettes rattachées

1 026

1 303

    Valeur au bilan

987 809

920 409

 

— Concentrations par zone géographique :

 

Prêts et créances sur les établissements de crédit par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Encours brut

 

Dont encours douteux

 

Provisions sur encours douteux

 

Total

 

Encours brut

 

Dont encours douteux

 

Provisions sur encours douteux

 

Total

 

France (y compris DOM-TOM)

181 594

 

 

181 594

138 200

 

 

138 200

Autres pays de l'UE

4 012

 

 

4 012

 

 

 

 

Autres pays d'Europe

 

 

 

0

 

 

 

 

Amérique du Nord

 

 

 

0

 

 

 

 

Amériques Centrale et du Sud

 

 

 

0

 

 

 

 

Afrique et Moyen Orient

 

 

 

0

 

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

0

 

 

 

 

Japon

 

 

 

0

 

 

 

 

   Total

185 606

 

 

185 606

 

 

 

138 200

Créances rattachées nettes

 

 

 

2 527

 

 

 

1 890

Provisions collectives

 

 

 

0

 

 

 

0

Valeurs nettes au bilan

 

 

 

188 133

 

 

 

140 090

 

Prêts et créances sur la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Encours bruts

Dont encours douteux

Provisions / encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provisions / encours douteux compromis

Total

Encours bruts

Dont encours douteux

provisions / encours douteux

Dont encours douteux compromis

Provisions / encours douteux compromis

Total

France (y compris DOM-TOM)

 

0

 

0

 

0

 

46 033

 

36 227

 

2 707 700

 

2 479 425

 

44 120

 

29 570

40 906

29 305

2 420 550

Autres pays de l'UE

 

345 131

 

1 904

 

128

 

3 443

 

1 735

 

343 268

 

310 502

 

1 909

 

36

 

5 899

 

2 894

 

307 572

Autres pays d'Europe

7 714

 

 

 

 

7 714

 

 

 

 

 

0

Amérique du Nord

 

 

 

 

 

0

73

 

 

 

 

73

Amériques Centrale et du Sud

 

 

 

 

 

0

 

 

 

 

 

0

Afrique et Moyen Orient

 

 

 

 

 

0

 

 

 

 

 

0

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

 

 

0

 

 

 

 

 

0

Japon

 

 

 

 

 

0

 

 

 

 

 

0

    Total

3 122 399

38 700

25 755

49 476

37 962

3 058 682

2 790 000

46 029

29 606

46 805

32 199

2 728 195

Créances rattachées nettes

 

 

 

 

 

19 278

 

 

 

 

 

18 391

Provisions collectives

 

 

 

 

 

-25 678

 

 

 

 

 

0

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

 

3 052 282

 

 

 

 

 

2 746 586

 

Dettes envers la clientèle par zone géographique :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 complet

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

France (y compris DOM-TOM)

986 783

 

919 106

Autres pays de l'UE

 

 

 

Autres pays d'Europe

 

 

 

Amérique du Nord

 

 

 

Amériques Centrale et du Sud

 

 

 

Afrique et Moyen Orient

 

 

 

Asie et Océanie (hors Japon)

 

 

 

Japon

 

 

 

       Total

986 783

 

919 106

Dettes rattachées

1 026

 

1 303

    Valeur au bilan

987 809

 

920 409

 

Opérations sur instruments financiers à terme. — Risque de contrepartie :

 

(En millions d'euros)

31/12/2005

31/12/2004

(hors IAS 32-39 et IFRS 4)

Valeur de marché

 

Risque de crédit potentiel

 

Valeur de marché

 

Risque de crédit potentiel

 

Risques sur les gouvernements et banques centrales de l'OCDE et organismes assimilés

 

 

 

 

Risques sur les établissements financiers de l'OCDE et organismes assimilés

8,5

3,4

 

 

Risques sur les autres contreparties

 

 

 

 

        Total par contrepartie

8,5

3,4

0

0

Risques sur contrats de :

 

 

 

 

    Taux d'intérêt, change et matières premières

8,5

3,4

 

 

    Dérivés actions et sur indices

 

 

 

 

    Incidence des accords de compensation

8,5

3,4

0

0

        Total après effets des accords de compensation

8,5

3,4

0

0

 

8.6.2. Risque de marchés. — Le risque de marchés représente le risque d’incidences négatives sur le compte de résultat ou sur le bilan, de fluctuations défavorables de la valeur des instruments financiers à la suite de la variation des paramètres de marchés notamment : les taux d’intérêts, les taux de change, le cours des actions, le prix des matières premières, ainsi que de leur volatilité implicite.

La politique générale d’intervention sur les marchés financiers de la Caisse régionale, approuvée par le Conseil d’Administration, sur proposition de la Direction Générale, définit les objectifs de contribution de l’activité à la performance globale de l’entreprise et autorise un niveau de risque associé.

Les orientations majeures adoptées dans le cadre de cette politique générale d’intervention sont :

— Contribuer de manière progressive aux résultats ;

— Pérenniser et optimiser le PNB des exercices futurs ;

— Préserver la valeur patrimoniale des actifs gérés.

 

Ces orientations stratégiques, définies par la Direction Générale, sont les paramètres initiaux de la modélisation statistique « Value at Risk » qui permet de présenter une allocation cible annuelle des portefeuilles de titres de la Caisse régionale.

Pour maintenir une volatilité estimée des excédents du compartiment Fonds Propres proche de 2,5%, la Caisse régionale s’autorise une exposition en risque « actions » inférieure à 12%. Elle dispose d’un portefeuille de titres d’investissement et d’un portefeuille de titres de placements, mais ne s’autorise pas la détention de titres de transactions. Elle recourt à des produits structurés dans le but de diminuer la volatilité des sous-jacents investis (ex : TCN indexés actions / protection du capital).

Les opérations traitées sont exécutées dans le cadre strict des décisions du Comité financier. Elles sont soumises à la signature exclusive de la Direction générale ou du directeur financier.

La valorisation du portefeuille, effectuée à la trésorerie mensuellement, s’opère en 2 étapes :

— L’ensemble des valeurs liquidatives des titres détenus est imprimé à partir des supports d’information mis à disposition par les contreparties (WEB, fax, mail …). Les titres qui le permettent (TCN indexés) font l’objet d’une cotation en interne afin d’effectuer un contrôle de cohérence ;

— La valorisation du portefeuille est ensuite communiquée, les valeurs liquidatives sont archivées et restent à la disposition des différents niveaux de contrôle.

Les services comptables enregistrent les éventuelles variations de valeur de marché.

 

La Caisse régionale s’est dotée de limites de moins values sur son portefeuille de titres de placement :

— Limite globale de moins value nette de 2% des fonds propres ;

— Limite par nature de placement de 20% de la valeur de souscription.

 

Dans le cas où la valorisation du portefeuille concerné approcherait ces limites, le Comité financier adopte les mesures nécessaires pour assurer le respect de ces limites (couverture du risque, activation d’un stop-loss, etc.).

 

 

8.6.2.1. Risques de taux. — Le risque de taux correspond au risque de variation de juste valeur ou au risque de variation de flux de trésorerie futurs d’un instrument financiers du fait de l’évolution des taux d’intérêt. La mesure du risque de taux est réalisée au moyen d’un outil développé et maintenu par Crédit Agricole SA. La fréquence d’analyse est trimestrielle, et à cette occasion, il est également établi un scénario catastrophe.

Sur la base du bilan risqué, le modèle permet deux types d’analyses :

— Méthode de la sensibilité du PNB : Estimation des impacts d’un mouvement de taux en terme de coût d’opportunités calculés en comparant le PNB de la CR sous le scénario de taux de référence par rapport à la situation ou les taux resteraient inchangés. C’est la méthode utilisée pour l’élaboration d’un scénario catastrophe ;

— Méthode des GAPS : Evaluation des impasses existantes (GAP) entre les postes d’actif et de passif du bilan risqué, et sensibilité du PNB à une variation de 1% des taux de marché.

Les limites fixées au risque de taux sont de parvenir à un couverture totale de l’impasse de chaque échéance d’ici 3 ans dans le respect de préconisations du groupe qui sont de 1% de sensibilité sur les impasses de 1 à 3 ans et de 2% au-delà.

 

Détail des emprunts obligataires et des dettes subordonnées par monnaie d'émission :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Emprunts obligataires

Dettes subordonnées à durée déterminée

Dettes subordonnées à durée indéterminée

Euro :

 

 

 

 

 

 

    Taux fixe

 

29 209

 

 

28 173

 

    Taux variable

 

 

 

 

 

 

        Total

 

29 209

 

 

28 173

 

    Taux fixe

 

29 209

 

 

28 173

 

    Taux variable

 

 

 

 

 

 

Total en principal, hors dettes rattachées non ventilables.

 

 

Opérations sur instruments financiers à terme : analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Total encours notionnel

 

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

200 865

338 047

202 873

741 785

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

    Fra

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

200 865

338 047

202 873

741 785

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

200 865

338 047

202 873

741 785

Opérations de change à terme

 

 

 

3 664

 

 

3 664

            Valeurs nettes au bilan

0

0

0

204 529

338 047

202 873

745 449

Les montants indiqués correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses ou au cumul des achats ou ventes de contrats.

NB : Les montants ventilés sont établis à partir des engagements notionnels sur instruments financiers à terme.

 

 

Opérations sur instruments financiers à terme : analyse par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2004 (hors normes 32-39 et IFRS 4)

Opérations sur Marchés Organisés

Opérations de gré à gré

Total encours notionnel

 

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

≤1 an

> 1 an ≤ 5 ans

> 5 ans

Instruments de taux d'intérêt :

0

0

0

85 566

192 467

124 505

402 538

    Futures

 

 

 

 

 

 

 

    FRA

 

 

 

 

 

 

 

    Swaps de taux d'intérêts

 

 

 

85 566

192 467

124 505

402 538

    Options de taux

 

 

 

 

 

 

 

    Caps-floors-collars

 

 

 

 

 

 

 

    Autres instruments conditionnels

 

 

 

 

 

 

 

Instruments de devises et or :

0

0

0

0

0

0

0

    Opérations fermes de change

 

 

 

 

 

 

 

    Options de change

 

 

 

 

 

 

 

Autres instruments :

0

0

0

0

0

0

0

    Dérivés sur actions et indices boursiers

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur métaux précieux

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés sur produits de base

 

 

 

 

 

 

 

    Dérivés de crédits

 

 

 

 

 

 

 

    Autres

 

 

 

 

 

 

 

        Sous total

0

0

0

85 566

192 467

124 505

402 538

Opérations de change à terme

 

 

 

1 649

 

 

1 649

            Valeurs nettes au bilan

0

0

0

87 215

192 467

124 505

404 187

Les montants indiqués correspondent au cumul des positions prêteuses et emprunteuses ou au cumul des achats ou ventes de contrats.

NB : Les montants ventilés sont établis à partir des engagements notionnels sur instruments financiers à terme.

 

 

8.6.2.2. Risque de prix. — Le risque de prix résulte de la variation de prix et de volatilité des actions et des matières premières, des paniers d’actions ainsi que des indices sur actions.

Sont notamment soumis à ce risque : les titres à revenu variable, les dérives actions et les instruments dérivés sur matières premières.

Dans le cadre de sa politique générale de risque de marché, la Caisse régionale mesure sa perte probable de PNB à l’intérieur d’un scénario catastrophe selon des hypothèses émises par le groupe.

En outre, les allocations de portefeuilles « titres » sont établies à partir du modèle statistique « Value at Risk » qui définit, en fonction de l’exposition choisie sur chaque classe d’actifs, la distribution des couples rendement-risque. Le modèle peut ainsi indiquer la perte maximale que peut générer le portefeuille pour un intervalle de confiance donné.

 

8.6.3. Risque de liquidité et de financement. — Le risque de liquidité et de financement désigne la possibilité de subir une perte si l’entreprise n’est pas en mesure de respecter ses engagements financiers en temps opportun et à des prix raisonnables lorsqu’ils arrivent à échéance.

Ces engagements comprennent notamment les obligations envers les déposants et les fournisseurs, ainsi que les engagements au titre d’emprunts et de placement.

La Caisse régionale Sud Méditerranée en tant qu’établissement de crédit respecte les exigences en matière de liquidité définies par les textes suivants :

— Le règlement CRBF n° 88-01 du 22 février 1988 relatif à la liquidité ;

— L’instruction de la Commission bancaire n° 88-03 du 22 avril 1988 relative à la liquidité ;

— L’instruction de la Commission bancaire n° 89-03 du 20 avril 1989 relative aux conditions de prise en compte des accords de refinancement dans le calcul de la liquidité.

 

Le risque de liquidité fait, au sein de la Caisse régionale, l’objet d’un double contrôle.

Un premier contrôle s’exerce mensuellement dans des traitements BAFI, par la déclaration réglementaire RL qui mesure le ratio de liquidité à 1 mois. Le groupe préconise le pilotage du ratio en Caisse régionale autour de 130%, pour un niveau de sécurité satisfaisant par rapport à la limite de 100% autorisée.

Le second contrôle, est une mesure du ratio de liquidité à moyen et long terme, publié par Crédit Agricole SA pour chaque Caisse régionale.

 

 

Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Prêts et créances émis sur les établissements de crédit (dont opérations internes au CA)

55 787

6 536

78 989

44 294

185 606

72 294

11 184

10 551

44 182

138 211

Prêts et créances émis sur la clientèle (dont crédit bail)

316 903

316 338

1 037 326

1 451 832

3 122 399

246 648

314 593

975 475

1 253 818

2 790 534

    Total

372 690

322 874

1 116 315

1 496 126

3 308 005

318 942

325 777

986 026

1 298 000

2 928 745

Créances rattachées

 

 

 

 

30 718

 

 

 

 

31 059

Provisions

 

 

 

 

98 308

 

 

 

 

73 128

    Valeurs nettes au bilan

 

 

 

 

3 240 415

 

 

 

 

2 886 676

 

 

Dettes des établissements de crédit et de la clientèle par durée résiduelle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes envers les établissements de crédit (dont opérations internes au CA)

371 433

646 913

688 901

457 833

2 165 080

278 956

626 185

531 290

411 596

1 848 027

Dettes envers la clientèle

976 515

3 022

6 808

438

986 783

904 858

6 323

7 389

536

919 106

    Total

1 347 948

649 935

695 709

458 271

3 151 863

1 183 814

632 508

538 679

412 132

2 767 133

Dettes rattachées

 

 

 

 

6 778

 

 

 

 

4 763

    Valeur au bilan

 

 

 

 

3 158 641

 

 

 

 

2 771 896

 

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

1 538

520

 

 

2 058

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

 

 

 

 

0

    Émis en France

 

 

 

 

 

    Émis à l'étranger

 

 

 

 

 

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

        Total

1 538

520

0

0

2 058

Dettes rattachées

 

 

 

 

9

Valeur au bilan

 

 

 

 

2 067

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

 

 

8 300

20 909

29 209

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

        Total

0

0

8 300

20 909

29 209

Dettes rattachées

 

 

 

 

448

    Valeur au bilan

 

 

 

 

29 657

 

 

Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

≤ 3 mois

> 3 mois à ≤ 1 an

> 1 an à ≤ 5 ans

> 5 ans

Total

Dettes représentées par un titre :

 

 

 

 

 

    Bons de caisse

1 813

400

 

 

2 213

    Titres du marché interbancaire

 

 

 

 

0

Titres de créances négociables :

 

 

 

 

0

    Émis en France

 

 

 

 

 

    Émis à l'étranger

 

 

 

 

 

    Emprunts obligataires

 

 

 

 

0

    Autres dettes représentées par un titre

 

 

 

 

0

        Total

1 813

400

0

0

2 213

Dettes rattachées

 

 

 

 

11

    Valeur au bilan

 

 

 

 

2 224

Dettes subordonnées :

 

 

 

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

 

 

9 173

19 000

28 173

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

 

 

0

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

 

 

0

    Titres et emprunts participatifs

 

 

 

 

0

        Total

0

0

9 173

19 000

28 173

Dettes rattachées

 

 

 

 

466

    Valeur au bilan

 

 

 

 

28 639

 

 

8.6.4. Couverture des risques de flux de trésorerie et de juste valeur sur taux d’intérêts et de change. — La Caisse régionale à l’obligation réglementaire d’utiliser un outil de mesure de son risque de taux. Ce logiciel permet de définir un niveau minimal de couverture du risque dans le cadre des préconisations émises par Crédit Agricole SA.

Les positions de macro-couverture de juste-valeur couvrent les passifs à taux fixe issus de certains portefeuilles de collecte clientèle (Dépôts, collecte d’épargne, émissions obligataires groupe). Une baisse des taux génère une hausse de la valeur de marché des passifs à taux fixe, qui est couverte par la hausse de la valeur de marché des dérivés de macro-couverture (actifs à taux fixe).

De même, les micro-couvertures de juste valeur de type « actif TF vs passif TV » couvrent les variations de valeur de marché des passifs à taux fixe désignés.

Enfin, les micro-couvertures de juste valeur de type « actif TV vs passif TF » couvrent les variations de valeur de marché de certains crédits à taux fixe.

 

Instruments dérivés de couverture :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32,39 et IFRS 4)

Valeur de marché positive

Valeur de marché négative

Instruments dérivés de couverture de juste valeur :

4 011

1 971

 

    Instruments dérivés de taux d'intérêt

4 011

1 971

 

    Instruments dérivés de cours de change

 

 

 

    Instruments dérivés sur actions et indices

 

 

 

    Autres instruments dérivés

 

 

 

Instruments dérivés de couverture de flux de trésorerie :

0

0

 

    Instruments dérivés de taux d'intérêt

 

 

 

    Instruments dérivés de cours de change

 

 

 

    Instruments dérivés sur actions et indices

 

 

 

    Autres instruments dérivés

 

 

 

        Total instruments dérivés de couverture

4 011

1 971

 

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32, 39 et IFRS 4)

Valeur de marché positive

Valeur de marché négative

Instruments dérivés de couverture :

 

 

 

    Micro-couverture

1 037

1 971

 

        Dont couverture de juste valeur

1 037

1 971

 

        Dont couverture de flux de trésorerie

 

 

 

        Dont couverture d’investissements nets à l’étranger

 

 

 

    Couverture en taux de portefeuille (macro-couverture de juste valeur)

 

2 974

 

 

    Couverture en taux de portefeuille (macro-couverture de flux trésorerie)

 

 

 

        Total instruments dérivés de couverture

4 011

1 971

 

 

 

8.7. Autres risques. — Les risques décrits ci-dessous font l’objet d’une évaluation et sont comptabilisés au passif du bilan dans la rubrique « Provisions pour risques et charges ».

 

8.7.1. Risques opérationnels. — En 2004, le déploiement du dispositif risques opérationnels « EUROPA » a permis de réaliser une cartographie, pour l’ensemble des Caisses régionales et de leurs filiales, permettant ainsi de recenser et de qualifier les risques opérationnels avérés et potentiels.

En 2005, le groupe Crédit agricole a poursuivi la mise en oeuvre du dispositif avec le déploiement de l’outil « OLIMPIA » qui permet de collecter les incidents survenus depuis le 1er janvier.

Cette démarche quantitative et uniquement rétrospective permet de mesurer les fréquences des incidents ainsi que leurs impacts financiers.

Ce dispositif permet d’évaluer le coût du risque opérationnel, d’en analyser l’évolution et les composantes, afin d’établir des priorités en matière d’actions correctrices ou de politique de couverture via la mise en place de polices d’assurance.

 

8.7.2. Risques juridiques. — Au 31 décembre 2005, il n’existe aucun fait exceptionnel ou litige susceptible d’avoir une incidence significative sur la situation financière, l’activité, les résultats ou le patrimoine de la Caisse régionale Sud Méditerranée.

Les principales procédures judiciaires et fiscales en cours impliquant la Caisse régionale Sud Méditerranée sont des actions courantes avec la clientèle dans le cadre de l’activité bancaire.

 

8.7.3. Assurances et couverture des risques. — La Caisse régionale a souscrit principalement deux contrats d'assurance auprès de CAMCA afin de couvrir le risque concernant son activité bancaire :

— L’assurance globale de banque qui garantit les risques liés aux escroqueries, hold-up et autres détournements.

— Un contrat couvre la responsabilité civile de l'organisme bancaire, du courtier concernant l’activité d’assurance ainsi que celle du banquier et des dirigeants sociaux.

 

8.8. Notes relatives au compte de résultat.

 

8.8.1. Produits et charges d’intérêts :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Sur opérations avec les établissements de crédit

579

539

Sur opérations internes au Crédit Agricole

8 077

6 836

Sur opérations avec la clientèle

128 302

123 953

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

 57

 61 

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

2 897

2 660

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

16 154

15 804

Intérêts sur obligations et autres titres à revenus fixes

0

0

Sur opérations de location-financement

0

0

Autres intérêts et produits assimilés

4 613

2 913

    Produits d'intérêts

160 679

152 766

Sur opérations avec les établissements de crédit

5

8

Sur opérations internes au Crédit Agricole

67 134

63 143

Sur opérations avec la clientèle

1 311

1 373

Actifs financiers disponibles à la vente

161

0

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

23

9

Sur dettes représentées par un titre

44

54

Sur dettes subordonnées

1 993

1 501

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

11 600

9 875

Intérêts sur obligations et autres titres à revenus fixes

0

0

Sur opérations de location-financement

0

0

Autres intérêts et charges assimilées

0

0

    Charges d'intérêts

82 271

75 963

 

 

8.8.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

 40

 6

 34

 64

  6

 58

Sur opérations internes au Crédit Agricole

9 177

2 625

6 552

6 909

2 027

4 882

Sur opérations avec la clientèle

14 512

64

14 448

15 438

64

15 374

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

3

 

3

14

0

14

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors bilan

 

3 245

 

730

 

2 515

 

1 591

 

519

 

1 072

Prestations de services bancaires et financiers dont :

 

 

 

0

 

 

 

0

    Produits nets de gestion d'OPCVM

1 209

 

1 209

1 338

0

1 338

    Produits nets sur moyens de paiement

21 687

3 886

17 801

21 146

3 970

17 176

    Autres

16 040

465

15 575

15 512

311

15 201

        Produits nets des commissions

65 913

7 776

58 137

62 012

6 897

55 115

 

 

8.8.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif/passif à la juste valeur par résultat

 2 032

  

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

115

 

Inefficacité des couvertures de Juste Valeur

 

 

Inefficacité des couvertures de flux de trésorerie

 

 

    Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

2 147

 

 

 

8.8.4. Gains ou perte nets sur Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32, 39 et IFRS 4)

Dividendes reçus

7 931

 

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente

 267

 

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres à revenu variable)

 -91

  

Plus ou moins values de cessions réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

 

    Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

8 107

 

 

 

8.8.5. Produits et charges nets des autres activités :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32, 39 et IFRS 4)

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

 

 

Autres produits (charges) nets

6 633

6 191

    Produits (charges) des autres activités

6 633

6 191

 

 

8.8.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors normes IAS 32, 39 et IFRS 4)

Impôts et taxes

2 701

2 551

Services extérieurs

26 594

42 670

Autres frais administratifs

-349

-9 026

    Autres charges

28 946

36 195

Dotations aux amortissements et aux provisions pour dépréciation des immobilisations corporelles et incorporelles :

 

(En milliers d’euros)

2005

2004

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation :

 

 

    Dotations aux amortissements

6 540

6 088

    Dotations aux provisions pour dépréciation

 

 

        Total

6 540

6 088

 

 

8.8.7. Coût du risque :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Dotations aux provisions

-41 687

-28 958

Provisions pour dépréciation des prêts et créances

-36 810

-25 924

Provisions pour dépréciation des titres détenus jusqu'à l'échéance (hors risque de taux)

 

 

Provisions pour risques et charges

-4 877

-3 034

    Reprises de provisions

36 329

30 626

Reprise des provisions pour dépréciation des prêts et créances

34 179

28 236

Reprise des provisions pour dépréciation des titres détenus jusqu'à l'échéance (hors risque de taux)

 

 

Provisions pour risques et charges

2 150

2 390

    Variation des provisions

-5 358

1 668

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non provisionnées

-5 533

-8 250

Récupérations sur prêts et créances amorties

775

770

Autres pertes

-264

 

    Coût du risque

-10 380

-5 812

 

 

8.8.8. Gains ou pertes nets sur autres actifs :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation

-20

262

    Plus-values de cession

3

283

    Moins-values de cession

-23

-21

Titres de capitaux propres consolidés

 

 

    Plus-values de cession

 

 

    Moins-values de cession

 

 

        Gains ou pertes sur autres actifs

-20

262

 

 

8.8.9. Impôts :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32 – 39 et IFRS 4)

Charge d'impôt courant

18 822

16 337

Charge d'impôt différé

-37 157

-33 051

    Charge d'impôt de la période

-18 335

-16 714

 

 

Réconciliation du taux d’impôt théorique avec le taux d’impôt constaté :

 

 

Base

Taux d'impôt

Impôt

Résultat avant impôt, provisions sur écarts d'acquisitions et résultats des sociétés mises en équivalence

59 968

34,93%

20 811

Effet des différences permanentes

 

 

-247

Effet des différences de taux d'imposition des entités étrangères

 

 

0

Effet des pertes de l'exercice, de l'utilisation des reports déficitaires et des différences temporaires

 

 

-2 030

Effet de l'imposition à taux réduit

 

 

-312

Effet des autres éléments

 

 

113

Taux et charge effectif d'impôt

 

30,57%

18 335

 

 

8.9. Informations sectorielles. — La Caisse régionale Sud Méditerranée présente son activité dans le secteur « Banque de proximité en France ».

 

8.10. Notes relatives au bilan au 31 décembre 2005.

 

8.10.1. Caisse, Banques centrales, CCP :

 

 

31/12/2005

31/12/2004

 

Actif

Passif

Actif

Passif

Caisse

17 912

 

17 911

 

Banques centrales, CCP

25 143

 

24 469

 

    Total

43 055

0

42 380

0

 

 

8.10.2. Actifs et passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors IAS 32-39 et IFRS 4)

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

1 480

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

24 756

 

    Juste valeur au bilan

26 236

 

        Dont titres prêtés

 

 

 

 

Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors IAS 32-39 et IFRS 4)

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

 

 

Instruments dérivés

1 480

 

    Juste valeur au bilan

1 480

 

 

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors IAS 32-39 et IFRS 4)

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de comptes

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

24 756

 

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

24 756

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

 

 

    Juste valeur au bilan

24 756

 

 

 

Instruments dérivés de transaction :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Valeur de marché positive

Valeur de marché négative

Instruments dérivés de taux d'intérêt

1 480

 

 

Instruments dérivés de cours de change

 

 

 

Instruments dérivés sur actions et indices

 

 

 

Autres instruments dérivés

 

 

 

    Total instruments dérivés de transaction

1 480

0

 

 

 

8.10.3. Instruments dérivés de couverture. — L’information détaillée est fournie dans le paragraphe relatif à la couverture du risque de flux de trésorerie ou de juste valeur, notamment sur taux d’intérêts et de change.

 

8.10.4. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Titres évalués à la Juste Valeur

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

131

 

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

131

 

Actions et autres titres à revenu variable

329 476

 

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

329 476

 

        Total des titres disponibles à la vente

329 607

 

Total des créances disponibles à la vente

 

 

        Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

329 607

 

(1) Dont 2 128 milliers d’euros au 31/12/2005 comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

 

 

Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Juste valeur

Gains latents

Pertes latentes

Juste valeur

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

131

 

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

 

 

Titres de participation non consolidés

329 476 

130 795

 

 

Créances disponibles à la vente

 

 

 

 

    Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente

329 607

130 795

0

 

Impôts différés

0

-956

0

 

Gains et pertes latents sur actifs financiers disponibles à la vente (net IS)

 

329 607

 

129 839

 

0

 

 

 

8.10.5. Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle.

 

8.10.5.1. Prêts et créances sur établissements de crédit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Etablissements de crédit :

 

 

Comptes et prêts

4 121

2 016

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

394

282

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Autres prêts et créances

 

 

    Total

4 515

2 298

Créances rattachées

5

6

Provisions

 

 

Valeur nette

4 520

2 304

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

Comptes ordinaires

46 489

65 038

Comptes et avances à terme

89 687

25 949

Prêts subordonnés

44 915

44 915

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

    Total

181 091

135 902

Créances rattachées

2 522

1 884

Provisions

 

 

Valeur nette

183 613

137 786

Valeur nette au bilan

188 133

140 090

 

 

8.10.5.2. Ventilation des prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Opérations avec la clientèle :

 

 

Créances commerciales

22 353

22 444

Autres concours à la clientèle

3 068 795

2 732 400

Titres reçus en pension livrée

 

 

Prêts subordonnés

 

 

Titres non cotés sur un marché actif

 

 

Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

Avances en comptes courants d'associés

8 667

10 979

Comptes ordinaires débiteurs

22 584

24 919

    Total

3 122 399

2 790 742

Créances rattachées

28 191

28 972

Provisions

-98 308

-73 128

    Valeurs nettes au bilan

3 052 282

2 746 586

Opérations de crédit bail :

 

 

Crédit-bail immobilier

 

 

Crédit-bail mobilier, LOA et opérations assimilées

 

 

    Total

 

 

Créances rattachées

 

 

Provisions

 

 

    Valeurs nettes au bilan

 

 

        Total

3 052 282

2 746 586

 

 

8.10.6. Provisions inscrites en déduction de l’actif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

01/01/2005

Variation de périmètre

Dotations

Reprises

Utilisations

Ecart de conversion

Autres mouvements

31/12/2005

Sur créances interbancaires

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur créances clientèle

  70 315

 92 059

  

  45 248

 

 37 218

 

 6 568 

 

 (1) 2 071

 95 592

dont provisions collectives

  

 21 744

 

 

 3 934

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  25 678

Sur opérations de crédit-bail

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur titres détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur autres actifs

  3 145

 3 145

 

   135

 534

 

 

 

 

  2 746

    Total des provisions sur l'actif

 

73 460

 

95 204

 

0

 

45 383

 

37 752

 

6 568

 

0

 

2 071

 

98 338

(1) Changement de méthode comptable sur l’actualisation des provisions.

 

 

8.10.7. Dettes sur établissements de crédit :

8.10.7.1. Dettes sur établissements de crédit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Etablissements de crédit :

 

 

Comptes et emprunts

434

281

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

    Total

434

281

Dettes rattachées

7

7

    Valeur au bilan

441

288

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

510

 

Comptes et avances à terme

2 164 138

1 847 746

    Total

2 164 648

1 847 746

Dettes rattachées

5 743

3 453

    Valeur au bilan

2 170 391

1 851 199

        Valeur au bilan des dettes envers les établissements de crédit

2 170 832

1 851 487

 

 

8.10.7.2. Dettes sur la clientèle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Comptes ordinaires créditeurs

935 463

865 781

Comptes d'épargne à régime spécial

9 528

8 358

Autres dettes envers la clientèle

41 792

44 967

Titres donnés en pension livrée

0

0

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

0

0

Dettes nées d'opérations de réassurance

0

0

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 0

 0

    Total

986 783

919 106

Dettes rattachées

1 026

1 303

    Valeur au bilan

987 809

920 409

 

 

8.10.8. Portefeuille titres :

 

(En milliers d’euros)

 

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Titres de participation et parts dans les entreprises liées

Autres titres détenus à L.T.

Total

Obligations et autres titres à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions et autres titres à revenu variable

Titres de participation et parts dans les entreprises liées

Autres titres détenus à L.T.

Total

Titres cotés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Titres non cotés

 

 

 

 

 

 

 

62 158

 

1 539

 

131

 

137 351

 

 

201 179

Créances rattachées

 

 

 

 

 

 

 

1 132

 

76

 

17 822

 

 

 

19 030

Provisions

 

 

 

 

 

 

-1 512

 

-50

-2 161

 

-3 723

Valeurs nettes au Bilan

 

 

 

 

 

 

 

61 778

 

1 615

 

17 903

 

135 190

 

0

 

216 486

 

 

8.10.9. Actifs financiers détenus jusqu’à l’échéance :

 

(En milliers d’euros)

 

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

42 183

 

Titres cotés

 

 

 

Titres non cotés

 

42 183

 

    Total

 

42 183

 

Créances rattachées

 

1 334

 

Provisions

 

 

 

    Valeurs nettes au bilan

 

43 517

 

 

 

8.10.10. Dettes représentées par un titre :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Dettes représentées par un titre :

 

 

Bons de caisse

2 058

2 213

Titres du marché interbancaire

 

 

Titres de créances négociables :

 

 

Émis en France

 

 

Émis à l'étranger

 

 

Emprunts obligataires

 

 

Autres dettes représentées par un titre

 

 

    Total

2 058

2 213

Dettes rattachées

9

11

    Valeur au bilan

2 067

2 224

Dettes subordonnées :

 

 

Dettes subordonnées à durée déterminée

29 209

28 173

Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

Titres et emprunts participatifs

 

 

    Total

29 209

28 173

Dettes rattachées

448

466

    Valeur au bilan

29 657

28 639

 

 

8.10.11. Actifs et passifs d’impôts courants et différés :

 

Impôts différés - Passif

2005

2004(hors 32-39 et IFRS 4)

Autres impôts différés passif

2 525

2 253

Actifs disponibles à la vente

956

 

Couvertures de flux de trésorerie

2 569

 

Autres différences temporaires

353

389

    Total impôt différé passif

6 403

2 642

 

Impôts différés - Actif

2005

2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Charges à payer non déductibles

699

1 497

Provisions pour risques et charges non déductibles

13 355

3 141

Autres impôts différés actif

-30

 

Couvertures de flux de trésorerie

2 059

 

    Total impôt différé actif

16 083

4 638

 

 

8.10.12. Comptes de régularisation. — Actif, passif et divers :

 

1) Comptes de régularisation. — Actif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Autres actifs

12 346

11 282

Comptes de stocks et emplois divers

4 336

4 566

Gestion collective des titres CODEVI

 

 

Débiteurs divers

7 973

6 666

Comptes de règlements

37

50

Capital souscrit non versé

 

 

Autres actifs d'assurance

 

 

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

 

 

    Comptes de régularisation

64 823

59 944

Comptes d'encaissement et de transfert

29 311

30 209

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

10

3

Produits à recevoir

33 938

28 370

Charges constatés d'avance

1 475

1 348

Autres comptes de régularisation

89

14

    Valeur nette au bilan

77 169

71 226

 

 

2) Comptes de régularisation - Passif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Autres passifs (1)

9 405

8 709

Comptes de règlements

242

261

Créditeurs divers

8 721

8 006

Versement restant à effectuer sur titres

442

442

Autres

 

 

    Comptes de régularisation

37 040

35 444

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

4 051

2 139

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

4

1

Produits constatés d’avance

4 542

4 195

Charges à payer

26 269

26 376

Autres comptes de régularisation

2 174

2 733

    Valeur au bilan

46 445

44 153

 

 

8.10.13. Participations dans les entreprises mises en équivalence. — Le détail de cette note est inséré dans le chapitre relatif au périmètre de consolidation au paragraphe 8.5.

 

8.10.14. Immeubles de placement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

01/01/2005

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

Solde

31/12/2005

Immeubles de placement :

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

421

421

 

2 648

2 667

 

 

402

Amortissements et provisions

 216

 216

 

 10

 


 

 

216

   Valeur nette au bilan

205

205

0

2 638

2 667

0

0

176

Y compris Immeubles de placement donnés en location simple.

 

(En milliers d’euros)

01/01/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Immeubles de placement :

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

1 222

 

1 522

2 323

 

 

421

Amortissements et provisions

460

 

34

278

 

 

216

    Valeur nette au bilan

762

0

1 488

2 045

0

0

205

 

 

8.10.15. Immobilisations corporelles et incorporelles (hors écarts d’acquisition) :

 

(En milliers d’euros)

Solde

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

01/01/2005

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

Solde

31/12/2005

Immobilisations corporelles :

 

 

 

 

 

 

 

 

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

93 436

93 436

 

8 161

1 938

 

 

99 659

Créances rattachées (1)

 

 

 

 

 

 

 

 

Amortissements et Provisions

52 914

52 914

 

5 405

199

 

 

58 120

    Valeur nette au bilan

40 522

40 522

0

2 756

1 739

0

0

41 539

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

8 799

8 799

 

503

62

 

 

9 240

Amortissements et Provisions

 6 197

6 197

 
 

 1 124

 
 

 
 

 
 

 7 321

        Valeur nette au bilan

2 602

2 602

0

-621

62

0

0

1 919

(1) Loyers courus non échus sur les immobilisations données en location simple.

 

(En milliers d’euros)

Solde

01/01/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions, regroupements d'entreprises

Diminutions (cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

Solde

31/12/2004

Immobilisations corporelles :

 

 

 

 

 

 

 

Immobilisations corporelles d'exploitation

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

89 861

 

6 491

2 916

 

 

93 436

Créances rattachées (1)

 

 

 

 

 

 

 

Amortissements et Provisions

48 686

 

5 106

878

 

 

52 914

    Valeur nette au bilan

41 175

0

1 385

2 038

0

0

40 522

Immobilisations incorporelles :

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

6 676

 

2 171

48

 

 

8 799

Amortissements et Provisions

5 255

 

948

6

 

 

6 197

    Valeur nette au bilan

1 421

0

1 223

42

0

0

2 602

(1) Loyers courus non échus sur les immobilisations données en location simple.

 

 

— Provisions pour risques et charges :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

01/01/2005

Variations de périmètre

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Ecart de conversion

31/12/2005

Risques sur les produits épargne logement

 

6 312

 

6 312

 

 

292

 

109

 

 

 

6 495

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

1 301

1 301

  

132

508

  

 

  925

Risque opérationnel

3 081

3 081

 

1 950

93

114

 

4 824

Engagements sociaux (retraites) et assimilés

 509

 509

 

 32

  

  

 

 541

Litiges divers

11 159

11 159

 

2 794

88

1 789

 

12 076

Participations

 

 

 

 

 

 

 

0

Restructurations

 

 

 

 

 

 

 

0

Coûts de mise en oeuvre des synergies

 

 

 

 

 

 

 

0

Autres risques et charges

47

47

 

11

12

 

 

46

    Provisions pour risques et charges

 22 409

 22 409

 

 5 211

 810

 1 903

 

 24 907

 

 

8.10.16. Capitaux propres :

 

8.10.16.1. Composition des capitaux propres. — La Caisse régionale Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable, soumise notamment aux articles L. 512-20 et suivants du Code monétaire et financier relatifs au Crédit agricole, aux articles L. 231-1 et suivants du Code de commerce relatifs aux sociétés à capital variable, et aux dispositions de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération.

Son capital est composé de parts sociales cessibles nominatives souscrites par les sociétaires et de certificats coopératifs d’associés.

Conformément aux dispositions de l’IFRIC 2, la qualité de capital est reconnue aux parts sociales des coopératives dans la mesure où l’entité dispose d’un droit inconditionnel de refuser le remboursement des parts.

La cession des parts sociales étant soumise à l’agrément du conseil d’administration de la Caisse régionale, cette dernière caractéristique confirme par conséquent leur qualité de capital social au regard des normes IFRS.

Les CCA sont des valeurs mobilières sans droit de vote émises pour la durée de la société et représentatives de droits pécuniaires attachés à une part de capital. Leur émission est régie par les titres II quater et quinquies de la loi du 10 septembre 1947.

A la différence des parts sociales, ils confèrent à leurs détenteurs un droit sur l’actif net de la société dans la proportion du capital qu’ils représentent.

Les CCA ne peuvent en revanche être souscrits et détenus que par les sociétaires de la Caisse régionale et des caisses locales qui lui sont affiliées.

 

Répartition du capital de la Caisse régionale

Nombre de titres au 01/01/2005

Nombre de titres émis

Nombre de titres remboursés

Nombre de titres au 31/12/2005

Certificats coopératifs d'investissements (CCI) 

 

 

 

 

    Dont part du public

 

 

 

 

    Dont part Crédit Agricole S.A.

 

 

 

 

    Dont part auto-détenue

 

 

 

 

Certificats coopératifs d'associés (CCA)

 

 

 

 

    Dont part du public

 

 

 

 

    Dont part Crédit Agricole S.A.

459 957

 

 

459 957

Parts sociales

 

 

 

 

    Dont 59 Caisses Locales

1 312 505

11 433

 

1 323 938

    Dont 24 administrateurs de la CR

24

 

 

24

    Dont Crédit Agricole S.A.

1

 

 

1

        Total

1 772 487

11 433

 

1 783 920

 

 

La valeur nominale des titres est de 15,25 euros et le montant total du capital est de 25 millions d’euros.

 

8.10.16.2. Résultat par action. — Conformément à la norme IAS 33, une entité doit calculer le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère. Celui-ci doit être calculé en divisant le résultat attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen d’actions ordinaires en circulation.

Ainsi qu’il est évoqué au paragraphe précédent, les capitaux propres de la Caisse régionale Sud Méditerranée sont composés de parts sociales, de CCI (le cas échéant) et de CCA.

Conformément aux dispositions de l’article 14 de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 relative au statut de la coopération, la rémunération des parts sociales est au plus égale au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées publiées par le ministre chargé de l’économie.

La rémunération des CCI et CCA est quant à elle fixée annuellement par l’assemblée générale des sociétaires et doit être au moins égale à celle des parts sociales.

Par conséquent, du fait des particularités liées au statut des sociétés coopératives à capital variable portant tant sur la composition des capitaux propres qu’aux caractéristiques de leur rémunération, les dispositions de la norme IAS 33 relative à la communication du résultat par action, sont inappropriées.

 

Année de rattachement du dividende

Par CCI

Par CCA

Par part sociale

Montant net

Montant net

Montant net

2003

 

4,44

0,05

2004

 

5,11

0,05

Prévu 2005

 

6,12

0,05

 

 

8.10.16.3. Dividendes.

 

Dividendes payés au cours de l’exercice — Les montants relatifs aux dividendes figurent dans le tableau de variation des capitaux propres.

 

 

8.10.16.4. Affectation du résultat et fixation du dividende 2005. — L’affectation du résultat et la fixation du dividende 2005 sont proposées dans le projet de résolutions présentées par le Conseil d’administration à l’assemblée générale de la Caisse régionale Sud Méditerranée du 24 Mars 2006.

Résultat de l’exercice (en milliers d’euros)

39 593

Distribution

3 521

Report à nouveau

2 072

Réserve légale

25 500

Autres réserves

8 500

 

 

Le montant des intérêts verses par les caisses locales a leurs sociétaires s’élève a 598 k€ et le résultat mis en réserve est de 90 k€.

 

8.11. Avantages au personnel et autres rémunérations.

 

8.11.1. Détail des charges de personnel :

 

 

2005

2004

Salaires et traitements

25 665

24 964

Cotisations au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi à cotisations définies

2 791 

  2 787  

Cotisations au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi à prestations définies

 1 177 

 936  

Autres charges sociales

9 481

9 792

Intéressement et participation

5 548

4 865

Impôts et taxes sur rémunération

2 916

2 972

    Total charges de personnel

47 578

46 316

Dont indemnités liées à la retraite pour 922 K€.

Dont Autres avantages à long terme : Médailles du travail pour 32 K€.

 

 

8.11.2. Effectif moyen :

 

Effectif moyen

2005

2004

France

852

872

Etranger

14

14

    Total

866

886

 

8.11.3. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à cotisations définies. — Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés « employeurs ». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n’ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n’ont pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l’exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du groupe Crédit Agricole S.A. n'ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer.

 

8.11.4. Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies :

 

Variation dette actuarielle

2005

2004

Dette actuarielle au 31/12

9 124

8 487

Coût des services rendus sur la période

332

375

Coût financier

413

392

Cotisations de l'employé

0

 

Modification / réduction / liquidation de plan

0

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

0

 

Indemnités de cessation d'activité

0

 

Prestations versées (obligatoire)

-300

-293

Gains / pertes actuariels

-467

163

    Dette actuarielle au 31/12/n

384

9 124

 

Charge comptabilisée

2005

2004

Coût des services rendus sur l'exercice

333

375

Coût financier

413

392

Rendement attendu des actifs sur la période

-394

-275

Amortissement du coût des services passés

0

 

Amortissement des gains / pertes actuariels

586

204

Gains / pertes sur les réductions et liquidations

0

 

Gains / pertes sur la limitation de surplus

0

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

936

696

 

Juste valeur des actifs du régime et des droits à remboursement

2005

2004

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/n-1

9 178

6 542

Rendement attendu des actifs

394

275

Gains / pertes actuariels sur les actifs du régime

-1 052

-41

Cotisations de l'employeur

937

2 993

Cotisations de l'employé

0

 

Modification / réduction / liquidation de plan

0

 

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

-35

-320

Indemnités de cessation d'activité

0

 

Prestations versées

-300

-292

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/n

9 122

9 155

 

Composition

2005

2004

Droits à remboursement

 

 

Autres catégories d'instruments financiers (à détailler)

 

 

Juste valeur des actifs / droits à remboursement au 31/12/n

 

 

 

Position nette

2005

2004

Dette actuarielle fin de période

-9 102

9 124

Coût des services passés non comptabilisés

0

 

Gains / pertes sur la limitation de surplus

0

 

Dette actuarielle nette fin de période

-9 102

-9 124

Juste valeur des actifs / droits à remboursement fin de période

2 121

9 155

    Position nette passif / actif fin de période

19

31

 

Variation

2005

2004

Provisions / actifs au 31/12/n-1

54

-1 945

Cotisations de l'employeur

937

2 992

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

-35

-320

Paiements directs de l'employeur

0

 

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

-937

-696

    Provisions / actifs au 31/12/n

19

31

 

Information rendement annualisé des actifs

2005

2004

Composition des actifs

 

 

-% d'obligations

 

 

-% d'actions

 

 

-% autres actifs

 

 

Rendement annualisé des actifs

 

 

 

Régimes à prestations définies : principales hypothèses actuarielles

2005

2004

Taux d'actualisation

 

 

Taux de rendement attendus des actifs du régime et des droits à remboursement

 

 

Taux de rendement effectifs des actifs du régime et des droits à remboursement

 

 

Taux attendus d'augmentation des salaires

 

 

Taux d'évolution des coûts médicaux

 

 

Autres (à détailler)

 

 

 

 

8.11.5. Rémunérations des dirigeants. — La rémunération des organes de Direction est conforme à la convention collective des Cadres de Direction et aux textes en vigueur dans l’Institution. Le montant global des avances et crédits accordés pendant l’exercice à l’ensemble des membres des organes d’administration ainsi que les rémunérations s’élèvent à 3 134 K€.

 

8.12. Engagements de financement et de garantie :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

Engagements donnés :

 

 

    Engagements de financement

429 123

428 834

        Engagements en faveur d'établissements de crédit

2 085

25 760

        Engagements en faveur de la clientèle

427 038

403 074

        Ouverture de crédits confirmés

320 552

300 624

        Ouverture de crédits documentaires

11

70

        Autres ouvertures de crédits confirmés

320 541

300 554

        Autres engagements en faveur de la clientèle

106 486

102 450

    Engagements de garantie

82 834

84 586

        Engagements d'ordre d'établissement de crédit

0

0

        Confirmations d'ouverture de crédits documentaires

 

 

        Autres garanties

 

 

        Engagements d'ordre de la clientèle

82 834

84 586

        Cautions, avals et autres garanties

 

 

        Cautions immobilières

9 533

19 375

        Garanties financières

10 355

12 169

        Autres garanties d'ordre de la clientèle

62 946

53 042

Engagements reçus :

 

 

    Engagements de financement

175

379

        Engagements reçus d'établissements de crédit

175

379

        Engagements reçus de la clientèle

 

 

    Engagements de garantie

206 537

179 764

        Engagements reçus d'établissements de crédit

17 393

14 556

        Engagements reçus de la clientèle

189 144

165 208

        Garanties reçues des administrations publiques et assimilées

118 692

109 448

        Autres garanties reçues

70 452

55 760

 

 

8.13. Valeur de marché des instruments financiers comptabilisés au coût. — La juste valeur d’un instrument financier est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé ou une dette réglée entre des parties avisées, consentantes dans une transaction conclue à des conditions normales.

Les montants de juste valeur indiqués ci-dessous représentent les estimations effectuées à la date d’arrêté. Celles-ci sont susceptibles de changer dans d’autres périodes en raison de l’évolution des conditions de marché ou d’autres facteurs.

Les calculs effectués représentent la meilleure estimation qui puisse être faite. Elle se base sur un certain nombre de modèles d’évaluation et d’hypothèses. Dans la mesure où ces modèles présentent des incertitudes, les justes valeurs retenues peuvent ne pas se matérialiser lors de la vente réelle ou le règlement immédiat des instruments financiers concernés.

Dans la pratique, et dans une logique de continuité de l’activité, l’ensemble de ces instruments financiers pourrait ne pas faire l’objet d’une réalisation immédiate pour la valeur estimée ci-dessous.

 

Valeur de marche des instruments financiers comptabilisés au coût amorti :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (hors 32-39 & IFRS 4)

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Valeur au bilan

Valeur de marché estimée

Actifs financiers :

 

 

 

 

    Prêts et créances sur les établissements de crédit

188 133

188 133

 

 

    Prêts et créances sur la clientèle

3 052 282

3 142 008

 

 

    Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

43 517

46 739

 

 

    Immeubles de placement

176

176

 

 

Passifs financiers :

 

 

 

 

    Dettes envers les établissements de crédits

2 170 832

2 184 910

 

 

    Dettes envers la clientèle

987 809

987 809

 

 

    Dettes représentées par un titre

2 067

2 067

 

 

    Dettes subordonnées

 

 

 

 

 

 

Pour les instruments financiers, la meilleure estimation correspond au prix de marché de l’instrument lorsque celui-ci est traité sur un marché actif (cours cotés et diffusés).

En l’absence de marché ou de données fiables, la juste valeur est déterminée par une méthode appropriée conforme aux méthodologies d’évaluations pratiquées sur les marchés financiers : soit la référence à la valeur de marché d’un instrument comparable, soit l’actualisation des flux futurs, soit des modèles d’évaluation.

Dans les cas ou il est nécessaire d’approcher les valeurs de marché au moyen d’évaluation, c’est la méthode de l’actualisation des flux futurs estimés qui est la plus couramment utilisée.

La valeur des immeubles de placement est, quant à elle, estimée « à dire d’expert ».

Par ailleurs, dans un certain nombre de cas, les valeurs de marché se rapprochent de la valeur comptable. Il s’agit notamment :

— des actifs ou passifs à taux variables pour lesquels les changements d’intérêts n’ont pas d’influence notable sur la juste valeur, car les taux de ces instruments s’ajustent fréquemment aux taux de marché ;

— des actifs ou passifs à court terme pour lesquels nous considérons que la valeur de remboursement est proche de la valeur de marché ;

— des instruments réalisés sur un marché réglementé (ex : l’épargne réglementée) pour lesquels les prix sont fixés par les pouvoirs publics ;

— des passifs exigibles à vue ;

— des opérations pour lesquelles il n’existe pas de données fiables observables.

 

 

9. Rapport des Commissaires aux comptes sur les états consolidés.

 

Mesdames, Messieurs les Sociétaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons procédé au contrôle des comptes consolidés de la Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Sud-Méditerranée relatifs à l'exercice clos le 31 décembre 2005, tels qu'ils sont joints au présent rapport.

Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur ces comptes. Ces comptes ont été préparés pour la première fois conformément au référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne. Ils comprennent à titre comparatif les données relatives à l’exercice 2004 retraitées selon les mêmes règles, à l’exception des normes IAS 32, IAS 39 et IFRS 4 qui, conformément à l’option offerte par la norme IFRS 1, ne sont appliquées par la caisse régionale qu’à compter du 1er janvier 2005.

 

I. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d'obtenir l'assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d'anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d'ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l'opinion exprimée ci-après.

Nous certifions que les comptes consolidés de l’exercice sont, au regard du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l'ensemble constitué par les personnes et entités comprises dans la consolidation.

 

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l'article L. 823-9 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :

— Règles et principes : Comme indiqué dans le paragraphe 8.1.5.6 de l'annexe, votre caisse régionale comptabilise ses instruments dérivés selon la comptabilité de couverture prévue par la norme IAS 39. Nous nous sommes assurés que les critères de classification et de documentation propres à cette norme étaient remplis ;

— Estimations comptables : Comme indiqué dans la note 8.1.5.2 de l’annexe, votre caisse régionale constitue des provisions pour couvrir les risques de crédit inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l'arrêté des comptes, nous avons revu les processus mis en place par la direction pour identifier et évaluer les risques de non recouvrement et leur couverture par des provisions individuelles ou collectives.

Comme indiqué dans la note 8.1.7 de l’annexe, votre caisse régionale constitue une provision pour couvrir le risque de déséquilibre du contrat épargne-logement. Nous avons revu le processus mis en œuvre pour déterminer le montant de cette provision qui, comme indiqué en annexe, a été établi selon une méthodologie commune au groupe Crédit Agricole en conformité avec les dispositions rendues publiques dans le communiqué du CNC du 12 décembre 2005.

Sur la base des informations disponibles à ce jour, nous nous sommes assurés du caractère raisonnable de ces estimations qui ont été faites par la direction.

 

 

 

Informations financières consolidées au 31 décembre 2005 selon les normes IFRS avec données comparatives à normes constantes.

 

 

1. Préambule.

 

Le groupe Crédit Agricole a décidé d’appliquer les normes IAS 32, 39 et IFRS 4 à compter du 01/01/2005. Cependant, et afin de faciliter la compréhension et l’analyse financière des données 2005, le groupe Crédit Agricole fournit également des données comparatives 2004 en application du référentiel complet.

Les données financières ainsi présentées incluent les simulations des normes IAS 32, 39 et IFRS 4 au titre de l’exercice 2004. Par conséquent, ces données, établies à titre d’informations complémentaires, ont fait l’objet au titre de 2004 d’un processus partiel de justification sur les aspects suivants :

— La documentation des paramètres observables ;

— La documentation statistique relative aux provisions collectives sur le risque de crédit ;

— La justification et la démonstration de l’efficacité des dérivés de couverture qui ont fait l’objet d’une approche estimative.

 

2. Compte de résultat :

 

(En millions d'euros)

Notes

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

R1

Intérêts et produits assimilés

 

160 679

152 766

R2

Intérêts et charges assimilées

 

-82 271

-75 963

R3

Commissions (produits)

 

65 913

62 012

R4

Commissions (charges)

 

-7 776

-6 897

R5

Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

 

 

2 147

 

2 482

R6

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

 

 

8 107

 

6 647

R7

Produits des autres activités

 

7 124

6 465

R8

Charges des autres activités

 

-491

-274

R9

Produit net bancaire

 

153 432

147 238

R10

Charges générales d'exploitation

 

-76 524

-82 511

R11

Dotations aux amortissements et aux provisions pour dépréciation des immobilisations incorporelles et corporelles

 

 

-6 540

 

-6 088

R12

Résultat brut d’exploitation

 

70 368

58 639

R13

Coût du risque

 

-10 380

-5 812

R14

Résultat d’exploitation

 

59 988

52 827

R15

Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence

 

 

0

 

0

R16

Gains ou pertes nets sur autres actifs

 

-20

262

R16/5

Coûts liés au rapprochement

 

0

0

R17

Variations de valeur des écarts d'acquisition

 

0

0

R18

Résultat avant impôt

 

59 968

53 089

R19

Impôts sur les bénéfices

 

-18 335

-16 909

R20

Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession

 

 

0

 

0

R21

Résultat net

 

41 633

36 180

R22

Intérêts minoritaires

 

0

0

R23

Résultat net – Part du groupe

 

41 633

36 180

R24

Résultat par action

 

0

0

R25

Résultat dilué par action

 

0

0

 

 

3. Bilan. — Actif :

 

(En milliers d'euros)

Notes

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

A1

Caisse, banques centrales, C.C.P.

 

43 055

42 380

A2

Actifs financiers à la juste valeur par résultat

 

26 236

20 676

A3

Instruments dérivés de couverture

 

4 011

9 254

A4

Actifs financiers disponibles à la vente

 

329 607

266 697

A5

Prêts et créances sur les établissements de crédit

 

188 133

141 116

A6

Prêts et créances sur la clientèle

 

3 052 282

2 727 060

A7

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

 

 

A8

Actifs financiers détenus jusqu'a l'échéance

 

43 517

39 054

A9

Actifs d'impôts courants

 

0

0

A10

Actifs d'impôts différés

 

16 083

16 824

A11

Comptes de régularisation et actifs divers

 

77 169

71 226

A12

Actifs non courants destines à être cédés

 

0

0

A13

Participations dans les entreprises mises en équivalence

 

0

0

A14

Immeubles de placement

 

176

205

A15

Immobilisations corporelles

 

41 539

40 522

A16

Immobilisations incorporelles

 

1 919

2 602

A17

Ecarts d'acquisition

 

 

 

 

Total de l'actif

 

3 823 727

3 377 616

 

 

4. Bilan passif :

 

(En millions d'euros)

Notes

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

P1

Banques centrales, C.C.P.

 

0

0

P2

Passifs financiers à la juste valeur par résultat

 

0

0

P3

Instruments dérivés de couverture

 

1 971

2 219

P4

Dettes envers les établissements de crédit

 

2 170 832

1 851 489

P5

Dettes envers la clientèle

 

987 809

920 409

P6

Dettes représentées par un titre

 

2 067

2 224

P7

Ecart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux

 

2 974

7 330

P8

Passifs d'impôts courants

 

5 512

1 702

P9

Passifs d'impôts différés

 

6 403

7 700

P10

Comptes de régularisation et passifs divers

 

46 445

44 153

P11

Dettes liées aux actifs non courants destines à être cédées

 

 

 

P12

Provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

 

P13

Provisions pour risques et charges

 

24 907

22 408

P14

Dettes subordonnées

 

29 657

29 984

P15

Capitaux propres

 

545 150

487 998

P16

    Capitaux propres part du groupe

 

545 150

487 998

P17

    Capital et réserves liées

 

154 664

154 490

P18

    Réserves consolidées

 

219 014

188 298

P19

    Gains ou pertes latents ou différés

 

129 840

109 030

P20

    Résultat de l'exercice

 

41 632

36 180

P21

Intérêts minoritaires

 

 

 

 

Total du passif

 

3 823 727

3 377 616

 

 

5. Tableau de variation des capitaux propres :

 

Tableau de variation des capitaux propres(en millions d'Euros)

Capital et réserves liées

Réserves consolidées part du groupe

Gains/pertes latents ou différés

Résultat net part du groupe

Total des capitaux propres part du groupe

Capitaux propres part des minoritai-

res

Total des capitaux propres consolidés

Capital

Primes et Réserves liées au capital (1)

Elimination des titres auto-détenus

Liés aux écarts de conversion

Variation de juste valeur des actifs disponibles à la vente

Variation de juste valeur des dérivés de couverture

Capitaux propres au 31 décembre 2003 Normes françaises

25 006

129 625

 

143 401

 

 

 

30 664

328 696

 

328 696

Changement de méthodes comptables

 

 

 

 -1 969

 

 

 

 

 -1 969

 

 -1 969

 

Incidence de l'adoption des normes IFRS (hors 32-39 et IFRS 4)

 

 

 

 31 920 

 

 

 

 

 31 920 

 

 

  31 920 

Capitaux propres au 1er janvier 2004

 25 006 

 129 625 

 

 0

 

 173 352 

 0

 0 

 0 

 30 664 

358 647 

 358 647 

Augmentation de capital

 

-164

 

 

 

 

 

 

 

 

-164

 

-164

Variation des titres auto-détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

 

0

Variation des réserves de réestimation

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Affectation résultat n-1

 

 

 

 27 692 

 

 

 

 -27 692  

 

 

0

Dividendes versés en 2004

 

 

 

 

 

 

 

 -2 972  

 -2 972 

 

 -2 972

 

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Résultat au 31/12/2004

 

 

 

 

 

 

 

 35 103 

 35 103  

 

 35 103

 

Effet des acquisitions / cessions sur les minoritaires

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  0

 

 

 

 0

 

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 0

 

 

 

 0

 

Restructuration des lignes métier du groupe

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Autres variations

 23 

 

 

 434 

 

 

 

 

 457 

 

 

 

 457

 

Capitaux propres au 31 décembre 2004 (hors normes 32 et 39 et IFRS 4)

24 865

  129 625 

 0

 201 478

 0

 0

 0

  35 103 

 391 071

 391 071

Changement de méthodes comptables

 

 

 

 

 

 -1 359

 

 

 

 

 -1 359

 

-1 359

Incidence de l'adoption des normes IFRS (32,39 et IFRS 4)

 

 

 

 -14 997

 

 109 030

 1 817

 1 077

 96 927

 

 

 

 96 927

 

Capitaux propres au 1er janvier 2005

 24 865 

 129 625 

 0 

 185 122

 0 

 109 030 

  1 817  

36 180  

 486 639  

 0

 

 486 639

 

Augmentation de capital

 174

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 174 

 

 174

Variation des titres auto détenus

 

 

 

 

 

 

 

 

 0

 

Emission d'actions de préférence

 

 

 

 

 

 

 

 

 0

 

 

 0

 

Affectation résultat n-1

 

 

 

 33 072 

 

 

 

-33 072 

 

 

  0

 

Dividendes versés en 2005

 

 

 

 

 

 

 

-3 108

-3 108

 

-3 108

Dividendes reçus des CR et filiales

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

0

Variation de valeurs des titres disponibles à la vente (IAS 39)

 

 

 

 

 

 20 810

 

 

 20 810

 

20 810

Couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

 

 

 

 

 

 

 

 

0

 

 0

Résultat au 31/12/2005

 

 

 

 

 

 

 

 41 632 

 41 632  

 

 41 632

Effet des acquisitions / cessions sur les minoritaires

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 0

 

 

0

Quote-part dans les variations de CP des entreprises associées mises en équivalence

 

 

  

 

 

 

 

  

  

 0

 

0

Variation de l'écart de conversion

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 0

Autres variations

 

 

 

 -997  

 

 

 0

 

 -997  

 

 -997  

Capitaux propres au 31 décembre 2005

 25 039  

 129 625 

 0 

 217 197  

 0 

 129 840  

 1 817  

 41 632 

 545 150 

 0 

545 150  

(1) Comprend les primes d'émission et la réserve légale de la société mère.

 

 

6. Notes annexes.

 

6.1. Impacts de la conversion aux normes IAS 32, 39 et IFRS 4.

 

6.1.1. Passage du résultat normes françaises au résultat normes IFRS (y compris normes IAS 32,39 et IFRS 4) :

 

(En milliers d’euros)

Normes françaises 31/12/2004

Reclassements IFRS

Impacts résultats

Normes IFRS 31/12/2004 (y compris IAS 32, 39 et IFRS 4)

Produit net bancaire

145 914

52

1 272

147 238

Charges générales d'exploitation (-)

-73 212

 

-9 299

-82 511

Dotations / reprises sur amortissement et provisions des Immobilisations d'exploitation

 

-6 088

 

 

 

-6 088

Résultat brut d'exploitation

66 614

52

-8 027

58 639

Coût du risque

-5 546

-266

 

-5 812

Résultat d'exploitation

61 068

-214

-8 027

52 827

Quote-part des résultats net des entreprises mises en équivalence

 

 

 

 

0

Gains ou pertes sur autres actifs

314

-52

 

262

Coûts liés au rapprochement

 

 

 

0

Résultat exceptionnel

-9 299

 

9 299

0

Variation de valeur des écarts d'acquisition

 

 

 

 

Reprise des fonds pour risques bancaires généraux

-266

266

 

0

Résultat avant impôts

51 817

0

1 272

53 089

Impôt sur le résultat

-16 545

 

-364

-16 909

Résultat net de l'exercice

35 272

0

908

36 180

Intérêts minoritaires

 

 

 

0

Résultat net - Part du groupe

35 272

0

908

36 180

 

 

Les principaux reclassements effectués concernent les charges exceptionnelles générées par la migration informatique, charges qui font partie du résultat brut d’exploitation en normes IFRS.

 

6.1.2. Impacts sur les capitaux propres part du groupe au 1er janvier 2005.

 

Impacts nets d'impôts :

 

(En milliers d’euros)

Montants

Impacts sur capitaux propres non recyclables 

-12 103

FRBG et Provisions pour risques et charges (IAS 39)

-21 744

Réévaluation des titres : classification en trading, dépréciation durable (IAS 39)

0

Réévaluation des dérivés (IAS 39)

1 817

Couverture de juste valeur (IAS 39)

0

Impôts différés (IAS 12)

6 747

Actions propres et stocks options (IFRS 2 - IAS 32)

0

Autres

1 077

Impacts sur Capitaux Propres Variables

109 030

Titres disponibles à la vente (IAS 39)

109 030

Micro couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

0

Macro couverture de flux de trésorerie (IAS 39)

0

Impacts sur Capitaux Propres Amortissables

0

Day one profit (IAS 39)

0

Commissions (IAS 39)

0

Provisions sur risque de crédit - Actualisation (IAS 39)

0

Autres impacts

0

Quote-part des impacts IAS/IFRS des sociétés mises en équivalence

0

    Impacts IAS/IFRS des normes IAS 32, 39 et IFRS 4 au 01/01/05

96 927

 

 

6.2. Notes relatives au compte de résultat.

 

6.2.1. Produits et charges d’intérêts :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Sur opérations avec les établissements de crédit

579

539

Sur opérations internes au Crédit Agricole

8 077

6 836

Sur opérations avec la clientèle

128 302

123 953

Intérêts courus et échus sur actifs financiers disponibles à la vente

 57 

61 

Intérêts courus et échus sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 2 897 

2 660  

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

16 154

15 804

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et produits assimilés

4 613

2 913

    Produits d'intérêts

160 679

152 766

Sur opérations avec les établissements de crédit

5

8

Sur opérations internes au Crédit Agricole

67 134

63 143

Sur opérations avec la clientèle

1 311

1 373

Actifs financiers disponibles à la vente

161

 

Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

23

9

Sur dettes représentées par un titre

44

54

Sur dettes subordonnées

1 993

1 501

Intérêts courus et échus des instruments de couverture

11 600

9 875

Sur opérations de location-financement

 

 

Autres intérêts et charges assimilées

 

 

    Charges d'intérêts

82 271

75 963

 

 

6.2.2. Commissions nettes :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

 40 

 6 

34

64

58

Sur opérations internes au Crédit Agricole

9 177

2 625

6 552

6 909

2 027

4 882

Sur opérations avec la clientèle

14 512

64

14 448

15 438

64

15 374

Sur opérations sur titres

 

 

0

 

 

0

Sur opérations de change

3

 

3

14

 

14

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors bilan

 3 245 

 730 

 2 515 

1 591 

 519

 1 072 

Prestations de services bancaires et financiers dont :

 

 

0

 

 

0

 

    Produits nets de gestion d'OPCVM

1 209

 

1 209

1 338

 

1 338

    Produits nets sur moyens de paiement

21 687

3 886

17 801

21 146

3 970

17 176

    Autres

16 040

465

15 575

15 512

311

15 201

        Produits nets des commissions

65 913

7 776

58 137

62 012

6 897

55 115

 

 

6.2.3. Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Dividendes reçus

 

 

Plus ou moins values latentes ou réalisées sur actif / passif à la juste valeur par résultat

 2 032 

 2 349 

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

 115 

 133 

Inefficacité des couvertures de Juste Valeur

 

 

Inefficacité des couvertures de flux de trésorerie

 

 

    Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat

 2 147  

2 482  

 

 

6.2.4. Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Dividendes reçus

7 931

5 889

Plus ou moins values de cession réalisées sur actifs financiers disponibles à la vente

267

718 

Pertes sur titres dépréciés durablement (titres à revenu variable)

-91 

 -127

Plus ou moins values de cession réalisées sur actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance

 

167 

Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente

8 107

6 647

 

 

6.2.5. Produits et charges des autres activités :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Gains ou pertes sur immobilisations hors exploitation

 

 

Participation aux résultats des assurés bénéficiaires de contrats d'assurance

 

 

Autres produits nets de l'activité d'assurance

 

 

Variation des provisions techniques des contrats d'assurance

 

 

Produits nets des immeubles de placement

 

 

Autres produits (charges) nets

6 633

6 191

    Produits (charges) des autres activités

6 633

6 191

 

 

6.2.6. Charges générales d’exploitation :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris normes IAS 32,39 et IFRS 4)

Impôts et taxes

2 701

2 551

Services extérieurs

26 594

42 670

Autres frais administratifs

-349

-9 026

    Autres charges

28 946

36 195

 

 

6.2.7. Dotations aux amortissements et aux provisions pour dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles :

 

(En millions d’euros)

2005

2004

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation :

 

 

Dotations aux amortissements

6 540

6 088

Dotations aux provisions pour dépréciation

 

 

    Total

6 540

6 088

 

 

6.2.8. Coût du risque :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Dotations aux provisions

-41 687

-28 958

Provisions pour dépréciation des prêts et créances

-36 810

-25 924

Provisions pour dépréciation des titres détenus jusqu'à l'échéance (hors risque de taux)

 

 

Provisions pour risques et charges

-4 877

-3 034

    Reprises de provisions

36 329

30 626

Provisions pour dépréciation des prêts et créances

34 179

28 236

Provisions pour dépréciation des titres détenus jusqu'à l'échéance (hors risque de taux)

 

 

Provisions pour risques et charges

2 150

2 390

    Variation des provisions

-5 358

1 668

Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non provisionnées

-5 533

-8 250

Décotes sur crédits restructurés

 

 

Récupérations sur prêts et créances amortis

775

770

Autres

-264

 

 

 

6.2.9. Gains et pertes sur autres actifs :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Immobilisations corporelles et incorporelles d'exploitation 

-20

262

    Plus-values de cession

3

283

    Moins-values de cession

-23

-21

Titres de capitaux propres consolidés 

 

 

    Plus-values de cession

 

 

    Moins-values de cession

 

 

Gains ou pertes sur autres actifs

-20

262

 

6.2.10. Impôts :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32 – 39 et IFRS 4)

Charge d'impôt courant

18 822

16 337

Charge d'impôt différé

-37 157

-33 246

    Charge d'impôt de la période

-18 335

-16 909

 

 

6.3. Notes relatives au bilan au 31 décembre 2005.

 

6.3.1. Actifs et Passifs financiers à la juste valeur par résultat :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris IAS 32-39 et IFRS 4)

Actifs financiers détenus à des fins de transaction

1 480

1 814

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option

24 756

18 862

Juste valeur au bilan

26 236

20 676

    Dont titres prêtés

 

 

 

 

Actifs financiers détenus à des fins de transaction :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris IAS 32-39 et IFRS 4)

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

 

 

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

Titres cotés

 

 

Titres non cotés

 

 

Instruments dérivés

1 480

1 814

    Juste valeur au bilan

1 480

1 814

 

 

Actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris IAS 32-39 et IFRS 4)

Créances sur les établissements de crédit

 

 

Créances sur la clientèle

 

 

Actifs représentatifs de contrats en unités de comptes

 

 

Valeurs reçues en pension

 

 

Titres reçus en pension livrée

 

 

Titres détenus à des fins de transaction

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

24 756

18 862

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

24 756

18 862

Actions et autres titres à revenu variable

0

0

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

 

 

        Juste valeur au bilan

24 756

18 862

 

 

Instruments dérivés de transaction :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris IAS 32-39 et IFRS 4)

Valeur de marché positive

Valeur de marché négative

Valeur de marché positive

Valeur de marché négative

Instruments dérivés de taux d'intérêt

1 480

 

1 814

 

Instruments dérivés de cours de change

 

 

 

 

Instruments dérivés sur actions et indices

 

 

 

 

Autres instruments dérivés

 

 

 

 

    Total instruments dérivés de transaction

1 480

0

1 814

0

 

 

6.3.2. Actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Titres évalués à la Juste Valeur

 

 

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

131

131

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

131

131

Actions et autres titres à revenu variable

 

 

    Titres cotés

 

 

    Titres non cotés

329 476

266 566

        Total des titres disponibles à la vente

329 607

266 697

Total des créances disponibles à la vente

0

0

        Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente (1)

329 607

266 697

(1) Dont 2 161 K€ au 31/12/2004 comptabilisés au titre de la dépréciation durable sur titres et créances.

 

 

Gains et pertes latents sur actifs financiers disponibles à la vente :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Juste valeur

Gains latents

Pertes latentes

Juste valeur

Gains latents

Pertes latentes

Effets publics et valeurs assimilées

 

 

 

 

 

 

Obligations et autres titres à revenu fixe

131

0

 

131

 

 

Actions et autres titres à revenu variable

0

0

 

 

 

 

Titres de participation non consolidés

329 476 

130 795 

 

266 566

108 656 

 

Créances disponibles à la vente

0

0

 

 

 

 

    Valeur au bilan des actifs financiers disponibles à la vente

 

329 607

 

130 795

 

0

 

266 697

 

108 656

0

Impôts différés

0

-956

0

0

-256

0

    Gains et pertes latents sur actifs financiers disponibles à la vente (net IS)

 

329 607

 

129 839

 

0

 

266 697

 

108 400

0

 

 

6.3.3. Prêts et créances sur établissements de crédit et sur la clientèle.

 

6.3.3.1. Prêts et créances sur établissements de crédit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 -y compris 32-39 et IFRS 4)

Etablissements de crédit :

 

 

    Comptes et prêts

4 121

2 016

    Valeurs reçues en pension

0

0

    Titres reçus en pension livrée

0

0

    Prêts subordonnés

394

282

    Titres non cotés sur un marché actif

0

0

    Autres prêts et créances

0

0

        Total

4 515

2 298

Créances rattachées

5

6

Provisions

 

 

        Valeur nette

4 520

2 304

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

    Comptes ordinaires

46 489

65 038

    Comptes et avances à terme

89 687

26 975

    Prêts subordonnés

44 915

44 915

    Titres non cotés sur un marché actif

 

 

        Total

181 091

136 928

Créances rattachées

2 522

1 884

Provisions

 

 

    Valeur nette

183 613

138 812

        Valeur nette au bilan

188 133

141 116

 

 

6.3.3.2. Prêts et créances sur la clientèle :

 

Ventilation des prêts et créances sur la clientèle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Opérations avec la clientèle :

 

 

    Créances commerciales

22 353

22 444

    Autres concours à la clientèle

3 068 795

2 734 618

    Titres reçus en pension livrée

 

 

    Prêts subordonnés

 

 

    Titres non cotés sur un marché actif

 

 

    Créances nées d’opérations d’assurance directe

 

 

    Créances nées d’opérations de réassurance

 

 

    Avances en comptes courants d'associés

8 667

10 979

    Comptes ordinaires débiteurs

22 584

24 919

        Total

3 122 399

2 792 960

Créances rattachées

28 191

28 972

Provisions

-98 308

-94 872

    Valeurs nettes au bilan

3 052 282

2 727 060

Opérations de crédit bail :

 

 

    Crédit-bail immobilier

 

 

    Crédit-bail mobilier, LOA et opérations assimilées

 

 

        Total

0

0

Créances rattachées

 

 

Provisions

 

 

    Valeurs nettes au bilan

0

0

        Total

3 052 282

2 727 060

 

 

6.3.4. Provisions inscrites en déduction de l’actif :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2004 (hors 32-39 et IFRS 4)

01/01/2005

Variation de périmètre

Dotations

Reprises

Utilisations

Ecart de conversion

Autres mouvements

31/12/2005

Sur créances interbancaire

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

Sur créances clientèle

 

70 315

 

92 059

 

 

45 248

 

37 218

 

6 568

 

 

2 071

 

95 592

dont provisions collectives

 

 

21 744

 

 

3 934

 

 

 

 

 

25 678

Sur opérations de crédit-bail

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

Sur titres détenus jusqu'à l'échéance

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0

Sur autres actifs

 

3 145

 

3 145

 

 

135

 

534

 

 

 

 

2 746

Total des provisions sur l'actif

 

73 460

 

95 204

 

0

 

45 383

 

37 752

 

6 568

 

0

 

2 071

 

98 338

 

 

6.3.5. Dettes envers les établissements de crédit et la clientèle.

 

6.3.5.1. Dettes sur établissements de crédit :

 

Dettes envers les établissements de crédit :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Etablissements de crédit :

 

 

Comptes et emprunts

434

281

Valeurs données en pension

 

 

Titres donnés en pension livrée

 

 

    Total

434

281

Dettes rattachées

7

7

    Valeur au bilan

441

288

Opérations internes au Crédit Agricole :

 

 

Comptes ordinaires créditeurs

510

0

Comptes et avances à terme

2 164 138

1 847 746

    Total

2 164 648

1 847 746

Dettes rattachées

5 743

3 453

    Valeur au bilan

2 170 391

1 851 199

        Valeur au bilan des dettes envers les établissements de crédit

2 170 832

1 851 487

 

 

6.3.5.2. Dettes sur la clientèle :

 

Dettes envers la clientèle :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Comptes ordinaires créditeurs

935 463

865 781

Comptes d'épargne à régime spécial

9 528

8 358

Autres dettes envers la clientèle

41 792

44 967

Titres donnés en pension livrée

0

0

Dettes nées d'opérations d'assurance directe

0

0

Dettes nées d'opérations de réassurance

0

0

Dettes pour dépôts d'espèces reçus des cessionnaires et rétrocessionnaires en représentation d'engagements techniques

 

0

 

0

    Total

986 783

919 106

Dettes rattachées

1 026

1 303

    Valeur au bilan

987 809

920 409

 

 

6.3.6. Dettes représentées par un titre :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Dettes représentées par un titre :

 

 

    Bons de caisse

2 058

2 213

    Titres du marché interbancaire

 

 

    Titres de créances négociables :

 

 

        Émis en France

 

 

        Émis à l'étranger

 

 

        Emprunts obligataires

 

 

        Autres dettes représentées par un titre

 

 

            Total

2 058

2 213

Dettes rattachées

9

11

    Valeur au bilan

2 067

2 224

Dettes subordonnées :

 

 

    Dettes subordonnées à durée déterminée

29 209

29 518

    Dettes subordonnées à durée indéterminée

 

 

    Dépôt de garantie à caractère mutuel

 

 

    Titres et emprunts participatifs

 

 

        Total

29 209

29 518

Dettes rattachées

448

466

    Valeur au bilan

29 657

29 984

 

 

6.3.7. Comptes de régularisation – Actif, passif et divers :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Autres actifs

12 346

11 282

Comptes de stocks et emplois divers

4 336

4 566

Gestion collective des titres CODEVI

0

0

Débiteurs divers

7 973

6 666

Comptes de règlements

37

50

Capital souscrit non versé

0

0

Autres actifs d'assurance

0

0

Parts des réassureurs dans les provisions techniques

0

0

Comptes de régularisation

64 823

59 944

Comptes d'encaissement et de transfert

29 311

30 209

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

10

3

Produits à recevoir

33 938

28 370

Charges constatés d'avance

1 475

1 348

Autres comptes de régularisation

89

14

    Valeur nette au bilan

77 169

71 226

 

(En milliers d’euros)

31/12/2005

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Autres passifs (1)

9 405

8 709

Comptes de règlements

242

261

Créditeurs divers

8 721

8 006

Versement restant à effectuer sur titres

442

442

Autres

 

 

Comptes de régularisation

37 040

35 444

Comptes d'encaissement et de transfert (2)

4 051

2 139

Comptes d'ajustement et comptes d'écarts

4

1

Produits constatés d’avance

4 542

4 195

Charges à payer

26 269

26 376

Autres comptes de régularisation

2 174

2 733

    Valeur au bilan

46 445

44 153

(1) les montants indiqués incluent les dettes rattachées.

(2) les montants sont indiqués en nets.

 

 

6.3.8. Immeubles de placement :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Variations de périmètre

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (Cessions et échéances)

Ecart de conversion

Autres mouvements

Solde 31/12/2005

Immeubles de placement

 

 

 

 

 

 

 

Valeur brute

421

 

 

2 648

2 667

 

402

Amortissements et provisions

216

 

 

10

 

 

226

    Valeur nette au bilan

205

0

0

2 638

2 667

0

176

 

 

6.3.9. Provisions pour risques et charges :

 

(En milliers d’euros)

31/12/2004 (y compris 32-39 et IFRS 4)

Variations de périmètre

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Ecart de conversion

31/12/2005

Risques sur les produits épargne logement

6 312

 

292

109

0

 

6 713

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

 

1 301

 

 

132

 

508

 

0

 

 

1 941

Risque opérationnel

3 081

 

1 950

93

114

 

5 238

Engagements sociaux (retraites) et assimilés

509

 

32

0

0

 

541

Litiges divers

11 159

 

2 794

88

1 789

 

15 830

Participations

0

 

0

0

0

 

0

Restructurations

0

 

0

0

0

 

0

Coûts de mise en oeuvre des synergies

0

 

0

0

0

 

0

Autres risques et charges

47

 

11

12

0

 

70

    Provisions pour risques et charges

22 409

0

5 211

810

1 903

0

24 907

 

 

 

0607167

29/04/2005 : PUBLICATIONS PÉRIODIQUES (74)

Société : Caisse régionale de crédit agricole mutuel Sud-Méditerranée
Siège : 20 180 096 €.Siège social : 30, rue Pierre-Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.Exercice social : du 1er janvier au 31 décembre.
Catégorie 2 : sociétés commerciales et industrielles (comptes annuels) (74B)
Numéro d'affaire : 86817
Texte de l'annonce :

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE(ARIEGE/PYRENEES ORIENTALES)

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD MEDITERRANEE(ARIEGE/PYRENEES ORIENTALES)

Société coopérative à capital et personnels variables régie par les dispositions du Code monétaire et financier au capital de 20 016 082,50 €.
Siège social : 30, rue Pierre Bretonneau, BP 39923, 66832 Perpignan Cedex.
Siren : 776 179 335. — Code APE : 651 D.
Exercice social : du 1er janvier au 31 décembre.

Documents comptables annuels.

A. — Comptes sociaux.

I. — Bilan au 31 décembre 2004.
(En euros.)

Actif

Notes

31/12/04

31/12/03

Opérations interbancaires et assimilées

46 284

50 570

Caisse, banques centrales, C.C.P.

42 380

41 844

Effets publics et valeurs assimilées

1 600

1 599

Créances sur les établissements de crédit

2 304

7 127

Opérations internes au CA

3

137 919

143 476

Opérations avec la clientèle

4

2 736 349

2 508 695

Opérations sur titres :

5

77 361

72 581

Obligations et autres titres à revenu fixe

59 589

60 976

Actions et autres titres à revenu variable

17 772

11 605

Valeurs immobilisées :

6 et 7

188 735

192 258

Participations et autres titres détenus à long terme

144 412

147 859

Parts dans les entreprises liées

1 015

1 066

Immobilisations incorporelles

2 602

1 421

Immobilisations corporelles

40 706

41 912

Capital souscrit non versé

Actions propres

Comptes de régularisation et actifs divers

8

71 295

93 671

Autres actifs

11 282

18 826

Comptes de régularisation

60 013

74 845

Total actif

3 257 943

3 061 251

Passif

Notes

31/12/04

31/12/03

Opérations interbancaires et assimilées

288

6 814

Caisse, banques centrales, C.C.P.

Dettes envers les établissements de crédit

288

6 814

Opérations internes au CA

10

1 853 253

1 723 256

Comptes créditeurs de la clientèle

11

922 530

850 898

Comptes d’épargne à régime spécial

8 358

6 917

Autres dettes

914 172

843 981

Dettes représentées par un titre

12

2 224

2 412

Comptes de régularisation et passifs divers

13

43 120

69 417

Autres passifs

10 412

35 394

Comptes de régularisation

32 708

34 023

Provisions et dettes subordonnées

49 107

51 052

Provisions pour risques et charges

14

18 341

20 218

Dépôts de garantie à caractère mutuel

Dettes subordonnées

16

30 766

30 834

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

15

36 492

36 226

Capitaux propres hors FRBG

17

350 929

321 176

Capital souscrit

27 030

27 194

Primes d’émission

129 625

129 625

Réserves

161 039

132 731

Ecart de réévaluation

Provisions réglementées et subventions d’investissement

1 131

260

Report à nouveau (+ /–)

– 2 926

Résultat de l’exercice

35 030

31 366

Total passif

3 257 943

3 061 251

Hors bilan

2004

2003

Engagements donnés :

Engagements de financement

428 834

456 460

Engagement en faveur d’établissements de crédits

Engagements internes au Crédit agricole

25 760

41 000

Engagements en faveur de la clientèle

403 074

415 460

Engagements de garantie

84 586

78 265

Engagements d’ordre d’établissements de crédit

Engagements internes au Crédit agricole

Engagements d’ordre de la clientèle

84 586

78 265

Engagements sur titres

63

22

Titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise

Titres à livrer au Crédit agricole

Autres engagements donnés

63

22

Engagements reçus :

Engagements de financement

379

10 506

Engagements reçus d’établissements de crédit

0

488

Engagements internes de la clientèle

379

10 018

Engagements de garantie

179 763

183 839

Engagements reçus d’établissements de crédit

14 019

21 504

Engagements internes au Crédit agricole

537

605

Engagements reçus de la clientèle

165 207

161 730

Engagements sur titres

63

22

Titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise

Titres à recevoir du Crédit agricole

Autres engagements reçus

63

22

II. — Compte de résultat au 31 décembre 2004.
(En euros.)

Notes

31/12/04

31/12/03

Intérêts et produits assimilés

22

148 244

151 396

Intérêts et charges assimilées

22

70 913

81 012

Revenus des titres à revenu variable

23

6 245

6 112

Commissions (produits)

24

60 448

62 745

Commissions (charges)

24

6 378

6 266

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

25

107

145

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placements et assimilés

26

1 783

1 258

Autres produits d’exploitation bancaire

6 455

5 995

Autres charges d’exploitation bancaire

275

342

Produit net bancaire

145 716

140 031

Charges générales d’exploitation

73 007

71 435

Frais de personnel

27

45 340

44 819

Autres frais administratifs

27 667

26 616

Dotations aux amortissements et aux provisions sur immobilisations incorporelles et corporelles

6 085

5 397

Résultat brut d’exploitation

66 624

63 199

Coût du risque

30

– 5 545

– 8 378

Résultat d’exploitation

61 079

54 821

Résultat net sur actifs immobilisés

31

314

– 352

Résultat courant avant impôt

61 393

54 469

Résultat exceptionnel

– 9 299

– 6 379

Impôt sur les bénéfices

15 926

14 784

Dotations/Reprises de fonds pour risques bancaires généraux et provisions réglementées

– 1 138

– 1 940

Résultat net

35 030

31 366

III. — Annexe aux comptes sociaux.

Note 1. – Cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l’exercice.

A. – Le cadre juridique et financier.

La Caisse régionale de crédit agricole Sud Méditerranée est une société coopérative à capital variable régie par le Livre V du Code monétaire et financier et la loi bancaire du 24 janvier 1984 relative au contrôle et à l’activité des établissements de crédit.
Sont rattachées à la Caisse régionale Sud Méditerranée, 63 caisses locales qui constituent des unités distinctes avec une vie juridique propre.
Les comptes individuels sont représentatifs des comptes de la Caisse régionale seule, tandis que les comptes consolidés, selon la méthode de l’entité consolidante, intègrent également les comptes des caisses locales et le cas échéant, les comptes des filiales consolidables.
De par la loi bancaire, la Caisse régionale Sud Méditerranée est un établissement de crédit avec les compétences bancaires et commerciales que cela entraîne. Elle est soumise à la réglementation bancaire.
Au 31 décembre 2004, la Caisse régionale Sud Méditerranée fait partie, avec 42 autres Caisses régionales, du Groupe Crédit agricole dont l’Organe central, au titre de la loi bancaire, est Crédit agricole S.A. Les Caisses régionales détiennent la totalité du capital de la SAS Rue La Boétie, qui détient elle-même 53,95 % du capital de Crédit agricole S.A., cotée à la bourse de Paris depuis le 14 décembre 2001.
Le solde du capital de Crédit agricole S.A. est détenu par le public (y compris les salariés) à hauteur de 44,06 %.
Par ailleurs, Crédit agricole S.A. détient 29 324 633 actions propres, soit 1,99 %.
Pour sa part, Crédit agricole S.A. détient l’ensemble des certificats coopératifs d’associés émis par la Caisse régionale représentant 25 % de son capital.
Crédit agricole S.A. coordonne l’action des Caisses régionales et exerce, à leur égard, un contrôle administratif, technique et financier et un pouvoir de tutelle conformément au Code monétaire et financier. Du fait de son rôle d’Organe central, confirmé par la loi bancaire, il a en charge de veiller à la cohésion du réseau et à son bon fonctionnement, ainsi qu’au respect, par chaque Caisse régionale, des normes de gestion. Il garantit leur liquidité et leur solvabilité. Par homothétie, les Caisses régionales garantissent le passif de Crédit agricole S.A. à hauteur de leurs fonds propres.

Mécanismes financiers internes au Crédit agricole. — L’appartenance de la Caisse régionale Sud Méditerranée au Groupe Crédit agricole se traduit en outre par l’adhésion à un système de relations financières dont les règles de fonctionnement sont les suivantes :

Note 1.1. Comptes ordinaires des Caisses régionales : Les Caisses régionales ont un compte de trésorerie ouvert dans les livres de Crédit agricole S.A.., qui enregistre les mouvements de fonds correspondant aux relations financières internes. Ce compte, qui peut être débiteur ou créditeur, est présenté au bilan en « Opérations internes au Crédit agricole – Comptes ordinaires ».

Note 1.2. Comptes et avances à terme : Les ressources d’épargne (emprunts obligataires, bons et comptes à terme assimilés, comptes et plans d’épargne-logement, comptes sur livrets, PEP, etc.) sont collectées par les Caisses régionales au nom de Crédit agricole S.A. Elles sont transférées à Crédit agricole S.A. et figurent à ce titre à son bilan. Elles financent les avances faites aux Caisses régionales pour leur permettre d’assurer le financement de leurs prêts à moyen et long terme.
Quatre réformes financières internes successives ont été mises en œuvre. Elles ont permis de restituer aux Caisses régionales, sous forme d’avances dites « avances-miroir » (de durées et de taux identiques aux ressources d’épargne collectées), 15 %, 25 % puis 33,33 % et enfin 50 % depuis le 31 décembre 2001, des ressources d’épargne qu’elles ont collecté et dont elles ont désormais la libre disposition.
Depuis le 1er janvier 2004, les marges financières issues de la collecte, partagées entre les Caisses régionales et Crédit agricole S.A., sont déterminées par l’utilisation de modèles de replacement et l’application de taux de marché.
Par ailleurs, 50 % des crédits entrant dans le champ d’application des relations financières entre Crédit agricole S.A. et la Caisse régionale peuvent être refinancés sous forme d’avances négociées à prix de marché auprès de Crédit agricole S.A.
Deux autres types d’avances sont à distinguer :
— Les avances pour prêts bonifiés qui re-financent les prêts à taux réduits fixés par l’Etat : celui-ci verse à Crédit agricole S.A. une bonification pour combler la différence entre le coût de la ressource et le taux des prêts ;
— Les avances pour autres prêts qui re-financent à hauteur de 50 % (depuis le 31 décembre 2001) les prêts non bonifiés : ces avances de Crédit agricole S.A. sont accordées aux Caisses régionales sur justification de leurs engagements et ne peuvent être affectées qu’à la réalisation des prêts pour lesquels un accord préalable a été obtenu. Elles sont reversées au fur et à mesure du remboursement des prêts accordés.

Note 1.3. Transfert de l’excédent des ressources monétaires des Caisses régionales : Les ressources d’origine monétaire des Caisses régionales (dépôts à vue, dépôts à terme et certificats de dépôts négociables) peuvent être utilisées par celles-ci au financement de leurs prêts. Les excédents sont obligatoirement transférés à Crédit agricole S.A. où ils sont enregistrés dans des comptes ordinaires ou des comptes à terme parmi les « Opérations internes au Crédit agricole ».

Note 1.4. Placement des excédents de fonds propres des Caisses régionales auprès de Crédit agricole S.A. : Les excédents peuvent être investis chez Crédit agricole S.A. sous forme de placements de 3 à 7 ans dont toutes les caractéristiques sont celles des opérations interbancaires du marché monétaire.

Note 1.5. Opérations en devises : Crédit agricole S.A. étant leur intermédiaire auprès de la Banque de France, les Caisses régionales s’adressent à elle pour leurs opérations de change.

Note 1.6. Comptes d’épargne à régime spécial : Les ressources d’épargne à régime spécial (comptes sur livrets, livrets d’épargne manuelle, d’épargne entreprise, d’épargne populaire, Codevi, comptes et plans d’épargne logement, plans d’épargne populaire, livret jeune) sont collectées par les Caisses régionales pour le compte de Crédit agricole S.A. où elles sont obligatoirement centralisées. Crédit agricole S.A., les enregistre à son bilan en « Comptes créditeurs de la clientèle ».

Note 1.7. Titres à moyen et long terme émis par Crédit agricole S.A. : Ceux-ci sont placés principalement par les Caisses régionales et figurent au passif du bilan de Crédit agricole S.A., en fonction du type de titres émis, en « Dettes représentées par un titre » ou « Provisions et dettes subordonnées ».

B. – Les faits caractéristiques de l’exercice.

Système d’information. — Au cours de l’exercice 2004, la Caisse régionale a rejoint la plate forme EXA + , l’un des systèmes d’information référencés par le Groupe Crédit agricole. Cet événement s’est déroulé dans des conditions très satisfaisantes, sans conséquences sur la qualité des productions comptables semestrielles et annuelles.

SAS La Boétie. — La Caisse régionale Sud Méditerranée a participé en 2004 au bouclage des opérations de financement de l’acquisition du Crédit lyonnais en s’engageant auprès de la SAS La Boétie dans le cadre de conventions de compte courant pour 10,8 M€.

Normes IFRS. — Courant 2004, la Caisse régionale a procédé aux retraitements de ses comptes consolidés pour préparer la présentation selon le référentiel IFRS à compter de 2005.

Note 2. – Principes et méthodes comptables.

A. – Principes généraux retenus.

Les états financiers de la Caisse régionale Sud Méditerranée sont établis dans le respect des principes comptables applicables aux établissements bancaires et conformément aux règles définies par Crédit agricole S.A., agissant en tant qu’Organe central et chargée d’adapter les principes généraux aux spécificités du groupe Crédit agricole.
Compte tenu de l’intégration de ses caisses locales dans le périmètre de consolidation, la Caisse régionale Sud Méditerranée publie des comptes individuels et des comptes consolidés.

Note 2.1. Crédits à la clientèle. — Les crédits à la clientèle sont inscrits au bilan à leur valeur nominale.
La Caisse régionale sud méditerranée applique le règlement du CRC 2002-03 du 12 décembre 2002 sur le risque de crédit. En application de celui-ci, les créances présentant un risque d’impayé sont comptabilisées conformément aux règles suivantes :
— Créances restructurées : La Caisse régionale Sud Méditerranée définit les créances restructurées comme étant des créances détenues auprès de contreparties présentant des difficultés financières telles que l’établissement de crédit est amené à modifier les caractéristiques initiales (durée, taux, etc...), afin de permettre aux contreparties d’honorer le paiement des échéances.
Par conséquent, sont exclues des créances restructurées :

  • les créances dont les caractéristiques ont été renégociées commercialement avec des contreparties ne présentant pas des problèmes d’insolvabilité ;
  • les créances dont le tableau d’amortissement théorique est modifié du fait de l’application d’une option ou clause contractuelle prévue initialement au contrat (exemple : pause et report d’échéance).
Le montant des créances restructurées détenues par la Caisse régionale Sud Méditerranée s’élève à 14 327 milliers d’euros, dont 4 827 milliers d’euros relatifs aux crédits restructurés dans le cadre de la Loi Neiertz.
Par rapport à l’encours de crédits comptabilisé au bilan de la Caisse régionale Sud Méditerranée le montant des crédits restructurés n’étant pas significatif, aucune décote n’a été comptabilisée lors de l’enregistrement de tels prêts.
— Créances douteuses : Ce sont les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque de crédit avéré correspondant à l’une des situations suivantes :
  • Lorsqu’il existe un ou plusieurs impayés depuis trois mois au moins (six mois pour les créances sur des acquéreurs de logements et sur des preneurs de crédit-bail immobilier, neuf mois pour les créances sur les collectivités locales, compte tenu des caractéristiques particulières de ces crédits) ;
  • Lorsque la situation d’une contrepartie présente des caractéristiques telles qu’indépendamment de l’existence de tout impayé on peut conclure à l’existence d’un risque avéré ;
  • S’il existe des procédures contentieuses entre l’établissement et sa contrepartie.
Parmi les encours douteux, la Caisse régionale Sud Méditerranée distingue les encours douteux compromis des encours douteux non compromis.
— Créances douteuses non compromises : Les créances douteuses non compromises sont les créances douteuses qui ne répondent pas à la définition des créances douteuses compromises.
— Créances douteuses compromises : Ce sont les créances pour lesquelles les conditions de solvabilité de la contrepartie sont telles qu’après une durée raisonnable de classement en encours douteux, aucun reclassement en encours sain n’est prévisible. En tout état de cause, l’identification en encours douteux compromis intervient au plus tard un an après la classification en encours douteux.
Les intérêts ne sont plus comptabilisés après le transfert en encours douteux compromis.
— Provisionnement du risque de crédit avéré : Dès lors qu’un risque de crédit avéré est un encours douteux, la perte probable est prise en compte par la Caisse régionale par voie de provision. Les provisions constituées apparaissent en déduction des encours correspondant à la seule exception de celles relatives aux engagements hors bilan qui apparaissent au passif.
La Caisse régionale Sud Méditerranée constitue les provisions permettant de couvrir l’ensemble de ses pertes prévisionnelles au titre des encours douteux ou douteux compromis.
Conformément aux dispositions relatives à la date d’application du règlement du CRC 2002-03 relatif au traitement comptable du risque de crédit dans les entreprises relevant du CRBF, la Caisse régionale Sud Méditerranée a opté pour l’application à compter du 1er janvier 2005 de la méthode d’actualisation des flux prévisionnels décrite au paragraphe 13 de ce règlement du CRC lors de l’évaluation de la provision.
Pour les encours composés de petites créances présentant des caractéristiques similaires, l’étude, contrepartie par contrepartie, peut être remplacée par une estimation statistique des pertes prévisionnelles.

Note 2.2. Opérations sur titres. — Les règles relatives à la comptabilisation des opérations sur titres sont définies par le règlement 90-01 du comité de la réglementation bancaire et financière modifié par le règlement 95-04 du CRBF et le règlement 2000-02 du Comité de la réglementation comptable, ainsi que par le règlement 2002-03 du Comité de la réglementation comptable en matière de détermination du risque de crédit et du provisionnement concernant les titres à revenu fixe.
La répartition des titres entre les 4 catégories de portefeuille (transaction, placement, investissement, et titres de l’activité de portefeuille) est faite en fonction de l’intention initiale d’utilisation des titres, intention identifiée dans le système d’information comptable dès leur acquisition.
— Titres de placement : Cette catégorie concerne les titres acquis avec un objectif de détention supérieure à 6 mois, sans intention de les conserver jusqu’à leur échéance.
Les titres sont enregistrés pour leur prix d’acquisition, frais exclus.
Les cessions de titres sont réputées porter sur les titres de même nature souscrits à la date la plus ancienne.
La valeur d’inventaire est le dernier cours connu.
Les moins-values latentes constatées à l’arrêté comptable font l’objet de provision pour dépréciation.
— Titres d’investissement : Sont enregistrés en titres d’investissement, les titres à revenu fixe acquis avec l’intention de les détenir de façon durable, en principe jusqu’à l’échéance. Les titres sont adossés en taux ou en liquidité.
Les titres d’investissement sont comptabilisés pour leur prix d’acquisition, frais exclus.
Conformément aux règlements n° 90.01 et 95.04 et à l’Instruction n° 94.05 de la Commission bancaire, la Caisse régionale Sud Méditerranée n’a pas provisionné les moins-values latentes.
Toutefois, les moins-values peuvent être provisionnées lorsque, à la date d’arrêté des comptes, il existe une forte probabilité que les titres soient cédés avant leur échéance ou s’il existe un risque de contrepartie.
Les titres d’investissement sont soumis aux dispositions du règlement du CRC 2002-03 concernant l’identification du risque de crédit et le provisionnement des pertes avérées.
Le montant des cessions de titres d’investissement intervenues avant l’échéance fait l’objet d’informations complémentaires dans la note 5 de cette présente annexe.

Note 2.3. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme :
— Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d’être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable ;
— Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l’activité de l’établissement de crédit ;
— Les autres titres détenus à long terme correspondent à des investissements réalisés dans l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus.
L’ensemble de ces titres est comptabilisé au coût historique. Les frais accessoires à l’achat et à la vente sont enregistrés en charges d’exploitation. A la clôture de l’exercice, ces titres peuvent ou non faire l’objet individuellement de provisions pour dépréciation lorsque leur valeur d’utilité est inférieure au coût historique.
La valeur d’utilité de ces titres représente ce que l’établissement accepterait de décaisser pour les acquérir, compte tenu de ses objectifs de détention. Les éléments qui peuvent être pris en compte pour l’estimation de la valeur d’utilité sont la rentabilité, actuelle ou attendue, les capitaux propres, les cours moyens de bourse des derniers mois.

Note 2.4. Immobilisations. — La Caisse régionale Sud Méditerranée applique par anticipation à compter du 1er janvier 2004 le règlement du CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs.
Par conséquent, la Caisse régionale Sud Méditerranée applique à ce titre la méthode de comptabilisation des actifs par composants. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l’éventuelle valeur résiduelle des immobilisations.
Par ailleurs, les éléments dont dispose la Caisse régionale sur la valeur de ses immobilisations lui permettent de conclure que des tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification de la base amortissable existant au 31 décembre 2004.
L’application anticipée de ce nouveau règlement n’a pas eu d’impact significatif sur l’exercice 2004.

Les composants et durées d’amortissement suivants ont été retenus par la Caisse régionale Sud Méditerranée, suite à l’application de la comptabilisation des immobilisations par composants. Il convient de préciser que ces durées d’amortissement doivent être adaptées à la nature de la construction et à sa localisation.

Composant

Durée d’amortissement

Foncier

Non amortissable

Gros œuvre

25 ans

Second œuvre

8 à 20 ans

Installations techniques

5 à 15 ans

Agencements

5 à 15 ans

Matériel informatique

4 à 7 ans (dégressif ou linéaire)

Matériel spécialisé

4 à 5 ans (dégressif ou linéaire)

A l’exception des logiciels, les immobilisations incorporelles ne font pas l’objet d’amortissement. Le cas échéant, elles peuvent faire l’objet de provisions pour dépréciation.

Note 2.5. Conventions de garantie internes. — Aux termes de conventions de garantie conclues par les Caisses régionales de Crédit agricole, au profit de Crédit agricole S.A. la Caisse régionale Sud Méditerranée est engagée dans la limite de ses fonds propres à couvrir une éventuelle insuffisance d’actif de Crédit agricole S.A.. au bénéfice des tiers, créanciers de celle-ci.
A contrario, Crédit agricole S.A. (dans le cadre de la mission qui lui a été confiée par le Code monétaire et financier) garantit la liquidité et la solvabilité des Caisses régionales.
A ce titre, il a été constitué par Crédit agricole S.A., au cours de l’exercice 2001, un « Fonds pour risques bancaires de liquidité et de solvabilité ». La Caisse régionale Sud Méditerranée a souscrit à ce fonds pour un montant de 1,8 million d’euros, comptabilisé en charges exceptionnelles.

Note 2.6. Engagements en matière de retraite, de préretraite, d’indemnités de fin de carrière. — La Caisse régionale Sud Méditerranée applique à compter du 1er janvier 2004 la recommandation n° 2003-R.01 du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.
A ce titre, la Caisse régionale Sud Méditerranée provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations définies.
Les écarts actuariels étant passés immédiatement en résultat, le montant de la provision est égal à :
— la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la recommandation ;
— diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs du régime. Ceux-ci peuvent-être représentés par une police d’assurance éligible. Dans le cas où l’obligation est totalement couverte par une telle police, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l’obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante).
Le régime de retraite des salariés de la Caisse régionale étant celui de la MSA, à cotisations définies, celle-ci ne porte pas dans ses comptes d’engagements « Retraite » mais enregistre en « Frais de personnel » le montant des cotisations correspondantes.
Les régimes à prestations définies dont la Caisse régionale Sud Méditerranée fait bénéficier ses salariés concernent la retraite des cadres de direction et les indemnités fin de carrière de l’ensemble du personnel. Les engagements sont couverts par des polices d’assurances et valorisés dans la note 29.

Note 2.7. Provision pour risques sur GIE d’investissement. — Afin de donner une image fidèle de ses comptes, la Caisse régionale Sud Méditerranée constitue une provision spécifique pour pertes et charges dans le but de compenser l’incidence temporaire sur la charge d’impôt et sur le résultat net, de la participation de la Caisse régionale Sud Méditerranée à certains GIE réalisant des opérations de financement par crédit-bail ou des opérations particulières. Cette provision d’exploitation sera reprise au fur et à mesure des suppléments d’impôts que devra acquitter la Caisse régionale au cours des exercices ultérieurs, de manière à neutraliser l’impact de ces opérations sur le résultat net. Du fait d’un contentieux fiscal national, cette provision est figée depuis le 31 décembre 1997.

Note 2.8. Impôt sur les bénéfices (charge fiscale). — D’une façon générale, seul l’impôt exigible est constaté dans les comptes individuels.
La charge d’impôt figurant au compte de résultat correspond à l’impôt sur les sociétés dû au titre de l’exercice. Elle intègre les conséquences de la contribution additionnelle de 3 % et de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 %.
L’avoir fiscal étant supprimé à compter du 1er janvier 2005, ceux perçus au titre des dividendes encaissés en 2004 n’ont pas été imputés sur l’impôt de l’exercice dans la mesure où celui-ci sera liquidé après cette date.
La loi de finances rectificative pour 2004 prévoit la diminution progressive du taux d’impôt applicable aux cessions de titres de participation. En contrepartie, elle institue une taxe exceptionnelle de 2,5 % assise sur le montant de la réserve spéciale des plus-values à long terme qui sera viré sur un autre compte de réserves, déduction faite d’un abattement de 500 000 € sur la fraction obligatoire de ce virement. Le montant de cette taxe, qui sera prélevée en priorité sur l’autre compte de réserves, est estimé au 31 décembre 2004 à 574 milliers d’euros. Il n’a pas été passé en compte de résultat sur l’exercice 2004.

Note 2.9. Conversion des opérations en devises. — Les créances et les dettes monétaires ainsi que les contrats de change à terme figurant en engagements hors bilan libellés en devises sont convertis au cours de marché en vigueur à la date d’arrêté ou au cours de marché constaté à la date antérieure la plus proche.
Les charges et les produits payés ou perçus sont enregistrés au cours du jour de la transaction ; les charges et produits courus mais non payés ou perçus sont convertis au cours de clôture.
Dans le cadre de l’application des règlements CRBF n° 89.01 et 89.02 et des Instructions 89.04 et 89.05 de la Commission bancaire, la Caisse régionale Sud Méditerranée a mis en place une comptabilité multi-devises lui permettant un suivi de sa position de change et la mesure de son exposition à ce risque.

Note 2.10. Fonds pour risques bancaires généraux (F.R.B.G.). — En application du règlement 90.02 du CRBF, sont enregistrées dans le compte « Fonds pour risques bancaires généraux », la provision pour régularisation des charges et produits d’épargne logement, la provision de propre assureur, la provision pour risques de crédits non encore avérés et les autres provisions pour risques bancaires généraux.

Note 2.11. Instruments financiers à terme et conditionnels. — Les principes comptables appliqués sont essentiellement fonction de l’intention avec laquelle les opérations sont effectuées.
La Caisse régionale Sud Méditerranée utilise les swaps de taux d’intérêt ou de devises essentiellement aux fins suivantes :
— Couverture du risque de taux d’intérêt affectant un élément ou un ensemble d’éléments homogènes. Ces contrats sont valorisés symétriquement à l’élément ou à l’ensemble d’éléments couverts ;
— Couverture des risques de taux global de l’établissement sur l’actif, le passif et le hors bilan. Les charges et les produits relatifs à ces contrats sont inscrits prorata temporis en compte de résultat.
Les engagements relatifs à ces opérations sont inscrits dans les comptes de hors bilan pour la valeur nominale des contrats : ce montant représente le volume des opérations en cours.

Note 2.12. Emprunts obligataires. — La Caisse régionale Sud Méditerranée applique depuis le 1er janvier 2003 la méthode préférentielle d’étalement des frais d’émission des dettes représentées par un titre, prévue au paragraphe 300 du règlement 99-07 du 24 novembre 1999.

B. — Changements de méthode comptable et de présentation des comptes.

Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :
La Caisse régionale Sud Méditerranée applique l’avis n° 2004-05, du 25 mars 2004, du Conseil national de la comptabilité afférant à la modification des paragraphes 300 des règlements n° 99-02, n° 99-07, n° 00-05 et n° 02-08 du CRC concernant les dispositions relatives aux médailles du travail.
Conformément à cet avis :
— les médailles du travail ne sont plus assimilées aux engagements de retraite (cf. recommandation n° 2003-R.01) ;
— les engagements à verser aux salariés en activité au titre des médailles du travail sont comptabilisés sous forme de provisions conformément aux dispositions de l’article 212.1 du règlement n° 99-03 du CRC (PCG), modifié entre autres par le règlement CRC n° 00-06 relatif aux passifs.
L’impact du changement de méthode a été comptabilisé dans les capitaux propres pour un montant de 224 milliers d’euros.
La Caisse régionale Sud Méditerranée applique également à compter du 1er janvier 2004 la recommandation n° 2003-R.01 du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.
L’impact du changement de méthode, qui découle notamment de la mise en œuvre de la méthode des unités de crédit projetées, de l’évolution du modèle de reconstitution de carrière et de modélisation des retraites obligatoires, de l’harmonisation des taux d’actualisation (taux des OAT + marge déterminée en fonction de la durée de l’engagement) et des différents paramètres conduisant au calcul de ces provisions, a été comptabilisé dans les capitaux propres pour un montant de 2 702 milliers d’euros et, en raison de l’application de règles fiscales (conformément à l’avis du CNC n° 97-06 relatif aux changements de méthode comptable), en compte de résultat pour 2 702 milliers d’euros.
La Caisse régionale Sud Méditerranée applique par anticipation à compter du 1er janvier 2004 le règlement du CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs. L’application de ce nouveau règlement n’a pas eu d’impact significatif sur l’exercice 2004.

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit - Analyse par durée résiduelle.

Créances
(En milliers d’euros)

Durée résiduelle

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total
2004

Total
2003

Etablissements de Crédit :

Comptes et prêts :

A vue

2 016

2 016

2 016

7 126

A terme

Valeurs reçues en pension

Titres en pension livrée

Prêts subordonnés

282

282

6

288

Total

Provisions

Valeurs brutes au bilan

2 016

282

2 298

6

2 304

7 126

Opérations internes au Crédit agricole :

Comptes ordinaires

65 171

65 171

0

65 171

62 837

Comptes et avances à terme

5 241

11 184

10 550

0

26 975

1 845

28 820

36 711

Prêts subordonnés

43 900

43 900

28

43 928

43 928

Total

Valeurs brutes

70 412

11 184

10 550

43 900

136 046

1 873

137 919

143 476

Provisions

0

0

Valeurs nettes

137 919

143 476

Les prêts subordonnés et participatifs consentis à Crédit agricole S.A. s’élèvent à 44 182 K€. Les titres subordonnés en portefeuille s’élèvent à 8 604 K€.
Opérations internes au Crédit agricole : En matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit agricole S.A. dans le cadre des relations financières internes.

Note 4. – Opérations avec la clientèle - Analyse par durée résiduelle.

Créances
(En milliers d’euros)

Durée résiduelle

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total
2004

Total
2003

Opérations avec la clientèle :

Créances commerciales

22 226

218

0

22 444

177

22 621

24 333

Autres concours à la clientèle

199 503

314 375

975 475

1 243 048

2 732 401

28 743

2 761 144

2 541 334

Valeurs reçues en pension livrée

Crédit-bail et location avec option d’achat

Location simple

Sous-total

221 729

314 593

975 475

1 243 048

2 754 845

28 920

2 783 765

2 565 667

Comptes ordinaires débiteurs

24 919

24 919

51

24 970

12 571

Valeurs brutes

246 648

314 593

975 475

1 243 048

2 779 764

28 971

2 808 735

2 578 838

Provisions

72 386

69 542

Valeurs nettes au bilan

2 736 349

2 508 696

Parmi les créances sur la clientèle 907 milliers d’euros sont éligibles au refinancement de la Banque centrale. Dans le cas où les encours restructurés de la Caisse régionale sont significatifs :
Les encours restructurés au 31 décembre 2004 s’élèvent à 14 327 milliers d’euros, dont 4 827 milliers d’euros relatifs aux crédits restructurés dans le cadre de la loi Neiertz.

Note 4.1. Opérations avec la clientèle analysé par zone géographique :

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

France (y compris DOM-TOM)

2 468 891

2 265 119

Autres pays de l’U.E.

310 873

284 769

Autres pays d’Europe

Amérique du Nord

Amérique centrale et du Sud

Afrique et Moyen-Orient

Asie et Océanie (hors Japon)

Non ventilés et organismes internationaux

Total en principal

2 779 764

2 549 888

Créances rattachées

28 971

28 350

Provisions

72 386

69 542

Valeurs nettes au bilan

2 736 349

2 508 696

Note 4.2. Opérations avec la clientèle encours douteux et provisions par zone géographie :

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Encours douteux

Provisions

Encours douteux

Provisions

France (y compris DOM-TOM)

94 960

68 807

92 270

65 736

Autres pays de l’U.E.

8 455

3 579

9 892

3 806

Autres pays d’Europe

Amérique du Nord

Amérique centrale et du Sud

Afrique et Moyen-Orient

Asie et Océanie (hors Japon)

Non ventilés et organismes internationaux

Total

103 415

72 386

102 162

69 542

Note 4.3. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques :

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Encours
brut

Encours douteux

Encours douteux compromis

Provisions
sur encours douteux

Provisions
sur encours douteux compromis

Encours
brut

Encours douteux

Provisions

Particuliers

1 081 264

26 940

18 154

16 898

12 487

973 086

22 523

13 006

Agriculteurs

252 364

17 599

8 169

11 507

4 098

234 397

16 797

10 061

Autres professionnels

609 287

30 601

19 061

22 558

16 270

499 280

26 201

17 625

Sociétés financières

97

0

0

0

0

11

0

0

Entreprises

403 841

22 046

8 182

15 569

6 300

448 879

30 590

23 178

Collectivités publiques

433 103

5 672

0

5 672

0

406 204

5 523

5 523

Autres agents économiques

28 779

557

368

183

172

16 382

528

148

Total

2 808 735

103 415

53 934

72 387

39 327

2 578 239

102 162

69 541

Note 5. – Titres de transactions, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Transactions

Placements

Titres de l’activité
de portefeuille

Investissement

Total
2004

Total
2003

Titres de transaction :

Effets publics et valeurs assimilées :

1 524

1 524

1 524

Dont surcote restant à amortir

Dont décote restant à amortir

Créances rattachées

76

76

75

Provisions

Valeurs nettes au bilan

1 600

1 600

1 599

Obligations et autres titres à revenu fixe

21 015

38 990

60 005

Emis par organismes publics

Autres émetteurs

62 303

Dont surcote restant à amortir

Dont décote restant à amortir

Créances rattachées

11

1 085

1 096

1 196

Provisions

1 512

0

1 512

2 522

Valeurs nettes au bilan

19 514

40 075

59 589

60 976

Actions et autres titres de revenu variable

17 822

0

17 822

11 605

Créances rattachées

Provisions

50

0

50

Valeurs nettes au bilan

17 772

0

17 772

11 605

Valeurs estimatives

38 427

44 918

83 345

78 227

5.1. Titres de transaction, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille (hors effets publics) :

— Ventilation par grandes catégories de contrepartie :

(En milliers d’euros)

Encours nets
au 31/12/04

Encours nets
au 31/12/03

Administrations et banques centrales (y compris Etats)

Etablissements de crédit

31 188

28 016

Sociétés financières

26 432

20 269

Collectivités locales

Entreprises, assurances et autres clientèles

19 741

24 296

Divers et non ventilés

Valeur nette au bilan

77 361

72 581

5.2. Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable :

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Obligations
et autres titres
à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions
et autres titres
à revenu variable

Total

Obligations
et autres titres
à revenu fixe

Effets publics et valeurs assimilées

Actions
et autres titres
à revenu variable

Total

Titres cotés

38 990

1 524

40 514

36 734

1 524

38 258

Titres non cotés

21 015

17 822

38 837

25 569

11 605

37 174

Créances rattachées

1 096

76

1 172

1 195

75

1 270

Provisions

1 512

50

1 562

2 522

2 522

Valeurs nettes au bilan

59 589

1 600

17 772

78 961

60 976

1 599

11 605

74 180

OPCVM français : 17 772 K€ dont 16 272 K€ de capitalisation.

Note 5.3. Effets publics, obligations et autres titres à revenu fixe - Analyse par durée résiduelle :

(En milliers d’euros)

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total
en principal

Créances rattachées

Total
31/12/04

Total
31/12/03

Obligations et autres titres à revenu fixe

1 524

3 811

24 282

30 387

60 004

1 096

61 100

63 498

Effets publics et valeurs assimilées

1 524

1 524

76

1 600

1 599

Provisions

1 512

2 522

Valeurs nettes au bilan

61 188

62 575

Note 6. – Tableau des titres des participations et des filiales.

Quote-part du capital détenue
(En  %)

Valeurs nettes comptables des titres détenus

Valeurs nettes comptables des prêts
et avances consentis

Montant
des cautions
et avals donnés par la société

Résultats (bénéfice
ou perte
du dernier exercice clos)

Participation dont la valeur d’inventaire excède 1 % du capital de l’entité :

Participation dans des établissements de crédit (détail)

Autres parts dans les entreprises liées :

SCI Château de Castelnou

98,61

786

228

– 27

Autres titres de participations :

SAS Rue La Boétie

1,32

119 883

3 964

748 409

S.A. Sofilaro

20,59

1 154

3

– 200

GF Font Moreau

24,11

536

8

SAS Sacam Développement

1,35

10 321

3 053

SAS Sacam Fireca

1,18

629

– 9 088

SNC CA Titres

398

Participations dont la valeur d’inventaire est inférieure à 1 % du capital de l’entité :

Autres parts dans les entreprises liées (ensemble)

Autres titres de participation (ensemble)

1 483

2 782

Total parts dans les entreprises liées et participations

135 190

10 030

Note 6.1. Valeur estimative des titres de participation :

31/12/04

31/12/03

Valeur
au bilan

Valeur estimative

Valeur
au bilan

Valeur estimative

Parts dans les entreprises liées :

Titres non cotés

1 586

786

1 586

839

Titres cotés

Avances en comptes courants d’associés

915

228

915

228

Créances rattachées

0

0

0

0

Provisions

1 486

1 434

Sous-total parts dans les entreprises liées

1 015

1 014

1 067

1 067

Titres de participation :

Titres non cotés

142 783

242 482

144 717

212 551

Titres cotés

Avances en comptes courants d’associés

2 305

2 249

3 405

3 405

Créances rattachées

207

207

375

375

Provisions

1 418

1 354

Sous-total titres de participation

143 877

244 938

147 143

216 331

Autres titres détenus à long terme :

Titres

Titres cotés

Avances en comptes courants d’associés

535

535

716

716

Créances rattachées

Provisions

Sous-total autres titres détenus à long terme

535

535

716

716

Total

145 427

246 487

148 926

218 114

Note 7.1. Immobilisations financières :

Rubriques
(En milliers d’euros)

31/12/04

Valeur
en début d’exercice

Augmentations (acquisitions)

Diminutions (cessions) (échéances)

Autres mouvements

Valeur
à la fin de l’exercice

Parts dans les entreprises liées :

Valeurs brutes

1 586

1 586

Avances en comptes

Comptes courants associés

Provisions

1 434

52

1 486

Avances consolidables

915

915

Titres de participation :

Valeurs brutes

133 656

2 110

135 766

Avances en comptes

14 467

4 400

9 545

9 322

Provisions

1 354

76

12

1 418

Autres titres détenus à long terme :

Valeurs brutes

0

0

0

0

Avances en comptes

Comptes courants associés

Provisions

Avances consolidables

716

181

535

Créances rattachées

375

207

375

207

Valeurs nettes au bilan

148 927

6 589

10 089

145 427

Note 7.2. Immobilisations corporelles et incorporelles :

(En milliers d’euros)

31/12/04

Valeur
en début d’exercice

Augmentation (Acquisitions)

Diminutions (Cessions) (Echéances)

Autres mouvements

Valeur
à la fin
de l’exercice

Immobilisations corporelles d’exploitation

41 912

2 724

3 930

40 706

Valeurs brutes

90 987

8 012

5 238

93 761

Amortissements et provisions

49 075

5 137

1 157

53 055

Immobilisations corporelles données en location

Valeurs brutes

Amortissements et provisions

Immobilisations incorporelles

1 421

1 223

42

0

2 602

Valeurs brutes

6 676

2 171

48

0

8 799

Amortissements et provisions

5 255

948

6

0

6 197

Valeurs nettes au bilan

43 333

4 098

4 123

0

43 308

Note 8. – Autres actifs et comptes de régularisation.
(En milliers d’euros.)

Rubriques

Montant
31/12/04

Montant
31/12/03

Autres actifs

11 282

18 825

Instruments conditionnels achetés

Comptes de stock et emplois divers

1 684

2 450

Comptes de règlement

50

8 425

Débiteurs divers

9 548

7 950

Capital souscrit non versé

Actions propres

Comptes de régularisation

60 013

74 847

Comptes d’encaissement et de transfert

30 208

38 028

Comptes d’ajustement et comptes d’écarts

Gains latents et pertes à étaler sur instruments financiers

Produits à recevoir et charges constatées d’avance

28 766

32 755

Charges à répartir

Autres comptes de régularisation

1 039

4 064

Valeurs nettes au bilan

71 295

93 672

Note 9. – Provisions inscrites en déduction de l’actif.
(En milliers d’euros.)

Solde au 31/12/03

Dotations

Reprises et utilisations

Autres mouvements

Solde au 31/12/04

Provisions déduites de l’actif :

Sur interbancaire

Sur créances clientèle

69 542

33 760

30 916

72 386

Sur opérations de crédit-bail

Sur portefeuilles-titres (placements TAP et investissements)

2 522

117

1 077

1 562

Sur participations et autres titres détenus à long terme

2 789

127

12

2 904

Autres

6 650

155

3 659

3 145

Total provisions actif

81 503

34 159

35 664

79 997

Note 10. – Dettes envers les établissements de crédit - Analyse par durée résiduelle.
(En milliers d’euros.)

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total
31/12/04

Total
31/12/03

Etablissements de crédit :

Comptes et emprunts :

A vue

281

281

7

288

6 814

A terme

Valeurs données en pension

Titres donnés en pension livrée

Valeurs au bilan

281

281

7

288

6 814

Opérations internes au Crédit agricole :

Comptes ordinaires

2 053

2 053

2 053

4 096

Comptes et avances à terme

278 675

626 185

531 290

411 597

1 847 747

3 453

1 851 200

1 719 160

Valeurs au bilan

280 728

626 185

531 290

411 597

1 849 800

3 453

1 853 253

1 723 256

Total valeurs au bilan

281 009

626 185

531 290

411 597

1 850 081

3 460

1 853 541

1 730 070

Opérations internes au Crédit agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit agricole S.A. et nécessaires au financement de l’encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale (cf. cadre juridique et financier).

Note 11. – Comptes créditeurs de la clientèle - Analyse par durée résiduelle.
(En milliers d’euros.)

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total
en principal

Dettes rattachées

Total
31/12/04

Total
31/12/03

Comptes créditeurs de la clientèle :

Comptes ordinaires créditeurs

865 931

865 931

40

865 971

790 655

Comptes d’épargne à régime spécial :

A vue

8 358

8 358

8 358

6 917

A terme

0

Autres dettes envers la clientèle :

A vue

A terme

32 691

6 323

7 389

536

46 939

1 263

48 202

53 325

Valeurs données en pension livrée

Total valeurs au bilan

906 980

6 323

7 389

536

921 228

1 303

922 531

850 897

Note 12. – Dettes représentées par un titre - Analyse par durée résiduelle.
(En milliers d’euros.)

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total
en principal

Dettes rattachées

Total
31/12/04

Total
31/12/03

Dettes représentées par un titre :

Bons de caisse

1 813

400

2 213

11

2 224

2 412

Titres du marché interbancaire

Titres de créances négociables :

Emis en France

Emis à l’étranger

Emprunts obligataires

Autres dettes représentées par un titre

Total valeurs au bilan

1 813

400

2 213

11

2 224

2 412

Note 13. – Autres passifs et comptes de régularisation.
(En milliers d’euros.)

Rubriques

Montant
31/12/04

Montant
31/12/03

Autres passifs

10 412

35 394

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

Dettes représentatives de titres empruntés

Instruments conditionnels vendus

Compte de règlement

Créditeurs divers

261

3 281

Versements restant à effectuer sur titres

9 709

29 951

Autres

442

2 162

Comptes de régularisation

32 707

34 022

Comptes d’encaissement et de transfert

2 139

2 470

Comptes d’ajustement et comptes d’écart

Pertes latentes et gains à étaler sur instruments financiers

Produits constatés d’avance et charges à payer

28 604

29 935

Autres comptes de régularisation

1 964

1 617

Valeurs au bilan

43 119

69 416

Note 14. – Provisions pour risques et charges.

(En milliers d’euros)

Solde
au 31/12/03

Dotations

Reprises utilisées

Reprises non utilisées

Autres mouvements

Solde
au 31/12/04

Provisions pour indemnités de départ à la retraite, congés de fin de carrières et préretraites

Provisions pour risques d’exécution des engagements par signature

1 423

228

350

1 301

Provisions pour risques fiscaux

3 540

586

115

4 011

Provisions pour risques pays

Provisions pour passage à l’euro

Provisions pour risques de crédit

Provisions pour mise au rebut de l’ancien système informatique

2 774

2 774

0

Provisions pour restructurations

Provisions pour impôts

2 525

278

2 247

Provisions pour litiges et garanties de passif

6 383

1 319

36

936

6 730

Provisions sur participations

Autres provisions pour risques et charges

3 574

690

2 871

267

2 926

4 052

Valeurs au bilan

20 219

2 823

6 309

1 318

2 926

18 341

Note 15. – Fonds pour risques bancaires généraux.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Epargne logement

6 178

6 567

Risque de crédit non avéré

9 662

9 007

Autres

20 652

20 652

Valeur au bilan

36 492

36 226

Note 16. – Dettes subordonnées - Analyse par durée résiduelle.
(En milliers d’euros.)

< 3 mois

< 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Montant 31/12/04

Montant 31/12/03

Dettes subordonnées :

Dettes subordonnées à terme

28 173

28 173

466

28 639

28 699

Emprunts participatifs

Autres emprunts subordonnés à terme

Dettes subordonnées à durée indéterminée

C/C bloqués des caisses

2 034

2 034

93

2 127

2 136

Locales

Valeurs au bilan

2 034

28 173

30 207

559

30 766

30 835

Note 17. – Variation des capitaux propres.

(En milliers d’euros)

Capitaux propres

Capital
(1)

Primes et réserves (2)

Ecarts réévaluation

Provisions réglementées

Résultat

Total des capitaux propres

Solde au 31 décembre 2002

27 532

237 868

176

27 251

292 827

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versées au titre de 2002

Variation de capital

– 338

– 338

Variation des primes et réserves

Affectation du résultat social 2002

24 488

– 24 488

Report à nouveau débiteur

Résultat de l’exercice 2003

31 366

31 366

Autres variations

84

84

Solde au 31 décembre 2003

27 194

262 356

260

31 366

321 176

Dividendes ou intérêts aux parts sociales versées au titre de 2003

– 3 058

– 3 058

Variation de capital

– 164

– 164

Variation des primes et réserves

Affectation du résultat social 2003

28 308

Report à nouveau débiteur

– 2 926

– 2 926

Résultat de l’exercice 2004

35 030

35 030

Autres variations

871

871

Solde au 31 décembre 2004

27 030

290 664

1 131

32 104

350 929

(1) Dont 7 014 milliers d’euros de certificats coopératifs d’associés souscrits par CA S.A..

(2) Dont prime d’émission sur certificats coopératifs d’associés souscrits par CA S.A. pour 59 035 milliers d’euros et prime de fusion pour 70 590 milliers d’euros.

Note 18. – Composition des fonds propres.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Capitaux propres

350 929

321 176

Fonds pour risques bancaires généraux

36 492

36 226

Dettes subordonnées

30 766

30 834

Dépôts de garantie à caractère mutuel

Total des fonds propres

418 187

388 236

Note 19. – Opérations effectuées en devises.

Le montant global en euros libellé en devises au 31 décembre 2004 s’élève à :
— 9 502 K€ pour les éléments d’actif ;
— 9 443 K€ pour les éléments de passif.

Note 20. – Opérations à terme en devises non dénouées.
(En milliers d’euros.)

Opérations de change

31/12/04

31/12/03

A recevoir

A livrer

A recevoir

A livrer

Opérations de change au comptant :

Devises

Euros

Opérations de change à terme

825

824

332

331

Devises

390

390

158

158

Euros

435

434

174

173

Prêts et emprunts en devises

420

420

Total

825

824

752

751

Note 21. – Opérations sur instruments financiers à terme.
(En milliers d’euros.)

Type d’opération

Opérations de couverture

Opérations autres
que de couverture

Total 31/12/04

Total 31/12/03

Opérations fermes

402 538

402 538

533 632

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

402 538

402 538

533 632

Swaps de taux d’intérêt

402 538

402 538

533 632

FRA

Instruments à terme ferme sur actions et indices boursiers

Autres contrats à terme

Opérations conditionnelles

Opérations sur marchés organisés

Opérations de gré à gré

Note 21.1. Opérations sur instruments financiers à terme :

— Encours notionnels par durée résiduelle :

Total

Dont opérations effectuées de gré à gré

Dont opérations sur marchés organisés et assimilés

< 1 an

De 1 à 5 ans

> 5 ans

< 1 an

De 1 à 5 ans

> 5 ans

< 1 an

De 1 à 5 ans

> 5 ans

Futures

Options de changes

Options de taux

85 566

192 468

124 505

85 566

192 468

124 505

F.R.A.

Swaps de taux d’intérêt

Swaps de devises

Caps, floors, collars

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

Sous-total

85 566

192 468

124 505

85 566

192 468

124 505

Opérations de change à terme

1 649

1 649

Total général

87 215

192 468

124 505

87 215

192 468

124 505

Note 21.2. Instruments financiers à terme - Juste valeur :

31/12/04

Total juste
valeur

Encours notionnel

Futures

Options de change

Options de taux

F.R.A.

Swaps de taux d’intérêt

8 849

219 350

Swaps de devises

Caps, Floors, Collars

Dérivés sur actions, indices boursiers et métaux précieux

Autres

Sous total

Opérations de change à terme

Total général

Notes sur le compte de résultat.

Note 22. – Produits nets d’intérêts et revenus assimilés.

— Produits nets d’intérêts (en milliers d’euros) :

31/12/04

31/12/03

Produits d’intérêts

148 244

151 396

Sur opérations avec les établissements de crédit

988

1 314

Sur opérations interne au Crédit agricole

9 115

13 649

Sur opérations avec la clientèle

129 205

127 375

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

2 628

2 923

Autres intérêts et produits assimilés

6 308

6 135

Charges d’intérêts

70 913

81 012

Sur opérations avec les établissements de crédit

184

29

Sur opérations interne au Crédit agricole

62 581

75 233

Sur opérations avec la clientèle

8 079

5 687

Sur obligations et autres titres à revenu fixe

60

55

Autres intérêts et produits assimilés

9

8

Total produits nets d’intérêts et revenus assimilés

77 331

70 384

Note 23. – Revenus des titres.

Titres à revenus fixes (en milliers d’euros) :

31/12/04

31/12/03

Titres de placement

61

58

Codevi

Titres d’investissement

2 567

2 865

Opérations diverses sur titres

Revenus des titres à revenus fixes

2 628

2 923

Titres à revenus variables (en milliers d’euros) :

31/12/04

31/12/03

Parts dans les entreprises liées

Titres de participation et autres titres

141

Détenus à long terme

6 245

5 941

Titres de placement et titre de l’activité de portefeuille

Opérations diverses sur titres

Revenus des titres à revenus fixes

6 245

6 112

Note 24. – Produits nets des commissions.

Type de commissions
(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Produits

Charges

Net

Produits

Charges

Net

Sur opérations avec les établissements de crédit

64

6

58

84

377

– 293

Sur opérations internes au Crédit agricole

6 909

2 027

4 882

11 378

1 823

9 555

Sur opérations avec la clientèle

15 438

64

15 374

17 356

10

17 346

Sur opérations sur titres

Sur opérations de change

40

0

40

70

0

70

Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors bilan

Sur prestations de services financiers (1)

37 997

4 281

33 716

33 856

4 096

29 800

Total

60 448

6 378

54 070

62 744

6 266

56 478

(1) Dont prestations d’assurance-vie : 7 536 K€.

Note 25. – Solde des opérations sur portefeuille de négociations.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Solde des opérations sur titres de transactions

Solde des opérations sur instruments financiers à terme

Solde des opérations de change et instruments financiers assimilés

107

145

Total

107

145

Note 26. – Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placements et assimilés.
(En milliers d’euros.)

Titres de placements

31/12/04

31/12/03

Dotations aux provisions

117

7

Reprises de provisions

1 077

1 265

Dotation ou reprise nette aux provisions

960

1 258

Plus-values de cessions réalisées

823

Moins-values de cessions réalisées

Solde des plus et moins-values de cessions realisées

823

Solde des opérations sur titres de placements

1 783

1 258

Note 27. – Frais de personnel.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Salaires et traitements (1)

24 925

24 746

Charges sociales :

Dont charges de retraite

12 579

12 790

Intéressement

4 033

3 458

Participation

832

887

Impôts et taxes sur rémunération

2 972

2 937

Total des frais de personnel

45 341

44 818

(1) Les refacturations de charges de frais de personnel sont déduites du poste « Salaires et traitements ».

Note 28. – Effectif.

Catégories de personnel

31/12/04

31/12/03

Cadres

154

155

Tam

346

344

Employés

382

367

Total

882

866

Dont France

868

852

Etranger

14

14

La rémunération des organes de direction est conforme à la convention collective des cadres de direction et aux textes en vigueur dans l’institution.
Le montant global des avances et crédits accordés pendant l’exercice à l’ensemble des membres des organes d’administration s’élève à 5 011 K€.

Note 29. – Engagements sociaux - Avantages postérieurs à l’emploi, régimes à prestations définies.

Variation de la dette actuarielle :

2004

Dette actuarielle au 31 décembre 2003

11 849

Coût des services rendus sur la période

535

Effet de l’actualisation

573

Cotisations de l’employé

Modification/réduction/liquidation du plan

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

Indemnités de cessation d’activité

Prestations versées

428

(Gains)/pertes actuarielles

209

Dette actuarielle au 31 décembre 2004

12 737

Détail de la charge comptabilisée au compte de résultat :

2004

Coût des services rendus sur l’exercice

535

Effet de l’actualisation

573

Rendement attendu des actifs sur la période

– 380

Amortissement du coût des services passés

250

Autres gains ou pertes

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

978

Variations de juste valeur des actifs des régimes :

2004

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31 décembre 2003

8 922

Rendement attendu des actifs

380

Gains/(pertes) actuariels sur les actifs du régime

– 41

Cotisations de l’employeur

2 992

Cotisations de l’employé

Modification/réduction/liquidation de plan

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

– 320

Indemnités de cessation d’activité

Prestations versées

– 463

Juste valeur des actifs/droits à remboursement au 31 décembre 2004

11 470

Composition des actifs des régimes :

2004

(Provisions) / actifs au 31 décembre 2003

– 2 926

Cotisations de l’employeur

2 992

Acquisition, cession (modification périmètre consolidation)

Paiements directs de l’employeur

– 354

Charge nette comptabilisée au compte de résultat

– 978

(Provisions) / actifs au 31 décembre 2004

– 1 266

Rendement des actifs des régimes. — Le rendement effectif des actifs des régimes est de 4,38 % pour les IFC et de 4,19 % pour les régimes de retraite.

Hypothèses actuarielles utilisées. — Le taux d’actualisation utilisé est de 5,34 % pour les IFC et de 4,65 % pour les régimes de retraite.

Note 30. – Coût du risque.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Dotations aux provisions

27 711

16 380

Provisions sur créances douteuses

25 924

14 721

Autres provisions

1 787

1 659

Reprises de provisions

29 645

15 763

Reprises de provisions sur créances douteuses

28 236

15 024

Autres reprises de provisions

1 409

739

Variation des provisions

– 1 934

617

Pertes sur créances douteuses irrécouvrables non provisionnées

170

126

Pertes sur créances douteuses irrécouvrables provisionnées

8 079

8 787

Récupérations sur créances amorties

770

1 153

Coût du risque

5 545

8 377

Note 31. – Résultat net sur actifs immobilisés.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Immobilisations financières :

Dotations aux provisions :

Sur titres d’investissement

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

127

512

Reprises de provisions :

Sur titres d’investissement

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

12

321

Dotation ou reprise nette aux provisions :

Sur titres d’investissement

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

– 115

– 191

Plus-values de cessions réalisées

Sur titres d’investissement

167

0

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

0

53

Moins-values de cessions réalisées :

Sur titres d’investissement

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

0

153

Solde des plus et moins-values de cessions

Sur titres d’investissement (1)

167

Sur parts dans les entreprises liées, participations et autres titres détenus à long terme

– 100

Solde en perte ou en bénéfice

52

– 291

Immobilisations corporelles et incorporelles :

Plus-values de cession

283

5

Moins-values de cession

21

66

Solde en perte ou en bénéfice

262

– 61

Résultat net sur actifs immobilisés

314

– 352

(1) Remboursement avant échéance à la demande de l’Emetteur.

Note 32. – Charges et produits exceptionnels.

Le résultat exceptionnel qui s’établit à 9,3 M€, est composé du coût de changement de système d’information y compris l’utilisation de la provision qui avait été constituée en 2001 pour 2,7 M€.

Note 33. – Affectation des résultats.(En milliers d’euros)

Résultat de l’exercice

35 030

Distribution

3 108

Report à nouveau

2 926

Réserve légale

21 747

Autres réserves

7 249

Note 34. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

(En K€)

Ernst & Young

Audit :

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

148

Missions accessoires

Sous-total

148

Autres prestations :

Juridique, fiscal et social

Technologie de l’information

Audit interne

Autres : à préciser si > à 10 % des honoraires d’audit

Sous-total

0

Total

148

(1) Y compris les prestations d’experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes.

Note 35. – Publicité.

Le rapport de gestion est à la disposition des sociétaires, pour consultation, au siège social de la Caisse régionale de crédit agricole Sud Méditerranée, 30, rue Pierre Bretonneau à Perpignan.

Note 36. – Rapport du commissaire aux comptes.

Exercice clos le 31 décembre 2004.
Rapport général du commissaire aux comptes sur les comptes annuels
Mmes, MM. les sociétaires,
En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2004, sur :
— le contrôle des comptes annuels de la Caisse régionale de crédit agricole Mutuel Sud-Méditerranée, tels qu’ils sont joints au présent rapport ;
— la justification de nos appréciations ;
— les vérifications spécifiques et les informations prévues par la loi.
Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

I. Opinion sur les comptes annuels. — Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d’ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l’opinion exprimée ci-après.
Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la Caisse régionale à la fin de cet exercice.
Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci dessus, nous attirons votre attention sur la note 2.B de l’annexe relative aux changements de méthodes comptables intervenus en 2004.

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L. 225-235 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants : Changements de méthodes comptables.
Ainsi qu’il est mentionné dans la note 2.B. de l’annexe, des changements de méthodes comptables sont intervenus au cours de l’exercice clos le 31 décembre 2004. Dans le cadre de notre appréciation des règles et principes comptables suivis par votre Caisse régionale, nous nous sommes assurés de la correcte prise en compte de ces changements et de la présentation qui en a été faite.
— Estimations comptables : Comme indiqué dans les notes 2.1 et 2.10 de l’annexe, la Caisse régionale constitue des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, nous avons revu les processus mis en place par la direction pour identifier et évaluer ces risques et leur couverture par des provisions à l’actif ou au passif du bilan.
Nous nous sommes assurés du caractère raisonnable des estimations qui ont été faites par la direction.
Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion sans réserve, exprimée dans la première partie de ce rapport.

III. Vérifications et informations spécifiques. — Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi.
Nous n’avons pas d’observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d’administration et dans les documents adressés aux sociétaires sur la situation financière et les comptes annuels.
En application de la loi, nous nous sommes assurés que les diverses informations relatives aux prises de participation et de contrôle vous ont été communiquées dans le rapport de gestion.

Toulouse, le 2 mars 2005.
Le commissaire aux comptes.
Ernst & Young Audit :
frank astoux.

B. — Comptes consolidés.

I. — Bilan consolidé au 31 décembre 2004.
(En milliers d’euros.)

Actif

Notes

31/12/04

31/12/03

Opérations interbancaires et assimilées

46 300

50 584

Caisse, banques centrales et C.C.P.

42 380

41 843

Effets publics et valeurs assimilées

1 616

1 615

Créances sur les établissements de crédit

2 304

7 126

Opérations internes au CA

3

137 786

143 452

Opérations avec la clientèle

4

2 736 348

2 508 696

Opérations sur titres

5

79 681

74 917

Obligations et autres titres à revenu fixe

61 778

63 181

Actions et autres titres à revenu variable

17 903

11 736

Valeurs immobilisées

188 456

192 284

Participations et autres titres détenus à long terme

6

145 427

148 926

Parts dans les entreprises liées

Immobilisations incorporelles

2 602

1 421

Immobilisations corporelles

40 727

41 937

Capital souscrit non versé

Actions propres

Comptes de régularisation et actifs divers

7

71 226

93 591

Autres actifs

11 282

18 840

Comptes de régularisation

59 944

74 751

Total actif

3 260 097

3 063 524

Passif

Notes

31/12/04

31/12/03

Opérations interbancaires et assimilées

288

6 814

Banques centrales et C.C.P.

Dettes envers les établissements de crédit

288

6 814

Opérations internes au CA

8

1 851 199

1 721 426

Comptes débiteurs de la clientèle

9

922 529

850 898

Comptes d’épargne à régime spécial

8 358

6 917

Autres dettes

914 171

843 981

Dettes de régularisation et passifs divers

2 224

2 412

Comptes de régularisation et passif divers

10

43 743

70 656

Autres passifs

10 994

35 400

Comptes de régularisation

32 749

35 256

Provisions et dettes subordonnées :

Provisions pour risques et charges

16 097

17 697

Dépôts de garantie à caractère mutuel

Dettes subordonnées

28 639

28 699

Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG)

11

36 492

36 226

Capitaux propres hors FRBG

358 886

328 696

Capital souscrit

12

24 865

25 006

Primes d’émission

12

129 625

129 625

Réserves

12

169 124

143 401

Ecart de réévaluation

Provisions réglementées et subventions d’investissement

Report à nouveau (+ /–)

Résultat de l’exercice

35 272

30 664

Total passif

3 260 097

3 063 524

Hors bilan

31/12/04

31/12/03

Engagements donnés

513 483

534 746

Engagements de financement

428 834

456 459

Engagements en faveur d’établissements de crédit

25 760

41 000

Engagements internes au Crédit agricole

Engagements en faveur de la clientèle

403 074

415 459

Engagements de garantie

84 586

78 265

Engagements d’ordre d’établissements de crédit

Engagements internes au Crédit agricole

Engagements d’ordre de la clientèle

84 586

78 265

Engagements sur titres

63

22

Autres engagements donnés

63

22

Engagements reçus

180 206

194 368

Engagements de financement

379

10 506

Engagements en faveur d’établissements de crédit

379

10 506

Engagements internes au Crédit agricole

Engagements en faveur de la clientèle

Engagements de garantie

179 764

183 840

Engagements d’ordre d’établissements de crédit

14 556

22 109

Engagements internes au Crédit agricole

Engagements d’ordre de la clientèle

165 208

161 731

Engagements sur titres

63

22

Autres engagements reçus

63

22

II. — Compte de résultat consolidé.
(En milliers d’euros.)

31/12/04

31/12/03

Intérêts et produits assimilés

148 339

151 488

Intérêts et charges assimilées

70 819

80 908

Revenus des titres à revenu variable

6 244

6 147

Commissions (produits)

60 421

62 744

Commissions (charges)

6 378

6 266

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation

133

145

Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés

1 783

1 258

Autres produits d’exploitation bancaire

6 466

6 010

Autres charges d’exploitation bancaire

275

342

Produit net bancaire

145 914

140 276

Charges générales d’exploitation

73 212

71 618

Frais de personnel

45 380

44 863

Autres frais administratifs

27 832

26 755

Dotation aux amortissements et aux provisions sur immobilisations

6 088

5 400

Résultat brut d’exploitation

66 614

63 258

Coût du risque

5 546

8 377

Résultat d’exploitation

61 068

54 881

Résultat net sur actifs immobilisés

314

– 352

Résultat courant avant impôt

61 382

54 529

Résultat exceptionnel

– 9 299

– 6 379

Impôt sur les bénéfices

– 16 545

– 15 631

Dotations et reprises de fonds pour risques bancaires généraux et provisions réglementées

– 266

– 1 855

Résultat net

35 272

30 664

III. — Annexes aux comptes consolidés.

Note 1. – Principes méthodes et périmètre de consolidation.

Les notes 1 et 2 composant l’annexe aux comptes sociaux sont applicables aux comptes consolidés. Concernant les autres notes de l’annexe aux comptes sociaux, seules ont été reprises dans l’annexe aux comptes consolidés celles qui sont nécessaires à une bonne lecture des comptes consolidés.
Les changements de méthode comptable et de présentation des comptes par rapport à l’exercice précédent concernent les points suivants :
La Caisse régionale Sud Méditerranée applique l’avis n° 2004-05, du 25 mars 2004, du Conseil national de la comptabilité afférant à la modification des paragraphes 300 des règlements n° 99-02, n° 99-07, n° 00-05 et n° 02-08 du CRC concernant les dispositions relatives aux médailles du travail.
Conformément à cet avis :
— les médailles du travail ne sont plus assimilées aux engagements de retraite (cf. recommandation n° 2003-R.01) ;
— les engagements à verser aux salariés en activité au titre des médailles du travail sont comptabilisés sous forme de provisions conformément aux dispositions de l’article 212.1 du règlement n° 99-03 du CRC (PCG), modifié entre autres par le règlement CRC n° 00-06 relatif aux passifs.
L’impact du changement de méthode a été comptabilisé dans les capitaux propres pour un montant de 224 milliers d’euros.
La Caisse régionale Sud Méditerranée applique également à compter du 1er janvier 2004 la recommandation n° 2003-R.01 du 1er avril 2003 relative aux règles de comptabilisation et d’évaluation des engagements de retraite et avantages similaires.
L’impact du changement de méthode, qui découle notamment de la mise en œuvre de la méthode des unités de crédit projetées, de l’évolution du modèle de reconstitution de carrière et de modélisation des retraites obligatoires, de l’harmonisation des taux d’actualisation (taux des OAT + marge déterminée en fonction de la durée de l’engagement) et des différents paramètres conduisant au calcul de ces provisions, a été comptabilisé dans les capitaux propres pour un montant de 2 702 milliers d’euros et, en raison de l’application de règles fiscales (conformément à l’avis du CNC n° 97-06 relatif aux changements de méthode comptable), en compte de résultat pour 2 702 milliers d’euros.
La Caisse régionale Sud Méditerranée applique par anticipation à compter du 1er janvier 2004 le règlement du CRC 2002-10 du 12 décembre 2002 relatif à l’amortissement et à la dépréciation des actifs. L’application de ce nouveau règlement n’a pas eu d’impact significatif sur l’exercice 2004.
Depuis les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2000, le Groupe Crédit agricole applique le règlement n° 99.07 du Comité de la réglementation comptable relatif aux règles de consolidation des entreprises relevant du Comité de la réglementation bancaire et financière.
En application des dispositions de ce règlement, les principes suivants ont été retenus :
— la notion d’impôts différés est sensiblement élargie, ceux-ci devant être constatés dès lors qu’une différence temporaire est constatée, sans qu’il soit tenu compte du caractère probable ou non de la réalisation de la charge correspondante ;
— les entités créées spécifiquement pour gérer une opération ou un groupe d’opérations bancaires ou financières pour le compte de la société-mère (entités « ad hoc ») doivent en principe, si la Caisse régionale en détient le contrôle exclusif, être consolidées par intégration globale.

1.1. Périmètre de consolidation. — Les états financiers consolidés incluent les comptes de la Caisse régionale et des 63 caisses locales qui lui sont affiliées.
Le périmètre ainsi constitué répond aux dispositions du règlement 99.07 du Comité de la réglementation comptable.

1.2. Application au Crédit agricole de la notion d’entité consolidante. — Le règlement 99.07 du Comité de la réglementation comptable prévoit les dispositions suivantes (paragraphe 1001) :
« Les réseaux d’établissements de crédit dotés d’un Organe central, au sens de l’article 20 de la loi n° 84-46 du 24 janvier 1984 relative à l’activité et au contrôle des établissements de crédit, ont la possibilité de définir en leur sein une ou plusieurs entités consolidantes. Chacune de ces entités consolidantes est constituée d’un ensemble d’établissements de crédit affiliés directement ou indirectement à cet Organe central ainsi que de ce dernier éventuellement. Chacune de ces entités pourra être considérée comme une entreprise consolidante au sens du présent paragraphe. »
En application de ce règlement, les 63 caisses locales et la Caisse régionale de Sud Méditerranée forment l’entité consolidante définie par les textes rappelés ci-dessus. Les comptes consolidés de cette entité ont été établis en utilisant la méthode de l’intégration globale.

1.3. Les principaux retraitements et éliminations. — Les retraitements significatifs nécessaires à l’harmonisation des méthodes d’évaluation des sociétés consolidées ont été effectués.
L’effet sur le bilan et le compte de résultat consolidé des opérations internes au groupe régional est éliminé, et particulièrement les opérations relatives aux comptes courants bloqués des caisses locales, ainsi que les intérêts aux parts versés par la Caisse régionale aux caisses locales qui lui sont affiliées.
Retraitement des non-valeurs : les frais d’émission, d’augmentation de capital ainsi que les frais d’établissement constituent pour leur intégralité une charge de l’exercice.
Les provisions à caractère de réserves sont, après application éventuelle de l’imposition différée, reprises aux comptes de réserves ou de résultat en fonction de leur origine.
Les provisions fiscalement réglementées sont éliminées par réincorporation au crédit des réserves ou du compte de résultat.
Ces provisions étant fiscalement déductibles, l’impact de leur élimination sur l’imposition différée est pris en compte par la constatation d’un impôt différé passif.
En matière d’amortissements, les amortissements dégressifs sont maintenus dans les comptes consolidés lorsqu’ils correspondent à une dépréciation économiquement justifiée.

1.4. Les impôts différés :
1.4.1. Principes généraux : Les différences temporaires résultant du décalage entre l’imposition (ou la déduction) d’une opération et l’exercice de rattachement comptable ont été dégagées, de même que les impôts afférents aux écritures de consolidation. Les flux de l’exercice ont été enregistrés en compte de résultat, selon la méthode du report variable.
En application de la règle de prudence, les déficits reportables ne sont pas retenus dans le calcul de l’impôt différé, sauf circonstances constituant une très forte probabilité d’imputation sur des bénéfices fiscaux futurs.
Le taux d’imposition différée appliqué intègre la contribution additionnelle prévue par la loi de finance rectificative pour 1995, dont le taux a été ramené de 10 % à 6 % au titre de l’exercice 2001, à 3 % au titre des exercices 2002 à 2004, à 1,5 % pour l’exercice 2005, puis supprimé à compter de l’exercice 2006.
Le taux d’imposition intègre également la contribution sociale sur les bénéfices mise en place par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2000, égale à 3,3 % de l’impôt brut diminué d’un abattement de 763 000 €.
Le taux d’imposition différée applicable au titre de l’exercice 2004 s’établit par conséquent à 34,33 %, à 33,83 % au titre de l’exercice 2005, et à 33,33 % au titre des exercices 2006 et suivants, auxquels s’ajoute un taux de 3,3 % pour la partie de l’impôt brut excédant 763 000 €.
Le taux d’imposition réduit sur les plus-values à long terme intègre également la contribution additionnelle prévue par la loi de finances rectificative pour 1995 et sa diminution progressive prévue par la loi de finances pour 2005. Il intègre également la contribution sociale sur les bénéfices mise en place par la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2000. Enfin, il prend en compte la diminution progressive du taux d’imposition instituée par la loi de finances rectificative pour 2004.
Le taux d’imposition différée sur les plus-values à long terme applicable au titre de l’exercice 2004 s’établit par conséquent à 20,20 %, à 15,72 % au titre de l’exercice 2005, 8,26 % au titre de l’exercice 2006 et à 0 % au titre des exercices 2007 et suivants.
Le net d’impôt différé figure à l’actif ou au passif du bilan à la rubrique « Comptes de régularisation et divers ».
Concernant l’avis n° 2005-A du 2 février 2005 du comité d’urgence du Conseil national de la comptabilité, la taxe exceptionnelle de 2,5 % assise sur le montant de la réserve spéciale des plus values à long terme instaurée par la loi de finance rectificative pour 2004 a été comptabilisée en charge d’impôt dans les comptes de l’exercice 2004 pour sa partie obligatoire ; celle-ci s’élève à 574 milliers d’euros.

1.4.2. Principaux éléments : Les principaux éléments constitutifs de la fiscalité différée sont :
— Concernant les impôts différés passifs : Les provisions déductibles à caractère de réserve, les résultats et les subventions à amortir ;
— Concernant les impôts différés actifs : Les dotations aux amortissements et provisions déductibles ultérieurement.

1.4.3. Impôt de distribution. — Aucune provision n’est constituée dans les comptes consolidés pour les impôts dus sur la distribution des réserves de la Caisse régionale, celles-ci étant considérées comme investies de manière permanente, et ne donnant pas lieu à distribution.

Note 2. – Détail du périmètre de consolidation.

— Périmètre de consolidation :
Caisse régionale de crédit agricole Sud Méditerranée, 30, rue Pierre Bretonneau, 66832 Perpignan Cedex
Liste des caisses locales :
– Département de l’Ariège :
1 caisse locale à vocation départementale ;
15 caisses locales.
– Département des Pyrénées-Orientales :
1 caisse locale à vocation départementale ;
46 caisses locales.

Note 3. – Créances sur les établissements de crédit - Analyse par durée résiduelle.

Créances
(En milliers d’euros)

Durée résiduelle

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total
2004

Total
2003

Etablissements de crédit :

Comptes et prêts :

A vue

2 016

2 016

2 016

7 126

A terme

Valeurs reçues en pension

Titres en pension livrée

Prêts subordonnés

282

282

6

288

Provisions

Valeurs brutes au bilan

2 016

282

2 298

6

2 304

7 126

Opérations internes au crédit agricole :

Comptes ordinaires

65 038

65 038

65 038

62 837

Comptes et avances à terme

5 241

11 184

10 550

0

26 975

1 845

28 820

36 711

Prêts subordonnés

43 900

43 900

28

43 928

43 928

Valeurs brutes

70 279

11 184

10 550

43 900

135 913

1 873

137 786

143 476

Provisions

Valeurs nettes

137 786

143 476

Les prêts subordonnés et participatifs consentis à Crédit agricole S.A. s’élèvent à 44 182 K€. Les titres subordonnés en portefeuille s’élèvent à 8 604 K€.
Opérations internes au Crédit agricole : En matière de comptes et avances à terme, cette rubrique enregistre les placements monétaires réalisés par la Caisse régionale auprès de Crédit agricole S.A. dans le cadre des relations financières internes.

Note 4. – Opérations avec la clientèle - Analyse par durée résiduelle.

Créances
(En milliers d’euros)

Durée résiduelle

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Créances rattachées

Total
2004

Total
2003

Opérations avec la clientèle :

Créances commerciales

22 226

218

0

22 444

177

22 621

24 333

Autres concours à la clientèle

199 503

314 375

975 475

1 243 048

2 732 401

28 743

2 761 144

2 541 334

Valeurs reçues en pension livrée

Crédit bail et location avec option d’achat

Location simple

Sous-total

221 729

314 593

975 475

1 243 048

2 754 845

28 920

2 783 765

2 565 667

Comptes ordinaires débiteurs

24 919

24 919

51

24 970

12 571

Valeurs brutes

246 648

314 593

975 475

1 243 048

2 779 764

28 971

2 808 735

2 578 838

Provisions

72 386

69 542

Valeurs nettes au bilan

2 736 349

2 508 696

Parmi les créances sur la clientèle 907 milliers d’euros sont éligibles au refinancement de la Banque centrale.
Dans le cas où les encours restructurés de la Caisse régionale sont significatifs :
Les encours restructurés au 31 décembre 2004 s’élèvent à 14 327 milliers d’euros, dont 4 827 milliers d’euros relatifs aux crédits restructurés dans le cadre de la loi Neiertz.

Note 4.1. Opérations avec la clientèle - Analyse par zone géographique :

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

France (y compris Dom-Tom)

2 468 891

2 265 119

Autres pays de l’U.E.

310 873

284 769

Autres pays d’Europe

Amérique du Nord

Amérique centrale et du Sud

Afrique et Moyen-Orient

Asie et Océanie (hors Japon)

Non ventilés et organismes internationaux

Total en principal

2 779 764

2 549 888

Créances rattachées

28 971

28 350

Provisions

72 386

69 542

Valeurs nettes au bilan

2 736 349

2 508 696

Note 4.2. Opérations avec la clientèle encours douteux et provisions par zone géographique :

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Encours douteux

Provisions

Encours douteux

Provisions

France (y compris Dom-Tom)

94 960

68 807

92 270

65 736

Autres pays de l’U.E.

8 455

3 579

9 892

3 806

Autres pays d’Europe

Amérique du Nord

Amérique centrale et du Sud

Afrique et Moyen-Orient

Asie et Océanie (hors Japon)

Non ventilés et organismes internationaux

Total

103 415

72 386

102 162

69 542

Note 4.3. Opérations avec la clientèle - Analyse par agents économiques :

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Encours
brut

Encours douteux

Encours douteux compromis

Provisions
sur encours douteux

Provisions
sur encours douteux compromis

Encours
brut

Encours douteux

Provisions

Particuliers

1 081 264

26 940

18 154

16 898

12 487

973 086

22 523

13 006

Agriculteurs

252 364

17 599

8 169

11 507

4 098

234 397

16 797

10 061

Autres professionnels

609 287

30 601

19 061

22 558

16 270

499 280

26 201

17 625

Sociétés financières

97

0

0

0

0

11

0

0

Entreprises

403 841

22 046

8 182

15 569

6 300

448 879

30 590

23 178

Collectivités publiques

433 103

5 672

0

5 672

0

406 204

5 523

5 523

Autres agents économiques

28 779

557

368

183

172

16 382

528

148

Total

2 808 735

103 415

53 934

72 387

39 327

2 578 239

102 162

69 541

Note 5. – Titres de transactions, de placement, d’investissement et titres de l’activité de portefeuille.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Transactions

Placements

Titres de l’activité
de portefeuille

Investissement

Total
2004

Total
2003

Titres de transaction :

Effets publics et valeurs assimilées

1 524

1 524

1 524

Dont surcote restant à amortir

Dont décote restant à amortir

Créances rattachées

76

76

75

Provisions

Valeurs nettes au bilan

1 600

1 600

1 599

Obligations et autres titres à revenu fixe :

Emis par organismes publics

Autres émetteurs

21 015

41 179

62 194

62 303

Dont surcote restant à amortir

Dont décote restant à amortir

Créances rattachées

11

1 085

1 096

1 196

Provisions

1 512

0

1 512

2 522

Valeurs nettes au bilan

19 514

42 264

61 778

60 976

Actions et autres titres de revenu variable

17 953

0

17 953

11 736

Créances rattachées

Provisions

50

0

Valeurs nettes au bilan

17 903

0

17 903

11 736

Valeurs estimatives

38 427

44 918

83 345

78 227

Note 6. – Tableau des titres des participations et des filiales.

Quote-part du capital détenu
(En  %)

Valeurs nettes comptables des titres détenus

Valeurs nettes comptables des prêts
et avances

Montant des cautions et avals donnés par la société

Résultats (bénéfice
ou perte
du dernier exercice clos)

Participation dont la valeur d’inventaire excède 1 % du capital de l’entité :

Participation dans des établissements de crédit (détail)

Autres parts dans les entreprises liées :

SCI Château de Castelnou

98,61

786

228

– 27

Autres titres de participations :

SAS Rue La Boétie

1,32

119 883

3 964

748 409

S.A. Sofilaro

20,59

1 154

3

– 200

GF Font Moreau

24,11

536

8

SAS Sacam Développement

1,35

10 321

3 053

SAS Sacam Fireca

1,18

629

– 9 088

SNC CA Titres

398

Participations dont la valeur d’inventaire est inférieure à 1 % du capital de l’entité :

Autres parts dans les entreprises liées (ensemble)

Autres titres de participation (ensemble)

1 483

2 782

Total parts dans les entreprises liées et participations

135 190

10 030

Note 7. – Autres actifs et comptes de régularisation.
(En milliers d’euros.)

Rubriques

Montant
31/12/04

Montant
31/12/03

Autres actifs

11 282

18 840

Instruments conditionnels achetés

Comptes de stock et emplois divers

1 684

2 450

Comptes de règlement

50

8 425

Débiteurs divers

9 548

7 965

Capital souscrit non versé

Actions propres

Comptes de régularisation

59 944

74 751

Comptes d’encaissement et de transfert

30 208

38 028

Comptes d’ajustement et comptes d’écarts

Gains latents et pertes à étaler sur instruments financiers

Produits à recevoir et charges constatées d’avance

28 697

32 659

Charges à répartir

Autres comptes de régularisation

1 039

4 064

Valeurs nettes au bilan

71 226

93 591

Note 8. – Dettes envers les établissements de crédit - Analyse par durée résiduelle.
(En milliers d’euros.)

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 mois

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total
31/12/04

Total
31/12/03

Etablissements de crédit :

Comptes et emprunts :

A vue

281

281

7

288

6 814

A terme

Valeurs données en pension

Titres donnés en pension livrée

Valeurs au bilan

281

281

7

288

6 814

Opérations internes au Crédit agricole :

Comptes ordinaires

Comptes et avances à terme

278 675

626 185

531 290

411 597

1 847 747

3 453

1 851 200

1 723 256

Valeurs au bilan

278 675

626 185

531 290

411 597

1 847 747

3 453

1 851 200

1 723 256

Total valeurs au bilan

278 956

626 185

531 290

411 597

1 848 028

3 460

1 851 488

1 730 070

Opérations internes au Crédit agricole : Ce poste est constitué pour une large part des avances accordées par Crédit agricole S.A. et nécessaires au financement de l’encours des prêts sur avances octroyés par la Caisse régionale (cf. Cadre juridique et financier).

Note 9. – Comptes créditeurs de la clientèle - Analyse par durée résiduelle.
(En milliers d’euros.)

Dettes

< 3 mois

> 3 mois < 1 an

> 1 an < 5 ans

> 5 ans

Total en principal

Dettes rattachées

Total
31/12/04

Total
31/12/03

Comptes créditeurs de la clientèle :

Comptes ordinaires créditeurs

865 931

40

865 971

790 655

Comptes d’épargne à régime spécial :

A vue

8 358

0

8 358

6 917

A terme

0

0

Autres dettes envers la clientèle :

A vue

A terme

32 691

6 323

7 389

536

46 939

1 263

48 202

53 325

Valeurs données en pension livrée

Total valeurs au bilan

906 980

6 323

7 389

536

921 228

1 303

922 531

850 897

Note 10. – Autres passifs et comptes de régularisation.
(En milliers d’euros.)

Rubriques

Montant
31/12/04

Montant
31/12/03

Autres passifs

10 994

35 400

Opérations de contrepartie (titres de transactions)

Dettes représentatives de titres empruntés

Instruments conditionnels vendus

Compte de règlement

Créditeurs divers

843

3 287

Versements restant à effectuer sur titres

9 709

29 951

Autres

442

2 162

Comptes de régularisation

32 749

35 256

Comptes d’encaissement et de transfert

2 139

2 470

Comptes d’ajustement et comptes d’écart

Pertes latentes et gains à étaler sur instruments financiers

Produits constatés d’avance et charges à payer

28 604

29 935

Autres comptes de régularisation

2 006

2 851

Valeurs au bilan

43 743

70 656

Note 11. – Fonds pour risques bancaires généraux.

(En milliers d’euros)

31/12/04

31/12/03

Epargne logement

6 178

6 567

Risque de crédit non avéré

9 662

9 007

Autres

20 652

20 652

Valeur au bilan

36 492

36 226

Note 12. – Capitaux propres consolidés hors fonds pour risques bancaires généraux.

Variations des capitaux propres consolidés (en milliers d’euros) :

Capital au 31 décembre 2002

25 368

Variation de capital

– 362

Capital au 31 décembre 2003

25 006

Primes liées au capital au 31 décembre 2002

129 625

Variation de la prime d’émission

Variation de la prime de fusion

Primes liées au capital au 31 décembre 2003

129 625

Réserves consolidées au 31 décembre 2002

121 050

Résultat consolidé au 31 décembre 2002

25 052

Intérêts aux parts sociales versés par CR

– 657

Autres distributions

– 2 044

Variation des réserves de réestimation

Variation des réserves de conversion

Variations des réserves sociales consécutives aux opérations de fusions

Autres variations (divers)

Réserves consolidées au 31 décembre 2003

143 401

Capital au 31 décembre 2003

25 006

Variation de capital

– 141

Capital au 31 décembre 2004

24 865

Primes liées au capital au 31 décembre 2003

129 625

Variation de la prime d’émission

Variation de la prime de fusion

Primes liées au capital au 31 décembre 2004

129 625

Réserves consolidées au 31 décembre 2003

143 401

Résultat consolidé au 31 décembre 2003

30 664

Intérêts aux parts sociales versés par CR

– 643

Autres distributions

– 2 329

Variation des réserves de réestimation

Variation des réserves de conversion

Variations des réserves sociales consécutives aux opérations de fusions

Autres variations (divers)

– 1 969

Réserves consolidées au 31 décembre 2004

169 124

Note 13. – Impôt sur les bénéfices.
(En milliers d’euros.)

31/12/04

31/12/03

Charge d’impôt courant de l’exercice

15 732

15 172

Charge ou produit d’impôt différé de l’exercice

813

459

Impôt sur les bénéfices

16 545

15 631

Note 14. – Publicité des honoraires de commissaires aux comptes.

(En K€)

Ernst & Young

Audit :

Commissariat aux comptes, certification, examen des comptes individuels et consolidés (1)

153

Missions accessoires

Autres prestations :

Juridique, fiscale et sociale

Technologie de l’information

Audit interne

Autres : à préciser si > à 10 % des honoraires d’audit

Sous-total

Total

153

(1) Y compris les prestations d’experts indépendants ou du réseau à la demande des commissaires aux comptes dans le cadre de la certification des comptes.

Note 15. – Rapport du commissaire aux comptes sur les comptes consolidés.

Mesdames, Messieurs les sociétaires,
En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons procédé au contrôle des comptes consolidés de la Caisse régionale de crédit agricole Mutuel Sud-Méditerranée relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2004, tels qu’ils sont joints au présent rapport.
Les comptes consolidés ont été arrêtés par le conseil d’administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes.

I. Opinion sur les comptes consolidés. — Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d’ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l’opinion exprimée ci-après.
Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l’ensemble constitué par les entreprises comprises dans la consolidation. Sans remettre en cause l’opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 1 de l’annexe relative aux changements de méthodes comptables intervenus en 2004.

II. Justification des appréciations. — En application des dispositions de l’article L. 225-235 du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants :
— Changements de méthodes comptables : Ainsi qu’il est mentionné dans la note 1 de l’annexe, des changements de méthodes comptables sont intervenus au cours de l’exercice clos le 31 décembre 2004. Dans le cadre de notre appréciation des règles et principes comptables suivis par votre caisse régionale, nous nous sommes assurés de la correcte prise en compte de ces changements et de la présentation qui en a été faite.
— Estimations comptables : Comme indiqué dans la note 1 de l’annexe, la caisse régionale constitue des provisions pour couvrir les risques de crédit et les risques inhérents à ses activités. Dans le cadre de notre appréciation des estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes, nous avons revu les processus mis en place par la direction pour identifier et évaluer ces risques et leur couverture par des provisions à l’actif ou au passif du bilan.
Nous nous sommes assurés du caractère raisonnable des estimations qui ont été faites par la direction.
Les appréciations ainsi portées s’inscrivent dans le cadre de notre démarche d’audit des comptes consolidés, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion sans réserve, exprimée dans la première partie de ce rapport.

III. Vérification spécifique. — Par ailleurs, nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, à la vérification des informations relatives au groupe, données dans le rapport de gestion.
Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés.

Toulouse, le 2 mars 2005.
Le commissaire aux comptes :
Ernst & Young Audit :
frank astoux.






86817

Vous êtes responsable de cette entreprise ?

Vous pouvez améliorer la visibilité de votre entreprise sur internet en cliquant ici